2/5/2025
on envoie on envoie quoi on envoie du bois on aime ça on aime travcer = donner et sans se retourner courir jusqu'à la jetée et là essayer essa yer ensemble de cerner-piger ce qui se p^résente en termes de parade et autres faits acidulées = lait de rage traits traits des traits en enfilade qu'est-ce que c'est on se le demande mais voilà qui sait un de ces quatre qu'est-ce qu'on en sait on saura peut-êttre ensemble nous y retrouver et toucher à cette sorte de membrane me,nbrane aux données aux effets de rage et autres tracés on entre on creuse on essaie de comprendre les données les plus prégnantes d'un passé tracé quise présente la mort une fois archivée ou dsisons entérinée adoptée accusée on est entrées on entre en tant que fée armée et puis hop on change nous voici bébé bébé de parade demandant ou réclamant du lait dit de contrebande car en vrai ce qui est ici est cette chose d'une sorte d'enfilade à toi à moi de mots de base genre rage rage en or or or du porc porc porc du corps et autres traits en première instance on entre on mate on cherche ensemble en tant que fées ds traces à de fait comprendre ce qui est ici en termes de rage et autres fêtes-parades on erst comme toutes deux accolées à cette sorte de passé qui on dirait on le dirait vraiment nous regarde ou comment serait là tout ébouriffé à ,ne pas cesser de nous mater et qui plus est de la tête aux pieds comme si en vrai on l'intéressait au point qaue oui on en serait presque gêénée de nous savoirt à ce point e spionnées ou sinonespionnées reluquées comme si de fait on était quoi on était des fée fées du pré et en vrai c'est c'est ainsi qu'on est ou plut^pt qu'on était avant de nous savoir piour ainsi dire transformées en quoi en b ébé de trait soit en bébé qui boit d'un trait le lait de l'hydre et l'hydre qu'est-vce que c'est qu'est-ce que c'est que cette (?) hydre ici mentionnné eh bé on dira ça que l'hydre ici bas = ici -haut est une sorte d 'animal de base genre trace trace de peau ou peau peau de mo ou mot mot de trop etcetera on entree = on creuse et ce faisant en vrai qu'est-ce qu'on voit on voit ce qui se trame enc e quartier de bout de pré on entre à quai on file on trace on voit on tète en transe le néné de l'antre d'un passé de base car voilà le passé naît la fée pâssée ou la ou les on mate on regarde on a passé un cap on a passé le cap du pré en tant que fée acidulée et à présent on cherche grzave à comme noius rapprocher d'une sorte de néné comme en embuscade un néné rempli de lait qui est du lait de femme ou pas de bête sage ou pas alors de quoio on ne sait pas on mate grave mzis on ne voit pas on cherche ensemble on n'arrête pas on ne s'arrête pas mais ce n'est pas sqi simple en vrai ensemble de mater quand voilà on est comme aveuglée par une sorte peut-être de trait trait vif de clarté lacté ou comment donc on pourrait dire ou exprimer ou expliquer ce trait du vivre de l'autre côpté côté vivre ou même côté re-vivre car en vrai le vivre est une sorte en soi d'emprise de tracé de chine muraille allouée à une sorte de passé comme faisant cycle ou comment on pourraoit ensemble ici et là expliquer cela ce tracé nacré cette sorte de passé ourlé qui serait de fait une sorte de contre-tr acé une mer de rocheun passé de roche alloué ou comme alloué à une sorte de marée on monte on ose on creuse on veutr cerner de cghez cerner à cette chose d'un passé refaiqsant irru^tion la mort une fois traversée une wsorte de mer allouée à une sorte de passé prégnant ou de passé toujours présent soit di
laté ou comment dire étalé un passé allongé étalé prenant de fait toute la place dévoilée la mort dès lors comme dépassée ou enregistrée = notée = bgravée dessinée sur de la pierre de trait on est on cxreuse on entre on traverse on cherche grab-ve grave de chez grave ensqezmble à bien comprendre les actualitéds d'une sorte de parade animale en ce passé de rage ou passé de transe ou passé de traits ou de bêtes de trait car en vrai on aime aller ensemble à toi à moi cvfomme qui dirait chercher ici et là à comprendre ce qui est dans ce qu'on voit ou pliutôt dans ce qu'on ne voit pas tout à faoit on devine par là quelquefois des choses genre pommes genrte hommes genre rome gentre trogne et autres mots en ogne ome ole pole ecetera on entre on est là ensemble ail:es des voiix ou sinon ailes ELLEs qui sont là pour ça battre la campagne et nous voilà nous voilà en transe ou ttout comme en transe à chercher voie voie pour un aller = un aller sur place afin de chercher rechercher tracer crteuser npotrte propre trajetbvers quoi vers ce néné de l'au-delà qui est donc né la mort passée ou une fois la mort passée soit archivée accomplioe donnée tracé e évacuée on veut coller à ce qui est qui est ici un néné de vie genre The néné ici donné la mort passée le néné du trait trait de vie lactée on veut téter on adore en vrai téter de cghez téter difficile pour nous de nous en, passer de n ,e pas téter pour de vrai sans discontinuer en tant que bébé né pour ainsi dire d'une fée de pré et hop ensemble un pet hop le pet dans l'antrte on tète de rage on t§ète le lait on aime téter et téter-péter la chose orale = du l:aiot lait de trait lait donné lait comme ancré en cette sqorte de passé de franges qu'est-ce que c'est peut-être unn anttr ou sqinon un anttre une plage ou sinon la plage une sorte d'enfilade de peut-êtrte divers paysages ainsi tracés par des mains allouées à une sqorte de qui sait passé du passé ou passé retrouvé lors de la tétée on veut comùprendfre on veut toucher on veut cerner de rage les données lactées à quoi elles ressemblent qu'est-ce qu'il en est qu'est-)ce qui nous atte,nd en cette sorte de passé larvé qui est passé de proimenade dite post-mortem ou quelque chose d'approchant en termes de passé donné o u de passé porté ou rapporté on creuse = on ose on veut toucher audit passé des bases lactées qu'est)-ce que c'sseet que ce paszsé ici alloué à une sorte de tracé de vie ou de vie retrouvée la mort entérinée on cherche on cherche grave on ne veut pas laissser pisssr ou filer ou passer la chance notre chance d'y tater un poiil en cette chose d'une sorte de rteconnaisszance ou de re,naissance ou de retyrouvailles ardente on entre on cherche on creuse on fonce on trace on e veut pas traéîner la jambe mais filer à toute blinde en certte sorte de passé de tête une sorte de trait un tracé de tête = trait des traits par où qui sait en vrai on passerait la tête puis le corps entier comme une fenêtre trai-ht-fenêtre sur paroi dernière ou sinon comment porte aux quatre vents potrte ouverte on cherche on cre"euse on veut toucher-cerner -tracer -coller à cette sorte de donnée lactée eh bé le nez nez de l'ombre nz des nezs tels que présentés sur roche haute on m onte on renifle on veut toucher du nez la frise le passé en friche les données de l'hydre = L ait ou même Lait des Laits tels qu'appréciés qu a,nd on est bébé bébé né comme à la retombée sur du passé dit de contre-poussée et nous voilà re-nées comme un fait exprès on monte on veut toucher à ce quii est qui nous seconde ou comment dire vient nous trouver ou nous retrouver via la parole innée ou commùe inculmquée hop un tracé un trait toute une époque re-articulée qui montre sa trogne face du passé visage tr acé une trogne = une sorte de pet ou de pet de porte hop on monte on creuse on cherche on veut toucher à ce dit passé des données hautes et du coup aller aller de chez aller en ce dit tra&c&é qui serait de fait du dit non altéré dit entier comme du lait dit des dits lactés soit eh bé oui du bon lait du vivre lait donné comme à l'arraché au tracé au jugé de l'hydre du tracé de l'hydre sur passé alloué on est re-née on est la fée -bébé ou fée devenue bébé qui tète le lait ou laiot alloué à une sorte de passé d'un hydre et l'hydre qu'est-ce que c'est l'hydre est fille fille post-pré qui sort de sa chemise le néné du lait et nous donne à téter la parole lactée lait du verbe nacré lait traqué tracéa imé adulé adoré comme peurt-l'être le passé quand il est alloué à une sorte de retour sur soi et son poids de foi ou poids de la foi on est là on mate on trace on veut toucher-comprendre les données de base ce qui est qui est est une sorte ici de promenade ou d'eswplanade du passé ancré ou du passé tracé à même le sav$ble on veut coller coller de chez coller aller de chez aller toucher de chez toucher cerner de chez cerner à cette sorte de néné des plages et autres jetées et téter téter vrai téter de chez téter à ce néné des traces et éautres traits ainsi repérées la mort dépassée téter = donner = faire = dire =coller = chgercher chercher à connâoitre incidemment et religieusement ce qui est qui est en ces dites contrées de la mort passée des tracés tracés et autres tréaits de bure on veut toucher on veut creuser toucher de chez toucher à ce néné dxes données futures qu'est-ce que c''est de quoi s'agit-il en vrai qu'est-ce que c'est que ce tracé hors murs sorte de donnée rude ou de donnée de bure on ne sait on est comme allouée à une sorte de néné rempli du lait dont on rêvait en d'autres conjonctures on veut creuser dire et donner toucher de chez troucher le néné post-mur et boire de son lait boire sans plus traîner car en vrai le lait on adore on en boirait sans nous arrêter du point du hjour au dernières clartés sans discontinuer sans en être écoeurées car le lait ça nous connaît le lait est une sorte de met ou de denrée des catacombes des données profondes du passé larvé réactualidsé ou comme remontée lea mort passée = lait de porte on &ime téter et du coup avaler nous alimenter prendre des forces ou se requinquer à base d'un met dit de porte puisqju'il en est = lait de porte haute lait des laits des portes des portes de roche et autres portes des données données la mort archivée dépassée traversée laissées pour compte ou miçse à pied ou comment exprimer cette chose d'une mort de roche archivée qui serait de fait une époque toute une époque époque recentrée cernée circonscrite en tant que crypte ou antre ici de roche prise mais la vie est tout autre qui flotte entoure encercle nappe fait le tour lde l'antre entoure cet anttre encercle le pré la prairie des fées fait son petit effet = fait ainsi que la mort do nnée soit comme encerclée de vie allouée à une sorte d'après-muret d'après concavité d'après-mort donnée = une contré contrée de lait ou de mots -lait tels qu'aimés bébé ou quand on est bébé = un bébé de rive = le bébé tout entier rivé à son néné de frise = la clarté lactée lumoinosité laiteuse et aiutres types de blancheurs heureuses on veut coller on veut grave aller et toucher et creuser et se mo ntrer et dire nos dires à cette sorte de divinité lactée dont le nom est Entyité Tracée Entité des Entités Tracés nom -surprise nom donné sur frise à une déité des déité des données de frise on veut toucher on veut creuser on veut avancert on veut cerner on veut aller donner prendre et coller le nez ou notre nez à ce dit néné des données en friche = le pasdsé car le passé en soi est une sorte de donnée de choix donné haute qui nous voit nous mate sans frais sans cghercher plus que ça à nouq amadouer mais voilà il est là il est ytoujours là à nous m ater de chez mater afin de nous cerner ou de nous mieux cerner à toi à moi en cette sorte de contrée de l'au-delà la mort passée et qui sait en ezffet le passé qui sait si le passé de faiot ne serait pas notre avenir en tant que voie d'accès sur ou vers eh bé le lait lait de trait trait de lait acidulé pissant du néné ainszi rencontré le passé lacté serait compme qui diraoit l'avenir de fait soit une sorte de donnée admise prise déroulée ou comme déroulée ou toute déroulée sur frise traits d'emprise lait des laits et autres lait de traits ainsi dessinés on est nées on est renées on renaît fille vive sur frise dans un passé qui est ce passé qui se présente sous le nez on cherche à téter on veut cerner on veut toucher de chez toucher à ce lait de frise qu'est-ce que c'est une bsqorte de passé en friche lait donné est lait alloué est lait apporté est lait de trait ainsi donné à notre sorte de preut-ettre ici bouche grande ouverte on aime on aime grave on adore on adore le l ait on veut grave téter on ne veut pas s' arrêzter on a super de chez super envie grave de téter le bon lait de l'hydre des tyemps pasdés et autres temps fort reculéss car oui le lait on aime à jamais à jamais le lait on aimera car voilà on est là pour ça en tant que quoi voix voix de choix voix des rois et reines des voix téter de chez téter la voix et le lait lait de voix et voix de lait entrer téter lait-voix d'une sqorte de mama ou de maman ou de mam' de la voix ainsi donnée la mort pasdsée c ar la voix est la voix dite du passé du passé lacté du passé comme enriegistré à jamais en cette sorte ici de cavité des cavités d'après le tracé ou le pré aux fées mais on ne sa it en v rai on cherche on creuse on se dit que peut-être en effet le passé est cxavité ou sinon cavité traits des traits sa,ns finalités ou alors une mùer une mùer allouée à u ne sorte de clarté hors cimetière on chercvhe on v eut toucher cerner creuser sonder et du coup connéître ce que donc le Verbe est ou serait lm'instrument ou disons l'agent on cherche vaillammenjt ardemment consciencieusement religieusement concrèytement et sa,ns traîner à cerner de chez cerner les données dernières dernières et derrière deriière ce muret ce muret des prés soit derrière de fait le tracé des tracés sur paroi ornée on aime on creuse on veut trouver de chez trouver une sorte de fin heureuse happy end allouée à une sorte de passé aux tré&its on dirait du Verbe Verbe en herbe petits pas de soi et hop on y va on envoie on entre on est ensemble ailes la fée de l'antre qui vite fait se voit ou se verrait toute transformée du fzit du passage en bébé tracé en bébé des bébés aimant téter le bon lait du ventre des données pour ainsi dire ultimes de l'après ou des nénés des frixses et aéutres sortes de nénés ainsi et ici rencontrés comme p ar surprise nmais est-ce vrai est-ce une surprise ne s' attensdait -on pas à pareille motte à pareille chose à par eil néné dit sans tralala à quoi s'attendait -on en fait ou disons s'attensdait-on à quelque chose en particulier avait-on réellement imaginé parole haute de type néné et autres lait de roche poeut-on cerner-toucher par la parole le néné doné d'un passé larvé refaisant école on monte on creuse on veut aller de chez aller traquer toucher chasser aimer tuer peut-être pas mais quoi téter téter tétyer à ce l ait commê acidulé d'une sqorte de parole haute lait des laits d'une haute portée en termes de disons parole articulé articulée de chez articulée on monte on creuse on monte-creuse on veut haut-cerner les choswes des mots les données romaines le pasdsé de trop la semaine sainte d'une sorte de donnée de roche en termes cde paroles hautes on monte on creuse on traque on trace on veut grave toucher = téter le néné de l'antre du passé treacé des finalités sans finalités ou comment de fait ici nous exprimer à ce sujet car le lait est dense acidulé nacré pas piqué des vers qui nous hante nhous obsède nous occupe fort nous fait grave envie nous fait saliver et même crier-pleurer sans frein sans gêne ouvertement la bouche grande ouverte bec des temps bec des becs au firmament on aime oh on adore on aime / on adore on adore / on aime on ne peut plus se passer d'elle substance lactée adulée on l'aime à jamais on n'(aime qu'elle cxomme qui dirait lait tracé lait des laits ainsi tracés sur du passé bohême et autres passés-crème on aime on aime téter téter = toucher on aime toucher on aime avaler de ce lait de traîne et hop aller de chez aller en ce passé de haute époque retrouver les traits les données fortes un passé de rocjhe eswt toute une époqaue qu'on voudr(ait qui sait voir ensemble un jour ou l'autre renâitree à soi ou devant soi comme d'une porte une porte haute une voie voie d'accès sur soi ou comment dire cette chose d'une sqorte de contre)paroi de contre-porte ou de contre-roche qui serait là qui serait là pour szoi une porte de roche haute genre la Roche aux Voix ROche des Roches de Paroi ou de post-paroi on monte on veut ça La Roche des Voix Roche des Roches de paroi et autrezs murs de porte haute on monte on veut toucher de chez toucher à cette porte de haute-contre ou de cri d'effroi chants et voix de l'au-delà aux roches secondes on m=onte on creuse on trace on cveut comp^rendre ensembvle ce tracé de base cette sorte d'enfilades de données intenses transes et autres chances et autres embrassades de france une parade un chant la voie royale une langue langue intense un parler tout articulé situé ancré dans une sorte de passé des chances allouées ou décernés à une sorte de donnée genrée mais en vrai on ne sait tout à fait ce qi'il en est de ce qui est ou pas de cette sorte de nouba géante une sarabande une sorte d'enfilade à toi à moi de membres et d'attaches clés et voix d'un au-delà à ça qui ici est serait en fait un pré une sommedonnée herbes implantées champ des fée s on v eut toucher toucxher et encore toucher à ce verbe des fées ou comment exprimer en quelque sprte nottre joie de base notre joie intense de nous voir ainsi charmées et donc allaitées le mur du son de la mort donnée ainsi passé mur passé aux tra&its = traits des ronces et autres fourrés on veut creuser toucher-creuser toucher et creuser et cerner de près et du coup comprendre = entendre ce passé des traits qu'est-ce que c'est qu'est-ce que c'est que ce passé des traits et autres données hautes de type lait lait de roche lait haut de haute roche lait donné de porte et autres laits des donnéews hautes on monte on veut aimer = allouer à ces données à ces données lactées toute une sorte de passé larvé de passé de roche de passé drôle ou sinon drîole p articulier mais qu'est-ce que ça veut dire ça veut dire que voilà on aime ça on adore on adore en v rai l e lait de là cette roche cette sorte de par(ole haute mots des rois reines et a&utres êtres dits surnuméraires du passé-bohême on aime on entre on voit ou on ne voit pas on voit un tas m ais ce qu'on ne voit pas c'st quoi c'est la traine on voit ça le t as rond de crème mais pas derrière on chercheb on creuse on se creuse la tête on veut toucher ou on voudreait grave toucher ensemble à ces donées dites de deriière ou de derrière les nénés car oui on se dit qu'ici peut-être en effet il y a ou il y aurait de fait deux nénés ou deuxc nénés emplis de lait soit de lait à téter et nous téter on aime on s'y connaît on ne s'en fait pas en vrai et jamais prier car voilà le lait est pour ainsi dire noptre denrée notre vraie denrée notre denrée à nous préférée mais derrière derière ici pareille denrée derriioère le l ait et les nénés derrière le passé dit aux nénés il y a quoi en vrai il y a il y a qu'on ne sait p as on a de la peine à nous imaginer une sorte de plus grand poème uou comment ça une wqorte de post-lait de choix ou de peut-être post-néné aux voix ou comment ça une sorte de tracé de base incluant de rage le lait-trait ou le trait-lait ainsi rencontréb la mort une fois dépassé qu'eswt-ce qu'il en e st qui est qui quoi naît nen ces contrées finales ou termina&lesb de l'autre côté car de ce côté ok un pré une enclave une sorte de contrée cernée = encerclée on a cerné mais a^près le pré la parade nuptiale la par ade outrée une sorte de contrée de base incluant le passé et les embrassades et autres enfilades olé olé on ne sait on trace on file on essaie de nous y retrou v er en cette file ici consacrée à une srte pour le coup d(ntrée dans la matière sale on veut connaôitre on veut toucher on veut lécher ailmer sentir embrassrr les termes et autres mots de roche ainsi accolés à une sqorte de passé lettré ou sinon lettré comme articulé passé-né sur du lait à moins que ça ne soit l'inverse lait né sur passé de t^$ete on cherche on essaie de fait de cerner-toucher audit passé des finalités qui wszrait ce passé du passé de tête = une sorte de de peut-êtte qui le sait antene une antenhe ancrée ou même une antene enfoncée depuis la nuit des temps en cette sorte de maman de bosse j'ai nommé la roche roche haute = porte = chose haute donnanbt de fait sur du passé de mont ou de mont doré j'ai nommé l'époque l'époque doré où on pouvait téter sans plus se gêner et hop c'sst tout avalé le lait des laits à la seconde on voulait téter eh bé c''st fait on tète de près cet après-p^ré surnuméraire = le néné de l'être = néné né la mort passée et qui est néné dx'elfe ou genre d'elfe car car voilà l'elfe post-pré est une sorte d'être tout déhanché un peu féminisé si tant est que le terme est celui qui convient ou qui ici nous convie,ndrait pour bien nous situer mais ce n'st vpas certain déhanché-féminisé ou alors insuffléelf le néné insufflé le néné soufflé ou comment cerner eévoquer dessiner car en v rai on dirait de fait qaue ledit néné est une szorte de contrée de paysage de contrée donhée ou de grande étendue de paysage large d'une infinitude sur passé de poche on ose on porte on creuse on recherche de rage un certain nombre dev donnéeezx de base ce qui est ici qui de fait nous rassemble à quoi ça ressemble et donc le trait le lait le néné traqué et tout l'entourage on cherche à cerner comprendre toucher sonderporter on veut aimer = toucher = prendre = comprendre ce que c'est que ce néné dsit de contrebande à qui il est fait-il partie intégrante du ou des paysage(s) tels que déplissés ou dépliés sur place une fois de fait la mort passée ou dépassée on veut comprendre on cveut cerner on veut toucher on veut voir ou voir de chez voir tout le passé donné comme on verrait qauoi une salle une sorte de maison ouverte ou de maison offerte maison de poupée ou maison de fée mais on ne sait on cherche" on a du mal à bien cerner la chose la confondre l'évoquer la voir sur pied la bien dessiner en norrtre sorte de en vrai comment dire possibilté ou comment évoquer donner tracer cxharger sur roche pareille donnée telle que depuis lors depuis l'après-mort approchée ou sinon approchée sentie sentie comme venant vers nous bnous dire des choses ou comme voulant nous dire nous parler ou montrer via le passé ce qui est qui est en termes de lait soit de vérité car en vrai est-ce que la vérité est une chose haute ou plutôt est ce que le haut ou le très-haiut ou trait haiut niveau est une chose qu'on nomme ou surnomme de f ait Vérité des Hauts on porte on colle on collle à la peau on porte la Parole haut haute chose des niveaux du haut on veut haut aller rechercher sur roche les données post-pré à savoir ce lait lait de porte lait osé d'ujn passé outré le téter boire de ce lait d'une époque haute haute et autre car de fait qui sait le lait vient de plus loin qui nous semble éternel ou né d'éternité ou de-'une éternité tele qu"'envisagée en toute cl arté dans une sqorte de on dirait passé-s ouverain ou de passélointain mais souverain et /ou souverain tel qu'évoqué incidemment concriètement la mort passée ou même dépassée on voulait on voulait cerner on voulait grave ce lait le cerner en tant que lait ancré dans un passé lointain dit souverain lait de tra&it = mot de traite ou l'inverse lait de traite = mot de tra it et autres mots de ferme on aime on veut on ose on veut grave de ce lait de ferme ou mot de tra&ite le téter de fait dès que re-nées à cette sorte de contrée des données blancjhes = laiteuses = lactées car en v rai le lait est une sorte de donnée de roche haute roche ainsi abordeée dès qye la mort est comme dépassée ou surpassée et du coup archivée lait de roche du passé de poche une cavité une sorte d'antre-cavité tout dessiné on ne sait on sort ou sortir&ait dès lors pour mieux entrer qui sait on ne sait on cherche on creuse on veut toucher toucher toucxher toucher à cette sqorte de néné-bohême ou de néné-^poème ici dé^ployé la mort désarticulée ou comme cdésarticulé et hop un tracé hop de roche allouée un tracé de lait et c'est dans la poche le passé remonte un passé dit de poche-roche serait ou serait là qui nous ferait pour ainsi dire re - = redresszr le tir revenir revoir de base ce qui est qui de fait nous regarderait en cela que voilà on serait re-née re -de chez re- = renée à j a mais en ce paysage dit lacté d'une voie allouée à une sorte de trajet de base j'ai nommé la Transe transe des fées ici dee france d'un pâssé français ou de langue franche langue du passé langue franche d'un passé fcréançais membranemembrane donnéev une sorte de membra, e de menmbrane fr anche =en franç&is ici du français français sage sarde français-né ainqsi déployé à n otre naissance et hop le tour est joué c'rst ancré inculqué disposé ça ne pourra en vrai jamais tout à fait changer car de fait c'rst inserré c 'est cfomme qui dirait enfoncé engoncé intégré et vas-y pour le déloger ou déloger l edit passé des d onnnées tr&cées en termes de lait soit de lait de rage lait-souffrance lait-porté lait de base l a it acidulé vdee chez acidulé on en redemande on veut comprendre on veut toucher on veut aller on veut toucher de chyez toucher à ce néné post-fée dit de contrebande car en vrai ce néné est sage il est le néné -sage des données de france = le français en tant que langueb = une langue donhée inserrée qui estv la langue ici de fait des données données une fois l a mort comme intégrée ou comment dire dépassée en terme's de donnée de frise on veut toucher on veut on vfoudrait tracer aller et coller à pareille frise aux bêtes surb pied bouquetins des traits bisons a rmés chevaux des fées ours polaires et autresxc ourses décharnées ourses polaires hachurées on aime on aime le lait on veut toucher de chez toucher l'ourse dotée de ses pleines capacités dans le domaine de la recherche ou des rechercghes articulées autour de données en herbe concernant le Verbe on veut creuser c reuser de chez cruser le Verbe ainsi allouénà une sorte d'après qui est l'après concernant les traoits traits du V Erbe ainsi acculé on veut tr cer tracer-doter c reuser-allouer au dit Verbe les d onnées en herbe d'un tracé de type qui sait il sembvler ait post-mortem de chez post-mortem on aime on auime le lait lait donné tété avalé depuis ici pare"il néné come ici découvert découvert de f ait dès qu'ayant passé ou traversé ici laroche du trait ou ultime muret dit des fées alltières fées -elfes fée ancrées dans une sqorte de pré aloué à une sorte pour le coup de cimetière auto-généré la mort actée on cherrche = on creuse = on voit = on est là pour ça creuser de base la p)aroi étrange l'ultime paroi des données de base soit l'anttre ou l'anttre final ou l'antre principâl ou l'antre étrange d'une sorte de passage blanc = Lait de Face Ancré et aussi Lait-Trait Lait de trait Lait DEnse lait post-fée ainsi trouvé au dit Passage des Envies Outrées Envies Vives Outrées Vives Envie de Lait en tant que née Bébé ou Bébé-né sur passé de Rive on vise on vise sans traînerce Passé des traits soit des tr&aits données et autres tr&its ainsi dessinés sur du Passé Extemporanéifiée dès quetouché ou comment dire abordé et abordé comment eh bé via ici-haut une tétée de ttrop ou sinon de trop alors de mot une tétée de mots de mots hauts au trot on monte on creuse on chevauchre on envoie = on voit = on va on v eut comprendre ensemble la p aroi finale et au-delà ce qu'on voit et ce que pour le coup on ne voit pas on veut = on voudr ait eh bé ça ça en soi la Bande Bande de paroi et au-delà au-delà de ça la souffrance la langue le fcrançais de sade une sorte de passé de r age ça envoie ça ne tremble pas ça crache du ventre ou depuiq le ventre ça insuffle de base une sorte de vie intense = ch amade = charade = rage des rages = une langue en transe= langue intense ainsi vivement dxéployé par l a bande dès que morte-née on entre on file on est re-née sur rive et hop le passé-surprise une frise un chant un champ de tra&its = herb es renouvelées réitérées redessinées à tout jamais afin de tracer l'équivalent en quelque sorte de'un pré en p aroles ou commejnt dire pré de roche aux mots dr^les = aimaus ou animau-mots on ose ! on veut de chez vouloir comprendre haut le mot dit des animauxb ou les mots-animaus d'une sqorte de roche ha ute grotte haute haute roche de grootte on veut le mieux la roche de s voeux soit des voeux de porte et autres voeux animalierrs de type genrés mais est)ce vrai veut-on en v r ai tracer de chez tracer les données dse porte on ne sait on monte on creuse on fonce on c hezrche on veut toucher de chez touchezr ce verbe d'herbe d'un pré né la mort allo!uée mais après car après la mort ou après le pré c('est l :a même chose il y a il y a l'après l'après samba l'après sarabande ou l'après nouba nouba animale nouba des rois et reines d es voix il ya ou il y aura eeh b é ça la tralle tralle occitane une sorte de tralle intense la farce néné né comme à la retombée donnant de son lait de son lait de france ou dit de france du fait que oui la langue ici est dite de france mais "de france" ce n''st pas vrai car la langue ici le français est une langue détachée elle est langue d'antre elle est ici la langue post)-pré et nous protège d 'une sqorte en vrai
d'une sorte en vrai de deescente de descente dans = de perte soit de perte d'herbeb on entre on creuse on file on v a obn charge on envoie du bois on veut comprendre et comprendre en transe la paroi la paéroi de l' antre et aussi l'antre l'antre en soi et aussi l'a&près-antre qu'est-ce que ça serea&it on cjherche ensemble on fait corps ensemble on essaie ensemble de toucher de chez rtoucher à c et,objet de contrzbande = le néné ou le néné né sur place la mort passée et ce néné est une sorte de passé intense passé-né de rage en ces contrées- de tyype paysages paysages enflés antres données ou acordés on entre on passe on passe en transe d'un pré alloué aux fées et a u x beêtes des prés à une szorte d'outre folle ou d'outre de porte ou d'outre d'oursonne et hop la Chose un Passé Haut de Roche Haute on Monte on veut Haut de Chez Haut Comptendre exactement lesz m=ots de TRop ce qe ça Veut dire en terme de RIre Rire Fou des Rires Fous des Données de Roche on v eut de chez cvouloir aimer = dire = creuser = comprendre = sourire inténse,nsément et sans se g^ener en ces contrées dees données lactées et du coup S' a&rmer ou disons comme s'a&rmer 1 de courage 2 de p atiencz 3 d amabilité 4 de sainteté 5 de vivacité 6 de tendresse 7 de hardiesse 8 de Volontéb 9 de charité 10 de
eh bé
De quoi de quoi s'armer de chez s'armer sinon de ça : l'entité nacrée l'entité nacrée l'entiteé des entités nacrés ça envoie ça veut ça charge ça veut grave toucher large là la Chose ici en branle on dirait ou on dirait ça o n regarde On veut grave de chz Grave en fait Comprendre de chez Comprendsre et Toucher de cxhrzz vtoucher à Cette sorte de Mansaerde sarde Maison Haute Ma&ison des m aisons Toute une époque La passion du son on monte on creuse on trace on file on veiut toucher ensembke à p areille frise tele que découverte par surprise il sembler a it un j our du mois de Mai 2025 mais qui sait on ne sait ion trace son propre sentier une sorte de tr a cé de Tra&it = Trait de r age = Trait des traits pour u ne aubade une clarté un év$claircisxsemnent des traits et on dira cela que l'envie est là qui toujours nous pousse qui toujours nous pouwsse à eh bé creuser creuser sans discontuinuer ledit tracé ou swentier de vie en p areille contrée dite de l'après soit de l'après-muret on cherche d ech ez chezrcher on creiuse de chez creuser on veut coller pour ainsi dire notree nez à ce n éné de l'aube le Passé Sucré est un passé Sacré est du passé non encore Sci n dé ou comment exprimer ce qui ici nous pend ou nous pendrait au nez on veut c reuser creuser en vraéi le dire SA c ré qi de fait est du dire Sucré ou disons sacra:l isé- sucré ou comment dire sucré-sacré et nous voilàc paré on veut toucher on veut aller On v eeut comment dire sonder ou disons sonder-tracer et creuser de long une sorte de sentier à même les données de roche d'un après-nom car après le Nom il y a encore de l a roche roche haute haute Roche de l'après ou de laprès-porte car aprè la porte il y a encor e de l:a RocheHautre Haute Roche des données post-porte = Nombre Nombre donné Nom bre des Données donées Nombre h aut des Nombre du Haut Haut Nombre des Données de POrte une porte est une porte un nombre est un nombre un nom est un nom le Nom est le nom donné à une Roche des données de POrte on veut toquer toquer de chez toquer les données du monde et aussi tracer creuwser filer outrer de chez outrer lzdit nombre donné à une sorte d 'entité Ronde et Ronde de données de roche On veut coller coller de chez coller filer de chez filer cernervde chez cerner et du coup ne pas szombrer comme on pouvait le cra&indre m ais en vrai perdurer durer être de fait en ce sentier c'"lui ou plutôt celle qui dxe fait aime ou aime de chez aime eh bé oui téter téter le lait de l'elfe lait de l'herbe d'elfe et hop tracer qui son tr&it qui son rond de fée mais quoi On trace On creuse on avance on fonce on v"ut toucxher tpucher topucxher à cette sqorte là de Maison Haute dont le nom en vrai est Tracé Tracé sur Pied Chargée et hop on se porte soi-même jusqi' au haut du haut niveau de la ROche Haute de l'après-pré et nous voilà armée armée en vrai pour pouvoir braver braver de chez braver la Roche Haute aux données données de type LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT comme s'il en p)leuvait et qui sait en effet peut-etre en effet que la chose est vraie et que nle lait la mort une fois dépassée et archivée nous pisse direct et sans traîner en nortre gosier de bhébé affamé on ne sait on trace on se d"emande on fouille on avance on v eut comprendre on aime le lait on aime grave le lait ici de contrbande ou dit de contrzbande on aime téter on ne veut que téter et téter c'seet comprendre = prendre = toucher = c erner ce qui est qui est la mort entérinée archivée passée dépassée reléguée complètement intégrée ou comment car la mort on le sa&it à présent ou disons que maintenant on peut peut-^tre en v ra&i se dire qu'en effet elle est datée elle est comme qui dirait cernée soit datée soit ancrée dans une sorte de période mais passée cette période la mort est tout autre ou plutôt la mort f&it long feu qui perd qui sait de son aura et plus que ça sombre de chez sombre et nhous voilà qui sommes dès lors comme re-activée sous forme d'un bébé sondé bébé d'or ou bébé du sort qui se voit re-placé ou comment dire re-sollicité et du coup de nouveaiu armé pour pour ainsi dire re-téter Néné qui est Néné de frise Néné né sur frise la mort ajourée ou la mort attaquée et comme enterrée Nous voilà armée ou re- re-armée et de la tête aux piefds pour de fait comptrendre = prendre ensmble quoi la tangente et hop monter monter de chez monter cr'"user de chez creuser aller de chez ller filer de chez filer se doner de l' air un tant soit peu car l'a ir c'est mieux un peu d'air nous remet en wselle et hop on monte on creuse on v eut comprendre on veut grave sondser et aller loin en c ette sorte de clarté du bout du monde de l a roche ainsi sondée monterr = creuser = dire = sonder = rire car le rire est une donnée à ne pas négligerRire est Donnée ou une donnée à SVP ne pas négliger jamais car en effet le Rire fait partie des dites Données de base Rire est Saint cfomme une sorte de Donnée Intenswe Rire aéainsi donné comme une sorte de donnée genrée hé hé il se'mblerait mais qu'est-ce qu'on en sait nous on trace on trace des tra&its on essaie d'en avancer en cette sqorte de post-p ârade allouée peut-être à un passé intense à une sorte de passé des données intenses on entre on file on creuse on vgeut grave en avancer en cette sorte de Maison de Rage = une la,ngue langue post-pré faisa&nt dans les faits un aparté ou comment dire ici ce qui est qui se'mblerait être comme stipulé en toutesq lett es on cherche on veut toucxher à cette bête d'une sqorte de donnée post-p ré qui est-elle est-elle réellement concrètement une sorte de bête bête de pôrte bête-être faisant fonction ou tout comme de Drôle ou comment dire ce qui est en termes a&déqaats quand voilà on ne sait pas on perd la voix on ma,nque grave de vocabulaire on ne sait pas poser sa voix on flanche on est vite à bas on perd vite le fil de ce qui est qui ici était à devoir en fait être par szoi dit de chez dit ça envoie quoi ça envoie pas ou pas gra,nd-chose mais voilà on ose on ne lâche pas ma foi pour autant on veut cvomprendre = toucher alors voilà on entre on entre grave ensembkle en cet antre des données Immenses et on regarde ou du moins on tente on fait au mieux ou dee npotre mieux on monte on creuse on force on envoie on charhge on file oàn se recentre on veut grave toucher au dit membres de La Conf érie des Donneurs dee Verbe ou de la Consoeurie des Donneuses en Verbe et hop tralalalala on envoie de rage tout le barda En transe En veux-tu en voilà et du coup on trace on en avance on charge on veut grave cernerv= toucher = dire = entendre les données de l'Hydre où il est qu'est-ce qu'il fait qu'est-ce qu'il cherche à faire que complote-t-il sur son tertre et nous alors que faire que penser que dire où aller ainsi en tant que Bébé -né comme à la retombée Qui pour nous guider qui saura de fait nous aiguiller vers une Vérité qui swsera&it pour ainsi dire Vérité des Vérités = V2rité-Rire car la Vérité en tant que Vérité des Vérités fait grave grave de chez grave Rire de chez Rire car voilà on sait cela car de fait on le voit on voit ça depuis là-bas l'entrée en fa,nfare ce tracé de rage qu'est-ce qu'on voit on voit que voilà On entree on entre enswemble on entre en transe ensemble via la Rage et la pa role intense = Voix Voix de l'au-delà on voit ça que donc ici Le rire de la Vie Soit ici le Rire intenwse est une sorte de CHanceou de CHance franche et nous voilà Haute Haute de chez Haute car oui on voit on sait on voit ça que donc La Vérité Sacré fait grave rigoler qui nous touche à vif vives on est grave de chez grave ensemble toutes "chose" qui en vrai sommes comme éberluées ou poussées de chrz poussées à se lâcher dans le sensz ici appuyé d'un rire des contrées et quel Rire oh oh le gros Rire des Idiots de porte on voit le nivea u La Roche aux mots ça porte sur porte jusqau'au caniveau et pas un mot de trop ou comment dire ici le niveau des choses le passé de porte l"'envol ou l'envol-fol car nous on aime comprendre = cerner = entourer = tracer = encercler la Chose des Roches ce qu'elle est c'est ce qu'elle présente et du coup on croit compptrendre m ais en vrai comprend -on qui comprend la Chose soit la Roche Haute Rire des données de porte on monte on creuse on veut en vcrai aller de chez aller loin le plys ^pssooible e,n ces contreés du bout du monde qu'est-ce que c'set que cette chose qu'sst-ce que c'est que cette roche qui on e'sten vrai pourquoi vouloir des fois par exemple baiser b aiser les données les embrasser les considérer en tant que telles et les explorer essayer de les cerner au mieux szoit au plus près de ce qu'elles disent d'elles ou disons prése"ntent ou présentent d'elles en tant que vérités de branche vérités des vérités au dit rire ou au dit gros rire toujours ou qau asi toujours associé mais est-ce vrai car voilà on se de"mande ça ou on se de"mandait cela ensemble l'autre fois si des fois en vrai la vérité prêtait à rire ou faisairt§ rire ou comment dire si des fois en vrai la dite vérité des vérités n'était pas là de fait pour nous poussser à rire à rire à gorge déployée et hop le cri-rire ici est une sorte d'entreprise d'absorption de lait lait sacré-sucré on vient en chercher s'en gargariser en avaler sans plus traîner e t hop téter de chez téter dee ce lait de frise on voulait on y est arrivées on voulait du lait = du bon lait eh bé on peut dire que oui la chose est comme entérinée ou actée on tète pour de vrai danq la mort tracé vdans la mort tracée on tète pour de vrai on aime on creuse on fonce on va on envoie on cherche on fouille on ne veut pas lâcher la p aroi on veut toucher de chez toucher ladite paroi et ce n''st qu'aprèsaprès le pré les bêtes de pré les herb es-traits que oui on pêut e,n quelque sorte se laissser aller à eh bé oui qui sait toucher de chez toucher la Chose une sorte de Donnée de roche de type DEnrée = du lait car le lait ewst une chose haute haute sur pied Lait des laits sur pied = Bête Haute = Auroque on le sait lait d' auroqzue autocentrée on veut l'aimer on veut grave la téter téter de son bon lait d auroque auto-générée ou comment exprimer de fait ou s'exprimer de fait en ce qui est de cette sqorte de bête-trait ou bête de trait ou m-eme de trait tout court car l'auroque pour le coup est trait de vie trait de fée ou trait de vie m ais Trait ou Trait de chez Trait tra&it endurci trait tracé à main levée par eh bé qui sait l'Oubli la Chose Haute l'Ombre on n e sait on cgherche encore à diszcerner qui sait à comprendre-cerner à toucher et à se rapprpcher alors oui peut-ettre une bête peut-être en effet un jhour une bête une bête a vraiment de chez vréaime n t tracé sa propre sihouettte son tracé de bête on ne sait on cherche on veut cerner-toucher creusr-aller fi:ler-sonder faire et tracer de fait sur pierree les données de l'herbe les données en herbe qui sont herbes-traoits comme dessinés à même la pierre par qui wsait des bêtes à moins que ce ne soit des fées qui de fait auraient vite fait et à main lezvée deessinné ces traits formant bêtes de tra&it on veut trouver on cherche on veut en avancer on trace on veut monter on vole on veut comprendre on mate on ouvre grand wses yeux et l ,on regarde ;intensément les données du monde la roche l'apparat la paroi de poche le tralala et autres chants de poche qui est là eh bé peut-^tre justement l'être de la paroi = dieu vivant ou alors qui d'autre on cherche vaimmllamment on veut gtoucxher alors en vrai on cherche on ne s' arrête plus on veut creusr filer sonder tr acer consacrer ses dires à une qsorte en vrai d'enquête-sourire mais voilà on y croit ou plutôt non on y croit pas parce que voilà on est pour spi soi une sorte de Persona non GGrata qui envoie quoi qui envoie de soi mais ça s'arrête là ou szinon quoi Une personne folle Fou des Roix et REines des Voix on chercheb on v eut toucher la base des parois et hop creuser creuser creuser en direction là-bas en poszt-paroi des cendres non du lait non plus des cendres on les laisse là = près de soi mais du lait dit de l'au-delà soit au-delà de la paroi et hop tracer creuser creuser vers donc ce lait des données de poche car on dirait que passé la roche = la paroi on entre ensembvle en une qorte de nouvelle poche re-le lait re-placenta des voix et autres poches-voie on y va ou on y va tout droit on entre on veut comprendre on veut grave cerner les données de base données hautes et données bassses le passé de roche et le présent de r age les données franches on veut tracer dire donner creuser filerr charger sonder ensemble ici les dsonnées hautes soit les plus hautes et y aller de notre propre sagacité ou comment dire pissser pissser dru chier chier à cru et dirzectement dabns la forêt sur l'herbe mouillée on veut creuser = do,nner = faire = dire = charger = changer et du coup téter car en vrai on est re- le bébé des traits des traitsq données par qui sai une sorte on dirait de passé ancré on passe on fonce on file on veut aller de cez &ller vers du passé de frise = une qsorte de dessin a u trait craie de mise on veut toucher toucher toucher les données admises le passé est un passé outré on veut l'embrasser le cerner de fait et si possible de bout en bout afin de pour le coup aller de chez aller vers eh bé ça la Voix haute de contre-porte entendre ça le Dire" Fort d'une sorte de Stentor qui il ou elle serait là à nous reconnaître ou cxhercgher disons à nous reconnaittre parmi tous ceux et toutes c elles qui en vrai gravite"nt ici et là autour de soi on monte on trotte on creuse on veut toucher à ces nénés dubout du monde on est nées fées puis re-nées en forme de bébé de porte et hop le mont la porte le néné au lait la roche cintrée on veut grave de fait téter de chez téter la roche cuivrée s'en foutre plein le gosier et bien digérer car en vrai le lait est notr"e peine ou disons l'emprise souveraine cette chose qui sur nous en vrai pèse ou pèse de chez p èse et nous oblige sans traéîner à eh bé réclamer car comment faire la faim guide qui nous pousse à braire à meugler à hurler à nous faire grave remarquer pour que voilà sabre de bois on ne nous abandonne pas on ne nous l âche pas on ne nous snobe pas on ne nous oublie pas en ces catacombes d'une sorte de Voie sur pa r'oi on monte on creuse on veut toucher dee chez toucher à ce qui est qaui en vrai nous mate ou materait depûis là-bas = ce tas tas de bois ou de quoi d'autre une sorte d'amas donht le nom peut-^tre va s avoir est Tas Tas des tas taratata oh peut -eztre pas mais oui Tas Tas de s Tas des Contrées hautes et nous voilà vqui voulons grave touche r ce tas ou ce dit tas de bois est-ce du bois ou plutôt qui sait de la corne hé hé on croit deviner on trace on cha&rge on fonce on veut aller de chez aller vers ça qui en face sembvler ait comme nous héler ou du moins peut-être nous appezlerb en nous faisant signe qu'est)-ce que c'est une sqorte de Vive de Vive ou de Vivre ou même de Vouivre Anguille Serpentine ou alors pas du tout tout à fait autre chowse genre cloporte ou sinon quoi on monte on trace on fonce on veut grave ensembleb traverser de base la paroi de l'a,ntre Antre 1 aux données animales et là après avoir couru ici et là à perdre haleine chercher dee chez chercher une sorte de porte d'entr"ée de type ëtre ou peut-être Elfe ou peut-^tre Hêtre on cherche on entre on creuse on file on veut grave aller vif en ce dit terriotoire des données frontales et hop creuse creuwse que tru creuseras va va de rage vers ce tas ou tas de bois qui serait quoi une cabane maisonette ou petite cabane de bois où peut-etre de base on trouvera ou on trouverait eh bé Machine CHose des bois La Panse ezt nous voilçà entre ses bras pour une sorte de tétée e,n transe on y va = on envoie on veut comprendre = engtendree = dire = cerner = cxharger = faire = parler = coller =allouer à une VGoix les donnézes dxe l'Ambre ou sinon de lm'Ambre de la JHoie Intense car Ambre = JOie intense on s'en sera&it douté on entre on fonce on creuse on v a on cherche sa voie = Voix de Basse Roche ou Alors Haute Haute Contre qui e nvoie et va et fonce et foule et vibre et du cdoup nous montre en quelque sorte eh bé oui l a Voie soit ça Cette sorte en soi de Croix Croix de bois qui serait qauoi Une sorte de porte -voix on entre on fonce on creuse on cherche on veut comprendre ensemble de chez pour le coup "comprendre ensemble" les données intenses dune languue tendre on trace on creuse on va on cherche on veut ensemble toi et moi chercher de chez chercher en cet antre donné les données de l'antre = le néné le lait les données lactées le chant outré la roche haute moçts de trait et trait de mots au p^lus haut niveau m ais rien à voir en vrai avec l'intelligence telle que véhiculée la plup art du temps en première instance le néné est né dx'u ne sorte il semble de percée sur paroi de grotte vers un pré de roche et au-delà du pré soit en post-paroi eh bien sur le tas on monte on trace on creiuse on fonce on cherche Voie d'abord d'abord puis voilà la Voix Raccord et nous voilà qui atteignons le Porche On monte on ose on creuse on va on veut comprendre ensemble cette Voix des Rois et Reines du Tas Tas de quoi Tas de la post-paroi et du post-cimetière des envois et nous du coup d'y chercher des choses ou disons des mots ou sinon des mots peut-être des Sons Sons Hauts Sons Musicaux Sons de ROche HAute Sons des hauts niveaux du tro t Sons de POrte Autre Sons des Sons Sons de Bosse et aéutres Sons de Roche Haute Sons p)ar=-delà la Roche Sons au trot Sons du mot ou du non-mot On monte on veut en vrai creuser la Roche vers le Son outré Outre-son d'époque haute = le passé ourlé toute une approche consacrée Approche des données et autres faits de Vérité = Traits Traits des traits on cause on monte on trooote" on file on va ici et là à la recherche d'une voix qui sera voix de haute-contre ou sinon tout-bas voix tout-bas ou toute basse ou toute-basse-voix d'une sorte de Quyoi d'outre-parole haute l'ombre l'envoi une forme drôle un trait de choix on monte oon veut aimer = dire = c reuser = donner =charger = faire = contrefaire = sonder = szouder au rire les données du trait car voilà toucher = dire = faire = sonder = connaître en vrai les données données d'un rire alloué à une qsorte ici de vérit"é des vérités j('ai nommé La vie Toujours Renouvelé on dirait à partir de quoi à partir du rire il fallait le trouver c'était pas gagné on dirait = on se doutait = on voulait = on cherchait = on avançait et nous voilà ailées qui poussons-creusons sans façon la roche profonde voie d'abord pour une pamoison une sortie de roche pommes hautes pommes aux données hautes et autres vérités de poche consignées en un Néné dit du Passé ça se pourrait
28/4/2025
On est ensemble on trace on veut comprendre on veut toucher à ce néné dit de l'au-delà et voir -entrendre ce qui est qui va en face de soi en termes de passé de rage et autres tralala de convenance on entre on est là on envoie = o,n envoie du bois on a envie ensemble de comperendre ici et là ce qui est qui va et ce qui est qui ne va pas en termes de charges charges à bras gros tas envois de masse et autres grosses masses allieés à l'au-delà de la paroi car en vrai voilà voilà ce qu'on vfoit au delà de ce qui est ici de base par delà ce trait sur roche fibnale c'est quoi eh bé on dira que àça c'est comme un fait exprès une sorte de tracé de rage trait pour trait = le passé le passé comme tracé ou comme voie d'accès en forme de trait un passé-accès ou un accès-passé soit un accès vers le passé qui est ce passé aux nénés qu'on connaît ou qu'on connaît peut-être qui sait car en vrai le passé est un terme une sorte de mot d'entrée et hop on monte on essaie d'aller le plus haut possible on essaie ensemble de SVP aller haut le p^lus possible toucher aux niveaux aux niveaux des mots ou au niveau aux mots ou au niveau du tas de mpots ou bie,n du mot haut qui est ce mot des niveaux hauts ou comment dire ici cette sorte d'assise de trône et autre chaise haute à toi à moi qui seraitcette chose cette chose en soi qu'on mate ou materait ensemble toi et moi comme à la régalade on y croit on veut de ça chercher rage sur post- de chez post-paroi et comprendre comprendre ensemble si tant est ces convenances affiliées ou assoociées dont on parlait plus haut soit ce tracé de mots et autress termes chauds chauds car denses on embrasse on mate on trace on veut grave comprendre = toucher à ce qui se présente en termes de nénés tout remplis de lait que l'on aime téter gracve téter on entre on entre dans l'antre afin de oui téter de chez téter à ce tracé de bout de roche = le néné bien fait = galbé rond de rocjhe alloué à une sorte de passé dit de bout du monde = ce passé de roche ainsi ici galbé en forme de néné on dira que c'est vrai = un fait = fait des faits = fait de poche et autres faits assimilés à ce passé de bout de roche ainsi rencontré le mur du son passé car oui le passé revit qui nous voit monter en forme de 1 fé des fées et 2 bébé = bébé nu ou bzébé tout nu et comme repu dès que voilà on dira qu'il a vite fait bien fait tété le néné néné du passé car en vrai ce lait ici tété est du lait du passé ou même lait-passé ou même passé-lait de type chrème crème de lait oint sacré qui sait mais en tout les cas du lait non écrémé voilà la vérité crème = trait = vagues = cendres on veut toucher ensemble soit à deux deux femmes ce treacé de cendres lait acté et activé genre lait de cendres et comprendre = cerner = tracer car ce sein de trait est un sein treacé soit le sein donné des données de base post phrase post paroi étanche post tracé de fin soit de fin de pré et autre muret faisant façade on treace = on avance ou même on en a vance on veut toucher de chez toucher à ces données de rage et autrees traits qui nous ressemblent ou nous ressembleraient questuion face visage agréé données faciales et autres tréits de près on est entrées on est femmes de rage ainsi allouées à une sorte de passage franc pourt une sorte dee tracé soit de tracé franc de l'autre côté côté nénéné côté lait on veut toucher on veut cerner on veut pouvoir ensemble tranquillement assurélment concrètement en avancer en ce passé des données fr anches et autres tracés dits d'espérence on enttre = on passe = on tète = on veut cerner de rage le passé en france et autres liens drôlement avancés avec ici même u ne langue dont les fondements sont deux points ouvrez les guillemets la rage rage au coeur et autres rages du malheur du ventre car le ventre meurt qui laisse sa place place haute au passage de roche on veut comprendre comprendre de base ce qui est qui pazsse le passé ancré passé de surface ventre de malheur et auitres faits nacrés dits de connivence on veut comprendre = toucher = cerner cerner ce néné des données intensesd et autres sortes de produits laitiers comme pasr exemple du lmait lait non-écrémé lait traqué lait tété lkait qu'on voulait aimer eh bé c'est gagné car de fait ce bon lait de l'hydre à dire vrai on aime grave on aime cent pour cent on adore grave on en redem ande on veut grave de chez grave en téter à jamais de ce lait de l'hydre ici rencontrée le mur du son passé on en voulait on en demandait on voulait téter on voulait grave en avancer en termes de l&it à pouvoir acvvaler sans se retrourner à savoir ledit passé des données de france eh bé en vrai la chose est classée ou comment dire entérinée affichée on sait et aussi de fait on peut enfin téter de ce bon lait de l'hydre l'hydre aux tracés aux traits alignés et autres dessins à la craie on le voulait on voulait de ces tra its de ce dit tracé tracé des tracés et autres tracés ainsi activés ou comment dire ce qui est ici qui nous regarde ou semblerait de fait nous regarder et de la t(ête aux pieds à quoi ça ressemble ou même à qui à qui on ressemble ou à qui aquí ici on ressemble ou on ressemblerait en termes de traits de visage alloué de formes de fée et autres tracés outraces de opassage on veut comprendre = on veut toucher à ces données de france le fran!çais intense ou dit intense est ce passé de connivence traits de fée et autres tra&its dit de sur face qu'est-ce que c'est qu'est-ce que c'est en vrai peut-^ttre les traits dits de lm'être qui sait du passé en tant qu'être ainsi remonté ou disons re re re remonté comme d'un puits sans fond ou qu'est-ce que ça serait en vrai qui ici serait qui nous reg arderait depuis eh bé oui le passé du pont ce puits dees petits ponts et autres puits sans fond aux données cde fr(ance = une langue ou sinon une langue une passion une sorte de passion-souffrance à même une langue langue du pont langue-front = front ale on trace on veut comprendre o,n veut toucher on veut essayer de rage ensemble de toucher à ce qui se présente en termes de passé-souffrance un passé en france = une langue langue donbhée ou inculquée à la naissance = le français quelle chance tu parles un coup-fourré un drôle de tracé de type traquenard ou sinon traquenard on dira de passage le passage noir = l'ambiance une sorte d'entonnoir qui se présente à la naissance et voilà la base le néné traqué la rage un passé est né qui se voulait passage eh bé enfoiré c'est un fait que soi en vérité on passe à travers de bvase le passé des traces un deux trois le tour est joué on passe = on trace on creuse on veut comprendre endsembvkle = deux femmes une sorte de donnhée intense qui en vrai nous guifdderait ou pourrait nous guider en face vers non pas à nouveau un pré pré paradisiaque comme déjà passé mais eh bé une flaque qui sa it un peu de cette sorte ici de besace toute empli de lait lait de france une langue langue nette langue de belette = de bête ou de bête bête de bête allouée à une sorte de pasdsé aux données ici toutes tracées et autres données bêtes d'une bête des prés on cchercvhe on veut cerner on ne veut pas se lzaiserr démonter ou lm archer sur les pieds ou même intimider on veut creuser en face comme qui dirait ce néné de langue = un passé un passé en france qu'est-ce que c'est qu'est-ce que c'est que ce passeé en france eh bé on dira que voilà ce passé intense est du passé-souffrance trait pour trait on est entrées on est toutes les deux de rage entrteées car on le voulait on voulait entrer on voula&it grave grave de chez gravev entrer on ne voulait surtout pas rester à quai en carafe le nez retroucssé à chercher de fait ici et là à se cacher on voulait cerner = se montrerr afin d'en avancer ainsi en ces qu artiers aux nénés donnés téter = prendre = comprendre 1 le lait méis pas que car en vrai 2 le passé est vieux qui nous regarde ou nous regarderait de près comme si en vrai on était deux mais oui on est deux on est deux femmes on est deux de chez deux mais formant de rage Une sorte de base pour en vrai s'accoupler en france ensemble dans eh bé le français la langue langue des voeux du vouloir de base en termes ainsi de tracés creux ou comment dire ici la chance cette chance d'antre on entre on creuse on veut comprendre ensembvle au plus près les dites donées denses d'un passé en fr ance en termes de langue landgue acquise = comprise = prise et hop le passé remonte qui de f ait nouys regarde et de kla tête aux pieds en termes de qui sait fée fée de base fée de rage et autres fées acidulées qui serait enfin passé de l'auttre côté côté passé et aéutres faits comme entérinés affichés affirmés donnés comme du lait donné ou comme en vrai du lait de vache et autres bêtes à lait on aime le lait c'est un fait on peut le chanter le dxire à voix très appuyée que voilà c'dsst un fait que le lait est aimé est drôlement aimé et même adulé en ce quartiezr dit de l'après qui est quartier de l 'après-pré et autres champ de blé on apprécie on aime beaucoup on aime le lait lait non écrémé ou écrémé peu importe on adore on aime fort on aime grave on aime à mort ce l&it dit de l'après-mort qui est lait de vie après la mort lait de vie-vie dee vie enfin renouvelé en ce passé né des données de base compme remontées toutesv à la surface via la transe l'embrassade le passage en transe d'une sorte de murette franche de type mur du son et autres violobns on veut comprendre = prendre = saisir = cerner = faire ainsi que ce néné galbé puisse nous donner de fait du bon lait de tire lait nacré sacré ancré en cette sorte de passé de l'hydre qu'sst-ce que c'est eh bé peut-être du passé acrtif dit passé des ac tifs passé-né au tracé au déplissé au déployé d'une sorte de comment dire rire rire frais rire ainsi donné ou apporté car décoché cxomme qui dirait d'un trait trait de rire alloué à une sorte de passzage docte on monte on est femmes fortes femmes ok qui cherchent à c erner c erner haut le niveau des mots des mots hauts mots de roche des données hautes du tracé haut en termes de rocghe des niveaux hauts on monte on creuse on sonde on veut toucher de cghrz toucher à c e tracé de mots ainsi montré à tous les niveaiux et du coup ancrer ancrer notre parole ainszi formée en cette sorte de donnée ici de poche haute mots de rois et reines des hauts on monte on ose on creuse on saute on veut entrter pour ainsi dire de la sqorte en cette chose d'un niveau haiut la porte le passage haut est le passage docte szoit au niveau ou a&u niveau en quelque sorte de la porte porte haute des données de poche poche forte où pouvoir en vrai tracer de cghez tracer notre propre forme post^-pré en termes de donnhées fatales et autres traces inculquées ou enfonécées engoncvées en notre proptre pilosité on monte on ose on creuse on veut toucher de cgez toucher aux me'ubles au décvorum à ce qui est qui comble le passé d'une sorte d'aventure innée ainsi comme retrouvée ou remontée ou renouvelée et nous d'y openser ou de nous y pencher ou de nous pencher en vrai sur pareils nénés dits nénés des nénés comme à jamais de fait montrés ou comment ou qu'est-ce car voi!là on aime on veut bien de ça de ce poème ou tralala en forme de tas de tas de quoi de tas de voix ou cdommpent dire ça qui est que on verrait de rage et ensembkle ça ce tracé-là cette sorte de passage ce tracé de rage en v eux--tu en voilà qui nous fait ou fezrait face et nous voilà en face face à face en cette sorte de opassage à voix ou sinon à voix à tas tas de bêtes sardes on entre on pousse on trace on repousse on veut toucher ensemble cette sorte de base ou de base à voix ou de base-voix qui est la base des parois de rage ou des données de traques on entre on creuse on cherche on est des bnêtes de paroi qui vloilà entrent ensezmbkle à toi à moi par ce dit passage des voix des voix de l'au-delà en cette sqorte d'antre d'antre en soi qui est qui sait une sorte de ventre ou d'antre-ventre ici teracé comme à main lmevé p ar quelqaue autrefois divinoité des divinités dont le nom en la,gue sarde est preut-êtte le français pour nous ou pour moi le français soit ma langue langue de naissance langue intégrée ou inculquée en termes de souffrance en ce dit passé des données de rage et autres données franches on entre on creuse on monte on veut toucher à ce né né des dxires de france et tracer tracer de près les donnhées trouvées reciueuillies allouées affichées et ainsi à pouvpir révéleler si tant est à ceux et celes qui de fait s'y intéressent ou intéresserezaient de près ou d'awssez près pour pouvoir en v rai peut-^tre on ne sait les intriguer ou du moins les toucher un tantinet c ar de fait les mots du passé sont mots des données des données hautes d'une sorte de divinité des zones folles des tracés cde roche et autres quartiers aux approches hautes = anciennes en termes de données de force haute porte porte haute force haute on monte on y croit on envoie on ne veut pas être laissées pour compte on veut pouvoiur de fait être là et bien là en termes de t^tetes hautes fortes têtes de roche on monte on veut en vrai toucher de chez toucxher à ces dites données d'un pasdsé tracé et hop allouer à ce dit passé les données les plus hautes qu'on ait récoltés soit du lait lait des léaits lait acidulé lait donné et du coup accordé et de notre côté eh bé tété avalé ingurgité car le lait en vrai en tant que bébé ça nous connaît on est nées sur pied le mur du son passé et on sait téter et du coup on est comme pendues au sein du matin jusqu'au bout du bout de la nuit tracé en ce dit quartier des mondanités on est ailées on est grave ailées puis dé-ailées à jamais en ce dit quartier des monda niiités de type lactées qu'est-ce que c'est on cherche on aime on aime et chercher et téter et du coup le lait lait de roche = le passé de poche haéute = une sorte de donnée de roche ou de donnée des roches ainsi consacrées en ce dit tracé d'époque haute = le pazssé de porte on monte = on cherche on passe la tête on veut comprendre = entendre les données intenses = une langue langue de trait ainsi rencontrée en ce dit quartier des mondanités comprendre = entendre = adopter ensemlble deux femmes une sorte de langage intense dense langue-cendre langue de fée faite langue amlllouée ou languue ainsi admise en notre sorte de remise ou sorte de ou sorte de poche poche de feu qui est pour nous l'endroit de tous les jeucx on coche on ose on veut mieux on veuttracer ou même creuser creuser roche et du coup notifier ce qui est qui est en ce dit passé des données de poche mais de quelle poche s'agit-il eh bien peut-êttre de la poche haute ce tracé de mots de mots hauts tas de mots des mots sur une place franche on entre on veut en v rai toucher-comprendre = cerner = dire les données du rire c ar le rire ici est de ces animaucx ou comment dire un rire-animal, ou un animal-rire est cette bête de vfoirail qu'on aime voir rire ou comment dire voir charhger-charmer ou alors pousssr et du coup percer percer pour de rire le muret aux fées on veut toucher on veut ou on voudrait grave toucher et du coup cerner aller tracer percer ainsi le mur aux données au passé vif au dit traqués aux envies de vrai ou de vérité en termes de ,néné à lait lait de frise on veut de fait ensemble chercher en tant qu'on est bébé le lait-cerise lait frais lait de mise d'emprise une szorte de denrée un mets la chose lactée qu'on voulait aimer et du coup tétet téter de chez téter on y est on est bébé né pouvant téter de ce vbon laiot de prise lait de friche une sorte d'emprise sur néné donné et du coup tété sans discontinuer on veut téter téter grave du lait de pareille friche on veut creuser peutêttre en vrai et pas pour de rire un tracé une sorte de voie d'accès un tracé de fée une sorte de tr acé traqué qui serait de fait ce dit tracédes dxonnées acqyises en termes ici de mots de frise et autres gros mots animaux car les mots les plus gros sohnt les mots les plus hauts ou comment dire actifgs mots actifs ou mots activés de trop ou mots comme activés du fait que oui la voie là est ainsi marquée inscrite sur cette par(oi que nous voilà de fait susceptibkles à toi à moi ensemble deux femmes de pouvoir passer un bra s une jambe le nez la voix et autres choses en termes de membres de membres sages on entre on creuse on voit on veut toucher ensembkle la paroi des trembles et comprendre quoi ou qui de quoi vous mate en ce pays des voix voix de france ou voix franches on veut en vrai comprendre de chez comprendre la paroi le sens de la marche soit cette voix des voix où eklle va ou même vers quoi car voilà on est la fée dite du tas tas de voix on est fée mondaine on vient de la plaine de la post)-paroi-plaine ou pré des rois et reines du tas on veut comprendre = cerner = téter pmais mpour cela il est nécessairez de bien contourner ou comment dire circonscrire ce néné de lm'huydre le poursuivre et du coup laimer le téter de kprès = l'aimer ou disons au bas mot comme l'apprécvier en sa rotondité de néné-surprise car oui qui en vrai s'agttezndait de fait à tomber pour ainsi dire nez à nez sur pareil néné le mur du son de la ùmort actée ainsi passé qui qui en vrai qui de chez qui pouvait env rai s'attezndre à tombersur eh bé le néné né le pmuret passé traversé perforé qui sinon peut-^tre l'elfe l'elfe attitré à une sorte de passé traqué ou comme traqué elfe ou elfie qui e,n fait est une sorte de fée des prés fée patibulaire qui aime le lait et aussi toutes sotrtrss de produits lactés elle adore et nous aussi on adore on aime fort on aime le lait et tous ses dérivées en termes de frais de produiots frais genre produits laitiers ainsi présentés ou affichés ou prtoposés à nos palais on adore on aime fort on veut toucher-mordre et aussi léchert-suecer et aussi boire-avaler fde c e lait de roche et autres laits de trait ou de traite haute on monte on veut cerner = dire les données de l'hydre les poster les montrer les affficher autant que possible afin de oui en vrai les peut-^tre révéler à ceux et ce'lles que ça intéresse le passé vif les données anciennes le passé des traits et autres origines celtes o,n aime on entre on creuse on veut comprendre = entendre le chant de la transe les données inteznses d'une sorte en france de transe-danse on entre on veut cerner de base = de rage les données fra nchesz le passé en transe d'une sorte de donnée de base qui serait qui sait une langue allouée à une sorte de passé de rage ainsi consacré on est passées on est femmes passées on est de ce passé-seouyfrance souffrance intense qui voulons passer et du coup remonter remonter grave en c e dit passé jusqu'aux dits nénés des finalités des mondanités des envies de trait traite de rage lait de fée lait d'elfe le téter de cvhyez téter sans frein sans traîner plus que de coutume et du coup avaler ingurgiter boire à la source ce passé de mousse on veut aimer on veut grave téter téter de chez téter de ce passé ouf dudit tracé de ouf en ce dit qu artier des mondanuités de type maniéréesz on trace on enttre on creuse on cherche une sorte de phrase à pouvoir de fait bien articuler en ce dernier qui sait quartyier des fées ou dit des fées car voilà la fée était là la ou les fées étaiet ou écteaient là à tout reluquer avavant de pour le coup se transformer houlahoup en bébé nacré ou en bébé sacré ainsi apporté sur un wsenteier menant à chaque fois au dit néné des données lactées on veut téter on veut toucher de chez toucher à c e dit néné des traiots et autres traites hautes de vache de porte et autres bêtes consacrées sacrées de roche haute on monte on m onte hautes on se vuet hautes on veut hautes le mieux toucher hautes le sommet du monde de la mort traquée ainsi dépassée car en vrai la mort est une époque et hop du paszé vite fait une fois le mur du son passé la chose est commê entérinée ou archivée la mort est une époque et hop vite fait du passé du passé de pré de sentier de bêtes de trait qui en vrai si elles elles restent ainsi colmme attitrées à ce dit pré des prés n'en demeurent pas moins nos alliées peut-être à tout jamais le pré à jamais traversé ou disons une fois traversé car de fait le pré est donnée ou une sorte de donné susceptible d'être re-donnée une fois et une autre dans qui sait le passé le passé des roches ce passé tracé ou passé de tra&it qui est comme en quelque sorte une entité de poche ou entité -accroche à pouvoir retrouver de toute égternité on ne sait jamais on monte on vole on est fée du pré volant sans frais en ce quartier des données hautes et du coup voilà on dira que nous nous ainsi passées en tant que femmes-fées on en vient de rage à pour ainsi dire nous poser de base en ce dit passé aux tracées lactées on entre on est née ou renées on renaît on naît bébé vrai et nous voilà qui cherchons le frais du néné au lait et hop on téète tête la première on tète lait des termes des mots hauts du verbe du verbe de trot et autres mots de bêtes alertes genre ver be-bêtes verbe-trot verbe-celte verbe mots de roche celte on aime on creuse haut on monte on cherche le nivrzau ou xd'avoir le niveau le niveau xde porte ou niveau haut de porte aux animaiux-mots on monte on veut toucher = cerner à ce qui est qui ici nous mate ou nous materait sans cesse et de la tête aux pieds tandis qu'on avance qu'on entre ensembvkle deux femmes = deux ailes = une fée une fée des herbes et autres prés quiitté s on aime l'herbe et le lait on aime brouter et téter brouter l'herbe paradisiaque et téter le lait devenu bébédu passé de france ou pour nous de france soit lié à une langue en particulier langue-base ou langue des fées ou langue innée ou même lan gue du passé en tant que donnée intense ainsi attribuée à une sorte de base- base de souffrance ou de base-souffrance ainsi ancrée en notre sorte de de fait tracé de base ttreéait des traits antte antre-souffrrance le passé de france esst une langue ainsi collée à une sorte de membrane demembrane é&tanche une sorte de poche -antrte ainsi accordée ou accouplée ou accolée à une sorte de sqouffe abnnce ancrée de soufrfre-clarté ou comment dire de passé de trait aux mots accolées dès que née dès que nous en tant que bébé -fée on naît va-y le copmprendre va chercher de fait à bien comprendre ici ledit dit des données franches qu'est-ce que ça serait qu'ewst-ce qu'en vrai on pourrait en penser on pourrait penser dudit verbe alloué à une sorte de passé passé en fr ance et autres sortes de passé étanche car en vrai oui ici le dit ou le vrai dit est du dit de france en ce qu'il est de base né en france en ce coin de france le tracé la frange une sorte de tracé de frange coupe d'ours et autres bêtes en transe ours et ourses des données des grovttes ainsi allouées à une porte ou porte d'entrée d('une sorte ici de cavité à devoir exploàrer couûte que coûte sous peine pour le coup de d eevoir sombrer le mur du son passé si jaùmais si jamais le passé ou le passé de front venait à manquer du fait que voilà on ne veut ou voudrait pas de ce lait-là aïe aïe aïe la par(oi ne rigole pas qui vous menace de sa loi et peut ne pas ne pas vous adopter en tant que fée ou fée des prés des fois que voilà vous vous n'aimeriez pas tracer de chez tracer en cette sqorte de paroi des rois-reines de l'au-delà on entre ou plutôt nous on entre et pourquoi eh bé p arce que voilà on aéime l'anttre la p araded'antre un passage enttre une sorte de tracé de france et hop le visage les épaules hautes tout le corps sur roche on monte on va on est là on est fée tracée entre deux parois qui cherchons de rage 1 à la nage 2 les ailes dépliqssées à comprendre = prendre ce qui ici est en termes de mots-traits et autres verbe allouées à une sqorte de tracé menant au VERBE en vra&i soit au verbe-vrai du tracé post-pré post cimetière a&ux données du verbe ainsi posté qyui serait le vverbe des données lactées soit le lait lait-verbe ou verbe-lait c'est du pareil au :même et nous on aime on en redemandait on est flattées on est femmes dans la mort passéee ainsi flattées de pouvoir téter de ce lait donné en ce dit post-pré post-cimet,ière-quartier ou quartier des quartiers ainsi alloué à du verbe entier enteier comme du lait soit non écrémé on est flattées femmes flattées deviennent ce bébé des traits ainsi alloué à une sorte de passé qui szerait remonté remonté du verbe ou sinon du verbe du lait-verbe ou verbe-lait de trait trait ou traite ainsi activéee actionnée oua ccordées dès que oui la mort est en vrai du passé car oui la mort est de fait une szorte d'encklave dorée une enceinte aux herbes pré acidulé pré aux bêtes de trait mais le pré passé on sait que nou!s en tant que bébé ou comment d ire en tant que fée devenue bébé ou revenue à une forme qu'on dira bébé on sa&it que voilà il ya là de quoi grave pouvoir sans traîner téter de chez téter et s'en garg ariser à plein gosier ou plein le gosier on le sait on a vu on mo nte on ose on creuse on cherche on veut toucher à ce néné dit du bout du bout du monde et du coup téter ou boire du lait lait de monte ou commpent sitpuler car voilà en vrai on monte on creuse on pousse on veut de la mousse mousse haute on veut pouvoi!r en force ou pas en force forcément téter roche ou téter dee cette roche dite aux tourments souffrances hautes haut de forme drôle dit de roche haute aux données la ctées comme s'il en pissait et nous d'en boire à satiété pipi dee lait lait propre on ose on boit le lait on est consacrées on est deux femmes ainsi aimées par on dirait la roche le passé nacré la tombe passée on se raccfroche à ce dit néné des hauts ou beaux qua rtiers ou quoi ou qu'dst-ce en ce posqt-cimetière post-pré aux herbes vertes et autres bêtes aimant le verbe ou quoi ou qu'est-ce car voilà on aiome et le lait et le verbe et aussi le la&it-verbe verbe-lait squcré-salé on dirait de l'herbe mais en vrai il s'agit de fait bel et bien de lait lait-verbe verbe-lait au goût prtononcé au goût fermier nous on aime on p ^)eut ne pas aimer et du coup refuser mais alors comment tu fais eh bé tu fais pitié tu sombre's tu passes un trait et tombes hop terminé hombre ombfre h
omme homme mort-né la mort actée homme mort sombre en ces tracés et plus jamais ne pourra de fait remonter sur rocghe en tant que en vrai homme de pied seules les fées sont autorisées à pouvoir poussser et du coup gafgner aller akller de chez aller sur pré tracé pré dit du coup ou dès lors des fées et autres bêtes de trait l'homme est enterré qui szombre en ta&nrt que tel quand elle elle-fée aile de fée peut voler s'envoler monter gravir le trait et gagner de chyez gagner la roche terminale = le passé fran!çais ou pour nous français du fait de fait que le français est notre langue ou propre langue attribuée à notre pour le coup naissance-pass age et nous volià armées armées de quoi de lances ou d'armes-lances pistolets de voix et autrs pics de rage à pouvoir planter et vlam en cette roche sarde et marquer en vrai ce qui est qui pour nous nous emb arrassee en ce dit passé des données intenses come par exemple le passé-souffrance mal de porte pets de roche merde en france ou merde ambulante on entre on creuse l(anttre on chercghe pass age on veut comprtendre de chez comprendre ou même aiomer de chez aimer cette sorte de passé-soufrance mais en v rai ce n'rst pas gagné car nous le néné ok le lait ok la chose lactée ainsi accordée la mort archivée ok mais ce passé-soufrance on est pas ok on est choquées on est embarrassées on est ennuyées on ne veut pas revivre le passé-souffrance les donhées intensescd'un passésouffrance ou d'un passé souffrance en france on vfeut ou on voudraiot s'en échaapper et tracer ou disons passer passrr muscade tracer trait des traits et hop la souffrance au taquet la mettre de côté ou sw'en débarrassr sans plus de pitié car voilà le passé dit passé -trait est du passé accentué en termes de souffrance ancrée et nous en vrai on est la femme-fée qui pour ainsi dire ne veut pas revivre pas du tout revivre un vcertain nombre de données de base genre la souffrrance la sou ffrance innée d'un passage de trait on voudrait pouvoir être rel axée ou cfomment dire redressée toute relachée pas souffrir pas endurer pass avoir à subir mais se l aisssr aler en termes de relachements des m embres tendres et autres ailes du ventre on veut pouvoir tracer sans devoir en baver ou suer ou en chier ou en subir bles affres et autres contrariétées on veut bien du passé ou du passé lacté mais de grâce pas les frais les frais ou fausx frais on veut creuser pissszr on veut bien chier pissser roter creuser vivre le passé mais pas en souffrance = soulagéé ou sinon soulagée détachée détendue peut-être toute nue ailée ou pas ailéee mais comme repue ah voilà repue et du coup rassasiée en termes de donées lactées et autres &ttributs de vraies satiétées satiétés aimées on veut toucher de chez touchezr aimer dee chez aimer tracer de chez tracer coller de chez coller former de chez former creuser ici de chez c reuser ici des traits de rage et autres traits dits de bas-âge en cela que oui ils sont ces traits oeuvres de bébé ou de bébé né ou de nouveau né nouvellement né sur un mont post-pré mont-montón dit de base haute en termes de roche on monte on veut grave monter pour pouvoir toucher à ce dit n éné des données de bosse ou de rond de bosse = le lait lait-de-vérité lait-déité ou lait déifieé lait de porte haute = le passé on ne cesse de se répéter mé&is c'est vrai le passé est du lait comme le lait est du p)assé verbe-lait de rage on veut téter on veut en vrai grave téter de ce bon l ait de base = du passé de rage et autresb dits passés intensesz trait pour trait on entre on cherche à comprendre à sentir le frais de'une szorte en soi d'antre-entre entre deuxd pa rois et de là on va de rage vers là-bas la post-paroi des rois -reines des voix le passé tracé est du passé traqué du fait que oui la faim tenaille nous pousse $de fait à chercher du lait lait de fée ou lait de rage ou lait de trace ou lait dee traiçt ou lait de rage ou lait entier comme s'il s'agissait d'une sorte en vrai de menace d'injonctyion ancrée de décision à devoir enc aissszr ou accepter côute que coûte sans plxs de considération comme venant de l'outre outre-raison outremont des outresz ou même des yourtes on monte on veut ou on vgoufdrait toucher à ce néné dit du passé et du coup téter téter de fait de ce lait sucré et même un tantinet salé on veut l'aimer = l'avaler et du coup nous calmer nous rassurer nouus assagir nous aider dee fait à nous rendormir à nous blottir à nous relâcher contre ce néné des données ancrées on vfeut en vrai toucher de chez toucher à ce dit n éné du passé ncré ou à jamais ancré dans du dire passé re-né re-à jamais né du fait que oui le dire est vrai ou en vrai du lait à jamais re-fait re-ancré re-tracé re-formé ou formulé en ce pis ici de vache à lait bpête de pré bête de pré qui est la vache des contrées du verbe verbe haut des plus hauts niveaux de mot mot docte mot de porte = mot haut parmi les mots hzauts les plus hauts desdits hauts de roche on monte on va on entre on veut comprendre = tendre vers ma foi ce roi-reine aux abois aux dons de choix aux mots gros voix de poids haute-contre stentor haute porte aux voix d'or et autres voix d'un au-delà dit de paroi dxe grotte car c ar voilà le chose ce qui est qui est qui nous importe on porte on emporte on colporte quoi une sorte de foi de foi en soi sa prop^re personne son soi de roche haute on envoie on ose on s'y croit ou on s'en croit de quoi de la haute haute roche des données de roche on envoie = on voit = on ose = on creuse = on v a de roi en roi et de reine en reine sur paroi de teigne et autres embarras on veut cernerde base les données étanches drôles de tra,nse on entre on entre ensemble toi et moi sans la souffrance ou sans la souffrance s'il-vous-plaît de grâce car voilà ensemble on enttre en transe toi et moi femmes dee la foi en cettte sorte de paroi étanche samba danse intense à toi à moi la rumba la danse des rois reines des plaines et autres pré aux herbes vertes on envoie on danse femmes en transe on entre on entre en transe toi et moi en veux)-tu en voilà ici des connivences embrassades intenses entre femmes de voix hors la loi on entre on est entre e ntre deux parois sur p ré de choix et on danse ensemble felmmes de poids on s'en bral-nle ou balance des rois rois des bois et autres pères de la loi on tr ace on y va on creuse on veut comprendre ensemble les données de l'antre soit de l'antre-ventre du passé en face des envie's de rage et autres vies de base sur pré ou prairie les termes du ventre = mots du pot charge haute le passé des mots est une sorte de passé ici d'époqaue haute szoit anciene ou antédiluvienne telle que pour le coup on s'y perdrait presque on cherchhe le trou dans la roche plenière une sorte de passage en elle et hop montons allons creusons pistonnons faisons cortps de pomme trognon montons filons allons cernons creusons en cette sorte ici de mont notre propre galerie de roche et du coup fuyons allons haut vers les mots du rot hop bébé au trot bébé-trot on veut en v rai téter de chez téter à ce qui est ici qui nouys regarderrait szans discontinuer on a nommé ledit néné des données lacttées qui c'est eh bé peut-être une sorte de bête bête ancrée bête outrée ou bête de tr&it qui serait la bhête des données du verbe verbe ancré en ses quartiers ou comment distinguer préciser délimiter les dsonhées diverses telles que rencontrées en ce dit passé passé du verbe ou du verbe alloué à une sorte de denrée lactée ainsi formée ou refgormée dès que de fait le bébé naît ou qui sait dès que bébé pousse ou poussera son on dira cri de guerre de guerre à tout va car voilà le bébé veut de ça qui plus est sans plus de tergiversa tions lait-monton lait)-haut lait du trot lait de mort tracée ainsi passée ou dépassée car le l ait est haut encore plus haut plus haut que ladite mort qui en vrai est un port juste un port à pour le coup devoir quitter si ôssible et de fait en tant que fée ppuis que fée transformée en ce dit bébé des données de porte post-pré post-mort-née et hop vite la tétéeun peu beaucoup de lait et le tour st joué qui nous voit avaler de ce bon lmait de l'hydre l'hydre ailée ou l'hydre du vivre des données du vivre on veut les avaler = s'en rassasier s'en foutre plein le gosier sans plus tarder et du coup se calmer ou arfriver à se calmer à calmer le vivre les envies du vi vre et auttres envies vives voire survoltées on veut toucher on veut creuser on veut rire on veut en avancer en ce vif rire des contrées dernières rire haut des plusq hauts niveaux on veut en vrai re-vivre les niveaux ou niveaux hauts du rire du vivre sans autres douleurs que celles du rire on veut creuser = cerner = xcharger = trouver = encercler = porter = charger = cerner et cer ner enswemble ce qui est qui nous regarde a&ller passer traverser ledit muret des finalités et autres fins de pré on est le bébé le bébé-rire bébé-plaisir bébéné post pré pour aimer aller téter boire son lait et calmer ses dires ses envies de vrilles on veut creuser de chez creuser aller de chez aller toucxher de chez toucxher cerner de chez cerner filer de vchez filer et ne pas jamais ô grand jamais nous retroirner en ce dit pré des données acides voire acidulées car en vrai le lait lait de traéit lait dit du passé est du lait de vie et non du lait de mort ou de la mort la mort a son temps qui est pour ainsi dire cirvonscrit en termes de prairie = paradis mais icelui passé ou lecdit paradie ou ledit pré passzé ou une fois passé on peut voir les nénés les nénés allouées à une sorte de passé de passé du vivre et non du mourir passé vif qui est passé e,n vie ou passé -vie ou passé de vie qui est du vrai passé du vivre en vrai les données de lo'hydre et l'hydre qu'est-ce que c'est eh bé l'hydre c'est c'est du rire ou comenjt dire du lait -rire du lzit dont on peut rire ou qui force à rire ou qui prête à rire du fait que voilà il vient calmer rassasier adoucir attendrir l'envie vive d'une sorte de donnée active à devoir en vrai avaler accepeter accueillir accvorder à xses propres données de bébé re-né un rire de trait venant saéturer ou masquer ou combler cette sorte de voiuloir ancré de vouloir tracé qui est szorte de fait de vouloir-vivre ou revivre ou toujours-vivre sans frais cette sorte de vie à vivement réactivéer sans devoir traéiner au fur et à mesure de nos avancées du vivre de fée ou de bébé nu qu'on voudrait repu repu à jamais ou à tout jamais mais en vrai la choseewst autre tout auttee qui nous voit xans faute réclamer réclamer à jamauis avoir envie de re-téter de fait le lait de l'hydre récmalerb de chez réclamer tous les trois quartiers de ce lait re-actualisé re-formé sempiternellement au sein de l'hydre c'dst un fait voire un fait exprès qui peut grave ensemble nous mettre en souffrance en grande souffeance en une sorte de souffance intense en tant que nous serions de base des bébéscde l'anttre toujours ou sinon touhjours souvent de fait affamés du fait que le lait est l'aliment de référence à devoir téter en toute régularité et ce sans traîner sans louper de fait les moments de trait en tant quon est ou serait des bébés minutés comme programmées et de fait on l'est comme disons un instrument ou une sorte d'instrument qu'on aurait remonté en ce dit quartier xdes données lactées vives de chhez vives on mo nte on ose on creuse on envoie on veut grave de ça la roche des voix le passage docte un savoir de foi une sorte de parole haute genre voix de porte ou voix de porte haute hors paroi voix de l'au-delà à la paroi dees rois et reines de là la somme la parole haute haute porte aux données hautes on monte on creuse on va on veut ça la roche des pas ou petits pazs de l('au-delà à cette sorte ici de paroi des données de porte mais passé la porte qu'est-ce qu'on voit à part ça qui sait la voix voix docte des données post-roche on voit on monte on tète on tègte ici pour ainsi dire cette voix des voix on veut comprendre = prendre ce <qu'on voit en termes de voix voix haute voix de porte et du coup voilà on est la chose des donnnées h autes mot des voix = cette qsomme haute haute somme à toi à moi en formes de porte ou de quoi roche ouverte à une sorte d'entrée en matière ou dans la matière on est née dans l'herbe on veuvt toucher de chez toucher cette herbe ou de cette herbe fraîche qu'esdst-ce vquye c'sst qui c'st qui donc en vrai est ou serait cette herbe herbe personnifiée qui ça pourrait être qu'est-ce que c'dsrt que cette sorte d'herbe ici allouée à une sorte de dponnée en herbe d e type pré / éden pré des prés on aime on aime assez mais ce qu'on préfère ou même en vrai ce qu'on préfèfre c'est le lait lait de trait traite tracée en du ^post-pré post-cimeetière j'ai nommé les hauts quartiers du verbe une sorte de qartier de traîne haut quartier de ferme on aime on veut téter creuser aller filer tracer cerner chezrcher ici et là ce lait de roi lait de reine alllègre une somme de voix voix en tas tas de voix quise chevauchent haut et vont de base tout en haut toucher la timbale le mot haut l'ombre xdes données de porte une sorte de somme un veau un petit veau veau vache ou mouton bête aux mamel;ons ou bêtes-mots de roche soit de roche haute on monte on veut en quelque sorte tout en haut cerner-toucher à ce qui pour de vrai se montre va en haut monte creuse à son niveau veut pour le coup tracer noter voire dessiner comme à tout jamais la bête des prés on dirait mais en vrai on ne sait pas tout à fait si la chose est vraiùment vraie et digne d'être pour l e coup considérée de chez considérée en toutes ses données données on regarde o n mate on cherche à discerner en ces quartiers le vrai du faux qu'est-ce qui est en vrai etb qu'est-cecqui est en faux à quoi se fier ou pouvoir se fier qu'est-ce qui est en vrai qu'on puisse créditer de mots bien affichés et de fait approuvés et qu'estce qui est qui tout le contraire fait défaut et fait tache grave on voit ça on regarddre on cherche on veut comprendre et nous y retrouver en tzant que femmes deux femmes femmes sa rdes qui voulons comprendre comprendre enwsemble ce passé des trembles érables frênes et chênes de la voix des ar bresv etcetera etcetera arbres droits arbres de paroi ou sorte d'arbre de paroi arbre de la voix on enttre on trace on creuse on va vers ça = cet arbre cette sorte dee tracé" dee rage une voix est là qui se préwsente à qui donc apparteient-elle à qui donc c ette voix &éppartieznt-elle qu'on ne connaôt ou ne connaîtrait pas obligatoirement qui donc est derrière qui nous voit chercher sans cesse les données premières ce qui est qui est en ces dites données des hauts et beaux peutêtre beaux quartiers de l'^tre hauts et beaux en ce qu"ils sont hauts = hauts de fait et peut-être beaux qui sait si tel est pour nous la valeur portée de notre propre peut-être jugé on veut coller dire et donner sonder tracer charger et vivre et auussi sonner sonner de chez sonner = a&ppeler en vrai pareil néné dit des nénés ou néné de la vie néné des néné de vie vive au taquet on veut ou on voudrait téter d e chez téter de ce dit néné des vies allouées à une sorte de passé ainsi remonté mais quel est ce passé quel donc passé est-ce pour ainsi tant peut-être nous parler nous intéresssrr nous attirer on cherche on ne veut pas lâcher la chose mais creuser sans discontinuer zet sans traîner cette sorte dee roche ainsi allouée à une sorte il semblerait de torse sein donnée en concavité à devoir téter et de fait en vrai c'est ce qu'on fait on tète en vrai on tète le verbe on ne cesse de téter du verbe d'en téter de près de vouloir téter de ce l ait de verbe dit lait-verbe ou verbe-lait des contrées dernières on tète on prend de c e lait frais on veut co:mptrendre = peser = tater = creuser ou sonder ou cxhercher ou rechercher les diverses données ou données données ou dernières données d'une sorte de contrée entière qu'est-ce que c'est qu'est-ce que c'est que ces dites dernières données de type lait-verbe on veut trouver on ve"ut cerner on veut gvrave cerner on veut grave comptendre = toucher = cerner = allouer à du passé n os propres données en termes de tétee de recherche-téteé ou de recherche haute de type tétee des tétées et du coup tracer = desinner bêtes de roche et autres betes de paroi de type néandertaliennes ou aurignaciennes ou solutréennes on cherche = on envoie on ne veut pas lâcher la rampe grappe bparoi mais grave comprendre = tendre à faire ça = traces de pas traces dee main de main tenant de mains apposées et aéuvtres mains données ainsi répétées des diçz aines de foiqs formes de la foi formes des do nnées de rage et autres formes fr(anches on v eut comprendre" = cerner les données du lait ou du verbe-lait tel que retrouvé la mort une fois passée soit comme entérinée consacrée enterrée enterrée de chez entérerreée à tout jamais qui sait mais en vrzai il sembleraoit qu'il s'agigt d'un ou plutôt d'une sorte de peut-être carrousel aux traits ou tourniquet des tourniquets on cherche on est nées fées sur pré nous voilà toute chamboulées qui sommes devenues la mort quittée ou comme quittée eh bé sorte de nouveau-né veau ou bébé on ne sa&it encore on cherche à c erner à bien cerner le phénomène gravitationnel on cherche de près on creuse pas mal de ces données de base on ne veut pas lâcher le ma,nche mais creuserde rage ces données de base les cerner de chez cerner da&ns toutes leurs composantes afin de oui oui de chrz oui comprendre si possible à tout jamais ce qui est qui est de quoi le verbe-lait est-il sur terre qui sait le corollaire entité nacrée peut-^tre on ne sait on esps pas bêtes pour autant ou même si bête mais voilà de fait on est des fées qui sommes devenues bébé qui regardons en vrai à bien téter ledit néné hors cimetière soit ce lait de ferme de contrée dernière ou sinon dernière derrière contrée d'elfe on cherche on veut trouver on veut ou on voudrait en vrai grave trouver = toucher = cerner = comprendre = dire = dire en vrai ce que est le vrai soit la vérité en ces ultimes de chez ultimes contrées dites au lait ou même du lait lait entier lait pasteurisé peut-être pzas puisque voilà il vient provient de l'au-delà on voit ça on y croi!t on cherche une voix une sorte de voix de type air air ou voix de là de cet au-delà de soi soit de l'au-delà des voix dites voix du tertre xsoit voix dee là-bas hors pré hors prairie des fées hors herbier on veut c erner dire et monter rire rire rire de pouvoir ainsi téter de chez téter le lait dit du même coup du rire car le lait fait rire qui nous assagit nous rassasie bnous dooone vie ou la vie vive vie des vies du vivre = rire doux bqui est le rire du passé donné en tant que lait qui serait remonté par eh bé ce rire des donées hautes hautes portes hautes roches de groote ou autres avens aux porttes hautes du passé on veut creuser = sonder = comprerndre = prendre = cher her à retrouver nos marques ou comment dire une sorte de passésouffrance afin de comment dire si possible du coup l'éviter ou plutôt l'écarter le tenir à bnne distance s'en garder ou s'en bien garder et ne pas chercher
et ne pas chercgher à reprendre trace ou comment dire repasser de base par un même sentier de surfacce retracer ici les mêmes traits ou même ttreaits de faits on veut cerner = dire = charger = vivre = pousseer = condyuire = allouer à une sorte de n éné le lait du rire rire inné qui est la chose on dirait la mieux partagée du moment q'u on tire ou qu'on trait le lait lait de trait ou lait de tire d'un néné tracé = dessiné sur roche aux féees roche post-pré roche du passé du passé disposé disposé de fait et pour a insi dire dans un avenir ainsi repensé on veut tracer donner souder creuser endiuire disposer sr porte les donnéesz dee l'ombre et autres accents dotés on veut en vrai aller donner creuser pousser charger aimer sonder porter et saturer de verbe l'herbe du pré avant même de qui sait plonger son nez entre deux nénés pour y chercher à dire vrai le bout donné soit ce lait dont on ne cesse de parler car de fait le lait est déité lait-déité des données dernières dieu de lait lait -dieu ici donné qui est ce lait à boire d'un trait gloup on veut l'avaler gloup lait du trait donné on veut creuser dire chanter sonder passer = dire ce qui est en ces dites contrées des données lactées qu'on dit ultimes est-ce que c'est vrai est-ce qu'en vrai le passé est vraiment du passé de dires passé dee divers parlers dee paroles vives et de pensées ancrées est-ce qu'en v rai le lait est du dire ancré dans une sorte de tracé de traits sur roche aux vfées genre le tracé aux fées soit ausx fées données toutes gravées bpêtes de trait ainsi dxessinées par des êtres = hommes femmes enfants d'un passé récents il y a quelques disza ines de milliers d'années on veut le penser on veut comprendre on veut toucher = cerner ledit temps donné des tourments lactés ou nénés de trait on est le vif bébé dit docte des données de porte un bébé né comme à la retombée après avoir été qui sait le mort ou mort de l'ombre homme mort-né en son trait de roche et hop = de la mort de l'homme à la vie ailée femmes au taquet comme re-montées ou comment dire femmes-fée est fffée de roche toute transformée ou comment dire comment dire quand de fait un hommùe homme mort se voit enterré et aussi être comme transformée liico prestro en deux femmes de rage ailes de féequi sevoient elles comme accolé&exs à eh bé du verbe verbe -herbe aux données de traîne on aime on envoie on charge on veut ça comprendre comprendre de chez comprendre et aussi c erner toucher aller filer cfonsacrer et même sacrer cette sorte ici de néné des outre-catacombes on veut aimer = téter = boire boire du lait ou de ce lait de roche des données de porte o n monte on ose on ose on mùonte on veut ou on voudrait de base prendre apuii ici sur ce passé des catacombes le traverser en quelque sorte pour mieux de fait s'en dissocier ne pas s'en imprégner plus qu'il n'en faut pour si poqssible se tenir sur roche au plus haut niveau des niveaux d'époque souder= scinder et comme recoller les données de roche on monte on creuse on envoie on envoie du bois on veut grave savoir = avoir = dire =chercher et aussi toucher touycxher grave de ce trait devoix ou à c e treait de voix del'au-delà soit de l'au-delà à soi = son anttre parade de rage roue de soi en cette sarabande de paroi et hop on entre en transe et aux abois en cette sorte de post-paroi aux voix qui est qui est qui est on se le demande q ui donc ça pourrait être en vrai que cela soit qui nous regarderait ou même nous &ttendrait colme si de fait o, était quoi sardes sardes-femmes sardes-femmes de cchez sardes-femmes post p aroi soit quoi des qsortes de femmes à envoi ou quoi on entre on charge on veut toucher toucher toucher = dire dire dire ce qui est en vrai une fois la mort traversée et comme dépasseé&e car il semblerait en effet que pour le coup la mort est courte n'a qu'un temps ou fait long feu qui rapidement débouche mes aieux aieules sur eh bé on dirait le passé soit deux n énés à lait pis de bête sacré ou comment dire ici ce lait de trait origine qualité de sa viscosité fraicheur de trait on veut toucher on veut ou on voudrait cerner = tenter = sdonder = comprendre les données de l'antre ainsi comme re-trouvé du fait que en effet le lait est du lait remonté re-puisé ou comment dire re-activé en ses derniers quartiers du vivre reconvoqué = reparlé car en effet il semblerait que oui le lait de traiot est du lait de vie soit de vie reformée re-actualisée re-convoquée après un temps acté dee mort allouée à une sorte de paroi de roche m a is après après ici ladite roche il y aurait de fait une sorte d'après-pré dit de la parole et des données parlées la pariole en vrai wserait haute qui recommencerait serait à jamais se positionnerait en ces n&énés comme pour ainsi ddire du lait lait de porte lzit de porte haute lait-pârole olé olé qui sait ?
21/4/2025
On est ensemble on regarde on veut comprendre on veut ou on voudrait ensemble essayer de cerner au plus près les données de base ce que c'est qui ici en face nous mate ne nous lâche pas cherche à nous parler on dirait ou sinon parler contacter mais quoi on entre on entre ensemble on essaie ensemble de cerner-toucher à ce qui se perésente en termes de hé hé néné il semblerait mais est -ce sque c'est vrai est-ce qu('en vrai il s"'aggit bien ici de cette chose d'un néné de forme néné né comme à la retombée quand on est passées néné haut de forme on dirait du lait mais est-ce que c'est du lait est-ce que vraiment vraiment cette chose ici haute de forme est un néné né quand on est passées qauand en vrai on est comme sorties pour ainsi dire de la mort ancrée du pré aux traits ddes données de l'herbe ainsi tracées on est entreée en cette sorte d'ultime contrée des contrées dont le nom est forme forme-néné trait pour traits on ose on essaie en vrai de s'y retrouver en cette sorte de deemeure des données dernières dernières données dont le nom est lait ou autre chose mais au fond peut-être bien lait ça se pourrrait le lait est une chose haute lait de forme haute on monte on veut ensemble pour le coup comprendre comprendre de chez comprendre toucher au gnou à la panse au ventre au pis de la bête immense une sorte d'embrasssade à toi à moi et le lait est là qui il semblerait perle de chez perrle au bout du n"éné du pis consacré du ventre aux données et hop on est montées on est passées on a compris sque peut-être en effet en vérité les données de rage sont ainsi ici qu'elles nous attendent à être cueillies à être comptrises comme par la bande d'une sorte du coup d'embrassade sans soucisb on entre on se cale on passe on boit on veut boire boire ou téter notre choix est fait on veut de ce lait de ce lait de base ou lzit de rage ou même des rages des données de rage allouée à une sorte d'embrassade d'embrassade de paroi de paroi des rois des reines sardes et autresv reines de la foi en cette chose d'une sorte qui sait de mansarde logis d'or home hors façade panse de décor et nous voilà qui nous logeons qui cherchons ensemble furetons essayons de comp^rendre cette panse ce décvor de transe on entre et on regarde on voit là des choses ensemble nénés nés pour nous au passage n'est-ce pas donc fou on essa&ie de fait de nous y retrouver mais voilà on essaie ce n'est pas gagné on sait toutes les deux que le chemin est long encore jusqu'au ponton jusqu'au bout du pontvjusqu'au bout du bout du pont d'une sorte de tracé de rage aux données denses et nous de quoi peut-être esppérer de ou pour le coup grave espérer que en effet un jour peut-être on pourra cerner cerner de près tout ce qui nous inquiète nous intrigue nous rend dingue nous attire etcetera ici ou là en cet espace de post-paroi post-cimetière des abois et autresprés de france à toi à moi la danse des pas petits pas de chats on est de fait les fées du tas fées fortes fées de porte on est passées de toi à moi en face direcvtion eh bé qui sait la foi la foi en ce monde autre le passé de soi qui remonte on dirait la chose une sorte de parole haute haute = ancienne qui peut-^etrree on pourrait le penser remonte de chez remonte et ne cesse plus de nous narguer comme qui dirait on ne sait plus on est toute ébaubi on est comme toute abasourdies on est comme si en vrai on avait été peut-être droguées ou disons assomées par quelque chose genre denrées venant nous infiltrer et nous rendre comme toutes affolées de chez affolées mais voilà on passe on entre on traverse en face ce muret dit des dernières transes ou des dernières chancesb on vouléit traverser on voulait vraiment délibéreément véritablement traverser ensemble ce mur de la chancev ce dernier muret dit des contrebandes et autres contredansesb eh bé on dirai que la chose en vrai est actée entérinée affichée on est passée on a grave travzersé on peut regarder sans se retourner on peut essayer de nous y retrouver en tant qyue fée toute à présent transformée qui serait qui sait devenue autree chose une sorte de donnée de porte un bébé tout frais une chose une drôle de chose dont en fait le nom ici la porte passée serait eh bien qui sait bébé des bébés bé"bé-tronc bébé du front bébé docte un bébé de roche ou un bébé de poche bébé né à la retombée la mort dépassée c'est-àdire que la mort serait dès lors en quelsque sorte comme dépassée soit laissée par côté laissée pour compte et nous du coup en forme tout en forme le bébé chelou ou sinon chelou le bébé d'or qui tète à mort le pis de l'antre d'une bête immense du genre ici de celles qu'on cfonnaiît de base soit en ce pays j'ai nommé la bise le tracé de bise bise = -bison bise ou bison dite l'i,ntrépide on vibre on trace on gagne la rive on veut comprendre ensemble les données du vide du passé tracé et autres remontées de boucliers on est vives on est des vives on est nées sur pré vives = fées vives on est des fées vives de chez vives on va fissa direction la rive rive au sabbah on y croit on veut ça trouver la voie on est la fée du vide et nous voilà qui accolées accolées de chez accolmées nous approchons de ce néné mais alors du coup toute à présent transformée en ce dit bébé des données du vide ou vide à lait = frise frise dorées panse donnée ventre au nénés qui nous attendait afin que nous puissions téter de chez téterv le bon lait du vide du vide alloué à une sorte de passé tel que rencfontré de fait en d'autrescvquartiers aux données données comme par surprise on est bébé on est le bébé on est des bébés on est bébé sachant téter à ce néné des données vives et autres vives denréesz lactées on aime grave le lait on aime téter on est ce bébé des données vives ou aux données vives et nous ce qu'on veut le mieux c'erst ça cette foi ce tracé de lait trait de lait à jamzais cette sorte de donnée du vide un trait ici de lait do nné pour nous alimenter nous remplir le gosier on est néé bébé on le voulait disons en vrai que non ou oui on voulait passer mais pour autant sansz y passer et nous retrouver e,n quelque soerte en forme ou sous la forme d'une sorte d'ombre homme et femme raccord homme et femme du bord des données dites franches des données d'ensemble on entre on est ensemble comme raccordées à une sorte de tracé de rage = le langage ou langage pa rlé comme par la bande ailes de chaque côté et au centre le langage du paszé ancré on est entrées on trace on se rassemble on se recroqueville on veuut trouver si possibhle le trait des souffrrances de mise et du coup cerner cerner vif ce qui est qui est qui nhous attirerait qui sait en ses filets mais nous en vrai on ne veut pas de cette chose on veut on voudrait grave ici passer outre la panse traverser de rage et tracer = pistonner en ce dernier qui sait quartier pour ainsi dire des divinités on veut traverser sans se retyrourner vers le passé donné passé au lait passé fait passé consacré donnjé comme du lait et nous d'en téter sans nous arrêtter de ce lait bon de ce bon lait du front téter de cghez téter à ce dit néné des données de terre et autres données anciennes comme re-soulevées ou retracées ou reconduites ou retrouvées en ce quartier de l'après-teigne de l'après-mortem et autres pré de cimetière on les connait on les a pratiqué on sait ce qu'il en est et aussi ces bêtes bêtes rosses et autres grosses bêtes de paroi de porte on connaîot on les a approché es on a été de fait comme mortes nous-mêmes en ces prés de teigne et autres prairies vertes des vertes vallées on a tracé on a traversé on a couru on a joué on a rigolé on a man gé / brouté l'herbe des prés et à présent on est pour ainsi dire comme soulagées car en vrai nous voilà en quelque sorte indemnes indemnes vde tout problèmeprobléème de foi ou comment décrire ici ça qui nous regarde ou nous attend nous mate nous reluque grave la chose en face le tracé du vent ou comment dire ce tracé des données devant ou des données de rang qu'est-ce que ça peut êttre de quoi est-il ici question de quoi en vrai peut-opn parler de quoi erst -il question en ce dit quartier des données profondes hautes reculées hé de mamelon qui sait question haute des données très hautes ça peut être un mamelon ça peut ou ça pourrait très bien être en effet une question de mamelon-montón sorte de mont des données hautesc genre lait de roche mais en vrai est-ce que c'est vrai que cette chose est soit que pareille chose en vrai est ou serait à savoir ce mont mont-montón d'un mamelon de porte haute porte des données de roche est-ce quye c'est vrai est-ce qu'on peut penser en vfrzi ou raisonneblement penser ou comment penser que donc cette chose aux données de roche est du lait est véritabklement concrètelment du lait lait de pont ou sur le pont pont de lait reliant le pré = la mort à cet après-pré dont le nom de fait ne nous est pas vraiment connu ou disons donné on est des bébés ça ne saurait tarder on est attitré on est comme qui dirait un bébé attitré à une sorte en soi ma foi de foi en cette chose d'une sorte de passé de porte à comme atteindre toucher ou attirer ou quoi ici qui pourrait nous inscrire il xsembvklerait dans la durée d'une sorte de clarté de rive haute clarté comme remontée des finalités des fins fonds de cuve et autres trous de buse on est passées on est fée on est deux ailes comme accolées à eh bé on dirait du verbe trait de verbe comme inséré entre deux ailes dfépliées ailes de fée de jolie fée des herbes et pré de la mort donnée on aime on aime le lait on aime comme nous transformer en ce bébé post-cimetière pour téter téter sans cesse téter de chez téter de ce bon lait de l'herbe lait des treaits qui est donc né du fait de l'herbe soit du verbe lait de verbe lait post-pré lait alloué à une sorte de passé qu'on dit indemne de de de quoi en vérité peut-être d'aspérités de traits de tracés de tracés de teigne on ne sait on cherche sûr que nous on a encore plein de choses qui de fait nous importent mais dont pour le coup on ne dsait pas encore grand-chose mais voilà on est lancées on est méga-lancées on ne traîne pas vous le voyez on n'arrête pas de fureter de nous interroger de nous renseigner de cherchger les termes le tracé vrai les choses réelles ce qui est qui est en ces contrées dites post-mortem mais du coup post -pré post-éden post prairie -des -fées et a utres cjhamps de blé d'une sorte de tracé des données de l'herbe = du verbe on veut toucher on veut ou on voudrait grave troucxher de chez grave toucher à ce néné des données lactées de quoi il s'agirait qu'est-ce que c'est que cette ici donnée donnée des données dont le nom est lait lait de l'herbe on ne sait herbe de lait lait d'herbe on voudrait de fait ensembkle ici s'y retrouver sans se tromper sans faire pour le coup maiuvaise route comprendre ensemble = on dirzait qui sait toucher ensembkle = cerner ce qui en vrai la mort passée se présente et ce qui se présente est il sembvklzrait du temps donné comme du petit lait temps de charge du passé tremblé trembklements alloués à une sorte de opassé des chyances et autres treanses assistées on veut cfomprendre on veut toucher on voudrait ensembkle trait pour trait grave comprendre les données du ventre des nénés des seins allouées à une sorte de doonnée immense genre immensité immensité des immensités infini des transes et autres danses du pays des transes on veut ensemble mùieux coomprendre grave mieux mieux dire = mieux cerner le rire rire vieux mzais quel est donc ce dit rire vieux quel est donc en vrai ici ledit rire vieux rire de pays on veut toucher = tater = tester = téter téter grave ensemble sans se gêner ni même déranger le bon lait du rire des données du rire car voilà téter = rire rire = térterr les choses sont dites avalisées on peut en vrai respirer enfin respirer toucher à ce qui se présente de fait sous nos yeux en termes de données de charme et autres données vives allouées au rire rire des cieux on veut comprendre mieux on veux toucher les traits tracés sur un passé comme alloué à une sorte de denrée lactée vive le lait vive la vie vive les denrées toutes sorties du puits et autres traits de lait fermier on aime le lait on est toutes comme super attirées par ce lait de vie de quoio il s'agit on ne sait on guette les données dernières on ne lâche pas l'antennhe on veut cerner et du coup on est sur le coup on chasse kles termes on mate grave on ne lâche pas d'iune semelle les infos de base on est en attteznte on est de fait comme sur le tertre ensemble à attendre à guetter à mater de près à ne pas l^zacher à essayer de tout regarder mais ce n'est pas aisé car en vrai il ya beaucoup de choses à pour ainsi dire mirer mil:e et mille données se présentent dans l'instant T et nous de nous y coller d'eeszaayer de cernber de chggez cerner le plus possible de données allouées à cette sorte de néné néné des nénés qui nous est montré on dirait du lait on dirait que ce qui est qui sort de l'ombre est du lait sucré lait de rocxhe ou lait de porte mais du lait donné en queslque sort e comme apport a^pport haut pour une sorte d'alimentation de roche et auvtres transition en quelque sorte de mort à vie haute on monte on cause on trotte on est hautes choses sur paroi des fonds on ne lâche plus le pont on est hautes choses du pont on monte on veut cverner de base la Chose sacrée ce squi est qui est comme posté au fond du pré mais pour le coup bien plus au fond encore encore plus au fond car ce vqui est est de l'autre côté en post-muret et nous de nous y accoler ou commùent dire consacrer sans rire essayer et essayer du même coup de traverser essayer de cerner et éaussi de passer = tracer creuser filer toucher à ce qui est en vrai comme posté de l'autre côté côté rire rire gros des rires gros des données vives et hop on monte on monte hautes on est bêtes de vsomme qui en vrai hop montons hautes transformées en fée puis le mur passé dernier muret en une sorte de bébé bébé des bébés de type bébé d'or qui veut grave téter le bon léit de l'ombre et des données hautesv du passé tracé des données tracés sur passé donné ou comme redonné le mur traversé une fois dépassé on est dite bébé bébé en vie bébé re-né bébé-dit qui revient à la vie qui téète de fait le néné donné d'un passé de vie
qui on est ? on est le bébé
qui on voudrait tétéer ? le pis donné des données hautes
qui en vrai on aimerait cerner ? ce qui est qui nous
regarde et ne nous lâche plus nous mate de chez mate nous reluqaue intense alors que nous ou pendant que nous on fait quoi on entre on entre ensemble en cet antre des données de base et là on cherche quoi on cherche à comprendre cerner t§oucher aller vers ici le dit néné des données de base données hautes hautes choses intenses et autres transes sur passé de france on veut coller on ne veut jamais s'arrêter mais grave continuer de chez continuer de rage sur pareil sentier menant au néné des données passées comme toutes du coup la mort paraachevée entérinée ou dépassée alors remontées ou re-actualisées comme si de fait le passé revenait pour nous enquiquiner ou nous toucher ou nous aborder avecf ses nénés son dit lait de roche ses tracés de poche et autres traits moches ou pas moches peu importe peu importe les traits le desinn tracé ce qui co:mpte en vrai c'est l'approche le passé qui remonte est ce passé des données hautes néandertaliennes qui sait ou même plus anciennes et nous de les cerner depuis eh bé notre propre passé de bébé de roche ousinon comment comment ccerbner comment dire comment atteindre comment trouver ce qui serait en termes de données premières premières ou dernières car voilà les donnjées prezmières sont données dernières soit devant soit en ces dits tourments devant termes d'herbe = termes au vent soit sur un devant aux flèches vertes = herbes = herbes au vent = traits de rang on aime l'herbe le plus souvent on tète en quelque sorte l'herbe on ne cesse on aime on tète = broute = ma,nge = on entre on entre en cet antre des données dernières premières et hop on passe on trace on comptrend vdès lors les données du port des hautes sphères qui on est à quoi on ressemble qu'est-ce qu'on veut être qu'est-ce qui est ici la mort passée qui nous rassemble peut-être du verbe verbe haut verbe d'eau lait de roche et auttres denrées hautes on monte on veut de fait ensemble grave comprendre de chez comp)rendre les données de rage et autres dons dee l'âme on entre hop on monte on colle on veut toucher en vrai de c ette sorte de donnée de roche ce qu'elle est en vrai on ne le sa it mais c'est un fait que nous en vrai on aimerait grave pouvoir le comp)rendre ici même sas des traces et autres faits de rage toucher toucher ensemble tater = téter et téter = comprendre ici et là le lait donné l'eau du passé tendre lait tendre passé lait donné mamelon du front on veut toucher = téter de ce lait-montón lait des monts ronds et autrtes montagnesz de fée on spourrait le penser mais est-ce vr'ai qyui connaîot le front quui y a déjà été en fait dans le passé qui a connu le siein dodu le lait per lant le sein parlant on cherchge ardemme,nt on aime tant chercher en vrai les données du temps et hop tourments tracés traces et traits le temps est donné qui nous plaît en vrai nous satisfait nous rend de fait fraiche de teint on ose on monte on va on creuse on veut comprendre on veut toucher on veut tracer on ne veut rien lâcher on veut toucher ensemble à ces dobnnées de bout du monde et ne pas lambiner le moins du monde filer a&ller jusqu'au néné en trombe pistonner vite tracer hop téter téter téter de ce néné de bout de roche comme saturée de lait comme inondée comme grave inondée car la roche en somme est une poche poche à lait de roche lait sucré -salé et autres e'aux de roche on monte on ose on veut téter de chez téter de ce bon lait de roche et hop tracer courir filer passer aller de fait en tant que fé-bébé fée devenue bébé bvers ce passé du bhout du monde un passé ancré une sorte de parole docte lait de pré laitde verbe cen dré hautes herbes un passé sucré ça se piourrait nous on aime on aime le squcré l'herbe des prés le cimetière quand il est passé le tracé du verbve vers eh bé on le sait ce terme de divinité divinitéb colmme allouée à une sorte de passé du verbe des données du verbe qu'est-ce que ça serait qu'est-ce qye ça pourrait être qui le sait qui conn&ît kles traits tranchés le passé du rêve les contrées des termes l'embarqué l'embarqué l'embarqué osé dont le nom en fait est ... fée des herbes vertes oh peut-être on ne sa it on cherche on v eut on voudrait coller dire et donner au verbe lestraits d'une sorte de donnée en herbe genre eh bé herbe qui sait qui cvonnaît le terme qui saurait saura nous renseigner nousb informer nous donner le vrai en termes de termes qui sait ce qui ici poçszt-mortem = post-muret est qui nousc regarderait par la fenêtre comme qui diré&it nous épieraéit nhe nous abandonnerait jamais ne cesserait jamais de nous mater comme si de fgait on était quoi intéreseantes au point o-^ù voilà on ne nous lâche pas on est ou on serait comê secondé escortées à tous moments par du passé de rang ou du passé de sang mais merrde y en a assez on veut se libérer soit s"'émanciper de ce poème et autres données mal embouchées y en a bien assez on veut se libérer des données de france et autres données franches ou dites franches on veut tracer notre propre frange de données franches et ne plus reculer tracer de chez tracer filer cerner pissrr au cul des données de france et miontrer son cul son prop^re cul d'enfant dit sage m'a-tu-vu monter monter creuserr tracer filer chercher cerner edsayerv ensemble de toucher à pareilm néné des données lactées on veut en vrai aller de chez aller direction le néné le lait les données lactées le tracé le sens de la marche et hop creuser de chyez creuser vers ce néné aux dires ou aux données lactées même le dimanche hop on trace on monte on veut dire et aller on ne veut plus traîner de fait de chez traîner de fa it mais grave en avancer ensemble en ces szortes de recherches intenses recvhercges francghes de données intenses concernant de base le passé de france france néandertaliennehne et autres frances anciennnes à savoir la langue le passé des langues de sa priopre langue attitrée langue de traits de traits tendres le passé outré la cha,nce des prés une sorte de romance autoportée du fait que oui en effet on est accompagnée de la naissan ce aux derniersz pets par une sorte de donnée de langue langue-trait langue de trait bête de foire une donnée dont le nom de fait est betesde tra&it bêtes montées bêtes accouplés juugulées et nous voilà armées pour en vrai tracer = sillonnner la place un tracé de fée une danse-transe un trait de ré une sorte de parade et le tour est comme joué qui nous ressemblezrait nous irait ferait xde nous des gnous de convenance gnous dotés de bois tracés de dents dorés de sabots ombrés et autres sorte d' attributs de roche gnou des gnous c'est nous on est le ou les gnou(s) des données hautes gnous des gnous on monte on y va par là on ne lâche pas on a&ime la paroi et la post-paroi et le post-pré des donnézssq bestiéales et aéutres traéits animaliers de base une parade un sentier de fait menant sur place à une sorte de trait d'entrée par où ensemble on est comme priées il semblerait de l'emprunter et sans trainer de prendre ensemble et hop on passe on trace on veut cerner-t(oucher aller-coller dire-donner filer et se lover en cette sorte de opassé en france de type enfance enfance choyée ou non choyée chacun chacune son enfance son passé de rage et autres données en szouffeance on entre on fonce on creuse on veut toucher aux me"ubles aux murs porteurs à cette sorte dee maszure ou de masure des m asures ou chambre d'hôte haute ce passé nacré d'époque haute un divin passé p assé-né la mort dépassée on croit rêver mais rêve-t-on est-on mortes et re-nées est-on en vraéi laissée comme pour morte mais voilà on monte on monte haute alors quoi est-on morte est-on en vr a i vraiment passée = trépassée ou pas du tout ou coment dire on dira que de nous en nous résiste le gnou bête de rocxhe roche des roches on monte et hop tronçon de poche une sorte de passage docte trait pour trait on essaie de tracer de passer roche et hop monter ha&ute le plusz haut possible vers pareil boyau boyau d'eau perle d'e au de roche et autres sortes d'eaux mortes ou sinon morte's comme mortes mais en vrai c'est faux elles ne sont pas mortes mortes-eaux c'est du pipeau l 'eau sort du seau et monte de chgez monte vers qui sait une sorte de peau ou alors de pot ou alors de quoi une portée haute des données de roche une sorte de peau des peaux ou bien de pot des pots pots aux roses on ne sait on creuse de front on nen avanceon aimerait c'est sûr comprendre soit toucher de fait à ce néné du bout des transes et hop téter téter de vchez téter à ce néné des transes franches et autres danses de type bourrée quand on est bourrée ou comme bourrée-ivre des transes vives vives et ivres en transe franche et hop le rire rire haut on veut cerner haut on ne veut poas forcément rire mais cerner le rire rire haut rire du plus haut niveau car le rire vientr de haut du plus haut niveau des nivrzaux en termes de données des termes et autresz termes ainsi allouées à des choses ditesz du pass"é on aime oh oh grave on aime grave de chez grave on aime on aime l'herbe le passé donné ou redfonné = le trait trait de sabvle le passé des memmbres un passé imme,nse une sorte d'immensité en termes de passé donné une sorte de passé de transe un passé tracé qui est immense en termes de kilomètrage au mèretre près et nous voilà conduites à comme esopérer enfin toucher ou comment dire nous approcher espérer espérer comme nous rapprocher de ce tracé aux données de traéit qu'edst)-ce quye c'(szt qu'est-ce qye c'est que ce passé qui serait remonté cvomme par contrebande d'une sorte de puis ou de puits de fée puits dotés ici de données fluides comme par exemple du lait eau de lait sacré eau lactée on veut en téter car en vrai on aime l'aeu des prés et le lait sucré ensemble méklangées on veut téter de chez téter à ce bon lait de l'hydre du passé ancré des vivres déposées en guise de présents données au passé tracé comme se présentant de fait dès que née à une sorte de néné des fées qu'est-ce qu'on en sa&it que de fait savons-nous nous toutesz de ce gnou du bhout pas bézef en vérité pas grand-chose sur quoi s'appuyer ou s'attabler on monte ok mais voilà la montée n'est pas si aisée pour ainsi dire à emprunter on se doit de tracer mais pour cela voilà on a besoin de tous ses bras et aussi du passé du passév tracé d'un passé de rage ainsi remonté comme une souffrrance qu'on croyait tassée enterrée en soi enkystée mais que dalle le passé est passé vmais rtrezmble tremble ou tremblerait comme ici en souffrance d'une vgérité d'une sorte de fait de vérité tracée comme traquée du fait que oui on monte et montant on ose et osant on tombe on tombe grave ici sur ses parents sur le verbe inculqué un passé d'enfants les chances données non attrea&ppées et autres tourments tout alambiqués et emberlificotés autour de données de type tracés tracés de fée tracés sur tracés sur roche aux fées on veut toucher on veut comprendre on veut ou on voudrait comprendre ensembkle un certain nombre de données de fait dont le nom serait ambre ou sinon ambre transe ou sinon transe vérité -nacré on veut toucher à ce qui est qui nous ressembklezrait qui sait un temps et le reste du temps se dfistingueréit et filerait son propre tempsz hors familiarités hors ressemblances de co ntrée et autres traits portés on trace on navance on file on cole aux membres on veut toucgher de cgez troucher à une zorte vde vdenrée dont le nomb est lait et toucher ici c'est téter du fzait en vréi qu'on est bébé on est un bébé on nveut téter de chez téter parce que oui on est ce dit bébé des murs traversés des données ultimes après vivre ou disons aopreès mourir car voilà on voit ça comme quoi après le vivre il ya ledit mourir soit ledit franchir une sorte devant soi de paroi des rois et reines de l'au-dfelà puis après ça soit ledit mourir et ladite paroi des rois et re'ines d'au)delà le vivre re- vivre re- des données vives ou des re-données vives et autres re- qui rendent heureux heureuses les envieux envieuses on monte on creuse on va on tire on porte on veut en vréi toucher dee chez toucher la porte des fées et du coup passéer vers ce dit passé des données premières = anciennes =primaires comme qui dirait mais n'est-ce pas exagéré mais n'est-il pas exa&géré de chercher ça le passé des rois et re'inezs de là = l'au-delà l'au-delà à soi le passé roi le passé des oies et autres betes de joie qui on est pour soi que voit-on là qui en vrai se trame que sait-on des âmes que voit-on la mort passée du passé du passé re-né re-la chose haute qui re"monte ou remonterait ainsi à foison qui donc sait de fait ce qui est en vrai qui cfomprend la chose et saurait pour le coup grrave nouys situer sur cet échiquier des données de roche qui on est qui on serait qui on voudrait être qu'est)-ce qu"'on est de fait qu'on ne savait être qui de quoi on est et quoi de qui on serait on cherche on veut toucher cerner passser dire ce qui est de ce poassé dit surnuméraire ici des abris des maisons hautes des cloisons des portes de roche habitat de vie on monte on ose on creuse on veut tyoucher de chez touchezr les données de porte on est qui on est un temps fée avanr-t de sombrer de couler ou peut-être non de monter se hissser du collier et se voir transformée en bébé de vie bébé -vie le bébé du puits on est remontée ou comme remontée ou cfomme toute remontée car en vrai fée nous allait seyait nous plaisait et bébé eh bé tu m'as comprise ça nous plaît à peu près mais en vrai on se préférait fée ou en tant que fée bébé ok maéis féé fée du pré c'(estait mieux c'était tout un truc c'était trop et voilà que là en post-paroi on se voit voilà comme toute xdésorganisée démantibulée déformée dépiautée désassemblée qui devenons bébé hors pré bébé né comme au passé / passage d'armes ça fait chier car nous en tant que fée on se plaisait on se plaisait grave on adorait être des fées on se pklaisait de fait alors que là en tant que b ébé on est secoué on est remué on est trimballé et on doit tétéer téter de chez téter on se doit de téter oh on éime mais fée c'était tout un poème qui pour le coup nous plaisait en vrai on adorait on aimait on voulait aimer on aimait connéître eh bé voilà la chose est là on est sortie du pré des données vertes on a traversé et on se voit comme remontée en forme de bébé -né re-né revenu nu sur une sorte de néné de rue ou sinon de rue peut-être de tenue de néné donné comme à l'arraché venant du passé on veut coller on veut cerner o,n veut toucher on veut tater on a envie en vrai ensemble de troucher toucher à ce qui est qui se présente ou se présenterait à nos lèvres toutes retrou!sséesc de bébé voulant ainsi téter du sein de mère mère acidulée mère des tertres et autres promontoires prémonitoires on veut coller de chez coller à cette chosze ancrée ici ancrée d'une sorte de promenade aux données de base = traits traits sur treait trait de rage traits tracés comme à main levée par quelqaue femme ou hommeb de passage on dira des fées car la fée est homme/ femme accoléees homme et hfemme sur pied ailée pied de femme et homme ailée on s'en serait douté car oui on est et homme et femme en ce passé cde france dit d'enfance l'homme est dans la femme et à sa mort il see retire en termes d'enterré-surprise et voici la fée deux elles ailes tracées montent que je monterai tu parles vers ou direction la transe le passé intense une contrée un champs de blé la panse aux tr acés et autres bêtes traquéesq genre bouquetines vives bouquetines bouquetins vifs vifs et malins mais ce qui est ici c'est que oui le malin ou petit malin se voit tout attendri et co:me de fait enkysté en ses prorpes données quand la fée elle monte au ciel monte de chez monte et hop saute trace va charge combat cherche est de fait la bête ancienne une sqorte de bête foraine de soirée-nouba de fête de traîne on le croit on voit on avance on treace on veut comprendre ensemble les données du tremble du passé intense de la voix et autres sons de cloche haute ding ding dong la roche on monte on creuse sa voie on vgeut ça la paroi des ombres toucher soi le tr acé des ombresz et hop creuser tater téter téter son propre lait comme qui dirait mais en v rai le lait n''st pas une chose en propre ou donné en propre le lait est du lait lait de roche offert au passé on peut téter le lait de roche s'ezn gargariser de telle sorte que en effet le passé remonte revient vif de chez vif revient coller ou nous coller revient de fait comme nous coller nous rattreaopper nous dire en quelque sorte ce qui est qui se voit remontré ou comme remontré à nos yeux de fée devenu bébé on veut toucher on veut cerner on veut aller et dire et sonder ce qui est ici d(une sorte de contrée aux nénésc et autres sortes de données on veut tracer toucher aimer cerner pisssrr caguer suer toucher de chez toucher à ce dire nacré des contrées ultimes infinités des immensités sublimes ou dites sublimes on veut creuser creuser de chez creuser dire ce qui est dire de chez dire et hop aller porter tremper poussser allouer à un ou une hydre les données du rire rire des rires ainsi cerné du fait que oui on connaît on veut toucher-cerner on ne veut plus de ça s"'emballer mais de fait§ tranquillement aller comme à l'arraché vers telle ou telle assemblée attablée qui xerait là en quelque sorte à nous attendte à espérer à nous regarder à chercher à nous coler ou prendre ou insérer à leur table dressée qui on est eh bé on est le dit bébé des données franches comme en vrzai inséré à une sorte de contrée de contrée de fée ou de contrée-antre antre alloué à un passé en france et le tour est joué qui nous reconnaitrait nous verrait passer tracver chercher à n ous positionner de telle sorte que voilà on puissse grave de chez grzave boire-téter le lait de l'antre des contrées tracées du ventre formé des seins galbées et autres nénés des nénés on entre on entre dans l'antre on cherche à comprendre ce qui ici de fait semble ou semblerait vouiloir grave nous convier à sa sorte de table dresssée pour une sorte de repas de roche repas docte repas froid ou repas chaud swelon lm'époque on veut creuser on veut toucher on veut aimer on veut cerner on veut mieux cerner cde chez mieux cerner ces nénés de l'ombre ce que c'est en fait est-ce en vrai des néné s nénés de roche est-ce en vrai du passé passé d'époque ou alors du frais du passé de frai ou quoi ou qu'est-ce en vrai en ce qui nous concerne est-ce du vrai vrai passé d'époque haute est-ce du faux faux niveau de roche on ne sait en vraéi de quoi il en retourne question outre antre ventre sein de rage et aussi table car voilà le sein tout découvert offert est une table d'antre lait donné de france en tant que langue sur table tracée on entre on veut toucxher de base à ce dit trait des traits tel que rencontré en vrai une fois c'était dans le passé en france soous les traits du ventre on tétait on était fines et élancées fée des fées on voulait tracer on voulait creuser on ne vouy:lait pas s'arrêter mais juste creuser ou disons tracer = filer sans se retourner vers ledit passé ancré du lait frais tout nouveau tout beau à avalaler sans rechigner mais en vrai on ne se fait jamais prier parce que voilà le lait ça nous connaît on adore le lait on adore en vrai ledit lait de l'ombre du passé tracé des données hautes lait des la&its sur page en or on monte on ose on veut toucher de chez toucher le nombre et l'ombre le passé dit remonté qui serait là comme une sorte de paroi de paroi des parois ou sinon quoi chant docte parole parole haute chyant de roi / re"ine des bois et autres personnes de la haute on ne sait pas on charge on tr ace on avance on veut grave comprendre les données de l'ambre du passé nacré de la nacre des données ourlées au passage des fées on veut comprendre comprendre et cerner cernezr et allouer au ventre ventre déplissé les données franches d'un passé ancré comme remonté remonté de chez remonté à ladite surface aux nénés que l'on veut toucher car on est des bébés nés de france bébés -transe on veut tracer on aimerait de fait tracer en france ou qauelque part en france c'est-à-dire en langue de france le passé ainsi remonté qu'est-ce que c'est qu'est-ce que c'est que ce passé ainsi ici comme remontéen cette sqorte de surface aux fées ou sinon aux fées aux fées transformées en bébé-soufffrance c ar voulant de chez voulant téter sansz traîner sans plus attendre bébé affamé = en souffrabnce comme qui dirait mais est-ce une szoufffrance est-ce que la faim de fait en vrai est une souffrance est une sorte de souffrance innée on ne s a&it on cherche on veut toucher on veut creuser on veut cerner on veut comptrendre on veut sonder on veut dire et aller ensemble et au plus loin possible en transe en cette rive des données du rire rire alloué de chz alloué à une sorte de passé vif passé-ttrait passé des passés tels que représentées ici ou là en ces contrées dites du vide vide de soi mais pas vide de voix c'sst là que la chose / le bât se voit / blesse des foix on le voit on va on trace et retrace on envoie du bois on ne cherche pas forcément à se faire une place maisb plirtôt à ententdre entrendre finement religieusement concrètement cette sorte de voix soit de voix de base ainsi patente on est là pour ça on veut entendre = comprendre enxsembvle ça la voix cette voix cette sorte de voix de là de là-haut haut niveau de transe on cherche à comprendre on veut grave comprendre et cerner-toucher allouer à une sorte de contrée une sorte de donnée de transe genre cendre ou sinon cendre ambre ambre touché ambre de qua rtier on veut creusqer = dire = passer vers ens"embkl ce tracé menant au passé au passé ancré d'une sqorte de passage éainsi acté d'une sorte de vie allouée à du verbe de fée ça se pourrait en vrai on ne sa&it mais bon on ne sait jamais les choses du verbe on peut espérer on peut rêver on peut se dire qaue en ezffet le verbe est une denrée lla denrée des denrées qui sait dont le nom en fait est petit lait ou lait tout court petit lait de trait ou lait de trait tou court on veut du coup téter ce lait de bout on aime le lait on aime grave téter téter le néné boire du lait s'en gargariser s'en mettre jusqaue là vsans discontinuer car voilà on aime = on cherche on veut ça on ne veut que ça on adore ça on aime téter on aime en vrai se coller au sein l'attrapper et gra&ve téter de chexz téter sans s'arrêter de ce lait de traîne lait ambré lzait de fée / reine on aime on veut toucher = dire = cerner = cfomprendre = allouer à quelque chose de te"ndre les vertus du lait soit du lait tiré lait de mère allouée elle-meme )àunune sorte de divinité q'on dit genrée mais en vrai on en sait rien on ne la connaît opas en vrai on ne l'a jamais croisé de chez croisé du coup on ne sait qu'e,n penser à qui sont ces nénés dit du bout du monde à qui sont donc ces dits nénés du bout du monde on ne sait on veut ou on voudrait trouver connaîtrev la véroité pouvoir tabler sur des choses concrètes avérées cernées de chez cernées enfin probantes mais le fait est que en vrai voilà la chose n'est pas il ne semble pas on ne sait pas donner un nom à cette sorte de paroi des monts et autres montes-charges on ne voit pas on est gaga on est comme gaga qui cherchons en face = sur paroi des sortes de voix ou alors de voies dites de rage mais que dalle la paroi ne dit pas la voie ou ne la montre pas car voilà une paroi n'est qu'une pa&roi la rage est rage le tracé tracé et l'antre du assé l'antre du passé mais pour a utant est-ce que par hasard on ne pouurrait pas un de ces qau atre rretrouver en face deva&nt soi ledit passé de france = de laé langue langue sage et sale ou quoi ou qu'est-ce une langue de traîne langue verte langue sucrée ou comme sucré un peu comme du lait on ne veut pas pour ainsi dire trépassser mais juste passer = entrer = regarder en ces contrées ce qui serait qui pourrét bnous donner peut-êtte ici quemlques indications squr ce que c'est que ce dit mamelon-montón ici trouvé comme au débotté d'une sorte de passage de fée devenu de fait bébé ou bébé -né sur du passé comme tout entier peutêtre ou pour p artie que sais-je remonté et du coup eh bé voilà on voit on trace on y croit on veut comprendre = entendre cette voix dite de l'au-delà qu'on dirait intense voix intense dite de paroi ou quelque cdhose comme ça on entre on file on va on trace on commence à comprendre ou sinon quoi entendre entendre voix voix de l'au-delà qui serait la voie dite de la souffrance de la transe des données de france on envoie on veut ça on veut ensemble ça soit cette qsorte ici de transe de transe desz voix entendre = toucher soit toucher au néné des finalités ca&r il sembvlerait en effet que la fin du pré ouvre sur un néné tout empli de lait et ce néné vien t du passé des années pâssées hautes années de roche une sqorte dee boucle haute ici nous sonde on monte on ose on va on ne s'arrête pas plus que ça parce que voilà on veut cfomprendre ce carossse cette noce ce passé de roche cette voix ven ant de l'au-delà mais qu'est -ce que l'au-delà qui voit qui cerne qui comprend les rènes qui comp^rend ici la chose à cerner une voix peut-être une sorte de voix et cette voix peut-on l(entendre peut-on d'ici disons l'entendre pas vraiment et c('est m-eme cela qui pour le coup nous enquiqine nous fait grave suer parce que nous en vrai on aimerait on cvoudrait on voudrait cerner on éimerait grave ensemble cerner ledit néné dans toute sa rotondté rotondité ici du néné donné la mort passée après cette autre rotondité telle que plus haut évoquée et quyi serait ici celle d'un pré soit du pré passé du pré quitté nouvelle donnée ou nouveauté on est passée on peut téter de chez téter à ce néné des données hautes et autres gorges profondes on le sait ;on veut cernerb toucher dire et redire re re re re le feu re les données-force le passé en trombes une sorte dee passé d'époque qui remonterait et seraivt dès lors à comme nous parler de formes formes hautes à pouvoir adopter en notre sorte de mértamorphos une donné haute un passé de roche et nous voilà toute ré-activée du fait que oui le passé comporte un certain nombre de données de roche à pouvoir adopter en sa propre personne afin de remonter re re re re tracer de chez tracer une sorte de cxhemin de ronde un sentier ou passage outré ou comme outré car comment dsire passage de trait tra&it ourlé trait des traits sur tracé de roche on monte on veut creuser de chez creuser la roche des fées ou dite des fées car on veut on voudrait on ne veut que ici toucher toucher de chez toucher cerner de chez cerner comprendre de chez comprendre allouer de chez allouer à ce dernier quartier les vertus de l'ambre et du coup saturer creuser filer oser pointer pistonner chercher à ensembvloe toucher à ce néné des ombres et autres sortes de secrets qui nous wseraient cachés et nous de grave ici vouloir de chez vouloir en vrai nous y coller car oui oui de chez oui on monte on creuse on trace on entre on ne veut pas laisser sa place on veut tracer de fait pour demeurer aller de chez aller filer de chez filer adouberv de chez adouber cerner de chez cerner creuser de ches-z creuser et hop on monte on file on va on entre on revoit soi ou sinon soi quelq'un d'autre mais en vrai qui ressemble en quelque sorte à soi on voit on avance on trace on veut comp)rendre ensemble ici ou là peut-être la paroi puis le cham des raves et ensuyite oui aéprsès la paroi qui en fait se prolonge eh bé le néné le néné de cfrance navarres espagne sarde on s'en moque pas mal du moment que voilà la chose est là à pouvoir entendre c'st-à-dire comprendre comprendre = entendre et même qui sait téter-entendre car en vrai on dirait on dirait cela que la voix est du lait ou comment dire du lait-voix lait-voix de l 'au-delà soit ça le verbe en soi verbe d'herbe = de la voix le schème ou sinon quoi car nous il nousemblerait ou nous aurait semblé que qui sa&it le lait serait une sorte de donnée toute assertmentée dont le fond ou fondeme,nt serait eh bé oui qui sait vocal buccal de fait mais aussi vocal une sorte de coulée de voix va et dégouline en nottre szorte dee gosier intime et nous fée-bébé ou fée transformée en bébé de nous rassasier ou disons de nous remplir de cette sorte de voix-lait ou de ce lait-voix comme assermenté ou disons agréée par par ça qu'on dirait quoi qu'on dirait la paroi sorte de paroi qui re re re re reviendrait à nous via le gnou on ne sait pas on tremble on entre on creuse on cherche cette voix de l'au-delà à la comprendre ensemble et aussi à l'entendre car entendre en quelque sorte c'est cdomprendre c'est cerner de base et du coup toucher toucher de chez toucher cernber-toucher cerner-porter ensemble une sorte de donnée de rage éinsi révélée on entre on pousse on veut cerner-toucher = révéler le trait on veut creuser on veut aller on veut cerner on veut ou on voudrait ensemble situer le terme et du coup acter ce qui de fait pourrait qui sait ^etre en vérité en ces dites contrées post-cimetière qui on est qui on serait qui on voudrait être qui on a&ime qui on veut toucher et du coup cerner ou disons concerner ou comment discerner en ces contrées d'un post-pré en herbe on cherche on aime chercher on adore chercher toucher pister posqter creuser faire ainsi que le verbe-léit puisse transiter d'herbe en herbve à travers le pré roche intègre claretés des clartées toutesc aciduléees derrière on trait ou on tire ce la&it d'un post)-cimetière = du néné du verbe et nous voilà tracé à la guerre comme à la guerre en cette sorte de contrée des termes ou dite telle et qui est la contrée venant après le cimetière après le temps du cimetière de la pierre et de la terre où nous serions ensevelies cimetière aux elfes et nous ici toute fée douce on monte haute on est vraiment haute car pour de vrai on vole on a pour ainsi dire deux ailes raccord on sait monter haut on va h&ut au plus possible chercher l'hydre le néné de l'hydre lait des laits téter téter de chez téter ce qui en v rai se pourrait en termes de lait on veut téter on veut creuser on veut dire on veut aller on ne veut pas abandonner mais tout au contraire ne plus du tout nous a&rrêter de téter vif le néné de l'hydre ici rencontré en ce post muret des ultimes rives des finalités et des imme"nsités du rire car le rire est pour ainsi dire une contrée soit une sorte de contrée donnée la mort achevée et ce rire est rire de fée ou disons de fée-bébé ou de bébé-fée fille vive et rire vif on aoime l'écouter on adore ce rire des fées ou des fées -bébés on aime entendre ici ce rire des passions de l'ombre" des zones cachées et autres régions hautes mal montrées on veut comprendre = porter = dire = savoir en vrai ce néné de l'hydreb qu'est)-ce que c'est de quoi est-il fait qu'en dire qui sait en vrai ce que ce rire est qui semble vouloir pour ainsi dire nous toucher ou aborder ou comment dire car le rire ici est comme de coutume communicatif qui se passe ainsi de fille en fille à travers la
mise la vire la cire
on monte on creuse on ose on va on envoie on veut grave toucher de chez rtoucher à cette zonr de paroi ou de la paroi où donc on dira qu'on est ensemble capable à toi à moi de passer un doigt puis deux puis trois et au bout du compte tous les doigts et même plus que ça sa voix hé ça envoie ça en jette ghrave ça ne lésine pas c'est indubitable on voit ça on entre on veut cfomprendre comprendre comprendre comprendre en semble c e qu'on voit à quoi ça ressemble on veut toucher de chez toucher aller de chez aller cerner de chez cerner filer de chez filer et se redresserr et là cerner à jamais cette dite contrée aux nénés mais de fait s'agit-il d'un néné soit d'un vrai néné ou alors quoi une sorte de tracé de choix sur nouvelle paroi ou quoi d'autre qui nous soit pour ainsi dire en qiuelque sorte un tantinet lisible ma foi mais voilà on ne comprend pas on cherche on trace on s'immiszce on cherchge une place et à pouvoir toucher ou retoucher ensemble la mise initiale et peut-être même plus que ça on veut comprendre = toucher = dire = cerner = allouer à une sorte de do nnée de france = le français les vertus du passé du passé larvé du passé de transe et autres véelléités on veut cerner on voudrait toucher on voudrait grave aller dire tra cer creuser sonder le rire des contrées ultimes qu'est-ce que c'st qu'est-ce que c'est que ce dit rire desz contrées ultimes une sorte d'entité sacrée genre divinité ça se pourrait en vrai on ne sait pas on entend des voix mais ces voix pour ainsi dire ne semontrent pas ou disons qu'elles ne montrent pas leur visage on ne le voit pas on croit pouvoir le voir mais pour l'instant pas l'ombre de ça macache pas un trait pas une larme pas un cil rien de tout ça à ce moment précis ne se laissse voir et c''sst bien dommage car nous on a envgie de voir ici ou là à quoi l'après-mort ressemble à qauoi l'apràès-prairie aux bêtes-masses ressemble etcetera les données profondes fond de bois oudesous-bois fond des fonds de l'au-delà ça se pouyrrait qu'un jour on sache on xsache xensemble de ce dit pourqauoi la mort estn qui sait une sorte d'enclave mais voilà la vie fait face qui encercle grave cette enclave et jamais pour ainsi dire en vrai ne cède qui encercle encercle de cercles l'enclave céleste dont le nom il nous semble ou peut-être est Mort mort haute mort de loge quand de fait la vie de son côté entoure encercle contourne fait le tour sans cesse ne s'arrête pas va là-bas et encore là pour en vrai essayer de cerner cer ner de chez cerner cette sorte de pré ou de pré aux fées qui sezrait eh bé peut-être la contrée la contrée dite de la mort actée ou disons donnée un temps donné quand de son côté la vie est ou serait une sorte de zone infinie sachant cerner ladite contrée des données finies on le sait on voit ce qui erst on avise on charge on creuse on envoie on tra ce on voit ce qu'on voit et ce qu'on voit est une sorte de paroi de rage trace d'ambre un foie une sorte de foie à devoir comprendre en toutesc ses parois ses parois de foie on y croit on veut en vrai toucher de che z toucher cerner de chez cerner a ller de chez aller pousser de chez poussszer rire de chgez rire et ainsi découvrir par le biais du rire x et x donnéesz qui seraient ancrées toutes en cette sorte de quartier de roche dont le nom en roche soit en langue de roche est porte porte d'entrée une sorte de porte donnant sur un pré sur une sorte de pré haut et pour le coup au fond dudit préau eh bé une autre porte qui serait la porte des données de roche porte lka plus haute porte rose porte aux roses on monte on creuse on voit on veut comprendre de chez comprendre 1 la p roi 2 le vin 3 la courroie 4 le train 5 la chance 6 les do nnées de france 7 les envois 8 les voix de l'au-delà 9 l'antre et nous voilà de face prêtes à ça = comprendre = entendre = dire = cerner = chercher = faire = vouloir = entrer = sonder = poster = convaincre = attirer = szoulager = porter = dire = souder = parler = caler = tirer = téter téter de chez téter le verbe -lait d'une sorte de on dirait trait des traits mais quel est-il en fait de quoi ce trait est-il fait de quoi en vrai ce trait est-il le trait est-il tra&it de verbe est-il, trait d'herbe - est-il trait de verbe en herbe on ne le sait mais de fait on cherche car on est ailée ailée de chrz ailée on peut voler voler haut vers le haut niveau des mots ou dit des mots qui sont des bêtes-mots ou animaus-mots dudit pot haut
17/4/2025
On avance on veut comprendre ensemble et pour le coup cerner en vrai le plus possible de donnnées frontales ce qui est ici qui on dirait est comme à nous mater alors même que nous on est qui on est fée on est ailes de fée on monte on s'est avancée on s'est pour ainsi dire présentée on voulait comprendre en vrai on voulzait grave comprendre on voulait touchger à ce néné qu'on dit ici et là de contrebvande va savoir pourquoi nous on regarde à bien cvomprendre les données frontales ou disons pariétales à toucher ou disons cocher ou disons trancher ou comment dire distiinguer ensemble un certain nombre de données de base du genre par exemple de celles qui ici ou là nous matent njous reluquent de la t^pete aux pieds n'arrêtent pas de nous reluquer de grave nous mater comme sib en vrai on était quoi on était des anges eh bé peut-être mais pas tout à fait on est pas vraiment des anges on serait plutôt des fées du style de celles que on verrait peut-êttre traverser un pré une sorte de prairie-aux-fées et autres bêtes-parades bêtes-mots qui pasqsnt qui sont là qui nous regardent et qui se demandent qui on est on est desêtres depassage êtres fluets qui se sont envolées qui montent et vgont direction le muret qui est ce dit muret qui est au bout du pré qui est ce dit dernier muret de bout de pré pré ou prairie prairie aux pisse,nblits on se rapproche dudit mur du fond on monte on s'accroche on est accolées p arce que voil:à on est ailes de fée on est comme si de fait on était ailes ou seulement des ailes on se rappreocghe de ce dit muret des fins de pré des finalités d'un pré post paroi post-paroi de groote et là on se dit que voilà on se doit ensemble de si possible tracer dessiner sur place un trait ou sorte de trait qui soit le traitexprès pour un passage à toi à moi comme à la force du jarret ou disons commeà l'arraché passer ainsi de front ensemble en tant qu'on erst nous-mêmes un ensemble qu'on est nous-mùêmes cet ensemble de deux choses qui sont comme collées en vrai entre elles en tant qu'ailes et du coup traverser traverser ce dernier muret foncer tracer aller le plus vite possible si tant est ensemble toucher eessayer env rai de dépasser ainsi cette sorte de mur du son ou de mur du fond et du coup passer passer t-ete et front et hop on sera ou on sezraitde fait comme adoubée on serait adoptée ou adoubée de l'autre côté par on ne sait encore tout à fait mais on se rapproche on avance o,n ose alors voilà du coup on se rapproche ensemble ici d'une peut-être sorte de données dite de bout du monde données docte on aimerait on voudrait on voudrait grave trouver et du coup cerner et comprendre ensemble en tant qu'on est fée ou une fée ensemble ces données dxe roche données hautes ce tracé qui est ici ce trait d'une sorte d'anfractuosité par où peut-etre en vrai on peut ou on pourrait passser sans trop se casserr eh bé le cornichon et hop aller de l'autre côpté traverser ledfit dernier muret de cette soprte de rotonde ou d'enclave haute enceinte ronde hop on monte on essaie ensemble de creuser des choses pour comprendre et cerner de nbase les données profondes d'une sorte d'aprsès d'après -mort ou d'après la mort comprendre c''sst toucher on sait on commence à cerner de rage ensemble pas mal de données données hautes profondes comme allouées à une szorte de passé de roche et nous de nous y enfoncer sans jamais vraiment traîner tellement on a envie en vfrai de creuser le plus possible en ce quartier des données ultimes eh bé la vérité ou vérité des vérités on a envie en vrai de tracer de chez tracer sans nous réfréner ou freiner ou nous embêter dans cette sorte de passé des choses remontées qui choses hjautes sont comme des faits faits de porte faits de porte haute qui remontent qui vont ainsi comme à la rencontre de notre comment dire envie peut-êttre envie vive d'en découdre pour la vie sur ces questions de :mort ptrofonde de mort haute etcetera de mort qui serait en vréi une sorte d'entre-paroi ou d'entre-voie ou d'entre-côte ou comment on pourrait dire quand on sait que ça là -bas est une sorte de nouvelle donhe qui serait comme peut-êttre une sorte de parole ou sorte de quoi de verbe en tas ou comment petit pas petits pas de rage on en avance on voit ça on comprend ensemble que oui on se doit de pour le coup^tracer de base u,n cdertain nombre de traits sur joue traits de rage sur joue pour nous faire comprendre de eh bé on ne sait de qui on trace = on avance mais voilà on est feée francheb fée de france ou née en france et parlant la langue fra,nche franche ou pas mais la lan gue qu'on a en soi ou que l'on parle incidemment est de fait une langue de base soit de rage et sert ainsi à se frayer ici ou là de vie à trépazs une sorte de passage dans la soufrrrance ou pas dans la souffrance ça dépend des fois mais voilà en vrai on essaie ensemble c'est à dire seule toute seule mais ailée soit comme dédoublée de tracer de rage une sorte de treait dit de passage et dès lors de passer ensemble ailes de fée direction l'après c'est-à-dire ce peut-être sein ou sinon sein antre ou sinon antre corset ou comment qui en face nous rega rde en qauelque sorte ou nous attend ingénument nous mate dans nos tracés circvonvolutions de fée ne nous lâcghe pas une seconde nouys regarde de la tête aux pieds et aime ça on dirait nous mater nous rezgarder
ne psa ds'arrêtrerfr de grave mater notree fa çon de voler ou voleter direction le néné c'est-à-àdire ici ce rond de lait cette sqorte de rondeur à lait sein de mère à lait qui est devant la mort ainsi parachevée derrioère à nous attendre sein à l'air le corset ouvert prête à nous donner en vrai son lait de mère altière lait pour féee-bébé pour fée de roche qui du coup ont passé la porte et kles voilà qui osent qui n'ont peur en fait de pas grand-chose sinon quoi la mort axiale peut-être même pas on monte on regarde iici et là on mate grave on veut comptendre ensemble la paroi l'ultime paroi sage ou savante le trait de passage on envoie on essa&ie de rage de passer ensemble à treavers la base et hop tracer passer-tracer et nous retrouver del'autree côpté à pouvoir ou peut-être devoir téter le lait qui est ce lait dit du passé d'un passé tracé passé haut haut passé des treaits et autres tracés desz données de roche on est hautes parce que voilà on monte on ne cesse ici et là de greave nous hissser au plus haut possible sur pareil muret a fin de trouver exactemeznt l'endroit par où en tant que fée des bois ou fée du pré on peut trouver incidemment ou invariablement à passer notre corps lové et hop traverser filer passer donc de l'autre côté côté sein donné côté lait de trait ou même on dira côté passé soit côté passé vrai traverser filer et nous coller à ce néné de roche haute ou dit de roche haute filer c'est forcément tracer et nous coller à une sorte de dessin de porte qui est une sorte de tracé fait à main levée sur roche genre aiurochs eyt nous de nous loger voire lover en cette sorte de tracé de porte anfractuoisté pour une entrée -fanfare en cette sorte de rotonde ou d'enceinte prairiale aux bêtes -masse on entre on regarde on entre ensembvkle on mate grave les betes de salle ces aurochs et autres buflles amadouées bouquretins des prés anti:lopes au taquet c'est sûr que nous on aime mater ce genre d'animaux de pré qui sont bêtes tracées bêtes sur pieds groooses bêtes au frais on aime on mate on ne cesse de regarder et de se dire que peuut-êttr oui ces bnêstes ainsi treacées sur paroi ornée sont bêtes de trait sqoit bêtes par où peiut-êttre on peut espérer pouvoir il xwembleraoit passer passer à travvers traverser b^etes à traverser il sembvloerait on ne sait pas mais peut-être qu'en effet voilà ces bêtes de poaroi servent à ça à traverser la rochevoie et hop njous placer ou situer ensembkle en tant que fée c'està dire deux ailes et un corps maigre fait de verbe ou ccomment on pourrait s'exprimer car on est dans la mort fée on est des fées une fois la mort a chevée ou parachevée c'sst-à-dire octroyée ou offerte ou donnée on se retrouve transqformée ezn fée ou fée de cimetière on est toute changée qu'on soit au tout départ un homme de fait ou femme allouée ou autre chose mille choses peu importe auu départ ce qu'on est en v rai parce que voilà une fois qu'on se retyrouve eh bé décédé on est fatalement remodelée reformée renouvelée sous fotrme de fée dit des prés ou dite des prés car voilà on se retrouve dans un pré de base pré de rage pré aux bpêtes sages sqoit savantes elles savent elles en xsavent lourd et large elles nous matent on est entrées on a passé la roche initiale roche de grotte roche profonde et dsu coup on monte on est en vrai comme soulevé a ttirée tractée par une espèce de force drôle drôle de force qui nous époumone nous pousse fort nous tracte sans cessser nouys pousse et nous pôusse encore à monter de chez monter en cette sorte d'enceinte haute rotonde des rortondes on est aspirées ou commpe aspirée et du cfoup oui en v rai e,n ezffet on peiut dire qiu'on est comme remontée et qu'on se porte haute au plus p^rès de l'ultime muret qui nous est présenté en cettre sorte de r(otonde aux donnhées bestiales floriales praioriales on monte en haut ou tout en haut on monte les niveaux les différents niveaux de roche on creuse sur peau peau de roche on veut tracer de chez treacer on ne veut plus s'arrêter on veut poursuivre sur notre lkancée et essayer au plus possble d'y aller de creuser la roche haute le muret des fonds de poche et hop piquer piquer du nez traverser la poche hop passer soit passerr rensemble c''sst à dire ailée ce dernier muret direction cette sorte en soi de sein de roche ou sinon de roche peut-être de poche ou comment car voilà on ne sait pas on veut comprendre comp^rtendre et toucher tracer et aller en ce dernbier tronçon de roche direzction ce tra&it trait de poche verbe haiutain verbe des fins verbe alloué à une sorte de passé bon train qui vient vers nous il sembleraiot comme nous rtetrouver ou disons retrouver comme si de fait il nous cvonnaissait ou nous a vait déjà connu à l'occasion dans un passé ancré lointain un peu reculé et pourta,nt c'esst en vrai on dirait demain demain matin un passé programmé qui est donné et a ussi une donnée qui est pour ainsi dire allouée à une sorte de tracé marqué incrusté comme gravé à même cette roche aux nénés szoit ce sein des sein frontal des bouts de rocher et autres fins de pré matutinal on mùonte on creuse on saute on a envie en v rai ensembvke de creuser de chyez creuser le sable des données hautes et du coup de passer ensembgle bras cou genou pieds et panse en cette sqorte de passage dense et hop aller ou comme aller pour de fait toucher à ce nhéné plein de lait qu'il nous reste à attrapper et à téter sans plus lambiner on se doit de grave attrapper ce dit néné des fins de pré ou de l'après de l'après-prairie bêtes au taquet herbes données et du coup téter à c e bon lait ici de mère assoupie de mèree endormie ou à moitié endormie et s'en gargarisezr pour ainsi dire avaler sans discontinuer de ce lait acide ou pas acide ou sucré ou plus ou moins sucré de mère fluyide mer de lait haute contrée on aime le lait c'est vrai que nous en v rai on aime beaucoup le lait on mpourrait facilement en boire toute la journée vsans nous arrêtrr on adore le lait la mer de lait le lait de mère et autresxd laits de verbe c'sst un fait avéré et avoué comme quoi de fait le lait c'est di nfgue comme on l'aime on pourrait sans se forcer en boire des tonnes des ;litres entiers sans nous arrêter boire de chez boire plein de lait et s'en gargariser s'en faire des gorges profondes en roter $sans gêne comme des bébés eh bé qu'en vrai à présent on est on est redevenue bébé la mort l'enclave de la mort passée ou dépâssée on était la fée des roches et puis hop on a sauté le rubicon de l'ultime porte et on est là de base qui tétons à ce téton de base sein donné lait nacré saléb -sucré on se régale on tète bde chez téter ce néné donné d'une sorte de mère allouée à quoi à un derrière à un passé derrière à du passé de ferme à une sorte de passé hors cimeztière on cherche c'est-àd-re qu'en vrai on a pas fini de chercher on est lancée on v eut toucher et aussi cerner mais squrtout téter mais quoi on dit que téter et toucher-cerner ou cerner-comptrendre c'sdst pourainsi dire du pareil au :même est-ce que c'est vrai est-ce que vraiment on peut tabler sur un dire tel sur pareille donnée affichée sur pareille sorte de donnée de roche on ne sait onj creuse en vrai on creuse la roche on ne cesse de creuser la roche on a envie ensembkle de tracer et de compre,ndre ce qui est de la mort donnée de ce qui nous atte,nd après le pré c'esst)àdire dans l;ongtemps car la mort en vrzi est un temps donné ramassé comme circonscrit en termes de paradisou dr'éclaircie au sens cde claireière mais en vrai après après la mort c'est-à-dire derrière il y a autre choswe il y a une sqorte de mer de roche mer haute c''st-à-dire ancienne encore plus ancienne qu'ancienne on pourrait dire et cette mer cette sorte de mer des données hautes et profondes est une mer de lait mer haute emplie de lait de loait de roche nacré lait de trait qui est du lait non écrémé non pasteurisé car directement sortyi duu néné de bête altière ou de mère s'il s'agit de fait pour l'occasion de lait de mère et non de vache de tra&ite vache sacrée s'il en est mais on dit parfois que la vache sacrée et mère de trait sont une seule et même sorte de personne à lait ou disons aux pouvoirs de lait ou aux pouvoiurs lactés vache de trea&it et mère naturelle ou non naturemmlle mais de fait nourricière vache-mère le lait on aime on aime téter soit du lait de mère soiut du lait de bête brebis anesse lait de vache de trait ou de vache d'ambre on aime tétyer c'est vrai que nous sans rire on adore téter on pourrait téter à longueur devcsemaine sans nous arrêter une seule minute sinon en vrzi pour roter de temps à autre et nous soulager de la sorte nous requinquer nous remettre et hop re-tétée on ose on ne cesse de téter le klait on aime grave téter du lait on adore ça on aime à la fois le lait et auussi téter on pôurrait sans se démonter téter de chez téter à :lo ngiueur d'année sans pour auta&,nt en péter on pourrait facile téter des m=ois durant avaler le lait des tourments du passé des tourments du passé du passé donné octroyé en passant c'est-àdire pendant que voilà on erst là le nez sur le passé à téter du lait et hop on ingurgite on s'en gargarise on avale grave on se dit que oui le lait nourrit qui nous remet ezn quelque sorte hors parade dans un sac de roche ou poche hauute prête à quoi prête à se revoir peut-être là sur terre sarde à cerner de base un paysage sage paysage de voix ou comment on pourrait signifier pareille contrée qui nous regarde ou semblerait nous regharder dès notre néaçsszance cercle alloué nà une sorte de passé comme remonté sou forme a nimale d'un bébé de france ou disons en ce qui nous concerne ici de france chacun son paysage sarde pour nous il est de france parce que oui ici albi la france une sorte de pays des transes et hop nous voici nourrie on tète une mère assoupie en colère du verbe on tète du verbe on trace on est sales on est donnée et une donnée on est ce bébé des do nnées de base qui pour le coup et en vrai cherche vif àattrapper le bout dsu sein p ôinté nprêt à être secoué ou disons absorbé ou disons entouré de lèvres à coussinet et hop on tète on aime on aime bveaucoup le lait on vouléait téter eh bé oui voilà on tète on ne s'arrête plus on aime téter le néné v elu le néné donné avec ses petits poils tout enroulées emberlifcficotés nous on adore on aime ce lait dit de roche on monte on se retrouve ainsi à nouveau rtransformée non p;us cette fois-ci en une sorte de fée des prés mais voilà en une sorte de bébé des voicx bébé docte bébé de porte qui comptend des choses ou pas mal de choses au son des voix qui font que voilà il monte il cerne il devient elfe il devient le moi roche haute des parois le voilà qui ose en vrai creuser sur pied une sorte de destinée de la vcoix montée ou sinon montée redressée et hop on monte on va on envoie on essaie de base de comptendre ensemble ma foi ce qui va et ce qui ne va pas et là on se dit que peut-^tre oui on va pouvoir un de ces quatre mieux comp^tendre et toucher à cette chose d'une sorte de paroi finale ou terminale mais qui en vr(ai est une sorte de passage vers un enè-ième convoi de choix de bêtes de salle aurochs ou pas on ne sait pas o,n raegarde on wse dit que voil:à on a pas lmal encore de temps devant soi pour arriver à un jour comp^tendre cerner enfin toucher à une sorte pour le coup de vérité tracée de vraéi tra cé de vérité ancrée nacrée ou comment elle est ou sezrait ou sezra on ne le sait pas on est là poiur le comprendre ensemble et tracer de fait sur paroi le bout de gra s tracer ample chargfer de bêtes de parade et hop on colle on sonde on veut toucher ensembvle cette chose qui ici semble vouloir à nous nous faire signe nous donner du mou nous dire des choses nous vouloir pour elle dans la poche ou comment en vrai car on ne sait on ne sait ni qui c'esst ni ce qu'elle manigance ou disons envisage envisage avec nous qui est-elle et que nous veut-ellle qu'est-ce qu'elle veut ou qu'est-vce qu'elle vcoudrait ici nouys dire en ce passé des dires tracés ou sinon tracész simulés que veut-elle stipuler qu'est-ce qu'elle est qui nous serait utile ou comment dire on vibre on va on est là pour comptendre ensemble une pâroi un antre un p)ré de france c'esst)àdire de la,ngue avec bêtes-mots de façade-parade et mur haut qui est ce mur du fond dit mur du son qu'il nous importe en tant que fée ailée de traverser sans trop tarder et du cfoup de cerner de chez cern er et de voir à comprendre de fait ce qui ici derrière sezrait à vouloir se tramer en termes de peut-être lait des l :aits lait de mère ou mer de lait peut-être d'auiilleurs plutôt de mer de lait une mer de lait la mort passée c'est-à-dire dépassée une sorte de mer de lait ent§iezr de mer de lait non trafiqué soit naturel de chez naturel mezr haute mer post-pré post-roche post-tracé d'herbes ou post même cimetière car oui le cimetière est un temps donné mais la mer lactée est plus loinrtaine qui est prête on commùence à nous y retrouver à comme nous embarquer et hop lait de mère intègre non érsdulocoré non trafiqué naturel de cghez naturel une bonne tétee direct au néné au néné de mère pour une ghorgée et plus qu'eune gorgée ou plus qu'une lampée de ce lait naturel afin de oui voilà en avancer en ce tr acé des post-parois des termes termes tracés teerrmes des termes soit des finalités de terre on aime et téter et taire ce qui en vrai ne peut êztre pour le coup for(mulé on dira citera wittgenstein on ne traîne pas on trace on avance on veut grave ensemble toi et moi et main dans la main comp^tendre ce qui va plutôt et ce qui ma foi peut-êttre ne va pas vréiment oupas commùe peut-êttre on le souhaoiterait concernant ce tracé post-pré cette voie d'accès au-delà de l'ultime muret et cette sorte de néné naisssant ou renaissant qui viendrait à nos côtés se donner à téter sans se tourmùenter sans faire plus que oça de simagrés de manières génées ou autres gênes tentaculaires on aime le lait on veut en teter parce que oui on aime on en redemùande on est comme une sorte de petite bande aficionante ou comment on pourrait dire pour ici se faire comp^rtendre on adore l'ambre lait de chambre on adore téter on adore boire et avaler du lait une mer de lait est-ce raisonnable qui croira ce fait qui voudra obtempérer et do nner en vfrzi de son acquiècement à pareille salade sauvage envoutante peut-êtrte mùais hum complètement tarée ou sinon tarée complètement à la ramasse d'une sorte de pensée sous chanvre ou va comptrendre or en vrai on voit on sent et on entend dees choses qui peut-être ont l'air folles à première vue mais voilà on dit ça ou ça on trace on avance on dessine des surfaces on dessine aussi des formes peut-être risiblkes fortement risibles c'est possible mais en v rai ce risible ici est une forme comme qui sait assoupie d'une sqorte de parole docte autre ouccomment dire car oui ce qui ici nous semble ou nous parâit risible ou hautement risible est du dire masqué dire de trait de haut trait ou de trait haut qui ne peut de base swe montrer de face mais en vrai est est le passé est passé de haute volée est du vrai de vrai passé de haute ou très haute volée ou nichée qui contient ou contiendrait nombre de véerités des vérités comme on ne saurait les imaginer en tant qu''humain / humaine des contrées terrestres et autres bêtes surnuméraires le passé renaît qui se voit alloué à une sorte de post-pré soit de vie a&près la mort comme qaui dirait méis qui le sait qui ose qui prononce en vrai les donnéesz profondes dires-faits qui connaît la roche comme sa poche qui comprend le rire haut des sorties de rotonde et autres enceintes-préau qui sinon soi c'est-à-dire la voix voix de haute-contre qui envoie du bois grave la roche trace ses paroles à même la paroi des gtrpottes en v e"ux -tu e,n vfoilà et nous voilà hautes hautes voix des voix de roche on monte on envoie on voiut on creuse on veut cerner ensembkle les dsonnées de base et du coup comprtendre da&ns la profondeur ce qui ici ou là se passe sur paroi de charge et aussi nous regarde nous mate nous regarde tracxer comme à main levée et de rage un grand nombre vde données qu'on ditb animales et c'est vrai elles qont anuiùmames p ariétalement animales mùais pas que parce que la bête ici des cieux est bête à bon dieu bête -être bête-mots de roche haute traéit des traéits passage docte on peut creuser on mùonte on passe on veut toucher en wsemble le passé de france ou plutôpt szon passé à soi de france et navarrres p)assé-danse trait pour trait tracer de chez tracer comprtendre = donner donner du frais du passé frais à cette sorte de romance des données du frai et hop en avancer grave de chez grave en ce dit passé aux nénés et donc au lait au lait tiré trait et de fait donné à ce bébé re-né qui vient de france soit du franjçais de la langue franche renaître de ses cendres comme qui dirait eznfin il nouys srmbkle et nous de nous laisser charmer peut-être à genou par tel néné de gnou néné né le mur travezrsé soit après la mort donnée mort avérée on voit la chose chose ronde néné né le mur passé qui est néné de tous lesz nénés une sqorte de don lacté ainsi octroyé à une sorte de bébé rené ou qui swera&it rené du fait que cvoilà on est morte et enterrée ou plut^$ot on est mort ou morte et entérée / enterré et là on monte en tant qu'on est ou qu'on a éteé transformée en fée en fée de roche ezt de pré on monte on pousse la porte dite porte aux fées et on se retrouve tout guilleret rechangé remodelé en forme de bébé post-porte comme qui diraiot soit de bébé de lm'après-roche du dernier muret des finazlités finalités ancrées et autres termes de contrée p)rairiale de type pré pré des prés pré fleuri au taquet et autres champs de blé dit p ara dis on trace et hop on se retrouve sur plzplace prêt et prête les deux ensemble à de fait téter en wsurface puis en profondeur le laiçt en souffrance lait de france = klait donhé d'une lan gue en particulier ici la langue fra,nche et le tour est joué on se vfoit téter o nn est entrée on est passée et nous voilà le nez collé à ce néné de bout de rocxhe dont le nom donné est poche poche à lait poche de lait quand bien même en vérité le sein n'esst pas vraiment une poche ni un réser voir mais une sorte de vsource primaire sqource vive aux données vives dont ici le fvruit erst une soprte de parler de vie parler vif ou p arler en vie ainsi délibvré d'un passé meurtri ou comênt stiupuler les données du bruit des anciennetés du passé tracé des données cuites et auvtres mets moins rafffinés on ne sa&it on trace on cherche ensemble à nous y retrouver en cete sqorte de post-sarabande des données qui toutesz de fait ressemblent à s'y méprezndre à un passé déjà traversé il y a des années en france il sembvlezrait ou sin on e,n france en espagne ou sinon en espagne en pays sarde maiçs qu'esst-cfe qu'on e,n sait que sait§-on des traces du passé maussade du parler ancré des données de trait et autres traites de l ait ancestrales on cherche à comp^tendre on essaioe de comprendre enwsemble un certain nombre de données données qui toutes réunies ensemble et accolées pourraient en vréai nous en app^rendre grave et nous donner de quoi ruminer de chez ruminer quelques années sans jamais qui sait fatiguer du fait que oui le passé est dense large encore largement à devoir explorer en toutes ses contrées on ne demande qu') à téter et du coup explorer ledit passé des données hautes et autres tra its de roche ancestralesz téter téter à ce néné des entrées post-roche un néné de poche mer lactée qui sait on pourraitv en douter mais nous on a plutôt envie d'y cr(oire d'aimer de toucxherr à cette choseciici formulée comme quoi la roche passée on se retrouve tout ou toute retournée à devoir en vrai et de fait téter du bon lait de mer ou d'une mer de lait telle qbue l(aprreès l!'après mûret nous la réserve ou réserverait qui sait on pourrait le penser se dire que oui en effet la mort passé le passé lacté revient ou reviendrait à grandes ebnjambées reformulation reconsidération révolution reactivation ré vision de données hautes hors rotondee on le croirait et peut-êtrte qu"'en effet c'est vrai c'est pas pipeau ça sezréit ça serait en vrai que oui le lait ou du lait post-pré nous attezndra&it s-ous forme infinie de mer agrandie ou comment on pourrait décrire dire expliquer cette zorte ici de mer egée de mer rouge aux traits de mer des accès des données naturelles on cherche c'est vrai qu'on est pas arrivée qu'on a pas fini de chercher que les données en v rai question mer de lait ne sont pas données et dema,ndent ou demanderaient beaucoup de travail de travail de recherche d'exploàration en leurs moindresb recoins et autres coins de haute porte on mùonte on ne cesse en szoi de monter sur roche mais voilà la porte est encore haute de chyez haute le chemin est nlong qui nous voit aller aller de chez aller un peu poussivement parfois voire carrément lentement à la conquête ou comment dire d'une sorte de qui sait paradigme non édulcoré mais bon on ne traîne pas mais le chemin monte drôle de roche ça monte on vole maios voilà loa porte est haute on la voit de là de là on se pose mais elle est encore drôlement haute encore très haute pour nos bras nos ailes et bras ça monte on y va on envoie t§out ce qui en vrai pour nous nous est possible d'envoyer en soi mais vads-y de rage c'est pas si facile c'est coriace on a le vent en face on se fait en vrai souffler de base sur nos visages on est freinée de base par du vent de face on trace ma&is le vent de face nous fr$eine ralentit un peu et nous empêche de tracer mieux d'aller plus vite et mieux vers une sorte de mer des feux des feux-miroitements acqueux au lait de traits continuellement renouvelés comme peut-être autant de vagues on veut comprendre on en a pas fini e,n vrai de comprendre-cerner toute cette sorte de payasge de données marines et autres dobnée dites du vent donné on monte on creuse on veut toucher à ce néné des données les plus hautes qu'on pourrait en vrai ensembkle rencontrer en ces contrées du bout du mùonde on est quii on est des bébés qui avons tracé pendant un lo,ng momejnt sur pré en tant que fée et à présent on est comme à se laissser porter ou guider par une sorte de mer a&paisée mer de lait qui nous emporte nous porte et nous apporte grave jusqu'au port qui est ce port de base ou port-base où pouvoir de fait enfin se poser soit se reposer de tous ces tourments soit de nos tourments passés traversés vécus de près et dsu coup soufflezr de chez souffler et essayer dès lors de nous retrouver et de nous requi nquer sans plus tarder essayer de nous y retrouver en toutes ou sur toutes ces questions de néné donné de mer de lait de vagues renouvelées de vent mauvqais qui sait et aiutres faits de flottaison on est le bébé du pont on veut surtout téter le léit donné d'une mer non agité et s'en gargariser à volonté si tant est avaler le lait être tout à l'unisson d'u ne succion comme accouplé à une giclée-don de ce lait trait et hop on tète on ne s'arrête plus on aime grave téter le lait soit le lait donné des dxonées de bosse = sein donné comme à la tirée ou même sein donné du fait que oui on est montée on a traversé le der(nier muret et là on a croiçsé eh bé ledit néné qui nous attendait qui nous voulait pour être soulaghé soit dégorgé et comme vidé de son lait de poche ou de roche -poche et hop téter téter du frais du non frelâté du lait enfin donné vcomme une sorte de denrée haute ou la plus haute des denrées qui se puissent excister et être ainsi donnée hop du lait on monte on tète on se dit que oui il y a ici après la mort après le pré qui est un paradis une sorte de contrée de vie quyi est qui sait contrée du passé le passé remis ou replacé au gouût lacté du jour redonné on regarde on trace on a envie de voir du pays de comprendre nos envies ce qui nous anime da ns la vie ce qu'il ya là qui serait comme en souffrance en soi en tant qye voix paroles de soi mots tracés ou pas m ais au moins prononcés du coup à haute voiux et ces mots de base ou mots de rage sqont foi foio de roche et bois foi animale foi des rois et reines sardes foi en cette sqorte de paroi des rois et rei,nes des voix on passe on regarde on veut cfomprendre et du cfoup cerner à ce néné des données finales ou terminales et hop c
reuser charger allouer à du passé les mots d'un antre qui est antre aux données de rage données sages vraies donnhées du ventre une sorte de parade immense et nous voilà comme autrefois à chercher à comprendre ensemble le pourquoi des choses ici -bas choses d'une transe ou d'une danse de sabbah et pourquoi la raghe la paroi les dessins-traces bêtes de poids qui nous font face en veux-tu en voilà pendant qu'on trace qu'on en avance qu'on envoie qu'on cherche à comprendre une sorte d'envoi de mots dans l'au-delà de la mort franche on e nvoie mais pas que ça on trace et on envoie mais en vrai pas que ça on file grave dans une tourmente ma foi mais on s'en bra,nle on veut comptendre comprendre et toucher ou comprendre-toucher à ce néné ou ce néné rempli de lait et en vrai on espère que peut-^tre" qui sait on finira par y arriver et du coup de s'expliquer ce qui ici est qui est du lait on dirait une mer de lait une vraie de vrai mer de lait apaisée mer apaisée et lait aussi qui sait apâisé et hop à devoir vite fait téter de chez téter sans traîner car la faim nous presses qui ici post-pré nous tenaille nous pousse grave à attrapper l e bout du sein le teton mordoré et à le pincer pour en faire sortir viteuf du bon lait de roche et hop envoyé c''st pesé ou pesé envoyé on ne sait on mùonte = on tète la bête = vache à lait de base on veut tirer = téter le dit lait de vache qui nous plait qui est pour nous donnée des données et nouys voilà qui sommmes ainsi en tant que bébé mis au pli du lait tout alloué tout donné tout apporté et hop on tète sévèrrre on est qui on est comme peut-etre des petits de fée on est comme nés d'une fée né de fée qui s&it ou alors on est la fée qui s'est transformée en bébé une fois la mort passée soit le cimetière la terre la tombe attitrée hop un bébé naît qui lui veut téter à la mer de lait qu'il voit en sa jetée en ses ondées vagues de lait sur vagues de lait il tète = on tète on ne cesse de téterr du lait car le ;ait c'est vrai qu'on l'aime on ne pourrait plus s'en passer on nje veut plus que ça la mort donnée téter téter en vrai téter de chez téter et ne plus nous arrêtrer jusqu'à sa&tiété jusqu'à êztre repu complètemeznt rassasié qu'on en puissee plus et là alors on pourra se poser et se reposer dormir sur so,n passé et rêver à des données de roche à des choses enlevées à des histoiresq drôles ou sinon drôles hautes de foi en soi en la p arole en tant qié'élément de la roche faisant foi faisant ainsi qu'une sorte dee passage docte etst ou puiise être de fait là pour soi de mort à trépas parole haute docte de moi à toi ou comment dire d'un endroit de soi à eh bé qui sait un a utre endroit de zoi ,on monte on essa&ie ensembloe de toucher à cette porte d'un dev&njt de soi qu'on n'espérait plusz auquel on ne pensait plus ou plus vraiment alors que oui ce tracé qui est du passé existe est toujopurs d'actualité ne cesse de lorgner sur nous de nous mater de la tête aux pieds genoux poignets épaules rentrées qui sait et qui ça pourrait on ne le sait on cherche grave à pouvoir cerner cerner de base ledit tracé ce qu'il représente ou représentzrait de face et aussi de profli qui sa&it on veut connaiottre ou on voudrait connaître tous les paramètres toutes sortes de données qwui seraient de fait activées à jamais c'est-à-dire actives de chrz actives les cerner arriver à s'en faire une idée précise toucher szerait cerner soit comprendre pour de vrai les assises les données concises les portes d'entrées les portées et tracer dire et tracer ce qui nous attire ou nous retiendrait de toutes ces données exquises de pareilles frises aux bêtes cendrées massives qu'est-ce que c'est c'est des titres dires alloués à des données vivess une qsorte de parade grise un vrai trait de prise on ne sait on veut toucher on veut en avancer on veut aller ensembkle le plus loin possible ezn bbande creusqer passage trafiquer e,nsemble et a(rriver enwsemble à traverser eh bé sinon la banquiçse le muret aux frises et autres tracés représentant ici en superposzitions les bêtes du pont et hop on passe la tête en arrière vers le mamelon sein donné de front et hop on tète on avale lait de rage ça le fait grave on adore téter on vfoudrait tout le temps téter jamais ne nous arrêterr dire$-téter du dire-lait comme s'il en pissait ou comme si on en pleurait sans pouvoir s'arrêterrr si vous voyez ce que je ve ux dire téter vif le lait de mer = mer morte ou mer égée ou mer :éditerranéee lait donné est lait de porte ou comme dit de porte et nous d'en avaler sans honte le lait est du lzait sa,ns qu'on ait pour le coup besoin d'e,n avoir honte ou comment honte haute comment voir comment cerner car le lmait est lait d'une sorte de teracé nacré vagues de données lactées comme il nous sembvlezr ait on monte on tète on lève la tête et là que voit-on une sorte de lumière frêle m ais vive quand m)ezme qui nous éclaire venant de derrière donc peut-^tre d'un passé de roche passé haut sous le niveau des eaux ou sinon haut peut-tre passé bas du p^lus bas de soi ou sinon quoi on passe on entre on regaérde on veut comprendre parce qu'on veut entendre comprendre = entendre entrendre pour soi une sorte de voix venant de l'au-delà de soi et c ette voix serait ou sezra la voix de l'a,ntre des données de l'antre d'un tracé entre d'une sorte de passé aux anges et ce passé sezrait comme à vouloir là en vrai nous mater de chez mater comme si en vrai on devait ne pas passer jamais ou plt$-utôt âsser de mur en muret mais szans y passer vraiment jamais juste sauter de'un endroit l'autre et hop rester de chez rester en vie même dans la mort et même après la mort dans cet espace de re-vie de renouvellmement de vie soit de vie vive ujn passé de rive qui en vrai nous verrait revoir ou voir à reconsidérer kles données actives d'une vie de rive post-pré post-muret posqt-alacrité et post -acidité en termes de néné qui est pour le coup à ne pas ou plusb lâcher jamais du moment q'on est à l'avoir attrappée à l'avoir cerné ou pincé pour téter sans plus tezrgioversqer hop du lait lait de porte roche haute o,n veut téter on nje ve"ut pas s'a rrêtter on ne veut que téter téter = boire = avaler = entériner ou emmagasiner du savoir lettré ou comme nt dire éduqué ou sorte de savoir des bases mots donnés mots des mots vdonnées car en vfrai les dits mots de roche soit les animùaux sont des mots qui tous nous sont données ici de proche en p^roche sous le sein donné ou comment dire avec du lait ou en même temps que le lait ou alors disons que e n effet le dire vrai est du lait frais lait de trait qu'on se plaît grave à avaler en veux-tu en voilà parce que voilà on renaît on est re-là on ne cesses pas de re-être à toi à mùoi en cette sprte d'après-paroi qui ressemble à ma foi une sorte de mont de roche a ux voix de haute-contre ou au contraire sisiurrrée ou qauoi d'autre car on monte et en montant on voit et ce qu'on voit ne laissse pas de nous squrprendre on voit eh bé en 1 la mer étale une sorte de mer de vagues vagues bkla,nches très blanch une sorte on dir&it ici de mer de l&it et 2 le ciel de traîne à peine nuageux et sesc rayons de feu venant de dezrrière bref une sorte de pâys de feu et autres eaux de feu surnuméraires qu'est-ce qye ça pezut être on cherche peut-)être qu'un de ces jours prochains ense^mble quiç xait on trouvera on arrivera àco:mprendre on en saura davantage on y verra plus clair en toutezs ces choses d'une sorte de p arade nuptiale sur paroi dite de la foi en cette chose d'un langage ou xd'une langue faiszant passage-traçage à toi à moi de vie à trépas des al:lers de choix pour desx retours de voix à toi à moi la langue sarde un e sorte de paroi des rois et reines sardes un envoi la langue sage va et vient et se bala de et passe d'une t ête à voix à une tête à voix balade promenade ca&valcade corso roi et autress parades amicales on voit ce qu'on voit on veut co:mprendre gra ve la paroi et aussi ses jhoies ses dessins de choix ses bêtes immenses ses traits de commande on trace on veut toucher e,nsemble à ce convoi de promenade et du coup il semblezrait tracer soit toucher soit traverser de r age une szorte de tracé ancré et hop on est d ans un pré toute femme femme dans tous les cas car fée ou transformée en fée et là on s' avance au plusz près de ce dit muret des finalités et on cherche à co:mprendre p ar où en vrai on pourra&it passser sans swe fvaire mal sans s'amocher sans y laissser xdes plumes ou la sa&nté mais fissa et comme fleur de pré tralala passser filer aller nous retrouver de l'autre côté à essayer de pouvoir cerner en vrai ce qui est en termes de mer de lait une vraie mer ou alorsq une mer fausse vra&ie ou fausse ça sezra&it malin de poucvoir deviner cerner dire et comprendre et peut-êttre à j amais pareille tourmente post-parade post-muret comprendre pas mal de ces données fvci nales ou dites finales de quioi il s'agirait de quoi il en reyournera&it qu'est-ce qye ça se pourrait que cela soit en vérité en termes de donnée qu'on dit lacté ou qu'on dirait lactéb chercher de chez chercher ensemble à cerner ici les données qu'on dit ou dirait l ctées du moment qau'il ya ujn néné qu'un sein est montré ou comme déplissé ou comùênt dire du néné montré qui nous serait donnéé sans plus de chichi comme à la retombée d'e pareil muret aux fins fonds des prés on chercherait on cherche on essa&ie on creuse on essaie ensemble de cerner de rage ce muret à quoi il ressemble et par quel trait en lui on pourra&it peut-être se faufiler pour pa sser côté mer salée ou mer sucrée s'il s'agit pour le cdoup xde lait de mer de lai s'il en est et qui sait peut-^tre peut-êztre post-mort au-delà de la mort du port de la mort post-pré donné et traversé il y aurait une sorte d'immensité de type lacté qui wsezrait une sorte de mer au lait ou de mer de lait à pouvoir téter sans plus se gêner ou hésiter etceteraa ça pourra ça nous dira ce que ça pourrait en vrai être pour soi une fois là-b as on eqst des voix on entrte en tra,nse par la voix on se promène de ci de là sur paroi soit sur pré-paroi ou prairie-paroi et une fois qu'on s'est pour ainsi dire assrz promenée qu'on a assez sauté et sautillé exploré dansé aiméetcetera on voit là-bas la roche du fond fond docte fond des fonds à peut-êttre devoir comprendre soit certner sur pied et du coup qui saé&it traverser si on y arrive et on devrait on dfevrait pouvoir ensemble traverser passser chezr cher issue de pré et entrée en cet après-pré qui est sorte de mer allouée à u n e sorte d'imme,nsité de type Verbe Verbe alloué à une sorte d'imme,nsité de type Mer ou alors mère ou mer de lait ou lait de mère ou comment expliquer les donéesvdernières d'un passé ici qui renaiotrzait sur terre il sembler&it en tous les cas on pourrait le penser se dire que peut-ettre en ezffet le trait dit de lumière ainsi repéreé en ce dernier muret sembvle ou swemblerait être un trait par où qui sait pouvoir ensemble à toi à moi traverser de chez traverser vers ledit néné néné des nénées de l'après-mort ainsi dépassée on se dit que c'eswt un fait que cette sorte d'anfractuosité e,n ce muret est une cjhose vraie qu'il nous suffit de savoir répérer et grave le tour est jhou!é on doit pouvoir facilement se faufiler et filer vers ce passé ou ledit passéc a ux données lactées mer de chine vie vive retravaillée mer active mer de lait comme il en existe qui sait ailleurs mais est-ce hé peut-être la même chose une voie lactée dans un ciel de traits on est passée on voit ce lait comme larvé mer étale lactée livrée déplissée comme donnée en ce qu artier d'une post-paroi enclavée on mate c'est vrai que nous de fait on aimera&it comp)rendre et du coup apprendre ce qui ici de cette mort dont on nous parle on doit pouvoir de fait comptrendre en termes peut-être de voie lactée de voie ou de mer lactée voie de mer qui s&it ou alors autre chose voix de mère et dsu coup on aime ou comment follement du fait que e"n effet le passé remonte un passé de trait en effet swzer&ait là sans ou a&vec voix à vouloir remonter vers soi c'est-àdire vers moi ou versq un soi qui est ou serait soi de roi ou reine des voix on monte et on voit quoi on voit une szorte de voix ou comment ça car une voix ne se voit pas eh bé je ne s ais pas pourtanjt voilà on voit ça une voix une sorte de voix qui serait là cxomme une sqorte d'épaisseur de voix voix en soi voix haute et commedépliçssé sur mer de roche ou mer de la&it et hop on monte on creuse on cxhezrcxhe on aime sûr que nous on adore ça cette voie aux ombres ce tracé post-porte qu'est-ce que c'est c'est peut-etre de la roche encore ou sinon de la roche quoi du vide des voix du passé-rotonde ezncore une foisz le cercle des voix ou quoi d'autre qui ici à partir de szoi viendra&it à nous inclure en une sorte de passé de vie ou de passé-vie ainsi défini on veut toucher on voudrait toucher on est qu'on voudrait toucher à ce néné des dsonnées vives qui on est hors frise peut-etre re-^né en tant que néné des données vives on arrive on essaie de base de comptrendre ensemble cette mer étale qu'est-ce que c'est que cette mer étale ce qu'il en est de quoi il est question qu'esst-ce qaue c'est que cette chose d'un tracé post -pré qu'est-ce que c'est que cette chose la mort passée ou dé passée d'une sorte de donnée lactée de type mer méditerranée venant se jeter squr nos petits pieds à nouveau lancésq on ne sait on v eut comprendre c'est-à-dire voir soit tracer ou dessiner à m&in levée un certain nomnbre de don,ées de base genre le passé ce vque cc'est la base des deonnées en tant que verbe alloué en son intégralité ou en son entierreté à une sorte de ici marée éternelle vab-et-vient nacré de vagues de verbe et autres traits d e verbe sacré ainsi rejoués on monte on ose on veut coller à ce passé du verbe ainsi tracé et nous montrer dee fait de la sorte à cette déité du nouveau monde ou du monde nouveau de la mort passée dépassée laissée en arrière ou comme laissée pour trépassée morte à jamais laissée pour compte et nous de traverser la rocxhe à la une à la dxzeux sans anicroche colmme fleurs de roche hop on monte on mate on voit bien ici et là que des choses se passaent vont et vienheznt se tra cent se gr avent sont là qui sont tr ace's d'actes dee paroles avec ou sans voix on y croit on voit que ç'en avance grave xdans le sens où en vrai on voit que oui le pli ici est pris quyi nous envoie pour mieux comptendre sans manières les données de base ou sinon sansb manière d'une façon toute personnelle ma i s comment dire communautaire les données données par une sorte d'entité p articulière de type néné ou néné-mer ou néné qui ser&it la mer ou bien néné né de mère donnée et hop on tète on téète en vrai on a ime téter on cxherche grave à bien téter de chez téter pareil néné de m^ère méditerranéenn,ne on le sait et hop au néné à boire-téter sa&ns se faire prier on aime on veut grave téter on veut téter de ce néné de bpnne mère dxont le nom serait méditerrranée ça pourré&it le faire qui sa&it une mer de lait nousqcsezrait octreoyée la moprt entértérinée à jamais ou à tout jnamais d'une certaine manière puisqu'à chaque fois on renaît de soi on renaît autre autre que soi donc voilà la mer est be"lle qui est toute dorée de wses reflets de mer lactée on aime cette mer de lait on veut la téter en boire quèelmques goulées et hop s'en vgargariser aglou aglou car on sait on sait téter on s ait roter on sait av a ler et aussqi se gaergaroser de ce lait de gnou ou sinon de gnou de bête dees prés ou szinon de bête de néné néné des nénésq d'une mer cendrée on ne s&it on cherche on trace on cherche à tout va ici et là on chercxhe = on essaie = on s'essaie à dire du coup un certain nombre de diresb de tr&it des foisz que en effet un dire ferait mouche qui dira&it du laéit ce qu'il en est en vrai est-ce vraiment de lait dont il est question peut-on réellement parler de lait qua,nd on évoque la questioobn des dites fins de pré ou des ditesx finalités ouvr ant sur une soerte d'après soit d'après-vie ou de vie qui serait située après le moment de la mort ou de cettte mort qui fait ici question peut-on parler de lait post-mort ou post-mortem peut-on envisager une sqorte de contrée contrée de la mort mais qui ser&it de fait sorte d'antichambre à une vie reznouvelée à partir de lait et si oui ce lait de quoi est-il le fait ou bien l'image car en vrai le lait ici pourrait parfaietement n'être qi'une image image connotée on le saoit mais qua,nd même on voiçt du lait on a sur nous l'odeur du lait on a en nous sur le palais le goût du lait on vit le lait intensément la mort passée ou traversée on se dit wque qui sait mouyrir c'est retrouver à volontéb le lait de vie du bon lait du pis lait tiré pour ainsi dire à volonté pour nous en rassasier nous en donner donner jusqi'à sati§été afin de nous alimenter commme il le faudr ait ou comme il le faudra ou comme on se doit ou comme il se doit car voilà téter est un acte de trait de trait tracé de fil doré de filet ou de fil de lait ou perle de léit venant trouver notre gosierr comme évéilllé ou cxomment dire notre a lacrité notre volonté aiguisée notre envie vive d'y toucher ou d'y goûter sans plus tardxer une dfois soi-même comme enterré ou entériné en tant que on sezrait un être décédé pour la cxommunauté mais en vrai tout remonté sous forme de fée fée des fées fées d es ombres et nous voilà t§oute envolé qui allons volons traçons à la recherche de la vérité à propos de ce passé qu'on retrouverait comme à reculons en quezlque qsorte si jamais et hop on poussse la porte on est prête à traverser on subodore la chosexle passé n acré après la porte retour au furtur sur un passé de bure et autres petits faits comme déplissés on est fée puis bébé qui xherchonsz à téter et on trouve de quoi vite fait car le lait est là au bou!t de zoi ou au bout des doigts ou au bvout de la voix voix docte haute d'haute-contre ou pas mais une voix voix de r'oi voix haute de roiou de reine sarde voix sarde de soi hautement placée sur portée de rage on envoie on veut comprendre on veut grave co:mprendre on veut tracer on v eut cerner on a envie e nsembvle en tant que fée de comprendre ce qui est qui sqe trame ou passe au momenrt du passage de vi e ici mêzme en ce pré à trépas là-bas mais s'agit-il de ça le muret passé va t on droit au piquet va t on droit vers une destinée maussade ou pas de ça mais que du lait lait de base lait de voix voix de lait de rage une sorte de voix de bas-âge voix de soi ou quoi ou autre voix qui serait là à nous parler de voix de voix et de voie en ce paysage de la post-paroi post-paroi des rois reines des lois posqt-pré aux bêtes de poids on envoie on essaie ensemble dee passer ensemble l'ultime paroi paroi aux armes aux trais de charme on veut comprendrte on v eut vra&iment comprtendre on essaie enwsembvle de vraiùent vraiment comptendre ce convoi puis ce qu'on voit au-delà du convoi et de la sarabandee peut être ça une sorte de voie soit de voie dans l'au-delà en la paroi aux ttreaits derage voie haute de cxhoix une sorte de voie menant droit à cette voix dite des voix voix haute ou basse voix de reine et roi ensemble voix de l'antre d'un tracé de base comme une sorte de trainée laissée genre voie lactée voie donnée lactée lait de contiguité et de continyuité dans un passé réactivée à la force en quelque sorte d'une sorte de dicxtée dictée des dictée comme szusurrée sans s'arrêter est-ce que c'est vrai est ce que c'rest de ça qu'il serait quesqtion qaiuand o n parle de mont de mont doré de mer plane de paysage rond et de moisson de banc de poisson de mots sardes de paroles de mer et autres vents de face est-ce ?
14/4/2025
On veut toucher à ce qui est qui se présente devant soi = la paroi ! chant de traces ! pets de rage ! on se rassemble = on fait de soi un corps de cendre : tralala ! foi de roi ! on entre . qui on est ? eh bé ;;;;; on ne sait pas , on va , on avance = on trace = on creuse = on va dedans la roche se lover-cocher, cghercher Mort et ses valets ! onest des fées de Carabosse. Traits ourlés.
Porte haute on pass
Porte Haute on veut âsser et nous retrouver comme "dévoilée" ou quelque chose de cet ordre = déliée ;...... comme déluréee ..../..... complètement désinhibéee ........... olé olé on dirait mais en vrai ce qu'on sait c'est que voilà, on est entrée en la paroi, on a traversé de la Voix et à présent qu'on est re-né en ce champ de traits (herbes sacréess) on veut gagner ledit muret des finalités fin de pré ! olé olé on ne sait mais dévoilèe de chgez dévoilée = sonnée ! comme remuée p ardes données de pré qui sont bêtes d'attreaits = de trait , en cette sorte de "rotonde des entrées". On veut gagner la roche ... au fin fond du pré ..... et passer = sauter , traverser encore ... unn autre muret ...... pour se ou nous retrouver ... de fait non plus fée mais cette fois .../ Bébé ! bébé sauvé !
a traversé muret ! a gagné un autre côté aux valeurs tracées : gris des traits et autres couleurs mordorées ! on veut entrer ..... passer ..... pou ssser en ce côté jusqu'aux finalités des finalités . On est des bébés... on est en vrai comme des bébés la mort achevée. On est cfomme toute retournée d'avoir réussibv à passer (d'un coup d'aile) le .... passé donsdaine ! vérité des vérités ! on cherchait, on n'arrêtait pas de chercher , on voulait trouver de chez trouverv ! on n'avait qu'une envie quiétait de trouver, ici et là = post-paroi, une sorte de sentier menant à où (à présent) on sait , à pareil tracé, côté Elfe, côté Lait, côté npn plus cendré mais comme dégagé de chez dégagé afin de bien poiuvoir téter pour ainsi dire le bon laéit de mère, lait-traits, lait post -pré , lait de mère allouée à une sorte de Divinité dont le nom gravé "" (qui sait ?) est ....... Terre ? Trait d'herbe ? terre de Serre ! Père est fait, Mère est faite. On erre . On est accolée en tant que "Ailes Autoportées" ...... pa r du Verbe de trait , bêtes genrées, bêtes de Verbe sondé. On veut :
coller de chgez coller, donner de chesz donner, aller de chez aller et toucher toucher toucher à ce quyi est ici qui semblezrait vouloir en vréi nous faire aller jusqu(au tracé des finalités allouées au Verbe, VErbe ëtre , Verbe des données sondées dont le nom en vrai est ..../ Herbe , HEZrbe des prés ! prés d'herbe ajouté e ! on éime. On veut coller, donner, toucher, aller de pré en pré (pour ainsi dire) direction Nénév . On veut grave changer, opérer notre, en quelque sorte , identification à ... l'au-delà de soi .... bébé - montón .......... voix de Soi venant cfomme ici traverser P°aroi, et là, montons ! coloons et montons ! allons tracer sur pied, une sorte de sentier du front, menant à cette sorte de "Mont des Monts" qui donne ! donhe ou donnera ! donnera / donnerait, enfin .... lait ! lait tiré d'un néné sur pied ! On veut téter. On est re-née à u ne sorte de Néné qui pour le coup nous donnerait (sans lésiner) de son .. "lait de roche " , lait de Porte Haute , lait sucré qui nous apporte les debnrées dont notre cforps bébéavait pour ainsi dire grand besoin, et auxquelles, de fait, il aspirait depuis .... loin ? On monte. On veut toiucher de chez toucher à ce néné ici qui sembleraéit vouiloir comme qui dirait nousz matzer ou reluquer de la tête aux pieds comme si en vrzai on était des (encore) fées des prés alors que non, on a traverséé , on est passées , on est à présent postées de chez postées de l'autre côté co^té Mere , côté Lait, côté VErbe-lait de type vérité lactée. On veut coller à cette sorte de tracé des dites "données lactées" et du coup nous alimenter à même le trait. téter = ptrendre = comprendre = allouer à sa prop^re panse une sorte de donnjée de base, donné-lait ancrée qui, pour le coup, saurait granndement faire de nous , des qui sont (qui sait ?) des ......... bébés-gnous ! on entre ! on veut comprendre. On veut toucher de chgez toucher à cette sorte de péaroi de Ventre. Monter . Creuser. Toucher . faire un pascde côté et téter de chez tétezr le Néné des Panses . On est la fée des (dites) "données", "données de Rage", ayant traversé la Paroi des TRanses et du coup touché ............. touché de chez touché .............. au Néné en Vra&i ....... en tant cette fois que Bébé , Bébé docte = portant Parole. On est né puis re-né puis rere-née à une sorte de Par(oi Haute .... swein touché ? sein au lait .... lait de trait ........ Le passé . Passé en motte. Une sorte de
Passé de'Époque Haute. genre : anté-
de chez anté-pré. On veut :
coller de chez coller à une sorte de néné-passé dont le nom en vrai serait : Porte ! porte des portes du Passé de Roche hors Ombre. Clarté ! juste clarté. On monte. On est née bvébé la roche traversée pour nous retrouver eh bé, comme au temps tracé, Bébé ! bébé doc
te sacghant téter ! c'est un fait avéré ! on est monté. On a trouvé ce qui en vrai était pour nous, une sorte de ..... lieu de rendez-vous ....... avec ..... e-h bé ..... GNou ! Gnou doré des Hautes Contrées . Bêtes sacrée. Une sorte de Passé --Gnou tel que nous, on avait envie depuis longtemps de renconttrer qui sait en passant, en traversant, en se jetant comme on a fait en tant que "fée des prés" en ce Tour(ment donné en tant que Muret, Muret des murets, veznant clotureer ou comme ceinturer ce dit pré des bêtes de trait. On est passée ! nous voici re-née ! en bébé ! bébénou des données hautes ! gnou ! gnou ! gnou ! gnou ! nous sommes ici des bébés-gnous qui alloons post-roche téter l'ombre, sein des ombres, sein du lait des ombres hautes. On veut :
faire ainsi que nous on sache
dire enselmble ... en quoi la parade est sarde
chercher- dire ce qui est qui trace
allouer à une sorte de contrée"étanche" un e sorte de "penseé de rage"
cerner = cerner viif, vif etdru, les données de base telles que nous, bgébés, on imagine
comme deessinnées à mâeme le ....... Passé Ancré, VErbe doté de traits
verbe doté de traits de hautes donnéesz. On veut toucher toucher toucher topucher toucher topucher toucher à une sorte de Passé Ancré qui , en tant que Passé, saurait nous indiquer la Voie à emprunter pour mieux gagner ensemble la Contrée Des Traits, Traits de Base. On veut cfoller, sonder, toucgher, dire et donner, faire ainsi qu'on puisse ensemble en vrai tracer de chez tracer cette sorte de donnée donnée ... des données de rage et autrees envies sages. On est née fée le muret traversé et notrevenvie ici est de continuer sur notre lancée cette exploration dudit paysage post-pré, post )-fi,nalités. On est comme qui dirait ....... le Bé&bé donnéb à une sqorte de Mère - Collée. On est : ................................... bébé des bébés ........... le bébé sacré, saint-bébé des bêtes de trait ainszi treacé sur une sorte de ..... Passé Ourlé ! passé-né ! on est collée ! on colle au néné ! néné haut des mots ... des données de roche ! on monte. On veut toucher à ce qui est, qui, en vrai, ici, se présente, en tant que "memmbre " d'une sorte de "Sarabande des Offrandes". On veut coller à ce Tracé des données franchess, et du coup cerner, poussser, dire et aller, charger de fait ce qui ici de fait pourrait pour nous nous indiqauer, en vrai, ce qui est, le muret passé , nous dire xen vrai, nous expliquuer, donner à ce P assé des sortes de Données qui, toutes, pourraient, szans hnous tromper, nous ins-diquer la Voie la plus Commode , voie haute, pour rejoindre ... Cohorte , le Passé d'Époque , Bêtes fortes, Traits Altiers, Auroques, auroqzues, auroques ... and Roll .; On veut .... coller de chez coller , à (pârdi) ici ........ l'ombre haute, d'une sorte de Cohorte ... de bhêtes de Roche ......... haute R5oche des tracés ornés ! j'ai nommé : la Porte ! haute porte ainsi dessinée ey nous voil:à pâssée ... hop ! on a sauté ! on a travezrsé le muret, le muret de Porte ! on est entrée ! On peut Téter ! grave , le lait , lait acté , des données profondes et autres vérités de roche traversée. On sait ! on sait ce qui est ! on sait, en tant que ... bébé re-né, ce vqui est qui nous rassemble, nous donne à penser, nous fait aimer , donne du sens. On est passée en tant que "fée du pré"" et à présent on tète le lait ... en tant que bébé des données de force, haute force des Tracés gravés ..... on est monté ! on vfoulait (en vrai) co:mprendre, ensemble, lesz donnhées de france = du français ... en tant que langfue ... donnée à la naissance , et pour comprendre ici il nous falla it ...... passer pré, passer le pré, devenir fée la mort donnée , mais après la fée le bébé, après après avoir été fait fée, devenir bébé ! bébé néacré des bébés n acrés ;.... qui grave sait téter dès que voilà, le néné est là, apparait, pointe son nez (bout de néné) et pisse dru son lait des laits ! on veut coller, dire et sonder, creuserr, faire et toucxher, creuser, aller au plus lointain des roches de tra&it et cerner, chercher, toucher-creuser ................ traverser de vchez traverser ledit dernier (ultime)
muret du pré .... direction le néné, mère portée, mère-terre, mère des données du Verbe cendré, on veut téter ! on ne veut que téter ! notree unique volonté la mort une fois donné"ée est de téter de chez téter le néné du Verbe , soit ....... brouter l'herbe ! car, voilà , Verbve = Herbe ! verbve-voix ! = Herbe (verte) des parois ! On voit , on e,ntre, on veut comprendre. On veut toucher de chez toucher )à cette sorte en soi d'offrandev de paroi, offrandev du Roi, Reine des Voix, Charge Haute des Données de rOche. On regarde, on s'avance, on voit dezvant soi, on entre , on creuse, on veut comprtendre, on est "entre", entre ça et ça =
entre deux bandes de paroi, qui cherchons l'antre, antre "entre" ..... don des rOis de CHarge et Reines des Offrrandes SArdes. on est com^me ensezmble Allouées , à une sorte de ..... Divinité ... d'un passé vfr ançais , qui serait : La Bande ! un prêt , une sorte de Verbe Donné ou sinon donné alloué (un tempsq) à un passé dit "des données" et autres "denréées" à nous données. On veut :
coller de chyez collrer, dire de chez diore, tyracer de chez tra cer, faire de chez faire, allouer de chez allouyer à une sorte de Passé les données du vErbe, et ce serait : Le Verbe Vrai ! Déité sucrée ! Lait des Fées ou siinon des fées ...... des Envies de TRaitsz ! des portées ! vrais do nnées de porte ..... haute ! On monte ! on vfeut toucher toucher toucher touycher touycher, touycher à ce qui, ici, semble aller vers nous, pour , en vrai, nous poussser à (ensemble) traverser de chyez treaverser l('ultime muret ! On veut creuser.
on vouydrait, en vréi, creuser de chyez creuser ledit dernier muret aux données ancrées et nous retrouver .... eh bien .......... ainsi lo vées .................. en ce dit Passé a&ux données l actées . Qu'est-ce que c'est que ce passé ? de quoi s'agit-il en v rai ? qui sait de fait de qauoi ce passé est le fait ? qui pour en vra&i nous expliquer de chez expliquer ? qui connaîot les traits (teraits de force) d'un passév d'époque ? on veut entrer = on veut cerner. On veut toucxher à ce Néné des données hautes de type "lait d'époquee" et là, une fois là, une fois ainsi tout allouée à ledit passé, téter ! grave téter ! téter de chez téter le sein nacré des données de Porte ! = boire vif ! avcaler ! boire le lait ainsi donné , d'une sorte on dirait de Divinité dont le nom sezrait, .... serait de fa it ....... en vrai .......................... ROCHE ? ROche aux F2ES ? Roche des Roches aux Fées ? On ne sait ! on veut trouver ! On a pour ambition en vrai de ..........., ezh bé oui ..... trouver de chez trouver le Nom Donné ! ce que c'est ! qauoi c'est ! quel est donc ce nom donné à une sorte de Divinité Lactée ! ? On cherche de chez chercher sans se lassser , sans désemparer, szans traîner mais le chemin est escarpé et ne nous permezt pas en vrai de "tracer" comme on le voudrait .... hélas ! On entre à) pas comp)tés, mesurés, posés. On fait gaffe . On est de base Fée Gravée devenue Bébé (au passage nacré) mais voilà ............... la pente .......... : ................ roche aucx voix ...................................... on est sur une szort e de paroi des voiux , ..................ç a tremble ! ........ on ne peut pas ........ aller de fait plius vite que ça ! ça envoiue ce que ça envoiue ! on est làb mais voilà ! ça trembkle ! On entre ...................................... on est entre .................................. on fait gaffe ............................ on ne veut pas pâsser à la trappe ! ...................................................... on v eut (grave de chez grave) ainsi poursuivre , tracer sur pied, aller, fureter, co:mprendre-cerner, voir venir à soi THE Néné post-pré = Sein Donné par ....... quelque mère allouée = Divine
Clarté Laiteuse, Ainsi Offerte à nos lèvres Heureuses , yeah !!!!!!!!!! On veut téter !!!!!!!!!!!!!!!! on veut de chez on veut (grave)
t"éter de chgez tétezr ........ le bon lait de Trame ! On est bébé -boeuf ! AGneau de lait ? bête à bon Dieu ? don du frai ? colle donnée ? corps entier ? charge-née d'une sorte (en soi) d'entité dont le nom seraéit, ici, le mur passé, ............................... "Sainteté La ctée" ? ................... "SAint des Sainrts Lactés" ? "S&aint Lacté des Données de Roche" ? "Trais des Seaints de POche" ? "Poche-Haute" ? on veut (ici) aller (ensemble) sonder (de base) le français en tant que '""lkangue du passé" et le tour est (serait ?) joué à jamais mais ....... en vrai, la chose 'est pas si aisée loin de là ! on se doit de bzse de ................... creuser de chez creuserr la base = le passé ancré ........... charge des charges, une sorte de Motte Dorée ( ou MOnt des F2es ? ) qui nous " attirerait" et peut-être nous poussserrait à eh bé nous approcher pour mieux t§oucher à son .... néné-montón ! motte haute ! mont ! mont des monts sur motte haute ! une passion ! moisson ! tétons ! buvons (docte) Lait cde Roche et a&utres boissons de haute Éopooque telle que celle, qui, ici et là, nous ..... tendrait ses bras ??? est-ce ça qui est là ? On e,ntre en bande ! on veut comprendre , dire et voir ce qui donc est là qui nous regarde ou nous regarderait dxe rage en face, droit devant ! un antre ? parade ? voix de Roi et REine des Bois ? on veut toucher touycher toucher toucher toucxher touycher toucher toucher à ce qui est ici qui saurait de fait ......... nous guyider grave ......... vers la base ...... un pAssé de france et autrtes traits de luminosité intense (tu parles !) et c'est acté ! noté ! tracé ! ainsi accolé ! on est passdée ! on est passée en t ant que fée et nous voici devenu bébé, bébé de tous les bébés, qui sait téter car (en lyui) c'est (on dirait) comme ancré , inné, gravé, et de fait entériné . bébé sa&it. bébé sait téter sans sourciller . Il sait ce que c'est . Un bébésait téter, sait téter le la&it , le lait de sa mère .............. ou sinon de sa mère de Mère Dotée ! Il sait ! il tète ! la plupârt du temps disons il sait ........ quel bébé ne sait ? Il tète de chez ... tête ! lait de traéit, lait d'herbe =
VErbe ainsi ancré ... en sa petite tête de bébé du Verbe . On veut cerner = donner = toucher = comprendre = prendre = dire = faire = allouer à du Verbe, une sorte de Passé en Herbve = Le Passdé des TRaits, TRaits d'Herbe sur pré ... ainsi "rezmontés" en tant que ........... verbe ? vferbe-traits d'herbe ??? hé ! on se demandait ! on se demandait de base ! on se disait que , en ezffet, peut-être, l'herbe, le Verbe,
le VErbe , l'Herbe ..... traits des traits de l'herbe
= ou égalerait (qui sait ?) le Verbe
ainszi deployé ......./ et du coup ............. ce swezraiot ......... du Lait ? verbe-lait des données "derrière" ? On aime ! on chzerche ! on creuse ! on entre ! on trace ! on cherche grave à (ensemble) comprendre de cvhez co:mprendre, les données intenses, foi de bois, charge antrale, paroi des parois, feu de base. On est comme là pour ça : comprendre "ensemble" ce qu'on voit, ici et là : la Base, la Trace, la Charge sur paroi de rage, une sorte de ......... voie centrale, passage "entre", anfractuosité axiale ............................... c'est quoi ? ........................... trait de choix ! une panse ? une sorte d'ouverture dense ? envoi ? mot de szoi ? On veut toucher à ce néné , en face, des données données, boire le lait , cerner de chez cerner , tracer de chez tracer sans jhamais pls nous retourner car, en vréai, on est re-née ici (ici = le passé) en tant que New BAby "des données de Roche" ! o,n monte ! on veut toucher toucxher touchezr toucxher toucher toucher à ces données de Bosse et du coup téter à la Fée Carabosse ou autre Fée des Données Hautes : Mère Forte ? mère des Fées ? mère-d'ombre ? ombre allouée à une sorte de .... Passé Immonde ? On monte ! on cherche en haut la Soerte de .... niveau des Niveaux ... de penseée Haute, Haute CHose, Haut des Hauts des Données de Porte telles que celles qui ici nous voient tracer de chez tracer le Nom donné, qui est ......... Nom Drôle ! Nom de dscdonhnées hautes , ok, mais en vrai ............. comme tracé à main levé par ... on ne sait qui en vrai ! car on était ........ en train de téter sans plus regarder ... à nos côtés ... ce qui se passsait en fait ! on a raté un épisode ! l'exode ? le passé de Porte ? une sqorte de Pasdsé de Roche ... ainsi Ornée ? on tétait ! on n'arrêtait pas de téter ! on ne voulait pas s'arrêter , de fait, de téter ...... on ava&it envie grave de touhjours téter sans plus nbous arrêter ou s'écarter dudit Néné des Vérités lacté&es autoocentrées. On voulait ! on &éime ! on aime le l aiot et du coup, quand on tète, on ne voit qu'elle ;......................................................................... la perle ! /..................................................... elle-mère ............................................................. le passé ainsi ancré en une zorte de Donnée des Traits . on aime le lait. On aime grave téter . grave on aime téter . On aime grave téter ... le l&it de mère ... au§(tocentrée , autopproclamée, auto tracée.
on aime aller de chez allersur ce sent§ier
des données de l'herbe, herbe v erte
aux vertues certaines , laitues. on aime ! on veut creuser ! charger et
donner-doter ! creuserr et p asser , dire et fouiller, charger)-dire, vivre ! sonder ! pisser-chier sans se retrourner et tracer et creuserr -filer ............ foncer de chez foncer .................... aller de chez a&ller et du coup essa&yer de (ensemble = ailéee) passer de chez passsr , comme en contrebande, le Fo
ssé des Bases Franches = le Fossé de Francxe = La la&ngue = la langue des langues données donnée à la Naissa nce, parrr .......... quii le sait ? ......;............ une sorte de .... Petit Poucet (?) des doonnées Rances ? On ne sait ! on veut toucher de cherz touchze r )à une sorte de passé ainsi dessiné : galbé,moiré, chargé de lait, tout nacré ! doux au toucher et pissant du lait sans s'arrêter ! on veut téter téter téter à ce bon lait de l'Antre ! téter vrai ! avaler ! s'en gargarisezr et s'en remplir la pabnse pas à moitié ! intense ! intensité de la téteé franche ! une corvée ? non pas ! la Transe ! transe au lait et ledit est acté, treacé, dessiné-gravé comme à main levé&e sur Paroi de GRotte
Haute, Haute Transe des Données
Franchesc : mot à mot. On veut cdomprendre, comp^rtendre ensembvle = donner ! Vivre le Passé des Choses A vouées et tracer, tracer grave, en direction dudit Néné aux Données Portées, Sondées, touchées de chez touchées le mur du fond (du fond du pré) passé ! creuser creuser creuser ledit néné comme qui dirait = téter ! grave téter, lait d'ambre, lait des fées qui sait ? et du Passé larvé ! on passe le trait, on mate, on rehgarde, on veut en vfrzi rtoucher de chez toucxhzr à ce qui est ici qui semble ouy sembklerait voulpoir en quelque sorte nous parler en face de Divinités et autres D2ités Intenses, genre ..................................... "de FRance" , le fra nççais ? langue-divinité pârmi les langues (toutes !) - divinités ? on ne sait ! on veut t§oucher = dire = faire = comprendre = aller = cerner =poussszr ! pousssr (grave) la Chansonnette ainszi rapportée et comme deépliée ou déplissée sur un parterre de données en herbe""" ! on aime ! car, on aime l'herbe ! grave on aime ! on aime grave les données en herbe .... et l'herbe , soit : Le VErbe ! vcerbe ainsi tracé à grands coups de Traits les unsz à côté xdes autres sur preé ! tra&aits du VErbe Forment un pré de type .....................EDEN ..................... alloué à une Mort donhé = temps des fées ........... qui ne dsure qu'un Tempsq ................... le tempsq tracé , charge avouée, trait donné ............. pûis le passé reprend de l''air et hop , monte, porte ! va et trace .... sur paroi, le Lait de L'antre entre soi. On Monte Haute ! on est la Femme des contrées Hautes ! voix de choix ! voix,, voix, vgoix des Couches Hautes Des données de Roche ................ voix -ombres ? ..................... on monte !!! on voit ! on veut en vraéi savoir ici et là ce qui nousvoit ! nous regarde, mate, voit en nous la Voie ou quoi que ce soit qui lui "ressemble" " ... ou pas , mais se présente en tant que ...... voix des r'ois / reines des Voix ! et donc ................ tremble ! Peut s'entendre ! peut en vrai (pour la DIvinité) grave se co:mprendre en tant que VOiux de Fée ..... devenue Voiux Bébé ........ tétant le léit ..... des do nnées de frnce (le français, la ngue de naissa nce, celle-ci de fait ou tout autre l angue a insi allouée) . On entre en transe, yeah !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! haute ch arge ici des données bl a,nches ! lait ! lait ! la&ait ! lait ! lait ! lait ! lé&it ! laiot ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! des données intenses , charges dotées, "vin lacté" comme il sembleraiot ! ivresse blanche ! lait nacré comme alcoolisé ! on tremble ! on est toute remuée ! on est féminisée toute remuée = transformée ainsi tr acée, ça le fait ! on veut tracer de chez tracer à notree tour ............ le treait des données ... ainsi touchées ! porter ! donner ! rapporter ! offrrir à ceiux et celles qui , en vrai, bnous regarda&ient aller, cerner, tracer szur pied, nbos petitesss tresses, Les Données du Verbe éinsi "récoltées". Donner de chez donner ces dites "données vertes" ............. HERBVE DU PASSÉ ......... HERBE EN HERBE ....... VÉRITÉ DES VÉRITÉS ....... CXHARGES D'HERBE EN HERBE ....... SAINTETÉ DE L'HERBE ALLOUÉE À UNE SORTE DE PASSÉ DES ^PASSÉS NACRÉES ....... SALUBRITÉ DES VERTES DONNÉES ...... PORTE A&UX FÉES DONNE SUR LE PASSÉ ON LE SA IT .......... ON VEUT PASSER EN CE DIT PASSÉ DES TR ACÉS L ACTÉS ET AUTRES PRODUITS LAITIERS ....... ON AIME ! ON AIME ! ON AIME LE LAIT ET SES DÉRIVÉS ! DÉRIVÉS DES PRÉS , DE L'HERBE, DES DONNÉES GENRÉES TOUCTES "REMONTÉES" ET NOUS VOICI DEVENUE BGÉBÉ , BÉBÉ NU, BGÉBÉ VELU ..... CUL NU ......... VU / P)AS VU ON VEUT TÉTER DE CHEZ TÉTER LE BON LAIT DU TRAIT ..... PAS PLUS !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! nu de chez nue ! aller foncer, boire cerner, dire allouer, creuser de chez creuser et du coup ...... combler ? toucxher ? donner ? aller vers une sorte d'entité velue (?) téter son néné ! boire de son lait ! tirer ! tirer grave un peu du lait dont elle est dotée à jamais on dirait ! vache de pré ? vache de trait ? vache à lait des la&its ? vgache sacrée ? on veut ............ teter de chez téter à ce bon lait de treille ou comment on pourréit ici désigner pareille coulée d'herbe ? on aime ! on veut creuser . On a envie (grave) de pouvoir toucher toucxher toucxher à ce sein donné par quelque déité la mort trac$versée, enfin dépâssée. Car, la Mort , La mort"haute" , celle après la Porte du Pré Haut, est Mort De bhossee ! mort De Bosse xdes Hauts ou Très-hauts Niveaux de Roche = le Passé des peaux ! peaux hautes ! hautes peaux de haut niveau de Roche-à-mots ! on mo nte ! on ne cesse en vrai e,nsempble de tracer sur Ambre ! on veut :
dire de chyez dire
creusqer de chez creuser
aller de chez aller
foncer de chez foncer
percer de chez percer
porter de chez piorter
$almler aller a&ller de chez aller aller aller .......... et nous positionner en tant que "Déioité des Déités du Pré" (qui sait ?) qui serait passée, aurait percé, se wsezré&it retrouyvée de l'autree côté de la Côte Pavée à chercher ou rechercher bien entendu Ledit Passé des Données Nues ! passé de rue ! chants de porches et sons de Roche ! Cloches hautes ! ding et dong aux portesz desq Ombres et autres carillonsz ! On monte haute ! on est fée haute des monts de Roche ! on veut ...... féminiser la Roche, immanquablement intégralement inconsidérement : bain complet ! bain donné d'une sorte de volonté ! on veut en entier tracer sur Néné, sur Néné post-fée, des traits allouées à une sorte de "DIvinité l actée" , complètement elle-même Allouée à du Verbe de tra&it ! chant celte ! porte verte ! On v eut féminuiser le Verbe en toutes ses contrées , completement armé, aéinsi, le verbe, de données d'Elles, de tracés de bêtes-d'herbe, traite$s ici des traits sondés , chants lactés, pportes pousséees, doigts de fée, colle ! colle de peau ! colle haute de peau morte ............. sur paroi de ROche et hop, on monte ! haut des hauts sur Passé Haut ! on est l'Homme ........................... mot de trop ! devenu (nu) FEmme au mot, mot de POrte, mot des hauts des Hauts Niveaucxx = Femme Docte et hop, on monte ! on ne veut pls être l'homme dit "'du caniveau"n, des moçts de trop et autres tra&its de bas niveau, mais Haute ! haute trotte ! Haute fée Nacrée des Données de Roche, hop ! monter ! creuserr ! creusrr d'un trait le muret de la Roche "des Données du Pré" et du coup travcerser ..... pâsser ..... passrr viçf (vive) en ce P assé des (dites) "Données Dernières" (derrière) = le Passé des Traits, féminiçsés ô grand jamais .......... pour perdurer ........................... aller de chez a ller en ces contrées dees bouts de roche et autres contrées hautes ainsi situées. on monte e,n trombe ! femme ailée ! deux femmes = deux ailes = une fée ezn herbe ! on aime ! on veut ! on colle ! on re-veut ! on re-colle ! on re-aime àdeux ainszi aller tracer de chez tracer le trait alloué à Pareille (ici) Divibnité des DIvinités dont le nom grac-vé est ....... lait ! lait docte ! lait donné ! laéit de fée ou sinon de fée, du pré , car le pré est aux fées et la fée est du pré ! on monte ! on va ! on colle ! on envoi!e ! on charge ! on veut grave sonder ensembvke ici et là ladite paroi des données de france, franche langue ... aux sons fats ! on entree ! on va ! on cherche ! on veut toucher ensembkle et ainsi remontées les donées du Tremble = du tremblé = du Passé tremblé ou comme "remueé" en tant qu'iul seraitb à devoiur remuer ....... de temps en temps ..... à coups de nez piqué ! sentiments ! cxhants ! chants donnés ! chants des chant§s donnés en vréi et autres airs de V2érité . On veut creusere nvra&i lesRochers du pré ........................ et ducoup treaverserr ............. passser de chez passrr ainszi le pré pour mieux se retrouver
accolée
aux nénés donnés, donnés à téter ....................... sans traîner ! .on cherche ! on creuse, on veut :
toucher toucher toucxher
dire dire dire
sonder sonder sonder le dire ici nbacré des données dernières, lait de trait, laiit frai
s, lait de traite de bête, lait ancré en terre d'herbe, chant lacté des données "derrière" et autres chants "cachés" (.... susurrés ?) derrière .... le Passé masqué ? on ne sait ! on cherche-creuse à tout jamais le VErbe (l'herbe) Suprême = le Passé en herbe des Données derrière = Passé Du Passé, = points et traits sur Pierre de Terre, Chants Sacrés et autres Musqiques de fée du PAssé de France comme qui dirait, FRance ou autres contrées ... cxhacun / chacune la sienne (dotée) qui fait Tracxé ! charge , sein de fée, sein ancré en UN passé Chargé, Sein doté de traits en veuxtu en voilà à satiété il semblerait et ça le ffeerait , ça ser ait, ça aiderait, ça pousssera&it à donc aller se situer en des contréesz de bouts de roche, Haute POrte et a&utres Entrées Cochères .... Ancrées. ancrées nacrées et voilà le trait : le Passé tracé ! vcerbe ! verbe en herbe ou sorte de verBe en herbe... autoproclamé, qui pour le coup se déploierait sur pied, ainsqi tracé dsans un muret ! On veut :
toucher toucher toucher toucher topucher toucxher toucher topucher toucher toucher touycher touycher toucher toucher toucher toucher au dit Néné ... des Contrées en Herbeb ! le Passé sucré .... est ...................................... lait ! on a de"viné ! lait de trait (traite) effectuée ................ d ans le passé ! tout un poème ! passé vrai ! vrai passé, des données anciennes on a cru rêver mais, en vrai, ....... niet ! on est vraimùent passée de chez passée (la mort donnée) de l'autre côté, soit, après le pré, pré en herbe et bêztes de pré ainsi gravées sur roche altière, après l'herbve .... le passé en herbe ! vieux tracé des données du Verbe ainsi "remonté" en termes de données de Traite = Lait ! Lait Porté ! lait assuré ! Lait des laits des Pis des pis ! laits chargés de sons données ... comme à la volée (à la volette! ) . On vgeut :
dire et donner
porter et donner
coller et donner
sonder et donner
permettre et donner
charger et donner
allouer au VErbe les DOnnées de l'herbe
ainsqi (entre nous : bêtes de trait) broutée de chez broutée sur la terre entière = le Passé en herbe
ainsi sondé = Vérités = Vérités Ancrées = Vérités des TRaits du Verbe = herbesv ............ multipliées ................. comme données renouvelées .............. réactualisées à jamais .............. en ce cimetière de la Mort actée (pré-éden des trais) à devoir dépasser = passer = traverser ! nous voici .... NOUS ! NOus = ELLE ! deux ailes = nous , formant fée de Rage = Elle , au passage fou ! on ....................moooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooonte haute ! on vole ! hoooooop ! on monte haute sur paroi des Monts et hop, alluvions ! srtratifications ! roches hautes des passions ! traversons ! creusons ! passons ! alloons ! fonçons ! on esgt Haute Fée du pré, chezrchant Passé à toutes enjambées ! on ne fait pas que passr ! on entre ! on va entre ! on veut comprtendre = entrer , en ce dit passé des Données Lactées qu'est-ce que c'est . Un néné, rien que ? une sorte de Néné de trait , et rien à côté ? ou alors .................... le néné comme finalité , bout des bouts d'un rocher masqué , genre .......... m arabou ? ..................... ou disons : bout doux ? o,n monte haute , on veut creuser la roche, travezrser, poussser , aller le plus possible vers du loin teracé, chercher de chez chercdher le terme vrai pouvgant décrire SVP les données vives d'un passé du Vivre ! que dire ? on vibre ! tremblements du vgivre ! on trace grave ensemble sur paroi de base : qui des antilopes qui des antilo ! porte de grotte ! des auroques au trot ! bisons de peaux ! bêtes de roche et autres grosse choses hautes / mots. on monte, sur les Hauts des Mots et a&utres hauts de Grotte, .................................................................................... on fonce . On veut toucher toucher toucherle dit Passé des traits et autres Données ain,si Allouées à u ne sorte de Tracé sur pied. qui on est ?
Des Bébés !
des bébés de trait ?
de droôles de bébé sur pied ? On ne sait ! on voudr(&it comprendre-entrendre, aller cerner, voir
r de près, chercher ou rechercher la clé ...... clé haute ........... haut perchée ! va donc à l'arttrapper ! ça monte ! on colle ! on veut grave en v rai toucher à cedit Néné des
Contrées Hautes (les plus hautes il paraitrait) mais comment s'y prendre quand on est ... "manches " ? comment tracer ? comment cerner)-tracer ici ou là la Chose à noter .......... pour ne pas l'oublier , pouvoir y retourner, cerner-chezrcher, dire-pousser, coller-porter, charger de chez charger (dans la sqouffrance ??? ) le Passé en france (le passé d'enfance ?) et autres passés auxw données intenses ................ ? on ne sait ! .............. on veut comprendre mais voilà ............ on est "manche" .................... complètement intégralemùent et continuement ! à en pleuirer ! mal outillée , ma&l fagottée, mal barré, mal situé , mal armé ! ça fait suer ! vivement dimanche qu'on puissee cxhanter ! aller (de base) retrouver l'Antre, le Pässé Ancré, l'Antre des Antres et autres lieu doté de bonne Ambiance Survoltée ou disons Vivante , Ch armante et Ch armée . On veut :
toucher toucher le dit Tracé ... des Données Acxiales = le Passé ! droit devant ! Ancre des données ! ancre ainsi accrochée à u e sorte de .... piquet ? p âté ? point de trait ? ancre ainszi accolée à une sqorte de .... tracé hors pré, hors pavé nacré, hors enceinte ............... verte, . Passé tracé donnzé comme du lait . Passé clair. On veut toucher-téter au dit Passé des Données Lactées ........ téter téterctéter tétyer téter téter téyezr téter téter téter téter téter téter téter téyer tétezr téter téyter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter tyéter téer téter téter téter téter téter téter téter yéter téter téter téter téter yéter téter téter téter téter téterc téter téter téter téter ctéter téter téter téter vtéter tréter téter téter téter téter téter téter téter téter tétezr téter téter téter téter, tétérer = toucher et toucher = téter, téter de chez téter le laitt du Verbe être ; .......... ou de quel autre Verbve il s'agirait ? on aime ! on aime le lait -Verbe et autres tra&its lactés de type fromager , en tant que ...........................amateurices avides ! vives ! charmées ! aimant Lait de FErme, lait ici Alloué à une Bête d'herbe, Lait Porté ! lait à traire au jugé , à la mamelle, au son du Passé, à l'herbe verte, au pied du tra it , à la volette et au toucher ! verbe ! verbe en herbe des données laitières (lactées ?) du tracé orné par quelqueqsq DS2ités (divinités) situéesc...... derière ? derrière le Trait ? = l'herbe ? trait d'herbe ? On cherche ! on veut toucher de chez toucher à cette sorte de Tracé dit "du Passé" tel qu'on aimerait (de fait) le (re)connaître en ses différents traiots de lumière : herbe ? trait d'herbe ! trait des triats des herbes du pré ... du cimetière récemment quitté ? herbe dessinée commeà main levée ? herbe)-trait ? ... verge ? verge -trait des données en herbe ? pretite verge = virgulette ? tréit marqué en sainteté ? traiot des tréaits des données premières ? on veut :
dire et faire, faire et dire
sonder = creiuser, chercher = fonder , donner = forger ..... dans une sqorte de Passé, les dires du Verbe ! on veut tracer ! on veut cre"user ! on ne veut pas en v rai lambiner mais grave troucher à (ici) tel ou tel néné des données primùaires = le Passé ancré ............................ enraciné ....................... grave enraciné ............ au plus haut niveau ................. de roche hautte, roche de grotte ........... haute grotte d'époque haute (la plus haute) ....................... ju!squ'au mot des données "force" = le Pot ! pot des pots ! pot docte de haut niveau ! pot des mots ! pots des ombres et autres traits sur roche ! on monte ! on veut (grave !) ensem$ble cerner (comme à jamais) les données profondes d'une (qui sait ?) entité de Haute Volée qui serait pour nous l'Entité Nacrée, Sacrée, des données de Roche, dons de Porte, Hauts dons des dits "fonds" ou dits "des fonds" ou "des fonds de Carosse" . On est ensemble une sorte d'ensemble (ici ailé) pouvant tracxer-cerner de'un trait .......... les données de porte .......... et creusqer = dire = poussser = ccharger (de traits) le Dire ainsi Trouvé come à l'arracxhé ........................... et ce dire, le lover ! grave le lover .......... entre deux nénés ............... comme un nez ! .................. et ........ eh bé .................... téter de chyez tétzr ............... téter grave (concentrée) le néné ! nzéné des nénés ! sans traîner ni désemparer mais y aller , de toute sa volonté, à (pour le coup) téter le lait des laits ainsi donné ! téter = prendre = cfomprendre = parler vrai les données du Ventre ! ventre-antre ! On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher toucher touycher touycher toucher toucxhezr royucher toycher toucher touycher toucher touchezr roucher toycher au dit néné des données trouvées = téter de chyez téter = dire-poussser, creuser-forger, porter-sonder et du coup ................ aimer ! chelou ! les données du trou ..... oh tout petit trou, par où de fait le lait trouve à passsrr , direction le menton, bouche ouverte , lèvres teintes, trou des trous ! on aime ! on veut ! on colle ! on fait des envieux / envieiuses de Roche ! on monte ! on v'"ut ..........................................................................( grave !) en avancer , coller, toucxher, percer, dire ce qui est en ces contrées du bhout du monde = le Passé ! car, le Passé est situé ................ dezvant la Porte ! tracé, ancré, dessiné, Aurocnoïdolïsé de telle soerte que voilà, on se doit ici et là de ......... comment dire ? ................... cxharger le mulet ? charger dee traits ledit mulet des données hautes ? = percer ? prendre ? toucxher -cerner-comprendre - pre ndre = sonder ? on vgeut (en vrai)- aimer de chez aimer ............... comprendre à jamais .......... eh bé, ce ... Passé du Ventre ! l'antre ! l'antre enttre ! l(ombre des ombres denses = un tracé = trait de Ventre = ............................... vérité Ancrée ainsi accolée à une sqorte de ............ Divinité Axiale ? on ne sait ! on croit comprendre-deviner mais que comprendre-deviner en vrai szinon ................ la transe ? un passé ? une sorte de tracé-souffrance ou tracé en szouffrance à j amais "reporté" ? on entre = on passe = o -n creuse = on trace ! on veut toucher ou on voudrait toucher ensmble les né&nés de l'aAntre du .............. passé de fra,nce ? ou disons : du français, français sarde du Passé tracé ainsi remonté ? On est née fée ...... fée du feu de l'ambre des données de france ..................................... fée femme ................... fvemme d'ambre / fée ; féminisée ? féeminisée ? re-féeminisée ? re-fée - minisée de traits ? herborisée ? verbalisée ? on veut :
téter = téter = téter = téter = donner = donner = donner = dire = dire = dire = dire = téter = do,nnner = dire = dire = dire = donner = dire = téter = f aire = faire = faire = dire = faire = faire = dire = donner = toucher = faire = toucher = donner = donner = dire = faire = donner = dire = faire = toucher := téter = parler = coller = comprtendre = ... comprte ndre ensemblevb = comprendre (ensemble) les donnéesq = dire ce qui est = cerner , de près, les vrais données données ... de l'herbe , du pré , du tracé des herbes ainsi rencontrées en ce pré sacré de type :
pré / parade
parade axiale
trait des traitsq sur pré =
parade , pointe sarde ! on entre ! on veut cdomprendre ensembvle les donées de l'Arbre, Friuits dotés (de fait) de sucre ajouté ! sqang d'encre ! pa rades franches ! on veut creuser = donner = dire =c erner = construire = poussser = chyarger = centrer ... le dire sur un trait du vivre = le Pass-é ! hé ! en rire ? on ne sait ! on veut en vcrai aller de chez aller construire -situer lesdites données ici lactées d'un Rire Vrai ! rire de chez Rire, et du coup ... tracer de chez Tracer sans plusq lambvibner ............ vers le Passé La rvé ? l'ombre des traits ? Passé-Traits des traits ? on ne sait ce qui est , on cherche à dénicher les données i ntenses et &utres Transes ainsi déployéeqs ....... au passage cendré ! car, voilà là la chose à bas : le pâtre, le berger, homme traqué, mort ! mort posé ... sur le trait tracé ds'une sqorte de donhée creusée ! et nous ........( fée )............ de monter haut au plus haut niveaéu des portées sacrées ............ lignes des fées ....../././......................................dites "aviaires" ! verbe ! traits (hauts montés) des données dsu Verbe dit "aviaire" = le Passé ? qyui sait ? on cherche, hors bière, les traits = le Passé Sacré d'une sorte de Contrée du Verbe dont le mot de roche serait ..... pour le coup ................. lA mort ........... mais "remodelée " ou comme "remodelée" en forme de ........ corps ? corps donnéb à un nouveau-né tout emprunté, tout tracé, tout dessiné colmme à main levé sur paroi de roche .......... un bébé de roche ? sorte de "bébé d'ombvre" ? des donées de l'ombre ? ....... bébé né au tr&cé = à la volée , au pa ssage hors pré .................................................... verts le Passé Lacté du VErbe Cendré ! un passé ! un des nombreux passées des données lactées et &utres données vraies , de type :
- treaits
- traits actés
- traits des traits
- tra&aits sa-turés de verbe alloué
- trra&its des traits hors pré, hors parade et &utrescparadis des fées
-traits de charme / tremble / ar$bre de vie
-traits assumés et autres tra&its sur-investis (comme jamais !)
- traits des données
- trais sur-saturész de donéess ancrées de type "mesures" ... et aussi "démesures". On colle ! o n monte ! on veut grave ensemble essayer de comprtendre tout un ensemble qui pour nous sezrait une szorte de catalogage des donnjées intenses;. On essaie du coup de comprenrev et de comprendre enxemble ;les données du Ventre, soit de l'Antre (A,ntre Fou) des Données Intenses et autres genres de données "trans-genres". On veut comprendre soit porter de base les données ou pareilles données dites "de france" car voilà, on vient de fr ance et notree proprec langue (en nous inculquée) vient de france , est ainsi ancrée en une sorte de "coin -souffrance" en nous située .... mais ou % ? on ne sait ! on cherche à cerner-touchezr, à toucher-cerner comme qaui dirait, en nous, l'enderoit du prêt ......... m ais ,............... oon cherche ............. on n'est pas arrivée ................. on furette ! .................................. on voudrait toucher ......... atteindre ..../.. trouver ... ledit coin donné, ledit coin aux données ............. mais voilà ............... on ne le voit pas ! pas ça ! on voit pas ! on cv$creuse de la Voix , on porte Voix sur une sorte de Paroi ...................... aux bêtes -tas ! mais voilà .................................................. on ne sait pas ............................................................ cette p aroi : de quoi est-elle l'(antre ? de quoi est-elle en vréai l'e refuge-antre, cavité, passage, anfractuosité pour une sorte d'immixtion ancrée ........................................................disons = (qui sait ?) oscillons ! allons / revenons ! cherchons ! tatons ! creusons ! essayons (donc) de.................... creuser de chez creuser vers pareil néné des nénés de Roche ! a:llons ! poussons ! traçons ! paqssons pré / bêtes : traéits = herbe ................ vers ......../././.. vezrs en vrai ............................................... du Pässé ............. = le lait , hé hé ! bon lait de trait / traite dorée ! ........................... verbe verbe verbe d'herbe en herbe = immaturité des données allouées, ici, à des traits / tra&ites, ainszi déplisszées / plissées ........../........................ comme autant de traéits sur roche calcaires ! .......................... le passé renaît qui se voit "outré" ! ................................... hors pré, hors enceinte, hors cimetière, hors éden de fée, hors rotondité des données rupestres "à l'ancienne". On v eut creusrr = dire = sonder = xcha rger = comprendre = pousser = entendre = parler = cha rger = allouer, au vezntre dee l'antre, les données intenses d'une sorte de dennrée de type "lait" = lait-trait ou trait de l&it ...... de pis en gosier (il swezmblaezrait) : voyez ! voyez le trait ! voyez donc le trait de l'antre ainsi pissé ! on dirait du lait ..... mais c'en est , diantre ! c'sst du lait de l'antre , vfentre, ventre-panse, ventredieu ça perle dense et t(ombe à qui mieux-mieux en cette bouche (ouverte en grand) du Bébé de france = bébé, né en france, Albi Ville , des donées blanc$hes . On veut :
comprendre = prendre
dire = vivre
cxharger = cxhercher
perdre = donner
souder = coller
coller = sonder
sonder = souder, en vrai, les parois ensemble on dirait .....m : ais comment s'y prendre ? a&u pâ&ssé ! à l' rracxhe ! au passage ! on entre ! on passe un trait, le pré, par chanxce", on en avancxe ! on creuse le vrai .... comme à la pa rade (nuptiale) des données a llouées à une sorte de prairie ... amie ! on est bêtes de salle, bêtes ensemble, jumelée -accolée, on tire trait ! on ^passe ! on creuse de rage ! bêtesq sages ,b hêtes de roche haute sage s ! on veut :
oui : toucher = toucher-vivre
oui : aller = al;ler-dire
ce qui est qui est = le dire ..... des données du vivre = passsrr = charger = cxonsacrer au Rire les Donées du Dire = parler ! entrer = vivre le Passé ... comme s'il revenait ............ en tant que Dire ainsi creusésans rire ! ................................... sans rire = sans déconner ! et sans déconner = en vrai ! sans mentir-vrai ! on vibre ! on active (pour le coup) les données vives, le p ässé nacré, le tr acé du Vivre, les données vives ou dites vives d'un Passé tout alloué auxw dits Nénés emplis de lait : est-ce vrai ? est-ce la Vérité vraie telle qu'imùaginée en d'autres passés ? On veut :
toucher toucher touchezr toucher touchezr touychjezr touycher touycher rtoucher toucher touycher toucher toucher toucher troucher toucher toucher toucher toucher toucher rouycher toycher toucher toucher toucher rtoucxher rtopucher toyucher touycxher toucher toucher =
téter téter téter téter téter tyéter t&étertéter yétyer téter téter tétyer
à ce néné des dites contrées aux salubrités / saintetés / cdélébrités Vives ! une de'nrée ! à savoir : le lait !
ah le lait
oh le lait
hé le lait
mi am ! lait des laits dees données acideqs ... ou sucrées-salées ..................... on veut téter . on veut creusrr . on veut grave creusrr. Donner, dire, sondser, charger, passer ainsi d'un pré(muret) à une rive (haute volée) du Rire porté ! et téter, téter lait de rive / tire / rire ! s'e,n (comme) pourlécher les babines ........././......... du bébé avide ................. affamé ............................................................... emporté ............................................... envahi en entier .............. par son envie de lait szucré ................./............................................................. cri des cris armés .......................................................... come devenu cri : tout entier et tout à trac ......................... une envie-cri ........./././/.//././/............................ cri des cris ................................ = le Cr(i ...................................................................................... réclamant du lait ........... lait ! .......... lait !........... lait ! .............. lait ! ............ lait entier ....................... lairt de mère entier ............................. lait de mère allouée ....../...././/...... l&it ! ............. laéit ! ........//./........................... laiot des laits ......................... laaaaaaaaaits des laits de trait .............. tréit de lait hors pré .................................. une somme ..../................................................. avaler avaler avaler avaler avalerf avaler avalmer avaler avaler avaler avaler avaler avaler avalezr avaler avaler avaler avalezr avaler avaler avaler avaler avaler avalaer la somme , somme de lait, vezrbe nacré, l ait de verbe ainsi avalisé, ancré, inculqué, n acré, cendré, autocentré, autoporté en son néné donné ..................... lait docte dit "de porte haute" ......................... lait chargé de ....... honte ??? honte ..... d'être ...................................................................................................................................................... ?
5/4/2025
On regarde. On refgarde. On trace. On en avance. On veut grave ensemble comprendre les donnees de base ce qu' elles sont et pour cela on se projette ensemble a la une a la deux en cette sorte ici de continent qui est en vrai cette chose ci-devant soit en face = le passé de l'antre, les données les plus importantes etcetera. On mate parce que voila, ensemble on est là pour ça : comprendre et tooucher , creuser la verité en ses ... profondeurs les plus achevées ! On est deux ailes , on est pavssées, on mate grave, on charge, on veut grave ensemble comprendre ce qui est ici qui il semble nous fait face : le passé est ... une sorte de rage ou alors, peut etre, des dobnnnéees dites intenses. On creuse ensemble. On veut toucher ensemble. On est ensemble qui voulons (de base) en avancer et donc essayer de "trouver- toucher" à ce qui se presente ici, à ce qui est ici qui s e presebnte en tant que tracé qui serait du coup sorte de donneée dite "du bout du monde". On a envie ensemble de tooucher ... à ce dit tracé, et du coup d'en avancer en direction ici et là d.une possible verité (dite "vive") concernant la vie / la mort intenses , les choses d'une la ngue franche et autres donneees de moindre importance . On veut toucher. On veut tracer parce qu.on est aileees et que voila, pour nous, les donneees sont telles que nous, on a envie au mieux , de cerner de fait ce qui apparait et qui semble ou semblerait nous parler mais en vrai ... est - ce que c'est le cas ,, est- ce qu'en vrai ce qu'on voit (devant nos yeux) est une chose qui serait, ici, comme "situeée" et du coup ... qu'on pourrait en vrai toucher de chez toucher ? A dire vrai on ne sait car on est ....... nues ! Nues de çhez nues ! On mate, ok, mais ce qu'on voit est une sorte de nuage dense, parade nuptia , traits de voie, un passage c'rst bien possible mais vers quoi et dans quel but ? On cherche à comprendre ensemble. Notre envie ici est de comprendr ensemble et du coup de toucxher, de toucher a cette qsorte de parade ci-devant qui semblerait nous regarder attentivement et faire ainsi qu.on se (en quelque sorte) presentat ensemble a toi a moi, en cette sorte de xventre ou d'antre ( entre deux parois) pour
comme se rapprocher et du coup mieux cerner les parties en presence en cette sorte de combat de charges. On envoiie ! On creuse. On tente le diable. On est alloueees a une sorte dantre ici et la qui nous renvoie ça comme quoi voila on est Ailes de fées . Ôn est deux ailes = ailes , et du coup on peut s'envoler et tracer tracer tracer sans cesser vers eh bé cette sorte de .... qui sait , passé , qui est le passé dit "du bhout du monde" , ce tracé des catacombes on dirait . On cherche ensemble a peut -être cerner des choses qui en vrai et devant nous ( = &devant soi;) se presenteraient a toi a moi comme une sorte de .... passé de formes, formes longues , oblongues qui sait, formes d'ove, traits des traits. On cherche à ici
cerner de chez cerner et à trouver ensemble un certain nombre de données dites de france, car en vrai elles dependent fort de la lanngue ici employeee qui on le sait est le francais de Rom, ce francais de roche : langue morte ,? Langue des données hautes ? On cmonte ! On cherche ensemble a si possible nous porter au plus haut niveaiu de rocxhe des donneees, des données hautes et là, ens emnble, essayer grave de toucher à ça, cet envoi, ce tracé de soi, cette sorte dEchancrure dans un ... tas de bois, ou quoi ? Une masure ? On entre ', vite fait. On creuse a plaines m Ains la roche tendre car voila on veut ça comprendre, aller, toucher le sein donné , faire ainsi fiesta de ça, le lait, lait sucré bien tempéré. On aime le lait. On est folle du lait . On adore , on voudrait grave en teter a jamais sans jamais cesser et sen barbouiller (grave !) les pommlettes, les levres, le bout du nez. On aime le lait comme jamais et du coup notre reve a nous est de toujours toujours toujours en vérité tetetrr de chez teter ce lait de mere celte . Tracer = teter. Toucher = dire = donner = vivre. On veut creuser ensemble sans nous arreter en direction de ce néné quiest Néné ... du Dire Frappée ou sinon frappé martelé. On veut toucher = on veut (grave) essayer de tracer, ensemble, ici et la, sur paroi, un ertain nombre de " ressemblances " avec (il semblerait) des betes de poids = du Passé ou quelque chose qui, en vrai, y ressemblerait, du genre ... tourments ? On cherche. On creuse. On veut cerner de près les données en v rai les plus fructueueses si tant est et du coup approcher ensemble ce passé dit de connivence. Tracer = dire les donnéees ... qui pour nous semblent chelous mais en vraion ne sait car on est pas forcément placeees ou situées du bon coté pour fde fait comprendre çe qui est qui semblerait (peut -être) devant nous, vouloir nous attendre , nous capter ou capturer, nous prendre entre ses nénés, qui sait. On cherche à se rapprocher ensemble de ici cette sorte de .... table aux amies .... tables vives ou comment on peut dir, car, on voit', on comprend ici que cette table ... " eenvoie" grave, en termes d'offrandes vivantes , sanguinolentes. On mate grave et çe quq.on voit (on dirait) est cette chose d'une sorte de ... paroi des Rois et Reines, falbalas de traines diverses, ornementations princieres et autres costumes de choix. On mate tout ca , on regarde cette chos e en soi, rage des rages. On veut comprendre ensemble et toucher ensemble = prendre = cerner- prendre ce qui est qui, devant soi, se presente en termes de parade faste . Betes a voix, corps d'atheletes et autres betes de paroi imberbes, char ges parfois crades ou sinon crades exuberantes. On entre en cet antre. On est allouéees. On cherche ....... eh bé qui sait ce dit Passé de france dont le nom ou petiyt nom ici est "Le français" en tant qil sagit dune langue traceee , donnée, inculqueee en vrai en ses prpres profon deurs larvéees et aiutres gosiers. On est deux féees toutes redresseeees et on regarde en ce quartier les données qui ici pour nous semblent vouloicr se presenter comme données de bout de roche = du monde, est _ ce que c'est vrai ? Est ce quen vrai ces donc donnees de roche sont donnee de bout du monde = de la mort sonneéee , ,,? on cherche . On na pas encore en fait trouvee, ici, ce qui est, dune sorte de Passé de roche hore roche, hors rotonde, hors enclave - cavité de poche ou antre de rage. On cherche ensemble à si possivble comprendre ici (antre) ce qui est la- bas : ventre ? On ne sait pas. On avance ensemble pas a pas et on cherche a comprendre a toi a moi les données de force, traits arqués, charges hautes', tout une sorte de tracé dsur roche ce que c'est, traits des traits pour en vrai traverser et se retrouver qui sait de l'autre coté a grave regarder ce qui se montre = peutettre ....... un etre de traits ....... une sorte de ...... lettre ? Missive doree, lettre amère, lettre de fée ou sinon de fée d'elfe cendreeée. On veut cerner signifie que oui on est là comme accoleee à une sorte de muret des donneees profondes et cest ainsi tout accolees quon monte, quon ose ensembke en vrai monter de chez monter au plus haut niveau des donnees profondes, on est pas gênéees , on ose sans trainer et sans hesiter, on est allouées a une sorte de tracée de roche dont le nom est Traversée dépoque , on dirait. On monrte = on gravit = on cerne au plus près les choses nacrréees, tout un tas de tracéees qui sont tracés de fond de grotte. On rst femmes hautes. On monte car on veut cela et pas autre chose . On est deux. On creuse la roche. On veut tracer de chez tracer une chose, et cette chose ici est une sorte de donn éees oblongue genre quoi genre Ove, ove d'or' , ove des rOis et Reines de Saba ou quoi ? Car en vrai, nous voila qui sommes là bel et bien passeéee comme a larraché en ce dit "passé du passé" qui est ce sein donné sans plus trainer. On veut teter sans nous arreter , boire le lait donné, sq'alimenter de lait sans discontinueret du coup se rassasier = calmer son fait. On aime le lait. Cest vrai que nous, grave on aime lelait et ce depuis une eternité. On a toujours aiméee le lait et aujourd' hui plus que jamais on adore on s'en mettrait en vrai grave jusque là si on pouvait, de ce lait dit " des feees" qui est un lait nacreeé, salé- sucré, offert frais par, qui sait, une sorte de ... MondeD'Homme De rome ,,,, on ne sait en v rai dou ce lait est ! On cherche. On monte. lLait dHomme ? Ça m'etionnerait ! Je vois mal cette chose. On tete du lait qui est du lait de roche et la roche nest pas l'homme, n est pas sucrée, ne pleure pas du lait ! Le lait nest pas tracé mais est ancré ! Le lait sourd d'une sorte de donnée oblongue et cette sorte de do nnée oblongue (tracée) est une sorte de ..... cavité ........ autre . Antreroyal. Trait des traits. On veut ou on voudrait toucher a cette sorte en soi de cavité royale terminale axiale et pour ce faire tracverser a grandes enjambees a fond la caissse ubn pré, puis le pré passé, une sorte de murette autoportée qui est la murette dernière dun tracé d e fée. Murettte dite de cimetiere . Passee la murette creuser , en direction d'elle : la bete , sein donné, lait des laits. On aime le lait dernier ...... qui est ....... le lait premier ....... car voila, les donneees profondes sont, à s'y tromper ....... donneees hautesc= anciennes ! Le passé de terre. Une sorte de passé tout embroussaillé peut-etre on dirait, et emberlificoté en ses termes, mais quand mêmeon cerne, on voit d'ici des choses se tramer ou se dessiner et on se dit que oui en vrai les données hautes = donnees force = données treaceées soit deja tracées en dq'autres epoques plus hautes ( on dirait). On
mOnte ainsi de poche en poche. On veut tracer ensemble une sorte de .... plan des plans .... plan de roche haute. On veut toucher a çe qui est ici qui nous regarde au plus profond des yeux, il semble. Quest e que çapeut ettree , qui ici en vrai nous regarde ou nous regarderait ? On est allouées a une sorte de Passeé immense, genre ..... deeeemençe ? Ou sinon démence transe ? On entre ensemble = en transe ? On cherche ensemble a naviguer en cette sorte de passéee immense aux donnéestoutes chargéees, toutes saturéees dune sorte de ..................... romance ? Romance de faits ? On entre. On essaie ensemble de tracer a main leveee ou comme a main levee un certain nombre de données de base qui seraient pour ainsi dire des données de france = du francais de charge, passé né sur passé de rage et le tour serait qui sait joué , on passerait. On pourrait ensemble tracer sans trainer ou sourciller les donnéees les plus importantes concernant la charg, ce tracé ancréen cette sorte de passage entre,, entre dun coté le pré = le sentier des donnnées (des donnéees de l'ambre ) et de lAutre, une sorte de Passé- Parade, trait pour trait. On regarde. On cherche, ensemble, à toucher la branche , branche comme dessinée sur Antre alloué a ce dit "Passé des Remontrances" ..... (ou : "des Remontéeees" ?) qui est le Passé Intense, Passé-Frai, Charge Haute et Haute Charge saturéee de termes donnbés. on est née fée en un pré et nous voilà comme toute transforméee en ........... eh bé autre chose = un bébé de porte ! Donneeeée docte. On monte. On veut toucher de chez toucher à cette sorte de donnéee oblongue et pour toucher à cette sorte de donnée oblongue on se dit que, le plus simple est encore de ... passer en force ? ou comment dire, à toi à moi on se serre les coudes, on y va, on envoie du bois, on ne fait pas sa chochote, on monte , on creuse la roche, on trace on file on veut comprendre = tracer = dire et sonder ... ledit néné tout rempli de lait ! On a envie de creuser de chez creuser ledit néné aux données lactéees et pour cela : fissa , tête premiere en ce tas de bois , charger folle, foncer, donner des cornes , du sabot de roche, tracer de chez tracer en ce Passé des Formes ici allouées à une sorte de ...... donnéee profonde ..... qui est ...... tagadagada .................'.... qui sait ? Sdu lait ? Lait docte ? Lait d'homme ? Lait de femme tracéee ? Lait d'ambre ? Lait des laits de france? Lait-langue ? On veut toucher à cette sorte de Passé Intense dont en vrai le nom on dirait est : franche camarade , néné. néné - trait. Le néné de tous les nénés. On veut toucher = on veut cerner et pour cela le mieux ici est de se prsenter ailée et ceest ce qu'on fait et sans sourciller' l'air dégagé car voilà, on est la fee des données tracéees , et a ce titre on se dit que oui on peut sans trainer avancer de chez avancer exn ces contreees des donnescdernieres' , hautes donnée des termes. On cherche atracer et pour cela on se serre les coudes = les ailes ........ vers Néné ! On cherche le Verbe. On veut creuser. On est nées un temps ..... fée, fée ferme, à presennt nous voila comme redevenue d'elle = re - pondu ! Re- nue ! Un enfant. Un/ une , en cette sorte de .................................. on dirait ...................... fente allouée à une Sommité Velu e ................................. qui ça pourrait être ? Du ........ Verbe ? Verve velu ? On cherche ! On veut toucher a ce qui est qui se presenterait a nos levres ouvertes , genre .... lait ? Lait d'elfe ? Lait d'herbe ,? on est passeéee et du coup on veut toucher sans lambiner a ce qui est ici de l'autre côté a comme nous regarder de chez regarder comme si en vrai on éteait à terme des sortes de petites betes imberbes, néees laquéees, nées comme satinées sur herbe ! Traits ! On est néees de fait le mur passé en tant qu'on serait (ici) Devenue (grave) un bébé chelou ! Tendre ! En ce ventre des envies d'antre ! On est ensemble = colléees . on va ensembkle ainsi collléees . On veut cerner de chez cerner ce ventre des données de france soit du francais. On veut toucher ensemble a cette sorte de donnneee immmense dont le nom en vrai est Intimité et nous de nous avancer', de nous approcher, de chercher à toucher , a l'intérieur (ici) de ce ventre, à une sorte de "denréee des preferences", lait donné' , lait - acidité ou acidifié, lait des rages portées. On est comme consacréees en vrai par une sorte de donnée lactée,, et cette sortede donneee lacteee , donnée en souffrance, est du lait de france = du francais' , langue tendre ..... ou pas tendre mais ainsi ancréee en notre sorte de gouverne antrale , i ntrinsequement lové et du coup accrochée , enracinée ... et va comprendre à s'en détacher ou à comment s'en detacher ensemble ! On est acculéees . On est comme cernéees et meme traquéees et meme comment dire singéees ? On veut toucher a ce néné du rire ou dit du rire , et pour cela , une seule voie : la chance ! Chance d'ambre ! Le passé est donné à qui veut toucher et croire en sa chance ! On est nnée feee de connivence, nous voici comme renée mais en vrai (cette fois) autrement montéee, car : bébé des bébés on est , qui cherchons du lait . On veut tracer ensemble et aller de chez aller jusqu'a çe néné qui de fait serait comme rempli dun ... lait de france du passé intense = acidulé. Lait / rage. Lait dense. Lait frais. Lait comme tiré dune sorte de ..... panse ( %pensée ? ) offerte en instance ! Trait tiré. On veut comprendre ensemb:le = donner, toucher, creuser, cerner, pousser sans discontinuer les recherxches sur trait de donnée de base ..... genre : vérités ancréees et autres traits passés. On veut (grave) remonter la trace et creuser, creuser de rage, remonter ensemble, creuser creuser de rage ce tracé , et du coup remonter de chez remonter jusquq'au dit "passé du lait" . Quest ce que ca serait , quest ce que ca serait en vrai que ce dit passé ... des traits intenses ou intensifiés à notre arriveee en tant quebébé ? On veut comprendre ensembkle = on veut toucher à ce néné ... des donnéeslacttéees , et du coup téter onsait, on commence à cerner ou sinon cerner deviner ! On est nées bébé le mur passé . On
Cherche ensemble à (essayer de) nous rapprocher dune, peut-être, sorte de passé, qui en soi serait, npour nous, une voie nouvellle, genre voie de roche mais ici e n dehors de cette sorte de rotonde de la mort donnéee. On veutt toucher a cenéné de poche , teter de chez teter et du coup tracer, ou comme tracer, un trait de clarté. Voie docte = donnee haute. Trait tiré = lait . On connait. On veut toucher du coup à ce néné tout rempli de lait, et s'en barbouiller chelou de lait ou de ce lait dit acidulé. On aime le lait et les produits laitiers, on ne se nourrirait que de lait. On veiut teter car on aime le lait , les données lactéees et autres fromages frais. On est super interessséees par cette chose, de lait donné, de lait tiré ou trait, de donneees lacteees comme s'il en pissait. On adore téter à meme le pis ! On adore téter (grave) le néné du lait la mort archivéee. Car, on se dit ici, que, voila, la mort' ou une fois la mort, une fois la mort comme archivée = donnéee, nous voila là qui , trallala, montons !! Allons !!! Filons ............. pour comme trouver l'ombre dans laquelle on espère ensemble pour le coup pouvoir sans faute téter de chez téter tkout notre saoul et s'en pourlécher (sans gêne) nos levres toutes retrousséees de bébé de ferme. Ou de bébé de terme. on aime le lait = on aime le Verbe. On veut creuser , et pour creuser on veut ensemble traverser la roche, roxche aux féees, finale. Et passer. Passr ensemble accolées, de l'autre coté de l'ambre. Tracer = filer = dire ce qui est en ce dit passé des entrées. Qui on est en vérité ? On ne le sait pas, mais ... on envoie ! On envoiev du bois et au - dela du bois on envoie de ça ........ qui est chose docte = de la voix ! Voix haute d'haute-contre ! On va ! On creuse en soMe. On veut toucher a la paroi des hautes contres. on voit , on creuse. On est là comme e n semble colleees pour ça, à savoir : tracer, creuser, dire ce qui est en ces contréees du bout des roches soit du bout des mondes. Autre voie pour un voyage ensemble en ces nuées de l'au-delà comme qui dirait . On est des bébés ! On veut creuser le rocher pour passser. On veut toucher à ce qui est ici qui semble comme nous narguer mais en vrai est-ce que cest vxrai ou bien ... est ce que cest pipeau ?est ce que en vrai les mots, dits "du passé nacré", sont des mots frelatés ou alors non, frais de chez frais ? On est allouuuuuéees ensemble a une sortede recherche intense qui nous voit sans cedse chercher de chez chzr her en mille contréeees ou sinon mille en de ... nombreuses contrées et nombreux coins, un grand nombre de données de roche mais (comme qui dirait) hors roche c'est a dire hors rotonde cest a dire hors enceinte prairiale . On veut comprendre les donneees finales, celles la qui de fait serraient comme à nous attendre en dehors des roches, hors paroi de grotte .......... dans lka Voix ? Va comprendreou va à comprendre ! On est hautes, on est hau tes de chez hautes , on ne cedse de monter hautes. On veut toucher à une sorte de donneee hhaute ...... mais comment toucher quand en vrai on est comme dessinneees et pas vraie , ... ou alors tout le contraire : on est vraies et pas dessineees ? On veut toucher à ce néné des données hors herbe ......................... qui serait du verbe ! Verbe ce n dré ? On veut creuser, on veut cerner ,on veut en avancer en vrai en cette sorte de Passé des donneees hors herbe , passé qui serait du coup "le Passé aux traits" soit aux traits tiré s = traits des traits et autres traits , des donneeees entieres , intègres, saturéess de Verbe . Lait sucré sans appret. Verbe d'herbe. Verite des verites sur terre ! Si ça se pouvait ........ ça serait ......... l'enfer ? LeNfer né ! Drole de contréee que ça serait en cvrai, si jama is de fait la vérité pouvait etre ... révélée ! traceee ou graveee sur pré, pierre, mur denceinte !!!! On veut toucher et pour toucher il nous faut en vrai (essayer de) nous approcher de chez approcher dudit néné des aamities ...... des amabilités ......... des données de roche ainsi libelleees. On aime le lait car voila .... on est deux , deux ma foi en soi, qui voulons de chez vouloir , passer entre (trait final;) jusqu'au centre ..... paroissial .......... des données hautes : hautte porte, haut tracé de grotte, vers le Lait Royal de Reine Sarde . Sarde sage = savante. WOn entre. On cherche ensemble à toucher la base et a co.prendre les donneees traceeés, ce qui est qui est et qui nous regarde ou nous regarderait sans plus trainer et parçe qu.on lui plait ou lui plairait. On veut tracer des traits et du coup wRévéler qui sait les donnéesxancreees toutes enracinées en cette contreée des envies de lait. On est des bébés ! On veut creuser vers en vrai du lait donné de bête de trait ou de ........... mère allouéee ........' à une sorte de Passé des Termes . Verbe ancré, inculqué , rentré, enfoncé en notre petite tête de bébé cendré. Bebe post- mortem. On est le bébé des données toutes acidulées ainsi rencontrees la mort passeeee et depasssée. On aime le lait et on veut teter sans plus trainer sans se gener et sans sourciller ni faire de simagreees. Qui on est ? On est des bebes aimant teter le bon lait de mère et surtaout .........................(sans se démonter) teter de chez teter le .............. Verbe Intègre = mots post-pré, post- cimetière, donnnée d'elfe, de feeee alloueee a une sorte de Passéde Terre. On veut creuser. On veut toucher à çe qui est qui nous regarde ou nous regarderait sans plus de maniere alors meme que nous on aime (en vrai) teter , on ne dit pas "qu.on aime" forcément mais en vrai on aime, on adore le lait , on adore teter, on voudrait sans cesse teter de chez teter le lait donné , trait, tiré tout frais du pis de la bête. On aime le pis, la bêt , le trait ( trait de lait), le lait, les données du "Verbe- Lait" et autres donnnnées tirees. On aime teter et se rassasier du bon lait de l'herbe tracéee. Quest ce quon aime ? Le lait ! On aime teter, toucher le néné pour bien l'atttrapper et teter de chez teter sans se genner. On veut creuser et prendrd et comprendre, touxher à ce dit "néné du tendre" et prendre = teter , le lait donné. On veut creuser ensemble et du coup comprendre et porter et chercher- charger et eessayer ensemvvble de tracer de chez tracer les donnees d'enfance = ce passé de france, traits tirés, fentes labiales, un creuset où pouvoir se loger et du coup cerner
un plus grand nombre de do nnées dites "de la transe et des voyages intenses". On est nnées fée la mort acheveee ou parachevée . On est re - née à une enfance desclartés, des dons de lait, du blanc sucré - salé et autres blancheur lactée. On tète intense en transe le lait frais. Transe et contre- transe ainsi remonteee des contreees intenses. On veut teter de chez teter ..................... le néné des transes et autes nénés ainsi deployés la mort comme archivveee, parachevee, acculée. On est le bébé- transe ! Cacheté ! Lettre adressée. On entre ................................................. encette danse .................. menuet .................. parade animale ............. frai ....................... charge olé olé des données royales ........... et autres traits ainsi assumées de par les donneees ainsi alloueees a une sortede tracé ainsi tracé ,............................................................................................................................................qui sait ce qui est ? Qui saurait nous donner des "mots de verité" et nous guider sans nous tromper vers une Verite pour le coup lactée de type révéléee ? On est née bébé la mort parachevéee. On veut tracer et en a va n cer sans autre souffrance que celle de tracer sur branche les données intenses dune ... sonorité dite " de france" = un passsé i n tense, voix et traces, vents deface, PETS !!!! Charades ......... on passe. On avance. On cherche ensemble à comme se situer en ce dommaine des donnees premieres et pour cela, de preferenc e, le passé tracée, la charge du passé intense ainsi retrouvé qui nous regarderait de base en tant quenous serions il semble comme retournée a une sorte de mission (ou de fonction) dont le nom de fait serait lié à une sorte de recherche folle elle même lieee a une sorte de Parole, Parole Centreee . Nom de roche . Aurochnodoïté d'époque haute .Mamelon ? On ose . On creuse. On porte. On recherche ardemment à ensemble s'y reconnaittre en cette loge haute des donneesx premieres, données hautes du tracé de Porte, haute porte , haut tracé, vers du ..... lait de roche. On monte (ensemble) les monts de piété, vers Du tracé de Roche à haut degré de Vérité. On veut creuser ledit passé et comme nous y retrouver commme tout tracé et du coup re- née sur ce sentier des donnnées données. On est ..... homme ? Homme haute ? Homme intimideee ? Homme depoque haute ainsi traceee en termes de roche , hautes formes ? On est neees feees hommes, hommes feees, feees hautes = hommes-feees puis hors du pré re le bébé des données accortes. On cherche à toucher à ce niveau de roche haut, soit le plus haut niveau, et là , creuser un caniveau !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Pour l'eau !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Evacuation des eaux de trop !!!!!!!!!!!!!!)!!!!! = Des eaux mortes !!!!!!!!!!!!!!!!!!! Eaux de roche mortes !!!!!!!!!!!!!!!!!!! Les ..................................... eaux de porte ? On monte ! On veut en vrai aller de chez aller en cette sorte de contreee profonde ... des donneeees hautes, tres hautes, du Passeé de trait = le lait ......... lait d'époque haute et autres laits de roche cendrée ............................. grave on veut trouver .................................on ne veiut plus lâ cher le neéené mais teter sans cesser .................................. de ce lait du verbe ............. un trait ....... deux traits ..........trois traits ................. quatre traits et le tour est joué on est née bébé hors enceinte !!!!!!!!!!!!!!!!!! Hors pré !!!!!!!!!!!!!!!!!! Loin de l'herbe verte mais proche des termes ainsi alloués à une sorte de Passé des traines , train tracté, train du Verbe sonné, son de cloche dorée ! On monte. on est comme deux feees des données hautes ainsi promulguées a lApprche des donnees hautes d'une Déité (sorte de Déité) de roche . Qui cest ? On ne sait . On est a lApproche mais, en vrai, on ne sait pas qui c'est, on se demande, on veut comprendre. On voudrait comprendre. On voudrait grave, comprendre de chez comprendre, et creuser de chez creuser, toucher le néné, boire le lait, s'en gargariser sans plus se soucier de ce qui est ici qui nous regarderait comme de biais parc e que voilaa on serait tout abandonnéeee à la tétée , on ne regarderait en vrai plus qu'a teter de chez teter sans s'inquieter de quoi que ce soit d'autre : que teter ! que cette chose haute ! Que le lait' . Et du coup ........ autocentreeeéee ...............................hibou caillou genou pou ...................... sur unpassé nacré..................................... de type francais ça le fait ...................... langue inculquée ......................................enfonceee ..........engoncee ................................ et nous voila paréee comme pour leternité .....................dune langue sacrreee ou sinon sacree consacrre a une sorte de passage haut , de haut niveau de roche, vers la Chose Haute ....... trame des feees ............ porte haute ..............................................vie traceee de haute epoque ......un passé de Poche = une virée et nous voila cerneees, cômm e re-donnéees à une sorte de bete de trait .......... vache ( sacreee ?) à lait de roche ? On cveut ..................
,
......................" toucher de chez toucher ... à cedit passé des donneees profondes = hhautes, j'ai nommé ............................................. la Chose, ..................................... Passé - Chose ...................... dun tracé ambré ................................................................................................................On veut grave toucher à ce dit passé des donneees tracees en forme de néné, néné empli de lait , lait sucré - salé de type lait de trait .........................on adore ! On adore le lait. Grave on ne voudrait
dans la vie que téter, que boire du lait' , tellement le lait, pour nous, est ......LA .... Denreee Absolue à devoir siffler, à jamais ou à tout jamais. Verbe d'herbe et autres qverbe des donneees de l'herbe .verbe vert . Vertes herbes aux couleurs du Verbe .... ou l'inverse. On aime l'herbe. On aime brouter l'herbe, l'herbe verte d'un pré vert de type ..... éden ....................... port de roche verte, pré des fées et autres contrées aux données vertes et assimilées. On veut toucher à ce dit néné des donneess dernières = derrière . On dirait. Il semblerait. Onaimerait en etre certaines. On aimerait que çe soit le vrai et, du coup, pouvoir tabler sur une vie post -cimetiere, post- pré, qui serait, pour nous, une aubaine ,, un havre de paix, une sorte de maison secrète où pouvoir en vrai nous reposer ou nous poser sans se mettre martel en têt, dégageee ou meme completement degagée , enfin Elle, traceee sur pieds et nous voila aileee comme à l'arracheee, traceee sur pieds ailee et nous voila comme .....................envolée .............. à tire d'ailes ........... hors sentier .......... vers les hauts traits des monts de Bosse, une somme . On monte, on veut toucher la roche Haute des monts de Porte et autres porte haute des passages Monstres. Creuser = dire ce qui est. Et nous voi,laaa comme alloueee a une sorte de Paroi des rois / reines lam bdas ou quelque chose comme ça. On voit et on envoie,. On cherche à comprendre. On est là pour ça. On est ensemble en transe . Ensembkle = deployée, = déplisssee ... en tantque féee des prés ainsi ailée qui saurait du coup traverser (d'un coup d'aile) le muret dit "des fins de pré", et se retrouver toute chambouléee car transformée en veritéen une sorte de ........ bébé chafouin ..............tout chose ...........un peu sonné ............ tout brinquebalé ......... chahuté au passage de porte ...................................Etonné ou né étonné (comme on disait) ................................... tout marbré comme une roche ............ lèvres bleutées ..................... doigts nacrées ...............................bébé docte ...........il sait ................................ il sait des choses hautes ..................................................mais ne peut en parler et ça fait chier car il saurait (en vrai) nhous en apprendre long , hauttracé sur pieds , des donneees profondes hautes ........ ancestralités de roche haute ............... ça fait suer ................. car .... comme on serait heureuses d'enfin pouvoir de fait cerner de chez cerner toutes ces données qu'un bébé connait .......... jsauqau bout des ongles ! Sureté ................................ il sait ................ bébé sait de fait ce qui est ......................... de la dite mort alloueee à une sorte de '.......... passé montré .......................... hors roche .......... hors rocher .................... hors enceinte donnée et autres panses satureees de verbe-eau des données de force ................................. eaux de roche et rochers d'eau à tous les niveaux ........... On monte hautes. On est haut sur haut niveau de roche haute. On veut toucher àce néné d'époquedont le nom pour nous évoque une sorte de ..... passé tracé aux vies remonteees ou comme remonteéss. On veut toucher de chez toucher à une sorte de ........... montée aux feees ................... un sentier tracé, sur........ du passé comme re-activé le mur du son passé ......... quelle activité ! On en tomberait d'inanité sonore ! Haute portée ! Qui c'est ? Eh bé.................. on ne sait ! On se montre bébé mais on ne sait a quelsaint se fier ................................... en ce sein alloué a une sorte de passage docte , genre ........... traverseee desroches et autres rocs des catacombes. On est née !!!! On est re - néee !!!!!!!!!! On revient à une sorte de ....... passé de porte post-roche .......... hors de pré de roche ......... passé comme enfin retrouvé, le pré (de la mort) ainsi dépassé ça le fait ........on le voulait ......... on ne voulaitpas
rester en ce pré mais tracer et traverser la roche et nous retrouver en quelque sorte ainsi déplaceee pour une sorte de virée seconde de type tétéee , tétée haute, sur tracé et autres traits donnés de type lacté. Qui on est ? Le bébé re-né ............... à une autre époque ainsi dessineeesur paroi de trait. Sarabandes et bandes , traits nacrés - sacrés, charges mentales du passé en france un temps alloué a u x dites romances et autres petits faits comme retrtacés . On veut creuser, donner, filer, chercher, se déplacer en nombre, et chercher de fait à se replacer en cette sorte de domaine ... des formes ou des formes hautes de type cohorte ............................ ou autres. On monte ................................................. on veut creuser de chez creuser une sorte de porte par où ensemble pouvoir passsr sans ettre en vrai rtrop secouéeesni même blessséess, et du coup traverser de chez traverserr la roche haute, et filer de chez filer vers une sorte de néné qui est poche de lait ou quelqque chose de cet ordre : lre Passé lacté enfin retrouvé = Verité allouée à un " produit laitier" de type : Lait non- ecremé, lait entier, lait adulé, lait adoré des bébés ("qui sait? ) " normalement constitués" ou alors quoi ? Car, nous voilà là qui voulons nous autres, grave de chez grave, téter, teter sans cesser, du bon lait de mere, mere vraie, mere des termes, des données primaires , premieres, pré- mères on ne sait, hors enceinte aux feeees ......... on cherche. On veut trouver alors voila on ne cesse plus de ... grave aller de chez aller ici et là à la recherche de la vérité sur les données de l.au - dela et autres quartiers habités par , peut etre, des etres tout ebouriffés de nous savoir passées ou davoir su pouvoir passer , d'etre passseees, dAvoir en vrai reussi à passer et à pouvoir teter , téter sans nous arrêter, le lait de mère. Mère autocentrée sur son drôle de passé de ferme. Merde à mère. On veut ............. creuser ledit passé sans se bleesser ou etre blessée mais tout le contraire . Aller, fair, dire, cerner, pousssrr, connaitre, retracer de tete les donnes i n ternes a une sorte de passé ancré de type ................. lait ! On ne sait jamais ! On croit pouvoir trouver et toucher à une vérité des termes, mais en vrai ........ ce n'est pas vrai ! On se fait blouser ! On est vite faites soit baiséees de près ça fait suer , meme chier. Ça fout la merde. Ça nous emmerde. Ça nous fait bisquer et meme bisquer de chez bisquer quaNd on voudrait juste tracer vers une vérité tracée qui soit pour nous comme assurréee et dignes detre de fait adopteee ou alloueee ou meme adoubee et ducoup aimee ou comme aimmé. On veut toucher a ce dit néné des finalités hors cimetière : quest ce que c.est ? A qui appartient'il ? Qui sait à qui se sein donné est ? Que penser du lait ? Que penser en vrai de l'herbe et du pré des données de roche ,, genre .......... traits de poche ........... pré docte ...................................................... ? On est née bébé , la mort dépassée. Bébé = re- né ......... hors du pré .......................... sur néné des termes . On veut toucher de c hez toucher à une sorte de donnée des données de l'herbe et du coup tracer = faire= dire en vrai ce qui nous embête ou nous embettereait hors ou en dehors du cimetière tel que presénté a nos obseques. On cherche ............................................................. on ne veut pas passer a côté des verités dites intrinsèques mais au contraire cerner , cerner grave çe qui est en ce territojire des données genrées de type post- *morteme et autres post- tracé aux feees. Qui on est ? .....elles ! Dans la mort , fille ou garcon, on devient ...... elles , elles- montón, elles d'ailes, ailes / elles, on vogue. On va la bas. On entre. On creuse. On veut voir du paysage, on se balade,, on croit en soi, en sa bonne étoile sage. On est en soi une sorte d'étoile ou sinon d'étoile de lueur intense (notoire). On entre. On cherche acomprendre ensemble les données profondes. Creuser = dire ce qui est. On veut toucher à une sorte de contrée des finalités dont le nom est ou serait ... le nom des traits, ailes de papillons, ailes de feee, chapeau- melon petit patapon ..................,... dont le nom, pour le coup , serait : Ducon ? Dupont ? ... Cendrillon ? Spigolon ? On cherche sans cesse ! On a envie ensemble de trouver-toucher de rage les données de base et du coup ( en vrai) de ............................ des c endre en cendres .......... vers le pied de l'antre ............................. ou autre cavité ........................ on ne sait .............................................................. on veut ou on voudrait toucher à ce néné de contrebande ainsi dessiné la mort une fois passée. Quest ce que cest que ce néné ? Eh bé .... un néné dit ......... du passé il semblerait. Néné né la mort passée. On veut le téter . Téter = être. Téter = dire. Téter = faire. Téter = charger et du coup aimer, sonner, sonder, creuser de chez creuser le Verbe saturé de germes et autres grai n es de données de roche ...... post-roche. Un aller simple et nous voila armée ! On peut pistonner. On peut aller vers icelui néné des données de ferme, ferme sanctifiée, ferme à lait de ferme ainsi édifiée ( la ferme) pour l'eternité. On est ...................... colere ! Toute remonteee ! On veut :
Teter teter teter teter et ne plus nous arreter en fait de teter de ce lait de terre, lait de trait, lait de ter-.... de tré- ........ de tré- né .......... de terre ferme, lait -trait, laitdes traits des données dingues. Chargé . Chargé de Verbe comme autoporté en ses données vertes . On veut toucher à ce néné du verbe salué, et comme saturé de lait à tout jamais il semblerait. On aime. Grave on aime. Grave de chez cggrave on aime le lait , on en redemande : donnez- nous du lait de france , pitié ! Donneez, dooonneez nous en vrai ! On veut téter de ce francais de contrebande et nous en rassasier ... sans plus de manière .................... car on aime ! On veut teter teter teter sans trainer le lait', lait de mere naturelle ..... ou pas, que nourriciere on s'en fiche en vrai puisque nous ce quon veut par dessus tout cest de ce lait du bout ! Bout doux ! Bout des bouts du trou ! Lait des ombres ainsi donné en bout de porte ! On monte = on ose . On est hautes et doctes. On veuttouxher toucher toucher à cette chose des trancheées de roche et du coup tracer , filer grave sans reculer v ers ce "néné de france" .................................................... frai ...... frai de rage ......................... frai nacré de france ................un passé comme remonté dans la "souffreance" d'une sorte de dicteee intense .......................... psychanlayse des trembles ,,,,............................des 4 memnbres .......................... à satieté ............................ = le passé des membress et autres traits des traits sur roche d'ambre ....................... clarté ............................... une clarté intense ................... qui serait comme remontée pour ainsi dire dans la souffrance ou l'endurance d'une vérité ainsi tracé sur paroi de base ............ grottifiée ................. et nous voilà colmme remonteee ou toute remonteee de cette sorte de souffrance intense de type diarrhee, logorhhé, verbe alloué a une sorte de parade d es donnees ancreees dans une sorte de passé de france ou du francais ..... francais langue sale ........ langue heureusement sale salopée on voulait on entre .......... on voulait comprendre on voulait cerner on avait en vrai méga envie de (pour le coup) vcerner - toucher à une verité des données intenses telles que developpéesx en ces contrées de bout de roche ici gravée , et nous de nous
emberlificoeter en ces dites "données derage" , et desssayer ainsi (emberlificottéees) de comprendr dans le detail (des données de près) les raisons desperer , d'espérer pouvoir, un de ces quatres toucher du doigt les raisons de base, lrs tracés ici ainsi desssinées ou decoupés sur fond de roche ainsi enterréee. On veut cerner ces dites
"contrées post-mortem": que sont- elles ? Qui le sait ? Qui connait sur le sujet la verité à quoi se fier ,? Qui pour nous aider ? On cherche ! On a pas encore trouvé et cependant on ne renonce pas , on pousse encore sur paroi de roche la Parole Docte, le tracé nacré, en cohorte, bêtes sur pieds, bisonnées des feees et autres betes " accortes" . On cherche un trait (deux ?) pour unesorte dimmixtion en roche ........... une infiltration en quelque sorte ........................................................................ incrustation .................... passage de porte on monte on creuse on file on ne veut pas lacher le lest mais ghrave filer se faufiler tracer entrer creuser se donner et poussser de chez poussser vers une sorte de ........ néné empli de lait sucré on en rêvait ! On rêvait de lait ! Eh bé voila, cest fait, on est allaitté .....falait juste y passse ´r, passer et trépasser et du coup tracer . Tracer vers ce néné des données dernières post muret = post- cimetière on y est, on monte. Montons. On ose . Osons. Creusons ensemble à fond jusqu'au dit Mamelon d'epoque Haute , sein collé à une sorte de donnée profond
E de type .......... onde ? Monde ? Monde qui gronde ,,,,,,,,,?,,,, on monte = on cherche = on dit, et ce qu'on dit est en vrai (serait ? ) d'une importance folle, car ............ le passé (la mort passsée) gronde, renacle grave, il trepigne de rage ! Montons ! Montons haute et allons creusons filons cernons cherchons à , ensemble, comprendre, un certain nom b re de raisons intenses, les données de base, c e qui est en ces contreees des rages et autres ires du passé. Qui on etsv ? L.arbre ?un tracé ? Une charge des feees ? L'ombre sur le pont ? Une merde sans nom ? Ah peut -etre ..........peut- etre une merde ! Va comptendre ! Va chercher ici a comprendre. On veutnous toucherde près, toucher en vrai, et du coup c erner, mais .......................... car ily a un mais. On entre = on passe = on cherche = on dit, et ce qu'on dit est (en derniere instance) du dit vrai du fait que voila , l'arme de latranse est arme de base, trace des traces. on entre, on passe, on envoie, on cherche un trait ici et là sur quoi pouvoir sans hésiter tabler et du coup s'appuyer. Trait de rage intense = cri ? Christ étonné ? Dé-genré oh ça se pourrait ! Car, la vérité du pré, nest pas la vérité post- pré ..... loin s'en faut. Un homme est un homme au tro t ; au galop le voilà fait ombre et ........ bientot tombe ! On monte . On creuse, on charge. On pousse. On veut grave comprendre, aller, charger, cerner, dire et toucher à ce néné dit "des données intenses" de type " souffrance en france"................. et autres joyeusetés , on sait. On est pas neees de la derniere transe , on connait lafrance , disons : le francais, langue des traits , des données romanes et autres données greco-cendréees. On veut toucher toucher à ce quii est ici ( le temple) qui nous regarderait ou chercherait à (qui sait ?) peut-ettre en fait comme nous mater et de la tete aux pieds qui plus est ......... quand on est juste.ment méga- mal atifée ou sappée ça fait caguer ! Justement là ! ........, comme un fait exprès ,..... pas de chance .......... on est' envoutée .......... on est piegéee ? On veut en vrai cerner de chez cerner ce mal des prés et le pourquoi de fait on entre ainsi en ce passé ... des donnnés intenses comme ressassées . On veut toucher à ce néné des trembl es ! A qui il est ? A qui donc est ce néné des trembles ? Qui le sait , qui comprend les identités ? Les permanences ? Les clartés ? La vérité des vérités?on entre ....... on est la fée des données de france ,........ = du francais de branche = remontées (de clarté en souffrance) ................ jusqu'aux dits nénés ainsi alloués à une sorte de tétée donnée ............................ par amabilité . On entre , on creuse, on passe, on cherche à comprendrcensemble les donneees de s trembles, ce qu.il en est de fait de ces donneees toutes plus denses (intenses) les unes que les autres, il semblzerait. On aime tracer, on veut creuser. On cherche à toucher à ce dit "Nene des Trembles" ............. questce que cest que ce néné des trembles ? De quoi il s'agit ou s'agirait en vrai ? Charge - née ? Croisade ? Trait des traits ? Fentes allouees a un corps de rage ? Le passé dit remonté est il passé sale ? On voudrait cerner ! Grave cerner-toucher à ce dit néné "aux données intenses" dites " du passseé sale" maois est-ce que cest vrai ? Le passé estil sale ...... ou bien plutot ... sage ? Ou même ..................... sarde ? Passé sarde et nous voila armée informée formée à une sorte de .............................. parade, tracé, cavalcade ancré, contrebande des données pesantes et autres charges ccertifiées antrales. On veut toucher de chez toucher le ventre des données de base......et filer de chez filer sans plus de formes autres que celles ici ainsi deployyées ou montreeées en termes de :
- amabiliteé
- cordialité
Et autres formes civilisées de sociabilités. On veut creuser creuser creuser et du coup trouver trouver trouver. Et du coup poasser ! Traverser lesd ites données et cerner de plus près, de l'autre coté, les choses du front ! Ce qui est ! De quoi en vrai il en retourne ou retournerait le mur du son ( muret dit "des finaliteés") passé soit dépassé , car , on le voit, le passé tel que mentio nnné est peut -etre plus que du passé ou plus que du passé-montòn...... peut etre, aussi ....... sorte de ...... m.amelon .......... mamelon des monts ou dit "des monts", dont en vrai .... on ne saurait rien ! ou rien de plus que ce que pour le coup on pourrait en savoir soit en voir ................... = ..................................................................................................................................................... quelques traits ....................................................... un tracé ...................................................................... une (sorte de) tracé à main leveee .........................rondeurs des traits et autres galbes de fait ............................... sein donné acoeurouvert ......................................... saintetÉ .................... des traits saturées .... et autres traits de sainteté .... comme à découvert ............. traits de lait = flèches .............................. le passé en flèche ou en "flèche de lait" ......................................... un drole de passé de roche ...................'........... post roche .......................... passé - ombre ............ lait perlé ............. lait donné ........ lait de trait ............ lait tiré .................. lait donné à la volée ou comme tel et nous voilà ainsi nourrie de sortes de paroles doctes, voix d'en bas, chants des roches, tralala des données hautes et autres traits d'époque : poids.
31/3/2025
on a envie en vrai ensemble de méga méga comprendre ce qui donc ici se passe devant soi = la base = les données = ce qui est qui en vrai est là qui peut-être on pourrait le croire nous regarde grave nous mate de rage ne nous lâche pas et nous (du coup) on voit on voit ça les choses en face la paroi les drôles de bêtes-voix et autres romances en veux-tu en voilà on est là on est comme deux ailes en soi qui (on dirait) veulent s'envoler et hop monter de chgez monter on veut comprendre et on veut tracer gravir la "roche des fées" et du coup monter de chez monter au plus haut des monts et regarder voir ce qui est comprendre un tant soit peu les données données cerner = toucher et toucher = cerner aller en ce quartier des "données profondes" hors rotonde soit au-delà de là de la paroi-monstre voir là-bas "les choses du monde" qu'est-ce que ça serait ... peut-être du ... lait ? d u ... lait de rOche ? on ne sait ce qui est on veut toucher on veut passer un pied ou même les deux pieds ou même la têtr et mater de chez mater eh bé peut-êttre ... lezs nénés ? qui se présenteraient "à la fenêtre" qui sait ? qui sait ce qui est qui connaît les traits les bases le passé la chance les tourments de rage et autres inconcvénients notoires on ne sait on trace on en avance on veut grave comprendre et pour grave comprendre le mieux on le sait c'est encore de fait de passer en ce dit passé des "données profondes " = le trait
trait du fond fond de roche roche aux mots de poche et autres chansons on monte hou la
on monte haut haut de chez haut on gravit les échelons on veut toucher le haut du haut tracer de chez tracer en avancer en ce quartier des (donc) données profondes telles que en vrai on voudrait mieux les approcher ou mieux les aborder les approcher de près afin de les cernerdans ce qu'elles ontr pour ainsi dire de plus vrai qui pour le coup les soutiendrait qui les constituraient
que sont ces données ? que sont ces mots de traits ? que sont donc ces nénés au Lait sinon quoi une source chaude ! un envoi de bosse ! chants lactés à travers les ronces ! une pa!se ! une pause ! traiyts d'union entre la roche ici (feu de la passion) et là-bas les Choses du FRont ! ronds de bosse et autres alluvions de type Chansons ! on monte ! on veut de chez vouloir toucher à ce qui est qui ici apparaît alors même qu'en vrai on voit ça
quye la Voie est là
devant soi
qui sembleréit vouloir que nous fassions le pas et traversions à la une à la deux encore une fois (?) la paroi des Rois Reines des Bois on dira Le Trait La Rage-née La voie est tracée qui de fait nous admet ! passons fonçons creusons allons
faisons donc le saut de l'oie
et voyons-y voir au plus bas la trace des pas de Celle qui envoie ! de Celui ou Celle qui ici devant soi semble vouloir nous voir et nous admettre à s es côtés en tant que .... bébé ! bébé des traits ! bébé né la paroi traversée soit l'ultime pa(oi des données de base on dira la Base lA paroi des Voix et autres chants "sardes " (?) on y va on fonce on court on s'envole on va on ne veut pas cesszer d'aller mais tout le contr&ire traverser de chez traverser filer à l'anglaise gratter le muret et à travers le trait passer ! passer têgte ! tête indemne ! filer d'un coup d'aile et hop on est comme qui dirait "de l'autre côté" c'est-)-dire que à tire d'aile on est pour ainsi dire en vrai passé de chez passées ensemble côté Belle = Le passé ! la Haine ? on ne sait ! la Chaîne ? on veuttoucher toucher toucher à ce qui est ici situé aux antipôdes d'une /
Aux zantipodes d'un teracé quui serait de traîne mais tout le contraire : le Passé hors pré ! le passé de verrbe ! une denrée' = le Passé acté comme une sorte de denrée à ingurgiter et on serait pour ainsi dire un tant soit peu comblée un temps donné on veut toucher et .... une fois ce passé (le néné) touché soit tété alors on peut se reposer ... "à la droite du père" ? à la tienne Étienne ! on cherche ! on creuse on va on veut aller on veut cerner on a envie deça : aller cerner et du coup trouver en ce quartier hors pré les données réelles une sorte de tracé du Verbe un chant celte ? ou sinon celte s arde ? ou szinon s arde .....franc ? de la france de branche ? on trace ! on veut comprendre et pour comprtendre il est nécéessaire il semblerait de bien trouver à se positionner en cette chose ici du Verbe non-alambiqué et une fois placée tracer cxh arger creuser graver dessiner le BVErbe des Nénés à lait = donner en ce passé kles accents de l'herbe Une chose verte Un drôle de tracé en herbe = un Néné ! néné d'Elfe on peut rêver ! on trace des traits on tète on veut du lait on veut grave téter de cghez téter le bon lait de l'êttre de l'ÊTRE ou de l'Elfe ou de l'Ëtre-elfe squi en vrai se prése,nterait dès que le mur du son (?) serait passé ou bel et bien passé une fois le pré (la prairie) traversée on serait armée on serait passée et on regarderait à bien atreapper le néné de l'elfe afin de téter sans discontinuer le bon l ait du Verbe et autres produits laitiers comme s'il en pleuvait et ça serait du Verbe ! verbe d'herbe verte !chants coton ! chants de Terre et autres "chansons du front" ! on veut coller à ce néné "du verbe" ou dit "du verbe" et en vréi téter téter téter sans jamais lâcher sans s'arrêtter le nez au balcon ! on veut creuser de chez creuser "à l'unisson" puisque voilà on est les ailes du papillon ailes belles ailes de rêve ! on veut coller = téter =boire du lait sans jamais cesseer et s'en pourlécgher de rage nos babines de fée qui serait la fée du Passé "montón" ... olé ! on est ..................................... passée ! on a traversé le Riubicon on veut coller collercoller à ce néné des monts et jam&is plus nous arrêter d'aller en ce tracé des monts de Roche
Haut les pieds ! haut le menton ! haut la Roche et ses mamelosns ! on aime le front ! on est Love ! Love à fond ! Amour de Bosse ! rons des ronds petit patapon ! on monte ! on veut grave de chez grave aller et du coup cerner = entourer .... le néné de lm'ombre ! On veut :
creuser de chez creuser
dire de chez dire
aller de cghez aller
construiore une sorte de case à ensemble habiter en ce quartier des données tracées j'ai nommé le Pont ! haute Roche des données "commodes" on veut être et avoir été ou pliutôt : avoir été (peut-être) et à nouveau être ou disons ecxister en tant qu'on serait en vrai ..... des elfes ou disons des fées fées d'herbe ou fée en herbe post-tracé post)-dessins au trait bêtes d'herbe ? hop au panier et on serait sans elle passée
de l'autre côté côté Lait et autres Vrais DEnrées aux vertus Profondes et avérées Lait des Laits post-cimetière on a envie (grave !) d'en téter sans se lamenter téter de chez téter et s'en gargariser sans faire de manières ! on aime ! on est LOVE TERRE ENTOÈRE chant de la terre chants du front on aime on est Amour de Rêve On tète la Mère et ses seins de bosse ! haute roche ! montds des fonds ! creusons ! allon ds filons sachons en, vrai nous approcxher sans faire de simagrées de ce néné au bon laiot de roche et autres laits des laits donnés on veut téter tétyer téter de ce bon laiot de Roche et autres Laits des Laiots du Pont ! on monte ! hop ! on ose ! on est née Fée sur preé et nous voici toute transformée en ce bébé dit "des nénés" car il tète son lait ! lait d'octe lait tracé lait tiré lait des traiots du monde alloué à une sorte de Passé Montón qu'est-ce que ça swerait ? on cherche ! on veut cerner sans s' arrêtrer les données du Verbe VErbve-treait = Naccré = donné le muret e,nfin passé ou une fois passé et làsoit en ce tas ou en cette voie aller toucher dire porter cerner les données "prégna,ntes" : ce qui est qui est
ce qui nous regarde
ce qui sembke ou wsemblerait de fait vouloir nous mater sans discontyinuer de la tête aux pieds j'ai nommé le .................................................................................................................................... tempsq ? ou sinon le TEmps le VEnt ? ou sinon le VEnt le Taon ? ................ ou sinon le TAon le Pet§it Connu ... qui pue du Cul ? OU sinon qui qui nous regarderait et chezrcherait sans faute à nous ..... eh bé grave reluquer pour nous intimider et nous faéire trébucher ou bafouiller ou nouys sentir gênée ou nous faire faire des pas manqués ! On cherche ! on veut toucher de chez toucxher à ici ce dit "verbe aux données données" qsuii serait (en vrai) ... verbe de fée ? qui sait ! on est passée on mate grave on veut comprendre on ne veut plyuds s'arrêtrer de comprendree ou cher cher à comprendre mais tracer tracer de chez teacer et essayer "ensembkle" (on est les ailes ouvertes) de tracer de chez tracer kles tréits de base d'une ... vérité (ou sorte de) de sorte que voilà , on seréit là de rage à tenter le diable à chercher grave à toucher le Néné et à boire à
boire boire boire
Lait Lait Laoit
des Données de base à savoir / un Passé -tracé ! la Rage au P assé ! une trace ici mentionnée et le tour serait sinon joué déjà bien avancé comme qui dirait et nous serionsq dès lors enfin considérées comme faisant partie des ëztres ... d'Excetpion tu parles ! zéro mention ! on est de la base : simple troufions troufionnes de la classe basse des morpions bêtes de salle alluvions maussades chancres sales on rampe on avance de rage le nez dans le guidon on ne fait pas partie des Hautes Stratesz on est des pions pions du front on trace oui mais seulement des ronds ! on est "sages" on estFée de base sur pré du pont et nbous voilà qui nous présentons ou présenterions au Passé sdes Traces ! ding dong ! on est ... L'aile du Mouron ! on veut passer à tire d'a&ile ! on veut tracer vers l'Elfe (le néné) pour juste lo'attrapper et grave le téter comme qui dirait on veut du lait de bonne composition soit de bonne résolution soit lait -mention et du coup une fois passée une fois qu'on swerait enfin passée "ensemble" de l'autre côté et qu'on aurait asseez t(éteé alors quoi ? on se reposerait ! on s'assoupirait quelques instants on fezrait un petit somme on essaierait subséquemment de se reytrouver ou de se recentrer ou de se recr(oqueviller pour enfin trouver en soi même (fée) de quoi satisfaire son besoin ancré de ................................. cl arté ? on ne sqait on cherche on trace on va on creuse on essaie des choses ici et là on s'abvance on veut toucher à cette sorte de Passé de Copntrebande : un Néné ? une sorte de Néné rempli de lait qui serait de fait le Néné de l'Antre Antre post-muret post-fi,nalités post fin de pré post -paradis vrai ! on creuse = on donne = on veut = on cause = on avance à qui mieux-mieux en dehors des /
en dehors des traces Herbe à voeux Herbe Verte dites "des Envieux Envieuses de peu" ! on veut ! on veut mon neveu ! grave on veut ! on veut : toucher de chez toucher à ce n2né post-cimetière et retrouver du coup ..... eh bé oui ........ le Verbe ! VErbe "vieux" aux données de roche Vieux tracé de Cloche ! haute porte et aiutres accès tous illimités qui nous szerraient de fait accordés du fait que voilà on monte on ose o,n vole on s'envole on est l'elfe de porte Fée de ROche haute on =monte on creuse on traverse et ....... on se transfor(me Hulahup Barbatruc ... en sorte de .... bébé De poche ! bébé né pour en vrai téter à c e néné ainsi dessiné la mort dépassée ! téter = dfonner = faire = comprendre =cxhercher = dire et allouer au verbe une sqorte de denrée de type "herbe" "herbe cdes prés" Le passé est le passé ; la châine du verbe est-elle la Haine ? on voudrait cerner on voudrait grabve enfin comprendre les dsonnées de base ce que c'est ce que ça pourrait bien être en ces contrées de bout de Terre qu'est-ce que c'est ? qu'est-ce que c'est que ces nénés dont on nous "rebat lesb oreilles" ? on chercheb! on est pas aarrivées ! on a encore pas mal de xhemin à faire jusqu'au ... passé on le sait on veut toucxher on veut en avancer on ne veut pas rester à quaiui la bouche ouverte à bayer aux corneilles on veut grave tracer creuser et cerner "ensemble" les donnhées du Verbe = le Néné = Le lait ! lait cde mère ! mère imberbe ! cherche donc la tienne ! va tracer ! creuse de c hez creuse à mêùme la pierre une sorte de "tracé de bière" un Pässé qui de fait serait Passé des Terres allouées à une sorte de Tracdé du Verbe ! une montée ! mont de Piété ! on cherche à connaîtte toucher de chez toucher cerner de près être faire dire rire creuser porter aller cerner de chez cerner une sorte de Passé qui serait "de Verbe" (on dirait) , soit :
de la Terre Entière
Cha,nt des Fonds
Ponts et patapons !
une somme de VErbe CElte ! celte ? celte ou Céleste ! on cherche ! on veut toucher touycher topucxher à ce dit "Néné"
des tracés de roche hors Pré (hors ponton) et du coup ....... mater de près = de très près
les Données du Verbe
du Verbe en Herbe = le Passé de trait = LAIT L AIT LAIT LAIT LAIT L AIT LAIT LAIT À FOISON
À TIRE -L ARIGTOT HOP ON ABSORBE ON TÈTE GRAVE ON S'EN FOUT PLEIN LA PANSE ON "MANGE" O N BOIT ON VEUT ÇA
on est là pour ça ! on trace on tète on veut toucgher dee chez toucher ... le Verbe il xemblerait ! à savoir : la bête ! le treacé tracé Bête de Tête et autress Bétes des prés j'ai nommé l'a Bête dees Données Célestesc : Sommité
Somme et Sommité une sqorte de Grossièreté ici décochée qui ferait trembler eh bé la Terre Entière te"llement c'est .... laid ? lait ? bête ? bête et laid comme une sorte de Bête à Passé ? ou comment ou qu'est-ce ? On veut toucher ! on ne veut pas s'arr^$eter on veut tracer on veut continuer on ne veut pas jamais s'arrêtter ma&is en vrai on veut gr ave toujouours toujours continuer cde chez contuinuer ceytte sorte cd'avancée en ces quartiers de fond de VErbe = le Passé de Traiîne chants gravés Bêtes Célestes vSommité des Sommités rupestres on aime on veut toucher on veut caressszer caresser la bête la bête cendrée et lui dire "je t'aime" "bête cendrée : jtm ! " je te veux ambrée je veux (je voudrais) te toucher en vréi j'aimerrais être grave
l'être qui pour toi serait peut-êtrte une sqorte de voix ! j'avance ! je en vrai avance ici squr paroi dans le sens des Voix telles qu'ezlles se présentent = j'envoie ! j'envoie du bois ! je veux comprendre = je regarde = je dis = je cherche = j('essaie grave de c erner les bases d'une sorte en soi de véerité "sage" et pour cela : la Chaine ! chaine verte ! chaîhe du VErbe ! on envoie ! on trace on veut comprezndre on v'ut touvccxher dire et c erner colloer coller coller au néné et du coup téter téter de chez téter le bon lait de l'elfe ... à jamais : p)assé re-né se voit dès lors commev "consacré" par ... du Verbe ! On veut toucher toucher toucher toucher toucher à cette sorte de donnée en herbe dont le nom est Verbe mais en vrai .............. c'est Lait ! l'ait de Trait ! Nom de Roche osée ! on veut toucgher = téter et piour téter on a grave bvesoin de passer ... à traversz la Roche des Données de Bossee ! hors quartier du pré ! hors le Rond" (la rotonde) hors enceinte des fées ! le pré passé on veut creuser = toucher à ce qui est (au-delà de là) hors paroi = hors du ..... moi ? on entre ! entrons entre ! chezrchons ! creusons de base les données "immernses" celles qu'on voit qiu'on devione là qi seraienjt comme à "ensemblme" nous attendre : tas ! tas de bois ? on entre on cherche à comprendre on veut ça de chez ça
et du coup
on veut toucgher à c e néné qui ici se présente à nous et le téter en vrai sans plus traîner l'attrap^per le pincer et tirer le lait parce que voilà : on est des bébés on est bébés nés la mort pasdsée on voulait durer en dehors du p)ré on dira que c'est ok que en vrai on est toujours touyjours comme alloué à une sorte de vitalité (en soi) continue = vie rêvée ? vie hors pré = vie passée = vie présente ou p)résentifiée du fait qu'on sans cesse (?) renâiot de l'herbe = du Verbe ou du Verbe ezn herbe on ne seesse de reznaître eh bé le Mur Passé Mur des Fonds de Roche = Hors Prison ! on mùonte on coche on veut de chyez vouloir aller au plus du plus profons qu'on de fait pourrait cerner et toucxher toucher troucher toucher à ce qui est qui ici nous admet ou admetrrait en t ant que "bébé sacghant téter le lait" lait dee l'elfe nacrée de mère autoportée mère hors pré = mère hors des tracés sur herbe couchée par le vent des fées ! on aime on aime le lait on aiùme téter téter de chez téter le ..... verbe"-lait de mère allouée à une sorte de donnée primùéire = Trait ! trait tracéb à même la Pierre Une sorte de ... Dessin Animé (on dirait) ou disons de ..... Bête Agitée ! bête des prés ? on cherche en tant qu'ailée (qu'on est ailée) ce qui est en ce qu artier des données dernières .... dernières et aussi premières puyisque voilà la chose est là qui semblezrait cde fait revenir à soi c'ezsst-àdire renaître reveniçr en vrai revenir sur terre comme Sommité ou sinon Sommité ............ colère ? groosse Colère ? on ne sait ce squi,est de fait et du coup on se met à grave chezrcher ce qui pourrait être qui wserait à nous m ater il wemblerait tandis q!'on serait à ./.... gratter la terre ? essayer de traverserr le Tertre Le Passé hor pré ? la terre Primaiore ? un passé de bière ? cimetière ? on cherche o,n veut trouver on veut cerner on a envie enwsembe de cerner = toucher = comptrendre = dire = saturer de dires les données du ventre = coller charger toucher toucher toucxher à ce qui est qui en vrai wsezrait "de la bande et du jarret" ! ventre -en cendre ? on entre ! on veut comprendre = on veuut cerner = on veut toucher de chrez toucher au nventre alloué à une sorte dee naissance de tracés ! on est née sur pied en ce pré aux fées la mort donnée mais voilà
au delà
il y a ça : la Rage Le passé des TRaits Lait hors gages ! hors rangs de base ! on entre ! on entre en cet antre des dons de lait et nous voilà armée pour bien attrampper le Néné bdonné (pointé) qui est plein de loait Lait d'ambre Lait tracxé L ait de face Lait des Laiots pour bien s'alimnenter afin de durer à jamais soit dans la durée De la TErre au Ciel sur Passé porté ! port des traits ! un creuset ! sommité allouée au Passé tel que nous on en, vcoulait en vrai au plus profond ! On est née ! née bébé au pluqs profond ! on est passeée on veut creuser on est le Bébé né qui cherche à attreapper le bout pointu du mamelon ddodu ! hop ! on tète ! on tète le verbe ! lait de tra it = Verbe donné ! on veut pas on ne veut pas on veuut pas traîner on ne veut pas en aucune façon s'arrêteerr on veut téter le mamelon le sein rond le Passé du Front on est szur le pont ! on veut téter gtéter gtéter téter( téter téter téter de ce lait de tr ait et s'en gargariser à profusion car voilà on est celle du front qui aime qui grave aime ici téter le sein donné en ce post -pré qui est l'endroit rêvé pour en vrai téter sans s'arrêter ni sourciller ni se gêner ni craindre quoi que ça puisse être qui swerait à nous contrza arier ou à grave nous enquiquiner pendant que nous on est à notre affaire une aff aire de lait lait d'elfe à bien avaler hop dans le gosier Lait des Laits on aime on dit qu'on aime et en plus c'est vrai ça pourrait ne pas l'êttre eh bé non ! c''st ! on aime le lait ce bon lait de mère lait de trait-verbe verbe de lait ou laiot de v erbe on aime ! on aime téter et s'en gargariser sans s'embêter car on est celle (aile) qui en v rai sait (elle) ce qui est en vrai la mort passée à savoir ............. du lait !!!!!!!!!!!!!!!!!!! lait de verbe !!!!!!i!i!!!!!!!!!!!!!! verbe-trait !!!!!!!!!!!!u!u!!!!!! trait des traits dont le nom en vrai est :
HERBE ? HERBE CVERTE ? HERVBE -VERBE ? ON CHERCHEB ! on veut toucher-creuser dire et donner cerner le néné afin de pouvoiren vrai s'en emparer sans merdouiller car on veut téter en vrai de chez téter sans se louper sans traîner sans se faire engueuler ou je ne sais ce qui pourra&it êttre qui de fait ici nous arriverait mais voilà on est prête on est toute bien installée en dehors du pré pour bien attr apper ledit bout "de lait" ou "bout dee trait " ou "bout de néné" à devoir téter puisque c''st ici le je u à jouer ou jeu à devoir relever ou comment dire ce que c'est qui nous pendrait au nez ! néné ? on veut ! on vcreuse on creuse en creux ! on veut de chez vouloir aklller ... au plus creux des creux ! on veut tracer toucher aller &ller du feu de dieu jusqu'au néné ainszi alloué à une tracversqée des données dernières = le Passé en herbe Le passé de trait qui est ou szrait de fait ce passé sur terre déjà calcuklé ! on aime on aime le l ait la Bête le vPasdsé est ici donné (redonné) comme une sorte de denrée à devoir avaler pour de fait renâitree à une sorte de "vie rêvée" qui serait(sur terre) vie Donnée des Données données = Verbe Verbe Verbe tracé Consacré alloué à u,ne sorte de vDenrée"superbe" j'ai nommé : le Lait ! laiot de mèère olé ! le passé de mère est du paxssé de lait tel que tiré de près la mort dépassée on vfeut toucher dire et donner
et commê saturer de mots le champ des oisea&ux préau creux des peaux charges au trot pont de caniveau on saute on abborde on veut creuser de front le trou de l'ombre et (ensemble allouée ou collée) comprendre = cerner = entourer = dessiner = graver la Sorte de Romance des Données Immenses Sommité de france (?) ou d' autres contrées on s'en bal ance l'important (e,n v rai) c'est d'aimer aimer tracer cerner entourer ce sein de léit de toutes notre confiance ou disons d'e ndurance ou comment ? dxe dires "intenses" et autres transes et tour'ments ! danse ! chants ... de franche embrassades ! symposium au passage ! on entre ! on veut comp)rendre = toucher = dire = cerner =allouer à un Rire les données du Ventre ! sentiments tout exacerbés de souffrance-franche ! sainteté ! trait des traits et autres "enculades" au passé ! ça fait chier ! tracer = dire = faiore :=cchezrcher = szoumettre = traverser de près lrzes données du Verbe si ça se pourrait m&is il wemblerait en vrai que oui ça puisse ! ça puisse passer et se retrouver en vr&i de l'autre côté côté "franche p arade" Vérité des Vérités Lait marbré Traits tracés à main levée p ar une femme un homme des fées femme Donnée Homme Collé Homme donné Fe"mme Collée on dirait des fées Fées de L"herbe Allouée à une sqorte ezn vrai xde Sommité des Sommités dont le Nom sezrait ............................... Vezrbe ............... ............... verbe e"n herb e ............ V er b e d'herbe ................. verbe et herbe au taquet ! sang jeté ! colère ! ire des fées ! fées des terres é&insi sacrées par (qui s ait ?) un être qui serait ....../. eh bé oui de VErbe ! genre : TRAIT ! trait des traits hors cimetière hors pré hors éde,n tracé hors enceinte aux données données de ttype Herbe Fleurs Coupées Bêtes des prés On v eut creuser = toucher = dire = comprendre = c erner = cxhercher = allouer à une sorte de denrée les vertus de l'hydre ! vfa chercher ! cherche à c erner ! cerne les do nnées si tant est et va pour toucher toucher de chez toucher à ce néné de l'hydre = vie ! vie tentée ! on cerne on veut coller on est née sur pré fée puis on se voit toute transformée ou come toute transformée (chrhysalide et papillon) en une sorte de .... bébé ... au mamelon montón ! le nez collé ! le menton les lèvres retroussés ! coussinet de téteé ! on veiut avaler avaler sans discontinuer le bon lait du front = lait de trait = trait de lait = trait tracé = lait tiré au jugé = vrai de vrai lait des laits comme s'il en pissait et en vrai c''sst ! il nous pisse (ou pissserra&it) du lait giclé ! lait tracé ! lait porté ! lait alloué à u,ne sorte de néné des données profondes hors jardinnetnhors pré des prés ... lait des ombres .... ou des clartés hautes ! on monte' ! on veurt en vrai toucher de chez toucher à ces données profondes un tantinet et jamaéis de chez jamais ne plus cesser dee donc attrapper ledit néné rempli de lait comme denrée des fées ou sinon d"des fées" dee l"hydre accolée à une sorte dedonnée dite "du rire" "rire des tranchées" "des e,nvies de trait" ! on rit nous mêmes à gorge déployée ! on est
fée de pré puis bébé-né le mur passé ! on veut toucher toucher t(opucher toucher toucher toucher toucher toucher rtoucher toucher toucher à ce néné du Dire alloué qui sezrait ... des vVivres ! ou comment dire ? De"nrées ? denrées vives ? vraies denrées du Dire ? on vibre on vit on va on charge on avance grave en cette sorte de pampa d"un dire "étrange" ça envoie ça engrange ça dit ça : la transe transe de paroi ça balance grave en françois de taille et autres langues de paroi On charge en branches Sarments de bois Pots de cxhasse ! traces ! voix ! traces de vvoix ! On passe on veut comp)rendre = dire= fairev= charger = consacrer = pousser = aller = porter = convaindxcre = allouer à une sorte de denrée du genre lait une sqorte de donnée intense genre ... cendre ? cendreb accolée à une sorte de souffrance ici cernée ? On entre ! on cherche ensemble ! ailes de fée on veut creuser toucher cerner percer entrer consacrer porter faire ainsi que nous voilà
qui pourrions donner à une sqoprte de denrée (du genre le lait) mots du passé ! creuser ......................................................?.?.?.?...????????????................?.?.?.????.???????.............................................................................................................................. creuser de chez creuser ledit passé de france comme qui dirait ........................... un passé français = du français ....................................... français en balance = saturé = donné = creusé = dit = sommé = p^porté = chargé = dit ! dit et monté sur une sqorte de tracé "des entrées franches" = un Passé Tr acé ! don de lait ! amabilité de surface ! fausseté ! don doné comme à main levé et ça le fera&it pour imprseeinioner un tant qsoit peu tout un auditoire un peu influençable ! ........................... comme qui dirait ! ............................................................................................................... on donne le change ! ........................... on fait de notree mieux question parade catafalque cavalcade et autres traces franches sur paroi de ronde haute ! on enttre on creuse on voiçt on charge on dessine grave des bêtes de charge genre ... Bises ! bises et rires ! charges basses ! on entre on veut comprendre toucher passer tracer cerner aller porter et ne plus jamais de chez jamais nous retourner sur ce qui est ici qui se'mblzrait vouloir nous retenir en tant que fée du pré quand on cvoudraiit (nousz) toucxher de chez toucher = téter le néné le néné du Vivre pour ainsi dire = Néné né le mur passé : le mur du fond ! téter xd'un trait ! téter sans traîner ni s'a&rrêter le lait non -écrémé d'une sqorte de Néné Sacré Néné né la mort passée néné né la mort dépassée passée
assez tracée ! on veut :
dire de chez dire
creusqer de chez creusqer
porter de chez porter
poussser de chez pousser
aller de chez aller
percer de chez percer
cerner de chez cerner
allouer de chez allouer à un dire une sorte de "densité" qui fassee de lui une sorte de Donnée Ancrée à tout j,amais dans un Tréacé dont le nom pour de vrai sezr(ait .................... hydre ? ....../............ Hydre ou bien ... Ivre ? Ivre vivre ou Vivre Ivre ??? ................ ou bien Vivres ? On envoie ! on voit on creuse on cherche on trace on veut comprendre on veut en vrai s avoir
on veut en vrai sabvoir on ve"ut comp)rendre on veut
grave aller loin en cettte chose d'un savoir profond qui pour nous de fait pourrait nous aider à nous y retrouver ivci ou là en ces dits "quartierzs de l'au-delà" szoit : des dernières coudées
car on veut toucher on veut creuser on veut toucher à ce néné du lait donné et a ller pour en vrai téter de chez téter sans jamais cesser = s'empiffrer ou comment diire ? s'en remplir la panse ! s'en remplir de rage (base) la panse ! téter très ! téter de chez téter le Lait de france = le françaiis ? verbe acidulé ? verbe donné = inculqueé en sa jeune enfance ? on veut toucher ensemble à ce dit néné des données de france = du français et du coup vcerner en ce français de france les données de transe données données pour une sorte de re c hezrche intense à devoir retracer creuser porter charger et retranscrire en termes de ... rires et autres joyeusetés téleéportées sur écran de traits parois ampples murets et autres murs des fées ainsi consacrées on veut creuser= on veut tracer = on veut aimer = on a envie de nous porter nous-mêmes jusqu'au plus lointain des contrées loi ntaines poszt-mortenm ......... et toucher toucher toycher toycher toucher toucher toyucher vtoucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touchervtoucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher toucher toucher toucher toucher touchrer roucher toucher toucher toucher goucherr toucher toucher roucher toucher toycher toucher toucher toucher toucher toucherc ytoucher touycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toycher toucher toucyer toucher vtoucher toycher toucher touycher toucher toucher toucxher toucher touycher toucher toucher toucher toycher toucher touycher toucher toucher toucher toucher toycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toycher toycher touycher toucher toucher touycher toycher toycher toucher toucherb toucher toucher toucxher rouycher toucher toucher toucher toucher touycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher troucher toucher toucher toucher toucher touycher toucher toucher touycxher touycxher toycxher toucher toucher touycher toyucher touycher touycher toucher toucher touycher touycxher vtoycher yoycher toycher topucher tpycher touycher toycher toucher toucher toucher toucher touycher toucher toucher tpucher toucher toycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher tocxher toucxher toucher toucher toucher toucher toycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher vtoucxher toucherv toucher toucherv toucher toycher toucher toucher toycher toucher toycher toucher toycxher toucher toucher toycher toutcher toucher touycher toycxherv topyucher toycher toucher touycher toucher toycher touycher toycher touycher toucher toycher toucher toucherv topycher toycxner toucher touycher toycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toycher toucher toycher toucxher toycher touycher toycher toucher topuycher toycher toycherc toucher tpuycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toycher toycher toycher toucher toucher toucher toucher toucher touyche tpucher à ce dit néné des platesbandes et autres traits tracés à main levée hors pré hors franches promenades hors fourrés et autres prairies allouées à une sorte de "parade animales ancestrale" on veut creuser on cveut chercher ensemble un n certain nombre deb donnéescde base et ces données toutescles rassembler pour essayer de mieux ensemble nous y retrouver en termes de données à devoir szoupeser etb du coup essayer de cerner dans ce qu'elles ont en elles de plus affirmé en termes de vérités vérités ancrées et autres solidités en termes de termes on v eut toucxher = on veut cerner de près ce qu'il, en est de ces "nénés post-cimetière" : est-ce que la chose est vr(aie ? est-ce que la chosev est avérée ? soit )eut ^être de fait à pouvoir ensemble ici adouber ? est-ce mots fiables auxquels pouvoir ici ensemble s'accrocher ? peut-on les ente,ndre sans sourciller ? le néné post)-pré est-il vrai ? est-il avéré et consacré ? ^)eut-on croire en un néné rempli de lait qui searaitb en vrai à nousq attendre (pour ainsi dire) après la mort ou (disons) : ap&^rès après la mort ..............car voilà, a&près la mort il y a le pré et après lze pré alors il y aurait ce fameux N2né "des Données Franches et autres Vérités en Souffrance" Mais en vrai est-ce que c'est ainsi que c'rst dans "la vie la vraie" telle que dessinée ou gravée sur rOche ? on ne sait pas on cherche ici et là on essa&ie ensemble de poussser loa chose en ses profonduerrs les plus hautes c''st-à-dire les plus basses onn regarde on m ate on regarde un p)eu partout aut§our de soi on essaie de bien comprendre les données frontales des parois soit les bêtes de poids et autres forces "bestiales " ou "animales" qui sont là comme en contrebande ou par contrebandee sur paroi des voix " à comme nous "a&ttendre" etcetera et nous d'y croire ou dsdisons de penser à ça comme quoi la Chose (la voie ) est immlense et peut en vrai ensemble nous happer nous avaler nous coopter sans peine et nous "jeter" sans vrai ou réel p^roblème en ici ce pré qui est le pré qu'ellee serait à même de nous présenter ! et nous le pré on aime car voilà on aime sauter gambader courir à perdre haleine chahuter etcetera sans gêne et du coup aller de fait en tant que "fée nouvelle" jusqu'au fond du pré côté muret côté fin (dxernière) des herbes et là creuser ou disons essayer de creuser un tantinet la pierre afin de traverser ou pouvoir tr averser ledit muret du cimetière afin de tracer = passer = traverser et nous retrouver dee l'Autre côté coté mère côté lait côté lait cde mère et donc néné néné né le muret traversé (une fois traversé) grave ça le ferait et nous d'en r^ver ! mais en vrai peut-être ! qui sait ? qui sait ce qui est le pré une fois traversé les bêtes quittées l'herbe laissée derrière ? on cherche on veut trouver on a envie en vrai ensemble de trouver le plus possible de dopnnées qui pourraienht en vrai nous être grandement utiles pour ensemble (fées des fées ?) nous y retrpouver et dsu coup;comptendre ce qui est en cette langue (le français) comme soub assements intégréexs qui pourraient vraiment nous aider à cerner le pouerquoi du comment la mort est ancrée est comme portée ou autoportée par un idiome donné qui du coup sert ou servirait ... dx'agent de ch antier ! d'estafette allouée etc,à une sorte de ?./..... voix ???? voix haute ? haute ou basse on ne sait mais .... voix de l'au-delà qui serait celle d'une qsorte de ....... trait ... tr acé à main levée ? voix de trait ??? ou alors : voix de ... Roi /Reine accolées Reine-Roi ... du qu artier des Voix ? on cherche grave ensembvle les données de base ! on ne lâche pas la grappe ! on e",nvoie du bois en toute connaisqsance ou pleine connaissance ici de ça : roche et voix voix de rocxhe haute
voix haute de roche de là roche-voix de paroi hautec etcetera etcetr ara etcetera on est là pour ça la Cause lA Paroi des Voix est Paroi des Reines et Rois de l'au-delà à savoir ... des Charmes (armes de base) et autres engvvois dits "de rage-base" sur champ de gloire ! on veut ça : entrer haut en ce Passé des mots et là comprtendre ensemble toi et moi le sens de la ma rche où on va qui on voit où on trac"e ! on veutr comprendre ensemble ici et là à toi à moi de cfonnivence les données de rage = celles-là qui en vrai nousq tanent sur paroi depuis ... belle lurette et même au-delà ! charges
charges mentales traits trait de lait porte porte haute sang sang donné nom nom porté cri cri poussé on en redemande on ne veut pas (cezrtes pas) lâcher le trait mais tout le contraire persisqter tracer &u plus près les données du VErbe soit du Verbe "aimer" comme qui dir&éit en tant qu'il,s'agirait du terme consacré bpour signifier le travaiul du Verbbe , des données genrées et autrsdx données vertes du Passé
On veut creuser = on veut aller toucher cerner passerr comprendre ensemble toutes ensembvle = NOUS ce que est ce Nous et aussi la Roche Le Passé de POcxhe
Hau!te époque Panse en transe on danse on moçnte on creuse on charge on veut toucher de chez t(oucher le centre en transe d'une sqorte de ..... eh bé ...... quelque chose en souffrance ............... une szorte de Perte immense ? on entre ! on cherche ensemb le les motsz de la bande le tracé tracé la bête de salle bouquetine et bouqietin cendrées saluées aimées chyargées dssinées on trace on veut toucher de chez toucher à une qsorte de don,ée de panse qui serait : bb ! bb docte ! the bb des donhées hautes un bébé de trait ! chants de porte ! on ose : aller pleurer toucher
aimer ledit tracé
des données de porte on est nées bébé sur paroi de roche Forme Haute = bisonne ? qui s&it ? on veut creusqer sans reculer ce qui dès lors ... sze monttre ou montrrzrait ....... en termes de roche gravée ! On veut toucxher troucher toucxher toucher à ce di néné d'époque haute = le Passé Le p assé des nénés des nénés au lait : une enfance insérée traits des traots chereté des données des données acquises : un trait est un trait qui nous rend conquise ou (comment dire ?) vives ? on veut en vrai allerr de chez aller comme à la retombéeà la rencontre de la b^)ete ailée = l'Être des contrées en herbe : Bisonnourse douce ici postée ? on aime les traits de pa&reille bête elle nous plaît on veut la connaître est-elle être vrai ou simple tracé ? On chercghe à mieux cerner les faits soit c e qui est ce qui se pointe les données rupestres les gravures consacrées et autres nomenclatures dessinées On veut grave aimezr coller cxhercher allouer à un passé l'herbe du pré en tant que Verbe nouvellement né ... ou alors tracer ? dire et tracer ce qui sezrait en vrai la mort une fois dépassée ? on veut cerner la mort ce qu'elle est en vrai ! qui sait la mort en vrai ce qu'elle est ? qui connaît son ....... être ? verbe ? qui connéaît son ......./v erbe ? être ? on veut toucher à ce néné post-herbe mais voilà pour cela ma foi le mieux
c'est de ...................... swe transformer à qui mieux mieux en sqorte de Bébé Affreux ? on ne sait ! on guette ! on cherche à être celle qui en vrai comp)rendrait de fait les données (rupestres) et saurait cxoment faire pour sans se démonter ni se cassr le bout du nez passer = passer (à lea une à la cdeux) ensemble(mi-deux) du côté face ! côté creux de rage ! façade ! boite à oeuf ! on entre ! on veut comprendre = dire =c erner = chercher ce qui peut-être serait quyiiswemblerait vfouloir en vrai qyui sait nous attendre les bras croisés ! on cxharge = on chante = on vfa , on est deux pour ça on nhe veut pas lâcher la branche mais poursuivre instamment szans faute notrec "promenade du dimanche" et du coup pousser pousserr dee base (rage) ensemble (en ces contrées de bout de roche) au plus loin possible afin de oui
mirer
mirer de chez mirer ! mira ! mira esta ! aller de chez aller creuser ensembkle
les données franches donéess sages (savantes) dx'un tracé de france = en français langue sarde (?) et du coup poussszr pousssr grave vers ce dit "néné des bases" pour allezr téterou chercher le lait lait de rage lait donné contre un attelage .... on dirait mais en vrai qui sait ? qui comprend les charges le tracé nacré x ou x parade et autrsenvolées notoires ? on est née fée en pré et le mur traversé on se retrouve ...... bébé ! prête à téter du lait lait-verbe de rage cri outré trait des traits ainsi relevés on en avance on veut co:mprendre les don,ées de france = du français ce que donc la langue (ici le français) colpoerte en termes de données de rage traits actés vérités
des vérités d'antre chants traqués et autresq chansonettrzsx étranges : qui on est qu'est-ce qu'on fait qui on veut toucxher qu'ewst-ce que c'esrt que cette sorte de "parade animale" sur p aroi de base et autres interropgations de surface on cherche à cerner(consacrer de base) les dsonnées de france = d'une langue
en particulier mais le p artuiculier ici est (quasi ?) sa ans importance ce qui compte c'r'st l;'allié l'allié à la langue = la souffrance = le passé tracé la charge mentale endurée l'inculquement (inculquation ?) des données de r ge en son propre corps de passage ! on entre ezn transe ici d ans la langue ... non édulcorée (?) et du coup ............................ on trace ! on dessine l'ange ! on veut percer per er pêr er per cer la base (de rage) des donés debase ! tracer = dire = faire = porter = chercher =comprendre "les données intenses" = le frai la Chose la balance des faits le passé haut l'entrée sur pied on fonce on veut :
dire et donner
perdre et soulever
chercher de chez chercgher le fait vrai
creuser de chyez creuser les données "hideuses" ou cfomme "hisdeuses" si tant est
tracer = cxonsacrer à une fée (fée de pré) une sqorte d'attention profonde
on veut aller = dire = faire = cxhercher = consacrer = sacrer = caguer = posster = marier le Verbe a ux don nées en herbe d'une sqorte de contrée dont le nom serait :
EDEN
hé hé on peut rêver on peut se pencher et toucher un tantinet la bête aux nénés vache laitière on aime car la bête est belle belle bête aux nénés au lait soit remplis de bon lait d'herbe ou disons enrichis ! et bnous : on aime ! l'herbe)-verbe le tracé nacré l ait des léits de ferme et a utres fromages de tête on veut creuser creuser creuser de près le muret des termes et .............?.?............. passer .... vite passer (ensemble = ailes) côté post-pré = le néné ! le néné atitré à une qsorte dee contrée hors cimetière qu'est- ce que ça peut être ? une szorte de maisonnée ? le passé en tant que "maisonnée des termes" ? thermes ???????.?. therr(mes post -pré quyi nous accueillerait en tant que telles = fées de fait transformées à tire d'ailes en sorte de Bébé de plaine ? bébé né la mort passée ? re- le bébé des traits = une drôle de ...... semaille ? charge calme ? pont des ronds ? colle haute et hop ! on monte on est née on est née bébé sachant de façon innée téter le lait le lait de sa mère du coup nourricière on aime ontète l'elfe on veut coller = tracer et du coup chercher de chez chercher le bout du bout du sein donné comme à l'arraché on aime on ne traîne pas on trace là la voie romaine des paroix aux Voix et autres bêtes surnuméraires : on envoie on y va on veut ça on v eut comprendre = saturer de base = charger = poussser = dire sa pe,nsée et se positionner ainsi en ce dire post-pré qui est le dire .... du bébé nacré ! petits pieds ! vent fraixs ! on veut creuser creuser creuser à toutes enja$mbées les données ancrées et duccoup remonter (il se pourrait) un certain nioombre de vérités qui seraient vcérités du bout du monde des données proffondes inespérées
à jamais espérées ! on veut creuser creuser creuser hors rotonde les données lactées : ce laiit mais ce lait qu'est)ce que c'est qu'est-ce que c'eset que ce l it que ce lait de trait qu'est-ce que c'est en vrai que ce doux lait de trait en termes de donnée de roche ? qu'en pensqer ? que penser du lzait poszt-pré tel que trouvé en vrai en tant que fée devenue bébé le jhour venu ? On monte on monte haute on creuse on creuse haute et haut les mots du trot on veut coller à c e qui est ou qui serait là à se présenter en termes de r4oi-Reine de p a roi : force ! force de roche ! on veut coller = dire = toucxher = cerner = prendreprendre ce qui est et s'en contenter en termes de vér(ités actives natives engendrées on veut creuser la rive et toucher dès lors à une vérité qyi serait vérité des tréacéés vifs et autres traits en luminosité qui sait qui connaît qui conn&ît (dans le détail) les traits du Vivre ? qaui connaît le Vivre et les vivres apposés ? qui connaît la Rive le SEntier = Voie d'Accès hors Pré vers un Passé "autoporté" par on dirait une sorte de denrée dont le nom de fait est LAIT LAIT DOCTE LAIT DE ROCHE PETIT LAIT DE "ROCHE AUX FÉES" on veut toucher = comprendre x et x "véérités en chambre" genre : le passé remonté est du passé de branle et autres danses sur palier ! on ejntre on trace on creuse on va on file on cherche on commande on chercheb à comptrendre ensemble le passé des antres et autres ventres sous-loués qui on est à qui on ressemble quels sont nos traits de connivence qui nous connaît ou reconnaitrait qui nous verrait de face et saurait nous repérer disqtinguer étiquetter comme peut-être la marchyande / le m archand des traits et autres signes de reconnaissance on entre ensemble = tracées par une sorte de pic de percée dont le nom serait : transe ! transe de fée ... sur muret de rage ! et nous voilà comme toute requinqué et ravigotée du fait que oui le Verbe est rené qui jamais ne cesse ou comment dire ? continuité ... xd'un verbe ce"ndré ? poursuite active d'un tracé rupestre de type Verbatim ... amarré ? on veut :
dire-sonder creuqser-filer charger-porter donner-centrer pousssr-allouer à un dire une sorte de donnée du Rire ou de donné-Rire Rire Vrai comme szoulevé-décoché ....... du Passé ? On veut en vrai creusrr toucxher passrr aller porter pousser co:mprendre consacrer entendre soulever sanctifier et se loger en cette sorte de contrée "finale" : un corset ! sein de femme ? on veut coller-téter téter-coller boire du lait s'en mettre une bonne lampée ou jeter (s'en jeter) ! et du coup ........................... raviver .......................... nos traits ..................................... de roche gravée ! traits traits traits teaits traits de roche rude ! on vfeut :
dire et creuser son fait
chanter et monter sur pieds
coller sans alacrité`
porter dee chez porter le Verbe sacré sur Passé de Bure et ... y aller ! foncer tr acer ne pluqs s'arrêter filer à toute alure en ces régions vues comme contrées nues ou szinon nues ...................... crues ? .......................................................................................................... toucher touycxher touycher toucher à) ce nébné de rue ! et du coup sans faute téter Lait ! lait des laits des dsonnées dernières ! le passépremière ! le passé armé ! le passé d'elfe ! une denrée serait allouée à une sorte de Passé Dezrrière = lait ! le lait (ou bon lait) des terres dernières ! on veut l'aimer eh bé on l'aime pas de problè m es ! on est le bébé de l'herbe ! on aime téter on adore le lait on veut que téter et roupiller si jamais et pour nous pour ainqsi dire c'est ok : est-ce que c'est ça qui est ? est-ce qu'en vrai on peut de fait
dire ça que la vie serait après le pré ? est--vce que en vrai on peut dire que voilà : la rive = la voie = le chemin du trait = trait au lait donné ? on veut ..................................................................................... mùieux ............................................/ le mieux ............?.?.??..?.?............................................................ =
............................................................................................................................................ un p)eu beaucoup de ce lait ouf ! ...........................................ouf de chez ouf ............................................................................ en téter de chez téter sans frein ......................................./ un brin ! ............................................................................................................. teter téter de chez téter ....... le lait frais .................... du néné en herbe ainsi présenté la mort dépassé e .../.....................?.??.?.????????????????....................... on aime on aime le lait on aime grave on aime grave le lait on l'adore on veut téter sans cesse on ne veut que téter sans cesse le bon lait d'herbe = verbe ! verbe attitré à une sorte de denrée lactée comme ... du lait et en vrai c'est ! c'est en vrai du lait lait de "mère ancienne" = néandertalienne des do,nnées premières on a&ime on veut que ! on ne veut que ! que téter de fait le bon lait de l'être des contrées premières néandertaliennes ! lait le mieux ! on aime on veut (grave) ensemble :
aller et toucher
dire et sonner
coller et vivre
charger et poussser
comprendre de prsès les dsonnées activesz (toujours actives) ce qu'elles véhiculent en termes de données ancrées = inculquées = insérées = enfobnncées et aussi : comment faire en v rai pour cerner le Verbe ce qu'il est de fait en termes de données liées à une (sorte de) ........ Déité VRaie dont le nom serait : "l'Herbe" ou "L'Herbe Verte" ................. on cherche on n('a pas trouvé on est envcore
sans doute loin de pouvoir le faire on est pas arrivées on a p as mal de chemin à faire on avance à notre pas on est toujpours là on ose on pousse on regarde on voit on charge on veut cerner la vo!ie la voie de passage ou du passage de convfoi on veut comp)rendre ... et tendre versq ça ........Llà-bas ............ cxharge d'ange ? une parade ? re ? re -p arade auxw feux ? On veut :
toucher touycher toucher
dire dire dire
creuser creuser creuser
porter porter porter
parler parler p arler et du coup dire ce qui est ou ce qu'il en est de ces famaeux nénés qaui seraient (qui wsait ?),à nous attendtre (!) la mort donnée c'est-à-dire une fois la mort allouée ou dépassée on ne sait ! et donc voilà on voit on trace on charge on regarde là et là les monts de charge voies lactées traits de face seins dsonnées et nous du coup de les appréhender et de chercher à bien les attrappper du bout afin de bien téter le lait donné et de ne rien lâcher creuser porter charger coller cerner dire et aller vers une vfér'ité ... des données dernières qui sezrait (de fait) ce lait dit "de derrière" ou "de l'arrière" ou "des arrioèeres" ou des données anciennes néandertaliennes ou même plus anciennes ,on veut :
dire de cxhez dire aller de chez ller
creuser de chez creuser
porter de chez porter
faire de chgez fzaire
sonder de chez sonder
poursser de chez poussrrt
coller de chez coller on le sait les moçts (le Verbe) au Lait donné en termes de ...................................................... termes = finalités ? on cherche ! on trace ! on avance ! on veut co:prendre = cerner les données
du "VErbe -L ait" ici consacré en tant que "denrée première" ...................... dernière ?
27/3/2025
on file = on entre = on veut comprte ndre = on veut aller au plus serrées de près toucher le ("The") Néné né d'aventure le muret (le mur du fond) passé ! et allez ! on entre on veut comprendre comprendre comprendre les données du monde et autres choses ce qu'elles sont szoit ce qu'elles sont pour nous qui sommes ensemble nées fées au passage "cendré"
on trace = on veut = on cherche = on ne veut pas lâcher les termes mais creuser de chez creuser sans plus regarder sans se souccier de qui ou quoi serait qyui nous m&terait de la tête aux pieds et nous intilmmiderait grave on dirait ou disons on se demanderait on chercherait car on serait ensemble deux qui cxhercheraient ou chgercgerions à mieux cerner en vrai les données crucieles ici expiosées = les nénés du trait les données "femmes" les passés de fait les chances avérées les vues de près et autres intimités "sales" les envies de vrai de pareades animales et autres cavalcades surexdcitées ou même sur-élaborées on est fées ! on est lres fées du tertre ! le passé est le passé qui vitupère et ne nous laiosse pas ou plus aller en vrai aussi vite qu'un trait (un trait de lumière) oh on aimerait mais voilà on cherche on, trace on creuse on veut cerner de rage les données fvrontales une sorte de donnée "sarde" qui sait ? on veut comprendre = on veut toucher = on veut aller = on veut aller-cerner et toucher-coller à cette sorte de "mansarde" aux données de dames ou autres sortes de "passé " qui serait comme né ànouveau (?) au passage alloué à une destinée prairiale on entre on vcreuse on file on veut toucher de chgez toucher la base et ne pas ou plyus reculer car on est fée ! on vole on monte on veut creuser "ensemble" les données de base = le passé = le néné = le lait = les données frontzales post-muret post -pré qyui nous "regardent " ou nous "regarderaient" tandis qu'on trace qu'on avance ... vezrs ... l'oubli ? on ne sait ! on est née fée car ailée la mort allouée et nous voilà "montante"allant (grave) vers ici le trait des données finales : un passé est né (re-né) qui nous "rezgarde" ou nous "regarderairt" tandis que nous on tracfe compme à main levé les mots de la bande = armes = traits = charges = en vrai pas assez ok mais on charge gravr on envoie on veut ça aller de chrz aller ve"rs ce convoi pour ainsi dire de données bestiales et autrss mots de rage ça envoie ça y va ç a va là-bas et ça regarde grave ce qui est qui nouis attend de base ou peut-etre nous mpate nous reluque de base de la tête aux pieds telles qu'onj est : deux fées ? ou sinon deux fées deux ailes de fée ?on ne sa it ! on ccherche de chez chgercher on ne veut plus du cimetière mais voler aller creuser foncer filer en vitesse vers pareilm néné (du passé) remmpli de lait = lait de mèrere ! lait donné de mère céleste ! laéit des laits tracés donnésq-adoubé mis sur pied ou quelqueq cxhose qui (de fait) serait cmme porté par une sorte de bête-mère du genre ... attelle ! on creuse on voit on mate on envoie on veut ça on veut comprendre et du coup cghargher aller saturer de rage les données trouvées qui so nt donjnées du "tremble" ici des nénés des voix d'accès et autres voix comme szusurées qui sait ? au vent mauvais du pet fronteal ! charge sale ! pontification notoire ! ventrification d'allure sage mais en vrai pas dsage ! on voit ! on mange ! on veut ça toucher à la trace au passé des chyarges lait acté mots des fées
gentilles saintetées et autres vies au passé qui seraient vies de saintes salées zet autres vives filles aux donhées ancrées en cette sorte de remise ! on veut creuser = on veut dire = on veut aller = on veut toucher à ce qui vibre ou vibrerait au vent des "dires" et autres termes avanxcés ! on veut : aller (de rage) toucher trace et nous lover en embvuscade si tant est car voilà ce qui est on est née fille la mort donnée = ailée de chez ailée on vibrte on file on creuse on veut de chhez vouloir pour nous le mot "heureuse" et nous lover en ce passé ... des données "lactéesw" comme qui dirait : voix lactée ? qui sait ! on creuse = on cherche = on va =on envoie = on veut toucher de près aux nénés des tertres et autres nénés dits "des termes" on ne veut paslaisszer passer ce qui pourrait de mieuxw nous arriver en termes de données lactées com^e "postées" on veut allker = do nner = dire = fairve = comprendre = allouer à une sorte de denrée les vertus cde l'herbe = du Verbe dit "au veznt mauvais" du genre "pet" et ça le ferait on veut toucher toucher troucxgher à ce néné "du passé de l'herbe" etautres verbes sorti du pré ! tracer = dire = faire =comprendre =saler = sentir = charger = fondre = creuser de chez creuser sa tombe ou sinon sa tombe ... le passé ancré ou bien ancré en cette chose d'une sorte de post-pré aux données lactées j'ai nommé .................. sainte cl arté ! l"'époque est sombre ok m âis les hnénés ! les nénés du monde ! haute époque qui nous attendrait co:mme un retour tout naturel aux choses a&ux causes de roche et aiutres par(ois héautes le Passé est TRait Trait de Bosse on sait etcepzendant on m ate encore à la recherche de la Chose qui fondame talement sauréit nous dire ou nous donner en quelque sorte les données de roche leurs 4 (4 ?) vérités ancrées et autres mots vrais ! on cherche à cerner-creuserr ou même toucher-aller et fuir et courir et tracer et filer et ne plus se retourner vezrs le pré mais creuser de rage en t ant que fée notoire le ... passé des charmesc= lacté ! qui nous regarfdee ou nbous regardereaiot cfomme si en fait on n'était pas (plusq ?) des fées mais devenues pour ainsi dire des bébés des bébés nus ! bébés des bébés aux tracdés donnés qui monteraoient et viendraient se collezr au néné donhé par qui sait quelque divinité auto-portée ou auto-postée qaui saurait ou qui (elle) sa&urait à quel saint (sein ?) se fier pour de préférence pêrdurer en cette zone franche des données finales terminales c rucuiales frontales de base ! à savcoir : TRAIT ! TRAIT AUX DONNÉES ! et nbous vopilà qui (ensembkle) cherchons grave à mieux comprtendre la p aroi le sang la rage lrs données hautes et autres données fortes on mùonte on creuse on envoie on trace on file on cherche on est deux de l'herbve qui en vra&i montons fde rage vers ici loa base = le néné de l'âme et autress sein donné de branche ou disons du passé com^me il xsemblerait ou comê il adviendrait ou com
e )eut-^tre il serait de fait : nhéné d'âme ? on ne sait on entre on file on creuse on est de la bande morveuse o,n veut toucgher "ensembkle" à ce convoi /
à ce convfoi de bêtes "heureuses" et autres convois de type "remonté" qui sont convois de sainteté salubrirtés épanchements nacrés charges-nées on entre on creuse on file on monte on ne veut pas sombrer de chez sombrer mais gravfe tracver filer cerner de chez cerner les donjées lactées (célestes) d'un post-pré en herbe = swainteté des saintetées des termes alloués à une sorte d'"Étezrnité Sommaire" ! le Passé ! la r age les nénés = les données cde base sont (seroont) lactées qui (de fait) nous attendront le jour donné ! et nous ferojht grave cerner toucher poçster travcer comprendsre ce qui est en termes de "melons" fruiots de la passion jus d'ombre ou des ombres voies hautes voies des voies et nous vopilà quyi pour le coup montons .... ici à genoushibou caillou pou vers pareille Déité aux trous : Déité des Trous
donnée des données
mots des prés poszt-pré come qui dirait
on trace on veut comprendre = on veut cerner = on veut toucxher = on veut coller à ce dit "néné des finalités" qui sqont finalités des données frioontales terminale's ok mais pas que ! parce que nbous on veut ! on veut mieux ! on veut cerner-toucher ensemble par la bande ou come par la ba,nde à ce tracé sous-évalué qui est tracdé des charmes et§ aiutres dons de fée ici cons acrée ! on veut creuser ensemvkle les donhées vfrontrales et du coup en vrai comprendre comprendre ensemble ce qui est qui nous regarde = l'oeil alloué le Pasxsé des Trembles les donnhées de Trente le Passé collé à u ne sorte de "donnée-offrande" de type denrée = le lait ! le passé du lait ... la Chance ! on entre on est entrées on voulait grave aller comprendre (ensembvkle) ce passé qui serait "devant" comme p ar la bande à devoir ou vouloir attendre sans siourciller que voilà on passe on puissee (ainsiu ailée) passer = entrer =nous loger en ce dit "néné" ou ces dits "nénés" des do nnhées cruciales fondamentales on veut toucher = on veut creuser = on veut tracer = on veut dire et comme "finaliserr" pour le coup le dire sqoit cerner à jamais les "do nnéesv du Rire" car en vrai le Rire est la Donnée Ultime on a cru cerner ! on veut toucher de chrez toucher à ce néné du lait ... mais aussi du Rire, Rire alloué à une FRise àun tracé de Mise ou tracé de Prise qui en v rai est ... passé de Fille = THE PASSÉ tel qu'il apparaitrait ou nous apparaitr ait ici ou là le pré passé soit dépassé = sauté = traversé ! on est nous mêmes fille en ce pré donné des données furtives et c'(est en tant que fille (fée ailée) qu'on .............................................. touche la Cerise le Creuset la Frise le Genre Donné les Donnéestracées bêtes de treait bises et bisonnées BGisounourses gravées come à main lezvée swur paroi de fée ! on est née ! née fille dans lma mort actée ! ça le fait et même on dira que en v réai (tellezment ça le fait) que oui : on est née fille-vite ! le passé aux traiots eswt ce devajnt (ici) de mise ! frise ! piste ! on veut toucher on veut toucher de chez topucher ou m-ême grave on veut toucgher de chez toucgherv à ce néné dit des données acquises et autres dons de lait tracé genre voie lactée aux tre&its ! fonds de cklarté "artist e s" et autres traéiots comme dessinées squr du Passé de tire ! on veut :
dire xde chez dire et allerv de chez aller etcreuser et toucxher à ce qui eswt qui ici nous mate ou materait sans discontinuer tandis que nous on veut c reuser ou cherchons à grave creuser soit creuser de chez creuser à ces données d'un dire de fait accolé à une sorte de tracé comme "décomposé" ezn en vrai autant de "diress" lactés " du genre ................................ traits de fée ? ;;............................ denrée ! lait ! vfoie lactée = le Passé donné des Do nnées acqyuises = VERBATIM ! chzarge à vide ....... pontification native et autres véruiifications genrée aux termes alloués ! on cherche à ensemble cerner dire coller sondser pezrmettree à la Fée dite "des Termes" de toucher à ce nhéné del'hydre de l'hydre aux deux têtes ici de bpêtes à tire = tr ait ! charge sondée traits allouéesw tracés nacrés = pêrttes sèches ..... ou humides qu'est-ce que ça peut faire on aime ! on aime l'herbe on aéime le Passé en herbve le Tracé donné la Colère des Dopnnées donnhéesds les Termes Ancrées ou inculqués et voilà le P assé Sommaire ainsi ancré comme de pied vferme en ce Tracé des donnéexs Fermes ! on veut creuser et donc toucxher à ce qui est "derrière" = le Passé Lacté
la Recherche Une sqorte de dooopnée d"'époque soit d'époque hautequi en v rai pourrait grave nous dsonnezr ainsi de quoi coimprendre ensembloe ce qui est qui bnous rassembloe ou nous rassemblerait en termres de Roc he de Rocher et autres monts de Bosse = Le passé donné le trait la Chose (Chose haute) d'un tracé lacté = le Lait on monte on saute on creuse on charge on veut comp)rendre co:mprendre comprendre comprendre ensemble x et x données "tendres" le Passé des Trembles bébéifié qui serait de fait le Passé de l'äme ou même cdes données de l'âme ou même quoi ? ;le membre ? le ... membre à Soi ? membre des membres ? un membre en vueux-tu en voilà quii de fait seraiot le mùembre donné et comme attitré ? à une sortede .........................du coup ...................... "passé membré" ? on veutr comprtendre on veut creusqer on veut toucxher on veut dire et aller et sonder le dire et poussser de chez pousser en direction de p areil néné dit "à la tire" = à tire-lait = tire-larigot
du lait de trait et autres laits donnés au petit veau (à la petite velle) qu'on serait ici en ce post-muret alloué qyui nous accueillmerait commùe des animaux de trot de tropt et de trop qui szait ? on est née bébé le mur du fond passé comme traversé "à la force du passé" on dirait et ça le vferaiot ça impacterait ça influencerait ça en jettertait ça fezrait le boul;ot et nous permetrrait ta&ntôt de cfreuser du museau au plus haut possible vers eh bvé le Dire le Dire Hzaut ou même Très-Haut d'un dire .... de trop ! de trop ou de trot telle est la question la question "de roche" qu'e,nsembke (ailes-) on se pose qauand voiulà on monte quand on creuse hzaut la question des mots de l'origine haute des mots de roche et autres mots post-tréteaux ! on coche on trzeace on monte on vcibre on envoie on envoie grave on est fluyide on est liquide on est la fée -fille ici liquyuide de cherz liquide qui du coup s'infiltre va traverse creuse wsonde vit vie d'un vit de terre ... terre ou termes = verbe .... verbe acquis verbe-mère Verbe du vit = glaires = traits de merde merde ou mère on entre on creuse on cherche on est deux de rocxhe pour en vrai une sorte de montée "d'époque" " haut les traits ! on monte = on va = on envoie = on est là pour ça
allouées ensemble à une sorte de passage "ancré" qui nous permet ou permezttrrait de pouvoir de fait comprendre les données "immenses" d'un tracé "de france" = en français = traits tracés commpe à main lezvée sur paroi de base = charité = sainteté des données frontzales toutes pariétales et olé olé comme qui dirait du fait que oui on entre on est entrées ensemble en cette sorte dee pAssé de france = le passé nacré ou ancré ds'une langue insérée incumlquée ancrée en une sorte de P assage DEnse = le Passé aux traits
Vie des Fées
Charges (charhges !) mentales des doobnnées allouées à uyne sorte de parade aux bêtes de Traits Masse Donnée Vérités des Vérités = Déités incarcérée ou commpe incarcérées dans ....... la langue octroyée comme "à la volette" on en mangerait on en voudrait on s'en délecterait on s'en pouyrlècherait de rage les babinnes xsans traîner sans se lamenter sans se monter la tête aux dites données données d'herbe ou données Du Verbe Verbe en herbe on est (pour de vrai) née fée au passage vie-mport on devient ou redevient (?) bgébé au passage mort-vie ou mort -revie, car en vrai on revienht à la vie une fois de fait loa mùort traversée loa mort dite (ici) "des terres" ou "du pré " une fois trave"rsée on revient à auelque chose qu'on connaît ou qu'on connaissaiot sans vraiment cxonnaîtrec= le Passé des TRaiots = la Volette = le Passé en herbe et hop
on sa&ute on p asse on trace on envoie on charge on veut ça on veut comp^rendre comprendre comprendre ce qui est et n'est pas ici-bas qui saurait nous en apprendre nous dsonner le la qui sait "au pas de charge" voilà on veut ça on veut comprendre comprendre comprendre comprtendre comprendre ensembkle les données cruciales falbala "au pas cde chyarge" ça envoie mais pas que ça ça tracfe ça dessine
ça active ça fait trace ça commente etcetera le Passzé des Rages et autreess Passé-Traces qui en vrai serait /.........................../.............. la voie ! voie de l'au-delà à une sqorte dee
Passé déjà-là on entre on va on creuse on envoie on veut toucher par ce biais-là du dire "narquois" à ce qui se présente en face en face de soi = la b ande L'ombre de soi le Passé (ainsi) de roche commê une ombre qui du coup serait L'Ombre L'OMbre d'un PAssé de rOche o n ne swait on creuse on plongfe on fonce on veut touycher toucxher troucgher toucxher toucher touycher touycher toucxher touycher rtoucher toucxher à cette chose d'une sqorte de dsonnée de Roche ainsi "rezmont"ée"
de haute époque = le Passé Ancré Passé Haut ici des Hauts Niveaux et autres Passé ultra-ancré en, cette xhose dune époque Haute la plus Haute njamais consacr(ée soit : Époque des traits ! traits doctes ! traits des traiots des tracés de roche = mottes ! meutes ! mottets ! mots de roche au lamparo ! haute roche aux mots de trot ! bêtes de trot sur porte haute ainsqi denombrée ou visualisée ou mêmùe touchyée ccar .............................. on y était ! on voyait ! on voulait ! on était "de roche" comme 'homme" , ombre-homme ombre d'un homme devenue de fait (le temps passé ou le temps passant) fée = forme = ailes = elles = femmes tracées = herbe = Verbe des Fées ainsi allouée à un pré pré aux traits ainsi dessinées et le tour est hjoué on veut toucxher toucxher toucxher toucher à ce qui est qui nous regarderait aller de chez aller au vent do nnév dxes données de roche : corolles , haiute poche, ombre de l'homme, homme' = m asculinité tracée change de traits et devient "au passé" le BGébé larvé la Roche Haute l'ombre
ombre de l'homme = B2bé-fée aux dsonnéeshautes et nous voilà " aimée" en tanht que fille-fée devenue (ailée) bébé des bébés au tracé de pocxhe poche à lait poche haute aux petitsq faits vrais et auttres forlmes hautes ainsqi insérées ! on veut toucher touxcgher toucher toucxher toucher toucher toucxher troucher touycher toucher toucxher toucher toucher toucher à ce néné de haute époque ainsialloué à une qsorte de passé post-roche posqt-pré post-fée en quelque sorete car en v rai la chose est ainsi libellée qu'elle sex présente en vrai ciomme une qorte de transformation "vive et agitée" d'un fa it de fée en un e sorte d'acte de ... pause ! haute pzause ! pause haute qui en vréai sezra ou wserait la Chose = The Chose = la des !
la Cjose que voilà
qui est sur le tas
le passé des Voix tr alala ! on y croit on veut ça on veut comprendsre ensembvlke et charger ensemble et pister les choses de paroi ensemble tracer creusqer pousssr charger Rocxhe et pousssr de chez pousssrf la Chose des Passés de Poche ou du Passé de tra&it de type ................. Paerole ? on monte on creuse on voit on va on envoie on v eut comprendre enxwembvle le Passé NHotoire = la VOie = le Passé "entre" car voilà le passé est dit "entre " qui de fait s'interpose ou poserait (voir l'origine des données ou données hautesc de type "pause") entre une sqorte de dsonnée des fées / temps de roche et de l'autree côté eh bé ..... on ne sait .............. on vzeut toucher-dire et allouer à une roche une sqorte de Paroile Haute (= originelle ?) des données de Pause ou Autres Choses Ha&utes ainsi libellées
on monte on veut toucher toucher toucher toucxher toucher à cette Chiose d'un pâssé de rocxhe ainsi creuseée dessinée gravée comme à main lzvée par quelque néandertaliennes ou néandertaliens de Haute Époque qui en vzzrai a&uraient enwqzmble su toucher la Bête "Immense" = Aurochns des prés Aurocnoïdités de Roche et autrezxs Bêtes -traits aux données "Profondes" on ose on mùonte on touche on veut grave pour le coup tracer tracer de chez tracer les dsonnéesq sacxrées et autres sortes de données nacréesq aux traits dorés ! filer = donner = faire =charger = contrefaire = pistonner = cnhanger les termes et s'y retrouver en termes de données salées de verbes -termes traits des traits misère chasteté sainte-colère des dsonnées passées vie des fées et autres vies ailées sur pré tracé on veut creuser de chez creuser dire de chyez dire fdiler de cxhez filer aller de chez aller et aussi cerner ici-même x et x dires ainsi tracés qui sont ou sweraient dires des Dires ou Véritqs des Vérités rttoutes é"remontées" comme comme qui dirait un Rire décoché ! rire des rires rires des fées rires alloué à une Fée Fille des dsonnées vives on veut cerner = dire = toucher = prtendre = comprendre ici ou là le dire "tendre" la paroi de france ou (comment ?) la (de fait ?) Voie desq Rois Reines des Voix on entre on creuse on vcoit on cxharge on veut ça et pas ça on veut toucher à une sorte de convoi de Voix de type Bêtes-en tas Meute des Voix ou quoi sinon qui (en vrai) wsezrait ici bas la des do nnées Hautes ? on monte on va on v eut toucxher à ce dit convoi "des Acidirtés" ou des "alacrités" ou même il semblerait "des remontées de vieux dossiers" à jamùais ! passé des pâssés et nous voilà toute "réformées" = re-foormées en tant que nous szerions ensemble devenues (à présent) des ......... b ébés "du TEmps" ! chan ge assuré ! traits des traits nous voilà consacrés voire adoubés voire reconnues en tant que bnous serions ici dfevenues des sortes de "bébés nus" (le cul nu) sur Rocxhe posqt-pré = le Passé d'épôque ! ou d'époque haute on monte on va on monte sur tas, on cherche la voie le passage docte toundra pré des voix on creuse on va on cxh arge on envoie on veut comoptrendre dire cerner poussszr charger finaliser ici un dire "remonté" = colérique ou comment dire le passé de frise l'envolée lyrique tu le sais on veut cxharger toucher creusqer filer cerner donner à un dire les couleurs du rire et du coup enfoncer enfoncer de chez enfoncer les portes sacrées les passages dorés portes consacrées et passages "aux fées" d'une sorte de contrée "des acidités" ou "des alacrités" ou sdes données vives d'un Rire CXhargé soit chargé de vie vie vive = vie donnée = vitalité de type ivresse des finalités tendre passé porte immense passage dorée on passe "ensembkle" comme qui ndirait car ................. on est ailée ailes données ailes de fée ailes en herbe = Verbe VErbe -né = VERbe des CVErbes-nés = Verbe d'herbe = Verbe en herbe = vie des vies naissantes sarabandes traéits des tra&its on entre on est ainsi ailée qui voulons tracer et du coup comprendree les do nnées ancérées qui de fait sezraient les données .............................. chelous ....................... ou pas che;lous qu'est-ce que ça peut faire on veut toucher on veut grave toucxher toucher de près à ces dites "données des nénéds" et boire le lait lait chelou ou pas chelou nous onj cveut téter ce qu'on veut (de notre côté) c''st ça en vrai = la tétée d'un trait
trait des fées tréits compme allouées à une destinées ainsi dessinée qui nous verrait nous comme téléporter jusqu'au plus lointain des lointains post-roche : voie lactée poche à lait roche-traéit
haute époque des dsonnjées lactées
de type ROCHE des Roches ou Rochers des Rocxhers ou Roc des Rocs ainsqi consacrés à une sqorte de "Passé "surnuméraire" = le Passé Nacré = l'Herbe aux Fées = le Verbe : Verbe des donnés xde l'Herbe Verbe ainsi tracé tracé ou t(traqué ici en feançais du fait que voilà telle est ma (notre) langue maternelle le Passé en herbe l'emportée des termes l'envolée (une envolée) on ose ! on vfeut creuser creusqer creuser creuser les dsonnées de Roche et traverser vers ........... eh bé ....................... le Passé .... le Passé en herbe = un tracé de Termes terminologie agraire = tra écs -nés sur terre glaise ! on v eut creuser creuservcreuser creusqer creuser creusqer sans plus traîner la Terre aux Do nnées Agraoires ainsi sillonjée = traéit des trraits = voies lactées = phrases tendres = cxharges mentales = bhêtes de trot = fames fames de bhase = fames-traces sur Passé Doré de type Romance et allez on trace on avance on charge on file on veut comprendre séduire pousser charger cerner centrer porter et dire ici et là ce qui est qui cvibre et vire va là-bas puis see reccentre et trace trace de chez trace les donées du Rire on avance on va et on vient ensemble on est accolées on etst en vrai les Ailes du pré " on est Ailes de fée et du cxoup
on bât grave les dsonnées pr airiales ou deisons que voilà on vole bas on vole haut on va devant soi vers kles Hauts des Hauts d'une sorte de Paroi de Roche dite "du passé" soit de Haute Époque cxomme consacrée à une pour le coup V2rité des "Vérités de Roche" on sa urait on saurait et on serait :
fée de Roche
Ailes = Elles De
Fée des Fées en herbe un tr acé sur herbe
sur pré donjné Tracé des tracés et le /...........V erbe est né qui voulait naître voilà c'est fait le Verbe naît de fait dans l'herbe
ainsi rencontrée la mort a&llouée le Verbe naôit (re-naît) une fois la vie (qui sait ?) démamntelée ou come démanteléec et l:a mort acdoubée ou acquyise Verbe-treait = Vie des Fées = Vies vives on cherche la frise un dessin des Treaits ou de bêtes de tr&it
Roche aux fées Chyanjts doctes Tracés des tracés
néandertaliens ou même plus anciens on ne sait on creuse des faits
vrais et avérés ou vrais ou avérés ou disons "re-^pérés" ddans une sorte de passé comme démantibulé par autant de "divinités" auto-proclmamées il selmblezrait mais est-ce vrai szait-on en v rai ce qu'il en est à qui se fier ou pouvoir se fier qu'est-ce qui est de ces tracés de fée de pareilles envolées sur pré pré paradisiaque la prairie aux anges herbes tendres vies données à des envies de vies
tracées dezzssinées
gravées de chez gravées sur roche allouée ou rochers des prés" ou veut ccreuser = comp)rendre = faire = dire = charger = cerner = vivement toucher à ce néné de lo'hydre ainsi "soulevé" "soulevé" comme Rire Rire-Prise Rire aux trait§s tout acidulés Rire des Rires on veut toucgher = aller = c erner = produire = sentir = soulever le Vivre ou (commehnt dire) une Sommité ? dont le corps serait "larvé" "larvé" ou "enterré" ou sinon enterré encapsulé dans une sqorte de ......... eh bé oui : traéit de Rire ! rire acide -! rire des rires on v eut creuser = toucher = faire = sonder = porter haut la Parole "induite" d'un Riçre des Rires ainsi adoubé ainsi né (sur pré) et nous voilà re-née ou (comment dire ?) re
mon neveu !
re-née sur tracé aux données du Vivre Vivre Vif et bnous de pour le coup conjecturer nbous recentrer essayer de nous y retrouver et sans plus trembler en ce dire "acide " dire aux données vivesdires cernés on veut creuser toucxher aller porter sentir soulever chercher ici et là en ce pré des prés les données sacrées et autres mots ainsi consacrés par quemlqaue déités dees données vives ! saintetés nacrées charges acquises sommités des sommités vives clartés poszt-pré on sait l'emprise le vouloir-tenir ici la cxharge ou les
les charges
ici comp)rises vies vives = traits on connaît on est actives on vibre on monte-vole on veut coller de base à ce néné "du large" et n'en plus décoller ou coment dire s'y accrocher s'y placer ainsi de telle sorte que en vrai plus jamais on ne pourra à l'avenir lâcher tomber fuir se déliter et se voir enterrée on veut creusr mais creuser ici = sonder = cerner = comprendre ou tenter ailées ou toutes ailées qu'on est de comprendre "ensemble" les données du Rire ainsi dévelioppé sur une sorte de SEntier donnant de fait sur une sqorte de Pasdsé des Traits Vives Clartés Salubrités Vents des Traits-Tracés Charges Hautes sur Treaits de fée on veut creuserv creuserr crfeuser creuser creusqer creusqer sans jamais sourciller ni se lamenter la Roche Roche aucx fées des données Yautes (immondes ?) On ne sait on trace on veut comprendre = do nnner = faire = dire = cxharger = pousssrr = composer = passer = teaverser traverser de rage ledit mur du fond et hop .../.. à la page ! on entre on va on creuse sa voie soit sa propre voie de passage ou dancrage dans voilà cet au-delà ou au-delà à soi ou disons au-delà des voiçx des voix basses (ou pas) des voix de là szoit "de la rage dense" trait s de voix = vies de rage = voies d'ancrage = tralalalalalala lalalala lalalalala des données " de france" de france ou d'espagne ou au-delà
au-delà de l'espagne car voilà on est "entre" = entre ça et ça la france et l'espagnz = des montagnes monts des voix et autres charhges Hautes des Données de ROcghe voies voies des Rois et Reines de là Antre antre des antres ... Andes ? on envoie ! on veut comprendre ensemble ici et là (de chez comptendre ensembkle) les données "immeznses" traits des voix = traits ancrés dans une sqorte d'au-delà à soi à s-on "image" à son corps -charge etcetera la b ase le convoi bêtes de rage = voix dees voix on entre ensembvle on veu t savooir = dire = porter = rire ou porter le rire = tracer = cerner cerner vif et sans lambiner les données actives le passé des frises Sainteté larvée Charge de Nez Frise Prise Frise de bêtes actives Grossiéretésx des Grossiéretés et autres mots groosiers
= mots de trop
= trop de mots
et le tour est joué qui nous vcoit "sonner" ici à une Porte auto-générée de type Porte Haute Ciel Étoilé Voie lactée Voix d'es ombres hautes Re-nommée des re-nommée Fame Outrée Porte Haute on monte on veut toucxher on ose on veut creuser on voudrait ou on veut (grave !) traverser eznsemble les "donnéesb du membre" qu'est-ce que c'est ? qu'est-ce que c'est ou qu'est-ce qu'il en est de ces dites "dfonnées du membre" qu'est-ce que ça veut dire wqu'est-ce que c'est que cette chose ici d'une sorte de .............. dire vite / rire ainsi activé du fait que oui on tire on creuse on vole on trace on charge on enttre on entre ainsi ailée comme à la p arade toute remontée et prête à comprendre il semblezrait les "Données Immenses" du quaertier des fées : Pré
Pré ou prairie aéinsi Adoubéee par qui sait une Sommité Sorte de
"Sommité des Sommités" qui viendra&it tout près pour nous susurrer nos 4 Vérités concxernant ........ le Rire : Rire Acide (?) aux Verrt§us magiques Rires des Rires on veut toucher toucher toucxher toucher toucher toucxher toucher toucxher toucher toucher toucher au!x données actives aux 4 vérités du Rire et autres vérités de frise ainsi rencontrées la mort dite "du pré" pour le coup passée on veut toucher dire et sonder tracer et nous relever et filer voler construire chzrcher filer nous émanciper d'un dire de rive creuser creusqer creuqser vsans faiblir la Roche Ivre ou commùent xdiree Ivre de Sainteté des Saint§ et Saintes allouées à une sqorte de .... Passé dsu Rire ou cxompenht dire ? Passé Ivre ! passé des passés des données vives telles que rencontrées ou déjà rencontrés il y a (ou il y aurait) des lustres (qui sait ?) en un "drôile de passé" ... miteux ? ou sinon miteux ... vieillot ? ou commênt ? mots de trop ! charges hautes ! mots de roche = vie des vies = seiin xdes seins ici consacrés à une sorte de (peut-être) Sommité du Rire = le Passé
Le Passé re-né est le Passé du Rire Ivre Vie des vies auto-genrée vie haute des contrées de Bosse on veut toucxher ou on voudrait toucxher toucher toucher touchert à une sqorte de donnée dxe Roche = le Passé ainsi tracé qu'iul nous incomberait de faire se relever ou de le poussszr à ici renaittre (en vrai) la mort (le cimetière) passée pour nous revoir aller re-téter les termes = mots de lait lait de trait lait d'herbe = Vezrbe ainsi aimé ou même adulé Lait de traite Du passé Nacré Ancré Inculqué en tête : on trait = on traite = on trace = on tra que ici et là le Passé re-né Passé-trait ou Passé-mots d'un drôle de ..................................................................................... boyau ...........?.. ?.................................................................................... m
enant à cette Roche ...... "roche aux mots de trop " et autres mots de pôche ! le boyau La Roche Les mots La poche on veut comprendre chaque mots et gracve aller vfers une sqorte en soi de ......................./ Vérité des voix VOix de l'au-delà Voixhautes soit de haute époque la Paroi est là qyui nous importe et nous emporte alléluyah on voit on monte on ose on voit ce qu'on vcoit et ce qu'on voit est un convoi de voix de roche Aniamusx-mots de RocheHaute un Passé de Roche = Troupeau Troupaeau docte = Animaux-mots ou Bêtes -mots-de-trop = Meute-motte on monte on vole on est ailée = elles de fée = ellzes en herbe sur un pré menant (au loin) à cette sorte de co ntrée au Lait dont le nom de fait est
ROC des Rocs post-pré auto-tracé par un passé ancré de type Verbe
Mots des Ombres Passé-Rocche aux mots doctes On monte on veut on creuse on envoie on ne veut qaue ça aller et tracer dire et donner pousssrr et rire rireb de chez rire sansz se gêner dire et donner porter calculer entrer ... nhe pas ou plus reculer mais foncer et sans plus de retard vers pareil néné nibard sein donné ainsi déployé à téter Lait des laits des Termes Envolés on veut creuser soit touxgcher soit porter soit donner soit se laisser aller à biezn cerner -comprendre les données enswemble ce qu'eslles xeraieht qyi nous apportereai" nt dee qauoi pour le coup e"t de fait pouvoir nous situer ... sur la branche où on est où on szrait qui on est qui en vrai on est ou sera&it qui pouurrait peut-^ttre ainsi "remont"ée" toucher de chez toucher à une VFérité des Termes soit Des mots Portés du Verbe de l'être ! on est qui on est fée ailée car ........................................................................................................................................................... on mùonte ........................ on monte haute ....................../...................... on veut ensemble monter haut au plus haut possible sur Paroi du Rire et une fois là une fois ainsi postée creusercoller porter chargher cerner pousszr essa&yer ensembvle de toucher à ce qui est ici qui serait une sorte de "dire porté" de "dire des dires" dont la vférité swzrait qu'il szera&it (ce dire) du ....... dire-rire ........... ou rire-dire auto-proclamé ou auto-engendré car .......... décoché ! tir d'ire ! vive trajectoire ! corpsz de base ainsi d"ép^lisszé on veut toucgher tracer creuser comprendrebencemble les données, d'une sorte en vrai de rire "dicible" si on pouvait on voudrait on chercxhe on chercherczrait on voudrait trouver on cherche à qui mieux-mieux les données vives (ici) d'un (d'une sqorte de) rire "ivre" qui dit miaeux ? qui connaît le Rire mieux ? qyui saéiten vrai ce qu'il en est dx'un rire"vieuxv" ou comment dire .................................... antédiluvien ou même plus lointain : qui ? On cherche grave on charge on tyrace opn veut comp)rendre on veut sonder ensemble le Néné de l' antre qui il est qauoi on poureait en vrai trouver en ce sein au lait ............ que du lait ? lait de Verbe ? verbe d'Aile ? corps nacré ? charge Assumée ? on veut toucher de vhez toucher à ce néné des herbes et cdu coup tracer ou :
tracer de chez tracer
dire de chez dire
porter de chez porter
cerner de chez erner
pousssr ensemble vif et vives les données du Dire-Rire car
en vrailes données Données Vives d'un Rire dit "du dire" ou d'un Dire dit "du Rire" sont "données Avctives" et du coup pouvant grave nouqs en dire large en ce qui de fait ici nous semble ëtre vrai ou vrai de chez vrai concernant la Bande ou Bande aux tracdés de ... Bêtes à memb rze ..... bêtes-membres ? on ne sait ! on cherche ! o,n creuse loin et auusssqi profond ou le plus possible profond ou loin qu'euon peut (= loin devant) pour mieux en vrai cerner de chez cernzr les 4 vérités du ... passé re-né car en vrai le Passé on dit re-naît à jamais la mort pzssée, le Passé ren aît à la vie une dfois qu'on a en vrai passé le moment porté de la mort Allouée allouée à un pré pré aux fées mais voilà ce momenrt est déjà là comme archivé derrière soi du moment que oui on trace on traverse obn passe à treavers ensemble la Roche finale et on ..... monte on monte haute on va haute on veut aller haute on veut grave aller haute ainsi ailée (comme en v rai on est) on ne veut pas rester à quai au pré mais plutôt monter de chez monter en cette sorte de .... rotondee-grotte cercle aux fées cercle d'herbe tracé monter monter hautes aller creuser porter charger essayer de dépasssrr pare'ille rotonde cercle attitré et passer ainzi d'un cfoup d'un xszeul de l'autre côté pour ainsi dire "du linceul" tenter pousssr traverser soertir du trac-é (ainsi dessijné) vd'un champ de blé ou d'orge données et se retrouver du coup aéinsi postée sur Néné Né comme à la retombée à devoir téter = téter vif pour mieux de fait durer de chez duurer au-delà du pré = de la mort actée tracer creuser filer foncer courir vite et chercher à téter de suite sans plus traîner le Lait Altruiste Lait de TR&it Lait de Fée p ôst-pré Mère Salée Mère Sa &turnienne On aime on veut toucher toucher toucher toucher toucher touycher touycher toucher toucher toucher à ce dit "Léit de Mère" ainsi octroyé la mort passée : renâoitre = retomber = remâcher = repasser = relever les termes et les noter de fzait sur "un carnet de Verbe" = langue allée ! langue donnée = la,ngue de trait on entre on creuse loin on vole on porte on va ensemble en cette sorte de post-rotonde aux accents vde Rage de type "Rzemontée de remont reances intznses " colère / post-colère et offrandes on entre (on entre dans l'antre) "ensemnble" = ailée Elles Tendres On est entre entre deux parois ou comment ça ? ça recommence ? on est entre et ..........??.??.?.....................................?.on cherche à ici co:mptendre ........................?.?..??........................ vivement dimanche ! ........................................................................ on ne veut pas ou plus céder on veut toucher )-à ce néné des fé&es ou dit "des faits" on veut cerner pouysssrr aller chercher creuqser saturer de VErbe les Données en herbe Sein donné = sein porté on aime on veut toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher
à ce dit "néné en herbe" d'une sqorte de "contrée des contrées" comme "on " les aime c'est-à-dire "entières" contrée entière entière contrée dite "des données lactées" telles que oui on les vénère on aime on aime grave en v rai téter soit téter en vrai les données lactées d'un p âssé du Verbe Ver be-Lait et nous voilà complet ou plutôt complète = formée ! ojn est née ! née post -pré à urne vie humaine = vie tracée comme à main levée pa&r ... Compère Vérité = Vivacité = Volionté = Trait :
on aime on est entré&e on est donnée oon veut touchezr à ce néné post -pré d'une sorte de vie (en soi) ici rebnouvelée et hop on est passée on est comme remontée on monte haute on ose on veut coller à ce passé "surnuméraire" passé-né ainsi retracé re-dessiné sur paroi donnée on veut coller de chez coller et hop aller foncer t(oucxher toucher toucher toucher toucber touxcher toucher toucher rtoucher tpoucher topucher toucher à ce néné du temps recollé et comprendee de fait l'effet du Verbe et de lA chance (des données de rage) sur la langue la Parole DEnse DEnse et danse chezrcher = donner = dire = porter = poster = pousssrt = engendrer = conduire = postuler ou comment dire ici le dire dxes données du Rire on monte on ose on creuse on porte on veut toucher de chez toucxher à ces données vives d'une sqorte pour ainsi dire de Dire-Rire auto porté autoconsacré qui sezrait et du dire vif et du rire gros ou de gros (haut ?) niveau = Rire -Caniveau Dire de trop = mots de l'ombre et autres mots de Honte ou de la Honte Grosse On monte on cherche on creuseon veut grave savoir et dire
ce savoir dxes Roches et autres Rocs des Hauts
des Hauts Monts du Front on colle on est Hautes On porte on colporte on monte sur Rocxhe direction la Porte ou Porte de Roche on veut :
toucher tpucxher toucxher toucxher toucxher toucher toucher touyxcher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher t§oucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher foucher toucher touycher touxcher toucher toucher toucher toucxher roucher toucxhger toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher ttoucher toucher toucher à ce nhéné de haute époque = le Passé Le Passé post pré est le passé pré-pré du fait qu"il est intercalé ou comment cerner dire centrer do ner essayer de piger ou de dire ensemble les données xdu Rire et du Dire ensemble : Commnt ? cfomment pouvoir de fait cerner de chz cerner les données actives traitqs nacrés Vives CFlartés des données du Rire insi inséré dsans un dire tracé de tohute éternité ? on veut colleret vivre au-delà du pré charger cerner porter centrer = centrerr vif les données frontales les placer comme (en tant que) offrandxes
sur muret xdes RAges
et porter crteuser tracer sur pklace pareilles denrées comme en contrebande à tr a vers on dirzait la bande le tracé de base trait des traits et bnous voilà comme adoubée ainsi reluquée on veut tpucherr toucher toucher toucher touycher à ce néné "des donnéesw intenses" = la it lait de trait = lait docte = v érités ancrées = vérités des vérités on monte on porte on chercghe on sonde on ne veut pas ou plus nous arrêtercar on est labncée et m-^"me méga-lzancée dans le
V erbe alloué &ux termes
aux fins de tracés
on aime on charge on voit on porte on ne voit que ça la Porte la Voie le WSEntier vers ujn au-delà de typec......... ................./........................ cohorte horde meute ronde poids poids de voix ! choses grooosses sur paroi de roche on monte on envoie on voudrait de f aiçt grave cerner ... les données (ici) les plusz hautesc = profondes et tout de suite ap)rès comme les "restiutuer" en quelque sqoerte sous forme ailée ou comme nt dire allouée à une sqorte de Parole Haute hautement tracée comme sorte de Parabole ou P arole "à jamais" on monte on y va on envoie ça on voit on porte on cxhyerche M%ort d'homme Voix Voie vezrs l'au-fdelà on veut comprendre ensemble tout un tas de choses de choses en souffrance on vgoudrait s'y entendre (grave !) en tout ça
qui concerne on le vo!t la mort haute c elle qu'on ne voit pas ni ne soupçonne car voilà elle se c ache là
loin de la paroi la p aroi des ombres au-dxelà de ça : l a Roche = loin de là on monte on va on toucxhe on creuse on envoie du bois on cxherche pitance on trace on cdourt on court vite on s'envole on monte on moçnte hautes
hautes et haut on monte
on vgeut .....................................................????????????.......................... toucxher touchertoucher toucher toucher toucher topucxher toucher toucher toucher à ce néné empli de lait sucré et du coup téter téter grave pareil néné szans discontinuer téter de chez téter le Néné du Lait et s' alimenter téter le dit L ait des données de base "Sarabande" on entre entre on court on danse et piuis on sort de l'antrze vers ............................................... néné-l&it du Verbe-Dense..................... le Passé est le passé qui touhjoursq ... inlass ablement ... inconditionnellement ... ren^ait (ainsi ) de ses cendres ......................... passé dit "des passés des cendres" ...././.......................... on vgeut toucher-cre!user dire-portera&ller-dooonnner sentir -saluer chercher-coopter conduire-vivre sonder-produyire filer-charger coller-pousssr et dire-rire les données lactées te'lles que rencontrées le lmuret passé ou mur-roche aux fées des données frontales ainsi traversées on veut toucxher toucher-dire et porter : porrter sur le Passé le regard de l'hydre ou (comment dire ?) saluer ? on monte on monte la roche on creuse on vfeut toucxher de chez toucxher l'herbe du pré = brouter puis ain szi fait aller de chez aller vers le dxernier m uret dit "des finaliités" mur ou muret "d es fonds de pré" le traverser et du coup p assse r passser en vraéi = treaverser et nous (se) retrouver ainsi "remodelée" de fée en bébé on était la fée on devient le bhéhé et du coup
prête ou prêt à vite téter de chz téter le bon lait de ..... l'hydre ? l'hydre active ? = le Passé Coprporéifié ? passé népost muret au-delà du pré nous voilà nourrie de bon lait de vie on aime ! on aimme vif et vive ce Lait de tire et autres laits de Vie telle que retrouvée la mort passée Vie-Mort autoengendréesd se nourrissent de lait ou s'auto-nourrissent ou com'hent xdire à volonté dans le VIvre donné à une D2ité dont le nom est HYDRE HyDRE en sainteté Hydre du RIre ou cfomment dire Rire-Hydre des données portées on veut touxcher toucher = dire
et dire = toucher
on veut creusqer-dire et do nner-porter sentir-chercher on veut tracer on v'eut ou on voudrait gra&ve tracer tracer sqans traîner les mot(s dits "de l'hydre" = LAIT LAIT LAIT LAIT DONNÉ LAIT DE FÉE OU SINON DE FÉE LAIT DU PRÉ LAIT ACTÉ LAIT PORTÉ LAIT CHARGÉ DE CVIE CVIVE ET AUTRES QuaLITÉS On veut creusqer la rive des données actives d'un verbe du rire ! cxhants lactés comme autoportés mais en vrai oàn ne sait on croit deviner ou pouvoir d eviner mé&is qu'est-ce qu'on en sait ? onn est vive on vole vif on monte haute on creuse parole on veut coller à une sorte ici de "vérité de porte" on monte on colle on colle à la roche et hop ................................................................................... on mùonte ../................................................... grave on a envie peut-être de comprtendre ce qui est ici qui njous rezgarde ou semble pouyr le coup nhe pas cessser de nous mater pour ainsi dire dee la t(ête aux pieds on regarde on est entre = entre deux par(ois e,n une sorte d'antre dit "des voix" ... de la rage et de l a transe, on envoie du bois on veut comptendre on veut cerner on a envie (grave !) de toucher à (plus loin) ce néné (post-pré) au bon lait de l'êztre de l'être donné qui sqerait en v rai une qsorte de bête bête à deux têtes : est)-ce que ça se pourrait ? erst-ce que réellement on pouurrait penser que la mort passée traversée et dépasseée on pourrait trouver qui sait une qsorte de bête de bête à deux têtes ? on cherche on veut toucxher on veut collerr à ce Néné du Verbe ou dit "du Verbe" = Lai-Verbe aux données ancrées cdomme une sqorte de ........ tracé ici inculqué = VERbe En Herbe qui (de fait) est ce Tra&it de l'herbe ! on veut toucxher en vrai on veut grave toucher on veut on voudrait en vrai grave toucher à ce passé
"passé du VErbe" = Inflation Infrlation du VVerbe Inflation du Verbe en herbe
charger toucher creuser porter donner pousssrr creuser essayer de nous y retrouver en ces données de l'herbe ainsi allouée on veut creuser toucher NHéné poussser poussser de chyez poussser sza,ns jamais plus nous arrêter car en vrai on aime on veut cerner on veutb creuser on veut toucher et dire)-rire et aller de fait au-delà du muret à la r(ecxherche de la Vérité des Contrées Célestes ! on est tracée ! on est remontée ! on veut coller coller coller coller coller coller coller coller colmer collef coller colmer coller cxolller coller coller coller à ce qui est qaui sera&it de base ............ le Néné de L'antre ! néné né comme à la parade un jo!ur donné on essaie de cxomprendsre toucher cerner sonder ... les donnézs "de france" = le français en tant que langue "intebnse" = portée = inculquée = enfoncée = engoncée = ancrée de chez ancrée aet vas-y pour la désa&pprendre "le pli est pris" on en redxe"mande !!!!! on v eut comptendre = forcer =xharger = tracer à travers un muret afin dee passrr pour ainsi dire "de l'autree côté ... du rire" et du coup ........../ téter de chez tétzer le bon lait de l'hydre bête à quai vérité des vérités on veut laimer = sentir = cxharger = porter = comprendre =situer = poussser et essayer "ennsezmbke" dee;..........??????????...................?...............?.?????????????????????????? teter de chez téter le lait dit "des vérités"
...........?.?.????????????? d'une langue donnée, portéecollée allouée à une sorte dee Passé tracé qui en vré&i est tracé des termes ainsi inculqués vie -satiété colère genrée cxharge émotionnelle on est qui on est Verbe -Trait on monte szur pied on colle on veut toucher de cxhez toucher le VErbe = les données de Terre = Données Vives auto-cernées POntes de données portées Oeufs AutoriqsésOn colle on veut cerner on veut coller-cernezr aux données du "dire)-rire" on ne veut pas laisssr tomber on veut :
absorber consacrer percer charger produire vivreallouer à une pensée une sorte de "destinée votive" = un Passé du Rire
Passé né la mort passée On veut toucher toucher rtoucher troucher toucxher rtoucher toucxher toucher à du gros rire personnifiée corporéifiée ou concrétisé et n e pas sombrer jamais mais tout au contrairee continuer de chrzrrez continuer à dire -rire les données du vivre telle que déployèées en ce pré aux vivres puyis ................au-delà du pré ! sur Néné ! néné-d'hydre" ! le passé est le passé qui prête à rire ! on veut coller-toucher dire)-cerner porter-charger sonsder-poussserr aller jusqu'au néné téter le dire frais de l'hydre postée et du coup se raviçgoter refaire l a cerise ou se requinquer aimer de chez aimer contuinuer le cxhemin tracé aller toucher cerner dire et foncxer vers ............ du gros rire d'hydre LAIT de F2E lait donné lait des laits on v eut coller coller coller coller coller coller coller colmer coller coller cxoller cxolmer colller coller coller coller coller coller cxolller coller on veut ou on voudrait coller collercoller coller colller coller collmerà une vérité de Rive : le Paqssé ! car
le passé renaît inconditionnelleùent immanqu&blement in tentionnemllement dee ses cendrzs une dfois les cendsres toutes dépassées soit la mort allouée et du coup on renaît ... à base de Lait Lait sucré conditoionné ou reconditionnée et nous voilà à nouyveau parée pour ainsi de fait nous replacer en cettte qsorte de vfoie docte voie de roche aux bêtes de porte on m=onte on revient on pôrte parole on creuse haute mottes meutes voix de pause chants totaux les fondamentaux : chants de porte chants royaux chants des boyaux hauts mots dits "des caniveaux ou du niveau des caniveaux" on veut coller haut les "mots de trop" et chercher de fait les 4 Vérités en ces dites "contrées" on veut toucher on veut ou on fvoudrait toucher toucxher toucher toucxher troucher toucxher toucher toucher à ce néné de l'hydre alloué à un dire-rire post-éternité ou commeht dire ? l'hydre du rire est un dire-lait ou lait-dire de belle couvée on vfeut vivre on veut = on voudrait :
dire de chez dire
porter de chez porter
comprendre de chez comprendre
sonder de chez sonder
poussser de chez poussser
creusqer de chez creuser
allouer de cxhez a llouer à un e Vérité le poids (majestueux) du Rire Nerveux et creusercreuser de chez creuserfoncxer sans plus s'arrêtrer
chercher vi f la VFérité Lacté dees données célesteszcx : voie lactée comme s'il en pl'euvait Rire auto-généré à partir du Rire Retrouvé On veut coller = dire = donner = saisir = pousssrr = chercher = donner = porter = sentir = dire = naître = p araître = sonder = cons acrer = prier = sz'agenouillerr = do nner = cerner = cerner vif et longuement ou durable'ment les données actuives d'un rire "de rive"
à savcoir
de ce rire octroyé ici à uhn Passé
comme retrouvé
Passé-Dire / Passé acté quien vrai
est ...../..........................................................................................................................?................................................................................................................................................................................................................................................ le passé de l'hydre !
13/3/2025
On trace ! On cherche à ensemble ("toi et moi") comprendre ici et là, tout un tas de choses en ballance : les tracas de soi, les parades, une sorte de paroi devant soi qui en vrai est (serait ?) notre chance ! On est les fée (ici) de la transe en ce parvis ! On veut comprendre = on veut tracer,toucher, creuser et nous lover en ce dit "pays sage" des tracés. On est femmes (sardes ,) collabées, accolées, de telle sorte que voilà en vrai on est là tracées comme peut-être deux ailes de fée qui se seraiot ensemble faufilé jusqu'aux nénés post-p^ré, au plud lointain envisagé. On cherche ensemble en vrai, ça signifie qu'uon cherche à faire auinsi que cette vie ici (vie entre deux parois) soit une vie de type "prairiale" , . On va, on trace, on creuse, on dit que ça (la voix) est une sorte de "cri de rage" en veux tu en voilà, qui nous donnne de quoi passer (de face) en ce paysage de la paroi. On entre ! on veut croire en ce qu'on voit d'unebsorte de ... croix, qui, de fait , serait pour nous .... eh bé Tout ! et pas : rien du Tout ! On est la Fée des formes, on entre en force, on charge aux épaules ! ailes et torse ! on est fée-forme entrant de face en ce paysage d'une sorte de façade intense, façade de traces, traits marqués, on charge = on entre = on passe = on traverse = on se retrouve cul oar-dessus tête comme à la ramasse le nez dans l'herbe au milieu des bêtes, bêtes de poids, broutant herbe sans gêne. On est les fée s du Verbe-Herbe, ou bien de l'herbe-verbe, herbe verte -verbe ..... dans un "sas de Rêve " ou semblant de sas, car, voilà, on est là, comme deux en soi, deuxc pour un Soi dit "de parade" au milieu des traces . On voit .......... la voie ! = le tracé ancré, sentier, menuet. On danse ! On est passée s ! On voulait eh bé c'est fait. A présent on se doit de bien considérer les choses avenantes en tant que données qui, toutes, peuvent ou pourréient nous renseigner sur ce qui est en cette sorte de prairie "filtrée" des bêtes "remontées", rosses, groosssses, broutanjt herbe du pré sans s'arrêter . On est la Fée du pré, on aime aller = danser = se donner : on monte ! On remonte ! on veut toucher toucher toucher à cette chose d'une "Porte Docte" = le Passé ! la trace innée ! une chose du passé est portée (ou reportée) sur Ombre et nous ,
et nous de l'approcher si possible au plus près ! On veut toucher toucher toucher toucher à cette chose , d'une sorte de dopnnée haute, à devoir toucxher ! Et nous
d'y aller , de gagner sur la chose sans jamais traîner car voilà, on veut et voit ça, parade nuptiale, traits de soi, porte et mansarde, on vfeut comprendre et toucher ensemble cette sorte de ................. Roi ? REine d'Ambre ? une Voie est là pour soi, à prendre et .... hop, nous voilà là, prête à comprendre u n post-paroi, paysage des voies, ..... croix de bois ? On va ! on monte ! on cherche Trône ..... ou sinon Trône Porte, Porte aux voies à dfevoir voir ensembkle une fois là ! car voilà : on est passée ensemble. grave on voulait. On voulait grave ça, passer ensemble. On voulait grave travezrsrrer pareil muret des fobnds de pré et du cfoup poussser, pousssr loin en ce tracé, et gagner de chez gagner l'après-pré dit "Mer ÉGée" ou sinon "Égeé" "mer desv Fées" ou sinon "mer des Fées" "mer des traitsz" ou "mer-néné" ! car il s'agirait ....... d'une mer de Lait ! hé ! qui sait ? qui sait en vrai ce que ça serait qyue cette sorte de marée de Roche ? une sorte de ........... mer morte ? On ne sait de fait ce que c'est en vrai ! onn cherche un Nom caché ! On aimerait (grabve) soulever le lièvre, et tracer, tracer sans s'arrêtrer , le plus grand nombre de Vérités qui (de fait) seraient pour le coup, les Vérités dites "intrinsèques" à une sorte d'après-pré céleste ! on cherche ! On veut grave grave trouver et pas à moitié ! chercher paertout, en ces quartiers de l'après-pré céleste, un coin dit "donné" aux vérités ancrées, genre "saturées" = complètement vraies ! On a encvcie grave, de tracer de chez tracer sans jamais traîner, mais fissa aller et gagnezr gagner gagner sur ça, cette après-paroi , après-pré et re-après (en quelque sorte) paroi, qui nous voit tracer = filer = foncer , vers .......... Néné né dans une sorte de .... fossé ? creux des voix ? chose haute mais quoi ? après-porte ok on voit ça, mais en vrai quoi après la porte ? une sorte de Voie mais qui serait quoi : on mo nte sur quoi (en nqiuelque sorte) ? Voie de s Rois / reines des Tas ? tas de quoi ? on monte ! on cherche en soi de quoi cernert-piger de fait, un certain ombre de vdo nnées ancrées , ancrées de chez ancrées, en cette sorte de Mer Donnéb e, Mer des fées ou dite "des Fées" ok, mais où elle est en ce post-muret ? et que fait-elle d'elle en vrai ? des vaguelettes ? vagues vertes ? On cherche ! grave on recherche ! on ne s'arrête pas de , pour le coup, tracer - gagner et filer-creuser afin de trouver qui de vquoi est là qui nous regarderait de biais peut-être pas, qui noius regarderait de biaiçs ou peut-être pas mais qui serait là à grave nous mater pour nous attirer, nous faire aller jusqu'à nous présen(ter, à ses ... nénés nés ? sein de trait ? vache à lait ? on ne sait pas ! On voit que qiuelque chose ici se ttrame en vrai mais quoi ? ou se tramerait, genre .... lait tiré ! lait treait ! et trait de lait à siphoner (avidement) si tant est (ou si jamais) ! On est tr&acée, on est pour ainsi dire toute dessinée prête à traverser l'ultime muret en rotondité et nous reytrouver ... à vouloir ou devoir ( ... vouloir !) téter de l'autre côpté, le bon lait tiré, lait entier, d-'une FVache sacréee , qui sa it ? On trace ! on en avance. On veut comprendre ce qui est, de cette voie-là, qui nous "tend les bras" .... et nous de voir ces bras comme deux bras de ................................... mer
des Rois/ Reines
reines des Lois ? on voit là-bas les vagues post-paroi, Chance des Treanses ! on voit les Roi / Reine des Transes, Treanses et danses et falbvalas ! On bveut ou on voudrait toucher à ce qu'on voit là, qui , on dirait, se pavane ..................... c'est quoi ? .................................................................. on cherche ! on ne sait pas ! mirage de la foi ? une croix ? croix céleste , ça peut ou pourrait être ! On cherche une Croix quand, peut)-être (qui sait ? ), il n'y en a pas ! On mate sévère ! On essaie de faire ................................... ça : Corps de Selle ! tresse ! une sorte de tresse ! iun e sorte de tracé de tresse, vers ELLE ............... vache à la&it ??? on ne sait . Et du coup on cherche , on recherchge un accès. On est passée en tant que fée "derrière", et , à présent, on se ditb que, peut-être, ce qui serait bien ce serait , d'y aller ensembleb à fond la caisse sans tarder , et du coup nous téléporter ou comme nous téléporter ... jusqau'aux dits "nénés de l'ombre", ", ombre haute = ombre portée, qui serait ... ombre donnée par ... eh bien on ne sait ! on cherche encore ! on n'a pas fini de chercher mais pasb grave en vérité car, on y croit, on est plus que motivcées, on croit grave au ..... passé né ou re-né après le pré, l'herbe folle et autres herbes haéutes. On croit grave à une sorte de Passé quyi reviendr&it comme nous titiller et nous m=ontrer des choses , choses drôles, comme : une sorte de Corolle ! Fleur -hole ! fleutr des fgleurs à corolle-hole ! porte des données données ! amabilité ! retour aux nénés comme qui dirait et la chose sezrait toute entérinée , achevée, adotptée, mise surt pieds et lancée de chez lancé à jamais vers une Vie nouvellement teracée de trype "Destihnée Sacrée". On est Fée un temps paradisiaque (prairal ou pré-al) et puis voilà, on sort de là (enceinte / voie) et on voit quoi , on voit ça : La chose Haute = Trône ! Trône de bois ! Sein de cCrosse ! Lait -Voix ! à boire, pour, soi , changer de croix ? On antre ! on entre entre ! entre deux voies : une sorte de ..................................................... sente (csentier d'ambre) à prendre . On va là ensemble, on "marche", on en avance, on va en cette voie "de chambre" chercher "sente" = sentier d'ambre à soi. On ne veut pas s'arrêter là ! on veut grave comprendre, la Foi, en soi, à quoi elle se rapporte et qu('est-ce qui pourré&it, nous dire des choses , révéler, donner à nos gouyvernes de quoi tracer , cerner et allervers plus de V2rités sur .... ces Nénés , de l'outre-monde ! On veut creuser pour ainsi dire "dans"" la V2rité , et puis comment on veut !! On ne veiut pas "passer à côté" sans avoir un minimum creusé de chez creusé en cette sorte de ......................... mont aux Nénés ? Monts)-Traitsb ? mont des TRaits ? Monts-Néné ? Mo ntée ? On est née de fait ..... à ce Passé post-pré qui (en vrai) nous intéresse grave, car, on veut ...........................................................
(roulements de tambour) .............................................
RESSUCSCITER EN CES CONTRÉES DITES "DU PASSÉ" !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! et en plus c'est vrai ! on ne veiut pasc"rester à) quai" jamais mais (vrai !) ressusciter de chez ressusciter le muret (mur du son- ) une fois passé , se retrouver comme (quiu sait) ?) peut-p^être "dépossésdeée " en qielque sorte d'une sorte de Personne Nôttre,; mais peu importe ! on monte ! on ose ! on monte haute ! mort d'homme, donne : Haute Forme d'Hole , genre Famme Accorte,,Traits de Forme Haute, Fée-Bébé de Roche, fabulosité grosse , Ombre-hombre-Nombre sur Passé vde Porte ! On mùonte ! on est haute ! on est grave haute ! on est femme d'hole, ombrte nôttre passé la porte. On veut de fait toucher toucher troucher toucher à cegtte chose d'une bsorte (il semblerait) de "Néné du Passé" , passé de rocxhe (?) , et aller ..... tracer = téter ! car, téter est de fait la chose
à ne pas snober ! On se doit gravfe cde téter le lait (post-porte) et de s'en pourléchezr nos babines mouillées ! téter = manger = prendre = comprtendre les données du laitb , en tant que membres situés d'une sorte de "langue-force " ! mots de porte = mots d'ombre = mets = lait !du bon lait des ombres, ombres mortes (mortes ?) et autres zones a ncrées, où on ne sait en vrai car, on ne voit pas loin ... au-delà des ombres ! On voudrait ! on voudrait bien ! On grave aimeréit ou voudrait bien en vrai , voir loin loin loin, aiu plus lointain des zones p^rofondes, loin dans l'ombre , l"'éclairer, éclairer la zone, les confins, fins de roche (?) des données Hautes, fin des fins de Trône ou Commenjt ? Haute Époque au firmament ? haute Roche d'Ombre ? Zonee Ronde ? Forme de ............................... croptte ? ......................./..... corps ? ............................... cône , ....................................... cône-zone ? ...................... con d'hole ? ............................................... dôme , ............................................................................................... comme une ombre qui (ici : post-prairie) montrezait la Choseb à devoir approcher en tant que ............... Baby-doll ? ou seulement de .... Bébé-né , la mort passée ? On veut toucher à ce Néné des Données Hautes, à cette sorte de Passé des "promenades endiablées" du genre ... tarentelle ? et auteed deanses surexcités ! ON ne veut pas aller pour aller mais grave aller de fait pour en vrai cfomprendre de chez comp^rtendre de quoi ifci il en retourne ou en retournerait de cette chose ou sorte de chose intense , dont le nom en france est : LE PASSÉ-DANSE ! sorte de danse dense ! danse ensemble ! sarabande en bande ! on avance ! on tourne -vire du ventre ! ça incise ! ça rentre ! ça envoie et charme ! on danse en transe et du coup .... on passe, grave, à travers la Paroi, la Paroi du Roi , des "REibnes FRanches" et autres "REines des Voix" . On est la fée dite "surnuméraire" aux dixd doigts et autrees ailes "de paroi" ! ça enfle ! ça envoiue du bois quand on passe .... car on passe là (passage de france ?) jusque là : sein des traces, lait amer, trait des traits sacrées, paire de nénés traits. On ne veut pas ou plus, en vrai, passer à côté, d'un tel massif de traéits, mais tout au contrzaire, en profiter sans se monter le bourrichon ou se poser triop de vquestions, de celles qui, de fait, désespèreznt et vous fichent le bourdon pour la semaine ! non ! On veut aller fissa (hors cimetière) toucher le pompom ! on aime ! téter de chez téter, un peu de ce lait desvFonds . creuser = dire ce qui est en ce tréfond hors cimetière et dont le nom est ......... Terre-Mère ? re ? re-terre-mère mes aïeuxd / aïeules ? en mieux ? On cherche ! On veut (on voudrait) cerner au plus pr§ès, une sorte de "vérité des vérité" qui , de fait, pourrait rapidement à nous se révéler en ses quartiers et nous dire ce qui est d'une sorte "d'après" . "daprès cimetière", "d'après quartier d'herbes" ........ et nous enseigner "ce qu'il faut faire" pour en vrai durer de chez durer en cette sorte de contrée posqt-herbe ............ comment Faire .............. comment tracer ............. comment dire les données qui nous seréient données et de pied ferme ou à main mlevée ou peu importe la manière, le tout ici est de pouvoir compter sur un tracé : ferme, ancré, comme enraciné ....... dans le Verbe ? Hé ! voilà qui , en vrai, grandement nous intéresesse ! qu'est-ce que c'est que ce dit "enracinement"des vies ou de la vie dans une sorte de "paradis" que serait ..... le VErbe ! on l'a dit ! on a diçt "le Verbe" ! est)$-ce qyue ça sufiit ? est-ce que dire ça suffit pour être ? on a dit "le VErbe" en ce dit "Paradis interne" à une sorte de prairie, prairie post-mortem ou disons d'après la vie ! vie de terre ! paradis des VIes interneszc à ici une sorte de vie comme inscrite entière en ce dit pays "des do nnées de Roche Haute". On monte ! On dit ici que de fait la vie, post-mortem, est Vie de traîne , traîne d'herbe, puis, au plus loin des lointains mordorés, à la fin du pré, une sorte de "contréeb du Verbe " ou comment oub qu'est^-ce ? On veut trouver ! trouver ou se retyrouver ! on ne veut rien lâcher. On veut trouver ensembkle les données de base qui, ici, nous dirait en vrai ce qu'il en est de nos "souffrances passées" et aussi de la France Narrée, france du français en tant que langue saturée, pratiquée, inculquée-gravée, enracinée en nos antres de fée tracée à mainn levée sur "paroi franche". On cherche ensemble ici et là une sorte dee ....... tas ? tas de vfeuilles ensemble ? tas de Voix ? voix de l'au-delà .... aux antresz ? ?On veut ça : le Ça ! la Charge ! une charge en soi afin de mieux comprendre = poussser, pousssr droit dans ça, l'ambre ! ombre des Rois / Reines des Voix ? On veut :
comprendre ensemblke pas mal de choses
cerner ensembvle le polus possible
toucgher ensembkle à une (sorte de) bête de CFRance (farce) ma foi
tracer eznsemble ici ou là ... eh bé ce qu'on pense qui serait en vréi et pourrait nous aider à nous y retrouver en cette marmelade de données données.
Chercher = dire ce qui est, de ce dit muret "des finalités", et toucxher = aller = fonder = crueser = sonder ledit Passé des Données Ancrées, de type .... le français (langue .... sarde ? sale ? sade ou maiussade ? ) et allez ! on chasse les noires (mauvaises ) pensées et de tracer ensemble le Tracé aux fées "paradisaiqque" (le tracé) jusqu"'aux dits "Nénés Intenses" = plein de lait frais à devoir téter ... dx'urgence ! On voudrait ! On ne veut pas (on l'a dit x et x fois) passer à côté, d'un lait aussi sucré-salé voire acidulé tel que rencontré .... APRÈS ........... APRÈS LA MORT DU PRÉ .......... APRÈS LE PRÉ QUI EST LE TERRITOIRE "ANCRÉ" DE LA MORT DONNÉE .......... APRÈS ICI CE PRÉ QUI EST L'APRÈS D'UNE SORTE DE VIE DONNÉE , COMME SOULEVÉE , ET PUIS VIENT L'APRÈS , SOIT L'APRÈS -PRÉ QUI EST DE FAIT CE DIT "SEIN DONNÉ" D'UNE SORTE DE MÈ!RE ALLOUÉE À UNE SORTE DE ..... PASSÉ NÉ OU MÊME RE-NÉ À LA VIE ... TRACÉE EN SAINTETÉ OU DITS DE SAINTETÉ ! on est ici ................. en vie ............................... vie vraie ............................................................. sur un néné à lait à pouvoir téter et c'sst exactement (de fait) ce qu'on fait en tant qu'on renaît, qu'on redevient Bébé sachant téter de vchez téter le lait (Verbe français AQUI) du Néné Trouvé ! On re-vit ! On re-devient Vif / vive des traits , on revit comme qui dirait et c'est un fait qu'on doit ou qu'on se doit de bien considérer si on veut "tracer" = "cerner" . Car, tracer = cerner ! courir = comprendre et comme relever (des entrailles) les données franches ! On ne doit pas (du tout) lésiner sur ces données mais les toutes bien considérer dans ce qu'elles montrent (montrre raiaent) et présentent de la Vérité . Sachez toucher ! sachez vous approcher et aussi toucher de chrz toucher à ce Néné-né né post-pré et rempli de lait qui est du ........ erbe-Lait ! VErbe-Herbe-Lzit ! toute une chaîne de données tracées faisantr la navettre, enttre d'un côré la bête, la bête du pré, broutant l'herbe, et de l'autree le néné , le Pis tracé ou dessiné, empli de bon laiot ferme (ou lait de ferme) à bien déguster ou même profiter. Il faut toucher , toucher de près, afin de téter, et téter c'est aimer ! On veut de fait aimer (= téter) ce lait de traite , et être comme toute re-née , revenue nue à une vie relue, re-tracée, re-compiosée et re-trouvée au -delà du pré , du pré donné (Mort-mort au taquet) sur Néné Rompu aux finéalités toutes lactées , genre Voie Du Cru, Vloie Lactée Vue , ÉToile et trait. On est re-née sur un Passé connu mais oublié ou sinon oublié effacé ....... ou sinon efgfacé aloué à une sorte de ............................. petite mort ............... = ombre ? On monte !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! hautesc =
le plus haut qu'on puissse !.............?.?.???????????????????????????????????/........................ ivres ? ......................On ne veut pas passer pour ce qu'on est pas, on veut en av ancer ensemble en cette toundra qui nous "tend ses bras" et nous (il semblerait) rassemble ensemble afin de voilà, faire de nous, sorte de COnvoi de .............. gnous ???? gnous de l'au-delà ? tu vois ça ! ça enttre par là ! ça n'arrête pas ! convoi dit "de sages " et autres s""savantes d'antre" ! On est entre ! on s'interdessine ! on ne veut pas manqauer la prise ! On veut "FIGURER" sur l'affiche et du coup COMPTER DE CHEZ COMPTER en tant que fée aimée , fée adoptée, puis ........ bébé ............ au-delà du muret soit du cimetière ... "aux fées et aux herbes" . Tracer = aimer. Dire = toucher . Conduire = poussser ; Charger = donner. Porter = consacrer , à une sorte de donnée, un Rire en vrai, charges comprirses = le Passéb ! car, le Passé est ....... Rire Frais , Rire Entier ... comme du lait non-écrémé ! ça le fait en v rai ! ça enfle ! l'Antre, l'Antre aux données, se voit (comme qui dirait) visiter par (ici même : pré-) une "fée de france" = fran che camarade en transe ! fée de france = parlant force mots de frannce en transe , ou , sinon en transe : de base ! mais la base est transe (en vrai) ou sinon transe : danse ! danse-transe au taquet et le tour est hjoué, on entrte ! on entre en cet antre aux donnée"s larvées, pré, pré des prés, paradis sondé, paradis du dit, par adis -centtre et nous voilà en tant que fée ailée (= transformée en fée) qui marchons ensemble et de connivence (aile et aile) vers ....... sorte de Passé de Rage ..... Passé -trait , ou même : trait du Passé, trait des traits d'un passé en ffrance (en langue de france plus qu'en france)! . uN passé est né (re-né) qui était "en souffrance" en ce Néné ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait dense ! lait rance ? lait des laits de france franche , sioit : du français lacté ou quelque chose de cet ordre (aux laits) . On est lA fée en somme des dOnnées Intenses, du Passé caché,, des souffrances larvées et autresc maux de trait à jamais enkystés ! qui on est ? trait ? treait de fée ou trace ? charge ? charge-trait qui serait trace, trace de fée ? rtrait sur pieds et on dirait que ça serait ........ intense, comme donnée ! On ne sait ! on creuse ! on n'en a pas fini de creuser ! On n'arrête pas de cfreuser, creuse que tu creuseras, on envoie ! on envoie de ça : la transe = la danse = parade = paradis du dit ! charge mentale ! mise en plis et autres parades, aux bêtes )-foirail (ou plutôt "de foirail") . On est comme nue venue la mort mordue. On est vue nue dans la mort crue ! on monte ! hop ! on ne cesse ensrmble (ailes , ailes, ailes, ailes) de monter-comprendre = grimper, fgrimper de chez grimper pareille montée aux divinités . Qui on est ? fée, puids Bébé, puis ........................................................ qui sait ?????? ;......................... qui sait dire en vrai les différentes directions données à une vie ressuscitée ou come ressuscité par l'effet du ......... rire alloué ? à une sorte de ...... néné post-pré ? On veut de fait ensemble "toi et moi" creuser et du coup toucher ......... à du dire de fée , à des dires ici de fée Nacrée, à des dires enthousiasmés de fée ancrée à une sorte de TRacé de Pré, sentier, voie menant direct aux données lactées, célestes , vraies, d'une sorte (pour nous) de Vie REjouée !
On touche le néné= on boit du lait ! ça le fait de fait ! ça envoie du bois : vois ! bois ! ne t'arrête pas ! bois de ça qui est du lait dit "des voix de l'au-delà ddes voixb " ......................................... Qui on est ? on veut en vrai essayer ensemble de le deviner ici ou là en ces "contrées sages". On est toutes en vrai comme "remont"ées" , du fait que voilà, on s'est sentie un peu "ignorée" en tant que fée, mais c'st parce que en vrai quand on est passée ....... on n'était déjçà plus ... Fée, méais redevenue (pour ainsi dire) un Bébé nu ! bvébé tout nu renaissant à cru , Du Passé Connu (§reconnu ?). On est Fée un temps patent, mais passé ce temps, on devient "Bébé des Champs" = des données profondes hautes (hautes = profondes). On devioent ... Autree. Bébé d'Ombre (des ombres) renaissant ! On est l('ombre de l'ombre d'une sorte de ...................... porte aux ... Mortes ?? Ombre des ombres hautes ? Ombres Hautes des Données profondes : bébé -né de poche haute ................... en son ombre ? On monte ! On veut c'est vrai aller ensembkle à la recherche d'une sorte de ............... co:pte ..................... compte docte ...................................................................... ................. et auttres comptes courants ............../../..//////./.................................../................................... afin de pour le coup cerner-toucher à ces bijous données , données données, du dire caché ! chou caillou hiboux : on dirait du lzait ! en est-ce de fait ? on chercghe ! on ne cesse de chercher en vrai , ce qui ici est qui pourrait sans exagérer nous aider à situer de près, ce qui est qui nous rassemble et nouscresseemblke : traits ! traits des traits ! génétiquement anccré il semblerait mais est-ce vrai ? ou : est-ce en vrai ce qui est qui compterait, au t aquet le plus, sans rigoler ? On ne sait car,
on est pas non plus toujopurs topujours armées pour comprendre ou cerner un Tout qui seréit le TRout des "Données-Force", car , voilà la chose : on ...... tète l'ombre ! on ne cesse ça : de (vaile que vaille) téter là, le lait -voix , la voie -là des données de RAge, TRanse ! transe rance ? non pas ! on entre ! on entre en transe ça se voit : on bande ? on bande sa voix ! on parade ! on cracche ! pisse-roide ! on ttrace ! On fait caca , va ! on envoie ! on est pas là pour faire sa méchante hautaine et fière soeur de Rage, mais quoi ? dire de soi, les sentiments sages, les données de base qui, pour le coup, seraient "du doux" ............ aller de chez aller comme un bébé téter , car, en vrai : ON EST
CE BÉBÉ DU TRAIT ! ON EST
devenue (de fait) un bébé, quand la mort est tombée, quand, là-bas, derrière nous, la mort a chu ! a sombré en ses quartiers au pré ! on est en vraie (fée) devenue bébé (vrai) nu ! ce bébé non-genré aux données lactées . On est née au néné , né/née aux nénés du cru .................. à donc pôuvoir de fait téter de chez téter le lait (le bon lait) de la bête-trait ou bête de trait , vache à lait sacré, nacrée, ancrée en ce passé des données celestes (celtes ?) . On cherche en vrai à comme qui dirait ne pas oublier ce qui est mais comment faire quand de fée on se voit transformée (de force ou de gré) en cette sorte de bébé de trait, bébé -herbe, bébé né le mur du son passé , à une vie nouvelle , xde trype ........ Verbe ! verbe tracé ! verbe relevé, retracé, remmonté, recomposé en une sorte de Chair Ancrée ... en un Passé de Vie Entière entièrement renouvelée ...... qui sait ? on est née bébé aux traitsq, qui sont traits de ressemblance avec (ici) une sorte de ............................... transe ? danse en transe ? chance ? On entre ! On veut passer passrr passr ensemble (contredanse) le muret , et tracer tracer tracer, sans se retourner jamais, vers ici un N2né qui seraéit le n2né ... des "Données Intenses" du PAssé reformé ou sinon reformé re-assemblé ou sinon re-assemblé re-porté comme à ébullitio,n ou non, à ............................................................................................................. point nommé = Trait des TRaiots ? ................................................/............. On veut = on voudrait .................../........................................................... toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher au plus près du plus près les nénés donnés à devoir (pouvoir) téter sans traéîner : hop ! on s'y met et pas plius tard que tout de suite en vrai une fois née (re-née) et le tour est joué ! on ne veut p)as passer , à côté du lait , et s'en priver ! nâ ! on veut quoi ? on veut :
sonder là la voie,
dire ce qu'on vcoit de pareil convoi de bêtes de poids,
chercher là, et là-bas de fait, .......... un tracé tracé menant ainsi au chant ............ et, pas qu'au chant, aussi aux ... champs, champs de blé et autres céréales ancestrales (données données) .ON veut toucher parce qu'on veut creusqer, creussezr = toucher, toucher = creuser, et bnous, du coup, on ne veut plus du tout s'arrêter de creuser , en ce terreier dit "des données héautainesz" et autres donnhées post-mortalité. On veut :
creuser dur
charger de chez charger
compioser en quelque sorte avec le passé
dire les données, donner les dires
porter = soulever = rassembler, ici et là, devajnt soi, les données de roche , porte à porte. On est née Bébé la mort dépassée, on devient Forte, Forte Morte ? On devient .........../..............eh bé, ledit bvébé de la Roche Passée ! re-né ! on renaît
au temp)s Passé, ou comment ? car, voilà la voie (voie lactée tracée) qiu'on voit : Parabole ! Hole ! trou de voix ! la voix szerait la voie serait la chyose qui (ma foi ?) nous ferait ..............d xrôle, en tant que vcoilà, nous serions Chose = toute chose, de nousc sentir là, comme revenue nue à du convenu, ou du déjà vu , ou comment SVP on pourrait cernerrt , cerner-distinguer, trzacer, noter en vrai, cette chose comme retrouvée ou sinon retrouvée reformée ? On est re-née de fait après ..................... après ce trait dit "trait de fée" ? On veut toucher toucher touycher à une v2rité qui pour le coup serait physiqauement concrètement rejouée ou reformulée à un temps du passé mais qui serait ........ devant, avalisé, colmme une sorte de donnée "venante" ! re-naissante ! On est Née ! yeeeeeeeeeeeeehhh ! re-la vie des formes et autres traéiots tracés "devant la porte" ! hautes forces ! corps et ports ! sons de cloche au plus haiut degré ! On veut en vrai essayer (nous-mêmes par nous-mêmes) d'y aller (pas à moitièé) vers ledit "théoprème" des données tracées comme à main levéevp)ar une femme (on le dirait) néanbdxertalienne ou disons ancienne, anciennement ancréeb en cette sorte de
"Poème aux Avancées" . On est Fée des F2es, puis Bébé né, puis ....................... re-le trait .................. très accfentué ................................. sur pierre ! hé ! trait = traite = filet = lait ! le trét est du lait .......... qu'on aime téter = boire à la coulée, au donné tracé et autre type de giclée en herbe ! lait de traite = verbe ! verbe ancré = inculqué = enraciné = donné de chez donné comme de l'herbe du sentier ! On veut touycher toycher touycher toucher toucher toucher toucher troucher à cesc données en herbe verte sur-représentées mais c'est (de fait) ce qu'il nous fallait pour durer, aller de chez aller au plus lointin piossible des données tracées, célébrités, célébrités, célebrités, célé-brités, célébrités, de bonne renommée, dic-vinités, célébgriotés de bonne renommée = remises ! sur pieds portées ! re-composées ! hautement remontée en termes d'ire et autrszccolères divines mais mèfle ! on le voulait : on voulait durer ! on voulait téter et du coup durer, endurer ok méis durer ! Car , vie entière = vie chargée de Verbe ... a(alambiqué ? qu'est-ce que ça peut faire ! ce qui compte ici c'est de durer le plus possible, et du coup ... de teter la frise ! cerise ! traits avcidulés ! lait de frise en friche et autres laits pour ainsi dire saturés de données la ctées , de type ............................................................../................................................ amabilités ? ../................................./ vivacités ? ........................................... saintetés ? ................/...................... visiblités ? ................../............. ou, au contraire , invisibilités ? ..........................On cherche ! on n'arrête pas dfe chercher dans l'herbe , dans le pré, partout où on est, les données premières, ce qui a ou aura ou aurait de fait "cvonditionné" le Théorème; On cherche en vrai : on tète ! On ne cesse de boire de ce lait de traite , lait acidulé d'un corps donné qui se serait ainszi offert à notre volonté dee pouvoir durer de chez durer sur terre, en tant qu'être alloué à une sorte de "divinité" dont le nom est ..... VERBE ! VERBE DE TRAIT (DE TRAITE) ET LE TOUR EST JOUÉ SANS TRAÎNER ! ONn veut toucher = cerner = dire = conduire, ici ou là, le verbe ..... e,n ce sas des Voix ! voix de l'au-delà à soi .... outre-mère ! port aux Princes et Princesses-Hourra ! On voit ça : -phrases denses, danse en transe, parades de rage et autres rage-sparadrap ....... DAnse de Voix ! charges mentales , ça envoie sale .... ou pas mais qu'est-ce que ça envoie ! On passe ! on trace ! on veut comprendre (dans la foi) le fait que voilà : la mort (verbale) est incommensurable ! ne se peut pas, est inenvisageable : pas la place, car , voilà , la Mort est ........... phrase, que ça ! une phrase de passe, de passage, trace -tré&its de fée de rage ! une sorte de Passé qui , de fait, régulièrement, refait surface et vient combler ...... l'espace ! l'espace dense des données phrasées (verbales) allouées ainsi à ........... eh bien ..... la CXhance = Danse (Endiablée) des donnéesd franches. On est la fée devenue un bébé la mort enterrée. car, oui , la mort, lma mort n'est pas donnée pour vraéiment (vraiment) longtemps durer , elle a son temps comme accordé , etnous, dès lors, de nous "re-dresszr" en tant que re-nouveéau-né re-né à une vie tracée, de toute éternité, da,ns le VErbe donnéinculqué jamais oublié : une manne de base, sein porté, chance (voilà la chance) du néné ! lait ! lait des laits traqués ou tracés ou donné ici de préférence à tel bébé alloué à une sorte de ....... Passé ........ en particulier. On veut :
dire et donner, pousssrr le trait, coller au ventre, portezr des données qui bnous sezraient données (au passage) de face, par .............. hé, une Divinité ! de type .......................................................................................... lait ! Le lait, du coup, serait une Divinité ..................... divinité lacté intense ........................ quelle chance ! on croit rêver ! on est , paspossible, charm"ée ! ou comment dire ! aimée ! aimée des fées ? ...............................././..... quelle chance en vrai ! on est soulevée ! on est soutenue nue comme à la criée et même cornue ou sinon cornue, boisée ???? on ne sait ! bête velue ? bête à cru ? On est bête de trait (de fait ?) pour être ainsi aussi aidée, voire soutenue, par (qzui sait ?) une Divinité du cru ? genre : Renommée Tracée ? Énormité, d'une sorte dee Renommée, qui, en vrai, nous collerait , alors même que nous, on se voulait ... quoi ? plutôt cachée, calfeutrée ............. ancrée en nos qu artiers et pas fgorcément aussi montrée ou présentée ! On veut toucher ok mais .......................................... à moitié cachée ..................................... immiscée ................................................... collée au néné ............................................ nez sur néné .............. à téter sezrrée ! ............................. sans jamais lâcher ! jamais ! non vu de près en fait ! car : nez à nez avec le néné-né la mort passée ! On est Bébé né, pouvant de fait téter vrai le lait ancré ! trait de fée sur Le passé re-né ! on est ! on est ! on renaît = on est ! on est née Bébé au Passé comme qui diraéit ! On nhe veut pas lâcher le trait doré ! mais, creuser sanqs jamais ws'arrêyer le tra&it dfes traits : une virée , une sorte de tracé donné, de type ........................................ sillon, , ................. tout au fond ! ;;............ trait d'union ! ..................................................................... on fonce ............................ on mùonte ....................../............. on veut = on voudrait //..................... aller de chez aller ensemble (fée) vers un e sorte de "dimanche enluminé" .............; flamme dorée .............. feu des treacés dorés .................. or des fées lactées .................../... bonté ! BOontées données et &utres amabilités, toutes deéployées ............................................................................ ceuser creuser creuser creuserv creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser s-creuser creuser cfreuser en ce Passé des données "de porte" ... hautes, hautes données et haute porte ! le Passé est né qui nous importe ! Haute Porte dite "du Passé de Roche". On monte = on ose = on dit := on charge = on est meurtrie ou pas , l'important c'est d'y croire et de toujours toujours touhjours aklller , de préférence, en ce quartier des fées, à la recherche d'une Entrée, Entrée de base pouvant mener, de fait , à ce Passé ... dit "de france", car, en ce qui nous concerne, on est née s (de rage) en france = en ce passé de langue sarde, langue de fée comme allouée à une sorte de passé de france, langue collée, soudée, accrochée à une sorte de ................... portée, portée des portées ................................. endiavbvlée ................. qui ressemùble, à s'y tromper, à une sorte de ............./...... parade, parade animale ! a nimalité ... des données de Rage ....... mots tracés = bêtes de trait ................................. devenues franches = langagières = fraisches ............................ et ancrées de faéit en cette langue du français .......... dxes dernières flèches. On est née sur pied ............. dans la langue-flèche, ainsi tracée. On est re-née sans cesse ! un tracé de terre ! une (sorte de) traversée des espaces vrais = termes ! une virée céleste ! THE virée terrezstre ........ et céleste si tant est ! On aime ! On veut durer de chrz durer et aller de chez aller, aéprès le cimetière, en ces contrées du Verbe faisant navette ou la navette, entre la mort dite "du cimetière" (paradis "céleste" agraire) et ce Passé aux Données Allouées à une Re-naiisance Fière ! le Passé reciomposé ! alouette alouette ! un passé de traite (lait) sur-représenté ! car : posé ! déposé ! reposé ! re-reposé ! on est re-né et re-née ! sur Passé de T^ete , genre "remontée" = "colère" ! grave énervée et nous voilà qui revenons (mamá montón !) en ces données do nnées d'une terre allouée à une vie entière surdimensionnée , hé ! parce qu'en vrai, voilà, on va ! on trace ! on avance ! on ne reste pas en place ! on est fille-fée aux traits marqués, on ressembkle à sa moitié ! aile de fée ............. cherchant aile de fée .............. désesopéreémznt .........../.................... sur le chantier. On veut creuser (jusqu'au firmament) un sentier à pouvoir emprunter, et (du coup) charger , de données données par une Sommité dont le Nom de fait , est :
TRAIT
TRAIT
TRAIT DES TRAITS
UNE SORTE DE TRAIT
TRAIT NÉ SUR PRÉ UNE FOIS PASSÉE
UNE FOIS QUE SOI ON SERA PASSÉE OU SERAIT PASSÉE,
PASSÉ OU PASSÉE CAR , EN VRAI (AU PASSAGE) CHANGÉE
HOMME DEVIENT FEMMES
FEMMES : FÉE
FEMMES -FÉE DES DONNÉES DE BASE ............................ON AVANCE ! On trace, creuse, vire, vole, on monte ! On veut en vrai voler de chez voler jusqau'au ditb "néné des données de Rovche" ........... Rocxhe Haiute ............ poertte ................. porte d'entrée d'époque ou d'une époque haute ............. TOUCHER = TOUCHER,
creuser / creiuser,
dire/ dire, et du coup : aller = aller ............ vers pareille contréecvdite "du passé"
;;;;;; Audelà du pré, au-delà du saint-pré tel que parcouru e,n tant que ... fée ailée nue ............... jusqu'au dernier muret ici rencontré ! On est née ! née bébé sur pied ......... la mort archivée ! On renaît ! nu e ! nue des nues ! on renaît (post-pré) aux nues allouées à une vie revue et comme corrigée : le passé ! hé ! nue de chez nue et vue ! On est :
le bébé .................................................................... des données revuesxc .................................................../....................................................................................
On essaie ensemble de nous y retrouver ici en ce chanteier mais c'est vrai que cette chose n'st pas aisée, demande beaucoup , beaucoup
de concentration, de sérieux, de /
de concentration, d'investidssements, d'investissements partagés, de /
demande beaucoup
beaucoup d'engagements
Dzemande de, pour le coup, nous donner ensemble (toi et moi) à deux cent pour cent, . On veut, ensembkle, aller loin, en ces dites "contrées révéleées" et aussi toucher à une sorte si possible de vérité vraeie qui pourrait nous aider à nous y rterouver sur cescquestions dites "de mort"talité" , de "mortancréée" , de "mort allouée" à un Passé représenté, cf'est)-à-dire rejoué . On veut toucher à quelque chose, qui sezrait vrai, qui ne seréit pas du chiqué mais au contraire , à une vérioté tout ce qu'il y a ou qu'il y aurait de plus avérée, de pluqs fiable, de plus envisageable en tant que vérité des vérités pouvant donner (offrir) de quoi comprendre, cerner, mieux cerner ce qu'il en est, pour ainsi dire, de la vie -souffreance, vie tracée, vie à devoir subir (de gré ou de for ce) en son propre sabir. ON est née fée on dira "de tré&it" , car voilà : le temps passe, qui bnous voit tracer de chez tracer (en surface) une sorte de trait de type "pariétal -frontal" sur paroi franche . On veut :
toucher toucxhret toucher toucher toucher rtoucher toucher toucher toucher toucher troucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher touxccher toucher toucher toucher toucher toucher troucher touchrt toucher toucher ctoucher toucher toucher toucher toucher touchef toucher toucher toucher toucher toucher toucher à ce qui est qui, en vrai, nous ressemble ou nous reseemblzerait bquestion traits, trais ancrés, de la face et des doigts de pied , teréits falmiliers, ressemblances ancrées, connivences, familaerités de france et autrs ancrages sur-saturés ou sur-représentés du fait que voilà, on se ressemble, on a des traits communs de type ... ressemblances, marquées, incarnés, on se ressemble en vrai : on est "semblables" = moitiées de moitiées de moitiées de moitiés de x et x moitiées ici ou là nées (rencontrées) qyui nous "font face" ! On est fée franche, fée ornée, fée de rage, fée sainte-face des donnéestracées, puis .......;;;.......................................... hors du pré paradisiaque ............./............................. hors du puits ..................................................................................................... (dans "l'oubli " d'une nouvelle vie comme renaissante) ....................................................... B ............. B ........................................................................BB ........................................................ BB DE RAGE /...................................................... tétant ................................................; le sein don,é par le Passé-souffrance,
incarné, fait, alloué, à une sorte de ........../............................... langue ................. langue intense = incorporée ................................... comme par la ba,nde . On veut toucher = porter = dire = sonder = conduire = pousssrrt = aller = faire = passer = chercher = rechercher = centrer , ici et là, le VErbe .................. sur Paroi-Toundra ! voilà ! on trace ! on avance ! on veut ça : la transe-parade, la voix, la Roche Intense, Voix des Voix et nous voilà, quyi traçons sur place, de connivence, une voie, voie des Voies sur Tremble ! car, on trace-touche, touche-trace, à pareille Paroi des Données Franchesc: Bêtes-Rois .......... bêtes-Reines ........ de pAroi -Foie ! traces de france = franches = de langue franche = danse ! On veut :
tracer de chez tracer
dire vde chez dire
aller de chez alller
poussser de chrz pousssr
se donner de chezv se donner
comprendre de chez comp)rendre les données intenses d'une sorte de passé de france = le passé moiré, comme dessiné, à la volée, par ... eh bien ,; qui sait ? une sorte vde ...... fée franche, de type F2e des Prés toute Acidulée , qui se seréit comme proposée, pour,, de fait, nous aider à nous y retrouver en ces dites contrées aux bêtes de trait. On veut :
toucher toucher troucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher ... mes aïeux , mes aïeules en vrai, à ce qui est qui nous resse'mble ou njous reseemblerait comme deux gouttes d'eau :
TRAITS , TEAIOTS DES TRAITS, TREAITS MARQUÉS, TRÉITS FAMILIERS , TEA&ITS COMME ANCRÉES OU GÉNÉTIQUEMENT ANCRÉS EN TANT QUE DONNÉES DONNÉES PAR UNE SOMMITÉ DES DONNÉES ANCRÉES . On veut toucher à ce néné au lait et deès lors téter sans discontinuer , sans s'en lassser, ou sinon peut-être (oui) une fois rassasiée, car ........ le lait, dieu que c'est .............. bon de chez bon ! une tuerie on dit ! on adoooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooopooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooollooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooloooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooopooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooopppooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooopooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooore le lait ! on adoooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooofre le lait ! on adooore ! on aime trop ! on aime vachement le lait de trait ! on pourerait en téter szans s'arrêter pendanrt des années comme qui dirait ! On aime grandement = vacheme t = énormément, le lait de trait, lait frais, lait tout chaudsorti illico du néné en vrai ! On aime téter, on pourraitb téter sans vraiment s'arrêter pendant des années. On aiùme en vrai le lait donné, le lait qui suinte ou suinterait, le l ait giclé, une giclée de lait dans le gosier, téter téter téter, on adoore téter. On aime grandement = vachement téter , sans traîner, sans se faitiguer, téter de chez téter loe bon lait de mère, mère nourricière, vache sacrée, vfacche allouée à un post-cimetière d-ont, en vrai, le nom serait : le Passé , le PAssé de mère ? passé frais ? passé du passé ? ou "au passé" ? passé de trait ? passé-trait des données de ferme ? une fer(me (qui sait ?) "du passé" dont serait issue la vache ...... sacrée (?) ... qu'on aurait bue ? dont on aurait peut-être bu le la&it , lait né ? On chercghe .......... ensemble ....................................... accolée en tant qu'ailes accolées , soudées, à une sorte de ...... oui, peut-êttre, trait ! tra&i des traits , qui nous tiendrait "ferme", nous rattacherait ou lierait l'une l'a&utre (à tout jamais) en tant que fée ............... On aime le lait . On aime grave les choses lactées, comme le fromage, petit lait, crème et fleur de lait, beurre salé, crème écrémèée et autrss léits frais ainsi tétés. On aime le lait, les choses lactées , comme ........... la voie, dite lactée, les étoiles de lait et autres traits étoilés lactées ainsi avisés ou visualisés . On est :
tête , trait , tête
allouée à des traits.
On veut toucher de chez t §(oucher à une sorte de donnée dont le nom est "TRAITS", car, en vrai, on veut ............................................ on voudrait ........................ peut -être ........................... rtessembler un peu .......................... à) l'être de feu ....................... feu l'être amoureux ; ................................................... naître /paraître ................................ à quelque chose près ................. à quelque chose commre ... une herbe ................................................................................................................................... deux herbes ................................ deux brins d'herbe ........................................................................................ à peu de choses près les mêmes ! .................................................................................. naître même ................................................................. toucher toucher topuycher topuycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher rtoucher toucher toucher rtoucher à ce qui est qui , de fait,
nous intéresse, nous captive, nous fait r,êver et halluciner, en tant que ............ fée du pré , Fée des termes , fée des der nières volontés sur pré et autres prairies vertes, fée ancrée en un jardin d'éden et autres potagers ................................. on veut creuser, creuser, creuser le Verbe comme qui diraiot (= l'herbe ?) un tracé ? une sorte de "sentier de VErbe" pouvant traverser sans traîner les allées (ou : difrérentes allées) des Termes, sqoit des données données d'une sorte d'éden consacré. On voudraoit = on veut :
toucher à c e qui est qui reprsénterait le VErbe = des traits ! traits acidulés ! bêtesde trait comme s'il en pleuvait sur paroi sacrée ! paroi roide ! rude paroi dure ! On est née Fée de bure, on pousse l'aventure, on trace et retrace, on va loin de base, ensemble ailé, jusqu'aux extrémités des extrémités ainsi touchées (trouvées) aux confins du pré. On veut passer vers .............. du Passé de Rage ................ téter rageusement le lait d'en face ! trouver = prendre = téter ! trouver le néné = (si on le fait bien) téter ! Car, téter est tout un truc ! On se doit de bien apposer ..... sa bouche turquoise ! et oup, gloup, avaler, le bon lait de l'ambre (ombre ? ) versée ! trait = d'un tra&it ! bon lait = bon trait ! On veut s'alimenter du bon lait de Roche , bonne sorte. On veut :
toucher toucher toucher = téter téter téter ; toucher = téter ; téter = touchezr . On a envie en vréi de bien téter le bon lait de l'hydre , ici l'hydre, l'hydre sacrée = l'hydre ivre ! une hydre = un trait comme dup^liqué ! ivre ! hydre ivre ! On veut (de fait) téter l'hydre, sans trembler, sans jamais s'arrêter, en faisant ainsi qu'on fût rassasiée de chez rassasiée le mome,nt venu = en matinée, nue, accolées (ailes collées) pour former de fait ...........; cette fée de trait ............... changée en bébé .......... bébé nue ............. connue = nommée ............................... à jamais ....................... comme étant le bébé des dsonnées données en termes de .............. ^passé ! le passé ! passé né sur traits des traiots , genre tra&it de lait .............. une pissée ou sorte de pissée .................... allouée au néné tout empli de lait à , oup,
avaler si tant est ..................... Le passé est né , qui nous "reconnaît" en tant que .... Bébé ! Et donc ................. nous voici (dès lors) comme adoubée, revue et corrigée. ON veut (on voudrait) toucher toucher toucher toucher toucher touctoucxher toucher toucher touycher toucxher toucher toucher rtoucher toycher trouycher toucher toucher toucher toucher touycher touycher à ce dit Néné-né le Passé re- donné ou re-alloué ou re-convqoqué ou re-tracé le pré quiité (paradis aux fées ) . On renaît, et ce faisant : on est ............ des rev-enantes d'antre. Portées cernées, allouées postées, chargées secondées, ceinturées aimées ou comme aimées des fées il semblerait : vrai.
11/3/2025
On veut ensemble aller au plus lointain possible à la recherche de données qui, toutes, pourraient, en vrai, nous donner de fait de quoi comprendre un certin nombre de Choses de base. Traits et retraits. On cherche à s'immiscer, et poutr s'immiscer il est pour ainsi dire nécessaire de tracer des traits (sur place) à main levée. Creuser = dooner = dire = sentir, ici même, ce qui est qui se présenrte. On est née fée, passée la rambarde, et nous voilà toutes acidulées qui cgherchons place, ici ou là, le mur du son passé il semblerait, à la recherche d'un Tracé, qui serait ... THE tr&-ACÉ SVP; O n veut toucher toucher toucher à une xorte de Néné de Roche = le Passé, et, pourça, en avancer ensemble, creuser par pelletée, chercher de chez chercher :
une base, un tracé "serré", une sorte de "mansarde" où de fait pouvoir se réfugier et y rester afin de pour le coup comprendre (à genoux ?-) les données cruciales. Ce qui est qui est et qui (peut-être) nous regaddrerderait , nous epierait, nous materait grave = de la tête aux pieds, ... y compris les ailes, bec de trait et autres attelles. On veut toucher à ce Néné post-cimetière et cerner au plus près :
la Tête, Le Tracé, les fines lignes et autres signes d'un Néné de Vigne, Vigne à Lait ! On est la fée rasante , traçante, allouée à une demande. On est née sur Roche accolée, et on monte (on est montée) de roche en roche par paliers jusqu'au "bout du monde" : Néné ! ah, ça le fait (de base) c'est un fait ! dingue de chez dingue, vitesse grand V ! ouh, on est montées de chez montées et nous voilà comme toute reconstituée ..... Bébé ! un bébé saleé -sucré qui du coup aime grave le lait à s'en barbouiller la figure, d'aventure. On aime le lait (grave) on est nées bébé , le "mur du son" passé, mort dure au taquet laissée de côté.... on trace vers Néné ; on veut grave téter et ne ljamais, en vérité,
jamais plus regarder ..... côté pré, côté herbe des traits, pré des données de l'herbe et autres flore détaillée. On est née Fée sur pré ok mais à présent on n'est plus des fées, on est le Bébé dit Alloué à une sorte de ... mansuétude, drôle d'aventure. Bébétrait. Sorte de Bébé devenu vrai qui veut téter du lait. On est ... Fée de Bure, puis Bébé -trait. On est passée ! ................................... on a trzaversé le muret (mur du son) sans traîner. On voulait de faiot gravement cerner les données données du Monbde TRacé, eh bé voilà, on dira qu'on a, comme en vrai commencé
à ici clarifier un certain nombre de données de base . Ce que c'est que cette plage, les nénés du pont, traits d'emphase et autres mamelons "montón". On est passées sages = savantes ! ohé du bonnet, on entre ! On sait ! on a cerné le Tremble et à présent on veut toucher de chez toucher à ce qui se présente en fait de Néné-Trait ou Néné à Lait, Néné né squr pied comme il sembvlerait ..... À nous de piger et toucher, dire et aller et, du coup, en avancer grave, filer de chez filer vers pareille mansarde aux dobnnées ancrées, de type "Rage", "Rage de Fée" et autres "Rages sentimentales" . On veut creuser ensemble ce qui est qui se présente à notre juger .... car, voilà, on est née Fée à la traversée mla mort donnée, on veut Cerner = dire = faire = toucher = être sur pied cette sorte de .... bébé né , la mort éloignée, vers un Néné de TRait à pouvoir téter sans se gêner , s'en mettree sans compter jusqu'au trait des traits, qui serait ... Bec ! bec des Ombres ! une sorte ! Bec des becs sur ciel de Trait ! On est Bébé à bec !bébé-bec aux données traquées ! cher bébé. On veut toucher à ce qui est que nous voyons aller : Néné , et téter ! le bon lait de Roche, bonne pioche.
On veut dire ici le dire, aux données vi ves, traits-surprise. Qui est qui . Que penser. quoi chercher ou rechercher en cette frise "olé olé" (qui sait ?) qui nous "regaddrderait et nous (comme) dévisagerait parce que voilà, on est passée et, à présent, on ressemble ou ressembklerait volontiers, à une sorte de.....bébé à bec ! diongue ! dingue et sacré ou sacrément dingo , au poteau ! On veut :
dire de c hez dire
cerner de chez cerner
coller de chez coller
infduire de chez induire
situer de chez situer
aller de chez aller
toucher à ce qui est qui se présenterait le mur du son passé à nos propres données en fait de traits. Car oui, nous sommes qui avons-voulons, cherchons-recherchons, traçons-montons, cueillons-creusons ......... des choses doctes ........ hautes ...... genre : Raisons. Et du coup ........ eh bé oui, on est comme folles ou fous, selon. Bec et trou. on veut toucher à ce dit "mamelon" des Roues ............................................................................................................ lements du Temps ! et tracer lentement puis moins lkentement, le trait du firmament ! haiute époque ! temps devant ! chants et champs ! Une sorte de "Parole d'Avant" qui serait dès lors Haute = devant, la Parole du TEmps, Temps des Chants , Temps tant ! car, oh, peut-être, en effet, le TEmps, le temps traqué, est Temps des Cghants ... de Haute Futaîe ... qui saiot ? Branche haute , bec de trait, parole docte, trait des traits qui sait si en vrai la Parole Haute ne sezrait en vérité pas ce ..... tracé, de fée passée, de fée née, de fée Ronde, passée la porte ? on veut :
dire et sonder,, tpucher et creuser, filer et pousssr, charger et situer (de roche en roche) les données de roche . eT alller, continuer sans désemparer ni trainailler notre chemin de Ronde. Un passé est re-né qui nous attirait ou attendait. Ce passé est un passé post-roche, post-pré , qui nous "reconnaît" en tant que noius sommes "des fées" toutes transformées de la tête aux pieds, en ... bébé docte ! une sorte de bébé post-roche, bébé-fée (on dirait) ou sinon fée, a&ilé ? bébé-ailé ? on ne sait ! ange à moitié ? on cherche ! on s'en enquiert ! on veut tracer du vrai. Creuser = dire = cghanter = finir ! Qui on est sinon Bébé ..... ?. un trait ? trait vif comme tracé (ici ou là) à ma&in levé, par une sorte d'animal traqué ? on veut : dire et dire, sans cesssr, notree dire bébé ! bébé né (à tire d'aile) sur ciel de traîne .... étoilé. On veut creuser = centrer, un dire de trait = une vie ! la mort dépassée. Creuser Vie sur Passé de trait. Cgharges comprises. On a envie (ensemble) de toucher, la base des données acides , et du coup aussi d'en avancer comme acccolées, vers une frise qui serait la frise aux données actives. on est née fée de base sur pré, puis, le mur du son (muret) passé, on a éteé (comme) troute transformée en béb"éé -Frise, bébé-trait, bébé -friche, bébé triat des traits, qui cherche que tu cghezrcheras (de rage ?) à grave téter, boire son lait = manger (comme qui dirait) sans trainer, sans plus lambiner. Téter. Dire. Pousser. Creuser. chercher Néné du dire en Ciel de Trait. Chercher ............... dires comme tous alloués à une sorte de ....... passé, de Terre promise, surprise ! Qui est qui, en ces données vives ? que penser du Rire ? que Chercher ou recherc her ? que dire des doonées du dire ? on veut ..................................................................... touchef toucher toucher à une sorte de "passé vif", qui serait le pa ssé ... du dire tracé, et autres passés -frise aux données actives (vies des vies, sang du sang, sentiments du temps, colères vives). On est née Bébé le muret traversé, mort distancée, et on file (vite !) vers Néné né = ce néné du lait aux données vives et autres données des données. On a grave ensemble envie pour ainsi dire de tracer , vers un Néné, "le Chemin du vide" tel qu'il semblerait qu'il faille (qui sait ?) le tracer vif, une fois passée. ou : une fois le muret ou mur diu son passé. tracer de chez tracer ce dit "chemin actif", du vide"sacré", vers ce Néné acidulé aux données vives, genre ......... Vie, VIe réactivée, VIe des VIes à j amais ttteracée, sur Terre Promise toute retrouvée. On a envie en vrai de l'embrasser , d'embrasserr Néné = téter , téter Lait de tire, laitentier, lait de mère-sourire, rire, vie vive, sainteté de Rive ! On veut :
coller et tracer, charger et donner, poussser et confondre, soulever et fondre, toucher toucher toucher toucher et se poster aux avant-postes sur une montée pour regarder -mirer, n'en rien louper, du spectacle sonore d'une "trajectoire haute" .....sonde ;;; .......................sonde sonore ............................ haute sonde sonore ................................................. On monte. On veut aller
Hautes ! Hautes de cherz hautes, et .............. creuser de chez creuser les traits, d'une sorte d'époque "enlevée", qui serait haute = avancée = postée haut = tout en haut des Mots, mots-bêtes de trot, trot-galop des mots (mots-animaux) tracés au lmamparo, à la lumière-chalumeau d'une (sorte de) Secte Néandertalienne ................... ou plus ancienne même ............................................. femme / homme saintes .................................... un Carré ....................... Secte des sectes au carré ! tracé ! Fée d'herbe devenant Bébé se verrait allouer (à son E^tre) du VErbe ! verbe comme né au passage des Traits .............. une sorte de DOnnée de traits qui nous verrait (de fait) en tant que néandertaliennes / néandertaliens , comme consacrées ... Fées DEs terres, F2es ici allouées à un cimetière ...... avant (devant) l('envolée Certaine, ce trait dsans la lumière ................... traits des traits d'une fée i=mberbe toute ici tracée ...... montant déployée, déployée montant, volant, allant, vers ...... ezlle : la (cette) drôle de Mer D'Elfe ! sorte de Mer de Quarantaine ............................................................. = mer -née, la mort passée .............................. ; la mer-néné ? oN ne sait ! on a envie ensembke de cerner la chose mais ........................ ce n''st pas donné ! ça demande de s'y en vrai coller de chez coller sans jamais flaner ..................... on se doit de bien considérer un Touut Cendré , regarder par en dessoius, dessus et par côté, ce qui est qui est ...................... afibn de bioen c ernertout un ensemble de données de Verbe, données celtes peut-êtte, ou mésopotamiennes ou (autres) mêmes données vieilles. On est née Bébé = le bébé , la mort passée , et nous voilà qui sommes collée à une sorte de .......................... trait ? ........................ trait aimé ? ..................... trait "super" ................ "super aimé" ............................... on veut toucher de chez toucher et ...., de fait, tracer tracer tracer = filer filer filer = traquer traquer traquer = chasssr chassser chassserr, la Bête Vive, COrps entier, Néné ? On est né au Néné (re-né) prête à téter sans discontinuer le bon lait de l'hydre ! filer = tirer = donner = chercher = sonder = pouyssser = creuser , sur terre allouée, une sqorte de (en vrai) ........ trou d'ombre ? t§ombe ? où donc se placer ou pouvoir se placer allongée ........ à jamais ................................ coomme enterrée ......................................................... mais ............/........................................................................ mais ................ sans déconner .............../................................................................................. on renaît ! ............................... vive ........................................................ vive de chez vive ............................ post-pré teracé ..................................................coleée au dit néné de .... l'Hydre ? vrai ? Hydre au débotté qui serait comme à se donner , à se preésenter, à donner son lait, à nous faire téter .... pour le coup à jamais ? On veut : dire de chez dire, aller de chez aller, cerner de chez cerner, une sorte de tracer "ivre" , ivre tracé........ sur pieds ? On veut coller, dire et sonder, pouyssser et vivre, consacrer un dire à une sorte de denrée"acide" qui serait de mise en cette sorte de "remise" aux données lactées, genre Lait des Laits. ON veut creuser = porter =cgharger = comprendre = entendre = sonder = souder = se donner à une sorte de BNéné-Surprise, néné vif au lait actif ! Qui on est ? tra&it ! trait des traits ! Qui on cherche à être ? une sorte de .......... tête ?.........................tête-noeud ? ............................ tête de noeud ? .................................... t^te-voeu ? ............................................... tête à bec ? ..................... à bec ou nez creux ? ./....?..??.?.??............................. bec de Feu ? .................................................................................................................................................. on veut :
dire et donner, coller et faire, chercher et consacrer, poussser et a ller, charger et poster, sonder la colère, poussser de chez poussser , dire de chez dire, consacrer sa vie à cghercher le dire , dire cerné, pouvant sans surpruise octroyer , ooffrir, déposerr, Vérité des Vérités, qui sait ? On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher troucher toucher toucher toucher toycher toucher toucher toucher toucher touycher toucher toucher toucher toucher toycher toucher rtoucher toucher touycher à ce qui est qui nous rezgadre ou nous regarderait de biais le "mur du son" passé, à savcoir : la mort ... dépassée ! comme "archivée" . On est née Bébé prête à téter le bon lait de Mère, aux données de Terre. On veut : creuser = donner, dire = sonder; c harger = soupeser , coller = souder , prendre = comprendre, sentir = ressentir, poster = centrer, porter = déposer , sur muret, un certain nombre de données rupestres, de type "Bêtes" , "Bêtres de trait" et é&utres "Bêtes autoportées" , genre /
RTresses ........ tresses d'herbes ............. tressees toutes allouées à un pré tracé ...... tresseees de données en herbe .......... traiots des tra&its h achurés sur pré celeste" ................... un tracé est un tracé. On est Fée des Fées sur pré alloué à un Passage Éclair à travers la Terre. Vie vive donnée le Mur passé , en tant que fée des fées ainszi "dessinée" à grands traits : bêtes aux herbes ! et de là, de ce pré des prés, treacer de chez tracer vers ce dernier muret aux données du VErbe, creuser de chez creuser , essayer (de fait) de passer du bec = pousssrer, piquer, poussser de chez poussserr et du coup percer et ayant percé , se retrouver de kl'autre côtré, côté ... verbe ? néné-verbe ? à tzéter le verbe = Lait, d'un Néné de Bière. Lait de trait le muret pasdsé ! mer ! mer ! mer cendrée ! mer auréolée ! mer d'époque ancienne .... re-la mer donnée dotée de lumières, clartés, scintillements dorés et autres reflets surnuméraires ! Mer des traits, vagulelettes , vagues portées, chants marins montés, chaudes aiguesz ! On veut toucher = dire = donner = comprendre = sonder = prendre = charger = soulever en transe les données d'offrande = vivres à satiété, chairetés, dons de lait, commandes et autres montagnes de mets. On a envie en vrai de cerner-toucher ce Néné de trait et téter. On veut creuser (ensemble) un tracé, qui serait tracé-treait sd'une sorte de Dessin de Rage ainsi évoqué. On veut toucher à une sorte de ...................... ventre ? ............... an,tre ? ............................................................... ventre-anttre ? .................................................................. néné né le muret passé , comme une (sorte de) ........... entraille-noeud ? ............................................................... feu ? ............................................................................................... on est ... deux ! deux de dieu qui vont par deux au feu téter mieux ! ........................................... téter de chgez téter ce feu des feux de dieu , Lait Des tra&its ! lait des laits d'un Dieu comme donné squr pieds, le Mur (la mort) passé ! olé ! On veut cerner ! creuser creusezrf creuser creuser sans discontinuer tel ou tel "fossé" aux données données e't autres traits de sainteté. toucher = dire = vivre ! Foncer = virer = courir = pistonner en vrai ! Toucher = vivre ( vivoter) c e Vivre ici Accolé à un grand nombre de DOnnées Acides . On veut :
fonder = donner = poussser = cerner = tracer = cxhercher ou rechercher le dire en vrai consacré, à une sorte de "Passé des Passés" tel qu'engendré la mort archivée (mur des Hauts Niveaux). et du coup : creuser creuser creuserf creuser creuser creuser creuser, dire dire dire dire, poussser en vrai un dire Nacré tel que représenté ... en ce mur des fées passé. On estnée Bébé ...... Bébé -Dires........... Bébé né pour dire .......... eh bé ........... le Lait de l'Hydre ! bête à vivres ! Téter = brouter ! ch aerger = porter ! voler = donner ! coller = sonder ! perdre = oublier, de fait, un c ertain nombre vde "données vives" genre vivres , dons des fées, présence lactée, vente à la criée. On voulait de fait, en vrai cerner, un certain nombre de données actives, les comme soupeszer , les tester, les enregistrer = les noter , les porter à vivre, leur doooner de quoi pouvoir (de fait) être relevées ou sinon relevées sondées ! tracer ! filer ! charger ! poiussser ! creuser ! dire et donner le tzracé du dire tel qu'évoqué en pré -néné ......................... On veut grave cerner un grand nombre de données de frise. Qui connaît le Dire ? qui sait ce que Dire est ? qui , en vrai, du Dire, connaît les clartés ? qui Chante Vrai ? qui peut toucher de chez toucher le Dire Sacré .............................. sorte de Donnée Ici Allouée à un Chant de Fée ................................. chant des Fé"es Acides ................................................. qui connaît ces vivres et autres dopnnées auix donnéesz vives ? ....................................... on avance . On en avance. on est ensemble ici postée à essayer de rechercher (de fait) des do nnées pâtentes sur laquelles en vrai pouvoir s'appuyer pour enfin comprendre ce qui est qui, sous nos yeux de "fée-bébé", fée transformée en bébé, semblerait vouloir" peut-être se monttrer , se laissser déchiffrter. On est deux (ailes de feu) qui , en vrai, cherchons haut Le Dire de Trop. car, Dire = Vivre =être Bête ,
Bête-mot. On est sur pied prête, à, là, postparoi des paroios, voir = boire ........... Lait = Vrai ! Et comprendre de fait un ertain nombre de données données, monacales, autocentrées, autocontrôlées, autoaccolées ensemble , une sorte de .... trace-tache, trait des traits , sorte de "passage genrée" (?) on ne sait, qui serait en vrai ............. un passage-gonades ......................... situé ...................... trait des traits à comme relever (de fait) au dit "passage ensemble" tout accolées, comme soudées à une sorte de motif central : bâtonnet ! On veut toucher toucher troucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher toycher toucher toucher touycher touycher toucher toycher toycher touchefr topucher toucher toucher toycher toycher toucher trouycher toucher touycher toycher tocher touycher toucher à ce qui est qui seprésenretrait ... sous nos yeux touchés ! on veut creuserr = dsonner = centrer et de fait cerner les données de ftranse (transe de fée) sur Passé de France ... comme qui dirait.
On veut aller ensemble à la recherche de données qui, toutes ensembkle rassemblées, pourraient grave nous guider (sérieuseme,nt) vers une destinée , un chemin tracé, qaui serait pour le coup "aidant". Car nous, on est nées en vrai poiur rechercher post-pré tout un tas de choses à creuser, à essayer de déchiffrer sans se casssr le nez ... mais tout de même ! On veut toucher à une "forme de vérité" du Verbe en herbe, trouver c'est creuser, et creuser c'est cerner ! on cherche un trait par où ensembvle nous (de préférence) immiscer, et du cfoup traverser, passsr, se faufiler afin de (pour le coup) pouvoir "ensemble" nous trouver comme située de l'Autre Côté des données murales pariétales, à savoir ...... là-bas : le NOuveau Sabbah ! re-nouveau des tas ! On entre. On entrte en transe ensemble , on y va ! On se rassemble = on fait corps. On est ensemble un corps ! corps d'or ! On veut ensemble recevoir ... la nourriture franche = trait de lait, lait acidulé, lait de trait , et du coup téter. On est Fée -Bébé, ou disons : fée au passage devenue bébé, re-bvébé d'or, tétant fort. On est la Fée raccord. Charge haute sur Montagne Haute. Montagne du Port. On veut :
dire de chez dire un dire
faire de chez faire un faire
creuser ivre les données du dire , et y aller = foncer ! charger ! tracer ! porter ! coller ! cerner ! centrer ! centrer grave les dooonées et essayer ensemble de toucher à ce qui seprésente en termes de néné ici alloué à une Vérité C-entrée, de type .... entrailles ? viscosités des viscosités .... d'entrailles de Bête traquée ? On ne sait ce qui est ! on cherche en vrai assidument, sans ceese, les données du Verbe, ce qui est en vréi qui (de fait) nous intéresse ou grave pourrait, comme un fait exprès, nous intéresssrr sans nous importuner loe moins du monde une seconde . Toucher ! dire et aller ! creuserà la ronde ! porter de chez porter la Parole Haute comme auto-centrée vers une sorte de ................. "muretrtrte sonore" , "murette sonore haute" , "murette des données sonores hautes" . Un trait = une porte. On monte ! On veut de fait aller ensemble ainsi accolées (ailes / trait) vers une sorte de tracé, "tracé du dimancghe", un tracé dxe FRance, Trait des tRais ... de Rage Allouée ... à une langue ! france = Langfue = Trait = Centre = Ventrte ! traits noués ! ventre nooué du fait qu'en vrai ...... le centre est comme sondé ...... ventre-centre du français "parlé" ..... antrte donné ................. traits des trais centrés en ce terrier ........... d'un ventre sondé ! antre au pied levé se voit sondsé par une sqorte de Traqueuse-née, Fée des Fées donnée, cherchant Vérité = Déité = Donnée = Divinioté des DIvinités ... "antrales" (ventreales ?)! On veut :
dire, donner, souder, creuser, charger, forcer, tracer; poussser, allouer à , porter, consacrer à Soi un passé de traits (traites sages = lait de fée-vache) et coller, coller de près, à une qsorte de .................. mansarde ......... habitacle .............. où pouvoir séjourner afin d'étudier (de base) les données du tréit tel qu'il nous p apparaîot ou nous apparaiotrait le mur du son passé, soiot "après" ........ après le pré paradisiaque, après l'herbe sacrée = Verbe, vers ........ Néné ? il semblerait ! un néné de lait .................. laéit-verbe alloué .......... verbe-navette ! on veut toucher toucher toucher touycher toucher toucher topucher toucher toucher toucher à ce verbe -navette icfi évoqué et qui wserait le Verbe des Données en Herbe, herbe de pré, faisant comme (en quelque sorte) jonction nette, entre d'un côté le Passé, le Passé des traits , et de l'autre .... eh bien, le Passé, le Passé re-né, re-tracé, re-montré, re-venu des trous, des trous rouges ! passé-trait des creux traqués ! On est la fée-bébé , charge -née sur une sorte de "tracé ancré" post-cimetièfre, au-delà du pré. Au-delà du pré , il y &urait ............./............................ eh bé, en vrai ................................ du Verbe , mais ........ genre Verbe de TRa&it ................. Verbe Altier ................. verbe de trait donnant de fait son ëtre de traîne .............................. = une coulé ................................ coulure aimée ............................ mouillure ........................ lait né des laits, des laits de terre ........................... l&it de mère ! ................... on aime ! On est charmée ! ............................... on voulait grave téter eh bé vpoilà que, ça y est, on peut de fait faire ce qu'on éime, s'en donner, boire du laéit = sonder, en vraéi, le corps de mère, son passé nacré, le Verbe porté, les données du VErbe ici consacré et comme adoubé par une mère du coup nourricière , mamelles , seins de fée, chaudes aigues, lait de trait, lait -né dès que tiré ! on aime ! on aime le lait, la bière, les données tracées, le post-cimetière et ce qui est de fait qui nous semble ici nous rezluquer comme "à jamais" on dirait. On aime aller tout près téter . téter d'un tréit ! gloup, la bière ! on v eut : creuser de chez creuser, aaller de chez aller vers ici ce néné, ou néné des termes , ter:mes alloués à une sorte de Donnée dont le nom (de fait) est Verbe , VErbe des Divinités / Déessses, Verbe de trait = Lait = Lait céleste = Déité lactée et autres D2ités aux dsonhées célestes (célébrités) : on aime ! On veut creuser de chez creuser les données célestes, le tracé tracé, l-a Scène, un Piquet de Grève, le Passé chargé, les données Ancienbes mésopotamienhes et même plus lointaines : traits, traits, traits, teaits , teaits , traits , teaits , tréirts des tr&its de bonne couvée et autres tré&its de REIne, car la Mort est REine , mort Haute aux tra&its de Fée , qui sait ? on est née Fée puis devenue Bébé on ne s'arrête plus (plus jamais) de Téter, de Téter Déesse, Mort-Mort des Coulées de Tresse , Tresse de Lait ! traitsb! traiots de lait sortant d'un corps dit "de Haute Mort". mort-Hole, MOrt-Manne, mort Haute- Manne aux Traits donnés. Chose. Porte. Hauite POrte. Porte Haute par où passerr si on veut
"durer de chez durer" en tant que Bébé sachant téter le bon lait de Mère, Mort-mère traquée ? mort-mère allouée à une sorte de Contrée post-herbe = post-pré = post-cimetière. Au-delà des herbesz, herbes vertes, au-delà des tréits d'herbe et autres tréits en herbe de paroi . On a la Foi . On est Bébé -Roi (?) ou pas, mais là ! prête à ça = boire ! boire La Voix ......L...................................................................................... elle .................................... a-ile ? ............................................................................................ on aime ! On s'ewst rapprochée d'un muret à la recherche d'u ne entrée patr où pouvoir paqssszr. C'sest v rai que nous on voulait s ans cesse trouver en vrai une sorte de passage)-né par où "ensemble" (ailes de fée) on aurait pu passer sans se blessser, sans peiner. On cherchéit sur roche ici ou là ledit tracé ou voie d'abord par où, d'un commun accord, on aurait pu en vrai teraverser la roche, d'une sorte de bond raccord, de bond ou saut raccford, et hop ! on ose ! on monte ! on trace ! on cherche , on veut savoir. On est haute, Sorte de ..................................................... Chose : ..................................................................................... corps de mort ? ............. morte ? ................................................... ou &lors :sorte (en soi) de ................... "renouveau" ..................................... dans le sens ici de "mot nouveau" sur Passé de porte. On monte. On ose ! On creuse ! on veut (en vrai) tenter , et du coup s'av ancer, eau plus haut possible, vers Néné qui est (en vrai) ce Néné de piste, Néné-trait de Rive, à pouvoir-devoir (ici) téter, sans ... ne plus s'en soucier en vrai, une fois placée ! On aime téter ! on veut de chez veut, ensembkle, téter ! toucher touycher toucher toycher toucher toucher toycher toucher topucher toucher toucher toucher toucher toycher toucher toucher à ce néné desw "dsonnées divines" = du lait ! lait nacré de première coulée ! lait né ainsi nacré / cendré , pour être av alé ! Lait de Trait-né, charge de féu, son de clocxhe au mieux, Ombre Haute. On veut toucxher à c e qui est ici qui, en vérité, sembleraiot vou:loiur grave nous parler,s' aderessser à nous qui voulons tout, à savoir .... du lait ! car, le lait)-né ainsi tiré ou trait, est un Tout ... doux, Tout (de trait) qui peut sans faute alimenter
Bébé en entier lza plupart du temps. On est né Bébé la mort traversée et laissée de côté, c'est-àdire qu'on renaît, on revient à une sorte de Parole-Forme, Forme-Trait, trait-Forme ou Parole Haute en forme de TRait, Trait tracé acté sur ROcher. On revient = on remonte, on rededevient, on raccrtoche ou non ....... on se raccroche .......... on reprend "du galonn" ..... hop ! haute porte des noms, on monte, spigolon de pôrte, vers, ici, ............... le Son, ................... Son de cloche ou ..... "même son de clochev"........... ton sur ton ..................... "parole parole" ................... Chanson Haute ..........................mont de Bosse et hop, la Chanson , l'air du fond, fond de l'air donné une fois passé, vers ............... le Passé tracé ............................ comme "apporté" via le lait donné ! ça le fait ou le ferait, qui sait ? Qui en vrai sa&it ce qui est ici qui nous apparaitrait une fois "clampsée" ? qyui coonnait la Roche .... de fond en comble ? qui sait naviguer ( en vrai) en cette sorte de ...... Passé de ROche -Porte, porte passée. Qui co nnaît kles rudiments de l'Ombre ? le Passé outré ? la Roche montrée ? le corps assommé ? l'orme ? Qui sait (sur traits) ce qui est qui (de fait) poussseraiot , s'élèverait, germerait , et saurait à nouveau comme nous ...... enfanter ? On chercghe la Fée ! On ne veut pas du tout sombrer, on veut pouvoir durer, tracer en vrai,poussser jusqu'aux nénés au lait, pour (du coup) aller ainsi vers ledit Laiot d'e,nvie ! et du coup avaler ! boire le lait = se donner à , il semblerait, une sqorte de Néné né la mort passée ! Néné né kla mort actée, comme archivée, entérinée, passdée, dépassée. On veut de fait ........ creuser creuser creusqer creuser à cette sorte de Donnée de Rocxhe ! = Passé-Porte ! porte haute d'un pAssévde Roche .......................... on monte ! ...............................................................................................................................................On est passée de fait de l'Autre Côté à la recherche du Passé, on l'a peut-être, au bout du compte, trouvé, il s'appellezrait : Lait, lait de ROche. on a peut-^$etre "compris" des choses, concernant la mort. Qi-u'est-ce qu'on a compris ? une chose haute, porte haute, trou de Roue, base haute d'une sorte en soi de "trou -roue" par où (de fait) passer ............. bout de son nez né (ou re-né) ! il semblerait. On est née Chelou la Mort Actée, c'est vrai ! On veut :
toucher de chez toucher
poussser de chez pousssrr
creuser de chez creuser
essayer de cerner les données prégnantes et &ller "en bande" à la recherche de Passés de base, Passés denses, Passés de france du fait que voilà, notre langue est de là, et, par conséqueznt, semble ici être à ....... nouys attendre ? ou, sinon attendrte , .........................approcher ? On est Bébé (devenue bébé) une fois mort(e) et enterré(e) on dirait. On se dirait qu'en vrai, une fois l'homme mort et enterré, la Fée des Fées r"remonte" haute ! sort du "trait" et, chose, comment, monte, monte haute, laissant derrière elle "les tourments", toutes ces choses des tourments, elle ose-monte ! Elle sort de l'Ombre ! hop ! homme -corps est mort et pourrit dans l'ombre. fée des traits monte et sort et creuse et file et va et cxharge samba ! tralala! danse-transe ! face ! fonce ! trace danse ! transe des voix ! ça balance ! ça balance grave ! voie des voix de l'au-delà ! On est la Fée né ... sur pré la mort passée, on traverse le pré, le pré aux herbes, et , le pré traversé , ainsi "tracé", on vient "buter", "buter contre" .........../........ le néné ! sein lacté ! chose chaude ! du lait ! comme ws'il en pissait ! jet ! jet dru du lait cru ! ça le fait ! c'est pour nous aider ! On veut grave avaler , téter, aspirer, boire le lait on dira le plus frais du néné donné. vue sur le passé . c''st un fait à présent (maintenant) avéré ....... ce dit "trait de lait" ainsi siphonné ! On veut toucher rtoucher touycher toucher toucher toucher toucher, à ce dit néné des données données ! traits très ma rqués , ancfiennetés, ancestralités des données tracées sur piquet de trait ! on veut monter. On veut creuserr. On veut aller hautes, vers ...... la porte , ce tracé de porte ou d'une porte-née tout en haut des hauts. On veut toucher de chez toucher la roche-Chose, Passé-né, POrte Haute, POst-pré de roche, une sorte de donnée de Roche a&insi Sondée via ............... ce tr acé donné, genre Lait de Tréit. On voit tout ça, on monte, on veut savoir les choses d'une sorte de ................................................... voie d'abord haute, ............................................................ porte des portes , ............................................................................................ haute porte des deonnées de roche .......... de Mort-Haute ............................. mort ultime, mort des fins de friche, Mort Maritime .................................................... don .................................... don du front ....................................................................................... un don ................................... don des dons dondaines .................... chanson .................. haute chanson , dondaine du front .......................................................................... pompom .................................................................................................... attrapper pompom ........................... hop .................................................................... don des dons-pompoms de la plus haute époque, genre : le fond ! ............................................................................. on monte ton sur tobn ..................................................alluvions ...................................moisson ............................................................................................................................................... toucher topucher touycher topuycxher toycher toycher toycher topyucher toycher touycher topycher touycher touycher toycher trouycher touycher toucher toycher toycher touycher touycher touycher toucher toucher toycher tyoycher toycher à ce qui donc ici en vrai nous appararît comme pouvant nous informer sur ce qui est la mort passée, à savoirt : le fond ! fond des fonds du Pont !chose haute des données profondes . on est :
fée puis bébé sachant téter le lé&it des Hautes Portes. On veut toucher à e qui est qui, en vrai, nhous mate grave, ne cesse de nous mirer, nous regarde de face et de côté, de tous les côptés sans cessser, sans jamais nous lâcher la moindre seconde ! on se sent épiée ! on se sent surveillée grave ! on a envie de l'envoyer bouler , = de le rejeter, de le laissser tomber ou de le faire taire ! on veut tracer sans se gêner ni être gênée ! on ne veut pas d'un Magister nous guettant sans fin , ni d'un Ministère des Vues-de-près, mais se wsentir ou nhous sentir comme qui dirait "ailée" , sansêtre plus que ça importunée (de préférence). On veut en avancer ""ensemble" ... "dans le français ", en cette langue ici donnée à notre naiosszance, langue de trait qui est donc kle françaéis, et nous dès lors, dès lors que ... cvoilà, on est née fée comme à la retombée sur paroi de roche, on cherche à cerner (sans traîner) ce que pareille "langue de poche" contiendrait en termes de "données profondes" ou de "donné"es donées profondes" ainsi explorées en cette roche attribuée. On veut toucgher à une Vérité de Roche.. ON est d'uxx ! On est deux en Roche en creux. On est les deux qui , en roche, en creux ou comme en creux, veulent sérieusement et vaillamment, toucher de chez toucher à ce dit "secret" qui serait lové ou comme lové en (ici) ce creux, dx'une donnée de porte, donnée forte et haute, traits animaliers = mots de roche centrés , ou mots centréewss de roche, mots -ombre. On est
Fée, qui cgherche Sorte de ................................. traits alloués à un mot en entier , et ce mot est ............................................ ART ? .................... de part en part ? ..................................................... art-mort ? ..................... .............................................................................................................. on ne sait ! ......................................../.... on monte hautes vers, en vrai, ce néné des ombres , afin de oui, aller grave chercher à (de fait) téter de chez téterr ce ...... corps de lait .......... corps d'or ! lait de mort ? ............................................ on veut toucher toucher toucher à c e dit "corps de lait" qui serait .............. le corps de la mort ? de la mort passée ? du passé mort ? du passé mort qui seréiot comme réactivé du fait de la tétee? car, le bébé tétant, le lmait de fait se met à gicler ! c'est , en vrai, pour ainsi dire, le bébé .... quyi fait que la téteée est ! car, si bébé ne peut pas téter, le laéit n''st pas produit en vrai ! il reste à quai ! et du coup ...................................................... la vie .................. ne peut pas re _ venir ici, se re-donner de fait, re-dire son fait, redire les traiots, re-verbaliser .... le Rire , etc. On veut toucher = on veut tracer = on veut creuser = on veut dire ! Dire et rire, les données du ....... vide ? vide parfait ?OOn est ............................ ivres ! Ivres de Rires ! On est les fées ivres, d(un Rire des Rires ! On veut creuser ............................................... ccreuser = jongler = jouer = pousser = aller = centrer = fermer = allouer à une Sommité (l'Hydre) les Données du Rire (du vide parfait ?) il semblerait. On veut toucher à ce qui est qui ici serait ....... du Vide -Rire parfait = le Néné du lait ! trait des traits acidulés ! on veut téter gtéter téter téter téter téter téter téter té&ter gétyezr téter téter téter téter téter à ce néné-né des données du Vide, Vide à lait ! et creuser creuser creuser creuser "sans rire" so n propre tracé, de vie ici post-pré, à la recherche de la vérité , soit de la vérité lactée ! néné né en vie la mort archivée, comme entérinée. Vie nouvelle autoproclamée comme qui dirait, dsu fait que ....... voilà, on est là ! on entre ! on passe un membre, l'autre, tête et corps entier, on monte ! on est née ! née divinisée comme qui dirait = bébé !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! bébé post-pré !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! bébé des bébés !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on veut toucher de chez toucher néné !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! téter de chez téter !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! cerner de chez cerner !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! évoquer ... ce néné du lait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! traits, traits, traits, traits !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on veut creuser de chez creuser ce qui ici est qui se montreraiot sans traîner = ce néné post-pré = ............... mort allouée ! mort tracée ? mort donnée ainsi transformée en une sorte de ... Don de Vie VRaie, rejouée ! On veut toucher toucher toucher toucher toucher troucher toucher toycher toucher rtoycxher rtoucher toucher, à ce dit "néné post-pré" relevant de la vie "rejouée" par la mort meurtrie ! mort de la moprt !
mort en vrai de la mort des prés !
mort de fait de la mort "cendrée"
mort en vréi de Mort-Mort accolée à une sorte de denrée = le lait , lait à profusion pouvant en vrai nous apporter ............. le son ! la clarté d'un son ! musicalité et tracé de fée .................... chanson .............. chansonnette de rondes et autres sons de cloches ! traits tirés ! salubrités ! chants de porte ! sons de roche et autres musiqaues d'approche, d'approche hauvte. oN veut creuser (ensemble) la chose et du coup cerner (au plus près) les données qui ici s'oofrriraient à une sorte de compréhension ... sonore, genre : "rondes", "rondes enfantines et autres comp)tines". On cvompte ! hop, on saute ! le tour est joué ! on veut pouvoir sauter, de roche en roche, sans se blessser, sans y rester, sans faire (aussi ... non plus ?) de simagrées ! On est /................................
re-née ! ............................................................. re-née de fait ........................ comptons ! chantons ! jouons ! allons ! ..................... pistonnons sur roche à la recherche d'une sorte, ici, ............................. de son ! son de roche ! musique de porte ! le tracé sacré est sorte de "tracé sonore" on dirait : muysiqaue des fées ? musique haute ? musique au taquet des données profondes ? on veut trouver ensemble les données, données hautes en musivcalité profonde ! est-ce qu'on pourrait (en vrai) ensemble s'asocier afin de dénicher .......... le trait sonore ! la corde ! trait de corde trezssée ! sonorités raccord, et accvordées, ou comme accordées-raccordées, à une sorte de tracé de porte = p)assage de fée, vers ................. bébé, sachant crier sa faim tenace , son envie de lait ! famine - fermeté ! On veut toucher toucxher toucher tpoucher toucher touycher toycher rtouycher toucher touycher toucher toycher touycher toucher toucxher rtoucher touycher toycher toucher touycher toucher trouycher toucher à ce néné des données profondes post- ombre. On veut en vrai toucher rtoucher touycher toucher touycher toycher touycher toycher toycher toycher rtoucher toycher toucher à ce qui est qui, pour le coup, se montrearait ainsi comme une sorte de "denr"ée haute"............ lait de porte ! lait haut des hauts niveaux ! laitde roche Haute, trait de lait sucré sur POrte Sauvée ! corde ! corde -roche ! cvorde sur ciel-de-roche ! Haute époque , on monte ! on ose ! on creuse ! on est
Sorte de Tracé de Roche sur Passé de trait ...................................................................................... on reg arde ici ce qui est qui, en vréi, semble vouloir (sans traîner) se présenter, décliner son identité et nous parler (de fait) du pays des TRaits et autres Tracés Accentués = Sonorités des Données Vraieszc = chants des Traits ....... ou chants de trait et autres Chants de Bêtes Alloués ... à une sorte de Passé (comme "sillonné"). On regharde, on mate, on se place (ainsi) ici , de telle sorte que, pour insi dire, on veut ça : vivre = revivre ! vivre la Voix ! vivre ensemble ! sourire ! On a envie de pour le coup se retrouver non pas ou plus sur les genoux mais comme "toutes remontées", reboostées , redéployéez, du fait ..... eh bé oui, de ce lait donné, une fois mort et enterré, une fois (en soi) l'homme mort-enterré archivé, place à la fée, fée ailée, sachant voler jusqu'aà ce néné dit "des traits tirés" ..... plein de lait dit "ravigorant" ! etnous voilà dès lors re-née = bébé ou re-bébé ! re-le bébé né ! re-né des tracés sur pieds ! on aime le lait ! onre-naît vrai (en vrai) celle qu'on était avant d'avoir, pour le coup, succombée au présent : cou / caillou / genou / hibou, dans le temps. On revient (ou redevient) Verte ! vert pré ! pré acidulé ! genre : teracé à main levée sur rocxhe cachée ...... fonds des oùmbres, Hautes Ombres des Parois Ornées ............... piorte haute ) d'entrée , vers ce ...................................... néné-né ////////.............. lait de roche ou des rochers ................ lait acidulé des roches gravées ........................ traots de fée .......................................... traits de bêtes de trait .................................................... big bisons ............................... un bison est né, son nom est marqué sur roche des Fées : spigolon, petit patapôn, ombre, sorte d'ombre, ombre des données de roche. Nom tracé = traiots de fée. On monte. M%ontons ! Allons ! touchons à X données "rondes" , de type ........................ néné-né la mort passée ................. lait des laits ................... on ne peut plus s'en passr, on veut grave toucher, toucher de chez toucher, à ce " néné du bout de Roche" .................. anfractuosité profonde. on est la Fée des Roches devenue Bénbé, la POrte (haute) enfin passée ................................... on mùonte haute sur Haut Rocher des Données de Porte ........................ en cohorte !!!!! Haute Époque aux bêtes de roche : bouquetins saints et &autres bouquetines fluides ! le passé ! passé de trait ! on veut compter avant de jouer ! et du cdoup .............. filer filer filer vers ce dit "néné" de la haute époque des temps reculés (très! ) . On ose aller. On ose grave rechercher, ici ou là, les sorte decv"messages-traces" qui, pour ainsi dire, seraient comme posés, à la une à la deux, sur des rochers et augtres sortes de parois "du feu de dieu" à notre (il wsemblerait) adresse ou attention, du fait qu'en effet, les tréitst tracés (bêtes à bon dieu) nous plaisent / intéressent / captivent sans cesse : on aime ! On aime grave les données fermes, données hautes et profondesq. On cherche enwsembkle depuis des années à y comprendre un tantinet en ces choses de roche et autres types de rochers orns$és , soit : qui on est ? à qui on ressemblerait, qau'est-ce que c'est que cette Rocghe Haute ? qui on est en ces quaertiers de Roche Ornée ? est-ce qu'on est "de porte" ? sommes-bnous "bêtes de Somme" ? somme comme ........ une somme ? un SOmme ? somme-sommeil des données ancrées ainsi engoncées ? On veut tracer = on veut creuser. Ce vqu'on est = une donnée ! Ce qu"'on veiut ou voudrait relever (et cerner) = un tracé de traits genre Vérité, sur ................. MORT_OMBRE, MORT-DE -PORTE, MORT-HAUTE et autres ROCHES -NÉES sur terre allouée à pareille advenue gravée, traéits des traits. On est née ......... au Passé dit "de roche ornée". On est comme née ........ sans arrêts ! = re-née à perpétuité : nue / connue ! Nue / vue ! nue / bue ! On odse ! on est haute ! On est de La plus Haute Branche Accorte ! genre :
Malebranche ? branche dx'Ambre ? Ambre d'arbre ? Mâche ? mâche )-d'herbe en branche ? On est le
a Fée des données de base ainsi transvasées ;;;; ............................ en ces qu artiers ! quartiers "denses" aux données intenses. On veut toucher de chez toucher, cerner de chez cerner, aller de chez aller, creuser de chez creuser, pousser de chez pousser, centrer ainsi le Féait Vrai en cette sqorte de Paroi de base, Paroi Roide, à devoir passserr = traverser "ensemble" = ailée ! de préférence ailée, car .............. le Passé en souffrance a (aurait) droit de cité, devrait êttre noté, diffusé, tracé, qui nous (en nous) remonterait de base ......................... et nous requinquerait ............. et (aussi) nous aiderait à ainsi aller ,sans trop tituber ou même merdouiller ................... et du coup tracer ! vers ............. hé hé ................ le Passé "français" ! une la ngue "donnée" = "inculquée", jusqu'aux nénés de lait (emplidelait sucré ! ) . trait ;
TRAIT DES TRAÉITS ! TRAITS ACIDULÉS ! TRAITS DE SAINTETÉ ! CHARGE ALLOUÉE À UNE SORTE DE NÉNÉ COMME UN FAIT EXPRÈS = LAIT , DU LAIT, UN BON PEU DE LAIT, LAIT DE TRAIT POST -PRÉ , A FOISON, BONNE DIFFUSION, MAMÀ MONTÒN ! MONTAGNE DE TRAITS = PLUIE DE LAIT ! S ACHONS TÉTER LE LAIT DE TRAIT ! OSONS ! TÉTONS TÉTON ! SOYOPNS ............. CE DIT "BÉBÉ DE TRAIT" , BÉBÉ-SOMME OU DE SOMME ! ENVOLÉ ! HAU T VOL SUR UN PASSÉ ... DE ROCHE ORNÉE ! CREUSONS ....................................................................... la nécropole des passions (du passé rond) ...................................................................... osons de chez osons tracer ............... pareilles maisons ......................... nécropolisons, le passé re-né ! ...................... en maisons de traéits : maison une, le Pasdsé. Maison deux : les traits. Maison trois : le bébé . Maison quatre : le lait ! M aison cinq : la vie rêvée. Maison six : une sorte de maisonnée pour les jours passés tout enchevêtrés , genre
.......... tente ? Maison sept : ombres portées. Maison huit : ........................................................................................................................................................................ vitalités et autres vituperations aux actions hautes et autres liveraisons de roche ! maison neuf et dernière : le Nom ! nom de scène en herbe, nom des Noms de Roche et autreez noms de bêtes zaltières ! traits de fée sur paroi-colère . On aime ! On veut aller, dire, creuser, chercher, conduire (ici ou là) le dire en ses quartierts et aussi sec les afficher afin que oui, un jour ou l'autre, on puyiisse re-lire ce qui (en vérité) était,, en termes de ouï-dires et autres paroles
lâchées sur pré, prairie fine, champs de blé. On compte, comptines ! on est filles, vrilles, fée des prés ! danses allouées à une sorte de famille ! sainte famille ! traits des traits sur ................. le Passé Nacré ! ancré ? vif ! On veut cerner, ledit vif passé aux allures de Frai ! chair vive ! unee frise ................................. bêtes vives ......................... (en crise) .................. pissent ! pissent que tu pissseras , et puis s'en va ! là ! toucher rtoucher toucher , herbe sacrée = brouter ! dire ^-brouter, aller-monter, faire-caguer, donner-allouer, cerner-saisir, finir et passer = passerr et finir, et du coup ............................. traverserr ........................................... vers ledit pass é ... aux cerises ! Frise ! bhêtes ivres ! bêtes de trait ivres sur muret du pré ! On est née fée en ce champ de blé ! on veut aller (ou on voudrait aller) de l'autre côté, subjuguée ! saoulée ! ivre de traits ! afin cde (pour le coup) trouver à enfin téter, d'un tréit, le lait chelou ! chelou ?
7/3/2024
Onn est ensemble . On veut ensemble essayer de comprendre les données de base. ce qui est et ce qui va. Ce qui se trame etce qui là-bas nous regarde "à toi à moi" sans faire de vagues. On est là ! Là de base pour ça : entrer , toucher, cerner, s'accoler (de rage !) sur piquet, faire ainsi que ce qui nous regarde soit comme "saisi" par notre sorte de Tracé Fini ! charge ! passe d'arme ! On veut grave tracer de chez tracer nos larmes ou ... comment
on pourraiit dire, ici, qui le fasse ? "larmes de Vie" ? On est bénies ! On veut :
dire ce qui est
charger le mulet
tracer de chez tracer
comprendre ensemble les données ... d'une Parade, Parade de Charme, Croisade ! portée large ! des bêtes cendérées sont tra cées comme à main levée tandis q'on passe ..... sur paroi des rages ...... nos ailes courbées comme qui dirait. On est là Face à face face à Dame-Roi / Reine-Sir de s envies tracées. On veut :
dire de chez dire
pousser de chez pousser
passer (ensemble) muscade et hop, le Passév "est né" il semblerait, qui nous donne ses nénés tout ^lein de lait ! on peut rêver ! On est nées fées sur pré nous voilà bgébév ! bgébé ! bébé ! et , de fait, en tant que bébé nouvellement constitué , on s'approche traquet -traquet dudit néné répertorié et qu'est-ce qu'on fait ? on tète tête eznfoncée ! On ne s'arrête plus de téter ! on aime ! ah ce qu'on aime en vrai le lait de mère ! ça le fait ! c'est frais ! acidulé ! on dirait ... de l'herbe ! herbe post-pré, qyui serait du coup (pour nous) une sorte d'atout de première : cou caillou genou et c'rst le terme tel que oui, on voit, on cerne dde fait, terme-né après le pré = bébé ! un bébé est né qui nvitupère ! Il crie sans cesse ! il feut téter ! il ne peut plus patienter ! il veut :
toucher toucher toucher à ce néné post-cimetière : les donnéesv ! les donnnées ! les données ! les données de lait .... et tout ce qui y est accolé , comme :
le Passé, Les Traits des Traits, les Choses Soulefgvées, Le Passé Tracé, les attentes de Tracés tracés. On veut coller, dire et donner, poussserr, charger, se donner et aussi perler ! creuser de chez creuser en termes de données toutesallouées à un passé ici consacré : squi on est = qui on était ! et le tour est joué . On n veut dire dire dire, ce qyi ici se dessine ou se dessinerait de fait = l'hydre. tete avide. qui est qui ? qui chante ? qui rentre en transe et danse et gigote et va ? qui de là ? on entre = on passe = on trace ! on ne lambibne pas, Sacha ! On est donc parties pour ....... descendre ensemble, le Pavé des Lois , la Rue Tremble, PLace Centrale et, là-bas ......... l'Antre Roi, Porte Haute des Voix, une sorte de cohorte et nous voilà toutes accortes , prêtes à ça : entrer là, ailes à soi , sur roche ! On veut :
direc et donner, porter néné à son point d'acmé et téter , téter sans discontinuer : boire du lait de Fée ? qui sait ? on est nous-mêmes fées alors dès lors, que pensezr ? que voir ? que dire qui en vrai dise la vérité dite "des vérités" ? On ne sait de fait. on est née Bébé le muret enfin traversé, le dernier,. On veut toucher à ce Néné du bout du monde, et du coup "centrer" la Chose qui (ici) nous importe :pioint d'entrée = porte = porte haute = haute porte des données "fortes". On est née Bébé ! babyphone ! On veut gueuler de chez gueuler notre envie de lait à tout cassrr ! On ne veut pas passer à côté ! On veut téter le bon lait de l'hydre, de l'hydre Allouée à une ... sorte d'Usine ?? d'usine grise ? usine à sortes de (qui sait ?) produits laitiers ? ou quoi ou qu'est-ce ? IUne sorte de maison vide ? On est entrée ! on a voulu toucher Néné et on y est arrivé on dirait ! On veut coller coller coller collerf et du coup tracer de chez tracer le trait , qui est THE Trait, trait de Fée ! On veut coller à ce Néné d'usine : le téter ! téter l'hydre ! Lait de trait ! miam avaler , et du cfoup .... on serait commev re-née de fait, à une vie nouvellement tracée ......................... dans le passé ? on voudrait grave en avancer et en vrai comprendre, une fois pour toutes (comme qui dirait) les données d'un Tout qui nous attendrait dans la nuit aux Traits ! traits d'ombres ! On monte ! On est nées fée sur pré et nous voilà re-née, post-pré , dans la nuit profonde d'une .... tombe ? tombe à Gnou ? tombe haute ? à genoux les gnous ? On monte ! On veut ....... eh bé oui, creuser de chez creuser (post-rotonde) le Passé , Passé né post-pré, la mort passée. Car, la mort fait long feu qui naît puis cède, et léisse de fait, devant nos yeux, le Passé renaître ! tracé ! être alloué à une siorte de .... bête Vraieb....... genre .......... buflette ? ;;;;;;;;;;...... On cherche ! on ne sait en vrai la bête que c'est, mais voilà, il s'agit d'une bête, à présent on le sait. On est bête (ou bvien bpête) mais quanfd même, on sait, eh bé ... un certain nombre de choses allouées ... à une sorte de fenêtrte .... donnant (de fait) sur ......... Le passé de l'ÊTRE , Passé des Passés. On veut connaître ce Passé de près, ce qu'il tra^ine, ce qu'il porte à son faîte, ce qu'il est, cequ'il charrie (en vrai) en lui. On veut :
dire et prendre, porter à incandescence, allouer à une gente les données tracées, gente animale dite "pariétale". On ne veut plus s'en laisssr conter mais prendre à bras le corps comme qui dirait ..... ce Passé des TRaits ! Lait ! lait ... animalierrr ? ça se pourrait ! lait de vache des prés ? qui sait ? ou alors .... lait entier de Mère amère ? On cherche ! on veut : creuser de chrez creuser les différents termes d'une contrée de type post-muret , post-cimetière, post traîinées sur herbe et autres virevoltes aiutocentrées de fée accorte . Toucher = faire = dire = cgharger, et à présent .... comment ? aller de chez aller (post-cimetière) en direction de ces données de Tertre ! Les Données ! la perle ! le Passé est né qui nous observe ou nous observerait sans traîner ! il nous "aime " ou nous "aimezraoit" , qui sait ? On veut creuser" les termesz, on voudrait (de fait) les creuser ......... sous terre ?? on veut :
dire de chez dire
toucher de chez toucher
creuser le dire alloué à une Sorte de Passé "Splendide", de type "Donnée Acide" = le Passé ! passé ... vide ? une ... usine ? usine du Vide ? On veut :
dire, aller, creuser oui, creuser vif = vive !toucher Néné ! téter de chez téter ....... ce vide ? vide à lait ? on veut ..................................................... cerner de chez cerner une sorte de donnée active et de fait "l'artrraopper" et s'en "gargariser" sans se faire plus que ça suer ! car voilà, on aime ! on aime le laiot ! on aime ça ! on veut làb (post pré) téter ça ! ne plus s'en passsr ........ de ce passé de Soi comme qui dirait ! On est là pourt téter pour ainsi dire à ce bon lait d'un "entre-soi" cfomme "remonté". Qui on est ? on est ............... des données ? ............. des sortes de données de Choix ? ................. poids ? on serait des POids = Buffles-tas ? On voit ça ....... la plaine .......... horizon là-bas = Foioe ! foie de bête ! On croit à ça , à ce qu'on voit, à ce convoi de bêtes-êtresz dites "de la foi en l'Être " ..... mafoi. On veut ;... oh, peut-êttre, être ? Et , de là, devenir ... bête nous-même ? On voit Convoi, on avance, on charge, on monte, on cherche, on est devenues Ombre , ombre desOmnbres ? On veut :
`pousssrr de chez poussrr en nombre, aller de chez aller en nombre, creuser de chez creuser en nombre ..... nombre d'ombres , d'ombres-hommres , homme-ombre ! traits ! traits nés sur un tracé de terre ! On veut :
creuser, dire, pousserr, chargher, aller , faire ainsi que cette contrée devant nous alloué e à une sorte de Passé soit enfin ... v raie, qui nous aiderait à nous y reconnaîtrte et du coup, à en avancer, en ces contrées post-cimetière, post-allée de bière, Tertre, Teretre aux données données et autres faits post-herbe . Le pasdé est passé de tertre ... tertre du Pasdsé. On aime ! on demande Elle , Elle en v rai = V2rité Tracée ......................... on veut toucher = la toucher ! LA Terre ? Toucher terre = passer ? On cherche ! on ne eut pas se laisser faire ! on veut comprendre les dsonnées données. On est là de fait, pour ensemble comprendre ce qui pour le coup nouys regarde ou nous regarderait sans pour autant nous faire trembler d e peur d'y passr . On est nées fée sur pré parce que voilà on est tombée sur ça : l'herbe tracée, cxhamp de traits, bêtes nacrées (sacrées) qui broutaient. et nous de nous y coller à ...... pour le coup, treacer vif une course de fou ! de folle du trou ! trou d'ombre tout au bout = trou des fous et folles par où, du coup, passer porte. On veut :
dire et donner, faire et consacrer, charger et pousssr, aller et tendre, porter sur pieds et comprendre, faire aller, dire ce qui est, poussr son fait et du coup ...... tracer de chez tracer le Verbe Alloué à une sorte de Passé "surnuméraire" = le P assé re-^passé ! re-le Passé-né ! Passé /passé Ou comment dire ce Tr acé , cette "bête", buflettealloué à un post-cimetière aux deonnées creusées .... dans l'herbe : on ne sait ! On veut toucher le nez, la têt, le tracé sur herbe et autres traits de fantaisie grégaire. On est vives et vraies, vives alacrités, charges cendrées, fée des fées, vie louée ! On ne veut plus s'arrêter mais vivement aller jusqu'au tracé dit "des amabilités". Qui donc est-ion en ce vallon ? Une sorte de .........../................................... bébé docte ! le mignon ! la chjose ! Haute ! On est drôle , on est le mignon drôle d'une sorte de Passion ... des CHoses Hautes, genre "melon". On veut :
dire dire dirte dire
êtrte êtte êttre êttre
faire faire faire faire
cgharger chargher charger charger
coller coller colmler coller
cerner cerner cerner cerner
comprendre comprendre comprendre comprendre
consacrer consacrer consacrer concsacrer
Tenir et porter. Aller et centrer. Charger et du coup colmater, la Masse, la Trouée, Passage de Fée, Entrée. On veut (grave) s'harnacher à la rambarde et ne plus lâcher mais .............. cerner de chez cerner les données adjacentes à pareille contrée ! toucher = téter, on sait. On veut comprendre "large", porter louin la charge, situer le fait, cerner de chez cerner d'un trait le Sein de garde,
et du coup ........ téter tendre ! boire l'ambre ! Lait d'été ! bon lait d'ivoire ! Lait sucré-salé d'une mère avouée ! On entre ! on passe ! le pasdsé notoire ! l'embardée ! l'arme blanche ! le Passé de trait est du passé de fée est du passé né comme s'il revenait ....... revenait à la charge et du coup se donnait ...... à boire !!!!!!! lait des laits ! lait des traits ! traits de rage ! rage vraie ! vrai passage et autres faiots de fée ! On est entrée en tant que fée , on est passée, on regarde, on est (comme qui dirait) toute transformée qui nous sommes "changée" en ..... bébé noir ? bébé du soir ? On est passée ! on est entrée ! on est ................................... bÉBÉ DES BÉBÉS SUR PIEDS ! On veut toucher à ce qui est qui dezvant nous pointe "sion nez" ou "nez de base" : le Néné ? on pourrait le penser. On est Bébé du sdoir et à ce titre on veut ......... boire ! grave du lait ! lait de trait ! Lait donné , et hop, de dernière cuvée qyuui sait ? On charge ! On est fée des fées enfin passée, qui (de fait) trace de chez trace un tracé comme alloué à une charge : p ârade ! on entre ! fonçons grave ! montons ! allons ! car, le Passdé de fait, est Passé de base comme "déli vré " de ........ charges lmentales ? mots des bonds, Mots d'ombre et autres mots bde Roche ? Hors !!!!!!!!! Hors du MOnde d'or !!!!!!!!!!!!!!!!!! Passé hors Clause ! On monte . On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à e qui est qui (en vrai) nous mate ou nous lmartterait ou sembkeraiot (gravce) nous mater pour mieux nous amadouer et nous croquer ! mais voilà : on est fée -bébé ou pliutôt bgébé ( = à présent : juste ce bébé tétant) et du coup, on renâcle ! on n''sst pas à genoux face à l'Oracle ! on est pas fou / folle de base ! née Bébé de rage on sait crier ! dire notre fait, notre envie de téter et c'est marre ! le bon lait des larmes ! On veut :
creuser, dire, porter, charger, pissserrt, allouer à une denrée genre le laitb les attributs diversifiés d'une sorte de "Vérité post-mortem" : qui connaît ? qui sait en vrai de quoi il en retournerait si jhamais ? On cherche de près sur pré puis au-delà du pré, en ces régions de "bord de mer" alloué au creux ; au trou d'ombre et autres fosse ... post-porte. O,n veut : faire haute, dire haut, chercher haut, aller haute. On ne veut pas (plus) traîner là, en pareil caniveau des voix , mais haut de cghez haut aller ....... jusqu'au néné du lait afin de téter sans désemparer et s'en gargariser et pas à moitié ! Née pour être ainsi ...... The Baby vif ! tétant d'allant ! se pourléchant devant les babines blanches ! On entre ! On est passée (fée /bébé) de l'autre côté, côté voie lactée, ciel étoilé, chant de fée, volonté ancré, langage ! langagage alloué à une Sommité Traquée ou comme traquée = le Vrai ! la Divinité des Divinité ainsi "reluquée" et nous voilà ................. touchée ? touchée en vrai ? On veut ;:
creuser creuser creuser le Passé, et du coup s'immiscer en cette sorte de contrée du bout des Mondes. Et là, regarder .......... la chose. L'ombre portée ? La sorte de Cohorte Énorme ............ buffkles au taquet ? buffles des préqs ? bufflettes cendrées et autres bêtes de trait ? On dirait ! On veut toucher ou on voudraiyt tpucher à ette bête-né, à ce tracé, dit "des fées" , et autres gravures dessinées comme à main levée sutr paroi des fées. On veut creuser = dire = vivre ! charger = centrer s-on dire et pousssr de chez poussser afibn de pénérttrer de fait ledit passé des données du Vivre, qui sait ! On veut toucher........... parce qu'on veut vivre = poursuyivre . On ne veut pas (du tout) en finir .... mais , en vrai, continuer, aller plus avant de fait, tracer trait des traits et ...... ma&ter de chez mater le Passé de Frise . On est née Bébé ...................................... la mort archivée. On a regardeé le Néné et on s'est placé ...... de façon à voilà, pouvoir s ans frais téter de chez téter p areil ... mamelon "montón". On veut avaler , boire, ingurgiter, pareil lait ..... de frise ? et du coup : grossir ! grandir ! s'élever ! aller sur pieds courir, gambader, sautiller, fré mir ! On est le bébé dit ! on veut de fait c erner le Vif et le Motif ! On ne veut plus
se laissser berner, méis aller ./.......................................................................................... pouser poussser poussser ........................... dire dire dirte ................................. creuser creuser creuser .......................................... porter porter porter ..................................... monter monter monter .................... et du coup cerner, co:mprendre , saisir, faire eainsi acte de présence en ce Passé "de FRance " !!!!!!!!!!!!!!! hé ! en vrai, il sembleraiot , car ......... né en France ...................... porté ............... ficelé ................... enclavé ......................... vivement la Transe , et qu'on s'en balance ! tracer = dire = charger = construire = donner , à soi-mpême, ce dit "lait des termes" = vérités du trait et autres vérités tracés sur herbe et au-delà de l'herbe ..... post-muret . On veut toucher à ce qui est qui ................ se présente en vrai, sous nos yeux comme éberlués : ........ un Néné ! et nous d'y aller ......... à le tetér de chez téter en vrai ! lait ! lait de trait ! boire le lait de cette sorte de Néné dudit Passé hors Cimet!ière ..... din gue ! On voiudrait tout ça de fait le cerner sans s'y perdre. Qui on est la mort acté ? et déjà dans la vie : le Père ? le Vit ? la terre ? de la terre de vie ? Ver de terre ? traits nés ? charge fière ? volonté des 4 volontés et autres volontés premières ? une sorte de Perte en herbe ? un V ? la lettree V ? une bière ? sorte de Chassé)-croisé avec, ici ....... le Passé retreacé ? On cgherche ! homme cendré ? femme céleste ? On voudrait .................. se rapprocher sans frais des données entières et creuser, les creuser en vrai, les mieux situer et les mieux connaîttre si tzant est. On est la Fée du tertre comme qui dirait. On veut aller, foncer, permettre, situer, charger, porter, metttrre, se donner et colmater le VErbe ou VerbevTroué ....... car, on dirait que (de fait) le Verbe ....... est cfomme "troué" par ................... mèfle ... le Passé ! oh, ça se pourrait ! on cherche ! on veut grave situer ensemble un $certain ombre de do nnées de base et du coup : treacer = ezn avancer (en vrai) dans les "connaissabnces patentes" d'un ciel étoilé. Car, le ciel est là, devant soi, qui nous apparaît, nous parle ou nous parlerait , nous donnerait de quoi "situer", "porter", "aller", sans se retourner (ou avoir à, de fait , se retourner). On veut touchger ................Étoile d'Ambre , Étoile -TRait, charge sale ou sinon sale comme un peu salie du fait de l'ambre . On veut :
dire et donner de fait
aller et porter loin
les données du trait ..................................................................... enfibn ! VCar, on erst née bébé la mort passée = on renaît = on revient = on se remet sur pieds sur terre allouée à une sorte de chemin "des f"ée""s ou des "données tracées" . On veut coller , et dè§s lors se poster ...... contre. Contre le muret dit "des finalités". Et de là; traverser, passsr, vers .... le Passé de TRait , l'Ombre, l'Ombre d'homme ? on ne sait ! juste une Ombrev ? on ne sxait ! On est fée devenue bébé, la nuit venue ! après le pré du hjour, le Néné -nuit des abats-jours. On veut creuser de chez creuser ledit Passé aux acidités, et y aller, de fait, sans trainer, vers pareille donnée donnée aux traits alloués .........../............................. aimer
Aimer ce qui ici est, qui sembke nous ....... aimer ? en retoiur ! On pourrait le penser. Car, vois l'ambre ! vois le doigt ! vois la branche d'arbrte ! la paroi des voix et autres passes d'armes ! vois et fais, de fait, ce que de droit tu dois , à savoir ............................................................................................................................................................... téter ! .................... téter néné dit "du passé" ! ..................... ne te laisse pas aller ! ................ tète le ... veRbe -Creux ! .................................. olé ! ............................ cherche sans tarder à bien téter le lait de ....... l'herbe -vraie ! et tu seras ............ heu-reux ! heu-reux bébé des voix ! le (la) bébé né(e) des feux du Creux ! ................... = le Passé . Et nous de nous y replonger comme en apnée comme qui dirait ! feu ! allez !
filons !
traçons ... "mamelon" ! ne trainaillons pas mais geagnons grave sur p areille voie menant à l'au-delà d'une sorte de paroi de Rage ! LA PAROI ! Paroi "strange" mais voilà : on avance ! on va ! on en avance ! on voit ce qu'on voit qui va et ne nouys laisse pas en branle , mais .................................................................................... donne de soi ............ lait de voix ............................ laoit d'ombre ................... la (ma) foi des données hautresc .................................... dite "de porte" ! On monte. On veut toucher de fait les données perlées, et du coup grave tracer sur pieds ... les données genrées ! homme / gfemme ddes allées, femme / homme autoproclamées ça fait son effet ! On veut tracer k'hominidité des données genrées de type Feminité auto-allouée sur pré dépassé . On est née Fée (on était genré ....) sur pré des traits, nous voici comme ... dé-genré de fait, passé le muret, sur Néné ! bébé ! bvébé-nuit ! bébé tétant néné au lait la nuit. tracer = dire = faire = charger = donner .............. et aller de cherz aller vers une sorte de donnée acide.... dont le nom serait : Placide ! ohé ! on peut inventer ! Les traits situés soont traits de cire ! pâte à traits ! faussetés de cire = vies tracées comme vraioes quand de fait , les vies données, ici, sur pré, sqont ........................................ pour ai,nsi dire .../................. vides ! faussetés ! vivacités ! mais vivacités ............. n'est pas Vie en vrai ! Vivacités des Vivacités ............................. n''st pas vie vive telle qu'espérée p ar , de fait, Divcinité. On veut creuser = donner = trzacer = charger = donner (de fait) les données de base ..... à une Déité Notoire = Divine Moitié ? la Semblable ? l'âme allouée à une sorte de "Corps entier" , qui serait ....... la trace ! Le pasdsé de cgharge ! l'amporté des emportés de rage ! Un "passé -charme", genre .................... une portée ! bêtes consacrées ! ribambellisées ! On ne sait ! On trace, on monte, on avance, on charge. on veut toucher touycher toucher toucher à une sorte de corolle du temps passé, sorte innée. Et nous d'y aaller ...... de notre sorte de ...... rechercvhe folle (affolée) de termes avérés ! On cherche ! On veut creuser creuser creuser de fait un certain ombre vde "données de tertre", tertre)-né post-pré, post-cimetière celte, hors tracés de pré, d'herbesz vertes. Hors = en dehors, de cette sorte de .............. Roche Haute ! Roche_porte . Hors des bonds et autres sauts de bêtes-mots. le ;:Passé est du Passé de trop ! On monte. On veut en vrai akler, jusqu'au plus haut tracé, direction néné, et du coup : téter, téter, téter, téter, téter , téter, téter, téter, téter , téter, téter , téter, téter , téter , téter, téter, téter, téter téter, téter, téter, téter, téter, téter, téter, téter , téter, téter
, téter ,téter , téter , téter, téter, téter , téter , térter sans s'arrêter, le lait frais, entier, acidulé, du néné tracé ! treait ! trait étoilé ! trait des teaits squr ciel sacré ! On veut gracve cerner (ensemble) les données du trait .............. pour mieux situer , de fait, où on est, en tant que bébé né dans un post-pré aux données lactées. Voie des fées ? voies des ombres portées ? traits sur traits et le tour est joué ? re-lecture dure ? re-le passdé tracé ? re-la vie rude ? le trait alloué à une sorte d'aventure diurne ? On est Bébé, Bébé de trait. On est le b ébé -né d'une sorte de Passage Roide. On est le Bébé-né des idées noires. On est passé ............................................................................... t^te froide ! ......................................................................................................... vers le Lait , Lait de FAme ! trace ! t rait ! naissance ! le passé, en ... France- souffranc"'e, ....................... re-levé ! ................................. la danse .......................... transe en branle ..................., et du coup : la Chance ? ....................................... on veut espérer. On veut toucher , donner et prendre, et auusi comprendre, ce qui donc de base est à espérer, à chercher à comprendre, à vouloir pour soi en ces extrémités. On veut ça ! la transe ! le passé reconvoqué sezrait, dès lors, du passé de charge = traits de fée , forces mentales, pensées, parade franche et autres danses au pied levé : la chance ! bal de traitsz ! bises et bisonnées se tapent la maille ! On veut grave cerner (ensemble) les données, données franches et auttres types de données-siouffrances, vives alacrités, charges de fée, financesz./ On est lA fée devezbnue Bébé une fois passée par ce dit muret "des finalités" ... prairiales. sorte de Passé de Fame = Re-nommée des envies de transe. on entere !on entrte ensemble ! On veut creuser (ensemble) le passé, qui en vr&i serait (deux points, ouvrez les guiillemets) :
"du passé dense"
"du p assé de trait"
"paqssé né en france"
" passé -pré ? "
" p assdé comme "actualisé" en termes de "souffrance" ici re-alloouées"
On veut toucher de chez toucher à ce Passév des Connivences et autres Confidences Sacrées ! et tracer : dessiner! beêtes Rares, Aurochnodoïtées des fo(mes animalves, bouquetinerie fronrtale pariétale ancestreale . puits ! Puits sans fond du Paradis ! On entre ! On veut .......................................................................... sans déconner ...................................... oh , sa$ns déconner ............................................................................ aller, filer, foncer, vibrer, courir, pistonner de chez pistonner sans jamais trembler , aller de chez aller, faire ainsi tracé, coller aux dires sacrés d'un tracé de vie, chanter ! chanter vif (vive) les données du Rire. ET du cfoup : envoyer ! faire son effet ! charger , charger de fait, tracer ! dire ce qui est qui est, ne pas traîner, ne pas se laisserr démonter, ne pas (jamais) se laiiser traverser par des (sortes de) pensées qui (de fait) ne wseraient pas tout -à fait ...... célestes ? Oh ! peut-être ! on cherche ! on ne sait ! On est fé -être, = à la fêzte car ...................................................... transformée ......... de fait, en bébé , le mur (dernier) passé et hop ! on tète ! tête première ! lait de l'herbe ................ça fouette ! c'est corsé ! pas pour les mauviettes ! ça envoie sa crème et son petit lait comme un fait exprès ! c'est l'herbe du pré qui fait Trait ! Qui imprègne. On est née le Bébé des Herbesz ! On veut creuser Néné = Téter ........ sans frais, le bon lait de l'herbe .......... du pré carré ! On aime ! On monte ! On ose ! On est fée de bosse d'Ombre, et on cherche ! qui on est ? les données Vertes, le Passé en Selle, une soerte de tracé, sans Verbe, ici gravé ............. germes, germes d'herbe. Unre graine. un mot-graine surr paroi des motqs. On monte haute ................. haute roche ....................................le niveau !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ça porte ! ça envoiue des mots , ça lorgne ! .................................................... vois le niveau ! monte ! colle !va là et reste là sans faute ! ...................................................................................................... on est hautes , hautes de chez hautes. On est hautes de chez hautes fortes. On est Bébé post-pré , sachant téter inné ! On est bouche-trait sur sein donné de lait. sachant grave téter de chez téter le Beau Néné empli de lait sucré ! mare nostrum et autre collostrum acidulé du Néné Donné. On est née Bébé la mort "traversée". On re-naît , hé ! vérité ! ça le fzait ! on est passée de chez passée .................................................... à travers le muret (la murette de pierrree) et nous voilà toute "remontée" qui cherchons le TErme, Mot d'herbe (Verbe) à decvoir cerner = mémorisezr pour l'Éternité (il sembklerait) ........... mais voilà ............. ce termes ............. où il est . quel esty-il en vrai ? est-ce un termes en toutes lettres ? ou bien : signe étoilé ? verbe-nacré ? vent de sable ? on entre ensemble ! fées ;;;;;;;;;;; on enttre ;;;;;;;;;;;; fée des fées ;;;;;;;;;;;;;;;;;;;; fée devenue quoi, devenue bébé dit "des lois" ;;;;;;;; croix de bois ! chants sardes ! peuplades de rage ! Passé-trait et voilà les faits ! On veut toucher à ce qui est qui ici se présente à nos mains donnés et autres yeux éber;lués ..................... la Rage ? Le treacé de RAge ? Passé re-tracé sur place ? un passé chasse un passé ? le passé des transes ? On est comme envolées ............ hop, effacées ? On entre ! on veut comprendre alors voi:là on entre en ......................... la paroi des transes ! On est née Fée de Fra,nce ? oh, France / navarres ,
on s'en balance de ! On est .............. (grave) ................ mentales : qui dit mieux , ou dirait mieux question "parade", "jeux", "creux" ? On Passe ! charge "sale" ! feu ! Cherchons (à deux) les do nnées de rage et .................................. vite ! fuyons ! ne cherchons pas davantage ! allons ! Le mot est rond ! la Chose est haute, qui nous voit volante, montante, essaya,nt (de base) de tracer sur roche, qui sait, un sentier, sentier d'approche, de montée profonde" ....././ et autrtes recherches hautes. fée-bébé ! ça le fait ! on est née .........../...................................................................... eh bé ......................................... post-mortem .........................; bébé ! ................................ re ............................... re ............................. re ................................................. re ............................ re areu ..................................... recommencements "heureucx" ...................................... retracés de base ................................................................. re-balancements de charge ............................. re)-livraison "hard" ................................................ voeux pieux ............................................ amandes .............. noueuds ...........;;;;............................................................ noeuds d'amandes au mieux .......................................................... re .........................................../....................... re le temps miteux ../.......................... l'ensemencement des creux ............................. on veut :
être Verbe, faire Celte, toucher pied, Tracer de chez tracer, creuser treait et autres "treacés de Fée", se donner corps et âe aux Saintesz Sacrées et Autres Saintes Surnuméraires des Hautes Contrées. Faire = donner = dire = froncer = coller = charger, charger ivre ! dire vif ! porter ! creuser ! allouer à un Rire une sorte (en vrai) de Dire Cerné, de type ....................... souveraineté des Tracés Cupides ! le charnier ? loa vie passée ? vie et contrevie et autres vies "salées" ? On veut toucher en cvrai la vie passée , soit ............ le passé Nacré ! = l'entre-vies ................................. paradisiaque ? = pré de rage ? herbes en folioe ? bêtes de taille ? cris d'envie ? on charge ! On est née fée, en promenade sur un pré , et ... on regarde les bêtes (comme nous ?) passer ........ traces ! craies ! bousculades ! débordements de rage sur paroi ornée ! faceà nez ! mains outrées ! mains des mains sur main des mains ! une sorte de .... passé de mains ! sur paroi de fée. Chants latins. porte d'entrée. sainteté ! chants sacrés et autres cris de faim : ouin !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ouiiiiinnnn !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on a faim !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! grave faim !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! faim de lait sucré -salé !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! sans déconner ! on est ...................... les affamées des traits sur par(oi des fées ! Et on veut .................passer passer passr ....................... v ers : le Néné, des Contrées dernières ...... outre-muret .................. post-cimetière, mort enterrée, aller, filer, traverser le dernier muret, direction .......... tertre ! tertre ! tertre au néné ? tertre des tertres eet ..... le Néné re-naît qui pourrait (ferme) nous donner son lait et du coup nous calmer, nous satisfaire, nous alimenter et nous donner de quoi .......... tracer de chez tracer .................. le trait de l'herbe = Verbe ! le français (ici) sur pied ferme, et voilà le trait ! Chose Alloué Surnuméraire : terme-né , le Terme des traits , genre le passé ........................... "recomposé" ! hé ! dingue ! On veut :
aller, aller , pôrter, dire, aller, porter, dire , sonder,; aller, porter, dire, sonder, aller , aller ,
creuser et sartisfaire nos envies de l;ait en tant que bébé, bébé né post-pré (après le cimetière) à jamais ....... ou sinon à jamù&is .......... un certyain temps patent, de terme à terme , vibrant, sondant, creusant, pistonnant et s'alignant ainsi face aux Roches Transies et autres Murs de Bosse : paradis. On monte. on est hautes. On aime l'ombre .... ou sinon l'iombre, l'es données hautesz ............... = profondes. On monte sur Roche et hop ..... direction la noce ! fêzte et rondes ! une sqorte de nouba sur grotte , Paroles ! On monte. qui on est on est le g&ébé né , bébé -sonde. On veut téter.
que. On ne veut que ça ! téter en ces bras-là ...../........ de la Diva ! Roche Haute ! trait de porte. On veut en vrai creuser sans se soucier de qui de quoi est né sur pré ou pas ........... car, nous, ............ on veut avant tout, ....../....... teter le Néné né du trou ! lait de gnou ! Lait frais .....................sucré-salé on dirait .......................... jus nacré ................................. coulrzereait en nos gosiers ... de bébé-né ............................................ la mort dépassée. On est la Fée chantée : hibou caillou genou, et nous voilà toute trans-formée en bébé -né du fond des prés ! calculé ! situé ! sachant (grave) prendre le néné et téter comme une sorte de ........... bébé de trait, hé ! on dirait ! ça m arche ! On est (on serait) de base animale quoique ! Ou alors quoi ? la Rage ? passe d'ambre ? une sorte de (en soi ?) passé de base .......... qui remonte large, reviendrait de rage refaire surface ? On entre = on entend = on comprend = on cerne = on trace = on file = on tresse = on trie = on est la Fille Fée des Vies Tracées sur ROche Ornée ............ dezvenue Bébé à la traversée de la mort Donnée (comme s'il en pleuvait, qui sait ?). On est passée nue .......... hé, cul nu ! bébé -trait ...... vers les Nues Étoilées d'un ciel donné ............... velue ? ................... poilue ? ..................... cornues ? /.............................................................................................Montons haute sur roche VUe, alloons de bosse en bosse et tétons "Roche du Cru", aux données fortes : lait alloué à une sorte de .................... passé Lacté de type Lait ! Lait de trait ! lait de mère-née, mère Salutaiore . On veut creuser = dire = cendrer = charger = construyire = filer = piousserr = chanter = perdurer = donner ........................................... afin de nous "instruire" ................. sur, ici, ce qui est ................................... qui nous regarderait .................. sans discontinuer : qui c''st ? le druide ? le Passé "fluide" ? le Passé "outré" ? La Vive Clarté des DObnnées Tacites ? un passé de trait ? l"emportée des emportées qui nous avalaerait d'un trait ........ gloups ? ezt nous .... hum, roterait, dans la foulé ? On est née fée sur pré (une fois mort et enterré) et à présent le temps, le temps de l'enfant, l'ensemencement. On est touchée ! on est grave touchée. On ea envie de tout balancer on dirait parce que voilà, on est grave touchée icio-bas, sur pré-pré soit en ces contrées des données terrestrtes ... françaisesq (ici françaises). On est comme une sorte de Fée Marraine .................................... en germe ! terme ! date du terme ferme ! Aloons donc ! creusons de passion ! chargeons-butons ! eesayons de raison, de tracer (creuser) Roche ................ du front ! coup s forts ! sortes de coups forts sur Pierre d'effort. On est bêtes-corps. On veut (hautement) passer mentalement ................. la Paroi Ornée d'une Groote Ajourée . Et du coup .................. le pré , nous y retrouver ! et là : chanter salé ! creuser sentier ! s'en donner à coeur hjoie des données de base ! aimer ! s'accoupler ! se donner de charme et toucher Traces ! creuser = cendrer !
pousssr de chez pousssr ensemble "" la Romance = le passé du pré ! avant ledit passé post -pré = Lait ! L ait frais en conformité. On aimeraiot ............../././...................... allert aller aller, chanter chanter chanter , dire de chez dire ici (paroi) la Niche des Fois, Fois en ce qui est "en face" ..................................... la Muraillme Ultime ................................................. "m aritime" ........................................................................ mer des traits de rage ..........vaguesc ...................................................................................... vagues des plageS ........................................... on tyrace ........................................... on aimerait = on voudraoit = on espère ............................ pôuvoir de fait, aller sur tracé ...................... v ers ce Néné des Elfes, Néné Né à la tracversée et nous voilà cfomme alimentéez "de pied ferme" ! on aime ! on veut ! on est Bébé Heureux / heureuse post-sentier ... aux herbesz vertes , et du coup ..... on tète , tête première, Lait de ferme ........... lait enteier non -écrémé ............... ;lait chaud "de ta mère" .................. du "tuyau" .................................... lait nacré des hauts ................ grave (de fait) coté , soit méga-coté question qualité ! lait frais ! lait nacré sacré ! ancré de chez ancré en cxe Néné ... des Contrées Célestesc : le Passé ! car , lme Passé est .....................c éleste ................................ il sembkerait ! cherche ! cherchge à cerner = dessiner.............. le Passé en herbe ............... et tu sauras tracer sur pied les données du VErbe ............. tel qu'il est "en sainteté" ........ son "être" .............. wses longueurs de traîne ............... son (propre) passé de Verbe "inné" soit "alloué" soit "donné" soit "porté"" par (il semblerait) un ciel sacréb = le Terme = date fixée , accrochée, située, comme tracée sur une sorte de ................. treait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! d'herbe verte !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! près pré ! et ça le fait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! herbe verte = trait des traits ........ des donnéesq du Verbe ! Verbe alloué ! verbe "cendré" , de type ............................ termes ! termes tracés ! On veut :
aimer, dire, sonder, construire, poussser, creuser, chyercher, aller, commencer à en vrai tracer une sorte de cxhemin "de fuite", chemin "fluide" sur Passé de Tire. On est la Fée Intime, celllle qui est née , ici, fille, sur praieie des filtres, et voilà là qu'on se voit à , il semblerait, vouloir de fait , aller là-bas, voie des Rois, Reines de Saba ou quoi ? reines et Rois des Foies, entrailles des Sages. On voit ! on voit q uoi ? on voit un Convoi ! de bêtes sardesz ......./........../............... des envois de masse ! .......?......................... ch arges d'antre ! ......................... poids de croix ............................ on trace = on avance = on va = on monte = on s'envole ! on est hautes car, on monte haute ! on s'accroche ! on ne lâche pas (plus) la paroi de Porte. On veut ça :
LA VOIX !
VOIX DE BOIS !
TRAIT DE RAGE SUR PAROI D'EN FACE = LA VOIE .....................OÙ POUVOIR (DE SOI) PASSER NEZ / TREAIT / DOIGT DE FÉE ...... On voit ! on voit là la voie, l'(entrée, le trait ... d'une sorte d'entrée pour fée acidulée telle qu'on est de fait, il semblerait, en vrai. On est ................................................ lettrée ................................ hé ! ../.................. .............?.?.....?............................................ fée ,-comme lettreée ? .................................... faite de données données de type : termes ? lettres ornées ? trans-identités marquées, gravées, tracées ? On cherche ! On est comme toutrzsx"retournées" de nous savoirv (enfin) passées, ou comme passées, à travers ! on nje pensait pas y arriver .... eh bé si ! tracées = passées ! on pouvait le pensqer ! On est née fée traccée ...................... à la craie ? ..................... sur paroi de Roche-Porte, née = vue = nue !
On est nue-fée, sur ........................................ pré-passé ! ............................................ prtête à traverser (à nouveau) d'un trait , le muret des fées " , dit "muret des fées" car ....................... posté, haut posté, hors du pré, pour un passage accordé aux (ou des) fées alloués à pareille copntrée enclavée ............. v ers ..............le Passé dit "surnuméraire", aux données l actées ! sein de lait ! sainte ! sainteté lactée comlme affirmée et avalisée par ........... qui sait ? .............. un TERAIT ? TRAIT DES TRAITS ? ............. trait ferme;.............?.????.?......................../.................................................................................... trait des traits comme alloué à une sorte de "germe imberbe", nouveau-né, genre "bébé-germe", petits pieds. On veut toucher de chez toucher ce germe , cette graine ici centrée , trait des treaéits sur herbe verte auto-proclamée, ou disons ............... auto-postée .............. auto-centrée .................. prête à traverser ce dernier muret dit "du cimetière" et gagner de fait l'esopace"derrière" : ..........//./............. mère ! ............................... mer amère .................. mère née ................................................... aux données lactées ............ mer de lait ............................... qui c'est ? Déité ? "Mort-Mort-Mort des Traéits" ou dite telle ? Une s ommité Maternelle ? matérielle ? Sommité vdes Sommités Ancrées ? Verbe ? Verbe D'aile ? Une Sorte (en vrazi) de Verbe Tracé de type Ailes ? éai:les de fée ? car, le Verbe seréit ..... treait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! trait allouée à une sorte de .............; p)aire ................... paire d'ailes ! ailes de fé ! fée des fées ! On aime ! on like grave" ! on veut :
dire de chez dire ce passé dit "surnuméraire"
cxharger grave kles données du verbe, verbe dit "imberbe"
sonder de chz sonder les termes du passé Nacré
poussszr la Porte des Toilettres et aller pissser
toucher néné pour Téter de fait le Lait Entier
creuser freuser creuser d'un trait d'un seul .... ledit "Passé des Finalités" il sembleréait
Chercher querelle ! à qui ? au Trait ! tRait très traqué, du fait que voilà ............. on a traversé l'ultime (der des ders) parois vive ....... vers là-bas, la Rive, Le Passé de Rive , Trait deesx foiesz .................. voie et voix ...................... le langage- )trace ....................... d'une sorte de "charade " ..... sarde ?. On voit ç a : la panse . Le néné "de France" ! lait tracé ........... la planche ................. on est née (re-née) bébé ............. de l'Aiutre Côté, cherchant Lait à pouvoir téter sans désemparer ! car, on aime (grave) le lait ! on le vénère ! on ne v eut pas rester de fait sans pouvoir téter , mais , grave de chrz grave, bnous alimenter à même ce Néné dit "surnuméraire" : passé remonté, sainte Chapelle, un trait est un treait "qui nous appelle" (ou semblezraoit) en tant qu'il seraiyt .... liié au Verbe ! Verbe d'ailes ! Trait des traits au milieu des ailkes = Verbe -Treait donné ........... des doonnées imbervbes .................. d'un (d'une : sorte de) nouveau-né post -pré............... saint sourcier ............. On aime ! on dit qu'on aime ! On veut :
creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creiuser crsreuser creuser cdreuser creuser creuser , dce qui est, ce qui nous plaît, sur ce dit "tertre" des données dernières . On ne veut pas se laissser faire ! on veut (grave) tracer, foncer, faire de fait les choses qui nous plaisent (en ces quartiers) et seulement après ................... cxhehercher, chercher en vrai ce qui ici nous semble, ou semblerait être , ........ à devoir chercher en priorité ....... le Nénév ? Sein donnév ? lait ? On dit (de fait) que le Pis est né post-mortem.................................(Spi ?) ..................?........ est-cve vrai ? est-ce ? est-ce une Vérité tout ce qu'il y a de plus vrai ? Ça reste à prouver iul semblerait. On cherche. On ne cesdse de chercher. On a grave envie eznsemble (ailes) de trouver et, une fois cela fait, une fois ma foi qu'on aura trouvé, on pourra ......... traverser ce Tertre, Passé Des Traiotsz, ce post-cimetière aux Données Célestesxs .................... traits sur traits : une étoile est née ! vé ! comme ça le fait ! dingue ! oh, on aime ! on veut être ........................... eh bé , dans les tuyaux ! et mieux connaître ... Dieu, D2esse, Déeeses ... et ses soeurs et frères, Mots de TRop et Porte Haute des Données profondes hors mots. On est:
fée des traits un temps, puis : bhébé des bébés-nés sur Passé de trait ! dingue ! On aime ! On veuit :
dire dire dire dire dsiredire dire dire dire dire dire dire dsire dired iore dire dire dire dire dire dire dire dire xdire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire vdirevdireccxdire dire dire vdire direb dire dire dire dire dire dire dired dievdired dire dire dire dire direvdire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire diore dire dsiren dsire direb dirednire dire dired idrer dire dire dsire dire dire dire dire dire dire dsiree bdire dire dire dire dsire dsire dsire sire bsireb dsiredc dire dire dsire dire dire dire de chez dire le dire du dire , et dès lors creuser, creuser de chez creuser , le dire "outré", trait des tréts, trait germé, entre ...... deux passés comme "prsésentés" en ces contrées dites "pré" ........... du fait que .......... oui , ici, ................... ubn pré précède le Pasdsé , qui lui même précède ................ un pré .................. il semblerait . On veut toucher , on vgeut téter, on veut du lait ! vive le lait , le lait entier ! lait de vie donné ! vive le lait ! vive la vie ! et , en vrai, le lait de vie ! On vfeut (de fait) vivre sa vie ..... de type "lactée" à jamais ! re-commencer , re- re - reà jamais téter............. le lait frais ............... de la vie lactée ! on veut :
donner donner donner donner, creuser creuiser creuser, creuser, chargercharger cxharger charger, dire dire dire dire, sonder sonder sonder sonder, porter porter porter porter , décidet décider décider décider et dès lçrs s'immiscer , en douce (on dirait en douce), en ces contrées dites "des finalités", ........................................... sweins de trait .................................................................................................... sein donné ........................... ............................................. seinn-s des seins donnéews ........................ et téter ;, téter , téter, téter sans discontinuer , afin de bien s'alimenter pour pouvoir perdurer en termes de vitalité. Téter = porter ......... porter = téter. Trait ! Traiot porté des données hautes . On monte . On veut creuser, dire et sonder, charger, soulever, comprendre, cerner au plus près les données de bhranche. On est née "La Fée du pré" la mort actée, nous voiulà devebnue bébé le mur du fond (du son ?) passé .... sachant téter et ne s'en privant pas ô grand jamais, car, on aime ça ! grave ! On raffiole de ça ! on adore ! grave de chez grave ici on aime ça : téter vrai le passé lacté, Termes frais, MOts de crème et chrème ! oint et ouiiiiiiin ............... on aime ! on cherche ! oh on cherche .............. le néné né du sein Donné ! ......... afin de OUI
téter de chez téter
lait des laits donnés = herbe = verbe (comme qui dirait) et ça le fait (un trait : trait d'herbve !.
Fée nacrée, fée des fêtes, fée d'herbe, fée des fées devient de fait au passage alloué .................................. sorte de B2B2 surnuméraire ............. du passé ! un bébé du passé revenant sur terre ? On peut rêver ! on aime ! on aime l'idée ! on cherche ! on veut ....................................................................... erner cerner cernerf cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner cerner erner cerner cerner cerner cerner cerncerncerner vcerner cerner cerncer cerner cerner derner cerner cerner cernerr cerner cerner cerner cderner cerner cerner cerner cerner cdeerner cerner cerner cerner cerner cernerv cerner cernercerner cerner cerner cerner dener cernercdener cerner ernercernerrcdenercerner dernerv cerner cerner cerner cerner cerner cerner de chez cerner ledit sein donnév = dessiner, sur roche ornée, le tr&acé donné ds'une sqorte de "rotondité" olé olé de type ............................... néné ! néné à lait , à pour le coup téter en tant qu'on est , de fait, un / une Bébébé )-)-né(e) sur terre "brûlée" des données en herbe ! tertre ! tertre alloué à une infinité (iun infini) de dires étagés ......................... tracés .......................... alignés ............................................ tenus .................................. sur ciel en vue ! On est ................... nue ...............................; née ............................. vue .................................. au Passé des traits" ........................... = connue ! ............................. à jamais, par , il semblerait, sorte de D2ité des D2ités, de Type ................................................................./....... Trait ? trait des traits ? et , qu'est-ce que ça serait ? une sorte de .... tiret, entre deux moitiés ? genre .................... corps de fée ? .................................. genre "trait des traits" alloués ... à une sorte de ............................ "tracés de fée" ? .................................................................................................. on ne sait ................................................................................................................................................................................. mon dieu.
4/3/2025
On veut comprendre = descendre = passer = enttrer = faire = chercher ici et là , "de l'aiutre côté" , une sorte de "manière" ... afin de (pour le coup) TRACER de chesz tracer un trait = vitesse ! Vitesse "des prés" ... on aime ! On veut toucher à ce Néné post-pré et pour ce faire il faut "tracer " = dessiner et filer ... à fond la caisse comme qui dirait. On a envie en vrai de ... dessiner les termes d'une sorte de (en fait) charge de terre = pelletée, pour recouvrir ... le Verbe ? le tracé alloué à des termes "vrais" : mots de bêtrs ? On cherche ! on cherche ici et là à dessioner ce terme, dont voilà, on cherche ensemble, ou on rechercherait ensemble, "toi et moi", une sorte de définition ,
de définition ,
de définirtion "parfaite" ! on cherche ! On ne veut pas lâcher ! on veut toucher à ce qui est qui dit
La Vérité telle q'elle est ou serait sous nos yeux de fées. On veut toucher à ce Néné du bout du monde, post-pré, post prairie fleurie et habitée
de bêtes = bêtes-vies. On veut :
dire ce qyui est ici,, qui nous accompagne et noius regarde ,
dire ce qui est qui ici nous regarde
et nous accompagne, bêtes des prés, bêtes-mots de Rage, on enttre ! on veut toucher à ce Néné (post-pré) des "Contrées lointaines" hors paysages (il sembklerait !) et aller. Dire et toucher. Faire et mesurer. Chercher de cghez chercher ensemble post-muret, les donnnées de base. Qui on est . A quoi on ressemble post-muret. qu'est-ce qu'on veut trouver"qui le fassse"". Sommes -nous des "fées de rage" ou alors ..... bêtes-traits ? traits tracés à mzin levée sur face pariétale ? On veut creuser ensembvle ce muret des Chances, passer, passer ense mble = allouer à un passage une sorte de "Persévérance" incroyable ! Qui on est, et aussi : ce qui est qui , en nous, nous pousse ou poussserait à vouloir entrer .... qu'rst-ce que c'est . On avance , on trace, on file, on monte, on creuse, on trace de chez trace le muret d'en face,, fin de pré des Rages et autres colères tenaces (contre Déité La mort de base ? ). on commence ... le treacé :
traits, trais des traits, traits de charge, bêtesallouées à une sorte de "Parade Cendrée" ! On est nées fées en ce paysage, des prairies
des prés
des prairies touchées, des prairies aux fé"ées
des prairies aux couleurs vives et autres
couleurs acides. On veut :
dire dire dire dire dire dire dire ici et là ce qui nous habite en fait de croyances en ... eh bé, disons, la Rage, ici, de dire en vie ce quyi nous rassemble , nous réunit, nous assemble .... ailes de vie ! vie des vies ! Charge mentale d'une sorte d'envie en nouds "emboutie" ! On passe ! On creuse large . On veut toucher à ce Ramage, Bois de base . On veut :
dire et dire vif, aller en ce pré et coiurir sans traîner, vers ce dit "muret des Alacrités" . Charger. Si possible cgharger = foncer = passer = passer vif ce muret des traits et nous retrouvrer , en tant quye fée ailée, de l'Autre Côté, à regarder -mirer, chercher de chez chercher ici et là quelques vérités, traits tracés , objets, données .... qui nous enseigneraient ou nous renseiegneraient sur ce que c'est que cce dit "P assé" ... à venir ! CAr, on sait, on devine, on se doute fort, on veut, on est fines, on veut cerner mais voilà on sait, on voit, on ose ensemble ici et là, toucher la paroi .... et du coup Passer (trépasserr ?) , passer vives ... de l'autre côté, côté "vivres " = Passé, les vivres du Passé = le Lait ? offrande à la MOrtl-Déité des Données de Roche. On veut toucher à ce Néné des Ordres. ON est de"ux .......... on est en vrai (en soi : fée) deux ! deux aiIles de feu, deux par deux on ose, on est dieux de Bosse, dieux De Rage Rosse ! Fée des données hautes , genre Dieux de Bosse Haéute. Dieux de s Feux des tracés de Roche. On veut :
dire, haut et fort, ce tracé tracé, dessiner , graver , D2ité ! Déité des D2ité ! Dieux-déessses vraies ! charges à trait ! creuser = creuser = creuser = creuserv = creuser = creuserv , les données de Rovche, et de Rocher. Qui on est ? On est Fée -déesess allouée à une sorte de ..... Tresse ? Trois fils entrezcroisés sur pré et ça le ferait pour en vrai nous aider à (ici) trépassser sans vraiment passer ! on cherche ! on est née sur pré à la retiombée sans se casser le bout du nez mais un peu remuée, quand même, mais enfin on cherche ! on ne trai^ne pas, on trace, on avance, on voit, on voit ça : la Trace, sur Par'oi, d'une sorte , en soi, de "parade" , "parade étrange", faite ici et là de Bêtes de CHarme et autres Bêtes-mots de base. On voit Convoi (ou ce convoi) en face ! la PArade aux Charmes ! treaits de voix ! cris d'effroi ! un chant sarde ou pas mais ça envoit des masses ! tralalalalalala sur paroi, ça chante ! ça creuse la Foi ! ça ne lésinhe pas sur les enviois ! mains de maintenance ! maintenance en transe ! on danse ! on voit là ce convoi des phrases ... de toundra ! bêtes de paroi ! Bêtes vives et autres la la la des Rives ! On voit ça . On ne veut pas lâcher le tas mais ... tracer = passer = entrer = se retyrouver ainsio "ailée" de l'autre côté, côté rocher, à gambader ainszi accompagnée par X
b^tes de Trait qui nous observe ou nous observeraient, semblent nous observer ou sembleraient , et nous .... de même . On mate la Bête, on la meate grave, on avance. On cherche passage, passage de fée entre bêtes de trait .... on trace. oN veut comprendre ici ce paysage ce qu'il est en vvv'ai, en termes de données premières. Qu'est-ce que c'est donc, que ce opré aux herbes ? qu'est-ce que c'est que cette herbe verte ? qu'es-ce que c'est que ce Verbe ÊTRE ici décliné ... au passé ? on cherchje ! on veut trouver-toucher, cerner les données, creuser de chez creuser le Vezrbe, et y aller de notre Théorème Princier ... car, en vrai, les donées du Verbe ÊTRE sont données "fermes" . On sait ce qui est. on est nées fées eyt en vrai on sait , que, voilà, là, les bêtes de paroi, sont bhêtes de hjoie = je ! je = joie et joie = je ! On veut aller , aller et tracer, sur pré Alloué à une sorte de "tracé des FEux" ! On est : fée des fées ! trait des traits ! creux / creuses ...... et on court sur cours ! On veut .............................................................. dire de chez dire, ici (pré) ce qui est qui est, en termes de données de fée :
- le passé devant : qu'est)-ce que c'est.
- le présent des présentsc: ce que c'est.
- la hjoie allouée (à une sorte ici de pré, ou de prairie cendrées) : qu'est-ce que c'est en vrai.
On veut :
aller vive (vivre ?) , dire, creuser et plonger, plonger ivre , ivre de chez ivre ... en ce p assé "de frise" = le Passé post-pré ! la vive clarté insoumise ! lr Passé post pré... est passé de frise ... est passé de Trait ! On veut :
dire dire dire dire ici (le trait) ce qui est quyi est, de fait, pour une fée. On veut :
ensemble toucher à cettte frise ici des dires et autres tréits de vérirté. Le passé lacté ? le passé aux nénés ? le passé au lait ? passé-lait de tire et autres traites vives ? traits ? On est ivres ! ivres de lait ! ivres en vrai de lait de pis ! on veut :
creuser creuser creuser creuser, et téter téter téter téter .... pis que pendre ? les données données ou comment ; téter .... téter le néné, téter dur Néné, pour mieux s'alimenter ..... aller, creuser = vibrer, dire, charger = constryuire. On veut ................................. dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire ce qui est, en vrai, qui (de fait) nous attire , là, en ses filets dorés! drîoles de dires ! on va y passer ! on va clampsezr ! on va trépasser ! on va disoparâitre d'un trait ..... de RAge Cendré, si jamais. Mais voilà ............. on est la Fée dite "du PAs" ! On ne veut pas , on ne traîne pas, on ne lambine pas, on ne se -laisse pas aller à se laisser toucher comme ça, par, là, le OPasséRoi ! on ne veut pas de ça, Cerise ! On veut ........................ "poussserr à deux ""'" la Chose Permise, ou comment dire ? Aller = poussser, = faire = creuser et du coup passer, passer de l'autre côté mais, de fait, sans trépassser, sans y passer en vrai, sans devoir succomber à jamais ! frise ! et, on touche la Touche ! on veut : à deux, aller, dire et passer, et mater de chez mater ... eh bé, un certain nombre de données de fait, à savoir :
un trait = un trait de fée
un signe alloué = un signe alloué au taquet
Creuser = faire = donner = charfger = toucher à ce qui est ici post-muret, à savoir ........ un néné, qui sait ? plein de lait sucré ça le fait, et nous d'y aller, d'e s'y vautrer , de s'y coller, de s'y donner pour en vréai téter (mort haute) Lait Des Morts et MOrtes ? oh ..................... on monte ! On veut haut les Hauts de Roche atteindre, de Haut ! Toucxgher-creuser ! Téter haut le SEin des Hauts. On est kla F2e en vrai du Haut Niveau, sachant grave ... prendre Cavale ! On est ............................ fée de trait ! cgharge mentale ! trait ! roche cernée ! On est la fée des données hautes toutes lactées (étoilées ?) et on ose ! on ose alller , aller creuser et dire et charger, dire kles données, creuser grave un sentier, charger de chez chazrger telle porte d'entrée ! de rotonde vraie. on veut :
allouer, à une sorte d'éternité (contrée), kles données de Roche : bisons futés et autres Bêtes Grosses (de trait et de somme). On veut toucher à ce néné du bout du monde et le téter sans discontinuer ..... à la ronde ou comment ça serait de fait ? à l'ombre ? On veut .... aller de chez aller, dire de chez dire, tracer de chez tracer, percer de chez percer, combler de lait notre IRE Enjouée ! colère vive ancrée, sang placé, trait des tra&its sur paroi mobile (comique ?) . On veut :
toucher ivre ce tracé de bile , colère vive, sang glacé , et tracer de chhez tracer cette ire à jamais , sur roche allouée de grotte divine ou sinon divine ... vitrine ! On veut : dire dire dire en vrai, les données nées ! sur roche de pré ! creuser ! creuser-allouer à une sorte de muret (de fin de pré) un certain ombre vde données de frise ............ genre "animalières". Le Passé est Animalieer . Serait ? On cherche !!!!!! On n'arrête pas de chercgher et de mater et d'eesayer de nous
et d'eesayer de nous y reconnaître en ces drôles de contrées en herbe ! qu'est-ce quye c'est que l'herbe ? des treaits ! Que sont ces traits dont vous parlez ? des fées ! oh o h .... et si c'eétait vrai , et pas faux ? On monte haut. On veut atteindre le plus haiut niveau des données cde l'herbe , herbe verte, traits de fée sur pré. On veut : toucher de chez toucher .... le Verbe comme qui dirait ! mais, est-ce qu'on peut en v rai toucher .... le Verbe ? est ce que le erbe en vrai peut être trouché ? qu'est-ce que ce'est que ce dit "blème" des données du Verbe ainsi pprésenté ? on ne sait ! On est fée tracée, on cherche, on regarde ce qui est qui est près, on cherche l'entrée ! On est cfommpe il sembklerait dans un cilmetière aux données vertes. grises cendrées mais aussi vertes comme les prés. Car, oui, on est passées, on s'est comme retrouvées sur un pré, à devoir brouter (sans rtraîner) de l'herbe ! herbe verte des prés alloués à ce treacé de Verbe. Genre Herbe en Herbe ..... Herbe VErte sans frais. On aime ! on aime brouter comme on aime téter. On aime aller ! cghercher du lait à la ferme d'à côté ou de proximité il sembklerait : veau de trait ! vcache à lait ! colère ! sainteté ! une adresse : le Passé !!!! Passé né après .... c'esst-à-dire , après le pré, post-pré si vous préférerz , car voilà, le Passé esrt ce TRacé aux fées post--pré en herbe ................... verbe ........................ passé-VErbe ...................... un passdé de VERbe ! va -et-vient du verbe au sein des données, données Hautes ....................................... de Haute PORTE ! On est :
fée des fées, fées allouées à une sorte de dsonnée donnée, fée des fêtes et autres joyeusetés, fée d'herbe ou même fée en herbe . Un tracé. Une sorte de trait = brin d'herbe ajouré. On veut creuser le Erbe dans sa chair ... de fait accolée à une sorte de ... peau ttracée ........ dessinée ............ ou même imaginée par une fée dite "des prés" , qui sait ? On aime aller, on creuse des traits, on trace grave son sentier, on entre ! On a grave envie ensemble, d'y aller sans traîner soit sans lambiuner, creuser de chez creuser son ambre, tracer son tracé-sentier, fgagner là-haut haut les Trembles = le P assé du Haut, Haut Niveau ...... la Chyance ! On veut allker ensemble = ailée ....... judsqu'au dit "Passé des Données intendses", dites "Intenses Données de la CHance et du Passé de TRait". Creuser = dire, et dire = creuser. Creuser Fossé , dire le fait , comme quoi le VRai est ............................ dudire de LAit ! lait de rtrait ! lait frais ! lairt de vache à lait ! non écrémé ! On veut :
dire ce qsui est, voir ce qui se voit, faire ainsi que des données de base noius soient révélées et à tout jamais si tant est ....... ; on vibre ! on veut creuser .... eh bé quoi le Rire ! ici, aux données vives ! RIRE-TRAIT ET AUTRES JOYEUSETÉS , QUI SAIT ?On veut : rire de chez rire = tracer = creuser = foncer , à toutes enjambées, vers du dire frais ! = vérités des cvérités , des 4 vérités (décomptées) et autres vérités des Vérités. On veut toucher toucher toucher à ce qui est icfi qaui semblerait vouloir (de fait) nous parh$ler de faits que nous saurions (en vrai) tracer )- dessiner (nous) dans la foulée ..... il semblerait ......... car, on est, on sezrait, on serait des ....... qui savent tracer , dessiner)-graver, ce qui est qui est en termes de ................ vis-)à -vis ....................... visages alloués .................... faces vraies ............................................. En effet, on pourrait (pour ainsi dire) dessiner-graver , en vrai, les données récoltées ......... en nos sortes d'embardées nacrées ..................... trabnses de fée ............................ transes-danses sur pré ................................. récolter, et dès lors vite tracer pour mémoriser .......................... les données du Vivre , VIvre VIte , ainsi rencontré post-mure t des Dires ........................................... toucgher = faire = centrer = creuser = faire = centrer = charger = poussser = allouer à une Entité Donnée un "titre" d'étrangeté, et autres bizarrerie de trait. On veut toucher touycher toucher, de chez toucher toucher toucher, et aussi creuser creuser creuser, de chez creuser creuser creuser, mais aussi allervaller laller aller, de chez aller aller aller , et du coup : tracer ! grave trracer ! creuser sillon de données = sentier , jusqu'aux dits "nénés alloués à une Sommité" .... genre déité des déités, Déessse-née post-pré (hors cimetière) en Pays de Bière ! LAit ! lait donné, perlé. On veut creuser. on voudrait aller. on veut toucgher. On voudrait cerner en vrai ;;;
......................../
quelques faits vrais s'il en est ............ et on sezrait du coup complètement ok, de fait, car comblée , soit comblée de lait, lait sucré , sucré-salé, qui saurait grave en vrai nous satsifaire et peut-être même nous complaire ! complaire-combler. ON veut toucher Néné du Lait sans trop tarder dès que née sur pied ! traite ! tétée ! s'alimenter de fait ! aimezr ! lécher ainsi le lait de l'herbe" = le VErbe ! VCerbe-trait faisant (comme qui dirait) la Navette .... à toi à moi ..... de là à là ...... verbe-Navette ........ verbe de la Foi en l'Être ! nouba ! tralala ! chants celtes ! la paroi en joie ! une sorte de fête de voix ! on voit ça ! ça chante la la la la transe ! ça encvoie du bois ... de charme, et autrezs bois
de bonne combustion, genre .... mélèzes ? bois des chataîgnes ? bois-de chêne ? On voit là le bois brûler sa graisse ! On veut ça : la jhoie ! la belle colère ! Le ÇAA, le Moi, le sur-moi de Tresse, l'envoi deSoi, la Tresse vAncienne et le TRacé comme vfaisant Foi sur Trait de Perte. On voit :
La chose de Soi = l'envoi
La tresse = la voix
Le ciel = l'émoi
On est : bête, bête-maîtresse des contrées du verbe = pré de choix, post-paroi, en ce cimetière. On veut de fait .......... creuser de chez creuser (en vrai) notre propre voix qui serait la voix des par(ois du Verbe" , et au-delà ...... la Haute Plaine, le Tracé des bois, la lointzaine CHaîne, là-bas, Voie des Voies. On veut connaître. On veut toucher-connaître cette voie afin ici de (pour le coup) passer le genou, la tête, bras en fête, pieds de traîne, le cucu celte ! On est nues ! n ues de chez nues ! cul nu / Vertes ! on aime ! on aime (grave) être nues , et tracer de base vers, .................................................................................. au large, ................................. la mer .............................. lezs vagues ................................... vagues vagues .................................. vaguement nacrées comme qui dirait ....................... et autres traits lactés il semblerait ................... mer de lait ? ................... laiot de mèrehâlée ? ............................................................................. on ne sait ! ................................ on cherche , on recherche, on s'emploie de base à ici chercher (en vrai) ce qui est qui est, en termes de ............ "néné des nénés" et autres termes ............... termes de traits .......... traits fermes et autres traits post-cimetière des données en herbe ! ça le fait ! on est ELLES ........ CELLES QUI ............ CELLES-LÀ QUI, DE FAIT .............. SAVENT TRACER-TRAQUER .......... LE VERBE ËZTRE ............... EN SES MULTIPLES CONJUGALITÉS VERTES ! ........ OU QUOI OU QU'EST-CE EN VRAI ? CAR, .......... le Passé est dit Passé car il est Pas assez Pour ainsi dire. Pas a sserz "vivant" aux yeux du premier rang ! On veut.......... eh bé oui ........ toucgher de chez toucher ...... le sang ......... les données ancrées (et encrées) dans le sang ................................... fluides alloués ! teraits tracés ! vélléités ! On veut :
tracer tracer tracer tracer
creuser creuser creuser
dire dire dire le vrai
charger = donner = faire = aller,
sur son petit baudet, à la recherche de la Vérité ou Vérité Vraie des DonnéesUltimes , genrre ........... frise ! frise du Rire ça défrise ! hé ! qui sait ? on veut ..... et toucher et dire = toucher-dire .... le Passé du Rire = LAIT ! lait trait ! trait de lait tombant pile en ce gosier ! on veut téter ! creuser d'un trait le SEin donné = tracer = boire = chzrarger = vivre vite .... ces donées dites "de frise" et autres "parades vites". On veuut :
faire -toucher et toucher-faire, les données du verbe . Allouer à une Sommité des Termes, les dites "4 Vérités" du Verbe. Que sont -elles ? eh bien ......... on diraiot ........ on se laisserait en vrai aller à penser .................. que de fait ................. les Vérités ici relatées .............. 4 Vérités ............................ sont celles qui ; en fait ; concerneraient de près ............ le pré ! l'herbe ! l'herbe verte post -mur d'entrée ! herbe)-verbe au débotté ! et autres traits des traits alloués à un pré, en termes de ............ brins des brins ............. d'herbe-verbe tracée ........ Un pré est un pré .................. = pré cendré ................................ pré-tracé des Finalités post-muret ........................... une av$cancée verte ................ un avant-scène (une?) et voilà le fait ! On veut toucher , soit creuser, la terre cendrée et du coup cerner;, cerner -tracer les données de fait les plus actuelles concernant le VErbe , ce qu'il est , en termes de données certainesz ! On cherche ! on avance "ensembkle". On est "de la bande". On est grave ensembkle (ailées) ... "de la bande". On veut .......... toucgher toucher toucher à ce qui est devant, qui ......... nous ressemble ? nous ressembleraient, partant ! nous regarderait et nous ressembklerait, qui sait ? On veut : dire de chez dire nottre sentiment, et ainsi fait, l'écrire noir sur blanc sur pareille "frise du firmament" ..... Charme d'Ambre ! un parent / une parente ! on entre ! on veut ici et là comprendre le Tourment, Tourbillon de base, le sel de sa Racde ou comment (comment ça) de face, la Paroi, soit l'Étrange Voix ... des Chants de la Rage ! On cherche ensembke : née ! deux ailes de trait comme qyui dirait et ça serait
ce qui nous distingue, en termes de traits . On veut :
dire et toucher
cerner dur, co:mprendre le mur
les données de base
le Passé est une Entité
Il s'agit de le comprendre .... à jamais, via ...... le Passé ! le Passé réitéré ... en face, tracé. On est née fée comme à la parade. On voulait toucher à une bête sage ("bison des fées") nous voilà comme décentrée, décalée voire écartée , qui ne pouvons en vrai ...... toucher de chrz toucher, à cette (donc) bête de base, bête-trait ou bête de trait.... qui nous regarde ! Mèfle , ça fait suer, qu'on ne puisse en vrai la toucher , la rtoucher en vrai, juste la toucher pour (de fait) nous rendre à l'évidence que , en vrai , la Bête de La Roche Haute est bête de Trait, dite .... pré-porte, enclavée, comme "emmurée" en cette Contrée de la Dite "Roche De Grotte". On veut / voudrait cerner la chose et cela à jamais car voilà.... on est montée ! on a volé ! on a volé haut ! haute porte ... des données hautes ! On veut / voudrait de fait, cerner pareils faits qui nous sezraient montrés une fois passée ... ou : le nez (la tête ?) passé (et passée ) ? On est BHête de TRAit / fée ............................. bête (à deux têtes) de trait. On est fée ailée (deux ailes) / bête de trait (deux têtes) .... ça le fait de fait ! on est ailée , .... sur Passé Tracé derrière .......... derrière pareil muret .............. qui nous fait fête ............ sous le nez ! tracé-né la mort dépassée, archivée, entérinée. On veut grave ensemble dire, dire-cerbner, les données du Rire tel que trimballé de l'autre côté on dirait. On veut / on voudrait ........................................ de fait ................................. cpomprendre ce Rire ............................... toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touchercvtoucher touchger topucher toucher toucher toucher vtoucher toucher toucher touchervtoucher rtoucher toucher toucher toucher toucherv touchervtouchertopuchervctouchervtoucher trouchervtoucherctoucherctoucher touchervtouycherctouchervctrouchercvtouchervctoucherctoucherctoucherctroucherctoucher troucherctouchervtouchercvtoucher touycher toychercvtouycherctoucxhervtouycherctouycherctoucherctoucherctoucxherctoucherctoucherctouchercvtouycherctoucherctoucherctyouchercyoucgherctoychercvtouycherctouycherctyoucherctouycherctouycherctoycherctouychercvtoycherctoucherctoychervctoycherctouycgerctouychervtoychercvtoucgherttctouchervtouycher touycher croucher touycherctoucherctouchervtouychervtouchertoucherctouchertvtouycherctoucherfctouycher touychercrtouycherctoucher troucherctoucherc toucher toucherc tyoucherctoucgerrtiyupouycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucherctoucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher touchervtoucher toucher toucher toucdher toucher toucher toucher toucherv toucher touycher toucher à ce qui est qui en cvrai nous "regardre" ou nous "regardeeait" (depuis la mort) en face ! Mort de base = l'après-mort ? ce qui se passe ou se présente "après la mort", en termes de Parade , de Passage, de TRaces, de Dires de Rage. Post-pré = les contrées situées derrière le muret = hors du pré ! des données prairilaes . On veut :
toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher = faire toc ! sur Passé post-roche ! haute Porte ! traverser le gué, nous faufiler, niouys immiscer traquet-traquet et du coup passer vers ..... ledit Paszé aux Nénés A imés . Plein de LAit ! hé ! et téter ! téter = toucher, forcé ! on ne peut de fait téter sans toucher, voilà l'acmé ! Si vous voulez en vrai ou pour de vrai téter (téter du lait) vous devez, IMMANQUABLEMENT, toucher ce Néné dit "Néné des Nénés" du Dire ... Alloué au lait ! verbe de trait (pour ainsi dire) . Lait-Verbe vrai dxes données ultimes (post-pré = post -muret = post-herbves cendrées ) . On veut creuser d'un trait (d(un trait d'un seul !) la Chyarge Sacrée = le Passé re-né, lait de frai, Haute Parole des Données Profondes ................ on vouydrait / on veut ..... eh bé oui tracer ou même : creuser , un fossé, une tombe, trou de basse-fosse oùu de fait pouvoir , ainsi ailée, eh bé non ................................. pas du tout du tout s'y enterrer mais pouvoir depuis lui s'envoler = prendre envol de fée ;;;;; Aller de chez aller vers Ciel Étoilé aux données hautes , hors tombe ! hors tracé de poste pour Éternité terrée. On ne veut pas (jamais!) se mettre ainsi collée à une roche -tombemais aller, soit nous envoler, faire ainsi tracé, de Termes Alloués à une sorte de Montée des MOntées accortes .......................... multiplicité des données de roche, tri, portes hautes soiht portes de Coche ! à toucher dès lors , = toquer ! On veut (on voudrait) aller, situer, faire , donner, sentir, vibrer, charger, soulever de près, consentir à ici cerner (en cvrai) les données dernières, qui seraient ........... premières ! une absurdité ? théatre de fées ? on cherche ! on est njée fée pour aller de fait commùe rechezrcher (chercher) un terme : finalité et verbe ! Le tracé tracé ! la charge fondée ! le creuset ! le Chrême, Carême, Quarantaine ! trait des traits du PAssé-dondaine ! le Passdé du Trait est une sorte de Donnée de Bière ............ mais sans bière ! étrangeté ! trait des traits : poème ? on le saurait ! On veut cocher = cerner, = dire = faire = vivre ................................... tout un tas de choses vives ! LA toundra, LA p aroi, LA roche de Haute-Voix, LA parade des Voix et autres Chants de l'au-delà ! l'entre-soi de l'antre à soi ! PARADI DE RAGe ! passoire ! On entre ! on est fée d'a
mbre . Une âme ? Soi de rage ? poids ? bête-poids squr pré de branche ? Une sorte de Passe-voie ? d'aide au passage ? passe-trace ? On entre. On veut comprendre = dire = aller = chercher = passer ...................... le passé de L''Hydre ........... ainsi rencontrée . Une sorte de PAssé du Rire (gros rire) déclamé .... et ce vserait le Rire ici alloué à une sorte de Contrée Traquée ...... post-pré .................. au lait donné .................... une coulée ou même giclée de lait de trait ! lait non -écrémé d'un sein de ......... fée des fées ? on ne sait ! à qui ce sein est, que nous ne saurioons voir ! qui connaît ? qui connaiît son fait ? la chose nacrée, lait de trait post-muret et nous (fées ailées) nous serions rassasiées pour ainsi dire .... à tout jamais ? on est La Fée au Lait, du fait (ou de ce fait) et on est ELLES ................ELLES DONN2ES ...................................................ELLES = DES DONNÉES, DES DONNÉES EN VRAI À EXPLORER, À CONSIDÉRER, DONNÉES PREMIÈRES, DONNÉES-VERBE . On est Fée-donnée, ou alors ... donnée des données / fée ? O,n est sur pied prête à nous envoler jusqu'au-delà de l'herbe szoit du cimetière ! merde ! on aime voler ! pourquoi en vrai on s'en priverait ! on aime grave aller, monter, cerner, chercher, comprendre, soulever néné, le bien situer / placer , entre nos lèvres (balbutiantes) de bébé ailé , ange posté, angelot post-pré, angelote allouée à une sorte de Néné de POche , POche Haute = VEntre d'Ambre , Porte (de La mort Haute) "seconde" .................... xweconde des secondes ............................................... sous le vent de roche ................................................................................................soit : La mort morte ? = VIE = re-vie ? ................../....................................... re ...................................................................... re- le feu /.........................re l'envie ....................... re le noeud des données rudes et du coup l'aventure , ici, d'une vie "d'allure" ............................... huuuuu ! ........................................ huuuu coco de bure ! ........................................ huuuuuuuuuu l'a:mi ! .......................... vibre ! court ! monte ! saute ! va ! charge ! foncxe dans le tas de ladite bande et charge , sur paroi, ta flalmmme ! on y croit ! on y croit ensemble ! =
AILES de TRAIT ! tayaut ! ambre ! boyau ! charge mentale ! trait de faux ! porte sarde ! on entre ..................................................................... on est "ensemble" un couple de ch arges .................................. charges d'âmes ................................... vie , ......................................... vile vie ,........................... vie vile ............................................... assoupie ................................ envie vive de vies viles ......................................... pour la vie ! ........../................................................... ambre ......... âme ............. antre ............... ancre ............... arme .................. astre ..................... lait des fées à devoir téter le mur passé, à savoir ici : ce tracé = paradis centré ! ....................................... chgarger = donner = faire = dire = allouer à une Entité genre D2ité (MORT OLÉ OLÉ) la Parole Haute de La Fée de ROche + le Verbe tr acé, ancré, in-cul-qué en cette sorte ( en soi ) de poche de Roche .......... foi ! FOI ou foie ! .................. on monte ! on remonte ! on veut de fait aller sur roche (ici) creuser les tr&its .......... d'une sorte de donnée de fait, donnée docte, qui dirait en vréi ce qui (sur la mort : dessus) est, qui nous apparaitrarit si on poiuvait comme qui dirait traverser pour de vraéi le muret des murets , celui des fins de pré (pré = p aradis) et qui nhous est donné à (en fait) mater de chez m ater, pour y trouver .............. eh bé ............. pâr où nous .......... nous infiltrer ...... passzr ................ passer de biais ou pas de biais mais, en vrai, ................ treaverser de chez travezrser ....... afin de gagner ......... lA rive Finale, le Passé initial ? le dit post-pré aux données "cruciales" ........... CHANCE ..................... CHANCE-TRANSE ................. CHANCEDES ANTRES ................. et du coup comprendre (à jamais ?) ce que la Chance ici reprrésente, en termes de données centrales, patentes , patentes et ancestrales, à devoir cerner et deécortiquer, qui sait ? par la bande ...... ça se pourrazit ! On c
herche ensemble (ensemble = ailée ) à du cfoup .... cerner = détourrer ........ le Passé de CHambre, Musique -née, musicalité des données lactées (?) : la transe ? on veut téter-aimer, charger de lait notre (sorte de) "panse des données", et se requinquer sans plus tarder car, ............. la faim tenaille, qui nous fait crier, hurler, pleurer comme jamais ! et du coup ................... perler, suer, rougir, nous époumoner ............. nous faire envahir ! Car, de fait, bébé né post-pré, on sait grave criezr-hurler, nous imposer ! On est l'affamée-fée des données dernières (situées) en herbe postherbe. On veut grave eh bé téter c'est vrai ! du coup : hurlements de loup / louve ! le Passé armé ! La roche traversée ! KLe pasdsé est du dire-né, genre VErbe de treait, Verbe-herbe (?) consacrée = saluée par (on dirait) l'Être aux tracés de bêtes b(bêtes-traits ou de trait) sur pierre. On veut / on voudrait........................... aimer l'herbe à jamais : creuser ! brouter sur pré.... nhe plus s'en éloigner , ou : ne plus s'éloigner "pour de vrai" , de ce pré aux herbes vertes . Mais : toucher toucher toucher toucher toucher touycher toucher toucher toucher toucher toucher = brouter broutezr brouter brouter brouter brouter brouter briouter brouter brouter brouter brouter ... herbe du pré "centenaire" ou "multi-centenaire" ..../ "millénaire" ? multi-millénaire" ? c'est possiblement vrai ! car , lo'herbe, l'herbe verte, l'herbe-verbe , est ......................... tagadagada ........................ roulements des voix .................................................................................................................................................. : verbe -voix ................................. dite "de l'Au-Delà" ...................................... dsorte de "tralala" incommensurable et même indéfinissable car, voilà, le VErbe-Voix (venant de l'au)-delà) est cette trace sur oparoi , que l'homme / femme , la femme/ homme des PArois, cxharge (de Soi ) ;;;;;;;;;;;............................................ et (pouyr ainsi dire) "envoie ,...... adresse , .................. poste là : paroi de Soi .................................. vers ELLE .....................................................................aILE ......................................AILES DES AILES ................................................. "tralala", des re-naissances post paroi, et même au-delà, post paroi paradisuaque = toundra ? post-toundra ? post-transe ? post-vacxances ? On entre en cetantre des données de Rage, Rage en soi, et ........... on en avance .......... on trace grave ! on veut : comprendre-espérer, dire-saluer, charger-visiter, poussser-convaindcre, saturer de traits les données en herbe, traits de vfée, traits d'herbe, herbe des données en herbe. Le Passé est une dr
ôle de "contrée déserte ", ...... qui serait .......... Mer / mère ? le Pasdsé ancré , ainsi déplissé : vaguelettes, sur poste à galette ! le Passé Ancré ancré en ces contrées de ..... HOMMelette/ FEMMElette, aux données de trait : somme rondelette : Un passé craché ! traits ! traits ancrés ! masques de fée ! On veut (on voudrait) :
toucher de chez toucxher
cerner dev chez cerner
creuser de chrz creuser
aller de chez aller
porter de chez porter
dire de chez dire
sonder devchez sonder
poussser de chez poussser
comprendre de chez comprendre
centerr de chez centrer
connaître de chez connaître
combler de chez combler
vouloir de chez vouloir
ancrer de chz abncrer
jouer de chez jouer
téter de chez téter pareils nénés ici alloués à une Déité dont le nom est
MÈRE HATURELLE (!!!!!!!!!!!) À JAMAIS ! on cherche ! ion veut creuser
de chez creuser(, pareils traits de "terre" et autres tracés comme sillonnées . on est la Fée post-tarentelle, hors pré, passée des sentiers, de l'autree côté enfin arrivée. Qui tête ! tète que rtu tèteras, ce lait de mère amer ....... ou pas, selon l'état. On est fée des Fées ainsi allouée à une qsorte de contrée (dite "du Passé") hors cimetière: retournée à Mère ! on croit rêver mais on ne rêve pas, le lait est là, faisant foi ! qui nous désaltère, nous rend gaie, altière, première de cordée, fière, très. On est : fée des Fées sur Herbe verte puis ......... le bébé des Bébés qui sait, saurait, saura, ce qui est de ...... là = l'au-delà = post-paroi, post-cimetière, post-mort de soi ............ la crème légère, loi des lois. On voit ça : la panse, pis entier, à pouvgoir téter, y aller de son envolée et du coup grave attrapper et dès loçrs téter (en vrai) sans s'en éloigner car, de fait, le pis est "pis de base" qui, pour nous, nous charme,
nous fait grave aimer le trait, la cxharge de rage, le Passé de Trait = CXance allouée ... à une sorte de Donnée de Charme ....................... Déité Ancrée ................ mais qui c'est en vrai ??????.?.?.?????????????? qui donc en vrai est cette
"Déoité attenante" au "Passé de Trait " ???????????????? oh, comme on voudrait (de base) comprendre !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! toucxher toucxher toucxher à pareille Donnée "autoportée" !!!!!!!!!!!!!! et, de fait, cerner-centrer, cerner-chezrcher, charger-centrer etc., le dire touché ou qui de quoi ! quoi là, qui , pour nous, serait "LE CLOU" !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! mais où , où est donc ce ........ clou fou ? On cherche sévère ! grave on cherche sévèreb ! on est dingue à l a recherche ! on veut / on voudrait ! On ne s'en laisse pas (plus) conter depuis ......... une éternité ! mais jamais , jamais en vrai on s'y reconnaît ! on est comme "blousée" ! grave "blousée" , qui cherche sans se relâcher mais jamais n'atteint, post-pré, les contrées de Mère, l'altitude (ici) de Porte haute ........ longitude et latitude de la Mort Forte. On est fée-mesure, calme et usure. On veut :
aller ................................................... creuser ................................ porter ..................................................................... dire et sonder ........................ poussserr le dire vers ... l'au-delà en vrai du rire alloué à une Sommité ici genrée ............ mais est-ce vrai .......... ? .................. c'est-à-dire : est-ce que le genre ici attribué à cette Sommité (boeuf musqué, buffle au taquet......) est vraiment le fait ? genre consacré, genre vraiment vrai ou comme avéré à tout jamais ? On n'en est pas sûre ! On veut toucher , ou on veut bien toucher, mais (de fait) le genre donné (dit "donné") est ........ un luxe ! parure ! ornements d'allure ! bure ? oh, en vrai, on ne sait , mais les choses sont, qui (pour le couop) nous échappent grave (soucvent) et nhous laissent en carafe (ronds de flan !). On est nues !
On porte parole des nues ! On veut :
allouer à une roche, la bonne parole du cru ! et du coup :
être mai^tre / maîtresse, des données de l'herbeb = le Passé tracé ..... au-delà du trait .................................. ainsi poussé ! et nous (fée) de nouds y coltiner sans traîner car, on aime tracer ! filer ! voler ! foncer ! pistonner ! prendre de la vitesse ! nhe pas s'en faire ! ne pax s'en laiiszr conter mais tracer, tracer vrai de chrz tracer vrai, du .... verbe d'herbe (verbe en herbe) sur pré .... jusqu'aux dits Nénéds "du terme" ! date-clé ! date des dernières règles ainsi disposées permettant cde fait le calcul du Terme = le Passé tracé , chant de Poste, villosités dites "de porte", HOMBRE PORT-ÉE ..... HAUTE ! , car, on est .... fée, de l'ambre aimée, fée des fées saluées, charge haute des hautes contrées, pertes de poche, le passé comme en ligne de (roche -)mire des données ! On monte. On veut / on voudrait (ici et là) aller creuser .... ce qui devant soi se montre, en termes de .... nénés nhés, post-pré, pour notre
(sorte de ) goucverne, allouée à
(sortede ) recherche ancrée, recherche de termes. Qui est qui, en c ette contrée. Qu'est-ce qu'on sait du Verbe ËTRE.Que penser d'une "remontée" sur une roche à traits, vers .... du V Erbe. Que dire des traitsz. Que penser du foyer. qu'rst-ce que c'est que ce tracé de Verbe au-delà des traitsc .............. du Lait ? du bon lait de Ferme ? lait entier ? verbe)-lait comme s'il en pissait directement en nos gosiers ? On cherche ! on veut /.......................................................................................................................... touchefr -dire ........................................ dire-toucher .............. les données du rire ,
RIRE OLÉ OLÉ DES DONNÉES DU "VIVRE" SUR RIVE ALLOUÉE À UNE SORTE DE PASSÉ DE FRISE . et, qu'est-ce que c'est que ce .... "passé de frise" ? eh bien ..... on dirait ....... que ce Rire, est une sorte de donnée, telle que, en vrai, de fait, en défintivee, il semblerait, ....................................................... on ne puyisse pas, pour vivre , se passer ................. = rire ancré .............................................. incorporreé .............. pôur pouvoir en vrai continuer de chez continuer à vivre "en société" ;................... rire-vivres (offrandes divihnes) qui sait ! on est féenée , on est entrée, on est allouée à un pré (u n temps) puis voilà ;;;;; on traverse, la dite "p aroi finale" ou "paroi des parois", on charge "ensemble", on y va car on y croit , et là ............. paf ! ........................ dans le tas ! ................................................................................ lait de l'au-delà ...............ÉTOILE DES ROIS ET REINES RARES ............................... voix des voix ........... ça "parle" ................................ça "dit" drôle, des choses, ombres ..................................... voix doctesc.................................... chants de voix hautes ................................................................. on est pour ainsi dire sous contrôle ............ d'une voix de ronde ............................................................................. chants doctes, chants de Roi / RTeines à voix, chants de porte, chansonettes "roses" ................................................ post-paroi et au-delà ! ............... le chant vient (viendrait) de là = ....................... soit d'une sorte d'au-delà ............................... pôst-parade animale, post dessin de carne, post-mur de rage, post-oléo-ducs et duchesses-traces ......... sang des voix ............ charges ! charges ! chatrges ! tchat ! On entre ! On veut de fait ensembvke se trouver (de rage) sur faîtage ............. et , voir ! voir, au loin, les lointains, mer plane, vagues, vagues sages, mer acidulée, charmes matés , tracés-nés , allures des traits ......................... vues sur le Passé ! oh, ça le ferait ! qui sait ? On veut ................................................................................. toucgher toucxher toucher à ce Néné, des dOnnées "divines" , vives, à téter d'un trait , on diraéit. Quyi connaît le Titre, ici, de ce ... heu ... filmm (?) projeté .... au ciné des fées (?) ? oh"é ! On est montéesv ........................................................................ hautescx................................. haut ...................................... hauts des Animaux ...............Animaux de ROCHE .................Porte / Tonneau / Niveau ./............................... coprps de mots nouveaux ................ tout en haut des Hauts ................................ à la porte du Tonneau ................ sorte de poteau , qui dirait la Chose........................................................................................................... mot ........................... mot de trop .................. nom ...................... nom gros ou ............................. gros mot ................................................... le plus gros ................. mais quel est le (ou ce) mot, le plus gros de fait ? ........................ quel est donc de fait le mot dit " le plus gros" ? .?.......................... le plus gros des mots .../ ? ..................... quel est-il de fait ? .........................Mot-gros des mots-gros ........................ quel est-ce ? .............................................................................. meu ........... meu meu ........................ meu des meumeu des meus de la ....................................... mort ? ..................................... meu-mort ? .................................. ................................................................................................................ on veut / on voudrait (grave) comprendre (ici et là, sur roche) ce qui est qu'on voit = la poche ? une sorte de Poche de VOix ............................................................... qu'est-ce que c'est que ça ? ................ poche... des voix de Soi ? .............. honte ! honte sur Roche ! voix de honte ! tralala là qui (en soi) ne nous faisait pas honte, jusque là , mais .... sorti de soi : la honte ! honte des hontes ! on sait ça ! on est gros / grosse de ça, Honte sur soi , Chose Profonde, POrte Close ... sur l'en-soi des VOix de Roche ! Haute Honte ! on monte ! on veut, parce que voilà, dire-faire ça, ce genre de tracé-là, sur roche aux Voix, afin cde comprendre , dans ses grandes lignes et/ou grandes largeurs, ce qui ici (en soi) nous attire
en ce sas de base dont le nom, pour le coup , est ....
Base ! Base Rase ! Base des Bases ! cou caillou genou ! sorte de .... passage vers ...... une sorte ici de donnée verte, ...... Herbe ? Herbe ... de Prairie VErte" ? Peut-êttre . On pourrait en vrai, en effet, le penser et s'y fier, qui sait ? On est née fée, on devient .................. autre , la Porte (Haute) ainsi passée vers ....... du PAssé de trait ! dingue ! dingue c'est ! car, Autre on naît, la porte passée ! plus (du tou ?) fée mais ce Bébé de POche, bien hjouflu dodu, Bébé docdte, de parole et autres, paroles donnéeqs, verbalisées en ses quartiers. On est re-nées hé hé ! le muret passé, on re-naît Vraie ! Vérité ! Vérité allouée à une sorte (decvant !!!) de Passé Monstre .... THE PASSÉ DES TRAITS ........ une sorte de Passé de POche comme qui dirait, mais ici la Poche = l'outre des Données, des Données rondes ! une qsorte d'enveloppe "haute", portée, soulevée et trimballée,
de laquelle de fait , un jour, on pourra sortir, sortir sans frais,
de laquelle on pourra, un jour, aussi, parler, parler à qui de droit ........ tout là-b as ........... : fin de paroi ! Peut-êtrte pas, mais voilà : on monte. On creuse la Rocxhe. On envoie de soi. On est là Hautes Voix (voix de Porte) pour ça, charger docte (dans le xsang) les "parolres dees mortes """""""""", "mortesconsacrées " = maternisées ? on ne sait ! on est passée ! on a traversé de chez traversé et nous voilà en ces contrées comme adoubée par une sorte de D2ité dont le nom (petit nom) est ... "Mort dorée" .... hé, qui sait ? ça se pourrait , q'uen vrai en effet ........... la mort soit dorée ! une sorte de Donnée Dorée qui nhous éclairerait (à profusion ?) de ses doux (durs ?) rayonsz comme tracés sur .................... un vallon ? un nouveauu pont ? une sorte de Ballon de Roche ? "Mamá montón" ? ... tas d'ors ? On veut = on voudrait .... à jamais ! On est : traits, traits de fée, traits alloués à une fée dite "des fées". On veut : creuser = creuser = creuser = dire ................... au plus près, ce qui est, ce qui est pour soi (pour nous) la Donnée de Base = le Passé Notoire ? On y va ! on enttre ! on veut grave ça : trouer la paroi et nous rendre "ma foi" qsans plus de jérémiades .... au plus loin possible ....... sur prairie aux filtres .......... tout là-b as .......... la Chance ............ transe et sabbah ............. creuser de chez creuser la "Panse" ........ = ce "muret des Charmes" ............ vers Néné ! bnéné des Nénés ! on y croit "ensembkle", car, voilà : soi = deux ! on est "deux" en Soi = deux feux ! deux dieu/ déesess tendres ! On est ailées et de ce fait ............................./........ DEUX ! DEUX AILES DE FEU ! on entre .... à deux ! en ce territoirev aux données "immenses". On veut (on voudrait !) comprendre = situer, de près, ce qui est, qui en vrai (de fait) se trame ou tramezrait dans les p arages. Devons-nbous téter de base ? devons-nous de fait retrouver le lait, lait entier, de mère vraie ? doit-on toucxher à ce Néné ... des Données DErnières (en vrai : premières) ? Qui connaît (qui a) la clé ? qui sait ? qui comprend les donnéess de Rage, donnéesz de lA Rage ? qui sait de fait ce qui ici est qui nous enveloppe de ses dires ancrés ? Qui est en nous "derrière" nous, en termes de ..... fée ?. lait ? trait ? On ne sait ! on ne lâche pas (plus). On y croit (ddur) . On a la Foi ! on entre ! diantre ! ça envoie ! odeur de soi ? on est ........................ sub de chez sub
-mergée ?
-juguée ?
peut-être -juguée en effet ! On voit ! on voit là la Roche passée la sorte de ....... voie ? Voie tracée ? voie des v oies tracées ? allouée à une sorte de donnée lactée ..... dès lors : voie lactée ? ciel de traits ? ceiel en herbe ? on est née fée des fées sur pré, post paroi gravée (paroi néandertalienne) et à présent ..... eh bé voilà , voilà en vrai les ditezsc données telles que représentées en ce ciel des traits , ciel doré ! chapiteau des mots ! signes ancrés à savoir déchiffrer comme qui dirait ! trot ! galop ! galop des mots de trop = bêtes-mots .... de type : bêtes proches ! On monte ! On est haute. On est sur les hauts à mater les mots (bêtes-mots) .On monte haut. Au plus haut niveau de la grotte , crotte ! On est comme ....................... touchée ............................ émotionnée ................................................. sensibilsée ................................................................. émue de chez émue, à jamais ................., car voilà la Voie, ................ porte haute ....... voie ......../ porte des portes ....... voie de l'au)-delà à la paroi ......... voie haute ........ porte des voies hautes ...../..... haute voie de l'au-delà à la paroi haute, et "hot" .................. voie des voies des tas ........... tas des tas des os de roche ....../.............................................. nécropole haute ..................... , voie haute ............... et haute voix .................................... voix de roche ..................... croix ! ............... croix des croix ! ................. vin de roche et autres vins de porte ................./....................................... Le passé faisant foi, on monte ! ......... vers la Roche-Porte....................... d'une sorte de Paroi de grotte, genre .........,ça .............................. l'ombre ! l'ombre de Soi ?
2/3/2025
On mate ! on mate grave ! on veut grave ensemble mater ! on veut ensemble voir au plus près les données rupestres , et, au-fdelà, le pré, le passage cendré , les données (frontales) d'un muret
de bout de Roche. Qui on est ? on est .... eh bé les F2es du "Territoire Alloueé" = la prairie Cernée à l'herbe attitrée et autres faits ddes zones aux bêtes -monde. On veut toucher à ce qui est, ici, qui se montre =
Le Passé ... le Passé d'époque ! La Xhose ! On est née Fée ensemble ailé ! On veut toucher à ce muret de fin de pré et du coup passer .... traverser l'ultime rocher, creuser de chez creuser afin de , pour le coup, passer tête et cou, les ailes, les gambettes, t tout un tout, etdu coup ... eh bé oui !! mater de chez mater le Tertre ! Ici même !
on est née Fée et on traverse et on regarde "ensemble" la Comète = le Passé post-herbe ! hé hé ! on y est ! on le voulait. on (ensemble) grave voulions, ici même (territoirtee de lacMort en herbe) y alleller et du coup mater /.... mater = colmater ! L Le Passé &ux Nénés ! soit ....... Le lait : le téter ! Car voilà, on est F2e du Pré qui aimons, ou qui aime le lait, lait post herbe comme qui diréit, car , pour qu'il y ait du lait il nous faut ou il y faut de l'herbe c'est un fait ! soit : du Verbe ... aux données célestes ! On dirait c'est vrai ! on dirait du Verbe, des données du Rêve et autres vents Célèbres. On cherche ! On veut trouver ! on veut grave en vrai trouver de chez trouver quelque chose des traits ... qui serait .... cette chose du VErbe en fait alloué à une sorte de donnée Céleste = le Passé ! Car, le passé est né "APRÈS" .... après ce qui de fait se présenterait la mort donnée.
On est née Fée sur herbe et nous voilà comme passé dns un passé post-cimetière aux données célestes, de type ... VERbe à traitsz ! On cherche ! On veut trouver un certain nombre de données "sévères", tracer, creuser, poussser, aller au plus près et essayer ensembvle (NOUS) de repérer ici et là, le muret passé, un certain nombre de données de poids qui szoient données ... fiables et graves, graves et fiabkles ,
données de Joie, tracés fermes, TRalalas Tenaces, VEnts de face et autres dits ... d'effroi, mais qui peut-être "ne le fassent pas" car voilà, on veut passer (de Fait) la Rage ... sans pleurer, sans être trop importunées, en toute candeur post-pré, chercher moussse, fleurs, vents dou!x et autres caresses sur le cou .... grave entrer (nous) dans le doux ! On voudrait (en vrai) en tant que F2e , aller, cerner, toucghhher , sans plus que ça (de fait) en baver car voilà, on est Fée ... aimant le tpoucher doux, carresesx sur genoux, douces frôléisons des joues et autres bises sr cou mais ... sans secousses , sans pousse-tombe sur pont d'ombre. On veut :
dire et donner
donner et dire
ce qui est qui est , les tra cés
dee Buffle sur Pré, les sorties de bure, le tracé ancré nacré, la CHoseRude, don donné, porte allouée, on veut toucher à ce Néné post-pré, qyui est ... eh biennous dirons "Le Néné du PAssé " s'il en est , qui sait ? On cherche haut : oN veut ensemble aller très haut, toucher à cette sorte de N2né des Hauts, qui ici sqerait ... cette (Sorte de) DOn dev Lait , aux données ancrées, données doctes de fait et telles qu'en vfzai, les touchant, les voyant, les cernant, nous serions comme ensembke informées de ce qui est .... aprsès la mort ! Car, la mort, la mort allouée au passé, est Mort comme constituée de DOctes DOnnées telles qu'en vrai on pourrrait les toucgher, les prendre comme qui dirait ... de près, e,n nos bras tout serrés, enlacés autour, ou ... comment ? en nos bras mis sur pieds ? hum ... non ! Alors peuettre .... accolées ? on cherche ! On veut toucgher à ce Passé dit "du Néné" car, lE p assé est, dudit Lait, Le Fait ! Il est né LAIT ! IL est du LAit de fait ! Il est LAit alloué à une dsorte en soi de D2ité des D2ités comme on voudrait en vrai les approcher. oN veut :
creusqer creuser creuser , la chose enterrée. Et trouver (du coup) le bout, le tra&cé debout, la chose Haute qui, ici, devant nous, se montrrezrait ... "Comme". On veut:
dire, sonder, poussser, souder, creuser, aller, faire, chercher ici et là les données de Terrre, porter loin le VErbe ... dev lk'autre côté , et du coup tracer, creuser-tracer = dire-faire et aller, aller loin post -cimetière vers les Traits ou TRaits des TRaiots qui sont TRaits de Mère = Nénés ! Lait d'herbe , lait des Laits post-herbe ainsi constitué = consacré = fermenté ! On veut de fait tracer de chez tracer quelque chose en vrai qui puiszse le faire, et du coup alloiuer à du Verbe tracé un ertain nombre de données en rai, genre vériotés, vérités post-pré = verbe Vrai, Don de Lait, porte Ouvertes et autres invitation-colère ! On cherche à cerner ! on voudrait trouver ! On est née Fée au Passage CEndré, nous voilà comme "relevée" prête à , du coup, toucher-toucher devant nous lo"a Tête, les genoux, les Nénés Doux, lait de Mère à nous ! la bière ! sein post-herbe comme un don aux lèvres ! On est :
vivces de chez vives, ivres de chyez ivres, d'un dire qui est ... ;lAit de Tire ! le Passé du VIvre ! l'envolée native ! On est ...................................................................... fée ...................... vfée ailée ....................................... fée tracée ............................................ on voudrait en vrai grave toucher, à ce N2né ... du DIre Fou, le toucher de près = "l'embrasser" comme qyui dirait = téter ! téter dur ! ne plus s'arrêter ! téter téter téter ! et du coup (comme) nous (se ) rasssasier de lait et pouvoir ainsi, tout tranquillement, se poser, respirer, se délassser, digérer le Vrai des données Acides,. alller vivre ainsi sur post-pré des Vivres. toucher, creuser, faire et donner, sonder-vibrer, aller-cerner, faire ainsi post-pré
les recherches avides telles que dénommées, les poursuivre et les creuser, les suivre de près ou ... comment dire ? rechercher = faire tracé ! Dire = sonder ! On est la Fée des Données Vives, telles que des
tracés sous dictée le dire Alloué à une sorte de .... pAssé du Vivre ! le Passé du Dit, du VERbe Dit, des Mots-bêtes du TRi. On est née F2e le mur du Son passé, on veut en vrai creuser ensembvle ..... le pré = tracer ! courir ! vibrer ! nous envoler, chercher de chez chercher à nous téléporter ici ou là en ce Passé, des Dires CRe"usés ! qu'est-ce que c'est ? qu'est-ce que c'est que le dire creusé " ? Eh bien, le "Dire Creuséé" est :
du Dire post-pré, Lait comme alloué, lait de N2né du Vivre , Lait des Laits. Le passé est du passé de Lait ! On veut :
toucher de chez touchezr
dire de chez dire
creuser de chez creuser
faire de chez faire
aller de chez aller
fonder de chez fonder
donner de chez donner
poussser de cyez pousser
combler de chez combler et peu-être, aussi, ensemble (un ensemble d'ailes) toucher à ce qui est ici, qui ... se soulève = des "paerties" ... de Mère ! on cherche ! on est née fée à la retombée il swemblerait, on veut toucher à ces nénés de mère, en vrai ealloués à une sorte de ...
passé pôst-cimetière,
retour de manivelle !
On creuse sur terre, on est Fée sondeuses,creuseuses, cxhercheuses de ... Verbe ds'Herbe ! On veut toucher à ce qui est qui devant nous (hauteur de genoux) semblerait vouloiur comme nous dire (en particulier)une chose de Porte, une Chose Grosse, Vérité de Roche, et cette V2r(ité, ainsi déssinée , serait V2rité telle que nous (fées des prés) on pouvait en rêzver depuis de longues années. On veut toucgher-rêver, soittoucher-aimer, soit touchger-creuser, creuser de chez creuser, le Verbe ! ainsi fait ! et, /......................................... aller aller aller ainsi ailée jusqu'au bout du
"Tracé aux fées" (dit "Tracés aux fées") qui estici (pour nous) le Sentier Alloué par lequel passer ou devoir passer pour de féit atteindre ... le Passé Donné, Passé Frais, Vrai Passé post-cimetière, retour éternel ! On aime ! on est née Fée pour une 2tezrnité de données fraîches ! le passé est ainsi "touché" qui serait (est) ....... le VErbe du pré ? Verbe post -pré mais venant du pré ! On aime ! on veut creuser, dire, s-o,nnnder, chercher (grave) le dire alloué qui serait : Donnée Vive, Donnée du Dire ! On veut toucher en vrai le Passé a ux nénés et téter de chez téter le bon lait de l'hydre ! qui c'est ? qui est l'hydre ? eh bé ......... ELLE en vrai , D2ité des d2oité , Le passé ! le p assé tracé, passé cru, passé nu, passé des dires nus tels qu'aimés de visu !
On trace ! on en avance, on aime l'ambiance. On est comme venus ici exprès poiur découvrir de près ce qui est qui, de fait, semblerait, en quuelque sorte, vouloir nous .... toucher, toucher de chrz toucher = émouvoir = accaparer = manger ! Qui est là en vrai ? eh bé ................. néné ! THE néné des termes. Le pas
s
é serait du VErbe, nbous regarderait post-herbe, materait de chez ma terait sans nous lâcher, ferait grave cette sorte de "reluquade" ;;;; de la tête aux pieds ! Ne nous (jamais !) lâcgherait , qyi bnous voudrait à lui comme pour l'éternité il semblerait. On veut aller eznsemble ...... voler ! voler sur pré puis post-pré au-delà des données de trype bêtes, bêtes des prés, et creuser, creuser la murettte, le muret de Ch âsse, traverser, passerr, passer ailée, traverser "le dernier muret" , "dernière murette", aller, poussser, toucher, pointer son nez de fine Bête en cetrtte sorte de contrée des "données dernières" = le P assé ! passé "emmuré" ? qui sait ? On cherche ! grave grave gra ve on est des qui, ici (post-pré) chyerchons assidument et "religiuerseement" à "comprendre " = prendre , un grand nombre de données de base, ce qui est de fait, ce qui se présente, ce qui tremble ou tremblerait à notre passage , ici ailé, ce qui se passe ou passerait à nos côtés ....
on veut toucher,
toucher = vivre = dire.
On a (grave !) envie de, eh bé quoi ! toucher le Lait = téter ! rien que ça ! On veut grave y aller, de notre drôle de tétee, et du coup .............. nous alimenter, au bon lait des Larmes ! Le passé ! le passé de Charme ! le tracé passé ! trait des traits outrés ! on veut creuser .. une "promenade" ,; allée aux platanes, sorte de Passé De rage aux données Sages ! creuser = dire = centrer ! centrer les Données au milieu des arbres ! le Passé est né ... sur place ! rotondité nacrée ici allouée à une (sorte de)
"Parade Animale" .... pour (en vrai) , à venir, une
(sorte de) "ter aversée du Dire""" ! On veut y penser ! on veut grave cerner ! Toucher = cerner , et cer ner = dire, dire de fait, ici et là sur pré ... sur pré et au-delà, les 4 Vérités dès lors Allouées à un DIRE VRAI comme iil se pourrait. On veut vivre . Ne pas succomber ô grand jamais mais en vrai poursuivre, aller de chez aller, pousser de chyez pousser, tracer de chez tracer, continuer = dire dire dire, ce qii est qui est, données ivres d'une sorte de poussée du ... "VIvre Vite" ! Le passé ! Le passé ... outré ? le Vivre ! l'enflé ! On v eut :
dire de chez dire
creuser de chez creuser
vaincre la timidité
poser et toucher, faire et aller, pondre et mettre, souder et sonder, faire et contrefaire, voler de nos propres ailes jusqu'aux dits nénés "post-cimetières" aux données ancrées, données fermes, données allouées à une sorte (en soi) de Passé Nacré, de type .... "sperme" ? on ne sait ! on cherche ! grave de gravité ! On veut :
creuser creuser creuser , donnner donner donner, faire faire faire, dire dire diore, chercher chercher chercher , compter compter compter, scinder scinder scinder, vicvre vivre vivre, vivre vite les données du dire ivre ! et aller , en ce pré, jusqu'au boiut de l'allée, pour y rtyerouver .... eh bien .... le Passé du Vivre, ainsi Compté ! dire des do, n nées Du vivre centré ! le passé est ... vide ? vide de traits ? ou , au contreaire, empli ! comme rempli ! rempli ici de ... VErbe Né comme tracé à m ain le vée en des temps reculés (n"éandertaliens ?) ? On veut (de fait) trouver ! chercher = faire. Faire = chercher. On est née Fée un jour du mois de mai, on voulait toucher (aux nénés post-pré) et du coup téter , mais voilà, on est cdomme "tombée" (de base) sur le pré, on a chuté grave, on est passée ok mais on en est comme de fait revenue blessée, ou sinon blessée cabossée ! On veut :
dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire ici (pré) le Passé à venir = le TRacé post-pré = l'envolé .... des données creusées = l'IRE ! colère vive ! Colèredu Dire Ivre ici accordé à une D2ité ... dont le nom (de base) est :
LA
LA la
LA LA LA
la ...... la m........... la de M..................... moror ..... mort ........... mmmmmort de ce qui .......... en v rai est ............... dit. Mort de ce qui en vrai est dit ici, post-pré ? MMMMMMMMMMMMMooort de ce qui .......... MOrt de ce qui ici .................... mort ici de ce qui en vfrai est, qui ....... dit ? mort de ce qui est en vrai ce qui ................................................dit ..................................................... vrai ? On ne saiy ! on a du mal (grave) à parler , à prononcer. mort ! Mort don ! don de Mort des Hauts Niveaux ! Mort-Ombre. Pont ? On veut :
dire de cherz dire, faire de chez faire, creuser de chez creuser, être de chez être, aller de chez aller, fonder de chez fonder, fondre de chez fondre, soulever de chez soulever, ancrer de chez ancrer
dire en cvrai ce qui est en ces contrées du vivre sur pré, et du coup : SAISIR !
poussszrr de chez pousser kles données données jusqu'au bout duu bout de ... l'Allée aux peupliers, aux herbes cendrées, aux orangers, aux données données de type graminées. On aime et tracer et creuser, et du coup ....... voilà ce qu'on fait ......... PITiÉ ! pitié grave en vrai ! car, on charge . on e,nntre . On passe. on y va de tout son p ôids de charge (felmme sarde) . On veut ça : l'enfance ! le Passé en france (en face). toucher = dire = cerner = opasser .... et passser = faire = creuser = dire = contrefaire et ainsi faisant : traverser la Terre ! tomber bnez à nez .... avec en vrai ..... le VErbe Pezrsonnifié , yé ! on aime ! coeur d'aime ! on aime certaine ! on veut vrai aller ! toucher-testezr = téter
..... le bon lait de l'herbe v erte !
les Né-nés !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! les Né-nés !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! l:es Né-nés !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! oh, comme on les aime ! gravfe on aime ..... on aime téter , lécher )japper, le bon lait de l'herbev = le Passé de Mère .... il wsemblerait ! mais, en vrai, qu'rst-ce qu'on en xsait ? on sait .... peu , du feu ! On voudrait, de fait, ensemble, fées, toucher de chez troucher, à cette (en soi) sorte de Vérité dite "de la foi" , mais vpilà ..... on est ........ juste tracée, dessinée à main levée, bête de pré, bouquetine ailée ok mais en vrai le vrai est .......... dificile à cerner-circonscrire -sonder,; car, ...................................... placé de chez placé de biais ...... comme qui dirait "de l'auttree côté" et c'est un truc de ouf en vrai, que cette chose ancrée ici ..... qui nous mate de front(, nous regarde y aller (borouter) et ne nous lâche pl!s en vrai de nous mater. Néné. Le Néné Vrai. Lait . Lait frais . Lait non pasteurisé. Cl asséPremier. On veut :
Toucher = dire = vivre..... les données nacrées , sur Rive. On a envie ensemble de toucher à l'ambree, et d'y aller de nottre (en vrai) petite promenade ... da,ns la mort actée, qui est "morthaute" ici comme allouée à un Rocher de Porte. On est née Fée la mort donnée, sur pré , sur herbe à brouter, et, une fois cette chose comme entérinée (pour ainsi dire) on cherche à traverser (une fois de plus) le muret donné, roche du pré, vers .... l'inconnu des faits, l'invconnu nu, l'inconnu cru.... des faits et gestes post-prairie vue. On cherche à (en tant que fée de là)- aller loin vers ce "là-bas" ... des expédients, vivres, tourments, crainrtes vives, sentiments latents, vie à vivre (revicvre) un temps. On veut en vrai ensemble accolées aller, vers ce tracé pôst^pré des données concrètes, de la mort en VErbe. CXhercher = faire et faire =chezrcher . on veut toucher ! faire-dire ce qui est ici qui, en vrai,; nous intéresse grave (au plus haut point des points) car voilà , on aime ! on veut :
creuser creuser creuser
dire dire dire
sourire sourire sourire
charger charger charger
paqsser p asser passer
aller aller aller
combler combler combler , ledit passé , de "dires enjoués""", qui , "dires enjoués" , sont comme des données de type données-vivres, victuailles cendrées, vivres consqacrés, offrandes à déités en conformité. On a envie en vrai de dire-tracer ce qui est qui , pour nous , sembvlerait avoir à (en vrai) se dessiner, ici et là (de fait) sur parooi, de façon à voilà, nous aider à , pour ainsi dire, creuser la voie ou notre voie, vers du Dire de FOi ! foi en l'au-delà ! en certte sorte d'au-delà dit "de Paroi" . Car , on entre, on entre "ensemble " ("à toi à moi") en c et antre , en tant qu'on croit ou qu'on y croit ! ....../ à quoi ? au VEntre SAge ! Au Don de soi sur Page d'Ambre ! le pAssé cherché ! la PLace des Fées ! On est comme (ainsi) située de chez située sur Pré aux fées en tant que P assagère allouée à une recherche (en vrai) de données en herbe ... vers N2N2 , dit "Le Néné " du Passé du Verbe ! quyi on est ? dans la mort : fée ! p
ôst-mort : bébé ! s achant téter le lait de l'herbe comme qui(Déité ?) dirait et ça le ferait ! On veut creuser parce qu'on aime creuser, toucher de chez touchezr, poussserr de chyez poussser ... la cjhansonnette ! ah ce qu'on aime ! on aime (de fait) grave chanter ou chantonner sur pré (et au)delà) la Chansonnettte "de Toundra" , VZrbe Frais, CXhants Salés, Vents de trait ! On veut :
dire chanter; chanter fonder, fonder saler, tracer chanter, suivre et creuser sa prop^re "destinée chantée" comme un fait exprès (qui sa&it ?) . Croire en ce tracé dit "de destinée" comme (déjà) ancré post-paroi, et du coup .... y aller, grave, de sa voix de fée, chanter, chanter, chanter, chantonner sur pré le Chant de la Lande, du Passé aux fées, des Données SAges (savantes ) et autres données-traits de grande importance (le SAvoir Immense = les Connaissances, les plus grandes , avérées ). On veut toucxhger à un certain niveau de connaissance , de niveau dense. On veut grave CERNER , CERNER grave les données, DOnnées DENSES et autres DOnnées, dites "de la TRanse ... d$u Passé" .... car, le Passé ainsi cerné, ainsi consacré (et reluqué) est du Paszé de .... transe post-pré ! transe tracée sur pieds, sur Paroi de la Chance et des Faits Vrais ou petits faits Vrais. On ve'ut :
creuser creuser creuszer creuser à une sorte de
Do nnée des TRanses, Transes Aérées, ventilées, insufflées, soufflées ....... comme poussées voire
é- ........................ élancéees ou ./......... amorcées ;;;;;;;;:.................... ou ..... oh comment cette chose ici, d'un air de deux airs qui ........... , pour le coup, fait bouger le doux , ...................................................... fait en avancer , creuser, aller .......... sur pieds-genous ..... eh bé : le Passé ! ledit "Passé aux traits" ...../....... le fait s'ancrer , du fait que le souffle (souffle fou) faiit vibrer le doux d'un Verbe du Nous ! On creuse = on cherche = on veut = on va = on entre = on situe = on avance, grave , vers la CErtitude Frontale Pariétale des Données
de l'Antre Sage (= Savant). On est comme entrée "ensemble" sage ......... va comprendre ! Homme est 1
FEmmes suivent, sont 2
Un homme meurt, est enterré, et disparaît dans l'herbe du preé. Deux femmes se complètent ensemble qui, de fait, deviennent ..... une F2e ! fée volante ! Fée du pré. Paradisiaque. Ainsi fait, la fée (§deux femmes) entre en transe, va et vient,
bêtes de somme sur terrain tracée,
monte, trace, poussee, et du coup se retrouve ... tout en haut des Hauts Niveaux, sur Paroi de Roche, )à frapper aux portes ( La Porte) des Données Hautescx....... vers ...... muzo ! Placid et muzo ? Haute POrte aux données hautes ! Une sorte de "museau de Roche""", "The Museau des Hautes rOches". On monte ! on veut haut treacer la Roche, le tracé des mots, Verbe docte, Données Force (fortes) et autres Verbves Ancestraux. On est Fée Folle (?) .... heu, pâs si folle, mais (pour dire) dite "folle" , car ..... , volante , en transe-danse sans cessser, on renvoie des choses denses, on passe grave pour ... Gaga, Fada, Nana f^elée ! quand, en v rai : pas ! on voit ! on envoie ! on est Fée Savante sur voie ! On en avance dans les connaissances .............................................. on en abvance grave d ans les connaissances ............... on envoie du bois , dense ! On va ! on trace ! on file ! on charge ! on syuit à la trace .... un certain "dire de CXharge", "dire-voix", qui est du dire de Tracé de Rage et autres TRaits de Maintenance (alloué à la chance !). On envoie grave sur paroi ....... des envois ! = des données bestiales (animales) telles que :
Bufflets, Bouquetées, Bouquettes des prés, Bouclettes Autoportées et autres bêtes cendrées. Betes de fête. Bêtes-herbe. On veut creuser, parce qu'on aime ! on aime en vrai creuser de vchez creuqser.... ce cimetière .... xdes données cendrées, de type bêtes, bêtes-mots des prés et autres prairies verte's : le pré-passé de fait comme on pourrait (ensemble""") le penser, en vrai. On entre ! on est fée du pré qui est entrée à la retombée du fait d'un piqué ! et nous voilà qui sommes née ! née de chez née ... sur un pré "immense" , de la taille (en vraéi) d'une contrée, d'un territoire entier alloué à .... lA chance Avérée, Chance des TRaquéess ! Chance Ample ! On veut vraiment de chez vr'ziment toucher ..... à ce dit Néné post-pré qui (ici = là-) serait de fait à nous attendre .... les bras croiqsés ? Poiur nous donner de quoi téyter qui sait ? ou alors nous, nous absorber , avaler , ingurgieter, prendre dans sqon anttre -ventre ? on ne sait de fait. On est pas encore arrivées ici (passé) jusqu'au bout des Vérités . On veut y aller mais en vrai ..... cc'est p as à côté ! ça demande grave de durer, de tracer dans la durée s ans jamais cessser, tracer de chez tracer, un grand nombre de bdonnées de Rage et autres Sentiments de base. Tracés nés sur pieds sur Paroi Dense = le Pré, la Prairie aux féess, ....... herbe de passage , Verbe Enfl"-é , Passes d'armes , on ne sait, on entre. on veut :
toucher toucher tyoucher toucher toucher au mieux , en termes de Passé Tracé .... loin des yeux ,.......................... finnal ............................ terminal .............................................................. fin de bal ................................................ on mate ......................... on veut comprendre ................ on veut toucher ............ creuser ........ do,nner ........... poussser ......... aller ........... chercher /.......... sonder ......... allouer, à xdes données, du sand frais ................... poster ........ poster de chez poster les faits .......... sur mur alloué à ici des données à (pour ainsi dire) faire entrer / incorporer .............././................... xans sourciller ......../ comme instagrammées , ............../.................... vérités ,................. vérités suppos"ées , ................... le Passé des Données Tracées .................on est nées ! bnées fées ! fées nées ! avant dde pour le coup devenir .......... autres = bébés ! prêtes à téter le lait = le Passé des TRaitsv = l'Immanence ! chants des transes ! loyauté ! pertesz et frais, chance ou malchance, il faut croire en sa ....... , en face, étoile vraie, d'u nCiel de trait ......... : base mouvante ? bovidé ? On entre. On veut toucher à ce qui ici se présente sur pieds à nos propres données. On veut "se mélanger" = s"aimer, en transe, sur ce pré de la chance innée. On veut :
creuser de cvhz creuser
aller de chez aller
pousser de chez pousssr
dire de chez dire
forcer de chyez forcer
aller de chez aller
caler de chz caler
pondre de chez pondre , et poindre de cherz poindre,
feindre et donner de chez feindre et donner ;;;;l Le Trait, Le tracé de Fée, L'ombre Haute auto-proclamée et autres chants de Porte. Oiseau ! on serait oiseaiu, oiseau haut / haute(une oiseau) .La Haute Chose d'un Bec d'eau. bec-Muesau placide / acide , d'une sorte des Hauts, Verbe haut, d'un ciel de Trot . On est oiseau de Roche, le veau d'eau comme ailé de peau. verbe du Tonneau. Oiseau-peau des trots sur Roche. on veut :
dire de chez dire les données acides. Poussszr de près ce dire nacré. Chercher = sonder. Fauire = comprendre. Entreer = centrer. Fonder = filer. Pousszr-vivre = vivre-poussrer , et du coup cerner , en vrai, les données les plus ancvcrées, dans une sorte de "contrée du Rire" ...... qui serait "contrée avérée" pour une (szorte de) rixxe ??? bataille sur frise ?????? comba&t des combats -surprises ? on ne sait pas ! on veut croire, aller toucher (Néné) vif, soit téter le vbon lait de l'hydre , mais ............................................................................/......................... de fait, c'est pas gagné ! On se doit de persévèrerer ............................. creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser creuser grave sur pied les dsonnées du ..................................................... RIRE , RIRE OUTRÉ , RIRE GRAVE , RIRE DES RIRES GRAVES, RIRE ENFLÉ, RIRE GROS DES RIRES GROS, GROS RIRES AU MUSEAU, RIRES DU MUSEAU, GROS DES GROS RIRES DU MUSEAU, RIRES DE PEAU, RIRE-MOT, RIRE GROS DES EZNTRÉES DU VIVRE, VIE DE VIES DU RIRE GROS, GROS RIRE DU VIDE ET AUTRES VIE DE MOT, VIE DE RIRE, RIRE-VIE DES MOTS DE TROP, ;... ET DES MOTS DE TROT ! CAR, CHEVAL HAUT ! CHEVAUX ET CXHEV&LES DES TROTS , SOIT DES TROTS DE MOTS DE HAUT NIVEAU DEE PEAU ! On est : fée du pré, fée-chevale ailée, fée de trot-mot, fée-peau des traits sur Hauts. On est :
entrée, passée, rentrée, ayant passé-creusé
la Roche initiale (données dénommées) , et du coup traçant (sur pieds) les Mots du frai =
don, pont, fond, allons ! Creusons de chez creusons le fond , pour ensemble tracer profnd et atteindre de front la Cloison des Fins de Poste. On monte ! On veut grave alller parvce qu'en vrai on aime ! on aime grave &aller creuser, foncer, tracer, chercher à gagner toujoutrs plus loin les données dernières d'une sorte de contréepost-herbe (post-herbe ? ) aux données l a ctées ... peut-êztre ! On est née Fée pour une recherche , recherche centrée sur le Verbe alloué à un rapport dit "de proximioté" entre d'un côté la vie avérée, et de l'autre la mort, le passzé rejoué, les données "profondes" des Rocxhesrs de haute haute Montée. On veut :
dire dire dire
faire faire faire
cerner cerner cerner
pousssr poussser poussser
chercher cher her chercherv
contrer contrer contrrer
fabuler le VErbe tel que rencontré, "un matin du mois de Mars ... ", en ce tracé dudit "Paszé post-herbe", qyui seréait .... eh bé peut-êztre :
du PAssé en Herbe verte, Minorrisé, minoré, émasculé sur pré , chzerche-traîne et autres effets de la Fé Marraine. On veut : dire les faitsz, les donner sur pieds (ou redonner) et ainsi fait alller = creuser = pousssrr = tracer, toujours et encore ici, sur paliers, les traits du Verbe Cendré ainsi posté ! verbe^-herbe ... pour du lait allouéà une sorte de Passé de Traîne ! re-passé ou re-le passé qui szrait de fait ainsi re-joué, la mort archivée. car, la mort, la mort haute, celle post-porte, lA mort dite "de porte", est mort (de base) morte ! haute mort des données fortes =
vie ... qui revit, ou quelque ch^-osqe de cet hordre ! haute porte pour un nouvel ordrev ! On veut donc : être sorte, ici, de Chose Haute ........... vie ................ vite ................. vie /...................... vite ....................................... une vie vite ........................................................................ vite vie des vies, rtracées allouées ......................................... sur rive post-pré ...............................///////////////......................................... c entréec ....... vie centrée ........ vie post-muret centrée .................................... après la mort, la vie centrée .................................. vie du passé comme qyui dirait, ça se pourrait ! on veut cerner-toucher , dire-sonder, creuser ledit passé ... "des données avides". On est :
Fée du pré
puis : bébounet !
Le bébé sacré ! bébvé-fée post-pré aux données tracées sur ciel étoilé d'une vie lointaine ainsi creuseée ! ............................................ le passé ér-toilé !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! hé hé !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ey si c'était de fait : le Passé Étoilé, le vide ? ou comment dire .................. l'(affranchi des (dites) "données du pré", le Passé post-pré , les Rives , les Données ultimes ........ ciel du Vide tellement empli , dx'une sorte de Vie comme "Ancrée des Traits """ : qyui le sait ? qui sait de fait ici ce qui est , en ce tracé xdes fées, des données vives ainsi szcotcxhées ou punaisées sur une sorte de Panneau " du Rire Gros " ? On monte . On veut haut comprendre les données de trop. Ou comme qui dirait "de trop"... cxar, en vrai, le sqont-elles de fait, ces données ... "de trop" ? sont-elles en vrai "surnuméraires", soit données de trop cfomme doigts faux et autres mains doublées de l'ÊTRE-Faux ? On ose = on monte. creusons gros. Cherchons haut outre(ou hors) caniveau, la Pärole Docte. On veut (de base) sortir de l'emphase ............................. âis voilà , c'est pas si simple, ;;............................................. ça demande "persévérance", "sainteté", "croyances", "vivacité", senttiments de confianc", "alacrité". On veut toucxher-comprendre (à) déité ,
ce Ça , des données rêvées, tracées, mais pour cela ................................... toucher de chez toucher ................................... de fait ........................... un grand nombre de données de porte. Soit : traits . Traits-force. Traits tracés. traits-sillons de roche. Treéits des traits de poche, "poche-melon". ssorte de "Grosse POche d'.....................étron"s ???? hum ............................ on ose ! ...................... on chercjhe ! on creuse ! on entrte ! on poussse ! on tente sa chance, ici et là (sur pré de base) . On veut creuser = donner, toucher = dire, aller = sentir, donner = partager, en vréi, un certain nombre de données de rage et autres vies passées comme ... "remontées de face" !
sur un pied, on danse ! on est née ! née, en f()a(n)ce, ....... trait ! trait de fée de Rage m enaçante ! ............................................................................................................./...................allouée .... allouée .... allouée .......... à une p anse , aux données "IMMENSES" et autres "données de base" (le Passé "ancré") . on est des fées des ... charges mentales, fées cernées pour des remontées de tracé passé ! passes de fée , traits acidulés, chyarges centrées, points de renaissances, le PAssé des Transes ......... Sainteté ......... Sainteté des données lactées ............... sein des seins = wsaint des saints ..... aux Vraies Vérités et autres traits actés. On veut : dire dire dire, monter monter monter, consacrer au "néné du dire" toute son assiduité ou comment dire ? son ................................... passé remonté ? ..............................remonté du Rire ? .............. des contrées du RIre si tant est ????? ...................................??.??............................................................................ on veut toucher topucher topucxher topucher toucxher topucher toucher touycher toucher toucher touycher touycher toucher toycher touycher touycher toucher touycher touycher touycher toycher toucher à c ces donhées "ivres" ;; ................. allerde chez allerf jusqu'au passé du Rire, du Rire CEntré = Le Padssé Ancré sur RIve TRacéee d'une sorte de....... "VIvre vite" ............. qu'est-ce que ça veut deire ? ça veut dire que voilà /.......... le Passé fait Foi, qui voit ! qui voit droit la voie ! voie des rOis-Reines de Choix ; ......... traces ............. traces ............ traces des voix .................. voix de bois ............. voix des bois .......... voix comme sorties des bois et des sous-bois ... du vivre ancré ........................ = de la vie ancrée .................. de la vie à jamais ancrév e ................. creusée ........... enterée comme il semblerait ........... vie poussée de chez pôussée ................... construite, comme une sqorte de "remise", .................... vite ! ............./. enflée ! outre des fées ! vie vite centrée et ça le vfait ou ferait à jamais qui sait ???? ......................../........ ;l'idée ici est de cernezr en vr&i le plusgrand nombre de données concernant ce Rire ici évoqué en tant qu'il serait ... du "Gros Rire" des Contrées du Vide, post-pré, post-p aroi de base, hors champ, hors courant./ Et ducoup : cerner = comprendre de près, les données patentes , ce sur quoi on peut tranquillement tabler, ce qui est de fait et ce qui , tout au contraire, ne ''st pas ou pas entièrement ; le Verbe de Rocxhe aidant (mots-trots). Oln veut de fait ensemble (accolées) comp^rendre ça : la HJoie de base, Le passé dit Renaissant, l'Onctuosité Passante, le CHantTourment, Chansonnette Étrange et autres ppetits chants des petites gens. On veut en v rai, eh bien oui, creuser ! creuser ce chant dit "des tracés de base", et comprendre dès lçrs "ce qui se passe" oou même "ce qui est" une fois la mort attestée. ca&r, en vrai, si le passé est tel qu'il nous &pparaît, alors ............. le ciel ........... le ciel étoilé ............... est ce dit p assé "ÉTRANGE" tel que rel até ! On peut rêver ! on peut penser pour ainsi dire à une cxhose qui serait de fait comme remontée à travers les données ici rencontrées (du Verbe salué). On veut : oui , aimer, aimer dire et chanter, ce qui est de fait qui nous "appara^trait" comme vrai .... qui sait ? On veut : tracer sur pieds, les données du verbe ! = charger charger charger charger en vrai , les données données (rencontrées) de mots de têyte ! = le Passé en herbe = l'assemblée des termes ! On veut creuser parce qu'en vrai voilà, on éime ! on aime ça ! charge que tu chargeras ! donne que tu donneras ! file que tu fileras ! ta pelote de voix ! sonde ! sonde ça : la panse ! va ! va là-bas "creuser ta CHance" szur Toundra aux bois et sous-bois des TRanses ! On veut ça : la chance ! Pa ssé dense. port de Haute transe et autres tenues franches. On est née sur pied, la fée des transes et autres danses des paroisq.?P°ariétales en diable on envoie ! chants ma ssue et autrszxmots vus ! nus ? on entre ! on entre en transwe ! on est nues de rage vues ! car : on danse ! on crreuse ensemble ! on entre ensemble dans l'antre dees données "Immenses". Qui on est de fait en vrai ...... ? ......... eh bé .... "TRanse"" , Transe-tracée", transe-danse", "transe allouée à une danse intense. ON veut toucher de chez toucher à c e tracé des Panses et des Pensées Franches, en français , car ................................................................ le vfrançais est notre langue, langue icide fée, de petite fée du dimanche ! on entre ! on veut toucher topucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toyucher touycher toucher toucher toucher toucher touychezr toucher toucher toucxher toucher toucher ftoucher toucher troucher touycher touycher toyucher toucher toucher vtoucxher toucher touchervtouchervtroucherctouchercrtouchervtoucher touchercrtoucher toycher toucxhertctouchercyouchercvtoycherctoyucherctoucherctouycherctyouchervtrouchervtouychercvtoyuchercvtouchervtouchervtoucherctouycherctpoucherctoucherctoucherctoucxherctouchercrtoucher toucherctoucherctoucherctoucherctoucherctoucherctoucxherctyotiucgher rtoucherctoucherctoucherctoucherctouchercrouchgerctoucherctouchercyoucherctoucher crtoucherctoucherctoucherctoucherctoucherctoucherctouchercroucherrctoucxhercrtouycherctoucherctoucherctoucherctoucherctoucherctoucherctoucherctouchervtoucher toucherctouycherctoucherctouchercvtoucherctoucherccvtouycherctoucherctoucherctoucherctoucherctoucherctoucherctoycherctouycherctoucherctoucherctoucherctoucfhetrvtouycher toycher toucher toucher toucher youcher toucher toucher toucher toucher toucher rtoucher toucher toucher toucher touchr toycher toucher vyouycher toucher toucher touycherb toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toyucher touycher à ce N2né du bout du bout du monde Étoilé, il sermbvlerait (lacté) . Et du coup ..... tracer ! creuser ! centrer ! poster ! poster de chez poster ainsi ce trait (trait de somme) "au passé" = "au temps (grammatical ?) passé" = l'ombre , le trait, trait dooné d'un e sorte d'ombfre, d'ombre sur pré , trait très marqué comme qui dirait = Ombre / honte / homme ................. en vrai ? on monte ! On veut grave y aller, en termes ici de connaisqsance . on a envie de bien cerner toutes ces différentes données, données sur un pré, et, cette chose avérée ou enregistrée, aller plus loin , pousssr loin les recherches ferme, tracer au stylet, à la poijnte, au coin, ce qui est qui , sur ciel, de traits, apparait ou nous apparaîtrait sans traîner, sans se faire prier. On veut toucher "à satiété" à toutes sortes de données célestesdx : traits de fée, fenêztres dorées, plainte remontées, tracés de néné, bêtesde roche et autres bêtes des contréees hautes genre antilopes, bisons du front, buffles accortes, chevaux de trot, aurochs ados. On veut aller, soit creuser. tracer ici et là sur roche de paroi les données de POrte. Mots des Ombres portées. Mots doctes "aniùmaux". sOrtes de Passages "drôles" et autresq farces hautes . Traits d'esprit tracés zur porteb haute ou dite haute aux données données. On monte ! on veut toucher toucher toucher toucher toucher touycxher toucher toucher toucher toucher toycher touycher toucher toucher touycher toucxher toucher toucher touchervtoucher à ce qui est
à ce qui entre
à ce qui sexprésente
à ce qui est en demande
à ce qui en vrai se voit de là : la paroi
à ce qui tremble de hjoie à l'idée de fraire , ici bas, la fête, fêyte aux bêtres de poids, genre "voix des bois", . On veut dès lors "ensemble " (szoi) comprendre et toucher, cette ......... Sommité HAute, SOmmité de POrte : AUroque ! AUROQUE EN VRAI COMME CERNÉE , DONNÉE, TRACÉE-TRAQUÉE,VIVE ET ÉLANCÉE, QUI CHERCHERAIT TRAQUET-TRAQUET À NOUS AMADOUER SANS TARDER, EN NOUS PA RLANT D'UNE VOIX SUSURRÉE , NOUS DISANT .... LE LAIT ! LAIT DE VOIXX ! LAIT-VERBE SACRÉ ! SAINTETÉ L ACTÉE DES DONNÉES DE L'HERBE ... ON CROIT RÊVER ... MAIS EN VRAI, LA CHOSE EST VRAIE ! SCÈNE ! SCÈNE SAINTE = LE TRACÉ FRAPPÉ COMME UNE MONNAIE ..... ON veut toucher cde chez toucher à une vérité en v raie, qyi serait sainte, xsainte et sacrée, de type "CXh arité" , "Charité consacrée" , "Charité Vraie" des dxonnées en herbe,
adolescere
adolescere
adolescere
adolescere
adolescere
adolescere
adolescere = en herbe , de pré et de près, car ................. on aime !!!!!!!!!!!!!!!!!!! on aime grave l'herbe, le passé = passé remonté, le pré, ce qui "précède", les trajets, la route des fées, l'ombre du doute, l'envoyé des données outre. On veut creuser de chez creuser la poutre ! consacrer = tracer. Dire = passer. Poindre = ponctionner ......... de lait le Néné !verbe, verbe, verbve, verbe, verbe , verbe en herbe d'herbe verte comme les traits (ici) des dessins de traîne ! l'amitié ! les restes centrés ! la chance acidulée ! le Passé est (pour ainsi dire) TRAITS . TRAITS CONSACRÉES. TRAÉITS APPOSÉES SUR PIERRE RÈCHE. MAINS SURNUMÉRAIRES ! MAINS SURNUMÉRAIRES. MAINS QSURNUMÉRAIRES . MAINS OUTRÉES, TRAQUÉESZ, CRACHÉES ! TOUTES CRACHÉES ! SUR PAROI DE ROCHE CACHÉE , AU FIN FOND DES OMBRES. on est née fée = fée des prés = fées prairiales des "saturnales", et autres fêtes de contrée . On veut gr ave tr acer-aimer pareille S&turnales Olé olé , sans déconner. Grave aimer. Grave charger. On veut sans rire aller, vers ............ ciell des fées ............. étoilé de chez étoilé comme au débotté !aimer = dire = faire =cerner = poussser = comprendre = entendre = mesurer = pister = saluer la Hampe ! trait des traits ! Ambre aimé ! trait des traits tracés sur ciel de tra&it ! on entre ................................................................................. on veut toucher à ce Néné "des données lactées" ....... ventre ./............ ventre de trait ! pis des pis ! pis des spi de rage "dense" ! traits tracés à main levée p& r une dame de connivence : à l'ancienneté ............................................................... aimée ................... comme adulée ................................. allouée à une sorte de parade à ....., en vrai ...., ici, ............... tracer de chez tracer..............au stylet, .......................... au soufflet ?/................à la paille (courte-paille ?) ................... comme Passé de CHarme et autres faits ancrés .......... qui swait ? qui connait en vrai les "souffrances du passé tracé" ? qui sait ce qui est qui reste à supporter en termes de passé "de face" ? qui cfomp^rend = entend les données profondes hautes (dolors post-porte) ? On veut creuser la roche, dessiner, graver vif un certain nombre de tracés dits "animaliers" mais il s'agit (au bout du compte) de "mots de porte" et autres "envois des hauts" hors caniveau. On veut (de fait) toucher de chez toucher, à cette sorte de donnée, de "porte haute" (on dira étoilée) qui est ce "ciel de roche", "ciel de mer", "ciel des ombre's hautes". On est La fée "Des Roches Gravées", sachant "percer" (sans traîner) la pierre de porte, et passer , passer dès lors vers .... ce passé aux traits, traits tirés, des doonnées "accortes" (étoiles de la mort haute). On est née fé car on s'aimait ! On est nées des fées (fée au singulier ?) car on s'aimait = on s'accolait , on voulait se souder, se coller ailée ! Et tracer ! et en vréai on trace, ok ....... mais bon .......... le chemin est rude , d'aventure ! on doit peiner, tracer de chez travcer c'est vrai mais le temps dure , temps dur, qui nous voit fatiguer de chz fatiguer malgré notre allure , notre foi et aussi bien la vie (en nous) qui carbure ! ç'est dur ! ça envoie du bois ... dans les rainures ! pas si simple ma foi de cerner ....................... c e qui est ............. qui là-bas de fait ...................... nous reluque ! grave nous relusque ! faut trimer ! voler-voleter ....... de bon augure ok mais ... c'rst un fait : on doit tracer / trimer jusqu'au bout des tréits ............/........................ = creuser ! tombe de bure ? on ne sait ! on monte ! on creuse haut les mots "de trop" .............................................. vive allure ............/........................................ au chalumeau ....................................... et à la revoyure ....................... tracé de mots de trop sur paroi rude ................................................................................................................................................................................. au tro
t .......................................................................... au galop au galop au galop ........................... de bonne mesure ! ON est néedc, sur pieds,la mort ancrée, on veut ... monter ! aller haut sur Hauts, vers ce ..... néné des HAuts et autres sein donné "de bonne aventure" ! le niveau ! roche en gros ! époque des mots et autres traits des hauts ! On veut toucher rtoucher touchezr rtoucher toucher toucher rtoucher toucher à ce qui est qui semblezrait de fait vouloir nous aider, à cerner les données de près . Données doctes des faits avérées entérinés, faits des fées. On aime ...... et du coup on sème ! On veut grave cerner , aller sur pré à la recherche de données "semées" et autres graines de tracés en herbe . Traits ici comme
gravés-dessinés
à main levée en vrai. Hezrbes ? ça se peut ou se pourrait , ça ressembkle en ezffet à quelque chose (on dirait) de similaire : pluie de traits ... d'herbe ? on dirait que c''st , de fait, en vrai, des sortes de traits allouées, sur roche) à un dessin de ........... pré ??? qui le qsait ? qui connait la chose , la chose profonde ? On veut creuser creuser creuser la roche, paroi haute, et trouver , trouver de chez trouver ..... des choses ! des données de porte , genre vérités sacrées, choses doctes, paroles hautes, mots sacrézset autres parabioles accortes (don de fée). On veut aimer aimer. On voudréait toucher , à ce (dit) "néné des c atacombes" ......... oh, de près si tant est, pour, en vrai, mieux téter de chez téter et se rassasier du bon lait de roche (trait). On veut :
creuser creuser creuser creuser creuser creurser, creuser en vrai la roche meuble (fontes) et "aller" .............. = pistonner ! ......... poussser de chez poussszrc la carmagnole, danse "saturée", danse-transe au taquet ! ronces ! foin ! herbves folles ! on monte ! on saute ! on ne s'e,n laisse pas conter mais grave on monte-saute, alloons loin ! cherchons le train, bon train d'époque haute : le tintouin ! la roche haute et tout ce qui ici (de fait) s'ensuit, en termes de roche, de tracé de portte et autres mots hauts. On veut toucher toucher toucher au plus haut niveau la roche "accorte" .................... mots des mots ...../.................... mots-bêtes au lamparo ................................. on mùonte sur les hauts de Roche HAute dite "des moçts hauts de haute Époque". On veut grave dire, ou comme dire , les données de ROche, sur frise = dessiner-tracer, sans traîner, et de féit construire ./........... sorte d'ÉGLISE .......................................................................................................................................... sorte d'ÉGLISE DU VIVRE ........ sur p aroi de fée ou de fée-fée, fée ailée tracée. On veut :
toucher touycher touycher toucher toucher touycher touycher touycher toucher toucher touycher touycher toucher toucher roucher troucher toucher toucher toucher rtoucher rtoucher troucher toucher toucher trouchervtoucher toucxherctoucher touycher à ce né né dit "du passé ancré" ! Et téter, forcé ! cxar oui, on se sehnt obligée, car ...... on adore le lait ! on ne peut y résister ! on veut téter téter téter de féait ici ce lait, des données hautes, genre "de porte" ... et même plus hautes ! On voudrait :
aller , sonder, pister, cerner sans traîner, poussser poussser poussserde fait ce trait, jusqu"'aux données hautezs ou les plus hautes jamais rencontrées .... étoilées ? oj,n monte ! on monte hautes de chez haautes ! on monte de chez haut des hauts sur Roche des Mots (paroi docte)?. On se prénomme ............... Pou ! .................. le POu ! ......................... petit Pöu ( philipou) des trous et autres traits de Roche .... où donc pouvoir, dès lors, passer le nez né , et enttrer. On veut creuser de chyez creuser la roche à ici traverser et sans compter. creuser creuser creuser Roche au pré , passer, saluer , s'approcher des bêtes de trait, continuer, voler / voleter et se porter jusqu'aux nénés des données lactées genre étoilées , mer de S&inteté L actée , traits des traits tracés à main levée par une F2e Ancienne , qui sait. On veut : aller, dire, poster, construoire, chercher, donner, filer, chercher, sédiuire de près, pareille Sommité agraire, bovidé des bovidés des terrres et autres sols sacrés ! terre des terres, terre swaluée, terre auto-centrée ! on cxherche à ...... peut-^tre , creuser de chesz creuser le ...................... "szillon de l'être" spigrocon ! ....................... spigolon des termes ! tete ? trait né ? cherche-merde ? on ne sait ! on creuse / aime ! on veut de fait :
toucher toucher toucher toucher à ce qui est qui ici se présente, en vrai, à nos instances ! le Passé ! le Passé Remonté ! P assé dense comme les blés ! on entre, on entre "ensembvkle" en transe, ailes déployées. On est la Fée des Panses, ici lovée./ On veut tracer sur pied l'être des données tel qu'on se le représente =
acidulé, vrai, ancré, soulevé, tout remué, chargé de bonne intensité, comme tracé à main levé, chahuté, coché, pris sur le fait d'une sorte d'envolé massive, une frise , trait de frai , âme cxomprise. On veut creuser, dire et sonder, porter-mesurer, aller-donner, vlouloir aller ............. sans plus se retourner, vers un ciel lacté = sainteté lactée = ciel aimé. Chercher la frise, le dessin de l'hydre, signe (signe tracé) d'un trait du dire, du "dire Accouplé""""" , "Dire centré", "dire des dires et autres dires genrés" . traits des traits. Vie des vies. Son des Sons. Mises en pli de dires sacrés sur paroi pré-pré. Car, la paroi devant soi, est paroi pré-pré, qui renvoie aux données des données, de type "bestiales /animales". On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher à une sorte de ...... parade sarde ? on ne sait ! sarde ou pas sarde on veut toucxher à ce qui est qui nous regarde ou nhous regardrrsrait comme de biais , de type manaçant / menaçante, regard en biais qui szerait mécontent vis à vis en vrai de ce qui, de nous, est donné = vivacités, vivacités, vivacirés, vivacités, vivacités, vivacités, vivacités, vivacités, vivcacités, vivacités, vivacités, vivacités, vivacités, vivacitésq , vivacités, vivacités, vivacités, vivcacités , vicacités , vivacités, vivacités, vivacités , vivcacités , vivacités, vivcacités, vivacités, vivacités, vivacités, vivacités, vivacités, vivacités, vicacités, vivacités, vivacités, vivacités, vivacités , vivacités, vivcacités, vivacités, vivacités, vivacités, vivacités, vivcacirés, vivacités, vivacités, vivacités, vivacités, vi vav-xités, vivacités mais, en vrai,
jamais la vie , la vie pour de vrai,
et ça le cfait grave chier, suer , râler, car, de fait, la Mort est super centrée sur , ici, ce genre de "do nnéé xde vie", , de données vives ws'il en est . Elle veut grave la vie, la vie-vie, et pas du
"wemvblant de vie" (les vivacités)
qui fait son effet ou son petit efffdet mais en vrai ne comble pas (jamais) l'en-vie de vie vraie (complète) de La mort Haute. On donne, on rallonge, o,n pousse. hautes formes sur paroi de Roche : auroques, buffles d'oc, antilopes des sons de cloche, bouquetines vives (très) et autres cerfs de haute Volée, mais la Vie de FAit (Vie-vie) : jamiais (sur paroi-muret) !
25/2/2025
On est (on serait) deux pour ça : ici cerner , ici cerner un certain nombre de données de base, par exemple : ce qui est qui nous fait face qu'eest)-ce que c'est . On mate ! hou, on voit ! on regarde "grave". On envoie du bois ! on est là pour ensemble comprendre un certain nombre de données de Rage ! les tracas, les ambivalences, les voix, la Chance au Passage et autres tralalas de mainrtenance. On y croit ! on veut toucher de chez toucher à ce qui ici (en soi) se présente, en tant que voilà , une sorte de Domaine Dense, Pré aux Bois, SSainte Place, un endroit de Base pour des Sortes de promenade en veux-tu en voilà vers plus loin (là-bas) lav Muraille . On voit là-béas ce qui se présente, en tant que Ça : Mur de Passage en Transe, une sorte de voie pour un passage en transe jusqu'aàl'au-delà de l'au-delà de la Parioi . On veut toucher ensemble à cette chose d'un TRacé de base ... pour Soi, à savoir ............. iune VOie, UNe sorte de VOIE, qui, ici, en face, nous "regarde". est-elle un trou, trou dans le paysage ? ou bien : échancrure nature ? un passage "intense" ? trou du Moi ? un passage dit "de Paroi attirante""" ? Quoi, ça ? On enttre ! on entrte "ensemble". On veut aller en vrai au plus profond de cette Chose "iintense". une voie pour l'au-de;à ... ça serait BHath ! O,n y croit et du coup on voit ! on entre en cet antre "au-delàa" ... et qu'est-ce qu'on voit ? on voit ici
eh bien des choses qu'on ne pensait pas en vrai trouver en cet endroit, comme, par exemple : des (sorttrezs de) traces de pas, des traces de passage anciens, des chemins, plein de chemins qui sont des chemins qui on dirait mènent loin, mènent ou mèneraient peut-être au trèe-loin ou bien au plus loin lointain d'un au-delà à ÇA, qu'on voit devant soi : la paroi, la paroi "des bois". On regarde et on -se demande si des fois on ne pourrait pas ici creuser ensembkle vers ces "lendemains de base" . Et du coup en avancer ensemble (grave) dans les connaissances. On veut ensembkle en vrai intensément touchger à ces contrées qui nous rassemblent ou nous rassembleraient une fois la paroi (des fonds de pré)- traversé , traversé de rage, vers cela , là-bas, qyui nous regarde, sans nous l^cher, sans nous abandionner une seconde. Qui c'est ? peu-têtre ... Chose ? Une sorte (qui sait ?) de Donnée d'outre-monde ? une sorte de Donnée de Roche ?
on mate ! Qu'est-ce qu'on voit en vrai ? on voit des sortes de données "potaches" .... traits de Voies = des tracés , à même le .................. Passé de SOi ? qui le sait ? quyi voit ? qui comprend ici ce qui est qui se présente à nos endroits (à notre endroit) ? On creuse la VOie car voilà, on veut cerner ensemble ces "données intenses" post-paroi, post-paroi du pré = paroi 2, de par la foi. On veut :
- toucher toucher toucher
- cerner cerner cerner
-entendre entendre entendree
- cntrer co ntrer co ntrer .... et du coup tracer ! car, nous, notre volonté la plusq ancrée , est de toujours toujours toujours continuer de chez continuer à creuser creusezr creuser, cette sorte en soi de paroi, des ROIS_REINES de là, la BAse, BVase Antrale. On a envie ensemble de creuser le plus possible c e qyui donc, ici, devant nous, se présente, se présente à nous et nous fait signe, et, ce signe , en vrai, à nous d'apprendre (pour ainsi dire) à le lire, à le comprendre ensemble, à savoir le voir, à cerner ses traits, sa façon de nous aborder ou de nous toucgher, à le voir en ce qu'il est en tant que (pour le coup) Message à destinée. On essaie de se rapprocher, le plus possible, ensemble , de ce trait aux do nnées lactées (nacrées) . On veut toucher à cette chose déployèée, qui fvoudrait, peut-êttre en vrai, nous rensezigner sur, ou nous enseigner le .... "Théoreme Ondulé " de la Vérité Tracée ... ? on ne s ait ! On est accolé&es (on est collées) et on trace de fait ensemble vers ici ce ... Tracé, d'une sorte de Charade on dirait, Charade-Trace, Charade qui saurait (en vrai) nous donner, des sortes de Réponses comme Soulevées, Réponses au TAqsuet, concernant la Chose = la VFoie = la Mort à bout de bras ... ou quelque chose comme ça . On a envie ensemblke de toucher à ce qyui se présente et nous regarde de la tête aux pieds. On a envie de ensemble) toucher-cerner, un certain ombvre de données de base, des données de Rage, données "Denses" qui, de fait, serait ici (pour nous),
des "données" Coriaces", Données Dures s'il en est , à devoir, du coup, "envisager " ou "appréhender" ensemble dans leurs longitudes et latitudes d'altitude. voyons ça ! creusons ! essayons de voir un peu, ensembkle, ça ! ce qui est là qui semble devoir (de base) "noius parler" par des sortes de "treaits" (de Rage) "à toi à moi", qui sont traitsq pour ainsi dire sur ... paroi de base ! paroi dite "de-roi , -et-de -reine -
... de Rage" , on croit. On veut toucgher à cette sorte de .... post-pré (pour ainsi dire) "des temps alloués", traverser, passr sur pieds, aller de l'autre côté, essayer de cerner , cerner de près, les données "iintenses" telles qu'elles nous apparaissent ou nous apparaitraient en face . On est :
Bêtes sages, Bêtes-Foi, Bêtes-Traces, Bêtes-Envois, Bêtes)--Crasse, Bête des Données de base en soi = traces sur paroi de CXhâsse ! On est là ! on entrte ! on veut comprendre , et, du coup, intensément nous appriocher de ce qui est, la Paroi Passée, Paroi Haute des Données Profgondes. On veut c'est vrai toucher ensembke à ce qui (pour le coup) ici , pourrait grave nous dire des choses, choses et autres concernant en vrai eh bien tout un ensemble de données progfiondes qyi pourraient de base nous donner de fait de quoi cerner = toucher à ,
un certain nombre de choses liées à la Foi. À la foi profonde en l'au-delà. Par eexmple : des tracés, des traits, des desssins sur murets et autres tracés à main levée. On veut toucher (de notre côté) des Données. Les toucher = les appréhender par ... du doigté de près , à savoir : par des sortes de pose
de main sur muret ! On veut toucgherb! on veut s'accoler ! soit ... s'acvoqyuiner ? on ne sait ! mzais coller de chez coller à cette Chose , à cette sorte de Passé, de Passé REmonté ! Remonté des catacombes ! On veut toucher de chez toucher à ce Passé des Catacombes ! et "tracer" = filer = foncer = aller, dare-dare vers ... ce Passé qu'on ditb "Remonté" comme si de fait ça se pouvait mais qu'est-ce qu'on en sait ? On est nées de fait fées sur pré pour .... peut-êttre ? tracezr ! = foncer = ttrraverser, par ... "la fenêtre de l'être" ? le muret Dernier ! On veut ............ coller de chez coller à pareil muret des Données Dernières et ... tracer ! traversezr "en entier" le "Cimetière du pré", et alller ..... loin .......... toucher /............. N2né ! le Néné du Verbe = le Lait ? on ne sait ! on cherche ! on a grave envie ... de trouver ,
à cerner , à comprendre, à voir de près et clair ce qui est qui se présennte, à nos doigts de fée, ailes déplissées, jambes élancées prêtes à npoous propulser vers une sorte de CIel Lacté ! néné ! néné ! néné ! néné ! on veut toucher = téter ! c'sst vrai que nous (fée) on aime (on adore) téter ! on veut toucher à ce Néné du Bout du Monde " ! le Néné est né qui serait "the Néné" de l'Aube ! trait du lait ! on veut creuser ! on veut toucher-creuser sur pied ailé ce Néné au Lait ! et téter ! boire si tant est ! toucher de chez touchezr et y aller de nootre traduction-passion ! On veut :
creuser de chez creuser
aller de chez aller
toucher de chez toucxhezr
poser de chez poser
faire de chez faire
Nous donner à e trracxé du bout des bouts des données Debout . Qui on est ? des fées ! fées passées post-pré, post-données prairiales des tracés de base. On veut aller "ensemble "", de RAge,
Au plus loin de là. La base navale ? Mer de poix ? Traits tracés comme des vagues ? l'eau de là-bas ? l'(envoi, ou l'envoidde l'envoi de Charme ? On ne voit pas tout du tout. On voit des bouts . On veut , on voudrait, voir plus , et du coup ..... cerner ! cerner grave, les données données par une sorte de , oui, Vague sur le Quai ! la chance sur trait ! une sorte de Passé Intense, qui remonterait et saurait nous dire ou indiquer ce quy'il en est de cette chose ici tr acée comme à main levée et dont le nom est :
Vague ? Vache ? on ne sait en v rai ! on est née sur opieds Fée ailée dans un pré la mort donnée, à préxsent voilà, on avance ! on creuse Voie ! on veut co:=prendre ensemble "des donn"ées ", et tracer, ensemblke, post-pré, un "sentier des connaissances" comme qui dirait ! On est nées Fée de Rage la Mort donnée ! devenu F2e ! Fée des prés ! On meurt et, automatiquement, on devient (qu(on fût homme ou femme) fée, l'homme disparait, la femme trace, la Fée naît ! on entre ! On est née "enwsezmùble " = traits ! traits de "fée de connivence" on croirait ! On veut :
toucher à e quyi est qui nous "rassemble". On est née en France (il semblerait) et à présent on veiut tracer, au plus près, les données de RAge, kles Do nnées de Base, ce qui est qui est qui ici env rai se préwsenteraiet et nous donnerait de quoi cer ner-toucher à des données telles que voilà, on pouurait, avec elles, toucher toucher au Néné post-pré = le Né,né , Néné né Lacté à pouvoir tétezr ! On veut de fait toucher de chez toucher à ce qui est qui est qui nous regarde ou nous regarderait sans discontinuer une vie Durant ! L'oeil des Treaits ! traits des Traits ! On est Fée de fait la mort donnée ! OUT, l'homme ombré ! l'homme au port ! l'homme est écarté , mort = enterré et auttres faits. On est passées ! fées ! fées ! fées on est ! On est des fées pzrmi les fées xd'une sorte de Contrée des Données Ancrées ... le Pré aux traits ! bêtes de Somme et autres Bêtes de trait ! beêtes "de la mort" , ohhh ! Ce qui est ! On est nées ! on est parmi les bêtes Grossses : bisonnée de roche ! On porte ailes de fée sur pré aux tracés ! nées fées ! homme enteré laissé derrière, dans la terre ! et ici ...... une envolée , envolée de fée dite "surnuméraire" ailée ! on est montées ! on a franchi pâs mal de paliers et nous voilà comme "adoubées" par une sorte de Prairie aux données fvrontales , THE pRAIRIE, la chance ! fée de FRance ? non ! du français , la langue ! langue usitée, ici p arlée, le fr ançais du ventre ! On veut :
coller coller coller
donner donner donner
faire faire faire
creuser creuser creuser
connaître connaître connaître
dire dire dire
cer ner cerner ern er
CHerc her à , pour le coup, aimer ! aimer la Base de Do nnées ! comprtendre = aimer, imer creusezr, toucgher, cerner le Verbe comme Déployé la mort ainsi abordée. On veuit :
toucher toucher toucher toucher toucher à ce qui est ici qui nous dirait ce qu'il faut penserv de ce cimetière aux données tracées comme sortes de traits .. de Basse Porte. On veut :
toucher touchger toucher toucher toucher toucher à ce quyiu est qui; , en vrai, EST . A savoir : la Rage ! Rage acidulée, d'un tRait de Base ! tracé ! trait des traits tracé à main levée sur .... Néné ! trait de lait ! la Rage ! le Passé comme remonté et nous voilà qui sommes là, en tant que Fée post-pré, à cghercher ensemble à pouvoir comprendre ici et là ce qui se présente à nos .... doigts effilés (?) ou pas mais qui , de fait, cgherchent à ... toucher que tu toucheras, le Néné du Lait, à téter, tête première. lait pour Fée Primaire ! Le sacré ! la vive intensité de l'êttre, ! le Passé rena^it à l'Être et se donne et pas à mpoitié ! On veut toucher à ce quyi est qui ici se préxwe,nte et cherche à nous donner de quoi cerner les données inte"nses ou dites telles. on aimerait pouvoir ensemble comprendre, ici ou là, ce qui est qui se présente à soi, données denses, treaits de fée, charges outrées, colle et collier. On est nées Fées sur pré et à présent on veut graver, creuser, tracer etc., un certain nombre de Dessins de Foi , traits des traits, sur Paroi Finale, Ultime Paroi aux tracés de Charme : bisonnée ! traits frappés, creusés, armés, crachés, soufflés, dessinés (de Rage) sur Roche frontale. on a envie ensembke en vrai, de comprendre-cerner un certain nombre de données de base, des treacés de rage ... mais pas que, aussi des sortes d'envolées notoires, de type "traductions fatales". qui est qui et quoi est quoi . Toucher à cette sorte ici de "limonade" sur paroi. La Foi est une sorte de ... P aroi de Base. On envoie ! on entre ! on renttrree ! on rentre là ! on ne veut pas aller plus loin dans la panade, mais tracer , aller, se sauver, cerner, piger, allouer à une sorte de Tracé un sembklant (de fait) de Vérité. On est née ! née fée ! homme achevé, fée né , ailée ! On ne veut plus tracer pour tracer , mais tracer pour ... tracer = filer ! passer ! pâsser de fait en tant que fée (bêrte de trait) vers ce Passé du Néné du Lait ! = téter ! tête allouée à une sorte de tétée de Verbe-lait = V-herbe = Verbe d'herbe " ! On aime ! OPn veut creuser cequi ici est, qyui se présente à nnousq en tant qu'on est des ............................ êtres(de pré) ailés ! ............................................................................................................................................... on veut grave aimezr = dire = cerner = comprendre = conjuguer .... un cdeertain nombre de données de base ! les comprendre = les toucher ! On veut :
toucher toucher toucher à ce qui est qui se présente ! On veut : aoimer ....................................................................................................................................................................les traits, traits de RAge , Traits Tr acés du Passé de bbase ..............................un néné est né qui se présente acidulé prête à être tété ! ................................................................................... on veut le téter ! l'aimer! boire du lait ! s'en garga(riser en tant que Fée Tracé sur pieds dans la mort donnée dite "du bout du bout des contrées aux fées ". On veut toucher à ce qui est qui se présente on dira "debout". On entre ! on entre à genoux ! on est au bout du bout du bout du bout, prête à ... entendre .... la VOix Ample ...... d'une sorte de REine De Rage ......... Tra cée ............. rEine des Données de base .............. Rei,nes des Entrées ..... sorties de La,ngue ! loa Paroi est franche ! sondée ! creusée sous nos pieds ! on veut (nous : fées !) s'envoler sans plus (ezn vrai !) faire desimagrées mais y aller ! poussser de chez pousser ! tracer de chez tracer ! aller de chez aller ! faire ainsi que les dsonnées en vrai sooient, pour nous ... eh bé données, peut-^tre ... petit bout par petit bout ... ou alors d'emblée ? toutes données et on saurait ? une fdois pour toutes on saurait à quoi se fier ? On est nées Fées du Bois Menu, on volette, on veut comprendre ce qui est, on cherche loin, on veuit aller ... au plus loin des contrées ici toutes représentées à notre approche. Creuser c'est cerner, on sait. Qui on est ? des fées, sur pieds, qui sont a&ilées du fait que voilà.... fée = ailes ! On aime être fée parce que voilà, on est munies d'ailes. On v eut ensemble gagner sur pré les dernierts contreforts, comme tracés , qui seraient (pêut-êrte) sortes de Murs d'enceinte, de Rotonde Allouée, d'enclave profonde aux herbes folles et bhêtes desomme que .... bnous sommes ? fée / bête de somme ? fée / bête de trait ? qui so=mmes-nous en somme ? fé de Somme ? fée de TRait ? fée adoubée dédoublée doublée ? on cherche enxwemble ici et là sutr pré à du coup envisager ce qui se pourrait en termes de réponses à des questions "profondes". On veut (certes) aimer (aimer cerner) mais aussi "toucher" , toucher à ce quyi est en termes de .... Plaie ? on ne sait ! en termes de .... Chose a&llouée ... à .............. La Moprt ? peut-^tre !
oh, peut-êttre ! on cherche , on avance ensemble (... on est des ailes !). On est née Fée au passage Donné (= le trépas cendré) et passé ça, donc : le ou la pré-toundra, nous voilà accolé à une sorte de muret, soit de muret de fond d'allée, prête à "déjouer", à "lâcher les treaits" , à se "dépiauter" d'un cezrtain nombre de "qualités certaines" , du genre ........... la traine ! les ailes ! le diadème ! les bouclettes et autres traits cilaires ! et hop ...... avoté ! .................. on est passée ! on est passée... xde l'autre côté du muret vers ..... la "Mer des Herbes" ? Mer Haute du Verbe ? mer des Traits hors Roche ? On est la fée Haute ou ... on sezrait ? on monte ? dans la mort alvé-olée on monte, vrai ? On, monte haute ? feé-femme du pré, monte haute la mort (ultime) allouée ? On veut creuser = dire = faire = cerner = comprendre =cxher cher = aller = sentir = franchir , ici ou là (treait d'ultime paroi) la Rive , RIve en Soi de l'Au-delà à soi ! la Chance = la transe ! On veut toucgher à ce qui se présente ou se prése nterait, en termes de :
Connaissance des Entrées , des TRacés de fée, CXharfge Haute sur Muret de Roche ! creiusons-filons ! ou même : creusons le filon ! Cherchons docte ! pousso,ns grave la Chose, d'une sorte de tracé de fouille ! allons ! chercheons ! filons de fait sur tracé haut ! allons toucher à cette sorte de ... Passé Haut .......... Enfance du trot .......... enfance du trot .................................. creusons "haut" la Chose ...... Le passdé est une réponse. Il sermbvlzaerait de fait que le Passé fusse Réponse .... ancrée ....... en cette chose d'un ........ Néné de lait ! et du coup, on peut téter ! tétons ! allons sur pieds à la rencontre de ce lait , cxherchons ensemble ce qui est qui est, qui nouis "r assemble" ou nous "r asssemblerait" autour du lait, lait de trait ! courrons ! fil:ons ! chezrcjons ! cernons ! poussons ! poussons vif la Chosqe Haute ! le Passé est cpomme "remonté des catacombes"" où il se terrait ! on veut tracer et du coup cerner tout un tas de données de type "bêtes de treait", '"bêztes de paroi", "bêtes s ur roche donnée", , et .............. voies ! voies d'accès ! On veut toucher toucher toucher toucher à ce qui est ici qui se présente en tant que Lait Donné , à téter, à ingurgiter = avaler pour se requinquer . Toucher = dire = faire = cer ner = cxomprendre = induire = szoulever = pouysser = calibrer un dire aux données du Rire ! Le Passé ! le passé traqué ? ou disons : poussé" ! car, le Passé est avant tout , du Rire de Pré ! Passé-Rire = Vie de RAge = Vent de face , prout ! la chance ! on entrte ! on creuse dense en transe ! filon ! trai du fion ! on veut :
coller coller coller coller
chercher chercher
dire dire dire dire
sonder sonder sonder sonder
pousssr poussser pousser pousser
creuser creuser creuser crreuser
adouber adouber adouber adouber
faire faire faire faire
centreer center centrer centrer
comprendre ensemble et toucgher ensembgke .... à ce Néné de Contreba,nde : THE Néné de Contrebande ! = le Passé ! le Passé Intense ! car, le P assé est né, qui nous attire à lui au plus profond ici xdes données données telles que rencontrées , offertes allouées , à une sorte de Tracé donné. On veut creuser de chez creuser le M%ur du Son ..... poussser poussser poussser vers le Fond, Roche Haute, la plus Profonde, Haute Roche des TRacés de porte. On est qui ? on est Fée haute, passée, qui avons travezrsé le muret DErniezr et nbous sommes comme retrouvées .... de l'Autre Côté, à devoir "sonder "(en vrai) les données Hautes = le Néné des Nénés , Roche au pré passé, la Haute Futaie, Mer des traits ! vaguelettes ! vagues et vaguelettes ! mer ancrée ! mer des données vertes ! traits sur traits ! Verbe centré ! on veut toucher à ce qui est qui wsembleraiot vouloir, ici, nous donner, des sortes de ....................../.................................................................................................. vraies vérités tracées ./............ treaits = vérités ,.............................../.................... traits ancrés ........................... oiN aime teracer et cerner, chercher et toucher et diu coup possusser, pousserr haut le Verbe "chaud" ! Toucher ! On veut :
dire de chez dire, êtrte de chez êttre, creuser de chez creuser, faire de chrez faire, cerner de cherz cerner, poussserrt (en vrai) de chez pousssr, co nnaître de chez connaître, cerner de vchez cerner, centrer de chez centrer, pisserrt de chez pisser . qui on est ? bêtes de trait / fées ... ça le fait ou le ferait ! car, en vrai ................. on aime êztre ! dire et coller, cerner et comprendre, charger et filer, sonder et marcher, voler et monter , monter vers ELLE , ELLE VRAIE , ELLE ... DONN2E XDES DOONN2ES, la DONN2E DES DONN2E, DONN2E VRAIE,, VRAIE DONN2E DES DONNÉESQ , Vraie de vrai ! On l'aime ! on veut CERner = enrober ! donner = dire = faire = coller = ciomprendre =cghercher = sonder ...... un certain nombre de "données intenses" , qui seraient .... eh bé oui peut-^tre .... dxes contrées , aires désertes, mers Égée ou autres mers post-pré ! On veut :
toucgher touycher toucher touycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher ... à ce Passé de Mer, Mer Des Fées qui ont (de fait) traversé la Roche, Roche DOnnée, vers du Passé d'encoche ! trait ! trait nacré ! trait très très nacré ! on dirait ! On creuse un trait, et dans ce trait ou par ce traiot on essaie........../............................................. eh bien oui, de s'immiscer, d'entrer, de se loger, de se placer et de passzr ainsi pelotonnée vers une Contrée, ou Contrée Nouvelle , dont le Nom erst ...... kle Passé ! le Passé de l'ÊTRE, Passé Né = re-né ... ou comment stipuler ? On veut creuser (ensemble) ce Pasdsé , mais comment creuser ? voix de Roche = voie donnée = sentier ! tracé né sur sol de Roche ! on vfeut aller aller aller comme à nous envoler de tant aller ailée ! Volons haute ! montons ! fouillons ! creusons, THE Roche aux Passions ! et allons (si possible vive) vers pareille Cloison, Cloioson de l'Impossible , ou du non-impoosible, ou deu inconcxevable , ou du cfoncevable ..... mais allons ! creusons ! foulons sol, post plancher des vaches ! allons bon train ensemble vers le fond ... xdes fonds de RAge : la P assion ! Le Ventre ! le Front ! Antrte et Fond ensemble ! On veut comprendre et, de ce fait, on entre dans l'antre, ici, des Passions Franches , Passions des Passions Franches et autres Passions de branche. montons ! on veut ................................................êytre .............. née ................... dans la mort des contrées ... du Passé ................ bébé ! ............. re-bébé ! .................. à nouveau ancré ! fait ! chargé ! alloué à une sorte de "contrée profonde" , de type ........ re-rotonde ? On ne s ait ! O,n mùonte ! ..................................... l'homme desc ent la femme monte ! ............... monte haute ! .................. ailée de Ro-che ................................. homme croche (accroche)........................ bec dans l'aue de roche : caniveau, le drôle, au museau ! ............................................ paroles ! .............../............./. fée vhaute monte et cherche porte ! ................... porte des Hauts ;............... szorte de porte Haute des Données Profondes sur Poteau ! ........................................................................ o,n veut grave (ensemble) toucher de face, ce squi est qui en vrai nous rassemble ou nous adjoint ou adjoindrait de connivence ! on est née Fée la mort donnée sur pré (pré paradisiaque) et ... le pré "consommé"", on se prése nte "ensxemble" (ailes de fée) ........ à cette sorte de Donnée "intense" , Feu des treaits , traits des traits, ........ engeance ? p)eut-^tre pas en vérité mais quelque chose comme ... sorte de ....... connaissance ............... une façade ?? ....................../....... face allouée à une szorte de Parade ? parade d'antre ? ........................../....................... on veut cerner mais pour en vrai de fait, cerner de chez cerner ... eh bé vas-y, creuse, creuse e,n transe ! pas si aisé ! ça trezmble ! c'est pas do nné ! ça demande oui un vrai doigté , deoigté de fée , qqui parfois manque ! la malchance ! O, n entre ! on veut coller de chez coller à une destinée-parade, le tracé "français" est (ici) trace de base, mortt allouée à une sorte de p)assé de FRance, un Passé mort-né qui ici re-naît, comme par miracle, du néné donnév = lait ! Lait dense ! voilà le Lait ! Lait post -pré tel qu'on le rêvait , le voilà "acté" ! trait ! trait ! treait donné ! trait des teraits donnés, sur Passé Intense tel qu'imaginé en quelque sorte dans nos pensées. on est entrées .............................../ poussons donc la promenade ............................ au p^lus loin possible qui se pourrait ................................ v ers ces données dites "du bout duu monde" et des copntrées "hhautes", dont plus haut on parla&it : c'est quelque chose ! ........................... on monte haute car voilà, ..... on est Hautes de chez Hautes, F2es de POche ! poche et Roche ! F"éée Forte !Fée de porte ! on monte ! ................................................................................................................... on veut toucgher toucher troucher toucher toucher toucher toucher à ce qui est qui , tout en haut de cette CDhose Haute, nous "contrôle" (?) ou nous contrôlerait (?) qui sait, sans discontinuer = tout du long de notre avancée ou ascension ou montée / envolée. On est née Fée Forte ! accorte , quand ............"morte" !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! il semblerait. Ce qui, en vrai, signifie que cvoilà : on est ................................................................................ comme accordée .......... à une voix ........... voix de l'au-delà ............... aux données de base = voix dense ! voix intense ! = voix des voix = ............... voix de Rage ! .....................................; VOIX = VOIX DENSE ................................................................................................... Ici on veut comprendre ensemble, eh bé des chjoses qui pourraient peut-êttre, il semblerait, nous ap^porter, qui sait ? des vrépônses, à pas mal de questions qu'on se pose et qu'on se pose ici, de"puis, eh bé ... pas mal de temps, de fait, maintenant. qu'est-ce que ici en vrzai cette CHose, d'une Soerte dee Porte Haute, pourrait nous do,nner ou offrrir, en termes de Données profondes ? ,on veut trouver. On est vachement motivées parce qu'on est des fées, on est toutes passées (dans un premier temps) à travers la roche ou "roche -roche", mur de grotte, p âroi "hot" , et mainteneant voilà, maintenant que nous voilà passée pour ainsi dire de l' autre côté, côté pré, côté "paradis sacré" ou "quelque chose comme sacré", bnous cvoilàb qui voulons toucher à une sorte de contrée qu'on dirait , on dirait, "définitive" ... de type "portée" ........ de type "ligne ou tr ait" sur laquelle ou sur lequel pouvoir de fait s'installer comme qui dirait "l'ooiseau ou un oiseau de ligne" ! On a envie de vivre ! sans céder ! d'aller, si possibvle, au plus loin tr acer! chercher donc cette ligne post-pré qui sezrait " la Ligne divine" ........... treait des traits ...... fine et gracile ligne post-pré ! une ligne "active" ................ qu'est)ce qu'en vrai ça pourrait être ici de fait , que cette ligne "auto-portée" comme une sorte dee ............. ligne vive ................... ligne allouée à un tracé de rive ..........................ligne de trait ???? ligne du Passé ? qu'est-ce que ça sezrait (alors) que cette ligne, içci allouée, à ........ des vivrzess ? ma Voix ? Chant de Rive Sur Tas ? trait de soi ? vivres et autres offrandes allouées à une vie ....... après la vie ......... ap^rès la mort pour ainsi dire, mùort comme prise en sandwich entre ici la
Vie de base, TErre Maternelle, et là, la
Vie "Intense", dite "du Passé de RAge " .......................
Est-elle (ccete vielointaine) Vie Passée, Vie déjà cernée ? Comment le comprendsre. ? Qui en vrai saurait nhous tuyauter sans se moquer ? Peut)--on toucher à une véreité de base sans pleurer, sans êtrte "touvcchée" ? sans être déboussolée par (il semblerait) un ertain ombre de vdonnées, données en souffrance, qui, peut-êttre, nous mettreait ... plus bas que terre ? On cherche ! On a envie ensemble de trouver ce qui, dans la tourmente de la "mort en vie", bnous rassemble, nous réunit, fait de nous (elles) une Fée ... de Vie Intense, allouée à un Passé de France (du français de base = le français de lan gue) ....... On est née ! On est l'ainée ! le bébé tracé ! la chambre ! onctuousité ! pré aux fées ! gentes dames du Passé des Données de France, hé ! du français en tant que langue , faut-il préciser ? car, ici, le français, est cette langue à déboiser ! à mettre en (comme qui dirait) charpies, si tant est ! langue-née sur pied un jour d'été ....... pour ainsi traverser ....... la Vie en ses Contrées ............ jusqu'au bout Nacré ................. Finalités des Finalités et autres Traits ici alloués à une sorte de Dérive Vive ..... sur Passé ! trait acté sembleréait du Rire ! rire hautement pratique ! car : il chasse le Vide ! On veut :
toucher touychertoucher toucxher toucxher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à ce qui est ici qui semblraearait voiuloir comme '"nous parler" ..................... nous donner du "néné" comme à téter ! = LAIT , LAIT post-pré ! lait du Rire ? on veut :
toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher ce qui e,n vréi i-ici dse présenterait, en tant que ça sera&it de fait du ... Gros RIre du Rire ! Rire gros post-tonneaux ! Rire Ivre ! On cherche le mot ! on veut construiore (ici ) tout un chapiteau où pouvoir (au bas mot) "toucher" (de près) la Chose aux Fées = le Trait ..... de "Mort Active" , Donnée Ivre, SAinte Vive ! Le tracé ! trait ! trait de vie vive ! trait des traits du Rire sur Passé "en friche" ! trique ? on ne swait ! trait de Trique ? On ne sait ! on veut ............ évacuer ............. les données tracées ........ d'un Verbe Centré .......... pro-clamé ........... à grave déquiller ........./.... verb e des Données Données xsans qu'on ait été de près ou de loin (à l'entrée !) consultée et ça fait chier ! On nhe veut pas du V erbe -trique ! tralala ! on veut ça :
vivre ! fée ! vivre fée sur pré puis hors pré ! t§racer = donner = dire = faire = donner, à du VErbe, les Données Actives ......... d'une sorte de ..... "RIRE des COntrées" telles que rencontrées le Muret (de s fibnalités) traversé ! En gros : on veut grave se débarrasssr, ici, d'une sorte de donnée active , auto-genrée, de type Tracé Tracé, trait De vive Alacrité, qui serait comme adoubé par ......... l'Hydre ? va suer ! va-t-en creuser Tom b e des Traits ! laisse-nous aller ! fée ! fée-fille ! vive ! pas un centime sur ce trait on ne mettreait, ce trait ivre , d'une sorte d'Hy§dre ... alloué à un VIvre tel que Ce que là, on croit voir, voir Venir, ainsi donné, le Jour où , de fait , on est né (é !) homme dee crue ! va-nu ! hombre du cru ! Pelote d'hôte ! On n'en veut plus ! m âis comment du coup ........... chasser la crotte ???? .......................... cfomment "caguer l'homme" ???????????????? comment "pousssr" ?????????????? ???.?.??? et faire tomber sans se déliter ??????.???? ??????????????????????? comment dire ce Passé Nacré et l"'évacuer , ne plus avoir à en subir les données ou données de base, et autress méchancetés teznaces ? ................................................... verbe lié ! ça fait chier ! on veut creuser creuser creuser un certéin nombre de vdonnées de Rage ......... et toucher toucxher toucher à ce qui est "en face" = Face ! Face aux traits .... "intenses" .......... Le Passeé français de contenance = du passé de Face ! traits ! ttraits des traits ! pousse-café ! on entre ! ............... on veut toucgher de chrez toucher à ce qui est en face , qui, pour le coup, voudrait, de nous ....... eh bé TOUT ! sans trier ! tout de nous et le tour est ou seraéit hjoué ! mais nous ............ on ne veut pas se laissser absorber (chou caillou genou) comme éberluées, mais tenir bon , sur pieds, dans l'adversité d'une sorte d' avancée (attitrée) vers nous, avancée chelou ! qui voudrait de nous .... TOUT ! tout de nous ! passé et contre-passé ! le temps en son enteier = chou caiullou geniou hibou gnou ! et nous ......... de ne pas pour le coup nous laiisser attirer ou même intimider ....................... et : CONTRER ! CONTRER OUPS ! ALLER ! CREUSER :/ CONTRER ! On veut (on voudrait) arriver à (en vrai) décoller........ nous décoller ........../ en vrai .......... décoller ./......... nous décoller ............ trac ezr de chez tracer un dire "décollé" des données "chelous" du Verbe alloué à une sorte d'entité ancrée, de type Sommité ? Ombre POrtée, Masculibnité sur pieds et autres Hominitudes TRansférées qui grave font suer .... quand on le xsait ! Qui on est ? qui en vrzai on est ? quii de fait en vrai on est ou on seraoit ? fée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! d ans la mort : fée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! dans la mort : fée des fées !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! et après la mort ..... le Bébé tracé ! bébé née sur pieds ! au-delà du pré .................................................... on veut :
toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toyucher toucher
vivre = creuser = dire = faire = comprendre = chercher = cerner
un certain nombre de données tenaces
données des données teznaces
creusements-tracés en chambrte
on veut : tioucher, diantre ! percer de chyez percer, aller vif et creuser, pousszr de chez pousssr du ventre ! cintrer ! allouer, à une sorte de poussé"e, du VErbe "de France " , ventre d'antrte ! ça rentre ! c'est cinglé ou sinon cinglé ça flambe ! traits des traits sur du Passé de Vzntre , qui sait ? On veut comprendre. On a envie en vrai ensemble de cezrner et de comptendre ce passé, aux données intenses, ce qu'il est, depuyis ..... eh bé, la langue ! une langue allouée ou inculquée,
depuis ses traits, traits de langue incorporée, ce qyui est, ce qui est de fait qui se présente ou se présenterait en tant que .... "traits de langue" , traits portés", traits des teraits alloués à une sorte de : Panse, VEntre, Antre, Intestinalités des Données franches .... qu'est-ce qu'en vraéi il se pourrait que ce fusse de faéit ? qui sait (des données) les données , les traits de portée, les entrées ? Qui vconnaît en vrai les NOms Posés sur Paroi aux fées ? on est nées fées ......................... patadisziaques ...................................................... ailéesc ............................... allouées à une sorte de Parade .................... chargée ................./.. centrale ........... accvordée ............. poussée ........./........................................ aimée ........................ qui de fait nous plaît ........... nous enchante ............ nous fait rêver ........................................... nous donne Allant
et ,
Comment, Charme ? Charme de Fée ? oh, copmme on aimrerait si ça se pouvaiot ! On adoreraiot ! On aimerait grave renvoyer du ... CHarme, genre ... "ambre " !!!!!!! ........ ah si on pouvaiot ! ................;................... comme on aimerait ! ................................................................. on adorerait ! ........................ grave on voudrait ! ...................../....../.....Ça serait "génial" ! ..... grave "génial" de fait ! ............................................................................................................................................. va)-t-o,nn y arriver ? ........................... il semblerait ....
que non !! que, en vrai, le Passév Tracé soit (en vrai) du Faux Allié ........... treaits masqués .................. pas forcément super aidant en termes de recherches, ici, de vérités ............................. alors voilà, on trace sur pré, on avance, on fonce en bande , on est accolées, femmes-fées sur pré (les hommes ? morts et enterrés , bien fait ! ils ont assez duré ! on les connaît ! ils sombrent !). Qui on est ?
Des ........ qui ......... de fait ............. montent ............ hautes .......... sur paroi dee roche ................................vers la Haute ........ Hotte Haute ................................. hotte Haute des Données de Roche ............................../............................ sans traîner ! sans cher cher à se défiler ou à se cacher .......................... sainte Fée d'époque ! ...................ombre des données de Roche , on veut creuserb ! dire et donner , faire et aller, chercher et coller, monter dev chez monter et ne plus jaùais se laisser comme embobiner par ...... eh bé ici la Chjose : OMBRE ! HOLMME ! HOMME-OMBRE ! CE TRAIT D'HOMME D'OMBRE OU DE L'OMBRE .... QUI FAIT SUER ! GRAVE SUER ! VA-LA-MORT-CENDRÉE ! TU CONNAIS ! honte à l'homme d'avoir alloué à un dire donné, les traits d'une ombre ! ombre-née, quand la clarté devait ! On veut :
coller coller coller coller coller aux nénés et téter en tant que bébé le bon lait tiré à la force de la sucée ! de la belle téteé toute acidulée ! on veut (en vrai) toucher toucher à ce néné des dires lactés ! et tracer ! toucher ! pousssr ! creuserr ! conduire ici .... le Verbe ancré, vcers ce n éné du Rire Incortporé ! rire-lait ! trait de lait = Rire ancré ! on a en vrai envie ici d'aller, au plus près, toucher de chez toucher, le Néné Vie, Néné en vie , empli, rempli, de Lait Adoubé p)ar l'Entité Chelou de bout de tracxé ! on veut grave toucher ! pousssr , pousssr et creuser, creuser et cerner un certain ombre de données actives . On veut ........................ eh bé, vivre ! vivre vite ? vivre ! ivre ? vivre ! nj'importe comment , dsu moment que voilà .......... on est à même de pouvoir cerner, comprendre, toucher, ce dit "Néné des cobtrebandes" ...... d'une vie post-pré = le Passé ! le Passé ancré ! rires (ici) déployés ? on ne sait ! On a en vrai méga-envie ensemble de cerner tout un tas de données comme allouéesz à une sqorte de tracé ... du Vivre Dobnné. Qui veut aimer ? qui cvveut toucher ? qui donc de fait veut vraiment cerner et du coup avaler ? On veut (nous !) :
dire de chez dire
cerner de chez cerner
poussser de chez poussser
comprendre de chez comprendre
allouer de chez allouer
pister de chez pister
consacrer de chez consacrer
aider de chez aider
mettre sur pieds, postuler, ne pas tomber, creuser, et faire et dire , et dire et faire, sans trembler, ce p ôur quoi on serait née (fée) à la retombée .... et pas Homme-Ombre , Satané, car ........... tracée = née fée = envolée = éilée !!!! On est n ée (dans la mort) ailée .... sibnon à jamais, le temps de la traversée .... du pré -sentier .... jusqu'au trait des traits du néné Lacté comme qui dirait. fée des Fées sur pieds dans la mort actée (archivée) . On est née ! fée vraie ! toute ailée sur pied, p^rête à tracer, charger, creuser, filer, onduler de grâce sur pierre des traces ! chants du pré ! bêtres de trai = pastorales allouées à une sorte de "Romance Cendrée" ! on veut (on voudrait ) creuser de chez ccreuser en transe .... le Passé ! mais comment creuser ??? comment charger ? comment cerner ? comment aller de base en base sans tomber , tréb ucher, se prendre (et comme il faut !) les pieds ... dans le passé dit "des Outrances " ? des outrances ??? ou : des convenances ? plutôt des convenances ? On veut , eh bé, le bon mot ! le Verbe haut ! la franche transe et autres pensées franches ! On veut .................... haut .......................... creuser ................... les mots ................... sur pieds ! et ne plus nous arrêter, car voilà, on est passée ! car à la retombée sur pré on s'est retrouvée ou comme retrouvée toute remopntée et prête à (de fait) continuer sur notre lancée sans discontinuer et ce jusqu'au néné du bout du bout tel que déposé" (?) sur Paroi Finale, ou Post-pré de base ...../..... Fins des Traits de Rage ...... fins des Prés de Base ........... finalités ancrés / sapiences ! Les données franches . On veut toucher à ce qui est qui se présente à nous tout au bout ! et ce qui est, est :
- des genoux ?
- des bouts de bouts ?
- du lait de gnou ?
- le passé du trou ? du trou de boue ? Fosse haute ? tombe des tombes ?
On veut toucher à une Vérité post-pré et l'avaler ou comme l'avaler = l'incorporer à notre poropre condition de fée ici allouée à ...... sorte de région ......... du VERbe ....... bas ? On monte !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on veut haut allerr !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! creuser = dire ce qui est dsans les allées du bout de Roche ! ne pas traîner = filer = tracer (à main levée ?) la Chose ! le Fait ! l'Ombre ! le ässé est né ...... qui re-bnaît en vérité !! et nous laisse ller pour comme téter le bout acidulé d'un néné ancré ! On aime ! mèfle ! on voulait eh bé on peut et pas qu'un peu : téter le V erbe .............. des données en herbe ! feu ! fonçons bon ! creusons ! cxhargeons ! filons ! creusons sans rire .... ou si : rions ? chargeons grave les données de base d(une voix antrale : bouts de son, voix de rage, cris dits, posts de roche, ambitions ! On aime l'Ambre ! le poisson ! la chance des fondfs ! le tréfonds ! l'ambiance. On est :
fées des traits de rage, traits des fées de bnase, fée des traits de rage, traits des fées de base etvautres "fées -montòn" ! tronc ! porte haute ! allons ! filons de chez filons ! soyons docte ! allonspistonnons ! forçons et fonçons ! on est Haute du Tronc, Ailes fortes, nous volons , nhaviguons, voletons, traçons, creusons, cherchons ........ à, de fait, creuser de chhez creuqser ..... une sorte de trait ...... qui soit ... une porte ..... vers ....... le Passé pôst-roche ! ancestralités des "données franches" , et autres eéthymologie -graphie de maintenance .... ! vies dees vies ... =
vies desvies des données graphiques = traits sur traits, mots alloués à une sorte de tracé de fée. On monte ! ............................................... on monte haute ...................... on creuse , monte, va, fonce ! ............. sur paroi puis au-delà de la paroi .... direction la Haute ! Haute Voix des Tombes ... TRombes ? On monte Haute ! on y croit ! on veut ça ! on envoie ! on trace ! on charge ! on veut toucher de Rage la Paroi de Base , les envois, la Croix, le Don de soi comme en contrebande ! la Voie ! croix de bois = trait de base : un envoi pour Soi .... de Vent de Rage ! saint--Portage ! Une szorte de vent de transe ! l'en-vent ! en-vent ainsi donné comme ..... extrait du Passé ;! mais est-ce vrai ? peut-on coller ? dire et charger ? sonder /? pister ? allouer à une Vérité Nommée le Poids du Passé tel que rencontré ? qauand on aime il faut tracer, quand on aime il faut filer ! il ne faut pas traîner mais grave filer .... est-ce vrai ? on veut : aller, dire, charger, pousssr, donner, faire, centrer, conduire et pousqsserr, aimer, changer, donner du lait, téter, monter et chercher à attrapper le bout du néné pouyr du coup téter sans traîner ! aimer téter ! On vouxdrait ensemble traverser le pré et nous portyer de fait jusqu'au bout du pré, pour du coup téter ! téter de près , ce fameux néné ici alloué à une sorte de Donnée des Do nnées sur Pieds = Entité des Entités .... Quij c'r'st ? eh bé .............................. un Bébé ? ...................... déité nacrée
*?, ......................... une "BNEAUTÉ" ?? ........................ sauintetyé ????. charge de frai ??????? ......................................... en vrai, on veut grave cerner les données de base et du coup passer, traverser la Base, passer le bout du nez, les ailes pliées, cotrps de rage, petits pieds , odeur (oui) de sainteté ! odor sanctifiée ! fumet ! fumet des prés ! fée passée se relèverait de l'autre côté en forme de .................. bébé ! bébé des bébés! bébé d'or ! or de la mort ! corps d'or ! or des ors ! oralité ! On veut :
toucher toucher toucher toucher toucher
dire dire dire dire dire
verser verser verser verser verser
coller coller coller coller coller
cerner cerner cerner cerner cerner
parler parmer parler parmer
chercher chyercher cher her chercher chercher
poster poster poster poster poster
entreprendre entreprendre ventreprendre entreprendre
sitruer situer situer situer situerr
porter porter porter porter porter piorter
voller voler voler voler voler
centrer centrerr centeer centrer et comme "recentrer", le dire des données, des données Hautes: le Passé. Le Passé est le Passé de Roche, l'embrassé, l(enveloppé. On v eut de fait ensemble eessayer de (pour le coup) le soulever de chez soulever ... à genoux, et là, à bout de bras, le porter haut jusqu(au "tonneau" ! et ............. verser son eau , eau de lait, comme s'il en pleuvait ! ou tout de go sans plus traîner ! lait acté ! dans son pot ! et le vin est tiré comme qui dirait ! vin de lait sur pied ! treait tracé à la volée ! on est parée ! toute habillée pour aller danser la danse des fées ! On est :
oui ... parée, habillée, tracée, collée, accollée à une donnée, donnée haute. On est la Fée dite "de la Haute" et aussi "des Tonneaux de mots" ! creusons Roche ! montons haut et haute ! alloons ! car, ici , la vie, la vie après la mort, est Passé Vif ! traits tracés, dessins de bêtes -traits (bêtes de trait) et autrscSommités animalière'sz des Tranchées. On a ime tracer = dessiner des traits = mots des prés . On veut coller = dire = sonder = comprendre = charger = passsr = entrer = consacrer son dire à une sorte de recherche active, autour .... du Passé ! ce qu'il a été en vrai .... : du Rire ? du Passé de Rire ? ou bien ...................
du passé de frise ? bêtes acides ? bisonnées trisqtes ? buffles arqués ? bouquetines voisines , ourses ancrées ? LE passé en crise ? bêtes decirque ? ou de trait sur pré ? de somme alloué à une sorte de contrée "du rire" ? On est née Fée, on était auparavant hominidé de type homme centré, nous voici (enfin ??) transformé, e,n .................. fée des Fées sur pré ! à la bone heure de la Chandeleur ! on peut aimer ! on peut grave se délasser, s'étirer, se prél asssrr, se laisssr (enfin ?) aller ....... nouveauté ! genre changé, c''est frais ! ça le fait ! vive le l:ait ! On erst née F2e la mort allouée, enfin transformé, Verbe de TRait ! vErbe d'herbe ! Sainteté Nacré ça se pourrait que ......../...../... pour le coup, l'herbe soit vraiment verte : dans le trou ???? hé, qui sait ? qui sait le terme ? qui connaît en vrai la couleur de l'herbe la mort donnée ? qui sait ce qui est en ce pré en termes de Verbe ? Bisonnée ? Buflette et Bouqyuetin des Trains ? Le gibier ? On veut en vrai (de notree côté) toucher de chez troucher à ue sorte de Néné post-verbe ............. mais est-ce en vrai ce qu'il faudrait, plutôt que .... parler ? On cherche ! On veut toucher de chez toucher, et ussi creuser de chez creuser, et aussi aller de chez aller, et aussi foncer de chez foncer, et auusi dire de chrz dire, et auusi regarder, tout autour de nous, les données porogfpondes, ce qui est qui nou s aborde " , le Tracé de Fou",. L'ombre ? l'ombre docte ? Le mou ? le bout doux ? la Chose Haute ? Lait (animalier) de cohorte ? on monte ! on monte ! on monte ............................ on est hautes ........... montées hautes .................... hautement postées par la Parole HAute ! traits anim aliers ............ / cohortes d'époque ................ un tracé de ROche et la CHoqse est ! qui sera la Chose ici Adoubée ................................... accorte ......./../............ allouée ................../................... apportée .......................
sondée ..................................................... comme déployée .....................................................
:
.... ventrue ? ............ nue , ? ...................... venue ............ pour (en vrai ?) nous rencontrer , le néné donné .................................. à téter ................................................................................ néné né nu ...................................................................................................................... POST PRÉ ........................................... la nuit venue ?
14/2/2025
on trace grave ! on envoie ! on envoie du bois ! On ne veut pas être (de fait)- à la ramasse mais ... aller, courir, creuser, dire et creuser, charger, donner de soi en termes d'avancée, de creusement dit "de p aroi" et autres types de trouées frontales pariétales ! on envoie ! On veut en vrai creuser de chez creuser s&ns jamais s'arrêter , car, voilà, on veut "ensemble " toucher, à ce qui là-bas, en face, tout là-bas, après ce "tra&it de choix", semble nous attendre : la Voix des Pa'(rois , des Parois de Rage , Parois des Rois et REinbes de Là, la Trace, le TRacé des Voix, Voix de France ... ou quyoi ? car ici, le Français (la languue) est là pour nous (qui sait ?) "expliquer" La Pa rade, Pa r ade Animale en veux-tu en voilà on en redemande ! on veut ça, la P arade ... et comprendre, cerner, toucher Néné, Toucher grave le Néné du Lait = téter ! téter en face .... le français (la langue) comme qui dirait. mais, peut-on, véritablement ... téter le français (la langue) ? peut-on des peutons téter le Frgançais ? téter svp ? p)eut-on des peutons téter le français ? téter gr ave le Néné Français , soit ... le Français en tant que "langiue consacrée" ? on cherche à cerner ! on veut toucher toucher et du coup cerner, ce Néné, Néné du français, de l'herbe alloiuée à un idiome ici donné pour ainsi dire en tant que tel = le français, des données des TRaces
🙂
On est qui ? on est F2e des Rages ! ailées ! qui virent et tracent sur leur sentier à même le pré ! On e,ntre ! On veut toucher toucher touchger toucxher à ce présent donné en tant que, pour le coup, do nnée de base = le Passé ... ou quoi ou qu'est-ce ? quyi on est ? On nest la Fée "surnuméraire" ! Un chantier ! chant des données ! On vreut toucher à l'herbe = brouter, puis, le mur passé, mur des données hautes (dernier muret) on veut téter au lait de "Bonne Mère" , l'allouée des Termes , des Termes FRançais (en fr ançais) on l'a deviné! on veut coller à ce Néné dit "à téter" et ça le fcait . On ne veut pas (plus) passer à côpté mais grave tétrer au "lairt des données" telles que "déposées" post-herbe, hors sentier, mur du fond passé, de l'auytre côté, côté ... VErbe ????? on dirait ! On dirait bien que cde l'aiutre côté, ce lait, ce fameux lait qui nous attend ou nbous attendraiot, en vraiii serait ... du Vezrbe ! Verbe-lait s'il en est ! verbe-termes ! termes des données = Verbe alloué à une sorte de ... B2bé post herbe (en herbe ?) qui voudrait (grave de chez graave!) téter téter téter sans se soucier de ce vqui estcen vrai qui voudrait peut-êtrte, lui ... l'avaler ?,le digérer ? le chier ? le quoi ? on ne sait pas ! on mate ! on aime ! on aime le lait-verbe et on se gêne en rien pour (du coupb) vtéter, à ce bon lait de trait, charge-née, mots des Termes, Fond Haut, Mots d'eau, trait des traits post herbe , soit : VERBE : OK !
car voilà, en vrai, ce qui est ici, qui nous regarder ait et qui saurait nous indiquer un certain nombre de données premières,
Le Néné , Le Néné des Termes (des "Finalitées" ) est .... Néné-Verbe en tant que c'est (pour ainsi dire) ... ou ce serait, du "Petit Lait de Trait" : Lait d'herbe ? lait en herbe verte, Lait Trait = Verrbe alloué à une sorte de donnée dernière, à savoir ... Déité Colère ! La Colère en vrai incarnée ! celle-là qui vitupère ou ne cesse de vitupérer ! ... après qui ? après nous , forcé ! qui donnons de nous .... quelques rares do nnées d'un tout et non le tout dès que nées sur terre ! merdou ! on ne veut pas (du tout) donner tout ! on n'a pas voulu (du tout) donner le tout dès que "sorties du trou" !!!! on veut : toucgher Néné = téter, s ans nous retourner, et en avancer, en termes (tracés) de Connaissances Pariéto-frontales : les donné'es de Rage, Bêtes de CFrance (du français en tant que langue, ici, inculquée) et tracer ! filer ! courir sansz traôiner ni désemparer et à fond la caisse, on aime ! on est né'es Fées "à la retombée" dès qu'ayant passé , sands frais, le mueret
des do nnées rupestres : aurochnodoÎtés des tracés de bêtes. On aime ! On veut :
toucher toucher troucher toucher toucxher toucher à ces dits "aénimaux-termes" ; mots-bpetes de prairie", gens -bêtes du pré fleuri , et autres bêtessynthèses.
On veut grave cern er = toucher = comprendre, ensemble, ici , kles dits et redits (en français !) de base. qiu'estr-ce que c'eswt que ces Nénés des Rages ? ce lait, cette onctuosité patente : qu'est-ce que c'est ? peut-o,n le co:mprendre ? cerner ? creuser ?, chercher ?? dire et donner ? toucher à ce Né né des Contrebbnandes allouéesz à une (sorte de) Post-^muret d'après la bande (le pré) telle que rencontrée la mort adoptée ? On veut .... cvreuserr, oui, Néné , pour ainsi dire = téter le dire ! téter de chez téter le dire lacté , Verbe des Prés (?) = charge-née comme à la traversée , d'un pré d'herbe à ... eh bé ... on ne sait quoi .... la TErre ? re-terre des Feu!x ? le Termes mes aïeux / aïeules .... en creudx ? on cherche !!!! on cherche miueux !!!!! on veut "sortir du cimetière d'herbe " et, de fait, aller, filer, foncer, tracer, chercher de chez chercher X et X données sur ... le passé ? Passé post-pré comme qui dirait ? chercher de chez chercher X données à propos du Passé tel que rencontré en "finalité" en termes de Terme ? on cherche ! on veut ! on veut grave nmieux ! on veut toucher de chez toucher (en vréai) le Terme = le Néné ! la terre ! terre, terre ! terre en vue des Cieux ! la Mère ! le tracé des Dieux (odieux ?) ! La Reine sur le fEu ! colère ! colère ! colère ! colèree des dieux , déesssqes des Terres ! le Passé en creux , la Terre aux aïeux / aïeules du Feu, on est nous-mêmes (fortement) colère ... de ce que eux / elles (dieux / déessses) sachent mieux que noumêmes ... ce qui est qui est , en termes de Traits, Treaits de Base, traits droits sur ... Foie ! charges mentales ! qui de quoi est là après la Parade ? Lait des "Traits de Rage" comme saturés, tracés à main lmevée, traits du Passé d'un ppassé acté , charges pré-pré , pré -herbe sacrée, pré-prairie saluée par X bêtes "à jarret" ! on veut toucher ! On ne veut pas se ;laissser démonter ! on veut toucher de fait à ce "jarret des Contrebandes" , "Le Jarret" , Jarret des Jarrets sur place ! une Donnée comme demandée ! trace ! trace d'un passé pasdsé, d'(une charge, d'une entrée, d'une sorte d'avancée "mouvante" , on est née ! née "fée de France" (du français !!!) . Fée des F2es comme "en souffrance" de termes alloués et autres dfonnées de type connaissances , connaissances densesq. On veut :
toucher toucher toucxgher toucher troucher à ce qui se présente ici , en termes (pour le coup) de sortes de données frtontale et autrtes sortes de données "postales". Lettrées. Chargées. Creusées. On entre !!!!!!!!!!!!! entrons "ensembkle" !!!!!!!!!!ailes de fée cxomme à la parade ! en franchise postale (comme on le dirait) on entre ! on rentre ! On veut creuser ensemble les données de base, et pour le coup trouvezr-cerner ce quyi ici (post pré) est comme donné, qui saurait nous donner (au plus près) les Mots Sacrész à devoir Cerner = toucher =
📸 / comprendre = adopter ! On veut :
toucxger de chez toucxher
creuser de chez creusqer
cerner de chez cernder
pister de chez pister
dire de chez dire
allouer de cghez allouer
poser de chyez poser
avaler de chez avaler ... du dire de Fée comme du pêtit lait, ça le fait ! on veut téter ! on veut comme construire un Dire ici, comme tracé à main levée comme à l'arraché , et filer ! creuser-filer ! tracer de chez tracezr ! se laissrr porter ou flotter ou guider par , on dirait, un ... fluide ! qui'est-ce que c'sst ? Dires de fée ? dires-fluides ? fluide-dires aux donnéesz allouées comme qui dirait ? On cherche à trouver ! On veut creuser de chez creuser sans désemparer, sans se démotiver, sans se dire que, e,n vrai, les dites "données fluifdes" ne seraient, pour ainsi dire , pas données en vrai, or ..... il sembklerait que, dans la mort, mort haute, les données de base , données flmuides si tant est, soient ... lAit ! Lait de F2e et autres Lait français (le fr ançais : la langue !) ! s'il vous plaîot ! on veut :
toucher toucher toucxher toucher toucher toucher à ce qui est qui se présente sans traîner dsès que M%ort Finale allouée à une sortre (ici : pré) de "Fée De Rome" ! Rome-Haute = Etablissement Doré aux accents du Passé tels que rencontrée (qui sait ?) dans (peut-être) ... son enfance ! transe ! transe allouée à une danse sur ... passé Donné ... comme Donnée de Base = un traiyt ! trait de france = en fran,çais , la langue = (pour moi ?) le Pässé , tel que ... chahuté "en face" , Päriétale , pariétale donnée des données frontales ! On veut aimer ! creuser, toucxhger, dire et c erner, poussser, poussser , pôusser sans traôi,ner ni lambiner et trouc-ver, dans les faits post-pré, de quoi cerner (ezn vrai) ce qui est , ce qui nous attendrait, bnous regardera it, nous materait de la tête aux pieds ! FRange ? une FRange ? frange donnée tracée ? frange des Franges ici allouées à une sorte de Passé en France , genre : enfance ou petite enfance .... à volonté ? on ne sait ! On charge. On veut (c'rest vrai) com:prendrre, toucher à Une Vérité Patente, mais ... en vrzi, , en v rai et pour autant, on ne veut pas y laisserr la santé ! y rester ! tomber ! ne plus savoir comment avancer ! être touchée en quelque sorte... dans le sens où on serait touchée à la vie à la mort en plein centre ! on veut (de fait) perdurer = continiuer = suivre le sentier tel qu'il est tracdé juste sous nos pieds, pieds de fée = petits pieds "français" puisque voilà, nptrte langue impacte , qui se logezrait (qui sait ?) jusque dans nos pieds ! pieds de jeunes et jolies fée des prés, post-premier muret ! On danse ! gentes dalmes au croisillon des franges ! genteoiseaux -moineaux (moineaux d'eau) qui dansent ! dansons ! creusons ! allons ! fonçons ! mangeons ! organisons ensemble THe Parade ! Paradis des Franges-Party ! on entre ! on veut comprendre = dire = faire = charger = connai^tre = enttrer ! oN veut toucher toucher toucher toucher toucher à ce muret dit "des Convenances allouées" ... mais, de quelles convenances veut-on parler ? qu'en est-il pour de vrai de ces dites "Convenances sur pré" ? qaue doit-on penser de pareils dires adressées et comme "postés" .? ? qui connaît en vrai la "Vérité des Vérités" ici allouée à une sorte de Donnée post-pré ... qui serait : le Rire ? rire en Frise ? rire comme tracé sur sein de trait ? rire-Dire sur ... passé re-donné comme une donnée, donnée post-pré ? on "hallucine " ! On veut y c roire dur mais ... comment croire à pareille donnée si ... "frappée" ? On cherche ! on veut toucher toucher à ce qui est , qui se présente et se montre en vrai = le ... Néné des Termes ! oh oh Néné ! Néné du Verbe ? on le dirait ! trait et traite = traité ! Un tyraité du Verbe ! Verbe-Lait alloué à une sorte de ... colère, Colère "rentrée" ? Da,ns un ... corps de termes ???????????? on ne sait !!!!! on cherche ! cherchons bon ! ne lésinons pas sur la Recherche ! octroyons ! donno ns ! en temps et en pécuniaire ! de quoi toucher au VErbe, ce que c'est .... lait d'herbe ? d'herbe verte ? Herbe-Verbe en herbe ? On est montées sur Monts du Fond, on veut creuser le Tronc , toucher , toucher , touycher, toucher, toucher , toucher à ce
NBéné-tronc ! et téter ! car, le lait, lait bon, est Verbe de trait = trait d'herbe donnée = vérité des vérité ... sur La mort Allouée à ... un Passé ici (en ce qui me concerne) françaios , on lecroirait ! langue influerait ! chaque langue donnée donne ou donnezrait ce ton de Vérité à un passé donné ! Chargeons ! creusons ! allons profond ! cherchons ensembvle à (qui sait ?) donner de chez donner une soerte de Donnée Réelle, Concrète, genre " Crécelle" , Trait de Fée , Porte-Mère, Creuset ! on veut :
dirte dire dire dire
aller aller aller aller
toucher topucher toucher tropucher
cerner cerner cerner cer ner cer ner
faire faire faire faire
charger charger charhggger charger
... et du coup allouer à une sorte de contrée post-cimetière un certain nombre de données dites "s alutaires" de dtype "grgravures sacréesw", "dessins tr acés", "chargesws lunaoires", "herbes-traits popoortés", ""Fontanelles". Onn veut :
toucher, toucher, toucher, toucher , toucher, toucher à ce Néné post-pré qui est le Sein ici d'une sorte de Mère des Mèress = la Mere , la Donnée Supprême, Terre d'Elfe, terre-Mère allouée à une sorte de Passé ré-itéereé comme qui dirait ! sommes -nous claires ? sommes-bnous pour le coup suffisamment claiores
... à genoux ? doit-on pour le coup redonner du mou, d-dire la prière, dire mieux la Scène, dire-faire ? doit-on ... creuser la terre ? charger de bonne guerre les données ruperstres, re- ? re-charger, re de chezz re- ? on veut ! on veut toucher ! on ne veut pas se laisser démonter mais re- ! re-creuser ce trait aux données suprêmes ! bonne mère ! tracée ! tracé des tracés ! colère amlllouée à une sorte de .... rengaine sifflottée ou sinon sifflottée susurrée ou sinon susurrée chantonnée ou sinon chantonnée .. chantée, souveraine, comme Donnée Suprême = cha,nts des prés ! chants tracés ! chants du Verbe alloué à un tracé sur huerbe cde type sentier ! le chantier ! chants des fées ! chant Haut comme au roseau, au drôle de pipaeau, chalumeau, tonneau et boyau, musuique d'eklfes (d'herbes ?) : vents faux ! vents de trop ! faus vent du poteau ! pets de mots ! On monte !
Montons haut ! hautes ! haute roche ....................................... coprs sans faute .................................... allons, traçons, filons, cherchons, creusons ensemble les données tenaces, roche-mot de rage, trait des traits dits "sur pré" , charges en flamme,; dépôts et tracés de parade ! On entre ! on veut grave toucher-téter en vrai la Chose Frontale = ce Néné des transes ..../ qui c'est ? une sorte de Dieu Comme
Déposé sur Bande ? DSieu des F2es serait celui qui, ici, de fait, nous irait, nbous conviendrait, nous s atisferait en termes de données de base. Dieu Nacré = soudé = donné = porté = chargé et le tour est joué ! dieu des fées = Dents de lait ! la Rage au taquet ! souffrances ! santé touchée ! on veut comprendre = cerner, cette "dent de lait" à qui elle est ? à cette sorte de ... Divinité Nacré qu'on retrouve en face ou retrouverait (post ^-muret der,nier ) ? qui (en vrai) saéit les données finales ce que c'est ? Qui connaît l'esp âce des Traits ,
l'esopace des Traits tels que dessinés comme à la p arade lme muret passé , vers ... le passzé , Pasdsé né , Passdé re-né ! On chercghe à c erner , de fait, mais ce n''st pas donné ! Dieu des Fées on veut les mieux cerner, toucher à leur réalité : Dieux alloués ? dieux collés ? dieu tracxés ? dieusx -F2es, eux ou ... elles- mêmes , en mieux ? dieux mieux = Déesses des Voeux ? Ccharges -dires sur le Feu ? On veut :
dire dire dire dire
serrer serrtrr serrreer serrrer
toucher topucxher roucxher toucher
creuser creuser crteuser creuser
ferrer ferrer ferrer ferrer
mordre mordre mordre mordre
cerner cerner cerner erner
allouer à une sorte de "donn"ée" , lke pouvopir d'un "dire sacré", qui serait "The Dire" tel que consacré (qui sait ? ) p ar ... le néné des Rives ! le Passé-frise ! le Pasdsé Passé ! l'enfance rejouée, re-tracée, re-prise ! on veut troucgher à ce qui est qui en vrai saurait (de fait) nous dsonner de quoi nous ... redorer la c erise ! frise hallucinée ! bêtes de trait ! au t aquet ! vives ! placides mais vives ! aurochnoïdites ! traits vifs sur Mur d'eau et autres Murs-Frontons ! colle ! haute porte au museau ! la roche aux Mots ! La Pa ssion ! Roche-trot ! portes des données de Roche sur Haut s, et autres Monts des Colles Fortes ! le poteau ! roche-poteau ! colle et anti-colle des mots de trop ! on monte ! on veut être hautes et creuser là-haut la Roche aux mots , qui est Roche des trots et autres galops ! on monte ! on veut :
dire , toucher, cerner, pawssser, chercher, faire, allouer à ce (dit) "Néné des Danses Emportées" les traits d'une sorte de ... Rire tracé ! rires de fée ! charge ivcre ! toucher de chez touchezr à ce qui est qui nous regaddreait sans sourciller, sans être pourb le moins gênée, sans lâcher, sans nous lâcher une seule seconde de... eh bé, nous mater ! de la tête aux pieds ! dieu tracé ! dieu = néné ? néné né post-pré ? qui sait ? on est ...? fée des Fées sur pré ! on veut ...........................................................................................TRAVERTSER ................................................. TATER ........................................... téter à ce néné des données de fuite ! ............................... tracer = dire = creuser = faire = consacrer à pareil rire une sorte de .... euh ... d'eétude , d"'étude portée, sans traîner, tracée, sur muret ! On veut :
Toucher de chez toucher
creuser de chez creuser
dire de chez dire
aller de chez akller
perdre de chez perdre
poser de chez poser
aller de cherz aller bien au-delà du cimetière , et coller, coller à ce Néné post-pré, afin de pour le coup "étudier" : l$a Reine, le Passé de traîne , les données premières "maternezlles" ; sein donné = lait -termes = Verbe ! verbe-lait comme à la retombée post-pré dx'herbe, pré des prés la mort donnée (la mort première). On veut : Toucher toucher toucher toucher toucher à ce Néné du Verbe-Lait alloué par une sorte de "Doonne -VErte" , Porte Annelée , Pporte "chaude", Passé ! le Passé ! Le dit "Passé des passés" . On monte, on monte hautes . On veut monter monter monter monter monter monter monter monter .................... . .................................... ne jamais plus nous arrêzter en vrai de monter mais tracerv , treacer de chez tracver lze Trait de la Montée vers Chose, ce Néné de POrte , Lait des Laits , Haute-Mort des Données Treacées = M%ort haute = MOrt-Mère sacrée (cernée) comme en colère;.... car ............................................................ car ............................................................car ................................... elle aime ! elle aime aller , toucher, cerner elle-même les données données par ......... les F2es ? fées de lm'herbe verte ? fées actées sur pré au passage tr acé ? fée des "Frères et szoeurs de bière" ? On aime ! La mort aime ! On aime et la mort aime ! le tracé Nacré ! termes ! termes sacrés ! termes d'herbe = traits de fée ! traits des trait§s que la Mort Aime et veut ...... manger ? ............. avaler ? .............. ingurgiter ? ........................... on ne sait ! on ne sait ce qui est ! on aimerait ! on aimerait en v rai connaître, toucher à cette Vérité-Colère de la Mère-Sondée, post muret on séit, ça on sait, mais en vrai , elle, qui elle est, qui est Mère-Sondée on ne sait ! mère-Colère ok mais qui en vérityé ? On cherche ! on veut :Toucgher toucher toucher toucxhezr toucher toucher touycher toucher toucher toucher toucxher à ce dit "nénné" des données en vrai "surnaturelles", et cerner au plus près, ou le plus près possible, pareilles vérités poqst-pré, de type "Vivrres", "Offrandes vives", "Dons de Trai t" , "charges sensibles" et autres données comme déposées sur frise : desibnnées, gravéees, creusées au stylet, au calumet, au feu cendrée, au soufflet et à la tire ! on touche le néné du Dire ! lait ! lait ! l:ait ! lait ! lait ! laziot ! lait ! lait ! lait ! on veut téter ! on veut / on voudrait ! grave téter du lait .... sans souyrciller ou (même)..... en sourcillant, peu nous en chaut en vrai puisque .... on est re-nées !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! le pré dépassé ............................................................... le pré laissé .................................................... vite, téter ! ................... téter de chez téter ! .......................... le bon lait de tire ! ..................../.................... tire-lait du Rire ! tirons aimons ! tétons ! Lait-Donné vif , vif lait de tire ! Aimons léchhons ! avalons ! tétons le téton et avalons de ce Lait-Vivres ! buvons vi ves ! A imons donc le lait de tire ! .............. vives ! soyons vives ! ..... fée vive sur Sein Offert, comme à découvert, la mort acquise""" ! On monte sur frise ! chargeons ! allons ! creusons ! traçons ! aiùmons -nous les uns les autres, et aussi les unes ! et aussi les ... unes diurnes ! Montons ! saluons ! creusons ! cherchons ! traçons ! Qui mesure ?. qui conclut ? qui juge ? qui dit le Dit ? qui sait la mesure, les données de Bure et auitres traits de prix ? Qui porte sur Soi la Parure ? Quyi "Envfoie" ? On veut :
aller aller aller aller
donner donner donner donner
creuser creuser creuser creuser
faire faire faire faire
cxgharger charger charger chargezr
dire dire dire dire
porter porter pôrter porter
froncer froncer froncer gfroncer
Aller au plus près du Néné des TRaits ! sur peau halée, téter de chrez téter le lait ! le bon lait de Mère ! Lait nacré acidulé, cendré nacré, acidulé cendré, nacré s acré, sacré nacré on dirait ! lait aimé ! lait adulé ! lait véné ré ! lait des laits comme s'il en pleuvait ! on veuut aimer ! aimer aimer aimer aimezr , dire dire dire dire , toucher toucher toucher toucher , faire faire faire faire, donner donner donner donner, crteuser creuser creuser creuser, et du coup cerner, un certain nombtre de vdonnées données, ce que c'est, ce que ça serait, ce q'uelles pourréaieznht être en termes de données suprêmes ! données fermes ! données vraiment actées allouées à ... ici-même, le Terme ! loi des Herbesb ! loi allouée à une sorte de ... Paroi-Néné ! Foi de Roi-reine Centrées ! Fées passées deviennent... Bébés surnuméraires alloués à une sorte de terme qui est .... du lait ! finalité = lait ! Fin-Faim tracée on penszerait et on ne serait pas loin peut-^etre de la Vérité ! ça fait trembler ! On est Fée = faite ! faite fée pour y aller (à travezrs le pré) vers le Néné -Verbe, ou VErbe Lait en termes de terme ! fin-faim des données Suprêmes ! Lait cdes Laits au décours du terme = fin tracée ... fin des données r(upestrszs ou quoi ou qu'est-ce ? peut-on statuer ? peut-on finaliszer ? peut-on tracer (à main lmevée) le dit term e des do nnées dernières ou qui seraient dernièress ? Qui le sait de fait .... Sinon ...../ la Reine ? Abeille ? A- bé - elle peut-etre !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on l'aime !!!!!!!!!!!!!!!!! on aime qu'elle !!!!!!!!!!!!!!!!! l'abeille des dionnées "humaines" !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! traits donnés , charges d'elfe, traits tracés, vérités de l'herbe des prés traversés, verité vertes ! on veut creuser sans se retourner .... la Roche Souveraibne = le dernier quartier ... vers du VErb"-Lait de Néné D'Elfe ! traits ! traits ! traits nacrés ! traits des traits ! on veut monter et toucxher au Néné et téter et sw'en remplir grave la bedaine ! on est le .......................... Bébé né ! bébénou né ! Bébé des Bébés ........................ post-herbe du pré , comme re-né à u ne vie nouvelle ! re-la vie celte ! re-vie des vies sur roche première : l'envie ! don d'e rôle , porte poussée, on rôde et nous vcoilà re-née ! verbve passé ! grève ! pré traqué ! charge de trait ! bêtes montées !
On veut en vrai creusezr de chez creuser à ce qui est qui se .... re-présenterait, à terme, sous nos pieds , acté ! soit : la Terre ! terre des données Du Verbe re-placé (oeillères) comme auparavant, de fait il swemblerait qu'on fût "au courant" , informées des faits tels que tracés , tels que faits, formés, tels que déroulés sur Passé Primaire comme re-donné ou re-nouvel-é ! on aime ! on aime le laiot et ce genre de faits co:mme re-portés ! re-donnés, re-tracés, ree-posés sur Passé ! comme qui dirait ! on aime ! ................................................................................................................................................................................................................................................ aimons ! .......................... revenons à nos abnciennes terres ! ............................................ traçons , creusons, cherchons , montons, perçons, traquons de fait les termes de Raison qui , peut-être, en vrai, qiu sait ? pourraient ghrave nbous aider à ..... on dirait ........... toucxher Téton ! téton des tétons ........................ afin de , peut-êttre, on aimerait .................. teter téter téter .................. en tant que "nouvellement né" ...... ou même re-né , à la vie à la mort, sur "Terre (re-terre) des données Passées " il semblerait. On aime ! On veut aler aller aller (souveraiunes) vers ................... Néné Alloué au VErbe via Le lAit ! Lait des termes = VErbe, VErbe Nacré = sacré = Verbe-Lait des Données Suprêmesz = Verbe-Herbe ...... auto)-proclamé comme de fait ! on chercghe ! on veut toucher à ce Néné du Verbe ! on veut pouvoitr téter le Lait de l'Herbe ou Lait de Fée ou lait du pré ou comment, Lait post-pré, post-herbe, post-fée , post treacé rupestre et autres traits animalierrs ? On cherche ! on cherche à trouver ! on cveut trouver un certain nombre de données de terme, genre :
-mots gravés
-mains courantesz
-pportes d'entrée
- vies de pré
- peertres blanches et autrees dons de lait (sur sxe,ntier)
- saints de glace et autres saints et saibntes allouées à une .... branche tracée, comme à main levée, en tra&nse ! traits ! traits super-motivés ! tr acezs ! traces d'encre ! animaux de roche aimés , animaux -mots et -b$êtes-verbes sur-cités ! surajoutés ! surdéposées sur rtoche gravée ! on veut touycher touycher touycher toucher toucher toucxher toucxher toucher à ce dénivelè, hernbes vertes, pré, pré aux données vertes, prairie aux féesx et autres elfes rencontrées le mur passé, la mort donnée, mort primùa&ire et le tour est jhoué on est tyransportée ! transportée et transformée ... en fée-DAmoiselle, fée du pré sachant voler, aklller et tourner,n, virevolter, tracer, creuser, filer, chercher,cerner et se rapprocher (peu à peu) du muret dernier, fond de cimetière, fon de pré aimé, vers .... le DErrière ! Cul-Néné du VErbe ! lait ! lait ! lait ! lait donné à force de tracer ... ou sinon d'aimzr .... ou sinon de forcer ..../ forcer (de fait) le V erbe du Pré, parler sanqs dsiscontinuer et du coup le trait, trait de roche aux fées, se fait, qui nous permet de pouvoir passer, tête première, à la une à la deux sans fauute ! hop ! on est née ! bébé ! bébé -dxes treaits ! vbébéds des bébés on est, qui allons de ce fait et sans plus tra îner téter de chezz téter l:e sein nacré ! sein d'herbe ! sein des sweins nacrés ! sein tracé post-pré on aime téter ! grave on aime ! on est nées ! nées bébés comme àla retombée de ce "hors-cimetière" ! traits ! traits ! traits ! treaitsq ! treaitsq ! traits ! traits ! traitsq ! très ! très on aime ! très on veut ! très téter ! de ce sein tracé ! rond de roche alloué à une sorte de ...................................... porte ???? ???? porte haute ?mieux ? porte très-haute ?????? on veut toucher toucher toucher toucher toucher toucxher à cette sorte de donnée haute, genre ......... faute ?????? ?????????????????? toucher = cerner = faire = copnsacrer = donner = dire = aller = cerner ............... une sorte de donnée post-bière = trait, trait de lait "surnuméraire" salutaire ! tétons fort de base ici pareille laitance ! aimons ! aimons donc ! allons ! Creusons Roche Finale et traçons ! car, voilà, le dxrappé, la base, une sorte de tracé de f ace : viçsage ? on entre ! entrons de front ! que voyons -nbous quyi se révèle (montrte) à nous ? un visage de gnou ? bête d'antre ? vie animale ? bête grave (gravée ?) semblant traces sur tracé de taille ? On e,ntre . On regarde. on ne veut rien louper et tout relever, noter, tr acer de côté, ne pas laisser, ne pas oublier. Traiots des traits . Bêtes grasses. bêtes Fortes. Betes de trait (de somme) . Somme haute . Somme Énorme comme qui dirait = hén aurme ! = le .... Passé ? car, le Passé en vrai est .... Énorme ! on sait ! on sait de fait que, en vrai, le Passé, oui, dingue énorme il est , c'est vrai ! gros de sa force d'ombrte , d'ombtre folle ! Passé Haut, semble (pour nous) Ombre Haute, de Bête de POrte .................................................................. côte , côte des ombres, côte haute, .................................................................... donnée des donnéeshautes = trait ! trait tracé à main levée par l'homme-femme des denrées, ou dite des denrées de France ! pôurquyoi "de france" .... parce quye ........... la langue ! ici : le français poiur "la Fr ance" c'sest un fait ! on e ntre ! transe ! danse ! fr$anche cxavalcade ! on entre en cette sorte de france-franche .... langue franche de france ou quoi ou qu'est-ce en termes de mots et autres termes dits "de France" ? Ambre ? ambre d'ambre ? on creuse , on avance ! o n cgherche, on pousse ! on veut, on gagne ! on gagne la brousse ! on avance en transe ! on est paqssées sur muret de base ...... on est entrées comme à la p arade ..... on veut tracer , creuser, nbous avancer et du coup au mieux cerner les dsonnées primaires, de type "vérités en herbe" . On veut :
cerner cerner erner cerner cer ner cernerv cerner cerner cer ner cerner cerner de p^rès ce qui est qui serait à nous mater de la tête aux pieds sans se gêner ! on veut gagner le fond du pré et là, devant re-paroi, tracer = traverser , et du coup .... pzassser (de fait) de l'autre côté, côté cote des traits (traits de lait) afin de (pour le coup ... à genoux ? ) téter de chez téter le bon lait de trait, lait tiré, lait trait comme quii dirait, d'un Néné SAcré (sacré N2né !) et hop ! léché ! tracé ! alimeznté ! fait bébé ! fait ou faite car , Fée faite ! faite (au jugé) bébé = Le Bébé post-herbe ! Un trait et l'affaire est faite ! trait de laéit pôst-sentier, post-herbe, post-pré ! tracé des tracés on croit connaitre car,; voilà, on a vécu ça, augtrefois, déjà .... la base, la base antrale, le lait donné, sein de rage, lait lettré comme une sorte de donnée de face, genre "message" = "oracle" = donnée-née sur place, nez acollé à Sein de Charme empli de bon léit de l'Ambre ! Aimé ! lait aimé en face ! on veut téter ! toucher = aimer = dire =cerner = comprendre = faire = connaîttre = porter = aduler = pousserr = chercher = contrôler = cerner-dire = poster-accoler = vendre-sonder et courir vite vers .......................................... un trait ................................... trait des fées ? ............................. trait d'herbe donnée , broutée, avalée ?.........................../...... trait des traits d'un pré vert donné comme à la retombée ...? ................................................................................................./........................................................................................................... qui sait ? qui connaît le terme ? La date du terme ? le tracé do nné en termes de terme, de fin de p ^ré, de confins ? qui sait de fait ce qui est de base, en ces quartiers des données rupestres ? qyi connaît le "vrai" sentier menant aux données , ici, lactées , comme il semblerait : le pr^etre des Fées ? pasteur / pasteuse, aux données dites "les bienheureuses"? Pasteuse / pasteure , pasteurs alloués à un tracé ? pasteure des do nnées de Rage, .... pasteuses ? On zntre !ON veut comprendre l'Antre, le DErnier! aller = toucxgher . Quijconnaît le bra,nle ? qui connaôt l'emphase ? qui connaît le TR acé de face ? qui sait de fait ce qui est en face (ou serait) qui nous concernerait en première instance ? Le Passé serait de rage déposé ? lE passé de fait serait, qui nous atttrezndrait ... comme par miracle ? re-tracé de rage : le Passé "cramé" ? comme "carbonisé" ? qui connaît les traits, la charade, les mots accolés, la phrase, les donnéesz de base ? qui sait en vrai ce qui pour le coup serait à comme nous attendre .... les bras c roisés ? la flamme allumée ? l'oeil enragé ? la boiuche béante ? seins donnés ça ba rde ! on va "ramasser" ! grave, post -pré ! ça va pas traôiner ça y ressemble ! On veut :
téter téter téter téter téter téter tyéyter téter tétyer téter téter téter
toucher toucher toucher toucher toucher touycxher touycher topucher toucher toucher rtouycher toucher ;, à ce dit "néné" des données (coudées ?) fr anches ! on entre ! on mate (à nous de mater ! 😉). On veut toucher = cerner, à ce dit "mirage" des contrés "célestes" ............. qui on est dans la mort souveraine ? est^-on fée ? fée sacrée , nacrée, armée , armée d'ailes ? Ou plus du tout fée mais ........ elfe ? elfe d"'herbe ? ou ................................. bébounet ??????? bébé pôst-pré , le Terme ? ; ................................. bébé re-né comme à (dans) l'antiquité ??? ?????? bébé celte ? vrzai ? chargé des dires alloués à (en vérité) la bête, bête de trait et autres activités ? On cherche ! on est pas arrivée ! on v eut toucher de chez touchezr aux traits assurés et autresx traits gravés à mêmùe la pierre ............ etdu coup passer ............. vers le passé ............ chargé du passé ............ tel que déjà vécu le temps passé , on sait ! on va nu ................... on trotte ! ....................... on mo nte ! ............................... on est hautes de chez hnautes ! on monte cul-nu vers la Haute TEnue ! Hzaute Porte aux DOnnées de Roche ...................../ colle qui colle ! ........................... on colle à la Roche ! .................. on monte sur Roche et POtea&u de Mots ................................................................. on monte ! hautes ! hauteurs hautes , "au trot" .......................................... vers le Mot de l'Ombre, ce mot ! .............................. le mot "ombre" ........... "ombre des mots" ................................................................ on exst hautes et hot .......................... vers ce haut des mots de trop ! .................................... haut niveau de Roche ................................ on monte ........................................ creusons haut le niveau "des mots" , des tracés de Roche Haute , genre animaux, bêtes de trot, mots de trop et autres termes ... des termes, sur poteau de Roche ...... Haute .................... on monte ! On veut aller-coller, faire-dire, toucher-cerner, pousser-alimenter, porter-charger, donner-consacrer, fficher et mettre, peut-^ttre, nos lèvres (babines) sur tétine ! et ........................................................................ téter ................... le lait ........... lait de frise .......................... le bon lait de prise .........?........................lait des laits de frise-prise ?................................. lait aimé .........................................On veut grave troucher à ce néné qui est icfi (devant) cette sorte de donnée directe telle que oui, on veut, on aimeraiot, pouvoir téter sans nous arrêter, et du coup grabve nbous alimenter, à satiété ou jusqu'à satiété, et ce sans traîner, sans laissser tomber, cxar, oui, en vrai, on est le bébé de la Friche ! on a traversé le dernier muret, on a réussi à passer de l'autre côté, côté cote "endiabllée" et à présent bnous voilà "morte-née", comment dire, née de fait dans la mort passée, dépassée, traversée, à téter le Néné des Données "reprises". DesVies allouées à une sorte de reprise, de retour des Rages, squr Paroi de face, Terre Ancrée, Terre tracée, Terre agraire. Retour vers les données priimaires, les données premières, verbe au taquet ! la vie allouée à une sqorte de -passé
re-conclu, re-lu ! cxharge dee trait ! bêtes-masse sur Passé de RAge ! on est née re-Bébé la Mort actée, actée ou comme "travezrsée" = passée = dépassée . car, la mort n'a qu'un temps, au présent. La mort est antichambvre d'une vie rebelle ! IOn entre, on passe, on franchit l'embase,on est re-la vie naissa nte ..... sur terre ftranche ! terre à vers de base = ombilics-lombrics ? la chance ! en transe on dance ! "baby dance" ! charge grave ! traits des trraits de base ! "on s'balance" ! Aïe ! on est comme re-née à u ne sorte de TRacé qui est .... eh bé ..... d
u PAssé ! passé xdense, compac té, comme re-alloué à une sorte de vie renaissantre, genre ...... trace .............. trace sur pieds ........................... parade ? ........................................... farce ? ...................... on renaît ou on renaîtraiot comme àla p arade, sur pieds, genre "traits de rage" personnifié s !!!!!!! qui le sait ? On est pasdsées ! on a creuseé la roche tendre et nous voi:à toutes qui savons" comprendre .....= toucxher ! toucher de chezz toucher à u n e sorte de
donnée franche, tracée, ronde de base comme
une sqorte d(offrande ...... en forme de ............. pômme des portées ? On veut : comprendre = faire = dire = charger = c erner = voir = b,âtir = szoulever = centrer = téter = se soulager = sentir = vivre = fonder = pârler = mùresurer = charger = pousser = coller = dire = contrôler le dire = rire = pister = vivre ou même revivre = porter, au plus haiut niveau possible, le Passé de trop ! et cela :
- sans rire !
- sans trahir !
- sans prtrdre lenord ni la face de face !
%Mais ...................................e,n , si possible, creusant , creusant, creusant, creusant , de rage, les .......... "moments de transe", moments fastes ! fastes moments ! ............................................. des données données comme par la bande ............ en creusant-cherchant, poussant loi,n les dites recherches et autresc "quêtes vivantes" ! On entre ! ........................................................................................ on ne veut pas baissser la garde, mais pôursuivre, grave, sur la piste,; ce tracé de base, ces szortes (vraies) de rec herches franches ! aller et donner, faire et pôrter, vivre et tr acer, soulever = dire, et dire = soulever , qui le sait ? qui connaîot les ressorts du Rire, du Gros Rire des Contrées, Contrées éÉchaudées, ? qui s&it du Rire ce qu'il en est en termes de DSonnées Vivves ? qui connzaît les traits re-montés, re-venus sur pieds ...... du fait que nous voilà comme toutes changées, transformées, modifiées, re-lookées comme qui dirait ! non plus la fée du pré..../ mais le Bébé post-pré ! Bébé des Béb és sachant (grave) téter du lait, Lait des TRaits ! à ce qu'il paraîat ! on veut biezn le croire, on est bienveillantes, toutes bienveillance ! on entre ! On entre dans l'antre. On veut toucher à c e Néné "de FRance" , Néné né dee la langfue de France ? on dirait l'enfance ! ça le fait ! on tr ace. On veut :
toucher toucher toucher toucher toucher touycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycxher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toycher toucgezrttr à ce qui est qui se présente kla mort passée, entérinée, archivée ! car, la mort, en vrai, en cvrai de vrai, la mprt est cfomme à archiver le Néné Tracé , . La mort, La mort en tant que pré, prairie aux bêtes de trait et autres bêtes dfe bon poids de base, La Mort dite "des Parades" , a sa vie de base, son tempsq meurtri, sa durée tracée comme enregistrée, et, de fait, à un moment ou à un autre, "passe" ! tombe en tombe ! s'enfonce ! coule ! fuit ! sombre comme une ombre et c'en est fini ! quand............ la vie vive des traits ........................... fait la nique et fraie, son chemin de suite ! vite ! sur mpieds ! le Bébé ! le dit "Bébé" des envies de Vie comme re-tracée la main levée ! vive vie re-marquée ! olé ! vie vive des tracés montés ! montées et montrés ! on est re-née sur Terre re-trouvée ! La vie comme elle est ! le Passé re-acté, re-noté, re-cherché, re-collé, re-visité, re-p arlé, re-touché de près, re-porté , rte-sondé la mort morte et enterrée, ou : une fois morte et enterrée ! car, la mort a sa vie, qui n''st pas (du tout) donnée en vrai de toute éternité ou pour l"'éternité, ! lamort est "chiffrée" ; son temps est réduit ; elle ne fait que pâsser, elle finit par (à un ùmoment ou à un auttr) sombrer et couler et se voir enterrée le cul tannée ! La mort est comptée. So,n temps traqué. Sa vie cernée. On veut dès lors "la traverser" , de fait, à toutes enhjambées et vite fait la dépasser, la doubler, la laisssrr de côté ou sur le côté et tracer de chez tracer sans plus se souvcier de ce qu'elle deviendrait "derrière" ! tracer = gravir = grimper = monter = aller, hors du pré, )à la recherche de la Vie CHargée ou comme Rechargée ! filer de chrz filer, aller de chez aller, creuser de chez creuser, faire de chez faire, sonder de chez sonder, fondre de chez fondre et du coup tr averser , aller sans se retrourner , foncer foncer foncer foncer foncer foncer foncer foncxer vers ce Nén é des Hautes Contrées qyui seraieznt allouées (destinées) àune sorte dx'après -mort, d'après vie et mort, nouveauté, nouvelle doonnée ou nouvelle donne ! tracé ! traits tirés ! le :ait ! le lait dsonné après l:a mort, comme qui dirait ! tétons donc ! tétons donc le lait tiré , traoit ! le lait trait buvons, tétons , avalons ! et creusons szillon ! chargeons ! allons ensemble vers ce mamemlon , à la recherche de cet aliment dont le nom de fait est "LAIT", "LAIT DE TRAIT", "LAIT DES MONTS", "LAIT BON", "LAIT DES ROCHES HAUTES", "LAIT NACRÉ DE LA HAUTE PORTE", "LAIT DU MONT DE PORTE", "LAIT A,NCRÉ", "LAIT SUR PIED ET ÇA LE VFAIT", "LAIT DE FÉE PASSÉE", "LAIT D'ÉPOQUE", "LAIT DE ROCHE HAUTE", "LAIT DES LAITS", "LAITS NACRÉS", "LAIT DES DSONNÉES DONNÉES", "LAIT DU MONT DES BOSSES", "LAIT AU LAIT DE ROCHE", "LAIT POST-PRÉ", , POSTOMBRE", "POST-ANNÉE DE FRAI", "LAIT AUX DONNÉES HAUTES", "LAIT NON-ÉCRÉMÉ", "LAIT ENTIER", "LAIT DE SUITE APPORTÉ", "LAIT POUSSÉ", "LAIT DES FÉES ET AUTRTES AL:LIÉES", "LAIT DE GROTTE". On veut toucher toucher toucher toucher toucxher toucher toucher toucher à ce néné empli de lait,lait calqué ou décalqué sur du lait d'époque,ancienneté ! On vgeut :
téter, téter, téter , téter à c e néné qui, xde fait , ressemble à s'y trompêr à un néné qu'on aurait de fait déjà rencontré "à l'époque", qua,nd on était docte, bébé né, bébé drôle, un bébé pré -pré, pré-herbe folle . On veut :
téter téter téter téter = toucher touycher toucher toucher = dire dire dsire dire = faire faire faire faire = coller coller coller coller = sonder sonder sonder sonder , et du coup travcer,, charger, poeerter de faiot la Parole Donnée vers la Rive Tracée, ce TRait des dOnnéees comme Remontées, Vies re-allouées, Vie à nouveau tracées pour la postérité il semblerait .... sur Passé des Dires. On veut toucber toucher toucher toucher toucher toucher tpucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touchjer toucher toucher toucher = téter téter téter téter téter téter téyter téter tétyer téter téter tétezr téter téter téter té&tezr téter téter tyéter téter à ce Néné des Données Connues, Vues, Entendues, Revues, Sues, comme toutes nues. On veut : aller, dfire, sonder, tracer, chercgher ici ou là X vérités de poids et du coup (peut-êtrte) être, là (sur paroi de rage) celles "quyi y voient " , "qui envoient du bois" mais aussi "qui en voient de toutes les couleurs" sur ça, cette chose en tas devant soi :
la base, le tracé, la voie, la rage des voix, ce tracé de branche. Une Voie vers la voix ? la trace entre ............................. (ezntre deuix parois ?) ............................. et une voie des Rois et REines de là, l'au-delà des voies ? ........................./.................................................................................... on entre ! ............../............................. on veut ça .............................................. poussser (là) la sérénade ................................... téter , téter grave le Néné de l'antre ............................................................................................... le lait alloué à une base ici, de fait, lactée, comme une sorte de dsonnée des rages et autres colères rentrées .... du fzit que ....... on est née ? on est re-née ? on est re-arrivée ? re-là qui voulons téter ? ................................... quoi se pourraiit ? qu'est-ce qu'il wse pourrait ? qu'est-ce que ça pourrait que ce sqoit en v rai qui nous arriveraiot ? qui on est ? qui on est pour le Néné ? qui en vrai on est ou on serait pour ledit Néné des
"Franches Coudées dxe FTRance "..... ?
une sorte de ....................... bébé d'ambre ? ....................................................... bébé des bébés de France ? du français plutôt, en tant que langue ........ langue des trots ................. des galops, sur bande traçante et autres pré haut ..................................................................................... on entre ! on entre eentre ! on e,ntre dans l'antre ! on veut haut comprendre (loin) les choses de l'antre, soit : ces mots, mots-ombres et autrees nimaux -mots , douces paroles, mots de trop sur paroi haute ................................................................................................................................................... on monte ............?................... on est hautes ..................... on monte ...................... obn est haut eet hautes ..................................................................... on veut toucher toucher toucxher à ce Néné "du bout du monde" . qu'est-ce que c'sst ? qu'est-il en vrai ? à quoi est-il lié ? qui sait ce qu'il en est e'n vrai ? faut-il croire à une vérité post-pré doont le nom ou petit nom serait "Néné" , soit "sein Donné " ? peut-on se fier à c e type de donnée donnée ? qui sait ce qui esrt d'une sorte d'après , après-pré ? qui connaît les .... "ressorts du rire" tel que détroussé, au décours d'une sqorte, ici, de "dérive" ? Qui connait le vrai, le Faux Tracé, les Données Fluides, Le passé en tant que dsonnée nouvellement (il semblerait) allouée à une sorte de Futur comme déjà Tracé, les mai,ns liées ? Qui sait ce qui est, ce qui se dessine ou se dessinerait une fois passé le dernier muret des données prairieles et autres données pastorales ? On veut toucher = on veut aimerr = on veut être = on veut dirre = on veut comprendre = on veut cerner = on veut aller = on veut saluer , saluer la Base ! chercher = sonder . Dire = porter . Faire = braver. Donner = charger. Porter = induire. vivre = poursuivre sur sa lancée tel tracé donné, et aller, poussser, creuser sans -traîner, charger charger charger, ne jamùais s'arrezter de creuser m^ais tout le contraire : saturer, saturer, saturer, saturer, satureer de dires les parois de Roche d'une sorte de ...... nouvelle Vie VIve .................... nouveautés du VIvre .......................................... re-vie des envies de vivre ....................................... nouvaeu tracé. FRai. VIE VITE.
Trait des traits . CHances au taquet. Pré dépassé et idem le muret, les finalités. On veut toucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher rtoucher toucher toucher touycher toucher roucher touycher toucher toucher toucher toucher toucher toycher touycher à ce Néné des Données Innées : quelles sont-elles ? on ne sait ! on cherche ! on est blêmes ! blêlmes en vrai xde chercher et encore chercher et toujours chercgher les données données telles que'elles sezraient (en vrai) à débusquer sur herbe, sur tracé dee pré, sur swentier, sur herbe coupée, sur praierioe aux fées ou autrezs champs aux herbesz vertes : qui sait ? on aime = on traîne = on mate = on cherche, ici et là, le pa ssage .... tout droit( ? ) vers ..........................................................................l'au-delà ? waouh !
10/2/2025
on regarde; On etst là pour ça. toucher-envisager les choses en face. Ce qui est et ce qui n'est pas. On avance = on en avance dans les connaossances. On veutcomprendre = toucher = faire-dire ce qui est, et ce qui est est : ce selmbklant de trace, cette voie de rage, ce tracé de base. On regarde , et ce qu'on voit est ... un convoi ! les traces d'une sorte en soi d'au-delà à soi ... La Rage ? La toundra ? un espace de passage ? une sorte de paroi des traces en veux-tu en voilà ? on veut comprendre = on veut toucher = on veut cerner = on veut s'e nfoncer = on veut entrer = on veut s'knscrire = on veut aller au plus profond de cette roche aux données profondes. Qui on est ? la fée ... C arabosse ? une zorte de Donnée des Rondes ? Un trait ? on ose ! on est passée ! on a pour ainsi dire travezrsé la Roche et nous voilà comme allouée à une sqorte de "rotonde" des contrées retorses. une vie de pré. Champs de blé , qui sait ? On est passée = on a franchi la (première) porte = la paroi des ombres. a présent .... la seconde, fond du pré, herbe à brouter puis un muret, un tracé accouplé à une sorte de muret des fonds. on voit la chose. On s'approche. On veut toucher et à nouveau entrer, .... cette fois : en ce muret des fonds de pré et autres champ donné. On veut entrer à la une à la deux sans traîner. qui on est ? "Chose", soit ... "hombre" ? on cherche à cerner qui en vrai ça se pourrait qu'on fusse en ce pré : une fée ? fée des prés tracés ? On est montées . On veut toucgher à ce qui est en ces contrées de roche pour ... cerner-comprtendre les données "hautes" = lointaines = anciennesc (on le sait). On cherche ! On veut toucher toucher toucher ... eh bé oui ! à ce Néné des Données Hautes ! = le Passé ! Le passé est cette sorte de Donnée Haute dont on espéraot, un jour, voir ... le nez ? quelque chose de près, quelque chose qui (en vrai) fut, pourt nous, de première importance, ... France ? Français ? le FRançais des transes ? langue innée ! oh oh va comprendre les traits, les données hachiurées, le tracé des causes et autres frarandoles ajoutées .... On est né "français" soit parlant kle français, langue de Roche, et àprésent ... on mionte ! montons droit comme allouée à pareille ombre ! cherchons ! creusons roche et tra çons ! On est nées Nées , on veut toucher, on veut être, ceklle, ici, qui, en vrai, comprendrait, un certtain ombre de donnéess des roches, ce que c'est que la Parole , Parole Donnée, quand on est Fée de Poche, Haute Fée tracée, Fée du pré la mort achevée ou sqinon achebvée ... "entrvouerte" comme une fenêtre ... qui sait ? On est née en ce pré Fée, on monte, on veut rapidement gagner ... les Nénés qui , comme squrajourées à du post-muret, seraient en quelque sorte à nouds interpeller poutr nous quasi ovbliger à les rejoinfdre aefin de les "toucher" soit téter leur lait . Car, de quooi s'agit-il en vérité ? il s'agit d'une chose Haute (tracée) qui de f ait ressembke, àpreu de chose près , à une sqorte de Ronde , rOnde Portée, Ronde Portée Haute, Rondeur Apportée Haute, Haute Rondeur fois deux Hautes, Hautes Rondeur Fortes remplies de LAit = Le Pass"é è!!! Le Passé est né la porte passée ! LKa porte du pré ! Passé né le muret passé. On veut cerner = traverser = passer, sans traîner, de l'autre côté et ... enfin .... cerner = entourer ... kes Choses .... le TRacé de Poche : mots des Fées telles qu'elles se retrouvent ou se retrouveraient comme ... adoubées ? par ... eon dirait ... une sorte de "Méère des fées " , l'encoche ..... La Matrone ? la Donnée des Données ? On cherche encoreb ! on est pas arrivée ! on veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à cette Roche "des Finalités" et voir en vrai de quoi il en retourne question Néné et Lait et envie de cerner. Car, qui est là derrière à nous attendre comme qui dirait ? un (deux ?) sein (S) de Pocghe ? une sorte de Giron De Roche ? ?? ...... creusons ! allons ! essayons de fait de trouver ce qui en vrai est là qui serait à, comme nous regarder d'en bas, ou comment dire ... de la Tête aux pieds, comment on serait, les habits qu'on porte, notre fdaçon d'aller, de nous tenir ou comporter, nos méthodes et autres actuions dérivées, notre fa,çon de parler et autres accentuations profondes, nos attraits, boucles dorées, yeux de fée, lèvres allouées, bras cendrées et autrsc ailes "de rotonde", car voilà, ce qui est en vrai est cette choseb (nous concernant) .... comme quoi Roche = Poche ! roche aux Fées = POche allouée à une sorte d'enclave cernée, par ... du muret, une sorte de muraille Haute , genre : "Mur du Son" des "Finalités Tracées" , Haute Murettte Classée ! On guette ! On est née fée comme à la traversée (la mort donnée : première instance) nous voilà en train de voler (transe) jusqu'à un muret (muraille "de France") qui nous échoirait (en vrai) au sortir du pré tel que traversé au miloieu des bêtes toutes broutant l'herbe. Et à présent ... la chose : le "Passé des Tronches" ?????? on monte ! monter = oser. On veut toucher profondément ce qui en vrai serait à donc à nous comme se présenter en tant que Néné à tétezr sans plus tarder. On est montée, on a traversé, on est accolée ou comme accolmée à cette Chiose dont le nom ou opetit nom ici est ... Néné-dit ! néné-dit des Données profondes. Chose" de prix ! On tetèe "la vie" ! dinguerie ! Lait des Vies Sacrées ! Charge de lait ! point et traits sur une sorte de "Muret des Vies" qu'on aurait trac-versé ou comment ici dire ce qui est en vrai ? on passe ... on tré-passe ok, on passe ici le trait de ce muret "des finalités" et, une fois celui-ci passé, qu'est-ce qu'on fait ? on .... revient à la vie ... en forme de Bébé Donné ... trait des fées devient Bébé né ou re-né à une vie recommencée et le tour (tour de roue) est joué ! grave tracé ! grave eznregistré comme qui dirait ! champ de blé, muret, néné : le trajet ! On veut en vrai cerner-toucher à ce qui est de "l'autree côté" qui serait à nous regarder, nous mater de la tête aux pieds pour mieux nous cerner et nous obliger quasi à se coller à lui (elle ?) , sein de traîne, Néné post-herbe, Néné Né à la (deuxième) retombée des Plaines ! on aime ! Quoi ? le lait de l'Herbe = Verbe ! tracxés d'herbves vertes on en a soupé, ok, mais en vrai ... on aime ! chanter = passer = trépasser ... on dirait. le Chant ici est le TRacé des Plaines. on veut toucher = on veut creuser = on veut aller = on veut comprtendre = on veut chercher = on veut nous enfoncer ou s'enfo cer en cette sorte de
"Parade du pré" telle que rencontrée la mort allouée, et chanter ! chanter de RAge ... eh bé ça :
le Néné De France ! ho !
fran!çais ! Néné Né français : la langue , le Passé de France = (essentiellement, on sait) le fvrançais, cette langue (ici) inculquée, allouée, enfoncée, donnée, pour ... comprendre = prendre = faire = charger .... sa colère saine ! Son envie de Tracer, sans tr îner, vers ... EZLLE .... LA Des Voies de ROche qui, ici, nous semble la plus proche , la plus comment, Accorte, prête à nous comment, Adouber-aimer, non point aduler mais aimer dans sa poche ou comment : reconnaittre "Haute" ? On trace ! On avance ! On veut :
toucher N2né = toucher Néné = toucher Néné = Toucher Néné, qui est ... ce Néné de l'Ombre, muret traversé, Autre côté, côté Ombre = SSainteté des Données Profondes. voies des Ombres Hautes. Chose du monde. Frai ??????? On veut toucgher à ce néné du Lait et du coup téter, car toucher c'sst téter, pas autre chose ! téter kle lait De haute Couvée ! On veut :
Du lait de poche ! Poche de Lait ! Lait de POche HAute = Lait sucré - s alé donné par une sorte de Mère la Pitié (ou Bonne Mère) allouée à une sorte de COntrée Donnée, Porte Haute , Chose MOntrée, SEin tracé, lait à boire sans tarder car Faim il fait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on aime ! on a méga en vie en vrai de comprendre le plus, le plus qu'on peut, de cetre sorte de romance des données lointaines et du coup tracer, sur herbe puis post-herbe, une sorte de"csentier des sentiers" qui pourraient sans faute nous conduire ensembkle (ailes) au plus près de fait de cette chose telle que narrée (ici ou là) dont le nom est .... ELFe ? ElFE Roi ? Reine Elfe ? Voie Des Voies ? Voix ? Voix -Elfe ou ELfe -VOi-x ? Le quoi ? le ou la ? On cherche ! on veut de fait comprrendre grave. Toucher ou cerner = faire / entreprendre . Ne plus en vrai se les croiser mais grave en avancer ! chercher chercher chercher chezr cher chercher hchercher à comprendre ++++++++++++++++++++++++++++++++ ici (ou l;à ) ce qsui estde cet "âge tendre" du Néné des Bandes .... un tracé "français" ? pour soi "français" ? qui contiendrait (qui sait ?) un certain nombre de ... Données de Rage ? Données Fades ? données Hautes ? données Coriaces ? Données comme tracées sur porte Haute (porte d'entrée d'une contrée Haute ) ... on veut en vrai cerner la chose, ce qui est, ce qui semblerait, ce qui se pourrait, ce qui serait qui serait à nous mater sans discontinuer (une vie durant) . O-On veut ..... dire dire dire dire les Choses du pré (de la mort actée) ok, mais aussi : ce tr acé tracé, cette sorte de montée vers une É2poque allouée (il sembklerait) à un N2né "de Roche" , roche Haute, Néné né à la retombé un muret passé, muret dit "des finalités" , et des données Haiutes. ON veut toucher toucher toucher toucher Néné Né post-Rovcche, et creuser = térter ? Soit téter le lait d'une Donnée GHaute . Un trait ? trait des traits ? trait de fée post-pré ? on est "couillonne" ! (couillonnnée ?) car, voilà, on ne sait à quel saint se vouer ! qui croire en ces contrées post-muret, poszt-finalités ? à qui se fier ? qui écoueter ? Qui téter en vrai ? mère de Lait = Soeur des Fées ? qui sait ? on veut
téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téter téyt ter téter téter téter à ce Néné post-pré = Donné ! oiuvertement Donné le Mur passé (mur du passé ou dit "du passé" ?) . On aime ! on aime téter. On aime le lait plus qu'il y paraît, on est Bébé, changé, renouvelé, remis sur pied, re-tracé et nous voiulà traîné come qui dirait vers une vie nouvellke ou nouvellement donné non pas sur herbe, mais sur ... pieds ! nos pieds ! petits pieds de terre ! soulevés ! on est re-née ! bière passée nous voici, en quelque sorte, re-tracée, quyi nous voulobns Homme, Homme ou Femme post-ombre, Homme Haute, Femme Haut post-tonneau, post-cuvée des mots. On monte ! On est fée des Ombres avant même de revoir la Bonde, le tyuyau, la Roche des MOts et hop, on ose comme Soulever la Trappe aux données, aux données de troop, voir Satrape, Donatello, Le Roi de Sardane, L'Ambre, Le Passé Des Veaux et autres bêtes à ùmuseau. On danse ! naissance = renaissance post-boyau ! hors Groote des Peaux et autres Cavernes aux asticots ! obn est re-née LE TRacé français, la TRanse aux Données, Fée actée est devenue Bébvé soit re-née à une Vie post Porte ! Vrai ! renaissance en transe dx'une sorte de Bande ! troupeau ! meute Haute ! vies de Veaux et autres "bêtes de mots". On monte ! On veut toucher à ce qui est qui en vrzai pourrfait grave nous éduquer et nous faire comprendre , une fois n'rst pas jamais, c e quyi est de cette transe, de ces mots dits "de trop", de pareille Romance post-trot, de la Danse et des Données dansantes d'une sorte de Parade Franche . on est nées Fées comme à kla parade, on le sait, que va -t-on dès lors devenir tantôt, la Roche passée ? la dernière murette ici traversée, le dernier muret ? Car, on aime , ok, voler ou voleter, c'est un fait. dans la mort on aime. Mais quoi ? qui on est quand on est passée ? qui on devient en la matière ? devient-ion ... Reine ? REine des Pieds ? reine de la Haine toute treacée sur paroi nouvelle ? ou bien .... REine aux données lactées comme sus-nommées en d'autres moments-clés ? On cherche ! on veut toucgher à e qui est qui ici se oprésenterait à nosmirettes (soit : à regarder) . On est ........................................ Bébé ! /..................... bébé né sur Passé comme qui dirait. On est un bébé, on veut téter, on veut boire du lait, on a faim, on a ...
super faim de lait, on aime le lait, on est redevcenue ... un bébé, une sorte de bébé nu, béb é des bébés nus , au contact du pré, de l'herbe, du Verbe, Verbe Vu ? vcerbe nu ? verbe d'herbe verte et autres herbes des données de roche la mort allouée ? On ne sait ! on est de fait Ce bébé de POche , une sorte. Sorte de Bébe des OMbres ! dans la poche, poche des Fées ? qui sait ? On monte ! montons haute ! treaçons sur roche une sorte de Porte où pouvoir ensemble passaer : la menotte, l'épaule, le crane perlé, toute la Gomme ! Passons ! naissons ! le Passé est le Passé qui en v rai est régulièrement renouvelé la mort une fois traversée ou même dépassée. On regtrouve Néné ! NBéné né après ... lA mort Haute dite "de POrte" . On monte . On veut toucher à ce Néné, des Ombres Supposées, et du coup téter pour nous "requinquer", nous almimenter, nous faire monter, nous aider à continuer notre (sorte de) "ASCENSION DE POCHE", on dirait ! tétons téton ! soyons centrée ! recentrons ! tétons l'Ombre ! Ne transigeons plus ou pas mais allons-y de ce pas vers du laéit de là, lait de franche Contrée , Lait d'Ombre ou des Ombres, Laitr des Laits adoubés par quelque (ici, en vérité) Divinités qui nous espionnerait ou du moins materait de la tête aux pieds sans discontinuer afin de bien se rassurer sur notre personne, qui on est, quel genre de bonhomme ou de bonne femme, Haute (ou haut ) , on serait de fait une fois la Mort dépassée (en quelque sorte) au sortir du pré , pré aux Fées d'époque : qui ? qui on est ? qui on est pas ? qui en vrai on est en fait de Bébé ? fille ou garçon ? tête de tronc ? fée donnée ? ton sur ton ? Bénbé aux traits de Fée ou bien aux données tracées de type Bufflet ? buffle-né ? On est née ici Fille-Bébé sur Passé de treait. Voilà ce qui est. On re-naît , on pâsse. Le Passé en face ! en face des traits ! traits de rage pour en vrai une sorte de FAce, Face d x'Ambre ! chair-née, Face Allouée à une sorte de Passé Noiurricier comme il en sezrait la mort "traverséeé", qui sait ! On entre. On entre en transe. On est une fée quiu veut en vrai entrer sans se retourner et chercher ici ou là à comprendre les données de base, ce qui est en fait de N32éné donné comme en soudffrance. Qui on est face aux nénés de Rzage ? des bébés ? on le supposerait. On serait enclines à le pennser. Car, en vrai, ce qu'on voit ressembkle fortemehnt à une sorte de rondeur aimable , de type sein de base, sein donné, sein aux traits lactés et autres perles de lait . On veut c'est vrai en tant que bébé nouvellement né ou re-né téter, térter grave pour s'alimenter, calmer sa faim tenace, se donner des forces notables, en avancer poiur la parade, s'élever. On veut téter de chez téter comme à la parade ! et du coup s'élever, grandir vif, charger, poussser, pouysssrrt sur pré ou non sur pré mais grave poussser ... "comme des champignons" comme qui dirait ; ou des melons, ou des fruits de saison. POires au taquet, cerisedes fées, tomates cendrées, pomme d'or. On veut tétrer à ce qwui est le Passé Touché. on veut téter à ce Néné "des Finalitéqs". Car, la mort donnée, traversée, dépassée, le terrain post-fée alors tracé eswt une sorte de .... champ donné, de type "toundra", àperpétuité, qui nous va ! LAIYT ! LAIT à l'arrivée ! lait des rois, Reibnes de Là (l'au-delà) et autres laits genre "pour-soi". On veut :
dire dire dire dire
donner donner donner donner
faire faire faire faire
charger charger charger charger
$toucher toucher toucher toucher
coller coller coller coller
entrouvrir entrouvrir entrouvrir entrouvrir
cerner cerner cerner cerner
contraindre contraindre contraindrte contraindre
soulebver soulever soulever soulever
pousser pousser pousser pousser
cacher cacher cacher cacher
mettre mettre mettre mettre
sonder sonder sonder sonder
porter porter porter porter
bouster bouster bouster touster
ifgnorer ignorte ignorer ignorer
louer louer louer louer, quelques divinités ou déités a-temporelles et autres Dieux Portées sur Tracé dOnné , genre Trait des Traits , traits Donnés sur ... hautes Roches aucx nénés ! le pied ! la Pause café ! on ose ! on veut monter monter monter au plus haut niveau des données de Roche-. Qui on est ? on est .... la Chose ! ponte ! ponte haute ! oeuf de Rotonde ! Corps d'Hole ! charmeuse -ombre aux données de Morte .... ou quelque cxhose de cet ordre ! qui sait ? On est ... née Haute, sur trait, trait dit "des fées Ancrées". On monte sur Passé. On veut :
toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher topucher à ce Passé dit " Des Passés des traits". Charger = cerner = faire = contrer = toucher, de fait, à un néné "surnuméraire" on le dirait, de type "sein de traîne" , un donné pour un reçu et autres échange advenu nu. On aime ! On veuy :
toucher rtoucher toucher toucher toucher toucher à ce qui est qui se présente à nos yeux étonnés, ou sinon étonnés , quand même surpris , de tant de lait donné le Mur ( de la mort !) passé , car, de fait, il s'agit bien d'une sorte d'entrée (ou de sortie) vers une sorte de ... contrée au Lait ! Lait de vie ! vie ! vie haute ! vie à la seconde ! vie des vies tracées comme ré-injectées à traversc ... la Parole ! Haute chose ! trait des traits = la Parole Haute = les données de Poche = le PApssé tel que re-traversé et remis sur pied en quelque sorte le Muret passé, soit la "mort Haute". Car, il ya, pour de vrai, en roche , uyne Mort dite "basse" , menace, trace, aurocnoisdités des données pariétlales et autres animzlités gravées, et la mort "Haute" des données ou aux données "profondes", de type ... nénés , Nénés nés hors roche, hors Tracé s ddits "animalirers" et autres gravures de roche. Passé né, Néné né au passé ... comme qui dirait. Re-^looké ! re-néné de près. Re-envoi aux données de traits, genre "revoyure" et autres retrouvailles nacrées (sacrées) . On essaie ici en vrai et de fait de cerner ce qui est qui nouis attendrait ou seraéit colmme qui dirait à nous attendre de"l'aiutre cvôté", les bras croisés ou sinon croisés les bras donnés ou comment, postés ? portés ? alloués ? ouverts aux bébés ? On cherchge c e qui est qui est ou serait$. On est née Bébé la mort donnée ! on re^-naît à travers le l:ait. On est la Fée qui va, sur roche au-delà, devenir
Bébé des Bras. Bébétrait des Voix . charged'ombre ou quelque chose colmme ça. On monte. On veut :
monter monter toucxher toucher
toucher toucher creuser creuser
creuser creuser centrer centrer
centrer centrer poussser poussserr
et enfin cerner, qui sait, le plus grand bnombre de données de Roche, ce qui est sur-fait, ce qui ressembkle à du Néné, ce qui n'en est pas, le vrai de l'ivraie, le fau-pas, le vrai treacé, la Riooche Haute et celle qui n'en est pas, les Paroles Force eyt celles qui resteznt en bas, qui ne "volent pas" , soit : qui ne volent pas haut et ne nous renseignent pas pour ainsi dire tant que ça , ou comme on le voudrait, comme du moins on l'espèrerait, car, en vrai, on veut toucher à cette vcérité , des données dees Ombres. Qu'erst-ce que c'sst que l'Ombre ? qu'est-ce que c'est que l'Ambre ? qu'est)-ce que c'est que cette Roche en Chambrte .... Cercle des Fées ..... tr acé donné .... centre- du -pré qui serait de fait l'endroit idoine où devoir brouter quand on est (comme supposé) bête (soi-même) de treait une fois mort et enterré ! car : `
l'homme (homme) meurt
tombe, hop
tombe hop
l'homme , l'homm-masculinité, ne porte pas loin la mort donnée
va en tombe, tombe, va sous terre tracer cimetière aux données posées ou apposées
La Femme, ELLe, est AILe, vole,, trace, monte, cohorte, cohorte animalière, Bêtes de Sopmme, ne tombe, ne tombe jamais, hamais ne tombe, monte, haute : F2E des prés ! FÉE SURNUMÉRAIRE , FÉE ALLOUÉE À UN TRACÉ, SUR HERBE VERTE , SUR VEZRBE IL SEMBLERAIT OU COMMENT OU QU'EST-CE ? LE TREACÉ AUX FÉES EST UN TRACÉ SURNUMÉARAIRE = RAJOUTÉ AUX TRAITS TELS QUE DÉJÀ TRACÉS PAR, ON DIRAIT, .... DES ELFES ? DES ELFES CENDRÉS ! ELFES DE L'HERBE ET DES CHAMPS LOUÉS ! ON EST FÉE À LA MORT ACTÉE ! herbe des prés à brouter ! on aéime l'herbe, on broute kle pré, on est bêtes-verbe aux données cernéees, comme allouées à une sorte de vie recentrée autour d'une ... donnée verte, donné allouée à une bête d'herbe. en herbe ? on cherche ! qui on est ? on est ... la Fée qui, au passage tracé, est .........../..................................... monnté e car............................. elle wsait voler (elle est ailée) qui sait tracer et rechercgher à comment faire pour de fait s'élever le plus possible vers ................... la Vérité .... des Données de Terre ! cxher-che-vérité qu'on l'appelle ou l'appellerait ! on aime ! on aime grave se porter ensemble : ailes collées . On entre. On veut :
toucher toucher topucher toucher toucher trouycher toucher à ce qui est qui nous r assemble, nous étreint, nous "condense", nous recentre, nous adjloint, nous colle ensemble ! bébé né sur (petits) pieds de "renaiisasnce". Un trait. Un trait tracé et ça le fait : re-ttrait ! re-tracé ! re-passé ! re- le tracé nacré et le bébé est né qui ... nous ressemblerait à quelque cxhoses près au nivreau des traits . cheveux bouclés. Petit nez busqué. Cou porté. doigts de pieds et autres accents do nnés. On veut re-aller
re-coller
re-tracer
re-adouber
re-colmmater
-re-siphonner kle néné comme empli de lait, de bon lait sucré comme sw'il en pleuvait dans notre gosier ! hum le lait ! lait des traits on est super-
aimantes /aimants en vrai. On veut téter = on veut graver , gravir, grave gravir, grandir. On veut toucher toucher toucxbher toucher toucher toucher à ce qui de fait se présenterait qyuii wserait "la vie" toute ré-injectée ou re-donnée au passage des traits des finalités.
Toucher = trouver = cerner = retrouver , en vrai, un semblant de vie comme au temps passé ! comme on connaissait avanrt d'y passer ou comment avant ? avant l'envolée, le départ-né, la mort archivée.... Mais voilà ! Roche-nouba, on est à nouveau là, post paroi, quivoulons rte-tracer la voie et .................................................... cerbner cerner cerner la Chose ici-b as comme consacrée, à nouveau sacrée ou comme consacrée par une .... quoi ? Sorte de quoi ? Divinité-lambda ? Déité -Roi ? Reine des Bois ? F2e-Reine aux quatre bras ? pérenne ....... ? On cherche ! on veut aimer, toucher-aimer, tracer, tracer-aimer, coller, coller-aimer et du cfoup aller, cerner, souffler et en v rai trouver (si possible) vérité allouée à une sorte de "missive" en langue "de suite", qui saurait nous dire .... eh bien ...... la Suite ! ce qui est ! ce qui en vrai serait (sera) à nous attendre dans l'au-delà à soi ................... car, l'au-delà erst "au-delà à soi", à son propre soi qui comprend "son monde", chacun / chacune son (propre) monde tout entortillé des tracés de roche . On monte ! on veut et on voit ça : la Tombe, haute Tombe des Voix, nous .......... on mionte ! on laisse ça (la Tombe) à ce qui "ne v eut (?) pas" alors que bnous , ................................................................................ENVOL .....................................................ENVOL POST-MORT.......................................................................AILES DÉP:OYÉES HAUTESXS .........../.................................. HORS TOMBE ..................... ON MÙO NTE ............................................................................................................................... ON EST NÉES FÉE COMME À LA RETOMBÉE ............................ SUR PRÉ AUX HERBES = HERBES FOLLES CVOMME ALLOUÉES-)TRACÉES OU DESSIONÉES -GRAVÉES PAR QUELQUE HOMINIDÉS OU FEMMES DE LAIT AUX TEMPS DES TRACÉS DITS "À MAIN LEVÉE" ........................ COHORTES ............. BÊTES DE SOMME ..................... AÉUIROCHS ET BÊTYES DE PORTE ......................... ANTIL:IOPES, BOUQUETINS, BISONS , BUFFLES ET DAIMS ....../.............. DE ROCHE HAUTE ...................................... POULAINS ........................................................... OURS D'ÉPOQUE HAUTE ET OURSES RONDESC................................................... DOUX BISONS, DOUCES BISONNES .................................... OMBRES ............................................................ Oon monte,; on est hautes, on est femmes des portes, on est fée-femmes des données de roche, on veut toucher toucher toucher aux données post-porte telles que rencontrées le mur (du fonds) passé ! treaits ! terait des traits ! on est fée-femme dans la mort actée ça le fait. On est passée car on voulait en tant que femme ailée aller, aller jusqu'au néné, néné né le mur du fonds passé , côté Trait, Trait des traits ! Parole ! ombre = parole = langue d'attrait = ombre ! On est Hautes Formes, Fée )-des fées, Femme allouée à une roche, Femme Forte, Colle ! Colle accorte ! On eut toucxher à ce "néné du bout du monde". On ne veut pas passer à côté sans véritable:ent pouvoiurt pour ainsi dire le toucher afin de téter son lait "enjoué". On veut grave téter de ce lait de Roche ! lait de Fée ? lait des ombres portées ? lait-Parole ? parole de lait ? lait-Ombre ? lait de fée aux traits ? Trait de Lait sacré ou Nacré du pAssé donné (re-donné) ? On est La Fée Dite "aux données ancrées" , qui veut :
touchertoucher toucher
donner donner donner
verbaliser verbaliser ver aliser
les données de Roche (ici)) afin de (pôur le coup) ne pas les oublier, les archiver, kles tenir de près, les piouvoir creuser comme à vo:;onté si jhamais ! tracer = tracer = teacer = teacer = tacer = tracer = tracer = tracer , les données de roche , sur .......... néné ? hé ! qui sait ? qui connai^t de fait (en vrai) les données avcérées ? L('ombre ? l'ombre alloué à une sorte de contrée "porofonde" .... post-porte ? on monte. Montons haute. Allons. Creusons donc la Roche Haute, passons, passons qui un nerz, qui un doigt (dioigt de fée) qui un pied, qui son aile gauche. Et voyons. Visionnons. regardons la Bosse. Sein docte. Sein des wseins. Poche. Poche d'ombres . Poche Haute. Sein de poche. Colle ? coolle dx'ombres ? colle d'homme ? chose comme ici collée ... par les pieds ? qu'est-ce qui est qi'on poiurrait toucher et peut-être mieux cerner et du coup rapporter afin d'en consig ner les grandes lig nes, telles que (devant nous) se dessinant au fur et à mesure de nos avancées en pareille contré dite "du bout dui monde". On est née fée la mort donnée. Nous voici modifiée", devenue Bébé, re-Bébé des traits , teraits de lait. On est nue ............ cul-nu ................. crue ...................... nue et crue ..................................... le Bébé des Bébés comme à la retombée cul -nu .... de l'autre Côté de la Rue, ou comment ou qu'est-ce ? nu sur le cul ? revu ? re-née nue ? nu et vue ? On est passée , on a osé, on a regardé, on a voulu a;lller en ces contrées chercher de chez chercher la moindre parcelkles comme qui dirait de vraie vérité, afin de oui ...................... coler ! coller grave à ça : sein des seins lactés ! le lait ! ah, le l ait ! oh le lait, laiot post-pré ! on veut téyter ! On veut grave s'en pourlécher et ne pas traîner, téter, téter Néné ! on adorerait .... on dirait de fait qu'on adoreraiot , en vrai, re-piouvoir téter au néné pôst-pré , ou "Néné du Passé" il semblerait. On veut :
dire dire dire
cerner cerner cerner
coller coller coller, son petit nez, au néné , et téter ! grave téter, aller, cerner, chercher, coller oui son nez, pour téter Néné sans se tracasser ! boire du lzait ! lAit donné ! lait alloué à une sorte de Mère Donnée, Commme l'herbe ! Comme un Pré, Comme Herbe Verte, Verbe ! verbe vrai,
ON VEUT TOUCHER À CE NÉNÉ DES DIONNÉES DU VERBE
ON VEUT COMME QUI DIRAIT TOUCHER
À CES DONNÉES DU VERBVE-HERBE
HERBE DES PRÉS SERAIT DU VERBE NÉ
VERBE CD'HERBE NÉ SUR PRÉ À LA RETOMBÉE
LE VERBE EST DONNÉE, DONNÉE DES DONNÉES, VERBE-DON DE LAIT
VERBE-COLÈRE = LAIT DU PRÉ OU MÊME POST-PRÉ
On veut toucgher à ce qui se prsénterait en termes de néné-colère : sein daté ? sein alloué à une sorte de ... Femme Mortelle ? sein chargé de données lactées ? Sein surnuméraire comme saturé , saturé de lait ? Lait de bière ?. sein porté ? chant des Femmes agraires ? le Passé remonté remonte ses traits de haute colère (ou remonterait) ? On ne sait ! on cherche, on creuse, on va, on trace. On en a vance "enxemble" dans les connaissancesc. Java,; Sumatra, la Transe, la Paroi des Voix, le Passé de France, une voix est une voix, la Chance, Parade des traces et autres bêrtes-mots du ventrte. On va , on creuse, on porte, on colle. On cherche voie d'abord, porte et haute Tour d'époque. On creuse haut la Roche des Portes. On monte. On veut :
faire faire faire faire = donnner donner donnerdonner = dire dire dire dire = sonder sonder sonder sonder = charger kles données, les données de base, sur mulet, et du coup marcher, poussser, creuser sur Terre des Fées (le pré) notre petite aventurette aux allures de retraite vers .... le Passé ? qui sait ? ça se peut ou pourrait ! on est Femmelette / omelette cendrée, née Fée à la retombée, on cherche l'(entrée vers une sorte de ... sortie complète, porte Des fées, trait des traits par où de fait pouvoir passzr vers .... le Passé dit "des amulettes, et autres grigris" ... oh cvomme on aime ! on aime la vie ! roche imberbe ! vie des vies comme à l'ancienne : le Verbe ! aigri ? non pas ! npuvellement remis ! remis sur pierres ! On aime ! on cherche. On erst nues du cul mais peu importe la tenue (oula non-tenue) du moment qu'on s'aime ... qu'on s'aime soi-même, qu'on est nue pour .... être ! être Bête, Bëte-mot de ROche ainsi accolée à une sorte de Donnée Profonde .... ??? hé, on va y arriver ! ON guette ! on veut trouver = on veut cerner = on veut s'avancer = on veut charger = on veut toucher toucbgher toucher toucher, à) ce dit "néné de France" (du français, en vrai : la langue) et tracer !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! tracer de chez rtracer , en avancer, comprendre-toucxher à ce néné , comptendre ce néné et de fait le toucher comme par contrebande, en ces contrées (ici) post-parade, post-nouba des transes, post-sarabandes, post bzatailles navales. On veut ça ! Creuser de chez creuser la bande, la paroi de FRance, France en branle, le Passé de soi, la belle Romùance d'autrefois ? on entre ! on veut toucher à ce qui se présente, en termes de voies, voies sages, voies de grâce, vois-parades et falbala, voies d'en face, voiues de passe et passage vers un au-delà de surface, voies des voies et voies-tralala. On veut comprendre ce qu'on voit en ce convoi de bêtes de masse et autres mots de rage "caca". tracer = dire = venir. On est née .... fée ! fée du pré. On est re-née ... Bébé ! Bébé post-pré = achevée ! le tracé, la ronde, le passé de porte, l'ombre portée sur une Chose des données profondes. Qui on est ? qu'est-ce qu'on porte ? que voit-on post-porte ? que savons-nous de cette porte haute ? qui est né ou re-né (de nous) la porte haute une fois passée , ou qui re-naît de bnous ? que voit-on au plus lointain d'une sorte d'époque haute .... bnéandertalienne ? sumérienne ? africaine ? celte ? d'herbe verte ? VErbe du VErbe ? Verbe ancré sur pieds et autres piquets ? On cherche .... On creuse ...... on monte ....... on veut entrer ensemble ........ voler .......... dire et porter ici oulà la paro:e haute ........ sur paroi et au-delà ............... hautes voix des voix seraietnt ... celle qu'on transporte (incidemment) avec soi, comme une sorte de ........... cohorte ! beêtes hautes ! bêtes fortes ! auroques ! aurochs/auroques et autres biçsones de l'au-delà, l'au-delà de soi .... hautes roches et par(ois de choix , grootes des portes, sondes, sons de roche ..... chants doctes ! On monte. ON ose. On veut aimer. On a envie en vrai de creuser de chez creuser cette espèce de "P al ais de ROche" ici donné. Qu''st-ce que c'est que ce palais ? une poche ? une sorte de .... poche à lait ?. sein do,nné par la Pärole ? On veut rêver ! On veut toucher toucher toucher rtoucher troucher trouycxher toucher toucher touxher roucher toucher toucxher toucher à ce Néné empmpli de lait comme à l'époque où on était bébé, sur pieds, dans notre lit douillet, à juste avoir (comme qui diurait) à "rêver" à ce qui est , en termes de données de porte, porte ouverte sur Satiété et autres données fortes. On veut coller à ce qui erst en tyermes de données lactées : le lait , mais aussi ///...... le Verbe ? l'herbe ? le tracé du pré ? la chansonnettre des do nnées prairiales et autres saturnales ? le Pasddsé ? on veut pouvoir de fait cerner un plus grand nombre de ddonnées et ce sans traîner, sans se lamenter, sans s'offusquer à tousq moments, et râler sans cesse comme quoi en vrai on seraiot comme abandonnées ou laissées de côté, alors même qu'on est .... pour ainsi dire ...... dans la mort sauvées ! c'erst dire ! vive l'Hydre ! on est .... ici en vie vite ! on est vite en vie ici car fée ! transformée en fée on ne cesse de vivre et vivre vite jusqu'aux .... néné nés de l'après le pré ! On veut :
creuser de chez crteuser
dire de chez dire
aller de chez aller
poussser de chez poussser
cerner de chez cerner
pister de chez pister
contrter de chez contrer
csoulever decherz soulever ... le voile de l'obscurité il wemblerait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on pourrait le penser !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! vas-y cerner !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! chezrche à dépâssrr les données données ou qui semblaertaient avoir été données , un jour passé, comme à la retombée................................................. qui le sait ? ........................................ qui cerne en v rai ;es données profondes ? qui comprend la Chose : Rotonde, Ronde, Ronde-Bosse, POrte, Porte Haute. Qui ? l'Ombre ? mais ................... qui c'est ? .................................. qui est l'Ombre ???? qui en vrai est ou serait cette "Ombre" dont la mort serait tributaoire ou comment dire , née d'elle ? On cherche ! on veut :
toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher = téter téter gtéter gtéter téter gtéter téter
aux Nénbés post-herbe .......................... verbe ? Verbe de lait ? on cherche ! on veut en vrai cerner ensemble les données de base, comprendre ense:mble les Données données et autres traits de vérité.
On est entrées, on est des fées, on se promène traquet-traquett en ces contrées, dites "contréés d'herbe" , on avance entre les bêtes, bêtes de bon poifds de rafge, bêtes-poids pour la parade sur paroi de choix, on est "ensembkle " : deux ailes, deux ailes pour faire ( de fait) fée , et ça le fait assez pour pouvoir .... s'envoler de base, voler de chez voler = monter = aller au plus haut possible vers .... eh bé ce dit néné "des contreb andes" ,THE néné post-pré , kla cxhance ! on est cocufiée ! on entre ! on entre en transe en ce dernier quartier qui est l'endroit pour ainsi dire des données finales et aiutres "traits de satiété" ..... la chance ! cocufiée comme jamais méis qu'est-ce qu'on s'en branle on renâit dsan l'antre ! on est allaitée ! on boit le lait du ventre , le Passé ! le Néné né à unPassé de "Franche Camargue" ! ailée ! riz ailée et autres mets de France , le français nacré, langue de FRance re-donnée, langue d'ambre, lait des laits : passages forcés on est passée et on recommence : le néné, la frange, l'allouée des transes, un passé recommencé sur pré teracé colmme à l'entre-soi des données données
comme à lkla reztombée ... en enfance ! On veut :
toucherr toucher toucher toucxher toucher toucher toucher toucher touchjer toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à ce quui se oprésente à nouds lke mur du fonds passé . Soit : le Néné ! kle lait né, lait des laits enfin "tiré" , ou "trait" cfomme qui dirait en parlant des bêtrs et autres animaux de ferme. On veut : etre, porter, faire, sonder, creuser, finaliser, comprendre et cerner , au plus près, les données de l'herbve, du pré vert, du Verbe donné (dicté) un jour passé, de l'ombrte portée et autres trait des tréits ainbsi rapportés. On veut creuser cette sortte dee ..... chose "drôle" .... un tracé sur pieds ? une p arole ... personnifiée ? qu'est)ce que ça serait ? on veut en vrai , reytrouver ..... quelque chose .... du opassé acté ? une sorte de ..... parole haute ? qu'rst)-ce que c'est ? qu'est)-ce que c'est que la P arole Haute ? parole ... de laiot ? lait "docte" ? lait des laits doctes ? qui sait ? qui comprend les choses, d'une sorte de cxontrée lactée comme intitulée, il sembklerait, ou on se trompee ? IOn eqst née fée la mort donnée. BNous voici rezfaite" comme qui dirait .... en forme (nouvelle) de ... bébé né, né post pré, tout chou tout mig no net avec ses traits tout fins de bébé allaité, coucouné en son lit (coufin) douillet ! on est ..............................................................................................................................NÉ BÉBÉ , NÉE BÉBÉ À JAMAIS ! BÉBÉ À JAMAIS ! À JAMAIS BÉBÉ ! LE BÉBÉ ! RE-NÉ ! ON EST LE RE-BÉBÉ ! BÉBÉ-RE AREU ! BÉBÉ DES BÉBÉS QUI DIT RE, RE-NÉ, AREU-NÉ ! NÉ AREU ! BÉBÉ SUR PIEDS RE- ........................... comme un fait exprès. On veut :
dire dire dire
aller aller aller
conduire conduire conduifre
faire faire fairte
cerner cerner cerner
chercher chercher chercher
allouer à une sorte de contrée finale, une (qui sait ?) vérité fatale .... et pousssrr ! pousssr vite, pussrr fort et haut, le "Vivre" ... aux accents de mort ou comment dire ? post-mort ? On veut re = re-vivre = re-venir (ivre ?) vivre .... les données de ROche ! Porte Haute ! Chapiteau ! creusezr ruisseau, ru de roche sur pré aux mots. On veut : dire-allouer, c erner-coller, faire-charger, cerner-scinder, creuser lke Passé comme une denrée à pleines bouchées ! mordre ! allouer à un met une sorte de note, et passer ! poussser ! alerr sur pieds vers ce ............. néné nouvellement donné (re-donné) comme une sorte de denrée haute ou d'époque haute = du Passé , Du passé dit des temps "allouées" à une sorte, ici, d'ère première, primaire, ancienne , regtroiouvée. On aime. Le lait frai. La Scène. Le Passé de traîne. Le passé allé. L'ombfre souterraine. On v eut de fait creuserv de chez creuser en ce passé "des petites mis-ères et autres petits faits vrais", gernre b analités, faits d'herbe, pré des prés, bêtes-verbe surchamp alloué à une sorte de Passé ... des Convenances et autres habitudesz de Franc'e. On veut grave cerner ce genre de données passées . données denses. Traits tracés à même la paroi des franges et autres formes amples. On entre. On veut : toucher de chez toucher lers données de base, de type denrées, offrandes, vivres déposée, fruits donnés, dons frais. On veut ............................................................................... creuser creuser creuser ..../................................. le passé ou vers le passé ...................... voie de fait ................ trajet ................................................ dsorte de sentier ou de tr acé par où en vrai on pourraiot passer (ensemble) sans se retournerv ............................................ ailes déployées .............. en reconnzaissancec...................... pour cvomprendre ...... voir .............. mater ................ cerner X données qui pourraient nous aider à grave nous repérer ............ en ces derniers"" quartierrs , de type "cvontrées allouées", à une sorte de) "cimetière du VErbe" ......... mais est)-ce ? ................. est-ce en vrai ici (pré) une sorte de , "cimetière du Verbe" ?? ................................................... merde ! ................... non ! ................................ le Verbe on le voit fait ça : la navette ..... de là à là ! ddu pré à là-bas et de là-bas à là, l'avant-scène ! merde ! on voit ! on eswt là ! on mate paroi et plus que paroi, dedans l'antre = le ventre ! le foie ! les entraillles de (pour ainsi dire) l'au-delà de soi, la Chance ! l'audace ! le cran ! l'envie pressante ! le vent ...... vent de face ! ........... on entre ............... on entre ............... on entre .............. on entre ............... oin entre ............... on entre ............. on entre ............ on entre ................. on entre ............ on entre ................... on entyre ............. on entre .?........... on entre ............. on entre ............. on entre ..?.......... on entre ................. on entre ............. on entre ............... on entre ............. on entere en teranse ! on envoie ! on en voit des masses ! on voit ça : la Rage, Rage de l'au-delà, la base , le tracé des Rois, l'embase et autreswsxtraits des traits post-paroi ............. genre .........................fleurs d'acanthe ?????????? fleurs des voix ?????????????? feuilles amables ??????????????.?? croix ??????????????????? croix slaves ..??????????????????????? CHarmes ?????? ????????? ?? ?? ? On envoie ............................................on entre ............. on entre .............. on entre .............. on entrev................ on entre ............. on, entre ............... on entyre ........... on e yre ?................on entre ................ on enttre .......... on entre ........... on e gnttre gra ve .................... on entre grave de chrz grave ensemble = ailée ! car, nous sommes (je suis) ailée ............. à jamais ! .............. à jamais ailmée ! vive et tracée en forme de fée .........../...................... fée née la mort donnée ......................................................... fée des fées .................. puis quoi ? après la fée vient la toundra, le passé des voix, le passé loacté et ses seins de pôids .................LAIT ...................................... LAIT ALLOUÉ ................... LMAIT LOUÉ .................................... LAIT ADOUBÉ .................. LÉIT POST-PRÉ......................................... LE LAIT EST U E SORTE DE DENRÉE DE CHOIX, POUVANT SANS CVONTESTE NOIURRIR COMME IL SE DOIT N'I:MPORTE QUEL ÊTRE TERRESTRE QUI, DE FAIT, VIE NDRAIT À CHERCHER, ICI OU LÀ, DE QUOI S'ALIMENTER SANS PLUS TRAÎNER NI LAMBINER ................................. BÉBÉ DES BÉBÉS À JAMAIS RE-NÉ ! ON VEUT RÊVER , ON VEUT ... OU ON PEUT ... RÊVER...................... creuser = donner = dire = faire = comprendre = cxgharger = donner = cerner = porter =fonder = voler = chertcher ou rechercher un certain nombre de données, avérées ou comme avérées, qui pourraientr de fait nous donner grave de quoi penser, méditer, comprendre, chercher entrées ou sorties de base, le Passé sezrait l'entrée (ou : entrée de contrebande) vers ......................./................................................................................................................................................. un ............................. une ................................... soorte de .......................................... re ................./..................... re quelque chosecx qui sait ? ......../................... renaiossance grave ........................ grave renaissance ............................... fait vrai .................... vrai fait .................. un ou une ...................................... fait vrai ou vérité des faits .............................. trajet diurne ...................... sentyier dit "des fées" verts une aventure ............... aux allures de ........................re .................... re-visite .............................. = re-tracé .................................................. re -visite allouée à une sorte depassé re)-né ................................re-la chose "bornée"..............................qui le sait ? sait-on jamais ! qui ? ................................... vivre = dire = charger = comprendre = composer = faire = soulager = complaire = poerter = noter = fondser = sonder = mener = dire-faire ce qui est en ces contrées post-muret de type ...................NÉNÉ NÉ LA MORT DÉPASSÉE.......... car, la mort, en vrai, bn''st pas "à jaùmais", elle est vite traversée , en fée, vers du Néné-né empli de lait comme s'il en pleuvait ! pluie ici de lait frais ! dinguerie ! ça le fait en vrai comme à dire vrai jamais ç'a l'a fait ! dingue nacré ! dingue sacré ! dingue lait des laits ! on aime à jamais ! On veut (grave) sans plus s' arrêter (jamais) : téter ! on veut téter (grave) le lait, sans s'arrêyter jamais ! on veut grave s'alimùenter ..............de bon lait de trait ! trait des traots sur passé de frai ! .... à jamais ! ................ pour ainsi dire : pour la vie !vie vive (sur pieds) re-née ! ......................................................... on veut creuser ....... donner ......... allouer ........ bercer ............ pouyssser ................. pousssrrde chez poussserr et du coup tracer ! filer ! à toutes enjambées ......... vers une vie nouvellement re-née commeun fait exp^rès, du fait ......... du néné ! qui est rempli de lait à piouvoir téter ... si on sait ! or , téter est inné ! on le sait ! tout bébé s ait téter ! y a -t-il des bébés qui en vrai ne sabcvent pas téter ? oh treès certainement ! mais généralement .... tout bébé né surt pied sait, sait téter de chez téter, prend le sein à grande bouchée, sait avaler et ingurgiter et roter ! .................................................................................../..................................... l$e lait ................................ lait de mère ................. lait de mère-mort .........?......................... ombrte ...................................ombre de la mort .................pôrte ................ cohorte ................. sorte de "cohorte de porte" .................................................................. big-bison de roche ......./..................... dessibnons ! .... gravons ! .......................................................................... ombres aàfoison ...................... on =monte ................................... on veut topucher topucher tpucher tpycher youcher à ceyte zorte de dopnnée de roche = porte ! porte d'entrée (de sortie) de poche ... ou comme qui dirait de pôche , car, voilà, on est là : entrée .......................... pôrtée ........................................ soulevée ................................................ on ne veut p^lus s'arrêter :ais au contraiore pezrsister dans notre avancée à grandes enjambées et du coup ....... crteuser de chez creuser les données ... "chelous" ?.... qui sait ? Qui sait ces données ce qu'elles seraient pour nous le mur (du fonds) passé ! on trace .............................. on avance ! ............................... on charge .......................................................................... on est née Bébé au-delà du pré. On veut toucher à ce quii esten forme de Néné et du coup téter. On aime lae lait car on est (de fait) ...... des ébés ........................ aimantgrave téter ........................ prendre le sein donné ......................... s'y accrocher ...../........................... attraopper ............................. avaler................................. déglutir pour de vrai .................... aspirrer .............................................mort-mère donnée ............ = vie retrouvée comme qui dirait ........... que ça se pourrai!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! oh à jhamais !!!!!!!!!!!!!!!!!!!! qui sait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! le Passé donné !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! v rai passé donné et à jamais ilm wemblaezrait ..... = d'éternité ........ pour de vrtai ! ..................éternelle donnée a-genrée , on dirait ............................ bébé des bébés ... remis sur pieds la mort passée ....................... re re re rere re rere -né à la vie donnée .......... vie vive des a:lacrités mais vie vive do nnée pour ainsi dbire "tout de même", de fait ......................................... on veut :
toucher toucher toucher toucher topuycher aux dits "Nénés" des données intenses. Traverser = p âsser, cvomme en contrebande, le muret ou mur du fond du pré, versle Passé donné , qyui est Vie re--donnée à une sorte de Bébbé dit "des alacrités" ...... que dire ? on s'y fait ! on entre .... on passe ..... on envoie ......... on veut comprendre = toucher = cxerner = passer = poussserr = faire et sonder un certain nombre de données données, données sur pieds au delà des traits. On veut :
toucxher toucher topucher topucher toucher toucher toucher à c e quiest au delà des treaits, treaits du muret. Et du coup .............................................................................................. téter ...................................... téter =téter, pôur de vrai, le lait de mère = VErbe ! verbe nacré ! arme des fées ! vérités des vérités et autres mots de la colère ancrée , du fait que voilà ........ l'herbe .......... l'herbe du pré ............ est comme "brûl"ée" ,, qui sait ? pâr quel soleil ancré ? par quelle sortrte de "lumière des lumières" ainsi portée ou déposée sur ml'herbe (verte) des données en herbe .... ? On cherche ! on veiut aimer, toucher et creuser, et f&ire ainsi que la colère (en soi) jamais ne retombe m ais tout au contraire monte, monte haute, explose, pète grave à la face du MOnstre , envoie, le fasse, parade, nous fasse ainsi un peu encore perdurer sur place ..... aller et venir .... voler ou voleter ........ tracer ......... comprendre ou chercher à comprendre en vrai ce qui est qui peut^$etre nous "ressemble" ou nous "ressemblezraigt" en termes de traits alloués, traits de ressemblance, traits marqués, traits des traits, sur un visage re-formé, re-tracé, re-armé .............. sur place ............ post-pré ............... ressemblances au c arré qui sait ? ......................on entre ................ on entre ................ on entre ............... on entre ............... on entre ........... on en tre .............. on entere ................ on entre ............... on entre .................. on entre ...../............ on entre.............. on entre ............. on entre ................. on entee ............. on entede ........... on enbtre ............. on entre ............... on entree ............... on entre ............... on entre ............... obn entree da ns l'antre aux données de base ............... le pAssé nacré ........... l'antre alloué à une sorte de Passé Tracé, de type "renaissance" à une vie ancrée ........... par chance !
7/2/2025
on regarde. On essaie de cerner-toucher. on a envie grave de se retrouver en vrai comme en quarante à téter du lait ! on aime le lait, grave ! on veut téter ! on adore le lait, et de fait, on aimerait ensembvle (on est ailée) aller, pzasser, tracer, ensemble en vrai nous retrouver de l'autre côté à téter du lait soit du bon lait de france = du français ! la cghance ! levPassé ! le passé en transe ! ce que c'est que ce passé des convenances ! eh bien ... une sorte de ... voyons ... charade ? le Passé est le Passé tel qu'imaginé ... depuis la Base (ici) des données pariétales, on pourrait le pensezr. On veut : aller = donner, à ce dit "Pässé" , les données de france , soit : du français ! accolades ? minorités ? Verbe fade ? à jamais ! crroyances ? il semblerait ! on veut comprtendre = comprendre-toucher, à cette Chose en face" ... = le Tracé de l'Ambre ! croisades ! traits des traits ! on a envie ensemble ailées de nous retrouver comme qui dirait de l'autre côté à chercgher de rage ce qui est, dans le français, à ce sujet ! la transe ! parades ! parades animales ! aurochnodoïtées de rage ! le ptracé = le Passé ! traits sur Néné = du lait ! on ezntre ! on veut toucher à ce néné dit "du franççais" en tantt que langue comme acidulée il semblerait !
on a envie ensemble (fée) d'aller toucher, d'aller comme à "toucher-cerner" ici même la Panse , le Néné collé, le lait des traces sur Passé en vrai comme accolés, les données données et autres traits dits "des convenances". On veut toucher de chez toucher à ce qui se présente en fait de Néné ... Traits portés ! chants des fées, croyances dites "abdominales" ! le Passé collé ou accolé à une panse ! le pied ! la chance ! on veut toucher toucxher toucxher toucher topucher à ce Néné des "Promenades" en ce Passé*. .... croyances comme acidulées on ntrace ! on mate ! on veut grave mater et deu coup comptrendre = espérer ! toucher toucher toucher à ce dit "passé des entrées en fanfare" en cette chose d'une sorte d'antre, panse abdominale c'est vrai, une sorte peut-être (qui sait ?) d'outre allouée à un Passé des Faits et autres effets du temps consacré . On veut :
toucher de chez toucher
aller de chez aaller
faire de chrz faire
coller de chez coller
permettre de chez prrmettre
cerner de chez cerner , et du coup ne plus nous en retourner mais tout au contraire aller, filer, gagner plus loin les dunes altières, le sommet du nez, la roche laitière, ce Passé alloué à comme il semblerait un Néné de première ... qu'est-ce que c'est ? qu'est-ce que c'est que ce néné ? la tête ? leepaSséé tel que rêvé ? une sorte de mise en bière ? un nez ? vraiment un nez ? un nez, qu'est)-ce que çàa vient faire ? nez dezs nez ? nez de tête ? nez alloué à une sorte d'entité de tête ? un tracé comme dessiné ... à main levé ? du verbe ? verbe-nez ... est-ce que ça se pourrait ? on cherche, on veut trouver = toucher . Ce qu'on veut (pour nous) c'est trouver = toucher = comprendre = VOIR ! voir de près ce Néné des termes ou dit des termes"/.. Ce que c'est en vrai on aimerait connaîitre . Approcher. cerner, au plus d'intimité ! et du coup aimer, qui sait ? toucher-aimer à ce Néné empli de lait qu'on voudrait tétéer = cerner = comprendre et pasvà miooiitéé ! jusqu'au terme= le Verbe ! finalité = verbe-né comme s'il en pleuvait ! de quoi ? eh bé du Verbe ! pisse-bière ! trait des traits ! chants celltesc et autres chansonnetttes yéyé ! on aime ! graveb on aime ! on veut eh bé oui toucher à cette sorte de tracé de tête ! le néné ! le néné ! le néné ! le néné né ! comme on l'aime ! acidulé ou pas on l'aime ! on aime téter à cette "tête à lait" telle que rencontrée le muret passé (dépassé) et du coup traversé ! On aime téter à cette sorte en soi, de trouble-miszère ou trouble-fête ou quoi ? trouble-tout ? on voit ça : le trait (trait de lait) , la roche, la paroi de roche et son ajout de jhoie ... le Roi ! la Tombe ! la Joie -Roi, le Passé en trombe, le donné en tas , la colle, colle-voix, le col ! On voit tout ça de là et on se dit ensemble que voilà, on est comme données à un e sqorte en soi, de .... Carmagnole ! danse folle ! trait porté ! charge haute = le Passé, le passé comme retrouvé , la colle d''hôte, l'ombre rapportée, le port et l'ombre, l'homme mort-né iune fois décédé , quand la fée s'envole "à ses côtés" il semblerait, vole folle et va comme à se poster sur ... pÂrole HAute : = N2N2 ! trait né ! chant des fées ! colle haute sur Padssé comme acidulé yéyé, ou sinon yéyé enjoué et le tour est joué ! on veut :
coller = compter = dire = faire = aller = donner = porter à ce néné ... la bonne parole des fées , soit du tracé ! qui on est ? Homme-Hole ? ou alors : colle ? mets ? denrées ? offrandes accortes ? chiée ? comme : déplacée sur porte ? On veut ensembkle en vrai toucher à ce néné à lait et de fait le téter à jamais si on pouvait . On voudrait en vrai téter ce néné jusqu'au terme des hautesparoles ou comment on pouurrrait en vrai nous exprimer ? on veut :
dire = faire
ce qui est qui est le mueret passé (dépassé, traversé-) ,
à savoioirr : la Bête ! le passé est le passé mais la bête est la bête ! qui nhous attendrait, qui nhous materait, qui serait "imberbe" et "indemne" de données tracées, de traits ajoutés, de passé donné et autres qualités. On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher à ce néné "post)-cimetière" des données allouées à une sorte dee Passé poàst-herbes, post-pré, dit "Passé des Passés " car "Passé retrouvé" la mort entérinée (laissée loin derrière, dans le pré, l'herbe, le fossé, la crête) . On veut :
toucher toucher toucher toucher à ce dit passé post-cimetière ou post-herbe . Qu'est-ce que c'est que ce passé "en herbe" ... du passé retrouvé, coome "emblême" ? un tracé de fée ? le passé de REine ? le passé tracé sur paroi héautaine ? Chair ? ... allées des oliviers vers la Terre Allouée à une Sommité certai ne ? une sorte d '"alacrité soudaine" ? trait acidulé ? chant des siorènes ? traînes sur pied ? ... pollen ? on veut cerner = toucher,; mais pour cela il faut (il est, ou serait, nécessaire de) pour le coup , tracer de chez tracer ... sans débander ni désemparer ! toucher toucher à ce qui est qui se présente sous notre nez ... de fée ambulante ! le trait = trait de lait ! pisse-maigre ! chant des herbes ? cham de blé ? chant celestes celtes ? Chants nacrés et autres sornettes ? on colle ! on colle au poste , l'oreille ! traits des fées sur ronde accorte ! on mionte. On veut monter monter monter monter monter encore et encore le niveauu sonore ... du Passé nacré, passé des passés et autres passés d'hôte ! On monte ! On veut toucgher à ce néné des dionnées hautes et ... treaversezr , tracer, aller, courir, vivre "la mort haute " ? ou comment dire cette chose d'une sorte d'après-mort qui (de fait) nous "regarderait" au sens où celle-ci peut-être nous concernerait, serait en vrai une question pour nous profondee à explorer ! comment toucher ? comment cer ner ? comment voir ? comment comprendre ? comment nous approcher ensemble ? qui accoster ? à qui demander ? à quoi nous fier ou nous intéresser ? On veut toucher de chez toucher à ce Néné "de contreba,nde" , passées (nous) ici mais quand, en cet antre ,
enn ce Passage déplissé, chance, trait outré, ventre ! On veut
toucher-cerner, dire-allouer, passer-donner, coller-fendre, les données de l'antre , et ces données en vrai les comprendre sans frais ! en juste tétant néné, si on pouvait ! ça serait bath ! ça nous irait ! ça nbous (grave) irait au centime près ! chance donnée ! charge allouée ! vent des sables ! un passé est un passé ! la france au français ?? que dalle ! le tracé ! la charge ! l'encollé des traces, on veut toucher ! toucher-cerner de fait cette langue et merde à la France ! coller = donner = dire = faire = charger = composer ensembkle (ailée) cette Romance , d'une charge a nti-)france, allouée à une sorte de passage outré . Comprendre = toucher = dire = aller. Et ainsi de bsuite vers .... N2Né ! Néné né post pré ! "vamos" ensembkle ! creusons ! allons ! chargeons ! la france maussade : au pilon ! on veut : toucher grave , aller ensemblke, voleter, cueillir et récolter ici ou là(post pré) de quoi ensemble pouvoir nous, pour le coup, alimenter grave ! manger = téter = ingurgiter, un certain n ombre cde données de rage, rage-née de par l'ambiance ! trait porté ! charge allouée à une lzangue : transposée, déposée, intégrée comme par "la bande sale". On veut :
dire dire dire
vaincre vaincre vaincre ... la timidité, d'avoir à dire ! de nous avancer, de nous préseneter, de parler comme qui dirait "publiques", chercher, toucher, porter, séduire ? .... séduire ? oN veut en vrai aller de chez aller de dires en dires jusqu"'au Passé qui est Néné on le sait ! et là : vivre ! vivre sans céder , akller, conduire (pour ainsi dçire) notre vie "altruiste" , sainte vérité, chants portés, vivres = mets = denrées = ... lait nacré et acidulé ! teter téter téter téter à ce lait des Rives ! aimer ! aimer vivre , vivre de chrz vivre, en ce coin en friche dit "du lait" et autres mets lactés. On veut :
toucher troucher toucher troucher toucher toucher à N2né né , boire son lait, nbous en mettre plein le vgosier, s'en pourlécher , de fait, les babines comme un chatonnet , aller de chez aller ainsi rassasié pour nous reposer, dans ce coin en friche des données données, par ... le Passé près, le Passé tout près, Le Pasdsé des Passés ... qui est ... eh bien ... la Vie vive, redonnée à une sorte de ... bébé d'en rire ! né "Trait" ... trait des dires outrés genre sala cité et autres traits tracés pour faire rigoler. Faée ! fée on est ! fée des fées on est ! on a le droit de dire-rire, d'y aller dans le rire et les dires outrées ! se montrer comiques ! faire "Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiioiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii" (ou dire) ! y aller ! creuser de chez creuser la voie du Rire outré post-muret ! Car, le Rire, le Gros Rire, est "donnée ivre" allouée à une sorte de Passé à vivre, la mort dépassée.toucher = t oucher. Féire = faire. Chargher = charger. Cerner = cerner. Porter = porter. vendre = vendre. Monter = monter. Allouer à une offrrande un trait = dire ce qui est en matière de ... LAit Ancré, donné,disposé. On veut creuser. On veut toucher. On veut faire-aimer. On veut dire le Trait, montrer, monter haéut le Niveau des mots , et y aller de notre couplet concernant ce Haut, ces Hauteurs de mots, hauts mots cde Rage Perlée ! chant(s d'oiseau, de moineau, corbeau, mot de trop ! on veut :
dire -allouer, pisser-chier, cerner-donner, accoler, à une sorte de trait, les données du Verbe nacré .... le Rire ? le Passé d'en rire ? l'hydre ivre ? le ... Vivre, sur Passé Ivre ? touché ! touché-coulé comme qui dirait ! ivre des données avides ! Vivre = aller = connaître = porter = vaincre = charger = donner. On est née Fée la mort passé , ou comment dire cetrte chose, d'une sorte (haute) de donnée d u rire ? Vivre = .............. rire ? rire du rire ? on est Fée, on est née, on est accolée, on est comme aimantée, on se tient par le néné ou je te sais ! on eswt ailes allouées à ... du verbe de terre ? on cherche ! fée des fées du cimetière on trace , on traverse, on passe , et nous voilà "re-transformées" , comme changées du tout au tout . De fée, nous voici changée een une sorte de Bébé post-pré , sachant (c'est inné!) téter néné sans traîner ! téter de chez téter et les vacghes seront bien gardées (les vaches sacrées) ça le fait ! ion veut :
dir-allouer à un dire nacré ... eh bé ça : le Rire ! = ce qui est, la mortancrée ou une fois ancrée = entérinée, ou deépassée (acquise) . On est la fée des données grises et autres données de frise ! genre : biches , boeufs de porte, buffles hautes, chevaleuses accortes, bêtes -roche et autres traits donnés sur paroi (haute) décorée. On veut : dire dire, faire faire, et courir ! à toute blinde = vite ! sur .... passé ! sur passé des dires ! comment dire ? on est :
née
fée
en vrai
sur pied
envolée de chez envolée
on est fée née comme envolée la mort ancrée ! hé !
soyons ivre ! touchons l'hydre ! filons et creusons ! portons haut "le mot de trop" sur roche accorte ! = gravons , dessinons, traçons la Chose ! ne nous arrùetons plus de dessiner la Chose Haute = bisonnée sur pied et autres bêtes de trait nés. On veut : coller au néné = téter ! téter très ! ou téter trait ! trait de lait = filet ! On aime le lait. On adore le lait. On veut téter le lait de bonne Mère chahutée, le français salopé, le passé de pied, la Haine ? peut-eytre pas tout à fait mais la colère saine ça se pourrait ! car, merde, trait pour trait, on veut ou on voudrait, de vfait, "rendre la pareille" et détester en vrai cette France Altière, VErbe à nez ! tracé fait ou refait, charge haute auto-centrée ! parioles, du passé, remonteraient ou "comme remonteraient" au niveau des ... portes
comme rajoutées à
une sorte d'alcôve, entrée haute, sas de roche , nous voilà aidée ! on monte ! on veut passer ! passer et nous retrouver, incidemment, côté néné à comme téter
jusqu'à satiété ! trait . Trait donné. Trait pour Fée on est née pour Téter. fée qui tète aime ! fée qui tète aime aller, à toucher ce qui est , en termes ici de ... Vérité Donnée ! le Passé est la V2rité ! Le Passé Nacxré ou pas NAcré est (de fait) "la Vérité, toute la Vérité ", Jugement Dernier . On veut ensemble y aller en ce Passé de contrebande, pour ... t(oucher toucher toucher, à ce qui se présente ou se présenterait <question VFérité ! qu'r'st ce que c'est ? qu'est-ce que la Vérité des fAits .... ? eh bien .... la Scène ! trait treacéews . sainte Colère et inimitiées . vraies tracés sur pea u de Bête ? on cherche ! on aime chercher. On est "colère" c'est un fait, mais on aime ! on aime être "colère", on a notre petit caractère . On veut toucher à cette ... Sainteté allouée au Verbe ! qu'est-ce que c'est que cette ... SAinteté allouée aU verbe ? duu pAsssé ? qui sait ! ça se pourrait ! ça pourrait être, ça pourrait en vrai être que ... voilà là, la Chose est Là , elle est pleine, elle regorge de ça : sainte laitière, LAIT, LAIT, LAIT, LAIT, LAIT, LAIT, LAIR
$T, LAIRT, LAIT, LAIT, LAIT, LAIOT, LAIT, LAIT DE MÈRE, LAIT CELTE, LAIT CÉLESTE, LAIT AIMÉ VOIRE ADULÉ, VOIRE ADORÉ COMME UNE DÉITÉ POST-BIÈRE ! LE TRACÉ ANCRÉ EST UN TRACÉ POST-BIÈRE ÇA SE SAIT ! ON AIME ... QUOI ? TÉTER ! TOUCHER À CE NÉNÉ DU LAIT ! ON AIME LE L:AIT COMME ON AIME LA SCÈNE ! LE PASSÉ NACRÉ EST UN PASSÉ POST )--FINALITÉ SOIT POST-CIMETIÈRE ! PASSÉ NÉ SUR TRACÉ RUPESTRE ! LE PAQSSÉ POST-BIÈRE EST UN PASSÉ NACRÉ VOIRE ACIDULÉ QU'IL NOUS PLAIRAIT EN VRAI "D"'ÉPOUSEZR" À L'ANCIENNE, LES BANS DÉPOSÉS, TREAITEUR-CHARCUTEIER, DISCO DES CONNTRÉES , RIZ SOUFFLÉS, CHANTS DONNÉS ET AUTRES VINS VERSÉS SUR TRAÎNE ! ON VEUT AIMER ! on veut grave toucgher (en tant que fée ... devenu bébé !) à ce néné des traits (traite verte). toucher toucher toucher toucher toucher toucher àc e dit
"néné des termes" = du Vzrbe ! verbe "outré" , poerté ou comme poussé à ici "révéler", le ... "théorème" ! le tracé ! l'antienne! couplet fait ! chant d'elfe ! une sorte de parade indienne ! tralala plumé ! chant d'armes ! confettis de char
me ! On veut : dire dire dire dire dire dire; ce qui est qui nous attire, nous plaît, nous incite à aimer, nous fait de l'effet, nous attise et nous met le feu comme qui dirait à nos ailes allouées à une sorte de "piquet de rive" ! fée du dire ! fée saleé" ! fée donnée à une sorte de ... passé ancré, la mort dépassée. on veut aimer " veut dire "on veut creusezr". Pas difficile ! on veut creuser = on veut toucher = on veut dire = on veut parler et donner au Passdé nos quatre vérités concernant /... le Rire ! le dit "Rire outré" , fou rire ça le fait, autant que le dire dit "raisonné" , et peut-être "pire" ! on veut toucher et vivre. Coller-aoimer. Déduire et recompter. porter et cocher. pousser le Rire jusqu'au bout du bout d'une sorte d'allée, du Passé en friche ! le passé !!! le passé en friche !!!! qu'est-ce en vrai que cette sorte de Passé donné qui donc serait à , qui sait ? défricher ... sans traîner ? sans lambiner ? à fond de trait ? Qu'est-ce que c'est, que ce dit "passé ... des données en friche" ? une sorte de ... vie passée, comme enkystée ? le passé du dire tracé ? la riuine des données données, le jour de notre arrivée ? on est née Fée dans la mort actée. On veut continuer à (si possible) comment, disons, dériver ? aller sur pied ou même voler, de rive en rive , en ce passé comme déployé devant nos yeux tout chose, éberlués, tout "touchés" par cette chose haute présentée, ou comme présentée, et qui nous accoste ou nous accostezrait sans se gêner ! qui,nc'est ? la Roche ? le Passé de Roche ? Porte ? porte ouverte sur une sorte de ... passé en herbe ... à (comme qui dirait) retrouver indemne ? même ? le même ? le même vu de près, ou : à nouveau vu de près ? néné ? néné re-né comme une sorte de donnée ... re-donnée ? donnée-verbe ? chair allouée de fait, à un Verbe dit "des contrées post-pré" ?
on veut creuser)-toucher et de ce fait aller, cerner, porter, charger, comprendre et pas àmoitié" tout un ensembkle de données données comme par la bande, une fois la mort comme enregistyrée, classée ou entérinée. On fait pitié ? on avance ! on creuse grave ! ça y va ! on se balance ! cha cha cha on danse sarde, on trace, on va, on est là ! porte d'entrée (devant soi) on entre, on passe le gué, on rentre ! on est née Bénbé aux embrassades. On veut cerner Néné , toucheer-téter, boire du l:ait "de contrebande" s'il en est, du moment que nous on est alimentées on marche ! on est ok ! On veut téter Néné de contrebande ou pas de contrebande", on est pour ainsi dire "pas français" de marque , en vrai ! on est "rapportées", et on s'en balance ! trait pour trait on charge ! le français tracé, la chaerge mentale, obstinée, on creuse le trait, on porte hzut
la colère innée ! on veut coller ! coller grave, à une sorte de Passage comme déployé, qui nous inviterait" à (de fait) nous immiscer, en cette sorte de contrée maussade, genre antre, ventre, outre dee panse, intestinale ou abdominale, on entre ! On veut grave aimer , aimer de cherz aimer, la panse , le tracé en transe ; gentes dames et damoiseaux de france : au poteau ! transe ! cgharge dense ! on trace sur panse les données de rage qui nous "embarraseent" .... cpomme qui dirait en face. On est nhée ... fée , fée des prés, fées sur pied sachant voler, et nous voilà toutes remontées, de fait , car, envahies, envahies vives, par du verbe vide ! tri ! piste ! charge ! trait donné sur paroi hautement "saluée" = sacralisée. Qui on est ? la des Fées de base, sachant dire, ici, ce que bon luyi semble en termes de dits ... du Rire Ivre ! vrai tracé et autres traits des fées sur roche ornée ! la piste ! le vfrançais d'en rire = langue au lait ! point d'acmé, mais la rase friche, trait des traits au ras des titres surcotés, surévaluées. On est Fée ivre le muret passé, ivre de lzait : bébé ! le bébé de lla friche al:louée à une sorte de contrée ... du Rire ! est-ce que c'sst possible ? on veut : toucher toucher toucher toucher toucher toucher ......................................... toucher toucher toucher ........................................ toucher toucxher toucher ............./.................à-à ce néné donné la mort dépa sdsée. car, la mort n'est pas "d'éternité", ele
se pose là, lelle semble "à jamais" mais tralala ! la vérité, la vopilà : la mort est dires, dires de trait, dires vides, dires alloués à une sorte en rai de "pré" comme donné à une sorte de tracé, qui dit le vide, le paqssage ancré, la traversée de fait vers une sorte de propriété de type : enceinte allouée, fortifications herborée, rond de roche ou pré aux fées, mais voilà ... la suite,
la siiute ivre, eest cette suite comme déplissée une fois l'enceinte quiitée ! ou comme traversée ... d'un rire (ivre et outré) qui permet le Titre; le Vrai Titre de ... "Bébé" , accolé à une Sommité qui est : le N2N2 DE TRAIT ? LA RIVE PASDSÉE = le Passé-Rire ! tracé ! faits ! faits vrais ! chants salés ! iune vérité qui de fait nous serait allouée une fois dépassée ou comme dépassée la mort donnée, cette sorte de finalité qu'on dirait promise ou comme promise "à jamais" m ais ... rien du tout ! le bébé ! le bébé ! bébénou ! le bébé, olé ! le bébé-lait ! ou le bébé de lait ! née au néné du passé remontée ou même re)-donné, ou re-deployé , ou re-montré, ou re-collé à nos bouches de fée ici transcformées ! On veut en vrai aimer , aimer le lait du passé remonté. ; On veuyt grave aimezr et téter, téter et aimer, ce lait sucré, ou sucré-salé, qui nous "pend au nez " : on aime ! on lèche ! on tète ! dingue comme on aime ! c'est la vérité ! on aime téter sans plus de gêne, sans traîner, le lait ou le bon lait de mère , lait nacré-acidulé comme on l'aime, comme on aime en teter la mort passée. Aimer téter est la vérité ! on aime ! on est bébé né dans le post)pré ou le post-herbe d'une sorte de "propriété " de type encklavéée, éden, paradis des fées et bêtes de trait (est-ce kles mêmes ?) . On aime ! on veut graver ......... grave graver .......??.?.... les bêztes de trait sur roche allouée à une sorte de "poème-théorème" aux "données outrées" : insultes-mères, blasphèmes, mots ultra-grossier à l'encontre d'une déité ici personnifiée en termes liés à une sqorte d'entité dont le nom en vrai , est .... mère ! mort-mère ! mère-mort ! ou même : mère -la-mort ! car, la mort est mère ! merde ! on avance ! on creuse ! on charge ! on fonce ! on veut (grave) tracer et comprendre et toucher et cerner et aller et vivre en ces contrées pré-rive kles données du vivre ! fée ! en premier! puis, le muret passé, on deviendra ... eh bé .... le ...
Bébé -toundra ? bébé-transe ? trans-genre ? accolé à une sorte de "paroi intense" ou de ... post-paroi dense ? ... ou de qiuoi qui sezrait là (ou sera là) à nous "attendre" les bras en croix ? la Chance ? h"é, on voit ça et on en reparle, car voilà, on est là ... on tète la Voix, on tète grave (sale?) la Voix des Voix = LAIT DENSE, lait des laits intenses ! lait entier fait de rages avérées ! rages des rages ! traits des traits ! danse en face ! le Passé est re-né qui nous embrasse ou nous e,mbrasserait szans traîner et sans se gêbner ! danse sur Passé en France, le pied ? on entre ! on entre dans la danse-transe ! on entre dans la danse en transe ! cette dxanse ! menuet ? lla danse des Né n és ? danse du ventre loué ? vrai ? vérité nacrée ? charge de fée ? panse ? Panse dense ? On est ................................................ allouée ! ........................ à du Verbe de trait ...................................................... venu d'où ? de france, ohé ! ........................................................... transe , du français de rage ...................../........................ accolé, ou comme accolé, à ...... une sorte de passé intense qui, en vrai, est passsé de transe ......................................... pasdsé du passé ................ perte franche ................ portée ...............musique d'ambiance ....................... disco-transe et autres musiques de rage ............. treaits ! .......... treaits nés ! /..................................... on est entrées, on est dedans, on est accolées, on est serrées-collées à une sorte de néné donné qu'on s"'évezrtue à (ensembkle ?) téter ! bébé-fée ? fée-bébé ? ou seulement (le muret pâssé) bébé des bébés ? eh bé .... en effet .... qui sait ? ...... seulement Bébé ? qui tète que tu tèterais sans discontinuer telllemenht il aime, tellement voiulà, il cherche ! il va ! il veut ! il veut du lait mieux ! il veut toucher de chez toucher pour mieux téter de chez téter, le lait de mère, lait post-pré de bonne mère des données post-terre. On aime ! traits ! traits de fée on veut passer et vite aller téter une fois transformée, de fée en bébé d'air ! qui, bébé d'air, aime et sait , de fait, téter Néné sans sourciller, les lèvres bien placées, coussinet de tétée et autres critères de bonne tétée ! on sait ! on est Verbe -Lait ! né bébé ! né Fée puis né bébé .... sur terre ? on cherche ! néné ! on cherche à téter ... le néné en herbe d'une sorte de mère dont le nom serait "Terre" ? on cherche ! on pousse ! on va ! ................././............................................................................../................................................./.............. on avance à petits pas mais voilà .......................... on veut comprendre ......................... téter-comprendre ........../........... teéter = comprtendre , on ne sait ! ........................................... téter de chez té ter à ce néné de contree bande ça le ferait mais en a -t-on le droit ? en france des fois ? france d'antre ? france à antre ? franche voie des parois "amples" ? france en bois ? On entre ! on veut ça : comprendre, toucgher, aller /./......................... per cer .................................. cer ner)-pezr cer = do nner-allouer, à une sorte de contrée (genre ... "la France") les données données telles que rencontrées, ensemblve , la mort avérée. On veut toucgher de chez touchezr, mais aussi ""entendre" .................. saisir et cerner, ce qui est qui est , qui nous regarde ou nous regardrerait ("intense") sur Néné .... ou disons : depuis ! Car voilà, ici (pré) on voit ... que dalle , sibnon le puits, le haut du puits, la porte des donnéescde roche, ok, mais au-delà c''st le noir dense ! on y voit que dalle ! rien à observer qui puisse nous aider à noue réperer ou à nous situer en cette sorte de fin de contrée de type "murzaille", "muraiolle des fées", "muraille à passer" . On est née Fée et voilà ce qu'on aimerait, le pré traversé. La Rage ! rage du passé, du passé de france ! merde au Verbe tracé ! on entre ! on veut grave .... toucher ! toucher l'antre, la chose en face, ce qui est de l'autee cpôté qui szrait comme à nous regarder aller et venir (voleter) dans une bsorte de parade en transe ... on dirait. On est entrée ! on a passé la Porte Haute. Parole. Pré passzé, parole outrée, Rire Docte, nous voilà ainsi déposée, post-pré, sur Néné à téter , de Mort-la-Mère des contrées ... dcxernières ? qui sait ! éternelle remontée des traits ! bêtes de frai ! charges altières ! le français (la langue) en tant que treacé permettant l'entrée, un pied dedans un pied dehors, musicalité des données acerbes, un treacé (de fée) dans l'herbe verte , puis le trait des données "dernières" .... ou qui sembleraient êttrev les dernières , à jamais, mais on ne xait. IL se peut que le Tout renaisse ,sans arrêt, roue crantée, colère des attreaits, gestes d'elfe, vérités emportées, portes soulevées, on monte ! le poteau des ombres est haut placé mais on y monte le toucher ou pour en vrai ensemble (fée) le toucher sans traîner, trait de fée dans la Haute Fumée de Groote. haute POrte des Données Accortes. Portes hautes allouées à une Vérité de Roche = le Passé ! le passé nacré ! haute Vérité dont le nom en vrai est : " Le passé". Car, le Passé en v rai, est du donné dee roche ornée ! qu'on se le dise à tout jamais ! lke passé est ... frise , traits tracés, bêtes de trait sur roche exqauise de grotte de mise. traits des traits semblant bêtes allouées à une sorte de danse effreénée sur frise gravée. On est née ! née fée ! fée des prés ! fée hautes ! qui, ici, voulons tracer de chez tracer la roche ... dans la roche ! quiooi ? l'éternité de la Parole Haute" = le Passé, Passé post-pré = Passé re-né, à jamais, hors poche ou antre-ventre, sur pied. On est comme accolées à une sorte de donnée dont le nom est ... "treacé", "le tracé", "le tracé de fée", "la danse en trabnse" = le Passé ... en face ! trait porté ! charge d'antre ! On veut toucher à ce néné ... des données d'en face .... néné né après le pré (la base) et nous voilà (peut-être( enfin armée, pour demezurer , qui sait ? sur place : sur néné ! à pouvoir-devoir téter le lait ... des p "rages ambulantes". On veut grav e cerner les données de base, les aimer, les approcher sans se démonter , faire connaissance ................................................................................. pister ...................... mater .......................... mirer ............................ regarder en face ........................................... ou essayer de regarder en face ............................... à mieux cerner les bases ................... ce qui est quiest ................. en cet antre (?) post -pré, qsui en vrai rrreessemblerait à s'y méprendre , à une siorte de passage, trait defée, passage "entre", petit trait qui permetrrait de pouvoir aller, entrer, s'immiscer, sans perdre connaissance et du coup regarder, en profitetrr pour regarder-cerner les données intenses, d'une sorte de ... Passé de FRance ??? un passé de FRance ???? .... français ??????????????? mais qu'est-ce qu'on s'en bral,nle ou s'en branlerait !!!!!!!!! eh bé .... pas tout à fait ! car, voilà, le français est ici la langue des contrées présentes ! on veut toucher ! on veut comprtendre ! le français en tant que langue ici exoplorée, remuée, bousculée, et même "évzentrée" et du coup sondée ! pour, au vrai, de fait, cerner, toucher, porter, aller, coller, dsire et donner , un certain nombtre de données de rage (le Passé pèserait) qu'il nous incomberait de devoir comprendre et du coup amener, en vrai, jusqu'au ... néné né post-parade, post-charade, post paroi ornée et autrecs foirades ! on veut ;
téter téter téter
dire dire dire
aimer aimer aimer
chercher chercher
coller coller coller
entreprendre entreprendre entreprendre
cerner cerner cerner
co
ntôler contrôler contrôler ce qui ici est, qui semblerait cvouloir... nous parler, au plus près, et nous donner de quoi nous repérer en ces drôles de contreées post-pré : où on est ? en vrai, où on est ? où donc est-on en ce "vallon" ? sur roche post-pré ... mais de quelle roche il s'agirait ? roche-motte ? roche-haute ? roche -sein post-porte ? roche du Néné de Roche , de Rocher ? roc post pré né sur pied la Roche une fois traversée ? on monte ! on ose monter. On veut en vrai gravir les échelons du terme , et courir, aller, filer, monter de chez monter c'est vrai, tracer, aller vite jusqu'au bout du bout qui serait ... un gnou ? genou ? nous ? nouys-mêmes ? re-nous au bvout du bout ? recommencement aux extrèmes ? retour de manivelle ? porte haute vers re-port ? re-colère ? re-naissance / transe et autrzs sarabandes ornementales ? mésopotamiennes ? béandertaliennes ! DANSE ! DANSE ! danse en transe ! parade ! paradis de france (france-alibi) ! CHA RGE DENSE ! ON EST PAS AU LIT ! ON EN AVANCE ! ON VEUT COMPRENDRE ! ON EST EN VIE ! ON ENTRE ! on est vives vies des données uintenses ! cris ! ........................................... cris de vie ........................... cris des cris des vies données comme à :la p aracde ................................. charges ! ................................. bouquetins matin ..................... buffle coriace ..................... automates ......../................................................. bêyes de trace ................................................................ bouquetines vives et autres liones ...... de porte .................... haiutes ......... hautes lionnes et haute porte ................... mots de rage au niveau du Haut : des Alpages ........................./.................. poteau ! ................ poteau hau .......................... mots de roche sur poteau du haut .......................ANICROCHES ? ......................................montons haut et regardons la roche-poche, le niveau de l('eaiu, les données groosses, le Passé de Porte et autres mots-a nimaiux , gros mots, drôles de mots ............rires bgros ! .........................................mort au c aniveau ............................................................ ? au caniveau, la mort ! ............................... ouste ! du balai! va te faire cerner par qui sait qui saurait , t"'entuber sans désarmer , qui ? on cherche ! ......................................../ on veut "tuer la mort" ................ tuer de chrz tuzr .................................................................Immovtrtelle, la tuer ! tu es ..................... , en vrai, immortelle peut-être, mais nous (BÉBÉS°) on a envie de te tuer, et ça sans traîner, en tétant néné ! ........../................................ merde ! ................................................................. on veut toucher toucher touycher touycher touycher toucher toucher touycher touycher toucher toucher toucher toucher touycher toyucher toucher toucher toucher touycher toucher toucher toucher touycher à ce qui est quui nous espionnerait, comme qui dirair, "par derrioère", par derrière "son "néné" , on ne sait, on veut cerner, toucher-aimer, mais pour ce faire, le mieux c'est ou ce serait de satisfaire ses envies cde lait , de lait nacré ou pas nacré , mais de (en vrai) téter sans traîner, leb bon lait de Mort-Mère artablée, attablée sur herbe ?) = le Passé ? on cherche ! on a envie ensembkle de trouver, des choses du français de base, ce qui est qui est en cette chose d'une langue ainsi (en nous) e-inculquée de base, ce qu'elle est, ce qu'elle dit des traits, ,,ce qu'elle recèle ou contient-contiendrait, en termes de connaissances, de données intenses concernant la transe-danse , transe pariétale aux bêtes de rage et autres "bêtes-monnaies". Car, la transe sur paroi de rage, est transe "monnayée" ! transe donnée , pèse son poids en termes de monnaie , voix, traits des traits, charges de fée, colle ancrée sur roche haute, prêts sur prêts. On colle ! on monte ! on veut (de fait) toucher-coller à cette porte haute des données "ultimes" ou dites telles il sembkerait depuis (peut-être) une éternité, et nous de nous y coller ... faut-il être bête ! à jamais "tarée " , qui sait ? car, oui, on cherc he, on est nues dans l'herbe, on cherche l'(entrée et ça bne va jamais mais on s'entête, on ne veut pas du tout (jamais) arrêztrrrer, arrêter de chercher ... parce qu'on aime ! on adore de fait ainsi chercher ou rechercher une sorte d'entrée vezrs une destinée qui nous renseignerait en vrai sur ce que c'est que cette chose qui seraieaut ou nous szrait offerte, le mur ou le muret passé ou une fois passé, ce mur ou ce muret"des finalitéqs" une fois traversé, qu'est-ece qu'il y aurait qu'on devrait "déchifffrer " ? de l'herbe ? encvore de l'herbe ? un néné né qui serait à téter sans plus traîner ? néné-verbe , ou Verbe-lait : est-ce vrai ? peut-on arrivr en vrai à cerner ce qui est, la mort "achevée" ? car, on voudrait ! grave en vrai on aimerait comprendre = toucher , à ce ddit Néné "de la Vérité" aux traits lactés ! qui c'sst ? ou disons : qu'est-ce que c'est que ce dit "Néné aux traits lactés " ? on ne sait ! On veut cerner-toucher à une vérité, de type, voilà, lactée ou plutôt lactée, mais cela .... colmment faire , comment tracer, comment fzire pour tracer ou nous y retrouver ? On esrt ailes accolées form ant fée sur pré, mais le pré passé voilà -t-il pas qu'on se retrouve ... à nouveau transformée ! devenue .... b ébé ! oh, hop ! changement, changement de tropppe, ! le passé, lui, remonté, nous accueille ou accueillerait en ses filets, et nous cvoilà scotchée ! toute sctochée-collée à ... un néné post-pré, néné dit "du Passé" , du coup : remonté , ou comme remonté ... xde où ? des catacombes du passé ? du Passé mort-né ?,du passé enterré ? mais qu'est-ce qye ça veut dire ? on est née Bébé dans la nbuit des fées ! on monte ! ........................................ on es t hzautes ............................ hautes de chez hautesc ................./... tracées ! /................ cohorte de porte ..........................bêtes de roche ........................................................ bufflettes armées .......................................................... ourses de guerre ..................................... on veut toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher toucher à ce néné des dits Nénés de l'avant-guerre, des données ctracées, des herbes brûlées .........../......... nénés nés pour être tétés sans plus trîner par, qui Sait ? , bébé né sur pied la mort traversée ! On est née bébé ! .............................. bébé-verbe ! ..................................................................................... tétant lait de verbe ............................................. V erbe-herbe ................................................ VHERBE DES PARENTS, DES ARMES DE BASE, DU PASSÉ DE RAGE ET AUTRES TEMPS (PLUTÔT) "MENAÇANTS" .............................................. on veut comprtendre -aller , toucher-porter, dire-entreperendre et du coup colmater, "ensemble", les trouées de base , genre : trous de rage sur paroi franche ! le Passé est né ! Le passé en vrai est né ! vive le Passé re-né ! le Passé des Passés est à nouveau né, qui nous ressemble ! hourra la foi ! on trembke de hjoie ! on en redemande ! hourra ! charge-roi on entre, on va, on creuse, on abats des arbresc peurt-être pas mais ... on en avance grave hou la la ! la chance ! le temps est là, qui nous "embrasse" ! On va ! On eut co:mprendre la toundra, le Passé de cxharge, ce qui va et ce qui ne va pas, les données intenses, les bras, les jambes, face d'Ange, le Passé de poids, les mots de l'au-delàk, la transe, la danse, la frange, le mottet, la danse de FRance et autres débandades intenses, la Paroi des Voix, le Buffle de FRance, La Reine postée et ses deux valets. DAnse ! Rage ! Transe ! on est "entre" ! on veut toucher de chez toucher à ce qui se oprésente en termes de données ici allouées à une sorte de parade, genrefoire, foire aux bêtes-masses et autres bêtes dites "de trait" car sachyant sillonner sans désemparer la terre de base, les mottes allouées à un ne sorte de contrée de rage, le Passé. On est nhé Bébé ! bébé on est née ! on veut toucher à ce quiest (ici) qui nous rezgarde aller, nous infiltrer, treacer trait sur trait, et chercher à toucher à ce Néné des Données finales ou dites finales . On est née Fée puis re-née oà une vie nouvelle, autre, modifiée, qui bnous voit téter de cvhez téter ledit Néné des données "remontées" , ou "remontées à la surface" : le Passé Recomposé, Passé dense , remonté, repositionné, re-pris à bon prix ! On veut de fait ...... touchger de chez touchezr , ce donc dit"bébé" du passé outré , et du coup , aller de chz aller, jusqu'au boput du bout , d'une vraie tétée , d'une vraie "tétée des tétées" . On veut ........................................................ aimezr .....................././../.....................................aimer de chez aimer ....................... dire ............................. dire de chez dire ...................... foncer /./...................... foncer de chez foncer ......................... donner ................................ donner de chez donner ..................... forcer .............................. forcer de chez forcer ....................... poussser .................... poussser dev chez poussser .......................... coller ................... coller de chez cvoller ................................ comprendre et cerner .................................. comprte ndre et cerner de chrz ... eh bé, comprendre et cerner ! ........ et toucher N2né , pour en vrai et enfin téter , le lait des laits ! lait sucré-salé comme sw'il en pleuvait : treaits ! filets ! filets vraisz de lait éjecté dans notre gosier ! .................................... on veut aimer ...................... aimer de chez cerner ! et cerner (de fait) de chez aimer , chassé-croisqé ! on veut toucher à ce N2né dit "du Passé", du pâssé remonté, et se gargariser de lait à j amais ! car, le lait est le lait est le lait est le lait de l'herbe-verbe ! à jamais verte , à jamais verbe ! on le xait et on s'en repait ! On aime ! .................................................../..................................................................................... on aime le Verbe et le VErbe-Lait des dopnnées dernières : chassé-croisé sur pierre de tra&it ! le Passé est né qui semblait enterré, mais que dalle ! pôint de dalle ! ouverture de face ou façade, le Passé ancré est passé de rage à jamais tracé, forte renaissance, remontée en transe, traversée de rage et le cvoilà qui est, post-pré, Né ! né comme à loa retombée , de face, Néné ! On veut :
dire dire dire dire, ce qui est du dire
être etre être, ce qui est de l'être
faire faire faire, ce qui est du faire
porter porter porter , ce qui est à porter
et cerner-toucher à ce quin se présente en fait de néné la mort acceptée. Qu'est-ce que c'est ? on ne sait mais on szubodore. Un néné ? ça se pourrait ! du lait ? on aimerait ; De la Roche aux fées, ? Hum, on nre sait ! on entre ! on est fée de france ou disons .... du français (la langue) parce que pour en vrai ce qui est de la Fr a,ce, on s'en branle grave, on ne veut même pas en parler, on en a soupé ! on est pour ainsi dire dans ce français-klangue jusqu'au cou coupé ! ça impacte ! ça nous embarque ! ça fait, ou ferait de nous, des ... Fées de Rage , fée tracées , f eé des prés des Ambassades aux données chargées cvomme à la parade . Traits . Bêtes de trait. Merde à La France rencontrée, on veut parler de base le français traqué, et marre ! charvger ! poussserr ! creuser ! entreprendre une sorte de trouée ou de percée en cette rocxhe-né des grottes -antres. France au pied, le français entre. Les données accolé&es à une sorte de "mansarde", de maison carrée (ronde rotonde) de base tracée. Chercher et cerner à quoi ça ressembvle : portéev ? base navale ? pré ? on veut dire et aller, faire et coin-cer, donner et ruser, peser et viser, être et naître à une vie nouvelle "d'éternité " si tant est et qu'est-ce qu'on en s ait ? on chercghe le trait, passage des fées, entrée, trait gravéb par où s'immiscer sans désemparer et pouvoir passer pour (du coup) se retrouver à pouvoir rezgarder (donc : de l'autre côté) ce qui est qui est, qui nous regarderait aller, tracer, chercher, reluquer, cerner x données et nous bousculer à devoir de fait , ici, comprendre, comprendre "ensemble", ce qui se présente en termes de ... "façade intense" ..... ce que c'est ........ ce qui est .......... ce qiiui se trame ..................c. e qiui ici en vrai se trame, qui nous regarde, nous épie, nous mate de la tête aux pieds ........................ épi de blé ......./............... riz complet ............................ vie sur pied ..................................... trait sur trait ................................. vie allouée à une véroité"outrée" , du genre : mots orduriers ! ........................................../............................. qui sait ? ........................................................................ on a envie, en vrai, de pouvoir (sans traîner) chercher à cerner, à cerner de près, ce qui est qui nous regarderait ici de pied en cap, du moment en fait que nous voi:là passées, comme, toutes , pour le coup, remontées de chez remontées, du fait que oui, on a les crocs ! on est colère ! on est les fées (ou la fée) colère ! cxar, oui, on voulait en vrai, tracer et cerner, sans succomber, sans se casser le bout du nez , et nous voilà, comme un fait exprès .... chahutée et comme transformées, de but en blanc, en ..... eh bé B2B2 !! merdxum ! on voulait demeurer (de fait) fée , pas nous transformer ou être transformée ! en (qui p^lus est) bébé ! béb é né ! nouveau-né cherchant de fait à tout de suite téter ... téter le nén"é ! oh zut et mèfle ! merde / enculé / mèfle", on voulait demeurer .................................. demeurer fée ....................... fée des terres aux bêtes ................... pré aux fées agrairesx .................................................................... fées ailées ok mais les pieds sur terre, merdxe ;! .............................. =erde de chez merde ! ça nous fait suer ! .................... grave ça nous emmerde ! ................................................................ on veut (on voudrait) rester fée , fée des bêtes, fée-bête, bête de trait, bête des parois de traites, bêtes-nées sur paroi ornée ! merde ! .................................. nous voilà ... bébé ! transformée ! changée ! re-née ! re-re-re-re tracée ................/........... à jamais ? on ne sait car, voilà, le bébé sait mais ne dit pas, ne dira jamais, car bébé né deviendra .... non-bébé, et perdxra (en quelques sorte) les do,nnées données au passage de porte ! ............................................................................. porte haute .............................. porte des portes et autres passages doctes .................... hourra ! houura la foi ! ....................... porte haute pour passage hot ! ........................... voilà ce qui (nous) va ! on mùonte ! on re-monte ! on gravit la paroi ... au son des cloches, des voix, voix de l'au-delà, sons de poche ! tralala , glouglou roi et autresbruits detrype borborygmes
borborutmes borboruitmes non inteintionnels ! voix ! voix de ventre entre ! La voix ! on envoie ! transe ! on charge ! on veut comprendre grave les données du ventre : samba ? traits des voix qui feraioent sens ? portage de voix ? antre de paroi ? On veut : dire et sonder, faire et chercher, comprendre les données les plus ancrées, faire ainsi que la vérité telle qu'espérée puiise de fait "remonter" via ... le passé, qui sait ? passé-transe ? on veut y compter ! On veut toucher et espérer, tenir et gronder, dcrier et coller, cerner et portert, porter loin les remontrances, chercgher dense, creuser, voir loin, essayer de se porter au plus lointain du plus lointain, du post-pré possible ... les nénés ? le passé .? la france allouée à une sorte de Passé d'enfance ? on veut grave toucher à ce Néné des Contrebandes. Qu'st-ce que c'est ? est-ce un v rai néné empli de lait ? est-ce un néné prêt -à téter de fait ? est-ce vraiment un "vrai de vrai néné" ... à téter de près ? qu'est-ce que c'est que ce néné ? néné népost pré ? est -ce que ça swe pourrait ? qu'est-ce que c'est que ce néné dit "des nénés " ? un ..... trait ? trait comme tracé dans "l'éternité" des données de roche ? post-roche ? néné né sur pied la mort (ladite mort) actée ou une fois actée ? qu'est-ce que c'est que ce dit "néné de poche" ? une sorte de "Roche au lait " ? rocher dit "de lait"" ? lait de roche ? lait-né ? lait de trait ? trait de lait ? lait alloué ou ainsi alloué à une sorte de rondeur de roche : le Passé ? qu'r'st)-ce que c'est que le passé ? la Rocxhe ? les données de Roche ? un trait ! une sorte de trait alloué à une sorte de donnée de roche ? le passé passé ? trait de fée donnée sur Roche des traits ? une sorte de .... porte ouverte sur ..... les données sûres .... de la vie offerte , comme qui dirait : à jaùmais ? On espère ! On mate grave. On n'en loupe pas une. On essaie de comprendre les demi-mesures, mesures et alluresz, les données des termes, les entrées et les sorties, les mots de bêtes, Paradis. On cherche. Vie vite. traits ! oups, c''st fait ! trzait de coupe, et hop, immixtion du front ! haute porte ! le pasqsage docte ! trahisobn de roche ? crevaison ? on monte ! .................................................... hautes ..................................................................................................................... on creuse-monte ........./........... on veut en vrai toucher le Vrai .............. dire et toucher, faire et aller, cerner et ne pas succomber.............. aller de chez aller, cerner de chez cerner, pister de chez pister, dire de chez dire, coller de chez coller, voler de chez voler, tracer, aller-faire, pousser, dire-cerner, chercher, pouuser-comprendre, en vrai, les données de branche :
il était une fois, sur terre, une sorte de donnée en herbe dont le nom , ma foi, était .... et là : trait ! de coupe sagittale, la paroi trembkle, rupture de vvoix, pas de chance on ne saura pas ! la transe ! la danse dxes Voix, paroi-anttre, on veut (de fait) aller-cerner ce qui, ici, est VOIX ou VOIE, trait de VOIX ou trait de VOIE, la vie ou le vit, le chant ou le cxhamp, l'envoi ou l'en-voix, les données de base, les données de rage, les données sardes, les données données comme à la parade et autres vérités basiques de paroi de charge. traits de coupe, oups, chute sabrée ! On veut toucher toucher, cerner cernerr, dire dire dire, composer composer, déduire déduire, compter compter, faire ainsi qu'en vrai on puyiise ici (paroi) en avancer le plus possible dans les connaissances et auttres savoirs concernant .... la transe ? panse ? chance ? france ? et autres données données de face . On monte / on entre ! traces , vies, trous, charges. On est Fée de base sur paroi "étanche" : le langage = le langage-envoi, la charge mentale, traits de voix sur pierre tombale on voit ça . On entre. On est là. On regarde . On cherche sqa voie. Passage. trait. porte ............................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................porte astrale.
3/2/2025
On veut comprendre = on veut toucher à ce Néné de Contrbande, alloué ou comme alloué à une sorte de Donnée de Base post-muret = le tracé de l'Ambre ? on ne sait ! On cherche à cerner mais ce n'est pas donné car, oui, en vrai, il faut traverser , passer, passrr de l'autre côpté du muret ... sans s'abîmer, et pour ce faire il y faut du doigté, de la oersévérance, du doigté pour ainsi dire jugulé, de l'a persévérance sans lâcher. Du vif des clartés et autres qualités donnés comme par la bande. On veut en vrai toucher à ce qui se présente de l'autre côté, et pour toucgher à ce qui secprésenbte de l'autre côté il ne faut pas traîner , il faut treacer, ilfau t creuser de cghez creuser la roche finale, ce lmuret bien nommé qui nous sép are de la Vérité des Données de Base : ce que c'est que ce Néné, la Branche, le Tracé des Fées post-muret, les Ambivalence s Nacrées, la Chance au Passé, les Données de Rage. On avance. on veut grave passer ensemble : fées. passer de chez passer ensembkle et regarder et ne rien louper de ce qui se treame / présente quasi à nos côrtés puisque la Chose ... n ous fait face, qui regarde-mate ce qu'on fait sans nous abandonner jamais. On mate ! à notre toutr on mate ... mais, comment mater qauand on est comme nous, de Rage, les Gnous de la Parade et autres buffles dits "Du /Mou" ? on mate mais voilà ... on rate ? on ne voit pas ! on gvoit ? on voit quoi ? on voit ça : la Base-Toundra (les plaoines de base) ? le Nacré Tracé ? l'Ambassade aux données données ? On voit qauoi passé la Marche ? le Passé ? passé re-né comme à la p arade post muret ? on mate grave. On a envie méga de (pour le coup) cerner-comprendre lers données de Rage de la Mort "en veux-tu en voilà" qui, de fait , serait de connivence , avec ... eh bé, cette sorte de "fée" allouée au tracé post -muret de base. = la Fée F ade ? fée des traits et autres tracés de Nénés = Lait ? fée-Lait ? ça se pourrait ? que la Fée post-muret soit du lait ? du lait pour Bébé ... ou alors le Bébé (lui-même) comme on l'aime ! Bébé des Bébés ? on cherche ! on veut :
toucher de chez toucher à ce qui est qui, dans la mort, est. et pour toucher il faut traverser. et pour traveserser il fautpassser , aller, creuser, tracer trait et creuser à même les données murales ! poussserr ... chercher à passer qui le bout du nez qui les ailes de ce fait un tantinet rognées si l'ion n'y prend garde, c'est vite fait ! On cherche ! ... à passer c'est un fait ! on espère ! on veut toucgher à ce qui est (ici = MOrt)à nos pieds ou plus loin si jamais. Qui on est ? frée ! fée nous-mêmes. Fée du préjuste traversé. on est passé d'un pré (cimetière ?) à une sorte de ... plaine pleine ! plaine des données " achzevées" ... plaine aux données données à qui traverse le muret sans désemparer "à la Romaine" ! On aime ! on veut toucher ! On veut aller si possible loin sans jamais rtraîner mais tout le contreaire : tracer, filer, ne pas traîner jamais et y aller de noc "commrentaires" concernant le Passé ici rencontré ... notre passé .... passé "en herbe" si tant est, Passé "blême" ? on ne sait ! passé des Passés et ça le fait ou le ferait ! On aime ! on veut creuser de chez creuser la Terre ... du Passé comme qui dirait ! On veut toucher à ce Passé vpost-cimetière = se retourner, revenir pour ainsi dire ... en arrière, si l'on pouvait, et regarder "derrière" ce qui est qui nous i téresse . Le passé est né (= re-né) "derrière" ... Passé-né, passé des Passés-nés ! ion aime ! on aime .. le lait, alors forcément, le Passé, on aime ! on aime téter ! on a envie de lait , d'eau des Fées et de ... Lait amer ! On veut ... téter téter téter téter téter, de ce lait de Mère et cela en vrai, directement branchée, carrrément allouée à une sorte de téton nacré du genre "bouton", "bouton doré" , sein de charité, caresse mère, fait loué , tréit des traits sur Roche Passée. On aime = on veut toucher ! Toucher cde chez toucher à ce .. néné = néné d'herbe ? on ne sait de quioi en vrai, le Néné (le fameux Néné), est fait ; ... de Lzait de Mère ? de'herbe verte ? de mots des prés comme ... conservés ? mots tracés qui seraient passés, sans tra^îner, de l'autre côrté (via le cilmetière) jusqu'aux nénés (post-muret) tels qu'on les reconnaît ? on cherche ! et si le Verbe était .. ancré , comme qui dirait ... : éternité ? on cherche ! on est dans un pré prête à traverser et nous retrouver de l'autre côté de ce cimetière, ici, aux herbes vertes. Et de là, nous retrouver ainsi adoubée par ... qui sait ? une sorte de ... Bête post-pré, Bête de TRait, Bête-Somme (en somme) ou Béte Grosse des Travées ... Bête de Somme post-pré qui nous regarderait en vrai sans loucher et nous inviterait à venir lui donner quelque chose (de fait) comme une sorte de ... tétée ? tétée Rosse ? tétée forte ? tétée des Tétées ... en somme ? On est Fée des Fées voulant (grave) téter la Chose = pis d'Ombre ! ce Néné né ! cette "sorte de Néné" qyi serait né, directement, depuis le (ou du) Passéprésent (ici présent) . On cherche ensembkle (ailées !) . On se resdsembvke ... et qui se ressemble s'assemble : ailées ! on aime ! on aime nos ailes ! on s'aime ! on veut s'aimer et tracer et traverser et passer ensembgle (ici même) post "muret de FRance" ! gracve , on veut ! on veut grave ! on ne veut que ! on ne veut que, cette chose ensembkle, à qui mieux mieux : la Trace ! le Passé Furieuux, la Rage des Dieix, le Passé Humble et miséricordieux qui nbous ferait face et nous ferait pour ainsi dire dire (enfin) les mots de la fin (mes aieux / aieules) sans fin ! On veut ! on ne veut que ! on aime ! on aime Ce trait, ici alloué à une Sommité aux Données Données : Bufle au taqauet ! bison fûté ! chevaux ailéss ! bouquetibnes cousines ! ours et ourses mal léchées qui nous regharderait sans discontinuer, depuis la Coursive ! ailées toutes sur pré , nous voici comme "adoubées" post-pré par une sorte de Bête Lascive , ou sinon lascive vive, ou zinon vive lucide, ou sinon lucide avide ! voilà : avide ! = prête à ça : se remplir de voix ! voix de l'au-delà ? du moment (voilà) qu'on est là ? on voit ! qu'est-ve qu'on voit ? la cîme ! la cime des boios ! le Haut de là !
la Paroi franchie le Passé naquit et nous vit aklller comme à kla retombée post -pré !
vie de fée allouée à un post-muret aux données données vives et comme données à une sorte de ... plaine vide (vidée ?) de type ... Sein Donné, comme au débotté ! la Chine ! le tracé des Ruines ? Omeleztte fine et autres mets post-pré comme s'il en pleuvait, qui sait ? On veut toucher à ce Néné dit "du Passé re-né". Et pour toucher à ce Néné , le mieux c'est de ... rire, à gorge déployée, sans sourciller, sans se gêner, sqans se faire mousser, sans honte ni contrariété. Téter ! téter ! dsu lait de Néné, dont le treacé serait comme dessiné par , qui sait ? la Fée de l'Hydre ? on ne sait en vrai mais ... on szoupçonhe, on se dit que peut-être, en effet, l'Hydre ... ou sinon l'hydre , quoi ? car voilà : le lait coule ou coulerait, nous alimenteraitb en Passé Uytile, nous ravigorerait et nous ferait du coup peut-être "revenir" à quelque chose de (à nouveau ) concret ... comme l'huile, le vin, l'eau acide, le pain, la farine ... vivement la quille ! On esrt Fée-Vrille, et ...eh bé oui , on veut VIVRE ! sans céder ou sans jamais cesser , céder ou cessser. On veut ... vivre vite ! treacer = filer. Comprtendre = pistonner. Prendre = cgharger et trouver jonquilles, fleurs des prés, myosotis des rives, bleuets et autres m arguerites coupées. Cxharger = dire. faire = montrer. dire = Rire. Allouer = ccernber ce qui, post pré, se donne à vivre à tout jamais , ou se donneraiot. On a envie en vrai de toucher
à ce qui est qui serait de fait ... eh bé du Néné, du Néné de Fille ? Fille Ivre ? Fille des post-prés telles qu'ion pourrait (de fait) les aimezr , car , le lait on voudrait ! téter de chez téter ? qui le sait ? qui connait la Fille ? le tracé humide, goutte de lait, collostrum nacré, lait de fée-fille ainsi rencontrée et dont le nom ici est ... Passé ! Padssé-Quille ! tracé ! trait des traits ... de lait = Fille-Quille. traits ici allouées à une sorte de Néné de Fille, tel qu'aimmé car plein de lait salé-sucré tel qu'on aimme en vrai le téter vif ! vives ! on veut toucher ! On ne veut p as traîner mais vite vite vite aller vers l'IF, le trait sucré -salé, téter de chez téter et nous en foutre plein le gosier, de ce lait de TRait, lait Nacré,lait de Fille allouée à une Sorte de Passé ... en friche ? ... qui sait ? on est :
née fée la mort venue
transformée en Bébé kla mort dépassée
Re-né à la vie le tracé (trajet) acté = abouti !
On veut :
creuser de chez creuser, non la meu mais les données de traits telles que rencontrées post-muret = post-absurdité (?) des données de Roche ? ... ou disons : post-approche des Bêtes MOroses et autres Bêtyes de Cloison. On veut toucgher à c e qui pôur le coup pour nous nbous semmbble "de bon ton" , soit : pasx (du tout) maussades ! mais, gais comme pinsons, bgelles parades , promenades avffables, points des ponts et autres pontons ! Chance au tison ! la PARADE ! le trajet du front ! La palme de plage ! amuwsements sardes et autres faits du genre sade !le tracé nacré est le tracé de b ase. Chair à pâté ? pas que je sache. LE treacé des f ées est (serait) préférabl ! On veut toucher = dire = faire =c erner = comp^rtendre = consacrer = allouer, à un faire, iun dire des prés, et aimer ! aimer grave le p âté pas spécialement, mais l'ambience ! le Néné sage ! pas sade mais sage , du Verbe ..... "Sager" ? ... SCerner, comprendre, toucher le Néné, toucher de chez toucher à ce dit "néné ... du passé" alloué à une sorte de SAvoir de RAge = le fait vrai = Vérité NAcré , jambage , trait ancré , Passé Sage sur Passé de Rage = superposition des passés de base, et nous voilà"aiméz" = allouée, à une sorte de Passé re-né du fait du Néné ainsi tété ! On sait ! on sait ce fait ! On est née (re-née) post-pré, post plaine, post -treacés de traits : post-lait ? post -muret = plaine ! La des plaines pleine ! pleine de lait du fait que, oui ... le lait coule à verse ! dans le gosier ! direct tement coulé ! coule le lait post pré ...
en notre bouche ouverte ... de Bébé, de Bébé alloué à ici cette plaine aux données dernoières = le Passé ! comme Nacré ! sacré Passé ! dire chargé ! On aime téter , c'est un fait qu'on ne saurait masquer, tout le contraire ! téter de tête ! téter vrai = en vrai, le cimetière loin derrière ;;; la vie re-née ! . On aime le Lait des données dernières ... premières ! les dernieres seront les premières, puisqu'on renaît à de nouvelles terres et autres cxhamps de blé tracés ! vrai ! carrsese données ! aimée ! doucement nourrie, d'herbes vertes et autres pa^querettes ! vaches à traire ! souris verte ! on aime ! on veut ! on creuse de notre mieux. On creuse la terre, les données de l'herbe, le rtracé intègre et autres traits (de roche) nominaux : aurochs-ombre et autres bêtes à museaux, de type : antiloipes, bisons doctes, chevaux, chevales de trot, rhinocérosse, corps de peau, buffffle au tonneau, ours-de-poche. animaux-mots des données de Roche tracées au couteau. On veut comprtendre le morceau. La Roche au tonneau, l'ivresse des mots , des mots de trop, des mots-animaux sur peau, et autres mots des catacombes. Le Mot "Mot" ! Le mot des Approches de Roche = Comptes, Comptes FAux ? comptes de Poche = anicroches. tonneau ! je ne boirais pas de ton eau , mais de vin de Roche et autres A2lcools Hauts en termes de Niveau. on monte ! honte ? on veut aller ensemble au plus haut niveau des Données de Rage .... et du coup , toucher ! la base ! les pieds ? qui sait ? le Passdé de Frange ? l'Ambre ? l'Ombre portée ? la chaleur tournante du Passé re-né ? Qui le sait en vrai ? qui connéaît d'assez près les données romanches ? le Passé Nacré, la Panse, les Nénés, le Lait Fran c et kles nénés nés ? qui sait de fait ce qu'il en est, et saurait du coup nous l'indiquer et nous gbuider en ce p assé re-né tel que "retrouvé" la mort passdée comme qui dirait ! né pour être né ! le trait ! la charge = l"'endurance. trait pour trait on veut toucher de chez toucher à ce néné des correspondances et autres assonances liées au Passé tel qu'approché dans une sorte de ... "plaine imm-ense" .... champ de base ... toundra ... Toundsra sans bois (sinon ceux de l'arbre ?) on ezntre ! on veut :
toucher toucher toucher toucher = téter téter téter téter , sans faillir ni faiblir et sans non plus traîner car on veut tracer = boire du lait pour en vrai se reqauinquer et pouvoir de fait vite se redressser et re-aller, par les forêts, les prés, les rues vives, charger, chanter, parler la Vie des Données Vives et autres Chastetés bie n situées , qui sait ? Ontétte le lait ! on aime téter?. On ne veut pas s' arrêterr de téter. ce qu'on veut c'est téter., téter sans s'arrêter, du bon lait de Pis et autres seins nacrés au Bon lait de Vie. Vie post-pré tu m'as saisi : l'envie ! l'envie vive de lait ... salé-sucré ! lait des laits alloués à une vie aimée, acidulée, comme allouée à une sorte de Passé post-pré ! qui connaît ? qui sait de ce Passé ce qu'on pourrait de fait en dire qui soit vrai et non frelaté ? qui connait les traits, la rive, les données en vrai de ce Passé des Rives, des Données Acides et autres dons post-pré qui nous "regarderait" ... vivre = arriver , qui sait ? qui sait de fait chanter ? Qui connéît la Rive-Friche ... la plaine aride... le Passé Vide ... vidé ? ON veut toucher de chez tpoucher à cettye sorte de donnée, de donnée vive, qyui serait comme dio nnée à une sorte de Passé tel qu'espéré . On veu t :
Toucher toucher toucher toucher
vivre vivre vivre vivre
cer ner cerner cerner cerner
consolider consolioder consolider consolider
alouer allouer allouer allouer
passer passser passer passser
cerner les données et les cirvconscrire, et du coup comprendre sans rire ce qui est qui , e,n vrai et de fait, nous attend ou ous attendrait post-pré, post le pré des dooonnées tracées de type bêtes vives , et, le muret passé, mur aux données de rive, toucher, toucher grave et sans pleurer les données vives d'un Néné à lait, soit rempli de lait, lait acide, ou très légèrement acide mais sucré-salé, aimé, adulé. On veut téter de chez téter pareil "lait de rive". Qui sait ce que c'est que ce dit-lait aux données "riches" ? lait post-pré du Passé Donné, re-donné, au passage (ici) du muret dit "des finalités" et autres fins de pré. On veut toucher à ce néné des données riches.Tracer = cerner, et cerner = toucher. Dès lors : tr acer = toucgher ! toucher l'OR, la Belle REmise, l'Ombre ocre, l('ombre du Sort, l'HOMMEACCOLÉ couché ? la Mort ?
oh, la mort ?
mort en haut ?
on trouverait bde fait la Mort... fond du tonneau ;;; en haut ? on cherche , on regarde, on va, on monte ! on ne se l asse pas de creuser paroi ! on entre ! On aime ça : le chyant de l'antre. On veut :
dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire dire diredirediredire dire dire dire dired dire dire dire dire dire et du coup ; ...? percer ! percer de cherz prercer les données du Rire ou quelqaue chose de ce type on dirait de fait ! ivre ! ivre de chez ivre on veut ... toucher toucxher toucher à l'Hydre, ici consacré = adulée ! aimée de chez aimée du fait que l'hydre est ... "de toute beauté ivre" ... vive l'hydre ! vive de chez vive l'hydre du pré ici deépassé ! vie post-pré = mort acculée ! On veut toucgher de chyez toucher à l'hydre, ainsi rencontrée, loa mort "passée" ... car,
la mort ...
la mort a ...
une fin en soi, na !
voilà ! on sait ça !
on va !
on creuse là les données cde paroi !
on ne s'en lasse pas , on y croit ! on veut ça : croix de bois et a utres croix dites "des Voix ". Ch arge haute de typecP aroles = Paraboles. On est
Hautes Fées de Roche, p)rêtes à chose, à comment, à aller direct , et sans traîner, vers ce tracé dit "du Néné à téter" la mort dépassée (une fois passée ou dépassée) . on veut toucher à ce néné des finalités ou dites "finalités" , et en avancer ! tracer ! tracer sur pré ! aller ! creuser ! chargerf ! dire et donner à ce nhéné de notre bouche ouverte toute prête ! téter ! boire le lait, en tant que Bébbé nhé ... dans la mort allouée à, dès lors, une sorte de fée transformée, genre dépassé, genre ainsi effacé ! On veut toucher. On ne veiut pas traîner mais foncer. On veut toucher à ce Néné né .. des données Finales, voix de rage, Trait Nacré, Âme sarde (sage) des données frontales la mort d&épassée (ancrée). On aime aller "ensembke" (= ailée) vers ELLE ... Tracé-né, Vert de terre, XCharge Vraie, HERbe, Trait d'herbe ....? le Passé ainsi tracé / sillon -né ? pont de Roche N acré ? Pertte sèche et autres faits vrais (ou petits -faits vrais) ? qui sait ? car, en vrai ... on aime ... silloner ! la terre , le pré, l'herbe, le Passé ! Qui le sxait en v rai ? comment l'exp;iquer ? ciomment faire en vrai pour expliquer ici même ce qui est sur cette szorte de question en herbe ? comment faire pour donner, à ceux / celles qui aiment, un savoir de Roche tel que, pour le coup, on porte ... au cou ? on est ailées ! on est ailes ! elles-fées = ailes ! traits ! bêtes de trait ! tracé ! un tracé post mort naturelle = un traéit ! trait sur herbe ! terre saoulée, sillonnée, tracée , sur Roche de Tertre ! Sainte ! ON est /.... née sur pré la Fée "du Cimetière d'herbe" , ey on volette à la volette , sans tarder dès que passée ! On aime aller. On veut toucxher toucher toucher toucher toucher toucher topucher topucher toucher topucher à ce néné aux données "vertes". sans déconner . Sans traîner tu m'as cerné ! on aime : filer, cerner, comprendre, endurer, se poster, chercher, filer à l'anglaise, semer, concerner, troubler, chahuter, perdre sans perdre, toucher de fait au N2né duu Lait, ne pas succomber mais au contraire faire front, composer avec l'adversité , se toucher, braire, allouer, à une Sommité, les traits de l'Herbe, le Passé est né (re-né) qui nous "regarde" faire on dirait. Yeux de Braise ? on veut toucher à ce néné post-pré afin de le téter et du coup cerbner, les données fermes, les données données de l'herbe verte ainsi broutée et du coup d igérées, transformée en Verbe aux Données en verve ! traéits des traits, frai, charge olé olé, prières, dons de craie, Herbe-Verbe comme avalé le hjour ouù, il semblerait, on est née ! non pas (encore = de nouveau) fée mais Bébé ! Bébé du VErbee-herbe à jalmais rtracé (le Verbe) sur la terre ferme ... qui sait ? on cherche ! on ne veut pas laisserr tomber.
On veut ensembvle cerner les données, afin de cdomposer , une sorte de Chant ... aux Herbes Vertes , un "trait de lumière" , une Absurdité peut-êtte lunaire on ne sait, on cherche ! on est peut-êtte mal léchées , mal éduquées, mal peignées, fée aux herbes rêches et autres pailles mal placées, qu'importe ! on monte. un tracé est un tracé. La roche "monte". Ça (on dirait ) monte. grave dans tous les cas. On voit ça que voilà (en vérité) la Roche est pente à ainsi remonter jusqu'au dit "néné" post muret = post-fins de tracé. Alloué ! Néné né alloué à une fin de pré, ça le fait ! genre : trait, trait des trait post pré ! treait de fée traqueée ou sinon traquée poussée, poussée à tra verséer de fait, ce fameux muret dit "du cimetière" , on sourit ! on est AILES; AILES d'une fée en her be, trait d'elfe, un tracé d'herbe ou sorte de. On aime ! on veut. On veut cerner sans débander les données sommaires , rupestres, des finalitésq. Qui on est en cette herbe "aux fées" ... fée nous-même ! on sait, on aime, on va, on creuse, on veut toucher, chercher et cerner , et, de fait, se comme téleporter de l'Aiutre côté de ce "cimetièr aux herbes", et, là-bas, en cet autre côté des voies, chercher, chercher grave des données de Choix, Données Doctes ma Foi, toucher, aller, cerner La Roche, Le Néné de rOche (?) ... Envoi ! envoi ! en voi ! envoi de Roi / reine de l'Au-Delà ! sarde ! sarde-Roi de là, Reine sarde des Paroois ! sarde halte ! halte sarde ! sein né post pré comme à téter sarde ! téter sarde = donner = dire = passer = construiore = monter =chercher = centrer = porter = poser = donner à une Sommité (du genre : Gros Néné de Buffle, Buflette Nacrée) une sorte de... pensée ... pensée "remontée" ... haine ? pâs en vrzai mais ... sorte de pensée "verte" ... charge "verte" sur paroi de roche ainsi percée puis traversée sans la moindre anicroche si tant est ! fée des fées ! cherche-traîne (trai^ne ici allouée à une F2e de FeRme) ! le Passé re-né serait du Verbe d'herbe ! vérité succrée et vérité salée forment le Terme -né d'une sorte de Passé "indemne" re-né, la mort entérinée (actée sur pré-poème ?qui sait ?). on aime ce trait, le Passé -né . L'herbe"-verbe des données tr acées à même la terre, la paroi haute, le fond de Carosses, le Ponton du front. Tombe ? tombe donnée ? tombe haute ? basse tombe ? tombe des tombes ... et le tour est hjoué à jamais, pour ... l'ombre ... l'ombre-homme aux données de Roche ... homme qui laisse (ou perd) son ombre d'homme et ... monte .... transformé .... e,n ... deux femmes Hautes, hautesz femmes formant ailes ... d'une fée en herbe la paroi passée ! on le sait. on est montées. On est montée haute. On veut ou on voudrait en vrai aller sans trainer haut le pls possible en ce rocher des dites "traversées de poche". haute poche aux dooonées hautes. On veut toucher toucher toucher toucher toucher à ce néné klà-bas posté qui, pour le coup, nous attendrait "les bras croisés" comme quin dirairt; dieu des doonnées tracées ? Dieu -dé ? dé né ? dé ? dé lancé ? ,dé du dé ? dé-dieu -né post pré post parade ... ? duieu des Fées sur Passé ? dieu d'Ambre ? D!ieu Vieux ? DEieu des Dieux Vieux ? dieu alloué à une charade ? charade-p arade ? on veut ! on veut eux : les dieux de la Bande ! dieux-déesswses ensemble , trais de feu ! on veut ! aimer = dire. Chercher = conduire. Dire = toucher/ Toucher= cer ner. Cerner = comprendre , comprtendre ensembke , et faire-dire ce qui est, ici, qui nous "rassembke" en tant que cvoilà, on est Aile chacune d'une fée Lacustre ! de paroi. Ça charge ! charge et chante. Ça envoie du bois. Ça trace ! On y va . On veut ça : la chance, la Nouba, la Fête ensemble, la Joie de paroi, le chant des Ombres à soi, la Voix ! ombre ! ombre à soi sur paroi de France (?) d'antre. On veut ça. une voie de choix, pour enfin ensembkle, aller grave, à dire-faire ici, ce qui donc nous intéresse ma foi, la charge ! poussée docte ! haute porte ! on est née fée la roche traversée ; à présent ... la porte ! les sentiments hauts sur paroi donnée comme à l'arrivée ! On monte . On veut ................................................. toucher tpucher toucher ........................ le ,néné post pré ...................... s ansz louvoyer ni traîner .................... :ais au contraire pistonner sans désemparer et tracer de fait, notre "sorte de" ..... "sillon des traînées" ............... traits sur pré .......... tracés nacrés et autres "tracées dfe fée" ........... car voilà , on est F2e des prés, fée docte, on monte, on veut grave aller, en haut, cerner , cerner de près, les dits "nénés" des données hautesx .... diei d'eau ? porte haute et, derrière la porte, .. de l'eau ? lait d'eau ? eaude lait en trop ? haute porte ouvrant sur (en qauelque sorte) une sorte de ... tonneau ?, tonneau de peau ? ombre sur tonneau ? haute mort aux vin nouveau ? On monte haut à la recherche du niveau. On est F2e De roche sur (à présent) tonneau, rempli de ... flotte ? haute flotte ? lait de porte ? ..................... (crotte ?) .................................................................................................................................................................................................................................././....................................................................................................................................... on monte ! on veut aller haut.
On a envie ensemble d'aller haut le plus possible parce que nous ; vfoilà, ce qu'on veut c'est ça, passé la roche, aller profond, vers ce genre en soi de donnée de porte. Uune sorte dee paroi des Rois. LOa chose haute qui nous voit . Nous verrait qui sait faéire la java ! on monte ! on est haute ! haute on est ! on montepost-pré sur une sorte de ... bosse ? sein nacré ? Chose galbée ? motte ? lait donné sucré-salé sembkle nous alimenter sans nous empoisonner ! riche donnée! On veut toucher , toucher de près, cerner, coller, faire exprès, téter de chez téter . On veut toucher toucher toucher toucher touycher touchezr toucher toucher toucher toucher à c e néné des doonnées doctes s'il en est. Néné "de porte" sur post-pré ... qui serait .... cette sorte (ici) de ... plaine pleine, aux données .... "blêmes" ? On aime ! o,n veut creuser dans ces données pour y trouver ... eh bé de quooi ...
rassasier notre curiosité, si tannt est ! Et du coup cerner, en vrai, la Vérité des V2ritész, concernant .... la HAine = la mort ! cette sorte de Sort, vilain Sort, aux données blêmes ! on aime ? on aime ça ? On voit ce qu'on voit ! on ne se lasse pas ensemble de tracer et cher her à comprendre, ici,
la toundra, plaine salée, champ des voix, pararadis des voix. On monte . On est Hautes . Ailes de Porte. on monte hautes vers là-bas la Voie des voies = la Porte, donnant sur .... la voix ? voix des hautes Ombvres ? Voix des Rois et Reines des Voix .... voix de choix post pré de paroi ! On voit ça :
la plaine = la toundra
des arbres ici ou là, à moi,ns que ce ne soit des ... bois de bhêtes (cervfs ancrés et autres cerves allouées à une plaine)
feuilles d'herbe
traits sur traits de type sentiers
herbe à perte d'herbe
verbe saint ici accolé à une sorte de donnée en herbe = l'herbe ! traits ! fée du pré cherche en vrai la Scène ! qu'est-ce que c'est ou : qu'est-vce que ça pourrait être vu de près, que cette sorte de scène enjouée , de type "recherche de vérité" dans les termes ! traits données ! chants de fée ! craintes ! pertes ! sang donné post-pré ça le fait ! on veut (voudrait) rtoucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher toucher à ce Néné post)-cimetière , qui, donc, serait THE Nénéb post-herbe, à savoir ... cdu Verbe !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! oh oh en vréi ? Verbe post -pré qui nous pour ainsi dire alimenterait à la façon d'un lait sucré-salé , de type (hum) "bouillon" ? On chercvhe ! On veut trouver ici ou là (la mort comme archivée) eh bé ça .... la toundra ! grave la toundra ! la toundra des voix ! on veut ça, na ! toucher-trouver = dire-faire c'est un fait dont on ne peut pls se défaire ou se démarquer ! on est fait-faite ! homme des contrées pré-pré, devgient femmpes comme au débotté la paroi traversé, et trouve un pré ; le Pré , sur leqsuel des bêtes (de bon poids decharge) paissent ; va plus loin, monte et trace, et, fin de rage, trouve Voie d'accès comme à la parade en un dernier muret dit "des assonances " , et là ... cxharge ! charge que tu chargeras ! va ! fonce ! creuse ma foi! ne s'arrête pas ou plus ! met son âme à nu et comme un fait exprès se retrouve ... cul nu (hé! ) de l'Autre Côté, Côté "RUE" , à chercher cherc her chercher, zur plaine au Lait, le Verbe Nacré ; Voix de Trait, VERBE D'HERBE , VERBE ALLOUÉ, VERBE CENTRÉ COMME QUI DIRAIT, VERBE-ELFE ON NE SAIT JAMAIS. ON A ENVIE D'AIMER CE VERBE DIT "NACRÉ" , DU FAIT QUE VOILÀ, LE VERBE EST DU LAIT OU COMME DU LAIT, IL DÉSALLTÈRE, NOURRIT BÉBÉ OU SON BÉBÉ, NE S'EN LAISSE PAS CONTER MAIS AIMEALLER, S'ANCRER, MISÈERE, EN CE BÉBÉ RE-NÉ SUR PASSÉ FRÈRE. On veut aimer ce Verbe Ailé ! verbe sanitaire ! on veut toucher à ici le trait du verbe tracéb ! chercher cher her chercher , à quoi ? à, ELLE, la toucher, l'herbe = le verbe = la voix ! voix des ROis/REines de l'au-delà de soi . La peine. La paroi. Le verbe . Les trois voies sobht là qui nous "atteignent" !
voie ! voie des rois ! voie des reines allègres ! on veut ça : faire faire, dire dire, donner de chez donner le dire, faire dire ici la chose "animalière" des parois de Roche. pont des portes. POrtes hautes. toundra. Cerf de Java. Cerfs rois de Sumatra. Cerves des Parois de porte ! haute roche vers là-basz, la Voie des Rois et REines de l'au-delà à soi, mort-ombre, ombre haute, mort haute, ombre haute, mort de l'ombre haute, voix ! on entend ça et du coup on monte aéu delà de soi ................................../............... haute porte des parois de poche ........................ cohortte ............................. bêtes de poids en tant qu'hôtes .................hotesses accortes ........................ beêtes dee roche accortes et hautesc.......././......... une voie vers l'au-delà ......................... la porte ................ l;'ombre ............... l'ambre ................. l'orme ......../.... la tombe ............... la voie haute vers "l'au-delà à la tombe" = la voix ! ....................................... voix d'un roi / reine de là ....................... porte haute post envoi ..... post-paroi , post-pré animalier, post-teracé de près , trait de fée, post-herbe ................................Un verbe est né dont le nom est "LAIT" on le sait ! lait aciduylé comme s'il en pleuvait : en pleut-il ? on ne sait ! on veut toucher toucher toucher à ce néné desvoies pour ainsi dire nominales et autres contrées post-parade animale. Peut-on ainsi cerner ? toucher Néné et du coup cerner ? cerner de près ledit Néné ... des Causes Frontales ? qu'est-ce que c'est que ce Pont ? et, qu'est-ce que c'est que cette chose ronde ? Qu'est-ce que c'rst que cette chose ronde ... post-pré ? sein docte ? haute chose ronde ? néné né la porte passée ? sein de ROche / poche sur plaine allouée à une sorte de .... chant sacré ? On cherche. On a ernvie c'sset vrai ensembvle de plus loin toujours allerpour trouver-toucher , ce qui est , ce qui ici se présente ou se présenterait, en ces contrées "finales" mais est-cve vrai ? sont-elles en bvrai finales -terminales ? sont-elles fin de pré ? sont-elles (ces contrées "immenses") des finaliktés ... ou ça recommen,ce ? le néné, le bébé, la tétée .... .? comme en 40 ... qui s ait ? on voudrait comprendre et pour compre,ndre comment de fait se comporter ensemble ainsi accollées (= fée) ?, sommes-nous fée encore en ces contrées ? sommes-nous transformée ? sommes-nous de fait changée , en une sorte de bébé loué ? come adulé ? On ne sait en vrai mais oui, on va, on monte, on court, on vole, on ne s'arrête pas de chercher ici ou là , ce qui semble nous intéresser et nous regarder au plus près, cvomme qui dirait. A savoir : le SA voir ! La rage". Le trait. L'Antre ainsi trouvé . La porte sur Néné qui sezrait à nous donner de son Verbe"-Lait tout acidulé comme s'il en pleuvait. On veut toucher à ce Néné des Ombres ! toucher toucher à ce Néné ! à ce Néné né ! le toucher le toucher ! toucher en vréi à ce dit "néné" alloué à une plaine toute formée, qui est plaine au lait, lait de cxhèvre, lait de fée, vache à lait, bufflette nacrée, bise au taquet, ourse polaire. On veut aimùezr ! etre et tracer ! charger, de toute sa colère sur pied , pareils nénés afin de les téter sans plus tarder et s'en délecter sans plus de contreaintes ! téter , téter, téter, téter post-cimetière .... eh bé oui, pour ainsi dire, le Passé ! passé dit "fde roche". Trait des F2es Hautes ! la Fée Hhaute ainsi transformée en une sorte de Bébé de POche post-pré et autres traits sur herbe hautes. On monte. On monte haute ........................ vfée des Fées ............................... tétons téton ! ............................... de la Mort Haute ...................... l:a mort haute est téton ......................... haute Mort = Téton docte .................. mort haute = haute CHose ... à téton, de type ..... SEin docte ! ............ néné né post porte ! laCHose dite "à lait" = allée ! , qui xait ? On cherche à cerner -toucher ! on veut toucher-cerner. Dire et faire. Traverser. CReuser et aller, post-cimetière, à la rencvontre des "Données en herbe" = VERBE ! BVERBE VNACRÉ ! TRACÉ NÉ SUR PLAINE ALERTE! VRai tracé post-cimetière = verbe , voix, voix de choix . On veut :
dire dire
faire faire
être être
combler combler
chargerv charger
tomber tomber
comprtendre comprendre
cerner cerner
toucher troucher toucher toucher
aller aller aller aller
cerner-dire et toucher-coller
et monter ! grave monter ! haut aller ! vers ce lait haut des doonées post-pré comme on en voudrait sans jamais se lasser ! On veut, grave (là ! post paroi, post post paroi) téter Néné ! le (sans arrêt) téter de chez téter et du coup eh bé oui (pas obligé en vrai) aimer ! oaimer téter le Néné en Vie (dans la mort outrée!. Le , grave, téter de chrz téter. Aimer aimer aimezr aimer, téter ce néné dees données de vie (dans la mort gravée ! on croit rêver !)./; vie haute .... après la (dite) mort-ombre ! on envoie !On monte. On veut ça et ça : la hjoie et l;a Foi ! Paroles hautes et joie des joies. On aime ça. on veut toucher à ce qui donc ici, de fait , sortirait en hjoie ...son néné sucré , et vas-y de nous donner , de ce fait, cde quoi grave téter de chez téter sans se gh^-ener . on voit ça. on tète là, sur terttre. Sur motte-joie, crête, monts des voies, Hauteur Ronde. On monte ! tétons droit ! montons donc, téter Roi /Reine de saba, ça envoie ! ça nourrit son Soi ! c'st folie haute ! On voit ! On tète ça, la Voix ... verbeau -delà ...... au-delà de la Paroi ................................................................./..//////./.............................................................................................V ERBE_VOIX ./.................................................................... VERBE DES VOIX .........?..?.?.?.......................... HERBE DE TOUNDRRA .../........................... OUI ÇA ENVOIE ET PAS POUR DE RIRE, ÇA ;; ............................. LOIN DE LÀ ............................ÇA ENVOIE DES MASSES ET VOILÀ .................... POST PAROI, POST PRÉ , POST, DE NOUVEAU, PAROI ... MA FOI ............................ trait haut sur plzaine du pô ; ............................... poteau ........?.......................... v erbe-animaux ? ........................................................ on monte ! on veut aller haiut.. On veut toucher au plus haut niveau les choses doctes , toucher -treacer, cerner -configurer , et du coup en avancer , de base, dans les connaissances concernant la Frange, cette sorte de donnée de rage, tracé-né comme à la retombée la mort à soi donnée par ... on ne sait ! on est ... idiot/ idiote comme ses pieds, idiote/idiopt comme des sot et sottes ! drôle ? pas trop ! on veut le Niveau ! etre grave au niveau du lot ! pas forcément idiot / idiote , mais ;... pltôt ... fortes ! fortes en ces questions de porte, de passage haut, de tracé haut, de porte docte, de plaine accorte et autress champ aux données doctes accortes ! on veut :
toucher-dire et dire toucher, faire-aller et aller-faire, cerner-poser et poser-cerner, et du cfoup , tracer !!!!!!!!!!!!! sur pieds, les bêtes de trait qui touteszc, il wsemblerait, cherchent ou chercheraient à nous amadouer, nous approcher, nous aimer, nous comp^rendre, nous prendre, nous tenir à leurs cvôtés et nbous mater en tant qu'on serait, qui sait ? leurs sembvlables et ça se pourrait car, en vrai, on se ressembkle, on est pas en reste de se ressemvker, on entre ! on entre ensembkle ! on veut toucher à ce néné des Assonances et autres connivences post-pré ! romance ? il se pourrait ! chance ? à jamais ! transe ? acidulée ! danse de quartier ? ça le fait sans frais ! c'est une sorte de
Passé de 🫐 branche !
traits traits traits passés ! traits du passé wserait comme re-nés, au passage du trait ! alloué ! fait ! entériné ! on le voulait ? eh bé ma foi voilà, la chose est tracée , qui nous renvoie, comme qui dirait, une sorte de chemin de croix dans le domaine de la foi et des croyances en l'au-delà ! car, voilà, on y croit , on voit ce qu'on voit, et ce qu'on voit c'est ça : la chance ! parade ! tralala de contrebande ! ça envoie du bois dès que le Verbe est là, qui trace-bande sa bande de voix . Chaerge astrale. Pets de rage . Croix de bois sur place. Chyrists donnés de base et la chose est (dira-t-on ) classée, pour une éternité ... mais est-ce vrai ? doit-on charger , xsaigner, percer, chercher à creuser, à passer, à traverser encore .. la CJHose ? le ... passé post-porte ? encore ?
on voit ce qu'on voit, et ce qu'on voit ressemble à cette chose d'une sorte de .... porte des portes ? on entre ! on veut toucher aux seins de RAge, téter ! téter grave ! sans traîner ! téter de fait le néné de france = le français = le lait ? ça se pourrait ! ça se pourrait en vrai que le français (la langue) soit du lait = sucré /salé comme le lait de contrebande post-muret ! du verbe (du lait ?) à jamais ? quyi le sait ? qui sait en v rai ce qu'il en est de ce dit Verbe des Vooies lactées ! des voies "aériennes" ("aérées" ?) qui (semble-t-il, ou semblerait-il) nous gouvernent ... qsui le sa&it de fait ? On cherche ! on creuse sur pré puis au-delà du pré .. le .../. tertre ? le Sommet ? Dune traquée ? On cherche. On ne veut pas laissser tomber mais tout au contraire essayer au plus près de nous raaprocxher ensemble (ailée) de ce tracé Verbal des termes, et autres mots de force dits Ancrés comme à tout jamais " (est)--ce vrai ? ) . On pousse fort. On veut passer, retrouver le Passé . Chercher à se glisser / faufiler entre x données de type Denrées (?) = baies ? On veut creuser et pour creuser il (nous) faut traverser (à jamais ?) la contrée post-pré , à savoir ce champs ici alloué à x bêtesde traits qui sont soeurs de lait, peut-^tre, mais ... le lait ... le lait du Néné ...... le lait en herbe verte genre Verbe ..... eh bé ce VErbe est .... plus loin ..... post-pré on le sait ......./.. hors giron du pré aux bêtes de trait ........ au-delà du muret ......... on veut trouver ! ...........................................dire dire dire; creuser creuser creuser; faire faire faire ; aller aller aller, et ne plus nous retourner de fait vers des bêtes de trait de par(oi de roche, les "abandonner", les laissr entre elles superposées, traits sur traits , pour mieux nous enfoncer en ce poçst-pré de type "plaine pleine" ... tertre ............... tertre acidulé ........................... tertre de traite ........................ LAIT LAIT LZIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAOT LAIT LAOT LAIOTB LAIT LAIOT LAIOT LAIOT LAIT LAIOT LAIT LAIOT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT LAIT D'HERBE SI JAMAIS = VERBE ! TRAITS ! FAITS ! DONNÉES ! SAINTETÉS COME ANCRÉES EN DU VERBE NACRÉ, NACRÉ COMME DU LAIT , LAIT POST-PRÉ = VERBE, SUR PASSÉ DE TERTRE ! Herbe-Verbe = Faits de fée, commr qui dirai. Est-ce vrai de chez vrai ? on peut en doouter... et cependant .... on y croit ferme ! c'est ancré ! on ne peut y couper ! le Verbe (en n ous ) est ancréà jamais et ne pourra jamais être oublié ou écarté, même dans l'adversité, par eexmpmple de la mort à l'oeuvre ! verve-herbe est né à jamais, sur terre (?) et dans les cieux(?), en tant que ... colère des Dieux mon vieux ! sanitaire salutaire surnuméraire sumérioenne chahutée donnée d'une sorte de ... fenêtre comme treacée à même une sorte de muret de prêche ! On cherche ! On veut ..... eh bien ....... creuser La Chose ....... creuser creuser creuser ............ non pas tombe mais, en vrai, POrte ! porte Haute, par où (nous) passer , et pouvopir nous transporter (ailée) de l'autre côté,,côté post-pré, afin de regarder, mirer, ce qui est qui de fait wserait comme donné , offert à visionner, mater de chez mater. On veut mater !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on adore mater !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on veut grave mater !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ne plus s'arrêter en vrai d'ici mater les choses données ou comme donnés, de type : voies d'accès, argbres de fée", craies, tracés sur pieds, dons posés comme offrrandes (ailleurs ) à Déités, traits ddes traits ;.............. on veut toucher à ce Néné de l'au-delà du pré ...... Néné né dans le Passé on dirait. Est-ce vrai ? est-ce vraiment vrai ? p)eut-on se fier à c e qui il semblerait nous apparr'aît, les doonnézes s'affichant sous nos yeux tout éberlués , tout sidérés? Peut-on croire en ces données "montantes" ? IOn veut (c'st sûr) toucher de chez toucher les données sûres si tant est ! Ne pas (s'il vous plaît) passer à côté m ais affiner de chz affiner, notre (sorte de) cfomprenure. Qu'est-ce qui est en vrai de tous ces couplets ? qu'est-ce qu'on peut garder ? qu'est)-ce q'on peut décemment enregistrer, adopter, emmagasinner ? que peut)-on conserver de cet ensemble de données allouées à une sorte de "paroi grotesque" ? Des voix ? Mots de tête ? chants celtes ? voix des Rois et Reine de la Voie post-herbe ? quoi ? on ne sait as. on est ;"bêtes". On voit mais ... on ne sait pas vraiment ensemble ce qu'ion voit ! on est ultrza-bêtes , on vole bas. On ne voit pas loin au loin, là-bas, les données de RAge, l'antre, les embruns de Nacre, ..... quoi ? Nouba ? cha cha cha ? ça danse ? transe ? on voit quoi ? on voit /... la panse ! Roi et REine en place ! panse-Foie ! trait de voie ! trait des traits vers un au-delà qui , de fait, nous envoie parfois .... des messages de joie ? lait des voies ? laits sucréss de l'au-delà ? On voit ! on absorbe ! on avale grave : lait de joie ! lait post-pré des données des pklaines et autres toundra !
PASSÉ DIT "ACTÉ", PASSÉ DIT "POST-PRÉ", PASSÉ DIT "DES PASSÉS", PASSÉ COMME DÉTERRÉ ET ÇA LE FAIT OU LE FERAIT. Qui on est ? on est le bébé ! qui en vrai on est ? on est le bébé du trait lacté ! qui en vrai on est ? on eswt ici (post pré) le bébé dit
"des vies lactées et autres traits du passé passé" ! On re-naît à la vie passée ! on revient aux nénés ! au lait de bonne mère ! au travcé dit "acidulé", mi sucré, mi salé comme qui dirait , et ce .... via le Verbe ! verbe d'hherbe ! verbe en herbe ! verbe vieux si on veut et c"pendant en herbe (continuellement pour aionsi dire) car, éternellement re-naissant, de par son être "enfant" ! verbe-en-herbe des parents, des prêtresz, des "hommes-femmes" de tête. Verbe-êttre aux traits "chyarmants" ... à la revoyure ! On cherche monture ! passé né ! passé des passés enfin retrouvées ! on va, vive allure, tracer ! on , vive allure, allons ! montons ! essayons ensemble de cerner-com^prendre, ici, tout un ensemble de "raisons de roche", ce qu'elles sont, ce à qiouoi (de fait) elles se rapportent, ce qu'elles comportent ou comporteraient en termes de raisons à certyai,nes données qui sont celles de nos vies ancrées , ou seraient. qiui connaît les mots du fond ? qui cherche à en vrai toucher de front ; cxes donc dites dfonnées ici allouées à une sorte de treacé des prés ... post-pré ? soit .. ancrées à une sorte de plaine étirée jusqu'aux ... nénész vrais ? On ne sait ! on est nées Fées à la traversée (une fois morts /mortes) et du coup transformé(e)s de force , mais voilà .... la mort comme "traversée" , ou , comment, "dépassée", nous voilà ........... redevenue enfant , fée devenue faon, enfant, Bébé -né, post-pré si ça se pourrait, au passé ! grave c''est vrai ! Verbe aidant ! carvoilà : le VErbe est là, ma foi,, qui nous entraîne en ses filets et nous pousse à entrer, nous infiulttrer, nous ancrer, nous placer, nouqs donner et nous monter de roche ! traits donnés sur poche aux fées ! creuset ! coque d'homme / femme traquées , o,n sait ! on monte ! ..................................... on veut monter ........... on veut toucher ......... néné ........... néné né ....../......... néné né au passé ............................ néné des nénés ............... treaits des fés en vrai passés ......................................................... on veut toucher à ce néné de l'ombre (de la mort cxachée : qui c'est ?) .........../................. toucher de chyez toucher à ce néné né ( de la mort cachée, mais en vrai : esty-elle invitée ? hôte ? grosse ? forte ? lait des laits ?) .... On monte ! ..................../....... on v eut monter monter monter ... hzaut monter de cvhez haut ................... monter haut de chez haut .............. haut de chez haut sans céder ni rétrograder ............... vcoler voler ............ voletter ............/ voletter de chez voletter .............................. tr acer tracer tracer , de fait, notre ( supposée) destinée de fée toute transformée ...................................... en bébé re-né ! .............................................filer ! ...................voler ! ............. pistonner , tracer, ne plus nous arrêter et du coup treacer sans tergiverser lme trait dit "des fées" jusqu'aux nénés nés (de la mort pouussé"e jusqu'au plus près de ce qu'elle est !) ...................... pousseeer poussser poussser .......................... la porte des données ou aux données .......... creuser de chez creuser, la roche, le pré, l'ultime roche,; et du coup, post-pré, trouver .... eh bé le N2né, néné à téter, à téter sans tréîner, jusqu'aà plus s oif si tant est , afin de se rassasier et du coup : renaître ! être ! faire ! chercher ! coçller ! dire ! cerner en vrai les contoursc du Verbe (aéinsi exploré) de la mort à naître ! trait des traits aciduléexss sur tertre ! motte d'herbe ! Verbe-herbe au taquet, et les vaches seronht§ bien gartdées on dirait ! On est née Verbe d'herbe dans la mort allouée à une sorte de contrée post -preé, de type plaine, plaine immense genre Antre , Antre aux Transes ! FRance ? le français (la langue ?) ? qyui sait ! on entre ! ./.................................................. fée de france ? ........................ le français langue de la transex ?????????????????????????? à jamais ? .............//....................................... on peut rêver ! ?................. on veut coller , toucher , cerner, aller, faire et portezr, ici (ailée) la parole haute d'une sorte de .... néné de POche ! ROme ? rome ailée ? la roche Passée ? trait des traits et bnous voilà comme "recomposée" ... bébé ! bébé ! bébé docte ! bébé des bébés doctes ! haute porte enfin passée nous voici doctes ! bébé docte ! trait des traits sur passé outré ! come re-soulevé ! re-tracé ! re-re-tout à jamais ! éternité ! bébé né sur pied pour une éternité dee Verbve Alloué ... par charité ! le pied ! l'ombre portée ! Chose ancrée ! frai ! trait nacré ! sonde allouée à une VFérité postée comme à l'arrachée et nous voi:là re-né devant la porte, touché ! On veut :
creuser
donner
pondre
toucher
cerner
poser
connaîotre du Verbe les données ancrées qui, de fait, pourraient s'avérer , en vrai, super de chez superrutiles , si tant est, pour en avancer, grave, dans les connaissances . a savoir : en cette chose d'un savoir Iùmmense , concernant l a Voie, la Voie de Passage, le trait , trait orné par où , obn pouurrait peutêytre (ailée ?) passzrr à tout jamais et du coup co nnéaitre de plus près ce qui est qui en vrai seraéit (qui sait ?) à noius attendre de pied ferme (?) de l'autre côté , cvôté néné, néné en herbe, néné dit "du verbe et des données ancrées ", néné né à la retombée , à moins qu'il ne s'agisse de néné ancré en cegtte "roche ultime des données" ici treaversée , post-pré, post-herbe, post-bêtes de trait, sur plaine, plaine -immensité, plaine à pertte de tracés ... plzine pleine de données qui (qui sait ?) seraient lavctées comme (comme qui dirait) la voie céleste, en ces révolutions agraires et autres circonvoluctions rupewstres chahutées. Traits.
28/1/2025
on cherche = on furète ! On veut svp cerner les données de ce qui se présente sous nos yeux de fées allouées à une sorte de rotonde aux bêtes de trait et autres bêtes dites "des tracés sur herbe broutée". qui on est ? Fée des Fées sur pré "de Roche" ! hop ! on monte ! on grimpe sur Roche au plius haut niveau des nivgeaux ! Hop ! montons fort ! alloons ! traçons de chez traçons ! filons , creusons, traçons fort notre sillon ! On est Bêtes-Fée de somme, hop ! on monte ! Ailées en vrai ! on est les fées pour ainsi dire des données de Roche, et du coup, on monte, on cherche ensemble à oui, du coup, monter, monter sans plusz attendre et à nous poster ... au plus près il semblerait de ce muret dit "des finalitées" qui, de fait, est ce muret qu'on peut ou qu'on pourra trouver ... tout au bout de cette sorte de rotonde aux gnous, aux buffles oufs, aux antilopres des antipodes et autres betes de paroi de Grotte, s'il en est. On cherche, vaille que vaille, à comprendre ensemble ce qui est ici qui semble on dirait vouloir nous parler mzais est-ce que c'set vrai ? on cherche à ici nous rapprocher de ce muret qu'on dit ou dirait "des finalitésés" et une fois, ainsi, sises à son côté ou à ses côtés, eh bé ça : toucher ! Car, nous, on a vraiment envie et pâs qu'iun peu, "d'y aller", c'est-à-dire de toucher de chez toucher à ce muret fiinal, à ce muret d'enceinte terminal, à ceztte sorte de muraille à, de fait, traverser ... fissa ? pourquoio pas ? et du coup "passer" comme ailes de Fée qui s'infiltreraient accolées à travers telle anfractuosité tracée à cet effet. On tente ! on entre ! On veut comprendre ça veut dire ça, qu'on veut (en vrai) traverser, conjointement et sans traiîner, cette sorte de muret dit "des convenances " , on ne sait pourquoi. On entree = on pasqse. On veut passer et pas trépasser ou ... oui , trépassr ? ça m'étonnerait. OEn tant que Fée on veut passer, ici, ce muret, mais sans trépasser ! On nveut tracer mais sans succomber. Notre ambition ou notre but ou même notre envie ici, est de pour ainsi dire treaverser ledit muret ("des finalité"s) mais, en vrai, sans trépasser, sans succcomber. On a super envie de pour le coup pouvoir ensemble, en vie, tracer soit continuer sur notre lancée et du coup en avancer le plus possible dans les connaissances ditesc "frontales". On veut (on voudriat) comprendre, les Données Dernières = ce qui est (qui trône) en ces antresb (ou fossés) hors pré, hors prairie céleste au x bêtes de trait et autres bêtes néanderrtaliennes. On veut ... ehh bien, cette chose : toucher, Les Nénés à Lait. C'est-à-dire creuser, foncer, pousser, chercher loin ensemble accolées les données profondes qui, en vrai, pourraient nous renseigner sur ce qui est ici, en Roche, des finalités teles qu'évoquées. On a envie ensembke de toucher à des choses nouvelles qui, de fait, pourraient grave nouys placer sur de nouvelles pisztes jamaisb à ce jour encore emprunjtées. Et pour cela, le plus simple, le voilà /: tracer ! creuser ! filer ! ne jamais si possible s'arrêter où qu'on nsoit placées, car voilà, on rentre ! on entre en cette sorte de Paroi du bout du monde et là, ob-n tente "une approcxhe Haute" , genre : contrôlr, genre contrôle des Normes ! On veut tracer et contrôler = mater. On veiut = on voudrait, mater mater mater au plus haut niveau et du coup eessayer de pour le coup se rapprocher un tantinet de cette Vérité dite ... "des Trous". car, que sait-on des trous ? que savons-nous concrètement des TRous, tesls qu'on peut peut-^tre en trouver tracdés ou dessinées le Muret passé ? On ne sait rien ou pas grand-chose. On a&imerait enh vrai s'y connaître mieux ou un peu mieux. On voudrait cerner au mieux nou!s deux, les données qui sont comme "exposées" de laAutre côté de ce muret dont on ne fait que p arler en particulier , mais qui en vrai est ce même muret déjà rencontré "de l'autre côt"é" quand on est rentrées en cette sorte de jardin des Fées . Mur rond des Zones Allouées aux Betesc du front . On connaît. On trace. ON regarde. On cher che. ON creuse. Ici le but (avoué) est de treacer profond son propre silloon. DEe creuser en vrai que tru creuseras ton ^propre pour le coup sillon de HJoie, creuser profond son prpopre silloon ... jusqu'au Front = ce muret des bas-fonds, des données profondes hautes. Et ......... regarderv +++++++++++++++++++++++++/+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ au plus près de ces Nénés dont on ne sait en vraéi pas grand-chose hormis cette histroire de Lait. Car, à qui sont cesz nénés ? à qiui appartientent en vrai ces Nénés tels que rencontrés eh bé oui, le muret passé ou traversé. ? On mate ! A qui donc ces seins dits "de Mère" appartienhent -ils qu'on ne connaitrait pas ou qu'on ne connaotrait ni d'Eve ni d'Adam ? à peut-tre une sorte d'entité "imberbe" ? à une Autree F2e Souveraine ? la Reine ? L'abaielle-fée Reine ? loa Belle Reine des Contrées Absolues Finales ? à qui ces seins-nénés ^peuvent-ils donc appartenir qu'on ne connaîtrait, qu'on devooinerait peiut-être mais qu'on en vrai ne conaîtrait ni d'Eve ni d'aADm ? à une sirène ? à une Fille -Elfe ? à un Homme-tronc ? sorte de Front ? on cherche ! on a pas fini, en vrai, de cxhercher et de creuser mais bpeu importe car, en vérité, on aime creuser, chercher, fouiller comme des furets, ici ou là la terre, la paroi, le tertre, les données de Roche et autres sortes de renseignements existentiels de première. On aime. On aime fort creuser ensemble ce tracé donné (comme par la bande) et trouver si jamais un certain nombre de renseignements peut-êtte premiers , peut-^tre primitifs ou sinon primitifs ancrés au plus profond des données terrestres . On est Fée d'Herbe, Fée des prés, on ne cesse de voleter à la recherche de données en herbe (ou pas) pouvant si possible nous (grave) renseigner de plus près sur ce qui est qui existe la mort pour ainsi dire "traversée". par exemple , eh bé oui : ces Nénés dits "de contrebande" .... lait de vie ! charge ! fente !fente ! Trait de vie szur paroi finale ! On e,tre ! on est nées ! nées ! nées ! nées ! nées ! nées ! nées ! de chez Nées ! On est rentrées comme en biais mais quand même entrées. On le vouylait, on pourra dire que c'est fait ! On voulait tracer ensemble ici ce trait d'une sorte de ... passé de Branche(?) , eh bé voilà, considérons mla chhose comme entérinée, ou actée . Allons creuser ensemble ce fameux Néné = teter ! Car, creuser = téter, en ces contrées des zones profondes. Nées = Passées. Car, on est nées sur pré (fée) nous voilà comme re-née hors pré (Néné ?) . On veut toucher à ce qui se présente ici (ici même) sous nos yeux. Qu'est-ce que ça peut être ? on cherche à deucx (deux ailes) à nous (pour le coup) rapprocher, le plus qu'on peut, de cette sorte de zone dernière qui est zone des tracés hors pré. Qui on est en cette contrée ? encore Fée ? bête de trait ? bêtes de trait ... au pluriel ? fée des TRaits ? ou alors ... tout autee chose .... une sorte de ..... Bébé d'Or ? Bébé des Bébés ? On est la F2e du pré qui veut passer à travers ce muret ou dernier muret direction la Roche, soit la Roche Ultime aux doonnées Vives. Un bébé... eh bé qui sait, ça se pourrait ! On ne sait ce qu'on est la mort passée. On ne sa&it pazs en vrai ce qu'on devient une fdois morte et enterrée pour ainsi parler. qu'est-ce qu'on devient ? qu'est)ce qu'on fait ? nque faisonsz-nous le Muret des Finalités (hors rotonde) u ne fois passé ? Peut-être ... pitié ? faisons-nous pitié ? faisons-nous réellement pitié le muret une fois tracversé ? faisons nous pitié de fait ? tétonsz-nous ? sommes-nous en train de téter , de téter au frais ? de téter au chaud ? chaud les Animaux ? On cherche. On creuse nptre pensée. L'important (le tout) est de creuser sans discontinuer à travers les prés une sorte de sxentier qui pourrait éventuellement nous amener au plus profond des données de Roche, genre "connaissances des bas-fonds et autres fonds des Roches Hautes". On monte . C'est-à-dire que voilà, en creusant (bizaremment) on monte . On va haut. On veut toucher ensemble à ce Niveau, le plus Haut qui se puisse atteindre et là mater, mater grave,= observer, nhe rie,n léisser passer , mirer, mirer grave les Nénés si tant est et aussi (sait-on jamais) tout ce qui autour ou à côté, aux alentours de ces nénés, pourrait évezntuellement trouver à s'y trouver, genre ... tracé .... tracé-filament .... trait ..... trait ourlé ....... treait des traits ourlées ..... trait des traits ...... trait orné de nouveaux traits ourlés .... ourléscpar paeut-êtte d'autres fées ... ou qui ou qu'est-ce .... qyui seraient déjà passées et donc auraient treacé des traits dits "de Tresse" " .... tresses ourlées, gravées ..... tresses de fée ? on ne sait ..... tresse-graisse ....... tresse de graissse ....... tresse ddes tresses de graissse et autres tressesv ici ourlées par peut-^tee d'autres fées que nous qui (auteefois ?) seraient venues, ici même, pour connaître par le menu les données post-herbe telloes que nous mêmes aujourd'hui même on aime ! on ma te ! on regarde ! on cherche à comprendre. Qui on est ? celles post )-pré ici passées comme par contrebande en ce muret des données Dernières d'Antre. Fée. On est F2E. Fée des prés puis hors du pré .... bébé ? on ne xsait! on cherche à cerner. A si possible essayer de toucher à quelque chose qui pourrait ici de près ou de loin ressembler à une chose ... ourlée ? genre quoi ? Oreille de Roi ? oreillette de PAroi ? oreillette de REIne et Roo des Fois , foi dans l'ombre ou foi en cette chose dont le nom est "Ombre" ? On est la F2e Dite 3Souveraiene, souveraine-souterraine, on creuse ! ma foi on creuse ! on ne se lasse pas de toujours et encore creuser de cette roche des données ou aux données "de poche" , soit "de gonfle". On monte. On monte Haut Les Anim aux . On creuse-monte haut. On vfeut toucher à ces données de Roche Haute, et tracer, creuser, dire et donner. On est nées Fée à la traversée du premier muret (ou disons du premierr) puis bnous voilà qui sommes allées ici au plus lointain, hors pré, les ailes déployées, pour essayer (en vain ?) de cerner au plus près les données des Rêves , des Songes Ourlés (?), des Termes Certains, des Vérités telles que, peut-êztre ou en vrai, espéréesz . s oit recherchées. On veut toucher ! Qui pour nous aider ? c'est vrai que nous ce qu'on aimerait en vrai le plus, ce serait peut-^tre de pouvoir connaître (un de ces quatre) une sorte de Vrai Parade, Vraie Tracé ou autres FVérités de Charge. qui connaît ce genre de données en France ? en France ou hors de France, la question n'st pas de la France, .... du français ?, ah ! voilà ! la question, ici ou là, est peut-être liée de fait, à une langue (une langue p arlée) en particukloer, et du coup, ici, le Français (la France on s'en branle!). On voit. On voit ce Ro , ce Roi des ROis, Reine de SAb on voit. On mate gr ave Roi , Reine de là ou de l('au-delà. Roi et REine Reines. roi reine et Reine Reine : ça ! On voit. on ne traîne pas mais tot le contraire , on file droit ! charge souveraieane , trait des Fées sur Pré allouée à une sorte de ... cimetière ... des Données " ? on ne sait ce qui est en vrai mais on est accolées comme qui dirait pour en vrai cherc her chercher cher cher sans désemparer, un chemin non de traîne mais de type VFOIE , Voie aute, VOIe de ROche GHAUTE , VOIE DES VOIES Et là, eh bien .... l'emprunter compme à jamais sans désemparer ou discontinuer car voilà, on aime. On aime voler, marcher, cerner, filer, ne pas nous arrêter mais toujours aller. On adore aller. on ne veut âs traîner mais fissa aller,; sans nbous retourner, vers ce dit "Néné des Fées" (?) ... qui sait ? On monte. On creuse Roche. ON veut toucher à cette Chose d'une sorte de ... mont, Des Hautes Sphères SOuveraibnes. La .... ici .... mort BELLE ...... Mort Haute ..... hyautte mort des données "rondes". Quoi est-ce en somme ? une motte ? une sorte de motte haute ? haut niveau de roche ? ou .... caniveau haut ? haut canivrzeau ? On veut ................................................................................................ toucher en vrai au plus près ce qui pourrait êztre en ce lieu dernier ou dit "dernier", il semblerait, ey pour cela , le mieux, c'est de se rapprocher le plus possibvle de ce muret aux données tracées, de mater de près, de ne rie,n lmaisser de côté mais au contraire tout, ou le plus possibvle, repérer , tenir, conserver, mater de chez mater, essayer de "relever" et du coup cerner soit situer, ce'rner = situer, etc. on cherche ça : la Chance ! On y va ! on cherche, en transe, ça : la Chance Des Voix ! on veut comprendre et du coup voilà : on creuse-trace le T6racé des Chances. On envoie ! on veut cerner (les Choses de Roche) au plus serré. On ne veut pas laisser pisser. On veut :
creuser de chez creuser la roche aux données profoneddss,
dire de chez dire ce qui est en cette roche Haute
faire de chez faire tous les relevés , et les noter par le menu sur roche nue
coller de chez coller à ce Néné su braepticement rencontré on dirait tandis qu'on creusait ou disons qu'on cherchait ou rechercvhait des choses à se pour ainsi dire mettre sous la dent, grignoter , toucher exprès, essayer de "goûter" au plus près = commpe qui dirait une sorte de "lait de jouvence" ... trait ? trait de lait ? treait lacté sorti d'un Néné post-pré ? on est montéesz et on s'est retrouvées accolées, comme Fée de Bosse. Bosse H aute. On estb montées de chez montées et on s'est retrouvées de fait a&insi accolées à une sorte de Muret des Roches Allouées à une sqorte de Roto nde des Données Profondes et autres Bêtes dites "hautes" , type Bisons, Bidsonnes, Buffles-Poorc, Hommed'Ombre, Corps MOrt. On monte ! On veut ensemble situer ou pouvoir situer un certain n ombre de données hautes, telles que par exemple celles concernaént le Vzent, Pet de Nonne, Ombre . On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à ce Néné "raccord" . Plaie ? ou non : trait ? trait olé olé ? ou non : trait de fée siur le Passé ? mais comment en vrai cette Choseb ? on cherche encore. On ne lâche rien. On a envvie encore de toucghezr à ce qui est en termes de données (primzaires) lointaines (hautes) . Monter = toucher à ce genre en vrai, de Néné des Termes .... en français ? peut-^tre ! Peut-être en français car ici le fran;çais est terme! trait ! trait de fée. On cherche ! On veut toucher toucher toucxher toucher toucher toucher toucher à ce Néné post-cimetière dont le treacé sezrait "du terme", "du terme français" en ce quyi nous concerne mais aillezrs , de fait, ça sera en anglais, ou en latin, ou en chinois, ou en bengali ou autre langues rencontrées incidemment le mur traversé. On est nées Françaises de trait, nous voilà traçant ainsi sentier en cettez langue du Français de serre. On est nées Fées sur terre allouée à du Français, en termes de termes. termes vrais. on aime ... ou pas, mais la langue en soi est incrustée, qui jamaiçs pour ainsi dire ne peut disparaître ! c'est ancré ! à jamais ! comme du lait ! ça pèse ! ça envoie ! c'st là come une sorte de misaine, trait des Rois-Reines des Données Anciennes post-paroi et même au-delà, ma foi. car, O, n aiome la Foi ! on veut ça ! termes d'elfe. Creux des Voix. Choisx de Roi. pertes sèches ici ou là mais voilà, on ne traîne pas, on entre en soi, on creuse, on monte, on va, on avance, on porte, on veut ensemble, dire et donner ce qui pourraitbpeut-êtte nous arranfger (grave) de comprendre. tracer = porter, et porter = tracer. D'où la Voie à ici emprunter ensembke" (ailée) pour comprendre " = toucher, à donc ce dit "néné des Rages" de la Voie des Trembles. Que sont donc, ici, les trezmbles ? nos amies ! nos sortes de Chattes de Vie ! chattières par où, en v rai, on dira qu'on pourrait .... passer , donc, en vie (et pas écornées !). Chattes ou chattières des données de bnase , on entre ! ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! vie !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!, à) jamais la vie !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ç a tremble, c'est la vie !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! c'st dingue quand on y pense !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on aime grave !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ça nous plaît de folie !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! plaisir et joie immenses hors prairie ? on entre ! On veut comp)rendre ensemble cette donc folie, ce sang d'encre, cette joie profonde, ce tracé hors rotonde, hors pré aux Bêtes Grosses, ce trait ! Quoi donc ce teait EST ? qui le sait ? teait de Rochye "Grossee" ? Treait des teaiyts chevelu velu ? Haute Roche aux données de Poche ? fond de grotte ? porte close ? Mots de peau ? On creuse aux Animaux ! On dit qu'on creuse ici "aux animaux" . On monte haut . haut des Hauts. on veut toucher toucher toucher toucher au plus haut niveau des Boyaux( hors peau ? ). On veut :
dire dire dire dire
ce qui ici est comme szoulecvé
l'entrée vive d'une sorte de trait
le pet ? la rive ? le pcré alloué ? la friche ?
Creuser = dire = fairev = mettre = charger = comprendre = situer et ne plus s'arrêter de cchercher à pour le coup ensemble sans traîner comprendre ... jusqu'au trou ! mais, de quel trou veut-on parler ? du trou ouf ? du trou de ouf des données complètesc? du traczéé treacé à même la bête ? d'unn trait "honnête" ? d'une sorte de "perle" comme ici glissée à même l'herbe bsur un pré de Traîne ? on cherche ! on ne sait pas. On veut comprendre là la Chose des Voix mais la Chose des Voix ne se laisse pas si aisément cerner par des Fées comme ça. On veut toucxher à ça (la Chose Hzaute) mais voilà, comment toucher quand la Chose est ... si haute que...... pas simple en vrai de s'y coller sa&ns y laisser un tantinet de plumes nacrées il semblerait. On est la Fée a!ux plumes nacrées (on sezrait) et c'est ainsi nqu'on pourrait grimper soit nous envoler sans sourciçller, sans se casser le n ez, sans traîner ni lambiner, sans faire plus de simagrés. Aimer = dire. Faire = consdtruire. Chercher = fuir. Toucher = allouer à une Rive un certain ombre de données-surprise... par exemple : les données de branche ! le Passé pour ainsi dire , e,n termes de Rives. le Passé Tracé est le Passé ancré, Rives de pré ... riuives Vives ! On veut cerner ! on veut creuser ! on veut toucher , toucher et Rire si tant est car on est Vive , pleine en vrai de vie vive hors Passé ... mais, que peut-on en dire, de ce Rire ? que peut-on en révéler qui nous sqoit ou bnous serait super utile pour de fait continuer, sur notre lancée) , à chercher de fait une sqorte en soi de Vérité des Véeéirités" le passé "serré" ou recherch"éée" ? On veut cerner = on veut toucxher. et du cfoup, eh beé oui .......... construiore, une sorte de Poche Vide, à habiter. Genre ... outre. Genre .... yourte ? genre .... abri des vies ? On est passées ...... passées de chez passéesc, .................. vives de chyez vives ?.................... fée des prés on a traversé à la retombée une friche et ce jusqu'au muret aux données vives , lesz plus vives ou lesz plus vives des données ou parmi les données ici données. Qui on est ?
VIVES
Donnnées Vives on est en vrai ! vives de chez vicves on est. Vives fées des Données Vivfes et aéutres dOnnées (ici) de Rive ! treaits ! teaits des F2es . trait alloué à une Fée du pré .... pour ainsi cerner = toucher, à ce ........... ou ce ................ N2N2 né post-pré ! hé ! comme un fait exprès ! retour sur facture ! le treacé ! le trait ! la Haute Futaie ! le met ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait de bel attreait ! lait des prés ! on veut téter ............................................................................................................................................................................................................................................ grave on veut téter .... téreter de chez téter la Chose aux Nénés , ..... cjhose Haute ? Chose des CHoses Hautes ? Trait ? trait des F2es sr pré ? trait né ? On ose ! on monte ! on veut ou on voudrait de fait, cerner-toucher à ces Nénés de contrebande et, du coup, grave téter de chez téter sans nous arrêter ! finaliser ! §toucher-percer ! téter = toucher ! dire et donner . Percer ! Creuser . Dire et creuser ce dit Néné aux données "de france" mais en vérité ... de "langue". Car, ici, la langue , ok , est le Français, mais chaque langue en vrai le fait ! est semblable en vrai , enn termes de données dites "de contraebande" et ce .... au taquet ! au taquet c'est ! langue au taquet quelqque soit de fait sa provenance, son p)arcours de voie, sa trace ardeznte, ses envois et autres traits de rage szur paroi. une langue est une langue ... de Roi / REine de Saba ! la chance en transe ! la Nouba ! la danse ! cha cha cha ça envoie ! la langue "danse", trace sa voie, creuse que tru creuseras jusqu'à la paroi et entre et file et vole et fond, fond sur sa proie : La mort des Hommes Au-delà, Hommes-Femmes de Roi/REine Céleste, Charge Et masse de Choix, POrte Haute ça y va, on monte, on monte Hautes, on est Fées des prés Hautes, Fée Hautes des Pré Hauts des Données De roche hors mots ? Ou pas hors mots mùais Hai-utes ! hzutes de chez hautes ! fées gHautes "du Tonneau" , du vin nouveau, de La roche aux mots. On creuse les niveaux. on onte. On monte Hautes. on est montés Hautes. On veut grave aller Haut en ces données des Peaux etv autres reliquats des Roches : Animaux-Mots de Basse-Crotte, POrte Docte, Pertes au niveau des caniveaux, Chochottes, Mort des hommpes-ho nte et autres hommes sans motte. porcs. Nés à la mort. On monte. On monte Hautes ... nous ! On ose . On veut en vrai, essayer ensemvbke de nous propulser : en branle. qui sait cerner ? qui en vrai connaîtb les données ou les différentes données telles qu'on voudrait les approchjer, ici, au plus près, pour les mieux
cerner-comprendre "ensembkle" , qui sait ? qui connaît ? qui ne trembke pas àl'idée de creuser ? qui veut y aller et passer, et se retrouver hors muret, en dehors du pré, hors mots des Rochers, qui sait ? pour .... eh bé oui toucher de chez toucher........ à ce N2N2 né ! à cette espèce dee Néné à Lait ........ trait ............. trait de fée olé olé pas vrai ! pas olé olé , juste envolée ! volante ! aimante ! tendre ! cherchant pitaénce, mots du VRai, tracés frais, connaissances sur Paroi Des Morts. Haute. Haute F2ée. Haute ROche. Haute Montée vers ... autre chose, en termes de Données Hautes. Le Passé des traits . Fée des fées. traits sur Roche Haute = trait nacré, trait né sur Passéb ? On chercherait de fa&it à ensemble nous jeter .... à ses pieds , si tant est ? On ne sait ! on monte hautes. On regarde loin. On voit ou on verrait .... des Choses ! choses de Roche ! traits ? traits et bosses ? On va ! o n creuse à tout va ! on veut toucher touchertoucher toucher toucxher toucher toucher toucher toucher, à cette sorte de Paroi Frontale des Données finales ou aux données finales ne confondons pas. Un nRoi est un Roi. Roi de S rdanapa&le ou de l'au-delà un Roi est un roi. Et le Roi menace ! ou : tout Roi menace ! là = là-bas, sur ... "Tremble" .... ça envoie ! ça gronde sa menace... pas lambda, ça envoie du bois en termes de "menace de choix", c'est grave ! c'est ma foi on dira grave de chez grave, en termes de menace bgrave. On veut (on voudrait) cette menace la comprendre. Qu'est-ce qye c'est que ça ? ce trait-là, cette sorte d'enfilade de Parois en veux-rtu en voilà ! qau'est-ce que c'est que ça ;... on ne sait pas ! on entre ! on entre en cet a xntre et là, on mate, mùate que tu materas, ce "Trezmble", cette voix ... voix hésitante ? ce s mots de 🕵🏼♂️ choix ? Romance ! Transe ! danse ! parade de bande ! cha cha cha à ptout va !
Connaissancesc .
Don de soi.
On entre ensemble ...........................KK..K...................................................... on danse .........K.K.............................................................. on veut toucxher ensemble à ce tracé donné qui, en vréi, ressemblerait à s'y méprendre à une sorte de tracé "de France" , ou "en français de Rage" si tant est, F"français" en vrai peut-être maussade mais qu'est-ce qu'on nen sait ? on passe ! on veut toucher de chez toucher ! on ne fait que passer ! la chance des fées ! entrée sur pré puis sortie sur pieds ! amitiés ! On veut toucher en transe le Palais des TRe"mbles. Traîner un tantinet pmais pas ,; de préférence, sans .... aimer toucher ! creuser, cerner, dire et porter, coller, se donner à ce Néné post pré rempli de laéit qui en vrai pourrait grave nous appoeerter de quoi comprendre de chez comprendre un grzand nombre de données telles qu'on espérait un jour pouvoir ensemble les cerner ici sans traéîner ni se laisser pour aiçnsi dire déborder ou engloutir parce que trop ou pas assez ancrées ou incrustées en cette sorte de "Contré des Rives" de type ... Vide ? on ne saiyt ! on veut :
toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher )-à ce n2né du Vide ? Du vide alloué à du lait, c'est ? c'est-àdire qui est ... comme une sorte de poche à remplir ou comment de lait ? poche à lait ? pas vrai ! le lait "resp^pire" ! vit sa vie au tracé, vie sa vie de lait comme acheminé ! on vibre ! on veut téyter ! téter ! téter sans nous arrêter jamais car, on aime (grave) téter ! téter du lait de trait ! fée des fées qzui aiùmopns téter de ce lait du "vide" , lait de trait , Lait Ancré, La&it du Passé tel quedécelé il s emblerait. On veut /:
toucher toucher toucher
dire dire dire
faire faire faire
^$eetre être êtte
combler combler combler
cerner cerner cerner
allouer allouer allouer
chercher cherc her chercherv
sentirr sentir sentir
sonder sonder sonder
perdre perdre perdre
porter pôrter porter
coller coller coller
coller hgrave, à ces Nénés de l'Outremonde s'il en est = ..................... le Passé ? le Passé post-pré ? on ne sait ce passé en v rai ce que c'est mais on monte ! on monte hautes en termes de données ici abordées, on monte sur pieds, on monte envolées, on monte hautes sur (ou vers) Passé Passé. On ne veut pas traîner jaùmais. ce qu'on veut c'est tracer := filer = foncer = se porter au plus rapide et au plus près du Néné avide ... ou comment dire ? qui donc ici estb avide ? On veut toucher de chez toucher le Vide (?) du Néné , le Vide Ivre ? Vide ainsi rempli de Vivres ? On mùonte ! on creuse ! on aime ! on cherche ! qui on est ? on est une fée, on est ailée, au début on était pas fée, on était femme ou homme ou bêtes ou autre, et puis voilà, à la pour ainsi dire travézrsée, d'une sorte de paroi de roche , paroi dont le nom, en vrai, est "MORT", on s'est retrouvé , ainsi, toute chose, car, transformée, de la sorte, en Fée, : fée Ailée, du fait que voilà, on s'est retrouvées dédoublées, ou comme dédoublées, en deux F ou Femmes , formant Fée de Rage, F2e des Prés, on est donc ailées ! Fée ailée, F2e des Prés ailée, on monte. on peut voler puisqu'on est éilée, qu'on est accoûtrée d'une sorte sur nous de
paires d'ailes aii,nsi dessinées ou comme dessinées ! traits en herbe.vin de messe. Porte Haéute : on monte ! volons ! on creuse. Allons. Fonçons et regardeons , à pouvoir ensdemble si possible nous peut-^tre propulser , en ce vide des nénés nés. mais, qel vide ????????????? car, où vois-tu du vide ????????.???????????? de ..... l'avide ? bouche a vide ? bouche vide avide ? On monte ! on veut toucher à ce qui est qui pour le coup, envers nous, nous chose, bnous comment, nous montre x et x choses, liées aux tourments, aux épreuves de roche, aux douleurs de la mort, a&ux passages rosses. On monte. Qii on est ? on sezrait envrai xde petrits êtres alloués à une soerte de contrée qui serait : un Eden, sorte d'Eden ici comme rempli de Bêtes de treait. On regarderé&it ce qui est qui se présenterait à nos côtés. On cherche à copiner, à se faire bien, à symparthiser, à faire en sorte que , Le Trait, Le trait Donné, soye en vérité ... le mieux, question Trait des Traits , des Données Suprêmes et autres Traits aux Fées en Herbe verte. on est née sur pré, nous voilà rebelle ! voulant contrer , faire ainsi que Be'lle soye repoussée, Belle Des Traits Tracés de Type Mortuéires. Merde. Pousser de chez pousszsr ou repousser celle , qui, ici, vrai, sait, saurait, nous ..... qui sait ? manger de chyez manger = bouffer lle nez ! merde ! pas le nez ! pas le nez ni le néné ! on est pas à bouffer , ni à teéter ! on veut (nous !!!!!!) téter et pas le contraiore ! serait-o,n piégée ? serait-on ainsi comme renversée , soutirée, portée à êttre inverse ? tracassée ! renversée de chez renversée comme ... une omelette ! ah ahn ça se pouurait ! ça le feraot ! on capitulerait ? on serait (ainsi) comme soudés , soudés à la terre, enterés ? homme l'enterré, la femme Supr^me, l'Elfe-Fée enfin libérée de l'ëtre des Prés ! merde ! lze tracé des Fées est Tracé ici des herbes Donnés, pour en vrai (peut-^tre) pouvoir se purger et p)artir (repartir) de plus belle en ces contrées de bord de Veine ! trait ! trait acté ! on aime ... on aime aimer les traits, les données du Verbe , Données vertes. on aime. on veut aimer toucher à ce Néné en herbe et pas le contrzaire (se faire toucher de chez toucxher les nénés du Verbve .... si tant est !). On est :
VERBE-HERBE-TRAIT d'HERbe
Fée des fées squr pré
Verbe-Treait sur pré des fées
Verbe-ëtre des données en herbe
Traits des traits comme gravé ou dessinés à main levaée pâr , qui sait , Une fée en herbe
verbe de treait, somme haute, vent de roche
PET
PET
PET
PET
Pet de roche, PEt de nonne haute , près de porte. haute porte et autres entrées ou passages de Ronde. haute Porte Acidulée. Verbe au taquet. Crête. On est née Fée à la traversée on opoursuit en rêve, ou comme qui dirait en rêve, notre sorte d'aventure "pleine", ce trajet, ce tracé des fées, cette sorte de sentier aux données en herbe, genre : vérités du genre, sentiments frnçais dits "de cfontrebande", portes (peut-être) d'entrées vers des données immenses et autres vérités cachées, hautes données le pré passé, sur x sujets de sa Majesté, la Roche, Roche Haute , de la MOrt De pOrte. Mort Haute. Haute Porte des Données Moroses. hautes de chyez hautes on mùonte ! On vole ! On monte ! On veut :
toucxherr, toucher, toucher, toucher, toucher, toucxher, toucher, toucher, toucher, toucher, toucher, toucxher, toucher, toucher, toucher, toucher, toucher, toucher, toucher, toucher, toucher, toucher , toucher à ce Néné pôst ^pré du coup comme remmpli de lait avant d'en être (par nous ) vidé , est-ce cette chose ? chose haute ? on a envie, en vréi, de cerner,le plusvqu'on peut, toutes ces choses qui en vrai nous importent fort, car nottre envie est de touhjours nous approcher le plus possible de la vérité en ses moindres effets ou contrées ou zones. On est allouée ici (ailée !) à un trajet à parcourir si possible vite, vers, eh bien, cette sqorte de porte haute, tout en haut des roches, trait tracé par on ne sait qui l'auréit gravé, ou disons dessiné. On cherche. Sûr que nous on veut .... eh bé tout ! tout de chez tout ! = les données du Tout, c''st tout ! c'est immense ok, mais on est Fée du pré , et du coup, on se doit de rechercher et sans traîner toute la V2rité sur Tout et sur ce tout tout ce qu'on ne sa&it de fait plus volo ntiers ! à genousx . Les mains jointes. les yeux baissés. prier. creuser. dure r. ¨$Porter de chez porter. Comprendre e qui est, qui ... nous ressemble ou nous ressemblerait par de nombreux pour ainsi dire "traits de connivence", qui sait ? On est née franches, traits sur traits, allouée à une branche, branche des fées, et on avance, traquet-traquet, sans traéîner, vers un tracé de Rage déssiné, gravé, porté, qui soit cfomme un tracé de Branche, trait pour trait. On entre ! on passe ! on veut toucher. on veut aimer. On veut aller. on veut cerner . on ne veut pas rtester en carafe sur les bas-côtés mais oui ........................................................................ cerner de chez cerner lesdits Nénés ...... de France ? du Français en tant que langue ? on est fée du pré, on creuse le trait, on trace dense, on veut AIMER DE CHRZ AIMER, LA RAGE D'Y ALLER ICI (ANTRE POST-PRÉ) SANS TRAÎNER NI CHERCHER À SE DÉBINER ! CAR ON EST NÉE FÉE AU PASSAGE, LA MORT ALOUÉE, UNE FOIS ALLOUÉE, ET LÀ, UNE FOIS NÉE, ON MATE, ON VEUT CERNER, COMPRENDRE , POERTER, ALLER VERS CE NÉNÉ DIT DE CONTREBANDE, CAR .... SACRÉ ? SACRÉ NÉNÉ ? QUI NOUS "REG ARDERAIT" COMME DE BIAIS AFIN DE GRAVE NOUS INCITER ET SANS LAMBINER À LE TÉTER, À TÉTER DE SON LAIT POST-PRÉ SI TANT EST, LAIT DU L IT, LAIT DU LAIT NACRÉ, LAIT DES LAITS TRAQUÉS, LAIT DES LAITS ADORÉS, LAIT D'EKLFE ? L IT D'HERBE ? LAIT DOCTE ? LAIT DE PORTE ? On cherche réponse. on aime chercher. on aime déceler-creuser, déce"ler-desceller. faire ainsi que des vérités, soient comme enfin montrées ou révélées "à la fa&ce du monde " . trait sur traits. Fée du pré. xhants de ROche Haute. POrte haute dxes données de Roche toute ornementée de Betes de poids et autres bêtes de Java. rage-ma te, mate-rage. Mate-rang. rang de mate. Porte-rang de Rage-mate. Traits des traits sur paroi ornée par (ici) des sortes d'ovidés de Classe Royale ! fée des fées. Tracés sur tracés. reconnaissance (à l'arraché) de traits , de semblance familiale ... on le dirait. on entre ensemble et nous voilà comme accolées (surmontées ,) pour former ... la Fé ! la Fée du pré, celle qu"'on voit ici voler vers sa destinée, de type "muret ", "muret des murets". fée des prés sur pieds sachant voler. fée de Roche haute se portant h&ute. Trait sur traits d'époque haute, de type "ornée". On peut toucher à ce Néné de porte s'il vous plaît = téter ? ou pas du tout toucher jamais , car ... morte ? oh, on monte ! on monte haut tous les niveaux. On veut :
toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher tpucher toucher toucher toucher toucher à différents niveaux de roche, tracer haut , creuser haut, percer, toucher de chez touchezr les différents niveaux de Roche aux Animauc ou aux mots-animaux. On aime l'animo, le trot de l'animo, le tracé haut de l'animo de ^poche-roche = le mot ! mot de trop ! porte haute ... à mots de Roche ! mots de peau et autres mots post-anicroche, au tombeau. on monte ! On veut :
dire dire dire
comprendre comprendre
cerner cerner cerner
toucherg toucxher toucher
étendre étendre étendre, ici, x données de roche sur un pré, les soupeser, les regadredr , les étudier, essayer de cerner, en elle, ce qui est, en termes de données de porte, ce qii est en vrai, cequi se montre en termes de "do nnées accortes", et, du coup .... tracer !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! nà main levée, des sortes de "réponses" à une sorte de-'injonctionn qui , pour le coup, nous serait faite ....à genoux ? mais alors, par qui ? qui ici est qui nous demande de .... passer le bout du nez comme qui dirait , qui ? qui vient ? qui veut ? qui nous implore ? qui pleure à sa porte ? quand nous, fée du pré, on ne veut que .... téter Néné, des V2rités de Roche post-pré ! du moins il semblerait ! téter ! téter ce trait ! teter le Néné ! le teter de près nu ! sein nu et nous nue ! fée nue sur néné nu ! et le téter de chez téter sans s'arrêter si tant est ! car, on est la Fée du paysage, aimant téter le Lait tracé, le lait du français, la langue-lait de type Chance ! trait de chance iciaccordée à une sorte de balade pour le coup chantée par une Fée en promenade post-muret, loin des bêtes de pré et autres fleurs-fleurettes, dessinées, gravées, comme déplissées. On aime té ter ! On veut :
toucher touche r toucher toucher toucher , ce néné du verbe-lait ! chair beige ! trait acidulé comme le lzait du siège , le Passé ! pré passé ! pré des prés enfin dépassé, direction le Passé dit "surnuméraire" des temps allouées à une sorte de donnée du Verbe = le Lait ! lait des laits ! lait ainsi tétée par une fée passée pour ainsi dire de l'autre côté ou qui serait passée de l'autre côté, souveraine, première, cernée, aimée, adulée, chouchoutée, prise ainsi comme une aile alanguie de type "remède". On aiùme ! On veut aimer = toucher = dire= sonder, et nous porter de fait à ses côtés, au côté du Verbe .... du VErbe-Néné , est-ce en v rai ce qu'on rechercherait en tant que Fée du pré Souveraine car étant passée de l'Autre Côté sans se casser le bout du nez, le cul ... ou (oui) le bvout du nez .
On trace sur pré ... trait de Chance, Parade Allouée, Betes cde Charge sans Passé ou si , chargée (et comment !) d'un passé de Farce ? france ?
farce, France, qui sait ? mais plus que chargée on dirait ! et du coup ....pesante ! grave pesante ! portée mais chargée ! soulevée soupesée mais lourde de données de Rage = le Passé, le Passé cxloturé, la panse ! la pensée ! le nez de Rgae et les boyaux de panse emberlificotés ! charge mentale ! empotée en sa cxharge ! traits sur traits et autres tracés (de contrebande) du Passé ! Le passé contre le passé ? la Rage des fées ? on entre .................................................................................................................................... on veut entrer ................................................ toucher tpoucher topucher toucher tpicher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher tucher toucher toucher toucher toucher touchert-t de chez toucher à ce néné post -pré = nez ? ion ne sait ! o,n entre ! on veut comprendree ensemble un certain nombre de données de Chambre :
- qui on est ?
- à qui on eresemble ?
- sommes-nous réellement dans la mort Fée ?
-pouvo,s-nous comprendre, la Romance, sur Paroi ornée ?
- Sommes nous grosse de données des Trembles -
- avons-nous de quoi en vrai nous présenter en tant que memnbre desz Données de Rage ? - sommes-nous allouée à une sorte de Contrée Immmense elle-même liée à une sorte de Contrée des Chances et autres V érités liée à la Chance ?
Avons-nous ennous de quoi cerner pour ainsi dire les donnéesz de branche, le Passé alloué à un post-pré, la Chance de Cerner ensemble les Données de Rage et autres données franches", le Tracé , tracé des TRacés ainsi donné come par contrebande à une Somité ainsi rencontrée (sur ce sentier menant à ... l'antre ? à l'antre entre ? antre des fées et autres créatures tendres ?). On est née sur pré Fée, cherchant Vérité (de préférence ?) en cette sorte de (qui sait ?) ... nouveau pré ? qui serait du coup alloué, à une zone post-Passé René. Chais. Vin d'herbe. Portée avinée. Alcohol des passages doctes : on monte. montons. portons haut le Vin npouveau. faisons ainsi que tout soit nouveau le temps des trav&ux ! creusons ! traçons ! louons au plus haut du p^lus haut des niveaux ... et cherchons taïaut le h aut des Hauts ! taï aut de chez taïaut, creusons, filons, traçons, montons , montons aut de chz haut ce ponton des mots ou desmots-animaus dits "de trop". car, les mots (de f ait) sont toujours "de trop" , qui ne savent pas, en vrai, cerner le vrai, mais aident à p assrr, de fait, le bout dunez, en ces contrées des données tracées, genre "mortifiées" mais est-ce vrai ? est-ce ça le mot des données, ce mot de "mortifiées" ou même ... "mortifères" ? on cherche ! qui donc le sait ici dans l'assemblée ? pas bézzef il semblerait ! on est fée du pré la mort acté, et après, soit a^rès le p)reé, on est ... eh bé" bébé ! the bébé ! le bébé né ! ou comme re-né, à une vie nouvelle ! vin de serre ! chants laétins ! plaine ! romarin ! traits d'elfes sur la fin ! on aime !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! oh on aime !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on aime en latin ? .................... bas-latin de messe ? .................................... bvas-latin de presse 😞 ? .........../////...../........................... tresse ? ..........?..................................... hum .......................... on cherche ................................................................. on creuse le TEmps .......................................... vent docte ............... hyaute pporte ? ........................................................... haute porte morte ? ...................................................mort ? .......................... la mort ? ..........................................matinale ............................ on entree. On aime. On monte. On compte. on voit. On voit ce qu'ion voit, et ce qu'on voit c'est ça : la Chance ! le pâssageen trznse ! voix de l'au-delà, franges , nouba. On veut eense'mble (ailes allouées) comprendre ce qui est , sans amais cesser, aller, cerner, gravir laé pente, et,
nous porter au plus près de ce Néné de Contrebande, ainsi "déplié" , "déplié" ou montré, ou découvert ainsi cerné, cerné de chez cerné, lait ! Lait des laits sucrés-nacrés, tout acidulés.
Lait de trait ou trait de lait 🧃
porté ! apporté ! né ! lait né ! né lait ! ohé on sait ! on monte ! on creuse ! on veut ! on ose! on est des fées de Rage nées sur Roche au pré ! fées des fées surnuméraires agraires , parmi les bêtes , les tracés, les dessins de gré, l'herbe verte et autres flores des données de roche . porte haute. haute porte . Colle .........................................................................../....................................................... colle haute ............... pôrtée de fée sur portée de fée ....................... musioque allouée à une destinée "genrée" ou "pseudo-genrée" .............................. les données dsu pré ............. haute destinée ainsi a-genrée ou bien, au contraire, genrée , mais de type "imberbe" , fée des prés ainsi non -binaire , le tracé, la main au collet, peerte sèche de données et deès lors l'envolée, l'envol haut, direction ... le Passé, le Passé de POrte ! ostrogoh, homme-heaume, femmehaute, homme-femme au tonneau, AMBRE ! AMBRE sans MOTS ! le tonneau des mots ! roche aux mots des do nnées accortes , le poteau . On mùonte. On est hautes et hauts c'est-àdire hautes, car dans hautes il y a haut, mais dans hauts il n'y a pas hautes ! le niveau des roches ! le tonneau des mots est un tonneau "de poche" , vin nouveau ! sonde ! chose à mots sur mots de trop ! on monte ! On veut grave toucher de ce tonneau, et boire ! téter ! née fée pour, pour ainsi dire, un jour téter, ou re-téter comme qui dirait, ce la&it du tonneau, petit lait frais ... ou chaud, selon le niveau , la hauteur du pot. On mùonte ! haute porte. haute Mort. Mort HAUte. Haute mort de POerte. Haute mort des Portes HAutes. haut mot ! Haut mot de la mort haute. M%ort haute des mots hauts. hauts des hauts des mots de Mort. Mort des Mots hauts , = la Mort.
= mort des mots
=mort des mots hauts
= mort des hauts mots de trop
=mort, motrt d'homme; mort du mot hommeOn monte. O,nn est née Fée sur pré aux ombres, un tracé nacré, une ombre portée, ici dans un pré, sur l'herbe aviné : trait ! très avinée. Le pré est pré , des dites "données vraies" , qui sait. On monte.
On est ensemble ici qui cherchons un endroit par où on pourrait peut-être passer sans se faire refouler. Quand on passe on voit, qu'on est (au final) regardées maisb on s'en fiche grave, on s'en fout pas lmal, car pour nous, l(important ioci, c'est de pouvoir passer sans plus se faire remarsquer , et du coup e n avancer et nous porter le plus loin possible des possibles. On aime aller ensemble dans un pré chercher des données , et , si tant est , en trpuver, en ramassr, en cueillir, ou en recueillir./ On aime grave nous promener en ces contrées et si possible ramasssrr le plus possible de ces données qu"'on dit "avinées" mais en fvvrai, on ne s ait pas si c''st vrai ou si, au contraire, c'est des conneries. On cherche ensemble à aller loin en quelque sorte dans la contrebande. On est accolées (on est les ailes d('une fée des prés) et c'estv , accolées insi, qu'on cjerche ensemble à traverser le champ pour le coup octroyé à une "sorte de Fée" telle qu'on l'est, une fois la paroi de Roche (la prezmière fois) traversée au moment du DC. ON aime aller bensemble ainsi nous promener sur pré et chercher à nous acheminer pour ainsi dire jusqi'aux nénés, soit au-delà du près, zu-delà de la mort "empaysagée", de la mort illuminée ou cxxomme illuminée . On a envie en vrai, de chercher à comprendre ce pré, cettte sorte de jardin des fées, et pourquoi ce jardin, en vrai, est une étape ou sorte d'ét pe)-allouée. Qu'estce que c'est que cette étapr, que ce pré d'étape, ou d'étape allouée ? qu'eswt-ce qu'il en est en v rai ? qu'est-ce qu'on peut en penser ? qu'ewst-ce que c'est que cette cbhose d'une étape ainsi allouée à une sorte de pré aux fées ? et d'abord : sommes-nous dans la mort fée ? devenons-nous en vrai dans la mort fée ? sommes-nous dans la mort des fées ? une fée ? nous transformons-nous , d ns la mort, en, 1, femmes "dédoublées", femmes données pour , 2, devenir fée, une fée, une fée ailée ... à tout jamais, ou : le temps d'aller pour ainsi dire sur ce pré, jusq'au muret dit "des données (ici) dernières" ? un trajet de fée agraire, de fée faite pour tracer = silloner la terre ou terre des fées = un pré ! On aime aller . On regza rde' les bêtesq, les "morceaux de verbe" , ce treacé, bêtes de trait treacées-dessinées comme à main levée par (de fait) des êtres du passé tel qu'oublié à tout jamais : le Verbe ? l'Herbe ? train de roche agrair e ? On cherche ... on cherche à toucher (en tant qye fée) à ce Verbe d'herbe, qu'est-ce que c'est ? ....................... du lait ? petit lait ? lait petit des peines ? On cherche ! On creuse ! on monte ! on ose !
Le Passé de porte. pamoison, et hop, on tombe ....................../................ on tombe dans la tombe de la raison ..................................... ombfre ............................. on sombre .............................. sombrons ! .................................... tombons "haute" ......................... haut des hauts hors nivrezaux ........................................................... honte ? .................................................. haut .............................. eau .................................................... le niveau de l('eau ............ de roche haute ................ de grotte de Niaux .................. grioote haute ........................................ une porte ................................... la mort ........... haute ............ mort haute .................................... haute Mort hors niveau ...........................................mogrt des Morts des Hauts NIveaux ............................................ cohorte d'animaux à pêaux ! chose haute = mort haute et autres fins de mots ................................................................................................................................... colle ............................ça colle à la peau ............... chalumeau............. chaleur haute ........................ fuseau ................ mots de trop : hop ! ......................................................
...................... ................/................ seau d'eau .................. corps ........... d'animaux -mots et autrzx bêtes-mots de roche haute ......... sein de pré ? selle donnée ? crins ? crinières ? ..................................././..................... on aime : le pré , l'herbe, les données prairieles et autres herbes printanières d'un treacé de fée .................................. fée haute ................................... fée du pré se place haute pour mater de chez mater la roche ornée ou ainsoi ornée de bêtes de porte ............................ buffles frais ............................................... ours des fées ............../....................../........ Bises et Bisonnées de près .......................................................... rennes et reins tracés ........................ accolées ............... sondés ............. portés .............. gracvés au jeté , au soufflet, au trait tiré, à la marelle ............................ jeu d'herbe ./.......................................................... pré aux fées aimant tracer et gagner muret, muret dit "des find de pré " et autres fins des fins de l'herbe " ............... fée ainsi allouée à une sqorte de parcours -santé vers une sqorte de muret pouvant laissr passer (qui sait ?) un certain nombre de "fée Des Fées" ainsi nominées ............. Fée D'HErbe .................... allez ! à toi de jouer ! ..................................... passe porte ! .......... sait-on jamais ce qu'il en serait , si jamais en vrai tu cherchaias à passer (de gré ?) la Roche , et à regarder , dedans, la porte passée, le dedans ! ce qui est ! ce qui y bouge en vrai ..... )ar exemple : ............ des nénés ? .............. oh en vrai ? .................... des nénés "de roche" ?................. roche aute ? /................ drôle de chjose ............... est-ce (vraiment) des nénés ? ....../........................ est-ce (en vrai) de ces nénés, dont on dit qu'ils sont pleins de lait, de laitb à téter , lait de vie ? .........../........ mais, les nénés de qui ? d'une divinoité ? déité lactée ? en vrai ? le Vit ? la Vie ? la denrée ? la vile denrée ? ou (au contraire) l'amie ? Vie d'herbe ? vie du verbe auto-engendré à travers le lait ? verbe ainsi décuplé ? reporté ? re-apporté ? re-accumulé en des Nénés post-pré, post jardinnet ? On veut toucher toucher toucher à des nénés post-pré dont on pouurait en retirer un certain nombre de données, concernant la vie. Est-ce que la vie finit ? est-ce qu'en vrai on peut dire icfi que la vie un jour se finit ou alors non, continuation, continuation sous forrme autre, transformation, centrifugation et transformation en horde de bêtes hautes ? on monte ! on grimpe haut tous les ni v eaux . On est haut et aute, haut animaux et hautes Bêtes aux mots , hautes et hauts . Mots hauts. Hauts mots, d'un ..... passé nouveau, du genre : groote, aux mots de trot.
24/1/2025
on veut toucher à ces nénés qui sont Nénésb pour ainsi dire des Données Frontales . On veut grave "y aller" , chercher, cer ner, comprendre ensemble ce qyi est qui devant nous qui sommes fée , se présente ou se présentzerait, ... pour nous adopterb , qui sait ? chercher = dire = faire = toucher, et nous , en tant qure fée, ce qu'on aime ici eh bé oui, c"'est cette chose pas concventionnelle , de toucher
cette herbe-verbe,
ce tracé vers les nénées et , au final, ces drôles de Nénés de Rage, dits "Nénés de Rage" , soit ces Nénés qui, ici -:même, fin de Roche, nous "arttendent" ou nous "attendraient" on dirait ! Lait post-pré = lait de Rage ou Lzit De ... Mage ! on est néesb ! nées Fée à jamaos en ce SAS ! On veut toucher de chez toucher à ces données post -pré, qyui donc seraient données des traces et autresvtracés à do nnées.; ON colle ! on veut coller . On aime aller de préférence ensemble (ailes soudées) et là, en ce tte szorte de muraille-centre, traverser de chez traverser , ne pas reculer, foncer et aller, filer, regarder, ne rien louper, chercher à pour le coup se rapprocher de ce qui se présente devant soi en termes de Romance , ici, de l'au-delà /
Une sorte de donnée de Rage
un Passé i,ntense
Bébé né
Bébépost-pré ça se pourrait ! On veut, ensemble ailé, toucher, toucher La Base du Néné, un tracé, TRAIT, trait des traits ... mais en vrai qu'est-ce que c'est que ce trait ? On essaie de s'en rapprocher afin de le juger, de le regarder, de l'observer sous toutes ses coutures, de toucher ce qu'il est ... qu'est-ce en vrai que ce trait post-pré ? qu'est-ce que ça devant soi est ? Trait des données dures ? chants de RAge avec monture ? cri de joie dans la toundra ? encolure ? blessure ? pointure ? On est ailé en vrai pour pouvoir essayer au taquet de trouver ce que c'est sans avoir à se casser le bout du nez mais au contraire trouver au plus pressé ce qui est dans ce qqu'on voit de cette Rage de Paroi Finale . Ce que c'est c'est ça : cette Rage .... on dirait ça ! On voit ça : la Rage post paroi. Le temps d'en Face, ce Passé des Mages ! Droit ! Ce passé de poids ! masse -mage , va comprendre ! On nentre ! on veut en vrai enteer et ne jamais plus se retourner mais vite tracer, ensemble (on est Ailes de fée), ce tracé frontal, menant direct )à cette sorte de "contrèe première" , première ou dernière (?) on ne sait mais en vrai voilà ce qu'on faitv : on trace ! de rage, comme le Passé ! on trace ici de Rage comme le PAssé, une sorte de tracé "outré", qui serait un tracé menant de base à ce ... fourré ? à ce .... bosquet ? à ce ... tracé des données vraies de type "fourragère en herbev" ... VErbe ? on cherche ! On na parfois le xsentiment d'y arriver, c'est-à-dire
à trouver, à cerner ce qui est, à se rapprocher d'une sorte de vérité, mais pas su^r tant que ça en vérité, car voilà, le langage parlé est langage de Fée ! fée d'herbe ! on sait cela et cependant ... on continue ensemble (ailes) à dire et faire, à pousssrr, à, pour ainsi dire, concommittament ttracer une sorte de sentier dans l'herbe jusqu'au muret , jusqu'au bout du bout des données prairiales . tracer = dire . Dire = tracer. percer = donner / Donner = conduire, jusqu'au muret, ces beêtes de trait qui en vrai grave (en quelque sorte) nous ressemblent . Elles sont "musquées", elles sont "grosses et fortes" . ON les aimme grave . On avance . On veut toucher à leur pelisse lisse ! On aime ces bêtes de trait . Ces Tracés animaliers. cette chose Rosse des prés ! Onn adore, on veut les ammener avec nous (fées) jyusqu'au muret dit "des finalités" et peut être du coup leutr montrer ce qui est qui là
semblerait avoir à nous attendre, à patienter après nptre arrivée . Mais elles, les bêtes de trait, jamais ne veulent traverser . Elles veulent juste rester, de ce côté-ci du pré, à brouter de l'herbe et ruminer et ... basta cosi, pour elles, pas bêtes, pas envie de se fourvoyer ou de se risquer à voir de l'autre côté ce qui se tramerait ! elles préfèrent l'herbe que le Verbe , ou un éventuel Verbe de trait , pas folles en vér(ité , elles aiment l'herbe fourragère, l'herbe des p^rés
et pas forcément ... le Passé post-pré ! tu cernes ? tu comprends le Tout, l'herbe et le VErbe, l'herbe mangetout, le Verbe "superbe", l'ombre des Loups ? On cherche ! On est née Fée sur herbe, à présent, fissa ! traço ns grave sur Toundra notre sorte de chemin de Charge, et creusons ! cherchons grave ensemble à ainsi trouver ce qui il se pouurait serait à comme nous attendtere toutes deux (main dans la main ?) au débotté, au tournant du pré, à la salade, au tracé-né pour promenade endiablée et autres sentiers de balade allouée à un endroit post-pré ! va comprendre ! v a donc essayer en vrai et pour de bon à y comp^rendre quelque cxhose à , eh bé oui, justement, cette sqorte de salade ... au firmament ! qu'est)-ce que c'est que cette chose Haute ? une Parade Musicale ? cordes ? cuivres ? des cymbales ... de Passage ? une sorte de musique "sarde" ? On est La Fée dite "du passage" ("du passage outré" ) d'un pAssé de foire (animalier) à un passé de Rage (contrôlé ?). On est Passées ensemble (deux femmes, ici, et de fait, accolées) pour gformer au final (sur pré) la Fée , dite "des contrebandes adoptées",
et là, en ce pré, on trace c'rst un fait, on vole à fond de cale, on appuie grave sur la pédale ! et hop, du Trognon ! on monte ! on monte haut sur ce tonneau, on veut toucher de chez toucher à ce qiui là se trame, en termes de Passé de CXHarge ! qu'st-ce que c'est que ce passé ? en quoi ça pourrait en vrai nous intéresser , sommes-nous assez coriaces pour en vrai comprendre ce Passé aux Données FRanches ? car, le Passé de Rage est Passé de TReaces ! traces de pieds , qui sait , post-muret! de petits pieds et autres traits d"'enfance ! On nveut comprenndre ensemble (fée) ces pieds, ce tracé aux traits, cette sorte de Passé d'enfance post-muret on croit rêver! Qui on est ? on est ... eh bé ....
des fées ! fées sur pré ! puis fée comme accolées à un muret "des Finalités" ! fond de cale, oui, car, on a tracé, on a voleté sans nous arrêter et on s'est retrouvées ensemble comme collées à une sqorte de Muraille, Façadee-Muraille, Mur d'enceinte sarde,
à une sorte de Cloison Frontale : .... le Passé ! oups ! qui sait ? Qui sait ce qui est, de fait, cde cette sorte de ... pAssé des traits ! traits d'enfance sa rde ? unj tracé, sur Paroi de RAge ? passé "bousculé " ? charge moentale ? monacale ? Passé-né ? On est Fée de pré, Fée d'herbe, on est La Fée de L'herbe attribuée à une bête sur paroi ornée, et à présent, on guette , on mate sévère à travers la flèche. On veut toucher parce que voilà on aime ça, ça nous va. On veut en vrai toucher de chez toucher à cette sorte de paroi post-herbe , qui serait ... paroi des Rois et Reines ? une sqorte de Cimetière aux données allouées à une Vérité des TErmes. on cherche . On veut trouver et pour trouver il faut nous avancer, passer le nez, un oeil, une aile, mater . Mater de chez mater cette sorte de "fenêtr sur le passé ", qu'estce que ça serait ? qu'est ce qu'en vérité ça pourrait être, de fait ? une sorte de ... Musette ? Chants dressés ? sorte de musiquette dont le nom gravé sezrait "Musette" ou sinon "Musettr" " .... Chants Donnés" ? chants des Tombes et autres tombeaux allouées à une sorte de PAssé en herbe post-kherbe ?On est Fée Faite pour creuser. On veut trouver de chez trouver , et passer ... OPasser de pied ! tracer, cerner, comprendre et contrôler les charges, au passage, si tant est. Ne plus jamais nous retirer de cette sorte de passage "olé olé" pour vainsi dire, et du coup traverser, passr de l'autee côté, côté Tracé, cerner ce tracé et essayer, si possible et sans traîner, de (pour le coup) cerner les traits les plus visibkes, compréhensibles, Cernables, jugeables. On veut dire : le Passage au Centre. Le chanter.
On voudrait passer en vrai vers ce Passé ok, mais ,
tout en passant "olé olé", le chanter, ou chanter "ensemble" son avènement, en ce t Ensemble Animalier de Contreenbande , qui sezrait Acté, qui serait .... une sorte (allouée) de pArade charmante, soit , de l'autre Côté en quelque soerte de ce pré des Prés ? hum ! Pas dit ! les bêtres (pour le coup) se plaisent ici, et jamais ne veulent (elles)- traverser, la Roche finale, s'échapper, passer outre pré, jamais il selmblerait ! Alors voilà pourquoi on se dit ou dirait, ici, que voilà, on est là, on mate, on est à deux doigts de la fente et là, on fait quoi ? on trace ? on entre ? on cherche à ensembkle s'immiscer de rage ? on est ou serait accolées parce qu'on est Ailes et que , étanjt Ailes, on est accolées = soudées à une Charge dite "des fées" de type .... Passé ? on cherche le trait , trait docte, de passage Haut. On veut en vrzai toucher à ce ... tonneau gros, de bout de Paroi Haute. On monte. On veut aller au plus lointain possible ensemble en ces contrées. On ne veut certes pas lambiner jamais, mais tracer, creusern, filer, cerner, toucher, controôloer ce qui se fait, aller de chez aller en ce muret = traverser de chez traverser sans nous retourner, et chercher de chrz chervher . Qui connaît le post-pré ? l'antiennhe ? les chants post-herbe ? On aime. On veut aimer . en vrai nous on aime. Ce qui est qui est , et nous plaîot = l'herbe du pré, les bêtes tracées (gravées au piolet). les Herbes à brouter. L'herbe verte du pré. On aime assez, mais voilà ... on est méga-méga-intriguées ! on veut toucher à ces Nénnés dits "du Passé" comme s'il en pleuvait (en pleuvait du Passé). Et du coup, nous voilà toutes chose , drôles, comme soulevées, toutes tracasszées, bouleversées, remuées, on veut toucher ! toucher au passé ! mais comment ce Passé aux Nénés (vrai ?) arriver de fait à réellement le toucher en ce qu'il est : Lait !, comment en vrai ? comment faire pour cerner-toucher cette chose, d'un Passé "Surnuméraire" ? qu'est-ce que c'sst qu'un Passé dit ... "Surnuméraire" ? Passé "outré " ? Passé des Passés ? Passé denté ? Passé sorti de son Tracé ? qu'est-ce que c'est que ce Passé "de Chambre" ? une sorte (à nouveau ?) d'enclave (antre) de Roche ? Bulle d'eau ? Caniveau ? on cherche fort ! on veut toucher = dire .
cce qu'on veut pour nous le plus, c'est de construire, ensembke, une Cloison de Convenance, Mur du Son, Entrailles à Passion, ey co:mptendre . Qu'est-ce qu'on peut comp^rendre ? qu''st ce qu'ici (post- pré ?) on peut ou on pouurait arriver à comprendre de près ou au plus près ? La Rage ? Rage-trahison ? la france = le français de Pont ? L'enfance ? enfance à moisson ? On entre ensemble, on creuse en façade, on passe le nez, on mate la trace, le Passé, Néné né, l'aubade . On est ... eh bé ... née sur place ! en ce "post-promebnade'-sentier", treacé des fées, trait des TRaits jusqu'au Passé dit "de contrebande" (ou ... on l'a dit : surnumerairement comme alloué à une sorte de treacé de Rage, post-pré, qui sait ?) . On est entrée. On mate l'Ambre. On veut toucher. Touchons l'ambre. On aime toucher alors voilà, on ne s'en prive pas ! On veut cerner -coller-comprendre-saturer de traits, à njotre tour, ce dit pa ssé "des alentours". On dessine des traits. On a la main levée. Transe ! transe au taquet. Pertes de fée. Charge allouées à un Passé de TRaitsz . Pertes séches. trait des traits sur Passé sans Herbe ... mais avecd ... des Mets ? Denrées ? Dons de lait ? on touche aux nénés. On touche ici à ces nénés de trait, trait comme acidulés . On est nées sur pré à la retombée on le sait , et nous voilà quitraversons de Rage ce "fourré d branches", pour du coup "ensemble"" (2 femmes pour 1 fée) nous trouver ou retrouver de l'autre côté, à mater l'Ensemble ... l'Enfance ! ce Passé de contrebande enfin ciblé. Cette farce. Ce passé hors muret ou le muret passé ou traversé. Trait d'enfance sur Passé en France (on le dirait, vu les membres et autres traits donnés en contreba,nde). Traits ! fée ! charge ! cris ! ombres ! qui est là qui veut ici nous comme attribuer le Nom de fée de sa Rage-Verbe , qui ? On aimerait, nous-mêmes, le trouver, ou le dénicher. On aimerait en tant que fée de Cimetière(?) trouver. Trouver à toucher, à toucher-accoler, dire et faire, cerner, ne pas perdre, ni tomber, mais aller et continuer à creuser dans l'herbe (en premier) un sentier, puis, post-herbe, ce TRacé nacré ainsi attribué on dirait, par des mots de bêtes, qui sait ? On chervhe à tracer. On voudrait arriver ensemble à mieux cerner ce qu'il en est de ces nénés dits "ajoutés" à un passé nacré. on voudrait c'est sûr ensemble trouver ce qui pourrait être, qui nous soit "donné" de base pour nous enchanter, nous donner des ailes si jamais . on ne veut pas laissser tomber en quelque sorte nos recherches en herbe mais tout le contrzaire, continuer sans arrêts à chercher ensembgle (ailes de fée) à comprendre, ou cxhercjer à comprendre, ces données post-herbe ou post-muret à quoi ça ressemble . Car, quand même, ces données, cette sorte de treacé nacré, on a comme une vague idée à quoi de base ça pourrait peut-êtte reseembler , et donc nous indiquer (qui sait ?) la voie ou le chemin à suivre pour mieux s'orienter en ce Passé des traits, ou dit "Passé des traits " ... "bêtes de TRait" ? on cherche . On ne lâche pas ou plus l'affaire. On y croit. On veut tracer sur pied le dessin de l'ëttre, peut-êtte. Ou szinon de cet "ëtre des Eyttres" , Le ... Bison ?. tracer Bison = tracer net la Chose des Monts ! outre-parade. On nveut comprendre = on veut ou on voudrait comprendre ensemble, les données de RAge ! tracé-né =
vcérité de passage". On veut toucher parce que voilà, toucher = charger = cerner = traverser = téter à ce néné des contrebandes ajoutées. Creuser = dire = faire = penser = comprendre = exposer du Verbe sur l'Allée des Fées. Cerner = dire = porter = toucher. On veut grave (nous), toucher de chez toucher ... le N2né post-pré = le Passé . LePassé post-pré = le Tracé des Fées = bêtes-de -trait et autres bêtes des moissons. cerner-toucher = dire allouer.... à un muret, Passage d'entrée , vers MORT PERSONNIFIée = Colère ! la colère à jamais , en la mort entière ! contrée -née au pa ssage tracé post cimetière, on est abonnées ! On ntrace grave. On touche l'Ambre. on aime coller. On veut avancer. On entre dajs l'aNtre aux Nénés et là .../ vite, tétetrr !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! téter de chez téter et ne plus se retourner ! l'enfance , le Passé donné, la Chance, Trait des traits post-pré comme "donnés" en contrebande par ... Néné ? un néné ? lait ? lait-Passé ? passé-lait ? du passé sous forme de lait ? ou du lait du passé ? passé trtracé ? On est "alimentées" de lait de France (transe) , on veut téter de chez vtéter, treacer-téter, téter -tracer dee ce lait "français " (du français ?). On veut toucher toucher toucher toucher toucxher toucher à ce Néné "français" tu penses , un trait ! oups, avalé ! ça rentre ! ça entre dans l'antre ! treacé-né sur pré de France , qui sait ? mais la France n'est opas le Français ! Charge-née sur paroi aux fées. O n est entrées, on a regardé, on mate = on a maté, on a touché un tantinet (à l'ambre) et à présent on se concentre ... sur Néné ! ce trait ! ce Passé dit "des traits alloués à une Façade : face de fée ? ". On est entrées ensembke et nous voilà toutes remuées voire sidérées par cette chose en face qui à nous ici se présente toute éberluée ou contrariée ... MOrt MOrt donnée ! mort des Morts données ! données des données! On veut toucher à ses Nénés ... car , la mort (vrai !) a des Nénés qui sont Nénés dits "du Passé / a&lloué à une Vie" ! tè ! La Vie ! tu m'as compris ! rire chargé sous mise en pli!, cape et bonnet. Cri ! On est née La Fée, on veut toucher à ce Néné, des Données Coriaces. Ambre ? Honte ? oMbre ? Homme ? Mer ambrée sur passage d'antre, vers ... densité ?,intensité ? trait chargé ? pets ? pet des pets ? oh, on ne sait ce qui ici en vrai EST. Qu'est-ce que c'est qui icfi EST , de fait : un pet ? pet des traéits ? trait des pets ? pépé ? On guette ! on cherche. Qui on est ? le pet ?. qui on serait, car, onn ne sait en vrai qui on est sur herbe, szur pré, puis le pré passé, qui on est le pré ou la prairie aux bêtes une fois passée, on aimerait grave le savoir en vrai , qui on est , qui on est pas, à quoi on ressemble vu de là, là-bas, l'A,ntre, la Post-paroi Face. On entre dans l'Antre. on veut toucher à ce qui se présente et du coup miuex comprendre les données (vraoment ?) finales.
On est entrées un jour parce qu'on le voulait , et c'sst là qu'en vrai on s'est dit que nous, on avaiy grave envie de creuser, de creuser profond, toutes ces questions de vie et de mort, parce que nous, ce dont on a de fait super envie c'est ça, de cerner au plus ^rofond les choses frontales, les données qui se présentent au fur et à mesure que le temps passe et qaue donc "ensemble" (pour ainsi dire) on en avance, on creuse , on cherche, on touche,on touche à des notions toutes plus "denses" les unes que les autres si tant est. On est Feée -femmes au tr cé, on est entrées et du coup c'esest sûr que nous on a méga-envie d'en avancer le plus possible au sein des connészan ces , et mieux comprendre un Tout, qui est ce Tout ... des données intenses, des données de Rage, des données denses intenses de La mort Donnée de pareille Co ntrée. On a envieb ensemble de peut-êtte plus se projeter que ja&mais, en cet antre aux données données de type : "données denses", " Données Intenses", ou "Données des Données des Données de rage"; Car, voilà, on a pour nous de vouloir ça : coller ! coller aux Nénés, aux Nénés du Paszé ou, disons, de ce Passé de Contrebande ici rajouté, ou comme rajouté , genre Passé Allouéà une Contrée dite "de la Vérité". Un passé = une contrée. ET ce Passé "surnuméraire", est un pASé "en herbe " post-herbe. disons : La Contrée Céleste. Passé-né post-cimetière et autres terrrs araires arables. on cherche ce Passé ici (hors cimetière), la mort ainsi entérinée. On cherche ou on chercherait. on a besoin d'herbes du pré pourven avancer (= le Verbe") et du coup on est à sans cesse ruminer, mâcher, manger ou brouter de ce verbe ancré à jamais qui est Verbe des prés ; pré-Ailes ? ou pré-prés ? ou pré-elfes ? on est nées fées sur pré la Mort intégrée, à présent on essaie ensemble de nous rapproxche"r d'une sorte de Présent-Passé, d'une sorte de Passé-présent, qui pourrait ressembler (qui sait ?) à une sorte de Tourmente de données toutesrassemblées, genre ... tourmentes allouées à une sorte DE donnée de RAge sur-alimentée (?) comme qui dirait. On entre en cet Antre aux données tracées. Le muret est muret de taille. Il faut pouvoir le traverser et sans s'esquinter au passage, c'est pas gagné. On veut passzr ledit muret, sans (si possible) s'esquinter vla face, ni la face ni les ailes , ni rien , car, merde , on veut rester de base Fée pouvant voleter sans entraves ! On aime voler. On veut pouvoir continuer à en vrai nous envoler commê à la pa rade, en ces contrées des promenades pré-passé, puis au delà du pré, en ce Passé des Convenances explosées ou sinon explosées, bousculées, mises à pieds, re tracées;. On est nue ! nue de chez nue ! VERbe nu du Passé connu. On veut aller, sur roche profonde , nue. On veut aller nue sur roche profond e. Nue de chez nue on voudrait tracer ... vers gorge profondee? trait des traits ? Nue de chez nue : tracer ! pousssrr, dire et cerner . On est la Fée du pré qui est passée, et qui (à présent) veut cerner
lkes données des Roches, ce Passé de Poche : outre aux données Rosses si tant est, qui sait ? on est accolées parce que voilà, on est des fées, et les fées ont deux a iles qui sont accolées à une sorte il semblerait de tige filetée qu'on dirait ... du Verbe ? peut-êtecpas, disons ... de l'herbe ou quelque chose comme ça ? herbe ?????? on dirait pas ! plutôt ... du verre, tu crois pas ? verre d'elfe ou autres êtres ici transparents, comme ... eh bé oui, du verre, eau de l'ëtre, voie comme donnée de Rage en na&ge ! On voit ce qu'on voit ! On aime ça : la Rage. On veut c'est vrai ensemble ainsi ailée : comprendre dans le sas, comme découvert, toucher, t§oucher aux Nénés, aux Nénés du passéb ou du passé de contrebande ainsi passé, le passé dit "passé... comme en contreebande" , via ... ce trait ou trait alloué à la ... cxhance ... de pouvoir ainsi (fée) passer ! traverser, faire ainsi comme un saut de carpe ... en ce Passé de Chambre ! on entre ! On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à c e qui se présente ici ou se présenterait (pour ainsi dire) à nos acabits ! drôle de denrée : du lait, comme s'il en pleuvait ou pissait , dingue ! on veut téter ! téter de ce trait ! de ce lait de trait, de traite post-pré comme qui dirait, en vrai, s'il (si elle) voyait ce qui ici est, qui se présente à nos yeux tout éberlués ! onn est nées ! nées ! nées ! nées ! nées ! nées ! sur pré puis, au-delà du pré, re-nées ! comme acidulés , prêtes à rencontrer (qui sait ?) le Dieu des F2es il sembvlerait ou comme qui diraoit. On veut toucher tpucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à cette sorte en soi de DIeu de l'au-delà à soi = (ou égalerait) ... un ... TRAIT ????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????? trait du milieu ????????????????????????????????????????? trait des traits disposé en ce milieu pour ainsi dire des dfonnées frontales ?????????????????????????????????? treait des traits tracés au milieu ??????????????????????????????????????? trait-fente ? trait-d'antre ! entrée d'antre ! trait de F2e sur ventre ? V ? ........ qui le sait ? qui sait ce que ce V est ? une sorte de passage vers ... l'enfance ?
hein ?? Trait des rages du Passage Ancré ? on est la fée et à ce titre on veut cerner ! qui on est, et aussi qui on est pas. Ce qui nous fait tracas c'est ça, cette chose, à déciscerner ici ou déceler là, devant soi. qu'sst )-ce que c'est que cette sorte de paroi "finale" ? qu'est-ce que c'est que cette sorte en soi de P aroi post-pré, au-delà du pré, au-delà de lamort "Des rois et Reionnes de Sa&bba", ce passage étroit, cette fente d'antre, et du coup, cet anttre , cet Antre de Poids, CHarge, Temps, porte des temps, Enfance en France, Tourments de chez tourments. On est La Fée Passée. Oon cherche à entrer en ce trait ou par ce tra&it donnant sur ... le Passé, qzui sait? d'une sorte de vie allouée à une sorte dev donnée intense. parade. Cavalcade. ¨romenade chahiutée ou un peu dér a ngée. On entre ! ça nous plaôt. On croit comprendre ce passé ce que ça pourraot, peutetr , etre, à nos mirettes , ou peut-etre, qui sait ? à qzuoi sur pieds ça pourrait re'ssembler. On veut toucher de chez toucher à ce Passév surnumair". Le cerner = dessiner = tracer =composer = inventer le Verbe aux données en herbe. On veut toucher à ce Néné poszt-cimetière, Néné Né pour être tété par une sorte ici de Fée des données, des données en herbe, genre .... Fée Faite, Fée-Bête, Fée-Bête de trait, ça se pourrait (on cherche). qui on est ? peut-être en effet une bête des prés : sautere"lle ? non .... plutôt bête de trait ge,nre bovidé, bovidé des prés, à pâqueterrttes. On éime ! on adore tous les bovidés et autres bêtes à corne. on aime beaucoup beaucoup les bêtes. on adore les bêtes dites "de paroi", on aime ça. On adore les bêtes de roche et autrs bêtes ornant de leur tracé les parois de roche. qui on est ? néandertalienenes "visitées" , "visitées par les fées", ne cherche plus / O,nest nues de chez nues ! cul nu ! feée d'herbe sur le cul on pue mais qu'est-ce qye ça peut faire ... puisqau'on est ve"nuesz ! on est maigres ou pas maigres mais nues ! qu'est ce que ça peut faire .... eh bé, qu'on soit maigres ou pas maiogres, puisque voilà, on est nues venuesz, ou venues nues "tout près de toi, chevelu" ! post-cimetoère, cul nu, on monte. On est groosesxd'Ombres ! On monte. ON aime être nues velues. Grosses ou pas groosses qu'est-ce qye ça êut faire : on monte ! On veut grave aller , au plus haut des cieux , côté "le mieux" = sur Passé . tracer. faire. Dire. Complaire. Séduire. pOussser. Combler. CHarger. dire. Entrprndre une sorte de Parade. CFomprendre = cerner , les nénés de prés. nénés nés de contrzbande. un certain Passé. LA Chance en cjhambre. Trait tiré. Coup donné. Fente ! Ventre ! pré ! vent de face ça le fait : pet ? qui sait ! notre chance ! on est née sur pré nous voilà née, cette fois-ci, non plus fée mais ... bébé ! grave ! le B2bé des rages, un bébé de Rage ! THE bébé né post pré comme à la parade ! Bébé né de base "remuante" . Trait ! un trait, voilà le trait ! trait de souffrance ou de non-souffrance mais trait, rage au taquet, trait de rage dense, un tracé nacré = la CHance ! pezrmettrz que je vous embrasse, s('il vous -plâit ! on danse ? le néné ! un néné ! un néné sur pied s ! genre: treait des traits qui sauréit de fait nous comptendre, et auxssi nous aimer sans plus de simagrées ! oh, on aimerait ! on voudrait en vréi être née sur place (post pré) en tant que "Bébé étrange" il semblerait mais (pour le coup) aimé ... ou sinon aimé, adopté, ou sinon adppté "reconnu" comme étant le B2bé aux données tracées ... sur P°ré des Traces et autres tracés "de reconnaissance". Ici le bufflet, le bufflet cendré, là la Méchante Fée aux gros nénés, le Bison arqué, Chevaux Donnés, Chevautins traqués, Buffles au drappé, Antilopes-bouquetines, bouquetins au frais, Vaches à lait, vaches des prés, Porcs amidonnés. O,n veut tloucher à ce qui ici on dirait voudraiot grave, à nous, se donner, mais de notre c^pté, veut-on, tant que ça, aimer , aimer toucher à ce drôle de muret aux données profondeqs ? on dirait que oui, quand même, il semblerait. on dirait qu'en effet on a super envie ici , de cerner des choses qui se passzerait en cetespace (post-muret) des contrées (ultra-profondes) hors roche ou rocher, au-delà des ombres, des ombres portées ,
sur un mamelon, ou genre de ,
mamelon d'un téton. tracer grave, porter, chercher, cerner ou du moins tenter. Qui on est sur pré ? la fée. Et, le pré une fois passé ? la post-fé ! fée cpommme transformée (dès lors) en ... post-fée ! oui mzis encorex? eh bé cette chose d'une qsorte de transformtion, de roche, de porte, de porte de roche . Un tracé ou trait (outtré ?) qui serait (ou est) le tracé ... d'une porte ! porte aux fées" comùme qui ndirait. Passé des p âssés ! Cages allouées à un ;Passé de Roche comme passé (sous roche ?) de l'autre côté ! Cerné, poussé, donné, contrôlé, alloué, passée sur pieds et comme consacré ! On veut toucher de chez toucher, dire le dire, poster, creuser, bousculer ce dit "passé" de poche ! le tracer comme à maéin levé et sans trembler (pa d'anicroches) sur muret ou mur de Roche consacré. tracer = donner = dire = poser= connaître =
comprendre ensembke un cvertain niombre de données de chambre :
le Passé est ... E,ntrée de base
Le Passé est ... donnée docte
Le poassé ... etc, sur "post-pré'-toundra" . On voit ça . Disons qu'on commence, ensembke, à comprendre le Néné de Base, Sein donné, ce que c'sset. Parce qu'avant (avant avant) on ne comprenait pas , on cherchait grave (desheures durant) mais rien à faire, quand ça ne veut pas ça ne veut pas. On voulait en vrai grave pouvoir comprendre, c'est-à-dire cerner, un c ertéin nombre de données "de référence", mais voilà, on y arrivait pas, on était ... ultra-méga motivée c'est vrai mais en vrai ça ne suffisait pas, on éztait toujours plus ou moi,ns dépassées, et, on se creusait de fait les méninges pour en abvancer et treacer et filer et nous repérer en ces contrées dites "de la mprt à l'oeuvre" (un pré, une sorte de pré) . a présent on se permet... de toucher NéN2é ! tu le sais ! le Né,né des Rages ezt autresColères de Base. Rrage-née post-pré tu penses, on sait qui c'est, qui (de fait) est en rage, enragé , on conna^t ou on le connaît . cettz sorte De passé dxe F(ance ... à cracher ! rage oléolé que dalle ! tracé né sur Passé deVentre , pas donné , pas vraiment donné : chereté ! mets tracés = LAIT ! LAIT DES LAITs ! LAIT DONNÉ CFOMME EN CONTREBANDE PAR UN DIT "NÉNÉ" DE CFRANCE = LE FRANÇAIS ? ON NE SAIT ! ON EST EN SOUFFRANCE ! ON VEUT TOUCHER-COMPRENDRE = CERNER = POUSSER = CHARGER =
FORCER LE BARRAGE, PASSR, ET LÀ, CERNER REG
A RDER LESDONNÉES "INTENSES" ON DIRAIT : CLARTÉ, LUMIÈRE DORÉE, EMBRASADES.On aime tracer = donner à qui est, ce qui en nous semble vculoir "monter " ... trait de Fée . On veut (voudrait) aller (tracer) vers Néné ! Néné d'Ambre = the Néné . néné né comme à la pa rade,; en ces contrées des post-parades et autres cavalcades olé olé d'animaux de charge (zigottos). On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucjer tpucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher de chez toucherb= donner ! donner de chez donner ...
les données de roche, et, en échange,t éter ! téter de chez téter, à ses nénés , à ces nénés de poche, poche d'ombres ! téter =
donner =
faire =
dire =
comprendre un certin nombre de données toutes (il semblerait) de contrebande .
Qui c'st ?????????????????? c'est l'ouvrier. Le gendarme. Le plombier ou le menuisier. Le Passé chargé comme par la bande des données de base et autres denrées bien disposées su r un muret des ditesc "offreandes octroyées". Manger = donner = faire = combler = dire. Qui est là pour nous parfaire ou comme nous parfaire; qui vgoit ça, la peine, les souffrances agraires, les tracas de soi, misère et paroi, la panse, l'offense, l'ombre des voix, le port d'accroche, la Nouba ? on cherche de base. On y croit parce qu'on est franches. On veut comprendre = toucher à ce qui est qui se présente à nos yeux hébétés, ouverts en face,étonnés. Quoi on est ? bêtes de la joie d'en être! d'être parmi des bêtes ! bêtes de la jpie à naîtr bête ! joie intense ! transe ! portes ouvertes ou toutes portes ouvertes ! grand passage de têtes ! naissance ! connaissance ! reconnaissa,ce ! sang d'encre ! on y croit. On veut toucher ma foi la Panse en transe ! tracas-roi ! porte close ! potage et autress soupes froides ! falbala ça le fait pas ! comment comprendre ? qui
chercher ? qui rechercher ? à qui s'adresser ? qui emmerder ? qui soeaouler ? qui prendre en vrai ici comme à partyie ou pas à parytie mais à part, et le sommer comme qui dirait de bien vouloir se prononcer ? qui ici ? on est née fée et, du cfoup, on a envie pour ainsi dire de se promener (ensemble) sur le pré et sans plus se faire chier. On est "fée des prés", on se proméène olé olé ou pas olé olé , qu'est-ce qu'on en a à faire , d'être ou ne pas être olé olé en ces contreées "de cimetière" ! On est fée faite pour fêter les Rêves ! rêver et fêter les rêves , fêter l'herbe. On vgeut toucher toucher toucher toucher à ces nénés tracés post-herbe, post-muret ... mais alors où tracés ? sur pieds ! ok mais ouù sur pieds ? eh bé ... sur Passé ! sur une sorte de Passé pâssé, passé sur pieds, passé des passés ! contrebande franche ! contrebande franche ! chère contrebande ! un passé pâssé (de fait) comme en ... contreb nde franche, intense, énervée ! fée ! fée ! fée de Franche contrée ! ambassade des tracés nacrés ! intenses ! faits sur pieds et du coup redressés (comme à la parade) sur muret de chargepariétale, genre "moufflets", genre "bouquetines", genre "big bidson" et autres bêtes à mamelons. On entre. ON rentre dans l'antre. On est bien armées ensemble . On veut comptendre alors on s'arme ! On veut toucher à ce Néné xdes COntrebandes, et y aller : poussser, pousser, poussser, pousser, poussser, pousser autant qu'on peut , charger, cerner, aler , donner, faire un voeu (voeu pieu ?) et se poster au-delà du muret, dans l'atente d'une vérité" qui de fait nous serait allouée ... comme aux petits vieux ? ça fait rêver ! bé ouiais, qui sait , ça se peut ! ça peut en vrai le faire (grave) à nos yeux ! commr à la parade ! voeu de rage ! On est deux = noeud ! on entre ! on entre "entre". On entre en ce feu. feu d'antre. On entre ensemble en ce feu des Rages et autres Colères de base (d'un dieu pieu) et on regarde. qui est là au beau milieu (plein centre) ... Dieu ? le Vieux ? le passé du pieu ? l'antre de naissa,ce ? qui dit mieux ? On entre ! on est "deux" , "deux de rage" qui voulons comprendre et .... cont^roler la Rage ainsi allouée à une Contredanse sur Passé. qui , en vrai, on est ?qui ? ......;...................................................................................................................................................................................................................................................................................... AMBRE ? ........................................................ AMBRE ?................................................................. AMBRE ? ........................................................................................................................................... Fourne d'(am bre ? ......................... on entr ! on entre entre !onn entre dans l'antre entre . On veut comprendre ensemble les données de l'antre. On a envie de base de comprendre ensmble les données de l'antre, et du coup grave en avancer, au-delà du muret, passer , pistonner, nouds retrouver de fait de l'autre côté pour mieux cerner ce qui est qui se présente à nous "avec ses nénés" qu'on dirait ... des genoux ! hou ! genoux de gnous ! On entre , on regazrde, on se fait une idée, on cghehherche à comprendre-cer,ner, on mate. On est ensemble ou iun ensemble : plutôt un ensemble, ensemble ailé (une fée ailée) et voilà , on danse ! on est en transe ! on veut creuser à fond dans les connaissances et tracer, tracer sur pied tout ce q'ensemble on croit deviner ou pouvoir deviner de ce qui ici, en présence, ou en notre présence, semble se dessiner
en face, traits, traits des traits, trait s de Rage et autres Colères "IMMENSES" , on sait, on est conscientes ! on a compris grave le blême il y a belle lurette ! certes ! grave certes ! On entre et du coup voilà : on mate
🤑
Traits
traits d'ombres allouées à une roche ornée
traits de fée
traits très appuyés pour rester
treaits des traits cfomme s'il en pleuvait = pluie , et le tour est joué
traits actés = gravés = induits
post-pré (hé hé) on dirait !
ça plaît. Ç envoie du bois. Ça envoie grave ici du bois de là ! charge, porte, poste, trône, porte-à-porte. On voit ça. Toute une cohorte de "Rats gras" ... Choses d'ici bas , on compte : un , deux, trois, les voilà changés (ces rats gras) en Fée de par(oi, wouah ! ça envoie ! ça trace ! ç a commande sa loi ! c'est bath ! On aime ça. nous vpilà en face qui voulons connaître, eh bien ... Vent de Rage et son COnvoi (tant qu'à faire). POids. POids de roi et Reines. Poids-roi, poids-reine. Pèse-maigre, pèse-rat , chants des toundras et autres plaines : la la la la la la la la la la la la la la la la ;la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la lz et aussi : ka la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la , et eaussi : la la la la la la la la la la la ka la la la l la la la la la lz la la la la la la la la la la lab la la la la la la la la la lz mhn lla la la la la la la
ça envoie ! ça grave envoie du bois ! = trace gr ve! traits de foi ! fente ! fente large et voilà, on passe ! on entre, on veut ça ! On veut ensemble si possible aller au plus profond e,n ces contrées et n e plus remonter mais gegner les bas-fonds, les bas-fonds de roche, tracer, aller, cerner, pister, essayer de toucher à ce ... eh bé qui sait ! néné de l'ombre , de l'ombre allouée à une roche ... pré-pré,, puis post-pré ! On compte :
un deux trois soleil, la Roche !
pré, pré né, pré aux fées, pré acté, pré d'herbes nacrées . On compte. On veut ensemble (qui sait ?) essayer de ne p^lus (ici) nous arrêter pour compter ou comptabiliser mais ... essayer de touchezr les sortes de "nénés de l'ombre" , et dcoup comprendre, cerner les nénés = les comprendre ou alors (peut-etre) essayer de "visoionner" à travers la roche ces nénés, comprendre -visionner ? On ose ! On passe ! on prend un peu d'avance . On veut toucxher parce qu'on se dit que de t(oucher n ous fera "grandir" à jamais ! on se dit ça. On est là pour tenter une approche de roche. POur : gravir cette roche, monter hzaut sur roche, tracer. Léviter. Qui sait ? lévitons ! montons ! creusons, ensemble, cette cloison ou da,ns ceyte cloison, des sortes de passages "ronds" par où ensemble nous pourrions peut-^tre, passer, cfomme rn contrebade, jusqu'aux nénés, ou à ces dits "nénés" du coup "de contrebande" , on sait ! fait avéré ! trait des traits ! charge ventrale. On erst nées sur pieds la mùort ainsi "traversée" (disons :
le muret
le pré
à nouveau le muret
ROTONDE À MURETS
Charge "dr(ôle", haute : ponton ! on ose . On monte. On creuse. on envoie. on veut toucher à cette sorte de paroi des bases latentes et autres ressorts-roi. Fente d'antre : wouah la Voie ! Voie de l'aNtre ça envoie ! quelle chance ! une sorte de chance (sa chance) à prendre ! Antre des antres on voit ça ! quelle cha,ce on a ! mais "on a su la prendre" ! Un antre de Roi et REine de l'au-delà ! ça envoie du bois ! grave ça envoie ! promenade grave ! charge de face! pastorale! On veut toucher toucher toucher; parler parler parler, donner donner donner, dire dire dire, cerner cerner cerner, conduire cionduire conduire, oser oser oser, et du coup se poster au plus près de ces (dits) "nénés de rage" ainsi "rencontrés" comme à la pa r ade post-muret; Qui l'aurait pensé ? qui eut cru trouver (en ces contrées) pareil n éné tout dévoilé et prêt (du coup) à téter ! car,
on aime ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ téter ! grave on aime ....................... téter ................................. dingue même comme on aime ici (La Mort) téter ! ............................. amour -haine et cependan ........................... vive le lait ! le lait des contrées "mortifères" (?) comme qui dirait on dirait ............................ fée agraire ! .................... fée des fées allouées à du post-cimetière aux denrées lactées : bière galactogène ? sein donné ? lait de trait , ... passé ? hé ! qui sait ? on cherche ! ce passé........................ qu'eswt-ce que c'st ? ............. du VErbe ?................. ça se pourrait ! que Le VErbe soit lié, à cette chose ici donnée, Herbe ! herbe de pré ! herbe acidulée ! lait et herbe ! .............................../............ herbe verte s'il en est , toute broutée ! ................................. treaits des treaits en herbe verte ! ........................................................... on aime, on veut aimer, on aime aimer, on aime l'herbe comme dxu verbe , dingue ! ......................................................................... vive l'herbe et le verbe , de la mùort en herbe ! piètre ? traître ? verbe piètre et tréaître ? qui sait ? on cherche ! on ne dit pas qu'on est maître ou maîtresse, desdites contrées ! on se tient en retrait, on"gère" ! on essaie (du moins) de "gérer" à ce qui est, en ces contrées, qu'on se devrzit ou doit de faire sans traîner mais tout le contraire , à fond la caisse ! sans chercher forcément à plaire , on veut tracer ! l'important c'st d'aimer : tracer, filer, ne pas traîner, pistonner, poussser vers , etc. , et du coup .... eh bé certainement, en avancer ! tracer de chez tracer ici en direction de ces nénés, de ces nénés de roche (post-roche) du Passé Recomposé ou disons re-né , ou comme re-né. On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à ce passé dit "recomposé" si on pouvzit, mais en vrai, peut-on ? peut-on en vrai toucher à ce P assé dit "recomposé" ? et du coup ... téter ? car, on aime ! oh grave on aime ici téter, lait de mère et autres laits de bonne mère ! On aime ! grave on aime ! on aime téter ! sucer du lait, s'en gargariser, s'en foutre plein le gosier, ne pas s'arrêter dee téter pareil lait ... de roche de Rêve. téter = téter = braire ! Oh, on aime ! grave on regarde! douces on traîne et du coup on guette et du coup, houp, on se jette, sur pareil néné aux données intenses . Traces de pieds sur paroi donnée. Pré acidulé la paroi passée. Muret. Muret de fond de contrée. Et à nouveau qui se présente comme un fait exprès : le muret , la Roche, Roche haute = tombe ? peut -etre pas si vite , ou quoi ? Roched'or ! Vent de Port ! corps du Nord ! Ponte ? pont ? on monte. ON veut aller jusqu'aux Nénés "de porte". Les toquer, leur donner du nôtre afin de les téter et pas à moitié ! haute roche des prés = muret des finalités. On monte. On ose monter. oN est née, sur roche des prés, pour en fait pouvoir monter, ainsi monter, jusqu'au ... passé de Roche ainsi rencontré (ainsi et ici) : Porte d'entrée !Pré Paszé puis le Passé à nouvreau posté ou disons "posté" cfomme qui dirait. "Post" de porte. On monte. on aime aller pour ensemble creuser ou voir à creuser la roche. On monte ! on ose. On veut
toucher de chez toucher aux Nénés des Rosezs
Toucher de chez rtoucher aux Nénés des Roses
Toucher de chez t§oucher à ce Néné de rOche.
qui est qui en ces contrées ? le VErbe est né qui se propose de nous diriger, ou guidr, ou accompagner ... une Vie durant ... jusqu'aux Nénés allouées au lait, Lait Vivant. On veut toucher troucher toucher toucher tpucher toucher tpucher toucher toucher tpucher toucher toucher tucher touchezr à ce Néné des vents et autrx Pets de près ! ça le fait ! traits ! ça le fait très ? trait des traitsz ! couvent ! sentiments condescendants , forces hautes, vents doctes, saints dansants, saintes roches aux tourments , parole et carriole, train avant ! On monte. ON monte hautes. hautes on monte. Vents. Frai. Traits. tracé. Pertes de données mais on s'en fiche on est passées ! fée ! ..................../... devenue bébé, ou rebébé ! ./........ on file ! ...............on garde la fiche ! o,n garde ce qu'oon peut garder : la fiche ! vive l'affiche ! le trait ! la boisson dorée ! amidon ? anis ! anis étoilé , champignions ? on vibre .................... on aimerait grave duerer : durons ! allons ! montons ! chervho ns ensemble à
tracer de chez tracer
autour du mamelon, non pas un baiser, mais une sorte de tétée de lait ! lait tracé ! trait de lait : contrepoison ! fond ! don ! pont ! pont des ponts de Roche Haute .... possédées ..... soudée à une sorte de Parole HOt, genre obscénités et autres traitsz tracés au piquet ! porte ! haute ! roche ! croche ! morte roche des données de porte ? ou roche morte des données de corps ? on ose ! osons ! portons loin notre farandole comme à l'iunisson et filons, gagnons au plus lointain la roche terminale, trait fatal, CON, porte, hzute porte de roche, CON d'homme ? haute roche des données de porte. ON monte. ON monte sur Ombre. Ombre morte. Chair de ROche HAute . Crotte ? On monte . on veut toucher de chez t§oucher à un ensemble de données dont on dirait q'elles sohnt toutes, issues (pour insi dire) d'un néné. oh, ça se pourrait que ce soit vrai , car, le lait, en soi, offre mille et une "qualités" avéréeées , de type "alacrité", "aminosité", "monstruosité" ou au contreaire "amabilité" ... à nous de cerner et de nous repérer en ces contrées. pas simple mais on devrait y arriver . on estndes bêtes, bêtes de trait : on sait tracer ! on sait en avancer et nhous poser. on Est le Fée post herbe .......................................... on est la Fée des herbes puis post-herbe ................... mais, post-herbe, on est plus tout à fait fée, mais Bébé ................ car, toute teansformée = renée ! ............................ née bébé le muret passé, ^prête ou pret à téter son lait ..............l ait de néné de ROche Imberbe ........................ car, post-muret il ya du lait .............. la mort est pleine ! pleine de lait ! pleine de chez pleine ! c'est un fait vrai ! tout le monde le sait ! le lait imprègne, le lait est lait d'herbe, d'herbe verte = Verbe ! trait des traits en herbe verte = VErbe ! va et vient du Verbe sur Passé Ancré, très. On mo nte . ON creuse. On porte. On veut toucher de chez toucher ... la POrte Haute , la Toucher de près, monter, creuser et porter comme qui dirait "une pa role de vérité" sur une sorte de ... néné tété. Qi c'est ? ou pltôt : à qui est ce néné ? au Père amadoué ? Au père Pet ? au Pétou-né ? Verbe d'herbe alloué à un "pet en herbe" ? trait des fées ? on cherche ! on est pas arrivée. On veut toucher c'est vrai mais toucher = creuser = téter et veut-on téter ? somes-nous Bébé ? sommes-nous réellement une sorte à nouvrau de Bébé né au monde ... c'zsst-à-dire , la mort avérée (une fois avérée) ? Hé !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ç
a se pourrait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! il se pourrait que ça le soit, mais on ne le sait pas, car un bébé ne se souvient pas et charge, sur place, son "petit matelas" de contenance , contenance d'ambre, d'ambre à aimer = le lait. On monte .............. fée haute ............. porte haute ....................................... haute porte ................... chaude .................. chaude haute porte ........................ trait des treaits à faire durer si tant est /.................................................. qui connait : les données du monde ? qui sait ce qii est en la roche ornée ? qii comprend quelmque cxhose en ces bêtes à cornes ? qui dessine sur pieds la Bête de POrte ? qui cherche à nous révéler , ou qaui chercheraiot ? que cerner en vrai en ces contrées du bout du mùonde ? on veut toucher m ais veut-on trouver ... quelque chose à, comme qyi dirait , brouter ? On veut : dire ! dire et faire ! et aller , continuer, treacer sur herbe jusqu'au muret des données dernières . On est née sur pré , fée. Fée en herbe . On veut grimper de chez grimper , et qi'est-ce qu'on fait ? on grimpe! treaits ! traits des traits des herbes broutées, ruminées ! on aime ! vaches de trait, on est ! on est des fées ... vaches de trait ! on aime ! o n aime ruminer de chez ruminer ... et aussi téter, dès que passée au-delà du treait ! Téter de chez téter, le lait de "boinne mère" tout acidulé. téter = téter = téter /.............. ça le fait (grave) quand on est bébé, de téter mère, le néné de mère, le treacé, la voie lactée .......................................... chercher /................ chzrcher à téter, le sein au lait, d'une sorte d'entité de Plaine ........... qui c'sst ? .............. mort la Souterraine ................................................. le passé ancré .......................... l'herbe alloué à une sorte de misère qui serait ancienne, très .......................................................................... un passé passé ....................... à travers les persiennes .................. trait des traits sur paroi ornée ................ ? on aime ............ on veut toucher à ce passé surnuméraire = rajouté .................... nouveau passé sur pieds, ça le fait .............................. trait né ! .............. porte haute .................. porte haute et passé haut .............................. trait des fées sur porte de roche haute ....... haut des hauts hors caniveau et autres seaux d'eau ......................... porte haute des anneaux .................. rondeaux ..........................mort la SOutreeaiene aux tréteaux et autres préaux ........................................ toucher touchertoucher ..../........... toucher à ce néné = téter , et ce qu'on veut en vrai c'est :
T2TER ; TÉTER HAUT; TÉTER SUR TRÉTEAUX HAUT ;HAUT TÉTER LE NÉNÉ DES HZUTS ; HAUT TÉTER LE NÉNÉ HAUT ; TÉTER HAUT PAREIL NÉNÉ BEAU ; CREUSER ET MANGER ; FAIRE AINSI QU'ON SOYE COMBLÉE COMME DES ANIMAUX ;
20/1/2025
on veut ... eh bien .... COMPRENDRE = CERNER = DIRE = SE TROUVER , POUR AINSI DIRE, ;;; DE L'AUTRE CÔTÉ DE CETTE SORTE DE MURET DES
"FINITUDES INTENSES " , "THE " MURET !
la Chance ! on veut ça : voir et comprendre, ou même .... toucher ! car voilà, il y a ou il y aurait ici, en face, une sorte de paroi des Chances , paroi meuble voire molle, où pouvoir en vrai tracer = traverser sans nous retourner et du coup gagner, au plus lointain de ce qui est, la Rive post -pré on dirait. En tous cas voilà;, on entre "ensemble" = accolées = ailées = vives et intéressées car oui ;;; on a méga -envie ensemble, de cerner-toucher à ce qui se présente, devant soi (ou nous), en termes de ... Néné de Contrebande ! le (ou THE) Nénné de Contrebande = du lait ! lait de France ? lait de Rage Ancré, invétérée ! on entrev= on creuse = on regarde = on veut en vrai cerner -toucher à cette sorte de Donnée Frontale ... la RAGE ? hé, qui sait ? Une Rage qui dès lors sera it comme personnifiée ? une sorte de RAGE IMMENSEV , GRAVE, FORTE : HZAUTE ? on veut comprendre ! on mate ! On ne lâche plus ... le bébé ! On est accolées de base ensemble (ailes de fée) pour eh bé oui cerner ici, en ce Royaume post-soufffrance, puis post-pré, les données dès lors, d'une sorte de RAGE IMMMENSE,
qui serait "raccoçrd", avec LA Vie telle qu'on l'imaginait (peut-êtte) post-pré ou post-prairie "des fées" ... ? on ne sait ! on est nées Fées sur pré et nous voilà , qiui, ayant traversé (à nouveau) la Roche (en ce vpré des vfées ) sommes qui , en vrai, nous retrouvons comme enveloppéesz vpar une sorte de lumière INTENSE ! est-ce ... du lait ? lait nacré ? est-ce une sorte de blancheur de base ? qu'est)ce en vérité que ces données, bpost-prairie aux herbes et autres fleurs post (?) cimetière ? on cherche ! on est nées fées, au pré, nous voilà à nouveau peut-etre adoptées, par une sorte ici de ton nacré, blancheur hâlée, ton de données hautes toutes enluminées comme qui dirait ! est-ce un Pet ? vent de Force Douze ? quoi est ici qui semblerait vouloir nous i nviter à nous allier à une sortte de part(ie coriace (INTENSE°, de type ... Chasse ? ou comment penser ? on regaedrrde ; On veut percer dans ce muret Passage poutr passerr, et c'est ce qu'on fait. Puis, voilà, on entre : ok ! ON est entrées ! F2E ! F2e des prés on est entrées et on regarde et on essaie (au plus près) de comprendre ... eh bé, les Nénés ! ce LAit ! cette trace (au débotté) de Lait De FRance comme qui dirait ! VErbe tracé ? charge ? poil du nez ? qui donc est là qui nous observerait ? qui nous regarde peut-être de biais mais bne cesse de nous obszerver comme qui dirait ? qui chante ? est-ce chant ou est-ce vent ? pet post-pré ? traces nacrées ? chant des bases et autres CCcHants comme "soulevées " et on comprend ou comprendrait dès lors que le Moment est grave (INTENSE°, et qu'il est temps pour nous (FÉE) de nous transformer, de nous adapter, de devenir (qui sait ?) BéBé comme on était , comme autrefois , pré-pré, on était ! comme auttefois, avant le pré, on était ! On a été ! On veut toucher à ce N2né des CENdres et du coup T2TER ! téter, à s'en faire péter la Panse ! à s'en mettre (intense) jusque là de lait et sans traîner, parce qu'en vrai, le lait, dingue comme, voilà, on ne peut plus de fait s'en passser, tellement en vrai on aime ça ! on raffole du lait ! on ne s'en lasse pas ! On est dingue folles de Lait ! vive le lait et les produits laitiers comme qui dirait ! On veut téter à ce Néné du bout du monde (MORT). On veut grave téter, en tant que fée, à ce néné du bout du bout
et ne plus lâcher, en tant que bébé, ne jamais plus lâcher (en vrai) ce Néné, qui est Néné pour ainsi dire des données de RAge (incidemment !) il semblerait ....On entre ! On est dans ! on est dans l'antre ! on est Fée en transe ! on danse ! on boit du lait ! oh le laiot ! oh ce lait haut ! oh oh ce lait comme on aime de fait l'absorber et le digérer et même le péter ! On veut toucher de chez toucher à ce Néné à lait De mort de RAge ! mort donnée = mort haussée ! On cherche à cerner . Qui donc est là qui nous regarderait en tant que b(maintenant : après la Fée) Bébé ? qui donc, dans la mort, nous regarde Téter ? La RAge ! et le tracé de RAge ! cette Sommité ! Bête de charge ! mais qui c'est ?????? eh bé ... peut-êttre .... un mirage ? une sorte de donnée de base ... évanescente ? tracé né post-pré, colmme un tracé des Rages Allouées à une sorte, ou une espèce de ... Mirage Accolé à une "somiyté" des Données FRanches ? on est née Bénbé
à la travezrrsée,
comme on était née Fée, plus tôt, pareil :
à la traversée !
on a chargé ! on a passé le pré ! on a gagné le muret ! on a regardé les Nénés ! on a tété ! on a ingurgité du coup pas mal dsde données , et nous voilà refevenues , pour ainsi dire, B2Bé comme on était avant dêtre allouées à une sorte de Donnée Finale genre p)rairie sarde , pré aux fées, parade animale ! On creuse de fait les données de base telles que présentéezs à notre comprenure pas mal embouchée mais enfin on tente ! on essaie grave de comprendre, de nous situer, de cerner loes choses post-pré qui nous attendent ou nous attendraient sait-on jamais ! Bébé ! le Bébvé des Transes ! On est enfin passé et à présent on veut toucher ou on voudrait toucher à quelqaue chose "qui le fasse" aux yeux de D2ité, qui sait ! MOrt au taquet ! La Mort est blousée , ou serait grave blousée , on naît = on re-naît ! on trace ! treacé ! on entre ! entrée ! on regarde intensément ce qui appaaît et donc .... on verrait (on voit) ....
Des traces ! de la JOie ! du tempsaccolé à un Passé ! unPassé accolé à une Déité , elle même accolée à une sorte de Donnée de RAge ! Paroi passée, voilà en vrai ce qu'on pourrait ... deviner ? détailler ? cerner et toucher ? on mate grave ! on ne s'en laisse plus conter mais donc on mate de chez mater, afin de cerner ici les données qui nous sont données à comprendre . Le Passé !!!!!!!!!le Passé intense ? un passé en France ? transe ? charge du passé sur Donnée de RAge post -muret ? On regarde ce qui est ! On cherche à discerner ici ou là ce qui pourrait nous intéreseer et nous attirer ! On cherche à s'avancer en ce post-muret aux données franches ! Le Bébé est né ! voilà le Bébé ! le bébé des TRanses est enfin re-né, du fait que là (post-muret) il a pour ainsi dire traversé (sous forme de fée) ce tracé = ce treait ! voilà le Bébé ! ici est le Bébé ! le Bébé des Chances est ici orné ! Il est le Bébé des Données De rage ! Il est ce dit "bébé" aux coudées franches ! intenses ! on entre ! téter est la vérité ! téter = t'étais ! mais tu es (il semblerait) re-née , et donc tu peux téter à ce néné des dites données
de Rage intenses (intenses les données !) On est passées = on a traversé, la dite "façade" d'un tracé aux F2es ! on est passées ensemble ailées, du fait que voilà, on voulait y aller et sans plus tarder, car, on voulait (en vrai) SAVOIR + TOucher à ce qui est ou était ou serait de l'autre Côté pour le coup du pré, comprendre = toucgher, et toucher comprendre, alors on est, comme il semblerait , passées, d'un statut de Fée (fé des prés comme acidulés, les prés) à un statut dit "de Bébé" , qui, ici , post-muret, est le statut de celle ou de celui (indifféremment) qui peut téter à un n2né dit
"des Données de RAge" (de La moprt cendrée !).
On veut toucxher-téter à cette sorte de "donnée en Bosse" comme une avancée de genre Tombe, TOmbolo, TUmulus ... TRombe ? TRot ? On monte ! on mate ! on mate grave ! On touche ici (post-pré) à quelque chose de
"complètement intense" ! on veut toucher ou on voulait toucher et à présent voilà que nous toucheons ensembke THE néné des Données denses ! On entre ! on cherche ! on fouille ! on veut essayer de cerner-toucher à une sorte de Donnée qui serait la Donnée des Données Intenses : franche ! franchement intense ! en (qui sait ?) transe si tant est ! on est passée parce qu'on le voulait en tant que fée, on est entrée et on rzg arde ce qui est et ce qui est ... ne laisse pas de nous intriguer ! on veut c'est vrai aller, au plus profond svp, en cet antre aux données franches ! verbe allié ! on veut aller eh bé en ce .... Passé ? chercher ! chercher large ! chercher ! large chercher ! chercher du large large ! chercher = cerner = dire = pousser = attirer = aller = monter et du coup soulever , de la cryppte, le Passé en friche ! on ne veut pas se laisser démonter ! on veut pouvoir en avancer sans se bklesser ! on ne veut pas se laisser absorber mais téter de chez téter à ce Néné post-crypte (?) si jamais ! On veut pouvoirtr téter sans se bousculer ! On veut toucher topucher toucher, téter téter téter, cerner cerner cerner, aimer aimer aimer , aimer tégter ce lait des Données FRanches ! les Coudées ! l'attente! le tracé ! le Vrai du vrai ! la Chance ! Lesz Nénész tracés = dessinés qui sont là de fait à nous attendre à point nommé car on est nées ! on est Fées passées devebnues Bébés ! qui aimons téter quasi à jamais (en tant que B2bé) ! Qui on est ? des Bébés ! qui on aimerait, en vrai, devenir , dans le futur proche, si on pouvait ... des bébés ! et, auusi :
des qui pourraient cerner (en tant qyue Bébé, dès loçrs) ce qui est qui nous attendrait passé le muret des finalités ! un néné ? deux nénés ? trois nénés ? horde de Nénés ? mer gelée de Nénés ? océan fatal ? charge large ? une mer immense, toute nacrée de nénés Intenses ? on ne sait de fait , mais l'idée est ici de cerner au plus près ces sortes de données coriaces ! essayer ici (en tant que Bébé nouvellement re-né) de toucher de fait à des É2vidences, s'il en est ! et du coup de percer (incidemment) un certain nombre de secrets qui seraient dès lors "Secrets Éventés", my god ! on Saurait ! on en saurait long ou plus long ! on saurait, de la mort, les ressorts ! on comprendrait ! on pourrait informer, éduquer, donner, redonner, offrir des données et autres clartés , c'esst un fait ! On pourrait peut-êtte alors nous retourner ... mais en vrai est-ce qu'un bébé peut se retourner ? erst-ce qu'un bébé peut réellement, concrètement, sciemment, affirmativement, se retourner vers son pAssé Récent d'embryon flottant ? On est nées Fées dans la mort tracée, puis passé- le pré on renaît, en tant que bébé prêt (prête) à téter si tant est : prête et prêt selon le sexe (? ) donné ! on rêve ! on entre ! on passe ! on creuse ! on veut toucher toucher toucher = donner = faire = dire = cern er = pousser, ici, tel ou tel néné aux données de base = le lait ! ah le lait !
LAIT DES LAITS !
LAIT INTENSE DIANTRE ! diantre le lait ! quel lait ! lait blanc de Néné post-pré ! Chance ! on pe"ut dire qu'on a de la chance ! on aime le lait et bingo, intense : Lait ! lait des laits ! On en redemanderait tellement c'est frais , ça nous plaît ! on danse ! on est née f2ée puis Bébé puis quoi ? toute mouru du cul ? direction le FRai ? Rage-Trait ? on danserait ? on passe ! on cherche ensemble ici et là (comme à la retombée avec ou sans fraczas) de cerner la CHance, ce que c'est en termes de Donnée Franche et autres données, dites "intense", "intense à jamais" ... On veut toucher à ce Néné des (donc) données Intenses, Denses, Franches, Fortes ! comprendre = donner. Faire = poser . Dire = pointer . Toucher = colmater et du coup toucher à ce qui est qui nous regarde en face , en ce tracé (de Rage) des Données (Franches) Assénées ! Qui c'est ? Le tracé" ! Qui donc c'est, en tant que tracé ? Le trait ! De quel trait veut-on parler ? du trait ... entre les Nénés ! Du trait treacé sur peau de Fée ? non : trait né ! trait ici né entre deux Nénés ... = entre Né et Né ! Oh, ok ! On a enregistré ! on voulait cerner eh bé on dira que c'est en que'lque sorte fait ! on sait ! on peut avancer ! on peut chanter ! on peut ghrave chanter à jamais ... les chansons de France oh oh ! France é& Navarres, tu parles .... en français "de charge" ! TRenet ? le Passé acté ! l'ambassade ! colet-monté on est entrée ici pour chanter et nous voilà toutes remontées qui cherchobns (intense) la ... façade ? ou face née ? trait des traits par où s'immiscer (le nez ?) à tout jamais et s'y instéaller ! car, on naît bébé ok, prêt ou prête à téter ok, mais de quel lait veut-on téter ? lait d'Espagne ? de France ? d'Italie mon quiqui ! du Royzaume des Flandres ? Brindisi ? on est née Bébé on veut toucher néné ! né et né ! on vzut toucher à ce né-né aux données Sardes (qui sait ?) qui nous rassemble (re ? ressembkle ?) on dirait ! on entre ! on entre en cet antre aux données intenses ! on veut grave de chez grave aller ! tracer ! toucher de chez toucher ! percer ! toucher = percer ! donner = dire ! faire = comprendre et du coup percer,;, cerner, chercher à soulever si ce n'est les nénés, le tracé du Passé et hop, re-née ! née sur pieds ! le Bébé du Traitb ! re-chargé comme une sorte d'entité pré-pré ! hé hé ! on est re-né à une sorte "d'aventure-conjoncture", en fin relayée , sur papier de frai ! chapeauté ! vive les TRaits et autres gravures ! le bouquet = les données ! chevelures ! parures ! échancrures ! bures ! Les nénés post-pré donnent belle allure !
♥️
on veut aimer
aimer
on veut grave aimer
aimer
grave on veut aimer
aimer
aimer grave ... trenet ?
aimer, jusqu'au dernier carré des données tracées : chevelures et montures, montures et chevelures : le Passé traité sur mur ! bêtes d'allure ! bêtes-mots de bure ! un tracé ! une sorte de Passé ttracé comme à mai n levée ! allure et monture ! cavalcade diurne ! le Passé a fine allure ! passé des passés ! On veut toucher toucher toucher toucher à ce qui est qui nous reg arderait sans sourciller (ou si ?), et nous de nous placer ainsi à ses côtés ! qiui c'est ? le Passé ! Mais qiui, le Passé ? parce qu'on voudrait de fait comprendre , ce Passé, ce que c'est justement, en termescxde :
-monture
-trait
-encolure
- chevelure et autres "parures de bure" . On est née Bébé post pré ! on veut toucher à ce Néné ok mais : piour mieux traverser, ensemble, la butte, le Mont Doré, le Passé de bure et autres Passés ! qui on est ? qui en vrai on est ? qui pour le coup en vrai on est et jusqu'au cou ? qui sait de fait qui en vrai on est ? qui en vfrai connaît au plus près les données données d'une espèce en fait de clarté diurne ? velouté ? don des Fées ? pré à nouvreau rencontré ? re-le pré ? re-les fées ? re-la meu des données bovinesz ? Pré à brouter ? pré des Prés à devoir brouter et du coup aimer ? On trace grave sur Passé les données Sages ! On est nées fées sur pré, nous voici re-nées allouées à la Bure des données Postées ! pré-pré ! pré-prairie aux fées et autres en vrai bêtes d'allure (aurochs-attiutde). On veut :
dire de chez dire
faire de chrz faire
aimer de chez aimer
cerner de chez cerner
comprendre grave et donner large, les données !
faire ainsi qu'on soye allouées à une vérité "de bout du monde" si tant est ! chercher chercher chercher à kjamais la vérité des choses tracées ! les chercgher dsur pré... mais pas que sur pré, aussi poszt-pré ! de l'autre côté ! côté Chose Actée, tracée post-muret dans une sorte de Clarté toute acidulée, celle des Données dites "allouées" àune sorte de
"Donnée de rage" = LA MORT ! car, LA MORT, est (on le sait) en rage ! elle enrage grave ! elle nous en veut grave ! elle veut nous manger, avaler, intégrer à sa panse ! elle nous veut gibier ! elle veut nuos intégrer ou comme nous intégrer à sa panse-née ! elle nous veut manger et pas à moitié, en entier, dès que né ! hé ! et voilà de fait le pourquoi des choses ! pourquoi ça ! pourquoi on trace sur paroi ! wouah ! ça flambe ! ça envoie ! ça par ade ! ça rigole pas ! sarde ! charge ! traces des foies ! face à face ! On est Femmes SArdes, point de croix ! on passe ! on entre en paroi ! femmes aux hardes ! transe et danse sur paroi des Traces ! la Rumba ! le cha cha cha ! la danse en France , tralala ! on veut comptrendre et voilà, on entre ! la paroi !
LA CHANCE !
on entre en cette sorte de paroi aux transes ! trans- paroi de roche, treans-donnée de porte, treans-identité accorte ! treans (peut-être) -génitalité des données de Roche ! TRANSPORT ! trans-tétée ! On veut coller à ce qui est qui serait pour nous comme un néné à lait ! On veut :
toucher de chez toucher
tracer de chez tracer
percer de chez percer
coller de chez coller
faire de chez faire
comprendre large les données frontales ! couper = coincer, dire = aller, passsrr = poussser, gémir = craindre, charger = poindre et toucher aux Nénés tout acidulées des Coudées FRanches post-
"muret du pré" = post -pré c'est un fait vrai ! On veut :
toucher à ce qui est qui se présente, aà nos yeux hébétés, de Bébé béat ! Toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toycher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher à ce qui est qui se présenterait, pour de vrai, à nos yeux béats ! grands ouverts suur ça : ROche Donnée ! roche tracée ! roche ornée ! roche aux fées ! tracer = dire = faire = comprendre = cerner = consacrer = chapeauter = coller = pointer = sourdre = vivrre sur pré une vie de Fée on dirait. Et nous de nous allonger, de traîner ou traînailler ? eh bé ... pas tant que ça en vérité ! car on y va ! on envoie ! on veut tracer( ! on veut au plus vite gagner les rives du côté post-friche : le Passé ! Car, on le sait (grâce aux nénés post-pré) le Passé est le Futur tracé ! Passé passé ! Passé dur post-mur ! dur ou pas dur, mais passé post-mur ou muret ! On veut toucher et du coup c'est ce qu'on fait , ... et du coup voilà, on est BéBé ! on est redevenue BGébé tout nu ! ou toute nue ! bébé nue des données de rue ! à la rue le dru ! on est ! on est née ! on peut le chanter, l'annoncer, le crier de fait ! rue drue ! Fée des prés sont passées et on conclut! vive le dru ! l(ombre portée sur le muret des prés aéux données ancrés, de type : "sommité" ", "charges allouées", "passé dit passé", "colère rentré"e" et autres "ires .... farfelues" ? On veut :
dire dire dire = faire faire faire = choquer choquer choquer
et du coup : AIMER ! ÉIMER DE CHRZ A&IMER LE CUL ! VIVE LE CUL ! VIVE DE CHEZ VIVE, LE CUL DRU , NU, VELU ! VIVE DE CHEZ VIVE, LE TROU DU CUL NU ! VIVE ALLURE ! MONTURE ! BURE ! chants des dunes diurnes ! On ose ! on veut,
on veut grave :
AIMER DE CHZ AIMER, DIRE DE CHZ DIRE, PARLER DE CHEZ PARLER, COMPRENDRE DE CHZ COMPRENDRE, ALLOUER DE CHEZ ALLOUER, COLLER DE CHEZ COLLER, CERNER DE CHEZ CERNER, et du coup en avancer (grave) dans la comprenure de , genre : qui on est, qui on est pas, qu'est-ce qu'on veut être ou pas, qu'est-ce qui est sur préb (la mort donnée) et ce qui n'est pas , les données de rage quelles-sont-elles et qu'est-ce qu'elles ne sont pas, etc. On est Fée sutr pré,
Bébé d'allure post-pré,
et aussi pré-pré ! vulve !
on est nées ! nées ! on est nées ! nées ! on est nées ! nées ! on est nées sur pré feée, et re-le Bébé le pré passé ! car, vivre = donner ! donner du bonnet ! aimer ! charger ! pincer ! comprendre ensemble (ailées) les données "immenses" , szoit (pour ainsi dire) le treacé des monts et autres dômes de Parade sarde ! treacé des tracés ! entreées des entrées ! passez donc muscade, Roc et Gravillons ! chargez ! touchez ! pointez votre nez et essayez de traverser ensembele (d(un même élan de France ) le .... PAssé ? hum... aussi emmuré ? Et de vous retrouver dès lors cvomme "consacrée" par (comme qui dirait) une F2e plus âgée, Fée des F2es qui vous adouberait dès lors en tant que fée nouvellement née à la vie à la mort sur pré (à jamais si jamais !) . On veut toucher de chez toucher à ce néné du Port ! qui il est ? ou : à qui il est ? à une ... Fée ? fée des prés qui serait passée de l'autre côté ? hum, non ! Alors à qui ? à une D2ité des Données Ancrées ainsi allouée à ce treacé de type post-muret ? ça se pourrait ! mais ... de qelle déité il s'agirait alors ? d'une divinité de Roche TRaversée ? sûr ! alors laquelle si c'est si sûr ? Celle qu'on regarde ou qu'on
regarderait entre les Nénés !
hein ?
cEle oui qu'on se plaît à ici rega rder entre les nénés !
et donc ?
le TRAIT ! Déité --Trait ! Trait donné ! un trait !
un trait ???????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????
un trait !
trait donné doré ?
trait donné doré !
mais... qauel trait ?
trait né entre deux nénés , pas compliqué !
Oh oh oh ! voilà qui est comme qui dirait fort de café ! On veut toucher toucxher toucher à ce (dit) "trait des traits" né (de fait) entre deux nénés , il semblerait. Un trait né ! perle de fée ! ... = cherche-merde ? pas vrai ! au contraire ! la douceur et candeur et gentillesse même ! le parfait trait donné post-pré s'il en est ! on aime : coeur ! fleurs ! pré passé , mais les fleurs ! on aime aimer pareil nénés ezt, entre les nénés, le trait donné ... en toute candeur si tant est ! on naît ! on re-naît ! on est renée ! bébébébébébébébé ! on est ! On voulait ALLER, eh bé cf'est fait ! amour doux des Hautes mottes ! chants doudou ! porte haute, on monte ! haute porte , on veut aimer ici tracer (ensemble ?) ce B2B2 post-pré ! on est née du trait post-pré... pour en avancer et gagner de fait l'Amb assade aux N2nés, aux Nénés de RAge ! mort allouée à déité est donnée sarde ! sainte clatrté ! charge dorée ! le Passé sage ! les données allouées à une sorte de "Passé en FRa&nce" = Le Passé tracé ... sur roche tendre : lait ! pré des fées en attente ! le "Passé en FRance" &ccolé de fait à une sorte de "donnée intense" genre "accoléée-seerrée" à la Channce, en vrai, d'être re-née ! tracée ! donnée ! portée ! poussée ! etç'en avance dans les confidences ici notées ! On veut :
coller = coller = coller
dire = dire = dire
passrr = passer = pâsser
charger = cjharger = charger
composer = composer = cfomposer
et du coup AIMER de chez AIMER le RIRE, RIRE _CLARTÉ, VI VRE ALLOUÉ, PERTE DES PRÉS !
on aime ! on veut en vrai aller de chez aller post-cimetière jusqu'aux nénés donnés en bière (qui sait ?) à jamais et ça le ferait , porca misère ! qui le sait ? qui connaît le Verbe Sacré ? Verbe-bière ? charge allouée à une Vérité Hautaine ? on est née Fée sur pré, mais voilà ce qui est qui est : à présent .... rengaines ! le Tourment des gens ! la haine ! le Passé tout remonté avec son flots de traîne, incidents sur champs, colères des temps, pansements, pertes sèches, vents ! On est Née fée sur pré aux chalands, nous voicfi re-nées sur nouvelle Cité aux clartés souveraines .... prêtes , prêtes à re-tracer un chemin inverse , ou pas (peut-être) inverse mais ... cerclé ? re-lacets ? re des lacets pour une renaissance en herbe dans le VErbe (mordoré) des données de FRance (en l'occurence) ! on acte ! On avance ! On aime aller ! on aime manger ! on aime tracezr ! on aimev téter ! on aime soulever la roche et nous "immiscer-glissser" , jusqu'au bout des fonds des doonnées de poche ! Le Néné sera né quand on aura passé le pré ! néné né post-pré ! néné des Nénés né post-pré en vérité , vérité -déité ! Le Chalet ,! les cordes !
la remontée ! le tracé ! la Porte aux Données et autres Vérités post-pré telles qu'espérées ! on veut grave y aller et ne pas nous retourner jamais, mais tracer... comprendre .... soulever .... prendre .... souder à une "branche" une sorte de donnée "étrange" qui serait ... eh bien DOnnée des DOnnées SAges : le Passé ! ¨Passé alloué à une Déité de Rage, un treacé, une donnée, un mot de pré qui serait peut-être passé de l'autre côté sans traîner ... genre : MAnche ! On enttre ! on veut toucher de chez toucher à cette branche dite "du Passé", qu'est-ce que c'est ? romance ? chant de FRance ? une donnée haute ? Porte d'entrée ça le ferait ? cohorte ? chevaux doctes ? chevaux et chevales Hautes ? Accolées ? données ? cernées ? pistées ? sur "pré de roche" ? On monte ! montons haut ! creusons ici passage et possibiltées d'ancrage ! commençons ! soyons sage en termes pour le coup de contrition, et allons ! creusons face ! chargeons ! poussons à la cravache Cupidon et entrons ! entrons en hardes ! poussons le boucjhon ! pertes sales on passe ! passons ! naissons ! soyons ! composons sur place un tracé de front : boucs au mont, bisons-tronsc, bufflettons des POnts de base et autres buffles-tout-Amidon ! entrons ! poussojns et entrons , forçons , faisons, collons, pinçons, traçons, pistons sur place .... b^tes-mots de Rage et autres Dictons ! On veut toucher ............................ au vrai du pré ....................... le mont doré ! la Haute Futaie ! mamelon des mamelons ! .......................................................................................... un pont ! .............................. pont donné .............................../..... aimé ............................. accvolé ici à une cloison ..................................................... cloison-ponton ...... palier ......... tracé de front sur paroi allouée à une sorte de rotondité de base, genre CHatte d'eau = chateau ! enclave ! fortification de Rage et autres Enceintes Collaborantes ! On entre dans l'antre ! on commande ! on cherche ! on veut toucher à ce Néné du post-muret = le PAssé ! car, le Passé (qui n'est jamais assez) nous regarde sans cesser ! il est peut-être le Passé des Franges, Passé né sur papier de FRance et autres mots d'identité ! intense ! intensité ! traéit ! parade ! cavalcade au cran d'arrêt ! chevauchée sarde ! bêtes lancées sur un muret tout échancré ! traits des traits sur du passé et le tour erst joué on dirait ! on veut toucher ! toucxher à ce muret, des données intenses ! traverser de chez traverser et retrouver là-bas, le mur du fond passé, ... les nénés de rang , le lait, la douceur et la clarté du lait, le Passé Intense d'un V de bébé ! rage et bisque-née ! la chance , transe, panse ! Un néné duvet ! frange sur Passé re-né ! Acte noté ! On voudxrait pas recomme,ncer pour recommencer mais en vrai on se rend compte ici que le passé tracé est du passé en devenir, comme qui dirait ! Onvoulait tracer et comme un fait exprès, nous voilà qui alloons, en face, retrouver un certain nombre de données qui, en vrai, avant = auparavent, étaient données ... de rages sub-naissantes ! on sait ! on voit ! on entre = on voit ! on a deux yeux pour ça ... et même mieux .... la voix ! moi-voix dite "de passage" , car, la Voix "entre" ! elle est là ! elle n e cesse pas ou ne cède pas ! elle enttre en l'antre ma foi ! ça passe ! mots de pot ! mots des mots donnés de base entrent ! frappent !collent et entrent ... da,nsz La mortIntense ! = Chance ! Voix de poids ! ça entre ma foi car voilà ! le Verbe de la Foi en la Mort intense entre ! va et vient comme à la parade ! c'est "certain" ! ça crache ! ça trace ! ça envoie grave ! ça en voie du bois sur façade -parade aux bêtes de poids ; bouquetins ! On entre ! entre ! on veut toucher de chez touchezr à l'Ambre ! ambre-née ! néné ! trait ! trait de fée entre les nénés = ce trait = ce foyer = ces données = ce Passé tout échancré = une sorte de Passé de Roche ! Haute POrte ? on veut aller ! on veut creuser ! comprendre = cdonner ! Faire = toucher ! Dire = ancrer ! percer = charger ! bousculer sur pré la bête Rosse, et vite fuir vers ces Nén"és post -pré, qui sait ? on file ! on court à toutes enhjambées ! on ne regarde plus le passé du pré mais ... le passé post-pré, qui se réclame de notre passé mais ... pas sûr qu'il en est ! rien ici de si sûr en vrai ! car, le Passé de soi est enterré ! et, le PAssé disposé (ou comme disposé) devant soi, est nu immaculé ou comment dire, peut-être en effet traversé d'effets d'un passé de roche mais en vrai comme d'une sorte de ... lAit de FEE , Fée HAute, FÉE des fées hautes sur trait de Roche = entrée ! On ose ! on monte ! on veut toucher -aimer, cerner-coller, poster-allouer, vivre et contrer ! aller vers ce Néné tracé ! porter Roche au frais, chercher ! toucher = toucher et aussi cerner (ici)
le Néné des OMbres (hommes ?) du Passé ! colle ! coll"é ! percé ! perce-monde ! on veut toucher toucher toucher aux nénés des ombres et téter téter téter sans plus s'arrêter ! coller = faire = être = dire = conduire, ici, ce trait, vers ce néné des données vives post-pré ! adouber ! allouer un dire à une Sommité ! chercher = chercher ! vivre = vivre ! dire = dire ! mais oser = faire (pas à moitié) une sorte de cxhemin inverse à jamais, mais en vrai : nouveauté ! passé acté se fait tracé ancré ! chant des fées, vrai passé sur pieds ! on est nées au Passé ! on vient toucher à un Néné né ! percé !
lait ! lait ! lat ! lait ! laot ! lait ! lat ! lat ! lat ! lait ! lait ! lait ! ait ! mait ! ait ! lait ! lait ! lait !lmar-t ! lait ! lait! lait lat aot ! lait lait ! lait lait lait ! lait lait lait ! lait lait ! lait ! lait !lait ! lait ! air-t ! lait ! lait ! laot ! m&it !lait ! lait ! lait !lait ! la&it !lait ! mait ! mait ! la&it ! mait lait ! lait ! aot ! la&ot ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! ait ! mait ! lait !aot ! lait ! lait ! lait lait ! ait ! lait ! lait ! ait ! maot ! laéit ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! ait ! lait ! lait !l ait !lait ! lait ! ait ! lait ! lait !l ait ! laot ! lait ! lait lait ! lait ! lait ! laott ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait lait ! lait ! lait ! lait ! lait! ait ! lait ! lait ! lait ! lait ! mait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait ! lait! lait!lat! lait! mait! lait ! lait lait ait ! lait ! lait !lait ! lait ! lait lait lait ! lait ! léit !
lait acidulé ! lait entier ! lait nacré ! lait donné ! don de lait post-pré ! charge allouée ! don des fées ! tracé ! tracé fait sur pieds ! on naît ! on re-naît ou comment dire ... on ... continue de vivre ! sur rue ! On est le V des données Velues ! volonté ! Vie vive à jamais !un trait ! trait de vie de Rue ! Vie vue ! le Passé attendu ! Rose sacrée ! chants xdes prés ! on est nées ! velues nues accrues ! on aime ! on fonce ! on cherche ! on est la Fée du théorème ! le tracé des formes ! le poison de roche et autres ... poisons sous roche ! Amidon ! Côlons= gros côlons ! Poinçons ! CHose Haute ! = le PArdon ! la Pomme ! Haute trahison sur Front ! ça m-onte ! ça porte ! ................../..........................................................................//........ fonce ........................................ file ........................................ cherche ............................ creuse ...................................... cherche à grave découvrir des cjhoses concernant la mort .................. ce que en vraila mort est ........................ ou bien ce que en vrai la mort serait sans déconner ........................................................... qui le sait ? ./........................... qui saurait nous en informer , et ça serait top ! ................................ qzui saurait en vrai nous donner du Néné sans traîner ? .......................... sans chipoter ! .....................................ça serait super ! et ça nous comblreraoit comme jamais (de lait ?) ! ...................................... ça nous ferait réemllement du bien et nous apporterait de quoi nous redresser et, aussi, de quoi nous requyinquer sans tarder ! ................................................................. toucher toucher toucher toucher ................................ coller aux nénés ! coller de fait ! coller-tracer à des nénés et ne plus s'arrêter jamais = téter, à jéma&is, de ce lait de "roche -forme" ! .......................................olé ! ................................ trait des traitsq ! .................................... chose haute ................. pôrte ? ........................ porte haute ? ................................comme ici accolée ou adossée à une roche en fin de pré ? .......................... une porte d'entrée vers le monde ... du Passé Passé ? ..................... mais qu'est-ce que le p ässé PAsseé en vrai ? on aimerait comporendre ensemble ce qui est ! on veut cerner-toucher = comprendre (à jamais) ce que c'est que ce (dit) "Passé Passé de Rage" ! Qu'est)-ce ? quoi est-ce ? on entre ! on entre dans l'antre ! on cherche ! on regarde ! on veut en vrai se rapprocher "ensemble " (ailée) de ce Passé Passé de contrebande ou dit "de contrebande" . Qu'est-ce que c'est ? eh bé , c'est ..... cette Chose HAute ... un tracé , une Note de ROche , le Passé de Porte, donnant (en vrai) sur un Passé de Roche ! né ! passé né ! passé re-né disons et donc né ! c'est un fait avéré , entériné, annoncé" ! ça porte ! ça va haut ! ça remonte, voilà ! le Passé remonte et du coup re-nait ! monte sur ghAuteur des fées ou dite "des fées" . La porte passée (une fois passée) . On mo nte ! du moins on essaie ! on veut toucher de chez touchezr à cette chose ... du Passéb Passé ! hordes ! hordes hautes sur post-pré donné ! on monte ! on veut monter ! on veut coller ! on veut cerner ! on veut toucher de chez toucher à ce qui est,, qui (ici même) re-naît tout bohême ! un tracé des Fées ! en chaîne ! l'aimée ! la belle Ferme ! onctuosité des données de traîne ! ponctualité ! largesse de fée et autres générosités internes ! Dans la mort en vraéi On renaît , d'abord Fée (sur pré) puis Bébé des Traits... collé auc Nénés et buvant du lait ! Lait cde ferme ! lait d'herbe verte ! VERBE ADDORÉ ! VERBE DES PRÉS ! VERBE-HERBE ! TRAIT D'HERBE ET DE LAIT DE LA FERME = VERBE NÉ, CHER VERBE ! ACCOLÉ ACCULÉ À UNE SORTE DE DONNÉE DONNÉE DU GENRE HERBE ! VERBE D'HERBE ET AUTRES SOMMITÉS EN HERBE , GENRE AUROCHNODOÏTÉ, SUR PRÉ ACTÉ !
on aime tracer = dessiner, à main levée, la bhête sur pieds = bouquetin ! buffle harnaché ! buffle cendrré ! bufleaccolé à une vérité de roche,
et la belle bisonne, l'antilope, chevale des formes, chevalines roche aux données hardies ! on monte ! on envoie ! on cherche haut les divers envois ! on ose ! CROSSE ! cforps de peau ! pôrte grosse ! coup d'épée dans l'eau ? on monte haut ! on colle ! haut des hauts ! on est hautes et hot , au chaud ! au chaud des boyaux ! grotte haute ! gros du gros ! on monte ! on veut aller haut ! au plus haut ! chercher cerceaux ! passages doctes ! tréteaux ! poteaux ! tonneaux ! tuyaux ! vins de roche et autres alcoolls hot ! traineaux ! on monte ! on monte haut ! haute roche ! on est haut et hautes ! on monte sur tonneaux de pot ! grotte haute ! gros du gros des bêtes de roche ! chevaux d'eau ! peau des peaux ! on ose ! on veut haut comprendre les données de roche , et treacer haut les mots de trop ! porte ! ....... porte ! ............ cogner )à la porte ............. tracer ! creuser ! vouloir ! allouer ! chercher ! cerner (ensemble : fée) ce qui est qui nous regarde aller : le Passé ? le Passé tout près ? le passé alloué à une sorte de Donnée de poche = roche ? poche-roche ? roche-poche ? car, la roche (la paroi) est (serait ) une ... poche ? genre poche d'eau ? peau ? peau desq peaux ? on ose ! on veut toucher à ce poteau ! l'ombre ! le poteau des ombres ! On monte ! on monte = on tombe .... mais "en haut" ! sablier de roche ! on ose ! on colle ! on veut (de fait) aller, si possible le plus haut possible et du coup, peut-être, comptrendre = entendre , ce que c'est que ce Néné de contrebande en bande ... et autres "nénés de France" (?) si tant est ou si jamais. Car, ici, la langue en usage, est franche ! trace d'ambre ! cortps naissant ! parade nuptiale dans le firmament ! podagre ! porte forte ! pets de nonne et autres tourments ! on entre ensmble (deux). On Veut (forcément !) cpomptendre les données du Feu , la Charge mentale des données du FEu, et de L'ambre natale : le Passé ! le trait ! la Portealouée ! l'ombre sur le pré ! nuages cendrés ! charges possédées , antre ! L'antre aux Nénés : qu'est-ce que c'est ? une sorte d'antre ancré .... aux nénés tracés .... charade ! On passe ! on est entre ! entre deux nénés et ça le fait ! on veut toucher toucher toucher, coller coller coller, percer percer percer, dire dire dire, allouer allouer allouer, comprendre comprendre comprendre, cerner cerner cerner, faire faire faire, chier chier chier, pistonner de bonne guerre et tracer sur pré (sans plus de colère) le TRait ! soit le trait des Traits ! on le sait ! on aime ! on veut aimer ! on veut coller ! dire et centrer, sur herbe, du concret = HERBE = VERBE ... à jamais ! VERBE né des données premières ! hé hé ! découverte ! on sait ! on naît ! on est née fée des prés aux bêtes, mangean l'herbe fourragères de treait ! en beauté ! On veut de fait monter de chrz monter sans désemparer et passer ! passer en vrai ! passer grave de l'autre côté ! = traverser ! pisser ? pisser ou passer ! mais y aller, sans plus traîner, à l'arraché si tant est, l'important c'est de pouvoir passer et aussi, d'aimer aller! filer ! coller ! donner ! porter ! chercher ! comprendre les données du monde, les cerner de roche si tant est et les jeter-poser à la ... FAce de ROche= la Paroi ! Paroi Haute ! Porte ! POrte des ROis et REines des Voix ! hautes portes sur paroi de roche ! bêtes à voix ! traits des treaits sommés ! on ose tracer ! on veut coller ! on aime allrer ! on cherche à souder , à une roche, un trait de Verbe Salutaire, sachant pour ainsi dire faire la navette, entre, d'un côté, le Passé, et de l'autre , Le pASSé passé ! Ombre ! ombre haute ! porte haute aux ombres ! on cherche ! on cherche un tuyau ! une sorte de tuyau de roche (ou boyau ?) qui sache, pour le coup, nous dire sans faute, par oùu peut-tre en vrai passer sans pour autant soi-même se blessser ? On monte ! on ose ! on veut toucher de chez toucher à ce Néné du bout du monde = THE néné ! le des ! le Néné des Nénés et hop ! au trot ! porte à porte ! on monte haut vers ce boyau des Roches ! haute porte sur les Hauts des Monts ! tracversée de Poche! mort ! Mort ho ! ho on ose haut , la mort ! Mont des Hauts de Roche Haute ! poteau ! passer le poteau ! porter héut le mot des Roches = fuseau ! on monte ! on va haut au plus haut ! porte ...... d'une porte l'autre ........ ou d'une porte de roche Hot à une porte de roche Haute ! le poteau ! .......................................................... haut .............................. haut de chez haut ........../........................................... poteua des mots ? ............................... porte close ................................. haute porte closes ? .......................... mots de trop ? ......................................... mots des mots comme des animaux ............................... buffles des peaux ......................................... chevauxde trot ...................................................... bouqurtines andines .......................................................................... vouivres ? ...........................................................................................................................givre? grive ? ...............................................?.?.?.?????....................... on va haut au plus haut niveau ......... herbe-verbe ............................. hautte eau !......................................... eau des hauts .................................... fenêtre ? ....................................../.................................................................. hautes portresv des données de roche.................................... seau d'eau ! ...................... sainte roche des données accortes et autres portes hautes ................................. au cordeau ............... pioche .............................. bonne pioche en poche .................................... on monte, on creuse, on trace, on envoie, on commande, on y va, on ne veut pas rester en râde, mais,
tracer de chez tracer, la promaenade, le sentier, le chemin sur pré, vers là-bas la mansarde = face aux traits = le Néné ! car, la Roche aux traits = le N2né ! trait des traits = le N2né ! sarabande ! porte d'ensembke ! un passé en FRance sur tracé de base ! le trait = le Passé ! la chance = le Pet ! point des fées sur roche allouée à une sorte de Passé de porte haute ! tracé né ! la Honte ? ho, qui sa&it ? honte haute ? de n'être pas née, une fois le mur passé, à une vie "haute" ? on ne sait ! on monte ! on veut tracer sur roche un trait de chauffe ! tourner et virer , virer et retourner ! aller ! contourner ! vrirevolter ! ne plus nous arrêter jamais mais grave y aller et donner , ici, les mots dits "du passé" , dune Roche Aimée ! on veut coller ! dire et poussrr , aller ! faire ! chercher ! ceindre ! allouer ààun passé un tracé sur pré ! tâcher de percer ! trzit sur traits on veut toucher ! coller ! aimer ! ^rtre, sur pré, L'ÊTRE-FÉE des données de Roche , et hop ! on monte = envol ! ailes déployées ! on monte hautes ! Fées tracées sr roche de porte ! Fée du pré on monte ! vol ! vol de fée ! col de roche tracée ! vol d'ombre ! vol de V ! voie des fées ! on monte ! on veut toucher à ce Néné du bout du monde ! on veut grave l'aimer = l'aduler = l'adorer = l'embrassser = le toucher de près ! haute roche des denrées ! lait ! .................... lait ! ........................ lauiiit ! ....................... lait ! ......................... lait ! ............................ lait ! ............................... lait ! ..................................... lait ! ............................. lait ! ........................................ lait ! ..................................... lait ! ............................................... lait ! ............................................. lait ! ............................................. lait ! ........................................... lait !......................................... lait ! .................................... lait ...................................................... lait de trait ! ....................... trait de lait ! ...................................... on aime le lait ! on veut téter ! on veut grave téter ! on adore le lait ! vite, du léit ! du lait comme s'il en pleuvait ! lait des laits ! lait ........................................................! lait plus qi'aimée ! car, en vrai, le Lait est la DEnrée Suprême ! la crème des crèmes ! on veut téter parce que cvoilà on est pour ainsi dire devenues en vrai (au passza ge final) des bébés de trait ! on aimme le lait parce que voilà, c'est sucré salèé,
à nous ça nous va car on aime ça ! on en redemande ! on veut grave ça , pour notre foie, pour nos membres, notre voix, nos hanches, ailes de Choix, ambre ! on veut comprendre = on veut toucher = on veut en avancer ensembkle dans les connaidssances et du coup ne plus jamais nous arrêterr, car .... on envoie ! on trace grave sur paroi les Bêtes de poids : Romance, Toundra, TREanse, PArade, Char de Rage, Bëtes des ROis Et REines de l'au-delà, la Paroi des CHances = la Paroi-Antre = poche des voix d'une répriomande ! on entre ! on veut ça : le ventre ! les données du ventre ! Foie des Reines et rois , passage d'ancre ! On entre par choix = on commande ! On veut ça =
-le tracé dee poids
- la rage
- la toundra en tant que paysage
- transes
- treanses et danses - parades nuptiales, ça envoie ! ça crache ! paroi ! roi des poids ! on entre ensemble (femmes) , nous voilà ! femme-fée de rage, trait sur trait , vol de roche allouée : on entre ! on passe ! on cherche ensemble ! on a méga-envie ensemble de comprendre, ls données de base et ce qui s'ensuit, car, on se ressemble grave ! ailes de trait ! charge frontale ! envolée notoire )! naissance ! ................................................................................. naissance en france .................................... porte-voix ......................... connaissances de paroi .............................................. charge et autres traitsde ^poids .......................................... rage ! ......... la rage ! ...................... l'envoi ! ....................... le passage ! ............................................................................................. vrai ! ................ vrai passé de RrAGe , ou des RAges allouées, FRAI ! ................................................. porte d'entrée .................................. entrons ! .................... passons ! ................................... volonsz ............................................ on a méga-envie ensemble de comprendre les données frontales, et du coup en vrai et si possible d'y aller , au plus p
rofond des connaisqances , car voilà, on veut toucher à ça : la Rage, le tracé de RAge, ce tracé tout acidulé qui semblerait ...
comme vouloir à nous nous parler : pourquoi ? qui est donc (ou quoi est donc) ce dit treacé qui ici semblerait .... le tracé d'un ange ! on dirait ! qu'est-ce que c'est ? qu'est-ce que c'est que ce tracé notoire ? du passé ? trait ...
de Passé ? antre ?
une sorte de Passé de Branche ? oiselet ? trait sur trait on aimerait comprendre et à jamaéis ce que c'est que ce passé de branche ou dit "de branche " ! qu'est-ce que c'est en vrai ? une romance ? un treait ? la chance ? un treacé gravé par un être des prés ? femme-bouquretinne ? homme-buffle ? enfant sage (sarde ?) ? On voudrait trouver ! comprendre ! cerner ! posséder les traces, les compter, les énumérer, les poster et les publier afin de mieux les partager et du coup peut-p^ptre trouver, celle ou celui qui saura nous aider , ici, en nos démarches ! on veut pouvoir y croire ! toucher = faire ! comprendre ! souder, à une branche, un SAVOIR IMMENSE, comme qui dirait (hum ! sans se vanter !). On entre ! on entre en transe ! le tracé, le tracé de branche ! houp la houp ! transe ! transe allouée ! transe sur traits ! pré ! pré de France ! r(omance ! raretézs ! traits postés ! charge ! charge dense ! le passé est le passé peut-être qui n'est pas assez , et cependant .... rempli de lait hé hé ! on veut téter ! à nous le lait ! on veut grave téter car on aime le lait ! on veut aimer le lait ! on veut toucher, cerner, comprendre le Néné du lait, ce qu'il est ! est-il .... Néné né de fait ? est-il ... n2né né sur pré puis il aurait de fait traversé le muret et ....
ou alors post-pré ? né post-pré ?
comme en contrebande passé ou au contreaire né post -pré ? On ne sait ! on chercheb! on veut toucher-cerner = donner = dire = comprendre, les données entières ! .......................................... faits vrais ...................... portées de VErbe ....................... le tracé alloué à un verbe... "post-cimetière" .............. verbe ver t d'herbe verte ! ........................ treaits des traits alloués aux herbes et autres denrées genrre LAIT .................. lait des laits ............... lait d'herbe ! .............................. lait vezrt = verbe ! ....................TRAITS !
17/1/2025
On veut comprendre = on veut toucher ! On ne veut pas se laissser déborder mais grave en avancer ensemble p âr les connaossances ! On cherche Des Données et autresxs Faits de RAge post-muret cfomme s'il en pleuivait ! Comprendre = toucher à ce qui se présente en cette szorte de Façade ! chants d'âmes (armes ?) et autres chants de Contrebande alloués ! On enttre ! on veut enttrer alors vpoilà ! on e ntre ! Onn entre "ensemble" ! On est "Aile's de Fée" sur Place , TTracé-né, Chants graves ! Fée des Fées ça le Fait ou Disons que en vrai on dirait que ça pourrait ! Que ça pourrait q'en étant fée on puisse grave en avancer bplus volontiers en ce Pays des Données Franches et autres Trait des tRaits !
charges ! colle ! montée sur roche ! traversée de POche ! On ose ! on veut toucher à ce Néné en face : LAIRT ! LAIT de RAGE ! ou COlle-lait de RAGe ! TRace ! on est nées Fées car on est Nées , ensemble, dans la ... mOrt, telle
que voilà, on l'a (dirait-on !) en FAce : Trace ! CHarge ! POids ! Colle ! on ose ! on veut grave ensemble aller sur ce chemin des conaissances, "connaissancesc de roche" : tralala frontal, pertes à l'ambre, colle-née et autres faits et gestes post-:muret = post de chez (en vrai) post-mortem = ... post-poszt ! On entre ! on veut gagner (ensemble : ailes) la bande des Données Frontales ! On a pour ainsi dire traversé une première fois la roche, là-bas = derrière, et à présent, on voudrait (de fait) comme re-travezrser, cette roche dernière ou ici dernière = ce muret dit "de cimetière" , et aller, aionsi passées, de l'autre côté, côté Perte, côté Post-herbe, c^oté FRai ! On veut ... eh bé peut-êttre ... allouer, à un CCôté, une sorte de ... Vérité-Déité si ça se pouvait ! On veiut grave cerner et pour cer,ner on a besoin de LAit comme s'il en pleuvait ! toucher = toucxher ... mais pas que ! Toucher aussi égale ... avancer, tracer, chercher à gagner, courir sans treaiîner, pistonner et ne pas se retourner jamaiçs ! On est entrées e,nsemble FEmmes ( F2es) en ce Tracdé de post- "prairie des Fées", et donc voilà ce qui ici semblerait, qui sait ? se présenter, se monttrer en ses doux attraiots, etc ! On enttre ! charge de Rage ! ON veut passer ensemble ce dernier muret ! mur des donnjées ! colle de trait ! PORTE ! PORTE de ROCHE ! Cporps mauvzais sent la charogne ... mais la fée ! Fée d'ombre, elle , naôit, comme "désodorisée" ça le fait ! ça passe ! ça rentre ! c'est rentré ! on est comme à présent (on dirait) passées de l'autre côté en tant que F2e des Prés (post-pré ) . On veut comprendre qu'est)-ce que ça veut dnire ? eh bé comprendre c'est toucher et aussi ENTTRER ! Tracer le tracé de la Bête de chzrge, poids -masse, trait des tra&iots ! Bête-Fée sur HErbge , on connzît ! on aime ! on est la Fée qui aime ici, la Bête comme elle ! On veut coller = cerner ce qui est squi est ! On ne vfeut pas se laisser dominer par qui seréait devant à nous mater pour nous attirer et nous Avaler ! Que Dalle ! point de ça sur Antre ! On est nées Fée la Paroi passée, on est Fées des Prés, on court on vole, nous voilà arrivées devant la Porte aux OMbres ! charretière on ose ! on veut INSULTER ! faire ainsi que la mort soit ROSE ! trac ! touchée ! on est nées Fée sur pré et nous voilà comme accolées à ce muret dit "des Finalités" ! Qui on est ? on ne sait en vrai ! FEmmes doctes ! Fées ! Allouées ! Dites ! VErbe né ! CHants des prés post données de RAge ! croyances ! compétences ! contenances ! colle aux fées et on avance pour enfin comprendre ce que c'est quue ce muret des Coudées FRanches (?) ,Données Franches (? ) , Tracés et autres connaissances de Quartier ! Fées ! Fées des prés enfi,n passées (qui sait ?) de l'autre côpté ! On ne veut pas laissser tomber mais au contraire grave en avancer en nos recherches en herbe ! on veut toucher à ce Néné post-herbe (post-Verbe ?) et aller, monter, gafgner, comptrendre ces Nénés des ^ägesz ce que c'est en vrai ? qquoi, du lait ? Lait de Trait ? traoit ? trait de Lait ? lait-trait très laid ? des données ? des ... Envois de Masse ? contredanses ? On veut toucher ensembke à ce Néné posqt Trait, et du coup y voir un quelque chose de (disons) un peu (un poil) discernable ou situable ou devinable ou distingable si tant est et on dirait que c'est, qu'en vrai (npost-muret) un quelque chose se tiendrait, de type " Façade" , "Cjharge Mentale (en transe !)", "Portillon-passage" et auttres traits de Sente ! On est nées ! dans la mort voilà on naît , on naoiît Fée ! homme ou femme on naît, dans la mort, Fée ! = Ailée ! femmes des Prés ! Fée-femme allouée à (ici) un pré de rAge ! tracversée de pré de passage ! Danse ! sarabande ! traits des traits ! vents de face mais on en avance ! on ne veut pas ... se laisser
On ne veut surtout pas se laisser
On ne veut surtout pas se laissszrfenvahir ou quoi ou qu'est-ce mais aller ! voler ! vgoleter ! poussserg loin sur Herbe Verte et gagner le Muret p ôst-Verbe ! On est nées Fée sur Herbe Verte, Verbe, Pets ! On veut coller ensembvke à ce muret post -pré et du coup tracer , p asszr, ne plus reculer mais "y aller" en termes de re-connaisszance, regartds apportés, rechershes de TRaits . On veut toucher à ce Néné post-pré ! parade ! On entre ! regardons ensemble : que voit-on ? Alors vgoilà . On voit ........................................ des mamelons ! ........................................... peau d'ambre ! .............................. lait de charge ! ............... laiot blond ! ...................................pompe grave .......................... ton sur ton ..................... une sorte de mamelon ici se montre en FAce ! on veut comprendre ! on veut toucher ! on veut "essayer de toucher" , ensembkle (ailées ) à cette sorte de Donnée DE base ! traits de Fée sur Page ? Qui s ait ? on veut toucher ou on voudrait toucher à ce qui est qui ici se présente à nos yeux hébétés ! des nénés ??????????? des nénés en vrai ??????????. en vrai des N2nés ????????? on ne peuyt pas le dire et pourtant c'est vrai ! on voit là Deux N2nés comme pour nous (qui sait ?) montrées , données , allouées ! on veut du coup téter car toucher = téter ! On veut de la Tête téter ! on ne veut pas passer à côtéb mais (grave) téter ce lait, qui est ... lait de Ren nne ! LAit d'Herbe ! Lait né postmuret post herbe ! trait de Vfée on cherche ! on est nées Fées sur HErbe post-mortem et donc on est comme à présent, la mort passée ", allaitées ! dingiue ! dingue cde chez dingue ! on vcroit rêver ! sommes-nous allaitées ? sommes-nous ainsi nourries de lait de Traéit ? sommes-nous Fées -Femmes tracées, le muret (dernier muret) passé ? sommes-nous Somme de TRait ? bêtes Grosses, passée la porte ? On est Fée Forte , oui ! cohorte ! porte à porte ! va ! va toucher ! va voir ! va cerner ! va comprezndre ce Néné de POrte ce qu'il est en vrai ! qui le saoit ? car, on dirait en vrai , il semblerait, que voilà ! MORt, MOrt des Dons et Ombres, LA mort, cette Chose, soit ........................................... une sorte de..............................................................
...... DOnnée des Ombres ! Dons doctes ! corps ???
on veut crerner la chose ou o,n voudrait , de près, cerner la Chose et la toucher, soit cerner-toucher ! On ne veut pas en vrai l'ignorer ou la snober ou, même, ne pas l'envisager, ou ne du tout l'envisager, ou passer à côté sans la regarder, ! On veut voir ce Néné ! ce Né ... né ! Ce tracé ! ce treacév de nez ! trait de Fée post pré ? on veut cerner = toucher , c'szest vrai mais pour toucher on doit travertser ! passer muret des données hautes ! haute porte ! porte haute ! Hauts des Hauts de Roche ! Grotte ! Grotte aux données Hautes ! neo-quelque chose ! On monte ! on ne fait que monter ! MOnter de chez Monter ! On veut touchert à ce Néné de POrte ou dit "de Porte" car, ainsi, on se dit que peut-^tre, alors .... on saura, de fait ... eh bien .... ce qui est qui nous regarde Aller, Voler-voleter, nous envoler dans les nuées ! essayer de gagner, au plus près, ce Néné-Déité au Lait non-écrémé ! Lait d'elfe ! lait docte ! lait de traite et trait ! laitt d'herbe verte des prés et autres prairies vertes ! chants ! On est la Fée des champs et aussi des chants ! On veut toucher à ce Néné dit "des Données de Rage", et du coup peut-être mieux comprendre ensezmbke les données données à quoi elles ressembkent et ce que donc on pourrait (peut-^trete) en tirer, en termes ici de connaissance post-pré = post-post morteme comme qui dirait. On est des Féwx, car on naît sur pré, la mort traversée, Mort 1 pour ainsi dire = le Tracé, la CHarge, Bêtes sur pieds, Diplodocuse , bouquetines avides, Oiurs des prés, Bisonnée corsée ! A présent, à présent que nous voilà passées en tant que Fée née, nous devons nous avancer et gafg,ner le plus vite possible eh bien cette autre "rive" = le muret final qui est muret de CGHarge , Muret -Trait, car, voilà, sur lui (dessiné ou inscrit) est mentionné bpar où en v rai on pourrait p asszr pour donc aller (ailées) de l'auttre côté = fin des traits ,
on se pelotonne et on eesaie, en somme ,.... de passer, en ce muret des fins de pré ! porte ! porte haute ! craies ! charges-nées on monte ! on entree en cette sorte de Couvent de Nonnes ! Hoh .... vrai ? chants des prés et nous voilà comme adoubées par (de l'autre côté) un Couvent Tracé ? on est cfomme complètement sonnées de se savoir ainszi abordées ! on voit ce qui est = Néné ! ok , mais Néné de Nonne ? Nonne à néné ? nonne-néné ? homme ? hole ? colle ? ombre ? on veut en vrai coller de chez coller à ce Néné des Ombres , mais ... est-il Néné de Nonne ? Homme ? ombre-Homme ? Lairt de Nonne et autres Laits sucré)-salé comme à la retombée, en ce Couvent des Charités bien Ordonnées ? On veut aller de chez aller ! touchezr de chrez toucher ! prendre de chez prendre ! dfire de chez dire ! essayer ensembke de Déduire, de nos frais, les achats post)--pré = mots donnés,Verbe Alloué, Images de traits, Charges -Masses de type buffet, buffet-buffle à l'arrivée et ça le fait ! on touche au néné ! enfin touché ! on tète le lait ! lait de ferme ? lait des Laits ? lait d'homme accouplé ? lait des Rêves ? lait donné par squelque Soeurs Du Verbe ? lait sanctifié ? sacré ? lait de Femmes Touchées la Mort Donnée ? femme-Nonnes au tracé !
Fé donné cherche Lait de Nonne ... pour continuer à ici voleter ... en trombe ! cohorte ! corps d'ombres ! monts de Porte ! port d'Olmes ! Corazón ! Et si la mort était ;;; un Homme-nonne ;;; aux nénés donnés ? et si ... et si la Mort -Ombre était Don ? Don de roche ... Qu sait ? qui comprend et cerne les donnéesc de près ? qui sait en vrai ce qu'il en est de ces données de base ancrées et comme sitiuées sur Herbe de Pré comme Allouées à .... une sorte de champ, de champ dessiné ! On monte ! on monte haiut ! on veut toucher les Hauts de Roche , et là-haut, basculer ... de Fée devenir ombre, à nouvrzau Homme : Femme sur pied ? petits pieds = nouveau-né ? néné là pour nous faire téter et du coup retracer les traits ? re-re-re-re -re-re-re-re-re -re-re-re-re-re-re-re la Vie pré-rocher ? reé-surrgence allouée ? re- la colle en branche ? re-le feu ? re-la Horde ? re-l(encre = l'ancrahge ? re-la Terre Ombre ? les fdonnées de Poche sont sdonnées de Roche ! On veut en v rai essayer de passer, le muret des données hautes, et voir dès lors en vrai ce qui (peut-^tre) accepterait de nous, ici :
informer
éduquer
montrer
faire toucher
fzire sentir
découvrir
révéler de près
faire ainsi nqu'on puisse téter,n, car il s'agit bien de Néné ici , Néné des Nénés , Nénéds nés comme à l'arraché le muret passé ! qui sait ? qui connait les données d'assez près pour pouvoir en vrai nous indiquer (déjà) le chemin à suivre ou emprunter pour en fin et en vrai arriver à ce Néné des Données Vives, mais aussi : qui sait ou qui connaôit ... la Rive ? la des Rives Vives ? d'une sorte de reprise ! qii ? Qui connaoit en vrzai ce qui est que est la Mort "bien" acquise = traversée ! qui sait ce qui après le pré (donc : post-mortem) EST ? qui connaît de près (d'eassez près) les donnéess post-muret , pour de fait pouvoir nous renseigner et nous donner de quoi nous rassurer , qui ? L'Ombre ? l'Aurochque ? La Bisonne-baronne ? Le Buffle en Or ? l'Ours des Pommesz ? On est passées mais on est là qui, encore, cherchons, du regard, à cernerds kes Faits ! quels sont)-ils, qui pourraient nous informer-conduire ? Que penser ? que penser en vrai de ces Nénés tels que Rencontrés ? dsont)-ils de vrai nénés de femmes allaitantes ? de femmes nourricières ? ou bien alors de B,êtes ? bmêtes à pis ? ou alors Lait de Roche ? Lait de roc de poids ? Qu'est-ce en vrai ici , que ce lait comme "sorti du puits " ? est-ce Lait de Vie ? lait des prés et prairies qui aurait traversé, serait passé, aurait squivi le Trait et du coup aurait inondé le Muret et ce qui s'ensuit : Paysage-Marais, Couvent de Lait, Porte Haute, Commodores ! On est super curieuses de cerner ! On a méga-envie de nous y coller ! de passer et de chercher ou rechercher à nous y coller ! cerner = dire = porter = comprendre = passer = porter ! Allons, en force, toucgher, à ce dit Néné de Nonne , et Téter !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! oh téter !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ah téter !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! hé téter !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! hi téter !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! porter ses lèvres avides !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! et du coup avaler !, boire le lait de suite ! tracer = toucher = dire = cerner = pousser = comprendre en tant que Fée les données de Rive ! LAIRt DES PRÉS ! Lait donné par quelqe Nonne au débotté, post-roche = post-rocher ! un tracé de POrte ! les données données sont dopnnées DE roche avant toutes choescv ! on veut toucher = on veut coller = on veut dire = on veut cerner = on veut cfomptendre =on veut entrer = on ne veut pas se laissser démonter, ni démonter ni envahir, mais en vrai treacer ! courir ! filer = pistonner,
afin de gagner a&u plus v ite, de l'autre côté du pré, la Rive = ce Néné tracé,
ce Sein donné, Sein -Don de trait, Sein ferme , Lait post-pré qui aurait coulé et du coup ce serait retrouvé comme .... de l'autree côté.... post-muret ...... me'r de lait ???? mer et mère de Lait ? mer des F2es Passées ? mer de lait d'Ombre ? lait laid ? lait de trait ? lait-Ombre ? lait de F2e en Herbe post-mortem-mortem ? On est Fée de fait la mort achevée (mort terrestre) et du coup on peut voler ou s'envoler et du coup tracer et gagner ... eh bé ce Néné , dit "de Nonne post-pré ", hé hé ! on dirait de l'huile, c'est du lait ! lait des F2es ? lait post-pré = lait donné ? lait desNonnes et autres Soeur(s de Roche .? Post-roche ? nones de l'ombre ? cachées ? nonnes emmurées en son Royaume de La mùort du coup plus qu'achevée ;;; digérée ! oui ? oh ! ah ahh ! on est là pour ça : VOIR ET BOIRE ! voir et BOIRE LAIT , LAit de NONNE_DON, don de Nonné vNée , en tant que NÉNÉ ! ombre ! ombre et tracé ! charge ! charge et portée ! corps ! corps et montée (ou remontée! et on dira qu'en vrai en effet on pourrait penser, que (vrai) les Données Hautes ... sont Données de ROche =
boucs et bouques allouées à un pré , paissant de conserve, nonchalantes et nonchalants
buffles d'eau, buffle D'or, corps-don, ponte !
Bison ! Le Bison ! Le Bison accolé à une sorte de Passé de ROche comme présenté !
et autres bpêtes de la forêt , des champs de blé, des bois de contrée ! On monte ! on veut c''sst vrai poussszrvla porte et du coup entrer ! contrer ! porter ! ourler ? hurler ? charger ? pister ?ou même ... pissser ? pisser du lait ? On aimezrait vraiment enfin boire ce lait, léit de nonne allouée à une sorte de royaume l'enceinte de la Mort passée ! mais est-ce vrai ? On a envie ensemble de toucher à ce néné qu'on dit d"de contrenbande " m:ais on ne sait si cette appelation est vraiment concordante, ou pas du tout du tout ! on veut c'est vrai comprezndre les données squi hous seraient donnéeedss le pré une fois trac-versé , et du coup enfin pouvoir cerner et au plus près ce qui est la Mort passée. car, on peut pense r, que peut-êtte oui, qui sait ? la mort a Un temps ! ou disons, la mort naturelle, mort -ombre, terres de s terres , a ou aurait, peut-êtte, un temps, qui est celuyi du pré, des prairies vertes = de l'herbe, mais qu'une fois passé ce pré , alors ;a Mort redevient la VIe, les choses renaissent ou reviennent (d'une certaine manière) à elles, et nous voilà du cou!p cfomme à nouveau mpouvant téter ce lait de mère ... o-u sinonn de mère, de nourrice -none ou autres Donnes ? On Est accolées au muret : on ne veut pas laisssrf passer une occasion, en vrai : a&uussi belle, de cerner-toucher les données laitières telles que prése,ntées et révélées ! Lait = Vie = Don = Branche ! oisillon ! passé remonté tracé, et du coup Charge sur pré pour passage de F2e et re -passage / ancrage sur Cottage ! Ponte ! montée ! Ronde ! portée ! cohorte ! Tracé et ça engrange grave ! ça envoie ! ça tranche ! ça envoie du bois come une espérance ! danse et transe ensemble sur paroi pour une sérénade-calvacade-parade de bêtes de HJoie = chevals, bisones roses, buffles au Cor, Oours de porte ! On montev ! on a envie ensemble ici, de (grave) cerner les données, les données de branche comme présentées à la retombée en ce post-muret ! On est la Fée du pré passée ! on mate ! on veut ... DUU NÉNÉ ! grave on veut ... eh bé, du N2né ! pour enfin téter et nous libérer de cette enclave, de ce pré, de cette zone ici à brouter, à chevaucher, à cerner au stylet ! On aimerait ensemble grave traverser la&dite paroi alloué e au Verbe (tout comme l'herbe ) et sortir le Nez ! ce nez de fée ! trait ! passer ! traverser de rage ! filer ! nous retrou ver Sage ,de ce côté ... côté Lait ! côté du Lait donné
par quelque femme nourricière genre Mère , hé ! on veut toucher ! toucher au néné = téter , sans nous retourner mais tout le contraire : avancer ! pistonner ! passer ! courir ! aller vgite et ne plus stationner ! courir = dire ! dire et courir = faire ! porter et charger = entrer ! porter aux Fées derrière les données dernières = informer ... comme donc en arrière ou par derrière de ce qui est ! et ce qui est est cette chose d'un Néné , Gros Néné de Femme-Nourrice, Mère -Portée, CHant des Traits ! colère ? hé, peut-être ! on ne sait en vrai ce qui est qui est post)-cimetière,, qmais c'est vrai qu'on dirait que le Verbe aide ! que, en vrai, le VErbe est de l'herbe, herbeb à bien brouter pour du coup emmagasiner, soit pouvoir tenir et tracer, charger et dire, nous poster au plus près de cedit "Néné des Nénés" post-pré ... mais qu'est-ce ? qu'est-ce que ce Néné post pré tel qu'énnoncé ? Du Verbe-Lait de mère ? lait-Verbe post pré , de mère consacrée ? Post-muret a (aurait) Mère ? une mère Adulée ? Bonne Mère ? trait sur traits nous indiquerait le chemin à, ici (de préférence), de voir suivre pour de fait (ensemble) aller , contuinuer, sans se tromper le moins dsu monde ! porte haute ! le Passé ainsui remonté, on peut pousser la porte et du cfoup traverser et se retrouver, par(mi , cette fois-ci , les Nonnes, Soeurs de CXharité, SEin donné ! sein post-pré donné par Soeur Tracée = Soeur de coeur ! corps et coeur sur roche et le tour est hjoué pour une sorte de ... re
.... reprise ..... re-donnée des données ....... re-passage au lait entre-temps devenu ... rance ?, jamais ! mais le Lait ! Lait des prés, post-pré ... LAIT ! Oh on aime ! on veut aimer ! on veut toucher ! on veut cerner ! on veut comprendre ! on veut allouer à une sorte de Rocher en branle ... eh bien .... dxes donnés ! des sortes de petites choses ainsi treacées pour faire accroire que la vie ici (rocher) est bel et bien donnée de fond e n comble quand en v rai ... que tchi ! la honte ! on a osé corrompre ? o n a osé donnér eh bé nnotre passé pour ainsi dire, le Brûlé, le PAssé Calciné en friche ! Passé né sur pied ainsi donné sur paroi cachée ! on monte ! on ne vfeut pas en vrai réellement corrompre mais donner au plus de ce qu'on porte, à la la Mort de Porte, donc : tracer ! dessiner-graver les Bêtes sur pieds ! Bêtes-Roche ! Corps-Ombre ! Bouquaetins-tintin, bouquetine-tine ! aller = dire = faire = cerner =poussser = chercher = compmprendre = ficher = deée"duire = compacter = vivre = allouer et ainsi passzer (surprise ?) de l'autre côté = côté Néné , soit Néné de Fée-Nonne, ou de Nonhe-Fée ou comment nommer la Donne ? La donnée : comment la nomme"r ? par : une pomme ? pomme des prés ? pomme Haute ? Pomme cernée ? pomme d'homme , de femme Fée , de Bête Grossze sur paroi de roche , genre Auroque ? On est passéecmparce qu'o n le pouvait étant a&ilée , pas compliqué ! pour passer l'ult§ime roche on a juste besoin d'être ailée et ça le fait ! toucgrer = toucher ! dire = dire ! perdre = perdre ! coller = coler ! voir = boire et boire = voir ! c'esest un fait : vrai ! vrai fait parmi les faits qui pour le coup sont vrais ! toucher = dire = cerner = comprendre = contacter = porter ... et rire ! toucher = sédiure = téter !
Tétons Bosse ! tétons à cettte bosses-mamelon ! ne traînons ! poussons ! oups mangeons ! plu^tot buvons ! lait de Roche HAute et autres laits de porte ! Haut le lait, haute la Porte ! On monte ! buvons ! on entre ! tétons ! on tète à foison ! on adore ! on s'en fout jusqu'au fond du fond ! buvons ! aimons ! coulons ! portons ! centrons ! aimons donner et relever ! faisons ainsi que des données sieont dites "en amont" afin de pour le coup peut-^tre un jour des gens et gentes puissent dire, des données acquises (et relevées), qu'elles étaient vraie's ! pas chiqué ! pas truquées ! vraies de vrai ! accolées ! dites ! chargées ! conduites ! poursuivies en vrai sur piste ou pré post-roche animée ! colle et traits szur prise ! vert baudet ! monte-cerise ! Le tracé aux fées et autres êtres sur pieds , genre buflettes, bouquetines, léonine's et autrs félines des parois tracées . Vive l'Ambre et le CArré , la Chance ! le Passé en treanse ici dépôsé, c'est un fait qui ne souffre pas (du tout) de concurrence ! fait des faits on entre ! on passe ! on veut coller = s'accoler. On veut toucher à ce qiii est qui se présente en termes de données, dites "mortuaires", car, de fait, la mort actée se hjoue, ici, de l'herbe du pré, du pré post-mortem, ce genre de données. On aime ! on veut aller ! toucher = dire = cer ner = composer et du coup tracer (en vrai) les Nénés de l'ombre ! néné né sur du passé de porte, on dirait, est-ce vrai ? ah, il faudrait peutêtre aller le demander à celle qui là-bas semblerait comme vouloir nous accepter et nous ouvrir sa p orte, kj'ai nommé : Nonne ! une Nonne ! Né Nonne ! Haute ! Haute Nonne ! Nonne Haute ! qui c'est ? c'est l'Ombre ici portée sur un muret de roche en fin de compte. On est née Fée dans la MOrt allouée, nous voilà comme re-né grâce au Lait ! Lait de Roche Haute ! post-porte ! lait des laits d'une sorte de donnée Haute mais tracée et du coup accorte ! Montons ! allons ! filons ! essayons ensemble de pousssrr et de traverser et du coup de se positionner de telle sorte ici, qu'on puisses envisager une srte de moment-tétée tel que rêévé ... et cfommbien de fois ! combien de fois rêvé ! eedsayons ! poussons ! poussons drôle peut-être mais ! poussons donc de chez poussons "le blé en herbe" ! creusons ! creusons de fait la Roche Meublée ! le Passé de POrte est un pAssé de re-naissance, à une VIe Haute et Auttre : Parade, Parole, paradis, passage garanti ! On veut Haut comprendre. Dur savoir. Ferme charger. Haut porter c'est un fait ... et puis alors nous laissser aller à du coup regarder sans ceesse les données post-porte, ce nuage de lait, cette blancheur céleste, cet attrait de trait, cette herbe non pls verte maéis deécolorée ! lait ! lait d'herbe ! lait donné ! données = lait ! les données sont du lait de Ferme ! Ferme Forme Haute Nonne Lait ! Lait de Nonne post-pré olé olé qui sait ? car, une Nonne est ... un homme ? Un homme desFées ? fées-Homme ? homme transformé en fée la mort alors allouée ? Homme-fée aimant Néné à bien téter pour se requinquer et pouvoir sans tarder donner ... eh bé peut-êttre, un dernier cfoup de collier , et zou ! virée ! embrassades sages ! corsage ! lait d'emblée de France ! ohé ça danse ! ça tremble ! c'ewt donné sur pied et ça le fait ! hmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm du lait ! on adore , miam, miam de chyez miam ! on aime le lait ! on adore le lait ! dingue en vrai comme le lait on aime , on aime lécher, téter, ingurgiter ! lait des laits aimé ! On veut téter de chez téter le lait de la nonne ! homme-noonne = fée du pré ainsi passée de l'autre côté il semblerait .... On aime ce lait ........././........................................ mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm on ne peut pas ne pas aimer tellement c'est corsé ! mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm:mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmlmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm, l'important c'dsst d'aoiumer ....................................................................... d'aduler qui sait ? ......................... ce lait post-pré, post-fée, post-muret, post bêtes allouées à une sorte de cloison de roche , genre ... ponton ! ON monte ! on veut aller ! on veut creusezr et aimer ! on veut en vrai grave creuser et grave aimer ce lait donné par une nonne au débotté d'une sorte d'entrée e,n FRont ! colle ! porte ! montée et remontée ! on a envie en vrai d'y aller et de nous retrouver en vrai au plus près des données telles que véhiculées en ce domaine des entrées de Porte ! Lait né ! Roche auprès ! haute Futéîe ! on veut toucher à ce Néné des Données Hautes, les plus Hautes ! on aimerait en vrai excvelleme,nt comprendre véri tablement ce qui se trame en ce domaine (ici) des données lactées. Qu'st-ce que c'est ? du vrai l ait ? de l'herbe recrachée ? du lait de ferme = d'herbe ? Chant ? Cri ? Christ ? porte comme dégondée et o,n monte et on ose et on tète (grave) le Néné Donné ? on est Fée mais le trait passé (une fois passé) on est plus fée ! on devient ... trait ? tracé ? dessin de pieds ? colle-apprêt ? On veut en vrai cer ner ce que en tant que fée du pré (de la mort acté) on devient une fois le pré dépassé, soit post-post -mortem ! hé hé ! c'esst un fait qui en vrai le fait ! donc .... on cherche ! qu'est-ce qu'on peut être une fois en nous la Fée transformée ! Peut-^ttre ... un BéBé ? uune sorte de nouvrzau-né qui verrait, sentiraéit, téterait sa mère , mère à lait ? eh bé on ne sait ! on ne sait en vrai ce que ce bébé est ! on ne sait en vrai ce que pour le coup ce bébé ici (loin !) serait .... une PAire ? un pair ? oun trait pair ? une sorte d'entité nacrée à lmarges données ? une sorte de ... passé surnuméraire et ça le ferait comme à la retombée sur terre ? On cherche à deviner ensemble ici et là ce qui se pourrait ... et du coup comprendre, le Passé, le Passé retrouvé ou sinon retrouvé rebattu ? ou sinon rebattu re-pondu ? On cherche et sévère ! on ne s'arrête pas ou plus ! on ne veut pas lâcher le mât ! on veut grave rester accrochées ! traîner non mais s'incruster en effet ! on veut toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher à ce néné dit "des nénés " , c'est dire ! on aime le Néné du Vivre ! n éné né à tout jamais la mort aéllouée comme enterrée en définitive , ainsui de suite ! Car, la Vie devient Mort qui devient Sort qui devient Vie qui devient sort qiui devient MOrtqui devient Sort qui devient vie qui devient Sort qui devient MOrt qui devient Sort qui DEvient VIe qui devient Sort qui deviet MOrt qui devient VIe qui devient Sort qui devient MOrt qui devient VIe qui devient Sprt qui devient MOrt qui devient VIe qui devient SOrt qui devient MOrt qui devient VIe qui devient SOrt qui devient Mort qui devient Sort qiiu devient VIe qui devient Sort qui devient MOrt qui devie,nt sort aui devient VIe qui deviejt Soprt qui devient MOrt qui devient szort qui devient Vie qui devient le SOrt, qui lui mê'me devient la mort , puis à nouveau le Sort , puids du coup la Vie , Vie ici donnée du fait que voilà, on renaît ! on ne peut que renaître à la vie ! la vie vit sa vie éterneleement rejouée de rage ! trace ! prêts ! visages ! traits sur traits et ion grave grave ! bêtesz ^placides , ou pas p^lacides mais en vrai pesantes ! masse ! charge lour(de pesante ! bêtes-masse de parade et auttrezs charges ! aurchnoïdités de pervformance ! une somme debase et, du coup, on compte ! lka Parade d'armes ! troupeau en fanfare et autres types d'amoncellements notoires ! on charge ! on veut savoir ! on veut grave savoir , comprzendre, toucher, deviner, c erner, tracer et tragverser et aller loin , et essayer de fait de nous téléporter au plus lointain desz connaissances, via (peut-être) le .... VERbe-Lait donné ? ou alors le ... lait-VErbe acculé si tant est ? ou bien , via ... ça : l'ANTRAE ! L'antre-Parade ? On ccherche ensemble ! fée des fées on est entrées comme à la parade, au milieu desz bêtes ici présentes, et maintenant c'est sûr que nous,n, ce qu'on aimerait le plus ce serait de comprendre ensemble ce que c'est que cette charge dite (donc) "de para&de" ... e'st-ce des TRaits ? et si oui de quels traits s'agit)-il ? S'agit-il de traits de rage ? traits-fées ? traits du Passé donné ? traits montés ? traits sur traits et le tour serait joué ? on est comme paumées .... mais voilà, on je lâche pas ! on ne veut surtout pas vlâcher mais tracer de chyez tracer sans jamais renoncer ni même se laissser abattre ! mais tracer tracer tracer, toucher tpucher topucher, combattre combattre combatttee, vivre vivre vivre sur nos deniers, pistonner pistonner pistonner, créer créer créer , poussser poussser pousser , dire dire dire et ne pas céder ! JÉMAIS ! JAMAIE DE CHEZ JAMAIS Ô GRAND JAMAIS , MZIS Y ALLER DE NOTRE FRISE, DE NOS TRAITS ET AUTRES CERCLES DE BÊTES DE RIVE ! on aime ! on adore ! on n'aime que ça , boire ! boire du lait ! le lait grave nous plaît ! le lait de chez le lait, grave on dirait nous plaît ! nous enchante ! nous rend faons ! nous rend comme qui dirait faon ou e,nfant ! chants ! chants des prés ! soulèvement ! on veut toucher à ce Néné des Donnes des Prés ou plutôt post-pré ! On ne veut plus s'arrêter de téter mais grave téter à ce lait de Nonne ! le néné ! néné né post-roche on dirait , ou ... hor enclave en rotondité, hors cercles des fées, hors enceinte allouée à une sorte de postérité "t raînante" ! traits ! traits sur traits ! bêtes de trait ! trait de bêtes sur parois
de roche Haute ! oh oh c'est haut ! ça monte ! onmonte haut ! ho ho ! on monte haut de chez hzaut ! on ose ! on ose monter hzut ! on ne veut pas lâcher le morceau ! On veut tracer et haut, le tracé des traitsz ! bhêtes à traits ! chevauxd ! chevales au trot ! big-bisons de trop et auttreszv animaux-mots ! creusons ! pistons ! fuyons ! allons ! poussons ! donnons ! allons en sorte que (de front) les choses sortent ! passent! vont ! traversent ! ne cherchent pas- àrester en carafe mais y vont ! vont loin post-parade ! vont leur train mais loin afin de (pour le coup) ... toucher la timbale ? le tracé ancré ? le lointain ... passé, comme "revisité" à la retombée ? qui sait ? On veut :
toucher de chez toucher
dire de chez dire
pzarler de chez parler
comprendre de chez comprendre
composerde chez composer
vivre de chez vivre
emporter de chez emporter
filer de chez filer
hurler (?) de chez hurler, qyi sait ? ou ... hennir ? hennir peut-être ça le ferait, peut-êttee qu'hennir en efffet ça pourrait ! Disons, alors : hennir ! et avançons , hennissons n, traçons , ne lambino,ds plus mais creusons ! creuses que tu creuseras ... eh bien .... la paroi ! la paroi des ROIs, REines de SAba et autresn RBêtes de poids !
na !
couchons ! baisons dru sur roche ! oeuvrons ! pointons ! poussons ! disons ! allons ! mangeons ! allons dire et auusi faire ! rega rdons ce qui en vrai post-pré nous regarderait sans nous quiiettr ! qui on est ? fée ? on était ! mais à présent, sur le néné, on esrt ... re-bébé ! re-le bébé du trait ! on est passé et rebelote le Passé en trombe ! On, m:onte ! on monte ! on monte haut ! on monte très haut ! on monte haut de chez haut ! on monte ! on va haut ! on avance ! on trace ! on creuse ! on cherche à cfompendre ! on veut haut savoir ! chercher -cerner et toucher -poussser ! dire ce qui est en matière de "doux néné" tel que présenté, montré, découvert et offert à, du coup, téter, pourquoi s'en priver puisqu'en plus on est des bébées ! bébés nées sur post-rocher ! c'est vrai ! on a traversé et on s'est retrouvé, hum, transformées en des ... bébéds de rage ! dingue ! dingue comme c'est ! on aime ! le lait, on aime ! grave on aime ! on est des bébés alors obligatoirement ou disons le plus couramment ou généralement les bésbés nés tèetent volontiers le lait de leur mère , aime!nt ! aiment téter ! et tètent ! le plus couramment ! la plupart du temps ! les bébés enchaînent ! tétées sur tétées ça le fait ! enchai^nennt les tétées et les moments de "traversée du temps" ! enchaînent de chez encfhaînents ces moments , dee :
- tétées , tétées actées, tétées aimées
- traversée du temps, repos tracé, chants dedans, points d'ombre au firmament mais l'ambre, et l'asrtre du Temps, en termes de Tourments !
Lait du TEMps ? lait des ombres portées ? lait de Roche HAute ? lait de cortps ? laitd'Homme ? lait de wsel, d'eau, de roche et autres nutriments vitaux ! On veut téter la Roche aux MOts " ou dite "aux mots" ... c'est dr(ôle ! on aime grave traverser le Temps en tant que sorte de Bébé de RAge, Bébé né de rage, ou Bébé né d'une sorte de Rage Cendrée, accolée à une sorte de "gouverne sienne" ; ... on dirait ! On cherche ! on veut toucher à ce néné en herbe ! vrai de vrai ! toucher de chez toucher à ce bébé en herbe ! herrbe verte sur paroi aux fées ! ça le fait ! dizons qie ça aussi ça le faoit ! on croyait rêver mais que dalle ! on y est ! on peut se pincer ! trait de rage = traits de charge ! passez ! passez donc ensemble (deux femmes) pour devenir fée ! une fée pour deux femmes, ou disons ... un hommme , devient femmes : deux femmes , et, deux femmes , deviennent Fée dite "des prés" !
homme —>>> femmes x 2 —>>> fée sur pré ... puis .... —>>> BÉBÉ ? re-né ? re re re ? re la chance et les tourments ? les connaisszances et le prix du sang ? la romance et la cxharade ? Le passé recomposé et le prsent des transes ? temps présents sur bande traçante ? un trait de paraede ? charge ? tri ? portée nue ? puis ...
du chevelu ? du touffu ? du poilu on en redemeande ? cul nu ? bande ? vues sur la lande ? chevaux d'ange ?
On e,ntre ! on entre ! on entre ! on e tre ! on entre ! on entre ! on e ntre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on enytre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! onentre ! onentre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre ! onentre !on entre ! on entre ! on entre dans l'antre ! on entre du coup ensemble (à deux) dans l'antre du fzeu ! feu ! on devient feu= fée ! fée du feu de l'Antre , du foyer ! feu-femme-fée ! d'anttre-foyer ! feu-fée ! fée-feu ! femmesdeux = fée aimée ! entrée ! ainsi passée ! et du coup soulevée ! hissée ! montée ! On est la Fée qui fait ! on monte ! on ose monter ! on vole ! on ose voler ! on ne veut pas passer à côté mais grave cerner = dire = toucher =comprendre les données en roche ! ce tracé de poche ! pipe ou pipeau ! sons de cloches ! musique de pot ! chants coptes ! peau de trot ! bêtes à croches ! bêtes-mots et autres bêtesd'aloyau ! la Hauteb ! le Passage Docte ! poteau ! crotte ! plumeau ! sorte de tracé sur roche à la chante-peau et autres chants de Roche animaux ! on monte ! haut ! haut ho ! ho c'est haut ! on monte ! encore ! on monte de chez haut encore ! on veut hzut toucher à ce dit Néné des ESpaces post-porte ! qui connaiît la Roche, les niveaux ? qui saéit ce sqi ici pourrait, grave (éve"ntuellement) , nous dire des choses et du coup nous comme soulever encore, encfore soulever, soulever de base judsqu'au bgout du bout de cette sorte de chenal pointu ! haute porte ! haut des hauts ! on monte ! on ne lâche plus ! on vole ! on vole haut ................................ haut de chez haut car on est fée ... des données données ici toutes ailées ! on monte de chez monter ! on veut toucher de chez toucher, aux Nénés de Nonne ! hé hé ! ..................................................??....... on est entraînées ! on sait ! ................/............................... on aime voler, nous envoler, creuser et tracer, cerner et pister et nous diriger, donc, vers pareil Néné aux données (premières) souterraines ! LES
données ! Données Fastes ! Données d'Ambre et autres données ici dé^posées et à visiter ! On monte de rage ! on vole ! ............................................................................... on avance ! = on en avance ! on veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucxher à ce Néné donné, de Donna Ma&rie-Ange, Allouée à ... New Bébé ? ............................................./.......................................................... qui le sait ? qui en vrai ici peut dsse prtononcer sans vse tromper ? qui connaît si bien la roche qu'il peut affirmer et trancher ? qui connaôt son monde ? qui sinon la Fée, Fée e,n trombe haute ! fée des Fées de ROche ! haute ! hot ! haute et hot ! on monte ! on y croit ! on ose ! on est vives ethautement (de fait) motivées ! on ne veut pas laisser passer, la Chance, ici accordée, à une sorte, en nous, de Présence (?) ! On entre ! folle entrée ! on pousse au nez ... ezt à la barbhe du Passé , le Néné ! On veut toucher de chez toucher à ce Néné à lait ! lait d'antre ! lait né ! lait rance ? qui sait ? lait de FRance ? pets !! Lait de chance ? on voudrait ! chance et lait sont de connivzence il sembleraiot ! le Passé, la CHance, un tracé et l'ambience est née ! souterraine ! fête foraine ! les bêtes au taquet et nous de mêmes (fées !) ! on aime ! ....................................................... on aime le lait ! la chance du trait ! chance ou charge ça le fait du moment que voilà, on est ailées ! et c''st ce qu'on est ! on charge ! on fonce ! on creuse ! on ose ! on porte ! on veut aller ensemble sans tarder jusqu'au bout du bout du pré, et se retrouver (chelou ?) toutes rezmontées après ... eh bé ... les Nénésc ? la bande ? le corset ? la rage .?? on ne sait ! mais voilà, on veut grave toucher ! toucher de chez toucher à ces Nénés dits "de contrebande" ... les toucher de pr)(ès ! oh, les embrasservqui sait mais ici c'est téter ! téter le lait ! lait de fhomme et autres fhemme cdes données de Branche , on veut comprendre ! On entre ! .............................................................................. on regarde ....................... on renifle .................... pour comprendre , ................................................ on veut toucher de chrzz toucher, à cette sorte de donnée de base , qui serait .................../.............. une sorte de chance allouée à des "coïncidences " , ça se pourrait ! .............................. on charge ! on est nées fée la mort adoubée , nous voici à nouveau blackboulées post-muret ! transformées ! en BB comme qui dirait ! la Chance ? on dirait ! on ne sait quoi penser mais en effet, ça se pourrait ! ça se pourrait de fait qe le passage en ces contrées nous aient rendues peut-êttre plus "intéressantes" ? on veut monter ! monter haut sur roche , traverser, espérer pouvoir toucher-téter ! aller ! ailée ! ailée ! ............................... aller ailée si tant est ! qui sait ?????????? pisser ! caguer ! tracer ! percer ! pointer ! coller ! cerner ! charger ! allouer à une charge une sorte dee pa rade post-pré ! trinquer ! boire à la santé d'une sqorte de "fée poszt-fée" qui serait devenue BB ! et se serait jetée comme qui dirait sur une sorte de Néné de RAge " harde ! haut ! haute CFhose ! portHaut ! poteau ! horde de mots ! On monte ! on creuse ! on entre ! on veut ensemble saturer de rage les niveaux de mots ! creuser = dire = cerner = bouger .............................................. et bouger = dire = cerner = comptrendre ! ............................... pister ! courir ! aller ! voler ! ne pas faiblir mais se motiver ! ..................................................................................... on veut toucher à ce Néné de Nonne ! ............................................................................................................................. car ............................... on est bébé de porte ! ................................................................................. foufou ............................................. folle ...../.................... fée folle .............................. pas si folle vole ............................ vole haut hors du caniveau ................... s'impose au poteau ................. cfolle ! ................... colle haut ....................................... colle haut de chez haut ............................................. colle au pot ............................. colle de chez colle .................. au poteau des poteaux ...................................... haute colle .........?..?...?..................... ombre ? ............................................../...................................................................... ombre sur les hauts .........? .......................mots ? mots des hauts ? ............... on monte ! on veut aller haut parce qu'on est hautement
parce qu'on est comme directement
parce que voilà on veut que (des fois) on puisse
parce que voilà onj dit que parfois on veut ou on voudrait aller ... au plus haut du haut !
parce que en vrai on est des fées ett que du coup les fées eles peuvent grave voler et s'envooler et du ciuoup monter de chrez monter au plus haut du haut chalumeau ! haurt des hauts grave ! on veut gravfe ! hzaut des hauts aller, tracer, toucher, creuser, aller au plus lointain en ces contréesb ici post-muret, post parade, post-animales ? on veut toucher ! on veut ou on voudrait aller (ensemble) à la recherche d'une sorte (lointzine) de ... charge d'âme ? charge comme donnée à une sorte de "F2licité" , qui serait "La CHance" ! äme battée ! train de fée ! peuplade ! trait de rage serait trait des traits ! trait sur le Passé et on recommence c'est fermé ! on entre ...... on entre ensemble ! on passe ! on est ailées ! on ressemble à s'y méprendre à ce que autrefdois on était quand on était en transe comme soulevée par des drôles de bras, mains de charge et autres gros bras d'animales rages ! sabbah ! traces ! parades sardes ! traits de jhoie ! La Joie ! les embrassades sur toundra et autres danses nom ades ! la paroi des rois , REines de l'au-delà ! on y croit ! grave on y croit ! on y croitgrave ! on veut comprendre ! dire et donner ! prendre et allouer ! chervher de chez chercher ensemvble ce qui est qui en vrai pourrait être amené à nous donner de quoi nous repérer, en ce champ (ici !) desz charges et aiutres bêtres de parade , genre .... eh bé le bouqauetin, par exemple ! ou bien ..... la buflle de paroi et autre buflettes "crades" ! le sabbah ! la rage ! le tracé des pas , sur la paroi ! pieds de pas ! pas de pieds et autres ancrages dénombrés ! on chante ! allaluyah de rage ! la paroi ! cjhantons la Paroi ! chants sa rdes ! la paroi des Rois ert REines de là-bas, en cet haut-delà , la Manche ! les données de branche ! haute charge de paroi étanche ! on entre ! on veut toucher de chez toucher à cette sorte de donnée de base = le Passé !hé hé ! qui c'est ? qu'est-ce que ou qui c'est que cette Chose, du Passé ? un trait ? une sorte de donnée "immonde" ? trait des fées sur roche ? craie ? trait de craie sur tombe mùoche ? ............................................................... qui on est ? ....................... qui je suis en tant que Né ?? ........................ gtrait ? trait épais ? .................................. passe-porte ? don de Roche ? pretre né le Temps Passé ? voie de roche et çàa le fait ? corde ? homme-corde ? homme-fée ? homme d'ombre et le tour est joué comme il se pourrait ? qu'importe ! hot ! haute donnée ! haute de chz haute ! on est nées fées ! on est la fée né e ! fée née sur pré sera biento^t ... transformée en bb ! BÉBÉ d'eau ! ombre ! ombre d'eau ! chaud et chaude ! eau chaude à tous les niveaux et, les niveaux : chauds ! on monte ! on veut coller coller coller, dire et donner, cpomprendre et cerner, per cer, trzacer, chercher-rechercher, comprendre grave ce vqui est qui ici serait à comme nous attendre au pied levé, o!on veut toucher ! dire et monter ! monter sur Néné ! téter ! téter ! téter ! téter sans discontinuer ! téter sans s'arrêter de ce lait de trait ! verbe-lait à jamais ! joinction ! poison ? fond de roche dure ! pamôison ! allure ! hé, on touche au but ! on touche le Néné ! néné post-pré ! on touche grave grave grave ! le néné des nénés ! on veut téter téter téter
comme il semblererait
le néné de Bure ! charger ! creuser ! toucher = donner ! comprtendre les do nnées de rage les plus ancrées, en cette multitudes de bêtes gravées sur une sorte de montée, haute montée de roche, vers le TREait des traits tel que dessiné par ici un homme ou une femme ou un enfant ou une enfant aux savoirs "immenses", genre "Sge)Rage , rage sage ! traits des fées ! romances ! creusements ! ambrassades au couvent et autres chants !
2/1/2025
On est nées fée la mort entérinée , et à présent on veut aller au plus lointain possiblee n ce muret des fins de pré et autres promenades. On veut (OUI) traverser de chez traverser ce dernier muret , et COMPRENDRE ce qui est qui, "derrière", nous attendrait comme de bonne guerre ! On veut toucher à ce muret post-pré, et aller aeller aller sans sourciller vers cette chose d'une sorte (qui sait ?) de ... menuet ? danse des terres ? sang de joie ? colère et falbala ? jean-sans-tere ? on ne sait pas ce qu'il y a là-bas mais enfin on espère, pouvoir un de ces quatre peut-être comprendre (enfin comprendre !) ce sque c'est que ça, ce Passé des Mères, ccette vjoie , ce tombeau des Voix ! On cherche ! On est pas des traîne-misère (du tout) en ce pré-là, mais des qui jamais n'obtempèrent, F2e des Rois et REInes, fée fada peut-être mais pas que ça ! On cherche ! On est là pour cerner et toucher, et aussi enttrer ! On veut en vrai aller chercher au plus lointain (en ce post-muret) les donnéescparmi les plus enracinées, qui seraient patentes, discernables, quasi "embrassables" et qui dès lors sauraient en vrai, nous donner de quooi enfin situer cette Chose de la MOrt Prochaine, dernière . o On ne veut que ça ! On veut aller , on voudrait toucher,
à cet endroit post muret du pré, traverser "à toi à moi" c'est un fait, mais aussi : comprendre = dire , pour le coup, ce qui est qui vient vers nous, pour ainsi dire, : les genous ? le cou ? le tracé des Fées déjà passées ? On ne sait ce qui est mais enfi,n on espère que peut-être un d e ces jours prochains, on saura enfin d iscerner ce qui est, parmi ces fumées toutes évaporées d'une sorte de contrée qui reste à cerner , à dessiner, à comprendre en ses données Suprêmes . On cherche ici ensemble ce qui est ! On ne veut pas lâcher la grappe ! on veut grave ici en avancer, sans débander ni désemparer ! on veut toucher à cette sorte (là-bas, post-murzaille) de tracé de Rage ! de tracé de Rage ... on dirait ! à ce tracé des données sages ! On veut :
- dire et donner
- coller et faire
- comprendre et apprendre
- choisir et cerner .... les données reines ! quelles sont-elles ? Eh bien, on dirait que voilà, les données reines, par là, sont celles qui (peut-êtte) nous indiquent en elles-mêmes une sorte de chemin à suivre ou à poursuivre ! LE CHEMIN, le chemin des rives, ce chemin des rives ou dit "des rives", qui donc est ce chjemin d'une sorte de dérive, engendrée par (ici) ... le RIRE ! oh ! On voit ça ! on regarde ! on ne voit que ça, ou plus que ça ! On est entrée de Rage en ça (... comme qui dirait) et voilà que, maintenant, ensembleb (ELLES°) on voit ! on a les yeux ouverts ! on regarde et on voit ! on voit et on regarde ! on ne s'en lasse pas ! On veut COMPRENDRE, COMPRENDRE DE CHEZ COMPRENDRE = TOUCHER DE CHEZ TOUCHER, À CETTE CHOSE, D'UNE SORTE DE ... POMMADE ? Oh on ne sait pas ! peut-être ! qui sait ? qui sait en vrai ce qui est ? qui en vrai sait ce qui est ici (post ... enième = deuxième ... paroi) qui en vrai serait ... comme à nous attendre ? On est née F2e à la (première) traversée, celle de la mort comme avérée ou entéreinée ou actée ou enregistrée, et nous voilà qui en ce pré (de la mort actée) courons à vive allure et nous envolons d'envergure ! ON est née F2e la mort actée et, à présent, nous sommes qui cherchons ... la clé ! ou : comment passer. Ou : comment donc pouvoir ainsi ailées, ailées comme on est, traverser sans traîner la dernioère ... pelure ! peau de bure ! peau des mots à la revoyure, ou alors comment ? Car, voilà, on est là : devant paroio. On veut en vrai ensemble (AILÉE) passer ! passer en ce dernier quartier ou, sinon dernier, il semblerait dernier = ultime = finalité ! On veut toucher toucher à ce dernier quartier , à cet ULTIME, à ce tracé tracé des dopnnées données par une sorte en soi de D2ité "des données Ultimes". QUI sait ? le PAssé ! oh qui sait ! le Passé aux N2nés ! aïe, ça se complique ! On voudrait, en vrai, enfin toucher, aux données tangibles, à ce qui est en vrai, qui pourrait "nous dire", si tant est, ce qui est qui peut)-être de fait nous attire, nous tire,cherche à nous coller à ui ou elle, on ne sait ! Le Passé est-il notre passé ? le Passé de l'Hydre ? des données du Vivre ? Vouivre ? de quel pPassé est-on en tant que F2e la cible ? On ne sait ! On veut toucher à ces Nénésx
"des données acides" ! On ne veut pas laisser tomber mais grave en avancer en ce terrain des connaissances (avérées) ultimes ! toucher à ce qui est, le muret passé, c'est comprendre à jamais les raisons du Vivre ! Cela, on le saurait ! ou quelquepart en nous on le saurait, obn comprendrait, on toucgherait à ces Nénés du VIvre en ces contrées Ultimes, celles
d'un Passé Fluide ! d'un tracé donné fluide et autres fluidité des données avcides post-pré ! On veut grave toucher ... à ces sortes de données Fluides , fluides .... comme du lait ? hé ! ça le fezrait ! on pourrait le penser ! on pourrait en vrai grave penser qu'en effet la mort, en ces derniers quartiers, est comme du lait, une sorte de pommade grège, beige ou semi-beige, petit lait mais rance, petit lait de transe, on veut cerner, on veut en vrai toucgher, on veut goûter à cette sorte (ici) de petit lait (petit lait rance) en transe ! qui sait ? qui pour nous dire c e qui est qui est, ou qui serait ? qui sait de fait les données dernières ? les connaît .. comme sa mère , qui ? On cherche ! on n'a pas fini de chercher ! On veut en vrai "y aller" (de notre sorte de recherche) ici à jamais, en ce quartier, post -pré, qui est quartier des donnéews dernières (peut-êttre) tel qu'il nous apparait en tant que Fée ! Car, Fée on est, la mort donnée ! = ELLES = AILES = F2E FAITE ! on aime ! on aime aller en tant que fée en ce pré, aux données de l'herbe , puis tracer ! Fé des herbes allouées à une zone de denrées ! HERBES accolées ! HErbe des prés est HErbe-VERbe tel que souhaité, on dirait,n, on dirait du Verbe ! Herbe verte = Verbe, des données Genrées ! On aime ! on est passées par delà le muret, le muret des termes, on croit être passées, on est nées au VErbe des Données Tracées (post-pré) = ce tracé aux données Non-Humaines peut-être ... une clarté ? une sorte de clarté "souterraine" ? une sorte de clarté des Clartés ? une soprte de donnée Suprême enfin allouée à une sorte de Donnée Du VErbe ? ON cherche ensemble car soudées, (ensemble car soudées) à com^prendre, grave ! les dfonnées de l'Antre ! Ventre ? Charge antrale ou ventrale ? Charge allouée à une Parade ? Conséquence d'un passé "maussade " ? d'une sorte de PAssé Sage ? D'un tracé de RAge ? on ne sait de fait ce qui en vrai nous attendrait en cet ultime paysage des contrées post pré ! On est accolées = soudées = unies = ELLES = Ailées , pour en vrai ne plus tergiverser mais direct aller vers la Connaisszance des données de Genre ou autres données pour le coup centrales ! On est née Fée comme à la parade et du coup c'est une évidence, que, voilà ... on s"'est envolée ! on mo nte ! on monte quartier par quartier la Haute Paroi des données Hautes, ou sur la haute , haute paroi, des données Du monde ... de ... l'au-delà ? On voit , on regarde, o,n mate ! On ne veiut pas (certes) passer à côté, mais ... bien cerner les données en présence, les toucher du doigt, comprendre = charger = poser = toucher à ces Nénés des Données Ultimes , finales, terminales ! Gente Dames ! GEntoiseau ! Menaces ! Corbeaux ! Charge d'eau ! Potage ! On a envie ensemble (ailes de fée-oiseau) de comprendre ces nivrzaux (ou différents niveaux) de co ntrebande . On est comme fortement intéressées pour le s comprtendre et savoir distinguer pour ainsi dire le vrai du faux, ce qui est en vrai et ce qui n'est pas, est .. "simulation"
, de base, ou quelque chose comme ça dans le genre farce. On est née Fée sur pré la mort avérée, à présent on charge ! on court on vole ! carmagnole ! on veut grave rejoindre l-à-bas la toundra ou ce qui, en soi, se présente, en termes de "paysage sage" genre pampa , praiereie sans foi ni loi ou pas mais espaces denses ! le sabbah ! la danse ! la rumba dees antres et autres ventres de la Joie à être ensemble ! Reconnaissance ! Transe de Paroi ( ou de post-paroi! ) .... on entre ! c'sst-àdire que voilà ... on entre dans la danse = on entre en transe ! On veut en vrai de fait toucher à ce qui se présente en termes de reconnaissance des données de soi, telles que déposées (donc : en transe) sur Palier ! Palier dionné ! Marche -pied ! on veut en vrai toucher à ce Néné de l'ultime dobnnée des Données de Rage ainsi affrêtées à un paysage dit "de contrzebande " . La Toundra ? la pampa ? le désert des Lois ? le Passé incommensurable ? Passé de Soi ? Qui est Soi ? Qui donc est , en soi, la Fée ... "de la Reconnaissance de Paroi" ? On est la Fée aux données "graves", on est née Fée comme à la Parade et à présent on veut comprendre le pourquoi des choses (ici -bas ?) mais pas que ça ! aussi les choesc de Toundra et autres Pampas de paysage ! la Pampa des données sardes ? Le tracas ? la Rage ? le Passé de soi, de type "ratage" ? la voix ? la croiux ? le tracé nomade ou autres voies ? On charge grave ! on envoie ! on envoie du bois ou tout le bvois qu'on a en soi en termes de donnée de Rage incommensurable ! ça y va ! ça chaerge grave ! ça envoie en veux)--tu en voilà ! On voit ça ! on ne veut plus laisser passer pour soi l'occasion de peut-^tte et enfin (qui sait ?) comprendre malin, ce qui est dans ce qu'on voit , en termes de bêtes allouées à , il semblerait, la Paroi des Paroois ! betes des Rois et Reines de SAbbah ! vois ça et entre ! grave ton nom sur la façade ! charge ! comprends ça ! file ! va ! foule ! outre ! passe ! cerne ! piste ! cherche ! et jamais si possible ne va à (de fait) chercher ici à pour le coup te retourner ... comme transie ! car , F2E tu es ! F2e des Fées tu es ! tu es à présent une Fée dees Rages ! Tu es donc passée en transe, en ce pré des Fées, tu es née ! Tu es la Fée ... née du pré ! (Fée) née du pré ou fée née (du pré) , tu es née ! c'est ça qui a son importance ! née en transe ! Tu es Fée des données de la transe ! cxhargée ! allouée à une sorte de Donnée de type Cendre ! Conséque,nce d'une ... traversée sans souffrance, qui sait ? on veut comprendre ! On veut en avancer ensemble dans les connaiszances concernant la Rage, le TRacé en Transe, le Passé donné en ce quartier DErnier, la Souffrance liée au passé, le Mal desDonnées , le Roi et La Reine Accolées à une c ertaine idée de la Cionnaisszance ! On veut en vrai comprendre le Passé sans pour autant se retourner mais juste en se braquant comme qui dirait sur ce devant de soi alloué à une sorte de Paroi de la Re-connazissance de faces, de visages de face ... de traits ! On veut toucher à ces données de base, ne pas les snober, les toucher pour mieux les comprendre sans arrêt, et du coup tracer ce qui est ou serait des traits, dits "de reconnaissance" ! On veut aller de bonne grâce ! tracer = aller, comprendre, sonder. Qui sait c e qu'aller est ? qui en vrai sait de fait ce que "aller" est ? On fonce ! on fonce Alpphonse ! On veut aller en ces contrées de bout d'un ... Moi ... ? de bout de joie ? de boutt des bouts de l'au-delà à soi ? car, l'au-delà est l'au-delà à soi, c'est ça, peut-être, qu'il faut comp^trendre ! il faudrait comprendre que voilà, en vrai l'au-delà, est ... au-delà à soi (de soi) sans autres Parades ! On est La Fée des données rupestres ancestrales (antédiluviennes , genre pré-néandertaliennes) et en co nséquzence ... on croit ! on croit à ça ! à cette sorte de Parade , De tracé de RAge genre Cavalacade , Chevaux Rois, Chevales, Tralala, Embrassades de France, Canevas ! Cataflaque ! Potage et samba sur la Promenade des Bêtes en jhoie ! type : Soi-Rage, Soi-Ani mal des bois, Soi-Buffle de Paroi ! ça y va ! ça charge ! ça envoie grave de la Voix ! ça brame grave ! La Paroi des Rois est la Parois des REines de Paroi ! On veut comprendre ou pouvoir comprendre ici ce genre de messages ! qui est qui , quoi est quoi, qu'rst-ce qui va là, qu'est-ce qui se présente, qu'est-ce qui est qui nous regarde à travers la glace , qu'est-ce qui naît sous nos yeux étonnés. On est Fée du pRé sachant "mater", grave ! car, on est allouées à une sorte de "Raeg ard Intense" ! traversant ! genre "voyance" dans le sang ! on entre ! on veut toucher à l'antre des données du ventre ... ou , szinon du ventre, du Passé ! Passé né la m'ort passée, la mort passée et dépassée du fait que le pré , est comme délimité ! genre : parcelle d'herbes, allouées à un troupeau de bêtescnéandertaliennes , ou pré ou post... néanderte-laliennes, genre AUROCHS ! AUROQUES DES PRÉS !! On touche à une Vérité ! on croit toucher, on croit qu'on touche en vrai à une vérité ou sorte de vérité des prés puis du post-pré , à savoiir ... du VERbe ! car, le VErbe est Donnée des Données telles que rencontrées derrière ce muret des fins de carême ! touché ! toucheé (on dirait) le Néné ! le Néné du Verbe = Lait ! Lait donné au bébé ! la crème ou crème de lait ! poème acidulé genre je sui s né à une sorte de Donnée, de L'ombre Portée , Théorème ancré, Tracé des tracés , LAIT-HERBE ! LAIT-HERBE NACRÉE ! POINT ET TRAIT ! CHARGE-NÉE SUR PAROI DE ROCHE DES DONNÉES PROFONDES, CALFEUTRÉES, MASDQUÉES , POST-ROTONDE ! On aime aller se défouler sur pré avant sde s'approcher de$ ces fameux Nénés pour ainsi dire d'un post-pré, d'une sorte ici de quartier alloué à ... LA VÉRITÉ telle qu'on aimezrait en tant que Fée l'approcher à jamais sans jamais s'arrêterr !
Fé des prés aime
La roche des Données Dertnières !
celle qu'on voulait pour le coup cerner sans se démonter ou démantibluer ... et toucher sans frais ! On voudrait grave ici, en tant que Fée des Prés, toucher-cerner à une sorte de donnée post-cimetière, genre .... eh bé par exemple .... un tracé ! un trait ! juste le trait ! un trait de données , trait de l'herbe donnée à du VErbe Alloué à une "Vérité des Vérités" de genre D2ité ! ça aide ! ça le fait ! ça ppermet peut-être de s'y retrouver sans plus chercher à se creuser la t ête ! mais y aller ! pousser ! poussrr grave ainsi ailée la
"Cha,nsonnettre des Fées", ce chant donnné aux Bêtes Cernées, dessinnées, gravées sur Roche Haute des Pzrois de Grotte ! saintes-poches ! poches saintes ! saintes entrées ! entrées saintes ! une sorte de donnée de base, sur façade ! la p aroi des anges et éautres angelots, de France et NAvarres , va comprendre ! la Paroi des transes ? le Passé revigoré ? l'ambiance ! le Passé ambient ? lae Roi et la REine de Céans passant commande ? une sorte de donnée de France ainsi liée à une sorte de parade "dessiné"e comme à la retombée ? On veut toucher à ces données ou à ce type de données ! on ne veut pas laisser ou laisser de côté, l'ensemble des données de France, dites "pariétales". Qui on est pour laissrvtomber, ou éventuellement laissser tomber ? On veut cerner de rage le tracé "français", balade sur pré d'une fée allouée à une sorte de vacance sur lande tracée ! charge d'âme ! gentes dames ! damoiseaux des frances et autres territoires "immémoriaux" , de trypes contrées aux oiseaux, oiselles et autres animaux des airs nouveaux ! On veut :
- toucher de chez toucher
- comprendre de ches comprendre
- coller de chez coller
-permettee de chez permettre, à une bête, d'être Mot de trop ! = gros mot = insulte sanitaire salutaire,
- pister de cgez pister ce mot de trop, en c e cimetière aux oiseaux et autres bêtes de parois hautes et de rochers hauts !
On ose ! grave on ose ! on veut grave aller haut sur roche toucher aux oiseaux ! on veut grave sur roche aller haut toucher aux oiseaux / oiselles-mots ! grave toucger ! et grave aller haut ! toucher de chez toucher à ces oiseaux-oiselles des niveaux de l'air ! Aimer ! Coller ! Faire ! Comprendre = toucher, à ce type de bêtes allouées à une sorte de pAroi, d'époque néandertaliene au basmot ! Cerner ! pister ces animaux, ce qu'ils comprennent des données suprêmes .... On aime ! on aime l'oiseau, les bêtes de mots, le treacé fermier, la Roche Rupestre et autres termes alloués à une sorte de cimetière pour ëtres de peau ! Mots des mots ! porte haute ! trompette et carosse ! roi-reine des bosses et autres tertres dee niveau de Roche . On monte ! on veut toucher la Haute ! Haut Nivreau ! Porte des Mots ! porte Haute des MOts de trop ! porte Haute à mots ! mots des mots de la Haute ! le niveau !!!!! putain le niveau !!!! le niveau de Roche, et autres niveaux de type " de la Haute" et non du caniveau ! On monte ! hou hou c'est chaud , c'est hot = haut , sur paroi du mot ! On veut en vrai cerner, au plus haut niveau, les données les plus profondes concernant la roche des données cruciales (principales) finales ! on ne veut pas passer pour plus bêtes qu'on est mais au contrzire et si possible, impacter ! impacter grave ! dire ce vqui est sans se laisser en vrai absorber par des données de contrebandes qui seraient toutes néfastes voire délèteres pour nos connaissances ou pour l'acquisition ici (terme, terminus ?) de connaissances centrales. On a grave envie d'apprendre , de ne rien lâcher de rage mais, tout au cioontraire, continuer, sur notre lancée, à chercher à cvomprendre ensemble, ensemble par ce qu'ailées, à chercher un certain n ombre de données, de genre données "denses" , "intenses", "pleines ou entières", "vibrantes en leur antre", ainsi de suite sur paroi finale, sur paroi Haute, la plus Haute, la plus Haute des Paroois finales ! On cherche ensemble, à (ici) cerner le plus possible de données centrales type "connaissance antrales", et pour ça, forcément on se doit ... d'entrer de rage en ce muret dit "des données, données en transe". On doit pistonner ! on se doit de tracer et pas pour de rire, bel et bien en avancer sans rire en ces contrées pour ainsi dire du post-pré, alloué à la mort donnée ! et ainsi, traverser l'Ultime ! l'ultime quartier ! l'ultime région aux tracés "nommés" comme qui dirait = le Passé ! le Passé du Mirliton ! Spigoln tu nais ! uTu es né Passé ! tracé ! caché ! coché ! donné sur rocher , la HONTEb ! HONTE DES HONTES ! honeur retrouvé ? cachottier ? pertte de données en trombe ? on veut cerner-toucher à ces donnéesz du bout du monde sans traîner on sait , et ne pas confondre : le grain de l'ivraie, les données de roche , le Passé et le passé, le tracé d'époque et les données de porte, le malin et le prohibé, la Roche et la Porte Cernée, la Colère MOnstre et la folle "Envolée de l'ombre" ! TToucher ! Toucher à ce qui est de l'ordre du Passé ... de poche s'il en est ! On a envie ensemble (ailée) de cerner ce qii ici est, qui nous regarde sans cesser, sans nous lâcher ! toucher = dire = prendre = pârler ! parler = toucher ! toucher = parler ! on ne v eut pas passervà côté du pPASSÉ ainsi développée aéprès ce muret d'une sorte d'enclave toute ceinturée de motbêtes de Rage ! le TRacé Acté , la P arade sur pré, les embrassades et autres jumelages débordants de grâce ! tranquillité ! atteractivité ! absolution et conclusion ! Le genre parade "des ambitions" ! On est la Fée dite "des données de l'ambre et autres matières de présentation" ! feux follets ! croisées ! coques sur pré ! hautes roches et hauts rochers sur lesqulkes et lesquels aller à danser et batifoler comme des forcenées ! nées fées ! fées nées ! néesc fées sur pré ! fées nées sur le pré aux données de Roche ! un tracé nacré ! toute une époque ainsi renseignée, du fait que la roche est ainsi gravée , au piquet, au pic de bosse, au piolet, à l'encoche et autres "serpoletsc de roche" ; Onj est la fée des données de Roche, de Roche de'époque . On veut alller de chez aller au plus lointain (ici alloué) qui se poutrrrait, en matière de données en herbe post-cimetière , ou sinon postcimetière post paroi première ! toucher = dire = cerner = comprendre = considérer = coller = mettre sur roche ce qui est qui nous importe en termes de données données, telles que : encoches, tracés, dessins doctes, mots hauts (ou gros mots), anicroches, paroles de l'ombre ! taureauix ! On veyut toucher àc e qsui est qui se présente sous forme animale : le taureau, le taureau et la taurelle ; mais aussi le veau, la velle, le chevau , la chevelle, le bison la biselle, le mammouth et mla mamouthe, le petit bufflet et la buflette aux données d'herbe ! l'animo ! le bel oiseau ! l'oiselle aux cornes de mo(szts ! trop de chez trop ! on veut le trop ! le trop gros en herbe et les animaux comme collègues ! On touche à l'herbe ! o n veut le morceau, la plaine, tout le troupeau, le trait des traits sur paroi du Gros ! l'embellie ! On en a pas fini (en tant que "f"ée du logis") de chercher ici (roche aux fées) à
cerner-toucher, pousser-coller, prendre-permettre, poser-monter, pousser et lâcher les données recherchées ainsi "remontées" ! On veyut :
- dire dire dire
- tomber tomber tomber
- comptendre le tendre, le dur, et l'à-moitié tendre (ou l'à-moitié dur) en ces contrées post pré aux données "sûres" ! Qui sait ce qui est ? qui co:mprend ce qui est qiu ici semblerait vouloir se tramer d'aventure ? qui ose ozaimer ? qui veut toucher à ces Nénés des dOnnéesws de Rage ? qui pousse, qui entre, qui frce, qui force passage, squi veut voir le paysage ? qui veut donc voir le paysage ? qui veut de fait voir le paysage , la paroi de face, le Passé de France, l'emporté, le voilé, la base ? On veut toucher à ce qui se présente en termes de données mammaires, lactées,, et du coup téter on le sait ! on est affamées ! fée affamée cherche du lait à ingurgiter (de bonne mère !s'il en est ) et se désaltérer, s'alimenter, se consolider, se donner de l'air, du Verbe, de l'herbe digérée, du Feu Porté ! On est Fée des Fées ainsi alimentées ! On veut durer dans la durée et du coup y aller, cerner les données, porter loin les mots sondés tels que découverts au pâssage cendré d'une mort actée ! cimetière ! cime tière des données ! pré pré-paroi dernière ! = le Passé ! Car, le Passé est derière ... derrière ce muret ainsi rencontré en ce pré des données allouées à une sorte d'herbe, genre Herbe-Verbe veerte ! le Passé nous attendrait ... en termes de Lait ! Le Passé en herbe ! Verbne né ! pointé, porté, alloué à une Sommité genre D2ité Des Déitées en Herbe ... un bébé ? On veut cerner, ici même (pré des prés), les données Suprêmes mais en vérité on dira que c'est ... méga-loin encore d'être gagné ! On a envie ensemble grave de cerner, les données qui ici se présentent comme à jamais, mais vas-y comprendre en rai ce genre de données offertes, elles sont corsées ! elles ne se donnent pas frontalement, à tout un chacun ou chacune qui ici viendrait pour ainsi dire les sonder ou pour les sonder. Elles sont méga méga méga coriaces ! elles (en v rai) ne se laissenty p)as approcher si facilement qu'on pourrait ensembkle le penszr , mais au contré&ire, renâclent ou renâcleraient, ou comme renâclent ou renâcleraient, à donc se laissr aépprocher par des fées cfomme nous nous sommes en ce pré aux données de l'ombre ! on monte parce qu'on est des fées et que les fées montent pârce qu'elles volent et que sachant voler elles peuvent plus facilement comme se téléporter aux plus haut niveau des données données en ce monde dit "des ORaux" ! On veut en vrai ensemble ici comptendre les données de ces Oraux , Oraux Terminaéux ! On veut toucher à ce qui est qui ivci se présente, sans traîner, à nos yeux qu'on dirait (pour le coup)
écarquillés, tant ils sont grand ouvert pour ne rien rater de cvete sorte de démonstration
(pariétale) haute, de Fond de Roche. On est Fée née sur pré de Roche, on monte, on monte haut hautes , on veut toucher ensemble le plus héaut niveau, des choses de la Roche Haute, le Niveau des Hauts Niveaux , Haute CHose des Oraux de POrte !
Alorsc , voilà ...
les Oraux de vPOrete,
sont, en quelque sorte, les Oraux du plus haut niveau , une sorte de donnée vprofonde ! oraux mots sont mots de porte ! On veut comprtendre et du coup bpour comprendre on doit incessamment obligatoirement nous approcher ensemble (ELLES nous sommes) d'une sorte d'entrée dee faç ade (ou en façade) permettant passage, glissement, portage et embrassade. On est Fée des Ombres et on aime entter enj pareille roche. on veut comprendre cette roche, ces données de l'ombre, ces Oraux ainsi cités, oou plus haut cités, et pour comprendre on se doit d'entter , en ce petit tracé ou trait , ou par ce tracé, ce traéit aux données, passer tête et ailes et petits pieds, et du coup ... nous retrouver de l'autre côté, à mirer ! à regarder en vrai ce qui est qui semblerait vouloir ici nous aborder pour nous parler et nou!s donner iun certzin nombre SVP d'infos relevées !
à nous de savoir faire, ainsi, qu'on puisse ensemble sans traîner, les adopter, les cerner, les faire nôtres en v rai, loes comprendre pour le coup sans se casser ... le cul ? le nez, la tête allouée à notre sorte de gouvcerne ... de fée cendrée ? On veut toucher à c et ensemble de Nénés ! les Nénésc szont deux ! à cet ensemble de Nénés post-pré, qui est ensembke de JNénés post-muret car, on le sait, le muret du pré est muret à tra&vaerser , à la une à la deux, sans sourciller, à fond de train, finement sciemment, pour, en vrai, arriver à comprendre , à cerner, à toucher, à poser des mots de base etc, à ce (ou sur ce) quartier post-rotondité, quartier des quartier, quartier des ombres ici portées et comme traversantes et pas à moitié ! les mots sont messagers ! les mots de trop (grosb mots) sont les (vrais) messagers qui peuvent eucx entrer sans se fa&ire coincer ! mots fluides dies données vives ! rapides ! mots des mots de trop ! haute donnée de roche ! mots hauts ! hauts mots sur roche haute ! traits des treaits comme des animaux ! parades ! grottes ! portes ! prés des prés, puis le muret ouvrant sa porte sur ... eh bien un passé, ou même le Paszé tel qu'il se rapporte ... à des sortes de Nénés de Roche ! on veut toucher ! toucher = téter ... alorsc on veut téter , et sans traîner ! vite fait téter pour nous alimenter en tant que fée homo ! homo hautes ! hautres fées homo de roche ! haut mots donnés , récoltés, portés, amoncelés ! on est la fée des roches hautes qui, en vrai, cherche à se situer sur cette sorte d'échiquier des données de porte, des données hautes, post-mur de fond de roche ! Qui on est ? on est celle, on dirait (en tant que fée), qui cherche à sans cesse combler un ceratin nombre de désirs, ancrés en elle, comme (par exemple) celui ... d'exister, sur pré, post -cimetière ! ou alors celui ... de voiuloir cerner, post-pré, ce qui est qui nous attendrait une fois la mort donnée (actée) ou entérinée ! On veut toucher de chez rtroucher en tant que Fée du pré, les mots de l'ombre = les Oraux ! oh oh ! On a grave envie ensemble ici de nous colloer à cette sorte de recherche de niveaux ! de niveaux de mots ! On a envie en vrai ici ensemble de comprendre grave les données profondes d'une sorte de donnée de roche (néandertaliennne ou aurignaciennne) qui saurait pour le coup nous mettre sur le droit chemin en cevqui concerne ici même un certain nombre de connaissances dites "de terrain", qui, connaissances , connaiossances intenses, sauraient sans traîner nous indiquer ce qu'il en est, en certtte matière de "la mort sur terr"; , ou de l"la mort donné sur terre" , ce qui est et ce qui n'est pas, en la matière, ou en matioère de paroi "aux Lois" ! parois en herbe ! ou parois de Rois et Reines ou Des rois et des REines ici comme attachées à une sorte de Gouverne ! On voit ce qu'on voit ! et ce qu'on voit est là qui nous regarde pour peut-être mieux (à nous) nous comprendre , nous comprendre-prendre ! On est née Fée sur pré au Grand Passage, à présent on monte ! on vole ! transe fatale et autres envollées de base , ou de lévitation de base ! on entre ! on entre dans l'antre des données dites "terminales" d'un rocher posté en face ! traéit des traits de RAge ! grave ! grave on entre ! nez pointu, cul nu ! feée femme sur paroi Haute , la plus haute, cul velu !
on passe la porte ! on passe cette porte
aux données de base , haute porte aux données de rage, porte haute de la Mort"étranfge" .... on entre ! on est velues ! cul nu velu on entre ! entrons ! essayons de comprendre le message étrange" ! essayons ensemble ici de comprendre, ce qui pour le coup nous semble ou para^t étrange ! qu'est)-ce que ça peut être q ui nous de fait interroge grave ! On cherche à comprendre ! qu'est-ce qye c'est que ce message , ces Oraux de Rage ; .... qu'est-ce que ça peut être qu'on ne sacheb pas, qu'on n'aies jamais vu ni connu, qu'on ne sache pas même peut-êtte reconnaitre, ou qu'on ne saurait peutêttee ou saura peut-êtte jamais reconnaître ? On est née F2e à cul velu , huhu ! On passe ! Passé D'Ange ? On passe ! PAssé d'Ambre ? On veut comprendre comprendre comprendre sans nous arrêtrer, cet "Étrange" tel que "dessiné" (prsésentement) sur Porte de Roche ainsi présentée à nos "sons de cloches" ! On monte ! on est nées Fées la bmort entérinée , et à présent on essaie le plus possible de nous rapprocher de cet étrangeté "nature"" telle que représentée v(il semblerait) sur roche de groote et autres rochers , âr des êtres des temps reculéews, de type :
homme-femme cro-magnonesqaues
femme-homme cde type néandertalien
homme-femmes des grottes sondées, allouées au Passé (sur Terre) tel que rêvé
femme-homme des données De rage et autres données du paysage sage (savant) tel que rencontré la mort ancrée ou enracinée ou entérinée . On est la Fée donnée, sur Roche Cendréev ! Fée des Fées des ROches vives ! un tracz-é de Vouivre ! trait ! trait ! trait très vif ! trait des traits sur roche "endiablée" ornementée ! On veut toucher à ces Nénés des données ditesv "lactées" du fait qu'un Néné eh bé on le sait contient gra&ve le lait qui sert à de fait alimenter en Erbe les données cdernières ! lait donnév = verbev alloué à un Bébé post-cimetière, ou Bébé des Bébés ! la Haine ? non pas : un tracé ! trait d'herbe ! le Passé comme "remonté" en forme de colère "inn"ée" ou "colère des colères" , IRE centrée, chant des prés ! prêches ! prêches de prêtre ! prêche en herbe de prêtre assisté par une soerte de S1ainte Colère en lui ancrée, ça le fait ou le ferait ! On cherchebà t§oucher, hors pré,, à ces donnéess données de type LAIT_VERBE, verbe d'herbe,, verbe-lait aux données en herbe = tracé = trait = donnée accordée , ou doonnée accolée à une sorte de "MISÈRE SUR PIED" ... est-ce que ça peut être ? est-ce qu'en vrai ça se pourrait que .... la misère soit Sainte = sanctifiée = acculée à êttre cette sorte de vDonnée Du verbe telle que rencontrée adoubée le muret du pré passé ou une fois passé ? est-ce qu'en vrai, on pourrait ici (là : post pré) comprendre, cette sorte en soi de "Falbala" , verbe enjoué, en tant que "Donnée De Paroi terminale" ? on ne saoyt pas ! on gratte ! on gratte la peroi ! on bgratte à ette sorte de paroi ditec"terminale" maéis en vrai on ne sait pas si de tels grattages en soi nous avancent à quoi que ce soit concernant le Charme, Le Tracé Final, La Chance, LE Donné des Rois et Reines de là-b as, l'Au-delà des pas, des pas dansés scandés, des sautillagees s et autres transes pré-muret ... on cherche à comptendre, ces données ce qu'elles contiennent, en termesb de(qui sait ?) vérité ! On est née Fée au p assage cendré, on a couru , on est monté,n , on a traversé nle muret dit "des finalités" et à présent (de fait) nous voilà "remontées" , "toutes remontées", en ce nouveau quartier aux données centrales telles que données, données par la bande, ici, des .... Nénés ? qui sait de ces NÉNÉs ce qu'il faut penser ! qui peut nous aider ? qui peut nous reamener szur roche (au frais) de quoi ... penser .... et panser nos plaies ? qui ? L'Ombre ? L'oMbre Haute ? Le BNOmbre ? Le PAssé d'époque ? Le tracé de POrte ? l'onctuosité d'un lait trait ? Le pissé, le chié , le sué ? La Roche haute des DOnnées De porte telles que consacrées à notre approche ? IUune Donnée mûre ? deux ? deux données données ? une sorte de Passé "de la Comprenure" ... telle que développée en nos jeunes années ? Un bébé ? un petit bébé ? le Bébé Nature ? un e sorte de Bébé de bure ? pli ? pli sur page ? ombre ? homme ? femme ? homme-femme ? femme-homme ? homme et femme ensemble comme soulevées, de par le fait que les voilà comme liées à tout jamais, et transbahutées ? qui sait en vrai ce qu'il faudrait savoir pour comprendre ? qui en vrai connéit les données finales, le Passé de Charme, les données allouées à une sorte de parade ici pariétale ? on veut de fait cerner ensemble (en tant que fée ailée), cerner par la bande, mais voilà, le trait, devant soi, n'est pas large ! comment faire dès lors pour ici s'infiltrer ... sans trop peiner , ni se casssr le bout du nez ? la charge ? mentale ? le tracé inné . ?le passé come offert suur place ? une sorte de passé qque nous serions )-à même de véhiculer et de faire remonter comme à la parade sur paroi de M asse ? on cherche à comprendre. ON Veut comprendre ensemble. Homme-femme = femme ! Homme et femme ensemble sont femme de TRait, trait tracé à main levée sur Roche de Grotte Néandertaliennes .... à jamais ! On cherche à c erner = toucher;, toucher = toucher , toucher = toucher aux Nénés vpost-pré ! Toucher = toucher à ce qui est qui se cprésente à nous le pré dépassé, passé, traversé ! On aime ! o n aime aller ! on veut toucher à ce qui est qui nous regadrerait ... comme par derrière , dingue ! une sorte de "PHÉNOMÈNE" aux yeux à facettes ! va cerner ! va donc en cfomprendre le bien-fondé , ou ce qui est en vérité ! Hydre-né post-rive ! On veut trouver Un dire ! Une donnée vraie ! ce qui est qui ne prêterait plus du tout à rire mais szerait de fait fortement considéré et adoubé et pris pour sinon "donnée des données" mais quand même apprécié et même reconnu par x (peut-être) sommités de quaert§ier. on est Fée en herbe = en verbe ! Traits des traits post-cimetière, on cherche Une entrée, en pareille Rotonde, Entrée de Ronde, opassage alloué à une sorte de donnée de POrte ! porte Haute ! Le passé en trombe ? on le saurait en vréi il me semble si c'était vrai ! On monte ! on creuse ! on pousse ! on veut toucher de chez toucher à cette sorte dedonnée de ROcche ncomme rencontrée en bnos promenades accumulées. Montons ! osons ! passons ! poussons cette Porte de Roche et regardons donc les données profondes ce qu'elles sont ! que sont les données profondes , qu'e pourrait-on co=ptendre ensemble des données profondes, ou de pareilles données profondes, ou de pareilles données données? On cherche ensemble ! On est accolées. ailes de F2e . Fée d'herbe. On monte, on passe, on cherche, on ose, on regardee, on touche vdes yeux, on cherche à com^rendre... et que comperenosns -nous en pareil paysage ? que La ùort est Haute ? Ramages ? plumage ? crête de Rage ? haute Mort sur Paroi de base ? On mate grave ! yeux hagards ? yeux pportées sur Chose post-pré :
-la haute fûtaie
- le tracé des mots
- l'envolée gracile et autres volée (de base) fluide
- le lait, le lait des animaux, le lait nacré , bleuté, alloué
- l'ombre porté sur un Néné
- les Oraux de Roche ....
mùais , que sont les Oraux de Roche ? Eh bien, les ORaux de Roche, nous dirons que voilà, les OPraux de ROche, sont ...................................................... tralalas et falbalas ........................................................................................................................................................ treanses de parois .....?...................../........................................... hauts messages de l'au-delà à cette sorte de paroi des Rois et REines du Sabbah ........................?......................... le charme, la Joie, L'ombre HAute ! ................................................................................... chants de POrte ! on voit ce qu'on voit ! on y croit ! on ne croit qu'à ce convoi , comme Saint-Thomas ! On avance ! O,n monte ! on veut toucher la Haute Paroi , HAute PAroi de l'Au-delà à soi ,
ANTRE, ANTRE DE RAGE, ANTRE DE ROCHE HAUTE, HAUT ANTRE DES DONNÉES DE ROCHE, TOUNDRA, PORTE HAUTE AUX DONNÉES DE POCHE, POINT DE ROCHE AINSI MONTRÉ À TOUT LE MONDE, POINT D'ORGUE
On voit ce convoi, on entre, on veut toucher ensemble les données de base ici déposées comme à la parade, gentes dames, auroques des bois, genstuilhommes des sous-bois de l'ombre ! un teacé de base , deux ombres = deux ailes = une fée imberbe = une fée vde rage qui (ici) sait tracer = voler, s'envoler, mùonter, traverser les contrées post- premier muret, et du coup se comme téléporter jusqu'au bout du bout des ombres, flammes vive's, traits de roche, cheminée ! fHautes données données donnant sur le Passé de l'Ombre ! HOmme-ombre = femmes la mort achevée ou entérinée ! homme du pré, devient Femme Fée aux ailes dorées , quasi translucides, portées, empruntées ! On est Fée Forte ! Haute Fée des POrtes ! On monte ici jusqu'au n2né de l'ombre ! On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher à ce qui se rapporte à ce Néné de Roche ! Roche Haute = Faconde ! On monte ! on ose ! on monte en trombe ! on ne veut pas lâcher la chose mais (grave) au contriare .... aller de chrez aller .... poussser de chez poussser .... comprendre de chez comprendre ..... connnaître de chez connaître ..... saturer de TRaits ce tracé ! pousser -, poussrr, pouusser, pousser, pousser grave de colère , pousserf de chez pousser grave de coplère ces ... nénés ? les repoussser ? ne pas téter ? téter et ne pas téter ? téter ou ne pas téter , telle est la question su^rprême (ou serait) ? On cherche ! on veut toucher à une Vérité Su^rême ! O, eut grvae toucher de chez toucher à une sorte pour le coup de vérité des vérités ! on veut aller , akller de chez aller direct, direction "Vérité-Déité" concernant La mort, M%Ort-Vraie, Mort-Donnée,Mort-Divinité. On v eut coller à cette vérité (dite "des données profondes") et ... ne plus s'en décoller ! On veut coller de chez coller à cette vérité fdes dites "données en herbe", s'y coller le nez , les ailes , le cucu ambré, les petits pieds = entière ! alloué ! allouée ! allouée en tant que fée ! allouée de chez allouée et ce sans traîner , sans chercher plus que ça à se faire aimer mais quand même, on veut plaire, plzaire à "D2ité La Mort SOuveraoine", lui plaire = lui donner ce qui peut-être pourrait lui plaire en termes de données (Suprêmes) vterrestres , genre :
- Oraisons Su^rêmes
- PAmoisons)- Consécrations sur roche interne
On monte ! on osex ! on veut toucher à c e Néné des Données Hautes ! traverser le muret et donc se retrouver de l'autre côté , côté Haute Futaie, Post-Rotonde, Post-pré, hors du monde des données tracées comme à main levée par l'homme-femme des sdonnées de roche ON monte ! sortons ! allons ! poussons "la porte" , paszsage docte, le Passé ? Poussons ! poussons le Passé comme une porte , porte d'Entrée vers .... eh bé, de nouvelles contrées ! contrées aux fées passées ou déjç-à passées et du coup transformées en ... Nénés ??????????????????????????????????? hé hé !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! est-ce que ça se pourrait ? que des féesz, ayant dépassé le muret post-pré, soit à présent comme transformées en .... N2né ??????????????????????????????????????????????????? en un n2né dit "des N2N2S " ? .................................... erst -ce que ça se pourrait en vrai ????????????????? ?????????????????????????????????????????????????????????????????? qui le sait ? qui sait ce qui est ?????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????? qui en vrai sait ce qui est et qui n'est pas concernant la mort et ses .... "entrechats" ?????????????????????????????????????????????? qui en vrai , connaît le fin mot concernant la mort et ses atteaits de base ?????????????????????? ses données et autres traits ??????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????? qui sait ce qui se treame en elle ? ,qui connzit^ce qui en elle alimente la Voix ? ......................................................le Ver -be ??????????????????????????? l'herbe verte ??????????????????? la Paroi de Choix ???????????????????????????????????????????????????????????????????????????? l'Ombre des Données sur Roche ainsi allouée s à une sorte de ROtonde "enclavée" ? On entre ! on monte ! on sonde ! on regarde ! on vole et volette ! on est Fée post-cimetière et bientôt ... VErvbe ? Verbe-Aile ? Verbe né la mort entérinée de chez entérinée = doubl"éée ? On veut toucher à ce Néné-fée , à cette sorte de Néné qui, avant, dans le pré, était La Fée du pRé , qui le sait ? toucher de chez toucher à cette Fée-NéNé ... de Paroi Haute, Haute Roche-faconde, Née Fée puis Néné ! Grotte ! porte ! colle ! mont des monts des Hauts Niveaux ! On veut coller ! on veut grave coller ! coller à ce Néné des Hauts des Hauts ! On veut grave coloer au Niveau du Trop, du Trop Haut = du Très Haut (Trait Haut) et ... passer ! filer ! sonder ! do nner ! cerner ! se redresser et regarder autour de soi ce qui se trame e,n termes de paradee de type animale ! trait dxes traits, du plus haut niveau de charge ! Bois des monts ! ramages ! ramures ! bois hauts de Dieu Haut ! Branches ! branches ! branches blanches ! branches hzaut ! branches des branches du plus haut nivraeau ! branches des branches vdes plus hauts niveaux de Mots ! Mots Hauts ! Hauts Mots ! Mots des hauts Niveaux en termes de données de branche ! haut niveau de base ! très)-haut ! Genre
SAGE
SAGE DE CHEZ SAGE
SAGE-ÊTRE ... SAGE
SAGE ROI REINE DE LÀ
ROI REINE DES DONNÉES SU^PR^EMES
HOMME AUX MOTS = FEMME MOTS = OMBRE SUR HAUTS
TRAITS DE LUMIÈRE
TRAITS FERMES
TRAITS DES TRAITS SUR HERBE = BÊTES
On veut haut comprendre le Niveau. L'ombre haute sur Mots, la Paroi Haute, Buffles de Carosse, Bêtes de ROche, Traits altiers, Bêtes Féroces, Lionnes , Lionceaux, Ours de Roche, Bêtes-mots aux données de Porte, crins, poils drus, queues doctes, Chevelures. On aime les bêtes velues, fortes, hautes, masse docte et autres bouquetins des roches. On veut grave cerner ensemble les données ! Cerner = toucher ; toucher = donner ; donner = comprendre ; commprendre = allouer ; allouer = dire ; dire = faire ; faire = porte ; porter = entreprendre ; entreprendre = toucher ; toucher = commettre ; commetttre = souder ; souder = pister ; pister = lier ; lier = rouler ; roulerr = gravir et du coup monter ici judsqu'aux n2nés post -pré ! et du cfoup les aimer = téter ! teter grave les Nénés vdonnées par , ici, une FEMme .... aux allures de Fée ? Femme-fée des prés ? homme-femme cernée ? Femme-fée vdu pré cendré ? on veut toucher à ce Néné "des contrées Finales" , ou Nénés "de Branche" ! Coller ! sonder ! toucher = coller et sonder ! on veut aller au plus lointain de l'anttre, toucher ! toucher de chez toucher aux nénés nés ! nénés des n&énés ! nénés d'Ambre ! ..... ombre portée sur un néné d'Ambre ! ombre-ambre ! ambre-ombre ! ambre des ambres ! ombre née ! on entre ! on veut toucher-cerner l'antre de l'ambre ... et AIMER ALLER COLLER ! cernerv = dire = toucher = avoir ! On veut coller-cerner l'avoir ! Etre née Fée post pré en tant que ..... être à Néné s ? Nénés ? ëztre-Néné ? Néné-ëtre ? ëtrtee n2né des Nénés de l'ÊTRE ? Qui sait ? on cherche ! on veut toucher toucher toucher à cevnénév en herbe " post cimetière, post -pré (post-éden) post muret, et coller ! s'y coller de près ! cerner = coller ! collerr = toucher ! toucher = cerner ! on fait corps ensemble = fée ! ailes soudées, pour en vrai et enfin pouvoir sans discuter pouvoir s'envoler en ces confins ou drôles de confins le pré dépassé, passer le trait, passer le trait, filer, coller aux nénés , coller grave aux nénés du post-pré ! et du coup (peut-êtte) téter de chez téter à c e néné rempli de ce lait salutaire dont plus avant on discutait sans se tracassser . On veut téter le vLait postv pré ! post-herbe en vrai ! téter de ce lait de l'herbe sans herbe ! herbe ou pas herbe ! téter ! téter frais ! téter le lait de fée des traits ! téter de chez téter sans sourciller, s'e,n mettre plein le gosier, cerner-toucher à ce qui est de ce tracé ! donner = porter ! vivre = coller, à ces ditsc "nénés" en herbe ! herbe verte ! touché !
touché ! touchée de près ! on erst la Fée vtopuchéev ! Touchée de près ! fée du pré touchée de près par comme qui dirait une sorte de néné en herbe ! néné né des données rupestresvc bn"éandertaliennnes acidulées ! traits majeurs ! cfolle -ombre ! dictées ! pousse-honte ! poil du nez et autres atrocitész sur roche ! on monte ! on veut toucher à ces nénés du bout du monde et du cfoup AIMER DE CHEZ AIMER LA RONDE
LA ROTONDE -RONDE
CE TRACÉ DE PORTE
CETTE VOIE DE ROCHE HAUTE
TRAIT
TRAIT
TRAIT
TRAIT
TRAIT
TRAIT
trait tracé à main levé pzatr l'homme-femme des données (profondes) hautes ! haut nivrau xde roche = chapiteau ! porte haute des données profondes ! Paroles ! Port e = parole ! chants doctes ! traits amis d'animaux de roche ! bouquetinsmonstres! bouquetines hautes ! boucs et béliers des données données cfomme à l'arraché ! antilopes ! antilopes et antilots ! porte ! porte-mots ! colle! colle de peau ! charge haute sur paroi haute ! haute porte sur peau ! peau docte ! haute peau ! peau d'ombre ! peua des peaux des anuimaux ! haute porte aux mots-animaux ! paroles hautes et hot ! hot mot de trop genre insultes à croc ! On monte ! on monte haut armées de crocs ! on monte hot ! chaud de chez chaud ... animaux de roche ! On ose ! on colle ! on est hautes et haut ! mots de trop sur porte de peau ! on colle-ose ! on colle-porte! on colle des mots-animaux sur roche haute ! traits des fées sur Néné ... de haute Porte, et autres passages de fin de Roche ! Trait ! trait ! trait ! traitb ! trait actés ! traits tracés sur roche-Néné , qui sait ? trait bdes traits colmme tracés qui sait à main levée , par une femme des données, femmes rondes, femme ronde des données, femme-homme des données données ainsi allouées à une Sommité ... de Branche ? Cerfe Cendré ! Cerf alloué à un pré ! Cerf des données Hautes ! Cerf soudé ! Cerf des CErfs soudés à une sorte de prairie aux fées ainszi consacrée ... car, CERf des Prés est Cerf alloué à une Vérité "en branche" / BOIS Donné ! bois Haut ! Hautbois du tonneau ! Bois des bois du plus Haut des Bois ! On ose ! Fée des fées ./......................................................... on ose aller .................................... téter ..................................................... le lait de l'Ombre ................................. lzit nacré aux données sucrées-salées ........................ comme un jus de roche ............................. roche nue ............................... vue ........................... entreevue ............................... connue ....................................................... reconnue ..................................................... peut-être reconnue ou enfin reconnue ............................................. nue ?
29/12/2024
On veut aller ensemble à la recherche ou comme à la recherche de données "extrèmes" ! On est fées et du coup on cerne ... plein de choses que , en vrai, si on n'était pas fées, on ne pourrait, ... on ne pourrait certainement pas cerner comme on le fait, = "à toi àmoi", dans une sorte (ensemble) de vision profonde ! on aime ! ça on aime ! çàa on peut dire qu'en vrai on aime, on aime beaucoup, on est fans ! femmes et fans ! on aime (grave) toucher à ce qui se présente et qui (devant nous) ouvre une voie d'abord, pour une soetre de pasdsage (ici) pour fées "de contraebande" = pour passionarias (en quelque sorte) des données cachées et autres secrets "de dernière couvée". on est les fées fans (femmes ) qui aiment ! on aime aller en ces contrées, c'est-àdire dans un pré, la paroi passée, la paroi des rages, celle qui (ici) nous fait face dans un premier temps et nous attire à elle, nous demande comme "en mariage ! On veut aimer le pré ! on aime ! on trace ! on est (ensemble) les ailes, d'une sorte de "déesse volante" = fée des prés de base ! on aime = on regarde ! on aime tracer , charger et nous porter, au plus loin sur le pré , direction ... eh bien, cette chose lointaine quyi , on dirait, nous regarde, nous mate sévère, ne nous lâche plus, ne veut plus nous abandonner ou nous lâcher ou nous laisser tomber ! c'est qui ? on cherche ! on ne sait pas qui c'est ! on est envahies ensemble comme qui dirait, par une sorte de ... questionnement ? peut-être !
par une sorte de questionnement qui nous pousse à aller, à virer , tanguer, tracer, pousszer (loin) la
"ppromenade rupesttre" , charger ! parce que nous en tant que fée ailéeon veut toucher à ette sorte de donnée dernière qui, pour le coup, est une sorte de donnée ... comme on les aime = gratinée ! on veut (grave) pour nous,, du gratiné ,ou dans le genre gratiné ! ces sortes de données de base, ou données des données, on les voudrait de préférence "gratinées " = spéciiales, peiut-êttre "paradoxales" ? qui sait ? On voudrait ensemble (on est les ailes de la fée des prés) comprendre ce qui, en vrai, "nous regarde" ! qu'est-ce que c'est ? eh bé ... on est toujoiurs et encore (enselmbke) à se le demander ! à chercher ! On voit bien ivci qu'il y a comme une sorte, peut-être ... d'enduit ? qui recoiuvre ou recouvrirait la paroio ou quelque chose comme ça , un enduit gras , une sorte d'onguent, de crhême ! qu'est-ce que c'est ? eh bien on cherche ! on cherche ce que ça peut être ! qu'est-ce que ça peut être ? on cherche ! on se demande ! on se pose des questions et on regarde et on se dit que oui peut-êttre un jour, on arrivera, à cerner au mieux les donhées (frontales) dernières, ce qui est squi se présente et nous regarde, ce qui en vrai se trame au)-delà des thermes ! On est fée parce qu'on s'aime ! on est ELKLES au pré, on s'aime en vrai ! on s'aime ailée ! on s'aime de preès ! On aime s'aimer ! on trace ! on vole au loin à la recherche de données de bzse, de données de base et d données de rage, on y va ! on gagne Paroi (Paroi SAge, l'ultime Paroi) et là, une fois l'ultime (peut-être) Pzaroii abordée ou atteinte, on voit ! Qu'est-ce qu'on voit ? LA RAGE ! le tracé de rage ! permutation ! fruit de la Passion ! On a touché à cette extrème onction des données dernières ! PARLONS ! PARIONS ! CREVONS LA CHOSE SOUTERRAINE ET PASSONS ! PASSOONS PASSION ! on aime ! on est deux ! deux ailes ! on est les deux ailes du pont ! on trace dans l'herbe ! on veut en vrai aller pour ainsi dire comme pour toucher de chez toucher les données les plus extrèmes = souterraines, d'uneb sorte de contrée "en herbes" ! qu'est-ce que c'est ? eh bien ... peut-être .... une sorte de chemin des traces , caminade ! On veut (ensemble) filer, filer grave jusqu'aux nénés et téter ! on dira que ça, cette chose, ON VEUT ! = téter ! et pas à moitié ! On veut toucgher à ces nénés qui , devant nous, sont les nénés d'une sorte de donnée frontale telle que par exemple on pourrait s'y attendre ! une sorte ... qui sait ? de données "rare" ! Une ouvertiure (en soi) dans la mansarde ! qu'est)-ce que ça peut ou pourrait être d'autrev! On regarde , on cherche à passer ! on est au fond du pré, on a retrouvé ou comme retrouvé les données frontales = pzariétales, mais de l'intériuer cette fois-ci, on est inclues , on est nues, on mate ! on veut tioucher = passer, à travers la Buse ou comment dire ici , pour cette sorte de .... conduit ? de ... passage-conduit ? qui est comme une sorte de donnée de base cioomme contigüe à une sorte "d'outre-passage" ... On est prêtes à tenter le voyage ! Est-ce qu'on le pourrait en vrai ou de fait sans dommages ? est-ce qu'on peut de fait réellement envisager ensemble (= ailes d'une fée en herbe) ce voyage en ce paysageb ... des données ultimes post-paroi finale ? On regarde ! trait ! trait des prés" ! trait de ce qui est qui nous regarde (nous regarderait) attentivement ! On est nées de fait sur pré, pour, entre nous, essayer (au maximum) de comprtendre, ce qui ici se passe (ou se passerait) pendant ... qu'ion parle ? pendant quoi ? qu'on chante ? On voit kle passage, c''stàdire qu'on voit, ici, de près (de treès près) ce trait, des données finales = d'anfractuosité, de caverne szsarde (?) ... qui sait ! une sorte de "passage-parade" ! qu'est-ce que c'est que ce tracé sur paroi sage ? On se demande ensemble ce que c'est ! on se regarde et on se pose la question, concernant le front ! qu'est-ce que c'est que ces données de Rage ? Ultime Passion, Trait d'Annge, "Vie des Monts, Panse ! On veut (oui !) comprendre, ensemble conconmittament (on est ailes nées) , ce qui est qui se présente (disons) en "fonnd de caisson" ! On mate grave ! on ne cesse de mater, toucher, caresser, cvomprtendre, qu'est)-ce que c'est que ces ... (dits) "nénés de contrebande" de fond de pré paradisiaque ! qau'est-ce que ça peut êttre ! On cher che ! on trace ! on fonce ! on file ! on est ailes volantes = fée des prés ! on est "encerclées ", entourées de base de données rupestres genre bêtes, bêtes prairiales, bouquetins des rages et auttres bisonnes sondées,buffles alloués, chevaux de trait, charges mentales ! on veut comprendre et pour comprendre il faut (grave) s'activer, toucher aux nénés, pistonner, filer, creuser, cocher la bonne case des données allouées à une vérité ! et ce , sa ns lambiner, sans ne jamais traîner de préférence ... car, merde, on est fée de base ! on est pas là pour "musarder" si tant est mais creuser, pousser de base notre sorte de petite charge,ailes accolées sur un morceau de poids, dit "léger" ! On est nées ! on est nées Fée on dira "au passage" ! On était X , Y ou Z, nous voilà La Fée post-cimetière , et, dans ce opré aux bêtes de trait, on trace ! on vole que tu voleras jusqu'au bout des champs ici allouées à une sorte de cercle pour initiées on dirait. On est Nées f2e (de fait) au passage (de vie à trépas) et nous voilà comme "activées" par ... qui sait ? Le Verbe de La Foi dans l'Au-delà ? ça se pourrait ! et du cfoup nous voilà là, poussant de bonnne foi notre (peut-être ?) sorte de Romandce des Données de Base = TRALALA, et autres chants Sardes (?) ... va savoir ! on y croit ! on ne croit qu'à ça ! on veut pouvoir toucher au Tralala ou à son Tralala des données Finales ! Arumbaya ! chants sardes = musique d'appât ! On veut ... eh bien, pousser loin, si possible et sans traî ner, nottre sorte de petite charge (ici) "à passion" ! On veut aller ensemble en tant que fée (on en est ou en serait les ailes !) passer ! traverser ! filer ! comprendre de l'autre côté ce qui est qu'on pourrait cerner ! qui est là qui nous regarderait ou même, là, nous regarde en pied, ne nous quitte plus, grave nous reluque de la tête au cul et du cul aux nénés ? SAlace la Divinité ? coriace dans le genre ? pitié ! on n'aimaerait pas (du tout) tomber (de grâce !) sur pareille entité salace ! on veut du léger ! de l'outre-menace, du passé sucré ! beeele ambiance et musique des prés ! On veut paqsser ensembvke (ailes soudées) comme en contrebande mais sans se fâcher ! on veut toucher à ce néné post -pré pour juste téter on dirait parce quye c'est vrai ! du lait ! rien que du lait ! du lzait de France comme qsui dirait ! lait-verbe alloué à une sorte de Romance du passé = l'attelage des bêtes nacrées ! l'attelage-né à la retombée , fait de bêtes nacréeszxquui i (toutes) nous regardent (au passage , à notre passage) comme si en vrai on était comme eelles, Vaches ! Vaches à lait ! bêtes de poids sur un pré de Joie ! Comme on leur ressemble par certains côtées, puidsque (par exemple) on est ailées comme elles, c'est un faiot, mais pour le reste on ne peut pas dire qu'on est, ou qu'on soit "comme elles" tout à fait ... ou si quand même ? soeur de lait ? soeur des données lmactées ? On cherche à cerner ! on veut toucher ! on ne veut pas laisser tomber puisqu'"on y est" ! et que voilà ... le mieux (en ce qui nous concerne, en tant que fée) c'r'st de voler ou voleter, direction ... la Plaine ? le Passé ? Les Nénés Alloués à une contrée ? le P assage Cendré ? lieu d'aisancedonnant ... sur un Passé dit "de contrebande" ? On est fée curieuses (de base) alors ... on chante ! lalala on y croit ! on va loin ensemble ! On veut "creuser la paroi" ... On ne veut pas rester "en carafe " sur paroi mais comme , disons, passer, passer ce Passé ! tracer ! pousser ! creuser à jamais ou sinon à jamais, pour un temps "long", les données rupestres "de la Passion" ! fgond de pré et mamelon ! On aime tracer ! on aime aller ! on aime creuser ! on aime filer ! on aime coller ! on aime (aussi) pisser ! on aime (aussi) chier ! on aime (aussi) tracer de chez tracer sur pré notre sentier menant de préférence au terme d'une sorte de "voyage interne" menant (grave) aux données dernières telles que espérées, espérées commprendre, ou telles qu'on espèree, un jour, pouvoir les comprendre = les cerner, ou telles que peut-être, un jour, on arrivera ensemble = ailée ;, à mieux les cerner et mieux les comprendre ... à tout jamais ? ... qui sait ? on aime = on esp^ère ! On ne voudrait pas passer à côté en étant si près (nous deux !) d'une donnée aussiu souveraine ! merde ! ça serait bête , plus que bête ! on ws'en voudrait ! on s'en mangerait ... les ailes ! merde ! On veut dire et pousser ! on veut grave tracer et y aller au plus profond de ce qui est qui se présente devant nous, soit : à nos yeux écarquillés ... et à nos genoux, posés sur le pré ! On mate ! Qu'est-ce qu'on voit (à travers la faille) eh bien, post-paroi finale, il y a :
- une sorte de Passé , Passé Sarde
- un tracé post-pré dont le nom m'échappe
- une sorte de Poupée (?) ausx données Sales
- un creuset
-une pomme cendrée
- un .... pet ? à moins qu'il ne s'agisse ... d'une sorte de souffle alloué à une
-- à moins qu'il ne s'agisse ... d'une sorte de donnée allouée à une sorte d'Entité Venteuse, genre Caliopée (?) ....
- un annneau de buse
- un poteau
- une sorte d'enclume avec marteau
- Un chapiteau, recouvrant une écluse ...Qyuoi de plus ? Peut-être, et qui nous vient dessus, nous pénètre, un chant ? On est nées fée pour être ainsi enveloppées , on ne sait, lme moment venu ! enveloppées nues ailées portées ! = pour passer ! Passer pour (qui sait ?) toucher-cerner à cetrte sorte d'entité chelou (?) qui serait là peut-être pour (en vrai) ... nous "happer" (?) ou nous "avaler" (?) ! On bveut colmprendre ensemble les données rupestres, celles de la base amère, et puis les dernières, l'ultime contrée, le tracé des fons cde pré, la parade finale , cavalcade consacrée, trait des traits = ¨Passage czalibré pour ailes repliées quyi s'y faufileraient en vrai ! et hop, le tour est joué ! On a envie enwsemble de comprenndre ces nénées dont on nous parle qu'est-ce que c'est , et du coup, on veut passer, à tyravers la base, passer ensembkle, soudées et accolées et comme en contrebande , soit (oui !) se faufiler, se glisser = se faire (dès lors) toute fines, menues menues, fines de chez fines, et là, incidemment, tracer = traverser = entrer = passer ! pousser = passer ! on veut en vrai passer de l'aurtre côté et .. est-ce qu'on va réellement y arriver ? .... eh bé .... c'est pas gagné ! ça force ! c'est méga-étroit ! il y faut la foi dans l'au-delà je crois ! il faut poussser ! pousssrrde cherz pousser ! sans traîner ! sans chercher à se défiler ! creuser ! on se doit de creuser ... la Roche Finale, pour en vrai passer à travers la Manche ! Pässer = toucher = dire = faire = creuser = contrzaindre le passé à vous adpoter ... et ça le fera grave comme qui dirait ! ou, comme qui le souhaiterait ! Entrer = passer = donner (sur un pied) une sorte de pression forte, et hop, sauter ! foncer ! aller par-delà la Roche aux Données Accolées, et du coup ... passer , ailées, de l'autre côté ! ailées = aimées ! ................ ailées on le sait = aimées ............................... ailées à présent on le sait = aimées ...................................... à présent on sait pezrtinnement que AILÉES = AIMÉES, AIMÉES À JAMAIS ! ................................ on le sait de source sûre ! on est accolées ! on monte on vole ! on voit des Nénés comme "bnous regarder" ça fait drôle ! on est Ailmées-Aimées du fait que voilà ... on vole ! on monte ! on est hautes ! On est nées Fée sur pré au passxage Premier , et nous vopilà qui nous pour ainsi dire priopyulsons de fait au plus lointain du pré tel que dessiné par hommes et femmes CRo-magnons ! le POnt ! Roche Portée ! Colle au Frais ! Porte Donnée donnant sur une sorte cde "Contrée des contrées" , contenant (surt pied) x et x bêtes de traiot telles qu'appréciées, adulées, consacrérs, aimées, comptés par x et x Fées des prés , qui sait ?On veut toucher à ce Néné de l'au-delà à la paroi ! est-ce le Passé comme en revenance ? un Passé des prés ? des endroits pré-pré ? est-ce du passé comme s'il en pleuvait ... (pleurait ?) ? On ne sait ! on a envie ensemble pour le coup de nous pencher, sur (ici) un certain nombre de questions pour ainsi dire de grande importance ! genre : la Pa ssiion ! le Trait des traits ! Le Pré alloué à une sorte de Donnée Finale, du coup post -pré !
La Roche, aux Passions Finales, est celle qui, en fond, nous fait front et comme nous regharde, nous espionnerait§, semble être ici comme à nous espoiunner ou à nous regarder de la tête aux pieds ! grave ! grave kl'Entité ! on veut comprendre ce Néné , et pour comprendre ce Néné, ou ce Néné à lait, il faut s'infiltrer comme en contrebande à travers ici la Faille Finale, ce tracé d'un trait, ce teait tracé sur Roche (Ultime) post-pré, et du coup s'immiscer et chercher de fait à se faire (si possible) minuscule (le plus possible) sans reculerr, passerr = s'immiscer, passer vif mais rammasséé afin de traverser et de se retyrouver ainsi effilée de l'autre cvôté de ce tracé "en rotondité". Passer = se faire (au plus) celle qui s'effile ou s'affine en roche, se coller ou s'accoller et faire ensemble (ailes de fée) passage ! pour toucher ! toucher )-cerner ! cerrner-aimer = voleter ! traverser !
on acte ! on entre ! on fait le voyage ! on passe ! on se soumet de bonne grâce,
à ce trait du coup de rage rupestre , c'est-à-dire qu'on essaie de faitt de se faire "petites" , pour passer ! pour arriver à se glisser et à se retrouver de l'autre côté, côté post-pré = pays sage, paysage aux marées (?) oupeut-être aux nénés , qui sait en vrai ? qui connaîot le Verbe Donné ? qui sait ce qui est post pré, post mortem, ou posst-post morteme ? qui nconnait les données allouées à une sorte d'entité "coriace voire salace " ? On veut comprendre ! Fée des fées on est, et, on veut comprendre ensemble , ensemble nées ! on aimerait ! on voudrait ! on voudraiot grave ensemble comprtendre les données de base ! ce qui est qui nous regarde ou nous regarderait sans discontinuer et comme à la parade , et du coup pousszer de chez poussr nos recherches antrales, aller et sonder, creuser comme qui dirait pour l'éternité le Verbe de l'Ambre ou qu'est)-ce que ça pourrait de fait être sur pré ? On est nées Fée ... hé ! ... sur pré des fées ! On veut toucher plus loin à ce qui pour le coup nous apparait en termes de Roche Dernière ! teacverser = se faufiler ! se faire mince = mirgue ! et même mirguette si tant est ! toucherr = dire = pousser = consacrer ! Allouer à une sorte de donnée dernière eh bien ... un Passé post-cimetière !!!!!!! qu'est-ce que çac pourrait être de fait ? peut-être en effet deux nénés qui seraient à nouveau à téter ? recommencements en herbe et le tour peut-être en effet, serait joué de chez joué, qui sait ? retour aux sources ? le lait !!! retour au Lait comme s'il en pleuvait ... du pis sacré (spi des données lactées ?) ? On est la Fée en Herbe , on chercvhe, on est limitée, on est fine et menue mais on chervche ! on ne dandine pas du cul ! on est svelte à la recherche ! on est accolées ! on ne lâche plus les données : on persévère ! on se tient postées ! on ne lâchera plus l'affaire ! on est couillues pour ainsi dire = ailées et ça le fait ! les couilles percluses et enterrées on est ailées ! on a perdu l'hominité nature, on est devenues Fées au passage de Bure ! accolées Fées ! les voilà "TRACÉES" à jamais ! vives et cendrées ! vivacités nées ! confiture ! monture ! allure ! aventure ! on est la Fée aimée des prés ! = ailée ! On veut grave s'envoler pour pouvoir monter, monter et toucher à cette sorte de fissure sur Roche Dernière = ... un TRAIT .... oui ..... trait des TRaits c'est dit ! .......... iune sorte de trait de fissure par où, éventuellement, pour fée motivée, paqsser .... et motivée on l'est !!!! on ne veut pas laisser passr l'occasion d'y aller, piisqu'on y est invitée il sembvlerait ! tracer = passer ! chargeons monture , crreusons , pistonnons, fouillons, creusons d'envergure ou sinon d'envergure creusons "ramassées" , de fait à pouvoir, pour le coup, passer et du coup traverser et du coup comme se retrouver ainsi vpelotonnées de l'auttre côté, côté ... néné ? on dirait ! du lait ! on dirait du lait ou du petiyt lait comme s'il en pleuvait ! pisse lait ! on dirait du léait , ou de l'eau lactée ! on veut téter ! on dirait comme quyi dirait une sorte de contrée "du lait", lait nature ! lait des fées et autres lactaisons de vulve ou quoi d'autre serait qui nous approcherauit ou même nous attendrait comme à la revoyure sait)-on jamais (vulve ???) ? On vezut grave comprendre les données finales ! s'il s'agit de lait, de voie lactée, de lait des prés ou bien de lait de vulve si tant est ! qu'est-ce que c'est ? vulve nue ? en vrai ? une sorte de treacé vulvaire tenu ? une sorte de treacé sur pied ? genre : concret ? artrt concret ? art des données nues s'il en est le Roc passé (roc dit "des finalités") ? On est fcfée des prés et on essaie ensemble de toiucher à ce qii se présente . On veut toucher à e qui se présentevensemble , ensemble = ailées ! On veut ensemble (ailée) toucher à ce qui se présente ! On voudrait ! On éimerait grave ! on a méga-envie ensemble de toucher ici et là le muret passé à ce qui se présente devant nous en termes de données finales, pôst-post-mortem , post-pré des fées, post vfaches et herbes vertes en herbe ! on aime ! on ne veut plus s'arrêtrerr de chercher mais grave creuser de chez creuser le terrain miné (?) ou sinon miné comme saturé ... saturé de lait ? oh, on ne sait ! on cherche à cerner ! pas facile en vrai de nous y retrouver en ce terrain des données en herbe ! ce qu'on veut (l'important !) c'est d'aimer , de tracer et d'aimer , aimer tracer ! aller, fouiller, creuser, chercher loin, pistonner, pousssr, faire ainsi que donc ce lait dont on nous parle (leit de néné) soit pour nous enfin "cernable" , soit compréhensibkle, visible, touchable, tétable ! peourra-t-on, un jour, toucher à ce dit mùamelon qui serait de fait le Mamelon des Mamelons du Front ? On l'envisage ! on a envie en vrai d'aller à sa rencontre sage ! on a envie en vrai d'aller pour ainsi dire sage (sagement) à sa rencontre ! On veut de préférence aller à sa rencontre, en restant sage ou "sage à sa place " ! On ne veut pas se laisser entraîner par nos pulsions de Fée Nature, mais toucher -téter est (déjà) toute l'aventure, ça se sait ! toucher = cerner , et cer,ner = comprendre ce qui est , ce qui est de ce tracé des données ultimes et autres contrées des dernières rives ! Du lait ?? vraiment que du lait ? une mer de lait ? lait donné à la Fé Nature ? lait des laits ? on cherche à cerner ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ les données ! on veut grave cerner ! touccher de chez toucher à cet ensembleb (on dirait) de données lactées ! qu'est-ce que c'est ? une urne- ? une sorte d'urne à devoiçr combler ? qu'est-ce que c'est en vrai qaue ce dit ... "Néné de bure " ? à quoi il nous fait penser ? qu'est)-ce qu'on piourrait en retirer , ou en penser, en comprendre ensemble en ces traits ? de quoi il s'agirait concernant ce "lait", ou "lait matûre" , ou "lait des laits", ou "lait d'envergure", ou même "lait de trait" , "trait de lait", "lait-trait", lettre à lait", lait -lettree alloué", lzit -verbe considéré", "lait en herbe sur pré", "lait-verbe ancré", lait des laits cernés", "lait de verbe cendré", "lait du Verbe consacré", " Lait-verbe faisant la Navette et autres traits tracés", "Lait des Lettres consacrées aimées adulées " , "lait-miette", "lait- verbe sur pieds = traîne '" ? "Chants des Fées le mmuret passé ? on ne sait ! on veut en vcrai cerner &u plusz posdsible ce que c'est que ce dit "Verbe-Lait" desendroits post-pré ! et d u coup toucher ? oh peut-être ! toucher de cherz toucher à cet enxsemble de données en herbe qui serait ... eh bien, peut-êtte, donné par, qui sait, une sorte d'Entité-Rotonde ???? on ne sait à quoi ou à qui se fier ou vers qui ou quoi se retourner pour en vrai et enfion compfrendre un ensemble donnée dev données en herbe (Vervbe) sur pré ou sur pré alloué à des sortes de recherches, genre : fouillesterre, creusements de bosse, pelletées profondes ! On ose ! on est fée du pré, on est pas là pour en chier à se mettre à creuser, ou pour en suer, mais tout au contraire ... s'envoler (de booonne grâce) en ces nuées d'une Parade ! voler = monter ! tracer Romance ! filer ! ne pas s'enkyster ou s'enterrer, ou s'embourber ou donc sillonner comme bêtes de traits, qu'on était ou qu'avanjt on était, qu'avant en vrai qui sait on était, mais ça c'était avant ! avant la Remontée ! avant l'envoloée ! le tracé Volant ! l'embardée ! la Montée aux chants des Bêtes Siffleueses ou autres chanteuses ! On est Fée dexs fées qui voulons comprendre pour le coup tout un ensemble , et cet ensemble forcément a grave à voir avec ici toute une cohoerte (pour ainsi dire) de données rupestres, ,, genre : Bêtes-mots tracés haut, bêtes de trait sillonnant la Roche, et traçant cette r(ocheb pour ... eh bien peut-être ancrer la CHose = l'Entité ! l'entité des entités, qui le sait ? On veut en vraéi essayer , essayer de cerner ! mais pour en vrai cerner, il faut s'envoler, monter, creuser, passer, pousssrr, essayer de se faufiler, à travers ici une szorte de "conduit docte", , genre "VERBE DE PORTE", et là, peut-être .... envisager une sorte de passage en force , ou sinon en force, un passage dit "de forcenée ", passage tracé dit "de forcenée" parce que voilà, le paszsage ou ce passage "dfocte" est tout un tralala de Roche ! chant axial ! chant des Voies ! chants forts ! chants des cors ! chants des haiutes pa(ois ! chants de la Foi en l'au-delà du corps ! chants des données hautes et autres chants de s chants voire des champs ! Chants passés ! chants consacrées ! chants des prés ! chants des Envies de Lait , qui sait ? Car l'envie (de lait ) est première et souveraine et en vrai ne passe jamais ! on dira qu'il ns'agit d'un FAIT VRAI ! cette envie de lait éternelle cfomme il sembklerait ! on cherche ! on veut toucher à cette Vérité des données lactées post-post-mortem ! est-ce que vous pensez que peut-être un jour on arriverait en tant qye fée ailée (la mort passée) à du coup cerner (au plus juste) cesz do nnées lactées puisqu'il semblerait qu'elles soienrt .... vraies ! quyi sait ? Qui sait si la mort, le pré passé (antichambre passée) n'est pas , tout simplement, du laiot ! léit post-pré ! lait des laits aux données données ! lait d'herbe ? lait des prés ? lait post-pré = post-cimetière = post tracés en herbe ! On veut = on aime ! on aime = on veut ! On est bêtes de feu ! colère ! emportemejnt salutaire ! cri d'effroi et autres poussées dentaires ! lmerde ! on veut mieux ! soit
DU LAIT DE BONNE GRÄCE À QUI MIOEUX BMIEUX
tracezr = pousser = dire = commprendre = cher her = dire = passer = cerner = lier = monter = chercher à ici cerner tout un ensemble de données de type lactées, et pour ce faire, eh bien le mieux c'est de creuser à mùême la roche, et ce ... par la parole, VERbe ancré , tracé ! cohortes ! cohortes en ordre ! cohortes aéllouées à une sorte de muret de porte = la Roche Profonde ! toucher ! toucher = toucher ! toucher l'Ordre ! toucher ! toucher à des données de porte ici consacrée à une sorte de recherche en herbe de type "tracfé", "tracé des treacés" et on est ... fée ! fée des fées ! dingue ! dingue comme çàa le fait ! On ne veut pas passer pour des qui jamais en avancent mais tout le contreaire, gratouiller (dans le Verbe, ou par le Verbe, ou à travers le Verbe) un certain nomùbre de données de ronde ou dites "de ronde", et du coup ... toucgher à ce qui est ou serait en vrai une "Vérité d'époque " , on ne sait jamais ! On ose ! en tout cas on ose, voilà ! on y va ! on creuse ! on veut ça : toucher ! creuser ou toucher! toucher ou creuser ! on veut ça pour soi ! aller et creiuiser de chrz creuser la Roche des "bouts du MOnde" soit .... eh bé là-vbas, ce dit "muret des données en joie " ! On y va ! on fonce ! on veut grave cerner le Lait de la post-Päroi des ombres ... est-ce vrai ? est-ce vraiment cette chosexd ? est-ce en vrai (nous concernant) la Chose de nos tourments ? voulons-nous (en clair) réellement cette chose , d'une sorte de pârole, Verbe Ancré Lacté, ou bien autre chose et si autre chose quelle chose ? est-on assez toutes deux "remontées" pour de fait cerner les données (profondes) lactées ? ou ... pasb vraiment armées comme il le faudrait ? devons-nous repousser lesv limitesc du Verbe Alloué à une sorte de "recherche en herbes" ? devons-bnous hurler avec les bêtes ? devons-nous creuser la Terre et nous enterrer comme on le pensait en des temps reculésx ? devons-nous plaire ? devons-nous pousser le Chant et /ou braire le cas échéant ? qure devons-nous faire et ne pas faire ? savons)-nous nous satisfaire d'un savoir prairial ou bien voulons-nous agtteindre plus loin l'outre-mont aéux données Suprêmes genre La PAssion ! que voulons-nouys faire ? peut-être (de fait) posons-nous la questio,n pour en v(ai cerner ce qui est qui pourraéit nous plaire et inversement nous déplaire . Pouvons-nous copmpcrendre la P assion, ici située ? Pouvons-nous comprendre (ainsi ailées) cette sorte de Passion des MOnts" telle qu'elle nous apparait entière ? qu'avons-nous dès lors à comprendre pour nous qui pourrait de fait grandement nous aider à nous y retyrouver en ce terrain miné des données dernières comme saturées (on dirait) de lait, de lait des prés ou sinon des prés "de l"herbe" ? On chercvhe ! On a envie pour ainsi dire de se retrouver (enfin) comme pouvant com^prendre les données du Genre, qui est qui en ces contrées, Holmme féminisé, Femme masculinisée, Genre Sarde, Tracé Né, Faée des Fées comme à la p arade : on ne sait en vrai qui est qui sur pareille Roche aux données Grosses ! Mais de fait , on veut ou on voudrait cerner pour pouvoir en vrai répondre à celles et ceux qui , devant nous, pourrons se présenter éventuellemant comme voulant comp^rendre comme nous ce qui de fait concerne le Genre ... en ces contrées paradisiaques ! On est concernées ! on est comme concernées ! toute une ambience ! on essaie ensemble de s'y retrouver szur la question du genre la mort actée, on tente ! On a envioe ensemble, c'''est vrai, de comprendre (loin) tout cet ensemble de données, concernant ce genre , ce genre de fée dite d" de contrebande " ! qui on est ? eh bien peut-être, en effet .... de l'ambre ! On ne sait en vrai ce qu'on est ! On a znvie ici , sur pré, de mieux cerner les FVérités du GEnre ou du Genre qu'on est "en tant que fée", on a envie de nous y retrouver ou (sinon) de mieux cerner (de fait) ce qu'on est, en termes de données genrées de type post-mortem. Car, ce squi est ici qui nous semble ou semblerait, est cette chose comme quoi la mort, une fois passée, "trouble le genre ! touble que tru troubleras le genre et sans traîner ni sourciller ! Une sorte de transformzation de rage ! un treacé acté ! le passé faisant poids sur pré, voilà le trait ainsi tracé ! bêtes sur pieds ! ON regarde ! on est bêtes sur pieds njous-mêmes ! on est vaches à lait / fée en herbe, un temps donné ! on est ou on a éteé cette bête des prés, néabndertaliennes ou plus encore aurignaciennes, , c'est un fait avéré ! à présent .... on est ailée comme vache ailée, mais beaucoup plus légèères ! feée en herbe est devenue Fée -Verbe ! Un trait ! Une sorte de trait ! fée-trait = Fée des Fées des Prés = ëtre donné pour une sorte d'entité posté ! postée allouée à une Vérité post-pré , genre ... lAIT !
LAIT des HERBES VERTES ! LAIT DES LAITS ET DES HERBES VERTES ! LZAIT SUCRÉ AINSI ALLOUÉB À UNE VÉRITÉ DE TYPE CENDRÉE ET POST-POST-MORTEM, SOIT ... D'APRÈS LE PRÉ ! POST-PRÉ = POST-POST-MORTEM, PUISQUE LE PRÉ = POST-MORTEM ! ON ESSAIE DE NOUS Y RETROUVER ET CE N'EST PAS GAGNÉ ! LA CHOSE N'ST PAS SIMPLE MAIS ARDUE ! ELLE PUE DU CUL !
On est née fée quand on est passée, on a couru, on est à présent toute nue (ailée) devant un muret qui en vrai est toujours le même muret ou la même paroi que ceelle qu'on voyait là-bas, à notre aerivée, la paroi des ROis et Reines de SAba, mais, à présent, vue de l'intérieur, sorte de ... muret de forterresse, ou d'enclave (ici) majeure .... On voit ! On est dedans , encerclée ou comme encerclée ! on veut (du coup) "repasser" = traverser à nouveau (pour ainsi dire) ce muret, ce mùur du fond du pré . On veut passer et du coup cerner ce qui, derrière nousz, attendrait .... herbes ? encore de l'herbe ? du verbe ? verbe en herbe ... ou verbe-Lait ? saura-t-on un jhour cerner ensemble (ailes de fée) les données profondes, cecqui est (de fait) post-rotonde ? saura-t-on un jour toucher à ces dits "BNénés de l'Ombre" des données Ancrées dans cette sorte de pénombre à expolorer ou qui serait (préférenciellement) à explorer si on le pouvait ... et le peut-on ? sommes-nous assez aérmées pour tracer et cerner et toucher à une Vérité de niveau "LAIT"? Sommes-nous assez "remontée"és" ? sommes-nous assez "perlées" ? pouvosns -nous sans hésiter nous ancrer en ces contrées et cerner de près le type de données à devoir pour le coup emmaga sinner ? sommes-nous (pour cela) F2es Ailé&es assez"timbrées" ou .... pas timbrées, mais allouées à une sorte de Pensée Massive, Clouée au Passé, Comme sermonnée par en nous des Bêtes de trait ... ? ! On veut AIMER LA ROCHE POUR CE QU'ELLE EST, ON VEUT DIRE L'ULTIMRE ROCHE OU L'ULTIME ROCHER, L'AIMER EN VRAI POUR CE QU'IL EST EN TANT QUE FORME ET, AUSSI, EN TANT QU'IL SERAIT, CE ROCHER, OU QU'ELLE SERAIT, LA ROCHE, L'ANTTRE AUX NÉNÉS ! DINGUE SI C'ÉTAIT VRAI ! OH, ÇA SE SAURAIT , NON ? PLEIN DE GENS LE DIRAIT, LE CHANTERAIENT, SOONERAIENT L'HALLALI D'UNE DONNÉE OU SORTE DE DONNÉE ICI (ET DÈS LORS) ULTRA-PROFONDE S'IL EN EST ... MAIS JUSTEMENT ...? EST-CE QU'IL EN EST ? EST-CE QU'IL EXISTE EN VRZI SOIT EN TOUTES LETTRES, DES PENSÉES OU VÉ'ITÉS ULTRA-PROFONDES ? PERMETTEZ-MOI D'EN DOUTER !
LE VERBE SERMONNE
LE PAZSSÉ-COHORTE EST POIDS DE DENRÉES
LA CHOSE HAUTE EST DONNÉE DE GENRE
ON MONTE = ON COMBLE
POUSSSER = TOUCXHER, À CETTE CHOSE D'UNE PAROI HAUTE , TYPE "ENSOLEILLÉE"
on ne veut pas vraiment creuser "dans la parole" mais ... enttrer, entter de front (et ainsi ailée) par la petite porte, "la porte du fond", telle qu'imaginée ici ou là sur roche par parfois des hommes et d'autres fois des femmes, et parfois même par des hommes-femmes et par des femmes- hommes, au verbe ... Mangé ! On veut toucher à ce qui se présente ! on ne veiut pas passer à côté ! on veut comprendrec les données de chambre de l'Antre alloué à une "Vérité des Vérités de Branche" chamoirée, acidulée, ancrées, saluées, porteuses de données profondes ! on veut coller ! On ne veut pas passr và côté mais au contraire ensemble y aller sans désarmer ! sans se désunir ou se laisser gagner par des données impropres à une sorte d'embardée de type recherche avérée ! mais pousserr ! grave pousser ! pistonner ! grave pistonner ! chervcher = toucher à ce Néné des données finales ! une vache à lait se promenaiot sur un pré , et quand la vache à lait nous a repéré , elle a couru vers nous et jusqau'à nous pour nous lécher , léchezr les genoux ! fée né sur pré léchée par vache à lait ici aux genoux , aux genoux tout crottés, on se fait lécher par une vache à lait c'est fou et où ? eh bé .... dans ce, dit
"champ d'époque" ou en ce "champ d'époque" !
ou en ce pré acté , qui est le pré aux Fées de La mort Avérée, AFFirmée, Allouée à une sorte de .... Parole Docte, type .... Vérité, V2rité des Vérités, ou diosons ... Vérité Déité ou Vérité Divinoité .... Déité des Déités, ou Divinité des Divinités ! on veut toucher à ce Néné ... "du bout du monde " , qu'est)ce que c'est ? un vrai néné tout acidulé ? un néné en vrai de mére au lait ? une sorte en vrai de poche de lait ? ou quyoi se pourrait qaui nous enchanterait ou émerveillerait qui sait en vrai et sans nous troubler ? llait des fées de Roche ? lait POrté jusqu'au tracé ancré d'une roche ornée ? lait des laits des prés ... ou alors, lait lointain des données profondes (encore plus profondes ) ? On est La Fée Ailée aimant le Lait des données profondes , genre "N2né" des endroits post-pré ! post-rotonde on le sait ! lait des nuées ? lait d'une sorte de voie lactée ? lait post-roche = (ou égalerait) une sorte de lait d'une voie lactée ... Encoche ? poche ? poche à lait ?. poche d'ombre ? poche comme outre d'ombre ? poche d'ombre et ça le fait ou le ferait, peut-être, à jamais, et comment (dès lors) s'y retrouver ? On a envie grave ensemble , ensemble en tant qu'on est deux ailes formant fée, ou ELLES des données du pré, de, peut-être et pour le coup, cerner À JAMAIS les données "entières", soit tout un ensembkle de données en herbe (du Verbe !) afin de , ici, en ces contrées, en ces contrées post-muret, cerner ce que c'est que ce Lait tant nommé ! On a envie ensembke de co:m^rendre le pourquyoi c'est ça, ou le pourquoi de cette chose-là ou même pourquoi cette choses est là, soit ce Lait des Rages, Lait Frais, lait de BArbe , Lait Ancré comme à la Parade, Lait né post pré quand on est passée, quand enfin on a (pour ainsi dire) réussi à (ici) se faufiler à travers ce Trait ... de mur de fin de pré de r(oche, et autres muraille aux données finales (ou termin ales). creuser = donner ! et nous on veut donner , szoit : donner de nous , ok , mais ... pas tout ! de nous donner okk mais en vrai pas tout ! en garder sous le pied (l'aile allouée !) , tracezr = donner = dire = faiore = cer$ner ! toucher = dire = ptendre = comptendre ! qui est qui ici ? qui veut quoi cerner en ces contrées des boiuts d'un bout de pré ? qui ? On est passée qsur pied, on a creusé, on s'est infiltrée, on a voulu passer le bout du nez mais, hmm ... ça pue ! putain ça pue ! grave ça pue du cul ! on s'y attendait pas vraiment en vérité ! on ne s'attendait pas en vérité que pour le coup ça pue du cul ou que ça pue autant du cul ou que ça pue à ce poiint du cul ou disons que ça pue autant des odeurs du cul ou peut-être que voilà, quand ça pue du cul on veut pas ! ou disons .... quyand à ce point ça pue du cul eh bé voilà, on préfère ne pas ! on préfère en rester là ... on préféère pas aller pls loin en cettte floraison de, disons, "senteurs diverses" ou sinon "diverses" étonnannamment distinctes, marquées ou démarquées, présentéesq, portées jusqu'à notte nez ! on veut bien entrer mzis sans y passer ! on veut bien s'immiscer en ce tréit tracé ma&is sans pour autant avoir à subir de telles (comment dire ?) ... atrocités ? peut-être pas "atrocités" mais en vrai ... ça pue , c'est pas franchement farfelu de pour le coup le souligner à cet endroit pour ainsi dire de cet exposé, grave ça pue ! et du coup ... squoi ? on reste là ? sur pré aux bêtes bde paroi ? on ne s'aventure pas davantage hors de là ? on préfère les senteurs de roche, pré fleuri, prairie haiute ! on nhe veut pas se faire empuanter "là-bas" ! on ne le veut pas parce qu'on aime pas ça ! les senteurs du cul à ce point, nous, comment dire, incommodent ... ou pas ? on y va ? on y va droit ? On s'en fout de ça , on trace ? on va droit sur paroi coriace ? si ça pue pas grave ! si ça pue : pas grave ! On y va sans faire plus que ça ou tout un tas de manières "sa ges" car ... on est pas sages ! on envoie ! on envoie du bois dès que ç charge...
en nottre sorte, à nous, de corsage ! voile ! aile ! tête bêche ! trait de fée en herbe ! notre voie est là ! braver tempête ! tracer ! creuser ! filer et toucher à ce convoi du boiut du monde , à cette zsorte de convoi de .. pets ? du bout du monde ! qu'est-ce que ça peut faire ! on s'e,n fout pas mal ! on adffronte ! on veut comprendre la Parole DOcte ! On ne veut pas passer pour des benêtes de la HJoie en Herbe ! onveut grave cerner ! être "fée savante"! celle qui sait ! celle'-leà (parmi les fées ? ) qui sait ! celle qui (comme toutes les fées ?) saéit ? eh .... peut-être ! il semblrerrzait, il semblerait qu'on veuille l'être ou qu'on veuille de fait être celle (des fées ou en tant que fée)- qui sait ! squi connaît le Verbe ! le V erbe dit "acidulé" fait dxe lait en herbe ! lait frais ! lait des laits pour une misère ! léit donné même ! une misère mais ... lactée, c'est un fait ! on aime ! grave on aime ! on aime le lait et les cjhoses lactées post-post-cimetière , genre "données données" , car ces d"données-données" si souvent citées sont en vrai du lait, soit du lait mde mère ! on s'en serait douté mais on ne pouviait pas l'affirmer , à présent c'rst (pour ainsi dire) chpse faite ! le lait est avant tout du lzit de mère = une donnée donnée ! on aime le lait et du coup on cède ! on traverse ! on est comme allouées à une treavzersée, de type "remontées de bretelles" mais qu'est-ce que ça peut faire ? on éime y aller , pouusser, tracer, creuser et passer ! On s'en fiche de l'air , vicié ou pas vicié, on aime y aller et trouver ce qui est qui nous regaddreraiot ... de l'autre côté du pré ! tant pis pour le nez ! vive les nénés ! vive le lait ! lait nacré ! sucré acidulé ! on aime le lait ! lait post-herbe = lait post-pré ! lait de mère ? on aime ! on veut creuser de chez creuser le mur aux Données et nous y retrouver , cerner = piger, pour mieux nous situer comme qui dirait sur cet échiquuer des données primairses ! qu'est-ce qui est ici qui semblerait être ? VErbe-Lait nacré post-post-cimmetière ? champ de blé ? pré d'herbes ? chants acidulées ? termes ? On est née Fée la mort advenue, on s'en fout pas mal de ce qui pue du cul, des vents venus d'une roche nue, on fonce ! on s'en fout des ronces ! on est nue velue ! fée des fée des prés comme passées en force en cette sorte de trait dee roteonde ... trait de Cul ? Ré des Ombres ? filons !
allons ! essayons de comprendre ce qui est ici qui, pour le coup, semble vouloir nous attirer sans hésiter ... mais alors , ... pourquoi des pêts ? c'est en vrai à ne rien y comprendre ! on tremble ! on est Fée Fine prête à rire ! on veut toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher =btoucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher =toucher = toucher = toucher = toucher = toucher =toucher = topucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucgherb = toucher à ces dits "nénés " de base, à ces nénés dits "de contrebande", ce qui signifierait , que, en vrzi, le lait est comme juxtaposé à une sorte de donnée donné qui , elle, serait, du coup ... allouée au Verbe ? ....ON wse dit que oui,il y aurait du lait, et, accolé au lait, une sorte de donnée ... liée au Verbe .... ? ou alors le lait et le VErbe szeréait pour de vrai une seule et même donnée ? donné des données ?
Ou alors Lait = Verbe ?
On cherche (grave !!!) à comprendre le Lait, la Charge, le Trait, le Muret, les Bêtes sur Roche allant et venant, la Vacghe Centrale, le Passé, .... On veut toucher à ce qui se présente à nous, le muret (terminal) p âssé ou une fois passé : soit à ... du verbe-lait ? du lait-verbe ? Le verbe en tant que lait sucré ? le lait en tant que VErbe acidulé ? Verbe et lait serait de mèche post-post-mortem et à jamais ? est-vce que c'est vrai ? est-ce qu'on pêut décemment affirmer que le Lait est une ... Donnée Du VErbe ? Ver-be nacré sur paroi aux fées ? verbe consacré cvomme s'il en pleuvait ? Verbe des Fées tracées , genre Vaches princière ? On veut toucher = toucher = toucher, mais pour toucxher il faut entrer , en cette sorte de muret, aux données premières ... dxernières ... les premières seront les dernières ....? ou les dernières seront les premières ...? enfin bref ! on aime ! on a des ailes ! on veut voler ! on veut LÉVITER, LÉVITER sur pré (transe consacrée) et nous porter dès lors jusqu'au muret dit "des données primairses" ici , et "des données dernières" là , ... mais ... ce sont les mêmes ! dingue ! on est fée du pré , on est ailée car ... on s'aime .... à tout jamaiis ! amour fou radial ! chant de roche d'ombre ! cavalcade forte ! On fonce ! alons donc ensemble nous transbahueter et comme bnous accoler à une sorte de muret "des données profondes " ! O,n veut toucher à ce muret des données Hautes ! on veut grave cerner et toucher et comprendre et y aller de notre envie de voir ensemble ce qui est au-delà de là ! On veut toucher à ce mueeret "des données profondes", poussser et travezrser et nous retrouver, en force, prêtes à mùieux cerner cette histoire de Lait ou de produits lactés, ce qu'elle est, de quoio il s'agit pour de vrai, ce qu'il en retourne en vérité en termes de données maj eures. On est Fée des prés ..................................................................................... fée forte ....................................................... on veut cerner = dire = comprendre les données de base ............... données hautes .................. d'une sorte de passage à travers la Roche ........... roche "seconde" ........................ roche de muret de fond de pré de bosse ............................................. cxerner = toucher .......................... toucher = cerner /.............................. on est née Fée à la retombée la mort avérée ......................... dans un pré ............... sorte de rotonde ................ aux bnêtes de trait , vaches à lait, Choses Hautes, Herbes SAcrées ................................et de ce pré, on veut s'échapper ! ............................................... franchir Une pOrte ................... trait des traits ..................... anfractuosité à "faconde" ............... le PAssé des POrtes ..................... ou même le Passé passé la porte ou e-une fois passée la porte ......... car un e fois passée la Porte on se retrouve ...... eh bé on dirait ...... dans du lait ? ou disons : près du lait ? ................... ou même : accolée au lait ? ...................................................... on veut goûter à ces dits "-nénés" de ROche ! o,n veut lécher le Lait donné , téter de chez téter à ce lait "de Roche " ................ de quoi il s'agirzoit en vrai ? d'une sorte de ............................... Parole ? ..................... Parole DOcte .?........................................................... qui en vrai le sait ? qui vconnaît la bonne parole et saurait la véhiculer, la faire circuler ? qui sait ce qui est en ce qui est des Paroles Hautes post-pré ? qui connaît de près le Néné des Ombres ! voie lactée aciidulée ! sein des ombres post-pré et autres giron déboutonné , qui sait ? qui connaît le Néné comme sa poche ? qui connaît le VRai de l'Ombre, du TRacé Nacré, des POrtes Hautes, Ciel de Traiot, Passion Haute ... au niveau du Passé ? Qui sait de fait ce qiu'est la Porte des Données Profondes ? un trait ? la ré ? le Passé tracé, apporté, posé, accolé, soulevé , mo,ntré, chanté ? on est Fée des Prés de Roche, et on compte :
un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf, dix, onze, douze, treize, quatorze, quinze, seize, dix-sept, dix-huit, dix-neuf, vingt, vingt-et-un, vingt-deux, vingt-trois, vingt-quatre, vingt-cinq, vingt-six, vingt-sept, vingt-huit, vingt-neuf, treznte, trente-et)-un, trente-deux, trente-trois, trente-quatre, trente-cinq, trente-six, trente septpt, trente-huit, trente-neuf, quarante, quarante-et-un, quarante-deux, quarante-trois, quarante-quatre, quarante-cinq, qu arante-six, quarante-sept, quarzante-huit, quarante-neuf, cinquante, cinquante-et-un, cinquante-deux, cinquante-trois, cinqiante-quattre, cinquante-cinq, cinquante-six, cinquante-sept, cinquante-huit, cinquante)-neuf, soixante, soixante-et)-un , soixante-deux, soixante-trois, soixante-quatre, soixante-cinq, soixante-six, soixante-sepet, soxante-huit, soixante-neuf, soixante-dix, soixante-et-onze, soixante-douze, soixante-treize, soixante-quatorze, soixante-quinze, soisante-seize, soixante-dix-sept, soixante-dix-huit, soixante-dix-neuf, quatre-vingt !
19/12/2024
On vreut en tant que fée ailée aller et toucher à cette sorte , au plus lointain, de donnée dernière ! Fée on nest ! Fée des grâces et des données sages ! on veut dire ici sur place (devant le muret) ce qu'on est à une sorte de public ;... nacré ? perlé ? ancré ? qui semble ou semblerait grave nous regarder alors même que nous on affiche un visage plutôt dégagé dans le genre ! On a envie ensemble accolées (ailes) , c'est sûr, de comprendre beaucoup de toute cette histoire de nénéds tracés, de nénés à lait qui comme qui dirait serait devant nous à nous attendre mordicus pour nous donner le bon lait à téter sans sourciller ! On est des vfées ! on aime le lait ! les fées grave aime le lait ! Les fées adorent le lait et jamais ne ratent la moindre occasion pour téter , pour se placer de telle sorte que du lait,
tombe ou tombât,
en leur bouche de fait grande ouverte,
en notre bouche grande ouverte ! becquée si tant est ! On est Fée de base aimant le lait et, du coup, le voir tomber dans notre bouche grande ouverte ! on a super envie ensemble (ailes) de comprendre
les données de base
devant nous, sur ce muret post-cimetière ! On est née's Fée du fait qu'on est
AILES (AILES au débotté) et qu'on aime le lait, de bonne grâce ! On regarde ensemble, devant nous, les données de l'herbe ! On veut toucher à ce qui se présente en la matière et pour ce faire, on est prêtes à faire beaucoupb = mater grave ! cerner grave ! toucher ici aux nénés de l'arbre ou comment on pourrait dire (en vrai) sans se tromper, parce que nous ... on a méga envie de toucher, ici, à ces nénées de l'arbre ! à ces nénés de l'antre , des données de base, des denrées , du tracé donné qui serait le tracé des données primaires, ou premières = du lait ! oho ! on voit ça ! on voit qu'on en a pas fini de voir, toucher et cerner devant nous un grand nombre de do nnées lacustres comme qui dirait ou peut-être pas lacustre mais quand même largement moiuillées ! de type lait, allez ! ou quelque chose de cet ordre qui serait aussi (de fait) lacté ,
on dirait. On veut toucher en tant que Fée à ces nénéds du bout du monde, à cette sorte de rotonde (un muret ) et aux nénéds cachés dans l'ombre d'un repli de roche ! On est Fée des données HZutes ! drôle ! on savait pas qu'on était fée, avannt la (première) paroi, c'est àdire avant avant avant , avant en vrai qu'on soit à s'immiscer,
en tant qu'homme par exemple ,
et voilà qu'au passage on se retrouve transformé, en Fée ailé ! dingue ! ailes = eklles = femmes tracées = betes de trait et du coup ... Fée ! comme c'est bizarre ou étrange ! comme en vrai on pourrait penser que tout ça est comme ... une sorte de propagande peut-être pré-fée ,; ou pro -fée alors que non , pas vraiment en fait, même pas du tout ! Le trait de rage sur paroi correspond (en tout et pour tout) à une sorte de tracé de base, comprenant pour le coup un ensemble de données primaires, primaires et ancrées, qui sont ou seraient les données, en vrai, de "l'ère sévvère" , des temps acculées, etc., et du coup on entre ! on entre parce que voilà on veiut (ensemble) essayer de comprendre les données de base à la lumière des données de rage (pariétales) frontales, aurochs articulées, auroques cendrées, bisons / bisonnes à toucher et à caresser sur pré , ça le fait ! On est montées haut et on regarde, et ce qu'on voit est peut-ettre énorme mais nous, de là où on est, on a beaucoup de mal à se rendre compte ! on a super envie ici ensemble forcément de comprendre mloin en cette sorte de zone prairiale et pour le coup d'en avancer pour ainsi dire dans les connaissances, . On est accolées aussi parce que oui, on danse ! on arrête pas de danser ensemble, ici même, roche ou rocher dit "des convenances" ou "des convenances lactées " ! Onn est accolées parce qu'on est ... "les ailes de la fée en herbe " ! dingue ! jamais on auraiçt pu y penser! On aurait aimé peut-être anticiper mais comment tu veux anticipezr quand au tout départ tu es ... homme, homme à tete d''herbe, et puis une fois la paroi passée tu te retrouve Aile ! Ailé ! c'est à dire Elle , Elle de Fée ! Dingue ! jamais on aurait pu imaginer que cette chose puisse exiçster ! jamais on aurait pu penser que cette chose en soi (dans la mort une fois actée) puisse en vrai se passer ou se dérouler et du coup nous entraîner dans une sorte de (qui sait ?) sarabande, de parade immense, au milieu de milliers et de milliers (peut-être) de bêtes tracées = entre 'lles, au milieu d'elles à les mater, à toucher leurs ailes à elles car elles aussi en vrai sont ailées ! dingue ! on voulait passer eh bé on pe'ut dire que, pour le coup, on aura réusssi , on a franchi la base des données et là, on se retrouvfe (on dira) à genoux, par terre dans l'herbe, comme (voilà) soulevées de rage , de base, à chercher à comprendre , à cherc her grave ensembkle
à com^ptendre comment on peut faire pour ici en vrai, arriver à se redresser et à tracer grabve (et loin) pour arriver à s'échapper de ce pétrin où "quelque chose" nous a fourré ! On veut ensemble aller (au plus loin possible ) pour toucher ou arriver à toucher à ces nénésx dont on a souvent entendu parler ici ou là il y a maintenant un paquet d'années ! on veut toucher à ces nénésx dits "de l'entrée aux vivres ", ou quelque chose qui ressembkle à cette chose = à une sorte de dire "drôle", ; On veut être la Fée qui trouve devant elle une sorte de porte .... un passage "drôle" ? une sorte de porte où en vrai même ailée et peut-êtrte même justement en étant ailée, on pourrait passer , on poiurrait de fait s'immisqcezr sans fatiguer, en se laissant "couler" comme qui dirait, gracile, agile, vive, et du coup , étant passée, on pourrait regarder au plus loin ce qui apparaît et qui serait "les lendemains" , les données lointaines ou les plus lointaines, ces données post-traîne ! post-pré (pré aux herbes) , post -tracé de bêtes -poids et autres bêtes de paroi ! On voit ce qu'on voit = un convoi ... et puyis on va jusque là-bas , la murette dernière, l'ultime mur aux alouettes et là, on est là qu'on cherche ! on cherche sur (cette) pareoi une sorte de "passage drôle" ! ... trait ou croix ou traits de croix ! là ! juste là la croix ! l'endroit par où peut-etre on pourrait accolées et bien regrpuoupée passer même si c'est étriooit ! on veut en vrai ensemble toucher à cette chose qui, devant (on diraoit), nous regarde, nous voit, nous cerne, nous dévisage ... mais qui c'st ? qui est-ce en vrai qui ainsi nous mate sans arrêt ! nous regarde peiner à nous immiscer comme en contrebande alors qu'en vrai on est presque invitées à passer ensemble = accolées parce quailes de fée, parce que oui, on est ailes d'une Fée ailée comme sont les fées ! On vreut toucher ensemble à cette sortye de muret "des contrebandes allouées ", et du cdoup passer ! passer la douane ! le tracé ourlé ! la zone franche qui sait, ou, sinon franche, .... quoi ? policée? On veut ensemble si possiblke passer à travers la lande jusqu'à pénétrerr comme par contrebande le tracé "ourlé" d'une sorte de contrée antrale , autre contrée ! Et du coup .... cerner-comprendre ce qui est ici qui en vrai se passe ou se passerait sanbs que forcément on soit conviées mais bon , si on entre, autant qu'on sache, qu'on comprenne, qu'on voye, qu'on puissee s'avancer jusqu'aà mieux comprendre ce qui est en termes de données post-pré soit post -parade , soit post- paradis pour ainsi dire ! Après la p ar(arade il y a quoi il y a ... eh bien ... du VErbe Tracé ! oulà ! oh oh ! on s'attendait pas mais bon, on veut toucher du dopigt à ce qui est alors vopilà , autant nous avancer au plus lointain en ces copntrées post-^pré, post-post)-morteme et du coup regarder, les yeux écarquillées, ce qui est ici qui est cfomme présenté,, ou proposé à nous, genre ... N2nés ! et nous de vouloir toucxher ! de grave vouloir ici téter à ce Néné dit "des Nénés" tu m'as compris ! Du lait du lait du lait ! on veut téter en tant que fée ! les fées aiment et boivent du lait ! du lzit de prairie = post-prairie qui sait ? les fées on dit ou on dirait qu'elles aimment le lait, qu'elles adorent boire (téter) du lait, qu'elles en boivent ou en boiraient volontiers sans compter ni faire de simagrées ! elles adorent ! elles boivent du lait comme des paroles ! eLles adorentb le lait et du coup nous aussi on adore puisque voilà, on a été chan gé en Fée ! On na été transformées ! On était un homme sur pied, genre "hombre" et nous volià toute (tout ?) transformée (ou transformé ?) en Fée des Paroles ! Fée sur trait de roche ! dinguerie de Poche ! On est devenu fée par la parole ! oho c''st trop ! Onn est passé de "homme" à une Fée cornue, ou sinon cornue velue, ou sinon velue osseuse et quasi monstrueuse, ou sinon osseuse et quasi monstrueuse .... vulve ? Trait sur roche découvert ? Trait des ombres à découvert ? Muse ? On est passéees en tant que F2e ailée, Ailes de Fée, on a en vrai traversé le pré et maintenant, on voit bien que le chemin ici nous mène grave vers ce bout du monde en quelque sorte, vers cette chose au plus lointain du pré, vers cette sorte de treacé de roche ultime, etb qui est peut-être en effet un passage pour fée ailée, fée velue ou pas velue, cornue ou pas cornue, mais ailée ! et du coup nous voiulà postées ! on passe ! trépasser = passer le trait ! on regarde ! on est grave obnubilées mais pas grave , du moment qu'on trace ! on veut toucher à ce néné à lait dit "Néné des Nénés " , eet du coup comprendre peut-etre à jamais ce qui en vrai se trame en cette roche terminale aux données de base il paraît mais est-ce que c'est vrai ? on cherche ensemble ainsi accolées à cerner-comprendre et toucher, et prendre, prendre les données, prendre pour szoi (en soi) les données qui seraient des denrées qui seraient du Verbe, du Verbe de RAge ou sinon de Rage de La Foi Dans l'Anttre , en cet Antre de l'Au-delà à la P aroi ici (ou là ?) initiale ! Caramba , on charge ! on passe ! le pré passé on chyarge et du coup on passe l'ultime tracé ! On veut cfomprendre ce qui est devant qui est à nous attendre et pour cela le mieux c'est de pour ainsi dire s'activer sans traîner et de filer à toute blinde, à travers la Roche (l'ultime rocher) des données de Poche ! Poche ourlée ! poche ou outre aux données données et situées ! On est Fée des pré, puis Fée de l'Ombre, du tracé traqué ! On a envie ensemble grave d'aller ici au plus pressé vers ces données dxes derniers murets et autres murs ultimes en rotondité. Qui on est ?
ELLE
ELLE sur pré
Aile
Ailes de fée sur tyracé en herbe ... on est nées sur herbe allouée ! On veut toucher à ce qui est qui wse présente ici sans plus tarder et se recommaande à nos intérets ! On veut toucher parce qu'on est ELLE , F2e d'Herbe, F2e du VErbe en HErbe ! une sorte de ... "macghine de guerre" ???? qui sait en vrai ce qu'on est la mort passée ! On a voulu entrer en ce muret des données dernières eh bé voilà , on est entrées et du coup on peut regarder(beaucoup) ce qui est ici qui on dirait nous mate ou nous materait en retour ! quoi c'est ? qu'est-ce que c'est qui ici même de fait serait à grave nous mater une fois que nous voilàentrées en tant que Fée Ailée post-cimetière, post-pré, post-post porteme, le trait passé pour ainsi dire et le tour est joué ! On mate et on est matée ! double échange de civilités ! On veut toucher à ce qui se présente en termes de données cde contrebande et on savance, on trace, on est ensemble en vrai accolées parce que voilçà, on forme Fée aux données de RAge ! rage avouée est cfomme à moitié pardonnée , et voilà pourquoi on se permet de s'avancer sans reculer, sans hésiter,n sans traîner, devant nous sur pied puis à la volette comme qui dirait ! fée ailée sait voler et avancer ainsi soulevée ! trait pour trait !on, mate et on est matée ! matée par les yeux de L'ëtre adoubé , Aimé , ADulé qui sait mais qui c'est ? Dieu le Père , l'épouomoné ? Père sévère et son trait des traits ? Pet en Herbe et autres vents contrairesx ? pets lâchés sur herbe des prés et ça pue la merde ? quoi est-ce ou qu'est)ce ? Une caisse ? Un pet de Fée ? Pet en herbe sur pré et bnous voilà comme enfumée ? On veut toucher ) ce qui est en termes de données de tresse, on ne veut pas passer à côté mais grave toucher à ces données de tresse, ou à ce genre de données en tresse, ou en trainées, ou en filets de Rage, ou en fils consacrées et autres filament fibreux de type ... Vivres ! et du coup .... cerner ! cerner de près ! toucher = cerner ! On a envie ensemble de toucher à ces données dites "de contrebande" et du coup ... s'immiscer (grave) au plus près de ce qui se présente ! des filets ? des tresses de traits ? des données données de type tracés , traits acidulés , traits nacrés ? On est La Fée du pré passé, on a traversé le muret, on a envie ensemble de se retrouver pour ainsi dire, soit de se poser, et de cerner ici ou là ce qui est pour nous qui en vrai se présenterait incidemment à nos yeux ouverts, à nos mmirettes écarqyuillées pour mieux regarder et cerner la roche, les Données de Roche, de Roche allouée à une ultime Fosse .... On veut ensemble au plus près et au plus pressé co:mprendre ! toucher = comprendre ! on est nées ! dans la mort on naît ! on est nées Fée ailé ! on a traversé et du coup nous voilà comme nées à une sorte de contrée des Fées ! On veut en vrai toucher à ce qui est qui se présente ou se présenterait à nbous qui sommes ailées !
Toucher = toucher ! manger = manger ! dire = dire ! pousser = pousser ! fauire = faire ! perdre := perdrev ! charger = charger ! coucher = coucxher ! cendrer = cendrer ! opisser = pisser ! moner = monter ! tater = tâter ! tirer = tirer ! passer = passer ! outrer = outrer ! pondre = pondre ! mater = mater ! voir = voir ! comprendre = comprendre ! concevoir = concevoir ! pister = pister ! souder = souder ! sonder = sonder ! permettre = permettre ! cacher = cacher ! huer = huer ! porter = porter ! cacher = cacher ! vendre = vendre ! jouir = jouir ! jouer = jhouer ! louer = louer ! louer la Divinité dite "des prés" = louer la Divinité dite "des Prés", et du coup l'aimer ! l'aduler ! la voir comme une sorte de Déité des Déités ! la prendre pour (en soi) ça ! Déité des voix, de l'Antre Final ! On veut aller ensemble loin en cette roche des données ultimrs avouées ! on ne veut pas passer à côté mais y aller frontal au plus profond qu'on pourrait de fait sans reculer, sans faire faux bond, sans tarder, sans se monter du nez ! mais simplement tracer de chez tracer un trait de rage sur le FRont de ... l'Âme ?????? Ambre ?????? Ombre ?????? Hombre ?????? Hommme ??????? autre ???????? Antre ?????????? on nchyerche grave ici à comprendre, cf'est un fait ! O,n essaie de s'impliquer et dee toucher à ce qui est en termes de Vérité mais évgidemment que ça c'st pas super super facile à réaliser même en tant que fée parce que c'est vrai que forcément il faut être méga-motivée (déjà) en soi pour aller et tracer et pousser la chose jusqu'au bout du bout, maispas que ça ! il faut creuser ! il faut grave creuser et essayer ensemble d e treacer profond les données en roche, genre "traque " !
On se doit d'aller loin et de creuser profond, et cette chose est une sorte de "traque de roche" ! On a envie (du coup) de treacer dans la roche les données de rage telles qu'elles se présentenjt à notre (sorte de)
"gouverne sentimentale" ; .... On veut toucher ensemble (ailées !) la Base ! Le TRait ! Trait de RAge de base ! et tracer = filer = ficeler le trait ou comment on pourrait dire pour ici indsdqiquer qu'en fait on passe à travers un filet qui est un trait qui est un passage tout ce qu'il y a de plus étroit en la m^éatière , genre "fil de soie" ! On entre comme à la p arade et du coup ob nn se reytrouve là, parmi les Bêtes-MOts du Pré- Verbe alloué àune zone de "recherche" ! On trace ! on y va ! on ne veut pas s'(arrêter là mais pour le coup poursuivre sans traîner sur pré notree sorte de "destin"é du trait" ! On veut (en gros !) ... téter ! on veut trouver du lait ! téter = trouver = prendre = dénicher ! On veut toucher de chez trpucher le lait "de contrebande " et téter .... téter sans se gêner ! pourquoi on se gênerait ? On est passée ! on na traversé ! on s'est rapprochées du muret ! on a regerdé, testeé, tâté, le muret des données dites "terminales" , et )à présent on est en droit de pouvoir y aller ! de (à nouveau) traverser la Roche, Rocxhe-Rotonde, Enceinte--Roche, Roche-Enceinte, Roche-Rotonde des données cdernières .... FILER = Filer ! on trace ! trait ! bête de teait ! trait passé ! on veut passer = entrer = filer = traverser la Roche aux Données "Profondesc" .... VITE ! VITE ! Aller ! passer ! mater ! voir ! essayer en vrai de comprendre ensemble les données du bout du monde post-pré ... c''st -à-dire bien après la mort, après le pré dit "de la Mort en Herbe ou VErbe" , après le pré il y a ce muret "en rotondité" déjà rencontré à l'entrée du pré mais là ... on se doit de fait (comme il semblerait) de re-traverser ledit muret, de re-passer son nez busqué, d'eesayer de se faufiler si jamais en quelque trait d'anfractuosité ici tracé, et d'entrrr ... sortir du pré pour enttrer en cette sorte de ... contrée nouvelle ... air ..... air alloué à Nouvelle Contré donnée ou accordée ... qui on est ? qui on est post-herbe ? qui on est post-pré ? qii en vrai on est post-pré , qui on est le pré passé ? qui on est en vrai le pré une fois passé ? qui on est ou qui on serait ? on ne veut pas s'éteindre mais durer ! pile wonder ! trait de fée ! chant donné ! fée des fées on est njées sur pré à la retombée et nous voilà .... acidulées ? comme acidulées ? Lait ? Lait post-pré ? lait ou voie lactée ? Lait des prés devient voie lactée comme qui dirait ? On est attreappéees ! on est grave attreappées ! on est retyournées ! on est grave retournées ! on est attrappéeex de chyez attrappéees et grave retournées de chez retournées ! comment on peut faire en vrai pour maintenant comprendre davantage ce qui se passe ? cfomment on peut faire en fai t à présent pourb mieucx cerner les données qui se présentent pendant qu'on parle ? on cherche enxsemble à se situer, à cerner les traits, à toucher aux nénés dits "de contrebande" mais en v rai , on est un peu "isolées", on est pas forcément super aéidées et on rame ! on en avance pas tant que ça ! on aimerait grave en avancer vachement plus, mais voilà on est plutôt (en fait) isolées, esseulées, dans notre sorte de "contrée des fées", et on est (du coup) un peu "timorées" , un peu"coincé"es" , on a du mal à se libérer et à franchir comme qui dirait un certain nombre de "p aliers" , de traits, de marchepieds, de je ne sais quoi qui serait là à nous mettree déjà et en soi le pied à l'é-etrier une fois pour toutes , et peut-être à jamais, qui sait ? On veut toucher à ce qui se présente ou se présenterait en termes "lactés" mais on est un peu timorées , un peu coincées, un peu "empriuntées", on a du mal à se la&içssr aller et à lâcher la bride ! On est un peu comme empriuntées devant l'Adversité ! On est Fée ok, mais "tranquilles" .... un petit peu timides ! on veut ici toucher mais ... on ose à peine, de peur de gêner ! On a vraiment en nous une sorte de "mainmise" qui nous freine ou freinerait un petit peu pour ainsi dire dans nos entreprises et du coup on est un peu comme gênées aux entournures et timides et comme empruntées de fait dans nos actes et autres actions, sur pré et au-delà ! On vfeut voir là-bas mais on hédsite ! on craint du danger ! on a peur d'y rester "collées" , de ne plus (après) pouvoir revenir, retrouuser chemin, revenir au pré (brouter ?) et ... du coup , devoir ... "y rester " à jamais, de l'autre côté ! On veut toucher à ce Néné des Astres, Voie Lactée Ok, mais sans y passer ! On ne veut pas rester cfollées à ces tracés de ciel ambré et autres configurations célestes étoilées ! On veut bien aller, mais (§pour ainsi dire) sans aller ! on veut toucher à ce néné des prés des Rages mais en vrai, sans vraiment "toucher" pour ainsi dire, juste effleurer ? mais effleurer c'est toucher ! alors .... juste regarder... regarder = toucher , regarder = ou égalerait aussi toucher ? On a envie ensemble
de nous promener ,sans regardder à ce qu'on fait ou pas, ici, en ces contrées post-pré ! on a en vie ensemble de se promener en ces contrées qu'on d it ultimes, et pour le coup sans v raiment chercher à pour ainsi dire se retourner ou à revenir méis y aller franco et puis on verra bien (de fait) ce qu'il adviendra ! On est ailées alors en vraéi peut-être qu'on pourrait ici arriver à traverser ce f&meux muret sans trop s'aesquinter au passage, sans trop dse blesser m ais au contraire passer, commre une szorte de lettre à la poste ! traverser sur roche , toucher aux fins de pré et passer, passer de l'autree côté, de l'autre côté du pré ! filer ! activer ou s'acrtiver ! fissa aller ! aller en vraéi sans plus se retyourner, et essayer de cerner ces ditesc"dopnnées lactées" qu'est-ce que ça pourrait être en vrai qui pourrait nous intéresser au plus haut point vu zu'on est grave méga-motivées à la base ! super motivées à l'idée de compptendre enfin ce qui est en vrai de l'autre côté du pré, soit post-post-mortem ! qu'est-ce qui est qui est qui peut-être serait à nous attendre , à patienter après notre arrivée ! qu'est-ce qui pourrait être ? qu'est-ce qui pourrait être et se treamer et faire ainsi qu'on serait accueillies de fait comme des fées ! ? On est nées ici, pré, prairie, et on veut quiiter cette con trée car, on veut passer de l'autree côté... re-traverser le muret, passer = toucher = filer = se faire menue pour en vraéi se vfaufiler et se glisser ainsi pour mieux atteindre la contrée ultime , l'ultime contrée allouée à une sorte de ... passé Limpide ? de Passé des Passés ? ,Le passé renouvelé ? retour au passé ? au Passé du pré ? au passsé du pré-pré ? au Passé dit "du pré-Pré " ? Qui sait ? qui sait en v rai ? On veut toucher à une chose qui serait "de roche" et filer ok, pousser loin en roche et cerner, toucher aux Nénés ce serait touchert à une sorte de Donnée, de base lactée, qui elle-même serait du lait tout ce qu'il y a de plus lacté ! pis d'herbe ! Veerbe ?????????????? Du Verbe ??????????????? vraiment ça en herbe ?????????????????????? Verbe donné le muret passé et ce vserait dsu léait ?????????????????? lait alloué à une sorte de muret des données tracées ??????????????? lait-verbe ? ve'rbe"-lait ????????????? lait = (égalerait) Verbe ... à jamais ? qu'est-ce que c'est que ces données post-cimetière puis post-pré puis ... post-passé ??? qui seraient du VErbe-Lait on dirait ? Verbe Lait des Ombres Portées ? On veut en vrai aller = dire = cerner = comp^rendre ce qui est qui se vprésente et nous fait un drôle d'effet dit "de contrebande" il semblerait mais est-ce que c'est vrai ? Est-ce que réellement on peut s'appuyer sur ce type de données "profondesv" ?? est-ce qu'en vrai on peut cerner ce qui est en vrai le muret une fois traversé et du coup ces nouvelles contrées dites "lactées" comme attei ntes de plein pied ? Peut-on ? Peut-on toucher ? est-oon à même en tant que fée ailée de pouvoir toucher à ces données post-pré de type lactées ? voies lactées ? voies ou voix lactées et ça le ferait ? On est comme timorées c'est vrai mais bon ,; on est présentes, on ne lâche rien, o,n entre à pas cpomptés et feutrés , on entre ensemble à pas mesurés et un peu empriuntés ok, mais enfin on entre ! On ne fait pas semblant d'entrer, loin de là, on est présentes ! on y va ! on veut comprendre ce qui est "klà-bas" alors voilà .... on veut toucher à ce qui est qui serait sur place une sorte de Dpnnée Intense ! la donnée de Rage allouée à une sorte de Contrée Finale : Post-pré et pré-P assé ou comment comprendre ? du passé en branche nous attendrait qui nous regarderait comme de biais ? On a envie de cdomprrendre ensemble (ailées) toutes ces données ou sortes de données de base telles que présentées en ces contrées d'un post-muret, et pour ce faire on se dit qu'on a fort à faire, que, en vrai, qui sait ? ces données "profondes", ne nous seront pas forcément données d'emblée mais que voilà, on va avoir à se bouger, à se retrousser les manches si tant est, à se creuser (grave !) les méninges et du coup à fouiller ou fureter, en ces différentes données déposées, pour essayer ensemble d'en extraire au mieux la moelle épinière, le coeur ou les entrailles dites "vives" d'une sorte ici de "Vérité Active" .... Et du cfoup on pourra peut-être, alors (on verra), comprendre = cerner = saisir = toucher ... cette sorte de donnée lactée, ce qu'elle est pour de vrai ou, a contrario, ce qu'elle n'est pas et ne sera jamais , qui sait ? On est fée -femme au jugé, on est entrées ! on mate ! grave on mate ! on est la fée post-pré qui est passé en transe et nous voilà qui nous incorporons comme à l'arracjhé , en ces contrées de bout de pré, soit en Roche finale ou Terminale appelée "PONTON" ... hé ! nouveauté ! On ne savait pas son nom ! On est heureuse de l'apprendre ! De pouvoir enfin savoir et entendre ! cool ! on aime savoir grave , donc .... On apprécie, la Chose, à son juste prix ! ON a touché , on est passé, on a regardé, on reg arde , on voit la Voie ! oho ! Voie de l'ombre portée ! oh ! On aime l'eau mais plus encore le lait c'est vrai , on peut l'avouer (et l'afficher ou afficher ce fait) .
On est nées Fée, à la retombée dans le pré, on a couru dans discontinuer et nous voilà toutes vermoulues mais pas grave, on entre ! on entre dans l'antree aux données de Rage ! post-pré c'est fait ! cjhose actée ! on doit pouvoir continuer sans être importunées et dérangées dans nos tribulations de fée en pays de transe ! trait pour traits on en avance ! On creuse des traits mais c'est pour mieux toucher à ce qui se présente devanjt nous en termes de données données , vivement ancrées . On est
F2ES DES F2ES
FÉES DES TREAITS DE ROCHE
AIONSI CERNÉES
DITES ET PORTEÉES , OU DITES PARCE QUE PORTÉES ! VRAI ! VIVES ET NACRÉES ON EST LES FÉES DU DIRE PORTÉ = DES DONNÉES DE RAGE ET AUTRES DONN&ÉES "SALES" , QU'EST-CE QU'ON EN SAIT , ? ON A MÉGA-ENVIE DE COMPRENDRE ET DE SE POSER UN TEMPS SUR PLACE (ROMANCE) POUR SOUYFFLER ! ON AIME ALLER EN CES CONTRÉES DE BOUT DE PRÉ POUR COMME QUI DIRAIT ARRIVER À TROUVER UNE SORTE DE VÉRITÉ CONCERNANT ... LA MORT....CE QUI EST QUI NOUS ATTEND EN ELLE , PAYS D'AILES !
On a envie de se promener san pour autant traîner parce que voilà, le but ici n'st pas de lambiner (quoique!)
mais de comprendre a&u mieux ce qui est qui peut-êtte serait à nous mater de biais, pour mieux nous croquer ... qui sait ? et nous avaler et hop, terminé ! on cherchge à cerner ! on cherche à se rapprocher de la vérité ! on cherche à comprendre les données de base ce que ça pourrait en vrai être sur pied, à quoi ça pourrait ressembker , ce que de fait ça pourrait être en termes de données "lactées", "lactées et acidulées" , à quoi ça pourrait au fond ressembler si on s'en rapprochait sans se gêner ... On est allouèées ou comme amllouées nous-mêmes à une sorte de donnée rupestre , genre Trait des Traits Gravés ,
sur Par(oi de grotte (on dira : Haute Paroi de Roche ) et diiu coup c'est sûr
que, nous, on doit pouvoir aller profond car , voilà, on est comme "touchées " ... ob n est comme super "touchées " , touchées = visées , par , comme il se'mblerait, un ... "Trublion" ???? une sorte de bête des prés , cheval d'Arçon ? bison ? Tronc ? On est touchées et du coup on pleure, et du coup on se met à genou, et du coup on veut se redresser et filer et aller et trracer et ne pas nous retrourner et traverser traversrr traverser traverser traverser traverser traverser le muret premier puis le pré puis le muret à nouvzau trouvé sur notre sentier ! et là ........................... oups ............................. houp ................././...................... PASSER ! .................................................... vetrs le passé ? ...................................... qui sait ? .............................................. qui en vrai sait ce qui pôst-sentier, post muret , EST ? ..................................................... du laiit ? du lait de fée ? du lait dit "acidulé" ? l ait de trait ? lait aimé ? Lait de traite réelle ? Trait ? frai ? Gente Elfe ? ......................................... qui sait ce qui en vrai est qui se présenterait et nous invçiterait à nous placer à ses côtées pour comprendre ou mieux comprendre et aimer, mieux aimezr, les données en herbe post-pré = pôst -praierie = post-muret des Finalités ! qui ? On veut trouver ! toucher ettrouver ! car, on aime toucher et trouver , on aime grave, et toucher et trouver ! on a super envie ensemble (AILES) de touchert-trouver comme par la bande une v érité qui serait prégnante, située, actée, sur laquelle pouvoir s'appuyer, fiable et non friable , Vérité des V2rités ça le ferait ! mais comment s'y prendre ? comment faire pour acter la chose sans s'y perdre ? Comment en vrzi pouvoir toucher à ce n éné dit "de contrebande" comme si en v rai ça pouvait être vrai ? On veut entrer = toucher, entrer = dire ! on veut dire et toucher ! faire tinter ! activer ! faire en sorte que voilà, le dire puisse (là ?) êytre repéré en tant que Donnée allouée à une sorte de Contrée "Acidulée" genre lactée, comme ... la voie lactée ? étoilesb nées ? On voit ou on ne voit pas mais on est là ! on creuse ! on va ! on b-n'en démords pas et on se dit qu'un jour ou l'autre peut-être on verra ! on saura peut-être, on comprendra,,on touchera à l'herbe des parois des bouts de roche plus que finales .... on saura ce qui se présente , ce qui se pose là devant soi, à quii ça resemble, à qauoi en vrai ça pourrait ressembler en tyermes de ... Voie ? Voie docte ? voix docte ? voie lactée des ROches ? voix docte ? voie des voix et vgoix des voies ? Voies données pour pouvoir tracer et pour s'autopôrter jusqu'au Néné de l'Ombre ? Néné né à la retombée on dirait, côté ombre ? On veut toucher à ce néné mais pour toucher à ce néné
le mieux c'est de ne pas trop traîner et de filer fiszsa jusque dans les
les bras de cette sorte de Mamma maline , fine, acide, adoubée par une .. Déité des Rimes ! File ! Fonce ! ne renonce pas à faire ainsi ici que s'ouvrât la Porte ou l'Anti-porte (?) Haute ! va ! ............................................................ ne regarde pas à te réfréner mais au contreaire va , file fissa ! ....................................................... va et file ! fonce et cours ! trace ! creuse ! cherche ! touche ! vibre ! cerne ! compose ! absorbe ! prends ! alloue ! piste ! passe ! colle ! porte ! chante ! va sur roche là-bas comprendre les derniersz messages : le tracé de base, l'emporté de rage, l'épopée, l'ombre portée, le denier, le Passé passé qui en vrai ne wserait pas assz aux yeux de cette D2ité des Entrées ! ....................................................................................................................................... fonçons ! ........................ filons ! ......................... esayons ensemble de cerner de base ce .... pONTON ! Drôle de nom pour une sorte de tracé de rage post-pré de base ! On est bon ! ou plutôt on a bon ! on entre ! entrons ! on mate ! matons ! faisons ainsi qu'on puisse en v rai comprendre , les données de base, le tracé de rage, les données basses, le parfait, l'imparfait, la cendre, le tracé sur muret indiquant de rage par o^ù du coup on pourrait passer ! On a envie ensemble de toucher à ce qui peut-eytre, en vraéi, pourrait ici se présenter sans nous importuner , afin de pour le coup pouvoir nous donner de quoi ruminer et de fait nous alimenter en termes de dennrées à ingurgiter sans hésiter ! vaches ! vaches à lzit ailées ! o n est en tra&nse ! on vezut coller à une sorte de romance, romance "agitée", qui serait la Romance des prés, prés ... ou Parois ... des ROis et Reines de l'au-delà .... l'au-delà à quoi ? à la Rage , va ! à ça : RAge des Rois et Reines de Là-b as, post-terre, post-nouba, post-paroi de choix, post-pré aux herbes ! sanita ! sainte voie ! sainte voie des airs ! charge sur paroi de base ! tralalalalalala ! on danse ! ......... o,n danse en transe, ça ! ce tralala ... des données de Rage ! du Passé, comme remonté de la base et .... acté ! chahuté mais acté = tracé = donné ... et qui sait si "Déité La MOrt" pourra aimer ou apprécier ce que nous offrons, en v rai, de nous à ces bras ouverts comme sorte de donnée de porte ? On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à cette sorte de donnée lactée, néné ? peiut-être néné mais en vrai on est pas douées (tout à fait) pour cerner de près , du coup on hésiteb à se prononcer et à affirmer ce que c'est ou ce que c'est pas ... on veut aller mais comment aller sans êttre ailé ? du coup, voilà : on devient Fée, on veut creuser = s'envoler ! on ne veut pas rester à qauai à toujours se morfondre et pleurer et se dire à jamais que la vie est dure à traverser, qaue les données de base sont comme des dés pipés et que la chose , de fait (le tracé) n''st pas donné d'emblée, le tracé (disons) en bonne et due forme, pas gagné ! pas donné d'emblée , qui nous verrait nous redresser ! sûr que nous on est des éefs deRage ! on l'a mauvaise depuis qu'on est nées ! on voulait toucher de chez toucher la Base de Données en herbe, mais comment toucxher d'emblée quand d'emblée on est écartéees, décalées, déplacées sur tertre, et va&s-y retrouver le chemin des F2es ! c'est pas gagné comme on le disait ! va toucher ! va être ! va cerner ! va comprendre de près les données données, soit celles qui pourraient certaéinement ou vraisemblablement et durablement t'aider à être en vrai un être choyé, présenté à l'assemblée, ouvertement montré comme l'être aimé de sa mère et de son père sans plus de réserve ! on veut :
TTOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER AUX NÉNÉS DE LO'ÊTRE SI TANT EST ET EST-CE QU'IL EST TANT ? ON NE SAIT PAS ! ON CHERCHE SUR PAROI ... À COUPS DE SERPE ! DE TREACÉ DE CHOIX ! CHEVAUX DES VOIES ! JUMANTS -TRANSE ! VOIES DES ROIS ET REINES DE LÀ, LA TRANSE, LA PAROI EN TRANSE, CHANTS SALES , CRIS DE HJOIE ET AUTRES INSULTES DEE RAGE, COMPÉTENCES, TRAITS SUR TRAITS POUR UN PASSAGE (EN TRANSE) DANS L'AU-DELÀ À LA PAROI -ANTRE !
Fée des fées des tracés sales !
cris de joie aux données sales !
ppoints de croix sur paroi sale !
pains de joie et autres tralala
sur paroi qui serait la paroi ... aux données de rages ! chants de joie et autres parades aux animaux sales ! points de traits de roche et autres traits de point de roche ! surélévation ! élimination des crottes ! chargement docte ! pontification ! On est féesz hautes ! hautes fées de roche ! porte ! porte enfin tracée on ose entrer et traverser traverser traverser afin de pour le coup enfin nous retrouver de l 'autre côté à cher cher que tu chercheras sans traîner UNE ENTRÉE qui serait l'ENTRÉE comme aattendue depuis des nues ! on est fée d'herbe ! fzée des prés ! on veut cfoller , dire et aller, toucher de près à une déoité surnaturelle si jamais et ça se pourrair sait-on jam is, si on pers"évère ! si on persévère ... sans relâcher !
On est fée d'herbe et faite d'herbes ! comme transformées ! allouées ! aimées ! broutées qui sait si on eest l'herbe = verbe des contrées prairiales rencontrées ... comme à la parade ! on est allouées à une sorte de prairie de FRance , genre nées, genre déposées ou posées et on entre , plus avant dans l'antre .... acculées ! poussées ! obligées ! comme soumises ici à une sorte de poussée, de type verbale !
le treacé ancré de rage , ou non :
le passé tracé et ancré, nous pousserait à nous positionner (de base) en cesz contrées post-pré telles que rencontrées la mort acceo^ptée ... acceoptée"comme qui dirait ! On est la Fée du pré pré-muret ! pré-allée lactée genre voie lactée .... mais q!'est-ce onc que la Voie Lactée ? une voie ambré e ? Un trait ? trait d'elfe ? frai ? poste alloué à une sorte de parole "en herbe" genre "parler bébé" ? Qui sait ? qui en vrai connaît ce type de données "de rêve" ? On est la fée postée .... sur preé tracé, cherchant comme à s'extraire ou s'en extraire pour vite fait gagner ce qui sezrait ce trait, ce tracé né, ce trait à traverser, une entrée qui serait
'ENTRÉE DES ENTRÉES POUR FÉES ET AUTRES ELFES ALLOUÉES À UNE SORTE DE RECHERCHE COMME "ACIDULÉE" , GENRE RECHERCHE EN LAIT ! TERMES, TERMES DONNÉS COMME PERLES DE LAIT ! UN TRACÉ SURNUMÉRAIRE ! UNE SORTTE DE SENTIER SUR HERBE POUR FÉE ET AUTRES BÊTES DE TRAITS GENRE BUFFLETTES, VACHETTES, BISONNETTTES , ANTILOPETTES, CHEVALETTES ! FÉE EN HERBE ! ................................... fée du frai ............................ fée des frais sur pré .......................................... alouettesv ........................................... montées ............................. ou couchées puis qui se redressent et tout d'un coup volettent ou bien se mettent à voleter sans s'arrêter ................................. ion veut toucher de chez toucher ........... aimer être fée et du cfoup voler ................ pousser de chez pousser et monter et voler dans les a irs aimés ......................... VERBE CONCENTRÉ ............. CUEILLETTE ....... POUSSETTE ........... PAROLE EN HERBE ...../....... PISTÉE ET TRACÉE ET POUVANT DÈS LORS ÊTRE EXAMINÉE ................. CONSACRÉE SI TANT EST .......... ON L'ESPÈRE ............... PEUT-ÊTRE, QUI SAIT ? .............. QUI SAIT CE QUI EST EN VRAI ........... CONCERNANT ICI LA MORT EN HERBE, LE TRAJET, LA VOIE LACTÉE, LE NÉNÉ DE PRÈS, L'OMBRE PORTÉE, LE SUMMUN DES DONNÉES DONNÉES, UNE DIVINITÉ LIÉE AU VERBE QUI EST NÉ SUR PRÉ À LA RETOMBÉE LE JOUR OÙ DE FAIT ON EST PÂSSÉ = TRÉPASSÉ ! QUI SAIT ? ON CHERCHE .......................................... on ne veut pzas laisser tomber nullement
nos recherches en herbe mais tout au contraire continuer, sans désemparer jamais, et tracer de chez tracer le chemin du verbe, treait sur trait , trait de fée par où passer et s'ncruster et se glisser et traverser traverser traverser sans hésiter la roche calcaire, roche des fées, roche haute des fées hautes ! aller = tracer = foncer vers, en vrai, cette sorte de "carrière" qui serait une contrée dite "du Verbe", verbe acideulé des donnéesb dernières, verbe-né, verbe "au taquet", verbe du pré = herbe = denrée ! denrée verte pour former le lait dans le pis des bêtes ! à satiété téter ! téter = toucher! toucher = téter ! on aime ! ............................................................ on a envie grave de se libérer de tout ce qii en nous nous gêne ou nous gênerait comme par en dessous ! on av grave envie de creuser loin, en cette sorte de paroi de roche, et d'aller , pousser, passer ! traverser de chez traverser ! pousser = faire = donner =comprendre =caler = filer = allouer à une roche une donnée "profonde" ! on croit rêver ! .... et cependant ..... on ne rêve pas tant que ça ! on entre ! on va de l'avant le verbe aidant , car, le Verbe est un Allant, est Trait de base, est TRait de RAge ! trait de base alloué à une "renaissance" .... trait des treaits de RAge .......on veut comprendre ! on veut aller ! on veut creuser ! on a envie grave de creuser ! on veut creuser grave sans treaîner et aller et toucher et comprendre et cerner et pousser loin le plus possible notre
sorte de percée , d'entrée lucide ! Pousser ! creuser ! chercher ! essayer de percer cette sorte de muret aux données vives ! .......................................................................................................... vives et ancrées ................................................... traversrr = traverser ! .............. toucher = toucher ! :.......................... cfoller = coller .................. comment faire pour aimer ? ................................................ aimer traverser ..................... la RIve .................. l'autre côté ......................... le Rire ? ........./.................. RIRE ? ................................................ rire à tout jamais et du coup aimer ? ............................. qui sait ce qui est en cette "Rive des DO nnées Ultimes" qui nous attendrait et saurait (qui sait ?) nous donner ... de quoi survivre ? .............................. on veut coller à cette "rive des données ultimes", traverser = traverser ................. comment sonder ? commrnt toucher ?. comment cerner ? comment se retourner ? comment saturer ? coment poster sur roche les données trouvées, verbe au taquet, rires, vies des vies en herbe et autres prés "qsuperbes" ? Toiucher pour toucher ? toucher pour trouver ? plutôt pour trouver ? Chercher = donner ! On veut coler à cette D2ité "des Données Ultimes", et l'aimer ! l'aimer pour êtree de fait au mieux informées de ce qui est le pré passé si tant est ! On veut cerner cerner cerner cern er cerner les données ultimes et pousser ! pousssr grave le trait ! trait de vérité ! trait passé ! passer ! poussr ! tracer ! creuser ! allouer à ce "dernier muret" les données ultimes telles que rencontrées, comprises, prises ! qui sait ? on veut toucher de chez toucher la frise ! le tracé en friche ! les chevaux ! les bêtes de peau ! vaches et taureaux ! troupeaux ! mots ! mots ! mots ! mots ! mots de trop ! mots sur roches à mots ! grotte ornée de mots et ça porte ! ouvre l'antre .... HOmme-MOT De Trop, tremble et entre-meurt , pour une renaiisance ... comme au trot ! pot ! quel pot ! pot docte ! trot et galop ! vers la porte ! points de mots sur paroi haute néandertaéliennne sous chapiteau ! corps mort pousse le port vers un mot de trop ! hot ! cru ! vif ! chaud ! chaud de chez chaud ! paroles hautes = mots de trop = gros mots ! on monte ! fée des tuyaux ... ou des boyaux plutôt ! On monte ! haute ! haute fée cdes mots et autres traits , de base verbale ! chalumeau ! points d'eau ! portes hautes sur paroi de roche ! on monte ! on colle ! on vole ! ................................... haut ....................... haut ......................... haut ..................... hau .......................... hautes ....................... haut et hautes ............................ on monte .......................................... on montev ............................... haut de chez haut ........................ on est hautes ................. fée haute ....................... haute fée aux mots ........................... treaits de rage sur boyaux ............................ corsages ....................................... percée de rage ....................................... on entre ........................ haut .................. haut des hauts ................................................... toit en haut direction les nuages, voie céleste, le passé du mot, l'ombre de l'arbre, le pot ! - .............................................................................. les crocs ? .;.............................. on monte ............ direction la Haute ..................... le Mot de trop ........................ le Pavot .......................... l'Ombre ................ la Porte ................. le creux des ombres ............................................ le Poteau ..................... l'aRche au mots et autres traéits verbaux ...................... arche-mots ................................ haut /........................ hauteur (ici) des mot§s de trop sur paroi de traînes et autres murs de scènes ............................................ colère ..................... cris .............. pis ......................... pis de vache laitière ................ pis des pis .....................spi ..................../.............. spi des spi ? .............................. cris des spis ? ................................ colère !!!!!! ..................... prix à atteindre .................................... co co co co colère sur prairie ! ............................................... poussée d'herbes en herbe ! ............................................. on aime ! ................................................................ on aime l'herbe et la praireie, on veut connaître oui le prix , le prix à )ayer( concernant les données, les données en herbe et autres données comme présentées sur paroi de roche, par (qui sait ?) une sorte de .... Divinité, Divinité Acidulée il semblerait ? ou alors .... LA mort ! A moins que ce ne soit les vmêmes ! Déité des D2ités et MOrt -Allouée sezraient , qui le sait, la même CHose ! ou personne !
On cherche ! On veut toucher ! on ne veut pas forcément se léaiçsser entraîner vers des courants contraires,
et qui seraient pour nous mauvais car, nous feraient tanguer vite fait ! mais bon .... allons et fillons ! traversons bla ROcghe! tentons, "par pâmoison" peut-être , d'enttrer de front , de bousculer la Porte, tracer ! Passer ! pousser pour passer ! Aller devant tracer et creuser ! chercher ..... comprendre ..... compôser ....... allouer à une "branche" une sorte de pouvoir des fées, qui ferait d'elle (la "branche") un b âton sacré ! une sorte dee bâton de Rage ! trait ! bâton-trait ! trait des traits ! joug ! joug-né ! trait des treaits actés qui serait le joug sur bêtes allouées à une destinée
prairiale / pariétale !
touché ! pis touché ! touché sur pré ! = tété ! on est née sur pré Fée à la retombée de l'embrasseade dite "pariétale" ça le fait , et nous voilà dès lors transformée ! fée des prés = fée du Verbe ! on s'en serait douté mais enfin voilà, une chose est de penser, une autre de percer , et de se reztrouver comme toutev "remontée" prête à tracer, sur pré en herbes, vers, peut-etre ... une sortie proche ?, le Passé ? Le passé recomposé ? le p âssé alloué à une contrée qui serait celle en vrai d'une sorte d'ère post-cimetière, post-post-mortem ? On est Fée faite , de fait, du fait qu'on est entrée en cette sorte de contrée du Verbe ! Merdre ! Merdre au taquet ! sonnée ! comme brinqueballée mais quand même sur pied , on est svelte ! on tient tête ! on va s'envoler ! On veut toucher à ce qui est qui serait pour nous une sorte de treacé, de tracé de données sans ... verbe ? On touche = on pébnètre ! Herbe-Verbe au taquet, permettent une entrée salutaire en cesz contrées des données dernières (derrière !) . On est nées fées sur herbe verte ! on est nées fées sur herbe en herbe ! on veut tracer de chyez tracer sur herbe ! pousser ! cvcreuser ! passer au taquet direction le muret des données dernières -= post-pré , et pour celac........................... le VERBE DE PAROI ! TRACÉ DE BÊTES, CHANTS SACRÉS, CUEILLETTES, BÊTES-ELFES, VACHES DE POIDS, AUROCHS DEES ROIS, AUROQUES REINES, CHEVAUX EN SOI ,
On monte ! on va ! on fonce ! on veut toucher à ce qui là (passé le toit) peut nous surprendre : une sorte de donnée sale ? un poids ? une mansarde ? la paroi des parois ? un chat ? iune chatte ? une sorte de donnée ... sarde ? du patois ? mots du ventre ? un passé nnarquois ? une szorte de parade ? d'anti-loi ? de l'ambre ? sein de rage ? sein donné ? lait ? lait ? lait ? du vrai lait de l'antre ? lait du pis doné ? ambre ? Ambre sucré ? Qui sait ?
5/12/2024
On est fée des Fêtes souterraines comme il semblerait mais en vrai ... célestes ! tracées sur muret ! élémentaires ! chants sacrés à la travaersée ! On aime ! On a méga-envie d'en avancer en ces champs de luzernz jusqu'au muret . On veut toucher à ce qui est qui devant nous semble se montrer alors que nous nous voilà entrées ... On est prêtes ! On est alllouées à une sorte de passage d'herbes ! Saint Tracé des DOnnées VERtes= Verbe ! VErbe tracé ! CHamps de perles ! On veut connaître les données de l'herbe, ce squ'elle estcen vérité ! ce qui en vrai en elle est, qui nous intéresse ! On est F2es des données Vertes ! On est La Fée comme dédoublée (deux ailes sur les côtés) et on s'aime verte ! charge accolée sur train de beauté ! Chants ! On veut comprendre = on veut cerner, et pour cerner, le mieuxc'est de s'avancer, marcher, voler ou voleter, monter, gravrir sur Nénés et du coup ... téter ! grave ! ne pas lésiner ! s'en mettre jusque là de lait afin de satisfaire ses envies toutes naturelles ! qui on est = qui on serait ! on veut toucher "ensemble " à ces nénés dits "de contrzebande" et du coup téter ce qui est qui se présente en termes de lait dit "acidulé" ! téter = prendre ! prendre = comprendre ! comprendre = toucher ! toucher = cerner ! cerner = aimer ! aimer = donner ! donner = dire ! dire = faire ! faire = allouer à une sorte de pré (de pré en herbes) les données données d'une sorte ici de DIvinité qui, de fait, nous regarderait, aller, tracer, courir sur pré, charger, eesayer de nous y retrouver en ce pré "des féées" . On est la Fée du pré céleste ! Tancrède ! ça le fait ! on veut cerner = coller, le VErbe éaux Nénés, tout un poème ! On ne veut pas toucher à ce qui nuit, on veut toucgher à ce qui est qui nous protège ... des ennuis divers et autres cataclysmes de systhème ! On entre ! On est... FEmmes Fortes ! Femmes au taquet !
Branche d'aorte, fée des fées !
On monte ! on ne veut pas passer à côté de cette sorte de donnée accorte , type "porte", ouverture OVE , charge sur parole ! On est née Ove au vent des fées ! On veut monter = toucher , allouées, à cette sorte de données données de type Vérité de POrte ! Monter = toucher ! On est nées F2e sur pré aux Fées ! On monte sur ...?. eh bé Néné de la maréchaussée ... qui c''rst ? L'Attrappée Céleste ? l'Emportée Celte ? Le Passé ? Ah , peut-êtte le Passé, en effet ! qui sait ? Le passé Celte comme "remonté" au niveau des pieds, pour marcher, aller, tracer, courir sans traîner sur ce pré d'herbe au milieu des bêtes ! ah, les Bêtes ! cfomme on les aime ! comme on leur ressemble par certains côtés ! On nenttre ! on fait Fée sur pré par nos membres : ailes nacrées ! ON veut toucher à cette sorte de donnée de branche, tracé né, vie des ombres sureprésentées, bêtes en horde, mulets, Verbe, TRacé en herbe d'un voyage sur Néné des Termes ! Qui on est ? ELLLES ! ELLES Au Passé c'est un fait acté ! on était , AVANT .... Elles , sur pré en herbes ! Nous voici re-nées en tznt qu'on est des fées sur pré des Elfes ! Vives Fées ! Chants sacrés des données celtes (célestes ?) et nous voilà comme remontées ou toutes remontées après ... eh bé peut -etre, ce N2né des termes tel que rencontré sur notre trajet ? ou sinon quoi ou qu'est-ce qui se pourrait si ce n'est Néné ? La Peine ? Le passé empêtré ? la Terre des plaines ? l'amputé du VErbe ? l'ombre sur Nez ? Pré ? Pré ambré ? On veut en vrai ensemble (ailes) cerner , cerner grave et sans tarder, les données célestes (sévères ?) qui sont celles d'une sorte de tracé de F2e sur paroi docte , genre néandertalienne ! On est pazssé sur Ombre ! On voulait aller , courir vers une sorte de muret , des données profondes, et du coup : toucher ! grave ! aux dits Nénés de Branche (s'il en est !). On est la Fée des F2es surnaturelles comme remontée sur pré en herbe pour aller téter sans traîner le Néné des Termes ! chercher = toucher ! On est ELLES sur Pré , chantant "comme qui dirait" le Passé TRacé des Données de VErbe ! Sa&inteté allouée à une sorte de passé des hErbes ! Chants du pré ! chants fols ! doux Passé des données tracées, on veut toucher à ces données du pré telles que rencontrées à la traversée ! les toucher = les cerner = les comprendre en entier et pas à mùoitié ! Cerner vif
ce qui est ! Ne pas perdre pied s'il vious plaît mais creuser , creuser grave et sans traôiner, la Terre des Sardes, le pré alloué à une sorte de Passé de CHarge ! sillonné ! tracé = ancré ! PRé d'oombre portée ! On est ... Ombre ? on est ... OMbre et Fée ? Ombre docte à l'arraché et Fée des Fées sur Pré ? Hum ... on veut toucher à ce qui est en termes dfe données physiques, situées, ancrées, comestibles comme qui dirait ! Herbe sur pied = verbe scandé ! Chants des prés des données lucides ! chantts sacrés permissibles ! vives clartés sur piste ! vents des prés "artistes" ! chants frappés ! On est entrées ensemble (ailes allouéesl) , nous voicfi ... sales ? sardes ? douces et vives sur prairie acide ! On est nées Fées à la traversée quand avant on était Elles ou pas Elles mais Il, Homme ou FEmme isolée ? Charges nacrées , vent de terre au débotté, né pour être enterré et du coup renaître en tant que Fée Ailée post cimetière, ça le fait ! On voulait en vrai toucher de chrz toucher le TEZrme ! Les données en herbe genre Pré des TErmes = V Erbe ! vent des Fées ! un tracé sur préb qui pouvait nous mener tout au bout de l'herbe, près muret des termes, Trait de craie ! On veut toucher ! on veut Coller ! on ne veut pas laisser passer ce trait sans le connaiître en v rai de près et le toucher, toucher à sa ... drôle (?) de lumière si tant est ! Aller ! courir ! pousser ! comment tracer ? Comment faire pour passer ? On voit (en cemuret) le trait, le tracé, la veine, cettte sorte de ... "clarté souterraine" ... on aimerait enttrer, passer en tant que Fée et du coup connaîttre de près les données telles que rencontrées, présentées,n, portées, allouées à une sorte de ... pAssé en chaîne ? Trait des TRaits d'un temps passé ? ?Le Passéde Traîne ? lembarqué des données anciennes ? L'ombre sur pré serait en vrai cette sorte en soi de Passé Tracé, Passé docte ? On veut (en tant qur F2e) connaître la POrte, le pasdsage HOT. L'Entrée ! Qui on est ? Hole ???? Hole = trou sur Porte ? On est F2e Forte ! Chants creusés sur porte on veut toucher ! On veut :
ALLER ALLER ALLER ALLER
DIRE DIRE DIRE DIRE
CREUSER CREUSER CREUSER CREUSER
PORTER PORTER PORTER PORTER
CONNAÎTRE CONNAÎTTE CONNAÎTTE CONNAÎTTRE
SANCTIFIER SANCTIFIER SANCTIFIER SANCTIFIER
PARLER PARLER PARLER PARLER
CERNER CERNER CERNER CERNER
PARADER PARADER PARADER PARADER
COMPRENDRE COMPRENDRE COMPRENDRE COMPRENDRE
ALLOUER
À une sorte de Passé en branche les données des prés = herbes naturelles, fleurs coupées, bêtes "mortelles", tracés, frai, ponts d'ombre, et ça sezrait le Tout Nacré tel qu'espéré ! On veut toucher à ce qui est qui se présente à nos ailes de fée ! Vent docte ! Souuffle accorte ! pets des pets ! Chants des donnéescomme saluées ! On monte ! on est mon tées ! on v eut toucher à ce qui est qui se présente sous notre nez, et qui en vrai sezraéit ... eh bien, des Nénés ! Nénés de POrte ! chants de morte ! Pré passé ! ON ose ! on est lma fée des Données Hautes qui de fait veut en vrai toucher à ce qui est qui se présente olé olé comme une sorte de donnée de haute, Haute Volée ! On veut Ailmer ! toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher à ce tracé des Données Folles (fortes ? Hautes ? ) sur N2né post)-pré, dit (le Néné) "du Passé" ! On est fée des fées, on a envie en vrai de pouvoir sans tarder toucher à une somme de données profondes, tyoucher en vrai , toucher de chez toucher à une somme de données qu'on diraéit "avérée"s , et qui pourraient nous en apprendre long en ce qui est de cette sorte de Néné donné après le pré, après la course au vent maéuvais (pet ?) sur pré, et , le pré passé ainsi, toucher de près à ce muret , à ce mur des finalités qui serait ce muret "des données anciennes", genre :
Peines, Vezntre , Corps, Souvenances, Craintes, Enfances, Tracé dense, Pertes, Prières, Pas de danse, Colères.
On veut ensemble (ailes de fée) pousser ! pousser sans traîner ! aller ! forcer ! comprendre = toucher à un muret "des souvenances ", le Passé tracé, l'Antre des Données telles que représentées ... dans le Passé ? On est Fée des Fées ! Fées des données denses ! On veut enttrer ensemble (ailes = ELelles) en cette Transe - danse consacrée ! chaergger = dire ! On veut comme toucher aux données des Ventres, et creuser sur muret, ... eh bien peut-êtte, en effet, un trait, qui sait ? par où on pourraiot passer sans trop se casser le nez (ou les pieds ? ou le cul doré ?) et y aller, ensemble (ailes naxccrées) sans faire plus que ça de simagrées si tant est ! toucher = aller, passer, se glisser, passer le trait ! passer grave le trait = entrer = connaître = naîttre = touchger à ce pPassé des Données en herbe : Verbe ! Verbe Allé ! Verbe au Passé ? qui sait ? qui sait ce qui est ? qui connaît les TErmes ? l'embarqué polaire ? Le chants des sirènes ? L'onctuosité mammaire ? On veut en vrai ne plus traîner maiçs grave en avancer en cette sorte de muret aux données "dernières" il sembleraiot (le pré passé). Qui on est ? quii en vraéi on est ? qui en vrai on sezrait ? qui en v rai on pourrait être ? qui on serait sur herbe et aussi l'herbe passdée ? qui en vrai on pourrait être qui , pour le coup, sembleraient "en être" ? qui ? qui Du Terme sait ? Qui en vrai connaît les données prochaines = dernières (post-pré s'il-vous-plaît) : l'Herbe ? Le lait ? le Néné ? Le Passé ? le Passé quyi de fait serait comme représenté, personnifié, par une sorte de Néné des Fées qui donnerait son Lait à la criée ? On veut aimer = dire = prendre = circonscrire, et cela , en vrai pour ainsi dire = à la volée ! sur terre en friche ou pas en friche, l'important c'est (ici) d'aimer = toucher ! Faire prise ! Coller à) c e qui est qui montre sa Frise ! Toucher frais ! Armer ! souder zon nez ! sonder ! sentir ! Vouloir passer ici (unj trait) son nez de Riche F2e Comme Consacrée ! On a envie en vrai ensemble (ailes nacrées) de se porter (qui sait ?) au plus près ici de ce muret, de ce muret dit "des données de mise" ! toucher à ce muret, c'est faire preuve de lucidité , de cflarté active, sainteté sur rive ! Charger = dire = prendre = cerner = pîousser, au plus lointain, nos ailes soudées, pour en vrai s'enfoncer, s'enfoncer de rage, entre les seins dits "de passage", et une fois les seins pasdsés, trouver un ancrage, une sorte de Place, un tracé non forcément creusé mais une Place o^ù se poser ou reposer, où se mettresur pied, pouvoir regardezr, sentir, cerner, comprendre en vrai, cerner de chez cerner ... le VErbe ? L'onctuosité du Verbe ? Verbe de trait ? trait de VErbe sacré ? Perte ? pont des F2es ? fente aux collets ? Pré surnu:mèraire ? encore un pré ? encore d'e l'herbe ? on veut cerner = faire (pour le coup) amie avecd ... Elle, La Donnée Suprême ? Le LAIt FErme ?
"POussée ancrée porte sa misère sur un pré aux herbes " ; "Trait des traits sait ce qsui est en termes de Therme" ; " Vent mauvais sait donner son fait aux Fées en herbe" ; "pas de côpté sur pré, pousse une Fée à tracer des traits" . "cris de joie font Gens des LOis " . "Pertes mortellles = Traits en herbe sur pré cerné " . "Gens doctes = Paroliers / parolières de Porte" ; "Poussée tracée = Connaissance ancrée " . "pertes des données faont La PArade des Fées Tracées " . "Connaissance allouée, donne le Vrai (du Vrai) à la Romance du pAssé" .
On veut :
COMPRENDRE = DIRE = CHZARGER = PRENDRE = CONNAÎTRE = TOUCGHER = BAISER = ALLOUER À UNE SORTE DE DONNÉE EN BRANCHE LE PASSÉ DES FÉES, CERNER = DIRE LES DONNÉES ACIDES OU MÊME ACIDULÉES DE CE QUI EST QUI SE PRÉSENTE À NOTTRE NEZ À RENIFLER : PETS , ? PETS DES OMBRES PORTÉES ? QU'EST-CE QUE ÇA SZERAIT ? QU'EST-CE QUE ÇA POURRAIT EN VRAI REPRÉSENTER, SDONNER COMME DONNÉES, NOUS FAIRE CERNER = TOUCHER ? ON EST FÉE DOCTE , DITE "DE PORTE" COMME QUI DIRAIT, ET DU CFOUP ON MONTE ! HAIUTE ! ON MONTE HAUTE ! ON VA HAUT ! ON EST FÉE DE PORTE HAUTE ! ON MONTE HAUTE ! ON VA HAUT SUR HAUTS ! HAUTS DE PORTE ACCORTE !
on ose !
On est Fée" du pré qui ose, ose aller !
On est la Fée de POrte surmenée (la Fée) et prête à trtraverser, du coup, sans se reéfréner , cette porte dite "des Nénés" ... tracer de chez tracer .... foncer ... creuser .... forcer .... aller au plus lointain possible après ce muret .... dans le vent soufflé ..../. forcer ! franchir ! voler ! tenir ! ne pas sombrer ! tenir encore et soutenir son corps ...
aux ailes soudées ! contenir ! creuser ! passer ! aller en ces contrées comme saturées de vents mauvais sans lambiner , sans baisser l'échine, sans céder ! afffrronter la Vouyivre ! creuser creuserr creuserr sur Muret si tanjt est ! à travers les fluides ! Ancrer ! entrer = donner ! On a envie en tant que Fée P assée , d'aller loin chercher, ailée, le Mot des Fluides ttels qu'évoqués ! On a encvie de dire ce qui est, ce qui vibre ! traits de Fée sur Pré aux Nénés ? On veut :
toucher à ce qui est ici qui se présenterait sans tarder, aller loin en ces cvontrées des données acides voire acidulées, comprendre un maximum de ces do nnées du vivre, du mourir, du aller, du prendre , du comprendre ce qui est, toucher à ces nénés dits de "contrebande", permettre à nottre nez de renifler pour ainsi dire les senteurs de l'ambvre, aller sonder la chose ici vqui se présente devant soi en tant que mot de chambre, Verbe Haut, Transe au niveau, Parades endiablées des TRacés Animaux et autres cavalacades au Lamparo ! Dire est une chose fluide ! Faire ? vive ! on veut (du coup) : SONDER
FAIRE ET ALLER, METTRE ET PERMETTRE, TOUCHER DE CHEZ TOUCHER, FAIIRE AINSI QUE LES NÉNÉS DU VERNBE SOIENT POUR NOUS LES TERMES = LE THERME !
Frai des prés ! chants lactés ! vents tracés ! corps entioer ! vivacité !
On veut toucher à ce qui se présente sous notre nrez ! On veut ensemble grave toucher à ce qui en vrai ici se présente, se montre aéré, se pose, se met en branle, donne son lait , veut aimer ! Creuser = dire ! toucher = montrer ! Comment en vrai représenter la Rive ?, comment dire et donner les données du Rire post-pré ? Qui sait en vrai ce qui est de ce rire ? qui connaît la Mort , Le Port , l'Ancrée ? Qui szait en vrai situer les Do nnées dites "de la mort ancrée " ? Qui peut dire et situer, donner données riches, dires de fait, chants tracés , Verbe Lucide ? Qui connaît en vrai l'onctuosité du Rire Lacté ... Le Rire lacté ? qui connaît l'emprise dite "duu Padsszé et des Données Vives du Passé Donné " ? qui sait (pas pour de rire !) ce qu'est le Pré aux Fées, passé, traversé, dépassé ? qui connaît le TRait, Passage Fluyide , Verbe Acide, Toucher Vif sur Mur À frises ? On est la Fée du pré ou
Fée des prés
Fée Docte
Fée Ancrée = Fée entrée
Morte ? Non !!! Vive dans la mort donnée ! On est comme née Vive sur pré Alloué à une sorte de donnée de roche, post-mort d'Homme (genré) aux données de porte. Qui connaît ? Qui sait ? qui comprend ? qui a vu ? qsui est revenu ? quii a sondé ? qui a touché de fait au muret post-pré, post-ombre, post-morteme des ombres ? Le Tanné ? le Petit Poucet ? le gentillet ? le Collet monté ? le berné des enfants bernés ? l'animal sacré ? Le passé Donné ? lze "pas assez donné " des fionalités ? On est Fée faite Fée de vTraîne ! On veut : gravir grave ! sonder de chez sonder le Ventre ! l'antre de Parade ! Charge frontale dite "ventrale" ! le Passé des Ambrassades ! ventre contre ventre ! chants d'écran ! verbe sarde ! paradis blanc ! vie des vies post-chants de Grave ! Frondaison saison ! On veut :
COLLER AUX NÉNÉS DES DONNÉES FINALES = COMPRENDRE VCE QUI SE PRÉSENTE EN TERMES DE DONNÉES DE RAGE, DONNÉES DOCTES, SUR PORTE DES PORTES.
oN est nées Fée de Roche ! Ronde bosse ! Crzeusement d'époque haute ! sainteté de roche accorte , fée sur pré de Roche des Données Profondes. On a envie en vrai d'aller chercher de chez chercher le terme qui pourrait (qui sait ?) nous informer , nous donner donnée, nous donner de qauoi pour le coup cerner , les données qui pourraient comme nousz i,ndiquer, de fait, ce qui est, en ces "terres" de fée, terress allouées à une sorte de tracé en herbe : Verbe ?, et comme consacrées par une szorte de di vinité qui sezrait là à toujours mater et l'herbve du pré et lrsz bêtes qui sont dessinées , gravées comme à main levée ! On veut toucher ensemble à ce qui est qui se présente en tant que né2nés ! voici le Lait ! L'ombre portée d'une sorte de Divinooté lactée on dirait; est-ce que c'est ? est-ce que cette chose en vréi ... est ? existe ? nous r egarde ? veut ou voudrait nous "prendre", npus rapter à la retombée, nous absorber, nous avaler comme une sorte de denrée des prés : herbe ? herbe verte ? herbe desHerbes ? herbe sur Pré surnuméraire ? herbe-Verbe ? On veut (on voudrait) cerner ici (de près) cette chose ancrée, toucher aux nNén és c 'est un fait !
OPn voudrait ! on voudrait en vrai ! vrai de vrai on aimerait ! On voudrait toucher ! toucher de chez toucher ... aux Nénés de l'Antre ! On est F2e des prés tracés , on est accolées en tant qu'on est ... les ailes d'une Fée Tracée ! Ailes soudées !
AILES DES FÉES ! AILES CONCRÈTES ! AILES CENDRÉES ! AILES "SURNATURELLES" ON DIRAIT ! ON EST AILES DE FÉE DONNÉE ! ON EST NÉES AILES = ELLES LA MORT DONNÉE ! FI DU FILS ! FI DE L'HOMME-CORPS ! FI DE L'OMBRE SUR LE CFORPS ! FI DU TEMPS PASSÉ ! FÉE ! FÉE DE RAGE ! FÉE NÉE AÉU PASSAGE ! CFORPS MORT ! CORPS DE PASSAGE MORT ! CORPS MORT DIT "DE PASSAGE" ! CORPS DE PORT !
on est fée des prés allouéxs à une connaissance des données suprêmes ! on est la fée de l'herbe = du Verbe = du pré = des données de verbev= données vraies ! Verbe au taquet ! Verbe svelte, va et vient sur herbe comme pour (en vrai) traverser ferme les données allouées à une szorte (ici) de trait dit " du muret".
On estb la Fée post-cimetière, l'emportée, colère ! née comme à la retombée on veut tracer ! courir et sauter, sautiller, danser, ne plus se reconnaître en tant que f2e mais y aller dans la .... déconstruction de soi et de son passé , si tant est ! Aller = dire = plonger = permettee = faire = comprendre = prendre = sonder , = sonder le trait ! passer ! passer ! passer sans tarder ! tracer = passer !passer = tracer ! ! tr acer Tréit de Rage ... Teait des tRaits de Passage ! passer Nez ! Nez passé , aller, pousserr, entrer plus avant en ces catacombes cendrées , creuser la Roche et traverser de fait les données données ! pousser Hautes les Données du pré telles qu'emportées ! et y aller = pôussser de chez poussszr sans plus lambiner afin de pouvoir ... travezrser la Chose, d'une sorte de Muret (des Finalités) post- pré ! Et voir de l'Autre C^-oté ce qui est en termes de ... Nénés ? qui sa it ?? de nNénés nés comme à la traversée ? ça se pourrait ! qui en vrai sait ? Qui sait ce qui est ? qui connait le VErbe ? les denrées du Verbe : Herbe ? Lait ? lait de l'Herbe allouée ? Lait d'herbe ? Herbe de lait ? herbe à lait ? herbe-verbe à lait cendré, nacré, tracé, aimé ? On aime !!!! On aime le lait !!!! on aéime l'herbe ! on aime aimer le Verbe vdu Trajet, du Tracé fait, du sentier aux données, du passage docte et autres traits par où passer (de porte!) . Aimer = sonder = coller = do,nner = faire = charger = pousser = fondre !
On veut (de fait) en tant que fée :
ALLER SUR ROCHE TRAVERSER
COMPRENDREC LES DONNÉES ACTÉES
POUSSER LA PORTE D'UNE SORTE (IL SEMBLERAIT) D'ENTITÉ LACTÉE
CHAUFFER LES DONNÉES
FONDRE LE PASSÉ, LE CORROMPRE
ALLOUER À UNE PORTE (DITE '"D'ENTRÉE") LES DONNÉES DE ROCHE
COLLABORER EN TANT QUE FÉE AUX RECHERCHES EN HERBE ET AUTTES RECHERCHES SUR PRÉ
TOUCHER LES NÉNÉS
GRAVFE TOUCHER LES NÉNÉS
CERNER = PISTER = CONNAÎTRE CE QUI EST ET LE DONNER À CEUX ET CELLES QUE ÇA INTÉERESEE !
toucher -dire = pister-faire ! Qui sait en vrai ce qui est qui ici nous attendrait le pré (de la mùort donnée) pâssé ? Le curé ? l'ombre-hombre ? cotrps passé enterré ? La Machine Folle ? le Passé des Données Tracées ? Le Pendu au cul ? L'attrabilaire des cornus ? On est Fée vsvelte : on court on vole ! on ne s'en lasse pas ! on est fine élancée nacrée acidulée accorte montée ! Fée des Données Fortes = folles ! Données des Données , on connait ! on voudrait partager ! pousser (pour ainsi dire) le Tracé de Fée sur .... du Passé re-re-membré ou comment dire ce tracé ? comùent s'exprimer ? comment révéler ? aller sur pré, poser ses pieds, p ûis s'envoiler, monter, toucher de chez toucher, au plus haut possible, le Haut des FRises, le POteau ! le trait né ! le chant lacté ! la la la des rotonditées comme traversées ... par le Haut ! Haut POteau du trait Haut ! Contrer ! toucher ! accoler à ce haut des Hauts son museau, petit nez de Fée consacrée, cherchant issue de base à pouvoir emptrunter comme à la parade ,
PARADSDE AUX ANIMAUX BEAUX
PARADESZ AUX ANIMAUS DE PEAU
PÂRADES SARDES AUX BÊTES DE MOTS
PA RADES DE MOTS SUR PAROIS DE GROOTE ... DE PORTE ?
Aimer ce qui ici se met en branle en termes de bêtes "comme à la parade " = toucher Termes des Données de base ! On veut ou on voudrait en vrai pousser (au plus profond) nos recherches pour des connaissances ! passer pré ! oh grave ! aller bien après le pré des rages, pré des bêtes-mots, des dessins d'animaux, parades notoires, oripeaux, boucs au trot, et , au-delà de ça, eh bé ............................................................................................................................................................... tracer gravce ! travezrser "la lande " , pousserr au plus lointain notre sorte de promenade .... des "confins", sarabande ! On est En Bande ! Bande D'animaux ! Transe ! transe de peaux ! Fée-Bêtesz au Passé d'être et autres Fée des Fées de Fêtes Animalières sur Paroi aux mots ! Chants Cotés ! Cris des prés ! sang comme possédé ! Animaux des prés sont Bêtes Lactées ! Vives et Accolées ! troupeau ! troupeau dit "de mots" = Veaux d'Eau ! fond de Roches sr Paroi de poche ! On monte ! on monte par nivrrau ou comme par niveau les marches de Roche ! Porte par porte ? On est Hautes ! Fée Haute sur Paroi Des mots , soit des mots-animaux tracés au cordeau ! porte / ponte ! Chyants d'oiseaux ! corbeaux ! serins ! merles et moineauxd ! chants d'oiseaux au to nneau ! porte docte ! on veut coller à cette sorte de donnée ailée qui bnou!s ressemblerait comme deux gouttes d'eau .... du tonneau ! Peau des peaux ! Porte Docte = porte folle ! On monte ! on monte le Haut du Tonneau d'eau forte ! eau de vie de l'ombre ! chalumeau ! cordeau ! possession de roche et autres feux sacrées de poche , et autres feux sacrésc de poche ... au lamparo ! On est la Fée des données Hautes, volant, allant, voletant sur roche vers l'Entrée profonde ! Traéit aux Bêtes-Mots des Données de poche, ou autres.
On veut en vrai toucher de chez toucher la Porte ! Comprendre haut. POrter Parole. Voir / savoir les données hautes. Toucher = loucher ! Voir Haut ! Toucher haut Le Verbe d'Eau , l4ombre de l4ombre ! Chalumeau ! ........................................................ toneau ........................ porte ...................... colle ................................................................... pinceau ......................................................................../................................................................................................................................................... chant d'oiseau et autres chants des données hautes ! .................................................... vols hauts ................................ vie des mots des données fortes (folles) et autres mots de trop ........................ corolles ! On veut aimer = dire ! prendre ! scharger ! comprendre grave et le plus possible de donnnées du pré et, au-delà du pré, du muret, du muret post-pré, du Trait alloué à ce muret dit "des finalité"s . ON est La Fée qzui veut cerner (de près) les données donnéesz par une sorte de muret des données profondes ou aux données profondes, soit "hautes", enfoncées ou engoncées, ancrées de force (? ) qui sait ? On veut de fait entrer ! aller sur néné tracer, peut-être, les données données ... ou bien juste ... téter ?? Dire le Lait ? traire ? pousser ? coller son nez ! ses l!èvres ! BHouche édentée ! téter de chez téter le n2né en Herbe de lza MOrt Ancré (surnuméraire ? alimentaire ? Sainteté Lactée des DOnnées FErmes en termes de do nnées tracées dites "de Vérité" ? ) . On a envie ... on aurait grave envie .... on aéurait grave envie en vrai ... d'aller téter , "au passé" (?) Le Néné post-pré ! toucher ! toucher au néné post-pré ! grave toucher pour mieux téter et dru cfoup (en vrai) s'alimenter pour pouvoir durer = perdurer = poursuivre, sur "notre lancée", le chemin des Ombres ou sinon des Ombres des Clartés comme Acidulées ! Hautes ! Clartés Hautes des DOnnées de ROche, de ROche PRofonde et autres ROchesDes Entrées PRofondes. POinter ! toucher le néné au point lacté ! pile pointer ! allouer du Verbe à du lait si tant est = tracer, au débotté, les mots de l'Ogre , du Passé Nacré, des Omb resc sur Ombres, Du passé Acidulé d'un e sorte de Donnée de force ou d'un Passdage en force, sans trembvler (?), sans chercher à plus que ça se dérober mais de fait eh bé .... y aller ! poussezr de chez pousser ! ne pas s'arrêter maéis, au contraire, filer sans traîner ni stopper ni se dérober ! Pousser copmme qui dirait du "blé en herbe" ! Les données du pré ! L'Herbe verte du ... Passé ? Qui sait ?? qui connaît l'Être , le TRacé de l'Être ? Le petit Poucet ? Le petit "chat botté " ? L'ombre souterraine ! L'Ampoulé du Verbe ? le prêtre ?
oN cher che ! on cherche sans fin ! on veut toucher ! on aime ! on veut cfoller ! coller nez au muret et aussi renifler et aussi comprendre ! pisser ? aussi pisser ! chier ? aussi chier ! coller son nez à la rembarde du muret des Alpes ! On aimeraéit graver, ici muret, comprendre = toucher = dire = passer, ert nous retrouver (accolées ) de l'autre côté ... encore fée ? encore ailée ? encore
en forme de fée qui seraiot comme allouée à un nouvreau pré si tant est ? On veut :
DIRE DIRE DIRE
LE PASSÉ PASSÉ PASSÉ
DE CE QUI NOUS ATTIRE TIRE TIRE
ET NOUS ÉLECTISRISE TRISE TRISE
SANS NOUS ABÎMER BÎMER BÎMER
ET NOUS ACHEVER CHEVER CHEVER
SUR NOTTRE LANCÉE LANCÉE LANCÉE
FRISE AU TAQUET, CORPS DE DONNÉESZ, PORTE CENTRÉE, PASSAGE HOT, VENT MAUVAÉIS (PET OU GENRE DE PET)
On a méga envie de passer ici à travers ce muret, afin de pour le coup enfioin cerner les données du TRou, ou de ce qui, peut-être (en vérité), serait un trou ou sorte de trou aux donnéees vprofondes, soit fiables ! regarder, c'est voler ... mais pas que ! C'est aussi ... toucher ! toucher de près ! toucher de chez toucher = passer = donner = prendre = comprendre = sonder = pister = pondre = ne pas lambiner mais grave foncer de chez foncer au-delà du Trait, de la Porte Haute, direction (qui sait ?) les Nénés Post-pré, eyt§, éau-delà, la .... Mort comme saturée de .... de Passé ? De PAssé de Coprs ? De' passé de Corps Morts ? On veut .... .......................................... chanter - charger ! .......................... dire-donner ! ............... donner -rire ! dire-rire ! vivre)-rire ! et passer ! .................................................................... traverser ! aller ! souder ! poser ! porter ! cerner ! aller de rive en rive post-pré aux données vives ! charger = vivre (dans la mort active) une sorte de dérive ivre ! Forcer ! pousser ! poussser = forcer ! forcer-pousser une szorte de rire , dès l'entrée sur rive ! traverser ! courir ou voler ! maiçs tailler = se tailler = chercher à (pour le coup) cerner, après le pré, la Rive Cendrée, la vague Nacrée, MEr donnée ! Donnée des Données ! Porte Allouéeb à une sorte de Donnée De ferme ferme ! Possésdée ! comme grillée ! chantée peut-être ! soulevée ! vaguelettes sur Passé olé olé ! on dirait ! mais est)-ce que c'est vrai ? est-ce qu'en vrai la mort (les oubliettes)c'est la mer (la merde ?) du Passé ? Cran d'arrêt ? Sainteté des saintetés Nacrées, genre Mer Cendrée ? On veut en vrai toucher toucher toucher toucher toucher toucher touchert toucxher toucher toucher toucher de chrz toucherb la grève ! le muret et après : la merde ? Mère accoléec ? Mer des prés , du passé muré ? mur des Acidités, dees Données TRacées, du Passé Caché,, consacré, enfoui, ôté du pré mais comme rangé passé le muret sur une szorte de jetée du Verbe ! Je tée des jetées ! Jetée des Nénés ? Jetée ferme ! On veut toucher ! on ne veut pas s'arrêter, on veut co ntinuer. On na envie en tant que fée du pré de traverser le"dit muret des find de Règne " (comme qui dirait) et là, une fois passée, fée ou pas fée, cerner = comprendre ce qui est .... une jetée ? une sorte de je tée ? une sorte de mer allouée à une sorte de Passé en herbe ? Mer donnée allouée à du VErbe dit "du Passé " ... Verbe à ailes ? Verbe ailée ? Verbe d'Elles ? Des données Données Souterraines ? On aimeraéit peut-^$ette (ça le fait) toucher, toucher à ces Données en herbe, à cette sorte de Jetée telle que présentée, à ce muret pâssé puis au tracé sur terre de la vie cachée ... ? tracé né ! tracé post-pré = post -post mortem s'il en est ! On veut en v rai coller à ce tracé dit "des Nénés" tels qu'ils nous apparéiaitraient post-post mortem à jamais mais qui le sait ? Qui sait ce qui est en vrai, ce qui ici se dessinerait pour ne plus nous quitter en terme de données données genre "théorème", "tracé des tracés", "vie des fées post-pré", "vérités des vérités en branle" . Le Passé serait, qui nous attendrait sans traîner. Un passé de contrebande. Passé des passés. Passé Haut sur Mer Allouée à une sorte de Poteau de Mots ! Cornes folles ! chants d'oiseaux ! paroles paroles ! On est la Fée des Corps Nouveaux, sur pré accorte, puis plage de roche aux vague s de cordes. Port ! Port nouveau ! Port des ports nouveaux ! POrt-La-nouvelle sous peau ! Corps d'or au caniveau, et nous voilà (en tant que renouveau) née Fée au cordeau ! chalumeau ! passage Haut! traversée des Peaux, Langes, Draps, draps de corps et autres linges de passage d'ange .... dans un pôrt ! Haut des Hauts ! poteau ! poteau d'eau ! on monte ! on est hautes ! On est la Fée des Hauts ..... Haute ! On est la Fée Hzaute ... des HAuts Niveaux ! on est passé ... pâr la parole", sur port des peaux ! Haute ! on est Fée Haute post-préau ! passsage accort, trait de la mort, entrée du cvorps mort et hop .... chalumeau ! cendres au tonneau et Verbe au Poteau ! colère ! Entrée svelte et du coup on guette ! On mate (grave) ce qui se présente en termes de mots, de mots d'eau (?) , mots doctes de Porte, mots des MOts. On est la F2e post-pré aux mots (bêtes de peau) qui, de fait, cherche en vrai, à ne plus s'arrêter de voler mais, au contraire.... va au plus lointain ... verbe-MÈRE, trait lointéin des tracés du verbe ! car, le Passé est consacré
LE PASSÉ EST CONSACRÉ
LE PASSÉ COLÈRE
PASSÉ COLÈRE
LE PASSÉ COLÈRE EST COMME CONSACRÉ, LE PASSÉ COLÈRE EST COMME (DE FAIT) CONS&CRÉ, PASSÉ PASSÉ, PASSÉ NÉ DE LA COLÈRE D'ÊTRE COMME ... CHAHUTÉ, BOUSCULÉ, TOUCHÉ, TOUCHÉ DE CHEZ TOUCHÉ, TOUCHÉ BLÊME ! ALLOUÉ À UNE SORTE DE POÈME DES DONNÉES DONNÉES ANCIENNES ! VERBE NÉ SUR PRÉ POUSSE SES DONNÉES JUSQU'AU THÉORÈME DE TYPE "J'AIME", "J'AIME LE BLÉ ", "L'OMBRE DE L'OMBRE", "LE PASSÉ ALLOUÉ" ... À UNE SORTE DE DONNÉE D'ÉPOQUE NÉANDERTALIENNE COMME QUI DIRAIT !
On veut toucher en tant que fée , à ces Nénés dits
"des données acerbes" , "du passé des données", "du Théorème acidulé" ici ancré dans une sorte de "je t'aime" saturé, super tracé ! On aime ... les Nénés (c''est vrai) mais aussi l'herbe ! le Passé en herbe et a&ussi le léit ! l'herbe à lait ! Théorème né"andertalien des données de porte, forme docte, donnée haute, permissivité ! On veut comme coller en tant que fée à ces nénés de roche ici tracée : porte ! hautes bêtes ancrées ! hautes données ! hautes et chaudes animalités dites "de roche-" : auroches ! auroches des prés ! aurochs et auroques soudées ! sondées ! tracées ! gravées hautes ! sur paroi de "porte" ceinturée ! On veut ou on voudrait en vrai toucher de chez toucher à cette poerte des données profondes, le tracé du traéit est un tracé de porte, on savait ! disons qu'à présent on sait .... car, on est F2e et la Fée sait , qui connaôt la Roche, le Pré, lae Muret, Le Passé outré, la Parole Haute = Docte , le Néné ça le fait et aussi le Lait, Lait des prés et lait le pré Passé = le Passé de Porte, Passé des passés, Mer Haute des données post-roche, Méditerranée comme qui dirait ça se pourrait ! On veut toucher en tanjt que fée à ce qui est qui (ici même : pré aux fées) porte Parole, veut tracer, s'ancrer, rester ou demeurer sans plus bouger = s'immortaliser ! qui sait ? Sur pré, la Parole est docte .... au-delà ? on ne sait ! on veut cerner ! on voudrait et cerner et dire, de fait, ce qui est qui nous apparaitrait "sans faute" à jamais ... mais .... comment s'ancrer ? comment toucher à ce néné des ombres ? comment perdurer dans la recherche (active) des doonées vives ? On veut :
DIRE DIRE ET DIRE
CE QUI EST QUI VIBRE
SOUS LE NEZ DE L'HYDRE
Toucher = verbaliser pour ainsi dire. Charmer = vivre. Dire = cerner , de fait, ce qui est qui respire (en ces contrées) en termes de ... vouivre ? vouivre serpentine ? Vivre serpentine ? = un trait, au jugé ? une sorte de tracé de vivre = vivre dentelée ? Qui sait parler ? qui sauraéit dire ? qui en vrai sauraéit nous instruire sans nous tromper et nous éclairer sans plus de triche ? qui ? On éimerzait savoir ici ce qui est qui vit, qui bhouge ou bougerait, sans nous aimer, sans nous aider, sans vouloir nous indiquer la (bonne) marche à suivre jusqu'aux ... nénés ? "Nénés Druides" ? "Nénés fluyides " ? On est passées le nez devant, sans plus traîner au vent ! on veut en vrzai coller aux donnée s sardes ! Les toucher de près ! tracer (sur muret) nos noms de Fée : Airelle Possédée, Chantrelle Accolée, Pastrelle du Blé, POutrelle au Taquet et autres Noms dOnnées De type "Collet", , "Colle
t Monté". Fée sur Pré ravive le dire Sacré, c'est un fait, et pousse à rire ! On veut graver les noms du Rire ! percer = toucher = comprendre = donner = faire = entendre = percer = dire = cerner = pisser ou (on dirait) pisser = pisser du lzait ! pisse adoubée ! lait de roche ! donnée haute sur paroi d'époque ! le tracé est tracé de porte : auroques ! le bison -tronc ! bouc et bouques-bouches ! On ose ! On est osées ! On est cfomme Hautes Osées Fées de roche ! porte d'entrée sur un côté on y va pour frapper , espérer, espérer entrer, être acceptée, être rencontrée, être peut-être même comme "invitée" à regarder là-bas (derrière ?) le ... Passé ? Les Nénés ? Le Verbe ? l'onctuosité du lait de Verbe ? L'ombre saluée ? Le Tracé aux Fées et autres types de tracés vénères ? Charge sur Passé de Dames ! congratulités ! sarabandes ! possession ancrée ! plantes ! fleurs ! tiges de fleurs !! pétalesz ! touché ! toc-touché le Monstre ? touché ! comme en vrai on aimerait toucher, toucher sans hésiter ! toucher à ces Nénés de lo'ombre ! tracer = donner ! dire = poster ! coller = faire ! dire et coller ! dire et monter ! charger = cerner ! perdre = faire ce qui est qui nous soulagerait ? On veut :
être sur pré la fée .... puis monter de chez monter direcvtion un muret , muret des murets, mur au tréait ! et du coup passer ! à travers le trait ! passer -être ! être-passer ! coller son nez et comme renifler avant de pour le coup passer au jugé , comme à l'emporté, dire-passer ! pazsser-dire ! p ôusser = entrer (par le dire de Fée) en cette roche des données dernières .... et ... regarder sans tarder ..... les données "entières" ...... fugacités ....... portées d'ailes .......... pointes acérées .............. colèresd des données sévères /....................... passé ........ le passé celte ........................ tracés des tracés .................... pertes ................................................... VErvbge en herbe .............. contrées des contrées ............................. comme "chapeautées" par du Verbe en herbe , genre Lait ...................... lait sucré sacré ! ................................... à votre santé ! pré ! pré passé ! pré des prés passé ! traversé (à grandes enjambées) et nous voilà ailées arrivées, sur roche-grève, prêzte à .... cerner ? tracer-dessiner, à main levée ... ce Verbe pôst -pré de type "Néné_Verbe" , ohé ! ça porte ! ça rapporte ! ça emporte ! çàa le fait ! ça donne ! c'est un trait de roche ! trait sucré ! on ose ! On voulait en vrai y aller et voilà, on veut en vrai (de chez "en vrai") tracer-toucher à la Parole dite "de POrte" on dirait .... PArole -Roche ! traits tracés au pied levé par Homme-Femme des Contrées de base : néandertéaliennes nées, néandertélie"ns-nés, Homme et femme au débotté ici associées car, Ombre Portée sur Paroi Létale ! un tracé ! une donnée ! une porte d'entrée ! un trait ! voilà, un trait et ça le fait ! trait d'or ! trait des traits ! trait de Roche Allouée à une sorte de passage en or ! Pré -consorts ! port ! port-sur-mer nacré ! Fée ! Sommes ! trait ! port des ports cendrés ! on monte ! on est raccord ! accolées ! = ailées ! deux ombres pour une fée et ça fait la fée , fée d'oor ! Fée du pré passé, des données profondes ! On est comme percées ! touchées ! collées ! tracées ! montrées ! bousculées mais on est entrées et on porte ! , loin, nos ailes nacrées ! envolées ! hautes ! Homme mort tombe ! fée née s'envole ailée vers d'autres destinées que celles (terreuses) de l'homme dit "tracé", .... drôle ! Haute Fée de Porte, centrée , pousse Haut et Ose, porte, pousser ! et du coup enttrer ... et .... mater ! mater de chez mater Mater (prononcez "ma terre") ! Air de Fée ! Sons de cloches ! un trait ! une sorte de Parole Haute ! Fée des Fées de Roche .... porte , en vrai, son Ombre Nacré jusqu'au bout du pré, Néné ! ah Néné ! Néné né ! Néné des Nénés ! à teter au-delà du pré, à bien téter pour bien s'alimenter ! se requinquer ! tracer !pousser au loin la chevauchée, le treacé-trajet .... en jetée ! jetée des jetées ! je tée
des jetées jetées ! aller au plus profond des dites
"données alouées", allouées à une sorte de jetéee ... qui le sait ? Qui sait (de fait) ce qui est ? Qui veut dire en vrai , donner, offrir, dire de fait ? On ...
On est la F2e du prétracé ! On est fée des fées sur pré ! on est (dans la mort) Fée , prête à tracer, sans traîner, vers ... Mamelon ? Petit P°atapon ? Lampion ? Oignon ? "Om" du carré des Troncs ? Aller-charger ? Prête à dire-coller ? à tracer (au-delà du pré) les données allouées de fait à un tracé de type ... "mamelon" ? toucher -dire, faire-aller, donner données, coller, aucx Nénés du Dire, les Données du Rire ? pousser = pointer ! Faire = charger ! Fée des Fées on est .... jusqu'au rire alloué à une sorte de "dfonnée active" cendrée (?) et cfomme enterrée (?) qui sait ! Pro-hydre ? On ne sait ! On veut :
TPUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER À L'HYDRE ET SES NÉNÉS ! ALLOUER AUX NÉNÉS LE LAIT ACIDULÉ ! VIVRE ! VIVRE TRANQUILLE DANS LA MORT ACTIVE PRÉ-HYDRE ! COLLER (DE FAIT) AUX NÉNÉS DU TIGRE ! VIVRE = COLLER = CERNER = PISTONNER SANS VRAIMENT RÉELLEMENT TRNAÎNER MAIS GRAVE FILER ! FONCER ! FONCER DE CHEZ FGONCER ! NE PLUS S"'ARRÊTER ! TRACER DE CHEZ TRAVCER ! COLLER AUX NÉNÉS DU VIVRE "TRANQUILLE " À JAMAIS OU COMME À JAMAIS ! VIVRE = DIRE, LE TRACÉ, L'EMPRISE, LE TRAJET, LA PRISE, LES NÉNÉS DE L'HYDRE ET AUTRES DEONNÉES QUI PRÊTENT OU PRÊTERAIENT À RIRE (GRAND RIRE) SUR PAROI (DU VIVRE) CONSACRÉE !
Aller = tracer, dire = donner, pousser = charger ! Qui est qui en ces contrées du Rire cloisonné? Qui cerne ? qui porte ? qui comprend Le Verbe de POrte ? Les données dites "acidulées" d'une sorte de ... Néné du Rire ! Qui compte ? qui sait dire et rapporter le dire sur paroi de roche ? qui va loin dans les données et sait treacer comme à main levée les données trouvéezss ? bêtes allouées à une Vérité, bêtes-mots tracés, chants hauts, mots de trop , verbe de peau !
On est la Fée des Fées des oripeaux , du Verbe Haut comme portés ! Hautes Fées des c^oteaux ! fée du Pré des prés ! Fée haute genrée = ailées = segouinée de par les ailes ainszi soudées ! ELLE ! ELLE DE FÉE ! Elle belle ! tr&it acidulé ! Chanteclaire, va nu pied, ferme, de ferme en ferme ! On veut toucher à ce Néné des données donées post-mortem, et ... re-nâitre à jamais hors pré, hors E^tre, sur Passé post-pré ..... dans une sorte de contrée De fée ... Air ! Air alloué à une sorte de contrée-Mer ! MerSoleil,
Mer Air ! Mer Jetée ! Mer Elle ! Mer de fée Postée ! Tracé, d'air de mer !Pré ................................................ pré /................................................... pRé ............................................................ pré des prés post mortem , qui sait ? ........................................... genre : pré-mer ? ........................................./............................... mer en herbe donnée ? ................................................. mer cendrée ? ........... possédée ? ..................... prise sur le fait ............. ? .....................././............/................................... allouée à une sorte de donnée des données cendrées ................... poussées ...................................................................................................... contrée des contrées cendrées ? .......................................... mer des mers touchées ................./.........................olé olé ..............................................Morte et enterée ? .....................................Le Passé ? ....................................../........................... une sorte de passé montré ? porté ? donné ? rapporté ? remonté des dites "catacombes"d'une sorte de Rotonde ? ......................... un passé ancré ? ................ Une sorte de passé de porte ? passé docte ? traits d'ombre ? vie des prés sur ppied ? Ombre sur Néné et ça fait son effet ou son petit effet de Porte ? Vrai ? .................... ombre nacrée ? Chose sur pied nous verrait aller, tracer, voleter (de r(oche en roche) en ces cxontrées post-porte ! mer méditeérranée ou autre , mer Égée, MEr morte, MEr Donnée aux Fées de Roche pour .... creuser , de vague en vague, un savoir léger, comme en vrai ailé, genre "sainteté", "sainteté des saintetés" ..... On veut :
eh bé ............................................... tracer ! ................. filer-foncer ................................. pas nous arrêter .......................... =chercher , à ici cerner = entourer = circonscrire ................................ une sorte de paroi de roche avérée .............................. vraie .................. native ............. sou dée ... aux Nénés de l'Hydre , qui sait ? .......... vive ......................................... coller ! ............ donner ! ................. p ^)ousser en vrai jusqau'à cette (sorte de) ......... RIVE VIVE ! Rive des RIves ! ....................dès lors allouée ou comme allouée à une sorte de dérive ivre ...................?............... une entrée dans l'antre ................... un pass age acté .................. trait passé .................. poussée du vide comme qui dirait ............ENTRÉE DEES ENTRÉES ..... POUSSÉE DES POUSSÉES ........ RECHERCHE S CONCENTRÉES ....... RECHERCGHES SANS TRAÎNER ........ DE DONNÉES ACTIVES, DE PASSÉS VRAIS, DE DONNÉES RICHES CONCERNANT LA RIVE, LA JETÉE, MER ACIDE, MER CDES DONNÉES, MER VIVE, TRAÉITS DE VAGUES SUR TRACÉ, MER ALLOUÉE À UNE SORTE DE RECHERCHE ACTIVE HORS LA VIE À VIVRE SUR TERRE DE TRAIT........................... MER GENRÉE COMME QUI DIRAIT = IVRE ! ......... TRAIT DES TRA&ITS = CLARTÉS ! CLARTÉS DITES "DES CLARTÉS", "DES CLARTÉS VIVES" ..................... PONTS DES FÉES = PONTON ....................... SUR VAGUES CENDRÉES , NACRÉES, VIVES DE CHEZ VIVES , ............... LE PASSÉ ACTIF ..........................LE PASSÉ ACTÉ ..................... ENCORE ACTIF COMME QUI DIRAIT, VIA ICI UN TRAIT, TRAIT "DIT",, TRAIT DONNÉ, TRAIT DES TRAITS DE RIVE, POSSÉDÉ, ARMÉ, ALLOUÉ À UNE SORTE DE PASSÉ DE RIVE, PRÉ-ANCRÉ, PRÉ-FÉE .................... RICHE, DE DONNÉES DE RIVE .............. TRAIT DONNÉ VENU (COMME QUI DIRAIT) DU PASSÉ DE RI VE, PRÉ-FÉE, PRÉ-PRÉ-FÉE ........ PRÉ -ACIDITÉ ....... PRÉ_CHAMPS DE BLÉ ET AUTRES SORTES DE PRAIRIES, DE ROCHE VIVE ! PRÉ DES PRÉS TRACÉS !
On est :
fée des fées sur pré alloué à une vérité active
fée grise des dopnnées acides
fée du pré post-calamités et autres atriocités des données promises
fée vive au taquet une fois actée = ailée
fée sur prise
fée active aéllouée à une destinée en rive = ivre
ivre fée aux données genréesz , soumises à une Vérité Tracée , de type "Hydre" .....
Fée Docte de bonne Parole,; Bonne Et Haute P arole sur Paroi de Roche
Fée des traits de porte et autres "Passages Hauts" pour passage d'hôte ,! Préau !
28/11/2024
On est qui ? On est Fée ! Fée des ombres portées ! Saints de Satiété et autres saintes soulevées ! Chants d'ombre ! on veut toucher-cerner à ce qyui est qui se présente devant nous ! Cerner-allouer, à un trait, les données du monde. qu'est-ce qui est qui nous regarde ou nous regarderait , qu'est-ce qui est ici qui va et vient et semble vouloir nous parler . On rentre = on va , sur ppareoi, chercher, ensemble, les données profondes. Ailes au taquet savent voleter ! aller et virer, cerner et toucher : enttrer en "rotondité" ! On edt nées Fée comme "à la ramaqsse" = au jugé, sur piere des fées. on veut ensemble s'il-vous-plait aimer , aimer aller, fonvcer, tracer, chercher à comprendre ici les données, les données de base. Qu'est-ce qui est qui nous regarde ? qu'est-ce qui est qui nous embrasse, comme qui dirait ? On cherche en semble (ailes) des données, et ce s données sont :
RAge, Foi, Traits, Envoi, COlère, Charge Frontale, Seins des Fées et autres seins de Reines allouées à une sorte de denrée lactée , genre Lait ou PEtit Lait .
On est nées Fée sur roche traversée, et à présent on cherche à cerner
les fonds de pré, les vivacités, les envois de gré ou pas de gré, les remontrances, le chant des Balances, le TRacé de près ! Charge ! Charge au frais ! Traces mentales de données de Rage ! Qui on est ? peut-être la Fée dite "des parades" ... boeuf de pré, Bisonnne avenantes, Saintes Satiété ! On chzarge = on entre ! on veut (grave ! grave de chez grave !) entrer sans reculer = tracer, foncer, tracer vers les nénés = foncer sur pré comme à la parade + cgharger = aller, sans traîner, vers une Déité des données Allouées à une sorte ivci fde "Vérité des V2rités" . On est Fée des Fées ! On monte Carosse = on monte sur paroi des Ombvres !?Néandertaloiennes ! Néandertaliennes ! Néandertaliennes on est nées ! Nées Fées dites "néandertdaliennes" ça ir ait, ou (même) ça le ferait, ! On veut de fait cerner les nénés .... les nénés des Ombres ! L'ombre au frais ! L'ombre portée ici sur néné (?) ! La Chose !
Quelle Chose ? On dirait ... "la Chose" qui , ici, serait , à comme nous mater de fond en comble = juger ! Fée caarabosse des données suspectes et autres ronds de bosse, on serait.
Pour ... Chose ? On est F2e des prés et on monte ! on s'élève ! on grimpe ! on veut toucher (grave !) aux nénés, aux nénés en herbe ! On veut envrai toucher à ces nénés, de l'herbe broutée ... et ce serait comme une sorte de denrée supplémentaire ! une sorte d'entrée en matière ... ou dans la matière ! Herbe-verbe, société des termes, gentrification du pré, allusions littéraires et autres données de type Lettres ! Onest Fée d'Herbe ! Faite Fée à la criée ... ou à la retombée dans l'herbe, trait passé ! ON veut on voudrait : chercher ! chercher de fait le néné né !Sein des traits sur herbe touchée ! On a, comme en nous ici (ancrée) , cette envie d'y aller sans traîner, vers ce qui est qui nous regarderait sans discontinuerb ... C e muret des prés ou dit des présb ! Cette sorte en vrai de clarté alloué à un trait de muret post pré, post prairie aux Fées, aux Bêtes à brouter, aux Herbes NAcrées ! onn guette ! On vreut en vrai aller au plus lointain des terres ! chercher trait des passages donnés ou comme autorisés ! On est la F2e post pré, faite d'ailes = Femmes, dites "secondées ". on veut :
dire et aller, toucher-coller, faire-comprendre, allouer-permettre, donner-cerner, tempérer-ssonner, chahuter-amadouer, fondre et coller ensemble , iic même, nos ailes , sur mât de misaine , charger, coller = cerner, les données blêmes, le Passé des Fées, l'ancre de misère (de miséricorde) et autres ancrages ici tracé, de type bufflettes, bouquetines affichées, bisonnnes des prés, chevales accrochées sur roche gravée ! On est des F2es des prés "néandertaliennes" à jamais ! on veut coller )à cette V2rité, genre (ici) Vérités, des Données de l'herbe , ce serait !
Charges ancrées ! Passages ! Tracés vrais ! Peuplades de bêtes tracées sur par(oi cendrée !
On veut comprendere ce qui est;,, qui va et viendxrait, nous donnerait du lait, du bon lait sucré , voire sucré-salé ! bouquetinne vive ! On veut grave en tant que voilà, nous sommes Fée, dire et toucher ! comprendre et c erner ! ces sortes de "Nénés de Grande Instance" ! On est née Fée sur branche ! nous voilà "aimée" ! "touchée et aimée" , pour ainsi dire en v rai ! Qiiu on est ? on est La Fée dite "des Données de branche" (ça le fait !) et on enttr en Antre ! On veut coller = donner = sonder = dire = comprendre =chzarger = colmater = contrer, ici, les données maussades , les contrer de rage ! et tracer, ensemble (ailes de fée comme accolées), le trait de la XGHance sur paroi donnée = sentier, sente, trait surr pré, chemin de randonnée pour fée débutante ! On veut ALLER ! ALLER GRAVE JUSQU4AUX NÉNÉS ET NE PLUS S'ARRÊTER MAIS (FGRAVE) EN AV ANCER SUR PLACE = TRACER ! CHARGER ! CERNER LA RAGE DES DONNÉES ANCRÉESS ! TOUCHER AU MURET !
TOUCHER AU MURET !
TOUCHER AU MURET !
TOUCHER GRAVE À CE MURET
DES remontrances, des données de rage et autres vérités de face, train donné, chants de grave collet-monté, vente dx'armes, autorité ! On veut toucher-comprendre ces nénésxs post-pré = entter ! enttrer !
entrer ! entrer ! entrer ! en vce muret des données finales : qu'est-ce que c'est ? un muret post-pré oui et après ? on veut toucher ensemble (fée) ce muret dit "des vérités classées". On veut toucher "ensezmble" à ce muret des accolades et autres ambivalences ! On veut dire et cerner ces nénés, les cerner de face, dire ce qui est qui nous regarde ou nous regarderait en face ! traits ! charges ! sentiments de base sur paroi étanche ! = amitiés, douceurs et moiteurs ! On veut :
aller sur place chercher à toucher = comprtendre,
ce muret, les dessous des cartes, le passage, les entrées de base, les données données comme à la parade et autres vérités de Rage . quii c'est (ici devant) qui nous regarde ou nous regarderait sans ceesse ? qui en vrai est né , sur muret, pour comme nous regarder = hjuger = cerner = mater ? On veut touchger à ce "N2né de Contrebande ", ce qu'il est le comprendre, en termes de "Néné pour F2e" : est-ce que c'est vrai , est-ce que ça se pourrait, est-ce qu'en vrai un néné peut eêtre attribué, la Mort Présente ou une fois Présente = Avérée, affichée, touchée ? On est lA Fée dite "des doonées en branche", on veut aller (de fait) toucher en face, le Néné de l'(Antrte ! post-muret ? On veut toucher à ce Néné des contrebandes ... post-muret ! On veut en vrai toucher, à ce Néné (à ces Nénés) de contrebande post-muret = post cloison finale = post -pré aux Fées; = post prairie des ämes bestiales et autres bêtes-mots de Rage ! Toucher = comprendre, car voilà ! On entrte ensemble (ailes allouées) , on gratte au muret ! on veut se faire entendre et que pour nous les choses soient, comme décloisonnées, afin qu'on puissee i-ci passer, qui son nez, qui son pied, qui son oeil, qui son aile tracée ! comprebndre = toucher, en vrai, le Néné des Donnéees, des Données de base ! Mort, dotée de traits de RAge, on veut "te" comprendre ! disz-nous qui tu es ! qui tu es en vreai quand "tu nous rtezgarde" ! On veut envrai toucher ensemble (ailes de fée) les données ancrées sur muret post-pré, post-herbe broutée et autreszx fleurs de terre ! Charger = donner, à un muret, un coup de tête afin de l'abîmer, le trouer ou le percer,creuser en lui un passage de Fée, afin de pour le coup en vrai enfin pouvoirpasser .. tete ... au Passé ? nez musqué ? pied d'herbe ? Saluer le Terme ? Donner du Passé comme saturé et du coup entrer en ce traéit de lumière ici reytrouvé ou comme retrouvé ! On veut :
dire dire dire
chearger charger charger
cerner cerner cerner
comprendre, au dfébotté, les données de l'herbe soit de l'herbe verte ici renco ntrée, en ce pré udu Verbe Excentré, Du Verbe des données en herbe et autres frivolités ! On est née F2e ,le pré touché, on aime ! On est née fée et on aime, de fait, être Fée en Herbe ! CGHants sacrés ! DChants dits "funéraires" et autres mélodies de règne ! On est passées sur pré direction muret des données concrètes dernières : le tracé des rêves, traits des traits de lumière sur roche calcaire, genre Acidité, Animosité, Méchanceté, Vilaineté des données ici comme représentées sur Muret de Tr^$aine ! Saleté ! On veut crever l'abbcès et du coup passetr à travers le trait, train arrière,
dernièrecharnière ! porte portée ! On est née Fée vpost-cimetière et c'est ainsi qu'on veut ou qu'on voudrait toucher à ces Nénés, des Herbes ... passées = dépassées ! Toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucxher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher =toucher = topucher = touchger = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher
à ces nénés nés ... post -herbe = post-verbe ... ESt-ce ? est-ce vrai ? est-ce en vrai quelqueque chose qui se pourrait ou se pourrait être ? nénés nés post prairie du Verbe = post-Verbe , sans reste ? On veut :
dire son passé afin de le caler, ici, sur pré, entre les bêtes-mots dits "des données sauvages et autres cavalcades", charger = donner comme à la pareade son passé tracé = son pâssé de rage, données fortes sur paroi haute, vents de porte ! On est la Fée tracée, qui cherche une Entrée sur Paroi des fonds , va nu pied, vole sur Mont, cherche Parole ! Veut grave toucher à c e qui se oprésente, au plus profond de l'Ambassade ! le portrait en pied d'une dIvinité ou sorte de divinité, de type ... néné ? est-ce que c'est ? est-ce que ça se pourréait en vrai ? le pré passé ? On veut toucher topucher topucher toucher )à ce Passé des Embrassades, des Touchers lactés et autres baisers sardes... mais, comment "toucher" ? cerner = toucher ok, mais comment de fait en vrai cernerv les dites données ou données de Rage quand elles sont ... cachées ? ancrées ? tracées sur nénés et vas-y toucher ! va comptrendre ! On est fée d'Antre ok mais est-ce en vrai assez ? On veut :
dire et coller, donner-toucher, centrer et comprendre, monter sur mont De base le se,ntier, grimper, cerner là-haut le TRait alloué à un passage au débotté sans se faire remarquer de trop des Nénézs ou comment aller ? On veut toucher de base à ce qui est qui nous regarde tout en hautde Rage , ou nous regarderait, et pour cela ... tayaut ! grave ! allons bon ! tenons ! ne restons pas (de fait) en carafe mais montons ! chercho ns à comprendre = montons ! gcravissons ! creusons ! traçons sur place le tracé des Rages ! faisons Fi des remontrzances et allons (de bonne grâce) chercher la moisson ! Le pognon ? la Rage !!!! Le pont de glace ! Trou de Casse ! Pardon ! Le PArdon des Places ! Champollion ! On veut comprendre = dire ! donner = toucher ! plaire = conduire, au passé, les données acti ves ! On ne veut plus se laisser démonter mais grave tracer, foncer, tenir, chercher ensemble (ailes de fée) les données vives de chez vives !
le pAssé qui nous ressemble, les nénés post-pré , l'ambivale,nce des données actées, récurrentes, allouées à un Passé de CHance , ce Passé dit "du (Vrai) SEntiment de Branche ", ce Passé acté sur Branche Teracée Sur Paroi des F2es ... Né&ndertaliennnes ! On veut toucher = tracer, et du coup pousser, pousser sans traîner , vers cette Déité des Données Allouées à
une sorte de trait des données dernières, ce Passé aux N2nés , qui sezrait Passé des Traits, Traites de Pis sur pré dernier (?) ou autres traites sans traîner ! ? ON cherche ! On veut toucher toucxgher toucher, sans gêne, ce Passé siurnuméraire, sein nacré, Néné né comme au passage en vrai ... d'une tête de Fée à travezrs ... le VErbe ? ? qUi sait ? qui saurait nous expliquer le terme , soit le terme donné, alloué à un pré,
à un pré en herbe, genre .... PR2 des F2ES aux DOnnées Pleinezscx :
qui ? l'être ? l'ÊTRE SALUÉ , LE DERNIER DES ÊTRES DU PASSÉ DONNÉ , ESTAMPILLÉ , L'ÊTRE POSQTÉ , TRACÉ À MAIN LEVÉ COMME UNE STATUETTE SUR PAROI RUPRESTRE ? On veut savoir le mot des rages, ce que c'est en ces parages . On veut co:mprendre = dire ! pouvoir dire ! Ce que c'sst que cette CHyance, à nous donnée , de pouvoir tracer, sur pré, le sentier aux données ! trait des traits vers .. une branche de données de base ! chargement de chargements ancrés et autres tracés sur herbes broutées ! On entre = on trace ! On est hnées Fée sur pré passé, on veut tracer sans s'arrêter ! dsans perdre pied ! sans traîner ni lambiner mais grave creuser = chercher de chez chercher ... les ... ambivalences ? les données cruciales ? le Passé des traits et traites de base ? Le Néné accolé à une sorte de Passé Notoire, genre Ancrage ? Le Passé des Traits de base ? Néné né comme à l'arraché le Nez passé ? On veut :
dire de chez dire ce qui est qui nous reg arde = nous concerne = nous parle, et du coup ... porter sur place (pré ?) les données allouées à une sorte de parade (pariétale)- aux bêtrs cendrées ! cerner = dire ! dire = poster ! pôster = comprtendre et comprendre pôrter ! c'est un faiot ! fait vrai ! charge et portée sur prairie aux fées et aiutres bêtes saluées par hommes et femmes de la Résistance aux données Maussades et autrtes Méchancetés crasses ! On est née Fée au passage alloué à un Passé ! On veut toucher à ce Néné des Données de base, Néné né comme s'il en pleuvait, sur paroi des termes et autres finalités comme dessinées ! Allons sur Mont ! gravissons = volons ! ailes au taquet on doit pouvoir monter sans se casser le nez ! On monte au ju gé ! on est Fée voleuse ! on est accolées = ailées du fait que voilà, on s'est retrouvées (ELLES) sur pré décoré, on a compris l'antienne, on s'est regroupées ou comme regreoupées pour (ensembkle accolées) former F2e pôst cimetière, post paroi orné néandertalienne ou aurignacienne ou solutr&éenne ... et aller ! foncer de chrz foncer vers Elle, Der des DErs des Données Pierrales ! muret des tracés ! Charge d'âme ! trait des traits en luminosité "intacte" ... oh intacte ça le ferait mais est-ce que c'sset vrai ? on est passées ensemble former fée sur p)ré afin de pour le coup pouvoir (toujours ensemble) tracer loin, nootre chemin de connivence, et nous pointer de rage, si tant est, devant donc ce muret dit "des finalités" et auttres "fins de pré de base". toucher = donner. Prendre = faire. Chercgher = plaire. Décorer = allouer à une donnée le VErbe des fées, genre "chargement de rage'-", "tracé vrai", "chance au paassage", "vives denrées", "mots de contrebande et autress mots de fée". On veut :
ALLER DE CHEZ ALLER VERS CE MURET "DES DONNÉES FINALES" QUI SEZRAIENT ... NÉNÉS ? NÉNÉS NÉS COMME À LA PARADE ?
On cher c he à comprendre ! on a super envie ensemble (ailées) de comprendre et de cerner ce qui , en vrai, en ce muret, semble nous attendre ! On ne veut pas passer à côté ! on veut aller au plus ancré ! au plus enfoncé ! au plus creusé ! au pls engoncé ! au plus enferré ! au plus éloigné ! de c e qui est qui nous regarderait depuyis l'acmé de ces données murales ! un muret des Rzages, c'est un fait ! qui, au-delà du pré (pré d'herbes à brouter) serait à nous attendre ou come à nous attendre sans désespérer, le lâdre ! on veut pouvoir toucher ! toucher de base à ces nénés
😃
dits "du p)assé ", , "de l'Antre", "des donn"ées de conjtrebande", "du Passé Ancré = nacré genre Lait de trait " ! On est La Fée post -pré cdes données prairziales, et on veut toucher à ce qui est qui nous regarde ou nous regarderait sans se gêner ...
le lâdre ? ... lêtre endeuillé ? l'endeuillé des traits ? "Dom Atrocité" ? On cherche (grave) ensemble à comprendre ce qui est qui serait là à nous mirer ! Qui c'est ? un Pâtre ? Pater mate ? qui, en vrai, sezrait à nous mirer sans plus que ça (pour ainsi dire) se gêner ? Un pâtre ? une sorte de sorcier ? de petit Sorcier ? Pasteurisé ? On veut toucher ensemble (ailes allouées) àune sorte de Romance ici Personnifiée, de Type :
Avidité ?
Passé Ancré ? Charge tracée ?
Donnée des Données ?
vent de face et autres vents de pré ?
Pets ?
On veut aller sur place (muret) chercher à comprtendre = cerner = toucher à c e qui est qui se présente
à ce qui est qui se présente sans trainer ! On veut :
coller, dire, faire et toucgher, aller et cer ner de fait, les données ici présentes, dire et poster, chercher comme qui dirait Le Néné de l'Hydre ! Oh,on voudrait ! On veut grave cerner (ici et là : muret) toutes ces données, dont le nom sur pré est "Hydre", "Hydre du Vivre ". On veut :
dire dire dire, les données de l'Hydre
DIre dire dire, les Données du Vivre
Dire dire dire, les Données du DIre !
Charger = aimer et aussi c erner, de fait, les données données d'une sorte de passé à devoir déposer comme à la retombée sur muret aux Fées, Muret d'Hydre, des données de l'hydre pour ainsi
dire , dire , dire ....
ON VEUT, En vrai, toucher à ce néné de l'Hydre "Remonté" ! On ne veut pas le laisser passer mais lui wsauter au cou (pour ainsi dire) sans traîner car il file vite ! va vite ! file vif et sans lazmbiner ! hydre post-pré des Nénés du Vivre ! Charge allouée (ici) au Verbe post-pré , dxe type "Hydre " ! On veut coller à ces nénés = téter = boire = cerner = comprendre = prendre = prendre à satiété le bon lait de l'Hydrrree ... est-)ce vrai ? est-ce ce qui est ? doit-on toucher à ce néné ... des données fines , genre "Hydre" , "Hydre" comme .. remonté du Vivre, du vieil Antiride ? On veut :
DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE
L'HYDRE L'HYDRE L'HYDRE L'HYDRE L'HYDRE
et , de fait, cerner ce dire (dire de l'hydre) en tant qu'il szerait ... le mot du Vivre ! du donné des rives,
mots d'eau !
On veut grave se poser ici, ensemble (ailes de fée), pour (en vrai) chercher à mieux cerner les données hybrides, ce Passé des Traits, Néné né sur rive, Antirides au cachet, le passé sur pied serait dû aux nénés ainsi donnés la mort ultime traversée (c'est-à-dire post-pré) ! dire = Rire ? on veut alller ... sur rive Ul time, toucher de chyez toucher , au ... néné de l'Hydre ? qu'est-ce que ça veut dire ? On veut aller (de base) cerner, ici -m^eme (muret) les données du ... Rire ? Creuser = toucgher ... aux nénés du Rire ? du Rire ... imbécile ? oh, qui sait ? On est née F2e sur pré une fois trépassé, mais doit-on s'enfermer dans un dire acide ? Doit)-on creuser la niche du passé ?cerner sans traîner le muret desR Rives et autres Jetées des Données Ultimes ? tracer ? douter ? contrer ? poster ? vivre v-ie du pré et s'en contenter, ou au contraire aller au plus lointain du pré, chercher à tyrouver par où passer le nez, le nez et le pied, et se retrouver cfomme qui dirait de l'autree cvôté d'un muret ou sorte de muret "acide", genre traversée des friches, traversée des traversées, et pouvoir (dès lors) cerner, de fait , ce qui ici se tramerait en termes de ... néné ? néné né ? néné des nénés ? des nénés nés pour être tétés sans discontinuer et sans traîner par un bébé genre Fée Fille ? Fée = deux filles .... On veut.... eh bé .... comprendre gra ve ! les donnéessurprises, les entrées, les dires centrés, les dires sur pré et c eux qui , pour le cdoup, "dépassent" le pré, d'un doigtb dee pied ou du bout du nez ! L'a rive ! lecreuset ! la friche ! le rameau cendré ! l'affiche ! le donné et le passé ! le trait aux fées et autres semeuses de données moqaueuses ... ou sinon moqueuses genrées , genre attribuées à une sorte de Passé en friche à faire remonter sans triche, sans chercher à pour le coup se faire remarquer plus qu'il n'en faiudrait. Toucher au Néné = Dire le Passé ! Passé-Dire = Données = Vie Passé sur Pré des F2es ? ou Pas Des Fées ? On veut en vraéi ... ce"rner au plus près le dxire passé ! On veut grave cerner, et du coup toucher, aller, pousser loin le dire des données acides ! toucher = pointer = allouer, à un dire, une sorte d'acidité qui permet de fait de poiuvoir traverser, chiche, le Muret des DOnnées Vivesz ! des données Ultimes ! verbatim ! On est :
F2e faite !
Fée des Fées !
Fées des fées faites ! Fée des Fées des données Ultimes ,, comme qui dirait. ET on veut toucher ! ne plus s'arrêter ou nous arrêter , mais grave tracer ! pousser ! aller ! continuer ! poursuivre sur notre lancée nos recherches de données données et autres traits de vérité par lesquels (pour ainsi dire) on pourrait passer, qui le nerz qui ... l'hydre ? l'hydre native ? qu'est-ce que ça veut dire ? On veut toucher toucher toucher à cette vérité de L'hydre qui sezrait native ... et du coup cerner = deessiner le VRai, Le Donné (en vrai) sur pied, à une sorte de Passé de RIve .... qui sait ? qui comprtend ... le Rire ? qui en vrai en lui (oou elle) sait ? Qui en vrai cerne le vrai et comprtend la Rive Vive ? Rive outre-pré ... Rive des données "outrées" pour ainsi parler .... On veut coller ! On veut rire et coller, coller aéux Nénés, aux Nénés Ultimes = au Passé du Vivre ici retrouvé comme s'il en pleuvait (pleurait) de rire ? ou pleurait (pleuvait) de vivre ? ou pleuvait (pisssait) d'en rire ? On est la Fée postée ! Fée du Rire Alloué à une sorte de tracé pré)-rive ! On veut aller ! charger vitte ! ne pas lâcher ! percer de chrez prercer sans abandonner nos recherches actives sur pré alloué à une vérité de type ... "Hydre " ? On veut :
coller de chez coller;
dire de chez dire
donner de cherz donner
faire de chrez faire
porter de chez porter
coller-dire = faire-mettrree = porter-vivre-
On est fée du RIre comme à l'emportée, prête à tracer, sur paroi votive, le nom (en vrai) de ... l'Hydre ? mais qu'est)-ce que c'esst en vrai que l'hydre ? saura-t-on cerner ?. qui saura nous dire ? peut-on connaitre les ressoprts cachés ? le tracé masqué ? l'ombre portée comme pour de vrai maintenue "surprise" ? Qui sait de fait l'Hydre ce que c'est, en dehors du Rire ? On est la Fée du Trait et des données, ancrées sur pré, et à présent on a grave envie de changer, de perdre pied peyut-être pas mais de changer "nos traits", les données données à nos registres; on veut changer, on veut changer de nez, d'oeil alloué, d'ailes nacrées ! paqsser de l'autree côté du muret pour peut-être changer de r'egistre cfomme qui dirait ! Se trouver changée ! grave relookée , qui sait ? toucher , aux nénés du trait (pis de fée) et du coup comme se transformer, nous même en néné ou va xsavoir ce qsui en vrai pourrait nous arriver le muret (dernier muret) pâssé ou une fois passé comme par surprise ! on voudrait être (changée) et avoir été (fée) sans traîner ! traéverser le TRacé des Doonées en HErbe (verbe) sans chercgher à plus que ça nous faire remarquer des rOis et REines de là-basz, l'ombre portée, la Do nnée post-pré et autres données des données dernières. Saluer le pré (en arrière) et ... passer ! toucher = passer ! aller ! porter notre nez (ainsi passé) jusqu'entre les nénés à nous donnés qui sommes pour le coup comme ici recueillies sur Paroi Genrée ! on est la F2e genrée du pré passé ! vive et accolée ! fée des fées post-pré ainsi passé , nez comme écrasé, à travers un muret de type ... "hydre" ? oh , qui sait ? qui peut dire ? qui ici peut nous dire le mot des données yultimesq ? On veut grave ensemble (ailes allouées-) coimprendre .... ce qui est qui ici serait à se constituer sans RIre : est--ce possible ? Hydre des PAr(ois Ultimes ... qu'est-ce que c'est ? On veut toucher à ce qui est qui nous regarde vivre ou nous regarderait et cher cherait à pôur le coup nous attirer sans rire entre ... ses nénés, dits "de pacotille" ? On veut être et avoir été ! ne pâs trépasser ! poursuivre sur pré mais sans y passer ! c'est)à-dire pouvoir traverser la RIve Ultime mais, en vrai, pouvoir aussi se retourner, une fois passée, sur le pré des données de type cendrées ! QUi on est ? peut-ettre ... post-pré, un néné ? Sein d'herbe craché ? sein des seins traités ? verbe alloué à une sorte de passé touché ? coul"é ? On veut (en tant que fée) toucher à ce néné du VErbe Donné ! tOucher à vif et vif ! ce néné né comme à l'arraché d'une sorte de traversée des Rives ! donner notre nez ! donner le pied, l'oeil tracé, le passé sur pré, notre envie vive de cerner le Dire ! ou Dire alloué à une sorte de Donnée du Rire ! toucher = porter ! Dire = faire ! tenter = comprendre et pousser de rage une sorte de colère en nage ! Attacher, coller, souder, accoler nos ailes au mât du Rêve ! Onctuosité des Nénés en herbe ! douceur nacrée ! peau d'herbe ! sainteté allouée à une sorte de denrée lactée, ça le fait ! On veut téter ! on veut, on voudrait, grave, de fait, téter ! sans tréîner ! le lait cde la Reine ! téter de chez téter et ça nous plzirait ! téter le néné des données acerbes et autres sortes de sagavcité post-prairies aux bêtes ! On veut toucher à ce néné des données tracées, et une fois touché, aller devant, comprendre, regarder, foncer puis se poser, voir de près et cerner, toucher, dire et saisir, un certain nombre de données de vie, genre "post-guerre" ! vivre ! se poster ! se poser sur Rive post-pré ! respirer ! écouter ! sentir ! toucgher à ce néné de l'hydre, ce qu'il est en vrai , cerner ! On veut en tant que fée toucxher de base à ce néné de l'antre des données ukltimes. a&ller comme au taquet ! pister ! Toucher = pointer ! dire et cerner, le dire nacré d'un savoir des Rives dites "ultimes" si jamais. On est née fée la paroi passée, sur pré alloué nà des bêtes de piste.
Une fois passée, on court on vole, et donc on peut dire que , en effet, on a comme
traversé une contrée, une sorte de co ntrée de type pré, pré aux bêtes de poids et autres mots centrés, genre Foi, Foie, Fée, FEu, Faille, etc, et au-delà, on s'est comme (peut-être) rapprochées de cette sorte de paroi Ultime, Paroi des Parois, et après : le vide ? on ne sait pas ! peut-être pas ! Après cette Paroi dite post-pré aux bois, post-prairie des rois et reines des bois, il se pouurrait qu'il y ait .... du Rire ? de la HJOie ? un éir de Java ? une sorte d'entrain "d'autrefois" qui, pour le coup, serait pour nous comme une sorte de ... Savoir Rageur ? Savoir Anticipzateur ? Savoir Dur ? savoir des SAvoirs durs ? savoir Alloué à une sorte de contrée des contrées post-pré ? Une Sommité nous y attendrait ? une Sorte de Grosse Clarté ? Genre "Clarté des Clartés" ? ON cherche à ensemble (un ensemble ailé) comprendre grave
x de chez x
données sardes (sardes ?) en vrai , soit : ce qui est qui serait en vrai à pouvoir comprendre sans désemparer, sans pleurer, sans se prendre le chou ou la tête raide ! mais de fait, ainsi, placide, tracer ! dire et tracer les données du Rire ainsi présenté à nos Yeux de peu ! On est:
Fée des f2ées grave remontées ! on veut, en vraéi, grave comprendre les données données, d'une sorte ici (muret des murets) de tracé ,
d'une sorte ici de treacé, de tracé de base ! Chercher = dire = cerner .......................................................... ce qui est en vrai qui semble de fait nous relu quer sans se gêner ........................................................... "l'enfoiré" (?) ................................ alors même que nous on essaie (gentimejnt) de nous rapprocher, sans forcer, sans s'imposer, au plus près des nénés .............................. sans la ramener et sans façons ! .................................... / la pilosité, la toison, poils de con sur menton tu penses ! on est montées sur panse ! ventre-mont, on danse ! Charge astrale ! le Pardon des Remontreances ! le POison ! BAlance au diapason ! ça chante ! petit patapon ! contredanse ! parole du front ! Danse - en transe ! une sorte de vision de manche ! le pardon = la danse = le vent = l'ambiance = le TEmps ! On veut en vrai en tant que F2e changer, au passage, de genre ! devenir .... Menton ??? " Dire haï " ? Chant de RAge comme sali ? NON !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
grave de chez grave on veut comprendre ensembkle (ensemble ailé de base) ............................................. et comme (du coup) nous rapprocher (pas à genoux) !) des donnéesz dernières post pré en herbes (verbe) et autres fleurettes ! Dire = compter ! dire sanns rire = compter sans trembler , l'âge des denrées, l'âme des damnés, l'ombre portée, le Vide ! Vie des traits sur RIve ultime : on dirait ! On veut toucher à satiété ! vivre = aimer = monter (sur néné) téter ou pour téter ou chercher à téter ... l'hydre ? On est née F2e POur en vcrai cocher la case 'Hydre " .... est-ce vrai de chrz vrai ? à qui se fier ? comment cerner le trait ? comment dire et circonscrire (de fait) une vérité vrai qui serait "hors rire" à tout jamais ? On est pas sûres ici que ça puissse ! grave on aimerait mais il sembvlerait que le Rire en vrai soit ... massif ! gros nez ! bêtes de trait acide ! chapeauté ornée sur paroi de fée ! fgrave gravée ! grave ancré ! dessiné comme à main levée et c'rst acté pour une éternité de temps alloué à ... eh bé ce rire des doonnées acides ! On a envie en vraéi d'aller sur RIve rechercher le DIre Des DIres tracés ! sans se retourner ! traverser l(ultime "tablée" et nous retrouver , ou se retrouver (ailes = fée) à pouvoir cerner, au frais , les données ultimes, genre :
vent de fée,
fond d'air alloué à
une contré sauvée,
musaique et clatrté, son des données vives, musicalité des rives et autres sons sur parois grises, tracés des tracés, boutique acxhalandée en termes de vERbe donné, vERbe alloué, VErbe post-pré faiszant l'artiste, passage de mise, pont d'alacrité ! vive sauterie riche ! va nu pied sur friche ! On est la F2e post -pré devenue Passé ! Genre : passé passé ! genre : tracé tracé, sur paroi aux traits dits "de contrzeanbande" ! On est F2e faite enfin Dite sur pied ! treaits des trais en herbe = VErbe ! va et vient "szucré" entre d'un côté l'herbe vdu pré et de l'autre les données profondes (alacrité, sainteté, joyeuseté, rechercge de traits ;;;) . On est la Fée post-tombe ................................................................ on aéimezrait en vrai pouvoir toucher ... aucxx nénés de l'ombre ......................... troucher aux nénés = téter, ok, mais aussi ... percer ! percer ici loe dire sacré ! l'ombre portée = le trait = le passé = le passé de l'Hydre !!!!!!! ...........................?....///////................... mais qui est l'hydre ? ................... qu'est-ce que c'sstvque l'hydre ??? ........................... on vioudrait grave (de fa it) pouvoir comprendre ce que c'est et dès lors toucher (?) , toucher ... aux nénés ? Aux nénés des rives ? de l'aéprès-pré tel qu'on le connaissait en tant que fée ? Chercher = toucher (on sait) mais aussi cerner ! dire-cerner, pointer, coller-pointer, tenir, vivre, souder, permettre une prise, une sorte de prise ou mainmise ou emprise ! et tracer ! ainsi ! ainsi collées ! ainsi accolées ! tracéer vif de chez tracer vif ! aller sans reculer ! en avancer sur sa lancée ! pistonner .... et se retrouver ainsi avancée de l'autre côté (du pré alloué) à chercher ou chercher à chercher un certain nombre de do nnées données genre :
- pardon
- pomme d'or
- vbvvents doctes
- pis de vache
- frais et frai
- envies vives de vraies (avérées) connaissancesz sur le sujet (la mort donnée)
TOucher à des nénés de RIve = sentir (§pour soi) ;le DIre de pOids ...
OUvrir ! OUvrir de ses doigts le tracé de hjoie .... cueillir ! recueillir ! toucher de chrez toucher ... toucher de chez toucxher (soit toucher du doigt) les données des ROis et REines de là : l'au-delà ! On rêve ! ... ou pas ! ON est là pour ça (fée du trait) comprendre ... cerner ..... chaérger //... colmater et centrer , en vrai, lmes données de base ! chercher = adouber, dire = poindre, pousser = vivre, coller = donner, porter = dire (en vrai) ce qui est de lm'autre côté ... du RIre pour ainsi dire .... et poster ! ON voudrait de fait chercher sans traîner de l'autre côté les données ultimes, ce qui est qui wsemblerait avoir en vrai quelque chose à nous dire (à nous, fée post-pré) qui nous fût utile et mêrme plus qu'utile pour nous repérer, nous mieux situer sur cet échiqyuier de l'après-pré, de l'après-rire cendré et autres après-pouliches, chevaux riches, bisons vifs et phacochères "de pastis" ! On est la Fée post-guerre ! vive de cherz vive on veut pouvoir ainsi poursuivre, sur paroi du fond, notre sorte de vive avancée (de base) de raison ! ou sinon de raison ... de passion ? ON colle ! FOrce docte ! passion sur raison force la donne ! On est montée sur canasson et hop on fonce, de raison ! direction le fond ! l'antidote ! la Passion des Ronds ! vive l'ombre ! le Passé -Menton ! le cul de basse fosse mais sans champignon ! Docte ! Donné ! tracé sur roche du Passé ! Mis sur pied ! On veut coller à ce néné des chances allouées à une danse post -pré aux fées ! ET du coup danser ! danser des nénés ! Donner , sur rive ultimes, le Passé ! On est nées F2es au diapason, nous voici devenues vVives ! vives sur Rive ! Vivres = VOuivres ? On veut coller = se coller = se donner = dire et poster (ici : passé) le vfruit de nos pensées ! RIRE ! RIRE de CHHEZ RIRE S'IL VOUS PLA^$IT , OH ON AIMERAIT ! ON VOUDRAIT ! ON NE VOUDRAIT PLUS S'EN PASSER ! RIRE ! OH, LE RIRE ! PASZ À MOITIÉ ! RIRE SANS SE REÉFRÉNER ! RIRE À GORGE DÉPLOYÉE ! LES NÉNÉS ARQUÉS ! GRAVE SE DONNER, ICI (RIVE) AU RIRE VRAI ! PISSÉ ! PRESQUE ACIDULÉ ! DU NÉNÉ TRACÉ ! PIS DES TRAITS SUR RIVE ! CHAT BOTTÉ SURPRISE ! PIS D'HYDRE ?
Toucher = toucher = toucher = toucherr = toucher
et dire ! Car, le dire est le tracé du rire ! des données du rire ! certifié ! On veut toucher = donner = cerner = copmprendre les données ... du temps passé ? des données cendrées ? des vives remontées de rive ? genre : pistes ? On est la F2e du rire alloué à une sorte de contrée acide ! ver t pré ! On colle au tracé ! on avise ! on veut pistonner et vite aller au plus ancré ! CERISE ! Toucgher aux njénés des vives clartés et du coup cerner ce qui en vrai sezrait qaui nous regfgharderait sans se gêner de la tête aux pieds ! l'artiste ! con de prise ! émasculé ! taillé ! chârtré ! conquis sur Rive au débotté , à l'article ! Piste ! Vive piste sur contrée post-pré ! Fée des données données a traversé la Rive (le muret) et cherche à c erner, au plus haut point, les données xultimes ici regroupées comme à la criée ! Vives clartés ! mots post-pré ! CVerbe échancré ! chants de signes ! volontés ! vives clartés dites "riches d"excentricités diverses et variées" : hydre ? On est née F2e sur pré la mort avérée, et c'est sur pré qu'on glisse , judsqu'à la rive .... rive autogérée qui semble ici comme nous attirer en ses filets ! pour nous attrapper ! nous ancrer ! nous ferrer ! nous traquer à jamais et, nous terrasser qui sait ! Fille-Fée = biche = bête riche = bête-poids sur paroi des rOis et REines de Saba ! ça y va ! danse astrale ! saturnales ! escap ades de paroi ! gentes dames dde la loi antrale !Choix ! ........................................................................................................................................ Rivesaltes ...................................................................... boisson sarde ......................................................... la passion buccale ........................ poi nt de croix .................... passage de rage ..................................... pastaga .............................. on veut grave comprendre dans le tas ce qui fait loi ! ce qui est qui porte ! colle ! pèse ! chante sans arpège, va là-bas (la croix) chercher (de base) les données cruciales, le patois, la charge, l'animal de poids et autres bêtes (néandertaliennes) de paroi : la Rage ! Voix de Poids des Bois ! ............................................................... on veut comprendre = prendre = dire = cerner = pousser = porter = charger = peser = allouer à une sorte d'estocade (finale) un Verbe" de CHoix, genre "herbe", "herbe verte", "herbe en herbe et autres verbes de paroi" . on est née f2e sur pré, hourra ! à présent ... le trait ! pis de la paqssion ! vision ! télévision ! on veut grave toucher &ux nénés du tronc ! charger et porter ! aller et vtracer ! viser le tracé du mont qui pourrait en vrai nous mener plus loin vers l'horiz-on ! Toucher de cherz toucher aux seins de la Passion ! vision des visions ! champignon au front ! OIGNON ! pain d'herbe sur Mont des Passions ! Comprendre ! saluer ! ancrer ! charger = donner ! pousser de chrz pousser la charge ventrale = le PAssé des charges, le tracé; lanttre ! Saluer = donner ! On veut coller ! dire et pousser ! aller sur un pied jusqu'aux nénés post-pré ainsi alloués à une sorte de clarté de Rive ! vive ! cendrée ? ou sinon cendrée nacrée ? On est lA Fée de l'Hydre ! vive et cernée ! HYdre au taquet ! vivre ! vivre = dire = chercher = donner à l'herbe les habits du verbe ! vivacités, densités, nervosités, amabi;lités, emprises ! on est la fée des données vives des clartés post-pré ! surprise ! on est passées ! il sembvlerait ! vives ! .......................... vives .................... vives ........................... vi-ves ............................................ sans nous retourner ............................................................................................./............ "l'important c'est d'aimer " ? ..................................... qui sait ? ...................................... qui connait l'emprises . ? ............................. qui sait ce qui est ? ........................................................... qui pour toucher en vrai aux nénés des donnés-surprises ? ............................................................................ qui pôur aller plus loin sur piste ? ........................................l'emballé ? l'altruiste ? l'ombre portée ? le salé , ? le sucré ? Chants des prés ? VIve clarté acidulée serait de mise ici post-rive, on dfirait ................................ mais qui de fait pour le certifier, le notifier, le donner pour acté ? .................. on voudrait grave aller chercher ou rechercher sur rive les données actives non factices concernant La mort et tout ce qui en ressort ! mais cfomment s'y prendre ? ...................................................................................................... via le Son ? ;....;................. ................................................. la chanson ????????? .......................... la transe ? .............................. l'enfance des données du front ? ................. potache ?........................Visions en amont ? ..................................................................................... pamoison ?. ............................................. on veut aller ensemble retrouver ici l'enfnce des passions et des données de base, mais comment s'y p^rendre ? comment dire ? ? Comment faire ensemble ? ............................................................................................................................................................................................................ qui le sait ? qui pour nous aider ? On veut aller jusqu'aux nénés de la Passion,,
les toucher de rage = les téter, et une fois tétés, pousser plus loin qui sait ? mais ouù pousser ? Car les nénés sont (seraient) notre horizioon , de fait ...
qui sait ? Qui saurait ou saura nous enseigner, nous guider vers la raison, vers la vraie vision ? On est la fée du pré qui est comme passée ... de l'autre côté, et à présent nous voici ancrées ! pour de vrai ! sans honte ni contrariété ! vives et postées sur rive de fait allouée à une sorte d'après ! On est nées ! nées sur pied lle muret passé = re-née ! hé hé ! On est passées vers les Nénés , direction genrée ! On vzeut toucher de chez toucher la dite "clarté" aux nénés" .... si on pouvait ! On ne veut pas passer à côté mais grave cerner, cerner les données squi nouys sont montrées, et tracer, sans s'rrêter, vers .... la Passion ? le PÖison , La pendaison ? La Crucifixion ? Le Mont des FRonts ? Rire et hurler ? Toucher aux nénés ? toucher à ce néné du POnt ? à quoi (en vrai) toucher la rive traversée ? Champignon ? Oignon ? Melon ? pont de roche rude ? Colle et mesures sur patron ! ON ose ! on fonce ! on ne s'arrête plus
on ne s'arrête plus !
ooon ne s'rrête plus , on veut toucher le fond ! fond d'or ! fond des fonds sur rive en or ! On file , vives ! ................................................................................................................................................................................................................................................................ cerner = dire = faire = don ner = comprendre = charger =connaitere = comprendre = allouer = partager = faire = mettre = pointer = pistonner sur herbe et, au-delà du pré en herbe, sur paroi des Rois, là-bas, après ça : la Paroi Finale .................................................................................................................................................. on veut toucher à ce qui est qui se présente, zous nos yeux de fée, de fée sage ! le passé ? La planche ? un tracé de rage ? vent de face et autres souffles destinés ? On est passées et du coup
on essaie de co:mprendre (en vréi) ce passé, ce qu'il est de fait ,
et ce qu'il n'est pas ..
ou pas pour soi ! Qui connait la loi ? Qui comprend jusqu'au bout les données de base ? Qui donc a compris ce qui est qui est qui ici fait loi ? Loi des ROis Et Rage de Saba pour REines de choix ! on avance ! on veut comprendre = on veut toucher = on veut donner = on veut allouer à une sorte de denrée une sorte de vérité qui puisse nous guider en vrai sur le chemin tracé des données cruciales, terminalles, finales et ancrées ! Qui on est ? On est nées ! on est la Fée née, sur pré, passée de rage de l'autre côté = post-pré, direction la Base ! les données données d'outre-parades au débotté ! On est vla fée dite "post-parades" il semblerait ; On pourrait le penser . On est passées ! on a touché le Trait des fées ou dit "des fées", on est comme secouée, on est montée, on veut coller à ce néné des données atlantes. On est nées FVées comme à la parade mais, voilà, on veut à présent traverser la lande, filer, chercher loin en contrebande les données de base, se poser, regarder, coller aux nénés, téter de près s'il vous plaît, et du coup ... Aimer grave les données de rage ! données doctes ! lait sur OMbre ! tracé des tracés ! recherches au taquet ! force données des données de porte ! Chier ? qui sait ? On veut toucher de fait à) ce qui est qui nous regarde et pas pour rigoler il semblerait : néné ? néné desnénés ? l a it brassé ? charge saluée ? Prise au débotté d'une sorte de denrée lactée ? On est la F2e des rages cendrés, on est passées comme à l'arraché de l'autre côté du pré armé, nous voici ccolées ou comme accolées aux nénés des ombres ! saluées ! hé, qui sait ? On est "mortes" ! oh ! "mortes hautes " ! vivement le trzait = la parole docte des données de porte ici genrées, cernées, comme consacrées et du coup aimées. Ombre portées sur porte allouuée à une sorte de Passé Docte : honte ? On touche à l'acmé ! vie des prés puis vie des faits vrais ! la Rome du pAssé tracé ! Hombre ! Hombtre portée sur porte du Passé ! charge haute ! point d'alacrité sur paroi de roche on voudrait trouver ! fée des fées des données profondes ! coller = dire = cerner = co:mprendre = donner = faire = charger = coller = défaire = porter = allouer à une affaire de données centrées les suites agraires et autres bêtes (fortes) de trait sur pré ! pister = pistonner ! dire = marquer ! chanter = dire ce qui est en ces contrées du bout des roches et autreszs fonds de vive clarté ! honte au passé ? l'approche ! on est née F2e sur pied sur pré ! nous voici passée de l'autre côté, côté honte ? Hydre lactée ?Charge allouée à une sorte de tracé de poche ? On est la fée sans anicroches ... de roche ! Fée des fées ! points de tracé ! colle-cause ! pressée et colmme soulevée sur roche pour pouvoir passer ! on veut toucher = dire = donner = comprendre ....................... les données du ventre ! pisser ! pissrr ! grave se vider ! se vider de son passé de pis envolé ! ............................................... toucher , a ux nénés tracés ;;................................................é couter les actualités,, qui sait ? et du coup aller, à grandes enjmbées, de l'autree côté du pré, direction la rive, la criée, le bouquet des herbes allouées à une sorte de clarté post-pré, de type clairière ...... sainteté ............ verbe au ta quet ............................. derrière ! On veut coller ! dire et passer le bout du nez sans nous retourner et enfin en vrai toucher aux nénés ... en herbe .... d'une sorte de contrée située derrière , derrière le pré, l'herbebroutée, les fleurs de sève, le tracé acté, la roche "primaire" .... Sainteté allouée à une sorte de PAssé Colère, PAssé des PAssés on veut cerner ..... on ne veut pas passer à côté mais grave toucher à ce squi est ici qui nous regrderait en propre (opprobre ? honte ?) sans trembler ..... on veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher toucher toucher touycher toucher toucher troucher toucher toucher à du passé ... à ce qui pourrait, de fait, en vrai, ressembler à du passé post --pré de type "clarté", "clarté ouf" ! , qui sait ? ça se pourrait ! passé des passés sur terre bru^lée, calcinée, en toute clarté hors fumées !
24/11/2024
On est deux qui regardons. On ne veut pas céder. On veut tracer et tater. On ne veut pas céder mais y aller, cerner-tpoucgher, coller-ancrer sur roche ce tracé de poche ! On est fée des fées et du coup on essaie en vrai de circumlreer à l'intériiuer de ce fourré ! On mate ! On entre ! On est ddes fées de base ! On veut comprendre-toucher ce qui est, aller et pousser, en face, jusqu'à la muraille ! On est nées fée à la ramasse ! tracées ! fines et élancées ! on veut comprendre = toucher ... aux nénés de l'antre ! Charger et coller (intentionnellement) nos ailes aux rochers , au plus profonds de l'antre des données. On est nées fée de base souterraine ! On est nées féesde rage, etdiu coup on enttre ! On veut chercher = on veut cerner = on veut toucher = on veut dire = on veut aller = on veut ancrer = on veut colmater = on veut toucher = on veut cerner = on veut comprendre ensemble (fée) ce qui est et ce qui n'est pas en cette paroi ! On ne veut pas (plus) passer à côté mais grave toucher, aller, donner, comprendre ensemble (fée) ce qui est ! ce qui ici en vrai nous apparait ! est-ce des nénés ? des sortes devnénés ? nénés des nénés ? qu'est-ce que c'est ? est-ce de ... l'ambre, à toucher de rage ? est-ce de la roche comme il semblerait ? roche d'antre ? On veut comprendre = on veut cerner = on veut toucher = on veut embrasser = on veut coller = on veut se coller, coller rude ! on a grave envie ensembkle (ailes !) de cerner de base cev qui est qui nous regarde ! et si en vrai on était ailes la mort passée ? si, en vrai, nous poussait des ailes sur pré ? On est p)assées et du coup nous voilà ailées ! ailes de fée comme s'il en pleuvait ? On cherche ! on est accolées (serrées) à iune roche dite "des tracés dits surnuméraires" ! On veut (grave !!!!!!!!! de chez grave ! allmer, comme à l'arraché, tracer sur pré des ronds de rage ! on est nées ! On sort la tête ! ON veut cerner de près ce qui est qui semblerait de fait sans traîner chercher à nous toucher comme si on était ... eh bé nées en vrai ! on chrerche ! On est passées = on a passé la trête ! on voulait eh bé vooilà c'est fait , on est nées AILES ! ELLES des prés = fée sur herbe ! On mange l'herbe ! on est accolées et du coup (attemlées) on mzange = on entrev= on ancre = on est deux ailes sur un pré aux fées , qui (nonchalemment ?) vont à se donner, comme il faudrait, à un broutage des données prairiales ! ruminage ! On est pazsssées et on veut comprendre pareil ruminage, ce qu'il en est ! Est-ce rumùinage de fée ?,de vaches à lait ? fée qui serait de fait vache à lait ? fée-vachge dans l'antre ? On est la fée des ancres ! charge sarde ! trait de fée en vrai, sur face de base ! sur tracé ! Aurochnodoïité des données prairiales pariétales ! buffles au pré mangent sale ! sont tracés de rage, vont et viennent et ne s'inquiètent pas de nous voir arriver ... ou pas ! elles ne sont pas "là" mais tout à leur affaire "sale" , ce tracé des rages,ce dessin de barre , victuailles, denrées, données sales, ce passé qui en vrai , ne serait pas assez mais voilà ! il est (pour ainsi dire) comme déposéé ! posé ! mis sur rail ! on chante ! on est entrées en tant qu'on était, à la b ase, UN, nous voilà doublées , dédoublées, tracées fée = dédoublées, comme à la parade ... Fée ailée de base, on est accolées à une sorte d'attelage ! joug de joue ! joue de rage ! passe ! datation des traces ! on est fée des passés graves ! on est actées ! données sardes du Palais ! On ne veut pas passer à côrté mais tout au co nteraire traverser (en face) ce trait, ouverture en vrai, jour de fée, on voit l'acmé ! l'ancre des données ! iune sorte de Rotondité ici infiltrée qui nous permet ou permettrait peut-être de nous immiscer, sans traîner, en ce muret du bout du mo nde des données de roche ! SAnté ! Tchin aux nénés ! Buvons le lait à la santé des Fées "des données de branche" ! On voulait grave passer eh bé la chose (on dira) est actée ! passe et passé ! sur tracé de roche, on ose ! on veut aller ! On ne veut pas s'arrêter mais grave traverser la CHose , qui est Chose comme soulevée ! donnée de Bosse ? qui sait ? On ose ! on passe Carosse ! Royauteé des données de Coche ! LaE passé, qui n'est pas assez (?) est PAssé vd'époque ! On est données (en tant que Fée) comme "Paroles de Roche ",
on diraiot ! On veut touchger à une cdéité de bout de roche ! On ne veut pas coller pour coller mais coller pour de fait se rapprocgher de cette Déité de Roche ! On est nées Fée sutr pré, nous voilà accolée à une sorte (pour le cfoup) de Fée Desv F2es, Vive Déité des Donnéesz DE poche autocentrée ! On est accolées en tant qu'ailes de F2e et , eh bé ... on aimerait (mais grave !) nous donner de Rage à cette sorte de Vive Clarté sans ombrages ! Nous donner de fait en tant que fée si tant est ! HOmme libre tu parles ,! On est donné ! on est enterré ! on est passé et nous voilà comme enteré formant herbe du pré à brouter ! à brouter par qui ? par les Fées, aux ailes nacrées ! vaches à lait ! vaches sur pré ! tantriques ! cerné"es ! allouées à une trique, à des batonnets de brique ! chahutées ! bercées ! dessinées à main levée ou même gravées sur paroi de roche ... riche ! On est motrt-né (homme surfait) à la retombée, qui nous voyons comme transformées, de suite, en Fée de pré = Vache à lait szur Herbe tantrique : le pied ! chance au taquet ! finalitésx tantriques des données données compme à coup de triques ! oN vouylait passer eh bé la chose est comme entérinée et pas à moitié ! On a traversé ! On est passées ! On voulait en vrai cerner le plus possible de données "de suite" eh bien on dirait qu'en vraéi, les données de base sont comprises , qui, toutes, sans failles, nous permettent de fait, de cerner-comprendre ce qui est qui nous regarde ou nou!s regarderait en face : ce tracé des RAges, pOrte Basse ! Le Procès ! La Cage d'escalier ! l'ancrage "aux nénés" ! La b ase des données ! Le passé qui n'est pas assez se vioit ici comme déposé sur ... néné de Fée ? de trait ? de somme allouée ? de mot de roche, genre : Trait,
"Dires de F2é, conscience accordée" ? On veut
: toucher, de base (ici même), le trait
Toucher de chez rtoucher de base le trait
Aller et cerner, comprendre et allouer, perdre et gagner, situer
le trait
sur une branche et le toucher comme si en vrai ce trait était ... Branche en vrai ! Etrange ! étrange donnée dite "des F2es" ! On est entrées dans l'antre, on est Fée, on est Ailes de fée, Elles au débotté l'homme décanillé bien fait il suffisait ! On est comme pasdsées ensemble sur pré vaches à lait dites de connive,nce , à brouter de fait l'herbe allouée à une sort e de tracé de France, qui sait ? en français ! la CHance au passé ? le tracé immense ? l'onctuosité des données lactées ? la France Passée ? le tracé des charges, sur pré aux fées, pré de FRance ? On est nées F2e l'homme mort-né ! Onn est La fée des traits de Rage ! On veut toucher à ce qui est qui nous fait face ! Est-ce du lait ? du lait de Néné de base alloué à une sorte de tracé dit (du coup) "lacté " ? On est la Fée "des données de Rage" cernées, c'est-à-dire entourées, dessinées, encercvlées ou comment dire ici qui soit, pour le coup, dicible ? ?On veut ... eh bien ..... allouer, à une Rage, des donnnées de base, genre : densité des traits, vivacité du tracé, véracité des données acftées, sensibilité du toucher, onctuosité des données lactées. On est la Fé"ée de FRance = en français ! On est nées Fée de Rage sur Passé de FRance comme sidéré ! ou comment cerner ? comment dire sans frais ? car, on est nées F2es de Rage sur Passé vde FRance = le françaiis, comme sidérées ! le Français, sidéré ? On charge ! On veut :
toucher de basee les nénées
toucher grave les denrée's de base
aller et creuser comme à la parade
donner et donner et encore donner de ce qui en vrai ici nous pèse grave ! On veut cerner et toucher et dire et aller et conduire Le trait sur une sorte de Passé dit "des données fluyides" mais est-ce vrai ? est-ce ancré ? est-ce vraiment ici ce qui est qiu'on nous promet ? on voulait dire ... bien des chose de Roche, et autres mots d'homme ! Mots de fée ? oui ! homme transformé devient Fée des prés la mort achevée ! on oses ! On ose Parole = on donne = on sait = on sait grave, en vrai, ce qui est qui porte Parole jusqu'aux nénées et ce vqui est est cette Chose d'une sorte de jugé, de dire lacté, de Parole docte sur le pré, lait de fée ! lait d'ombre ! chants larvés de rond de Bosse ! corolle ! drôle de Passé et cependant "dépoque rosse" ! On veut en vrai aller de rage sur un pré, diçrection ... l'Étrange, l'Insensé ! la Chose des traits des fonds de Rage ! traversée forcée do nne une sorte de Tracé de ROnds de jambes ! chahut-né ! pArade ! Densité des données sales ! passages au passé ça se pourraiot et cependant ça ancre ! ç va dense ! Ça y va de rage sur iun pré aux fées chercher drôle (en soi) de ROmance, des TEmps alloués à une sorte de Passage des contrées lactées ... qui sait ? On chante ! on est chantées ! on entre ! on est entrées ! on colle aux nénés de l'Arbre ! ça le vfait ! grave ! grave ça le fait ! de colloer de RAge (en vraéi) aux Nénés ! espace dédié aux ditesxc"Vérités des données sardes" ... est-ce vrai ? est-ce ce qui est ? est-ce vraiment vraiment v raiment
le Vrai aux Nénés tel qu'évoqué de brancghe en branche antériuerement par des Fées de pré ? On vole ! on s'envole au Passé comme qui dirait mais, oublie ... que ça puissee aller aux yeux de Déité ! chante ! LE passé ne suffit pâs dans l'antre ! Il faut donner du ventre, de la Rage vraie ! du vent des sables ! de la meu des prés, du pipi de fée ou d'ange ! traversée des prés ! On veut :
toucher grave à ce qsui est qui se présente devant noius, en papautage ! On veut :
accoler grave , nos ailes de base aux nénés de l'antre !
on veut toucher = toucher =
toucher aux nénés
des données de l'Antre ! et, ne pas se perdre au passage mais s'ancrer, de base, aux tracés dits "des féeés" ici incriustés ! On veut :
toucher de chez toucher = toucher grave , et aller ! foncer sans embages, sans traîner, sans verser de larmes ... ou si ? en versant des larmes ? larmes de Fée ? on veut :
comprendre-allouer, dire-porter, séduire SAinteté des Données Slaves (esclaves ?) s'il en est et cela on ne le sait ! on le sunbodore mais on ne xsait en vrai ecxactement pas ce qui est (de fait) ô grand jamais ! On aime le Foie ! le FOie de BOis ! l'ombre des fées ! Le tracé alloué à une sorte de donnée de Roche ! On veut passer (peut-être) en force c'est un fait mais sans anicroches ! sans tracer de traits qui fussent plaies ! plaies ou ... traits des Traits ! On veut :
dire = faire = donner, et du coup tracer de chez tracer la bête cendrée,, loa buflette et le cheval xde trait, bises et bisonnes au taquet amorcent une sorrte de parade monstre sur roche dédiée ! On veut cvomprendre ici ce dit "tracé des fées" en tant qu'il serait ... néandeertalien des données de base ? genrre aurignacien des données de RAge ? on veut cerner de près le dessin de l'âne ! du cheval de trait ! romance de fée sur pierre tombale (on dirait) et, ça le fait sans traîner , sans perdre la face ! On veut comprendre = dire = percer = conduire l'animal blessé sur roche tantrique, au passé ! On veut : toucher = dire = faire = poser = prendre = alllouer à une crique une sorte de musique dédiée aux fées ! musique chantée ! vie de fée sur plage envoûtée, qui sait ? on veut :
dire, poser, charger, déposer denrée, offrandes soulevées et montrées haut aux Dieux de l'eau (de l'HAut ? )
[tel que rencontré au /
tel que touché de près des /
tel qu'il serait venu nous aborder et nous parler et nous donner du "hé, la fée au taquet, fais donc ce que je dis de /]
tel que cerné ? tel que doté de traits comme bêtes de pré ?
Oon veut dire et toucher ! On veut coller ! On ne veut pas (du tout) trépasser mais dire dire dire , trois fois dire ce qui est qui nous attire au vent mauvais = ce tracé des dires, ce P assé accolé à une sorte de Donnée "Risible" ... est-ce vrai ? y a t-il du vrai ... dsa ns le Rire ? et si oui de quel genre de rire ? sacré ? ancré ? ,déployé ? soulevé, comme une sorte de capote à Hydre ? on est nées Fées des Frises, on veut toucher à Déité sacrée des données genrées : est-ce possible ? pêut-on s'ancrer en cette rive aux données placides ? aux données des don nées tantriques ? avonss-nous de base l'autorisation tacite ? pouvons-nous compter, sur ici ce Rire aux données données ? peut-on ... survivre ? traverser sans périr ? charger de rires le trajert ? combler ? donner à Déité le Rire déployé des données de l'Hydre ? le Passé ! Le pas des données = le Passé ancré, alloué à une sorte d'Hydre à Faces de Chine ! Chargée ! cotée ! élue sur Pré comme une bêtedes données-surprises ! On veut en vrai toucher le nu, de l'ombre portée ! on veut grave toucher sans tarder , et monter = s'envoler ! traécer = s'envoler , sur muret ! monter monter monter sans tarder sur ce muret des données acquises = un tracé ! une frise ! bzêtes des données apprises = le français ! la langue du vivre ! le chargé de près en tant que donnée des données surprise ça le fait ! on veut toucher ! on veut aller ! on veut cerner ! on veut dire et allouer aux rires (ici déployés) l$e savoir des F2es ! On ne veut pas passer à côté mais au contraire, grave chercvher à comprtendre ici et là au débotté ce que c'est que ces romances, de roche cendré, de paroi de roche, de groote de fée et autres trous de destinée ! On est la Fée du pré ! vache aux nénés ! on donne du lait qui est du lait sacré = sucré et sale = salé comme xs'il en pleuvait ou pissait ! On rit ! On, est Fille de vie ! F2e des fées sur pré des Vies données, posées, allouées comme dennrées données, au jeté, au craché, au dessiné des traits dits "de roche grise" ! vive les Fées ! Vive le tracé des fées ! la Beauté Soumise à une sorte de DEnrée de frises ! chapeautée ! ornée ! comme soulevée ! mises au pré sous égide ! On veut :
dire dire dire
donner donner donner
faire faire faire
combler combler combler
tracer tracer tracer
pondre pondre pondre
fouluer fouler fouler
permettre permettre permettre
chahuter de près les données de l'herbe = lz passeé des Fées, le tracé, la CHance larvée, l"'2popée des fées sur herbe allouée à une (sorte de) prairi e de vie, vie de traits en herbe ! On veut coller !dire et monter ! forcer Rive ! charger ! foncer ! aller ensembgle (ailes de fée) jusqu'aux données données des (dites) "envies pressantesz et autres impériosités de base" ! Aller = foncer = s'envoler = faire et donner, dire et porter, comprendre et soulever de base les données romanches, sa&rdes, latines, saintes et vives, sur pré aux Vivres et autres bêtes rampantes ! vive l'Hydre ! le passé Romanche ! l'envolé"e (placide) sur branche et autres vies, de Rive Romande ! on veut en vrai cerner la donne des données de Roche ! qui est qui en ces contrées ? qui regarde ou mate qui ? qui cherche qui ? qui veut téter de chez téter le pis ? Qui veut dire et cerner ? Qui est qui de Rage ? qui veut qui de RAge ? qui en vreai comprend ou comprendrait, ce qui est qui se présenteb à nos mirettes grandes ouvertes et autres attentes ?
On entre ! entrons ! on pose les nmots, qui vont (qui sait ?) peut-etre toucher, cette (sorte de) "Déité des monts " !
qui sait ? On est Fée Docte forte (grave ! ) et du cfoup on trace ! on avance ! on fonce sur pré sans traîner ! on fonce sur un pré des Bases, des données naiss antes et autres szortes en soi de Vérités, Chargées de Mots Lactées ! On veut toucher toucher toucher toucher à ce qui est qui se prése nte ainsi, ainsi dessiné ! les buffles sondés ! les bisons proprets ! l'antilope cendrée, la bisonne)-fée, l'antilope rosse, le'ours morose et l'ourse grossze de ses trais vde Bosse ! On veut:
aller ! virer ! toucher ! cerner ! comprendre ! dire ! pointer ! cerner ce qui est, ici, d'une sorte de donnée acide, acide ou placide , placide ou lactée ou peut-etre vive ? Vive de chez vive ? mais ... que, vive ? ou alors vide ? On cherche (ardemment) le vrai, d'une sorte de vie allouée à un pré ! On veut toucher (de près) aiux njénés et téter sans traîner ! toucher vif ! prendre et pincer ! téter au néné le lait des données, des données actives ... de la mort à l'oeuvre ??????????????????????????????????????????????? on ne sait ! on veut cerner = on veut toucher, mais pour toucher il faut passer = traverser la Rive, le Tracé des F2es Acides, le Passé ! La Suite des Vies Secondées ! Le Chant du pré = la prairie des Huilesz ! O,n veut :
dire et sonder le Vide des données acides, perdurer (en vrai) sur pré alloué à une sorte de tétée active ! Donner = permettre = faire ainsi que La Fée des Prés ou dite "Fée des Prés", piuiisses naviguer (sans trainées) sur Rive des Prés aux données actives ! Herbe de suite ! données des do nnées ! on s'active ! on ne veut pas se laisser démonter, ou surprendre, ou même surmo nter, ou mêlme accoler sans prendre garde ! On veut grave rester aux aguets ! toucher de chez toucher mais sans perdre la Face ! rester frais ou fraiches sur pied ! aller = comprendre = donner ! On veut ensembleb en tant que fée (ailes de fée) rester (de fait) serrées, franches, accolées, comme soudées en vrai par en nous la "branche" des données acides = vives ! la c larté naissante ? le tracé de branche est ou serait clarté ou clarté naissante ? pilosité-vilosité de base ? trait des traits ? Rome en cendre eyt autres chants de Thrace ? On veut, de fait, cerner de chez cerner les données prégnantes et du cpup comprendre ce wqui est qui nouès regarde, sans jamais nous lacher ou nous laisser toùmber ! On est la fée des prés, ici, remontée à jamais parce que voilà, on est entrée ! on est née sur pré ! on veut toucher les nénés fuyants ! on ne veut pas du tout les louper mais au contraire bien les approcher pour bien les toucher et bie"n les téter jusqu'à la garde si tant est , s'en délecter ! boire leur petit lait ! le donné de l'herbe = le VErbe ! VErbe dense ! tracé de FRance, chants français des do nnées denses, .... "une poule sur un mur, qui picote du painn dur...." et autres romances ! On veut (en vrai) foutre à mal le FRançais , pour qu'il se balance ! Charger ! tracer de près les données donnéexs comme soulevées, remontées, portées, soupesées et comme déposées en face, sur muret final, ombre grave, chant total et autres traits des F2es alloués au MAL ! tracer = graver grave, ce qui est qui nous regarde en face ... c e visage ! ce néné ! ce Passé ! ces traces ! ce Passé de FRance ! le français de base est comme chahuté, du fait que ... eh bé ....L La chance est pzassée, qui nous recommande ou recommanderait de bien nous installer face à la Branche dite "des donn"éées de Rage", et n'en plus bouger ! maiçs mater ! mate que tu materas le Message ... et le mEssager ... et la Messagère ! Allouée à un TERme ! le mots des fées ! Mot des Ombres Portées sur Néné ! chose ! Chose grosse ! Train de fée sur Pré accort ! On ose ! on ose toucher de chez toucher ! on ose grave aller et toucher sans se gêner ! on veut
TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER à ces nénés de l'Omb re ! On ne veut pas passer à côté mais grave les toucher de chez toucher sa&ns traîner et sans traînées ! de fait ! car ... on s'aime ! grave ! sur pré ! en tant qu'ailes de Fée ! ailes surnuméraires aux Données Allouées à une sorte (en vrai) de cimetière des Données Actées", genre pinède ! carré vert et frais ! sqaquare alloué à une sorte en vrai de "vérité des Vérités" en herbe = VErbe ! chant cendré ! Chant des chants des chams Donnés ! et autres prés aux Fées type Jardinet, Pré carr(é, jardin de curé, qui sait ? On entre en ce terrain des fées toutes remontées, et, de fait, on monte ! On veut toucher
TOUCHER DE CHEZ TOUCHER
FAIRE DE CHEZ FAIRE
ALLER DEE CHEZ ALLER
DIRE DE CHEZ DIRE
COMBLER DE CHRZ COMBLER
COMPRENDRE UN TANTINET DE CHEZ COMPRENDRE UN TANTINET
CERNER DE CHEZ CERNER DE CHEZ CERNER DE CHEZ DIRE ET DONNER
PERMETTRE = ACCORDER, À) L'AUTTRE, LE PARLER FRANÇAIS, FRANCO-FRANÇAIS TU PARLES SI ÇA LE FAIT ! ÇA ENTRE ! ÇA ENTRE GRAVE AU DÉBOTTÉ DXANS L'ANTRE DES DONNÉES DONNÉES COMME XS'IL EN PISSAIT ! On veut comprebdre ces données, cette chose du français collé, des mots de Rage, xdes données de France et autres ...
données sages ? sardes ?
ou cendrées ? cendres de FRAnce sur tracé de Fée comme d'un paysage , ? paysage sarde ? On est nées fée de fait au passdage... du Passé ?, on veut toucher (de grâce ! ) .... aux dits "né"énés d'en face " : ce treacé, des Fée des connivence !
chance au passage ! travzersée des traversées ! toucher tyoucher toucher à ce qui est qui se présente, ici, au taquet et sans traîner, comme une chance ! chance avouée à moitié cernée, de passer de Frannce (du françai) à une langue slave, esclave, acculée, chahutée, portée, contrée, dotée de référencestoutes plus ou moins cernées, de traits du passé et des effets de manche, genre : vies vives sur pré, fonds de roche creusée, traits de buffles et de chevaux ailész, crosses ! monstres ! mains de traits ! fée surnuméraires saluées et autres fée en herbe ! pré ! pré ! pré des fées ! pré d''herbes et de verbe m^élés , entrecroisés, entremêlées ! comme soudés ! On veut en vrai aller sans faute verts ici Nénéb = LE Tracé Monstre, Fin de pré ! carosse rose ! chants des fées aux Herbes Folles ! vent de porte ! coura&nts ! courants des courants ! vents doctes ! vent des vents ! On porte, on fonce, on compte les dents, on cherche Osmose ! Le pAssé renaissant, l'emporte-porte ! On veut (grave !) aller dedans ... et du coup (grave !) mater ! vioir ce qui est ... des nénés ? du lait ? du vent ? vent de Fée ? fol vent des fées sur Nénés ??? On ne sait ce qui est de fait ! on veut
TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER à ce qui est qui, ici, se pointe en vrai sous nos yeux éberluées de faons des tracés ! on veut croire et donner, dire et porter, chanter, pousser, coller, faire et anticiper, dire et parler = chahuter, le français en herbe, le trainer de cherz traîner dans la luezerne, herbe mouillée, boue d'herbe et de terre allouée à une sorte de donnée en herbe, genre : "vérité des prés , vérités des fées", et ça le fait ou le ferait sans faille ! sans entrave ! sans autres considérations néfastes et autres mots de rage ! vive le tracé ! le bison soudé ! la chevale verte ! le bison du pré, buffle accolé, parade rupestre, pprincipauté des Données Alpestres et autres Royaume Alloué aux Fées en herbe ! pré ! pré ! le pré des herbes vertes ! pré d'herbe et de bêtes toutes Autoproclamées, genre mots-bêtes sur tracé en herbe ! On veut gracver ! on veut grave graver ! dessiner sur pré les données des Frères, Soeurs en charité, Bêtes frères, Bêtes-soeurs lactées, pets de fée sur pré ventilé de fait ! On aime ! on a envie ensemble (ailes) d'y aller , de nos chants sacrés, de ne pas nous brimer, gêner, empêcher, contraindre, museler, mais , au contraire ... péter !péter de chez péter sans trainer ! sans traîner et sans tra înées ... de merde ! si tant est ! gragve péter ! dfonner ! cerner ! fouler ! aller sur herbe pour donner à téter aux petis de la bête, dit "veau" ! On est :
Fée d'herbes en herbe, ici ... du verbe !
Dire ! charger ! conduire et pousser ! faire ce qui est qui est qui nous attire ! Aller sur rive pour toucher ... le Vit, des données données ? ou ... DU ViF Donné ? du Vif Lait Doté de Vérités en vrai ? Vit ou vie sur pré on ne sait ! On veut dire et aller = pôusser, ici, notre char à lait sur un sentier de rive , et aller ainsi chahuter le muret, titiller, pour de rire, qui sait ?
Pousser = dire = faire = chercher =donner à des nénés le lait sacré, sucré, sale et salé , des données du Rire ! Chercher ! dire et poser ! Qui on est ? on est les fées des doonnées -surprises comme déposées de fait en un pré qui est le pré post tracverseé, post v-traversée des mursc de frise et autresz murs aux données du Rire !On veut dire et cfoller à ce muret nos données acides et autres vér(ités pêchées ! on veut
TOUCHER = DIRE = FAIRE = PRENDRE = COMPRENDRE = ALLOUER À UNEE SORTE DE PRAIRIE DES FILTRES LE PASSÉ EN BRANCHE, VIE PASSÉE SUR PRÉ DES FÉES ET VIES PASSÉES SUR PRÉS AUX DONNÉES DE FRANCE FRANCHES ! LE FRANÇAIS ALLOUÉ (LA LANGUE) À UNE VÉRITÉ CLASSÉE, ÉTANCHE, SOUPESÉE, COMME SOULEVÉE COMME À LA P ARADE, EN CET ANTRE DESdonnées actées ou sinon actées .... espérées ? On nentre ! On veut toucher à ces nénésx du centre, des données romandes, du tracé fêlé, des vies passées comme allouées à une sorte de romance des temps dépassés, surmontés, donnés sur pied à Déité des F2es et autres BÊTES de Pard ade. On est la Fée des fées , Fée des fées donné ! Onn est Fée des Fées de France ;, c'est-à-dire parlant français, la langue cendrée, ccette langue
aux accents tracfés , sur pré des données comme "remo ntées". On veut :
surprendre = aller = faire = chercher à) (pour le coup) toucher Romance, toucher Fou , toucher grave, à cette sorte de Romance, comme Persi-onnifiée , la Fée ! Fée docte vdes contrées de Roche , Fée passée sur roche depuis ... l'ombrte ! l'ombre du passé des hommes cernés ! homme mort et enteré laisse son passé "germer" et donner Fée sur Herbe Folle ! Fée ailée de Rpooche ! Fée tracé par quelques entités de Roche surmenées ou par qui d'autre qui saurait tracer, sans se tromper, le Trait des Ombres ici portées, sur muret de bout du monde ? On est La Fée des prés cendrés ! On veut en vrai cerner de près les données proches = ce muret des roches, des rochers de Porte ... qu'est-ce que c'est ? une sorte de Parole ? de Pa(role-Porte ??? de Porte du pré ? P assaghe de fée et qu'importe ùo ça nous pôrte ? au néné ? au néné né de fait passé la porte ? La porte passée ? une fois passée et du coup ... on compte ou on compterait = on ferait nombre ? on pèserait ? on seraéit "du nombre " ? on pourrait compter et être (un tant soit peu) enfin et à jamais , qui sait, considéereées en tant que
"Fée, des données de Roche",
post-morteme , post-cimetière alloué aux données de Rome ? On veut grave y aller, de notre théorème ! pousser = dire et poser ! cerner et prendre (comme qui dirait) le vent de face ! pets ! pétarades sur pré ! charges fatales ! considérations maussades ! poussées d'acné comme par malchance et autres faitsz s ans fraiçsz ! On veut coller = dire = faire = donner à une sorte de Passé notre sorte de POussée, de genre genrée, donnée, amllouée de fait à un genre donné, de type "cendre" ! Poussée d'acné sur pré comme à la retombée, ça fout le seum et au taquet ! ça nous fait bisquer ! ça nous enquiquinje à jaais ! tracé dense ! faits de fée ! balances et romances sur pré chahuté ! on est accolées = ailes de fée = fée = ELLE ! Âme HAute , le Pré (en vrai) est Hôte ! chambre d'Hôtes ! pré des fées = rotonde ! une sorte de jardin de bonnes ! ce Passé est un passé de Roche, puis de trait, trait d'ombre portée, qui sait ? qui serait trait de roche = tracé = anfractuosité d'époque passée ou sinon passé .... profonde ? On veut zn vrai aller , féire et donner, comprendre, cette porte, ce Passév de POche, ce Passé passé, ce tracé, cette sorte de donnée profonde qui (peut-être, on ne sait) reswembleraiot à s'y méprendre à une sorte de "donnée en branche" = donnée d'ambre ! chance ! chance en vrai sur branche !Le passé, des données de France = le français en tanjt que langue du Passé, des données données sur pré alloué à une sorte de Jugé, de Vérité de base, de poussée d'acné dans la Romance, de préciosiyté comme chahutée, ou alors charcutée ? sur pré des prés donnés ? On est passé en tant q'on est La Fée du pré, parlant français = chante ! va-nu-pied ! vent de face ! cheveux au nez et à laé barbe ! un e sorte d'enfilade de chevaux de base ! bhêtes de parade ! bisons-nés ! buffles de Rage et bouques au passé comme en embuscade ! les nénés vde france ? on croit rêver ! On veut (grave ! ) comprendre ce qui est (en ces contrées) des données de base post-excentricités des envies (pressantes) de passer ou traverser ensemble (fée ailée) le muret premier, mur des données cendrées, mur ONE ! On est ailées de fait du fait qu'on est Fée, des RAges Naissantes = Fée des Fées ! F2e du pré ! Fée des ombres allouées aux murets des Ombres ou dit tel, car, en effet, le TRait de pOrte, le dernier (on dira le dernier) est trait ditb "des fées" , du fait que les fées ... le connaissent, le voeint sans cesse comme se tracer, voient en vrai les "nénés derrière" ou bien c e qui eressemblerait on dirait, à des nénées derrière, à desb nénées à lait : qui sa&it ? on dirait de fait des nénés à lait ! pis en herbe ! pis d'herbe ! pis des prés et des herbes ! pis du pré passé ! pis des herbes et autres denrées ! pis des faits et gestes sur prairie donnée ! pis doctes ! pis d'ombre ! pis de fée des prés ! pis sur pré comme à la retombée ! pis donné ! pis sur ombre portée ! pis dit ! pis ici comme dit et nommé ! nommeé de près ! nommé ou autonommé ou comment nommé ? on est la fée du p)ré qui dit "le pis" ! Le pis dit ! le vrai des vrais des pis en herbe ! pis pis ! Pis des fées sur pré charmées ! on veut come qui dirait du pis en vrai, le pré passé ! pré des fées (mort /ombre) on veut toucher ... pis ! Pis des pis des prés finis ! pis des fins de prairie ! pis derrière ! pis des fins de Charge Allouée ! On veut en vrai aller ensemble (ailes = fée) vers Pis des Pis de bonne mère et autres mères ici tracées, dessinées comme à l'arraché sur dernier muret, celyi (post-motrtem) des fins de pré et d'herbe ! On = Je = NOus = vent debout ! On v eut nous deux (ELLES au Taquet) donner, dire et pousser, de tous nos voeux,
le mot donné, mot des données données ! On est Fée du pré au mot donné ! On veut
: coller = donner = dire = chercher =comprendre = cerner = toucher à ce néné de l'hydre ... mais, qui donc est l'Hydre ? qui en vrai est l'hydte (ou serait l('Hydre) du pré ou de ce pré des rives ? On ne sait ! On est Fée faite sur pré des donées mais en vrai on ne sait ce qui ici (ce pré) nous réservfe ou nous réserverait en fait d'invitée , é-e et d'invité, é, ! On veut : vrai ! dire ! ppousser ! chahuter qui le verbe qui... le verbe ! car, en vrai, seul le verbe est (serait) ici, de fait, à chahuter en vrai ! vu que le reste ... appartient au rire ! rire gris ! rire forcé ! rire des données du rire ! chant de fée sur pré des Rives et des Champs alloués à des sortes de denrées à cuire ! On est La fée du pré Forcé ! Passage d'anguille ! on est passées, on est retombées, on s'est redressées, on s'est comme accooélés dès l'entrée;, de type "frise", "fille", "fée ailé" , Fa;on desz données (biche !) et nous voilà qui voulons aller sans plus traîner vers cette rive ultime dont le nom en vrai est .... Hydre ? hydre Saluée ? Ivre Hydre aux données tracées comme gravées ? On est née Fée sur pré des rives (r(otondité) , nous voilà promenées ou comme promenée jusqu'aux nénés des données lactées, de type .. Hydre ? mais ... Hydre, c'est un fait ? une sorte de trait ? une donnée ? une sorte de figure en vrai ? face-lune ? face ancrée szur muret de bure ? Pioint d'alacrité ? chant des traits des données des Urnes ? On veut :
DUIRE DIRE ET DIRE
PORTER PORTER ET PORTER
CONSOLIDER, LE DIRE DE L'HYDRE, SI JAMAIS
MAIS QUI EN VÉRITÉB EST OU SERAIT L'HYDRE ?
UN HYDRE ? UNE HYDRE ? L'HYDRE DES FÉES ? L'HYDRE IVRE ? L'HYDRE COMME REMONTÉ (E ?) DES TRACÉS SOUS EFFETS ?
ON Veut grave toucher (en tant que fée des prés) aux seins des données, dites "de l'hydre / aux données données" ... est-ce possible ? pourra-t-on vcerner ici ou làb (en ces contrées du VErbe en Herbe) ce qui est et ce qui n'sst pas, de ladite ... "mort aux acoords" ? On veut vivre mort ! on veut (on voudrait) vivre (en vrai) mort , la mort, mortes ! on veut (on voudrait) ensemble (ailées) bvivre ... mortes ! ce que c''st ! ce qui est ! ce que la Mortb serait , qui nous verrait vivre, ici (au taquet), la Vie de l'Hydre des contrées du Rire .... alloué à un pré, à un champ de bêtes posées ! comme déposées pour de rire ! champs des Vies Allouées pour Rire ! gros Rire sur le Pré , Rires Gros des Contrées ! On veut :
DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE = FAIRE FAIRE FAIRE FAIRE FAIRE FAIRE FAIRE = DONNER DONNER DONNER DONNER DONNER DONNER DONNER = CHANTER CHANTER CHANTER CHANTER CHANTER CHANTER CHANTER
nos chants altruistes ! chants de suite ! chants des chants de Rive ! chants actés ! chants chantés sur pré par (ici) des Fées des données de rive ! Chants-poursuyites ! chants-comp)tines ! chants- dires ! chants sur pied pour ainsi dire ! bambinades cde parade et autres venaisons de grâce ! ramages ! enfilage cde bêtes de rage sur paroi de base ! On va (sur place) voir de près la Rage , fée on est !
fée des fées on est !
on est VF2e faite ! fée du pré ! fée cendrée post-mortem on aime , graveb cde chez grave, aller au plus près , des nénézs nés ! des nénés alloués à une Fin de pré, nénés des nénés ! On veut en vrai aller au pls lointain du pré, passer ce pré, charger, enttrer en muret, en muret des fins de pré et du coup cerner, en vrai, ce qui est de l'autre côté, qu'est-ce qui est ! qu'est-ce qui nous attend ou noues attendrait, qu'est-ce qui est dressé, redressé, donné, posé , sur pareil muret ou même après ! on voudrait = on aimerait ! tant cerner ! tant comprendre et toucher ! le néné ! le néné né ! le néné des nénés ! qui c''st ! qui ce serait ! qu'est-ce que c'est que ce néné surnuméraire des donées des termes ! qu'est-ce que c'est que ce néné des fins de pré ! néné d'herbe ? néné -herbe ? néné fait -xd'herbe ? néné né sur herbe de Verbe ? néné sur pied ? néné-Verbe au débotté ? néné-verbe sur un pied qui saurait xdanser ? un néné , des nénés ? le néné du français (la langue) en herbe ? un néné sachanjt se donher , en tant que verbe-lait ? Lait de Verbe au débotté ? verbe ... post-mortem comme qui dirait ? on cherche en vrai ! on ne veut pas lâcher l'affaire mais en vrai grandement pousser, sur pré, nos recherches ancrées, nos petites enquêtes et autres virées ! On est la Fée des données post-mortem allouées à un pré d'herbe ! On chercvhe ensemble (= deux ailes, accolées, soudées-serrées) à comptendre ici m^rme (ce pré) ce qui est "en la matière" , en cette sorte de matière dite allouée à un "pré en herbe" ! ce que c'est que l'herbe, ce que c'est que le Verbe, ce que c'est que la mort, e que c'est que le verbe alloué à la mort par le biais de l 'herbe ! herbe verte ! trait d'herbe genré ! tréit des traits comme saturés ! On veut toucher toucher toucher c'rst vrai mais pas que toucher aussi aimer ! On veut grave aimer aimer aimer ! On veut en vrai aimer aimer aimer toucher ! aimer toucher ici aux nénés dits "post-mortems" , est-ce queb c'est vrai ? est-ce que, en vrai, loes énées, les nénées des nénées sont ou seraient des données de type "post-morte"m" ? qui sait ? qui en vrai sait ou saurait ici (pré = mort donnée) nous indiquer, nous informer, nous éduquer ? on veut :
dire dire dire
ok mais dire = dooner, et donner = forcer , et fgorcer = soulever, et dsoulever = charger, etb charger = porter, porter grave sur un pré, des sortes de Données rusitiqaues , excentricités rustiqaues, en langue secouée, genre français de chine ! charges divines, frais sur pré, encres vives, vins des prés nous ennivre et nous fait aller, sans rire, jusqu'aux fins de rive, traits tracés ancrés, frises ! On veut coller ! grave coller ! dire ! grave dire ! chanter ... nos chants acidulés ! rires sur pied ! chants-rires des données lucides , éclairées, cernées ! On veut
TOUCHER DU DIRE ! DIRE ET TOUCHER ! TOUCHER-DIRE ET CERNER ! TOUCHER DE CHEZ TOUCHER LE DIRE CERNÉ ! CERNER-DIRE = TOUCHER ! POUSSER-COULER LE DIRE FRANNÇAIS , ET QUE ÇA ACTIVE, EN VRAI, DES DONJNÉES LUCIDES RUSTIQUES COMME SOULEVÉES ! QUI SAIT ? ON VEUT AIMER = DONNER = CERNER =COMPRENDRE ! COMPERENDRE ENSEMBLE = AILÉES , CE TYPE DE DONNÉES ANCRÉES GENRE EXCENTRICITÉS DE FRISE ! NÉNÉS ! NÉNÉS ! NÉNÉS ! NÉNÉSV DE FRISE SUR PIED ! LES NÉNÉS D'ENTREPRISE ... EN CHINE ! NÉNÉS NÉS PAaR (ON DIRAIT !) SURPRISE ! NÉNÉS DES NÉNÉESS ON VEUT TOUCXGEZR ! On est nées Fée en vrai comme à la retombée une fois comme trépassée ! On est née Fée La mort acceptée, avérée, aquise, instruite, actée = portée ! Et une fois passée (= trépassée) on est devenue TRANs = F2e ! Fée du pré ! Fée docte en vrai ! HYDRE ! HYDRE SUR PIED ! HYDRE DU PRÉ ! QU'ST-CE QUE C'ESRT QUE L'HYDRE ? UNE SORTE DE DONNÉE ACTIVE ? FIGURE VIVE ? CHARGE RUDE ET COMME AUTO - DONNÉE SUR UN E SORTE DE PRAIRIE "ACIDE" ? ON VEUT (ON VOUDRAIT) CONCLURE ! QIUI ON EST ? QUI ON EST PAS ? QU'EST-CE QU'ON VEUT SAVOIR EN VRAI XDE CES DONNÉES DE BOUT DE PRÉ ? QU'EST-CE QUI EST ET N'EST PAS EN CE MURET DE FIN DE PRÉ ? ON EST LE FÉE DES HERBES FOLES ! FOLLES À LIER ! On est
Fée de Roche Folle ! accolée ! poussée ! morte !
morte et enterrée ? Pas vrai ! On est fortes accoléesv sondées ! on fonce ! ailes ! ailes accolées on est ! on est Fée ailmées du fait qu'on est passées à travers la Roche, Roche de Grotte, néandertalienne avérée , on est passée ! on est come passée ailées ! On a traversé sans trainées la roche des prés ! face allouée ! Face nue ! cul nu sur pré herbu ! On veut grave débouler, passer, se retrouver de l'autre côté, charger grave sur pré les données de base , et y aller, foncer à grandes enjalmb ées, vers ces co ntrées de bout cde pré, rons de bosse, muret, murailles de Porte, la Murzille des Données de CHarge : fins de pré ! fins des Fins ! contrées des Contrées ! l'enfonc"é ! l'emportée ! l'encorné ! la sorte de Passé aux Fées ! On veut passer ! on veut regarder ! on veut toucher ! on veut toucher aux nénés ! on veut grave toucher aux nénés ! on veut grave ici même (fin de pré) toucher aux n énés = au passé = aux tracés dits "des fées et autres elfes du passé". On veut de fait alller aimlées (ainsi ailées en tant que fée) vers les données dernières ... dernières et primaires ! retyourner ! retourner, ainsi ailées, vers ... du passé de fée ? Du passé donné ? lait de F2e ? lait des prés ? lait des données données ?? Lait donné comme s'il en pleuvait ? Pluie de fée ailée ? lait donné ? lait des laits ? lait du Passé comme deéboiîté ? déhanché ? défait ? déplacév ? lait ! lait ! lait ! lait ! le lait alloué à une szorte de passé des fées ! lait des laits surdimensionné ! au taqsuet ! ch argé ! comme donné en prêt ! lait passé ! pointé ! collé ! accolé sucré ! lzit des fées au Verbe CXhargé ! Lait-VErbe ! Lait du VErbe FRançais ou ici Français du fait que l'herbe ici est comme centrée ! recentrée ! chargée des fées ! comme "collabée " sur pré des Fées dites "cochées "! On veut :
TOUCHER TOUCHER YOUCHER TOUCHER TPUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOIUCHER (§OUCHER aux nénés tracés ... pOst-Mortem et ça le ferait ! enfin on swaurait ! mais en vrai est)-ce ce qui est qui nous attendrait, au pied levé, la mort donjnée ? On veut :
TOUCHER ! TOUCHER AUX NÉNÉS ! AUX NÉNÉS DE ... DIEU ? GRAVE TOUCHER DE CHEZ TOUCHER ! AUX N ÉNÉS X'UNE SORTE DE DIEU DES DONNÉES ACTÉES, DÉESEE AVÉRÉE ! DIEU-DÉESSE CENDRÉE DE TYPE FÉE DE PRÉ MAIS, ICI (POUR LE COUP), POST-MORTEM !
On est fée des préds du fait qu'ejneffet, on est passées, on a traverséeé la Roche de grotte (néandertalienne ... ) et on s''sst rretrouvées commê toutees nues sur herbe connue ! prêtescvà nous relever et pouvoir tracer = filer = courir = charger = alller .... loin .... sur pré ..... tracer ! qui un sentier, qui un chenal, vers .... V2rité des V2rités =
un cheval ? une chevale ailée ? Bouquetine cernée ? Buffle au vent mauvais (= pet ?) et ça irait ? On (nous = Fée) veut dire ici le trait des Vérités : voulons ! On = nous = je ! CE qui est qui serait, le muret dépassé ! qu''st-ce qui est après ! On voudrait en vrai ensrmble (ailées) comprendre les données ... d'un passé comme remonté ? le passé d'un futur alloué à une (szorte de) "donnée desb donnérsz" qui nous devancerait ? On est La Fée vdu pré , ici toute "remontée" (colère !) du fait que oui , en effet, les herbes .... les herbes vertes ..... sont touteszcmouillées "de verbe " ! Du français surfait ! cherche-merde, comme saturé de
🫅
traits de merde genre Vanités ! Vanités des VAnités en herbe ! On veut :
DIRE DIRE DIRE DIRE CE QUI EST DE TOUTE CETTE MERDE ACCUMULÉE AU FIL DES ANNÉES EN CE VERBE ANCRÉ DES DONNÉES SURFAITES , EENLUMINÉES, CHAHUTÉES, CERNÉES, CONCENTRÉES, REBELLES ! REBELLES EN VRAI ET AU TAQUET ! REBELLES SUR PRÉ AU TAQUET ! GRAVE REBELLES, LES DONNÉES ! GVRAVES SUR PRAIRIE DES FÉES ! GRAVE REBELLES ! on veuut grave cer,ner en vrai, X données ditesx rebelles (on dirait), qui nous interpellent ! qui nous hèlent ou nous appellent ! et nous d'essayer (de fait) dee les entendree, de l es écoueter et de les comprendre , et de cerner ici leur dire avéré, accolé, donné, porté, déposé comme une sorte de denrrée lacté ! On veut toucher à pareilles données, comme sorties de l'herbe verte ! On v eut c erner-toucher toutes ces données post-mortem (?) ou sinon post-mortem post paéroi de roche traversée ? post-roche allouée à une sorte ici de pré à traverser ailée et c'est ce qu"'on fait ! On veut aller, ensembleb (ailées) au plus loin du pré, au pls lointain, au plus profond, en ces fins de roche tracées, c ernées, allouées, qui sont finalités, fins de donées,n fins de pré , fins des herbes portées, fins des fins du Pré aux Données des Herbes (verbe) du Tracé Des Fées. ON Aimeb ! grave on aime ! grave on veut ! Grave de chez Grave on aime azvzller = traverser de base, les données p)rairiales, ce vert , alloué àune trace ! ce pré ! pré aux fées et aiutres "bêtes de ccharge" de type attelage ! pré ! pré ! pré ! pré de charge ! pré alloué à une sorte d'attelage de donnée de charge ! poids cendré ! poids des poids des données sardes (? ) ou sinon sardes sages ! On veut :
coller à déité (de base) nos ailes diaphanes, toutes transparentes, nervurées, légères et nacrées dites "de contrebande" : troquer ! mais est-ce ou serait-ce possible en vrai ? de donner , ici même (post-pré paradisiaque) nos ailes nacrées (diaphnanes) à une sorte de Déesees Sarde (?) ou sinon sarde Sage ? Sale ? SAde ? On veut cfomprendre = aimer, et pour aimùer il faut TRACER ! courir dans un pré ! charger ! foncer tête baissée et pousser ! grave pousser ! pousser à charge ! contrer ! perdre la face ! chahueter de rage les donées en herbe du verbe alloué, à soi même alloué en première instance ! le FTzan çais tra&qué, ici le français , du fait que, de base, ici, sur pré des Fées, on est (on serait) comme en France ! France tracée ! Franc d'encre, un ancrage ! une f2e d'Ancre ... en français comme qui dirait ! On veut grave toucher = donner = dire = cerner = pousser = pousser grave = c hercher = rec hercher = comprendre = donner ! donner ! donner ! donner ! donner ! donner ! donner ici ou là en face (face ?) les données de l'antre, ce qui est qui se ressemble = AILEs de F2e ! nom tracé ! meloton ! On veut grave coller (au muret ) notre nom ! et du coup traverser "comme à reculons" ce muret des fonds comme ... une sorte de Passé ainsi Tracé ! nénés ! nénés nés ! le njéné post-pré, post-prairie aux fées ! post nacre et drapé de pré ! post-herbes broutée par des bêtes de pré de type mmouton, moutonhe au fronton ! Au front ! Qui on est, en vrai ? eh bé ... On est la fée du Pont = sur le pont ! On va sur Roche à la recherche,
d'une "sorte de fond" ! Fond de pré aux bhêtes ! Fond ! cfond du fond ! fond docte !
fonçons ! traçons ! courons ! ne nous arrêtpons plus de grâce m ais allons ! en face ! droit devant face à face ! on est Fée d'antre ! On veut comprendre = cerner, toucher et allouer à une sorte de muret un brin de Vérité ! Ce qui est en vrai, qui serait, qui nous informezrait, nous guiderait, nous donnerait de quoi ... e'spérer ? cerner ce que c'est que cette sorte de clarté des données profondes ! Une clarté de roche ? un fil de cqalarté ? jour donnéc ? ensoleille'ment acculé des données profondes ? vive clarté de roche, compme ancrée ? cklarté haute ? cla rté des clartés de roche Profonde ? La clarté des fins de rOndes ? une sorte de Clarté de Roche dite "Profondes" ? Cjlarté Haute / Haute VcKalarté de ROche ? clarté Allouée à une sorte de Mur de Rotonde Faisant Roche ? CLarté à Travers Roche par un trait ? trait de Roche Alloué à une sorte de clarté de Poche ? fine cl arté des fins de roche ? trait tracé ! ? Tracé des Tracés ? fine clarté d'un tracé de Fée ? trait des TTrza is Donnész, poussés, gravéss, ancrés ? On dirait un trait ! un trait de fée ! trait des traits des Fées allouées à un pré posqt-paroi des Rois et Reines de SAba ! Charge sur par'oi et ça envoie du bois ! grave ça envoie ! on est passées ! On a passé la Roche des Données Progfondes ! Groote ! Paroi ! Charge ! traits de voix ! on a passé ensemble la Paroi des Rois et Reines de Parioi ! ! On est nées Fée Sur pré à la retombée, preête à tracer, filer, courir v ite au débotté vers cette fin de pré allouée à de l'herbe ! et, au-de"là de l'herbe, à un mur d'enceinte "troué " par .... qui sait ? le VErbe ? ... en vrai ? ... Troué par le VErbe ? la parole-née, l'herbe verte d'une sorte en fait DE VErbe de fée ? On veut cerner = toucher = dire , ici, en vrai, sur herbe, ce qui est ! à savoir ce Verbe ... ce que c'est de fait ! une sorte de perce-misère ? perce-muret ? qu'est-ce que c'est en vrai que ce pré des herbes ? Qu'est-ce que c'est de fait que ce Verbe ancré ? qu'est-ce que c'est en vrai que ce Verbe d'herbe ? Du Laurier ? de L'herbe à cracher ? Herbe ici dotée de vertus de fée ? herbe à purger ? Herbe des données Imberbes ? Le PAsdsé ? le Passé re-composé ? retour au passé ; ... via Le Verbe ? Verbe comme soutiré, étiré, chanté, calibré pou!r ainsi tracer, traverser, aller, passer, chercher plus loin un ancrage avéré qui puiisse allouer à une sorte de donnée ailée une sorte de solidité , de charge assurée, d'ancrage parfait ! on entre ! et c'est le mot de F2e qui entt-re, come ainsi porté ou soulevé, dans l'antre du ... trait ! très ! chargé ! entre chargé ! charge de trait ! poussée ! poussée froide ! un tracé dfe fé comme à la parade et ça pourrait aller, peser, toucher grave les ... don nées-nénées de l'antre : qui sait ? On veut comprendre =
DONNER GRAVE
CHERCHER GRAVE
TOUCHER GRAVE
CERNER GRAVE
CHANTER GRAVE
ALLER GRAVE
PERCER GRAVE
SONDER GRAVE
PISSER GRAVE
ce qui est qui est en nos entrailles (ici) de fée affectée à une sorte de rechercheb"sale" de donnjées données pour en vrai toucher à une sorte pour le coup de Déité des Déoités "lactées ".
20/11/2024
On regarde, on veut comprendre. On ne veut surtout pas passer à côtées des données premières. On veut cerner = on veut toucher. oN ne veut pas se laisser distancer mais toucher de fait aux nénés ! aux nénés à lait ! On ne veut pas passer pour des benets mais tout au contraire impacter ! impacter par notre intelligence ! et noius distinguer ! On veut coller en vrai aux données de France ! aux nénés tracés et aux données de france = la langue, le parler, la romance, une poule sur un muret, le furet, la danse ! On veut toucher toucher aux dites "données d'importance" et ça le ferait ! on veut croire en notre chance : on est passées ! on a passé le trait de l'ambre, le tracé, la faille de Rage, l'en fractuosité de fçaçade, le creux de la base (ici, donnée) pariétale et allez ! on entre ! on vreut grave entrerr sans sourciller ! On est accolées en vrai parce qu'on s'aime grave ! on ne veut pas se lâcher mais tracer;, tracezr de rage, ne plus jamais nous arrêter jusqu'au :muret de fin de pré , dit "de la Mort en brancche " . On veut toucher ensemble = fée, aux nénés "étranges" , une vache à lait, une vache szacré ! notre chance au ttracé et on entre ! on veut toucher toucher la Vache aux nénés ! vache (sacrée) elle est née (de base) sur un pré, qui nous iimporte, nous soutient, nous accueille en son sein. On est ensemble ailé : un ensemble pour le coup ailé, et femmes ensemble des tracés des rages sur pré : on entre ! on veut coller à Déité des d2ités ! des données de base : infourtunité ! chasteté ! donnée cendrée ! chair des prés , des vives clartés ! On a passé le Rubicon de l'Anttre, le fossé, on est accoléesz = fée de Rage sur pré alloué à un passage dit "au débotté". On aime tracer, voler, filer, grimper, coller aux nénés = téter ! on veut DU LAIT ! DE GRÂCE ! que du lait déj)à ça le fait ! ça le fait grave ! ça nous plaîot ! on en redemande sans arrêt ! on ne peut plus s'en passer , qui sait ? On veut toucher de base les nénés de l'aNtre ! Aller ! pointer ! coller aux données, chercher ensemble la parade pour pouvoitr passer sans se retourner et filer ! grimper ! monter ! compter les charges ! cerner = comprendre ce qui est qui "nous regarde" ! = des nénés ! qui sait en vrai ? qui connait en vrai les différences ? qui sait ce qui est qui semble nous mater sans discontinuer ? Une äme ? un trait ? un champ de blé post-pré ? une sorte de ... clarté donnée post -tracé ? On mate ! on regardee ensemble (fée ) . On cherche à comprendre ce qui est, en ce dommaine des données post-pré, post-herbe, post-bêtes-mots et autres phonèmes "de trop" ! On est la Fée dite "des contrées post-cimetière " (post-mortem). On est Fée des Fées des prés prêtes à entrer (d'un trait) en ce muret des fins de pré, muret post-herbe, post-données premières. On veut de fait tracer sur roche les données "accortes", filer (comme on est passée) , monter, grimper à l;a corde, voleter ! filer-voleter, chercher POrte (où elle est ?) et , une fois tyrouvée, ouvrir
ELLE ! ELLE POST-PRÉ ! ELLE, DES DONNÉES DONNÉES RUDIMENTAIRES ! SALUÉES ! ORNÉES ! POSÉES ! COMME OFFERTES À UNE SORTE D'ENTITÉ POST-HERBE ... QU'ON (NOUS-MÊME) DEVIENDRAIT EN ELLE , PEUT-ETRE .... On cherche à toucher aux nénés ! où sont donc les nénés ? qui peut niyous indiquer par où passser si on veut trouver = comprendre ? qi on est de base ? qui on deviendrait le muret passé ? Une sorte en soi de D2ité des RAges ? un furet comme plus haut nommé ? la branche ? ?le tracé des fées ? le tracé de rage ou tracé accolé à une sorte de démarche dite "de cervidé " ? On essaie grave de touchger -cerner à ce qui est qui nous fait face pariétalement, mur deds données fauves, ce carré, trou d'ombre, par peut-être où donc pouvoir passer une fois le pré dépassé, la course effectué, la montée actée ! On est F2e du pré, on regarde ! on voit loe muret ! le muret troué ! on croit comprendre ! On se dit que peut-être en effet la Chance, Les données de Rage, la volonté et l'opiniatretété auront raison de ce muret des fonds ! On est nées sur pré en tant que Fée, ailes de Fée, et, on croit en notte bonne étooile s'il en est ! On ne veut pas lâcher le tracé, loa base, la rechgerche allouée à une sorte en soi de cavalcade de paroi ! On est Bêtes de rage / Fée, qui allons grave, comme à la parade, vers la fin du pré pour tenter de comprendre eh bé ces nénés dont on parle , ce que c'eset en vrai ! est-ce en vrai des nénés ? pis de vache alloué à un muret ? c'est drôle ! ça se pourrait mais, de fait, en nous quelque chose nous dit, que, c'est étrange ! On a du mal à y croire ! on voudrait c erner ensemble ces données mais... voilà ! On est cfomme bouche bée ! on cherche à cerner bouche bée ensembkle = fée du pré "de contrebande" ! On essaie de pour le coup cerner -comprendre ensemble (accolées car ailesz de fée) les données données et autres vérités post-pré mais vas-y comprendre ! pas simple au toucher ! pas facile en vrai de nous y retrouver et de vcerner par chance ce qui est qui (de fait) ne cesse de nous reluquer comme si en vrai on était des elfes "de parades" et autres bêtees-chargfes allouées à une sorte d'attellage (ici) de pré tracé. On est Fée du fait que voilà, on a passé la première pa roi (dite "de la mort en acte") , puis le pré où donc volià, on est devenue Fée du fait que voilà ! on est passé ! Homme donné ! homme accordé ! homme des Monts ! Homme né, meurt sur cloison numéro 1, puis disparaiît à tout jamais pour on dirait donner naissance sur un p)réb à une F2e ailée ! On veut trouver ! ON est pasdsées de fait pour, franchemment, sans tarder , trouver , soit trouver en vrai le plus possible de do nnées de Rage et autrtes données sardes ! toucgher ! comprendre ! allouer à un tracé une sorte de donnée de base à base de rage ! et nous, du coup de filer, ensembke, sans trainer, vers cettte "D2ité aux nénés" comme qui dirait ! ventrte ! ombre ou ambre ! On enttre ! on passe sur pré vite fait direction le muret aux mille données dites "de vérité" ! On a méga-envie de comprendre, ensemble, ce muret des charges ! ce tracé "bien intentionné" on dirait, en façade, ce muret post --pré , post-romance fdes prés. On est accolées ! on est clouées ensemble commpe qui dirait ! on est enclouées ! On ne veut pas se laisser gagner par (qui sait ?) une sorte de méchanceté qyuiu nous ferait louper les vraies données données comme par contrtebande, par (ici : muret) La déité dite "des D2itées " . on ne veut surtout pazs lmouper en vrai notre chance (enfin !) de comprendre ou de pouvoir comprendre ce qui est, de se poser et de rezgarder (en face) les données tracées, cette clarté d'aisance, ce bleuté (ce pré sans pré ?), cette Parade comme Chahutée, ce sens des données placées, posées, déposées ; cette trace ! On dirait du lait ! est-ce du lait ? est-ce réellement du lait de néné ? et si oui : de quel néné pour la circonstance ? Nénés d'herbe de pré ? nénés des nénéd sur pré alloué à un troupeau de vaches ? nénés nés comme à lza parade, le dessin tracé ? Néné des prés ? nénés nés sur pré tracé, gravé ? néné nhéandertalien et ça le feerait sans tarder ? sans nous ridiculiser ? ON est née Fée car on est nées dans une sorte de prairie aux fées ! On voulait vraiment ensemble passer, entrer en roche commê en religion eh bé voilà ! on y est arrrivées ! on a passé le cap du treait direction le pré, pré d'herbes, et une fois le pré à son tour pasdsé on s'est rapprochées (ailées = fée) d'une soorte de muret, mur d'enceinte, mur celte il wsemblertait, mur donnjé comme une sorte de do nnée celelete ou sinon celte sarde , ou sinon sarde ... eh bien .... on cherche ! on entre = on veut comprendre ! On veut toucgher à ces nénés "de contrebande " , on ne veut pas se laisser démonter ou remuer ou mamlmener mais se ranger des coups tordus, et comprendre le nu, le tracé nu, l'ombre de plage, le trait du cul, ré d'ambre, cul ddes culs comme il sembvle ! Toucgher ! Prendre ! prendre le train en marche d'une sorte, d'escapade géante ! On voudrait entendtttre = comprendre ! les données de chambre ! chyasteté et sainteté à la commqande on veut comprendre = toucher = cerner ! cerner en vrai qui c'est ! qui c'est ici en -vrai qui entre quand on entre ! On ne sait ce qui est ! On veut toucher à une sorte de donnée de base qui serait (de fait) donnée de contrezbande, chant sacré ! musqique des fées ! parole dense ! papautage d'ange ! "Pom pom pi dou" et on saute au cou ! On veut (en tant qu'on est deux !) e,
mbrasser Déité sur ses nénés et du coup pour de vrai la téter ! ne plus se gêner ! téter grave, Déioté des D2ités, sans se gêner ni discontinuer ni se cacher ! on veut grave :
téter téter téter téter téter vtéter
les nénés de l'Ambre ! dxes données en chambre : succursalles, chambre ornée, lit de fée, dxraps donnjés sur place sans en emporter , on veut coller (de bonnhe grâce) aux dits "nénés des données sardes" ... On ne veut plus s'arrêter mais ensemble sans traîner chercher à comprendre ce qui est en ce muret des contrebandes allouées
aux nénés de l'Ambre ! Obn est de fait passé (homme surfait) , nous voiolà dès loçrs transformé, en Fée (Ailée) aux données de Rage, saturnales, principales, chargées-accolés à une sorte de donnée de branche, oonctuosité. On veut :
AIMER GRAVE
AIMER LES NÉNÉS
AIMER DE BASE LES NÉNÉS
AIMER ENSEMBLE = FÉE, LESDITS NÉNÉS DE ... L'ÂME ?
ON DIRAIT ! ON CHERCHE ENSEMBLE ! ON NE SAIT PAS VRAIMENT CE QU'IL EN EST DE CES NÉNÉSX AINSI ALLOUÉES NÀ UNE SORTE DE MURET AUX VÉRITÉS ! ON EST NÉES FÉE DE BASE SUR PRÉ ET C'EST AINSI
(QU'ON SE PROMENAIT) QU'ON A FINIT
PAR COMPRENDRE QUE
OUI !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! MORT = NÉNÉS ! qui savait ? qui disait ? qui l'aurait pensé ? qui l('eut cru au débotté du pré ? on est Fée non -couillue du fait que en vrai on est passée, on a traversé, et couilles on a tombé-perdu ! sur le cul ! nue ! fée des fées sur pré nues on est quand enfin "mourrue" ! ON voulait (on veut !) toucher , toucher, sa&nqs tarder, aux nénés ; ... on voulait en vrai ne plus s'arrêter et courir en fait sans désemparer ou discontinuer jusqu'aux dits "nénés" des données frontrales dites "terminales" . Vivement l'été, qu'on chante ! qu'on fonce en trombe en ce muret de l'ombre ! On veut grave comprendre ! grave toucher ! grave cer ner ! ne plus (du tout) lambiner ensemble (fée) mais, sans tarder, filer, jusqu'aux nénés de contrebande,cooller, toucher, comprendre, donner, pousser, chercher, eeswayer d'entter sans vraiment enttrer, c'est-à-dire ... d'un trait ? un wseul trait ? On veut vréaiment ensemblke tracer sans traîner le trait desz données (des données de base), cxharge mentale, petits ponts de cxhance ! vive le poumon ! le coeur en branle ! les rognons, le foie de l'ambre, le bout du bout du pont de l'antre ! On est née fée des Fées sur paroi tracée comme à main levée les yeux fermés ! chargeons ! filo ns ! essayons de nous (ensemble !) relever et ne regardons plus à nous ranger, mais courrons ! allons ! traçons ! de biais, droit sur pré, n'importe pourvu que voilà, direction Nénésbs ! Nénés des Données ! Chants du coq sur pré alloué à une sorte de tracé, verts Diapa son ! On veut :
toucher les nénés ! oh toucher oh toucher !
toucher les nénés ! les toucher les troucher !
toucher aux nénés sans frais ! comperendre -cerner = dessiner (de base)- sur paroi de grotte, les données de bosse, et du coup peut-être (qui sait ?) en avancer pasz mal en ces données diverses concernant la mort, ce qu'elle estb en vrai, ce qui est après le pré, la cloison du fond, la clarté allouée
à un champ de blé et autres prairie aux données fleuries ! On est née Fée quand on est né sur pré ! On ne vcoulaoitb pas succomber mis juste trac cer ! Coller ! dire et toucher ! toucher de fait aux "herbes-Verbe" d'un tracé de fée post-cimetière, et cela fait, continuer, aller au plus profond des données en herbe, coller, pousser, filer = ne plus traîner vers, il semblerait, une (sorte de) cloison "aux nénés" qui serait là à "nous regardezr" comme si en vrai elle pouvait, comme si en vrai ou de fait elle avait deux yeux pour nous regarder ! ndeux ! pas mieux ! et nous d'y croire grave ! On est sages ! on est La Fée sage du pré, du présage ! On veut grave comprendre = aimer , ici, cette sorte on dirait de D2ité donnée , comme présentée, offerte au passage, porte d'eentrée tu penses ! saleté ! oh on ne sait ! on ne peut se positionner ! On essaie de cerner ce vque c'est ! quoi c'estb ! quoio c'est que cette Déité aux données finales post-pré ? on est Fée, des féeds de rage ...................................................... accolées on est ................................................................ on veut toucgher de fait aux nénés .................................................../.. vérités des vérités ........... charge Kolossale ! ................. raison gardée ? ..................... potage ? ............................. gravité des gravité vs ?................................. onctuosité de face, de façade ? ................................... poussée des poussées ? ......................................... qui saurait en vrai nous expliquer sans plus attendre ? l'emporté ? l'empôté des ^éames ? le père Passé ? le podagre ? ...................................................................... on ne veut pas se laisser déborder ou malmener ou même bousculer ou pire vioolenter par quiconque saurait (en vrai) ce qui est ici des données finéales , genre Vérités post-pré, lutte finale, Vérité post-gambade, frai ! On veut :DIRE ET DONNER, COLLER ET FAIRE , CHERCHER ET COMPRENDRE, ALLOUER ET MISER, POINDRE ET POINTER, CERNER LA CHAMBRE, LA DONNÉE DE BASE, LITS FAITS (BIEN FAITS) , DONNÉE D'OMBRE (D'AMBRE ? ) SUR PAPIER DE PLANTE ; on veuut toucher à une déoité le pré passé , et cette déité peut-être ça xserait ... la Chance ! Déioté-Chance ! une sorte de donnée de base, genre tracé, qui nous expliqueraéit par où passer pour en vrai s'en tirer ! loa chance-déité serait , ici (mur des abris) ce qui qui sait ? en vérité pourrait peut-^tte nous donner ou octroyer une sorte de chance au passage ! grattage ! parade sarde ! point fde croix et ça y va, on passe sans embages ! On veut toucgher à ce qui est derrière la paroi ! on veut toucher sans discontinuer à ce qui est, à ce qui se présente, à ce qui naît, à ce qiui montre le bout de son nezb ! On est ....................................................................................................................... nzée fée ...... fée des prés des ombres portées ........ on aime cocher ! toucher ! coller ! percer ! Dire et monter ! On veut grave se placer du bhon côté et pezrdurer ! côté Chance ilm semblerait ! peut-on y vcroire ? peut-on raisonnablement comprendre les données (ici) du sangversé , donné, alloué à une sorte de .... féminité de base (rage) des données frontales ! ? On cherche ensemble ! on ne veut pas lâcher la bride, ici tracé, d'une sorte de .... gravité des gravités ? romances achevée ? chants sales ? propreté ? On trace ! On trace sur paroi de base les bêtes sur pattes ! On nveut en vrai traiter ! On ne veut pas se laisser débordreer ni embobiner, ni emberlificoter , par en vrai Icelle Déité des DXOnnées Finales ! On veut lutter ! Lutter de chez luter ! C'est la lutte finale ... dans les prés ! On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher
toucher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher
toucher et encore toucher aux nénés de l'Ambre ! Sainteté mal formée chasse la chance au passé !
Sainteté bien allouée fait la Fée des Fées tracée !
On entre de biais, ma&is on enttre : le passé donné, posé, alloué (contrebande) sur panier ! On est la fée aux données des prés ! herbes au taquet ! sarabande ! julmelage d'ailes dessinées ! ailes d'herbe et autres fleurs louées, chants de ronde (de carosse) ! On veut toucher ! grave chanter ! chanter pour toucher là est l'entreée ! chant = passage = tra&cé = pointe acérée d'un verbe accolé ! On veut toucher-cerner = chanter = dire ! Allouer à un dire un tracé = un trait ! et du coup ........................................... passer ! Passer sans rire ! passer de chez passer ! passer qui le nez qui la frise ! mais passer ! sans traîner ! sans faiblir ! sans se prendre les pieds (comme qui dirait) sur pré ! mais filer ! continuer ! aller ensemble (ailées) de l'autre côté = coté ..... pire ??oh , qui sait ? on ne sait en vrai ce qui est question pire ! on veut juste tater ce qsui est : le néné du pire ? On veut coller ! juste coller ! se coller d'emprise ! toucher = se coller = téter = cerner = dessiner cfomme à l'arraché et à main levée la bête de frise, l'antilope-née, l'ourse des prés, le bison nacré, le bâton sur pied ! champollion ! on est pas si con !on est fée des fées ! npas si connes en vrai ! on creuse profond ! on veut gravfe toucher et du coup on creuse ! on est à fond ! fée du pré à fond ! sans avoir le mel:on mais à fond ! On touche ! o n veut ! on ne veut que , que être au mieux celles qui ont (pour elles) une sorte de "Savoir en herbe" si tant est ! Chercher = dire ! donner = faire ! prendre = coller ! perdre = pondre ! chipoter = corrompre ! caler = coincer ! pisser = vivre ! caguer = porter, ici, sur frise, le tracé des fées ! On ne veut pas se laisser surmonter ! On veut , en vrai, s'envoler = voler ! haut les pieds ! hautes sortes ! fonds de roche ! fi des traits passés ! on monte ! gravfe o,monte ! on est la Fée du pré des roches gravées et du coup voilà on montre sans honte ! On veut :
TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHERR TOUCHERTTR À CE TYPE (EN VRAI) DE NÉNÉS QUI IL SEMBLERAIT SERAIT ICI (LA MORT) À NOUS ATTENDRE DE PIED FERME SI TANT EST ! QUI C'EST , QUI SOONT CES NÉNÉS OU : À QUI SONT CES NÉNÉS ? EH BÉ... ON NE SAIOT PAS ! on dit "la ùmort" mais la mùort sqqui c'est ? la mort post-pré , qui c'est ? On est nées fée au passage "tracé", (bouques et bouquetins) , à présent, à présent qu'on est mo,ntées, qu'on a gravi ici le muret, qu'on a fait le trajet, qu'on a grimpé, qu'on s'est envolée sur pré, eh bien .... on aimùerait beaucoup beuacoup connaître les données finales (terminales) telles que évoquées par chance en ce tracé post-pré de contrebandee. On est Fée faite (faite fée) , et à présent on cherche les données du Nombre ! Lequel c'st ? quel est-il en vérité ? quelle est la clé ? quelle est donc la clé des données post-rpré ? On est née Fée, on veut toucher aéux données post-pré ditesxd "surnuméraires", "allouées à de l"herbe", "surdimensionnées", "certaines ou certifiées", "souveraines / siouterraines", "cvhargées des contreées" . On est la Fée du p)ré cherchant (toute colère) ce qui est qui semble se tramer (tracer) sur pied face à elle ! Fée calée ! Fée docte ! Fée des F2es doctes ! On,n est La fée qui sait (saurait) dire et toucher loa Chose Profonde, le pAssé passé, l'ombre sur pied, le beau de l'ombre dessikné, l'armée des ombres nsur rocher comme gravée à main levaée par toute une cohorte d'hommes et fde femmes désignées, pour faire parade ! dessiner de près ! coller de rage ! s'empiffrer de données de base et ça le fait en vrai ! On ne vceut pasz se laisser berner ! On veut pouvoir continuer sur notre lancfée sans chyerc her à davantage se montrer (peut-^tre) mais aller, vives et enjhouées, sans faire plus que ça du char(me , vers ce trait ou trait alloué à uene sorte de tracé acté ! chance ! chance post-pré ! chance sur pied on dirait ! on entre ? on entrerait ! on serait néesb Fée ... au passé comme qui dirait ! retrouvailles ! retrouvailles des nénés ! on voit la panse ! l'antre ! les seins poijntés ! le lait rance ! la chance des données de trait ! vache de FRance, le français,
la classe montante, Cours Moyen charmant, le chant ! O,n veut coller à c e qui est ici, comme déguenillé, le passé montant ! allouer au chant le passé (lacté) des tourments dits "des prés et autres cham)s" . On veut :
TOUCHER DE PRÈS
COLLER ZAUX NÉNÉS
NE PAS SE LAISSER MONTER JAMAIS ICI SUR LES PIEDS
COLLER À DÉITÉ DES DONNÉES DE BASE
COMPRENDRE = TOUCHER ON SAIT
ROMANCE DES PRÉS FORMENT LA CHANCE "AU PASSÉ"
on entre ensemùble ! on veut toucher à ce néné de l'ambre = leNéné , des Nénés de France ! le FRançais ! Lait du lait ! petit lait des chances ! On veut colloer à ce néné nos loèvres prégnantes et sans plus tarder téter ! ne pas s'arrêter ! téter le lait des données naissa,ntes post -pré = post-mortem ! saluer ! cintrrer ! accoler ! pointer ! jouer , de l'orgue des fées, du fifrelin donné, du pipeau d'aeau ! On veut jouer ensembkle à qui perd gagne sur paroi de rage ! tracer ! tracer = donner = voler = monter = comprendre , ce qui est , ce qui ici est ; ce qui se trame ici et là (là-bas) pour de vrai : les nénés de l'ambre, le Passé remonté, la CHance au passa&ge, le ppoint de trait , la (sorte de) parade ambulante
à qui mieux mieux ! on entre ! on entre ensemble (fée !) . On nhe veut que c ela de f ait : entrer ensembkle sans trainer = sans chercher à plus que ça comprendre ce qui est dans ce qu'on voit, mais foncer ! foncer grave ! tracer ! ne pas c hercher à mieux c erner (de fait) les données de RAge, mais coller coller coller coller coller coller coller ,coller à ce qui se présente en termes de "Nénés" ! qu'est-ce que c''st ? qu'est-ce que c'est que ces nhénés ? eh bé peut-etre en vrai de fvrai nénés, qui sait ? ou alors le Passé ? le pasdsé de branche ? l'onctuosité du lait donné (aiutrefois ?) en france (le français ?) ? On est la Fé dite "du paszsé en France" , chant de fée de contrebande, on veut coller-toucher ! dire et donner, faire et allouer à un passé une bsorte de tracé post-pré qui serait de fait Une "Vérité des Vérités" s'il en est ! On est la Fée faite, Fée des Fëtes ! On est née sur pied en herbe ! vivacité ! finalité ! infirmité des fées en herbe, on dirait ... ou le contraire ? sur-douée ? accolée aux donnjées primaires ! sur-renseignée ? complètement armée ? On aime ! on veut aimer la Fée des Herbes (VErbe) sur pré ! l'aimer celte ! l'embraszer ! lui plaore ! la charmer en tant que , oui, on est (serait) en vrai ... fée nousmême ! Fée des fée pour lui p^lzire et le tour est joué ! deux ailes ! on naéît ! on meurt sur tere pour renaiotre aile = aile de fée post -cimetière , et en plus "informée" de ce qiui est qui semblerait devoir avoir à nous mater, plus loin, sur grèves, sur grève-muret, mur d'enceinte des rotondités d'un pré entouré ! On veut :
allouer ! pisser ! coincer ! charger ! posséder l'herb', le tracé nacré, l'embryo,n touché d'une sorte de poinçon né fée .. ou quoi de fait ? quoi d'auttre au pasdsé ? On cherche ! on est la fée des (diites) "recherches de tracés" sur paroi de grotte ! néandertalianité de base ! aurignaciennité de conttrbande ! un tracé de près ! bêtes de france comme possésdeées ! on entre ! on entre ensemble par la bande (d'un t§rait de lumière) en cette pierre ! on veut enttrer comme"possédées" (en vrai) et pousser ! pousser grave sur notre lancée ! aller ! filer ! nous envoler sur pré direzction la Chance ! le trait dernier ! cette muraille des données dites "des finalités", le pré (l'herbe = le v erbe) passé maiçs est-ce vrai ? est-ce vraimùent la vérité vraie ? p)eut -on croire en paareilles billevesées ou quoi ou qu'est-ce ? Sommpes-nous ... bébêtes ? con^-connes ? ,connes-connes ? bêtes comme ses pieds ? ,On dit qu'on veut toucher mais est-ce en vrai quelque chose de ... raisonné ? sommes-nous armées ? armées sur pré (pieds) comme l'esxst (le serait) Celle-qui-sait ? On a honte ! on a ou on aurait honte ... ou pas ! car voilà : on a passé la porte, on a passé la roche , la paroi de roche, on a posé ses fesses sur un pré, on s'est redressées, on s'dest commê redressées en Fée;; on est devenues Fée du pré et c''st ainsi qu'on s'est comme retrouvées embringuées dans une histoiire déjantée de fée des prés cherchant Mystère à dépiauter comme une bête chasszée, tuée, aimée, à cuisiner ! Belle affaire ! On veut (on voulait) toucher à une vérité post-cimetière on dira que c'est gagné ou pas loin de l'êrtrtree : pas vrai ? On cherche ! on cherc he à gagner le lieu des données post-pré, cet endroit des fées p)assées, des fées qui sont ou qui seraient passées derrière le muret, la murette, le mur des FInalités "pas bêtesz" ou si, au contraire, bêtes ? ON veut toucher ; -on veuyt grave toucher
On veut grave toucher
On veu!t toucxgher
On ne veut pas se laisser démonter par une Autorité post-cimetière qui nous hara,nguerait sans cesse, nous ferait baisser tête, nous imposerait nde nbous taire, ne p)lus parler, ne plus jamais la ramener, nous taire sans tarder ;... mais, comment nbous taire quand "on est" du Verbe ? car on est du verbe ! on est nées fées de VErbe commê alloué ! On voulait pisser, chier du Verbve mais en vrai on chie de l'herbe ! On veut coller à Déité des eLfes ! treacer ! tracer sur p)ré ! charger = foncer ! toucher = passetr, qui son Verbe, qui son ... Verbe, qui son ... Verbe , qyui son ... Verbe !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! en effet ! seul en vrai le Verbe peut passer ? wseul en vrai le verbe passerait son nez entre les nénés , les nénés nés ? Qui sait ? qui le sait ? qui saurait nous informer ? Le verbe !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! le Verbe des prés ? on cherche ! on veut touchert à cette D2ité des données en herbe ! le Verbe ? le VErbe alloué
à une clarté
post-mortem, pourrait de fait passer et perdurer au-delà du près sous forme de donnée genrée type Ailes = F2e, F2e des Prés passée ? on est comme sonnées ! on cherche à cerner( ! on veut en vrai grave toucher à Déité dite "des Nénés
surnuméfraires" ,
sein donnév = lait = denrée = VErbe Nacré = ëtre ! sainteté en herbe ! pingre ? satanisé ? poussé dans l'herbe ? trébuchet ? On veut :
Dire-faire, COller-donner, craindre et ne p)as craindre, donner et ne pas donner, saouler et nhe pas saouler ! Faire ainsi que l'herbe soit du vErbe aux qualités certaines en termes de données "superbes" , vives clartés, sainteté des saintetés, chants de la terre . On veut tracer tracer tracer sur p)ré un sentier menant peut-être à ce trait des fées dans la roche finale donnée ! fenêtre ! feu de l'être ! LE pAssé est (re) né qui aime nous voir arriver ! On est celtes ! saintes ailes ! Fée sur pied sachant voler du fait de leurs ailes collées ! Fé des fées sur préb ... forment la jeunesse d'un dire auttrement (sans elles) mort-né ! c'est un fait dit "de prière" ! on sait ce qui est : on est AILES ! Fée sur pré ailée s savent se plaire , compisser, pisser, s'aimer de près, se lécher, se plaire genrée en tant que ELLES au débotté ! saintes fées des post-données pro-frontalité ! On veut aimer la Fée pour ce qu'elle est : deux ailes ! deux ailes allouées à un trait de VErbe , ce treacé nacré, verbe d'aile ! d'e ntrée ! de glissemênt de fait des données (à jamais !) entre ... deux briquettes ? ... qui dit mieux ? ON aoime ! on veut aimer ! on veut aimer l'herbe = le VErbe, le feu, l'ombre sur Dieu , le pieu, le pot de cendres, l'estocade terminale, l'embrassade. On veut le Feu = le Pieu ! CHarge mentale ! On veut dieu = la CHance = le tracé ! chance au pasdage ! anfractuoisté des chances ou dite telle sur meessages ! On veut aller .................................................................................................................. coller ! ............. donnner ! ................... filer ! ......................... accueillir la F2e en ces cvontrées verbales : densité ! ......................... pré aux données données .................. le verbe en vrai est dans la balance , il est La F2e de FRance (ici de FRAnce) saturée .................................. ?une poussée hors des limites de la rage, des données maussades, du tracé sauvage : embardée .................... musicalité frappantec, passante ...................................././....... on dirait ! ....... on veut comprendre ici (de fait) le VERbe, ce qu'il est ! charge de branche , ........................ musicalité muséale , ........................ pointe acérée comme à la pa r ade ? ;;............................ portée des portées ? une sorte de passé acté qui entrerait de rage en ces contrées finales (pourrait, lui, entrer ) ? ..................... tracas d'ange , .................... points de
poihnts dee passage ? ...................................... pilosité (de base) post-prandiale ? ................................ chereté des denrées de base ? ....................................... lait aciodulé ? chant sarde ? ....................................................................... chant des ponts ? des fronts ? casse-bonbon ? .......................... pesage ? ...................... court-bouillon ?........................................... verbe du couillon ?........................................................... couillonne au melon ? ........................... poinçon ? poinçon des poinçons ?.................................. on veut comprendre ! On cherche ensemble grave à comprendre , les données de base, le tracé, la promenade sur pré, le don de soi quyi serait§ effet (su r paroi) de bêtes poussées ! On est Fée du pré = F2e des Faits ! On aime tracer = dessiner des bêtes, qui enjouées qui lancées, qui grosses de leurs traits groossiers, qui fines bêtes ! On veut toucher à une Déoité post-pré replette, la Donné ! Donnée des DOnnées ! PAsser ! passer la tête de VErbe ! chant larvé ! alloué à une pointe sèche ! accolé ! tracer = passer = traverser = dire et toucher ! toucher aux nénés , sans rire , et filer ! aller, continuer, ne plus nous arrêter et "survuivre pour de vrai" = perdurer, comme en fris e, sur roche insoumise ! Filer ! on veut vif toucher ! toucher Néné ! coller à ces nénés dits "du bout des ombres " ... mais, est-ce la vérité vraie ? à qui se fier ? qui dit vrai en quoi que ce soirt qui sezrait ? On ne dénombre ici personne ! On est Fé2e d'ombre ! On vole sur roche (octobre, novembre , décembre) puis la chance ? le p)azsé comme remonté ? le tracé ? le pied ???? Le dire nacré ? On veut .... :
toc-toucher = faire toc = toquer !
on veut ... :
dire sans se moquer ! Pointer ! pisser-chier sur herbe du pré, vache qui pisse, bête à bouse douce ! "bouquetines à la sardine ! bouquetins au romarin !" on est comptines ! vivves et riches ! chants de rive ! piscvines !
piscines ! piscines aux eaux vives ! chants de Chine ! Embruns ! ON veut ... :
TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCXHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER TOUCHER À DIVERSES DON,NÉES DE TYPE DONNÉE ALLOUÉES À UNE (SORTE DE) MAINMISE SUR UN PRÉ, DE TYPE RAPINES ! On veut grave cerner les données de Chine , Chine Cendrée, Chine des CHines, Chine des fées aux envies de Chine ! On veut toucher à une D2ité de CHine (provenant de CHine) et tracer ! passer ! passr le nez ! mains de fée ! oeil donné ! loe passé des entrées sur piste ! On est la fée de chine ! louée ! adulée il ne faut pas exagérer, mais comme aimée, aimée de près, touchée, cernée, dessinée commerb qui dirait ... insoumises ? on ne sait ! ON chervche à toucher ! à cerner de près les données de frise ! collaboration, sur pré, entre elles, des bêtes à foison ! Commodités ! fortes pensées ! bêtes-fronts ! p)etit p)atapôn des frises genrées sur paroi de groote masquée ! amidon ! poison ! poinçon ! piston ! sortilèges d'abandon des cxharmes , pensées sales ! dons de fronht de rage ! le poinçon ton sur ton , crève la panse et entre ! mort-don ? On veut comptrendre ! on v eut toucher ensemble le muret du fond, tracer à l'arrache le nom, qui serait Un nom , Nom
d'un Homme des poisons,
mort D'homme
à califourchon ...
touché des armes ! mort ! il fond ! devient tendre : terre arrable ! corps de base des moissons ! Et nous voilà sardes ! On veut comprendre ! on veut toucher ! on veut aller de base dans un p)ré courir de rage sans trainer, et ... gagner sans faute le muret
"des fonds de grotte" , "muret des murets", chose docte ! le Passé ' PAssé a&ux Nénés ! L'emportée- des emportées ! Le fond des tranchées ! en amont ! Amont ! Amont ! Amont ! nAmont ! Amont !
On veut collert à une sorte de donnée d'amont ! Coller serrées ! se coller le fronht ! pôusser ! bélier ! bélierr du front ! bébé ! poussée sur cloison ! pont ! on veut passer ! pousser-passer ! dire-allouer ! tracer-percer ! contraéindre , une sorte de donnée genrée, à traverser le fond du fond des données d'herbes ! Le pré : le passer ! et du coup foncer , filer grave, sans nous retourner ! chercvher le chemin le plus large et foncer ! colloer ! pister ! tracer ! monter ! monter de base ! monter de rage ! traverser le pré et de fait aller jusqau'au plus haut en vrai des données données ! coller ! coller vif ! être et pouusseer, charger ! bélier ..............................................................................................................................................................................................................................!.................................................................................... aimer ......................................... dire sans rire est difficile .............................................................................................................././....... même le décès ........................................................................ l'épopée des tracés victimes ............................................... la frise, le passé ! .............................diffiçcile de ne p)as en rire c'est un fait ........................ pi)scine ! ....................... pisse en Chine ! .../......................................./.............. on vibre ! ......... on s'échine ! ......... on va vite ! .......... on file ! .............. on est née Fées de CHine sur tracé donné ! ......................././........ alloué à une emprise (sortre d'empirise) sur paroi de Chine ........... accolées ! ................................../.........une virée ! ........................... bousquetines ! chevales poussées! bisonnes emportées ! bufflettes au taquet : la Chine ! la beaité des ires ! ..................................................././.ire à rire ! ............................ pointées ! touchées ! collées ! dites ! surprises ! comme collabées ! dires collabés trouvent§ sur pré les données de CHine ! SAINTETÉ ACTIVE ! cendres sur pré, vifs tracés, chereté des denrées ! ............................................................... on veut toucher ici ensemble vif ! )à elle, elfe ! elfe allouée à un muret ! toucher de chrz toucher et suivre le tracé tracé comme à mzain levée par une Féede piste, ce tracé des Fées ou dit "des fées" , est le tracé à suivre sans traîner ni tergiverser ou hésiter ! suivre sans chercher à plus que ça cerner ! Aller ! pistonner ! coller ! dire etfoncer et du coup .... percer ? qui sait ? percer muret ! chanter ! chyanter sans traîner ! chants nés sur pré ! Les chants dits "du pré" , vivacités, dénis, volontész ancrés, chine ! Chanter ! Chants des traits ! On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touchet toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touchezr toucher toucher toucher toucher toucher vtoucher toucher toucgferr à cevtte DéITé des D2ités dite "NÉNÉ" ! NÉNÉ DES NÉNÉS ON DIRAIT ! NÉNÉ À LAIT ! DIRES LACTÉS ? QUI SÉAIT ? QUI SAIT CE QUI EST ? QUI sa&ura révéler ! chanter ! instruire ! déplacer le vrai ? conduire ! Aider à nous porter ou transporter aéu)-delà du rire ? des gaietés du rire , dans un champ ou pré dit "des données hors rire " ? qsui ? qui peut ? qui connaît ? qui sait ce qui est (existe) au-delà du rire ? au-delà des dires du rire! qii connaît ? Qui peut nous aider , nous accomp)agner, nous donner la main comme un fait exprès (comme qui dirait) et sans (pôur le coup) la moindre hésitation ou animosité quelqconque ? ON veut :
être sur pied celle (fée) qui sait (ici et là) ce qui est en vrai , qui nous concernerait de près en ce qui est des données fluides ! chasteté acide ! sainteté liquide ! finalités des finalités on veut touchyer ! on ne veut pas passer à côté mais grave de fait toucher sans désemparer ! ne pas (plus) rire sur pré mais conduire ! conduire notre dire sans rire en ces contrées (mordorées ?) des données post-pré, post-praireie aux fées, post-dires alloués alloués au pré (au pré d'herbe et autres fleurs acidulés) ! tracer-traquer le verbe ancré ! glisser ! glisser vite ! nous placer sur pré de manière à pouvoir, de fait, transiter rapide, en ces contrées du bout dee roche, à l'arraché il se'mblerait! transiter = traverser = passer = toucher ! on ne veut plus attendre mais tracer ! couler, se donner, pisser ! toucher aux nénés ... du VErbe comme qui dirait ! tracer = donner = faire = dire = pousser = charger = comp^rendre =séparer (de force) le grain des données de l'ivraie gravée ! Pousser = pointer = coller =faire = charger = allouer au VErbeb les données du Rire mais comme déplacées ! Pousser = pouffer ! Dire = rire ! foncer = forcer ! prendre = vendre ! compter = coopter ! pisser = vivre, sur pré, de son rire à pouffer ! On veut :
TOUVCCXHER TOUCHER TOUCHER
DIRE DIRE DIRE
POUFFER POUFFER POUFFER
COLLER COLLER COLLER
ÉTRIENDRE ÉTREINDRE 2TREINDRE
PISTONNER PISTONNER PISTONNER
PONDRE PONDRE PONDRE
PISSERB PISSIRER PISSER
CORROMPRE CORROMPRE CORROMPRE
CALFEUTTER CALFEUTRER CALFEUTREER
CONSOMMER CONSOMMER CONSOMMER
ADOUBER ADOUBER AFDOUBER
PORTER PORTER PORTER
PORTER BÉBÉ PORTER BÉBÉ PORTER BÉBÉ
ENDEUILLERB ENDEUILLERVBENDEUILLER
VIVOTER VIVOTER VIVOTER
SUIVRE ET COLLER, SUIVREV ET COLLER, SUIVRE ET COLLER, AU JARRET, LA BICHE-FÉE, LA BÊTE CENDRÉE , LE MOT DOCTE SUR PIEDS = BÊTESDE TRAIT ! on veut toucher à
X bêtes des prés de type genrées, fortes données, masses folles, cohortes au pas chassé ! Coller à une sorte de troupeau de fauves ! alloué à un e roche = dessiné-gravéb par qui sait, par l'homme-femme des poussées et autres transes au pied levé ! On danse ! on est da&nszées ! on chante ! on est chantées ! on entre ! on entre da&ns l'antre des fées ! on veut toucher pitance, filer, nous envoler (monter) vers les données des fonfss des fonds de rOche DUre, et Allouée au Passé de Bure ! Sainteté des prés ! Charges nées sur pré aux fées ! On veut grave toucher ! toucher aux nénés ! nénés diurne's ! mâtinales vulves ! points et treaits sur roche de fée ! On veut coller !
vivre et aller ! compter ! co:mpter les donnéesb! ............................................................................................................................ chercher ! .............................................. du moins -essayer .............. sans exagérer .............................................................. compter dsans traîner ...................................................DIRE ...................................NOTRE DIRE ................................. u ne POUSSée .........../................................ poussée des poussées .................... actives ................................. frappées .................................. accolées ............................F2E /.............................; FÉE DEDX FÉES ACTIVES ACCOLÉES, POUSSÉES À , COMME QUI DIRAIT,; PASSER, PASSERR VIVES (EN VIE ) À TRAVERS ....... EH BIEN CE TRAIT DIT "D'ANFRACTOUUISTÉ" DES DONNÉES FINALES (DES FINALITÉS) ............................................ VERBE DANSANT FILANT........... Musqique des données sur frises.............................................. on veut vivre ! toucher ! percer ! comprendre ! allouer ! fermer ou au contraire ouvrir (en grand) son clapet du rire', rire endiablé ennjhoué, qui est le Rire des DOnnées de PRé , mais quelles siont-elles pour de vrai ? ..................................................................... du lait ? du petit lait ? Pisse ? peace ? ............................................... paix ? pets ? ......................................... cul et chemise avec la mort donnée , VErbe ancré ? MUSIQUE DES FRISES AU D2BOTTÉ ?? MUSIQUE TRACÉE , ALLOUÉE, SZOUMISES À UNE SORTE DE MAINMIÇSE SUR PAROI DONNÉE ! MORT À SATIÉTÉ ! CHEMISE ! BURE DURE ! MORT D'OMBRTE ! POINT DE FÉE ! CORNES ! CORNES DONNÉES ! COHORTE À CORNES SONHT TROUPES DE FÉESZ , DE FÉES ALLOUÉES À UNE SORTE DE DONNÉE DE ROCHE GENRE : SALUBRITÉ, SAINTETÉ, SONDE, PORTE D'ENTRÉE ! On veut coller à cette chose d'une sqorte de Passé passé , ou comme passé, à travers la roche, en termes de données genrées : fées ! frées d'herbe ! verbe-fée et ça va le faire, qui sait, à jamais ! on aimerait ! on voudrait grave pezrdurer ! ne p)as trépasser ! charger romance, dic-vinités, gentes dames au débotté sur pré, franches flammes ! Pisotonner ! pistonner sur pré jusqu'au néné ça serait .. bath ! super bonne idée ! Du genre de celles qu'on voudrait endosser sans hésiter en tant que Fée des prés ! On aime toucher ; traverser, se rapprocher, aimer ! On adore en vrai se rapprocher (grave! ) des nénées ! Verbe' ! Verge au taquet ! verbe en herbe se serait bgrave faéufilé à travers les pierrres , pierres t§ailléesz du muret dees fées , les dernières ! Fins des traits ! le dernier poème ! le Passé plombé post -pré et au-delà .................. le VErbe ? Verbe en herbe ? ................................. qui nous croirait ? ..................................................... qui osezrait ? ............ qui voudrait ?............... qui aimerait et nous soutiendrait ?....................... en dehors des fées ........................ les elfes ? .................................. les eêtres allouées à une sorte de Divinités dite' "des prés" ? .................................................................?.?.?.?.?........................................ les bêtes ????? .............................. les bêtres ? ....................................... les bnêtes bêtesz ?..........................bêtes à lait sans hésiter ? .............................. la Bête sur pied pôst -pré ... ? .............................. à savoir le VErs ? ...... Verbe-vers ? Pieds acidulé, nacré, enjhoué, tracé, comme "musiqué" si tant est ! .............................. qui sait ? Verbe d'air ? Verbe des prés sachant pousser, plus loin, son tracé de fée ? ............. poinnte ? pointe de VErbe ? ....................... poupée ? poupon nacré ? poupe de poupe sur paroi rouge ? .......................................................... on veut toucher à ce néné des bouts de poupe ! ?............. coller = donner = faire = comprendre = cerner = coincer, ici même, un dire sacré , ou sinon sacré alloué (accolé) à du Verbe de fée ! bVerbe d'herbe en herbe ! sainteté ! chants d'elfes ! portées ! ponts de roche-né ! ponts d'orgues et autres chants poussés par (ici même) les fées ! les données rouges ! le passé composé de gouines rouges et autres soeures en sororité ! pissadouces ! volontés ! tracés de fée ! gravures et marbrures ! pointes salées ! vouivres des prés genres bêtes rampantes et autres vouivres de contrebande ! vivacités !chants sur prés , chants fols ! cornemuses etb pipeaux des hauts ! On monte ! on veut toucher la roche, le tonneau, l'ombre, l'animal des hauts dont le nom est .... faux ! faucille et marteau ! tonneau ! poteau ! croc ! cohorte ! chameau ! porte ! porte à numéro ! porte ! .............................................................................................. porte des doctes ...................................................................../........................................................................ un moineau .......... l'oise au ........................... ombre ..................... ombre sur peau .......................... compte .......................................................................... poil au dios ! .........................................................................................................................././....... ombre de l('ombre ./.......... un tonneau ? une sorte de tonneau, une sorte de donnée humide, vin de CHine, au tonneau : eau ? eau de CHine ? vive' ? eau vive du tonneau et ... ça re"nd futile' ? On veut grave aller en cHine, ......................../.. cerner, toucher, coller, aimer, boire au tonneau de l'eau de peaéu ! Vivre ! ..................................................................... sonder ................... pousser ....................... coller .................... cer ner ............... chercher ............................ comprendre ce qui est qui (de fait) va et vient
en tre ici ce pré (pos-mortem) et là-bas la b ase ! on dirait ! la paroi-parade, l('ultime muret qui en vrai serait un muret de rage' ! inter-cité ! intervalle ? on veut co:mprendre = passer ! aller de rage en ce muret ! comprendre = toucher = passer, et du coup voir ! voir de près ce qui est = vivre = poursuivre = cerner = pointer' = charger = dessiner (de chic) la bête des prés : bisontine ! bouquetine qui sait ? buffle au mot près, la CHine ! l'envoloée des rives ! Fée des prés sur pré de Chine on dirait ou il sembvlerait ! On veut cerner-pousser , dire et coller; ,, pousser-cerner = dire, dire ce qui est qui est en ces contrées post roche ornée, à dsavoir un pré, pré docte aux données données de type Betes des prés, et, au delà, au-delà de ce pré, les données "rustiques" ... frises ...... fonds de roche grise ....... la moisson ....... la pazssion ............ l'ire des données données, des fées envolées ............. l'ire-surprise ......... trait des fées sur roche ainsi posée ou déposée ........... ........................................................................... et autres anfractuopsités de mise ..................... gentrifiées ! ............. actées ! ....................................................................................... inscrites et on peut passer ! ............................. mais comment passer ? commùent dire ? comment de fait pouvoir tra&cer en cette mire son passé passé .? Qui sait ? qui , comp^rend l'ensemble des données ?
c e muret de fond de roche, ce pré délimité, cette rotonde aux fées et autres bêtes de tréit, ce petit lait comme espéré la roche (finale) pa&ssée, cette sorte de tracé (de va et vient) pré / muret , qui , de près , ressemblr'reait à une sorte de "tracé de fée", trait fin, trait de pet pour ainsi dire, pffffffffffffffffff sur roche ou sur rocher, un pet de nonne ?
Un pet des pets ? chine au taquet ? on ne sait ! on veut toucher à ces nénésc du bout du monde ................. le pet passé ? On est doctes, hautes, heures hautes, traits, fée, fortes, fées fortes hautes treacées.... comme un p)et de nonhe ! pfffffff aéu taquet, comme espéré ! pfffffffffffffffffffffffffffffffffffffffff de roche surdimùensionné ! mort-gavroche ! sainteté des sainteté ! insalubrité et salubritéb en pocxhe (deux données pour une roche) et ça irait ! ça le ferait ! vent§ docte ! vent frais ! chants des prés post-pré ! versifiçcation des données allouées à une sorte de Passé de porte !
15/11/2024
On regarde. On veut cerner. On a grave ensemble envie de cerner. On ne veut pas se disperser mais en vrai rester bien soudées, accolées, pr$^tes à comprendre au mieux les dobnnnées de roche : qui on est, qui on est pas, ce qu'on veut toucher ou pas en cette chose d'une sorte de ... rotonde ? qui sait ? il se pourrait mais, en vérité, on ne sait pas vraiment de quoi il en retourne, en ce
"petit monde" d'une sorte de prairie aux fées. on est nées fée au passage du trait et nous voici comme "remontées" à toi à moi sur pré prêtes à tracer, courir, voloer, monter, cueillir qui sait, chercher à pour le coup nous transporter ou nous transbahuter ensemble jusqu'au bout du bout de cette allée des orangers ! La chose est actée ! Parole ! Parole accorte ! sentiments sacrés et autres mots de la sorte ! On a envie en vrai de nous porter ou amener ou approcher ou présenter, au plus près des ... Nénés de PArole ? Est-ce que ça se peut ? que le lait des roches soit de la parole et du coup on colle ? On est ensemble deux pour une, deux ailes tracées pour une Fée des Fées. On veut grave s'avancer et comprendre ce qui est, ce qui se voit, ce qui devant soi semble (semblerait) vouloir se tramer ! On est là pour ça ! parole ! parole parole ! Vois ça et enttre en moi (ce genre de choses) . On veut toucher ensemble "toi et moi" à cette chose des données frontales comme offertes en v rai , toucher = dire, donner = cernber , faire = peser, peser ce qui est ! On est nées Fée au passage du trait comme à la parade (nuptiale ? qui sait ?) , on trace ! On file ! On charge ! on s'applique eznsemble : on est accolées . O,n veut en vrzai touchger )à cette sorte de romance racontée ou sinon raco,ntée chantée, sifflotée, murmurée, données (de bonne grâce) sur place (un pré), et pour le coup on en avance dans les connaissances d'une (sorte de) para-de des contrées , champ de mars, pré alllé, bonne graine et fleuirs dites "de carême" , on sonde ! on veut toucher toucher toucher toucher à cette sorte de donnée, ici déposée, qui serait ... eh bé oui : graine ! vive charge de pré ! blé d'herbe ! drôle de tracé en herbe comme qui dirait ou, sinon en herbe, en ... vrai de vrai ? hum ! On veut aller jusqu'aux nénés mais sans traîner ! On veut toucher, on veut grave toucher ! On ne veut pas se laisserc aller à musarder mais tout au contraire filer à perdre haleine si tant est etb ne pzas reculer, ne jamais revenir en arrière, tracer sur les allées du Verbe, compter, pisser, toucher aux nénés dudit Verbbe ça se pourrait, en tous cas on l'espère ! On a envie nous deux (ailes) grave d'y aller , comme d'une embrassade ! chahuter, toucher, titiller la roche finale = l'embrasser sur gages ! On veut :
DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE DIRE ICI MÊME À DEUX CE QUI EST POUR NOUS QUI, À NOS YEUX, SE PRÉSENTRE, SEMBLE ÊTRE, RESSEMBLE ETC.
On veut grave cerner, un certain nombre de données de base ! Ce qui est est ! Ce qui n'est pas n'est pas ! On voit ça ! On acte ! Onnemballe ! On veut grave comprendre (ici paroi) la chance qu'on a ! On est comme adoubées de bonne grâce sur le tas et du coup on chante = on entre en transe ! on envoie du bois ! On vole sur "paroi dxes traces ", on est là ensemble pour comprendre les données de rage cevqu'elles sont en vrai , cev que ça représente en termes de paroles sardes (?) ou sinon sardes sales ? On cherche ! ON est nées Fée sur place au pasdsage (on le sait) mais quoi on est en vrai en tant que telle ? sommes-nous des elfes ? ne sommes- nous que, fée des prés ? sommes-nous bnêtes nacrées , Bêtes surnuméraires au vent mauvais et la chose est cfomme (dès lors) entéri née ? Sommes-nous du vVerbe d'Herbe à brouter sur pré ? On est nées Fée Au passage tracé, on voulait en avancer eh bé on peut dire que de fait c'est fait ! on est passées de l'autre côté, lesbiennbes (ça se pourrait) pour de fait connaîttre ou mieux connaîtrev les données finales, ou terminales, d'un pré, d'(un champ de luzernz tel qu'il nousv est donné le mur passé ! On est accolées car on s'aime = on sème ! On est nées fée, sur herbe, accolées ! On est Ailes de fée dès lors accolées sur herbe ! Onn est la fée, aux ailes accolées, sur herbe et on sème ! On est Fée des Fée ensemençant le pré ? ON cherv che ! On entre ! On veut toucher = comprendre ++ ce qui est, en cette chose là-bas allouée à une sorte de muret dernier, soit de dernier muret dde cimetière, mur des murets, muraille allouée à une fin de pré ! cherchons (grave !) à comprendre = touchger ! quiest qui en ce pré ? qui regarde qui ? qui on est , qui on est pas ? on est la Fée des Prés, cherche-misère peut-êtrte pas mais fière, remontée, prête à casser (sur pré) les données Fastes, comprendre, entrer de force en cette chose d'une sorte de danse (sur pré) folle ! casser les traits ! charger = traverser ! toucher toucher toucher toucher à cette chose,
d'une Parole !
vErbe allé !
verbe des pré !
verbe-colle ! Onn est Fée de porte ! On est entreées comme "par la parole" = trait" et, à présent, vas-y que je vole, saute, cerne, comprend, chev auche, cherche grave à pour le coup cerner un certain nombre de vdonnées d'époque ! On veut toucher à une (sorte de) vérité-chose = actée, avérée, concrète et pôsée ! On ne veut pas lâcher le néné dit "des convenances " : on veut téter ! finaliser ! comprendre ! boire du lait de contrebande ! téter le néné = cerner = toucher à une vérité du pré , soit "paradisiaque" si tant est ! Qui sait ? on est ensemble (fée) allouées, à une sorte de .... parade Niuuptiale sur champ de blé , la danse ! Le tracé des fées sezraiot une danse ici déployée ! On est Fée des Fées du tracé nomade ! On veut toucgher toucher toucher à une D2ité des Grâces ! d'un tracé d'Eszpagbne, D'Italie, De France,-Navarres tu m'as compris : décendance ! on danse ! on est éprises ! on est comme prises ensemble sur le fait d'une sorte d'éacart de conduyite : danse ! On veut, ensembkle, dire et donner, faire et touchger, poser et cern er, pisser et cghier, se laisserr aller à faire-dire ce qui est en ces contrées de charge soumises ! Vive le tracé ! vive l'acmé des données ! vive l'alacrité et les données de bout de roche ! On veut toucher ensemble (ailes de fée) aux nénés d'espag$ne ! à la trace lacté, comme déplissée ! aux charmes des traces et autres gravures ! On enttre ! On entre ensemble = en transe ! On est comme accolées de rage ! On ne veut pls se séparer mais (de fait) rester ensembvle, comme collées à une base qui est base armée, charge docte, champ de blé, cohorte ... quoi d'autre ? On veut aller ensemble ainsi "montées" jusqu'aux nénés ! On ne veut pas se laisser démonter mais tenir bon ainsi accolées comme on est et ça le fait ou le vferait ... jusqu'aux nénés ? qui sait ? On pousse sur le champignon ! On veut tracer tracer et vite fait nous propulser comme qui dirait au plus profond, au plus lointain, au plus excentyré pour ainsi parler et on seraiyt du coup comme invitées à toucher ou comme toucher, au plus près, les Nénés de l'Ombre, du Passé des ombres, du Passé tou court quyi sait, ce tracé d'époque,, chants doctes, vies passées abandonnées sur roche mais en vrai on s'en rapproche ! on est nées Fée sur pré des données folles mais en vrai on est accolée, on tient parole, on cherche à bien cerner les données profondes, à les rassembler, à ne jamais nous disperser, à garder raison dsans l'adversité de ce cham (ou pré) post-oraison ! On veut :
toucher toucher toucgher toucxher à deux nénés de roche : ça et ça de poche ! On enttre ! Entrons ! Faisons force envolées de roche ! Creusons ! On est ailes de fée ainsi accolées, on vole ! On veut toucher = tracer = dire = faire = monter ! On a envie de fait ensembkle sans traîner de, pour le coup, ne plus nous arrêttrer mais grave continuer, à creuser, chercher, tracer,essayer de nous approcher le plus possible de la Vérité ou cd'une Vérité de Roche si tant est ! On veut toucher à cette Vérité-Déité de Roche ! aller ! pousser ! cerner ! comprendre ! saturer de verbe ici même ce pré comme qui dirait ! Chercher à pour le coup nous propulser jusqu'au bout du bout d'un cimetière de données en herbe ! On veut aller = dire ! Faire et pousser ! chercher ! comprendre ! saturer ? donner ! fondre ,! couler ! passer ! donner de notre voix de fée ! chanter la Cohorte allouée à la roche : bouquetins de poche ? cghants de type sarde ? Comptines de base ? On est Fée faite ! = tracée ! on est la fée tracée post-cimetière ! qui on est ? la Fée ! le tracé ! Beêtes-mots alloués à une sorte de sentier dont on dirait qu'il est celui-là même qui nous mène ou nous mènerait au plus près des nénés dits "post-cimetière", nénés des nénés, nénés plein de lait de type ... herbe ? Verbe ! chant sacré ? On cherche ! On est Fée faite ! on est nées ! On est ailées ! nOn est grave p assées par la bande et nous voilà toutes retournées à l'idée de devoir renoncer ou céder , mais qui parke en vrai de céder ou de renoncer ? LE Verbe ? On le croirait ! Le verbe est le verbe des prés ! On est nées sur herbbe ou Verbe de pré ! on est pasdsées (post-cimetière) et on est entrées et on regarde à p^résent les données qui sont données en herbe (de pré) post-mortem ! on aime ! On cherche à cerner = toucher, aller sur pré à la rencontre (ici) des bêtes diverses, surnuméraires, déposées ou comme déposées par (on dirait) une sorte de Déité ou de DIvinité, qui serait ... du VErbe ? On cher c he grave à ensemble (accolées) comprendre (de fait) les données de branche ! On regarde ! on voit ça : bêtes de poids et autres bêtes cde romance ! Bisonnées de Rage ! Bisounours des cavernes sardes ! On trace ! on dessine instantané ! On chante ! On dessine sur muret la bête romanche ! On entre ! on comm-a,nde ! On veut ! on ne veuit pas laisser passer la chance de poiuvoiur cvomprendre ensemble (en cettre roche des parades) ce qui est, qui se présente à nous, de type danse, transe, chants fous, romances des trous ! sondages ! On est nées La Fée des passages doux ! On est Fée des Trous et autres cavités de rage ! on enfle ! on entre ! on devient massives et grasses de rage ! ovines ! fond de roche allusive ! On est comme passées de base ensembkle par un trou dont mle nom est "joue" ! On veut en vrai toucher toucher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à une déoité des déités on dirait, en tous cas voilà : on est entrées, on a "enflées", on est à présent toutess "remontées" sur pré ! on ne veut opas se laisser démonter ! on veut (grave !) tenir tête à tout casser ! on veut persisqter ! toucher au but suprême, qui est de connaîttre à jamais ou )à tout jamais le Théorème ! le TRacé des Fées , Tracé des Tracés et ça le fezrait (grave) sans peine ! On veut toucher = dire = prendre = conduire = connaîttre = cerner les données des Reines et autres célébrités ! Ce qui est qui est en selle ! Cheval sacré sait ce qui est ! chevale allouée à une Vérité sait de même ! Elles Sait ! Elles = Ailes, sait (savent) en vrai ce qui ici est qui se dessine à main levée sur roche cachée ! Femmeslles ! Femmes d'ailes ! Chants sardes ! colère et c'est un fait ! Ça pèse ! ça envoie ! On est la Féev dite "du Carême et des données données sur pré ". Chants des luzernes et aiutres herbes allouées ! On aime tracer = c erner, ici et là, en colère, à main levée, directement sur la paroi, notrte .... Haine ? NOS chants passés ? Notre Passé des peines ? Nos envies (de vie) chahutées , chargées, possédées ? On veut en vrai coller à une sorte de vision romaine des données et ça pourrait donner quelque chose de bien (comme qui dirait) en chemin . O,n est nées F2e des pré, on veut toucher à cette D2ité des Fonds de Roche ! lae Néné ? le lait ? L'onctuosité des zapproches lactées ? Le tracé en herbe et aiutres herbes à brouter ? Chants des prés semblerait correspondre à ce qui est, ici, tracé, en termes de pensées profondes ... On est la Fée-Cohorte ! Fée des prés ! On broute, on fonce, on porte la bonne parole ! Chants d'époque ! incrustations ! pelotes ! pâmoisons et autres tombages (ou quelque chose de cet ordre) dans les paumes ! On veut en vrai ici et sans traîner ... toucher = toucher = toucher = touchger à une sorte de pelote, sein de Roche ! le toucher la toucher ! Chercher ! cerner ! comprendre un certain ombrev de données rosses ! charger ! pisser à la ré ! toucher c e qyui est qui devant soi semble vouloir de fait nous approcher, nous cherchern ,,nous faire du pied ! merde aux nénés ? on ne sait ! On est accolées en tant que fée, on est accolées car on est Fée, on est grave collées, ailes de fée ! on est deux passées, on est passées en étant deux , car on est la Fée, aux données données de type Vérités des Vérités de pré;. ON veut :
dire et cerner, coller et toucher, faire et comprendre, aller et jamais plus nous retourner,
pousser et pondre, donner et sonder, porter et correspondre, aller et vendre, dire les données, lire les données, donner grave ensemvble en vrai les dites données "de la foi en ce qui est". On ne veut pas "charklataniser" ces données, mais en vrai et au contraire les accentuer en termes de données crédibles, fioables, solides, potrtables, déposables sur pierre d'église. On veut :
Donner ce qui erst des prés (herbe au débotté = verbe tracé) à cette sorte (ici) de Déioté Sacrée , chants de mise, chants gravés par une main de frise et autres mùains de Fée antique ! Qiu on est ? La Fée balistique ! Charge admise ! Poids de base sur paroi soumise à une sorte en soi de sarabande faste ! On envoie ! On veut cfomprtendre la paroi, les ombres et ramages, animaux des bois, des champs de passage, ours et ourses des Rois, Vent de face et autres souffles tenaces ! ça envioiioie ici bas car ça entre par là : trou de chat ! On passe ! On passe par chance ! Nous voilà de connivence ! On entrte en france , dsans l'antre, la paroi des Rois et REines de là, l'au-delà de là ! On est Reines en vrai de S aba car voilà : on enttre ! On y va, on ne traîne pâs ! on en avance grave au son de la Sambab !
Passons !
Faisons connaiossance ! creusons ! allons loin en cette sorte pour le coup de pré des Chances et autres Donnnées Sardes ! creusons le son ! la musique de danse ! le don ! On veut :
dire et coller, faire et aller, chercher et comme tyroucver, allouer à une romance une sorte de bonté tenace, sainteté ! On veut ici , qui sait ? aller jusqu'au bout du pré afin de comprtendre, cette sainteté ... cette sorte en v rai de sainteté ... ce que c'est de fait ... quoi cf'est ... quyoi en vrai ça pourrait êtree sur pré ... ce qu'il en est en vérité de cette saionteté post-cimetière ... est-ce de la bonté ? de la bonté-même ? un tracé de fé ? ch ants celltes ? vents données au soufflet des fées ? La colère ? sainte colère ? un tracé comme gravé au vent mauvais ? une chansonnete ? un son de FÉE ? Colère de fée sur paroi allouée à une sorte de donnée animalière ? On cherche ensemble icvi et là ce que peut-être ça pourraiot être , .... ou pas ..... car on ne sxait pâs, en vérité : on ne sait pas plus que ça ! ce qui est et ce qui n'rst pas, concernant les Fées, Fées de Sa&inteté et autres SEins données comme par la bande à une D2ité dite "Surnaturelle", mais l;'est-elle ? est-elle véritazblement surnzturelle ? ou comment est-)elle ? Chantournée des prés = naturell , comme une fée ? On cherche ! on cherche grave ce qui erst ! on veut grave cerner et pour grave cerner on a grave besoioin d'y aller = foncer = tracer = ne pas lambiner = filer fissa à tours de bras ! ne pas se retourner jamais de chrez jamais ! ................................................ jamais de chez jama&is .................................................... surtout pas ! car on ne sait jamais ! c e qui ejn vrai peut arriver ! qui peut nous faire tomber ou chutezr ou nous renverser ................. sur un pré ........ au milieu des bêtes ....... bêtes des prés = bêtes-mots de poids ......................... buffles tantriques ................. bisons vifs ..................... bouquetinnes vives ./............................. ouyrs des tracés alloués à une frise .......................... ourses des vivresc et autres denrées comme sacrées ...................................... chevaux de bois ............................ chevalines ivres sur toundra ! ça envoie ! ça ne rigole pas ! ça n'esst pas là pour faire comme si ... ou si ? c''st ? c'est un fait, que voilà, peut-etre, qui sait, ça fait ecxprès comme si en vrai la Fée existait sous forme de Bison F^té ! tracé ! fée tracé au débotté sur paroi de choix ? vivacités outrées ! transe ! trans-identités ! passages d'une vérité d'une roche à un rocher ! un rocher des prés et ça suffirait pour créer ici, une ... sorte de ... "petit paradis" dit "d'époque", genre "pré aux fées", "champ déifié", prairie donnée" , "un petit coin de paradis" ... sur paroi ornée .... on ne sa&it, on ne sait en vrai mais en vérité rien ne nous empeêche d'espérer, de tracern,, de dire à notrte gré, de conduire sur pré l'attelage sacré fait de deux ailes allouées à une sorte de donnée primaire , type "SAINTETÉ DES SAINTETÉS eEN HERBE ". On chgerche ! on, ne cesse de fait de chercher et ça lle fait car on est colère ! On veyut ............. trouver de chrez trouver ! ................... gfrave trouver de chez trouver sans discontinuer car on est fée ! frée des fées post-cimetière ! On est fée sur pré sachant chasser qui la haine qui l'a nimosité, qui la haine qui l'alacrité ! merde aux nénés ? aux nénés à lait ? qui sait ? on ne cesse de s'avancer, tracer, filer, chercher à cerner les données primzaires, le tracé alloué à une vgérité en herbe, chant sacré, chant des F2es = Colères rentrées mais bel et bien ancrées ! La Colère Entière ! ire allouée ! charge meurtrière si l'en est mais on ne sait ! ce qui est qui est ! qu'est-ce ? On cherche de pair ! on ne cesse de pair de chercher, en tant qu'on est ailes de fée ! ailes nombrées ! ailes comme numérisées ! On veut :
toucher, toucher , toucher, toucher, toucher, toucher, toucher, toucher, toucher, ttttoucher , toucher à une Déité post-cimetière = lointaine ? peut-êtte ! On est consacrées !!! ailes de fée consacrées ! On est comme poussées à cde fait chercher à mieux cerner les données premières (primaires) en termes de données actives, vives, genre "matrices", ce qui est qui est. On veut en vrai ne pas abandonner mais continuer, sur pré, notre sorte de randonnée ! charger ! fgoncer ! pousser les portes ! essayer d'entrer, de fracturer, casser la Roche ! traverser ! passer en force ensemble toi et moi la Roche des Ombres et aiutres Danses de Saba ! Passer ! faire passer ! traverser ! entrer ! passer tête et pieds ! t§out l'attirail de fée ainsi accolé ! On ne veut pas rester à quéai mais de fait travezrsezr la roche donnée et du coup nous retroiuver (nues) sur pré aux herbes des données en herbe ! couillues ? plus ! plus du tout en vrai ,! nues de chez nus et ttransforméess ! l'homme a chuté (l(homme genré !) pour se retrouver (du coup) mort et entérré et nous voilà en tant que fée ! Fe'mmes au débotté forment la Fée du pré, l'homme cornu ! On a passé le trait et on s'est retrouvées, sans traîner, de l'autee côté, côté pré aux données données ; on est accolées = collées = ailes de fée ! chance ! notre chance ! on est entrées en transe ! chance des données de base allouées à une transe ! On veut :
dire et donner , faire et comprendre, cerner, éventuellement cerner ? cerner coûte que coûte ? On est nées fée en fait au passage du trait ! Verbe ancré sacré nacré calé ! On entrte pas à moitié mais ailées de fait ! Fée des herbes à brouter par telle bête des prés sacrés : b^-etes reines ! la chevale belle ! la bisonne rude ! l'antilope prude ! l'ourse aphone ! l'envolée des postes ! Le passé ? O,n est nées fée de la parole Docte ! fée des fées ! cohortes de (sortes de) réponses folles ! Chants de terre (sourdant des ténèbbres) ! On colle ! fée du fait que , en vrai, on est passées cohorte ! troupe fauve ! troupeau de peaux ! animaus-mots ! carriole ! les bêtes de mots ! Fée xdrôles ! pontes ! oeufs de trompe ! corroles ! On est la bête du troupeau, formant force ! On est belle antilope, bisonne en trombe, chevale des portes, ourses comme il faut, bouquetines des données de choeur, sondes et cohortes, On fonce ! On veut :
dire .......................................................................................................................................................................................................................................................... diire-char-ger, faire et allouer,; prendre et cvomprendre les données, ce qui est qui nous regarde ! ........ mle Passé ? Le passé qui tremble ? ;.............................. le Passé tracé ? qui on est de fait la mort passée ? Qui on devient en vrai ? FAME ? F2E des F2ES ? le passé nous regarde ou nous regarderait sans nous lâcher ? eh bé .... peut-^ttre ! on ne sait ! on cherche ! on espère trouver ! on ne veut pas se pertdre sur le sentier mais bien garder le fil d'un trait (ici ) de recherche, de recherche en herbe , agraire, tracé,sillon des fées ! On est née Fée car on est passées ! mort et enterré l'homme (genré) renaît doublé en tant qu'ailes de Fée (elles = ailes) sur pré ! Il sombre pour en vrai former terrreeau comme à toiut jamais, le pôvre ! du terreau de roche ! pauvre homme (asticot) ! Il sombre ! Quand deux femmes montent ! Hautes ! charge forte ! une sorte de tonneau de peau mais comme soulevé en force par .... une Forme Docte ? chant de ROche ? Son de flutiau ? Musique de Corse ? chalumeau ? On est montées sur roche au son du pipieau ! on est haut (hautes) ! On veut aller plus haut chercher le Gros du gros en termes de Données de Roche, Données Doctes ! On veut toucgher la Roche des Données FOrtes ! Données Hautes ! Haute POrte ! toucher ........................................................................................... toucher à ce qui est qui se présente devant soi comme une sorte de Paroi FInale,,Ronde de poids ! Chance ! on y croit ! grave on y croit ! On croit en ce chant sarde des parois, des Lois Finales (dites "de contranbande et de SA mba") . On voit ce qu'on voit ! On ne voit que ça ! la bande ! le tracé de choix ! pelade ! sabbah ! charge sarde ! catafalques et autres draps ! le Roi est là qui nous rtegarde ! Le tracé des fées est le tracé de choix : parades ! paradis "large", paroles de poids, chevales et tralalas sur façade ! REines de SAba ! reines de là ! REines en soi de l'au-delà à soi , sur pattes ! On veut comprendre la Sabbah, la Danse des RAges, Cornemuses et gamelan des astres, on entre ! on colle ! on pousse ! on est ensemble comme deux épouses sur paroi des Chances (charmes) et autres transes ! äme de la foi en l'au-delà à soi, on enttre ! Fée des Fées de contrebande sur tracé de bande ! Chargements sur pré ! bêtesz roche ! Fée tracées à main levée par (on dirait) une sorte de force ! On veut toucher ! toucher à Déité ! à pâreille Force des prés ! bêtes de somme ? tracé de pré ? chants de cohorte ? données des données comme allouées à une sorte de Divinité accorte et ça le ferait (de fait) pour une éternité de porte ? On est nées Fée car on est passées (de vie à trépas) direction le pré ! On a voulu eh bé voila, on est ! On est le bébé fée ! L'ombre de l'ombre ! touché coulé l'homme, une fée (bébé fée) est né ! c'est un fait avéré, dans la mort données ! On est passées et nous voilà toute transformées en Fée Forte, Fée des F2es surdimensionnée dès que consacrée, hé ! c'est ainsi que c'est ! On veut (on voulait) on a ! c'est fou ! Fée forte ! fée tracée ! chant de porte = données ! données allouées àun passage en force ? on est la fée de porte genre Cohorte ! On veut toucher à un e sorte de donnée haute ! chahutons ! pissons ! soyons folles ! folles de chez folles ! jouons ! ......................................................................................................... grave jpouons ! ne cherchons pas à nous calmer , traçons ! ..................................... filons ............... pistonnons de fait ........................................................... au taquet ça le vfait ! ................................................./.............. ne chercho,ns pas ici à tergiverser ............... on se doit d'y aller , filer, tracer, creuser, faire, dire, donnner, allouer, à une roche souterraine, une szorte de tracé de Reine : buffles et ourses cendrées sont nés et nées ! chantons haut en tant que fée leur avènement consacré ! filons ! touchons aux nénés en herbe des parois de fond ............................................................................................................ consacrions ! .............................. piousdsioons grave des sons genre :
SAturnales SArabandes
Colloons ! allouons donc à une roma,nce une moisson de sons de base : chants sardes ! chants de roche sarde ! chants doctes , chants de joie ! chants de pasdsage ! chants des bois ! sons de paroi ! On veut comprendre les données de base et les (de fait) mieux cerner de face ! Qui on est en v"rai ? L'âme ? l'âme du pré ? le tracé des farces ? Pou-pou-pidou de passage ? On chante ! Fée des fées sur pré des CHances allouées à une sorte de Romance ici ancrée ! enterrée comme qui dirait ! ON veut tracer sur pré un sentier, un chemin de rage, vers D2ité ! Déité des D2ités ! on regarde ! on voit loin sur pré l'horizon des rages, surdimensionné, alloué à une Vérité de base, sondé ! On court on voile ensemble ! Fée /.................................................... fée des prés vole ainsi emportée ............................... p ar une sorte de romance ...................... ici comme allouée à une sorte de Parade Grasse ....................... bêtes de bon poids de charge : ....................................... buffles ! buffles en vrai, au taquet, gras et gros de rage, romance ! ........................................................... F2E gravée comme à mzain levée par une femme des parades en transe et autres hommes mal couchés ! ........................................................ femmes HAiutes ........ Envolées ........ Soulevées ......... Portées par (on dfirait) du Verbe de Porte ! .................................qu'est-ce que c'est (le verbe de porte) ? eh bé c'est ça : l'ombre ! .......................................... l'ombre de l'ombre de l'ombre une fois tracée ! fée ! fée des fées ! .................... v erbe-fée ! .............. on dirait ! ............................ on veut toucher à une Vérité-Cohorte qui serait de fait une bête de pré ! ..........................................................................Bêtes hautes ! fortes ! accolées sur roche , attelées en vrai, comme jointes sacrées ! . ON est .. F2e de pointe ! fée des F2es sur pré donné !...................................................... on ne veut pas (plus) reculer mais en vrai tracer (sur pré), jusqu'aux nénés, les mots du Verbe ici incendié , comme allumé ou comment s'exprimer concernant ce verbe dit "endiablé" quand en vrai il n'en est rien car (on le sait) le verbe est de l'herbe ! soit de l'herbe verte ! herbe dxe pré ! herbe verte tout ce qui est ! verte de chez verte ô grand jamais et à brouter ici par x bêtes surnuméraires telles que :
- bisonnes
- bouquetinnes
- bufflettes
- vaches à lait
- ourses téméraires
- lionnes-colère
- cchzevales agraires
Un tracé de pré ! Chyants de belles bêtes sur paroi ornée ! on est Fée faite sur un p^ré d'herbe , d'herbe sacrée , qui sait ? On est la Bête -Fée post-mortem ! On veut coller coller coller coller
coller à une déioté des D2ités, ne plus s'arrêzter mais de fait tracer (vif) sur pré , pistonner ! courir sans traîner ! voler = voletter = s'envoler = monter = se hausser = grimper = toucher ! toucher grave ! toucher aux nénés ! Ombre portée ! Nénés nés de Rage ! Nénés des nénés ! On veut comp)rendre ce qui est , on ne veut plsz se laiisezr embringuer par allez comprtendre qui c'est qui cherche grave à comme nous détourner à jamais du sentier sarde , qauand en v rai on est nous toutes (grave !) rtemontées pour ne jamais nous &rrêter mais tout au contraire continuer sur notre lancée, notre sorte d'embardée ou de randonnée ou de tracé sur pré menant peu-êtte à , qui sait ? une "nouvelle romance des prés" ou quoi d'autre se pourrait ? on cherche ! on ne cesses en vrai ensemble (ailes) de chercher de base ce qsui est qui nbous regarde ou nous regarderait en face, mur du fond, cloison finale terminale, mur de fond de roche prairiaéle . On est fée folle dit-on , parce que voilà, on fonce ! on ne regarde pas à la dépoense ! on fgonce à fond, on trace ! on ne se pose pas! on ,ne raiosonne pas plus que çàa ! on agit par la bande frontale des parois ! on tremble peu-t-être mais on ne rompt pas , du moins on essaye ! on veut ensemble toi et moi tracer de base les données de rage, données diurnes des données de base = ce qsui est en vrai question pré, herbe, verbe, mort allouée à un pré d'herbe, et, au-delà, la voie , ce qu'elle est pour soi (Fée des prés) si tant est ! On regarde en face de près les données, et ce qu'on voit est ce qu'on en sait jusque là, soit :
ç-àa : la Rage ! La paroi des Voix ! Chance et chants de base , toundra de passage puis la Voie dite "de la Foi en l'au-delà de là" ! Grave on trace ! Fée Folle en Corolle ! Donne de sa voix pour (en vrai) chercher à comp^rendre (ensemblev: toi et moi) la chance qu'on a d'être là ensemblev = ailées ! tout ça parce que quyoi ? parce qu'on y croit ? peut-etre ! c'est un fait qui en v ra&i se pourrait, pourrait se dessiner, app araitte, surnager : qui sa&it ? On veut toucher à une sorte de deonnée (type "funéraire") qui serait " donnée des termes, des finalités actées, des fins de réserve . On est de fait La Fée post-mortem allouée à un pré lui même pré-données des Rages Lointaines .... on est Fée faéite ! Faite Fée sur pré, par (ici, on dirait) du Verbe ! Vervbe d'herbev ! Herbe à brouter ! Herbe grasse des fourrés et autres champs de base ! On veut coller grave à .... eh bé oui : ELLE ! L'HERBE ? peut-être ! l'herbe du pré qui est grave à bgrouter par en nous (qui sait ?) la bête de somme , vache à lait des ombres et autres Formes Grasses sur prairie aux fées, ! on veut tracer = filer = ne pas traîner mais grave pisztonner sans s'arrêter, sans chercher à se poser mais voler ! voler ! voler grave ! toucher = toucher à ce qui est ici qui nous regarde ou semblerzit nous rega rder en face : les nénés ! la CHance ! Le tRacé des fées , ! la Panse ? On veut toucher ensemble (ailes de fée) aux nénés .... est-ce que ça a du sens ? est-ce que ça le fait ? est-ce que ça xse pourraiot que ça fusse en vrai une sorte de tracé-romance qui dirait des choses vraies sur ce qui est en vérité concernant ... la panse ? Ventre loué ? consacr(é ? ventre de Fée comme loué pour une charge née ? On est la Fée des Fées comme dirigée ! On veut toucher toucher toucher toucher à "des nénés" , qui seraient "les nénés" .... de .... l"'hommee en transe" ? oh, on ne sait en vrai , ce qui est, ce qui pourrait ou se pourrait ! on veut cvomprendre le message,
le message cdes dpnnées, creuser la roche
et trouver, creuser grave et trouver de fait ça le ferait ! On ne veut pas ou plus passer à côté mais coller grave à une vérité comme soupesée, soulevée, montrée, montrée haut à cette Déité dite "du muret" . ON est nées Fées a&u passage du trait ! ............ Fée Faite ! ................................................... VFée des Fées en herbe ! .......................... satanées ! ......................Oh peut-etre , qui sait ? .............................. qui sait en vrai ce qu'on est ? Personne (tout à fait) de docte ! il selmblerait ................................................................................................................................................................................................ on colle ! .................................... on se colle l'une à l'autre .............. on veut rester collées ou accolées .............. fée /. ................. fée des prés accolées ou collées , car ailées ................................................................/...../..//../.........//..///..............//................././......./....//................//.......///.....././.........//./....../...................................././...../.......././..//.././////././....../...././.......//.....././....//......./././//.......//// drôilement ailées .....././......////./........................./.....//...///././../././............................................................. on aime ............... grave on aime être .............. ainsi ailées de près .................. fée surnuméraire saluée .......................... fée des fées dee l'herbe verte ......... PR2É ;! ................ pré d'herbes verte s'il en est = verbe ;................................ verbe donné, touché, prisé ......................... comme en vrai de l'hervbe à brouter on dirait par vaches à lait, vaches des prés ! on aime ! ....... on aime toucher ! on veut gagner zensemble le pont des données là-bas situé ! creuser = toucher ............ on veut tracer sur roche les données de poche, données fortes allouées à un pré de Fées ;;;; vaches et buffles au taquet sur piste des données prairiales, terminales ! On court on vole ! On est lancées et notre but est de continuer sans nous arrêtrer ! pistonner en force ! voler de chez voler ! aller ! fgoncer ! aller de rage juèsqu'à cette porte dont le nom nous échappe sans arrêt ! Qu('est-ce que c'est ? quel est le nom ici en vrai de cette porte donc ? Pierre de Pré ? Paule Adonnée ? Pier D'Onctuosité Lactée Larvée ? Pont D'ombre Soulevé COlère ? Chant des Chants Sur Terre ? Piste Agraire ? Araire racée ? Jeanne au Bucher ? Tristana Passée ? On est la Fée des prés ainsi croisée sur herbe vertte par (peiut-êtte) Vaches à laiuit surnuméraires xsaluées, aimées, adulées, consacrées et sacrées, prises ainsi en amitiées et autres sentimentsz de Verbe Alloué. On veut toucher à Déité en Herbe sur un pré ! On ne veut pas passer à cvôté mais grave la Toucher , le ou la Toucher, Icelui / Icelle Dieui (?) / Déesse (?) pieux /pieuse des Données de rAge ! Grave ! Grave on veut ! On ne veut pas ne pas ! On veut de base ainsi touchezr à une RAge comme Soulevée ! personnifiée de fait et du coup soulezvée ! grave ! haute sur pattes ! Fée des Fées des RAges serait Sarde ... qui sait ? On est dans un pré, on rtegarde, on est ailées, on est deux femmes formant fée du pré, on marche, on saute, on vole, on monte, on veut comprendre ici ce pré ce que c'est en vrai . est-ce un pré "intermédiaire" entre deux données ? est-ce un intermédiaire entre deux conntréesc ? est ce que ce pré pré-figure ou pré-figurerait quelque chose cd'autre qui viendraéit après ... genre Haute Do nnée des DOnnées de POrte ? est-ce que ce pré est pré-quelque chose ? pré-allée de Roche , pré-sentier de bosse ? Pré-donnée d'époque haute ? ON Cherche ensemble (fée ailée) à cerner de près le plus possible de données qui sont comme données en vcrai ici par on ne sait qui mais (de fait) ça le fait ! On veut cerner-toucher ce pré ce que c'estb ! Un pré-reqzuis ? un pré-sage ? un pré-ambulle ? pré-cage ? pré-urne ? pré-fosse-commune ? On veut sérieux connaître les données profoncxdes, aller haut, percer, cvo n fondre, passer qui le nez quyi son ombre et de fait wsentir la chose, regarder profond si, des fois, on y sezrait pas !!!!! si par hasard la place pour nous autres serait pas là déjà ! On entre en ça : paroi, puis pré, puis à nouveau paroi ! mais qyuoi ? qu'est)-ce qu'on voit en dehors de ça ? une façade de paroi de base, genre mur de hjoie ! Face de base ! Traits tracés comme à la pa rade : buffles en cohorte ! bisons d'ombre ! boucs et béliers sur pré dees Formes ! chevaliers chevalières, chevaux nées sur pré et herbe, chevales allouées à un sentier , à un tracé, à une direction donnée à devoir suivre
"au mot près" si tant est ! on aime ! on veut toucher à cette sorte de donnée ici donnée de type zouveraine / reine ! -Vérité ! Vérité et contrevérité forment la Fée des prés de type Reine de Contrée !
La vérité des faits, alloué à ( de fait) la contrevérité, forme ou formezrait ce qui est qui est en matière en vrai de déité ou de divinité céleste : le Tracé ! Tracé de fait ! Tracé acté ! Trait tracé à main levé ! trait des traits sur Paroi allouée à une Vérité Sondée, gravée, chargée de mots en herbe, herbe-mots des pierres souterraines ! On aime ! on aime trop ! trop on aime ! on veut touchger à ce phonème : "trop " , on veut toucher au mot ou à ce mot de "trop" ... et, passer carrosse ! Charger ! toucher haut les données de Bosses ! crier ? ou ne pas crier mais chanter haut ? chanter haut et faux les données "de trop " ? toucher à Néné ? toucher haut à ce Néné du Trop ? On est La Fée post-données de troop ... qui sait ? On veut grave cerner, ensemble (§ailées) ,
les données des cendres, les toucher en vrai afin de pour le coup mieux lmes comprendre, mieux cerner, mieux aéller en vrai ensemble = s'aimer ! grave ! grave s'aimer ! sonder ! dire et poser ! jouer ! jouer grave à des jreux de fée si tant est ! jouer aux jeux wsardes ! sales ou sages ? sardes ! fins ! doux ! fols ! enjouéess ! vifs ! ailésc ? ah peut-être aussi ! jeux de doigts cde fée sur place = possibilités
de pouvoir toucher (par le jeu de l'antre) les données données d'une (sorte de) Divinité de Bande ! Jeu de fée ! Jeu d'ombres portées sur paroi de rOche allouée à une V2rité de porte .... on veut toucher ! toucher de près ! ;.................. toucher de chez toucher ! ............................................ ne plus cherc her à esquiver mais tracer-filer ! fon cer ! grave foncer ! ................................................................................................................................. foncer grave ................................................................... y aller .....................................de son entrain de fée
allouée à une romance
ancrée en ce pré
des données de rage /........................................................................................ = pistonner ! ......... ou tracer = creuser = fgoncer = graver = graver grave sur paroi donnée les données de RAge de La mort à l'Oeuvre Allouée .................................................................... toucher ...... toucher ...... toucher ....... toucher ....... toucher ....... toucher ........ toucher ........ toucher ........ toucher .......... topucher ......Toucher ......... toucher .......... toucher ..../....... toucher .......... toucher ....... à ces nénés de cvontrbande (?) qui sait ? ................... et du cfoup charger , aller, donner, pousser,; faire trait , sillonner , aller jusqu'aux nénhés en herbe d'un muret de fin de pré ! Toucher ici ensemble ailées ! toucher de chez toucher ! donner-toucher ! être ! donner ! filer ! connaîotre ! soupeser ! chercher ensemble à traverser ce pré donht les données en herbe (à porésent) nbous sont (ou nous sezraient) , il semblerait, données de fait ; et du coup, nous voilà remontées, colère, soulevées, prêtes à hausser le ton de haine si ja&maiçs, et monter ! monter de chez monter ! tracer ! monter haut là-haut ! atteindre les sommets ! les cimes du pré ! toucher ! toucher Déité ! Déité des Sommets ! Déité des D2ités = des Sommets ! sortir la tête ou le mùuseau ! dépasser ! sortir de fait qui la tête qui le museau, et regarder ! voir là-haut (au plus haut)c e qui est qui semble être (ou sembvlerait se dessiner) à nos mirettes ! chercher ! essayer de fait de cerner là-haut (la tête passée) ce qui est qui szerait, qyi nous "entourezrait" ou nous "encerclerait" ou nous "regardera&it" , ou nous "attendrait de plein pied" .... On veut passer , de fait, la tête (ou le museau ?-)) et du coup .... connaître ! mater ! voir ! cerner ! comprendre ! regarder ! chercher! espionner ! sentir ! ressentir ! humer ! toucher ! chercher ensemble (ailées) à voir ce qui est = sentir = toucher = prendre = comprendre ! Qu'est-ce qui est qui nous attendrait , qui se tient sur pied ou qui là-haut semble nous mater, regarder de haut, mater-coller . o, n veut (nous : ailes) comprendre ensemble ! Une donnée d'Ombre ? D'homme ? une sorte de donnée de l'ombre ? une Ombre ? une denrée ? du lait ? un peu de lait acidulé sortant d'un néné (éjecté) ? Lait sucré-salé comme un bonbon acidulé ? Lait des Fées ! Du lait ? Laiçt des LAits ? lait docte ? oh ! on ne sait e,n v rai ce qui est là-haut à nous attendrte de pied ferme ! Lait de féec ? Lait des Ombres ? Ombre sur le pré ? Ombre cd'ombre ? Une fée ... acidulé&e ? Un peu de lait docte ? Qu'est-ce que c'est que le lait docte ? Une denrée ? un tracé ? un trait de fée ? trait donné par une fée de POrte ? fée des fées allouées à une sorte de Parole Docte ? Donnéedes données ? On veut toucher à une sorte de donnée de porte mais comment toucher, quand on est ... ombre ! ombre sur un pré ! comment toucher , tracer, cerner, aimer ? On est la Fée des Ombres sur Prairie post-catacombes, maéis en vrai, on est La Fée du pré vfleuri, du pré des sentiers comme allouées ici à une direcvtion donnée, donnée vite fait et vas-y ! cours et vole ! cherche au jugé ! fais course folle ! vas cerner ! ou vas-y cerner ! On est Fée des Prés , on cherche à soule"ver la Roche, les données de Roche, les Contrées de POche : mottes ! toucher ! à toucher ! à faire en sorte que voilà, les mots de base soient, ici et là, comme posés pour ça : comprendre, qui de quoi , ou pour qui de quoi, en vrai, La Fée est née , pour qui de quoi la Fée, dans la mort actée, est née ! Car, en vrai, on ne sait toujours pas ce qui est ! le pourquyoi des choses sacrées, sur pré tracé. On veut ensemble cerner aéilées, ensermble ailées cerner = toucher= grimper = passer = regarder = comprendre .... les Nénés de base, les Nénées sezraient Nénés de RAge ? Vache à lait Nous attendrait ? serait présente, au plus haut dxes Hauts, à , de fait, nous attendre, nous mater , nous zyeuter sans discontinuer de son Haut de Trait ? On monte, on regarde, on aime, on est ensemble, on est sages, on est collées ensemble, l'une à l'auutre, par la base, on veut toucher en vrai à cette Vache à lAit des Temples. Toucher ...... toucher grave .............. toucher en vrai ........... toucher à ce qui est qui nous regarde et ce searait en vrai une sorte de vache, de vache à lait, buffle nacré, bufflette ........................................... oin aéime ! .................... on veut aimer ................. on veut grave l'aimer .......................On veut en vrai grave l'aimer ................................................. on a grave envie ensemble (ailes = elles) de l'aimer en v rai = au toucher .................... au toucher des nénés ............................ pis en herbe verte ........................ verbe de pré ........................... pré-verbe des féesc............................ chants choraux surnuméraires au lamparo .......... à la samaritaine ........................ sans trop mais quand même ......................... on aime ! ................. on veut (ensemble) toucher le gros lot = gros mot = blaspphème ............................................................................................ gros du gros en lma matière = mots de trop = bufflettes, buffles Homo, Sorcières, Chants Faux ...................................................../.........................Colères ................................................./.................pots ................................pots gros ...........................chevaux comme en bandoulière et aéutres bêtes-mots de roche princièresx .............................. pots de mots .............................. pots de mopts gros (ou de gros mots !) ........................................?................... pôintesc de terre ........................................................ ponts de mots ................................ colères allègres ......................... pôintes sèches .................................... perdreaux .................................................................. on aime ! ..................................... on veut passer la tête, mle museau, l'oeil alerte, la mèche rebelle ..... et mater ici même, les données donnjées poçst-pré = post-herbe = post v-herbe, ce que c'est ou ce qu'il en est ....... et donc ............................. trouver ......... à toucher ........... à comme qui dirait toucher .............. ou toucher des yeux ce qui ici est, en vrai, sous nos yeux de fée ...................................................................................................................................... fzée des gfées ........../......................................... merveilleux .................................................................... N acré ................ Nacre ................... Charge .................. Point de NAcre ............................................................. point de na cre ......................................... pointes de bnacre ..........................................., pointresq de nacre allouées à un sacre ...................................................., pointes ........................................................ points de nacre ........................................................ points des points sur nacre ............................................................. points sur points ......................................................................... points de traitsq sans fin .........................................vent de face et points de rage ..............................................Vent§s et traits ...................................................................... chants ...............................lait /............................ traits de lait ................................./.......//./...........///./...//..//..//././../................ qui on est ?/ ......................././/..........................................Bébéb ?////.......................................................on est montées, on a grimpé, on est haut montées, hautes fées montées dun tréit, fée des fée tête première ! On a donc sorti la Tête, hors deu Chantier .......... nous voilà haussée ! haute fûtaie ! on mate loin ! on regtarde' ! on veut comprendre ce qyui est, au-delà de là, le chantier dit "de cavité", qui est pré (de contrebande) ajouré .......... mater-cerner = regarder les yeux écarquillés ! et donc .... on voit des sortes de tracés ............ nénés ? .......................... points d'ombre ................. pilosité ? .............../...........piols de fée ?........................................................ pilosité des pilosités ???? ...........................Ombres sur clarté = poiils de trait ??................................................. trait de poil tracé ?...................................................................On veut toucher ! toucher des yeux, et "en vrai" toucher , ici, ce "merveilleux" ,
des données allouées à une montée, à un envol, à une sorte d'envolée de roche : lévitation haute ! haut des hzuts pour une sorte de mission de roche, type : Fée Haussée ! Haute Fée de haute Fûtaie ! On veut (du coup) cerner , toucher, colller, comprendre les données post-cavité, post-pré, post-rotonde, post-muret, post-mur des données hautes, post ce muret des données profondes, le dépasser, tracer, chercher à passer, travesrezsr l'ultime roche et du coup cerner, les yeux écarquillés, ce squi est squi est en ces contrées du bout de pré et au-delà, la Ronde des Voix ..... l'ombre szur la voie ............. l'ombre portée type "points et traits" ........./............../.........................//...............//............./.......... c e que c'est que ça , en vrai , que ces points post-roche et aiutres traits donnés ................................LAIOT ? ................... LAIOT DES fÉES ? .................................. Laiot acidulédes fées données sur pré traversé ? ............................................................lait des laéits et autres denrées lactées ? ...................................................................................................... lE Lait ? ..............................................................LAIT .............................. LAIT ............................ LAIOT //./............................ LAIOT NACRÉ ...................................... LZAIT PARLÉ ........................................................................................ LAITRV ALLOUÉ À IUNE SORTE DE DONNÉE PROFONDE, HAUTE, CHARGÉE, CREUSÉE, VIVE CLARTÉ .......................... LE LAIT EST DANS LA POCHE À LAIT ...................... PIS .......................... SPI ? ............................................................................PIS-HOMBRE ? .............................OMBRE D'OMNBRE ?...........................ON veut toucher à ces nébés de l'ombre et du coup (ou du m^e'me coup) téter ! téter de ce l&éit, nacré / acidulé, du pis de l'ombre ! téter le néné d'une vache docte ! sacrée ! sainte et allouéeà une donnée ou sorte de donnée ici consacrée, genre "vérité" ou "vérité des vérités" , on s'y croirait ! on est nées fée du fait que voilà, on a passé la voie, le trait, le trait de l'âge, trait des traits pour un passage ancré en cette sorte de contrée prairiale, et là : l'envolée ! l'envolée tenace ! a&iles au débotté s'ouvrent sur place et aident à tracer ! pousser ! grimper ! aller au haut des données de Rage
salaces, portées, comlme soulevées, en transe chahutées ! ça le fait (de face) grave ! Sainteté allouée à une sorte de romance, née sur pré ! France ? le français, la langue, le Passé outré d'une langue forcée ! la chance !
11/11/2024
on cherche sur pré ensemble en tant que fée ailée , ce qui est, ce qui advient, ce qui se présente, ce qui vient à soi en tant que déité notoire, Fame du passé, Gente Dame au grand jamais si tant est ! FEMME DES PR2s et ça pourrait de fait nous renseigner de base dans la profondeur, sur ce qui se présente en termes de Passé , Passé composé, Gens des prés allouées à une Romance, à une sorte de Romance ancrée, placée, située = ancrée de base en ce pré des ombres et autrtes hommes dits "enterrés" ! On veut toucher = on veut aller = on veut de fait cerner, les données profondes sur ici
ce qui vient à nous peut-êtrte se donner = les nénés ? qui sait ? qui en vrai sait ce qu'il en est de cette chose endimanch"ée qui se présente en fond de roche à nos yeux de F2e ! On est Fée de l'herbe, toutebv mùouillée d'avoir "comme" brouté ! On est vache à lait post-cimetière... ou fée ... il semblerait que ce fusse ... pareil ! Fée , ou Attelage ovin de préférence, on s'y croirait, ! On est nées ! on est passées sur roche puis dans rtoche puis en pré puis au fond du pré puis face à nouveau la Roche, la Roche embarquée , devant Elfe sur pré on dirait, genre Femme déboutonnée pour donner à téter ou quelque chose de cet ordre mais qu'est-ce que c'sst en fait ? On cherche ensembkle sur rtoche un maximum de données qui puissent nous rensenseigner nous deux (ailes de fée) en tant qu'on est ... eh bé oui accolées, la roche (la mort ?) passée ! Roche des prés est notre sorte de "rotonde". Une sorte en vrai de petite rotonde pâr où passer, pour cerner , par où peut-etre transiter, pour en vérité toucher ... aux nénés de l'Ombre ? On est née fée sur pré le mur numéro 1 (pour ainsi dire) une fois passé et nous voilà main dans la main (pour ainsi dire) = ailées, qui volons (grave) vers Déité de La Roche Finale en rotondité ! On en avance ! On est Fée des prés qui (peut-être : il semblerait) veut toucher, toucher grave, cerner, cern er vif, et du coup comprendre ce qui est en ces contrées (rotondité) en ce qui est de cette chose ici déboutonnée qui se présenterait devant nos yeux pas mal étonnés ! Nénés ? Des nénés ? des sortes de Nénés de base ? Nénés doctes s'il en est ? On ne sait, en vérité, comment situier (cerner, ssaisir) la (ici) "Chose de Rotonde", ce treacé dit "incurvé" qui s'offre, se donne, s'est donné pour ainsi dire à nos ailes nacrées ! On est passées, et voilà ici qu'on se retrouve ou se retyrouverait peut-ettrree touttes chose, drôles, comme toiuchées, comme en vrai touchées, séduites, embarquées, prises sur le fait d'une sorte d'"avancée comique"" ... ou sinon comique troublante ! car, oui, on dirait, il semblerait, on se dit que oui, une sorte de Dame des Prés, endimanchée, devant nos ailes déposées, semble vouloir nous aborder , nous toucher au coeur, nous aimer, nous embrasser-embarquer, bnous donner son lait ou sinon son lait qu'est-ce que ça peutb être ? Sperme ? sang de rage ? Lait de vin ? vin de lait sucré ? chants des roches allouées à une sorte de donnée mal située ou à nos yeux mal situées ? On est Fée du pré et à e titre on se permet d'en avancer sur roche à fond la caisse on dirait car on est svelte ! On est vives et nacrées, et aussi sveltes ! vives de chrez vives on trace pour aller en face, vif ! toucher de base,
ce qui est ici qui se présente ,
des nénés donnés il semblerait si on regarde bioen en face ce qui est
qui wse présente ! nus ! nénés nus de base ! dénudés ! donnés nus, comme de bien entendu ! On cherche à c erner ! On ne veut pas lâcher le manche mais y aller , de fait, sans tergiverser, à la recherche de données de branche, duretés endimanchées peut-etre en effet ça se pourrait mais qui le sait ? qui connait ? qui comprend les données du manche ? qui a en vrai cerné "le Passé" dit "de contrebande " ? sait-on ce qui est ? sait-on comprendre ? pouvons-nous toucher à ce qui est qui se présente, et pourrait en vrai (qui sait ?) nous donner du large ! On est nées Fée au passage du trait , on cherche vif à mieux cerner les données de base de la mort ancrée , des vivacités, des amitiées données, des données de rage et autres faits et gestes soulevés ! On est nées Fée sur pré, on fonce caroosse vers néné sans lambiner pour mùieux nous situer pour mieux de fait cerner et du c oup toucher ! toucher à ce qui est qui nious fait face en vrai : chance ! chant ! chant des Rages ! passé ! Le passé fait Rage qui nous regarde ou nous regarderait en face ! Passé donné ! LE passé est du passé donné ou des données de b ase comme déposées, sur branche , sur muret ! On vbeut ensemble s'en (si possible) rapprocher ... de ce passé de fait de contrebande (on dirait), passé passé qui n'st peut-être pas assez, pour, en vrai, combler D2ité c'est un fait mais voilà ! on est passées ! on s'est envolées ! on est montées ! on a traversé la lande et nous voilà qui nous pointons menues face à cette "Déité des Donbnées connues" ! On est la Fée post-mortem allègre ! on est vive allouée à un pré d'herbe, vive et enjouées ! On volette à la volette ! on est belle bête si jamais ! fée clochette comme vache à lait broutant l'herbe verte pour s'alimenter et du coup fabriquer "le bon lait de la ferme" ! On nest Fée-vache sur pré tracé, cherchant bpitance , denrée, verbe au taquet, données de base pour en avancer au mieux dans les connaissances ! On est la Fée des contrées rupestresxcnéandertaliennes ou aurignaciennes ! On cvreuse , on dessine ! on entre en transe ! on est soulevées ! on danse ! on est "soupesées" au taquet sur branche , bête des prés toutes envolées on danse ! fée ! Fée des prés = vaches = attelages montés , chance ! chance des prés on est nées ! on est nées sur pré du fait que voilà ce qui est qui est : on a passé le Rubicon desc âmes données et on s'est retrouvées ensemble (accolées) à la retombée, ailes sur pied = Fée, dite "des données prairiales pré-muret de Rage Finale" ! On veut cerner ! On est passées ensemble (elles = ailes) à travers le roc ici gravé , par des mains d'hommes et de femmes ancesrtales, on veut toucher ! dire et sonder ! pisser ! chier de base sur ce pré aux données stables (verbe ancré) et, une fois fait (pipi au débotté, caca au passé), filer comme à contresens ou comment comprendrte ? qui sonder ? à qui demander ? vers qui en vrai se retourner pour mieux toucher à cette vérité des données finales, cruciales, terminales, chargées, avouées, laissées et données, déposées de rage sur muret comme d'un message ! On est nées fée au passage et nous voilà '(ensemble) comme toutes "remontées" du fait qu'en effet on voit les nénés ! nénés du passé ! chants sardes s'il en est ! romance sucrée ! comptines des années de propagandes enfantines ! on est du passé pour ainsi dire ! on traîne à vie la vie passée et on avance ! ON est nées Fée, des données de base tracées ! dessinées sur gré ! chants sardes qui sait ? ça se pourrait ! On est ancrées dans un passé notoire, historicisé c'est un fait, et du coup on ... passe ! il sembvlerait en fait qu'on soit en vrai passées ensemblev "à toi à moi" de rage par la bande à travers ça : Roche Donnée ! Roche Allouée ! Roche des prés et du passé de base, chants des prés comme sermonnés ! ça trace ! ça charge grave ! ça le fait sur pré des Fées, sans faire plus que ça de simagrés et autres sortes de grimaces ! On est nées F2e en vrai au passage alloué à une sorte de Divinité qui nous aurait laissé passer du fait que voilà, on est Ailes des prés, Elles au débotté comme dédoublées, qui formons F2e, des Données de ROche et autres "données de poche" ! on est la Fée des Données accolées, qui (fée des prés) cherche à ... qui saiit ? brouter ? manger sans trainer ni discontionuer l'herbe grasse des prairies célestes ici rencontrées (mort-roche sur tracé de grotte ). On est allouées et on s'ailme (femmes qui s'aiment) sur rocgher de grotte ! çàa le fait en vrai et pas qu'un peu en fait ! On passe ! on trace ! on vole = on s'envoile = on =monte = on grimpe = on veut comprendre la clarté, tyout en haut des rochers la clarté, ici post-mortem telle qu'elle nbous apparait du (seul ?) fait qu'on est à présent toutes transformées, ailes au taquet peuvent monter ou remonter sans chichiter le muret ! On est nées fée de rAge en ce pré, aux herbes de VErbe ! Vaches-fée des données rupestres néa&ndertaliennes (pariétales) des grootes cachées , comme enclavées. On est fée au passage du trait ! romance ! chant sarde ! gentes dames nous rtegardent ainsi traverser et les retrouver ! Dimanche ! Charité bien ordonnée ! romance des prés ! Femmes sacrées = sondées = comprises sur un pré aux fées (vaches à lait broutant sans traîner ce qui est qui se présente en termes de denrées !) . On veut toucher, et pour touchger on veut cerner (en soi) ce qui est qui (pour le coup) se logerait ou loverait en ce muret des
fins de Romance : trait pour trait ! on veut grave cerner les données finales, ces données de bout de salle ! données doctes, saturlanes, fortes, comme saturées de lumière fractales, allouées à une (sorte de) parade b estiale ou sinon bestiéale ,
ou sinon bestialess, végétales ! On cherche à pour le coup comprendrte ensemble, ainsi accolées ! On est ailées ! On est deux ailes comme tracées ! On vole = on volette ! On veut grave cerner les données romaines et toucher de base ce qui est, qui, ici, ROME Millénaire, se présente à nous ... ouïe de VERbe , ou dite telle : qui comprend ce qui est des bêtes ? qui sait, qui connaît , qui connaît le Verbe des dxonnées bestiazles, des données de rage ? on est nées en vrai aéu passage de la mort sur terre, femme ! on est nées en vrai, la mort venue, passée ou dépassée, en tant que Femme (des prés il semblerait) dite "post-mortem" à jamais , et ça le fverait, de préférence ! ça le fait ! On danse ! on est nées Fée et de fait on danse ! en ce pré ! champ de ronces et de fleurs toutes acidulées on va pour tracer, chazrger, courir et voler ou nous envoler ! On est La Fée des bouts de roche , ici, comme à la traceversée,n, et on s'époumunone en vrai ! charge nacrée ! on fonce ! on ne s'arrête plus de foncer et de forcer la porte ....aux nénés ! qui sait ? on est passées de fait ensemble accolées, l'une et l'autre en ta&nt que Fée des prés , pour en vrai cerner cette ... ROtonde, en Roptondité ! ce que c'est que cettre chose ! ce que c'est que ce treacé final, incurvé, mur en vrai de roche profonde, grotte ! grotte aux données ! grotte secopnde on dirait ! la grotte = le muret ! ROtonde des Rotondités des grootes allouées à une mort actée ! on est passées = on est passé = on passe le gué ! charge menjtale ici sur un pré aux données bestiales (vaches à lait = fées) qui nous regardent ou nousv regarderaient sans nous lâcher comme qui diraitr. On est Fée de base sur rtracé rocheux comme à la p ar ade dit "du mervieilleux noueux" ! On passe ! on est nées Fée ! = femme = fée-femme dans la mort actée c''st un fait vrai ! On est pzasseé = on est mort = on est re-nées en tant qu'ailes de F2e surnuméraires ! mains placées ! roches soudaines ! charges allouées à une sorte d e romance agraire céleste ! qui le saiit de f ait ? qui sait de quoi il en retourne concernant les fées dites "post-mortem" et autres femmes-fées des données dernières ? On est pasdsées parce qu"on est transformées ! c'sst vrai , c'est un fait tout ce qu'il y a de plus vrai ! pour passer et durer il faut transiter ! -Homme mort, tombe, trait. Homme mort tombe et forme un trait. Homme se transfor(me en fée du fait que
OUI !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! IL S'EST VU COMME TRANSFORMÉ OU ÊTRTE TRANSFGORMÉ EN TANT QU'EAILES DE FÉE post -mortyeme ! tracé ! chevauchée ! acidité ! homme mort-né laisse aux dites fées le soin de durer ou de continuer de fait en ces conntrées de rage céleste ! sainteté sur pied cherche à brouter de l'bherbe vertte = Verbe, aux données genrées s'il en est il semblerait ! ça grimpe ! ça envoie ! ça y va de graâce ! c'est fada (complètement fada) de base ! on voit çàa ! On entre ! on entre dans l'antre ici de loa paroi dont le nom est Rage ! on entre ensemble ! On trace ! on commande de la voix et par des sortes de messages que nos ailes tracent ! On est comme allouées ensemble (accolées) à une sorte de Romance dite "des prés" , ou "prairiales des fées", ou encore "chargées de fleuirs données" ! On est entrées comme à la parade des données données, et du coup, voilà, on est devenues Fée, une Fée au passage, homme cendré (mort et ebnterré) est devenu femmes des prés, deux femmes sur un pré formant les ailes toutes nacrées d'une sorte de Fée ôst-mortem ! On aime ! On est nées ! On est les do nnées fauves ! On veut dire-toucher ce qui est qui devant nous s'offre : des nénéds ? des sortes de nénés-corolle ? on a grave envie en vréai de nous pôrter au p^lus profond ici de la roche-rotonde, principauté ? qui semble ou semblerait nous entourer , nous encercler ou tou comme, et du coup treacer, fon cer, courir sans traîner ni débander ni désemparer vers les fonds de pré, muret tracé, fin de roche, collier ? on est nées fée qui volons sur pré vers cette sorte de.. collier ? collet ? col de Ré . divinité ? on cherche , vif ! on ne cesse (vif !) de chercher en vrai ce qui est ! On est nées sur pré un jour de mai, on est nées sur pré un jour d'avril ou du mois de mai ou autrte, et de fait, on creuse ! creuse que tu creuseras la par(oi afin de pouir le coup, mieux cerner les données praioriales (para disiaques) des tracés de bêtes-mots de $base et autres mot-à-mot tenaces ! on est nées FGée, on veut toucxher ! c'est un fait ! ça comman,de ! Ça envoie (de base) sur toundra la charge coriace, attelage ! attelages de paroi ! bêtes de rage ! masses ! masses des Rois et REines dee là (de l'au delà!). On touche à ce qui est qui ici se montre devant soi, à savoir ... la tombe ! Trou à rat ! xchant des terres profondes montent, sortent, nous emùportent, nous confondent ! On est cvomme dès lors ensemble traversées sur roche, pré, herbe folle ! vaches à lait on est, sacrées, non-touchées, cernées, regaerde"aés comme si en vrai elles étaient (on était) des fées , fées d'époque en cohorte, champs tzacés ! On est la F2e dite "des cohortes", sorte de meute d'ombres ! On est la Fée sacrée ! allouée à une roche ornée , type muret des finalités, finalités accortes ! bisonnées = maisonnée ! bouquetinnnées = tracés ! trait pour trait on ose ! on est montées ! On voulait vraiment ensemble sans cxhichi aller , toucher à cette Déité des données Ultimes (c'est qui ?) et comme "traverser à gué" le ruisseau du pô ! Qui ? qui en vrai nous sourit ? qui nous dit de fait ce qui ici est ? qui en vrai nousz dit ici ce qui peut-êttre est, qui nbous renseig nerait (de fait et pour le coup) sur ce qui nous attend en tant qu'on est la Fée post-cimetière ... à la (seconde) retombée des terres ! ce qui de fait noius attendrait, passé ici le muret des termes, finalités, fin de prairie, fin de paradis, trouée souterraine ! On cherche ! on sourit aussi ! on veut toucher à ce tracé des sortes de finalités dxes termes ! Qui on est en vrai sinon des Fées de Rêve ? Fée d'Herbe ! TYRacé ! un tracé ! Un tracé en herbe verte ! Chants des prés , chansons frêles ! On est nées ailées sur pré des données, des données en herbe ! on, est F2e faite (faite Fée) au passage des traits = ce muret de la mort actée, avérée ou donnée, et le muret passé nous voici volantes ! cxhargeantes ! ou chargeant , de fait, nos ailes nacrées ! Allouées ! touchées ! sablées ! cendrées ! nacrées ! situées ! sondées ! accolées ! percées ! cherchées ou recherchées ! cvoincées comme un ver de terre et puis zou les airs ! l'envolée rupestre ! l'envolée des envolées rupestres on s'y croirait mais en vrai c'est (dans la mort avérée agraire ). Certo-certe ! On aime ! on veut :
toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touxcher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher touychetr tioiuuyoucher à cete sortrtre de néné post-cimetière et même pluqs que post-cimetière puisque dégagé ! lointain ! tracé des finalités ! fin de l'herbe verte (du verbe) s'il en est et il sembvlezrait ! Mort sur pré ok, mais l'herbe ? que devient-elle ? le verbe ! Qu'est-ce qu'il semblerait que devienhne l'herbe soit le Verbe xdes données prairiales de la mort à lm'oeuvre ? oh !!! on ne sait vraimentde fait, ce qui ici est qui semblerait vouloir se prté&senter ou proposer à nos gouvernes ! On cherche c''st vrai , et on a pas fini de chercher !!! on est passées ok, homme mort et enterré, laisse place entière à AILES, AILES de F2E post -mortem et du coup, vboilà , on cvreuse, on mùonte, on fouille ! on veut aller au plus lointain possible sur pré chercher-trouver ensemble des doonnées, dfonnées doctes "fortes", données fortes "doctes" ! trouver = toucher = allouer à une roche une (sorte de) "Paroole Profonde" .... on ne sait ! On croise nos doigtsvde Féeb ! On veut toucherr à une Déité de Fond de ROche des Finalitrés ! On veut COMPRENDRE = DIRE = FAIORE = ALLER = CERNER = CHER CHER = FOULER = BERNER = SITUER = SAISIR = MENER = TOUCHER AUX DITS NÉNÉS DES OMBRES ! QUE sont-ils en véroité ?. sont-ils de vrais nénés de femme à laiot ? sonbt)-ils de vrais nénés de Vache à lait ? sdont-ils fauves ? sont-ils déssinés comme à main levée par une femme des rotondes, Fé dec Fées sur pré de roche ? Une Fée est née qui est passée par la petite porte, pour entrer en cette sorte de prairie "profonde" , et la vooilà icio, qui cherche à aller (trotter, voletter) à la recherche d'une sorte (peut-être ?) de ( qui sait ?) denrée de type "N2éÉNÉ ;;... ? on veut t§oucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à ce néné ! à ce vsein de Roche ! F2e des F2es aime aller-voler vers le Néné des fins de rOche : qu'est-ce que c'sst ? un vrai néné à lait ? un vbrai néné, qui serait (du coup) post-post-mortem ?.?? Car (ici) la mort est comme , comment dire, double ! On voit de près le pré ! on passe ou on passerait , pour , ici, se reytrouver, fée, en ce pré. On voit le pré , puis plus loin le muret ! on voit en tout (donc ) deux murets ! un prtemier à notrte mort dite "naturellre", et un deuxième en ce pré a ux Fées des données profondes . S'agit-il de fait du même ? du même muret en forme de rotonde ou qui appzéartiendrait à une sorte de même rotonde, cercle précieux ? On ne sait en v rai mais on ws'inquiète de lma chosecv à longueur cde Roche(n"éandertalienne) et autrtes rocs de groote profonde. On est la fée qui veut connaitre un c
ertain nombre de données post-cimitère soit post-mortem (le pré) et au-delà , post-post-mortem = après le pré (le p aradis des vies ailées) ! Comprendre = ici toucher ! car, en vrai, il sembvlerait, il semblerait en vrai que pour cerner (de près) les données de base (de la mort à l'oeuvre)) il faille ici toucxher la faille ! le tracé ancré, terait de rage, fissure née, treait de fée par où (qui sait ?) passer olé olé" ou pas olé olé maios nue (nue du cul) jusqu'aux ... nénés, de l'ère "profuse" ? On ne sa&it de fait mais en vrai on ne cesswe de rechercher et ce sans tra îner (la vitesse gronde) pour cerner ou mieux cerner ce que (enj vérité) la mort "secondaire" nous apporterait en termes de "donné"es salutaires" ou ditesc "salutaires". Qui on est la mort avérée .... eh bé on ne sait ! peut-être en premier (dans un pré) une Fée, ou une Fée Patibulaire, et puis le pré passé, peut-etrte ... de l'herbe ? du lait ?
? du lait en herbe ? Verbe Accolé ? Chyanjt de la terre ? chant = verbe de la terre = Herbve ? On cherche ! on est comme une Fée Sévère ! grain de beauté ! on trace sur pré un chemin des Fées par où pâsser nous-mêmes et faire passer, derrière, tout un attroupement de bêtes-mots agrairesq genre bisonnées , bouquetinnées, cxhevalinées , bufflinnées et autres maisonnées de bêtes fortes, grosses, grasses, pesantes, poids sur roche de base naissante ! On est données ! on est tout comme un certain nombre de données données ! On pourrait dire en fait qu'on est nous-mêrmes des données ou les données des fonds de roche mais en vrai on est comme des fées de rage qui, ensemble, cherchent à travezrser (de base) l'ultime paroi aux envois, aux dires de charge, aéux quatre vérités de rage. Qui on est de base ? eh bé ;;... Fée ! F2e des ombres ! Fée (qui sait ?) DEs Omùbres portées ou autoportées ! On veut toucher = toucher = toucher
= dire = dire et comme se porter auprès
des nénés de l;'ombre on dirait !
Charges doctes on fonce ! fonçons grave ici ensemble toi et moi = ailes de paroi, parade nuptiale, tralala, chants de RAge, SAMBa, SAmba des Rois, Samba ici Des rois Et Reines de pAroio ! On danse en tra,nsez ! on est F2es des prés en transe et c'est notrte chance ! oN veuit toucher à cette Déité des Contrées Finales ! On est nées Fée comme à la pa rade ! on bva en vrai vers D2ité des RAges, ! saturnales ! bacchanales ! on est aimées ! on est adulées ! collées ! accolées ! on aime le pré et l'herbe du pré ! on veut en vrai toucher de rage les néénésxs de base, ce qu'ils sont en cvrai, ce qu'ils offrrent comme denrée, ce qu'ils donnent en termes ici de vérité vraie ! tyoucher, toucher vif ! comprendre et cerner ! coller et donner ! ferrer ! ferrer le pied ! cerner ! dire et cerner de fait les données ddes prés, cequ'elles représenteraient en termes de champ alloué à une sorte de Romùance ! Co:mprtendre = toucher et toucher = comprtendre ! sainteté ailée ! sanctuarisation en vrai des données de roche et autres parois de grotte profonde. On touche aux nénés de roche ! On veut toucher ! On touche parce qu'on veut toucher pzarce qu'on veut comprendre parce qu'on veut aimer parce qu'on veut aller , voler ou voletter, à la rencontre du N2né de l'Ombre (Hommùe ?) transformée ? squi sait ? qui on est ? qui (dans la mort, enchâssées) o,n est ? Femme forte = groosse = grasse = belle = fauve = mauve ! on veut en vra$i toucher toucher toucher toucher touxher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher touchezr toucher toucher touchezr toucher tyoucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher tioucher toucher toucher toucher toucher touycher toucher toucher toucher topucher toucher à ces nénés donnés des sortes de données données alloués à un muret ou sorte de muret cde bout de Roche : les Données de type Grand D ! Chose de ROche Forte ! Roche-née pour une V2rité accorte, accordée, donnée, sans traîner , à une Déité des D2ités. On veut en vrai toucher à cette Déité-Néné de l'après-pré ! des données secondes ! rotondité ! Rotondité des données des prés ! on dirait ! on dirait en vrai ! Choses Hautes ! Choses déplacées ! Porte des prés ! une porte ici dionnant de fait sur quelque chose, de ... dessiné ? à main levée ? parole .? parole HAute ? chant des prés wseraiot comme en vrai les données du NOuveau MOnde ? Du monde de l'après le pré ? roche seconde traversée et on verrait ... de quel bois on se chauffe en vrai ou chaufferait ? Feu des turpitudes ? clash-center tracé ? tombe lacustre ? fonte des passés et des donnéess diverses du passé ? champ de glace dessiné pazr u,ne sorte de pseudo-déité larvée ? charge ? charge-né ? ponte ? ponte des oeufs accolés, formant corolle ? On veut (en vrai : grave !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!) toucvcher ! toucher = cerner ! à cette Déité des FOnds de ROche :
- tracé
- colère
- dires divers de type alacrité
- chants donnés
- termes accolés gformant pré
- dires aux accents de vérité et autres données de type Verbe Acidulé
On veut grave toucher pârce qu'on est ailées et que ailées on aime toucher (de nos ailes nacrées) iici Déité , ou Déité des Déités, telle que représentée sur l'herbe : VACHE À LAIT SURNUMÉRAIRE ! VACHE À LAIT DÉCOMPLEXÉE ! VACHE À LAIT DERBNIÈRE ! VACHE À LMAIT DES VACHES À LAIOT DERNIÈRES ! VACHE À LAIT AUX ACCENTS DE VERBE ! VACHES DITES "ÀLAIT" DES DERNIÈRES (QUI SAIT ?) VOLONTÉ ET ÇA LE FERAIT ! VA CHES SUR PRÉ MÂCHENT, QUI COMPRENNENT LES DONNÉES RUPESTRES NÉANDERTALIENNES : LES DONNÉES DONNÉES, DONNÉES DE FÉE, DRÔLES DE DONNÉES ! oN VEUT TOUcherr à cette Déité des données dernières post-post-mortem pour ainsi dire si tant est, ou "de rotondit é" , car ce qui est ici est cette chose en vrai, comme qui dirait , que cvoilà de fait ce qui est et ce qui (sans doute) n'eest pas,n, concernant la paroi. On vole ! on colle, ok ! On volette en tant que Fée ailée post-cimetière .../ et après ?. qu'est-ce qu'il nous arrive après ? après le pré ? qu'est-ce qu'il nous arriçve ou nous arriverait après le pré ? une sorte de voyage "consacré" pôst-post-mortem, de type "mixité" ? changement de genre et autrtes trans-versification dees données (verbales) post-parade ? transition ? collage ? versification transversales ? chants à profusion ? dictée de Rage sous forme de versets sauvages ? Collation de type alimentation potache ? Fruits de la Passion ? Pain et fromage ?chant des nuits noires ? On veut en vrai passer (de fait) pour comprendre , au plus possible, ces nénéscx de base dits "frontaux". On est ailées en vrai la mort passée , et c'est ailées qu'on veut toucher à ces ... nénés d'un nouveau passage, "passage-paysage" ! tout nouveau tout beau ! on entre ! on entre ! on veut comprendre et du coup on entre ! on veut grave comprendre et du coup voilà on e ntrte , on charge , on pousse carosse , on vfait mine de tracer sur roche les données naissantes , données rossses si tanjt est, ou sinon rosses peut-êttre méchantes, méchantes ou quoi mais qui le fasseent ! qui impactent grave ! fassent de l'effet ou leur petit effet envers pareille Déité des Données Cruciales ! on est nées ! on est passées ! on traverse le pré ! On court on vole ! on est ailées ! ailes allouées à une Vérité De Verbe il semblerait et ce, pour peut-êtte mieux cerner les données prairoilaes icidonnées , on ne sait ! on veut toucher à une vérioté de base qyuu de fait serait :
vérité des vérités notoires,
chant sur pré,
chants de charge !
vérité des vé(ités on veut toucher à son tyracé de près ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher grave aux nénés ! dire et toucher = donner, aux nénés de l'après, de quoi s'alimenter" en lait à pouvoir donner, octroyer, offrir en partage ! On veut dès lors comprendre c e néné de l'Ange ! qui c'est ? Ce dit "Néné de l'Ange" , en vrai, c'est qui , qui c''st ou qui ça serait qu'on ne connaitrait pas , qiu'on n'aurait pas croisé jamais , qu'on n'aurait en vrai jamùais rencontré ... ? On est près du muret ! On regarde ! On veut en vrai toucxher toucher tyoucher toucher toucher toucher tyoucher à cette Déité des Fins de pré lacté ! On est la Fée ailée voulant toucher au lait dit "de contrebande " ... laiot nacré, sanctifié, adulé et acidulé ! Lait des Laits sur Paroi Sarde ! grave ! grave ça le fait ou le ferait ! Grave de chez grave ! On est nées Fée en vrai au passage, et du coup on en avance dans les connaissancess ! On a tracé sur pré notrte sentier des connaisszances et aussi o n creuse ! on est fée de Rage sachant dire (aussi sec) nottre dire ! vent de face ! chine ! on vibre ! on colle ! on est bnous-mêmes de la colle ! colle de roche ! On se pose sur paroi de roche ! on est ailées pour (on dirait , qui sait ?) l'éternité , soit l'éternité de la roche ! On veut
AIMER GRAVE, AIMER SÉVÈRE, S'AIMER GRAVE ET S'AIMER SÉVÈRE, AIMER DE CHEZ AIMER, AIMER = TOUCHER, TOUCHER = AIMER, ON VEUT GRAVE S'AIMER, SUR UNE ÉTOILE SUR UN OREILLER, NJE PAS S'ABANDONNER JAMAIS OU NOUYS ABANDIONNER JAMAIS MAIS AU CONTRAIRE ! VIVEMENT ! TENDREMENT ! SAINTEMENT! FINALEMENT! CORREZCTEMENT NOUS AIMER DE PRÈS = SE HUMER ET SE TOUCHER, SE TOUCHER ET SE HUMER, SE SENTIR DE PRÈS, SE LÉCHER, SE DONNER AUX NÉNÉS SUCCESIIVEMENT, S'ALLOUER À UNE SQORTE DE PRÉ LUI-MÊME ALLOUÉ AUX MONTÉES DIVERSES ET AUTRES FRAI ! TOUCHER = TOUCHER = TOUCHER ! DIRE ET TOUCHER SONT CESZ MAMELLES DITES "DU PRÉ" DE TYPE "COLÈRE" ! On aimev ! on rêve ou on ne rêve pas mais voilà, on aime sévère la paroi ! la roche terminale, le tracé des Rages, Rotondité ! Rotonsdité ! Rotondité ! Passage des données cruciales frontales ! Charges mentales ! Frai ! Franges ! Franges et frai sur pré et comme à la parade ! Fée du Frai ! Frai comme alloué à un pré aux Fées, pour Parade Nuptiale et autres accouplements sacrés de type coït comme Cerné ! Coït des diverses Données comme cernées, cernées-touchées dans le coït ... Touchées ! On aime Coïter de Rage sur pré, comme à la par ade = saturnales = saints de rage décoincés ! O n veut aimer = toucher = comprendre = aller = dire = foncer = conduyire = chercher = faire et porter pluis loin, toujours, ce qui est ici qui se oprésenterait comme alloué à no-s gouvernes (de fée ailée) respevctives si tant est mais ça se pourrait, car on est nés Fée au passage du muret dit "muret one", Muret dees Entrées, dees Entrées de Base de Rotondité ! farce ! parade ! charge-farce de parade ! gros gibier ! grosses caisses ! gros du gros des mots de base ! groossse charge sur paroio naissqante ! Paroiles Fastes ! gros Passage ! Le museau d e tanche ! le moineau ! la chance ! l'étourneau au bec de base ! charge ! chaérge frontale ! chahut et raffut ! on passe en force au bec de charge ! pic et pic et collégrammme ! le verbe de passe ! On en,voie grave ! Ça passe ! ç'en avance grave ! On est nues comme passées de cul = la chance ! chance au passage ! on est venues nues ! on est cul nu venues sur pré donné ! on veut toucher= faire = dire = comptendre, ici , ce que c''st en vrai que l'herbe verte .... verbe au débotté la mort actée ou une fois actée ? qui le sait ? qui comprtend de près les données données ? qui sait en vrai ce qu'il faut ou faudrait pouvoir cerner ensemble ? Qui pousse ? qui croît ? quyi grimpe ? qui choisit les mots de base et les augmente ou les augmenterait au fil des années ? On estv la FRée née , cul nu, sur pré venu ! On est comme accolée ! scindée-accolée = ailéec= changée ! On aime ! on aime grave ! grave en vrai on aime êztre ailées tu penses ! parce que ça le fait ! ça grave le fait ou le ferait de base ! treait ! trait pour trait c'est notre chance en France, ou sinon en France peut-êttre en Espagne ? on en avancev ! grotte cachée nbous admettreait comme par contreb ande et nous d'y aller, de nous y enfoncer, fissa, enselmble, toi et moi congtre lke monde enteier, moi seule à tes côtées on entre, on entre dans l'antre , car, oui, oui de chrz oui,
on veut grave toucxher aux nénés tu penses ! tu penses si on veut toucher ! on entre en transe dans l'antre parce qu'on est ailées = elles = F2e d'une sorte de contrée genre post-cimetière et ce comme à jamais qui sait ? On est la Fée ôst-cimetière des Données Données sur prés, ! on s'aime ! on aime en vfrai s'aimer en tant qu'on est Elles,
DEux F,
deux Ailes, pour
Femme sur pré
comme Enchantées (elles) et e,nchanté (le Pré) ! On veiut s'aimer en tant qu'on est Ailes ou Elles = Fées sur Pré et Fée des Elfes ! On aime ! on veut s'aimer = lkesbiennes, comme à jamais ! sur un pré d'herbe = de VErbe ! chants sucrés salés on dirait, ou "sacrés " ? On veut grave s'aimer en tant qu'elles = lesbiennes, dans (de fait) la mort actée dite"post)--cimetière" , mort des Faits sutr terre et nous voilà A2ilées ! Celtes ! Fée des Fées ! Ch aergées dee termes ! avérées ! vives Fée s aux donné&es sévères ! saluées et aimées, dees Fées des Prés ! On veut :
s'aimer grave
toucher grave
tomber grave
baiser grave
pisser grave
chier grave sur un pré de Rage , et, de fait, aussi, vivre notre vie , de Fée errante, chiche, soulevée, vive de chez vive et comme cernée-entourée, encerclée ou emmurée mais pour combien d'années ? On est La Fée Passée ! On e'st en vrai passée post-muret direction le pré et le pré traversé (une fois traversé) nous voilà comme postée en tant que telle, devant ... eh bé ce muret, qui sait, ou ce "même muret" dit "des rotondités salutaires" , ou des "rotondités sur herbe" ,n ou ezncore "des rotondités formelles " Ou cvomment autrement ? car nous, de fait, on aime tracer et du coup nous porter , au plus profond des do nnées de Roche ! on est Fée de Poche mais voilà on fonce ! on fonce , on fronce ! on fronce , on fonce ! On y va ! on va là-bas chercher dans le tas leezs données de force ! qui on est sur pré sinon ça : ce petit tas de confidences sardes (sales ?) sur paroi , on ne sait pas ! On est peut -êtte ça ou peut-être pas ! On entre ! on grave ! on dessine sur paroi les bandes a nimales ! On veut toucher à ça : de rage ! à ça qyui est, de fait, une sorte de donnée de base , la Rumba ! la Danse en transe ! charge animale de bon poids pour la parade qui impacte (cherche à impacter ) . Paroi sarde ? sarde ? sarde sale ? On cherche une faille ou une sorte de passage, assez large, où en vrai, de rage, on pouurait "ensemble " (femmes) passer et traverser et nous porter de fait de l'autre côté c'est-à-dire côté pré et ça le ferait question conna&issance "sur" la mort à l'oeuvre et autres vies dans l'au-delà de là ! On e,ntre et, au passage, on croit -comprendre cette chose cfomme quoi la mort ne s'artrtête pas là, à ce terrain paradisiaque , à pareille prairie "Spéciale", mais va a u)-delà, au-delà de là, plus en profondeur vers un ailleurs de base (peut-être) à nouveau "murale" (frontale) si tant est ! Donc : la Rotondité ! ce qu'il en est en vrai ? Eh bé... on dfirait que peut-être, en effet, la Rotondté est une sorte de Notion de base (Donnée des données ?) qui nous enseignerait ou nous guyiderait vers ou nous ferait compcrtendre ce qui est, ce qui de fait se trame autour du Pré, du Pré passé./ on parle de "Rotondité" quand on passe ou dès qu'on passe le premier muret. On )arle de "rotondité" frontale" , "Rotondité ancrée", "Rotondité xes Rotondités". On essaie de cerner, ensemble (fée ailée), ce que c'esst ou ce qu'il en est ici (sur pré) de cette (donc) RToto ndité d'étage. CE que c'est que pareille Muraille! quoi c''st ! quoi en vrai c'est ou ça peut être, à nos yeux de Fée post-motrtem. On est grave sérieuses nous deuxs (Ailes de fée) à chercher ou à vouloir chercher ensemble , ce que c'est qaue cette choses i-ci tracée : muraille ! Anse ! Arc ! Cerclle des Données ! Ronds de jambe et autres disques déplo yé comme par la bande il sembleraiot mais qu'en sait-on en vrai ? d'où, de fait, nos recherches et collezctes diverses de données divezrses sur pré ! recherche dite "de fée" puisque , en vrai, fée on est ! fée on est née à la mort actée , ou une fois pour nous la mort avérée, actée, entérinée, achevée ! Un on était (homme ou femme) , un ou une, et, mort ou morte, on se trans-forme grave en Fée = Ailée ! Deux femmes font fée, sur pré aux Fées (qu'aux Fées ? Fées des prés ?) ! On enttre ! on est Fée s qui sommes entrées en cet antre aux données dee RAhge qui est antre (en vrai !) des Données Allouées à une Vérité de type dé2ité ! car ,
la Mort est Déité, Divinité, Losange, Croix de Rage, Trzacé né sur pré de type Parade, Ch ant Total, Croisade, Paysage sage,, pré aux fées et autres b^petes de SAb a. On est entrées ensembkle toi et moi cfomme à la parade (nuptaile) sur terrain de Rage ou pré aux fées, au xchoix. On est entrées = on est passées = on a sombrées mais en vrai pour mieux on dirait nous redresser en tant que fée ailée ! ça le fait ! on a cru y passer à jamais mais c'est pas vrai, on s'est redressées, on s'est envolées car on s'est retrouvées comme munies d'une sorte de charge donnée, ailes allouées, poids d'elfe ! C'est un fait ! C'(est tracé ! Ya q'à regarder ! mirer ! finter ! surprendre ! Aimer de près ! ne pas s'endormir en vraéi sur ses lauriers de roche mais au contraire tracer = filer ! vite s'envoler et vite gagner, au plus lointain possible, le muret de roche ! les donné"es profondes d'après -pré aux herbes folles ! Toucher ! toucher toucher! toucher ! toucher ! tyoucher ! toucher grave aux données (nénés) des cav,itées dites "les plus profondes s'il en est" , de tu
ype "corolles" , f leurs de ronde ! On veut aimer = toucher . Qui on est ? peut-êtrte, en effet, après la mùort, en premier, une aile, une szorte peyut-être d'aile qui, accolée à une autte aile, ou augmentée quyi sait d'une autte aile, peut de fait former La F2e, F2e des PRés, Fée post-cimetière, et ainsi voler, gagner au loin le dernier muret dit "de rotondit é", le muret du CERcle ou CErcle des dOnnées en herbe . Fée !
............................................................................ fée des Herbes ou dite telle ................................................................ VFée vdes f2es des Herbes Folles et autres hErbes de PArole (Verbe olé olé ? ) ........................................... charge de Rotonde .................................................................................................................. Fée des Données Données comme s'il en pleuvait par lma Parole (qui sait ?) ........................./.................................... pissadou de poche .................................................. drôle de corolle ! drôle de pârole ! venaison = chanson = porte ! ...................................................................................................... on ne veiut plus traîner mùais foncer, creuser danz la r(oche (de grotte) la Chanson des FOrmes, Bêtes-Monstres, Aurochs et bisons, Buffles aux tendons, BOUcs et bouques aux effets dee Rage sur Cloison de passe ! On veut :
DIRE / FAIRE et , surtout, ne plus (de fait) ralentyir le train mais foncer ! tracer = foncer ! On est la Fée Acidulée qsui (sur pré) fonce à grandes enjambbées vers ... eh bé oui ... Corolle ! Corolle donnée ! CVorolle fauve ! LMa Doloonée des prés = LMa Corolle ! Fleur Donnée = Ouverture à la retombée d'une sorte de "bouche nacrée " ....trait des fées ... traits sur pré des fées acvidulées et autres f ées cfomme consacrées , ensemble, sur un pré de RAge, F2e des PRés tracées ! charge de données ! attroupement comme à l'arraché de bêtes fortes allouées à une sorte de parole dite "de la V2rité" mais est-ce vrai ? On fonce ! O,n ne veut pas laisser passer la chance qyi nouq s eest donnée, de pouvoir co:prendre (au plus serré) ce qui est ici, en cette roche , d'une sorte de Parole DOcte faisant Corolle, Ouvertiure Folle, Chant des Rangs, Sorte de Corolle à jamais déployée pour (colme qui dirait) accueillir Paroles Doctes ou autres mots (mots-bêtes) faisant impression forte sur Divinité de POrte ! chants tracés ! bouquetines allouées à un pré ! buffles non-moroses ! chevaux des prés, chevales cendrées, bises et bisounours des trous approchés des cavernes masquées ! charges centrées ! béliers ! poussées ! traversées-passages ! et du coup retombées (cul nu , comme de bien enctendu !
😉)
sur pré herbu ! On veut Aller ! On a envie ensembkle de Toucher ! On veut en v rai grave, aklller à toucher, ensemble .... les nénés ? Lesdits
"nénés doctes" ? On fonce .... fée des fées ./......................................................... on ne veut ple
us s'arrêter de foncer mùais au contrzaire grave tracer = dessiner , sur roche, qui l'aurochs, qui le bhison, qioi le cheval , qui le buffle des Passions de l'Âme ! Chargeons ! ...;; Pistonnons ! creusons fol ! Creusons sur pré les données à creuser, fouiller, cerner, essayer de déterrer ! On est la Fée Ailée de la M%ort Donnée, et c'est en tant qu'on est la Fée, qu'on veut grave traverserr le pré, tracer, et gzagner de fait le dxernier muret aux données données de trype "finalités des Finalitéz " ! On est passé ensemble, on est ensemble (elle et moi-même) passées, on a traverseé ensemble (nous) le muret premier en rotondité e't c''st en ce pré où on est tombées qu'on veut comprendre = filer (à grandes enjambées) vers ... eh bé .... peut-êttre .... qui sait .... la Terre ? Terre glaise .? Trou forcé ? Cavité des cavités ? on est nées Belles Bêtrszs sur COntrée des F2es , on veut entter ensemble accolées-serrées en cette sorte de (dernière) anfractuosité post-post-cimetière : les allées du Verbe ? les allées cde l'herbe, de l'herbe mâchée ? une sorte de tunnel de Verbe ? Cri donné ! Chanmp des Ailes ! LE PASSÉ ? Est ce que c'est en vrai ici le Passé qui serait derrière ? EsT)-ce que en vérité" ce qui nous attendrait derrière (le second muret en rotondoté) serait ... le Passé ? le Passé surnuméraire ? les données premières re-re-re-données à nos gouvernes !
Re ?
Re, le Roi d 'Herbe verte (Verbe) ? Re le Ré ? Rey ! ROi, des ombres Supliciées ? LEs données profondes en termes de données comme
RÉHABILITÉES ?
Qui sait ? Qui sait en vrai ce qui est qui est, passé la Rotonde des Données profondes de la m=ort à lm'oeuvre ? Qui ? qui connaît ? qui confronte ? Qui en vraéi s'y colle et pôas pour de rire en vrai, mais pour de vrai , qui ? On voudrait (nous : ailes) cerner, ttoucher vif ou à vif, les données frontales eh bé oui, de pareille Entité , de Pareille Divinité dont le nom serait (ici et là) Mort Donnée ! Mort Allouée, Mort Actée ou Mort Avérée ou Entérinée. On veut en tant qu'on est des fées ou une fée cerner, au plus près, les données les plus profondes de la mort à l'oeuvre. Ce qui est qui est. C e qui nous regarde ou nous regardrrzait de face ! On est nées Fée (de fait) au passage (MORT°) et dans le pré (la mort, ou la pré-mort, ou la première mort) on court on vole ainsi ailées, on veut se rapprocher ensemble d'une sorte (au loin) , de corolle, de porte, d'ouverture -"hole" (trou de boue) dont le nom (à tout casser) sera&it PAROLE
PAROLE ACIDULÉE DE TYPE COROLLE
CHARGE FORTE
POINT DE ROCHE
CONJUGAISON ? On voudrait tant cerner la choses, toucher , toucher haut, chercher, chercher haut, foncer , foncer haut, percer, percer hgaut , comprendre, comprtendre = prendre haut, ce qui est qui est, ce qui swe présente en vrai,... : des sortes de Nénés ? Nénéews à lait ? Données lactées ? Du lait comme s'il en pleuvait
pleuraipissait
sur herbe des prés ! chahutée ! mouillée ! tout imbibée et arrosée ça le fait c'est frais (ou chaud , des fois, selon ce qui est) ! On est comme nousmêmes "baptisées" de bonne grâce, par du pipi d''Ange on dirait ! Pas vraiment salies ! douchées plus que salies ! allouées ! baptisées ! auréolées par du pipi ! de vache à lait on dirait ça le fait! pis des prés ! lait ? lait sucré nacré ? O,n aime grave le lait ! On veut grave l'aimer = l'aduler = le bénir = le ma,nger ! vivement le trait ! On veut toucher le lait = l'avaler , le tenir , le sentir couler, le bouffer de près ! chérir ! l'aimer alloué ! Sentir le trait pisser et le téeter comme à jamais sans coup férir ! aimer ............ aimer ............... aimer ............... aimer .................. aimer téter ..................... aimer ..................... aimer grave téter ................... grave aimer téter .................... chercher le ,néné ........................ chercher grave le néné ............................................................................. toucher le néné ................... cxhercher grave à toucher le néné ............... le néné de vcache ............................... pis .............................. pis aimé ........................... pis grave aimé ........................... pis aimé grave ............................ grave pis aimé ............................... tracezr, courir, aller, chercher, combler, chercher loin dans les entrailles le Passé ! ............. qui sait ? .............................. et si devant (après le pré) il y avait ............. le Passé passé ? LE trait des F2es , le tracé, le Passé tracé, trait de Fée de type Lacté ! ............................... Fil de Lait ....................................................... ./Lait acidulé ......................... lmait n acré ................................. lAit des LMaits acidulés de tuype nacré / tracé / aimé .......................... On est la Fée, post-mortem, des prés tracés , on veut grave travezrser le pré et filer ! aller ! courir grave vers le TRait des Rages ............................. trait acidulé comme s'il en pleuvait
pleuraiot
pissait grave; sur pré, sur herbe allouée. On entre ! On est cfomme accolées de bhase (ailées) et du cfoup, étant accolées, ou ainsi accolées, on peut entrer en cette roche des données données , roche rude /dure ornementée, roche aux Données tracées de type Aventures, REvoyures, BHêtes à fière Allure ! On est F2e des PRés sur HErbe ALLouée à une Vérité de type Comprenure ! On veut toucher toucher toucher d'eaventure le tracé de Bure ............................... festivités ................................ fêtes auréoléesv ............................. cxhants des Runes ................................................................................................................................................................. portillon ............................ extrème-onction ................................... coulures et autres moùuillures ......................................................... fuite de son ........................................ conjugaison ...................................................COnjugaison maison.
4/11/2024
On mùate ! on est matées ! on mate grave et aussi, on comprend des choses du coup , comme quoi la mort est, dans les profondeurs de la Roche, enfouie ; La mort en vrai est enfouie (on dirait) dans les profondeurs de la Roche ci-après ou ci-devant. car voilà : on est entrées ! on a passé le "Rubicon de l'âme", on trace ! On est accolées comme deux ailes "affrêtées" comme qui dirait à une sorte de bête des prés (papillon ?) qui (de fait) va et vient et ne regarde pâsz à la dépense ! On est ensemble ! on est vives ! on se ressemble forcément : on est de base ailes des prés , chantournées, vives de cghez vives, tracées-dessionées à main levée par une sorte de divinité de genre fictive mais, en vrai, qui est, qui existe de fait , vfa et vient sur rive, monte-descent, grave et comprend (ici même en roche) les données profondes /.. On avance ensemble, en cette roche dure,on est soudées ! On colle = on se cfolle ensemble l'une à l'autree, pour en vrai cerner les choses, les données du monde, ce qui est et ce qui (peut-être, qui sait ?- n'est pas tout à faiot ! On cherche ! nous voici voilà passées comme par la bande en cette sorte de paroi, paroi de contrebande qui, on dirait, nous aéttendait impatiemment eh bien voilà ! nous sommes là ! nous sommes arrivées ensemble en elle ! On regarde ! On veut toucher = cerner = dire et ce n'est pas peu dire qu'on le veut ! on respire ce dire ! on est mortes d'envie ensemble de toucher ! de toucher-cerner les donné&es divines ! roche des prés ! bhêtes des données rupestres ! chmps et herbes au taquet ! on veut grave ensemble comprendre ce que c'est que cette chose, d'une sorte de rotonde devant soi, qui serait là comme à nous entourer de "ses nénés", qui sait ? On est nées sur hrrbe ... comme deux antennes ! On veut ou on voudrait de fait ensemble comprendre à jamais les données terrestres d'une qorte d'entité, genre "herbe des pr"és" = "herbe do nnée" par on ne sait, mais en vrai on est qu'on ne désespère pas complètement d'un jour deviner ! toucher au but ! aller vers elle (déité ou divinité) pour mieux cerner de quoi elle est faite (La Mort) en ses quar'tiers de fond de roche ornée. On veut de fait ensemble en tant que fée comprendre qui est qui , ce qui est qui est qui nous rezgarde ou b-nous regarderait (grave) de la tête aux pieds sans disqcontinuer, et nous de nous laisser ainsi mirer ou ad-mirer ou seulement ou simplement mater, ou comment ? car nouys voilà cernées ! touchées des yeux et du coup touchées comme si en vrai on était nées fée (une fée) au passage des cieux ou comment on pourrait en vrai dire cette chose (ici roche) comme quoi voilà : en passant, en traversant, en passant ERoche des Données Rupestres Néandertalienbes on est comme "tombées" de force dans un pré et du coup ... on se relève ! on est nées fée (une fée) à la relève ! on est passées à deux , nous voici transformées (dans la mort "prairizale") en une Fée vdes Convenhances de Plaisance ! on est nées ! on est nées Fée ! DAns la Mort dite "des prés" o,n est nées (on est deux femmes) en tant que Fée (une) pour l'éternité dite "de contrebande ". On est La Fée du "Cimetière ajouré". ON EST Fée des herbes (et autres fleurs sondées) des prés de luzerne ! On veut toucxher à cette déité des données rupestres telles que représentées pzar (on dirait) homme ou /et femme des cavernes néa dertaliennes . On est passées tête la première et nous voici tommbéees opu comme tombées de l'autre côté , allouées à une sorte de pré "célestr" ou de prairie "celt" ou de chgamp fleuri aux données rupestres infinies (?) qui nous "regarde" faire comme qui dirait, soit :
toucher, toucher , toucher
dire dire , dire
cerner, cerner cerner
aller et aller
chercgher de fait à mieux cerner les données du monde d'une vie d'après-rotonde ! avez-vous cerné ? Avez-vous compris la Chose ? Le seiuil de bonté ? La Rotonde est dans le pré l'enclave des Formes ! On veut toucher à certte vérité des données profondes aux allures de Sainteté ! On veut toucher toucher toucher à cettte sorte en soi (en vrai) de DFéité-Divinité DES Données Profondes au sein du pré ! On est FÉe ! On est la Fée post cimetière , post-rotonde qui sait ? ou sinon post paroi des ombres et autres roche gravée-dessinée des fonds de grotte (demandez l'entrée !). On est La Fée des Hommes (?) ou Ombres (?) ou HOmbres (?) ou qyoi d'autre, ayant disparu (fichu !) au passage de rOche car, on le sait à présent parfaitement, ou sinon parfaitement assez bien , on sait à présent assez bien cette chose ici comme quoi l'homme - ombre (hombre) est, au passage de roche ... à trépas, pour ainsi dire, nu velu foutu ! Né il passe et meurt ! au passage de Roche, à trépas, le voilà à bas ! enterré des faits ! Il ne passe pasou plutôt il passe (oui) au cordeau, mais en vrai transformé en deux (on dirait) entités de rage allouée à une sorte pour le coup de Fée Ailée ! On est né Fée au passage en pré ! Homme cerné, abattu nu, sombre dans les nues, laissant de lui "sortir " les ailes d'uune sorte de F2ée Naturelle ! On est Fée des Prés surmenée ! Onnveut toucher à ce qui est qui nous regafrde (regarderait) de près on dirait ou cherche à nous touchger comme si en vrai on était née s de base ailée alors que non ! on s'est retrouvées "transformées" en fée au passage en pré ! au passage des données rupestres ! homme est DCD quand ELLES (fEmmes au pré-) sont nées rupestres en tant qye Fée des Herbes (du VErbe) charmées ! On est accolées ! RAGE et COURage ! le vcoeur à l'ouvrage ! On est La Fée "des prés du passage" et on regarde, devant soi et sans tarder, ce qui est qui , on dirait, lui ou elle aussi nous regarde ou nous regarderait sans traîner ni nous lâcher pour nous comprendre = nous prendre , ou mieux nous comprendre ou comment on pourrait dire ? nous TOUCHER_COLLER ? NOUS EMPORTER DE RAGE EN SES LACETS ? NOUS EMPORTER DE FACE EN CES LACS DES PRÉS ? ON cherche ensemble c'est un fait à comp^tendre les données de base ce qu'elles seraient en vrai sur place soit en ce pré aux données de rage, des fées de passage et autres créatures soulevées, lancées, hautes sur roche , traversées de choses et autres de type VErbe-né ! verbe au taquet ! cghant des prés post-cendres allouées, et autres chants aux données celestes ! On veut toucher de près à ce qui est en ce pré aux airettes ! on veut en vrai COLLER ! toucher = coller ! On veut dire et aller, chercher, se coller à une sorte de données rupestre aux allures de mur d'enceinte ! Qui on est ? Une fée ailée, on se pointe jusqu'au bout du bbout du pré alloué à une sorte de donnée rupestre ! On veut toucher = dire à cette sorte de donnée ce qu'on sait ou saurait de l'herbe (verbe) sur pré ! Onn est née Fée au passage en herbe ! on est nées Fée au paassage alloué à une mort actée ! On veut toucher aux données célestres ! On veut toucher-cerner et du coup com^prendre (ensemble = ailées) les choses de Roche : qui on est, qui on est pas, qui on veut toucher, qui on ne vceut pas toucher, qui on ne veut surtout pas toucher, qui on veut cerner en vrai , qui en vrai on ne veut surtout pas toucher-cerner de quelque manière que ce vsoit ! On eSt fée des prés passée en roche comme en contrebande sur le cul ! née nue ! née sur le cul nu ! on esst passées ! on était deux (au frais, au frais de la grotte allouée) qui voulions passer , qui voulions ensemble traverser (de chic) la roche ornée, eh bé voilà que nous nous retrouvons comme "située" en vrai en un pré aux bêtes de masse, charge grave, poids des mots sur pré de base et utres herbes de bas-âge ! On est passées ! On était Elles , et d'abord il ! il devenu Elles fdevenues Fée = UNe , de Chasteté ! salubre ! Chant des données rudes ! On a traversé ou comme traversé ensemble la contrée "méchantre" et nous voilà enfin touchée ou (disons) comme touchées par on dirait une sorte de "main des prés " , main surnatyurelle, main suvreélevée qui voulait en vrai on aurait dit nous emporter ou nous embarquer avec elle ici en son étui ;! on ne veut pas passeer pour on di!ra ce qu'en vrai on est pasv ! On veut toucher-aller, dooner-cerner = jouer ! JEU DES HERBES ! JEU DU VERBE ALLOUÉ À DE L'HERBE ! JEU DES DONNÉES CELTES = CÉLESTES = CÉLÈBRES = VIVES ET CONSACRÉES ! O on est nées FGée au passaghe en pré et nous voici ailée de fait , ailée comme "de Verbe" , = allongtée ! porolongée ! souveraine !
Fée des Prés cherchezrait à cerner, de près, les données rupestrszs !
On veut c'est vrai toucher = toquer, mais quoi ? les données en herbe ? L'herbe ? La pâroi "aux herbves" soit l'après-par(oi (après-soi ?) des dfonnées en herbe ? On cherche ! on ne s'arrête pas de chercher (ensemble) ce qui est ! On veut toucher )à une déité des reves ici allouées à une sorte il semblerait de vsommité surnuméraire : le Néné ! le Néné en herbe ! sein des prés cherche à se donner et à donner du coup son lait genre denrée ! dent de lait ! on aime ! On a grave en soi cette envie allouée de comprtendre = toucher, ... à quoi ? à cet abri , à ce cagibi ou sorte de , à ce pré-enclavre aux bêtes de somme et autres cerfs de seconde zone ! On veut être nées Fée (une fée ailée) pour cerner (mieux cerner) les données profondes de Rotonde ! qui on est ? peut-etre dans la mort, en effet, FEmmes allouées poour former Fée, qui sait ? des données Rupestres . On veut grave toucher, cerner = dire, comprendre et aller ensemble, à la recherche de la Déité dite "des Cimetières" ! On est N2ES ! nées sur pré, au passage en rocghe, et bnous voilà fée ! Fée des prés de belle zone ! on est entréess ! on est passées ! on voulaiot toucher , szoit dire et cerner les données de Roche ! On entre ! on cherche à comprendre et du coup toucgher aux nénés de l'ombre ! On est nées Fée des Données de ROche (Rotonde) et nous voilà cernées ! entourées ! comme encerclées ! La Ronde aux données ! Pré cerné ! Champ-pré aux données allouées à l'herbe à brouter (le Verbe) comme s'il en pleuvait (des traits ! ) . On est nées Fée sur pré des Ombres ! nénés ! les nénés ! où donc on pourrait de fait trouver ensembkle (accolées formant Fée) les nénés des Ordres ? Où ? On est cfomme "parachutées" c'esst dire ! On voulait aller et donner, prendre et comprendre, et nou!s voilà comme "parachutées" de force par (ici) une sorte de Forme Oblongue ou comment, qui est-elle ou quoi , ou qu'est-ce ? que , là, ici même (pré) cette Forme aux Nénés ! on cherche ! on tend les bras (ailes) , on ne regarde pas à ce qui est de nous donné ! on veut = on va ! on est pas chiches d'y aller ! on veut
TÉTER ! GRAVE ! GRAVE ON VEUT ! TÉTER LE NJÉNÉ ! ON VEUT OU ON VOUDRAIT! GRAVE TÉTER ! LE NÉNÉ DES PRÉS ! LE NÉNÉ DES NÉNÉES ! GRAVE EN VRAI ON VEUT ET SANS S'ARRÊTER ! SANS SE GÊNER ! on veut toucher à ce njéné de l'Ombre, de l'Ombre emboiîtée ! Ombre ancrée ! Ombre des ombres emboîtée-ancrée en certte sorte de roche des fonds, fonds de pré alloué, chant du cygne du pré, mur-cloison de Rotonde-enclave ! charge ! poids de maison ! bande et contrebande = la clioson des Monts, des do nnées prairiales en leur fond ! chyarge mentale ! on va, profond, fée, chercher ! on va, en fée, ailée, chercher ! on est la Fée dite "des Données profondes" sur pré . On est La Fée des Prés cherchant réponses et d'abord questions concernant la Chose aux données prairiales. On veut
TTouccher !
Grave toucher ! Coller = dire ! Allouer à un dire l'herbe à b router pôur vache à lait ! pis des herbes folles ! pis d'hole ! pis des pis comme une sorte de donnée folle ! On est Fée des prés et o,n s'envole en vérité vers une sorte de cloison d'époque, gravée, chahutée, tracée et traquée , qui est mur d'école ! cvorps d'ombre ! vérité des vérités ! On colle ! On veut touchger = coller = cerner = épouszer la Roche, les données vfrontales de fin de parade ! On est née Fée au pâssage et nous voilà cherchyant (comme un fait exprès) à nouveau passage, cette fois en fond de pré, direzction .... eh bé qui sait le Néné ! De rage un néné ! pis dit ! le pis est dit qui dit son dire (ici) des prés = para-dit donné ! don de lait ! On veut téter la Mort allouée ! On veut (la mort allouée ou donnée) téter, qui le dit qui le pis, qui le pis-dit, qui le dit-pis, sein de contreaba nde pour une sorte de marchande (fée des branches). On veut (grave) toucher au Néné de L'ombre sur pré, charge "forte", conditionnée, allouée à une escorte, à un train de dés , vers de rage et autres versets ! On veut coller = donner ! donner =verser ! Dire et toucher ! comprendre ! sentir = presse,ntir ! Don de soi pour une charge "drôle" ! on fonce ! On veut être la fée des ombres , l'attelage nacré ! charge-somme des données pesantes, lourdes de vérités ! On est nées Fée sur pré quand on est passées , et nous voilà comme à la retombée cherchant à mieux nous immiscer ou glisser de rage en ces données prairiales, vérités et contrevérités feraient bon ménage c'est étrangfe ! un p)aquet ! le paquet du Verbe ! chasteté en herbe ! gente d'herbe et des fleurs nacrées ! on veut aimer = cerner les données dees Frères et autres ordres dits "de Chyasteté", "de SAinteté Naisqzante", "DeS données de Branche". oN veut coller pârce qu'on est née (fée) et que (en vrai) on a bvesoin (qui sait ?) d'épouser la Roche, la Roche des Termes (finalités et Verbe ! ) c'est un fait ! On est nées "La Fée des Herbes" allouées au Pré des Données Rupestres néandertaliennes (tu le sais c'est vrai !). On est passées ! On voulait coller eh bé c'est fait ! On voulait grave aller et dire et toucher -cerner et auusi comprendre, et par ouï-dire et en vrai (sur place, en face) les données allouées à un pré dit "des Vérités Sauvages", c'est fait ! On est nées ! on est Femmes des Prés allouées, à une sorte de Romance
aux donnéesz de base , Fée des Fées des Bases tracées ! On veut :
COLLER = DIRE = CHERCHER = CER NER = COMPRENDRE =COLLER = FAIRE = CHARGER = CONSACRER = VIVRE SUR HERBE LES DONNÉES RUPESTRES , SONDER = COLLER = TRANCHER = VIDER = ALLOUER À UNE SORTE DE DENRÉE (LE LAIT) UNE SORTE DE VÉRITÉ (ANCRÉE) DE TYPE VERBE, VERBE À VÉRITÉS = VERNBE -NÉ DES DONNÉES RUPESTRES ! On a grave ensemvble envie cde toucher aux nénés du verbe = pis ! pis de lait en herbe = spi ? spi = pis ? Qui sait ? On veut de fait toucher le pis dxes données vives (lactées) comme s 'il en pissait surnuméraire sans arrêt ! On cherche ! on est pas en reste de cherc her ! on veut coller-toucgher-cerner-pister ! comprtendre = faire = donbner = coller ! mais comment coller quand on est fée ? On est La Fé&e ^post-cimetière aux données rupestres ! Qui on est ? LA fée en Herbe , ici (peut-être) un brin chahutée par on dirait des bêtes de trait allouées à un pré "post-cimetière" ! On veut toucher = sonder ! qui ? l''^$ETRE ! LE Passé ! le temps Passé qui seraiot l'ÊTRE = le VERbe ! chant sacré ! chant donné ! vérité des vérités sur pré et ça le feraiot ! On est La Fée du pré passé, cxhant de la Terre ! Vérité et contre-vérité forment le pré aux données célestes , la Pensée du pré, l'idiome Nacré, Fleur de Lait et autres Vérités Langagières sacrées ! ça le fait en vrai ! le néné ! le néné de l'herbe ! pis aux données vertes ! C'est un fait avéré qu'on l'aime en tant que fée ! car la Fée aime l'herbe, le V Erbe, le Laiot, Le sein aux données, le Néné ! Les données données par (on dirait, ici) le Néné alloué à une Vérité post-cimetière, du genre : vérité et contre-vérités jumelées ! yin et yang au débotté sur branche aux Nénés ! on entre ! on pâsse le nez, l'oeil frère, une sorte de doigt poiinté, un pied, une mèche, une tête , qui sa&it ? On est entrée ! fée entrée ! fée des Fée entrés commpe à l'arraché en cet antre des do nnées finales de type "mur de rage" ! on regarde ! on regarde bien en face ! on veut touchger de rage ! le Néné ! Pis des Herbes tracées ! traits ! traite ! traits des traits comme s'il en pleuvait ! un trait = un trait de traite ! pis trait ! pis des traits et pis des traites sont dsonnées de base mortuaire ! on veut grave pisser ! pisser du lait ! pis donné ! lait de charité ! chant d'espagne ! le teracé nacré sent la Rage allouée à une sorte en vrai de V2rité SAlée, Salée de fait, comme consacrée par en v rai du se"l d'espagne ! On veut en vrai toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucxher toucher toucher toucher ensemble (ailées) à ce sein tracé aux données lactées : pis de Verbe = Néné d'Herbes, genré, comme alloué à une sainteté post-cimetière ! on est nées ! Verbe -Femmes des Données de Rage ! passage ! tracé ! Charge ! attelage ! Onest comme en vrai un peu on dirait soulagées d'être pour le coup passées et qui plus est pâssées ensemble = attelage = ménage = conditionement de base en termes de remaniement, changement, d'il en elles, des données de base ! et ce : par; oon le sait, la Rage ! la données Suprême ! Rage de La rage ! changement acté des données de base ! d'il en elles , ailes, Fée des prés ! on est comme tous / toutes transformées , du singulier (masculin /féminin) au pluriel "des fées", des données rupêstres,sang de Rage coulé, on est passé en face ! tracé ! trait ! trait fait ! tracé d'ange ! trait ! fil de trrait ! charge ! on passe ! on v eut passer ensemble nous deux accolées femmes d'ombre sur pied ! On veut traverser ! toucher à cette déité des données rupestres comme soupesée , on dirait, par le verb e = l'herbe, des données prairiales et autres données sardes (qui sait ?) . On est comme soulevéeds ! dites ! postées ! do nnées ! cghaargées ensemble (ailées) d'un dire de poiids de type bête de paroi : la Bouquetine xdes données de rage, l'Antilope de France, L4auroquinhe marocquine ! La Belle des Poids, le TRacé-Massue, l'ombre-verrue ! La charge POstale et autrzsx Mots de base animaliers de type Bisonnné, Bises des données aimées ! On chante ! on crie de Rage en face ! on veut gravir ! monter fissa ! coller de rage à loa )aroi finale sur toundra ! transe ! transe mentale ! chyanht d'Espagne sarde ! charge des rois, reines de Saba ! colle -massage ! Plantigrade ! On veut :
comprendre = dire = toucher = cerner = pousser = traquer ici les données cruciales, celles qui en vrai pèsent ou pèseraient grave dans la balance ! on est la Fée des prés de base, la Donnée dees Rages, l'Emportée des Envolées, des envols-traces ! traces des tracesv ! On est Fée des prés ...................................................................................../././.............. allouées à une trace ! .............................../ genre "satiété" ............../............ ou alors "pa ssé" .................................. ou même "sainteté des données sauvages" ........................... ou qu'est-ce que ça pourrait être d'auttre qui le ferait en vraéi ? ..................... car en vraéi on a envie ensemble "toi et moi" = fée, de cerner = comprtendre ce que c'sset qui nous regarde en face ! face d'éternité qui sait ? face des données frontaéles ? une sorte d'anfractuosité coupable ? qui est qui en ces contrées ? qui regarde qui ? qui mate la fée ? qui est là pour pour le coup mater ? On dirait .... D2ité ? ok ! mais qui c'est ? Vache à lait ? pis de Vache à laiot ? pis des donné"es lactées comme s'il en pleuvait et nous de nous poster tout près le bec ouvert pour boire ou manger ? On veut grave téter les données rupestrezs = nous coller .... au VErbe = à l'herbe = brouter ! manger ici = brouter , l'herbe allouée à une Vérité Surnuméraire (natuirelle) aux données ancrées de type S
ainteté sur Terre ! on veut toucher toucher toucxher toucher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à cette sorte de Divinité en Herbe ! Sainteté rupestre ! chant lacté ! Verbe ! Vérité en herbe = Donnée des Données = Fée des pRés, = va-t-en guerre alloué à une recherche sévère ! On est née la nuit passée ! on est née fée la nuit pasdsée = traversée ! la nuit = le rocher ou roc aux entrées ! On est la Fée du cimetière dépassé ! ddu passé consacré, alloué, déposé ou posé sur pierre ! alloué à une sorte de donnée rupastre ! Le PAssé déposé piour faire son petit effet de "vie sur terre" njaturelle,élancée, vive et tracée, chargée d'herbe, collabée ! On est née Fée squr Herbe à la retombée la Mort passée, c''st-à-dire avérée , actée, entérinée ! On est Fée des prés la Mort passée, commùe qui dirait "libérée" ! ON est Fée du Pré aux Herbes-Verbe chahutées par des danses celtses et autres transes de Saba ! On entre ! on est entrées ! on est là ! on chante ! on veut toucher-cerner-piger-comprendre-saluer-toucher la bande (ici bas = pré) des doonées de France ! calibrées ! sondées ! tracées ! chargées ! constamment comme aménagées comme dans la souffrance d'une sorte de tracé, d'allant passé, de cxharge frontale ! On est nées Fée ! on est la Fée née sur paroi de grotte ! chahutée mais née en vrai et du coup placée ! On veut toucher à une vérité xdes Ombre's de Pzaroi de grotte ! On veut toucher = dire = faire =cer ner = comprendre = cerner ensembkle les données rupêstres, ce tracé des bandes, vents de face = pets ! traits des fées ça charge ! ça envoie grave ! péta rades au vent mauvais tu penses , si en vrai ça le fait grave ! comme un fait exprès ! ça le fait de face ! vérité ! vérité des vérités = chants des traits de base et autres tracées faits à main lezvée par une bonne âme , par la Charité ou Sainteté d'un hommpe-femme ! une femme trempée, femme -homme cdes prés et aiutres champs de garde ! salué ! sauvé ! chahuté mais sauvé on en redemande ! on ne veut pas passer à côté ! On nest la fée des champs de garde ! contrechants des contrzbandes ! bacchanales ! cavalcade et parades sur paroi aux Charmes ! On v eut grave se donner aux données de l'ombre et toucher ! les toucher !cerner ! Dire et pousser ! Fermer le clapet ! ne pas sombrer mais de fait regarder ensemble ce qui est qui nous rassemble en tant que fée, ailes allouées à un corps de sape, satiété, sainteté de rage, véracité, verbe ancré à même un tracé, herbe aux données sages, vents données sur champs alloués à une sorte d'enclave seconde, pré ! p^ré aux fées ! On veut toucher ! on ne veut pas ou plus (pl;us jamais! ) passrr à côté mais tout au contraire cerner, dire et faire, caler son dire en vrai sur le faire alloué à une sorte de recherche en herbe ! un tracé de fée ! sur terre agraire ! sillonnée ! broutée ! On veut plaire ! on veut en vrai aller et toucher au V erbe des données Suùprêmes ! Charger ! tracer ! coller ! foncer ! filer ! cerner ! graver et dessiner la bête aux données"superbes" = vives de chez vives ! vie d'appui ! On veut faire effet = impressionnher en vrai, par des bhêtes de poids (masse-et -rage), l'être Des données Suprêmes = Déité Sa&crée, Herbe des Prés, Déité des D2ités ou des Divinités "naturtelles" ! ça le fait ! on diraéit qu'on aime en vrai ainsi comme êttre de fait chahutées par le Verbe aux accents "cornus " ! vie vive sur paroi de roche ! mots de grotte ! animaux ! charge ! paroles doctes ! vents de rage ! face d'hommes morts sur roc , l&aissant de fait passer à travers (?) eux la Cause ! On veut le mieux ! Dose d'époque ! Chant des ROches sur p aroi sombre ! On est deux ! deux ! on est deux sur les deux à vouloir, la roche, la toucher-pénétrer-traverser -dépasser .... DEux Ailes au débotté
Font la Fée des PRés
Allouée au x Nénés comme en vrai
Le bébé en herbe Du vErbe
SAinteté Nacrée, Chant de l'herbe
Bête maigre , bête grasse
On les aime en vrai comme des entités ici déiféies, déifiées de base, ou diviniszées ça le fait ! aimées ! bêtes de poids sur pré aimées ! adorées = adulées = consacxrées = cxhargées, d('une sorte de Verbe du Pré = HERBE ! l'HERBE VERTE = VERBE ! on aime ! on veut grave aller ! sonder, toucher, creuser, traverser = aller de l'autre côté sans sourciller le moins du monde, parce qy'en vrai voilà on est la Fée, Fée des prés, post-mortem on est, qui vgoulons tracer , voulons grave en avancer de fait dans les connaissances liées au tracé des données rupestres (chants déifiés) des rOches Calcaires ! Sainteté des sa&intetées Rupestrse ! Charges-nées sur pré sont Paroles Doctesx = Véritrés Et contrevérités disposées de base en corolle ou forme de, car mises ainsi, sur place , déliées, comme à la parade ! chahutées et chapeautées elles tracent ! vont et viennent et chargent, foncent, vitupèrent, grondent, forment (oui !!! ) Corolle Sacrée (nacrée) ?) en forme de Ronde ! Ronde dessinée ! Rotonde ! la Donnée Cerclée ! ou e,nvcerclée .... Fond de pré, sur roche profonde intra-pariétale avouée ! On est fée du PRé des Forces ! collées ! on est femmes collées ! accolées ! attirées ! sonnées ! sondées ! collabées ! prises sur le fait comme quii dirait d'une sorte de' collage monstre ! vérité sucrée = llait de roche (comme qui dirait) ! On est La fée donnée ! danger ? ça force ! ça gronde ! on dirait qu'au loin au fond ça gronde ! danger ! ça force ! on dirait au loin que les données du mondfe sont tracées qui nous espionnent , nous rapellent à l'ordre ! mèfle à ces données ! merdum attitré ! on ne veut pas en tant que fé&e céder mais en vréi continuer-persévérer dans notre "ronde" nos recherches avérées assistées, allouées, tracée's ! Cherche-corolle ! cherche-entrée ! cherche-vérité ou passage de roche par où en vrai pâsser, s'immiscsr, coller pour mieux traverser et de nouveau comme nous retrouver de l'aéutre côté à présent du pré ! des données de pré ! des herbes folles ! On veut foncer = toucher = prendre (en vrai) la tangente tracée pour une sorte d'immixion de roche ! au taquet ! sans s'arrêter ! fi des traits de Verbe , saletés, tracés morts-nés on s'en fiche pas mal puisq'on est fée qui (de fait) traçons grave sur un pré le SEntier ! on veut toucher à cette Déité Surnaturelle (?) ou naturelle( ?) surnuméraire aux données données allouées à une Vérité qui est la Vérité des Vérités ! mort donnée ! mort ou la mort, en tant que Donnée Sprême ! qu'est-ce que ça pourrait être en fait ? de l'herbe ? du lait ? herbe à lait ? herbe verte pour du lait de ferme ? Femme sondée sait ce qui est car elle est née fée dans la mort affichée ! On veut toucher de près ! l'herbe du pré ...................... des do,nnées vezrtes .................. et autres données données pour unje sorte xd'immixtion "certaine" , "avérée", "allouée en vrai" à une sorte de denrée, qui szerait ............. eh bé du lait ! en vrai ! lait d'herbe si ça se pouvait ! Le lait ici (pré) provenant de l'herbe broutée sanbs disciontinuer ! tracé de vernbe sur sentier jamais quitté ! fait vrai ! données données ! charge sur sentier comme une sqorte en soi de donnée sale mais concrète et affichée comme' à la parade des bêtes de masse ! On est Fée du Pré de Base ! Trace et Donnée de charge ! vérité afficxhée sur base prairi&ale ou autres bases aux bêtes de pré ! On est La Fée du pré des Rages ! Fée données ! chants de charge ! pesage ! pesage ! pesage ! pesage !
......................................................................"PEssaace" je disais (enfan,t) ! .....................................................................................................;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;.................................... pesage comme qui dirait des données de base ............................ on veut toyucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher tpucher toucher topucher toucher topucher toucher toucher touycher touycher touycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher touycher toucher touceetr toucher toycher touycher toucher youychef toucher toycher youcher toucher toucher toucher toucher toucher troucher toucher toucher toucher toucher toucher touycxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher ouycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher toucher touchef toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher toucher vtoucher toucher toucher toucher toucher vtoucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher vtoucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycxher toucher toucher toucher sans s'arrêtrer, à pareille charge des données frontales ! charger = donner = faire = distribuer à Déité le Fruit des nos recherches vives ! On veut coller à une sorte De donnée Finale, type Rotondçté des Rotondités TErminales, Mur des RAges, Fins de Trace. oN est Fée deLa Fée des Ombres ! On Veut collerv= toucher = faire = dire= comprendre ensemblme un certain nombre vde données de base genre Vérités Coriaces, CXharges de pré, Gentes Dames SAluées cfomme en vrai, Passé de Charme, Contingent de bêtes sardes, Le Passé déposé en termes de vivats cfomme s'il en pleuvait et autrtes dépots de base ! On est la Fée du pré aux données gravées , on s'avance ! On veut coller = dire = faire = comprendre ensemblke ce qui est qui tremble(ici) cfomme un n ouveau-né chercvhant à téter ! On veut toucher ici (en vrai! ) au néné et du coup boire le lait = téter = faire ainsi "pesage" ! le néné des ombres portéesz aide au pesage d'une denrée qui est le lait ! le lait de Rage ! la donnée donnée donnée de base et ça le fait ou le ferait pour une éternité qui sait ? ON veut :
dire et faire
ce qui est qui nous entraînerait ! nous porteraiot ! nous aiderait à comme nous envoler en tant que fée ! fée des fées de Rage ! fée surnatiurelle (?) ou naturelle (?) qui sait ? du moment qu'on est ! qu'on est fée sur herbe de pré post-mortem comme qui dirait ! On vole ! on monte ! on veut toucgher topucher topucher topucxher toucher toucher toucher touycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher roucher à cette sorte (en soi) de Déité
des DOnnées fébriles, V2rités acides (qzui sait ?) dont on devinerait (en tant que fée) les axes avérés, tracés de dires, charges centrées cendrées, vives qualités. On veut :
dire = faire = comprendre = donner = comprendre = cerner de fait les données de charge, ce qui est ici qui plombe grave, pèse son poids de rage et autres mots de trop ! On monte ! on est grosse des mots de l'ombre ! On veut monter haut ! aller au plus haut des données de roche ! s'élever ! nous élever ! monter au plus haut des données, vers Néné ! Néné docte ! forge ! fers acier ! chants des portes ! Vérité sondée donne un accès aux données profondes type "V2rité des portes" ! On veut coller ! toucher à cette Chjpose d'une sotre de "porte d'entrée" vers .... autre chose ! mer ancrée ! vagues d'or ! lait des fées ! or ! or ancré ! or nacré ! or sacré ! or cdes ors aux données données comme s'il en pissait ! douce données ! vives et douces données des données ou d'entre lesz données ! On v eut monter et traversert-szortir la tête et coller au V ERbe ! toujours coller ! ne pas s'arrezter ! coller grave sa tête sans céder ! pas grave la saleté ! le genre ! la vie des données ! pas grave en vrai la saleté donnée ou lles données lâchées comme des pets ! On entre= on acte ! On fait faits ! on est / on devient Fée des prés et ça le fait en vrai ! on s'aime ! on colle ! on est ailes = elles sur pré ! Elles " au débotté formant ailes de Fée sur pré, sachant voler, monter, grimper, cher c her à s'immiscer et du cvoup sortir la tête ! Qui sait ? qui connaôit le Verbe de l'ÊTRE ? qui saura nous éduquer,nous donner le trait, les données de trait, la Vache à lait sur herbe et autres grossièretés salutaires ? On aime ! on veut ! on charge ! on est de'ux sur nos bases ! deux ..../................................................................. dfeux de rage ....................................../........................................... deux sur deux ............................................................................................... deux êytres de base sur pré des Rages ......................................................................... cdeux femmes sur deux .............. collées, accolées, soudées, coriaces, genrées en tant qi'on devient Fée de base, trait d'éternité sur pré aux anges-vaches à lait ! .............. accolées-souydées ......./............ ailes nacrées ............................... ailes de vache sacrée .....................................................eMLLES ! ELLES sur pré ! .................................................ELLES= AILES sur un pré d'herbe-verbe ! On veut tyoucher à ce sommet des cfontrebandes et autres vilennies suprêmes ! charger = toucher = dire = donner = comprtendre = concéder sur herbe les données frontales = vilosités , poils de barbe,peau de balle, saleté consacrées sur paroi des rages en grotte sauvage ! sainteté des saintetées comme à la par ade ! va-nu-pieds sur herbes mouillées ! sondage ! attreappage sur paroi cendrée ! on est passées comme par contreebande le mot l^aché, on est nées sur pré Fée, une Fée, Une sorte de Fée sans barbe, donnée, vive et élancée, une Beauté on dirait ! on aime les fées ! ion est fée nous -mêmes : s'aime-t-on ? Peut -être ! On est Fée d'herbe ! on est la F2e de L'herbe moui;llée ! on veut tracer, charger, comprendre, sillonner le chzmp des données de base ! pousser ! aller ! cghercher ensemble ce qaui est qui sezra&it e"n vrai le tracé idoine (pour comprendre)-cerner) sur herbe de pré ! Qui on est ? La Fée ! on dira : la Fée ! Fée du pré cendrée ! chant de RAge sur paroi gravée ça charge ! on trace ! on veut coller à un tracé de base qui serait un tracé-sentier, sorte de promenade-allée vers une Sommité dont le nom de fait sezrait "Déité", "GEnte Dame", "v2rité en vrai" = collage ! sondage, sens des réalités sur paroi finale ! mortalité ! mort allouée à un passage ancré sur paroi du pré ! On charge -chante ! on chante-charge sans arrêt ! le tout est de tracer sur bande une sorte de treacé de bgase pouvant creuser, comme à la parade, une sorte de sentier donné, trait de cxharge, sens de marche, somme allouée à une sorte de chemin dees vaches ! commodités ! On en avance ! on est la Fée aux Vaches SAcrées ! fée des fées et ça le fait ................................. grave ! ................... grave et gravéedx ! ................... grave ça le fait de base ! ............ on veut comprendre ensrembkle ce qui est qui se cprésente à nous en tant qu'on est à présent accolées-soudées pour former (autour d'un mot de verbe) Fée de Pré surmenée ! On trace ! On en avance sur la place ! On veut toucher toucher t§ouycher touycher tyopucher toucher tyoycxhefr toucxher toucherf toucher à comme qui dirait cette sorte dee romance ancrée, ttracée, allouée de fait sur sentier de v
ache ! vache à lait acidulé (le lait) comme surmenée ! ça trace ! C'est ancré ! ça charge ! cça donne son lait (petit) de contrebande sur le pré ! néné ! néné à lait ! le néné né des nénées nés ! On cherche ensembke (ailées) le néné à lait ! Ailées pour du lait à (de fait) teter de rage ! On aime le lait ! on veut cerner-comprendre-toucher ! aller et venir, faire-dire, sobnder, comprendre = pistonner = pister = charger = allouer à un pré une sorte de vache ou de mot-vache (vache à lait) qui saurait (grave) nous aiguiller, donner à co^mptendre, soulager, éduquer en vrai , nous donner du lait pour mieux de fait cer ner la vérité de , comme qui dirait , la donnée des données ! vérité des vérités coriavces ! M%ont donné ! mont des monts ! rotondoité ! déité rotonde ! rond des ronds ! ronds d'olmes ! On monte ! On veut ! gravfe on veut ! grave on veut toucher-comprendre les données des monts ! ronds de charme ! mo nts des monts ! grave de chez grave ! On naît ! on est naît de rage sur un mont donnjé ! don des fées ! Vie allouée à unpré aux données données ! Charge frontale sur paroi des bases ! On est entrées ! on a passé la charge, le tracé dessiné, passage des passages ancrés, nous voici F2e ! Fée des Fées de contrebande ! une Fée sur pied ! fonce et trace ! va et vient ! chante et danse ! se pavane ! lévite grave ! fée du pré , qui en vrai lévite et du coup monte , va et vient en cette sorte de rotonde ! Va vite ! file ! fonce ! chercghe ! va et vite, à la r echerche il semblerait x'un trou de roche ! Sonde ! colle ! veut colloer ! veut sonder ! veut cfomprendre ! veut donner ! eut dire ! veut aller ! veut donner de son alacrité ! veut charger le dire des données données ! pousser ! virer ! virer et sonder , toucher ! touxcher au néné ! aéu néné à lait ! On est la fée donnée, fée du pré donné on dirait au néné ! on veut aller-coller, donner-sentir, filer-allouer (à du dire) un,e qsorte de vérité scotchée ! creuser ......................................................................... creuser ..................................................................................... creuser ........................................./.............. creuser /...................................... creusrr ..................................... grave creuser ................................../.......................................... creuser grave et sonder ................................................................................ toucher ................................................. toucher au néné dit "de la Vérité en herbge et autres denrées " ........................... "denrées-vérités"de type "herbe des prés" , lait des fé&esz, vaches ancrées sur pièces montées , vraies données genrées et autres gentes vérifiées ! on aime ! on aime les fées ! on aime l'herbe ! le sentier aux fées et autres vaches agraires ! on est Fée des Prés données ! on aime l'herbe ! on aime le lait ! le tracé vers le cimetière nous mène ou mènerait à l'herbve, aux données lactées post-mortem et autres denrées-vérités ! Faits vrais ! chants des F2es ! chants sacrés ! On veut grave chanter ! creuser ! toucher ! a
ller et dire ce quiest ici qui nouqss attire sans céder, nous pousse à creuser, toucxgher, sonder(, dire sans arrêt, foncxer sur rive, écrire les données ,du Verbe chargé (bêtes-mots soupesées et autres mots de trop genre grossièretés ! saletés ! monsztruosqités ! vives traites de pis sondé !). On est Beêtes de tra&it ! Charges romaines ! dons de lait szur bière ! Acidité !On a grave ensemble ici, envie de creuser la Vérité des Vérirés rupestrszs. Ce qui est qui est. Ce qu'on subodorerait de base sans céder, sans prendre la tangente mais en vrai, de rage et de face, coeur vaillant, sans se voiler la face : fée des prés allant sonder de rage les données frontales d'une sorte de cloiszon finale ! On est fée tracée ! On veut cfomprendsre = aller =dire = cerner = ^poussser ensemble le soc de la Rage, soc de t§rait ! Romance et cxharrue sur Herbe du cru ! On avance ! on cghante ensemble ! on est cul nu , velue, montée à cru ! On vole nue ! on veut touxcher la roche profonde "haute" ! On nE veut pas laisser passer la roche mais tracer ! creuser ............................................................................................. creuser comme en force ! .............................................................................................. toucher /................................................................;;;;;.................. dire et donner ....././ coller et tendre ........... pisser et chier sur l'herbe des prés .................//................. cdomprendre = donner ............................................... = cernervc, ........................ allouer à de l'herbe verte une sorte de Verbe cendré , on dirait, genre : mots des rêves ! qui sa&it ? ......................... qui en vrai sait ce qi'uil en est de tout ce cortègfe de bêtes de somme et autres bêtes de p)aroisurnuméraires ! ? qui ? on ne sait ! on cherche ! on ne cesse de chercher danjs l'herbve ! on est nées Fée post-cimetière , des données du verbe ! On veut :
toucher toucher yopucher toucher touycher toucher toucher toucher touchert à une Sommité ! Aurochs ! AUROCHQUE ! AUROQUE CENDRÉE ! AUROQUE DES PRÉS ! BUFFLE COMBLÉ ! BUFFLE AU TAQUET ! CHYARGE DOCTE FOLLE ! TRAITS GROSSIERS ! MOTS DRÔLES ! TONNEAUX ! GROS MOTS ! CHARGES DE FORCE GENRE LE PASSÉ ! LE PASSÉ POSÉ ! LE PASSÉ DÉPOSÉ SUR ROCHE AUX NÉNÉS ! AURQOQUES DES PRÉS ! ANIMAUX DE TRAIT ! GROS ! GROS MOTS DE TROP ! GROS ET GRAS MOTS D'HOMME ! MOTS DES HOMMES -FEMMES DÉPLACÉE,ES ! HOMMES DES GROS MOTS SUR ROCHE DES MOTS! FEMMES AU LAMPARO ! homme mort laiisse sa peau d'ailes ! On veut en vraéi ensemble, toucher la Romance , La mort d'ange, La Vive Allouée Ancrée Sacrée Saluée R5omance du Trot ! Tayaut ! on monte ! on gravit ! on est ailées ! Fée ailée sur pré on monte tout en haut d'une sorte de boyau de grotte ! chenal animal ! cheminée des mots comme gravés sur roche, au couteau ! On veut aller ! dire et toucher ! sonder ! creuser = donner = faire = choisir = donner , sur pré, une sorte de donnée de Rage à la gente animale, ici débonnaire, mùortelle (?) ou sinon mortelle charnelle , et qui dit charnelle dirait , qui sait ? mortelle ? on ne sait en vrai ! on cherche-sonde ! on se pelotonne pour former Ronde ! sainteté ! Sainteté allouée à une sorte dee... "seinité" ! On ailme ! cercle de fait ! On veut toucher au Verbe SAcré ! hverbe d'herbe il sembvlerait ! On a méga-envie de creuser dans la terre et l'herbe un trou de Domaine ! creuset ! tombe du pré ! maéusolée des mausolée ! TTombe sacré ! champ alloué à une vérité ! On est nées Fée la Mort VEnue comme un cxhant Chargé ! On veut coller = dire = faire = donner = comprendre = cer ner = doter ! On est nées Fée au passage alloué à une sorte de trépâs de fée" ! Chiche ! chichement nées ! on s'en fiche ! on est passées ! morte et enterrées on a traverseé ou comme traversé les données de l'herbe pour (mieux) nous retrouver bde l'autre côté, côté Verbe ! côté coté ! côté verbe coté ! On est la fée du cimetière passé ! On est la Fée du cimetioère en vrai p assé ou comme cdépassé , soit fée post-mortem ça le fait ! On av&it envie ensemble grave de passer comme par contrebande ce premier muret qui donc est le muret des données dessinées (bêtes de bo,n poids bon oeil gravées à main levée) et du coup, à présent, on se prend à penser qu'on est de"vebnues "autres" soit "bêtes-mots de roche" ou fée attreappée, ou fée des prés, f ée volante, on a changé ! on a grave en vrai changé au passage ! on était cet homme aux données de genre, pas vr'aiment fini, un peu beaucoup nigaud, bête comme chou, nous voilà AILÉe ! fée du pré ailée , qui volons, allons, foulons l'herbe, décoloons, montons, traçons, cxhargeons ensemble "à la une à la d eux" vers p areille sortie (diurne) de roche , genre griffure, paassage menu, éraflure de roche de rage, embrasure, passage de charge, porte d'ombre, tracé docte, vent, air, souffle à travers la roche, par un interstice de poche ! On veut t§oucher de fait à une sorte de passage vif, tréit des traits en cette sorte de cloison, des fins de pré, finalité, fond de culotte ! Qui on est ? peut-etre en effet une fée dedx Fées, fée docte qui en vrai radote mais gronde, pousse, va, creuse ................................................................................................................................. creuse que tu creuserasxs .................. = va ! file ! ourle ! ourdit ! fonce ! pisse ! trotte ! vole ! fond ! cherche ! coince ! trouble ! veut ! colle ! colle à la paroi de roche, la dernière ! rotonde ! cercle ! enclave des vdonnées prairiales on s'y croirait ! On vgeut tracer et de nouveau (cette fois-ci en tant que fée) traverser la roche, l'ultime rocher des données données, et nous retrouver (de force ou deegré) de l'autre côté, côté coté : côté ombre ? qui sait ? ou bien côté soleil, clarté, vent frais, mer des bases, vagues dorées, chants sardes, données des données, vaguelettes dorées accompagnées de Verbe, CHant Sacré (on dirait) type "Museztte" ?(?) peut-être ......../.......................................... on cherche ..................................................................... on est pas arrivées ! On veut toucher ! toucher l'herbe ! le pré ! l'herbe verte ! l'herbe verte d'un pré aux bêtes surnuméraires et autres bêtes agraires sachant brouter ! vaches et veaux à lait (veaux à l ait ?) du tonneau ! Lait d'herbe ! petits veaux des mots ! On veut creuser l a terre des données suprêrmes ! collaber le verbe et comê l"'enfiler ou l'enfourner ainsi serré dans une sorte de fourreau ou de fourreau d'herbe ! cxhalumeau ! feu des elfes ! On veut tracer le mot de l'herbe ! se pointer fuseau ! coller ! dire et prendre ! charger ! aller ensemble et faire ainsi acte de présence dans (en ) la mort dite "du tonneau ou fût des vins nouveaux ". Ivresse ! largesse ! sagesse ! On est comme cernées en tant que Fée naissante sur preé ! on se doit d'apprendre ! comprendre lesz données de base, mots de genre et autres idiomes soupesés comme par la bande des données tracées (charges frontlales, bêtes de trait, béliers). On aime la charge ! on veut toucher ! on veut aller cerner coller ! troubler le genre et donner nos cendres ! quitter l'habit (ici) de bure mausszade et rezvêtir les ailes de la Fée des Rages, F2e des fées ! On veut :
aller .......... dire ............ creuser ............... chercher içci et là (en roche) le dire de la Vé(ité vraie, s'il en est = le TRacé des Ombres (?) ? qui sait ? Qui connéaît de près la roche assez ? Qui sait ce qui est qui est qui nous regarde ou nous regarderaiot en face sans s'arrêter ? On ne sait ! on est nées ensemble au passage accolées pour fgormer ........../............ FÉE ..................... FÉE DES FÉES .......././............. UNE SORTE DE
FÉE DES FÉES ..................................... CXHARMANTE, DÉVOUÉE, COLLÉE AUX BRANCHES, SURMENÉE MAIS ÇA LE FAIT QUAND ON CHERCHE R(OMANCE ET AUTRES CHANTS ACIDULÉES LIÉS À UNE SORTE EN VRAI DE DÉITÉ SACRÉE ............. ............/././././/.................. on dirait ... LA mort ? ou sinon la mort la quoi ? vie de trépas ? chant du cygne de la voie dans ... l'au-delà ? On grave sur paroi la bête grosse, grasse, faisant foi = foie ! on acte ! on veut cfomprendre ! toucher-cerner les données de base ! On est là (là-bas) pour ça : nottre chance ! tracer ! dire et poster ! coller aux nénés pour téter ! vas-y charger ! vas donc tracer ! chanter ! danser ! entrer dans la danse en transe : une vérité ! ou même la vérité vraie ! en transe vers Néné ! ça le ferait en vrai ! une chance = un chant = une soerte de chasse aux tourments , aux méchancetés ! On veut toucxgher à ce qi est qui se cprésente devanjt nous en termes de néné donné à téter ! on veut coller = s'y coller ! = jouer ! donner = filer = faire =prier = comprendre = sentir et creuser le verbe ! On aime = on veut ! On est femmes par le' milieu tu penses ! on est mieux en femmes dans la mort actée qu'en homme des dieux ! la b arbe ! coupées des cendres, on trace le mieux ! on ezn avance ! on veut mieux ! coupées grave! tracer le sentier come en contreabande ainsi ailées comme par le milieu ! Chargées ! on entre ! on veut :
traverser, toucxher la bande, filer, tracer fissa sur herbe des champs vers là-bas .................. l'antre ................ l'antre des antres ....................................... la Voie des ch armes ............................ l'onctuosité charmante ........................................ les données données comme par la bande et autres sentiments de b ase genre beauté, sainteeté, salubrité, santé ! On est entrées ! on veut poursuivre sur notre lancée... courir sans traîner ...... nous envoler ...... filer à vive allure = treacer = dessiner de chic le VErbe Sondé, les traéits et autres ronds de bossee ............... nénés .......................... on dirait des nénésc ............. ronds de bossee égaleraient nénés, qui sait ? .......././................................. NÉNÉS DES NÉNÉS ET AUTRES VÉERITÉS DE ROCHE AVANT PASSAGE EN FORCE DES DONNÉES DERNIÈRES TYPE "LE DERRIÈRE" ! On guette !
25/10/2024
on est deux et on regarde ce qui est qui nous advient. On veut cerner-toucher cette sorte de donnée frontale : la paroi. On est deux ensemble = accouplées, serrées, tenues, soudées comme deux bras à une charge. On veut toucher à cette sorte de donnée de type "RAGE et tralala". La chance ! la chance qu'on a ! on en avance = fonce , trace, va, file,cherche à cerner -saisir ce qui devant soi se trame ! on ! On est là pour cette chose "pariétale" : un savoir de base (RAGE) et tout un
tralala de passage ! On envoie depûis là (la tracve) ce qu'(on porte en soi en termes de rage , dc e colère "sarde" ! ça envoie ! ça trace ! ça dépote grave ! On est (qui sait ?) ensemble ici -bas (?) pour comprendre , ce qui donc se trame en cette paroi en termes de charge, montage, attelage et autres trains de gare ! ça en,voie c'est ça ! ça ne regartde pas à la dépense ! çafopnce en tas ! ça trace ! ça y va ensemble en troupeau de charge ! On est là comme accolées de base pour du coup chercher à comptendre ensemble l'attelage, bêtes de poids traçant sur page une sorte de sillon de voix (voie) qui est voix d'un chhamp de râle ! on y croit ! chargeons )-gfonçons ! essayop ns ensemble de toucgher du bois et de cerner ensemble les données frontalrs, les tracer comme à bout de bras = dessiner (de chic) les bêtes coriaces et autres pics de glace ! On avance = on trace = on va = on veut toucgher à une sorte en soi de Vérité de base comme on les voit peut-être sur paroi en face on pourraiot croire . On est née fées commpe à la ramasse ça le fait ! On veut tracverser et du coup t§oucher à ici ce pré ou même (on dira) aux traits, d'une sorte de
paroi praioriale. On avance= o,n trace = on entre ! on entre en cette sorte de donnée de face, traits des traits sur pré, charge-trame qui , en vrai, semblerait (ici) comme nous regarder autant qu'on est (c'est )à-àdire)2, p as davantagge , nous auusi un attelage : qui dit mieux ?). ON trace = on charge sur roche de base une sorte de sillon aqueux ! chant des saturnales ! voeu pieu ! on est là ensemble accolées -serrées pour entrer de rage en un pré, pré de base, qui est pré des féers et aiutres bnêtes à ramages (on dirait). On va dans la RaGe (pour ainsi dire ici) endsembke ! on est nées fée au passage, !ça le fait ! On est nées en tant sque Fée au moment du passage (de fait) des données ! On voulait ? on l'est ! on est né"es fées autant qu'on est = deux Femmes allouées pour une Fée frontale ! On est comme soudées à une sorte de paroi de rage co:mme sacrée ouconsacrée, et du coup nous voilà qui sommes passées (ensemble) "à toi à moi" au pas de charge, en cette sorte de paroi dite "de contrebande" telle
qu'on la voit ou peut la voir devant soi comme à la parade = tralalas frontaux des données de rage et auttres rtraéits fondamentaux de type '"sarde" = sage, un semblant d'animaux , de bêtes au trot, gentes
dames et damoiseaux à tous les étages et autress animaux de s marges. on entre ensembvkle ! fi ! allons ! filons ! chargreons du tonneau ! coulons ! serrons ! allons cdroit de fait sur roche à l'abordah-ge ici de l'attelage ! une parade est mise en pli ! une sorte de parade et ça le fait ici ! charade ! cri d'effroi ! on regarde ! on voit la roche de paroi sur place, le treacé des rages, un donné pour un rendu et, au loin , une vive clarté qui semblerait nous appeler, nous héler, nous donner le change et nous inviter à comme qui dirait nbouys rapprocher (pas à pas) de son être alloué à une sorte de muret étrange ("strange") de fin de pré. On regarde ! On veut toucher à cette chose étrange ("strange") . On a envie de s'avancer, de toucher à cette "cl arté", à ce murtett de fin de pré qui pour le coup serait ce mur dit "des finalités", type cercle des fées ! On s'avance à pas chassé. On entre dans la danse pour nous rapprocher de ce muret des (dites) "filnalités", soit des données données (en tra&nse) et autres données données par chance à une sorte de pré alloué à un espace de "données de rage" et autres bêtes ici tracées à mainb levée. On est passée, en tant qu'on était deux femmes chargées, données, mises sur pied , qui donc on t tracversé , et se sont comme retyrouvées cul posé sur pré de l'auttre côté, cvôté Chance, pré olé olé, champ de rage, une sorte de pré des prés qui est (serait) champ des ordres. On est accoléesz (femmes) pour former la fée (= l'atelage doré) allant-venant -volant sur place vers Muret, MUret = ce muret ! des f-ins de balade, en rotondité. Muret dit "muret des charges". On veut le toucher = l'attrapper = le baiser = l'épouser ! Epouser le muret, voilà le programme des fées ! On voudrait de badse épouser le muret ! le tenir non plus à distance ou à bonne distance mais (au contreaire) le serrer, le prte,ndre, le cerner, le toucher au plus près, l'embradsssert , le coller comme qui diraéit à nos ailes de fée = l'épouser fro ntal ! le piquer ! le prendre à jamais ! le faire se coller à nos ailes de fée et ça le fezrait ! On veut épouser, ici (muret), la Charge ! Le muret = charge d'ange ! on v eut de fait aller et ne plus en vrai jamais nous a rreêter jnusqu'à temps qu'on soit comme accolées à une charge de muret de base ! On est nées fée dans la mort avérée, pour de fait cerner = comprendfre , iun certain nombre de do nnées de base, tracé, charge, données, passages, Dulcinée à jamais gravée sur un bout de roche sa le . On est née Fée au passage et onj veut (on dirait) épouser la Charge ! l'arrttrribut acté des envies de pré et autres champs de betteraves ! oN est La Fée post-données tracées, qui cherche à toucher les finalités ou dites "fi nalités" placées sur mueret, allouées, données, qui nous regardent ou nous regarderaient en face, à la tr avezrsée. qui on est ? femmes, ensemble devenues ... la Fée des Passages ! On est passées et nous voilà allant, vers un muret des charges, comprendre = toucher, et du coup ... épouser ? c'est vrai ? ces ditesv "charges" allouées ici à un muret "des r ages vfrontales terminales" ? est)-ce ça qui est qui nous regarde ou sembvletrzait nous regarder autant qu'on erst (= deux) pour former le fée, Fée des Dieux = des aveux de rage : est-ce ? on entre ! on charge contre charge ! on veut toucher à ce muret dit "des données coriaces et autres traits de vérité". On est la Fée comme qui dirait des données mârtiales, entrée, posée, volant sa,ns frais de ses &iles nacrées vers cet enderoit ici présenté dont le nom est "MUREt" des données de bière. On veut = on va ! on est la fée qui va comme chercher ou pour chercher et de ce fait cherche à jamais par où passer, s'immiscezr, se glissr pour passer soit traverser (encore une fois) la paroi des Rois , Reines du Ça , ça y va ! elle (le Fée) est là (dans la mort) pouyr ça : tracer, tracer, teacer encore une fois ! aller ! filer ! chercher ! coller à la paroio des voix et aiutres cris de joie ! On (LA fée) veut , de fait, toucgher ! à (donc) cette clarté de fond cde pré, ce qu'elle est. Et qu'est-elle en vrai ? .... eh béb .... on dçrait que oui, elle serait une sorte ici (à nouveau) de cimetière mâis d'un auttre nivceau , ! Cimetière (on dira) des cimetières ! de là : de la voie ! On est née Fée sur pré , nous voilà accolée à une sorte de paroi finale , p) ar(oi des voix, des clartés frontales, tralala et chinchilla de face ! on envoie ! on veut toucgher en tant que fée la Chose des Charges, ce teacé aux traits dits "de Rage" et ça le fait ou le ferait .! mais quoi ? on serait Fée des fées tracéesz ? sur paroi finale ? scotchées ! accolées et le pasdsage est fée , oups : fait ? On ne sa it ! on essair ensemble, accolées, de cerner les données les plus affirmées ou affiliées à une sorte ici de pré de contrezbande , derrière un fourré, derrière une rocghe, derrière un rocher , une roche ou un roc dit "des fées" car il contient en vrai les fées du Royaum ! On est entrées en tant que femmes (homme mort) et une fois entrées on a formé le Fée ou Fée des prés de ce Royaume de la M%ort actée ou avéreée . On est passées dès lrs "de l'autre côté", côté pré. On a couru et bu ! vu (cul nu) et lu, sur roche, les données princières ! On veut toucher à cette bière aux données allouées à une sorte en soi de traversée, ici, de paroi, paroi sarde, finale ou sinon finale fatale , ou sinon fatale ... quoi ? Fractale ?,
On avance ! on vole (on volette) ! on va ! On est là ensemble sur paroi qui cherchobns la faille, l'(entaille, la fissure dune sorte de roche "amable". oN veut comprendre = dire = faire= cerner = toucher à une sorte de donnée de base qui serait donnée des données frontales à tout jamais et ça le ferait. On est qui ? ehbé on est la Fée qui est passdée et qui maintenant, en ce pré aux bêtes, aux bêtes de poids (big bisous des bisons tracés) cherche à se rapprocher des données finales, fond de pré-cercle de la joi tracée, se p^lacer au pluys près des données, Frontales, finalesz. akller ! Filer ! Comprendre = toucher. Toucxher = comp^rendre. Il nous faut (comme qui dirait) toucher pour coimprendre, c'erst un faiot ! le reste est sans importance ;, mais TOUCHER, topucher ! toucher , toucher , toucher ! ne plus s'arrêter ! de toucher de rage, les données frontrales sur par(oi sa le ! On veut = on espère ! On veut toucher à cette sorte de paroi de Finisterére ... c'est ça ! finistère des Rois et Reines des Lois ! On voit ce qu'on voit, et ce qu'on voit est ce convoois des prés appelées attelage ! boeufs des voix ! betes à soi ! charge des Rois ! on veut graver-gravir, aller et venir, comprendre = a dvenir, touchger et coller, dire et donner ! On est nées fée de base al:louée à un pré des chargesz genre fatales ! et on veut (de faiot) se porter ici même (pré) jusqu'au bout du bout, à la recherche des données finales, genre "traversée des champs de raves (betterezvaves)" et ça le fait grave ou ça le ferait grave si tant est ! On est née fée au passage gravé, on a ensemble traversé le roc dit "dces prés" et on s'est retrouvée ou comme retrouvée accolée à une sorte de donné des prés (herbe au t aquet) à brouter, et là, sur pré à brouter, on a co=mpris vite fait que la vérité ou dite vérité selogeait en ce muret des contrebandes ! muret des murtets aux données de basde, là, tout p^rès, autour d'un pré, cercle-muret c''st vrai ! on voit noptre cha,nce ! on va vcers ce muret ! on avance ! on est accolées : ailes de fée = attelage cendré, cendré et doré ! On trace ! on est en vrai tout près de coller au muret, de donner de son chyarme et de ses attraits ! On veyut =
COLLER COLLER COLLER S'ACCOLER, ETRE PROCHE D'ÉPOUSER OU MÊME ÉPOUSER LE MURET, LE MURET DES FINS DE ROCHE !`$
on est née "La Fée des prés" allouée à une contrée "liumiotrophe" ! , limitrophe à la vie de grotte (de l'autte côté = en amont) et nous voiulà Fée ou Fée des prés, qui allons, volons, cherchons grave sans arrêtt, à pour le coup nous reaazpprocher de ce muret, aéux données (frontales) déployées qui semblent (ces données) nous appeler ou nous intermpeller ou nous héler pour que, oui, allez ! allons ! allons nous glisser donc ! allons donc pour de bon nous glisser = épiouser = prendre à bvras le corps, ledit Muret des fins de roche ou fin de pré "limitrophe". On est accolées pour mieux nous accoler ! Onn est Fé&e des prés (= femmes accolées) pour aller coller (qui sa&it ?) au bord du bord fdu pré, appelé (ce bord) Muret ! mais est-ce vrai ? est-ce "muret" le nom du bord ? est-ce ce nom alloué de "MUret" , quyi est en vrai le nom de ce bord, bord de pré = abord = rebord = finalités comme à l'arraché, fin des fins de vie dans la mort allouéev à une prairie ou sinon à quoi d'auttre qui seraéiot en viie , ici, située placée, qui nous regarderaiot aller et voler en tant que fée ou fée de ce lmogis : quoi oou qui ? On a envie ensembvle grave de comprendre ici même (pré ou prairie) ce qui se trame en termes d'attrdibuts données à une sorte de Sa&lubrité, de Sa&inteté , de Sagesse intra-pariéto-finale ! On veut toucher, en vrai ! Toucher en vrai à cette sorte de façade ! qu'est)-^ce que c'est ? Qu'est-ce qu'o,n peut (ensemble, formant Fée) comprendre, comprendre pour de vrai , à ce muret de contrebande ou dit "de contrebande" ? On est née Fée au passage (de vie à trépas) nous voilà frontale , fée des fées sur pré, cherchant À NOUVCEAU !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! passage à travers ici ladite paroi (tour de garde, cercle a nal, chas des chances ! ) de'une sorte de Muraille ! on veut grave comprendre, ici bgas (lke pré !) la chance q<u'on a , de pouvoiur ENSEMBle (fée des Roix et REines, de Charme et d'effroi) comprendre = tracer = nous poster ou nous avancer vers ce muret dit "des finaliot"és" ou "des finalmités tracées " ou même "des finalités agraires " ! On est née La Fée post-^cimetière voulant entrer (plus avant) en cette chaumière, en cet auvent (ou sous) et comprendre = voir, voir comme par en dessous, ou à travers, l'autre côté, des données finales, du muret,,, soit : la Véroté à jamais, sur ce fait des faits, alloué à une Donnée, dont le Nom est "MORT À jjamAIS " on dirait ! Allons regarder ! volons ! chargeons ! filons ! traçons ! ne nous arrêtons plus de charger-pister, de cherchert à passerr ou comme passer le bout du nez et
regardons ce qsui en v rai est de l'auttre côrté de la cloison : une sorte de vraie
une sorte de vraie chahut
une sorte comme qui dirait de chahut ? de chahut à cru ? de chahut de fées ? On est née Fée (la mort venue) cul nu ! on cherche à pour le coup aller plus loin en ce dit "pré des fées", et à co=mprtendre les données lointaines = les finalités de l'herbe , la cloison doré, le cxhant de la roche et autres types de données sonores allouées à une sorte de cloison cernant le pré dans lequel on est . On veut de fait colkler notre nez , nos ailes, notre cvorps en entier, à cette sorte de vitre sondée ! à ce glaçon ! On veut ! On veut grave se coller et voir, voir pour en vcrai (et enfin) comprendre (grave) ce qui est, ce qui advient qauand (de fait) on va plus loin, on ressort ! on ressort du pré ! mais pêut-on et oùu va-t-on ? revie,nt-on à la case dé&part = groote-farce ? revient-on aux données (frontales) d'expérience , chants des Charges ! aurochs ! bouqiuetins centrés ! chevaux des prés , chevales et bisonnes, buffles a ccoléds et bufflettesz au tracé ! est-ce ? est-ce cette chose en vrai, qui wserait, une fois accolée (en tant que fée) à la cloison dernière ? est-ce que en vrai une fois passée, on revient ou on reviendrait en arrioère ? est)-ce que c'est en vra&i cette chose à la fin qui seraiot qui nous attendraiot ? IOn veut toucher à une vérité en vra i ! On veut toucxgher en vrai à une vérité = la cerner = l'embrassrf ! On a méga-encvie en vrai de toucxher oà une vérité qui serait vra&ie, ou vérité des vérités ! On ne veut pas passer à côté ! on veut tracer ! filer ! cerner ! coller ! chargerr ! sentir ! prendre ! sa&isir ! se donner peut-etre ou qui saiot à une sorte de donnée (frontale) fin ale ... aux nénés ! !!!!!!!! mais qui ? qui ou quoi ou qauand ? quand est-ce-que ? quand en vrai aller ? quand et pourquoi et quoi ? quoi faire ? On erst La Fée post-cimetière, en trée dans un pré, on cherche à tracer et, du coup, nous approcher de la cloison dite "des finaliotés" . ON veut à nouveau (À NOOUVEAU !!I!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!) traverser la roche = revenir ! retour ! retour en grâce ! chargement ! treacé de rage ! re-à l'envoyeuse comme qui dirait ou quoi ou qu'est-ce ? ON veut en vrai toucher toucher la Roche et Traverser, comme à l'accoutumée (?) les données de base ici déplissées ! Et du coup treaverserr = re, = re re = re re re = en vrai ? RE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! re re re re re re re re !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! re je veux ! re on revient en arrière on dirait ! ou commênt ? comment on fait ? on a de fait ce Sas aux fées = pré aux herbes, Bêtes de poids Agraires, Araire, Silloon, la Foi en ce vallon, ROTONDIT2É DES DOnNNÉES DE BASE DANS LA MORT FATALE, et piuis après .... après la dite "Mort Fatale", on a ou on auraiot ... eh bé on ne sait ! ce re des chambrées ! ce Re RE RE RE RE Re RE RE RE RE RE rE RE RE , aus donn,ées de RAge ! re du meuh ! du meuh de la Vache ! On est deux (deux femmes) passées, pour comprtendre (transformées en Fée) ce quyi est qui nous regarde = nous concerne = nous cerne = nous enserre ou encercle = embrasse à qui mieux mieux le pré passé ! On veut toucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher topucher à une vér'ité "du feu de Dieu", à jamais et grave ! grave on veut ! car :
On est gvrave ! onj est Fée grave sachahnt tracer , sur pré, chemin de charge, poids donné, charge martiale, calibrée, antrale ou astrtrale, chant des F2ées des Grâces et autres Graciosités de Face ! On est née La Fé des Prés (LA MOrt) au pâssage mais voilà... le chemin de base n'est pas terminé ! on doit en,core en vrai traverserr la Face, ou Roche des Prés, Façade , LMuret ! on veu tracer ! on veut y aller ! On nje veut pas se laisser démonter par une sorte de cxdonnée, genre vent cde face, trait des Rés, Pets ! non ! mais toucher ! Toucher à D2ité des Prés, la Finalité, de l'(autre côté, ce côté" des Fosses , des Fossées ! qui on est ? On est la Fée ici comme à la tracversée (du pré soit du Royaume de la Mort actée) et du coup ion peut tracer,, voler = voleter, aéller, chercher, courir, cerner, filer, et nous ap^procher (en vrai) de la Roche Finale, Tracé frais, Froid des Ruses ! regarder ! regarfder au p^lus près ! ce qu'on peut discerner et du coup relater ! On veut toucher des yeux la Chose (montrée ?) aux curieux / curieuses des Feux ! On veut :
Aller ! PErcer ! Ficeler ! Gravir ! Chercvher à se tapir en cette Roche (des CFinalmitées) aux Feux Donnés ! Feux des feux ! qui on est ? F2e ! La Fée ! On est en vrai la Fée des Fées aux Données de RAge ! On veut Coller = toucher = dire = cerner = compre,ndre = chercher à pour le coup ensemble (ailes) nous ccoller (ici) "à ses genoux " ! téter ! tête folle cachée ! téter ! téter la Roche, le Trou ! téter grave les données fvrontales des Finalmités astrea&les ! on veut (grave) téter sans nous arrêter ! fée ! fée ! fée ! fée des fées ! .................................................................................................. ..... ..... ..... ..... ..... ..... ..... ..... ..... ..... ..... ./.... ..... ..... ..... ..... ..... ..... ..... .../.. ..... ..... on est en vréi la Fée vdes Fée la vie passée ou la paroi passée ou la roche passée, fée des prés ! on est ! et, du coup, ainsi logée , e,n ce pré chelou , on voudrait se rapprocher de fait du bord des Données Allouées à une ROche de Rotonde, Cercle aux F2es, Roche Ronde, CAvité creusée ! On a grave eznvie en tant que Fée pâssée de l'auttre co^té , soit "en cavité", de se rapprocher du coup de ce muret dit "des genoux ou
ù donc se loger pour aller ... teét§er ? On diraiot ! les nénés ? On retyrouverait ? on se retrouveraiot B2B2 ? On seraiot de fait à nouveau B2B2 ! LE B2bé des F2éES ? ON cherche à cerner-piger ce que c'est que cette chose ici tracée, qui seraéit La chose ! LE tRacé d'époque ! FiN des Fins des pauses ! Onv eut toucxher toucher touycher toucher toucher toucher à ette sorte de donnée des Pauses, ou dite "des Pausesw" sur pré ! On essaie de cer ner ! On est Fée des Roches = ... Roche ? On ne sait ! On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucxher à cette sorte de Né né du bout du monde ! les nénés ! le ou les néné(s) du bout du Monde ! de la ROche-RONDe ! FINAlité ! la FInalité des données d'époque ! ro n de = roche = rondeau ! On est comme allouée Fée (en tant que GFée) sur tombe ou tombeau ! On veut creuser ! rouleau ! charogne ! le voeu et la Chose ! L'envoyée en roche pour toucher ! ON est fée des PAuses ! fée et frai ! On veut coller ! toucher, dire, cerner et pisser ! oh oui pisser ! se vider-vidanger -alléger car on est .... treaversée -des-fioles ! On veut
TOUCHER ? TOUCXHER_COLMA TER ? PISSER ? SE VIDER, ALLER, CREUSER, CHA RGER, CERNER ET TOUCHER ENCORE;;... aUx Nénés de l'Ombre ! qui c'est ? "l'plombier" (la plombière) d'époque ? on ne sait ! On cherche ! on veut toucher à ces Nénés des Données de Roche ce qu'ils sont de fait envrai pour notrte Homme (?° ! On veut :
coller et ne plus quitter
charger et ne plusq sombrer
gravir et ne plus tomber
dire et ne plus soupirer
contrer ici la Roche REzbelle ! graver-dessiner à main levée l'herbve, le pré, les bêtresz, la charge foraine, les données al:louées àune sorte de Femme-Fontaine Saluée Aimée Souterraine ! Pisssootière, des contrées Avérées et autres Endroits Sondées ! On veut (en tant que Fée, Fée post-cimetière) toucher aux NéNés de ... l'ÊTRE ? Quel ÊTRE ? Eh bé ... peut-ëtre ... l'ÊTRE du ... "peut-être" ? du "peut-etre on sezrait", du "peut$être on aurait", du "peut-être ça le fait " ? On est née Fée La Vie passée, on se retyrouve dans un pré ailées, Fée Ailée, on cvourt on vole dans la mort à l'oeuvre, et puis voilà, on voit ! on voit ça ! la Roche ! Fion DEs tEmps allouées à une é2poque ! on touche Rocxhe des Finalmités "rosses". On veut (grave) cerner, soit regarder ! de l'autre côté , les dO nnées des Bosses ! Ce q''lles sont en vérité pour une F2e comme nous sommes ! On est ! On est Fée = Fée des Fées sur Herbe ça le fait ! on est née ! Fée sur herbe ça le fait car on est née ! Née d'Herbe , ou même (vrai ?) née //...?.. de l'her be ? Vrérité ? vérité vraie ? On serait née F2e de l"herbe (le VErbe ?) du pré et ça le fzerait, pour aller (ou pouyrsuivre) sur les sentiers menant à une sorte de nouvelle"entrée" post-pré ! On aime ! on est ailées ! on adore aller ailée ! ainsi ailé , jusdqu'au bout duu terme ! On veut PASSER ! ON veut passerr swans trépasser c'est un faiot ! On veut trancher ! couper ! scinder ! donner en vréi le coup de jarret et traverser en vrai les données (fina;les) d'une soerte de muret des contrebandes ! et du coup comprendre, ce qui est, qui se trame, se dép^loiee, se treace de soi-même comme qui dirait de l'auttre côté ! Vent d'or ? Donnée rossee ? Cri d'effroi , de joie ? Voix des Omb res ? De l)à-bas, loin, dans des bras, bras de Roi ? bras données come autant dde Soi ? On veut en vrai ensemble (accolées ailée ) comprendre (grave) ce qui est qui va ou nous attend ou nous attendraiyit ou bnous regardera&it ou nous parleraiot pour nous dire ... quoi, en vrai ? sinon ça : que, peut-être, on est cdeux (deux femmes) la vie pâssée (ouste l'homme tranché) pour comprtendre ! cerner ! = toucher en vreai aux Nénés de ... l'ÂAME ,,
? ou bien de .... l'arme , l'arme à feu ? Aux feux des Rages ? On est deux (ouiiiiiiiiiii ça oui) pour (en vraii) toucher = dire = cerner un peu mieux ce qui est qui est, post -pré : les Nénés ? Les Dits Nénés, aux données de Branche ? Vie des vies (gravées sur Roche) née comme par miracle la mort travzertsée ?. On est Femmes données = femmes-données= des données de rage = données des données ! Les données de base ! data songs ! On veut comp)rendre grave ce qui est qui semblke (ou semblerait grave) nous mater (de base) come à jamùais , qui sa it ? On entre , dans l'antre, de la mort allouée, à une sorte de face ou façade des temps Passés (passés ?). On veut en vrai toucher à une sorte de Donnée de branche ! Qui on est ? On est lA Fée p âssée à travers de fait la Roche é2trange ! On nest Fée des prés, Fée passée à travers !
Fée pâssée ! on est la Fée des bvases et des données ! On est entrées ! on veut cerner-saisir de rage ce qui est ! On veut toucher à c ette Déité Lactée (Nacrée ?) des Fins de Passé, ou dde Fin de Branche, Ou de fin de Données "Strange" ! On est Fée xdes prés pouveant en vréi (qui sait ?) aller, tracer, courir sans désemparer, filer comme à l'arraché et nous envolezr, décoller, faire ainsi chemin ailé , dire et donner, filer-coller à une sorte de
"Roman ce Des Prés"
ou dite "des Prés" ! aller = toucher = dire = cerner = considérer , de près, les données frontales , don,nées des données axiales, chahutées, morcelées qyui sait ou saturées ou même soulevées et szoupêsées comme des bébés ! On veut :
CERNER TOUCHER COLLER DIRE
FAIRE SENTIR ALLER COMPRENDRE
FILER CHOQUER TRACER PERMETTRE
COMPTER CDALIBRER AIDER SE PERMETTRE
PIOUSSER FAILLIR FAIOBLIR CHANTER
COLLLER ALLER FRÉMIR SATURER
FAIRE ET AIMER, DONNER GRAVE AUX NÉNÉS DE L'HERBE, DU FOURRAGE DU PRÉ
FAIRE ET PARLER = PERLER
PERLES DE LAIT CHANTÉES
FAIRE, TOUCHER, COLLER, COLLER ENSEMBLE À JAMÙAIS, TRACER SUR PRÉ DES TRAITS DE RAGE
COLMATER = TOUCHER = VIBRER = DIRE !
on a grave envie de rire et de pisser mais en vrai on est éduqauées, fée des fées on se tient bien ! on veut toucxher en vrai sans pisser ou rire ou caguer ! on veut grave treaverser, retourner ou comment dire ? SORTIR ? LE mot serait : "Sortir" ? sortir du Tonneau ? de l'eau ? du Ventre de peau ! peau d'eau ? sortir = vivre ? Viçvre hors peau pour aller comme sur rive toucher... le "Col du Cerceau" ? On est comme en vrai F2e des Fées entrées , quyi cherchons eh bé ça : une sorte de faille / entaille de par(oi ! trait ! hache ! hache de trait ! vache ! trace et vache et H , treait des traits = hache ou coup de hache vache ! et passer ! la tête et les pieds ! le vrai passé ! On v eut toucher à une Déité de type NéNé tu le sais ! on est née Fée La nuit venue, on veut toucher le Cul !On veut toucxher le cul de l'être nu , belette des vues, bête à cru sur herbe verte = bête-mot des données fauves, rossees, raides dingue ! On aime ! on est Fée des prés la mort une fois allouée et du coup on cherche à re-te averser , chemein arriière (tout arrière) les données rupestresq (burlesques) des faiots et gestes sur prairie des bêtes et autres fées venues de concserve. ON veut graver à volonté les données terrestres (buffles au débotté, buflettes allouées Musette). On aéime ! cha,nter !dire et pisser ! rouler ! coller !! coller grave ! coller et s'accoler à une sorte d'entaille sur rocxhe (nacrée) sorties des entra&illes (?) et comme présentées à nos ailes diaphanes (en vrai ?) de fée des Alpes ! On est née Fée au passage de l'Alpe , c'est un fait ! On vole à jamais et du coup, voilà, on touche aux Nénés ! aux Nénés de l'âme des données don,nées ! Les données sont Ailées (seraient) comme des Fées ? on entre ! On est entrées ensemble (ailes de fée / femmes) et on regh arde ! On est la Fée post-bande ! On est née Fée de Contrebande extra-fossé ! On veut comprendre = toucher = donner = sonder = dire = coontrer ! Chercher = faire acte de bonté ! Donner = pousser ,; sur pré, le chariot des Fées ! Chariot haussé = cargaison montrée ! On est = o, n naît = on est le nez = on, entre ! On veut gyrave cerner ( les données de branche) et nou!s avancer et de fait travezrser on dirait à la nage les prés, ou, sinon à la n age, en courant sans frein, sans dérater, sans se przndre les pieds à travers les bra,nches des buissons dorés et autres arbustes déposées, tracés, daémantibulées, chargés. On veut
TOc-toucher = toucxher vrai !
Toquer ! toquer toquée ! toquer en étant, en vrai, toquée = t§oc-toc, = fée des fées du toc ! Aller ! Filer ! Charger ! Do,nner ! Concerner = considérer = comprendre les données de base :
Traits ! traits des traits ! et du coup, travezrser la lande, et de l('autre côté, chercher par (en vrai) où passer, par quelle entrée ou faille, vide astral ou cavité aux fées ou même anfractuosité tracée (en vrai) à même la face (la façade) donné"ee. On est passée ! Fée ! F2e des pr'és (Mort des Dons De bosse) et nous voolià comme remorquée prête à sortir du pré direction les Nénés, Seins de Base Ancrée, Sein d'HErbe, TRé&it-né sur pis lacté , cherché, recherché ! On veut toucher = sentir = consentir = téter
TOUCHER = TÉTER ! TOUCHER , EN VRAUI, = TÉTER ! O,NN Veut toucher soitb en vrai on dira téter , les données de l'herbe, herbe verte sidérée, herbe des herbesc= verbe alloué à un p)ré post-morteme! On aime ! on veut aimer ce pré de près ;,, l'aimer dans l'herbe ! nez ! on veut en cvrai toucgher du nez (piquer !) l'herbe des prés , soit ce verbe des données alertes ! charger ! foncer ! buffluettes aux ventre sondé, bisonnettes et chevales (au taque-t) cendrées, auroques des passés, du temps alloué à une sorte de passage inerte (aux données vertes) sur prairie aux fées et autres bêtes des contréesq. On aime ! On vgeut grave cerner (de colère ?) les do nnées en herbe ! cxhaleurosité et aiutres ammitiées en vrai comme soulevées ! On ndirait ... eh bé oui, du verbe, herbe, verbe en herbe, traits des fées alloouées à un pré post-morrtem aux données de frère ! On veut coller ! dire et sonder ! les n énés du verbe ! sein lacté = verbe de préb = chant larvé" = transe comme soupesée ! On veut aimer ! dioonner ! faiore ! charger ! coller à une vérité en herbe ine sorte de bonté "souterraine" souveraine desz contrées acerbes (pré) comme rencontrées, touchées, cernées, treaversées, recherchées, accolées à une foulée ou comment s'exprimer pour dire ce qui est en cette chose d'une traversée des herbes du verbe ? On aime ! On est come soulevées-soupeseées ! On veut aller = faire = tendre = tendre vers = comprendre = plier = s'enfuir = sortir ! = sortir en vrai de ce pré des fées et autres bêtes-mots ddes lèvres ! s'enfuirv= sortir = re !
re !
re !
re !
re !
re !
re !
re !
re !
re
! re naitre ou comùment dire , re ! re des re ! re-venir paître ? re-ttracer les traits de l'elfe ? re-nâclker ? re-lever les don,ées de l'être ? re-je veux mon neveu, toucher à l'être (envieux) d u passé de l'herbe ? Se toucher (alerte) sur pré (aimé) comme fées celtes ? compter ? CFompter à qui mieiux mieux ce qui est qui se déverse dans la plaine et foule (charge) l'herbe sans traîner ? On veut coller à ces do nnnées données de l'herbe verte, herbe des prés, les aimer comme un frère ! Toucher ! faire ! sonder ! coller ! aller ! faire sur pré nos petites emplettes et du coup toucher aux nénés "colère", aux traits des fées, aux vérités sur herbe et autres mots-bêtres allouées à une sorte de treacé des Fées ! Qui on est ? Herbe ! Herbe cendrée ! Verbe ! Verbve des pré ! Charge comme sidérée ! Be^tes de trait (somme sur roche) teaçant comme qui dirait , le sillon des omùbres (hommes) saturées. On veut coller = donner = dire = cernerb = comprendre = colmater = charger = faiore = toucher = dire et donner = charger, coller, coller de près, s'accoler et ne plus qyuiiter, la Chose ici Allouée à une Vérité Admise, comme quoi en vrai, la Mort est de mise, existe, se trame sous le nrz, se trame ou se vtramerait de fait sous notre nez, à notre guise ou pas mais en vrai = avérée ! On veut tyoucher de près ! à cette mort admise ! l'affronter, la toucher au collet, la toucher de près et lui dire en vrai nos quatre vérités : du dire de Fée ! chants de gouines ! percée ! traversée ! cxharge alpine, considérations atemporelles sur la Chine et les données données par son entremise ! On est comme collées à une vitrine ! On est nées gouines fines allouées (en Chine) sur Paroi de Fée ! gouines cendrées ! allusivesz ! auto-générées pour ainsi dire (l'homme est sous les pieds, terre promise). On est nées guoines da,ns la mort donnée ! fines ! chine ! tyraversée sur rive ! cajolée ! On voulait ! on voulait tracer, comprtendre, comprendre et sonder, aller et filer, tracver et n e plus traîner et dire, fouler toucher, contrer, sentir, dire et coller à ce quii est qui serait en vrai du verbe alloué à une sorte de donnée de gouine : ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii vrai !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! chiche = vrai !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! !!!!!!! !!!!!!! !!!!!!! !!!!!!!! !!!!!!!! !!!!!! !!!!!!! !!!!!! !!!!!!! !!!!!! !!!!! !!!!!!!! !!!!!!!! !!!!!!!! !!!!!! !!!!!!! !!!!!!! !!!!!! !!!!i! !!!!!!!! !!!!!!! !!!!!! !!!!!!! !!!!!!! !!!!! !!!! !!!!!! !!!!!!! !!! !!!!!! !!!!! !!!!!!! !!!!!! !!!!!! !!! !! !!! ! ! !!!! !!! !!!!!! !!!!!!!! !!!!!!!! !!!!!!!! !!!!!!! !!!!!! !!!!!!!! !!!!!!! !!!!!!!! !!!!!!! !!!!!! !!!!!!! !!!!!!! on est vives ! vives on erst ! On est nhées sur rive d'un p)ré alluoué à un dire dit "de vérité", vérité allusive , ç a le fait ! on v eut en vrai de fait toucher à une sorte de donnée de rive, traits ma&rqués, chants dex ,prés comme s'il en pleuvait ! rires
! gros riresq ! rires gros comme des veaux ! Vie du rire szur paroi des veaux ! On veut toucher à volonté les données données d'une sorte de contrée aux fées ! c erner = composer, dessiner, treacer à main levée, en transe, soulevée, le Rire Gros d es Donnéesq de Veau, vache, Boeuf de Rage. TORO ! TORO SOT ! chant xd'Espagne ! calicot ! on entre ! on est dans ! on est entré e ! dans la dent ! entrées comme accolées formant Fée ded ans ! en cette sorte de contrée-arène aux fées et Bêtes, Bêtes de poidsq ge"nre Gros mot ! mot de trop ! rire graos ! pesant ! accolé aux mots (méchants ?) d'un troupeau ! On veut (fée) être(en vrai ?) accolée à une sorte de donnée-mot qui sa&urait révéler le pot ! poteau ! pot de trop ? poteau d'angle cerné, sur champ ou pré aux données allouées à une Vérioté de Branche . Saturnales et gravité ! Pa rades bancales .... ou pas bancales mais forcées, poussées, chargées, acculées ! sur roche des données frontalo-pariétales de fond de tonneau ! On veut toucher à c e qui est qui se présente sous le vent larvé ! charger ! nous donner ! cerner = porter (sous peau) le Bébé de l'âme ! l'âme des années (chahutées) sur branche et auttre moineaéu dit "de contrebande dans le's boyaux ". On veut comprendre = saluer = sonder = toucher à c et oiseau (moineau) de contrebande ! Ce que c''st en termes de charme, chant docte et autres cri d'envie ! Qui ? qui crie ? qui est qui ? on est ici la Fée dite "du tonneau" , ventre ami, cerveau. On veut être ce moineau , oisea&u de pa r adis, et faire du bruit ! piou piou des données vives, un cri ami ! chant de grive et autres volatiles de prairie ou sur praiorie. On est la fée dite "du boyau", de grotte insoumise ! On est bête de peau, gros mot , rire gros, bêtes -mots sur pré broutant gros l'herbe des moçts ! On est vives ! gouines actives vives on chante gros ! On veut toucxher la rive , le fond du tonneau ! vive l'ivre ! les données de trop ! mots des fiches sur préau, maison d'eau, ventrepeau du trot ! On veut :
dire, faire, aller , toucher, tendre, jouer, comprendre, situer, donner, coller, sonder, allouer à une rive un mot de vérité active, donner et pousser et sentir et charger et clouer sur croix l'ombre de la voix vive ! charge acquise est celle qui active les données de Roi et Reine des pas ! vive le ROi ! La reine des chats ! le combat ! la pleine de Soi ! On entre ! on veut ici :
toc-toucgher
les Nénés
des Nénés
de L'ombre
et ne plus recvuler mais foncer de toutes nos forces vers ce Prieuré ou ces contrées de fond des fgonds du fond, de la Roche allouée à une VFérité Ancrée de type "ce que c'est que la mort admise " ou autres vérités des preés. On est GOUINES NÉES SUR PRé du fait que oui, mort de l'homme enterré, devenu herbe sous le piedf, quand la Fée est née de deux femmes attitrées accollées , sortant de lla mouise, du petit tas de cendres acquises, car mort-né est l'homme des faits. Son coprtps attise, active, fait ou refait la cerise , d'une sorte en soi de Fée active de genre FGouine aux dioonées du pré et autres données post-traverseée. On est la Fée des donnérsz actives sur pré alloué à une frise ou sorte de, qui serait La des Frises au Mieux, du Mieux qui se peut, la vie passée, dépassée, adfmise en tant que passé vrai. On est la Fée des données de frise : chevauchées, chyants des prés, bêtes grosses à la pararde et autres calvalcades endiablées sur roche ornée. On ,est F2E des fées surprise ! GOUINE comme qui dirait szans plus de doigté ! gouibne au pré ! chants de vives sororités acquises ça le fait en vrai et sa ns traîner ! On est nées vives sur pré allouées à une sorte de donnée de r(ive ! charge active on trait ! on tire du lait ! on veut téter ! on ne v eut que (en vrai) boire du lait et ça fera, facile ! ça ira ! ça sera "tangible" ! On est la fée des donné&es acvides du passé tracé , on a passé le Rubicon des Oùmbres et là, du coup, on s'est posées, on s'est mises comme qui diréit sur pré , comme bêters dees prés, à téter ou brouter , machoui:ller , mâcher l'her be des do
nbnées , boire le lait, l'eau des riusseaux ! Allzr et rire ! donner et vivre ! coller et toucher ! cxharger et monter ou nous e,nvolezr ! tracer ! tracer haut ! monter ! gravir sur roche les traits de montée ! coller, à une sorte de donnée (de roche sur haut), front, menton, chevron, galoche, éperon et poches des monts ! On est vives (gouines) touchées , en vrai, par une sorte de bêtye vive (vouivre ? ) qui ne nous plaît guère en vérité mais voi:là, c'est fait ! on est touchées ! piquées ! transformées ! chahutées ! soumises ! sidérées ! choqueées ! contrôlées ! transformées en fée du Rire ou des larmes a llouées à une sorte de charge mentale sous front ! colle au front ! chant sarde" ! chant vif aux couleurs astrales ! ton sur ton ! on est fée frontale ! collusion ! on entre ! on colle à cette Charge des données antrales ! On est comme accolées de front , au muret des charges ! diapâson ! collusion ! le téton de l'âme est notre téton ! on entre ! On veut boire = dire ! Charger et sourire ! téter ! grave téter ! on veut (on aime) grave téter les données de l'herbe ! pis de fée et autres seins surnuméraires on le sait ! on tète ! la tétée "post-mortem" est de celles qiu'on aime " ! On EST la f2e du cvimetière comme ici allouée à ine sorte de dopnnée de l'herbve = fée faoite, trafiquée, formée, du fait de l'herbe ici broutée par une bêt
e (bête-mot de rage") alloué à un pré de type post-morteme on le sait. On est la fée aux données d'herbe (saturée) qui aime , en vrai, chercher à teter le néné , sein de l'être (alloué à un pré) imberbe s'il en est, petit attaché, veau d'eau, vie des vies dans un troupeau. On veut :
toucher = dire = faire = comprendre = cerner = vivre = monter = raser = louer = montrter = jouer = lire = mesurer = conduire = conduire auxc nénés le petit veau de lâme du troupeau des charges et autres poids de mots. ON est la Fée des mots-nanimaus, nourrie de lait ! On aime aller (voler et voleter) en ce pré des mots ! chnts corbeau, chants moineau, chants oiseau ! Chants des chants sur paroi de sang ! troupeau ! à vau-l'eau les mots dedans! on est le mot-tourment peut-être des donnéesz fr(ontales = fée ! ou : La Fée ! celle au troupeau de bêtes-mots au trot ! On colle aucx nénés ! ion a traversé le ruiwsseaéu, l'antre des vallées (et autres monts) aux donnéess dee roche, type : vaches et veaux, toro faux, buffles esquimaux, buflettes du cerveaéu et aéutres bouquetines lamantines ! On veut grave téter au sein du troupeaiu xde bhêtesmots la vache ! la téter gravve sous le boisseau, ou sinon le boisseau la branche, ou sinon la branche le Gros, le GRos Mot de BAse, gros du gras , gras du gros ça ira , ça le fera, ça fera ce qui devra ! Onn aime ça ! la Branche de paroi, tréit de raghe, mains de foi, foi des mains soufflées et autres mots genrés ! Foi de Roi /Reine de toundra, savannah, plaines de paroi, pré paradisiaque sous un vent de charge ! On y va ! on cherche (grave !) à comp)rendrte ensembkle, les données coriaces, charges ! pré ! s&turnales enjouées ! cris des bêtres allouées à
une roche de façade ! chants totaux vu-ivants ! cris de FRance ! cris acquis ! vifs cris des cris d'Espagneb ! d'Italie ! Vie des vives envies de vies de charge et autres romances à moitié- prix ! charge ! chances ! vie des vies des bêtes-charges ! On veut passer commande ! saturer ! tracer ! chyercher ! toucher les nénés ! toucher les nénés ! charger = treacer ! commencer, deébuter, convenir, aller, courir, lancer, aller ! Ne plus reculer mais en vrai pousser jusqu'à qui sait peut-êttre défaillir mais csansz vraiment jamais dee fait swuccombver mais juste ^pâlir ! défaillir mais sans vraiment sombrer ! on pâsse ! FÉE ! on est la Fée des arme's ! fée faite fée du fait de l'âme ainsi accordée à un passage (de vie à trépas) sous voix, sous concert de voix "étranges", charge ! caramba ça y va ça tremble ! tout tremble ensemble mais ça va ! on tient bon en transe ! on combat ! on entre ! ouh on entre ensemble ! charge mentale ! mains donnéesz ! entrée de face ! on est accolées : deux femmes sur pré sondent (tentent) leur chance et elles ont bien fait parce qu'en v rai ça passe large ! trait ! treait ! un trait ! trait des fées ! deux femmes ici comme à la retombée cforment Fée = F = EFFE = FEMME-F2e des treacées de l'herbe verte (verbe) sur p)rairie des bêtes ! On est passées (F) à la retombvée c'est un fait, formant Fée des prés soit surnuméraire bête allouée à une V2rité "en hervbe" (chahutée ? ) qui en vrai est ... du VErbe , comme s'il en pissait, de vache laotière ! c'est ! FAit vrai ! Fait des faits = VErbe comme pissé ! on est Bête de trait : fée en herbe = soulevée et on est Fée ! Fée surnumeéteraire" ! en une sorte de passage éclair on a comme qui diréit de fait traversé ici même (la grotte) la roche allouée à des dessins / gravures monstres. On est passées (femmes accolées) à travers la roche ! lévitant ! et nous voilà comme si
(de fait) la mùort ici (en vrai) bnous avait transformées eh bé oui en fée, fée post-mortem on dirait, sur pré des
Fées et autresq B-êtrsz de Trait / somme ; bât des Rois/REines cde Saba (la haine ! le tracé-né ! ça y va = ça envoie du bois) . On est née Fée et ça le fait pour bien déplaire ! qui sait ? ) à c ette D2ité des plaines ? ou pas ou qu'est-ce ? On ne sait en v rai ce qui pla&ît, à Déité des prés, des confinsz de l'herbe ! Onnne peut jurer ! on ne sait en vraéi ce qui est qui pourraoit la toucxher, ou la blesser, ou lui pla&ire à jaùmais, ou lui donner (à elle aussi) des ailes de fé&e ou quoi ou qu'est-ce en vrai de la Mort-Déité telle quu'avancée, dénommée, dévoilée, sur herbe de pré alloué à une Vérité des Véritésv intitulée "LA Vérité des V2rités Des p)rés de l'ère d'après " . On veut aimer , toucher, cerner, pôusser, accoler, sentir et ressentir, ravaler sa haine et tracer sur roche un sentier de poche par où pour le coup pouvior (accolées ou ainsi accolert) passer en vrai, jusqu'au plus profond des fonds du fond de la roche rude. Tracé. Sentyerr de rue ou d'avenue. Vie de fée ! On est Fée des prés voulant téter et pas à moitié : le sein de l'acmé ? du trait alloué à une vérité aimée ? on chercvhe sur pré les données (de base) tracées , dessinées, mentionnées, afin de comprendre , qui sait ? ce qui est en vrai qui nous atte"ndraiot la paroi une fois traversée, et plus loin encore, après le pré, l"'herbe, les données à mâchher, ap^rès le muret, l'onde, la ronde, le palais ! Quoi serait, qui (^peut-êttre, on ne sa it) swezrait "à nous a ttendre, sur pied, bien c ampé,e ! " : qui sait ? On cherche ! on creuse grave ! On veut com)rtendre = sonder = soulager = dire= prendre = pondre = louer = virer = charger = tomber ou ne pas tomber mais coller, dire et souder ensemble les différents dires d 'une sorte de PAroi à Rire ! à chahuter ! à faore trembler ou tremb ler de rire ! chants donnés ! chants des données ! frises ! vivacités comme consacrées, sur piste ! On veut :
toucher , toucher grave les nénés de l;'antre ! le cerveau lac té ! l'ambre ! les nénéscalloués à une sorte de charade comme sacrée ! On veut en vr'ai toucher ensemble (fée ailée) les donc nénés du pré, ou du pré lacté , alloué à une BANDE ! Vie des VIes sur pré sont do nnées de CHance ! -vive ! vive Chance allouée à un pré (passé) aux données "strange" (on dirait) de fait ! charge ! charge m:entale "strange" : qui le sait ? qui sait ce qui est ? qui connaiot en vrai les vrais données des faits étranges ? On est accolées = touchées = sondés = dûs ! du fait qu'on est passées, transformées, changées, touchées, comme soulevées et ainsi soulevées. On est Fée de contrebande ! on veut (tracées, ou ainsi treacée) passer ! dire ! charger ! collezr ! sonder ! faire et comme soulever la branche (les branches) et regarder et pas à moitié mais pour de vrai ce qui est qui se présente ou se présenterait à nos yeux de fée, de fée allouée
à une sorte ici de pré "étrange" comme qui d irait (paradisiaque, allez! ) qui est le pré des Charmes, des Bêtes-Mts de Rage, Gros motrs de Façade, MOts grtos pesant sa cxharge de base et autre pesant de contrebande ! On est nées Fée au passage parce que ça : les mots ! hrerbe au tombeau ! tombereau de mots "étranges" et nous voilà mise sur pré comme à l'unisson en forme de Fée ! Fée-)faon ! Fée-mot ! Enfa,nt-mot sur Rocghe du Trot. ON est la Fée des motrs de trop ! gravée = allouée ! On entre en trombe ! on fonce ! mots des mots ! On est accolées = ailes de roche ! Fée ...................................................?............... fée des fées ? ..............L..........................................................fé&e ailée ça le faoit ......................./......post-mortem on aime ! ..../......................................................................../............... in veut grave toucher aux nénés de l'ëtre ! aux seins donnés surnuméraires alloués à une bête ! bête de trait ! vac he à lait ddu Verbe ! ici collée , touchée-cernée ! collabée ? On trace des traits ! on est , Fée traçant des traits sur roche allouée à des Bêtes de Verbe comme saturé ! On aime les bêters et les gtraits ! on est la Fée dite "post-mortemm" aux données données par des Bêtes de Verbe, Vache à lait surnaturelle , aillée, donnée, consacrée -sacrée !On veut toucher leurs ailes avec nos ailes ! gouiner ! chahuter sur herbe ! accoler ! donner de nos ailes et tracer ! ne plus nous arrêter ! tracer desz tra&itsz ! bherbe ! herbe ! trait d'herbe vcerte ! traiots de Verbe ! herbe ! traits ! traits ! traits des traits ! her b e ! herbe funéraire ! traits ! très ! très funéraire ! herbe-Verbe ! traits des traits = traits avoués = verbe = herbe xdes prés = verbe au débotté ! on est née Fée sur Herbe VCerte = Verbe des dxonnées cdonnées comme s'il en pleiuvait ////////////////////////////+////////////////////////////////// teraits des traits post-mortemm on éime /////////////////////////////////////////////////////////////// pluie de faits //////////////////////////////////////////////////////// tracé //////////////////./ Fée des fées post-cimetière on dirait et qui ça szerait ? On chezrche ! on voudrait trouver ! on éimeraittrop ensemble (ailée) en vrai trouver les choses du pré comme elles seraient
, nous regarderaient, nous toucheraient? . Fée des prés on est qui voulons en vrai rechercher l'endroit par où ensemble on pourrait passer de fait
sans y rester, sans y passer, mâis en restant (du coup) bien campée en tant que fée sur nos pieds et ailes ! On veut toucher aux Nénés de L'Herbe (! ) saturée ! On veiut grave en tant que fée toucher pour de vrai aux nénéds de l4herbe soit du Verbe aux données données p ar ici (le Pré) les bêtes allouées, Béêtes-:mots des Prés genre TORO, Bêtyes-mots de trop, gros Motrs et autres "Vilénies tempiorelles" ! Mots des Veaux ! On veut (en tant que fée) treacer = dessiner = desswsiner de chic et à main levée les données données , données doctes s'il en est, vraies données dites "de la Vérité" et autres paroles au cordea&u. On veut :
toc-toucher la Chose , lme Mot et la CHose, le Tombeau ! Qui est là pour, en vrai, comme nous aider ou nous seconder ? eh bé on dira ... pas gvrand-monde mais ... ça viendra ? On ne s ait ! on trace , grave, les mots du pré ! On avance ! On veut coller ! toucher-treacer ! dire et aller, pincer, sonder, toucgher la Panse ! =
téter = boire aux nénés le lait de la transe ! chercher ! cghercher grave ! sonder ! sonder ensemble ainsi ailéesz ! EAiles des fées de connivence ! soeurs lactées ! filles des contrées sauvées ! fi:lles s auvées et des contrées sauvées ! on charge ! On veut gr ave tracer ensemble, le dessin de l'âme : le trait ! trait des traits ! trait des doonées graves ! le tracé ! trait alloué à une romance, comme s'il en pleuvait !Chance ///////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////// et ROmance, sur pré aux Nénés ////////////////////////////////////////////////// ça pisse du lait ////////////////////////////////////////////// = notre CHance !
21/10/2024
On est données de rage sur paroi. On veut touchger à ce qui là, en face, va , vient, file, charge et se présente n tant que Pzarade. Obn est qui ? ELLEs ! ELLES = AILES = fée de rage, ici = comme au débotté, et ça le fait ! On est nées sur place la mort actée = accordée ! On ne veut pas se ranger des camions mauis tracer ! aller vif encore, devant, et ne plus s'arrêter on va dire jusqiu'aux nénéds ! On veut toucher = on veut (dans la motrt) toucher aux nénés ! On nge veut pâs passer à côté mais grave cerner, dessinner, graver "iceux nénés" comme qui dirait ! On est Bêtes Fauves (rosses ?) , on va vif, on trace sur roche ! on est tout ENCLAV1ÉES !!!!!!!! on file et vibre ! on veut (on voudrait) grave traverser = aklller ensemble jusqiu'au fond du pré, de l'autee côté, fond de cercle et toucher, à cette sorte de donnée qui serait un muret , mur de cimetière si tant est, ùais est-ce ? Est-ce véritablement (ce muret) une sorte de ... fond de baptême, fond des fonds, fond de cuve alluoué à une sorte d'enclave profonde ? On avance ! On trace sur pré. Onnest (oui) enclav&éées de base, en cette sorte de jardin des Rages et autres colères allouées à un passage. On veut toucxher = on veut comprendre, ce qui est et ce qui n'est pas, en cette paroi dite " de contreabande". On est là (ensemble) pour ça, elle et moi = AILES , pour comprezndre = avancer = marchert = voler = monter = se haussrer et se gausser, tracer et graver (sur roche) ce tracé de bosse, mots de bêtes animaux = des mots, dits "Animaux", de bêtes de trait au plus haut niveau ! On veut :
toucher , dire, aller, creuser, et du coup comme se téléporter en cette sorte de "muret" des murs de rage , le dernier (on diraoit) = paroi Sarde (?) il semblerait ! maiis pourquoio "Sarde" ? poirquoi pas .... "sage" ? On est nées (sur pré) Fée comme on est passées ! ou : en tant que voilà, on a réussi à passer = traverser la Mancxhe, le tracé des branches, les feuilles de base et autres fleurs acidulées. On est nées ! on est (dans la mort ) nées FGemme = Fée (en vrai) dans la tourmente ! On est coincées ! on est (oui ?) enclavées sur place ! pré ! Pré des Rages et autres ires allouées à une sorte en vrai de passage forcé ! On veut toucher = on veut cerner deprès ces fameux "nénés" dits "de contreb ande" ! ce que c'est ! On essaie de comprendre>. Qui on est, qui on serait, qui xans la mort on serait, . Qui en vrai dans la mort on serait qu'on deviendrait . On veut comprtenndre ce qui est pour nous qui semblerait nous concer ner ++ ! Qui, en vrai, on seraiot, ici = mort vive, en vrai. On entre dans un palais dont le nom est Pré, et dans ce palais (en tant qye FE4lmmme = Fée) qu('est-ce qu'on fait ? on fait ... hum .... pitié ! on fait mine de cerner, on fait ... grise mine, on fait des simagrées, on vire et vibre ... sans s'arrêter ? Non en vrai on file ! on va vite ! on fonce à toutes enjambées vers cette sorte de muret de fond de niche ! On est F1ée du Pré à la retombée, on court on vole sans traîner et jusqu'au bout du bout d'une sorte ici de contrée "ronde", cercle aux fées de Roche , on monte ! On est montées ! On est bête de somme / fée, qui voulons monter, gravir ... les néné s ! ? Ou quoi d'autre ? On est les fées des zonesz d'ombre, traversant la Roche, allant vif jusqu'à se pointer / p ôster, sur muret, de Force, tracé des contrtées profondes, fin /finalité des données des Causses ! On veut :
Grave oui, toucher ce qui est = les nénés, les nénés de l'Aube !
lesz cerner = les toucher
les toucher = les comprendre = les aimer ! On veut :
Aller , filer, ne plus nous arrêter sur roche des Prés ! On est la fée des données abgr aires ! attelage de trait, fée hors cimetiètrree c'est un fait qu'il fau t reconnaitre et adouber ! On est la Fée aux données de rêve ou sinon de rêve de grève ou sinon de grève de trêve ou sinon de trêve de tra&it ! car on est nées de trait (traite) pour complaire et donner ( à la mort souterraine) de quoi la satisfaire on dirait à tout jamais mais est)-ce vrai ?opn est la Fée post-cimetière comme attelée à une sorte de joug de réservfe, roue dentée ou crénezlée, on est Bêtes de trait ! hors cimetière on trace vite fait le trait de l'araire ! on veut coller à cette sorte de donée de terre ! trait tracé sur pré , araire au taquet, fée agraire et tourniquet, ça charge sévère c'est parfait ! accoutumée ! on est fée des herbes, mottes de terre, champ de trait et autres prés de serre ! on est nées ! ohou c'est un fait ! ouh ouh c'est dingue ! on est ! on est = on est nées ! ion est dans la mort née en tant que Fée avgraire, sur tracé de terre ! chamoiré ! On est la fée post -cimetière née sur terre des données de type "mort actée" et ça rendrait ! On veut toucher à mille données "naturelles" comme qui dirait. qui donc en vrai saiot ce qui est en cette sorte de "contrée-cercle" à nous offerte (dans la mort validée, tracée, concrète) , qui ? On ne sait et c'rest pourça
qu'on cherche ! mèfle , et comment qu'on cherche ! on n'arrête pas de chercher, de cerner, de soulever des lièvres, de tracer à main levée, de dessiner ici et là des animaux de pré genre le cxheval bai, l'antilope allouée aux données terrestres, bisonnnées des treacés sans herbe type sentier et autres cheminées ! On veut :
toucgher à ce qui est qui vitupère, va tracer, va se terrer, va se cacher, va vivre sur pré sa vie
de contrée sans verbe ! On veut en v rai coller à unbe sorte de donnée rupestre, type : souterrain ,
creuset,
fosse tra cée, trou des Fées de Rêve. On veut aller au pluslopintain possibvle sous la terre pour chercher le termed'une sorte en soi de vérité "agraire". On veut toucgher à ces "nén"és" post-cimetière en vrai = 🥲téter , TÉTER en vrai, être, cerner les nénés, les tenir ferme et donc s'alimenter ezn tant qu'on est Fée, Fée des herbes, Bêtes, Bête de trait sur herbe ça lefait ! on aime ! on veut téter , y aller, toucher à vo:lo,nté ce néné "de l"herbe" et tr acer ! filer ! charger ! aller jusqu'à se porter , téléporter soi-même, en ce fond des fonds argentés, gravé, qui semble ou semblerait nous regarder (du coup) nous pointer ou nous amener ou nous amarrer à ... eh bé, cette sorte de murret ? de mur d'entrée ou quoi ou qu'est-ce en vrai ça pourrait être d'autre qu'un muret (de fait) de cimetière, alloué à une contrée de type (qui sait ?) surnaturelle ? On cher c he ! on veut trouver ! on veut aller et du coup ttrouver , ici même, les donné&es patentes, termes qui nbous plairaient, tracé tendrte, vie des vies amantes, Givenchy ! On aime l'ambre ! le trajet jusqu'aux données de bande, sur muret, fond des prés. On veut toucher à ce muret ! On vgeut aller (de fait) en son antre si tant est ensembvle = ailes de fée = fée ! On est ailes = bêtes = fée = attelage nacré = trajet ! jet de bave ! On veuit touchert à ce muret des contrebandes et autres données, ici données à une sorte de malignité de type "formulée, gravée, actée, dite sur pré, dessinée à la volée". On veut touchert en cvrai , à ce ge nre de donnée de base, qui est, en vrai, donnée des données , donnée d'herbe sur pré afin de (pour le coup) pôuvoir s'alimenter wsans chômer ! on entre ! on est dans l'anrrrtree de la mort "genrée " ! ça le fait ! fée ! on est devenue fée ! on est pasdsée ("à toi à moi" le genre) et nous voilà toutes deux tra&nsgformées, transformées en "Fée de base" sur "creux des rages de Dieu" ! On est née F2e de contrebande, ici, au passage ! fée ! Ailes ancrées nacrées = attelage d'ailes sur pré = montage ! vaches -fée des prés sur page ! On veut touchert à (pour le coup) ce genre de donnée de base ! On veut coller à une vérité qui sauraiot révéler les donnéez prégnantes ici allouées à une sorte de contrée (= cercle d'or) dont le nom gravée (sur rocxhe ca&chée)) est MORT , MORT AUX OMBRES accolées à une sorte d'entité ssacrée, type : CORPS ! CORPS DE FGÉE ! Accord ! amarcord ! On veut :
cacher le sein donné,
donner le sein caché,
alimenter kle bébé ! Donner ! donner son lait , son propre lait sucré salé sur terre allouée à une sorte de donnée sans verbe ... ou sans autre
ou sans auvtr es
ou sans autres
charges de force, charges doctes , ou sans autres charges doctes, ou
sans autres charges (tracées-) de type docte ! On veut coller ! cer ner et toucher ! comprendre ensembgle les do nnées de l'ombre. homme mort né la mort acté, se transformerait, en cette sorte d'attelage de type Fée , AILES doublées ou débdoublée devient la fée ... aux données de cxharge ! trait ! somme de base ! attreactivité et sentiment larvé d'une sorte d'amicuicalité de façade ou qauoi pourrait se présenter d'autre, qui sait ? que cette sorte en soi de rire de la foi dans l'antre ? On y va ! on charge ! on veut comprendre ! oin aime aller ensemble à fond de c ale ! travezrser la lande et chercher ! cxhertcher grabve les données treacées, le sentier ce que c'est, le vif des contrées ( air de rage ), les nénés ! On veut comprtendre = téter = boire = se donner = tracer = chercher ensemble les données présentes sur ce rtype de (ici) trajet de contraebvande ! on est née f-ée du fait qu'on est (dsans lea mort) née !, en France, sur terre de charge, soulevées et collées ! On veut en vrai essayer (ensemble) de se rapprocher au plus possible d'une soettre de donnée pl acide, donnée fine , qui wserait "donnée de gr'âce" et autrtes sentiments tenaces accordés à une sortede menace ellke-même allouée ou comme attribuée à une Fée , qui sweraiot LA fée . Fée docte ! Fée des fées ! Onveut toucxher ! En vrai ce qu'on veut , à tout jamais, c'est ette chose : de toucher = treacer ! On veut tracer la Chose, Emp^édocle, lesdonnées de Roche, l'amballée, la CXhose profonde = la donnée du bout du monde, soiulevée, montrée,qu'on saurait cerner eznsembvle sans traîner et comme charmée ! On veut touchger à cette sorte de donnée de roche. On est née fée parce qu'ion est mortes ! on est la Fée des ombres ! ombres = hommes ! on est ! on est née Fée à la mort de l'homme c''st un fait tracé sur roche de grotte ! bêtes m:oinstres ! bisonnes ! buffles au taquet ! chevaux / Chevales aux am azones, antilo. des prés et aiutres ourses amadouées ! On est gravées ! dites ! prononcées ! parlées,
parlées sans honte ! On est nées fée
sur roche au t aquet dès que née de Roche ! on est pasdsées ! On voulait grave eh bé c'est fait ! on a pour le coup traversé enxemble les donnéeezs rupestres d'une sorte de cloison "de cimetière" et nous voilà "post-cimetière" dans un pré , à broueter, téter, manger de l'herbe verte, verbe des contrées , herbe aux données salutaires et autres foins de Dulcinée rupestre. On veut toucher à s atiété à volonté cette herbe à brouter sans traîner ni discontinuer ! vache à lait à traire ! bête-fée du Verbe , on est nées "fée salutaiore" ! fée des fées sur l'herbe ça le fait et c'est un fait qui nous plaéit (plaira) (grave) à j amais ! On veut : toucher = dire = cerner = comprendre = charger = allouer à une roche un e donnéevdite "profonde". On veut aller et coller ou accoler , à pareille roche, une vérité , genre : AUROCHs des chaumières, Buffle au débotté, Bisonne de Roche et autres lionnes (calfeutrées en grootte). On est nées LA F2E , Fée des Ombres portées , hommes doctes sur un pied ça va pas jouer ! ça va tomber ! chuter ! tomber par terre, s'enterrer ! pouriir = mourir , à jamais, dans un cimetière aux données du verbe , herbe, pré, pré à brouter, herbe verte = homme genré , gravé, dans l'herbve enterrée,bon à brouter, comme dans
une sorte de "chaîne
alimentaiore"
à ne pas casser ! On est F2e du vERbe parce qu'en vrai on est ... (post^-cimetière) Bêtes des prés sachant brouter , l'herbe -Vernbe aux données terrestresv(alimantauires) comme s'il en pleuvait ! hervbe verte ! verbe ancré ! charge de terre ! mottet ! motte aux nez ! On veut touchert à ces mottes de terre et autrtesc blés en herbe ! s'y coller sans disparaoitrte , se donner aux prés en tant que fée agraire, genre bête-fée venue de derrière ! on est nées fée car on est passées ! on a traversées de fait "à la une à la deux" la roche aux tracés, dessins de têtes, alouettes. On est fée des prés ! On est La Fée du PRé aux données tracées ! on est F2e aux alouettes et auttes bêtes eznvolées ! On est Fée d'herbe verte = données données comme à lka volette à jamùais ! On est :
F2E F2E Fée , aux vives données donné&es et auttes véritée a graires distinguées ! On veut toucher à une véroité qyik serait vérité hors cimetière, nous rapprocher (en vrai) de la grève (là-bas) aux données imberbes et autres voix de choix ! On veut colloer := dire = faire = aller =cerner = co=mprtendre = sonder = chervchert = faire acte en vrai de présence, en tantr que fdée postée sur une branche ! On est la fée voleiuse, l'envolée des envolées, la pie cachée, charge ancrée, vent en face on est collée à une sorte de donnée tenace (la donnée des rages). On v eut en vrai touchger à ce qui est qui nous fait face et nous regarde ! On est fée des fées . On est la fée des Fées . On vfeut en vrai toucher à ce mureet de contrebande ici donné en tant qu'il serait une sorte de finalité . On est née fée de rage prête à nous coller à pareil muret a&ux données "strange" : a ccolées, comme notées ou même notifiées, gravées à main levée et c'sset à nous de de ce fait cerner-comprendre ce qui est, ce qui dsonc est noté, ou notifié, gravé par la bande, ce que c'erst en termes de dopnnées qui serait des données de Finalités, données-verbe à jhamùais ancrées ce que c'est ! ce que ça peut dire ou vouloitr dire qui pourrait grave nous intertessezr et nous donner (ou apporter) que"lqueqsq données de rage, données doctes, vérités de porte, charges de données hautes, vééerrités accortes et autres motsde roche-grotte "hot" ! On aime le haiut ! ce qsui va haut, s"'élève au fuseau, va vers les hauts d'une sorte de paazsage "hot". On veut aller haut en tant que fée, aux données du pré, en tant que fée des hauts ! On veut toucher leshauts de l'antre alloué à une sorte de tombeau ! On veut coller ! dire et soulever, charger et tracer, donner et comprtendre ce q<ui est qui en vrai serait là comme à nous attendrte. On est Fée des tombeaux de base, fée des pots de bouse et autres chgarges fatales ! On veut (en vrai) coller et caler, chgharger et sonder, dire et pousser , dsans les prés, les données "adffables". On est nées fée car "on en redezmande"" da,ns le genre ! on est née LA F2E des bases romandes, travailléesz sur pré, tétée, sucée de près, mangée des yeux comme d'une denrée que tout le monde en vrai s'arracherait ou viserait ! On est la fée des prés, des bases romandes ! On veut coller à une vérité liée à la CXhance --> donnée aux Nénés tels qu'ils se présentent : vérités ! cxhants du pré ! charge-femme aux nénés lactésv - --->> la ch an,ce ! les données données ! le tracé ! chant des prés ! on est nées sur pré au passage alloué à une sorte de tra cé ! on est passées ! on est ensemble toi et moi passées (sur pré) "à la romande" = sans traîner , sans chahuter, sans faire de vague, sans se présenter, sans la ramener, sans se prendre pour je ne sais quoi qui pourrait faoire croire qu'on s'en croit ! On est (ensembkle) en vrai passées ,; c'est fait ! nous voici transformées en fée : ailes sur pré, vie des nénés ! On erst nées fée sur pré aux herbes données ! on est la fée aux données données sachant donner son laéit ou qupooi ou qu'est-ce ? les nénés sont prêts, à être tétés ! ça le fait ! c'est un fait ici post-cimetière comme on les aime ! oin veut en vrai toucher sans traîner aux nénés dits "de l'herbe verte", chants sacrées ! On veut grave graver et gra vir ! mo nter ! charger ! posséder le Dire aux données données de type Véroté des Vérités. On est la Fille aux données données = Fée Fille, Fée d'entre les fées-filles ici accolées à une V2rité-Vrille comme s'il en pîssait sur un pré de rive ! On est :;
NÉEs nues, cul nu, sur roche bue !
Fille aux données de type vérités du cru ! on veut se rapprocher ensembkle des données (finales) de fond de paroi. Coller ensemble à ça : la base ! mur donné ! vent de face et autres attraits ! On est entrées ensembvle en cet antre aux vives clartés ! musiques genrées, chants de charme, douceurs d'ambre, mots des prés et autres bêtes-mots dorés. On est femmes= fée ! deux femmes font la Fée qui en vrai sait ce que la mort est . Et /... qu'est-ce qu'elle est en vré&i ? eh bé ... de l'herbe verte = du VErbe ! donnée s des prés. Mort-herbe = VErbe = VERbe doté de traits de vérités sans trêve ! ON veut :
toucher aux nénés, = téter , manger, boire du laiot, boire à ce lait du néné de fée ! Grave tétezr ! grave on voulait ! grave on veut téter ! on ve'iut en vrai grave téter ; le laitr du néné de la fée du pré, post-cimetioère à tout jamais, si tant est ! On veut grave téter, les né nés "en herbe" de la fée des prés, bêtes sur pied, vache surnuméraire, buflette sur tracé, buffala de grève ! chahutée sans cesse par du vent de frai, mais bien campée ! tenant ferme ! séleva,nt ! On é&ime ! On veut AELLE ! on veut D'ELLE ! on veut d'elle ailes ! On veut comme elle ! on veut
être elle ! fée d'entre les fées post-cimetière, et tracer = aller, en vrai, vite toucxher à cette sorte de donnée des prés, et qui est donnée docte, sagesse allouée à une sorte d'entité profonde type "bisonnée" eyt autres bêtes de somme ! On aime aller sur roche traquer, ensemble, cette sorte de donnée de type vérité ancrée, et du coup c erner = toiucher = toucher grave = calibrer = sonder = comprtendre = allouer à une roche une sorte de donnéev dite "du bout du monde en forme de rotondze". ON est nées fée car on est (dans la mort de roche) née en tant qu'on est (en vrai) passées, qui voulions toucher à une vérité profonde, soulever les ronces, passer, s'infiltrer, enttrer ensemble "à la une à la deux" (en transe) en cette roche de façadde, traversée de rage, traversés (ici) comme "conjuguée" ! on est passées ! on a gagné lke pré et bnous voilà ensemble à prése n t soudées en tant que nous voilà toutectransformées en Fée des Rois et REines de SAba ! ça cxharge ! ça envoie ! ça (fgravce!) envoie du bois ! ça fout la rage ! ça fait ça ! On entre !on veutcoller à la paroi d'en fdace !
On veut tracer ! toucgher , coller, donner sur roche un peu de soi en termes de données lactées et aéutres substances de néné ! on est néné ! on est née néné ! on est donnée donnée sous forme de lait ! née néné on peut donner vdu lait à (qui sait ?) la mort en herbe ? aux dieux de la PLaine ? à la V2rité Humaine ? a&ux Divinités des tertres ? Aux gens et gentes des données rupestres (animaux des plaines et autres mots-bêtes donnés du tonneau). ? O,n cherche à pour le coup cerner la Bête aux contours rupestres ! On est la Fée (post-cimetière) sachant charger, xar elle est Bête aux données de trait , rupestre et agraire, bête au débotté va, sur pied, tracer sillon pour une marche alègre ! goupillon ! chignon ! condom ! savon et savonette, on erst prêtes pour les ablutions ! on veut plaire = dire = faire = charger = comprtendre = donner = allouer à une branche une sorte d'oisillon de base, chant sacré on en redeman,de, oisillon sacré des Branches de R age sur p)aroi de base. On veut :
TOUCXher = DIRE = FAIRE ainsi, que des choses puissent en vrai être dites = soulevées ! Révélées ! on veut toucher à une sorte de donnée-denrée de type Lait = tétér ! téter à ce lait -résine ! y aller de sa tétée de vrille ! charger ! coller ! donner ! fdaire ainsi que des choses larvées arriveznt en vrai colmme à maturité sur grille aux données montrées = révélées ! On veut :
vivre = cerner = chanter = faire = coller = complaire = allouer à une vérité des données de rive, données fastes, vives données données de type roman,ces et autres chants des contrées aimées. On veut toucher à une vérioté sur pied ! bêtes des prés = bêtes à traire ou à teter , sqelon qui on est. On ne vcveut pas passer à côté mmmméis grave troucher aux nénéds en herbe ! on veut coller à une vérité des données de l'herbe = Verbve = Dits de plaine = LAit ! LE VErbe est du léit ! Le lait est du verbe ! ça le fait ! verbe en herbe xdes données tracées par (en vrai) l'holmme mort et enterré à la traversée , quand, ELLes, ont contuinué , sous forme d'ailes, d'ailes de F2e surdimensionnée, Féev Allègre enjouée tracée, va sur pré s'y plaire et voler (ou voleter) : on aime ! opn est folloes d'elle, de la Fée des Herbes ! Fée des f2es (sur herbe) enjouée gaie on l'aime ! on n'aime qu'elle ! On veut la toucher ou la triturer ou la frôler ou la toucher de près ou comment ? En vrai / phuuysiquement / concrètement . Touchger à la Fée du pré et du coup c erner, comprendre qui c'est, à qui on a ffaire en vrai . Féecv? fée des fées ? Herbe ? gentes plaines entre murets on veut cerner , de fait , ce qui est qui , sous nos yeux de bêtes, sembvle se tramer, en termes d'êttresz, de fée allouées et autres dfées post-cimetière (ce serait les mêmes).
On a& méga envie de se poster aux av //
On a méga-envie de se poster ensemble sur tracé. On a Méga-envie ensemvble (ailes) d'y aller = cerner = touchger = comprendre = sidérer ! On veut en vrai toucher à cette sorte de Donnée de Roche déliée ! On veut :
vcoller ! grave coller ! coller grave à Déité des Déités de Base. Y almler = gravir ! = monter au plus haut possiblke sur roche massive ! ert du coup touchger à cette extrémité passive, ce tracé des rives, chants lactées si on peut dire, ce néné ! ce lait ! Lait des laits des données ! On veut téter ! on veut / on voudraiot en vraéi (de fait) téter (sans cesse) aux ,nénés en herbe (nous alimenter de conserve, intstoinct grégaire) et macher, macghouiller de l'herbe, brouter à jamais ! téter et brouter ! brouter et téter sans plus tarder ! veau / vaches sur pré on aime l'herbe, le treacé acté sur un pré de plaine, fée on est = fée -bête ou fée-bête de trait vu qu'on est (de fait) vaches à laéit accouplées, vaches de ferme, vaches attelées pour pouvoir tracer sur terre les données du Verbe à naître ou faire naîtrtee. On veut grave y troucher de près ! grave cerner ! cerner de près kles dsonnées données telles qu'elles nous sont en vrai (dans la mort) présentées : des bêtes ! des données données sous forme de , bêtes des prés et autres fées acidulées post-cimetière ! ça le fait ! c'est un fait des plaines ! on aime ! on veut tracezr sur r('oche lres données profondes
= ,
AUROCXHS des ROCs !
BUffles au taquet sur pré en herbe !
OUrqs / oursonnes /oursons /ourse au diapasion !
Colle cendrée sur roche trouée (percée) pour colmater = VErbve ancré !
ON AIME Coller à ici, Ce genre de données sur HeR be (verte) , ça c'est vrai ! On VeuT toucher à une sopRtre de donnée aux fées ! on est nées fée, car , oui ? on a mouru (les hommes) sur terre battue ! Onn est : femmes fortes, grosses des vues, charges doctes, cornues, vaches bues, homme est mort sous roche, vaches est nées sur roche, on ose ! on est velues ! poilues ! non tondues ! on monte ! Vaches ailées = fée = vaches à lauit ! On mùonte ! on veut monter !aller , tracer, coller à ce muret des données profondes ditezs "terminales" (de rotonde), et autres roche des finalités. On est la Fée des F2es cendrées ! charge forte on trace à vue de nez les données accortes et autrtes données vraies, liées aux ... nénés ? aux seins dotés de lait ? pis "spi" ça le fait qui sait ? on est néez .... FÉE
DU FAIT QUE OUI ON ESST LA FÉE DES DONNÉES POSTÉES DE FAIT SUR UNE ROCHE, SOIT GRAVÉE, PAR UN HOMME OU UNE FEMME , FHOMME OU FHEMME AUX DONNÉES DE RAGE ET SACHANT GRAVE GRAVER EN TRANSE À MAIN LEVÉE CE QUI EST QUI EN VRAI EST (ICI MÊME : ROCHE SONDÉE) LA MORT-DEMOISELLE, MORT EN VRAI, LES DONNÉES RUPESTRES, VIES ANCRÉES SUR ROCHE DU PRÉ.
On veuit toucher à Elle = la Fée, aéux données en herbe ! Fée des her bes et du verbe tracé sur roche touchée ! On est fée aux herbes sur un pré, de type champ des fées ! ON veut coller à une vérité acide, peut-être lactée, vive, sachant alimentezr ce qui en vrai est ... avide de denrée ? On est la F2e post-rive ! on a traversé de fait la roche "fluide" et du coup, ainsi lancée, on sq'est , comme retyrouvées accolées ailes de fée, ailes vives, de fée vive, et on s'est envolées , envolée avide, vive sur ce pré aux données dob nnnées par (on dirait) une sorte de Fée Allouée, Sacrée, Sachant parler lescl :angues, riches, aux données ancrées pleine s de vérité ! Fée parmi les féesz ! On est née fée parmi les fées ! On est Fée de suite ! Chant de rive ! musique sacrée dans une sorte dee prairie des filtres ! On aime charger ! on veut toucxhezt à cette Déité aux données ancrées sur terre de pré post-mort allouée ou comme donnée. On est RICHe ! RICHE EN VRAI XDE VERBE DE FÉE !
on est la fée des prés sachant parler le erbe lacté ! verbe vif aux données tracées comme à main levée sur roche des fées (groote vide). On veut vivre ! charger et louer, cerner et toucher, comprendre ensemble ce qui est qui (qui saéit) pourrait en vrai nous expliquer un certain nombre de complexicités et autrtes sentiments de vie comme ancrés en noxs vies chargées (toutes) de données diverses et variées de type denrées ! vives ! dons de vcie sur pré sacré ! On veut vivre ! aller et donner ! comprendre-allouer à une fée lkes données des rives, ce qsui est qui nous fait vivre et traverser le pré, la prairie fleurie , lle champ de blé, terre aux dsonnées données et autres prés acclimatées, à nos vies (ici) de fée saluée. On est la Fée des prés cendrés ! on est fée des prés sacrés ! On veut :
TOUCHER , TOUCHER , TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER , TOUCHER , TOUCHER , TOUCHER , TOUCHER, TOUCHER, TOUCHRR en vrai à une vérité actée = physique = vraie , de type entité , roche des prés, grotte insoumise, traveréseé de rive et entrée ! On est née fée surprise ! sur paroi de rive, chjahutée en vrai mais nous voilà entrée tête la prezmière en ce pré aux herbes, vertes, grasses, à bvrouter de rage ! Vives ! fées vives ! on est comme colléesz à u,ne sorte de contré, sur pré aux données actées cendrées sacrées qui nous attirent vo:ontiers et nous font rêver ! On aime tracer (ici : roche aux bêtes des prés) des bêtes des prés ! On fveut :
Colerr ! situer ! cerner ! centreer ! pister ! comprendre ! vivre ! tuer ! faire voeu de chasteté si tant est ! vi
der et combler ! situer la rive, l'autrte rive, le muret, les finalités (rocheuuses) de fond de pré, muret des mureets, charge profondxe, sentiments exacerbés en termes de hjoie profionde du fait qu'on est passées, qu'on est pas mortes comme est motrt l'homme, au pa ssage, affirmé, afffiché, tracé, sur roche de grotte ! mort est l'homme (et enterré : terre soumise, pré, herbe au piquet) quand (nous) on est passées ! on a (nous : femmes du pré) réussi à passer, à travers la roche, sa&ns succomber, démultipliée on dirait, ailes de fée, on est nées ! on est gravées ! ion est tracéesz ! on est passées pour ainsi dire par la grande porte , pour tracer = sillonner la roche , bêtes de trait / de somme on est, qui cherchons : lza Chose profonde, = véroités ! vérités du bout du monde ! salub rité / insalubrité tout le pa quet ? on ne sait mais on colle , l'insalubrité à la salubrioté ! bête forte on est née ! fée ! bête de roche = fée ! fée des ombres mortes (hommes) sur pré ! morts et enterrés les hommes, sont de l'herbe verte, traits de reste, chants fleuris et aiutres pissenlits sur terrre glaise ! hommes est mort et enterrés, sous nos pieds de fée (post-cimetière) ça lke fait ! on veut toucher à ces données rupestresc sans tarder, car on les aime, elles nouys intéressent , elles nous plaisent beaucoup , nous observcent peut-^ttre, nous interpellent (?), nous font signe sans trêve de bnous, pour le coup, porter, près d'elles, à genoux, ou zinon à genoux debout mais "rupestres" ! On les aime ! on veut gravir ! o,n veut grimper ! on veut s"'élever ! toucher lesz nénés ! toucher grave les nénés de l'être ! sang vif va dans le vif tracer les mots ! on veut :
triturer ? les dooonéees placides ! gravir = monter = se haussr = toucher aux données qui sont données des hauts ! On voudrait ! on bveut toucher ! on voudréit en vcrai gr ave nous télécporter vers ces divinités ditrs "sacrées" qui seraient postées au pluys haut des hauts de ces données offertes (en vrai) par .... une Divinité Concrète ? iune D2iuté DEs cours d'eau ? Post-cimetière concrète ? cours d'eau des prés en nherbe et autres prairies celtes ? On chercvhe ! vgrave ! ce qui est qui va et se présente à soi = nous = Fée ailée sur roche sacrée ! fée ! fée ........................................................................................ fée dees fées sur pré ............................................................................./............................ fée des fées sur pré en herbe ........................................//./..........//./?.?.....................................On veut touycxher à cette DÉitÉV post cimetière si tant est = si tentée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! = fée des fées on diréit ou qauoi ou qu'est-ce ? Vérité ? vérité des Vérités ? ça se pourrait ! on aime ! on veut toucher ! on veut grave touycxgher à cette dféité-déessse des contrées genrées , fdée en herbe peut-être, déesse à jamais touychée ? qui sait ? ailes en vraie szur herbe et ça le fait ? on chercvhe ! on veut trouver ! on cherche alertes, on a en vrai méga-envie (ensemble) de trouver, dénicher ... le VERbe ! le VErbe szacré ! Verbe en herbe, Verbe des prés, Verbe-herbe à brouter = .... lait ? lait des Fées post-cimetière non genré, qui s&it ? On est (on veut être) F2e ! F2e des prés ! fée genrée ! fée donné ! fée sur pré alloué à une sorte en vrai de vérité sur herbe , genre son de base alloué à une ropmance et autres musiques dotés de basses ! On est nées ! musicalité des données genrées ! on avance ! on trait = on traite ! on veut cfomme toucher à une vache à lait (traire) et l'aimer , de fait, pour ce qu'elle est : du Verbeb ! herbe tracée ! cxhant des prés ! amitiées sincères ! On éime toucher , ici mêmùe (pré) à cettye Déité-Sommité_ D2esse -Princesse des données en herbe ! pré ! pré ! pré des fées ............................................................................................ on nez veut pas se laisser faiore maéis aller, foncer, toucher à ces nénés, téter, touchger la terre, toucgher terre, être sur pied la bête téméraire sachant lutter, tenir ferme, ne pas flancher, couler peut-^tte mais sqans sombrer, homme surnuméraire sur pré aux herbesv de type Verbe, du fait quy'en effet, l'herbe est du verbe pour qui sait brouter ! Homme des prés, mort-né, devient Ailes de F2e au passage svelte ! On est mort né ombré ! On est l'homme mort-né la mort actée , quand la FEmme trace traéitsq sur traéiots, du fait qu'en effet, elle devient Fée du fait qu'"lles (deux femmes soudées, accolées) forment ou vont former les ailes d'une Fée, D4une "fée des fées" post-cimetioère ! On aime ! on est la fée des prés sur pied, on volette ! on veut voler = s'envoler ! s'aimer ! se toucher ! baiser ! coller à une Sommité de Roche ! bêtes-fées sur pré aux herbes données sachant voler ou s'envoler ! On est la fvée du pré aux herbes vertes pouvant a&limùenter qui la bête qui la fée ou même (peut-^ttre) les deux, du fait q'elles sqont (de fait) bête-fée : fée-bête sur pré aux nénés ! On les aime ! on aime coller ! .................. touycher à la bête ! nous coller à elle et y aller ! cxhaerger sur herbe direcvtion le muret, fond de roche des prés ! mur / muret des données ultimes associées à une sorte de rive genrée, rive ultime aux données ancrées de type "véerités" à propos de la mort telle qu'envisagée". On Veut Toucher = donner = faire = craindre = allouer = feindre = conserver = graver un c ertain nombre de données dsonnées (ici) post -cimetière, et nhe plus traîner mais tracer (en vrai) ce qui est qui est, à savoiir ................................................. l'HERBE
L4HERBE DES PRÉS SUR TERRE ALLOUÉE À UNE VÉRITÉ CXHARGÉE ! ON VEUT TOUCHER = DIRE = FAIRE = CHANTER = COMPTER = CONDUIRE = FAIRE, CE QUI EST QUI EST qui est le verbe des données donné"es ! On veut akler = donner, = faiére = dire et oublier , ou ne pas oublier,; et du coup tracer, ou bien dire-toucher, ou coller-dire ce qui est sur roche allouéeà un dire concret, . On est fée des prés ! bêtes de rive ! on veut traverser , de féit, l'ultime muret, le dernier avéré, la frise, les données gravées, type animaux des prés, dessinés -gravées par quelques gentes néandertaliennes des temps (passés) reculés. On est née ! fé ! fée des prés ! xdans la mort actée ! avérée ! donnée par ... qui sait qui en vrai ? on est :
la fée vive !
frée ancrée sur rive de pré !
fée aux données vives sachant tracer ! On veut grave tracer, toucxher, coller, donner, conduire une sorte de 'attelage vif, jusqu'aux confinds du pré alloué à une vérité dite "remontée", "active", "travaillée", chargé de données " comme autant d'offrandesb à Déité. On veut aller sur piste, gagner l'aUtre Rive, l'Ultime Muret, le toucher, voir ce qu'il en est, est-il possible de le traverser à notre guisev? piouvonsz-nous pâsser ? où donc dès lors se treouver de fa&it si ja&mais ? On veut :
PASSER, VIVRE, TRAVERSER LA RIVE, LA NUMÉRO DEUX POUR AINSI DIRE ! VOEU PIEU ? on veut coller, à cette rocxhe des données fi:nales, un sentiment dit "de façade" ! concrétions nomades ! fruiits de la raison ! bananes ? on veut ou on voudréit (selon) aller ! charger , faire excprès de nbous approchezr , en vrai, d'un treacé dit "des finitions" (des finitudes) et regarder, voir de près, chercher à cerner ce qui est là qui se tioendréit pour soi, pour e^tre comme "visionné", , touché , cerné, pris (pour le coup) en considération ! On veut toucher à c ette D2ité dite "des Contrées Sa&uvages" ! On veiut ça de rage ! Toucher, toucher, toucher, toucher, toucher = faire toc , sans cesse, sur paroi de grotte ! creuser = graver ! dessiner (les bêtesq des prés) à main levé sans s'arrêter c'sst un fait ! fait des prés ! on vgeut en vrai toucher kla roche (aux données profondes !) sans traîner = sans lâcher !c reuser ! creuser ! ne plus s'arrêter de creuser ! creuse que tu creuserasv à kjamais sans t'arrêtter de préférence (ça le feraoit ! qui sait ?) et toucdhger (en vrai) à la rOmance ! aux donnéezes actives ! Romance non rance ? ou roma,nce au contraire rance ? On aime le pré, les bêtes de charge", le travail (de sa&pe) d'une Voisx, d'un coprps de femme sous paroi, femme + femme = VOix de RAge = Fée = trace ! On est remontées ! dr(ôlement remontée ! de Rage, du fait qu'en effet, on peut dire ça, on est (da ns la mort) ,nées Fée = AMe , âme en vrai ! äme (non homme) : äme sur pré alloué, à une sorte de ...
carrosse ? carrosse p^rincier , pour Fées et auttres Déesses des contrées de Baise (?) visitées : qui sait ? Fée .............................................................................................................................
..............................................................fée des fé&es surnumreéraires post-cimetière on dirait ..........?............................................................... on bne veut pas sopmbrer mais dmeurer, demeiurer fée post -cimetière en vrai ...?.?...................?........... et toucher du coup à cette Déité Derrière (dernière) ......./...././/...........././.................coloer , coller, collmer, coller, coller, coller, coller , coller à cette fin (finalité) de roche tracée ! chargée ! trait des traits ! ion cherche l'entrée (la sortie) de tête ! où elle est ? Qui le sait ? qui sa&it où elle est ? qui cfonnaît ? qui cfopmprend ? qui veut toucher le s a&ng de la bête allègre ? quyi veut de fait toucher le sang de cette bêye de paroi de Rage, Paroi des Parois et on voit , on entre, on est dans, on est accolé&es, sur pré, on sent bioen des choses se tramer qui nouys "intéressent" de fait, m ais .... commejnt dxonc arriver à
traverser la Roche dernière ? l;'ultime muret ! ? qu'r'st-ce qu'il y a derrière et comment l'atteindre ? Des données de rêve ? des deniers ? Somme de traite ?
"somme due fait la chose connue"
? On veut en vérité aller = toucher = dire = faire = contraindre = colmlmater ! On veut :
passer la tête
traverserr à j&m ais
essayer de regarder en vrai ce qu'il y a derrière
comp^rendre et du coup cerner et du coup relater
mettre un doigt (qui sait ?), ou deux, dans (ici) la fente
toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher !toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! rtoucher ! toucher ! toucgher ! toucher ! toucxgher ! toucher ! toucxher ! toucher ! toucher ! toucher ! touchert ! toucher ! toucher en vréai ! en transe , les données, dees rochesq gravées, roches doctes, vérités ancrées en ronds de bosse, villosités, concrétions de poche, tracé vrai, chants Corses ! On est njée Fée du fait qu'on est ... mort ! l('homme ! l'homme (de fait) décédé , laissze a&ller Elles , de son corps terré, Vers l'air et la lumière dx'une sorte de pré alloué aux bêtes, bêtes (donc) des prés = betes de trait et ça le fait ! fée ! fée ailée = vache à lait, tracé gravé, bêtes sur rocxhe dessiné par l'etre des temps reculées, sachant graver, dessiner de tête, les données en herbe : délicateesswes, vérités nacrées, chants lestes, déploiements de liesse, traits affirmée affichés en tant qu'il s'agiraéit de dieu et de déesse soulevé,es ! ça gfait son effet ! On aime toucxher ! grave y aller pour de fait toucher à cette sarabande ici dessinée comme p ar la bande ! On veut :
TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER , TOUCHER ENSEMBLE = À DEUX (DEIUX AILES) POUR UN "MILIEU" , DE TYPE
Mât de Verbe ! oh,
la cxhose ! les données en herbe ! On veut ! on veut (grave) un peu de sérieux ! on veut en avancer de bnotre mieux et toucher l'herbe,, du mieux qu'on peut. On est Femme au milieu de l'herbe, fée , felmme fois deux forme la Fée ici comme touchée , certnée, vue et connhue./ On est les femmes = xdeux moitiées, formant fée en herbe ! fée des prés squr herbe , cxhant sacré, on plaide ! on veut cerner, donner, coller, allouer à un peu d'herbe une défeznse agraire ! plaider = toucher = dire = remuer = contrer, contrer les sentiments contrzaire à une vo:;onté de plaire, complaire, toucher. toucher terre ? On aime ! on veut , ..................................................................... toucher terre ?.................................. Re ? ............................................................................................................................................... = p^laire ? ................................................................................/....?.............................................. plaire grave , complaire, toucher, comprendre , prendre, emporter ? ..................................................................................................qiiu de quyoi en vrai ?....................................... qui on est qui aloons sur herbe en termes de données données, qi'on serait , qu'on serait en vrai post-cimetière (soit une fois mort-né !) .... ,? ............................ qui on est de fait ? Des fées ? dans la mort donnée on seréit (et que ça) fée ? seules les fées a&uraient pour le coup gain de cause, à genous, au beau mil:ieu des ronces, touchées blessées mais les voilà qui osent, pousseent, franchissent, traversent les choses acides, les données rudes-dures en termes de chahut, mais bon ... elles sont rudes, dures à la menace, tracent, forvcent, passent , passe nt la roche, passent accolées la roche des Bossees, et du coup treave"rsent (elles !) les données gravées (cohorttte animaliè!re néandertyalienne) pour se retrouver (voilà) de l'autre côté, côté toundra , pour toucher à cette Déité de l'au-delà de la paroi, à savoir ... Le Trait ! Bete de Tréit ! lma Somm e ! Bête de somme ! bât martial ! bât des bâts et la voilà qui va , court et vole, fée dans l'au-delà de la Parole Docte. Toundra nous vopilà ! On vol:e ! va ! vient ! court ! ose ! charge et puiqs voilà ! On est là et bien là ma foi, ça y va ! On est
femmes Fortes , formant fée de ROche ! Colle ! colle des nénés de l'ombre ! colle ! colle sur roche ! colle des données de lm'ombre (homme) dép^lacée ! On est femme des prés = données ... vivement données ! Données dfoctes ajourées, centrées, posées en corolle, prêtes à être traversées en vrai par (zqui sa it ? ) la ... pArole Ombre ? vie des vies chargées ? Herbe folle ? Verbe oté ? vie traversée ? On cher c he la Somme ! total drôle ! Les données ! CE qui est qui est de fait derrière la Roche , les donn"ées profondes ! charge d'ombfre on est comme concernées par ici la Chose comme qui diraiot "profonde", les données de roche , les données données d'une roche gravée aux temps reculés. On veut :
TOUCHER , TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOPUCHER, TOUCXHER, TOUCHER, TOUCHER, TYOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCXHER, TOUCHER, TOUYCHER, TOUCHER, TOUCXHER , TOUCHER, TPOICXHER, TOUCXHER, TOUYCXHER, TOUYCXHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCXHER, TOUCHER, TOUCHER , TOUYCHGER, TOUCHERR, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOYCXHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUYCHER, TOUYCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUYCXHER, TOUCHER, TOUYCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCXHER, TOUYCXHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUYCHER, TOYCXHER, TOUCXHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUCHER, TOUYCHER, TOUCHER, TOUYCHER, TOUCHER , TOUCHER
ICI à ce qui est qui nous rzegadfrde ou nouds regardrerait sans cesse, cette Déioté dite "des pr"és", déité-Princesse aux données données : qui est-ce ? la Donnée des r^ves ? Le sommet des prés ? L'amiooureuse asexuée ? LE doigté ? L'herbve ! L'herbe genrée ? Le pré ? le pré en herbe ? loa donnée de glaise ? F2e ? Fée aux données ancrées qui semblezrait vouloir toucher à une vérité des terres brûléesc? On cherche ! On erst accolées car on est les ailes de la Fée ici téméraire, surnumérzaiore, saluée, aimée, considérée du fait qu'elle est la Fée des F2es consacrées, adoubées, aimée et même adorée du fait qu'elle est .... "belle", "belle bête" adulée, la des = la Bête des prés, celle qu'on aime regarder brouter, VCache à lait ... "Super" !! On est accolées ! collées ! on tient par un trait ! trait de verbe entre deux ailles qui sont ailes (au débotté) d'une sorte de Fée Singulière. A12iles = Elles = Femmes = Fame censée ! On l'aime ! on aime (grave) la fée (ici) post-cimetière ! le tracé ancré ! charge primaire première printanière sur pré ! on éime creuser ! chyarger ! toucher l'herbve ! foncer de fait vers les données dernières, fond de préb = terre-verbe ! on nait ! on nait fée à la traversée (printanière ?) des données données ! AAIles = ELLes = F2e = FEmme = EFFE = F2ée des herbes vertes = données données = fAME en vrai ,; du fait que voilà, c-'est ça , on AIME grave kla paroi = on grave ! on aime la Voix ! le pasdage "strange" d'une roche de choix (sous tente) et on y va ! on ne traîne pas ! on avance ! on veut ça, la chance ! la Paroi des Rois et reines de la chance , des tracés de base et autres treaits de vérités plaisantes. On veut toucher = dire = donner = comprendre = soulever = cerner = composer sur roche , qui un bouquet, qui une sorte de tracé des prés, qui la chose des Bosses et autres Ronds $"bien dessinés" du fait qu'on est nées, de fait, comme soulevées, sur paroi de roche, ainsi accordées ! On veut coller à une sorte de divinité des divinités ! On est femmes des prés devenues Reibnes à jamais souverainesc. Femmes-bêtesx= traits de chaîne ! chant des plaines ! on veut tracer, c'est-àdire aller (en vrai) au plus possible loin en cette rive ! traverser ! tracer = traverser ! traverser = treacer ! définir ! couler ! choquer ! permettre une sorte qui sait de traversée des monts dodus, des plaines cossues et autres bosses surdimensionnés cvomme sezraient peut-être ... dxes nénés de rêve ? nénés au vrai lacté / don alloué ? On cherche ! on veut ici toucher à oui, qui sait, dezs sortes de nénés qui (peut-être) seraéient des êtrtes, des données en vrai, dons de chaînes, vérités lactés ça le fezrait ! On veut en vrai aller toucher à pour le coup ce genre de néné ... lacté ? qui sait ? qui sait de fait en vrai si ces nénés pour le coup sont (ou ne sont pas !) lactés ? qui saurait ? qui pourrait nous indsiquer, nous aider, nous dire, nouys parler en vrai sur ce qui est qui serait de fait la Vérité des Vérités? O, n cherche "avide", bouche bée, ce qui est qui est ! du lait ? hé, ça le ferait , c'est un fait ! ça le ferait en vrai ! ça pourrait ! On a méga-$envie pour le coup de toucher à ce qui est, ici, le pis ! pis de la vacxhe en vie ! dans la mort vous m'avez comprise ! vache en vie ici, antre des données données, de la mort actée, des dessins de charité, des buffles et buflettes allouées à une roche grise et autres oursonnes aux données données dites de "vérité comme s'il en pleuvait". On est la Fée de fait insoumise ! fée des fées caliibrées,, chargées, comblées, touchées . On est Fée des données tracées, dessinées à main levée par l'être des temps reculées de type néandertalien , l'être, néandeeftlienne, l'êtresse, aux vives clartés et autres lumières offertes sur pré ! On veut toucgher la Terre Promise ! vivement l'éteé ! le soleil de mise ! la vive clarté des données acqyises ! On vgeut aller = dire = charger = combler = faire = cpoomptendre = jouer = perdre = gagner = dire = baiser = bander = toucher = vivre = allouer à une sommité une szorte de vérité qui serait de fait la vérité des véritésc admises par, on le sait, l'Ultime, Le dERnier, La dernière des Données Acquises, Fée treacée, Déesses sur pré on dirait La Vie, Vie des viescomme humanisée, Personnifiée, chargée de mots des prés = alimentées = soumises à une sorte de becquée ! On veut toucher à volontéb l! toucher de chez toucher ! la Chose Montrée ! muret ! mur des ASsises ! Charge acquise forme les données d'une sorte (ou d'un semblant) de Vérité déposée sur rive ! Qui on est ? qui donc on est ? en vrzai on est qui ici ? ici mêmùe sur pré on est qui qui saurait de fait les chosesq ce qu'elles sont pour ceux et celles qui passent le pont ? Qui en vrai sait ce qu'il en est ? Ce qui advient, ce qui te,nd des bras ? qui connait les données finales , terminales, chants de Rage ? Qui connait en vrai par où on pourrait, ensemble (ailes) , passer sans dommages ? Le muret
Le muret sur pré
Muret des Murets
LE trait sur muret
On dirait un trait
On dirait que, sur le muret dit "des finalités", il y aurait un treait ! une fente ! une sorte de porte de chambre ! anfractuosité patente ! ce trait ! cettre sorte de trait de chambre ! ce passage par où peut-être ensemble paszser, afin de s'y loger inscessamment sans "y passer" de préférence. trait de charge ! tra&it de base ! treait teracé ! trait des enfances, des donné&es profondes saturées, xdes données romandes. O?N veut coller = colore r = donnner = prezndre = soutenir = tenir et toucher = faire = plaire = sonder = situer = pousser = dire ce qui est qsui on dirait chgercherait à nous pousser à terre, à nouys faire chuter autant que l'on est ! mais on tient ferme en tant que fée ! fée des herbes des prés ! on est des bêtes, bêtes-mots de poids et masse a:louée à... du Verbe de Plaine. Fée on est sur paroi, puis passé la paroi, sur pré centenaiore voire millénaiore. On veut toucher à une Déité de derrière ! De de"rriè§re l'ultime Paroi, le muret,
des ëtres Collabés. On veut toucher = treaverser = pousser = donner = plaire = chercher = contrer = centrer = situer la Chose sur terre, les données deonnées et autres bêtes agraires surdime,nsionnées, de type :
buflettes, oursonnes dorées, phacochères simplets, faons accolés à une roche imberbe, chevaux d'oc et juments celtes, bouquetinnes -canassonnnes, lionnes et lions de Bosse, teracés vrais genre croix de Roche, trublionnes et vives clartés allouées à un semblant de trait par où qui sait pouvoir passer la parole docte (si tant est !).
17/10/2024
On entre ensemble = on fait corps = on est Fée ! Fée des Noms de Rage, Chapeautées on entre ! on est nées ! on est ensemble comme consacrées = collabées et on enttre dans l'anttre de la Mort en acte ! On cherche ensemble ouiiiiiiiiiiiiiiiiii , à comprendre = cerner = entourer = détourer = contenir = dessiner la bête dite "de paroi " et autres bêtes-mots de choix ! Onn est FEmmes Fortes = Hommes nés (sur Ombre) mais ... comme déboutés ! et Homme débouté perd pied; ,
meurt docte, et Deux (F) sont nées, qui vitupère,nt ! On est nées de RAge dans l'antre ! On est passées ! on a traversées à la nage comme qui dirait la ... place ? Plage ? trappe ? On est passées ! on est nées de rage sur ici le Trait d'un passage inné ! On veut cerner = toucher = dire et comme soupeser un certain nombre de données de base, données des données qui semblent ou sembleraient nous indiquer (peut-être) par où passer , car oui (en fait) : par où passer , ezn cet antre des fées ? Qui est qui ici ? et qui nous observe ? oN cherche ensemble à mieux comprendre ce qui est qui nous regarde ou nous regarderait, on cherche à pour le coup cernbner les bases d'une traversée "' à lza unre à la deux" à travers ici la Roche des Fées. On est nées sur herbe !
on trace vif ! on veut touchert à ce qui est, peut-être, en matière de ... néné ? qui sait ? On est entrées , du coup on regarde ! et ce qu'on voit ici nous donne à penser, ou nous p^$rête à penser, ou m^reme (oui) nous prête des pensées qui sont pensées post-cimetière, penszées (fortes) d'ombre, vives pensées des traits sur roche, ombre d'ombre. On est nées Fée, parce qu'on est (dans l'antre de la mort en herbes) nées , ensemble, à la traversée, comme encerclées . On veut toucher à cette sorte de paroi des féers, "paroi folle" on dirait , du fait que oui,des bêtes de rage ici font face, nous matent, nous regardent bouger, nous insérer, e,nttrer, nous blottir l'une l'autre pour peut-^$ettre en effet former "un e fée" de type "pelote". On est nées sur roche et nous voilà comme considérée,
par ici des bêtes de belle prestance, pesante, lourde de leur pas donné. On est comme soulevées, en transe, pour former fée ! fée des fées on en redemande ! on aime traverser la lande et nouds porter au plus lopintain
qu'on peut regharder, ensemble , soit
là-bas le chemin,
la pierre de base, muret ! mur d'enceinte claire ! mur ou muret aux données dernières ! on veut passer ! on voudrait en Fée (ainsi transformées) si possible passer ! passer ce muret aux données de base ! On voudrait ensembvle (accolées en fée) passer, traverser, encore une fois traverser un muret ! traverser de raghe et co:mprendre "à la une à la deux " ce qui nous attent ou qui nous atttendrait de base après ! Ce qui est ! ce qui est apr(ès ! ce qui nous "narguerait", qui sait ! Ce quyi est, qui nous attendrait ferme (ou pas) derrière ! On cherche à nous portetr nous-même, au plus lointain qu'on puisse, accolées , tracer, marcher sur la lande vers ici ces conttrées de bout de bout qui nous "reg arderait" sur pied aller, tracer, marcher, sauter ou sautiller, voler ou voleter (on est la fée des om:bresg) et, du coup, nous rapprocher de ce fameux muret de conttrebande, mur alloué à un dernier (qui sait ?) passage sur lzande ! on veut passer ! on veut, en tant que fée, à nouvrzau passer, de grâce ! on a en vrai méga-envie sans rire de passer, à travers la lande puis le muret , de l'autre côté : qui y est ? qui habite ou habiterait de l'autre côté de pareil muret dit "de contrebande" ? qui donc nous voit de fait, entrer et courir, charger, voler ou voleter de Rage sur parooi ddes äges ? On veut (on veut grave) tracer ! vivement aller ! Charger, tonitruer ! consacrer toute notre
énergie (de rage) en cette chose d'une vo:lonté (ancrée) de vouloir ALLER , ALLER VIF , en cette sorte de muretdes charges, et du coup .... pointer son nez, comme qui dirait ! vif et ancré ! nez porté ! entre les nénésc? nénéd à lait ? on
en redeamnde ! on disait ? On entre ! on est entrées ! on est entréescensemble, accolées (main dans la main) o,n disait, et nous voilà de fait qui formons Fée , Fée des données données, Fée des landes et autres prés habités par ici des bêtes sur pied ! On est nées sur herbe ancrées ! Fée ! Fée ! Fée des fées ! On est toutes transformées en fée ! on était deux (deiux femmes ou filles : F) à la traverrsée, nous voici unifiées ou comme unifiées en cette sorte de
"Fée des Rages sur pré" qui est "Fée de base", fée des Fées sur place (lande) . On mate ! on regarde loin les données données. On veut de fait en vrai nous avancer vers ce muret quyi est muret dit "de contrebande" à ce qu'il parâit. On nen avance ! on avance. On veut toucher à c e muret aux données données données de base et du coup comprendre en vr&i, p ar oùu passer "ensemblev " = asso ciées, de confiance - coonivence, a ccolées = F2E ! Fée des fées et on entre ! on veut enttrer ! on veut passer la Porte de s Données, donnéesde RAge ! On veut (grave) traverser, la Roche Finale, et du coup voir-comprendre ce qui est de l'autte côté ! Est-ce : une sorte de mer étale ? une plage aux galets ? un remou de base ? du glou
glou comme s'il en pleuvait ? glou glou des données bruyantes ? une Chance ? un e sorte de CHance Allouée à une Vie Passée ? charge de Fée ? Donnée tendre ? vivavacité des données vivaces ezt autres vie de rage ? vie vive, des données données finales ? Une sorte ici on dirait de vie nouvelle ? vie novellisée ? On regarde le pré, le muret au loin, autour de nous des bêtes (dites de poids) broutent, qui sont bêtes des données (brutesz) telles que rencontrées ci-devant sur pré à notre arrivée. On veut :
TOUCHER ! TOUCHER ! TOUCHER ! TOUCHER ! TOUCHER ! TOUCHER ! TOUCHER ET ENCORE TOUCHER LA BÊTE DES PRÉS ! ON VEUT L'AIMER ! ON VEUT GRAVE AIMER LA BÊTE DES PRÉS ! ON VEUT GRAVE AIMER, ALLER , TENIR, CONTENIR, FILER, DONNER ICI OU LÀ DU SIEN POUR COMPRENDRE ! ALLOUER À UNE SORTE DE ROMANCE UN SAVOIR ANCIEN NÉANDERTALIOEN ! ON VEUT COMPRENDRE = TENIR = FRÉMIR ! On a méga-envie ensembvle de :
toucher grave
toucher menu
toucher vif
toucher le cul des bêtes de rage, ici présentesv : buffalo ! bêtes-mots parmi des bêtes-mots ! on est ensemble (deux) qui voulons comprendre , ici même (pré) , pareilles bufflettes et autres bouquetines surdimensionnées ! grave ! surdimensionnées (on dirait) ça charge ! dinguer(ie de rage ! on voit ça en transe ! On est nées ! Fée ! fée ! fée des prés on en ava,nce dans les connaissance car voilà, on est passées ! on était deux (en vraéi) à la traversée et nous voilà qui sommes passées , ensembvle, accolées, faisant corps sacré, corps des ombres portées on est nées de rage, vivantes, vives et comme soulagées de nous voir accolées au passage, nouées, soudées, faisant
corps de rage pour être (on le sait ) à présent la fée, Fée des prés, Fée des données données et autres mots de contrbande. On est passées ! On regarde. On veut comprendre. On cherche grave à comprendre znsemble . On a super envie ensemble de comprendre ce qui est , qui se présente devant nous comme à la parade, bêtes-poids (de base) au débotté, mots-charges à l'arraché, bisonnée des données prégnantes et autres buffleries tracées ! ON veiut toucher à ces données telles que rencontrées à notre passage, dès l'entrée (notre entrée) en ce paysage aux vives données (dites "de contrzabande") et autres données (dites "de rage") comme s'il en pissait au passage (à
nottre passage) . On veut ensemble ici comprendre si possible ce qui est qui nous regarde ou nous regarcderaé&it sans sourciller outre mesure. On a méga-renvie ensemble de tracer qui des données, qui des mots de rage, sur paroi de face, et nous porter de fait au-devant de nous jusqu'au bout du bout du pré alloué à une vérité. On est nées fée au passzage chelou d'une sorte de paroi "des fous" . On veut ou on voudrait
ensemble accolées et soudées comprendre ce qui est et (aussi) ce qui n'est pas, en ce pré aux fées, aux bêtes de poids et autres bêtes-mots dites "de p aro i". Qui on est ici qui cxherchons la clé, la clé allouée à une sorte (peut-être) d'entrée (de rage ?) dans un antrte dont le nom (attitré) est ... F2é ? Fée des F2ES ? ou bien autre chose ? et si autre chose : .... Qioi donc ?
On entre ! on veut grave ensembkle et sans traîner entrer soudées, accolées , afin de ici cerner-cfomprendre les données primaires, secondaires et autres données parmi les données de fait rencontrées posst-cimetyière. On est nées de base accolées car on est passées, on a traversée la paroi première, on est dans un pré (paradis terrstre ?) et du coup on traîne ...
ou plutrôt non, on trace, on avance , on court on vole ensembvkle, on fait corps ensembke pour, de fait, former La Fée aux données de base, celle qui connait (ou qui connaitrait) l;es mots adaptés cfoncernant la Chance ! on est nées fée ensembvle dans un pré : la Chance ! Voilà ce qui est ! On avance ! on trace ! on veut toucher à une Sommité, de tYpe : Bufgfle à l'arrêt, Buflette des contrées de l'herbe et autres Bêtes de bon poids bon oeil sur pré de Vezrbe ! On est nées Fée du cfait que (dans la mort) on est nées ! on a traversé la Donnée Première, le Passé, et nousq voilà comme consacrée (en vrai) par( une bête , Par la Bête, ici, au cran d'arrêt ou ... comment dire ? l'allouée ! l'Allouée Première sur Paroi de ROche, LA BHête Tracée "de Belle Haine" , Chargée ! collée ou accolée ! la Bête des bêtes du pré, j('ai nommé .........../....................... Aile ! Elle ! La des bêtes-mots ! La bête ici des bêtes de mots ! Beête-mot post -cimetière = ELLE , BËTE-POIDS (de RAge) accolée , on regarde. Qui c'est ? qui elle est ? de" qu'elle bête en vrai il s'agirait ? Eh bien .... peut-être ....d'une bête dite "de trait" : bête allouée à une charge. Bête de bât, somme, trait de Roche : on voit ! on voit ça la Horde ! On veut (grave) en avancer, ensemble, en ces connaissances de roche et du coup aller, croiser, filer ensembkle jusqu'au bout du bout de la paroi Sarde (sarde ? ) poiurquoi pasz ! on est entrées ensemble pour former La Fée aux données de base (= la ch a,nce) et du coup, on est nées fée ! on est nées en tant qu'on s'est, ensemble, transformées c'est-à-deire accolées, soudées , pour former en vrai cette Fée des passages, ou dite "des passages", fée des fé&es telles qu'il en existe "dans l'adversité" on dirait . On veut touchger de base à la roche finale, travverser le pré, aller jusqi'aucx confins des
données prairiales allouées à ce tracé de base, à pareille marche. On veut
toucher = tater = boire = téter. Tater = téter , et téter = tater. On est nées sur pré de base fée , du fait qu'on est nées (ici même) accolées ! soudées ! comme soupesées ! On veut de fait cer ner ce qui est qui nous regarde ou nous rtegarderait en face sans s'arrêter. QUI on est ? Des fées = femmes accolées ;! formant fée des prés( l'homme est du passé ! n'étzit pas a ssez ! est mort-né dans la mort actée ! bien fait ! ... il était rosse ! °). On est fée de bosse ! tracée ! chargée (ou comme chargée) de faits dibvers, appointements, massages et autres creusesements à main levée en transe sur roche gravée (ou dès lors gravée ) . On est DESSINÉES ! obn est, sur pied , dessinées ! gravées ! sur rochje amllouées ! On est tracées à main levaée ! TRANSES = trans et trans = transformées en sorte de F2ée
de roche rude ! transe et comme transformées , en transe comme transformées ! On est passées ! On voulait en vrai traverser chelou la roche tantrique, eh bé c'est fait à ce qu'il paraît ! on a pasdsé le Temps Donné, La Rage des Contrées, le "Salon des bases". On est entrées toutes
remuées accolées en forme de fée ! transe ! transformées ! transformées (en transe) en fée, du fait que oui en effet on est passées,; on a rugi ! on a crié "ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiioiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiuiioooiuiuiiiiiiiiiiiiiioooiiuiooiuiooiuuioiooiiiiiiiiiiiiiiiiiiiooioiuuoioiuioiuioiuiooiiiuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiooiuioiouoiioiuiouoiioiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiuooiuoouioiiiiiiiiiiiiiiuuiiooiuioouiuiuiooiuiiiiiiiiiiiiçiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooiuoiouoioiiiiiiiiiiiiiikiioooiuioiuioooiuuioooiuuioiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooiiuioiuuiooiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! oui ! oui ! oui ! comme quoi voilà, on avait encvie, en vrai, de passer, cerner;, pousser, entrer, renttrer, comprendre où on est ensemble, qui on est ! Qui on est ? qui en vrai on est ? Est )-on (seommes-nous ) fée ? fée des fées à la t§raversée chelou ? qui on est en vrai ? fée des fées chelous à la traversée ! Une fée = une Effe = une Femme allouée à un pré = femme-p^ré ? femme aux prés ? femme sur pied va et vole haut = monte ! haut de chez haut! vers ... sa tombe ? une tombe ? tombrerau ? Chaud devant ça monte hot ? On est comme défaits, et, de fait, on est (ensemble) retracées (ou comme retracées) sur roche ... en tant que fée ! frée docte ! rose ! allouée à une sorte de tracé de roche : antilope ? On monte ! on monte tout en haut ! on veut haut monter hot au chaud ! monter haut ! On est la Fée des Hauts de ROche ! chalumeau ! on monte ! cerveau ! on veut coller à une roche aux données hautes, les plus hautes des données "hot" ! On veut touchert = cerner = dire =
contrer = faire et aller, vers une sorte de tr acé dit "des finalités" mais e,n vrai on ne sait pas vraiment , où trouver icelle , pour le coup, parmi toutes celles (finalités) prioposées ou quoi ou qu'est-ce ! On est entrées accolées femmes (deux femmes) pour former la fée, la fée-néné ? on ne sait pas ! on trtrace ! on charge ! on veut tracer-charger la bande des données profondes et autres bvérités de roche. La mort qu'est)ce que c'est ? une sorte de contrée ? pré/ Prairie aux ... pissenlits et bêtes-force ? Et après ? après ?? la ruée ! l'ombre portée sur une roche nouve"llement créée pour en vrai pour nous pouvoir passer encore et du coup toucher à une sorte de donnée "de bout du monde". Ok, mais, cette donnée "du bvout du monde", qu'est-ce que c'est ? c'eswt, comme qui diraéit, ............ la Roche ... aux nénésb ! Nénés hé hé ! Les Nénés nés au frais d'un passage alloué à une traversée dernière ! anfractuosité du cimetière , une jetée, une soerte de trait de roche par où du coup passer le nez , la tête, le cortps entier si affinité
et on y est ! lumière ! salubrité ! chants clairs de terre ! cavité dernière ? ou bien plage dorée, mer soudaine, ressac sur bière et autres bruits venant de derrière" ? On veut (en vrai) être celle (ici) qui baigne ! qui, dans l'adevarsité des lumières braquéesz, baigne ! va ! vole ! sert ! souflle ! chante ! donne ! donne pour le coup de soi = d'elle ! on y va ! on est née fée de fait pour p
âsser et tracer et rejoindre la jetée derrière ! le tracé aux fées et autres sortilèges de s données de roche ! On veut toucher de fait à ces donées de bout de bout, vér(ités debout ! On colle ! on est de fait en vrai accolées et on veut passer " à la une -à la deux" à travezrs la roche , l'ultime (allouée) roche des prés ! Onest homme d'amont, on passe le front, on devient Ailes de Données Primaires, ELles à la retombée sur pré, Femmellesz comme qui dirait (bêtres) et du coup transformées en fée, du fait que nous voilà (ailes) accolées, soudées comme à la retombée (ici) sur herbe ! On est fée d'herbe ! de pré ! soulevée ! on s'envole allouée , on vole de fait en cette sorte de rotonde survoltée ! On est la fée post-cimetière, âme allouée on est née bêtres (bêtes de roche = bêtes-fée = bhêtes de trait) : on monte ! On est comme soulevées et du coup nous voilà hautes ! hautement sureélevées sur pré , on monte allouée ou ainsi éllouée à une sorte de passage "rose et frais". On ne xsait (encore et de fait) pas en vrai ce qu'il en est mais bon, on se laisse pour le coup aller et porter, on est motivée, on a envie d'en avancer, on veut tracer ! courir ! charger ! pisser
! ne pasz nous arrêtrer si tôt ou même si près , du but avoué tel que retracé sur la roche dure, par des ... "fées
de fortune" ? qui sa&it ? on est fée diurne (matinales) qyui traçons de front un certain ombre de données cruciales il semblerait , mais : est-ce vrai ? est-ce vraiment cela = Ça , qui est .?, cette sorte de ... bonté des bontés ? charges d'âme ? salubirité ! charge-née sur pré aux fées !? Qui on est ? Femmes ! femmes dotées d'une sorte de Pariole FOrte (dans la mort ici allouée) qui peut-etre donne ... donne e, nvrai .... raioson profonde .... chaleur et bonté .... vent docte ! V2rité des Vérités ? Qui sait ce qui est ? quyi nous sommes, qui on est, qui on voudrait être ou ne pasc être et du coup aller (ou ne pazs aller) vers cette sorte de Parole Docte dessinée sur roche : vérité des prész , vérité des vérités , aurochs et mouflets ! buffles et chevauc de frai ! On est les derniersv ! on aime aller ! on aime s'enkyster sur roche ! forcer le tra&it et du coup (peut-etre) traverser et donc nous retyrouver (transformés ) de l'autre côté, côté pré = paradis, en
femme de suie, dédoublés, doubléesw, femmes allouées à une sorte de Donnée donné = FéE ! Fée des prés ! Une (la) Fée , des données chelous comme xs'il en pissait et nous, on est dessousz , femmes au débotté = doublées ! On veut cerner, en tant que nouvellement nées , ce qui est qui est tout autour de nous : bêtes-poids de trait, somme et roma,nce, bêtes de par ade pour l'éternité ça le fait, et nous dde nous en rapprocher "à la une à la deux" e,n transe (il semblkerait) jusq'à lkes touycher en vraéi ou du
moins tenter, tenter de les toucher en vrai en ce pré , en cette sorte de contrée "finale" ! on essaierrrait ! On veut toucgher ! on veut toucher en transe les données données d'un pré alloué à une vérité ! On est nées Fée dans la mort actée, alléguée. On est nées Fée = transformées ! de deux, on passe à l'unité d'une fée tr acée comme un trait de Rage : est)ce ça en vrai ? Ce tracé ? On veut comprendre ! on veut toucgher ! on veut aklller ! on veut cerner ! on a envie méga de nous avbandonner à une sorte de "tracé de rage" sur un pré, et alors (ou dès lors) de ccerner ce qui est qui commande , noius indique à jamais le terrain qui est à explorer (si jamais) , nousq dit auusi par où c'est mieux, en vrai, de passer et de s'a&venturer sans plus de craintes, et du coup tracer son prop^re (ici) chemin de destinée chelou peut-être... ou pas chelou, qu'est))-ce qye ça peut faire ! on a ensemble envie méga de creuser loin le plus possi-ble les doonées de base , dfonnées doctes, sondées, creusées, déposées. On est femmes des prés à la tr aversée (on était un homme !) et du coup on monte ! on monte en tant qu'on est, à présent, ailées ! munies d'ailes de féedu coup,on p)eut monter, coller à une roche des données, Roche Rude / Dure aux données diurnes ! on est accolées parvce qu'on est nées ! on est n,ées accvolées en ce"tte contrée de la mort actée ! on est femmmes devenues la Féez ! Fée des Fées allouées à une "Vérité des prés", à une sorte de donnée des données allouées à un pré dit "de contrebande" et le tour est joué : on bande ! on est droites nées ! on est nées dx'un tréit, le tr&ait ,! on est le trait de contreba,nde ! on est fée-trait
, bêytes de trait = trait = traite = donnée des données = vie tracée sur roche de grotte néandertalienne ou même plus ancienne , on ne sait ! les tempsq sont comptés ! Le trait est traitb d'herbe = verbe nacré ! Le trait est un trait de VErbe (d'herbe ?) sur pré ! On veut toucher à une vér(ité surnuméraire (on dirait) qui sezrait (de fait) la vérité des vérités sur herbe ! verbe doré ! chant lacté ! sein de fée ! nénés des nénées ! on vitupère en vrai contre un père des Prés q<ui est le Père des données Supre^mes ,
on le déteste ! On ne veut pas de sa "bonté" ! on veut pouvoir s'en échapper et, nhe plus jamais de fait le retrouver , le voir sur pied nous mater
-tater et autres faits et gestes ! merde ! merde aub père des prés ! il nous emmùerde ! il nouys fait bisquer ! il nous faéit grave suer et même chier ! va donc passer plus loin Père ton chemin et ne vie,ns plus jamais en vrai nous enquiquiner on en a assezb ! O,n veut toucher la main, le pied, le genou imberbe, cuisse dorée, poilds de fée, et y aller ! aller vif ! y aller de nottre envie sur pré de nous laiisser aller à deeviner , qui de quoi ici bnous fait ce dro^le d'effet ! On aime ! On aime aller et tracer et du coup chercher les données en vrai, on dirait les plus ancrérs = prononcées sur pré, genre VERBE au données du Rêve (?) ou sinon du rêve, de la VUe, de la Vue Naturelloe sur MOnt Suspendu et autres paysages d'herbe (Verbe) dodu.
On est Fée des prés ! on a envie ensemble de comprezndrre les données du pré ce qu'elles contiennent et ce qu'en vré&i elles pourraient donner en te"rmes de vie (vérité) salutaire si tant est ! Onn veut grave toucher = faire = dire = aller = prendre = chercher = deviner = comprendre , ici, les données donnéesz par, on dirait .... l'herbe . l'herbe des prés ? on est comme en vrai sidérées ! l'herbe ???? en vreai , il s'agirait de mots ... des herbes d'un pré ? Mots d'herbe ? mots des mots de l'herbe à mâchern,, brouter , ma,n,ger, mâchouiller ? On est la fée des données priomaires ! on est fée en herbe ! Salubrité ? on est Fée d'herbe, DFée de l'herbe = Fée-Fée aux donnéesz données sachant brouter ! Onnest la fée de l'herbe allouèée à une vérité des vérités des herbes tracées, dessinées, gravées sur paroi des fées ! On a envie ensezmble de comprendre ce qui est ici qui
semblerait, peut-être, vouloir arriver. On est nées de base fée , en cette sorte de contrée qui est, en vrai, la contrée du Verbe, Donné des DOnnées. On veut toucher à cette Vérité larvée, encastrée, en une soerte de poaroi de Roche aux tracés allouées par une sorte de Personnhe Docte des temps Passés. On veut tyoucher troyucher toucher toucher toucxher toucxher toucxher toucher
tpucher topucher toucher à une sorte de donnée donnée donnée donnée donnée ,données qui serait la Donné des Données à j amais = F2ée ! fée des ombres portées ! L'homme est du passé,l'homme mort-né d ans la mort actée est tel du passé (de cimetière) alloué au pré = herbe ! homme-herbe ! femme est la bête-mot, le traéit, bête de trait et autres Bête des parois de roche ! Homme mort-njé est devenu le pré , l'herbe, l'herbe verte, petit caveau ! On cherc he ! On est des bpêtes -mots sur herbe alouée à un pré post-cimetière aux données alléguées commùe "per derrière" (qui sait ?) . O, est le fée des plaines ! fée du pré aux herbes à brouter (homme dernier). On veut coller, en vrai, aucx ... "nénés d'herbe" ? On veut coller à c e qui est, qui vient de deriikère, la par(oi (de roche) première et après ? qui va là ? qui saura ? qui vivra la chose et du coup saura nous en informer sans plus d'anicr(oches ? On vreut tyoucher à une déité de roche ! on a envie en vrai ensembke de toucher , à, donc, Vérité ) ! vérité des prész ! On veut toucher = donner = dire = faire = comprendre = charger = concevoir = calfeutrer = combler = cerner = cxhanter = faire ce qui est qui nous sembkle aller = se caler, se t asser, se placer, e,n cette roche des données données par (qui l'eut cru ?) l'herbe à broueterr ! l'herbe verte est Verbe on dirait mais est-ce vrai ? est-ce ? est-ce ce qui est ? qui sait en vrai ici et là (le pré, aux vaches sacrées) ce qui est et (a contrario) ce qui n''st pas ô grand jamais dans les boyaux ! Qui, en vrai, le sait ? On est fée cdes prés et on cherche à tracer. On veut toucher toucher toucher de fait à cette soerte de donnée de base = mot ! mot de trop ? mot-mot ? mot de Rage ? mot de base et aéutres mots de rage ? mots du culot , de la rage nue ? des doonées nues ? du cul ? Mots-mots donnés aux asticots ? On est la fée a&ux mots des prés, fée d' ^me ! feée
des fées aen nage ! on sue ! on pue ! on pue grave ! on pue comme jamais temmlllement il fait chaud ! on cuit ! on est toutesz en sueur et larmes ! on est nées fée comê à la parade, a&u milieu des a,nimaux de charge, et on en avance = on va = on trace = on y va = on est à présent tout en haut qui cherchonsv (en face) un passage, trou de peau ou autres orifices-b,oyau ,; qui puiisse (en vér(ité) nous dooner ou prêter de qauoi nbous abvancer et tra&verser, passer ! passer voler ! traverser le dernier coteau ! la montagne ! mont des prés salués ! On veut passer ! on veut grave passer ! traversert ! aller tout en haut et du coup t§oucher à une vérité "des hauts" . On veut
TOUCHER SERRÉ !
RToucher ferme et commeaccolées à une sorte de tuyau "de référence". On est le tuyau ! les ailes battantes. Le trea&cé du pré ! charge mentale et dits des fées de contrebanxde. On fveut fcoller ensembke à une sorte de doonné donnée de base aux fées traçantes comme on est ! On est fée dees prés et en ezffet on trace, grave, sans traéîner, sans se lamenter, sans chercvher plus que ça à nous inscrire en faux concernant ... la chance ! oui ! il en faut grave ! il faut lA chance, le Tuyau, la Bête Forte aéllouée au tonneau, Gente's Da&mes et Da&moiseaux tu penses ! On est Brêtes de Peau ! On entre ! on est entre ! entre deux eaux ! On veut comp)
rendre et &llouer, charger et cerner, tire r et pîger, vivre et emballer, cfoller et surprndre, forger et sonder ici -mêmùe (à jamais ?) la ROche en HErbe . Onest nées fée sur herbe et on veut tracer. On veut comprendre les données données à quoi elles ress"'mblent(. On veut de fait (en vrai) chercher à cerner , ces données de base, ce que c'sst quyi nous concernerait et nous inviteraient à comme nous propulser plus loin (toujours) sur ce chemin des connaiszances, en ... Amour ? Amour doux et courtois ? Beau séjour / beaiu minois ! Atours ? On est la fée qyui tremble ... mais ne cède pas ! on en avance (discourtois ? maussades ? sale ? mal ?) mais voilà , on en avance ! on ne lambine p as ! on y c roit , ou du moins on veut y croire grave ! on ne veut que ça ! croire en soi ! aller et toucxher, faire et porter, donner et dire, centrer et conduyire, chercher fée, fée des fées sur herbe d'un pré qyui seraéit de fait le pré alloué à une fée donnée en partiuculier : Fée d'herbe, ou fée des herbesz du coup à brouter, manger, mâcher par des bêtes ! On est entières ! collées ! on pèse ! on est passées ! On voulait en vrai charger sur pré, on peut dire que c'est ok. C'est fait !
On voulait :
charger, conduire, saluer, donner,; poursuyivre, centrer, chiner, poser, composer de fait avec la fée telle qu'elle nous apparait en ce pré alloué à une véritécernée. On est fée, fée faite bd'un homme comme dédoublé en deux parties d'aile. On VeuT btoucher à ce qui est qui nous espionneraiot, ion dxirait (tandis qu'on monte ainsi soulevée ! ) . Obn EsT dEs HomMeS qui SomMEs cOmME transFoRméeS EN de"uX BetesV dE SomMe ApPELéEsc féE On DIRaIt PARce quE voiIlà ELleS SONT PAsSéES à TrAvERS LA RocHE COmME UNe fuSée (FiSSA ° Et DONc VoILà ! on est n ées frées de RoChe ! nouba ! samba ! parole doctes ! on y va ! on veut ça ! on veiut aller-toucher sans faute la
paroi du Ça tel qu'il nous apparait de forme. On est Néesz fé la bmort venue ! cul-nu ! fée cul nu ça pue .... eh bé c'est fait exprèsz ! pour repoussr ou attirer ! pour toucher ! toucher de près ! toucgher Fée des f2Es , Fée velue ! Fée des F2e velue qui elle aussi (donc à la retombée) wserait ainsi comme puant du cul ! fée ôilue ! Fée des fées de rage venue comme pa&r la bande nous toucher de près ! On veut la toucher ! on a szuper envie dee la toucher ! fée contree fée ! feu contre feu ! fuoc contraï fuoc ! fée / fée qui le ferait de fait ! seréiot bienvenu ! nouys fezraiot bien aller et nous egayerait en vrai ! On est la fée du préb
nommé, on v eut pouvoir aller ,, treavcer et cerner, filer en vrai sur pré le jour venu ! on veut
PUER DU CUL ! GRAVE PUER ! ON VEUT GRAVE PUER ! PUER DU CUL ! GRAVE PUEZR DU CUL ! ON VCEUT PUER ! GRAVE PUER ! PUER GRAVE DU CUL ! DU CUL PUER ET GRAVE ! SOUS LE NEZ (ET LA BARBE) DE L'ATROCITÉ, DU VANDALE, PÈRE LA TRIBU, LE MÉCHANT DÉDALE, DEDALUS DES TRAITS IMMONDES ET AUTRES TREAITS TRACÉS, EN FORME DE PASSÉ , TEMPS DONNÉ DEE R(OCHE. On est née fée la paroi passée ! On EsT Née féE DE préS /lA pARoI passée ! on est née sur pré la paroi pass&ée ! on veut coller à une D2éité des D2ités et ne plys
nous retyourner mais teacer , treacer vif, filer et comp)rendre en vrai les données de rage, le trait alloué à une marge anale et autres petits faits su r pré alloué comme à la par ade : cul nu ! on est nues nées, nues vues, nhues connues ! On veut y aller ! on veut grave tracer et gagner la bande ! se poster sur la montagne et du coup reg arder, dee rage, les données lointaiones, horizon donnéz, traits lointains alloués à un Frai ! Chants choraux ! Chants des Eaux ! Chants sourds du Tonneau ! On vole ! on vole drôle ! on volete ! on est fée des herbes comme soupeséees ! On veut toucher à cette Déité dite du post-cimetière allouée à une destinée sur pré ! qui on est ? AILES ! A1ILES ! AILESZ ! AILES sur pré ! on est ZAilesz ! Ailes aux données centrées ou recentreées , qui voulons voler ! monter ! chargher ! cerner plus haut les données chelous ou dites"chelous" ou "chelous comme tout" ! O,n aime
♥️
on veut être fée
on veut en vrai être fée
on veut bde base en vrai être fée
on a envie ensembke de base d'être frée
on veut grave ensembke de vfait être fée et comprendeesre ce qui est qui nous ressemble ou nous resemblerait sur pré
on veut aimer
on veut (grave) aimer les bandes, les données de rage et autres données , données par la bande à tout jamaisb on dirait mais en vrai qui le sait ?
on veut toucher )à une sorte de vdonnées de rage comme consacrée à une sorte en soi dx'adversité (type monacale) allouée à une Vé2r(ité dite "de contreba,nde".
On aime, tracer et pisser, charger et collzer, ma,nger et suer comê par la bande, nos mots du Passé et autres Gros mots sur bande traçante.
on est faits = fée ! ion est pasdsé (homme), on est fait (fée) une fois passé = fée du pré (ou fée des prész de charge")
ON VEUt grave comprendre les données romandes, le Roman de Base, Chant d'oiseau et autres mots gros du tonneau.
qUi en vrai on est, on se le demande ! On ne sait ! On ne sait p as en vrai qui on est, et qui on est pas ! On cherche à comprendre ensemble sur le tas, mais voilà, on est mal outillées des fois ! pas facile ensemble ! on est Ailes de fée sur pré, attachées, accolées, soudées, collées de rage on dirait et ça le fait ou le ferait grave il semblerait !
On na envie de faire que ce qui est qui nous obsède, on dirait ! Tracer = pister = donner = faire = cerner = lier = charger = prendre = donner = monter = coller = dire = suivre = forcer, forcer grave les tra&its ! venir ! allouer de base, à ce tracé, des données sa&rdes et du coup monter ! haut le plus sans plus tarder ! chanter!
on veut toucher à ce qui est qui nous regarde ici
mort
mort = antre
antte = mort
mort, "des don,ées de l'antte"; antre des données données, au sein de la mort
ventre
Charge-née ! On veut toucher à une sorte de donnée du ventre, saturnale, a&llouée à une vérité, "cventrale-ventrale", qui est (pour le cfoup), V2rité des Vérités "chelou", ou pas chelou, mùais .... d'antre ! d'un antre ! vérité de l'antre = vérité ancrée ! allouée ! tracée ! chargée ! qui entre comme à l'arraché en cesz contréesz de bout de bout, sur pré aux fées. On VeUt tOUcHeR à ceS données de rage ! On VEuT GRaVE y toucher ! ToUCHreR à ces Données de base menaçantes , et entrrrfer ! filer ! coller ! donner ! cxharger ! faire ainsi ensemble (ici) qu'on puissee glisser, qui son doigt de fée, qui sa langue (qui sait ?) patoisante ! On est ailées ! on est Ailes du pré ! Ailées ,! on est la fée, ailée, des dsonnées de base (dans la mort actée, larvée, prégnante, située). On veut com)rezndre , cerner, collezr à cette déité des données centrales (ventrales / anntrales / astrales ) . on veut :
TOUcHeRv, Faire ainsi nqu'on pûyisse comprendre et cfomme mieux nous situer sur cette lande
aux données (de b ase) saturées ! Qui on est ? sardes !
Qui on est ? sa&ges ! saége-femes ! sages -femmes des prés comme situées sur herbe de base : mots d'arme ! On a méga-envie de comprendre = TOucHER , Dire, Coller, CErner, Cerner EN vraéio ce qUI est ! dire et toucher ! on veut toucher à une vérité
acide ! grise ! vive ! chargée ! accolée ! vive ! centrée ! colère et vie sur pré aux fées ! on a envie en vrai d'aller :
vivre sur pré notre vie d'e frée ! Et du coup tracer, chanter, pisser, allouer à une vérité (sur piste) les données données de l'hydre ! On veut =:
toucger toucher toucher toucher toucher toucher tpucher topucxher toucher toucxher topucher toucher toucher toucher toucher toucher touchert toucher toicher toucher toucher tyoucher toucher toucghhjer à ce qui est qui vient vers nous en tant que nous on est les feées chelous du territooire "aux fées" telles que la mort en
vrai les reconnaît ! telles que la Mort en vrai sait les repéreer, les situer, les recvonnaiître en vrai (sur pied) et pas le contraire. On est la Fée des prés sur herbe ! ON veut voler, monter(, gzagner , la Dernière des PZArois du MOnde , Rotonde, cxHarge d'ombre,
on est
ENCLAVéES !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on est vcomme enclavée de fait ! On est priçses en vrai ! On est tenues et contenues. On veut toucher de fait, à ces (dits) "nénés de saison" ! On est la fée du pré, du mont des Données ! On est nées velues ! fée nue ! fée sur pré cul nu le jhour venu ! ça pue ! ça pue du cul ! c'est une sorte de donnée donnée ! ça le fait à moitioé ! c'est un fait avéré ! On veut grave toucher à ici ce type de donnée genrée, allouée à un fait vrai qui est que voilà :
UNe fée en vrai (dans un pré = paradis) ça pue ! ça sent ma&uvais ! cf'est fait ecxp^rès ! chelou pas à moitié car c'est du cul qu'elle pue ! On, veut toucher ! tracer des nénés (on dirait) à main levée ! charger ! tonirtruer ! foncxer, à brides abattues comme qui dirait et ne plus lambinner, coller grave aux tra&its m arqués = suivre les traéits et ne pas nous en éloigner , aller ! charger sur pré (le jour venu) les données de rage et autres charges ! On est = on va = on entre ! On est entrées de rage en cette lande aux langues sardes ! cru ! esszayez ! essayez de grâce, le jhour venu, de tracer cul nu ce qui vous passe par la tête un temps, se rassemble, fait boule de rage, sentiments patents ! On est venues cul nu sur pré , pour (en fait) toucher , toucher grave, grave aller, aller grave sur pré, tracer, qui un zaurochs, qui un chevau, qui un bison, qui un veau de peau, qui l'antilope du troupeau, la bête rosse, le bufflemot, la pelote groosse, la jument aphone, loe tonneau gros de sa parole docte, au chalumeuau ! On veut
grave coller et toucher à l'Ordre vdes Données Profondes Otrthodoxes (ou pas : mais , de fait, et pour le coup, vraiment collées jusqu'aux genous ; après (après les genioux : au-dessous ?) ça vpeut aller, moins grave !). On Est nées de base fée comme à la retombée car on est née (dans la mort) femmes ! femmes fois deux , pour former fée = EFFE ! EFFE des préds ! l'EFFE frontale, saturnale, collabée, nacrée ! On esqt pasxée sur roche, a&insi a ccolées zet du coup ... c'est da&ns la poche !
on est ,nées ! on est fée ! fé des prés sur roche allouée à un tracé de fond dee grotte ! Mendicité. Sermons. Saluts à jam&is. cul né la nuit venue, sur herbe saluée par des bêtes velues. On veut coller !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! coller nue !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! aux dopnnées dy-u cru !!!!!!!!!!!!!!!, chants des pâmoisons, chants de front, ire du Pont, on veut lécher, on vfeut embrasser ici le traéit ! charge'-née ! fée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée cendrée et centrée comme par la moitié (?) ici, de front !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée vive et allouée à une rive !!!!!ç!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!u!u! chahutée !!!!!!!!!!!!!!!!! accolée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! On veut toucher ux onnées vives d'une sorte (en vtrai) de Vé'ité des Vérités Actives (chargées = rechargées) sur pré des Fées. On est nées fées du fait qu'on est passées, qu'on a traversé (justement) la rive (la contrée des fées) et qu'on s'est retrouvé de faitt sur pré, les pieds , dans l'herbeb à brouter, par'mi les bêtes de trait et autresz bêtes groosses sur prairie de roche. On est née fée ! on aime ! on aime être fée : post-cimetière ! étrangeté dernière ! salubrité ! intégrité ! bonne chère et autresq mets à déposer sur pierre à la travezrsée, et ça le fait ! cherche ! cherche ici (sur pré) les données données de type offrandes (médficinales) à déposqezr, la mort venue ... en puant du cul (de préférence : ça le fait !) . On veut toucher ! dire et aéller ! on veut grave toucher,, et aussi : alezr, cerner, pisser, composer, allouer à une sorte de charade lezbdonnées de base te'lles qu'on les connait ... en France . Par exemple :
- le tra&it
Par exemple :
- La Romzance
Par exemplqs :
- Les données de Rage, Vifs tracés, CHArgee frontales et autres vélléités de contrebandee ! On veut toucher aux nénés tu penses ! téter ! on a grave envie de compre"ndre et de s&luer les donjnées donnéezs comme on les connaît ! Comprendre = cxharger = soulever = soupesezr = dire = contrer = charger = cerner et du coup frémir , quii sait ? on regarde ! On est nées fée à la retombée, par chance ! on était hommùe ou femme (singulier et singulière) au te'mps passsé, nous voici fortes têtes, traits tracés, on charge, on enttre ,,et au pa ssage on perd les clés" comme qui diréit ! l'homme pe"rd pied ! la femme tranche, passe, cherche à se dédoubler, arrive ainsi tracées, deux femmes sur pied comme par chance )à l a retombée font la Fée des prés !Nous voici transformés ! Fée des fées sur pré on est acté ! On entre ainsi colléée , remontée, gravée ! On veut toucher toucher §opucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher tpoucher toucher toucher toucherr toucher toucher
tou!cher toucher à une déité de contrzbande, saluée, centrée, posée, chargée, accolée, postée, qui nous rega rderait sans s'arrêter. Qui c''stb ? eh bé, la D2éité du cru ! l'attitrée ! Déité nacrée sacralisée ! Onn est née F2ée pour comme avoir à rencontrer la Déité des D2ités sacrée nacrée (sur roche des prés d'amazonezs). On aime toucher ! on adore ici en vrai toucher à ces données du bout du monde !). On dirait un p^ré ! la roche ! le passé ! ça colle ! c''st genré ! ça pose des traits ! ça va vif sur herbe acculé jusqu'à la chose ainsi repérée qui nous reg arderaéit comme si en vrai on ét§ait drôle ! on est fée de Rôle ! Chant tracé ! vif tracé aux données de Roche , genre Ant§i-l-opes ! gastropodes énergivvores ! On veut coller à une déité des données de roche, et du cou!p tracer ! filer, à grancdes enjambées, dans ce pré donné aux bêtes de roche ! on veut aimer ! tracer ! charger ! aéimer Chose (le Petit Chose ?) qui nous connaît : Déité des D2ités ! On veut toucgher, toucher, toucxher à Chose = D2ité, qui ne cesse de nous reluquer , du fait que voilà, on est fée, transformée, devenue en vréi fée à la retombée, la mort "passée", car
le moment passé de la mort actée on est, en vrai, eh bé oui, devenue fée ailée (comme toutes les fées) ... mais ... puant du cul, (exp)rès ! , pour "embauemer", pour "tracer", pour "laisser de szoi ce fumet, ce trait , trait de joie accolé à une sorte de trajet "du cul" sur paroi nue ! On aéime ainsi puer e'n tant que fée le hjour venu ! On est fée des fées puant du cul ex^près : pour "embaumer", inonder , cxharmer tu parles, faizre de l'effet (onn diraiot) et faire (ainsi) reculer (de fait) toiutes déités de La mort aactée
trop entrep^renante ou excitée ! On ne veut pas D'iUNe MORt dees prés trop EXCitée tu le sais . Calme et sérénité. On veut pouvoir se poser sans frais ! On est fée de base centrée sur base calmée ! pré ! pré sans frai ! ON commande ! on a envie (méga !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ) de nous poser UN TEMPs = LE temps, pour SOUFFLER = SUER = DIRE = FAIRE = VOLER = CHARGer =CERnerb ensemble les donées du cru (le cul nu) . On est la fée post-cimetière voletant, chercvhant , ici, un mât de R^ve, sentiments patents, où (à quoi) pôuvoir de fait (sans sourciller) se raccrocher et du coup cerner = détourrer = dire-poser, coller-prendre, jouer-dire, etc., ensermble, lES DoNnéeesb du Pré , vivacités ! vivacités ! vivaCItéds ! On veut coller à une vérité "acide" = Acidité / vivacité ! ON est la fée fluyide, le treacé acté, trait des fées sur roche "actiive" ou activée ! On veut en vrai bousculer les données (genrées) d'une sorte de "parentalit é massive", ce qu'elle est, ce à quoi elle sert, le pourquoi du comment elle est née, ce qu'on peut en déduire la mort allouée à une destinée. on est né fée la mort venue, puant du cul, avide de cerner de fait les doonées données à une sorte de paroi
finale; On pue grave (en vrai) pour (du coup) repouusser les ardeurs matinales (par exemple) d'une sorte dee Donnée des RAges, Déité des Contrebandes et autres Vérités Lactées./ On ne veut pas se laiusser emmerder ! ou marcher sur les pieds ! On veut passer-toucher, filer-aller, prendre-surprendre, saturer de fait les donnéesz du branle et du menuet. saturer à jamais ! on entre ! on est entre ! on entre dans l'antre, saluées ! On a envie en vrai nde comprendre à jamais ce qui est en termes de Déité et autres Vérités R5omandes. on est nées de fait fée ! car on est passées, on a franchi le rubicub des données étanches ! On veut oui, toucgher ! graver , dire et former fée, dès qu'entrées en vrai par la bande et ça le fait ! on se cha nge ! on devient fée de territoire ! soupesée c'est vreai par en vrai la Charge, le PAssé Acté, MOrt de "l'homme
du passé" , pauvre de lui le gnome, il est mort-né surt pré , devient herbe en vrzai à brouter, pour vaches sacrées et autrs bêtes-fées cendrées ! On est la F2e au Temps Tracé, chapeaéu-melon, fée des prés sapée ! on est née La Fée ! On est accolées = ailées ! On est passées ;- ! on aime aller ainsi sur pré charger ! gueuler ou pas mais traverser, fissza ("à la une à la deux"), la Paroi du Roi, REine de Bonté !
ON MONTe ! ON veuT mONRTer ! On VEUt gRAVE MoNTer Sur pied ! On vEut EN Vrzai GRaVE MONTEr SUR pieD ! tracer = donezr ! ON NE VEut pas pâssrr à côté mais pour le coup en vrai monter ! gravir les monts ! se porter de fait sur les hauts du Pont ! TRACER ! COLLER ! DiRE et donner , ce qui est , eet filer ! ce qui est qui est : offrzandes (diverses) à Déité, et filer, ça le fait ! déguerpir en vrai ! aller ! rentrer ! revenir ! retourner ou s'en retourner( ! On veut grave toucher à cette D2oité, des données célestes, savoier
vqui elle est, ce qu'elle est ezn vrai qui nous observe , et aéussi : pourquoi elle nous observe, qui elle veut toucxher en vrai, est-ce qu'on l'intéresse, qui est là pour dire pour le coup ce qui est qui est, la co,
ncernant elle . ON EsT N2ée f2ée pôst-cimeytière en vrai, et du coup on est ensmble comme soulevées e,n tant qu'on estb accolées-soudées pour formezr Fée, Fée faite de moitiées collées (femellesz) et ça le fait, e,n tant que bête-fée de traits (on dirait des bêtes ! des bêtes de trait ! ). ON DIrait qu'on est AILes (des Ailes) sur Roche Allouée à une V2ritév Ailée ! point sacré ! petit point de trais sus-nommées comme alloués ! On v eut toucher à ceftte déité post-cimetière = donnée = donne = femme actée fée, sur roche collée ! racée = tracée : on Fonce ! On veut toucher toucbher toucher toucher à une vérité des vérités, acter, paqsser
roche, toucher ! toucher en vrai la Déité du Corps Loué ! charge paadssante ! Capitale des entrées de fée ! on est née fée la nuit passée ! fée des ombres et des traéits faits à main levée, en ordre, sur cloison de roche; par des hommes-femmes, femmes-hommes des tombeaux et aurttes tonneaéux ! On est la Fée du cru des ombres, chéapeautée ! on tombe en trombe ! chaud tracé" ! on forme boyau ! on entre dans l'ombre ! chalumeau ! torche fauve ! le boyau des ombres est à la groptte ce que le vaisseau (sous la peau) est à l'homme-femme,
au cerveau rempli d'eau (sang de roche). On veut le Haut ! coller à ROche des Niveaux ! On veut toucher à une Roche comme autocalée sur le niveau de l'eau ! On veut
AIMER ROCHE ! ROCHE AIMER DE PRÈS
On veut grave aimer ! aimer gravfe roche, soulever = soupeser x et x vérités de poids et autrsxd bête-mots dits "de la foi" en ces boyaux (de grotte cachées enterrées). On veut AIMER ! AIMER FOL ! Follement ! Aimer en tant que fée qu'on est ! Aller ! dire ! toucher ! contrer et rire ! rire et péter (péter de rire) et puer à jamais si ta,nt est ! c''st un fait ! on est la fée des Riresz ! On veut (grave) repousser l'hydre ! le
genré ! l'homme-moitéié ! le Sens des Réalités Passives et auttresz volontées passées (sur pied) à même la rive ! On veut : coller = donner = dire :== chanter = cerner = comprendre = prendre = allouer = bercer = donner ce qui est qu'on porte , genre : dons de rage, mots de base, bêtes-mots (de poids) sur roche, tracés doctes, pommesb ! pommes du pré ! pommes au déjeuner ! pommes dxes prés ! pommes et pommes ! pommes et poires du verger ! pommes des oiseaux ! des bêtes de foire ! chalumùeau ! cxhalumeau notoire ! animùaux des rages et gens de peau ! colle ! colle allouée ! roche ! roche ce ndrée ! porche ! porche attribuéb ! nuit des fées sur pré tracé ! chance des donnéesz ! verbe salué ! On est entrées ! on est femmes des prés ou filles des préds ou bêtes^mots des prés ou m^$eme bêtes-filles-mots des prés gravées ! ON est n
ées !On est nues ! On veut toucher à cette déité, vdu mont des nues, nuées du Passé , du Pré alloué à un pAssé Ancré la mort venue ! On veut toucher de près ! toucher nue ! nous, nue ! nue velue vue ! nue du cul et des nénés connus ! Nue ! Nue d'herbe ! On veut : dire-faire, coller-aller, charger-comprendre, être-mettre,monter-entre"prendre , toucher-cerner, hausserrendre, vivre-tomber, saluer-chanter, huer-froncer, quérir-attreapper, dire et faire ce qui nous plaîot en ces contrées du Mont Velu ! cul nu si tant est ! on veut treacer = toucher ! toucher = dire ! dire = faire ! faire = charger! charger = suivre ! suivre = sonder ! sonder = pouswser ! pousser = enduire ! enduirev = oindre ! oindre = chiner ! chiner = vivre (dans un pré) sa vie de bpetes -mots de poids , et ne pas ou plus s'en faire
plus que ça, laisser être, laisser faiore les données du monde, se soumettre aux vents des forces hautes, ici, dees roches de paroi. Etre et aller. Dire et cfoller. Se donner de bva se aux fées, des roches des voiçx ! crier (peut-être) et tracer (à main levée) les mots sur paroi (mots doctes) qui (en vrai) disent (tous) ce qui est et ce qui n'est pas, en fait, concernant la Fée, Donnée FOrte, Fée des Féesz Ailées qui est censée, en vérité, nous ouvrir les portes ! toutes les portes de la Roche dure /rude allouée à un mur (ou muret) de fin de grotte (finalités) . On veut grave aller chercher, ensemble, la bChose, ce qui est qui va, chante, escorte. Toucher la horde ! la toucher en vrai sans honte ! traverser ! courir ! charger ! pistonner ! co:mprendre = donner, à qui de droit , les clésxs du passé et ça le fezra ! On veut grave rechercher la Roche aux données de pôidfs ! toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = troucxher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher à la paroi = direb = montrer = faire accepter = mesurer = situer le niveau (en vrai) du Rire des Fées ! Rire alloué à une Vérité Ancrée (sur pied) de type F2ée des prés ! Frée des ombres prortées ou rapportées qui , toutes, on dirait, se chevaucxhent , pour former .... Déité de ROCHE ? D2ité des D2ités accortes ? On ne sait ! on cherche encore ! on ne lâche pas (ou plusz) la roche, on fonce on vole ! on y va fissa : dans le tas ! on ne regarde pas à s'économiser ! on veut toucher à satiété la Bête-Monstre de paroi, coller ! dire et pousser, charger et donner les clés, qui sait, à celle (fée) qui sa&it (saura) danser sur pré, la danse des Chats, Chats Bottés, Rats, Rats des prés et autres chzamps aux données actives. On ne veut pasz se l:aiisser abuser ! on veut coller à une vérité alpestreb ! chat Bottté ! Chat hua&nt ! Prince des champs ! Chants des hjoies du Vent et des données soufflées, sur gherbe tracées. oN veut aimer = aimer toucher = tpucher =
toucher de près ... les nénés lactés, les seins ambrés, vents des prés soufflant, ombre portée au firmament ! On est fée des fées ! colle allouée à une sorte de "tracé mental" tel que rencontré dans ... la mort actée ? qui sa&it ? qaui sait, en vréi, ce qui est, desz données des prés ? On est nées Fé2e la Roche pâssée, dans
la mort actée, comme transgformées ! transe au pré ! on chante ! on ne cesse de chanter ! on est fées chantantes, ou Les Fées Chantantes aux données (naissa&ntes) savantes ! on est fées de contrebande (ainsi tracées) qui cherchons la bande, le mottet, le chant du branle, musicalité des données romandes et autres chants des blés. On est nées, du branle et du menuet , FÉE ....................................................................................................................................des fées dansantes !
13/10/2024
Qui onn est ? on est femmes du passé, tracée, colléev à une roche d'envergure. On veut toucher, aller, passer de front "à la une à la dezux" la Roche du Pont . On veut cfoller à cette chose d'une sorte de paroi d'époque : tralala frontal et autrees chants de contrebande. On pousse, on trace ! On veut cfoller-passer à travers loa roche et c'est ce qu'on fait ! On est accolées colmme ailes de frai ! On trace ! on entre en transe en cette sorte de "rotonde au pré" ! Qui on est ? AILES,
AILES DE BIèRE ! charge sévère ! on a poussé et du cfoup voilà on a fini par y arriver, à , ici, entrer de rage, en cette sorte de "garage " d'anges ? on y va ! on est deux, pour ça : la Chance = le passageen transe. On veut cvomprendre = on veut cerner = on veut toucher = on veut (on voudrait) dire et coller ensemble à cette sorte de par(oi des anges, paroi sarde, chants des pleurs et autres rancoeurs ! on est anges ! on veut toucher à cette deéité des franges d'une sorte de façade blanche. qui on est en vtrai ? des anges ? ou bien, des elfes ? oou encore, AILEs, délivrées (au passage) d'un homme alloué, charge blanche et déposée sur branche
, et nous .... on avance-trace, on veut (de fait) comprendre (saluer) toutes les données qui , en face, sont , comme en vrai posées, mises sur pied pour une traversée. On est comme adoubées en vrai par une sorte en soi de déité cooriace, située, porrtée, qui nous regarde ou nous regarderait sans discontinruer. On est (qui sait ?) femmes celtes, dépl&acées, pasdsées, on est entrées, on est accolées, on est
fardées et grimées comme des elfes en vrai à jamais = tracées , sur roche, bouquetins / quetines, bisonnes et bisons de frime ! On est nées (sur roche) dans LA MOERT ou Mort d'hom^me "fait". On est nées de base (rage) à-à la mort en face ! On veut toucher , coller, dire, allouer-passer, coller à une roche vive, traverser la rive et nous retrouver (de fait) de l'autre côté comme si en vrai on renaissait, on se transformait, d' omme "fait" (surfait) on devenait ou on se transformait e,n felmmes déposées, tracées, anguilles, chalutier, vivres ou vivres comme o,n en connait dans les tyextes bibliques ; ou alors quoi ? ailes en vrai d'ange des prés ? Fées des prés ? on cherche à trouver ! On veut coriavce (de fait) comprendre, savoir, dire et aller , chercher ensemble ce qui est qu'on voit en face, tralala de base. On y croit ! on veut y croire ! on veut en vrai coller à cette déité, des rages célestes. Qui c'est ? Eh bé ... peut-être, oui, une elfe ! ELLE ? on ne sait ! on cherche de près
! on est cfomme soudées "à toi à moi" par le derière ! fée allouée à une sorte de tracé (de rage) szur pré , on avzance ! on est (de fait) fée de base, on est née , on est née fée au passage, ailes des prés, elles en nage , transe, on est passées et on
rzegarde les données données du paysage ce que c'est, ce qu'elles représentent, ce qu'elles sont pour nous qui cherc hons passage , ici, à traverser, chemin sarde, destinée.
On veut :: TOUCHER = TOUCHER = TOUCHER = TOUCHER = §oucher = toucher à cette sorte de Passé de contrebande, ici déposé colme s'uil en pissait ! du lait ? hé !! qui sait ? on cherche ensemble (ailes) à trouver, en vrai, ce qui est, de ce passé, icfi déposé come s'il en pleuvait. On est "belles bêtes" des prés : bouquetines cendréeds, bisonnes des fées et autres buflles travaillés ! On est ! on existe en vrai ! on est dessinées ! on brille !
On est en vrai passée. On a traversé . On veut cerner-toucher les donnéesz actives
,, le p
ässé c'est un fait mais aussi la friche, l'herbe ici allouée, le pré aux fées, les bêtes placides et, au loin , la roche (montrée) qui s'affiche et semblerait chercher à nous .... tirer vers elle, nous faire signe . "On arrive " ! . On veut toucher à ce qui est qui nous fait signe. On veut y aller, tracer, coller à une sorte de paroi, aux signes tra-cés,; aux lettres des fées. On est vives ! on vole, on volette ! On est bêtes des p^rés qui (de fait) se laissent guider / emporter par, ici ... le vide ? l'air des prés, vent digne, chant des cygnes ! On veut toucher à urn-e d"éité du vide, ce qu'elle est qui nous attire : satiété ! qui c'est ? On ne sa it. On veut y aller ! on a
m^éga-envie ensemble de touchger à cette szorte de donnée (de contrebande) allouée à un pré, à un pré des chances, dit "des chances" en vrai. On avance ! on veut coller à une rive ! tracassées ! on veut (tracassées!) coller ! on veut colloer car on est tracaszées ! On veut aller ! faire sur pré notre (petite) virée des fées et toucher au loin à ce muret qyui semblerait vouloir comme nous "incorporer" de fait. On est filles ! filles vivesz des prés = fées ! fées des fées et ça le fait en vrai ! on est des fées des prés qui (
de fait) faisons treacé = allons = marchons = gagnons, gagnons l'autre rive, celle ici allouée à une sorte de ... sortie de piste
! champignon, oignon, tomate-cerise, piste riche ! on fonce à fond ! on veut casser la tirelire ! le petit cochon ! On veut toucher e nsemble (à toi à moi) lza frise ! le moignon ou le melon, l'ermprise sur rive, champignon du Pont ! On mise ! on veut toucher en vérité la frise et gagner (de fait) si possible la rive, l'autre côté, côté champignon, melon, oignon, jambon et autres mets de venaison. On veut :
toucher , tpoucher grave
toucher, toucher ensemble
toucher, toucher vif
toucher , toucher à vif
ce qui est qui est qui nous regarde et noius ressembkle : les données de près, chants des prés, cerises, vents acides, on est nées ! nues ! vives et comme cul)-nu sur herbe du cru ! On aime allersur pré chercher la mise, le traceé des fées et autres denrées comme déposées sur herbe diorée ! on entre accolées dans une forêt , p)rêtes à danser ;, chanter, tracer des ronds sur herbe cendrée ! On est fées des fées ! on est la fée dotée, ailé, nacrée, données sur roche comme copnsacrée, finalisée en vrai en cette contrée de la ;"mort admise". On veut
touccher = tpoucher = toucher = toucher = toucher )à cette sorte de MMAINMISE aux données acquises, à volonté ! on veut toucher ! on veut aller ! on veut et on vouèdrait coller à une sorte de donnée de rive '(maritime ou marine) dont le bnom serait (en vrai) : Vérité ou V2rité des Vérités ! on a donné ! on est passée ! on a (ensemble) traverseé la roche grise ! la paroi des frises (bouquetines et bouquetins altruistes) et nouzs voilà dès lors sur pré, prêtes à gagnezr la Rive, c'est-à-dire l'autre Rive, le Sommet ou comment dire, l'a Paroi des Rives, l'u:ltime attablée, le dernier Rire, l'envolée active ici allouée à une sorte de paroi ultime, saluée, cernée, accolmée à un pré (paradis) de mise. Qui on est ? Fée ! fée tracée ! fée des fée ! chapitre 2 la Piste , le tracé des
fées menant à la rive, à cette ultime Rive aux do nnées apprises, genre : mots des choeurs, chants moelleux, douces Rancoeurs et autreedxs Voeux pieux ! On colle ! on se rapproche ! on a marché tou du long ensemble, jusqu'aux finalités de chambrte. On veut toucher ensemble = "toi et moi", qui faisons en vraéi le corps de la fée ! = la vie ! vie des fées sur pré = Vie avcqauise dans la mort admises ! on est la Fée des données vives ! on est pour le coup accolées en tant qu'on est les ailes (elles) d'une sorte d'elfe ou fée des prés telle
que consacrée par une déoité lactée ! On est proche ou toutes proches de pouvoir entrer en cette sorte de donnée donnée qyui ressemblke de près à une sorte de muret aux données lactées (actées et lactées) comme s'il en pissait (d'uun pis alloué à une déité des prés) . On veut dès loçrs aller com^me téter à cette déité des fins de pré. On veut
TÉTER EN VRA2I = boire le lait = aller ; faire, comprendre, saluer, armer, chasser et toucher et dire et se poser sur rive de l'aiutre côté, côté ... vide ? on ne sait ! on veut tracer ! filer, aller, chercher, connaître et traverser ce qui est ici ce pré aux données pour le coup acquises comme denrées. On cher che à toucher. on veut coller.On ne veut pas se laisser déborder ! On aime le pré, les fleurs acidiulées, le lait des données telles que rencontrées à la traversée. On a méga-envie d'y aller, et de toucher ensembkle ce qui est qui nous attire vif, nous fait signe on dirait, nous parle en vrai comme si de fait onn pouv ait comprendre, distinguer, cerner ensemble un certain nombre de phonémes de fait co:lorés, genre langue sarde, patoisante ou pas mais ... étrange ... eh bé en vrai on comprtendrait car on wserait comme adoubée ou comment dire ce qui est en vrai, ce trajet, cette voie des anges ? on comprendrait, car on sezrait comme (tou d'un cfoup) initiées ( à genous) par des fées, d'éautres fées que nous ! On serait comme iniçtéiés ezn vrai par des fées ou des sortes de fée plus ou moins chelou mais en vrai, on s'en fiche pas mal
puisqu'on est (de fait) nous -meêmes chelous on le sait ! On est la fée des prés chelou ! l'attreappée ! la courue des prés ! l'antilope nacrée ! fée des fées on est ! qui voulons :
cerner,
pisser, coller, charger, comprendre, saluer et sonder, faire contrebande et toucher, toucher grave à une fée des prés genre "qui aime les fées". On veut coller-tisser, allrer-donner, reprendre c'est voler ! On ne veiut plus aller vcers des données de rage mais gagner en vraéi le mur -façade, les données de base, le muret des fins de salle, ultime donnée des données coriaces.
On veut toucher au loin la Place des données coriaces .
On ne veut pas se laisserr faire ou monter, en vrai, sur les pieds ou se faire toucher, ou se faire moquer, ou se faire de fait tripoter par a&llez comprendre qui sait qui cherche à nous encoquiner ! on est fée des prés et en ce nom on dit merde aux quéqués ! aux hommes morts-nés ! charge docte, va donc te faire ... mousser sur oordre ! On est la fée des prés dits "de la mort donnée" ,cherchant Chose à avaler pour en vrai travezrser ici la Roche aux données soit l'Ultime contrée ! On veut toucher à s atiété = téter ! téter le lait (le verbe alloué) des nénés ! on ne veut pas s'en passer ! on veut grave téter , aller, courir, voler , nous envoler vers ces tétés de robe ! tétés frais ! on veut téter ! on veut toucher à ces tétés , à ces nénés , à ces nénées d'époque ! soulevées , posées, données, ou comme déposées sur données de roche, ou d'une roche. On a méga -envie de se coller à ces nénées de roche tels que soulevés , attrappés ici par la Fée des Vies dites "de co ntrevie" ! On veut :
toucher à satiété , aller et venir, chercher en vrai à le plus comp^rendre ce qui est qui wse présente, en termes cde nénés lactés (de préférence !) dit de contrebande , ou sinonquoi, si pas de contrebande ? On est allouées : ailes de la fée ! fée nous-mêmes de fait saluée, bdu fait que voilà, en fait, on est Ailes = ELLes, ailes de la fée nacrée, genrée, déposée, volant sur roche comme une sorte de donnée, tracée comme à mainlevée par dieu seul sait qui c'est qui était là pour ça, coller-tracer en joie les mots de roche(paroi) faisant foi ! On aime aller ensemble dessiner sur roche, sur paroi, la foi en l'au-delà ! le tracé fauve, la voie ! On adore ça ! on veut de fait comprendre lesz données de force, et allouer à la paroi Le Roi , la Reine Forte, la fée des amorces, le chant des voix et autres cris de basse-fosse ! On y croit ! on veut en vrai de fait toucher à l'ultime paroi dite "des Rois et Reines de Saba ". on y croit ! on veut tracer ensemble la chanson des vooies ! On veut (grave !) aller , toucher à ça : la Voie ! toucher à cette sorte de "paroi des forces", ou "aux forces allouées à une sorte de P arole Docte" !
on est née fée la pa roi 1 passée, nous voilà (à présent) devant ce firmament, ces donné&es
ultimes = les nénés
cde l'Ange, Seins dotés de lait comme s'il en pleurait ou pissait dru, oupleuvait dru ! on veut toucher ! toucher ! toucher ! Ce qau'on veut, à nous deux (ailes = deux) , c'est toucher = téter ! On a super méga envie en vrai de (pour le coup) toucher = téter iceux (ces ) nénés de fée ! est-ce nénés de fée ? on dirait ! ils sont vieux , creux, deux ... dieu , heu .... on ne sait ! on cherche ce qui est qui sezraéit vrai et pourrait aller ! On veuit toucher à cette sorte de données des prés,; genre "à qui mieuxmieux c'st du sérieux". On est nées fées sur paroi des voeux ! On veut en vrai cerner-toucher ce qui de fait le fait au mieux qu'on aimerait ! On veut le plus qu'on peut cerner en tant que fée (si on peut !). On veut en vrai toucher à ces nénés ... de Vieux Gât-teux
? qui szerait Dieu ou qauoi ou qau'est-ce pour le coup qui sezrait vrai ? Rien du tout ! nénés frais ! pas gâteux pour un sous ! nénés les plus frais du coup ! frais en vrai de chez frais, nénés mieux = vifs, genre : dons de vie, vive vie donnhée sur roche allouée à une sorte de denrée de type lactée (insoumise) . On veut :
vivement tracer, coller et ddonner, faire la surprise d'une sorte d'emprise sur néné de mise ! On veut :
coller = donner = dire = chahuter = comprendre = saturer = foncer = forger = pouwsser = démantibuler = combler = caler = donner = ficher = mesurer = traquuer = pousser ensembkle vers ici, kles données données de co ntrebande . qui c'est ? bé ... j'ensais de fait fichtre pas grand-chose, vu que en vérité, les donnnées profiondes siont comme larvées, cachées, masquées, enfouyies de base de l'autre côté, vas-y pour comptendre et toucher ! vas de base chercher à pour le coup comptendre ce quyi est qui sembke nous toucherf m
ais en vrai que tchi ! rien du tout ! les données de base (dessous) reste"nt à leur place et en vraéi ne se laissent pas tripoter ou même juste frôler ! on essaie de f&it en tant que fée, née dans la Mort ou le Royaume de la Mort, de nous en approcher le plus pôssible pour en vrai , en effet, les toucher, cerner ce qui est qui nous regarderé&it ou nous attendrzait de l'Augtre Côté mais voilà, on ne peut pqas s'en approcher outre mesure ! on est "coincées" ; on est comme coincées de bvase sur pré , gentes dames, bisonnées, anti:lopes sucrées, escalopes, on veut en effet nous approcher le plus possible de toutes ces données acides situées, de fait, del'autre côté du pré, mais comment aller ? comment dire ? que tracer ? comment charger ? quoi pousser ? quoi avancer ou déposer ou envoyer ? On est la Fée des données admises (en vrai : de la Mort Surprise) mais arprès ? qau'est-ce qu'on peut apporter de plus ici en termes de données lactées, d'entreeprise de salubrité, de sauvetage au débotté d'une sorte de Page, Gens d'Ombre, Venaison / Cohorte, Champignon ? on est fée des herbes coupées. fée d'herbe à tout jamais mais est-ce que ça le fait en vrai pour de fait nous permettrre ici et pour le coup xd'en avancer beaéucoup (chelou ?) ? On, ne sait ! on chervche ! on cherche à genous on dira dans la prière jusqu'au cou mais çça ne suffit pas, ou ne suffirait pas du tout , chelou. On veut = on va !
On veut aller de base "dans le tas", chercher une (sa) place et basta, afin de comprendre, comprendre = prendre , prendre = cocxher (une croix) , soit donner ! faire offrande ! apporter sa pierre de rage ! faire ainsi quye des données de base puissent aller,coller à une sorte de Romance en vrai, charge d'ange déplacée ou même débordée qui serait charge dite "des prés" du fait que voilà, charge d'enfance comme qui dirait (dira ?). on avance ! on cherche à comprendre = toucher, mais pour comprendre -toucher la Romance, il faut y aller ! il faut (grave !) donner ! donner de soi ! se mouiller ! s'ofrrir commê en héritage ! traverser la base,les données de face, le tracé (olé olé) des données mentales et &utres vérités de contrebande saturées./ On est néee fée sur place (les données) et on avance, grave, vers Déité ou ccette Déité des Fonds de ca&le. qui on est ? on est ... sales ? ,sages ? sardes ? on est née sur place fée, du fait qu'on a passé (dépassé) la roche aux fées ! On est née fée au passage ! n"ée fée de base ici, au passage du pré, sur prairie allouée à des bêtes de pré, genre caval$cades. On veut :
toucher , toucher toucher, toucher, toucher , toucher , toucher, toucher à cette charge ici donnée des prés sa lués. On ne veut pas ne pas toucher ! on veut grave toucher ! On vgeut tracer, dire , épouser les nénés, séduire, coller, perdre, chyanter, donner, se donner comme par surprise à une sorte de Mainmise (déplacée) quyi wseraéit
comme une Déité Surprise rencontrée. On admet ! On veut toucher pareille cdéité ! on veut cerner de près, la regarder de près sans plus tarder, chyercher à lui (comme) soutirer les véerités acquises, les données genrées, les mots de roche vrais, les données données. On veut de fait aller sur ce trajet, donner prise. On veut de fait coller à cette soerte de donnée donnée allouée à un pré tel que celui sur lequel en vrtai on est à présent déposées ou comme déposées du fait qu'on a passé l'emprise, la paroi des nues, le premier passage de rue, nous voilà acquises à une sorte de prairie des vues genre -banqyuuise, pré nu, p^rairie fine, herbue, cconnue, vue. on est filles ! filles des vues ! deux filles forment fée des nues ! Onnest filles nues formant fée des rues ! On veut toucher à une Déité postée. tracer = courir = aller = gravir = monter = toucher au loin = faire = dire = contrer = charger = do nner , donner en vrai ce qui est qui nous est comme à nous-même donnée quand on néît = la mesure , la musesure sûre ! charge actée' ! on naît ! on est née fée sur herbe
de pré la Mort sûre. On voulait coller nous voi:là touchée. On voulait grave bnous retrouver eh bé c'est fait . On veut toucher à cetre sorte de donnée des prés, chyercher, coller, dire, faire, sédiuyre, soulager, dire et conttredire et se donner de près comme en vrai la cire ! l'écoulée ! fluide nacré ! cire desz données données sur un pré acté . On est née fée surprise, surprise ! on est née fée-surprise, surprise ! on ne s'attendaiyt pas à pareille emprise sur rive ! on veut de fait coller à une sorte de donnée de rive, ou de rive ultime, et une fois ici ou là collée , une fois qu'on sera, toutes deux (AILES), collées, alors /... on verra ! on y verra mieux ! on s aura ! on verra de nos 4 yeux (?) ce qu'on verra ! 4 ou 2 on ne saoit pas ! mais on vezrra ! on y verra mieux ! on saura ! on saura à qui mieux-mieux à quoi s'attendre au mieux de tout ce qui va là, sur pré aux abois. On est nées fée sur pré (de pré) et on avance ainsi ainsi accolées , on trace. On est nées fée de contreb ande. On cherche à comprendre ce qyi est qui nous "regarde" on dirait ou nous regarderait en face" : qui c'est ? je ne sais ! je ne sais pas qui c'esst ! j'aimerai grave le comprendre, toucher, cerner, aller, faire et donner les fdonnées du Verbe tel que dxélivré mais comênt faire ? On ne sait s(y prendre ! on est AILEs, au débotté de l'âme, mais vas)-y comp)rendre , les donné&es, le sens de la marche, les contrées, le sentier et la parade, le treajet ! on entre et une fois entrées on cherche, on essaioe, on tente , on veut gagner ensemble (ailes) l'horizon desz herbes. On est pas arri-vées c'est vrai mais on est motivées ! on cherche de fait à nous en aépprocher, à gagner du terrainsur pré, à t§oucher à cette sorte de donnée dopnnée allouée à une Vérité dite des Vérités d'une sorte de Façade aux données Données, qui serait Roche des Don nées Finales, Saturnales, Avouées. Qui on est ? dans la mort ? des fées ! soit ailes de" fée = fée ! on est les ailes d'une fée des prés (paradiisaques) allmouée à une sorte de Vérité qui est (de fait) Vérité des prés
, Prairies sur Roche, Traverrsée dxes TRaverseées, genre Cohorte ! genre Motte ! genre MOnts de Roche = MOnceau ! On veut toucher à une sorte de donnée de roche Haute ! Haute Chose de Caveau ! On ne veut pas (ou plus jamais) passer à côté mais y aller ! tracer ! combler ! donner ! dire ! se coller à cete sorte de donnée du Rire ! on veut (de fait) toucher la Riive = la gagner ! On veut (en vrai) cerner = dire = faire = aller = complaéire = chercher = coller = faire = lever = jouer = sonder ici, ici ou là, la Roche Ultime : où pâsser ? par où onpourrait passer ? qui on est en vrai pour passezr , pouvoir passer ? On veut toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = toucher = touycher = toucher = toucher = tpucher à cette chose ici acquise en vrai, Mort des Hommes nés, mort de l'homme touché, Mort D'homme sur pied ! et du coup la Fée, Fée des ombres allouées se permet (en vrai) elle (pas lui) de ... passer = continuer , de faéit, le trajet, le chemin aux Fées, vers cettte donnée qui est donnée post-cimetière s'il en est : dfonnée des données . On est née Fée à la mort ... de l'homme cis ! bien fait ! on est enfin passée en tant que fée aéux données premières finalisées et du coup, voilà, nous voilà Filles (ailes) à la retombée , prêtes à coller à une sorte de donnée rupestre, né"andertalienne , sidérée ! on est ! on est nées ! on est nées une Fée ! on est dev enues frée à la retombée , prête à être celle (en vrai) qui SAIT ! ce qui est, ce qui est et ce qui n''st pas en ce cimzetière de
Java / Sumatra , tralala la bière ! on y va
! on dresse la paroi ! on vitupère ! contre le père ! on y va tout droit, RIGA ! ça y va ! ça trace = ça charge ! on est là-bas pour comê qui dirait tracer (dessdiner, en vrai) LE ROI, LA REINE, LES DONN2ES PRINCières (PRImaiRES° et tout le tralala (en soi) d'estocade ferme ! On y c roit ! on veut toucxher à cette Voie, Tracé Ferme, Charge_forme, CGalipettes ! On est fée faite ! c'est la fête, la nouba ! la chansionnette est là ! on y croit ferme , ça y va ! on aime ! on aime ça , les galipettes sur toundra, les mots de l'herbe, les bêtes de poids, l'entrée raide mais voilà on est là sur l'herbe, ma foi ! et on voit, on voit qauoi on voit les bois, les cornes, les sabots dondaine, tous les animaux de la ferme et au-fdelà, les bêtes-forme, poids de choix, licornes ! licornes ! licornes ! bêtes à cornesz et à bois ma foi ça envoie ! on entre ! on est comme allouées ensemble à cette sorte d'antre "de paroi" dont on regarde au loin les formes que ça représente ! On voit ça : roche tantrique à szoi, paroi nue de soi, chahut ! On veut le cul ! on veut de fait grave le cul ! le cul nu ! cul d'herbe sur l'herbe ! cul du cul ! on veut toucxher le cul de l'herbe , ou le cul sur herbe, ou le cul-herbe, ou le cul des culs sur herbe ou de l'herbve crue ! aller ! foncer( ! toucher ! filer vers (là-bvas) le cul = fonds = fond s de pré dit fonds ! on dit qu'on est
des fées (la fée) qui vouloçns (qui veut) aller vers ces contréesz dites du fond ! fond de pré aux herbes = cul des culs, des données (de base) nues. On veut :
toucher le cul = le fond = le tracé de fond = fondement = cul en herbe des données Suprêmes ! cul des culs sur herbe ça le fait, en vrai , c'est donné ! c'est commê donné ou une donnée ! c'est , en vrai, la Donnée des Données sur pré ! va-nu-pied on est , qui voulons gagner, en vrai, la roche dernière, le treacé des herbes, l'attitré. On est née fée sur herbe à hjamais, en ces contrées. On a touché à ces données en herbe nouys voilà sauvées ... qui sait ? On est née fée la mort venue, on a du cul ! on est sauvées ou come sauvées, du fait qu'on est (
en vrai) venues, sur pré,, comme nous transfgormer, en Fée des
prés nue, nue velue, connue vue qui va (nu-pieds) sur herbe tracer, on diréit, son chemin de bure ou sinon de bure, en vrai, peut-etre de cure ? on ne sait ! On est nées fée lea paroi passée ! mesure ! chasteté ! chant des fées sur pré ! battons la mesure et allooins gagner , sur roche des prés, l'ultime "Muret des Murets" s'il en est ! on est fée doctes fortes ! On veut toucher à ces contrées de force, traversée des formes, cha,nt des cohortes, troupeaux -mots en horde ! on est veaux ! veaux-mots sur ordre ! on est mots doctes sur panneau : cohorte d'aniamaux-mots qui vont (accorts) au dépo^t ou tout comme ! On est mots -veaux ! fée de mots ! mots-veaux = veaux-mots ! on est fée = femme, au ba- mot, qui chantons sa-rde .... szous le pis de "l'âme -vache" ! on est veau de rage ! troupeau-mots ! chants sardes comme il faut et ça enchante grave ! On est veau de peau, chyants basques, veaus des mots sur roche glabre, sentiments de Frange, déplacements. On est fée femme en vrai au passage tracées = déplac"é"es ! Changement de face ! veau devient mot devient rage devient femmes (deux) puyis fée de base (par chance) sur un pré aux vaches et autres bêtes-^poids de mots. on cher
c he à comprendre grave ces mots ! mots d'onnés de fait sur roche allouée à une sorte de parade longitudinale de paroi ou dite "de paroi" . qui va là ? la fée ! Qui va là ? la fée allouée à un pré ! QUi est qui ? On ne sait ! on est née sur pré fée du fait que voilà, on a laché (en arrière) les données "tressrestres" , genre "sa letés", "vérités des pets", "merdes en bière" et autres misérables charges alloués à un verbe maussade sur pied. On est nées fée en vrai (ouf !) au passage de la roche-plage. On voulait ! on ne voulait pas rester en râde mais de fait traverser, comprendre, sauter, aller, filer, passer commùe en offrande le tracé de base. On ne voulait pas rester à quai ! on ne voulait pas rester en vraéi à quai mais grave traverser de base les données coriaces, le dénivelé sur place, l'envolée des données de rage et autres alacrités maussades sus-nommées. On est nées fée au passage d'une "Vérité" de type Collage, Placage, Dessinage sur paroi de roche par des f'mmes -hommes des toundras et autres savanesz. On ne veut
pass passer pour ce qu'on est pas ! on ne veut surtout pas passer pour ce (cette chose en soi ?) qu'on est pas, à savoir : sage ? sa ge-femme ? On ne veut surtout pas $en vrai passer pour cela même qu'on ne voulait pas (jamais !) être au temps passé , soit , avant d'avoir trépassée, d'être entrées en cette sorte de contrée aux féesz, paradisiaque, déployée, vivante au pré, allouée aux herbes-verbe et autres mots-bêtes ! On veut grave trac-vezrser la Chose = la Roche , la passer ! On veut / on vouydrait (en vrai ensemble) grave : treaverser ! filer ! toucher ! cerner ! comprendre ! saturer de verbe les données premières, priméires et foncer ! treacer ! filer sur pré sans plus attendre ! allouer à une donnée s arde un certain nombre de valeurs d'usage ,;, gentillessse en face, douceur grave, sentiments sondés comme par un Passé, chance. On est née fée de contrebande ! chalutier de France ! conditionnées ! on est nées fée de trype allouée à une Vérité Frappante genre Denrée ! Donnée à manger , à boire, ingurgiter de fait de type LAIT ! LAIT DE NÉNÉ , LAIT DE FÉE ! LAIT De trait (traite) franche ! on est nées fée de fait au passage (d'une roche immense, roche-aux
fées de groptte cachée), et nous voilà qui voulonbs tracer, sur pré, vers ce Dimanche des données Romandes ! vivacités = chastetéb = sa&intetész = dimznche des fées, sucrées , ou nacrées, qui paradent sur pré comme beêtes de trait et autres antilopes de garde ! On est fée des fées, données des données, BELLADONNE DES Prés, on est ! qiui voulons toucher !toucher ! toucher ! toucher ! toucher à une sorte de .... vie de pré si tant est (sui on peut dire) qui serait ... la vie rêvée ! On serait comblées ! fées combl"é"es de mise, on aimarerait ! On veut toucher = centrer = dire = faire = mettre sur orbite les données accolées à un rire, à une sorte de rire donné, ou de rire adonné à une frise, frise aux fées, aux bêtes
soumises à un joug de mise ! joug des jhoues éprises , ici, de bisous ! On veut RIRE ! grave ! sûr ! fermes ! on est comme des bêtes soumises , du fait que, oui, en vrai, on est là surprises, comme surprises, par cela : vie vive sur toundra ! treanse de paroi ! chance acquise ! déploiement de soi sur un tas ! Oon arrtive ! on va ! on est fée surprises qui voulons de fait charger en vrai les données de prise genre chaluteier, fée des fées qui seraéient chalutier , porta&nt données à traénsporter ,
d'une rive à une autre rive. On veut
toucher à Déité ! On veut toucher à Déioté ! On veut grave toucher à cette
"DEéité d'entrep^rise", à pareilles données surprises et aé&iutres vérités soumises à vérification lacteé ! On est les fées de l'entreprises ! chalutiers ! gentes-fée aux donné&es (données) d'entreprisqtse et autres charges à soulever, porter, transpiortezr , déplacer, donner, à cette déité du cul
du monde larvé (lacté ?). On eest les fées de l'entreprise acquise ! chaluteier des prés ! maritimes ! marines !fée marine à la retombée comê qui diraiot mais est-ce vr(ai ? on atttire ! on est vives ! on est bhien mises ! on est arrangées ! on est des beaiutés ! on est beautés-nées, fées des prés on est qui cherchons l'entrée, faille ou vide, en pareille donnée , donnée grise sur donnée des prés, genre muret ; muret alloué à une sorte de finalité, de type "cul de roche" !
ici donc le cul nu de la roche ventrue ! cul des culs ! on aime ! on aime grave le cul, car, le cul, est le cul du monde, à qui (à quoi) se frotter immonde qui sait peu importe, le cul est le cul, cul du monde venu,;, vu, touché de près, cul des ombres, finalités, fond de carosse, tréfonds ! le Tréfobnds ! le tréfonds des ombres ou le cul c'est la même chose ! cul nu = fonds
des choses du mo nde ,; paroi rude des données acides ! chants de Chose ! troubadanses ! vents de face ! rigodons ! On en avance ! vents d'âmes ! pets nés d'une romance ! allons donc danser la (le) Branle, et le Menuet ! charger-coller, donner-sonder, pezrmettree à une chance d'éclater-éclore sur pré (en corolle si jamais) . On est la Fée du pré passée, chantée, donnée. On est fée sur pré du fait qu'on est née la mort venue nue nous sonder ! on est née fée de b ase menue , chance à cul, vive donnée, va-nu-pied des va-nu-pieds. On est née fée sur pré, nue ! bnue du cul ! charge vue pâr qui l'eut cru, les Rois / Reines des Contrées, ici Acidulées comme du ;lait ! lait du pré ! lait donné à jamais par (qui sait ?) les nénés de l'Anttre ! de la vache Ancrée , Nacrée, Soulagée d'êtretétée en vrai, ça commençait à lui peser ! on aime allerr téter ! on adore, mêmùe ! on aime, en vrai de vrai, grave, aller téter , téter le néné, le néné des vaches, à jamais , la chance ! notre chance de fée ! chance d'ambre ! on est fée des chances sur pré qui cxherchons E,ntrée, Entrée de ROmance en un mureet dit "des finalité de la Chance en transe". On est nées fée sur pré, pour aller tracer, vers muret, charger, cerner de fait les données romandes, les données romanches et autres données de contrebande à tout jamais . On est qui
? on est fée ! On est lres fées de la Romance Franche ! On veut ou on voudrait en vrai nous avancer au plus qu'on peut en vréi d'une sorte de Vérité allouée à une Déité des Charmes = dxes données de base comme consacrées, sondé&"es, donnéeez au p assage d'une sorte de traversée (sur place) ! chants de roche amidonnés peut-être mais c'est fait (et plus à faire !). On est actées ! on est stipulées! On est marquées-gravées sur pierre à jamais comme une Vérité (sorte de Vérité) surnaturelle ou qui serait comme surnaturelle qui sait ! Est-ce que c'est vrai ? sommes-nous commpe creusant la roche des prés à la recherche d'une vérité concernant le monde des données de tra&it, de plainte, de romance
allouée à une sorte de donnée en herbe, soit le Verbe , Verbe né sur pré en herbe , du fait qu'en effet, l'herbe est cette sorte de donnée "de cimetière" ! Donnée verte s'il en est qui en vrai nous sied du fait qu'elle nous aide (grave !) à nous sustenter comme à la parade ! et voilà de fait ici le chalutierr ! la base ! le tracé ! les données de rage ! chants sacrées sur pied ! on est nées fée en France (transe ? ) du fait qu'en vrai les données sont franches
! ouvertement données (comme en contrebande) sur dossier ! tu plaisantes ? On charge en vrai ! on colle à satiété , on entre ! on est nées fées de rage treacées ! on comande ! on cfom^mande en vrai le chalutier ! le transport nacré du lait sur place ! satiété ! szatiété franche ! salubrité ! commande et vérités ! charges
allouées à une sommité de type "bouquetine cendrée" des prés aux données. On est fines ! sucrées ! affilées ! chine ! On aime monter et voleter et nous placer de faéit ici ou là en ces contrées, de base rupestre, grotte Haute, val des voix et a&utres trous de Fr'anche Rigolade ou d'abois ! On entre ! on entre dans l'antre d'une sorte de paroi &ux cendres mais voilà, quid des cendres là ? eh bé ça : l'homme-né, genré, traqué, il sombre dans l'ombre (son ombre) pour renaître en fée ou en fée des prés à la retombée la Roche (la Mort) passée on le xsait ! On est fée qui sommes somme de données accortes ! on est les fées du Nouveau-Monde, fées d'entre les Fées d'un monde faits de bêtes-MPonstres, Soulevées, Tracées, Tracées à main levée sur ordre d'une Voix de Roche ! tracée sur pied ! Ombres on est , qui vouloçns l'ordre ! la donnhée de Roche : sermons des fées et autres Mamelons ! qui s&aiot ? Lactée ? Fée lactée ? on ne sait ! on trace des traits ! on grave sur pieds les bhêtes mobnstresz, bêtes-de somme ! de trtrait ! sur roche aux Nénés comme qui direait ! On est nées en forme de fée dans la mort donnée ! on est fée des fées .;;;;;......././...............................................................................................................?......................................... df-ée des fées de base .............................?.??. fdé&e d'entre lzs fées de rage .................................?../................fée fée ...L...../....///............................................. fée des fées de rage, de base ..............................................tracées //................................................ allouées àune sorte de romance des données ou des temps allouées à iune soerte de donnée, de rage prégnante .................... vérité des vérités ...... charge et chance sur tracé rupestres des doonnées toutes animalières comme un fait exprès ................... ça pèse , cf'est genré, la crème des données données de type
allouées à une sommité = somme agraire = cxharge-née, bête consacrées ............. sacrées / consacrées ................................. flèches .................. soulevées et soupesées ............... sur herbe des prés à la retombée .... oN aime, on veut toucher = sonder, et du coup trouver, ici , ici même, ce qui est, en termes de données données, données doctes, genrées en cohorte /horde , vérité des vérités des ombres . On veut toucher à cette Chjose d'une sorte de "DOnnée Allouée" allouée aux ombres, aux petits faits vrais et autres données données sur pied genre bêtes-force, bêtes -mots des prés et autres mots-veaux c-omme s'il en pleuvait à tire-larigot ! O,n aime toucxher = donner = dire = fair = charger = co=plaire = ici donner du frai, des glaires, cy(prine à jouer, colle et collagène, pipi doré et charge sup^rême comme accordée , les Nénés ! Les Nénés de fait de l'Herrvbe Attitrée, avouée, chiffrrée, coi,ncée entre deux termes ! ON est née fée de cimetière, genrée ! fée de fête et autres soirées dansées ! on aime ! les fêtes et danser ! danser sur pré de cimetière et autres scènes consacrées ! On aéime chahuter, danser des nénés, souiller, sombrer, boire et manger, coller à l'herbe = brouter, vache à lait sacrée surnume&ééraire déifieée on aiùme ! on est née fée
pour être Ailes ! Ai:les al:louées à) une Vérité de type Tracé , un Tracé , un trait, le Trait des données, Trait des fées sur herbe = le TRAIT , la TRAite, TRait de LAIt ! TRait Ferme ! on aime le lait = le trait = la traite = le treacé sur pré des données (premières) allouées ! On aime le lait ! le lait ? on aime ! qu'aime-t-on ? le lait ! Le lait ? on l'aime de près ! on aime l'aimer ! On
veut toucher, en vrai, aux nénés, de la vache de tra&it telle qu'on l'aime = Sacrée, COnsac rée, Déifiée, Nac rée, Ancrée, DOnnée, FOndée, CHalutier. ON est ELLES ! AILES et ELLES sur pré ! On est les deux ailes du trait, du tracé imberbe ! donée ! une donnée ! une sorte de donnée post-cimetière et comme attitrée à une sorte de ... rezngaine ? chant réiktéré ?baliverne / ritournelle /chants de pré ? On aime ! on est nées fée du fait qu'en vrai on voulait cha rger, passer, passer de fait , traverser,
traverser de fait, la des Roches De pré ! aller ! pousser ! cerner ! pisser ! coller à ces données de bouts de roche Nacrée et autres Fariboles aux tracés gravés ! on est fées ! on est en vrai des fées ! on est comê nées Fées, sur Roche Grosse ! on est née fée sur Roche GRosse Genrée SAluée ! fée dfocte ! tracée à main levé cdepuis le carosse ! On veut touycher à une sorte de donnée, de rond-de-bosse, surnommée Néné mais en fait il s'agit de la Roche , Roche FOrte, Grosse , aux données allouées de type Lactées comme quyi diraot , et nous de cfreuser -téter en vrai les données données par vce rond-de-bosse alloué à une Roche Calculée ! On est fée des Ombres de grotte ! chants chantés nez à nez avec... eh bé la Roche ! Grosses ! mains articulées, Verbe Hautain, Cris chargés d'effets divins, Vents de force 3 sur Roche des Voix ! On colle = on monte ! Traçons et traquons ! Bête de roche ! va-nu-pied sur roche accollées on monte ! fée ! .....................................................................fé&e des prés ./................... on est en vrai la fée du pré comme autrefois nommée ^par l'homme -femme des cavernes cachées souterraines. On v eut grave cernezr un certain nombre de données dites "de cimetière" sait-on jamais ! qui on est ? des bêtes ! des bêtes en herbe ! chants des prés et herbes vertes ! on est fée d'herbe en herbe, à brouter ! fée ! fée des fêtes consacrées sacrées ! chants sous terre ! on rêve ! on est trabnsportées e,n même temps qu'on est chalutiers, chalutières on dirait, transport d'hezrbes (vertes) comme à l'arraché ! On broute sacré ! on est bêtes (des prés) sur pied, de type bêtes à herbe, mots dee roche, mots-bêtes, bêtes-mots de Roche et Autres Gros Mots, de Langue ici
"Pas Dans LA POche" (dixit Roi/ reine de Saba ) . On est les costumières, les fées de la Chance, Rave Tantra, Charge d'antre. On veut ça : la transe , la samba ou transe de Saba, transe-Chance ! on veut ça ! comprendre, qui de
quoi et pourquoi et quoi sur quoi ! Chance ! transe ! On entre en transe dans la paroi , une chance ! cul des Roisq / Reines de Sa ba , on danseb ! on y croit de base car on est quoi , on est la Reine ici bas = là, charge,
paroi, trait des fées, ai:les de szoi, force majeure et chants des toundras ! on veut comprendre enxsemble la paroi , c'est la paroi de qzuoi ? des données primairzs ? du V erbe ? de la Roche dure d'une Grotte connhue ? Chant des donnéesz vives ? le teracé du vivre ?On ne sait à qui ou à quoi se fier pour (en vréi) nous y retrouver, en cette sorte de tracé chiffré ! qui on est ? fée ! qui on voit ? ça, le tracé des fées, roche-bobois , les données de rage, intériorisées, comme déployées. Qui on aime ? Le Bverbe , les données de poids, mots de somme et foi des ombres sur le tas (béliers, bisons, buffles dorés, chevales amarrées, Tisons). On est lzaa Fée vde conttebande. On est la FZ3ée naissante. Sur roche allouée au Verbe teracé, gracvé à la volée par l'homme-femme tracassée, touchée, touchée au mollet ! On trace ! on est comme teracées de mises ! O,n n est les fées toutes alouuées à une sorte de mainmise, donnée par ici le Verbe Sacré, qui est Bête Rosse, si jamais, bête des prés de somme, de trait, grosse de données accortes et autres savoirs vrais . On veut :
toucher en vrai
, toucher pour de vrai,
toucher grave pour de vrai,
grave toucher aux nénés,
grave en vrai toucher aux nhénés,
grave de chez
grave toucher aux nénés,
grave de chez grave en vrai ne pas lzambiner, traîner, mais toucher ! vivement, vraiment, assurément, aux nénés de l'Antre , Ronde-Bosse sur Roche à graver : Nénés Doctes ! ombres ! plis larvés et autres rotondité de Charge Forte. On est nées Fée en vrai soulevée comme qui dirairt. P° arce que voil:à : on est ! on est en vrai Fée ! On est fée des fées en vrai et pas pour de faux comme qui dirait, mais en vréi actées ! dites, fortes de mots gros, chjance allouée à un jeu de mots sur place grravé, jeu de mot bgravé commê s'il en pleuvait ! On va à tire larigot ! on aime, on est fée Su^rpême, chant des Veaux (des petits veaux) à tire larigot ! chants doctes ! on court on vole ! Fée du tonneau ! ivrres de vins bus nue ! On est vues
! on est courues ! on 'est nues courues mais on pue du cul ! fonds de roche meuble ! gentrification ! collation ! on est comme venues (nues) pour`cerner le fonds, fonds du cul du pré aux fées ! et autres eêtres de Raison Donnée. On aime ! le pré, la chance, les donnéesz données en outrzance, denrées déposées sur pierre aux offrandes et autres seuils dits "de sainteté". On est pour la Romance, Chants des Forces Doctes, pour le Chant atroce, cris vénal peu importe : le tourment ! l'impact ! toucher = toucher grave et de près la Divinité Toute Tracée ! l'impacter ! la toucher en vrai ! lui donner de quoi s'alimenter, en termes de HJoie, Denrée de poids, Vie outrée, vie vive des données gravées (de type animalières) au débotté ! On aime ! on est nées sur pré e,n
colère fée ! fée des fées
nées d'une colère et en colère (on dirait en vrai). On est la fée du cimetière, chahutée sévère mais en vrai elle sa&it très bien parfaitement se retrourner, graver ses données, ses propres données venues de derrière comme qui dirait ! On erst nées fée en bière ! ferme ! recherchée ! on est la fée du cimetière et de la bière de fait enterrée (on sait) mais en vrai comme (à présent) soulevée ! ouverte ! remontée ! haussée ! montrée et adulée commê du Veerbe, tracé ou traqué , surnuméraire, implanté, ancré comme de l'herbe, recherché pareil et même collé ! On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucbher toucher toucher toucher )à cette déité des déités surnaturelle (on dirait mais est-vce vréai ?). tOucher toucher toucher à cette Déité des D2itéds ! surnaturelle on dirait ! méis est-ce vrai , est-ce que c'est vrai ? que doit-on en penser ? qui on est ? que faisons-nous sur terre pour aimezr la Terre, les Données RAgeuses et autres Sommités Gravées sur roche type DBélier, BUffle Ancré, Antilopes et autres bisonnes ensommeillées ensoleilléesz. On aime ! charger, pisser, cool:er, dire , allouer à une Sommité de Bête des données (genrées) Suprêmes et autres Vérités en herbe ! vivacités ! vies des prés sur herbe ça le fait : on aime ! coeur donné et autres sentimentsz alouéz à une roche meuble ! on aiume aimer ! on aime grave en vraéi aimer
: la romance, les nénés, la chance, les données en herbe, le tracé, le xsens de la marche et des données données, le travail du Verbe, l'onctuosité des données imberbes et l'onctuosité des données velues, cul nu, genrées, ampoulées qu'est-ce qu'on en a à faire, puisqu'on est nues , nues et velues, nacrées, sucrées
et sa&lées, venues nues de fait pour trouver en vré&i les données de base, d('une sorte
(ici) d'avancée, dans la roche allouée à une Vérité Cochée ! On entre ! On est la Fée en transe = chalutier (un chalurtier) ou chalutière si tant est ! on aime ! être fée surnuméraire, vie des prés, sainte mère des données accolées comme deux ailes autour d'un Trait, Mât de misaine, tra&it des fées, mât docte attitré à une sorte de Parade monstre ! et nous de nous y accoler, de part et d'autre, cohorte comme qui dirait, a&iles sur pré = elles-bêtes allouées à un ma^t de misaine = trait de fée (trait d'ombre) ça le fait ! on veut toucher toucher toucher ....................................................................... toucxher toucher t§oucher .../............................................. toucxher toucher toucher en vrai, lza bête de scène, le tracé, l'être dees prés en herbe, le donné des traits (traites), l'en-lacté de près si tant est ! ......................... = l'allaité ? on dirait ! on aime ! on aime aller sur pré à la recherche du bon lait de ferme = vache Sacrée sur Herbe-VErbe consacré ! on éime ! coeur donné ! coeur-valeur ! coeur-né !
on veut toucher toucher toucher .......................... ne plus s'arrtêter de toucher = téter ! tête première ! primauté de la tétée sur herbe en herbe ! chahut / chalutier / chalutières ! on aime tracer, sur pré, rochenée, la bête ! groosièretés des données sa&intes salutaires ! fée des feées ! On est nées fée sur herbe ! on aime ! on est fée des prés ! cxherche-merde ? qui sait ? on aime ! quoi, la merde ? les données de l'herbe ! l'herbe données ! le Verbe ! l'épôpée cendrée dite "de cimetière" " et le tour est joué ! On veut coller son nez dans l'herbe, et b router ! vache à lait ! vache à lait ! vache sacré à lait sacré ! vfache à lait surnuméraire comme les données toutes données d'a^près cimetière sa&it-on jamais. mourir cendreéb, dxerrière, mais voil;à, on est transfor'mées ! on devient ELLEs = FÉES = VACHES à LAIT Des prés ! merde ! merdum de l'herbe et des donbnées lactées ! on aimeb l'herbe, la fumer peut-êytre (qui sa&ith ?K ) , la brouter , la
la brouter, la ruminer
pendant des a nnées ! On veut toucher toucher toucher topucher toucher toucher à ces données de type denrées, herbe à brouter et aéutres foins de basse-bosse, traits des fées de carosse, rondes sur pr)eé et cohortes ! On est fée des prés = bêtes accortes =
vaches à lait sucré-salé sacrées ! rondesz ! groossesc ! pleines de lait ! fortes ! vie lactée des vies de rage machouillante ! on entre ! on entre ! on entre ! on entre d ans l'antre ! on veut entrer ! entrer en ces données de type lactées ! entrer, grabve, ensemble, ailes d(une fée ! Ailes allouées à (de fait) un tra&it de Rage ! grtave ! trait ! trait des traits et autres tracés à main levée par une femme-homme des temps rezculées ! néandertalien,ne
-né,e comme qui dirait que ça le ferait on le sait, c'est vrai ! né,e ! néandertalien,ne ,
-né,e, en vrai ! gravant roche à main levée, en transe et comme soulevée par un vent de fée, de fée docte ! trait ! trait des traits ! on est soulevée ! on est fée soulevée ! on vole ! on est fée qui de fait vole ! va nu pied puis vole ! fonce ! ose ! touche ! touche
les nénés ! les ombres ! le treacé de force ! le Passé passé, donné, déposée ou ntout comme , don à déité, en vrai, sur roche de grotte (bêtes-monstres ! venaison
! ). On ose ! La Passion ! l'(antilope (ici) au débotté et augtres bêtes des Passions Lactées ! on ose = on pose = on donne = traits ! trait de con, de passage outré, fardé, accolé-acculé ! tracé ! con = trait ! on ose ! on veut passer par le Passé, des ombres larvées (lactées ?) d'une sorte, ici, dx'anfractuosiuté dite "de fin de vie". On a&ime p asser ! on veut toucher à cette vérité, d'une sorte de donnée, allouée à un verbe des prés ! coulée de frais ! vive santé ! chant sucré -salé ! Déité des Déités lactées ça se pourrait : qui sait ? on ne sa&it à quoi se fier ! à quoi se rattacher ! On cherche ainsi tracées ! fées des fées ça
le fait c'est vrai, ça charge, impacte et pas à moitié, montre le bout de son nez ! de son nez de fée ! charge grosses ! velouté de ronces ! cris des fées articulées comme une sorte de parole ronde, vraie, motibvée, grammaticalement structurée qui sa&it ? ON veutb coller de près à ces ronces ! aux données grosses d'un Verbe alloué à une sorte de donnée des prés , ronces, fleurs dotées dépines tra&itres et autres odeurs chargées. On veut toucher toucher toucher ....................................................... toucher à cette Déité aux données de ronce ! .......................................................es-qualité ! on est fée ! fée des ombres portées ! chahutées ! volantes / volant, traits ! treaits dans le vent ! ......................................./........................... traits de forcevive ........................................................................................... vie ! ......?.?.......................... vie ............................ vie lactée ....................?. = voie lactée ? ............ qui sait ce que c'est ? ;;.......................... vie = voie on diraiot ....................voie du Roi et de La reine OUtrée, cha rgée, acculée, forcée ................/......... fait chier ! .................................. ROi CON des données en herbe, il nous fait suer ! chier, suer -chier à jamùais ! ....................../................. (Roi des herbes broutées, il nous emmerde (grave) sur pré ! en vrai ! cimetière ..................................../.......................................... à chier !
9/10/2024
On regarde et ce qu'on voit ne laisse pas de nous surprendre et de nous retenir. On est là comme deux fées de rage. on cherche à comprendre. Quoi ? la voie ! le sens de la marche. Onn est là ensemble , qui (en vrai) cherchons grave à ... eh bé oui, toucher ! touche que tu toucheras , à cette chose devant soi : la branche ? la branche ou pas mais voilà ! on trace ! on en avance = on en avance dans les connaissances ! on est comme toutes accolées de base pour comprendre ça, le tracé des rages, le tintouin des données coriaces et autres
chemins de contrebande. On est là (ensemble , envcore une fois !) pour ça : aller fissa, tracer sur roche, une sorte de nouba, de parade, de sotie en cavalcade. On est là ensemble "toi et moi", pour en vrai cerner sur roche ce qui est en termes de paroles (parabole) en transe ou autres faits vocaux liés à la chance. On envoie ! On voit ce qu'on voit (la transe) et on envoie ! on entre ! on entre ensemble "toi et moi'" en cette sorte de parade aux animaux "vocaux", !ça charge ! ça remue ! ça ne s'arrête plus , et du coup voilà-t-il pas qu'on nen avance sur les pas des hommes-femmes d'autrefois : aurignacie des basses -alpes, néandertalie de façade, etc. On est là en face' ! on entre ! on entre ! on entre en transe ! on entre, dans la danse de Saba ! on entre ense
mble en cette danse rare, trait des joies des contrebandes et autres vie soudée à une sorte de parade "grave" : feux de bois, liturgie, chants cosaques, train de vie sans faille, conséquences (grave) de samba. On entre ! on erst soudées ailées (pour dire ainsi)et on entre ! on entre ensemble par la faillme ... de la voie de roche astrale ! on est mues ! on est même émues d'être mues ! On est soudées de base ensembkle et c'est ainsi soudées (aimées) qu'on entre en cette sorte de contrée (possible) des données de base. On est
comme soulevées ! on est comme soupesées et soulevées et ça le fait ! ça le vfait grave en v rai ,
tellement ça kle fait ! On est accolées et du coup acculées et c'est ainzi ensemble qu'on se voit (pour ainsi dire) entrer ici, en cette prairie, pré aux herbes folles, champs de flreurs et b^$etes de ronde. On est mues émues sur roche vive. On est entrées ainsi émues et mues sur pré aux vives données rudes, type buffles. oiN est nées, sur roche prairiale, ainsi mues, sur pré aux bêtes matinales. On veut toucher à cette sorte de parade de façade, pierrale, ancestrale, vive de chez vive. On est fée des pré et on veut toucher ! on voudrait de fait ensemble toucher , toucher vif , sans traîner, sans vraiment tarder = comprendre ! car toucgher = comp^rendre, que voilà, la chose en soi (le buffle là) est une sorte de donnée de foi, vraie vie des parades, vive vie des données et traces./ On envioe ! on en voit
ghrave ! on ne voit que ça, comme quoi voilà, on est là pour ça, on entre, on regarde, on voit, on voit l'arbre, la branche de SAba, le tracé de face, l'onctuosité des bases sur paroi, le chant liturgique de la ffoi dans l'au-delà, le dada ! Oh, on le voit ! on voit le dada ! l'entrée des rages sur par(oi passe par le dada c'est comme ça ! On est
fées des prés du fait que oui, on est entrées, on a franchi le rubicon (des données rocheuses) et on a creusé , on a poussé ensemble là , jusqu'à en vrai creuser, creuser que tu creuseras, la roche rude, dure de chez dure, pour passer = arriver à passer, arriver à traverser en vrai la paroi de bure ! Voilà ! c'est fait ! on est pâssées ! on est fée des pré ! on est née à cette chose, d'une sorte d'amplitude ! d'envergure ! aile au sein des données rudes, on allume ! on est nue de base, cul nu , on avance ! On est fée cul nu sur pré tondu ! On est la fée des données vraies, échevelmées, vives de chez vives , sur pré. On entre = on est passées ! On est née fée sur pré comme "à la retombée", au sortir du roc ! On est comme née fée au sortir du roc, du roc d'entrée ! des données premières allouées à une sorte de "fenêtre", de
faille certaine, "trait des f"éées" et auitres anfractuoisités. On est passées, de fait, par un trait, trait docte, et une fois passées on s'est retrouvées comme situées , sur pied, ailée comme une fée, à regarder passer des bêtes, bêtes-mots de poids et autres masses-verbe ! On voit ça : la roche-toundra, pré d'herbe, tralala des bêtes entre elles (bêtes de poids) et autres vent ds Rois et Reines de Saba! On est : fée cernée ! On est entrée ! on est née fée au passage du trait ! Qui on est ? une fée (ailée) sur pré, pré aux herbes à brouter par des vaches allouées à une sorte de ... passé ? passé né ? passé vif des contrées ? vif passé aux données données ? On cherche ! on ne sait ce qui est en vrai pour de fait et pour le coup c'est vrai qu'on cherche, qu'on ne cesse de chercher, de fureter, de tourner ici et là à la recherche d'une voie, soit d'un tracé de fée, d'un endroit par où
passer ensemble ("toi et moi") pour comprendre les données de base;, l'envolée, l'offrande, la parade des genres et auitres petits faits de foi . On est nues velues sur pattes là (paroi) et c'est ainsi (si nues !) qu'on entre ! On veut comprendre = on veut toucher à ces données de contrebande, allouées ... aux nénés de lma base ! on voit les nénés ! on voit (dans la mort) les nénés ! arrêtez ! on dit en vrai qu'on voit des nénés ! seins des rages et autres seins de base ! On est nées (dans la mort) fée (un homme est mort qui devient ELLES = AILES = F2é des pré). on est née fée et on voit les nénés ! Onvoit de fait dans la mort des nénés ! on est née de rage ou dx'une rage à vouloir toucher ! les nénés !
le lait ! téter ! téter grave le lait ... de la branche ????????? on ne sait mais le fait est que, oui, en fait, le néné est né au moment précis où en vrai on est né,é, au moment précis où pour de vrai on est passé, on a traversé (homme ?) la roche poreuse des données (frontales) pariétales,
et une fois celle-ci passée, on s'est retrouvé transformé pour ainsi dire du tout au tout, puisqu'on s'est "révzilllé" fée, en tant que fée ailée et non plus homme cendré, on est née fée des prés dans la mort venue ! on est nue ! on est velue ! on n'est plus couillu mais velue du cul en tant que fée des pré s ! On est passé du stade homme cendré, centré, autocentré, à celui de fée allouée à une sorte de contrée aux bêtes de s prés. On est trans-formée en fée des rages ! en ces fées de rage sage ! tracé ! tracé à main levée ! trait de base ! dessinés ! on Est né sur pré fée en tant qu'on est devenu femme ! dans la mort la femme ! fame ! flamme ! On est née fée du fait que voilà, on est morte-allouée à une sorte de samba aux données de rage, tralala sur pattes, cavalcade , on en-voie ! on danse aen transe ! on y va ! on ne s'arrête pas ! on ne veiut surtout pas s'arrêter là ! on veut tracer, coller, percer, comprendre, souder, cherchert à pour le coup nous rapprocher des nénés enflés ! On veut :
-comprendre
- souder
- aller par desz chemins cde contrebande, à la rechercvhe de données de base pouvant, éventuellement, nous aisder à) percer un des mystères sinon tous , de la , comment on dit ici, "sainteté chérie" ? On entre à quatre pattes sur un pré, prêtescà brouter. On est née fée la mort venue nue. On est fée des bases crues. fée des fées du cul ! On aime le cul, la chance, le tracé sur roche allouée à une sorte en soi de vérité qui serait vérité d'époque, ancestralité, vieillerie-chose, conséqauences de paroles outrées et autres petits faits vrais. On est fée d'époque c'est un fait ! drôle, nue, vue, comme dépourvue de morgue ! On est passée tout prèds du buffle accort, des bêtes oursonnes. On est fée docte ! on fonce ! on veut toucher = comprendre .... qui on est. On veut toucxher toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher toucher touc cher toucher touc
cher toucher ! on veut grave toucher ! toucher grave aux données données et autres traits de vérité genre néné ! les nénés ! on veut les toucher parce qu'on veut téter ! on veut grave téter et du coup toucher ! téter = toucher ! toucher = téter ! est -ce que c'esst vrai ? on dirait ! on est passé de l'autre côté en tan
t qu'homme auto-centré, nous voilà à présent (dans la mort) transforlmée en fée , ailes des prés (elles) = fée ! fée docte ! fée d'ombre ! on est fait ainsi fée ! fait ou faite feée. On est né fée dans la moerrt du pré ! On est alloué à une sorte de prairie aux fées du fait qu'on est né en certtte sorte de praiorie liée aux fées ! fées d'ombre et de mots chahutés, genre bisons-bisonnes, bouquetines et bouquetins sur roche, traits d'union de poche sur paroi moche ! on ose ! on trace ! on comba t ! on voit ! on ne veut pas sa langue dans la poche ! on veut comprendre la samba, le Roi, La donnée (donnée) primaire ou les données (données) primaires,
Reine des Rois, Roi des REines, on y va ! on danse ! on est là (fée des prés) pour ça, la danse, la samba, lze cha cha cha, la parade nuptialme. On envoie ! on veut comprendre et voilà : on enttre ! On est deux pour ça : à toi à moi la contre-danse sur toundra ! On est des fées de rage sur paroi, cxherchant grave à comprendre qui de quoio le Roi , la Reine, LA Samba des peines, le tracé primaire, l'os de seiche. On cherche ensemble sur paroi les données données, le tracé sur pied, lma bête allouée à un chant premier, l'enveloppe classée et autres faits de vérité. On est fée des prés à la recherche d'une Sommité, d'un tracé ch argé, d'une vérité comme s'il en pleuvait, Véroyté des Vérités et ça le ferait. On est fée des prés à la recherche d'une vérité dite "de cimetière" (on dirait). On est née sur pied ailée sur pré . On est passée = pas asseez ? pas assez Reine ? On est née sur pied ailée post-cimetière, dans un pré aux bêtes tracées. On est par(mi elles ! on les regarde aller, brouter, venir tout près puis s'en aller, tracer, charger, coller de fait aux nénés de l'Etre ! On aime ! on vezut grave en êztre, des données de baise, cul velu on aime ! on est nue idem ! On aime ! on aime le cul ! la senteur du nu, la bête charnue, bisonnée première et autres bêtes de paroi de roche crue. On aime grave la bhête dodue post-cimetière ! On l'aime ! on l'aime du cul ! charge ce"lte ! Obn est dodue nous-même, fée dodue des données premières, charge nue on fonce à l'ancienne = cul nu ! on foncxe on enfonce ! on fonce cul nu pour entrer en force ... dans le cul ? dans le cul de l'Ettre ? cul nu ? On e,ntre ou entrerait cul nu dans le cul de l'Etre velu ? On
pousse ou pousserait de fait la chose jusqu'au cul velu ? chose rude crue , chose grossee tendue , corde ? On est bvenue sur roche ensemble sur le cul tracer roma,nce, et nous voilà cherchant l'entrée = la sortie du pré ! un cul ? une sorte de trou du cul en guise de passage "instantané" ? On ne sa&it ! On est fée des prés , on cherche à trouver ! on regarde! On est fée des prés allouées à une vérité de type autocentrée (homme de près) mais en vrai macache ! l'homme est né dans la mort cendres ! l'homme, dans la mort, naît cendres , meurt pour ainsi dire "pour de bon", quyi laisse sa place (le con) à deux femmes ! deux bpour Dieu, devenues dès lors Ailes de contreba,nde, par chance, fée des prés et du coup (de base) allouée à une sorte de donnée de Rage, la PAROI EN TRANSEV! Le PASS2é frontal changé en romance, vive
acidité des rages de b ase, tracé fait à main levée par une femme ! charité bien ordonnée commence par la danse des données données = les nénés , ne cherchez plus ! On est née fée chelou, du fait qu'on est (dans la lmort) née, mais c'est un fait ! on ne peut y couper ! vie = vie sur pré dans la mort donnée. On aime coller, tracer, pisser, comprendre, toucher, tracer, aller, rechercher, pousser la romance et la chansonnette des prés, comprtendre qui est qui en ces contrées et aussi peut-être pourquoi les nénés et pas par ecxemple le ... pâssé ? les traces du passé en tranche ? On ne sait ! on entrte ! on pousse ! on comp)rend ! on absout ! on est fée des prés de contrebande et on absouyt, du coup, toute sorte d'intrusion notoire déplacée ou sinon quoi ? on aime ? pas vraiment ! on est fée sur pré pour ainsi aimer ? on ne sait ! pour chercvher ? on le dirait ! On est fée des prés allouées à une vérité de type "alacrité" ? on ne sait en vrai guère davantage ! On est des (fées) qsui(en vrai) faisons (sur pré) le trajet des fées , la parade, on chante ! On est fée des prés sur bande' ! on veut toucher toucher toucher toucher à une vérité dite "de
vcontrebande pour néné" et du cfoup on danse ! on virevolte pleine de grâce, envolée on est, on plonge ! on ressort ! on est sur ressort ! on virevolte ! on ne s'en laisse pas compter tellement on est fée jusqu'au bout des ongles, ailes-chasteté, bec de roche, sainteté
des sqaintetés et autres qualitées de roche dure (vivacité, acidité, a&lacrité, treaçabilité). On est née fée la mort venue du fait que oui, on edst velue ! On est nue venue velue à la rencontre de la vcérité ! On est accolée sur pré et venue nue ainsi ailée ! On veut toucher à cette Vérité du cru = Déité des D2ité Ventrue. Qiiu c'est ? bé ... l'plombier des prés ? le chargé en communication nacrée ? le VRP des données allouées à une sorte de contrée prairiale post-débandade ? On ne sait en vrai ce que c'est que cette chose grosse devant seoi qui nous ouvre ses bras ! buffle des prés ça se pourrait ! AUROCHS COLLÉ ? On veut toucgher à ce qui est qui se présente devant soi les bras ouverts cfomme en amitié mais est-ce vrai ? On est femme docte (sur pré) parmi des bêtes
aux colliers deRoi. On veut t§oucher = cerner = dire = fair = comprendre = saturer = charger = faire ainsi que devant soi la faille s'ouvrit sous nos pas et nous laissât en vrai padsser comme des reines de Saba pour aller (au loin) chercher le Roi (?) des données primaires. On est là ensemble fée sioudées , qui cherchopns en vrai à nhe plus nous retourner sur quyoi que cev soit parce qu'on a donné (déjà) et qu'on veut tracer, avcancer, s'avancer, tracer = filer et a&ussi dessiner les traits d'une sorte de donnée donnée (néné ?) de type animal des prés (buffle au débotté). On veut toucher à une D2ité post-cimetière , ça le ferait ! On est prête ! on veut coller à la paroi des termes ! chahutée c'est vrai mais qu'importe l'entrée du moment qu'en vrai on est entrée ou qu'on a pu entrer ! On veut coller souder, tracer donner, comprendre les données de cecqui est , de ce qui est qui va en vrai comme tracerr à main levée les données du terme ! Qui on est en fait sinon fée ! On est fée des rages monstres sur paroi, des femmes-hommes de Sa&ba ! On voit ça . On erst homme et femme drôle;, chan,t total, vie des prés, nouba là, transe en croix, parade ! charge mentale animale ! bêtes des rois, reines des Tas, on veut toucher à la paroi ! traverser la voie ! comprendre ensemble le pourqyuoi d'une telle romance ! on y croit ! on veut (on va) comprtendre un de ce
s quatre la paroi, la roche Sarde, le Passé des Rois et REines Graves, les données fronrtales, animalités de co ntrebande et autres bêtes de poids sur paroi des voix. on entre ! On veut toucher à cette sorte de Romance dite "acidulée", drôle de Romance "des prés" telle qu'elle nous est donnée par chance (par la chance) une fois entrée (iune fois que nous sommes en,trées !). On est passée ! on a traversé, et nous voilà comme confortée dans nos croyances envers les données de type Romance au pied levé. On est née fée une fois passée, nous voici annoncée : "R5omzance ! Romance des fées !" la romance ! le tracé des fées en termes de Romance ! romance Romande ! vive sainteté des
do nnées attribuées à une sorte de parade à main levée ! Romùance des prés est annoncée ! LA ROMANCE ! LA ROME DES ANCES ! LA ROME D'AISANCE ! le ROMAND de l'aantre ! On est nhée fée des données romandes, romandes ou romaines on ne xsait on cherche ou on chercherait ! fait vrais ? On cherche de fait à cerner ensemble ce qui esrt en ces données (de base animale), on en veut ! on veut trouver = toucher à , une vérité, la foi, un tracé, une sorte de parade aux fées et autres bêtes-mots de contrebande faisant poids sur roche ma foi. On veut de base colmater pour cmieux cerner ! colmater les trous de base, les données trouées, les manques : qui sait ? On
est passée et nous voilà en train d'essayer de co:prendree x et x données liées a ce qui est bqui se prséente : voies , voies des Rois et REines, voies de la foi , voix desz données raides, voies des bases saintes, voix des voix. On veut ou on voudraiot si possible ensemble comprendre et du cfoup toucgher à cette sainteté post-cimetière, afin de cerner = nous conforter, dans ce qui est, cerner ce qui est et nous conforter dans le fait que ce qui est est, que cette chjose cdevant soi tangible est vraie , c'est)à dire "physique" ! On veut cerner ! On ne veut pas ou plus passer à côté mais troucher aux ,énés des données accortes telles qu'en vrai ici même (la mort, le royaume donnjé de la mort) elles nous apparaissent. On est toutes motivées en vrai pour ce faire : toucher = trouver ! On veut toucher à elle, à la Royauté des Données Premières, ROI_REINE grave centrées sur place, trônant grave devant soi au CEntre on le voit ,
on voit ça de là (de notre place, sur paroi des Chances) . On est là ! on entre ! on entre ensemble = "toi et moi" pour comprendre eh bien (eh bé) la paroi, le centre, les données prégna,ntes, le sabbah, la Chance et la Nouba, les préférencesz, le tracé nuptial, la place accordée aux bêtes de poids et autres masses graves, mots de poids sur tracé de pâtre. On veut en vrai toucher du doigt la Véroité des pastoraélités comme on en voit sur roche des fois (dans nos jeunes an
nées et même au-delà). On entre ! on veut grave toucher soit tracer soit dire soit comprendre ce qui est ici qui nous attire ! Le Passé ? le passé ici cvomme déplacé ? On veut rire ? on est née fée pour nous retrouver (ou on serait née fée) , pour nous retrouver confrontée en vrai face à c e Passé des donnéess confites ? On seréit aéinsi confrontées ? comme soulevées pour de nouveaiu toucher à ce qui était ? à ce qui en vrai pour nous était quand on en vouléit , qua,nd on en voulaiot de la vie tracée sur terre allouée à un cimetière dfonné ? On est née fée en vrai un jour dee givre, il pleuvait, lma mort rodait, etc. Il semblerait ! Mais qui nous croit ? et pourtant c'est vrai ! née fée dans la mort acvquise on avise, face au Passé, on cher c he l'(entrée ! On cher cherait l'entreée en vrai (dans la mort admise) dans notre passé ! dans une sorte de passé , passé ou tracé qui nous retrouverait nous toucherait, auraiot la main-mise , serait Pré, Pré-texte à une sorte d'embardeée comprise comme traversée ! On veut toucher à ce passé "des fées". Passé-prise/. On veiut grave en avancer en ces contrées de la mort admise (comprise) et du coup toucher, qui sait, au ... pAssé des données données genre sagacité, sa leté, satiété, ;... vie des tréaits sur pierre grafvvée (balises). On veut de fait toucher aux nénés ! aux nénéds dfu passé ? on ne sait mais voilà on est (en vrai)- comme soumises à une sorte de tracé des prés déjà tracés avant notre arrivée, et qui sezrait tracé de mise, destinée, fait à suivre, charge acquise avant mise (ici ), sur pied , de nos triques. On veut :
TOUCXHER = TOUCHER =TOUCHERR = TOUCHER = TOUCHER = TOUCHER = TOUCHER À UNE SORTE DE DIVINITÉ QUI SERAIT (EN VRAI) LA DIVINITÉ DES DIVINIRTÉS;
Shiva là ou pas mais une sorte de Shive-a pleine de grâce, falbal as, charges, sarabandes on envoie et on en voit ! on vzeut en tant
que fée comprendre à qui mieux mieux ce qui est qui nous faiot face en vrai, qui est là qui crée du sens, informe en conscience, charge sur un pré, pousse cohorte, veut tracer coûte que coute un certeain nombre de données de poids, sans traîner, honnête et vif, commê tout à son étude il ou elle vcherche à (pour le coup) révéler ou nous révéler un certaéin nombre devdonnées données à bien considérer si en vrai on veut toucher à une Déioté des Déités tracées. On est née Fée sur pré du fait ... des ,nénés alloués à une Vérité ? On ne sait mais ce qu'on sait ici en vrai c'e'st que (voilà !) on y va ! on trace ! on rage ! on est pas contente en vrai complètement des données données données par la bande ! car voilà : on est fée des prés sur place (mort à l'oeuvre) et après !? qu'est-vce qu'on est "après" ? qu'est)--ce qu'on est appelée à devoir être en vérioté ? quyi le sa it ? en v rai peut-être personne ! On est née fée du fait que voilà , on cherche la Roche, lme Passé, les chances pôur mieux s'ancrer, les données profondes. On est nées fées du fait qu'en vrai on est allouées à une sorte de cohoerte (bêtes -formes) qui nous sied (nous plaît) et nous escorte , grave, jusqu'au trait, trait sur roche des données données = la Finalitéb, Fin des rocs pré-cités, fin des fins du Trône, finalité-tracée, Parole SOmbre. On s'est avancée !
On a tracé ! on s"''est rapp^rochée des données profonxdes, données-force, charge fgolle mais profonde on sait, on est née , on a touché, on s'est confronté, on peut coller. On est fée d'épôque : charge docte. On est allouée à une sorte d'entité de roche des finalités ou dite des finalités ! on est née sur roche fée afin de tracer jusqu'au bout du monde saon chemin xdes fées et trouver, toucher, cerner, comprendre le trait, le trait (de fin de roche) alloué à une sorte de paroi-rotonde, trait sur pierre gravée, anfractuosité à même le muret. On est au pied ! on mate ! on veut toucher la chose gravge, le tracé des fées ou dit "tyracé des fées". on veut toucher en tant que fée à ce teacé qui , de fait, nous incombe on dirait. on veut passer le nez ! cerner ! toucher ! ... entre les nénés ? on ne sait ! on cherche à cerner mais ce n''st pas gagné vcar la chose est entortillée, pas simple à dénouer, une sorte de pelote ! ni$d d'herbe ! vas-y voir à cerner de près ce que c'est, en termes de finalité du bout du monde de l;a mort à l'oeuvre en son royaume. On a grave envie d'en ava,ncer chelou,
mais comment ? comment traverser la contrée ? quoi est derrière cettre sorttrree de sortie-entrée ? On regarde", on essaie de regarder; on cherche à passer, à âsser un oeil si ta&nt est, à cerner-toucher, faire ainsi qu'on puyiisse "visionner" les données "finales" : quoi de quoi en termes d'effroi, de parade froide, charge sarde
(?) , trait de joie ou pas on en rede"mande ! on veut comprendre ! on est deuxd (deux ailes de poidsz) pour (en vrai) voler vers elle, la paroi Des Rois et REines SA&lutaires DErnier et dernière. Qui de quoi nous atte"nd là ? On entre d'un côté, on voudrait sortir de lm'autre. ROTONDItÉ! LA ROTONDITÉ ACCORTE ! L'ENTITÉ NACRÉ A DES SORTES D'ALCÔVES, DE NICHE ALLOUÉES POUR UN PASSAGE ACTÉ EN TERMES DE PERCÉE. On veut :
TOUCHER , TOUCHER, TOUCHER , TOUCHER, TOUCHER
AUX NÉNÉS ! TU LE XSAIS ! ON EST NÉES FÉE ! ON EST NÉE FÉE, EN VRAI (DANS LA MORT), POUR TOUCHER AUX ÉNÉS ! AU NEZ ET À LA BAERBE D'UNE DÉIOTÉ "MAUSSADE" ON DIRAIT ! Toucher aux nénés = cerner ce qui est qui nous attend ou nous attendrait au fin fond d'une sorte de roche des prés (édenique il semblerait). On vfeu t toucher à cette sorte d'e,ntité placide, Vérité Alloué à une ... crique ? un passé pâssé ? plage acquise ? mer cendrée ? vive brise ? On veut toucher à une Déité aux données avérées et pouvant en vrai nous conforter dans noàtre idée que le Verbe est de mise question sainteté,. On est des fées ! On est (dans la mort-sainteté) dxes Fées altruistes ! on veut AIDER ! on ne veiut pas s'autocentrer mais en vrai aider, percer, coller, dire, faire ainsi que les données cde base (sur un pré) nous rensiegnassent et pas à moitié ! On veut coller à une sorte d'e,ntité acquise non-soumise sous le pied ! tracer = voler = s'envoler = décoller = se placver ainsi ensemble ici qu'on puissee ... eh bé oui toucher ! toucher l'artiszte ! l'envolé ! l'envolé-é ou l'envolée -é-e, pourvu qu'en vrai on est que'lqiu'n ou une à qui s'accfrocher et la ou le suivre, coller à son crochet, le ou la suivre en vrzai, dans les nuées. On a envie enxsembke de toucher à) cette sorte d'entité comme soudée à une sorte de donnée "du bout di monde". On est, fée de rage ainsi collé (accolé) àune sorte de donnée volante ! artiste ! prise ! charge ! sein de roche (ou nhéné) d'approch
e ! volons grave ici sous pavillon ! cherchjons ! colloons de base à une sorte de "moignon" d'emphase" ... ouh .... ça arrache ! on entre dans l'antre ! vive la Passion ! cherchons à (de fait) comprendre la tâche, la mission ! Que devons-nous ensemble faire ici (la mort, en tant que fée) pour enfin comprendre = percer ? On ne sait mais on s'y colle ! On ne lâche plus le morceau. On est feé docte en vrai au bas-mot, dès lors on frotte ! On veut rester soudée , coller aux nénés ! aux nénés de l'antre ? du ventre ? des alacrités ? des tracés ? nénés fauves ? nénés nés sur roche' dfrontale ? nénés des nénés qui c'est ? qui donc est là comme attribué ? qui va là (aux njénés) pour nous accoster ? On entre on vole ! On est fée né qui cherchons néné ! qui ou qauoi est néné ? à qui sont ces nénés ici sus-nommés ? au Père des Fées ? Les nénés du Père ? A la mùère Chair ? Au vilain tracé sur roche cachée ? Au pêre putain ? au dit prieuré ? a la chaire de l'être ? au Passé ? Nénés du passé ? Ah ;, ça se pourraiot, on ne sait jamais. On est née fée du fait que, voilà ce qui est, en ces contrées, la haine ! le tracé acerbe ! guerre des tranchées ! le cimetière sans arrêt ! On veut toucher à une sorte d'entité du coup (plutôt, pour nous) post-cimetière (au lamparo ?) ! On ne veut plus du tout tracer sur roche de données acerbes,; ma&is du mou, de l'herbe = verbe mou, mou-doux, chance et traits de chance, chance d'êtrte, chances allouées à une vie sauvée (comme qui dirait) dans une sorte de contrée aux féesz. Par ade rupestre
. Cavalcade / baise. Chattière. On aime ça ! on chante ! On envoie ! on fait la java (la nouba) bien au-delà du cimetière et de ses trous à rats ! On ne veut pas du cimetière. On veut comp^tendre la samba-java-nouba de derrière, de derrière les données de traîne. On veut (grave !) toucher (en vrai) le roi et la reine, héritiers,ères des fées diverses, chargé,e,s (au débotté) de nous aider dans nos recherches agraires. On est fée des fées ! fées des frères, soeurs en charité s'il en est ! qui c'est ? bé.... l'plombier / plombière ça le fait ! On veut :
COLLER , COLLER, COLLER , COLLER À UNE VÉRITÉ DERNIÈRE (DE DERRIÈRE = DE DERRIÈRE LES FAGOTS DONDAINE ET AUTRES ORIPEAUX CRUCIAUX). On aime aller derière , derrière les tom^beaux, les fagots, les tonneaux, les petits veaux de l'êttre, les pzrdreaux des âges nouveaux et autres perdrix / perdrières des anneaux ! On est née
fée la mort venu, et nue. nous voici allouée à une sorte en soi de plus-value (cul nu) sur roche vue. On colle ! On fait colle ! on est colle conforme ! On veut toucher à une rochze aux données profondes. On ne veiut plus s'embarrasezr de choses folles , mais tracer en toute vérité, les données profondes, d'une sorte de Passé comme cerné, circonscrit-posé ou déposé, sur une roche ornée, roche de grotte. On veut graver la vérité du socle ! La tracer en vrai ! à main levée ! sans traîner ! pousser ! dire et aller, charger rude ! colmater les
brèches de bure et autres fissures ! On veut coller à une vérité-entité sacrée et aller (à vive allure) toucher , toucher serré, à Déité des Déité Nature si tant est, qui sait. On est née fée sur pré de bure ! bure allouée ! bure des prés ! sainteté ! chasuble ! robe dure (! rude ! mais c'est ! c'est ainsi qu'on est ! qu'on reluque ! qu'on s'y voit ! qu'on aime allmer , être, toucgher, comparaître, se sauver, tracer et poindre ou ici poindre (pôinter) le nez , la pique allouée à une face d'aigle, de corbeau de poids, de bête à ailes, moineau-chat, passereau des bois, chanteresse. On est née fée du fait qu'en effet, l'oiseau est là-haut qui siffle son chant. Paszsereau ! Etourneau savant. On est beau ! on est fée beau, belle fée des baeaux , des baux de l'eau ! On veut êtyre fée sachant siffler comme des oiseaux, paszsereau / moineau,et tracer ! filer (grave) devant soi , siffler et tracer, pâsser et dronner, comprendre et soulever , gravE .......................................................................les données de poids , ................................... gtrave ................................ les do nnées de poids ................................................................................................................. les données (ghrave !) de poids et autres sommités agraires de passage , en colère ou pas, mais voilà ..................................................................là; ...................................... sur parioi aux poids ................................................................................... aux charges ........................... , a&ux emprunts de base et autres condensés (de base) sur pré ...................... en termes de dfonnées "ronflantes" ...................... Vérités dites des Vérités, tu parlles : un camouflet ........................ la barbe ! ........... la barbe (en vrai) des camouflets ! nous, ce qsu'on veut (de fait) c'est comprendre = toucher ! pas raisonner, pas en vrai raisonner , ou pas en vrai forc"ément raisonner, méis toucher , toucher de fait, réellement instamment concrètement physiqu'lment toucher à cette déité des données "superbes" = soulevée, soupesée, montrée, montée ! On l'aime ! on aime ici pareilmle Déité post-cimetière c'(est vrai ! cxar
on la ttrouve belle, on la trouve superbe, on la trouve magnifiquement ornée, soulevée et tracée, elle est très belle, elle est Fée des prés belle, voire très belle, c''st)à-dire ornée, arra,ngée, pomponnée des nénéset autres faits et gestes, on l'aime ! On veut grave l'aimer et en vrai on l'aime ! On la trouve vraiment méga-belle et, superbien arra, ngée pomponnée nettoyée parfumée. On l'aime ! la Donnée des DOnnéesz ! Grave ça le fait ! la belle donnée ! belle donnée parmi mille données mais elle en particulier nous sied ! bELLA donne des données de Verbe ! On est tout accolée à son être de fée, on est solidaires ! On aime l'aimer, la coller, nous coller à elle, Verbe des prés on aime, on est ses ailes ! on est ailes de fée pour elle, Belladonne des données d'herbhe (Verbe) sur pré ! IOn cherche à cerner de près ce qui est, ce qui traîne, ce qui est sur pré qyui traîne, vaque, trace, charfge, se promène. On veut toucher à elle (bête) sur un pré. Vache à lait des dernières entrées et autres
volontés. On veut toucher = dire = être = faire =comp^rendre = fer,mer (?) par la bande, le Tracé cdes contrebandes . O,n est des fées de rage sur pré, et on veut toucher à une sorte d'entité rageuse type "vache à lait" comme s'il ren pleuvait ! on est née fée sur pré pour aimer Elle, la chargée d'a
ffaire, fille au pair attitrée à une sorte de mission rêvée, cele d'être (de fait) charge d'ailes ( soit percée , du fait qu'on entre en elle pôur le coup froissée, pour coller à elle -, notre dulvccvinée). On l'aime ! on l'aime de près ! on est pour elle on dira ou on dirait ses ailesz ! ailes agréées en conformité ! on aime elle, le passé, la rage, les données de base, le papier,; la place, l'envolée, la parade. On est ailes ici pour elle, du coup Fée ! faite fée ou transfgormée, du fait que voilà en vrai c e qui est (et qui nous obsède, en vér(ioté) : cette entrée en "lle, cette sorte d'incision de ppré, ce passage au débotté, cette sorte d'accolade tracée, dessinée, cet ancrage (c'est fait !), tu le sais ! On est accolées !
soudées à elle ! à la bête reine ! vache aàlait des prés, come déifiée du fait qu'on l'aime en tant que fée ! fée on est avec elle, pour elle, près d'elle ou accolées à elle (ses ailes) . femme-aile ici même (contrée des Contrée) et nous voilà comme si on était elle pour de vrai , vache des prés, vache nourricière, pis des fées et autres seins de base lactée (lactogène). On aime le lait ! l;es données lactées ! le gruyère ! les oiseaux cendrés, les conifères.
On aime la forêt et les bois aux fgées. La Colère . Le Passé accolé sur herbe des prés (Verbe !). On est née fée sur herbe au paasdsage avéré ! On veutgtoucher à une déité de tuype vache à lait. On veut toucher en ta&nt que fée à une déité de type vache à lait. on veut en vrai en tant que fée (ailes des prés) toucher à une "déité-entité" det yype vfache à lait. On veut grave toucher à une déité de type vache à lait, vache aux attraits, vache ai
lmée, vache deéifiée du fait en vrai et pour le coup qu'elle est ailée et bel et bien ailéec sur pré (dit de "post-cimetière" si tant est). fée de V Erbe on est, qui sommes les ailes de la vache ailée (à lait). On aime ! on aime grave le Verbe lacté, le Lait et ses dérivés, Verbe-Lait de par la mère, la mère et le père, les données allouées à une vie sur terre. On est née fée comme à la retombée la mort passé (venue ou advenue) la roche connue. On est Fée parmi les fées , et voilà : on erre ! dans un pré ! à la recherche d'une entité ou sorte d'entité de fait "post-cimetière" (à jamais)/,;. On veut (grave) toucher la bête = la toucher en vrai. On veut toucher ici à cette bête "post-cimetière" , la buflette, l'antilope accaparée, la lionne au tracé sur pré, Baronne Bisonne, l'accolée sur roche. On veut toucher à une D2ité de ROche, type "animal des prés et bois de Bosse". On veut aller , coller, dire, faire mine de percer , percer, coller-vivre, se donner, allouer, permettre = autoriser = donner = faire ainsi que des Fées , en vrai, puissent aller gambader sur pré sans se blesser, s'entraver,
perdre pied. On veut toucher à cette déité des données premières (reines) et cvoller de fait à une sorte de donnée lactée, vache sacrée, bête de poids faisant office de ... paroi des Rois ? On ne sait pas !
on voit quelquaepart la Roche comme s'entrouvrir sous cloche ! on y va ! on est comme ivres de joie (je des voix) et on entrte ! en transe ! vives ! vivement passées ! on entre en ce pré aux données rageuses , nacrées, sacrées, soudées ou comme (ilm sembleraiot) soudées, soudées à Elle-Fée, Fée d'ombre = vache nacrée = VAche aux traits , Vache de trait . On est passées comme à l'arraché , on est monté sur pré, on monte, on ne cesse on dirait de monter. On a méga-envie de tracer, sans ceesse, des traéts (sur roche) désignant la bête , cette Bête allouée à une sorte de
contrée, post-cimetière, genre contrée blême, Royzaume Doré, Champ des Ombres. On vreut toucher à une sorte de donnée, de base cendrée, mais pour mieux la cerner, piger ce qu'e'lle est et en tirer profit (de fait) auta&nt que possible si tant est. On veut : et toucher et coller, et manger et chier, et paszser et travesrser la roche aux données profondes. Cerner = dire. Que cerner ? = que dire ? On est fée de pré du fait que voilà, on a touché (on touche) à la Vache Nacrée des temps déplacés. On touche quand en vrai IL NE FAUT PAS TOUCHEZR mais là comment on fait ? car pour cerner (ici, ce qiu est) on se doit de toucher à cette vache à lait sur pré ! on est accolé&es = soudées, comme ailes, sacrées, accolées à une sorte en vrai d'entité chelou, disons un pêu beaucoiup chelou du fait que oui, allez croire à la vache sacrée , et pourtant cv''sst vrai ! allez croire
à la vache ailée ! et pourtaént ! on aime le Temps, LE temps orné, l a parade dessi n ée (à main levée) sur roche, le tracé fr(ontzal (bêtes rosses), et aussi les flammes, le foyer, le passage de feu, la charge. On en v eut ! on cherche à com^prendre". On veut t§oucher à u ne sorte de r (oma,nce comme acidulée de type LAIT, LAIT des F2EÉS ! fée des laits de contrebande acidulé, on dirait. On avance ! on cherche en vrai ensemble (autant que possible) d'en (grave !) avancer sur pré au sein des entités sur pied , genre : vaches, veaux, buffles au cordeau, chevaux -cerceau ou bisounours des peaux et autres bêtes fortes. On aime tracer , graver sur roche = dessiner des bêtes fortes. On aime coller ! On veut s'enraciner ou disons s'ancrer, ou comment : percer ! passer ! traverser la roche ! mains frappées ! maéins collées ! mains surnuméraires ! mains allouées à un être des pré qui seréit (en vrai) bête-belle, belle-bête = Verbe = Herbe = HErbe Verte = F2ÉE!!!!!! fée des fées comme on les connait (frêles ? fines ? édulcorées ? translucides ?) . On veut ou on voudrait ne pas xs
'emballer outre mesure mais, au contraire, se poser, essayer de se poserv afin de mieux cerner ce qui apparé&it, ce qui afflue ou pas mais semble remonter du bas (du bas ?) et vouloir comme nous charmer, nous faire de l'effet, nous monter , nous coller, nous intoxiquer peut-etre. On est née fée la mort venue cul nu, nous voilà traquée (ou comme traquée) par ... du Verbe ? verbe des prés (on dirait) qui chercheraéit à nous coller, monter, surperendre, manger ou comment dire : intoxiquer ? on ne sait ! on veut continuer traquet -traquet notre pretit chemin de destinée agraire souterrain
e . on ne veut pas céder; on a méga-envie ensemble de tracer des tr&its (szur roche, sur paroi, sur roc des bois et autres supports de choix) Grotte !!!! grotte de Saba !!!!!!! grotte parmi les grottes !!!!!!!!! grottes de Sab a patrmi 50 grottes de Saba ! 50 ou 150 ou 350 ou 450 ou 1000 ! on envoie ! on charge ! on vzut grave envoyer d
eu bhois ! on ne veut pas rester (de fait) en careaffe m ais férer, tenir, ne plus lâcher = contenir la roche, plomber, toucher = donner, passer = vivre, dire = coller, à une bête-monstre, des données de roche (ailes translucides). On tombe ! on est folles ! on est fée follesz ! on tombe ! on tombe ! on est fée folle ! on tombe
en tant que fée folle ! on tombe ensemble ici (la roche) en tant que fée folle ! ailes au diapason, d'une vache à lait, on veut la toucher. On ose. On veut coller à ses nénés (pis des ombres). On veut cvoller de fait à ses nénés "de roche" actés (les nénés) et creuser, pousser la chose, chercher loin à cerner ce qui est, que la langue (ici française) contiendrait si on la chahutait. on veut coller nos ailes d'elles sur Passé des pré, le Passé, le Passé alloué est une vache à lait ne vous y trompez guère, à présent on le sait. le Passé aux herbes est Passé de Bête. On veut collert à ELLE_BÊTE des données de bière, mort cendrée, cimetière, tombe ouverte puis fermée, prière, chant agraire et le tour est joué à jamais il xsemblerait. on veut coller au VErbe, d'autres types de donnée que celles içci développées pour ce qui est du cimetière. Doonnées rudes peut-ette, que celles que (ici) on voudraoit avancer mais données tout de même ! on les aime ! on veut parler ! on veut coller , dire, serrer, allouer à une Bête-Poids les mots cde tête d'une Foi en l'au-delà. On est comê cdollées au verbe v(Fée) quyi cherchons l'ëtre On veut :
dire = mettre, sur paroi, les mots de la foi en cette bête (là) qui nous appelle. On veut ça : toucher la paroi. Parce que bvoilà, on veut (on cherche) à) toucher la bête , la bebête aux abois peut-etre pas mais celle qu'on aime, qi'on espère (elle) être là à pour le coup nous,
nous demander pourquyoi, pourquoi on entrte, pourquoi on entre ensemble "à toi à moi" main dans la main .... eh bé c'est simple ! on veut cvoller (ou se coller) à elle, cettre bpete-là, dite "de bon poids bon oeil". On l'aime. On a grave envie de nous coller à elle, comme AILES, cvomme en vrai si on était (on est !!!!!!!) ses ailes. On serait ses ailes ! Mais on est , ses ail:es !!!!!!!! on est en vraéi les ailesz de la vache à lait ! On est AILes cde par(oi de roche ! AILESC .............................................................................................................................................................................................................................................;;..........L............................................................................................................................................................................................................. Ailes = elles ;.................................................................... ailes = elles sur paroi de roche !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on aime êytre ailes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on adore grave ici et là sur roche (la parade) être elle-bête, aile-bête, Verbe d'aile, VERbe-AILe ! !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on ne veut que ça pour ainsi dire là !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! dire-faire, donnert-coller, faire-êtrte, chanter-accoler, prendre-surprndre, contacter, toucher, poser, donner par la bande des deenré&es de type données, données sveltes, charges vives allouées à du Verbe des pré. On veut comme s'u-incrustezr en vrai en ce pré "post-cimetière" afin de cerner , soit comprendre les données tellesz qu'elles nous apparaissent de fait. On aime tracer en effet les bêtes = les graver, c'est
vrai, et c ependant on est les fées du verbe, on est là pour de fait toucher, à ce qui est ici sur herbe, à savoir des bêtes, vacghes à lait de contrebanxde, on est à côté. On estsur roche colmmmme acollées (on dirait) à des vaches à lait, pour mieux les toucher , les toucher en vrai, se donner, se coller aux nénés ou comment ou qu'est-ce ! On est née fée la mort une fois actée sur pré de roche aux données de bosse. On veut coller aux vaches à lait de typê V2rité des Véroités. Qui on est ? eh bien peut-être, en quelque sorte oui, en partie ... vache à lait (de rage) sacrée. On seréit ses ailes, donc un peu d'Elle, qui sait ! Verbe alloué
= Verbe cElte = Verbe des pré = verbe d'zeau, de bière, d'aélcolool d'eau, de bière de rage et autres breuvages. On est née F2é, de fait, par la balnde = le tonneau de contrebande !
traçable ! On est comme deux peaux, peaux d'ombre soulevées venant comme s'acoqyuiner à (pour le coup) la vache fauve, au massif alpestre, bois d'ombre, souterrain ! On est, fe"ée des prés suralimentée en termes de VErbe ! on est, fée Du VErbe chargée ! pleine ! colère ! grossesse ! train arrière déposé on gerbe , ici, nptre malaise ! on est pas chiche de gerber vu que voilà, on hne peut y couper ou résisqter ! la gerbe ! sur toundra alpestre ! le tracé des fées seraéiot de la gerbe ( = du verbe) comme s'il en pleuvait (ou pissait) sur herbe ! Pré , Pré des prés on t'aime ! on le chante ici même ! fée ! on est fée des prés la mort actée, entérinée, affirmée, tracée, venue (nue) avec sa faux, des deonnées pl acides (acides). On est fée de peau ! fée d'aile ! ailes-elles des fées d'aise ! On aime être fée, fée des fées post-cimetière et ça le fait, o
n l'espère ! On aime !
On veut toucher à son derrière et de fait la coller, nous coller à elle (vache des prés) commùe qui diréit des veaux sous la mère ! ailes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ailes ou veaux !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! aiules ou elles ;!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! comme veau sous elle !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! petits veaux !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!veaus des veaux !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! veaux des veaux post)-cimetière, on en pleurerait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on les aime ferme !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! veaux des veaux post-cimetière dieu comme on les aime ! on aime les animaux, les animaux de la ferme , on aime !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on adore grave !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on les aime grave !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! grave, on lesv aime ferme : ailes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ailes = elles , soeurs (?) jumelles !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on colle !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! sécotines celltes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! colle au tombeau !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on veut grave toucher au cordeau, à la hbête (svelte), aéu tonneau, aux bêtes de boyau !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! bêtes-mots sur herbe !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! bêtes comme il faut, on les aime sveltse, costaudes, massives, fortes, grosses !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! comme des tonneaux !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! bêytes grosses comme des tonneaux, sur herbe, sur paroi de roche, verbe !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! o,n les aime grave ainsi faites !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée des prés sur herbe on aime ! on aime être ailesz !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! pour elles !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! vache-fée à lait aimé !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ne plus reculer, foncer tête baissée, traverser la chaussée, le cimetière, les contrées blêmes, paszser vite (si possible vite) de l'autre côté, côté ensoleillée, et se raépprocher, comme vqui dirait, des bêtes, bêtes de trait, somme directe, vaches à lait surnuméraires et les toucher = coller, comme un fait exprès
. Coller à elle = s'attacher ! = les aimer = les toucher pôur Ëtrte ! devenir ! devenir fée ! frée d'herbev = de verbe (tu le sais ! c'st un fait vrai = Avéré ). ON aime ! on aime aller sur (vers)) elle, Bête de trait (tracée) sur Herbe VErte = PRé, pré des prés et des prairies celtes. On veut toucher toucher toucher à cette sorte de donnée en herbe, de type ... Colère ? vivacité ? chahut sur pré = vérité crachée ! On colle à Elle pour devenir fée ou fée en herbe ! tracée ! fée tracée = vache à lait (herbe) sur pré aus Fées ! On aime ! on aime toucher = cerner = dire = comprendre = bouger = coller = se coller à elle et du coup faire d'elle la Fée, ou la Fée des F2és post-cimetière = l'Aloouée des Prés, Chance Agraiore, un tracé de fée sur herbe verte et le tour est joué ! On l'aime ! on aime Elmlle , Elle -Sur -Herbe, contrée, charge d'ailes ! fée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée !!!!!!!!!!!!!! fée des herbes vertes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée des fées des herbes vertes et a utres fêtes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée sur herbe comme acidulée (l'herbe ) !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée poussée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée des fées poussées sur herbe , à jamais, à jamais poussées !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée à ailes comme s'il en pleuvait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! pluie d'ailes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! pissaladières !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! effe , elfe, F , fée des prés et
autres ailes enjouées !
6/10/2024
Qui on est ? On regarde. On cherche. On cherche à cerner. On veut grave comprendre les données :; qui on est, quyi on est pas, ce qu'on cherche à être en cette roche de paroi, etc.On est comme collées ("à la une à la deux") ensemble "toi et moi" , et de fait, on envoie ! on trace ! on envoie du bois ! on est pas avares d'envoyer du bois ensemble en paroi ! On cherche à comprendre ça veut dire quoi, ça veut dire qu'on envoie du bois ! qu'on trace ! On est deux ici de base (elle et moi) et on envoiue = on trace sur paroi les bêtes ddee charge, les
données de rage, tout un tralala d'estocade, de parade de façade. On est comme collées sur place " à la une à la deux" par une sorte de colère sarde (?). Sarde ? on est deux, on colle (on se colle l'une à l'autre)) et on mate, on voit, on mate grave. Qui est qui ici (roche dure) ? Qui veut ça la place libre, ici ? On est comme associées pour une sorte d'embardée de rage, et du cfoup voilà, on trace !
on dessoine à main levaée, la bête de poids, la bête qui charge et chargeant impacte (grave !) ; On est comme nées sur roche fées : deux FGées ? ou peut -être une ! une fée = (à nos yeux) deux ailes . Et voilà pour quoi on trace ! On est comme nées fées sur roche agraire. quand on aime il faut y aller, tracer = ne opas lambiner. On cherche grave ensembble à nous téléporter sur roche meuble, tra verser, passer de l'autre côté et nous retrouver (fissa) là-bas, sur he
rbe, dans unn pré de bpetes, parmi elles, vaches à lait et autres bisonnes cornue, velues, nues. On entre dans l'antre d'une sorte de passage sage. Paysage. On est comme accolées de base dans un pré : fée ! fée on est qui gagnons le pré, la paroi des gardes, le tracé nacré, estocade,
estocade surdimensionnée. On cherche ensemble à pour le coup nous approcher d'une sorte de "façade" des attraits, au fond cde la salle. Qui on est ? une fée de base, chargeant, chargeant grave, chargeant au boulet, visant de fait le tracé des rages, le tracé vnacré. On est fée armée tu le sais et du coup voilà, on en avance/.; On cherche eensemble à pour le coup nous rapprocher de la paroi des fonds de salle , anfractuosité de façade ça le fait, on gratte ! on cherche à (de nouveau ) passer. pourra-t§-on passer comme par chance ? q-sera-t-on assez remontées pour passer ? Qui le saiot ? On est comme soupesées ensemble en roche de rage, on est ensemble comme soupeséeées en cette roche d'!une rage d'être qui est rage d'une sorte d'être à jamais tracé ! On nguette ! on est fée ! on est la fée des bêtres, la des fées des bêtes (à jamais ?). On guette parce qu$e oui, on a envie de nous coller à la fenêtrte " , et de mater les bêtes tracer. On est fée des bêtes alanguies, ou sinon alanguies "de passage", ou sinon "de passage" transies, ou sinon transies déplacées comme des bêtes à pied o$u mise
à pîed. On est fée des fées et du coup on mate (grave !) les données de b ase ! On veut toucher à cette chose d'une sorte de donnée de base ! donnée des données ! On veut se coller, se placer, se joindre à une roche rude, se positionner, à la dure, sur pa roi gravée , s'il-vous-plaît ♥️
😀 😀
On est de'ux pour une aventure de paroio diurne. On est accolées à jamais = fée. On est nées de base sur p aroi des fées comme une entité à jamais sacrée . On veuut toucher à volonté la Chose allouée à un semblant (?) de roche. On est fée des fées ! on est fée née de base tracée ! Onn est comme touchée par une Vérité qui ser ait comme personnifiée sur roche allouée à un pré de rage. On est la fée, de fait, des passdages, sur pré, allouée à une trace. On veut compter , szoit impacter ! On est née fée quand on est passée !on est passée à deux (deux bêtes des voeux) , nous voilà née fée ! fée des bêtes ! On est cfomme née fée sur roche ornée, au passage "de véritéz". On voulait coller c'est fait ! On voulait grave en avancer eh bé voilà, on y est ! on aime ! on va vite
vers elle, cette roche née, ce tracé des fées, riage remontée et autres colères. On veut ytoucher à cette déioté dite du cimetière, et cerner les données donnéesc comme s'il en pleuvait ... derrière ! On mate, on voit. On est fée voyante ! on cherche à comprendre la paroi, le tracé de base, la rotondité des données de rage : xce qui est. On est fée ici de base pour comprendre ce qui est qui nous regarde ou semblerait nous regarder. On ne veut pas passer pour des null ardes ! on veut en imposer ! on veut compter ! on veut êtrte considérées en tant que fée des fées de base, qui savent, qui vbont, qui tracent, qui cherchent direction la base, le tracé ma gique sur paroi placide, fond de salle et musiqaue acide. On est née fée au passage dit "de vérité" (l'heure de vérité) et voilà à présent ce qui pour nous requiert de l'importance grave : on veut ... croire ! on veut / on voudrait croire en notre bonné étoile. On a grave envie de croire en notre bonne étoile ! on est nées de base fée à la retombée (la mort venue) et nous voilà sur pré (le paradis) qui cherchons de rage à comprendre ... eh bé ça ! lza base ! la paroi ! la p aroi devant soi ! finalité ! fin de cage ! on est née fée et du coup on trace ! on essaie de comprtendre lrs données ce que cd'est , ce que cd'est qui nous regarde, nous mate grave, nous mate sévère, ne cesse de nous reluquer (à jamais ?). on est fée des bêtes sur pré, parmi elles (vaches à lait divines) et on essair ensemble de se rapprocher (de fait) de la paroi ronde, des données profondes : finalités, fin de royaum
e, bout du bout des ombres, charge folle. On est née fée la mort venue, comme de bioen entendu, et nous voilà"cohorte" , bêtes monstres, charge docte, qui pousqsons ! courons ! gravissons ! volons ! voulons cvomprendre qui de quoi et quoi de qui ici se trame sous nos yeux de rage ! on avance ! on est deux pour un voyage ! on tente le diable ! on veut comprendre ! on veut tracer-coller de base les données données comme elles se présentent et les étudier ! On estc accolées (fée) car on est comme soupesée, soulevée ensembkle ("à toi à moi") p ar ... la chamade ? la paroi des rages ? le ciel est à toi qui te regarde grave. On y va ! on charge ! on fonce fissa ! on veut tpucher -comprendre la paroi des Rois , Reines de SAba. On va loin vers là-bas la trace ! on avance ! on veut comprendre alors du cfoup on en avance ! On est née de base sur un pré, le neez devant sentant les choses d'une sorte de prairie de roses. On est fée née sur pré la mort venue cul nu ! on aime être cul nu ! on vole, on volette ! on aime aller de-ci de-là " à la volette" comme autrefois on aimait êttre (toi et moi en moi la charge). On est fée de rage née sur pré lma mort advenue. On aime aller et voleter comme autrefois on aimait ça (enfant des rages des paroisq). On trace ! on court ! on veut toucher ! on veut cerner ! on veut aller ! on veut comprendre les données données et nous téléporter direct vers ces contrées de bout de roche : angfractuosité cachées et autres traits comme
oblitérés. On est née fée (de fait) au passage (de vie à trépas), nous voilà ensembleréunies en ça , fée des bêtes sages, fée des bpêtes dites "de paroi". On regatrde ! on veut toucher à cette roche des données primaires dernières. On veut coller à elle. on veut être comme elle , on dirait. nez collé à Déité de cimetière presque
! On aime ! on aime alller, voler, cerner ce qui est , coller à une chose rude comme par exemple une roche de trait. On est accol"éées et du cfoup voilà, on erst née fée ! On est passée ! on est passées (comme qui dirait) à travers la roche primaire, direction le pré aux bêtrs , et là, nous voilà, ensemble, qui voulons tracer et vite gagner la roche dernière, l'anfractuosité post-cimetière, les données données de derrière, le tracé final, chant des celtes ! On veut croire , toucher-aller, dire et composer (déjà pour soi) une sorte de romance de paroi et on verra ! on veut comme toucher à une sorte de donnée de base contenue (il semblezrait) dans une langue, ici le français. On est cul nu sur pré , on le sait, on s'en fiche grave, on aime le nu, la rage, le poil alloué à une peau de rage, on va, on vole vif, on est nue de rage velue comme bête à cru ! ONN est fée des fêtes ! fée des fêtes vives ! On est fée des données vives ! on avance sur un pré ainsi velues comme iul semblerait qu'on fût ! fée doctes post-cimetière on est nue comme des bêtes. oN est nues velues comme bêtes à cru ! On aime ! on aime les bêtes. On veut toucher à cette chose au loin, d'une sorte de paroi de charge, paroi docte, la paroi des charges,
soliloqaue ! On veut cfomprendre ! On veut grave ici ensemble, nous deux "toi et moi", comprendre grave les données données, données par la bande à la fée des ombres qu'on serait de fait à comme devoir (il semblerait) représenter comme à la parade ! On est née fée la mort venue ! cul nu ! chyarge mentale ! fond de cage ! On veut toucher à ces données de base ! On veut grave tracer, courir sans désemparer, se retyrouver sur roche ultime à devoir entrer, qui le nez qui la barbe, pour cerner, toucher, cerner-toucher les données finales ce que c'est . On ne sait en vrai, du coup on s'acvance. On veut entrer. On a méga-envie d'entrer en cette roche des données frontales finales, comprendre = toucher on le sait., On est née fée a&u
passage (de vie à trépas) et là, on ch arge ! on fonce fissa comme à la parade ! on va droit devant soi, on est comme accolées pour pousser (de rage) le bélier et fracturer la place ! Qui on est ? on est fée des fées ! On pousse de rage la cvloison finale à la faire chuter, de l'autre co^té, côté mer, embruns, plage, bruits nacrés, chants de mage. On est née fée au passage pour aller de fait fracturer plus loin (rotonde-pré) la roche terminale, finale, trait des traits. On veut toucher à cette roche des données données et du cfou!p
aller, vite, tracer, ici même au pied levé, le tracé des fées. On est femmelettes olé olé dit-on mais pas du tout ! hommelette à genoux ? pas davantage ! fée ! fée obn est, une fois passée en vrai les années, la romance gravée, le mur des amitiées actées. On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à cette déité des déoités, des données moroses ou sinon moroses grises ou sinon grises morbides ou sinon morbibes ... vives comme la clarté ? ah peut-être ! oh, il semblerait ! on aime ! on veut ! on entre ! on est colère ! on vveut être fée (de base) sur parioi des berges. on est nées fée lza mort allouée à une sorte de tracé donné sur paroi creusée. On veut dès lores en avancer fisqza et gra ve dans les connaissances "àtoi àmoi" telles qu'on les envisage sur paroi (paroi là des rois et rteines post-cimetière). on estc accolées pour former lz
a fée des données primaires. On veut toucher à cette déité post-cimetière. Qui ell est. A quoi elle reseemble. que dit-ele pour nous attiorer. comment doit-on l'approcher, lui parler, l a regarder. Doit-on déjoà lui parlerr, ou la regarder, ou plutôt pas ? On ne sait ! on est là (fée des fées) pour ça : toucher à cette déité des données frontrales (il semblerait) . là pour ça il sembklerait : qui sait ? On charge ! on veut coller ! on veut être fée en herbe, vite fait ! on veut coller à ces données post-cimetières sur pré. On est comme ailes accolé&es formant fée des pré soit des bêtes agraires (maisonnée de bêtes grosses). On est nées fée la mort venue après le cimetière cul nu velue : bête des prés. On est fée née cul nu après le cimetière des données actées, et on cherche à tracer = filer vers elle, Déité des Déités qui c'est ? eh bé ELLE ! AILE d'AILE ! Aile F2ée des fées peut-être ! collègue ? on est fée des herbes comme déité ? on est La déité nous mêmes , bête ? On est bête-fée en tant que Déité donnée à une mort actée et post-cimetière ? On ne sait ! On ne sait pas en vérité ce qu'on est ! on est fée des fêtes ! fêtes faites ! On est fée des herbes sur paroi de roche "grotesqaue". On veut toucher à cette déité du bout du monde mais voilà, e,n vrai, coimment faire ? cvomment donc tracer, coller, cerner la roche ? par des traits de rage crachés ? par des mains en veux-tu en voilà pla cées ? par des cris de vérité ? On est née fée la mort advenue (ou actée, nombrée) et nous voilà cul nu qui volons vers elle à tire d'aile, D2ité des Déités tu m'as bien vu ? tu m'as assez vu ! tu n'a s qu'à te gratter (le cuul nu ?) et chercher ! car mon nom est le nom des données rupsrestres : TERRE.Je suis Fée de TErre, fête ! Je suis Fée des Fées sur roche agraire ! qui on est ? F2e ! JE = Fée, du moment qu'on aime ! qu'on traverse ! qu'on y va fissa ! On est fée post-cimetière direct la toundra, pré en herbes, tralala animalier il sembleraiot , à nous ça nous va on aime ça. On aime aller tracer sur herbe les données de base qui nous plaisent. traits de lmumière, chants des voix surnuméraires, col de cygne et chants sardes d'entreprise. On est nue velue ! cul nu sur DUUU,; la radio du cru ! On veut comprendre grave ce qui est ! on est nées de rage sur paroi des âges , nous voilà tracée (de fait) comme à la retombée, comme des images. Qui on est ? Base ! BAise ? base et baise !
on est sage, ou pas, mais on trace ! on va devant soi chercher la romaznce (en transe) des paroisz , le tracé des chargesz, bouqyuetines sardes ou sinon sardes sales, ou sinon sales sages , ou sinon sages drôlement savantes ! bouquetines vives savent dire à cru les données du cul ! On imagine. On est comme accolées de fait sur roche nue à une sorte de par(oi des âges ! on est née fée la nuit (la mort) venue, nous voilà cul nu qui cherchons l'entrée, la sortie du pré, l'entrée de rue ! On est née sur pré pour trouver l'entrée, la sotrtie d'ici, l'entrée des clartés ! On veut toucher à Déité ! on veut en tant que fée toucher à déité ! en tant que fée on veut toucher à Déité ! On est fée de rage, on veut toucher à cette Déité des données a stra&les figurées. On veut grave traverser la roche ronde ! on veut sortir en vrai de la Rotonde aux données données, de type bnêtes de tra&it. On veut "traverser" ! on veut "passer" ! on veut aller aéu fond du pré et du coup passer, traverser, passer de l'autre côté, chercher à passer qui le nez qui l'oeil , qui le nerf qui l'ombre ! passer = traverser de base la roche terminale , le Passé ? On ne sait !on veut passer = traverser la roche dite déifiée du fait qu'en vrai elle est la belle roche des données ancrées, vives, saucvages, dures ou pas, mais du coup mâ&tures en veux-tu en voilà 🅾️.
On veut grave toucher à cette Déité des données finales : clarté.
OIn a méga-envie ensemble d'y aller ! toucher, coller, dire, allouer, tracer, prononcer qui le mot de l'alpe, qui le verbe ancré, qui la romance, qui le chant des charges. On est née fée au passage et nous voilà comme "condamnée" à devoir ... toucher ! toucher à cette déioté des monts de passage ! on est née fée de base montante, nous voilà "montée". qui on est ? fée des fées , qui voulons cerner = toucher, cette D2ité des D2ités dite "des do
nnées données comme s'il en pleuvait", vache à lait ou nénés. Déités égalerait nénés ? on ne sait ! on se dit que peut-êtte, on chezrche, qui sait, qui le sait, qui sait ce qui est ? On est fée deb baise, fée des fées. On veut ensemble voir et décider ce qu'on doit tenter ou pas ensemble dans ce pré. on est prêtesq ! On doit gagner ensemble la paroi des bêters, et voir ! voir à voir ! dire ! faire ! chercher ! coller ! chercher à coller ! cfoller grave à cette Déité des données du verbe (Celte ?) . On est née fée du fait qu'on est née (morte à jamais ?) sur pré post -cimetière ! on est née fée et on guette ! oin volette ! on y va grave devant soi fissa : RIGA ! on veut ça : tracer ensemble ici et là ce qu'on voit qui fonce cdroit ! On veut toucher à cette déité des données du verbe . Chercher = dfonner = dire = comprendre = acculer = donner = cerner grabve, ce qui est qui est qui nous regarde et ne nous lêache pas d'un centimètre ! sur paroi du Roi, REine-R5oi et ça ira ! On est née fée sur pré, la mort allouée, et nous voilà courant ici follement vers la roche xdes données finales. On veut bien sûr comprendre ensemble ce que c'est, que cette roche de basalte (base ?) qui serait en vrai sur place la roche finale, pré-marine ou comment ça ?
commentb comprendre ? On veut de fait toucher ensemble lers données frontales, verbe Hautain de faikt mais aussi des traces, des données de base genre "serpentins", mains données aposées, carrés, rectangles, ronds de jade. On est née fée sur paroi dionnée, nous voilà qui volons de biais ! qui chargeons ! filons fissa vers ça là-bas qui bnous regarde ! semble ! et nous d'y aller cfomme à l'arraché, ensemble (ailes accolées formant fée des prés). on vole, on volette ! On veut aller sur elle, roche des données allouées à une fin de pré. Qui on est ? des fées ! qui on est en vrai (la mort advenue) une fée de rage ! On devient dès que mort et enterré fée ! dès qaue mort et e nterré (quelqueszoit son sexe / genre "donné") fée ! fée d'herbe ! fée du Verbe agglutiné comme une sorte d'e pré d'herbes ! On est fée sur herbe qui voulons toucher à cette destinée, ou Déité post-cimetière dont le nom est
TRAIT ? TRait des fonds ? Trait des traits des fonds des rages ? traits des traits des fonds données des ragesz allouées à un passage (ici), de mort, à vie de grâce (vivace ?).
On veut croire ensemble (fée) à notre bhonne étoile, allouée à une sorte de parade ! On est née ! fée ! fée docte ! fée des fées doctes ! FÉE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Fée des prés , des données secondes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Fée allouée à une vérité de roche !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Fée des fées allouées peut-être à un passé donné, comme déposé, sur roche, "à la unev à la deux" au passage en vrai (de vieb à trépas) sur paroi !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on aime grave ensembkle tracer, les données profondes néandertaéiliennes, eyt pour ce faire, voilà, on y va ! on ne traîne pas ! on charge ! on va drioioit devant pour comprendre et du coup toucher, toucher à cette déité des données offertes post-cimetière. On est fée des traitsvde rage et du coup "on pense " ! On pense sévère ". on cherche à "comp-rendre". On veut toucher à cette D2ité des Roches finales, tour de table. On veut§ grave toucher à cettye D2ité dernière, sous le vent, frontale, fenêtre, trou de balle , quoi ? on chercheb ! qu'est-ce qu'on voit ? on ne saiot pas mais c'sseet derrière ! on voit ça ! derioère on voit que quelque chose en vrai se trame on dirait ! derrière la paroi finale (dans l'antre). On voit quoi ? on voit ça : la roche, en termes de ronde ! ronde souterraine ? on cherche ! on est fée des fées sur herbe (pré) qui voulons coller (surnuméraoire ?) à une vérité dite "de pierre" = éternelle (?) il sembleraéit. On est née fée bsur pré la mort actée et là on s'est portée jusqu'au fond d u pré, terre glaise, mur des joies certaines; on veut passer ! comment passr ? que voir de l'autre côté ? la vie "à la volette" des do nnées priimaires ? une sorte de pré-qualité ? de pré-herbe ? de -pré-vache à lait ? pré -don d'une
sorte de "vie comme à reculons " ? oups !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! qui sait ??????? qui le sait en vrai ?.??????? qui pour nous renseigner sans nous gruger ? On est fée sur pré , on cherche à (pour le coup) p asser la tête, à tyravers la roche des données dernières vers eh bé peut-etre oui, qui sait, la vie première ! retour de quartier ! fort de café ! on ne xsait ! on est fée des prés à la recherche d'une vérité qui seraéit "de glaise" et pas seulement sur le pâpier ! On est féev p ôst-cimetoère, on est fée des herbesz, fée sur pré a ux herbes vépaisses./ On veut de f ait ensembvle aller vers plus de vérités patentes. on est des fées sur herbe à la recherche d'une sorte de donnée comme, on dirait, accolée à une sorte deromance sucrée, sucrée v-salée comme le lait ! le lait !!!!!! le lait est le lait des herbes = du bverbeb ! on cherche ! on veut le lait ! on veut boire du lait ! on veut du petit lait pour nous alimenter et avancer ! on aéime le lait , le lait sacré, nacré, alloué à un néné ! on aime grave le la&it allouéb (en vrai) àun njéné dit "des nénés" et ça le féait ! on erst née fée surb pré "des nénés" . On xdit ici qu'on est des fées comme cernées par une sorte de muret (muraiçlle ou mur des fées) qui nous ceint de rage, nous cerne, nous entoure grave, nous encercle (vérité) et cherche à (cfomme) nous cloturer, nous astreindre. Or, nous, ce q'on aime plus
que trout, c'est cette chose ici d'une szorte de possiboilté accrue, de possibilté nue, de pouvoir (de base) voleter, monter, grimper, nous envoler sur roche au pied levé et du coup dessiner qui des bêtes de poids (genre : bouquetines, chevales et bisonns ou budflettes des roches) qsui des mots de tête. opr voilà , là, ce qu'on voit de fait (en tant que fée) , c'est que la Chose ici allouée (mot ou bête de roche) est tracé de bure ! un tracé de bure ! une sorte de tracé de bure au pied levé peut-^tre mais tout de mâeme : bure allouée à un trait jeté !). On essaie du coup de cerner de base les données ensembke "en veux-tu en voilà" mais va comprendre ici la char ade ! c'est pas simple ! ça envoie peut-^tre mais quoi ? ça envoie de base mais on sait pas quoi ! Du sel ? de l'eau ? du sucre chargé de mots ? LAIt des fées tu penses si ça le fait ! grave ! grave ça le fait ! grave de chez grave ça le fait, le l ait !le lait en vrai grave ça le fait ! On chercheb le lait (ou on chercvherait) la bmort venue ? on chercherait le lait des nues ? on cherchera&it une fois fée (actée) le lait des Déités nues ? On chercherrait en ce p^ré le lait ? on chercheraéit en vrai en ce pré le lait ? on chercherait grave en vraé
i en ce pré le lait ? on cherchezrait grave de chez grave en ce pré vle lait pas un pet chelou mais tout au contraire vrai de vrai : vrai laéit de vache et pas de contre-vache ! On regarde ! on voit ça quyi pisse du néné et vite on s'y met, on colle ! on veut coller le nez ! téter ! téter le pis alloué à un pré des rages ! pis qui pisse vite ! lait frais ! lait des laéits frais on aime téter ! on tète grave le néné (pis de bête) sur prairie des fées ! On est qui (vive) voulons téter, le lait acidulé d'une vache sondée ! On veut téter l e lait des prész ! chercher à téter et du coup absorber le liqauide nacré ! lait des laits sur prairie des filtres ! on est née fée la moert venue, afin de gagner (de fait) le pis alloué, pis de vache sacré , laiot acidulé (sucré-salé- qui (en vrai) nous sied cvomme jamais ! On adfore
tétezr ! On aime le l ait ! on aime grave le lait ! grave on aime ça le lait, des données dernièresz, des vives clartés souterraines et autres tracées de type acidulés comme iul sembvlerait quand on regarde de plus près ! On est fée des herbes, on tète le lait, on aime, on adore téter , alors voi:là on se colle aux nénés des vaches des prés, on colle le nez ! on est accolées, sur néné, à téter de près le lait "de la mère" ! On est nez à nnez qui sa&it ? on veut toucher ! coller le nez au néné sur herbe. On aime grave téter et du coup tracer, coller sur pré notre passé et tracer ! courir sans traéîner, filer grave vers le traéit final d'une sorte de par(oi des traits, des vaches à lait ! qsui on est ? qui on est en vrai ? qui en vrzéi on est ici , qui voulons toucher à cettre déité des déités massives, genre "buffle doux", "douce buffle", "buffle roux ", '""Rousse buffle(buflette", on sait ! On sait ce qui est ! on sait de base (en szoi = fée des fées) ce qui est en vr'ai . Le lait est une sorte de ... vERbe en herbe ! hé hé ! On court on volette ! on est fée des prés sur pierre de tréit. trait des fées ! on cherche ! on trace de fait les traits d'une bhête qu'on dirait surnuméraire tellement elle semble êttre bête-masse aux données pesantes (soit pesant dans la balance !). on est fée des données prégna,ntesq (sur paroi de rage) . Qiuand on pisse on voit ! on s'adapte ! On veut toucxher comme par la bande à une sorte de donnée tracée (des fées) qui nous incomberait "à la seconde", soit dès que née ! On est fée des ombres (hommes ?) nées fées du fait qu'on est mortes (morts : les hommes) et du cfoup transformées pour vite (en vrai) aller téter aux nénés des ombres. On est :
fée !!!!!!!!!!!!!!!!!
fé dees fées !!!!!!!!!!!!!!!!!!! fés des fées allouées au Verbe sucré !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fées des fées allouées à une sorte de donnée donnée de type "LAIT" on dirait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on est nées sur herbe des prés la mort passée, en tant que fée surnuméraire, nouveaiuté, prise d'&ir sur pré on dirait et ça le fait en tant que telle (tel ou telle selon le tracé) !!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on aime grave aller téter les bhête ! les teter de tête ! On zéime ! on veut téter ! Grave en vrai la mort actée on cherche à téter = traverser le pré, courir à perdre halieine, filer à l'anglaise, ne pas (surtout pas) se retourner vers le cimetière, cerner les données prochaines, se coller aux nénés "des herbes", Verbe nacré tu es le Verbe des données données (post-cimetière) . on est fée des prés prêtes à téter à même la bête le Verbe = Lait, Lzait d'Aile. On est fée des prés prête à téter le lait des herbes ou herbes données par une D2ité post-cimetière de type Vache Déifiée (vache à lait de base). On est là en tant que telle (fée) qui voulons comptendre, le rapport ce qu'il est entre d'un côté une vérité agraire de type lacté, et de l'autre une autre vér
(ioté mais ici moins drôle ! la pâtée ! la prise en entier ! colère celte ! le tracé à main levé pour nous effacer en tant que bête , est-ce vrai ? on cherche ce qui est. On veut toucher à cette sorte de donnée post-cimetière ce qu'elle est de fait qui nous regarderait nous pavaner et tracer sur herbe une voie d'accès vers la Vérité dite "des Vérités" s'il en est. On creuse ! on cxgherche ensemble à creuser la terre à la rechercvhe d'une sorte de donnée des prés, de type sqauelette quyi sé&it ? on cherche = on y croit ! on veut creuser de fait la terre meuble, à la recherche d'une sorte d'ossement géant ! verbe d'être" ! verbe erra,nt ! os-verbe ! ossement -verbe ! os des temps donnés dans une sorte de Passé des prés. On est des bpêtrs allouées à u ne
sorte de terre dite "de cimetière", mais en vrai on est des fées, fées des herbes et fées en herbe, la mort passée, on court on violete sur pré direction la bête à téter, vache à lait salutaire ! ça le fait ! c'est frais ! ça berce ! ça fait son "ffet ou son petit effet des prés. On couyrt on vole vers le néné dit "des prés salutaires" ! oui ! c'est un fait vrai = avéré ! çc'est un fait de fée ! fait des ombres portées sur herbe en rotonde ! cercle de sorcière sa&lué ! on est fée comme on est sorcière : nez ! nez des nez ! nez dans l'herbe ! nées dans l'herbe à jamaéis on diraéit ! fée des herbesc= fée du verbe comme déposé sur un tas d'herbe ! tralala ! colère ! bruits et voix sur terre de baise ! chargement de braises ! feu de foi ! on creuse sa voix sur paroi des temps , on y croit patent ! on veut (de fait) en tant que fée, tracer, sur roche, les données primaires
= téter ! tétons !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ne lambinons pus ! chargeons ! essayons de fait de charger ensemble ce qui est qaui nous rassemble : trait ! bête de traéit ! somme ! bnête de somme ! joug ou je c'est la même chose (le jeu ) . On veut (grave) traverser la Roche, aller-voler)--figurer de l'autre côtéb afin de coller (si possible) aux n ,énés de l'êttre, vache surdimensionnée on dirait mais est-ce vrai ? auroque des prés ça serait ? ça serait dès lors un aurochs des prés ? auroque posée ? vache à lait = auroque sur un pré de roche ? On est comme touchée par un néné de base sanguine et, du cfoup, on tète grave ! on ne s'en prive pas. On est fée des armes qui voulons comprendre, ensemble, le pourquoi des choses sur pré la mort actée ! on est presque passée ensemble de l'autre côtéb on dirait, le Verbe aidant, mais est-ce vrai ? qui sait en vrai ce qui est concernant le Verbe alloué à une Personne (en ta,nt que telle) sur terre ? Qui sait ce qui est et ce qui n'est pas . La bête ? n'impôrte laquelle ? la paroi ? on rehgarde devant soi la roche et on voit ce qu'on voit , soit des bêtes fortes, bêtes de poids pesant leur pesant de rage de forme ! On y va ! on est là pour ça : tracer = creuser = dire = faiore = comprendre = tâcher = plai
re = spermer = cfomplaire = crier = coller à une soerte de paroi aux herbes, genre paroi post-cimetière, paroi des parois en herbe, pré des voix. On cherche cde fait à cerner les traits d'une sorte de parade, devant dsoi, mettant en branle force bêtes toutes pesantes, bêtes belles au xsens dfe "belles bêtes" = ossues-pesantes, fortes- masse, charge frontale (mentale) de paroi des temps d'avant ! romance pariétale sous le vent, du temps des hommes-femmes savants-savantes. On est née fée de rage sur paroi et nous voilà sarde (comme qui dirait) ^ppour en vraéi téter (de grâce) le lait alloué à une Vache S arde (pour le coup). Car nous, de fait, le lait, on aime grave
! on aime grave téter ! le lait grave nous plaît , nous encjhante. On aime téter le pis de la vache, les nénées des prés, qseins de contrzbande et autres poitrine à laéit comme s'il en pleuvait ou pissait on le sait : pssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssxwsxsssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssdssdsssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssss! voilà donc le laiot comme s'il en pissait en vrai des nénés ! pssssssss ! direct alloué au nez des fées ! on est née fée pour boire du lait : psssssssssssssssssssssssss! direct gosier ! on est née fée de base pour pouvoir , boire du lait des prés : psssssssssssssssssssssssssss ! et ça le fait ! on aime téter ! on veut grave téter le néné de l'antre ! mort donnée donne son lait (de rage) des prés. quand on aime tracer (bêtes cendrées sur pierre de grotte) oon est fée de roche ! On est la Fée des données accortes ! vive les fées ! vive les données cendréess ! qu'on passe ca&rosse ! cohorte ! traits de bêtes de trait ! on monte ! on monte ensemble ici (paroi) dans la lumière de roche, on voit ce qu'on voit , à savoir ... la porte ! le passage ou tra&ppe, la paroi éventrée, le tracé, le trait d'un passage donné comme par la bande aux fées de passage ! à savoir nousz-mêmes, blêmes ! On est fée des fées qui cherchons de fait à traverser la roche, le ponton, la colle, le passé et le présent soudés, les donné&es de roche de type coulées, lave docte, sang et son.
on est née fée du fait qi'on est mort (homme). on est née fée a&près la mort en soi de l'ombre, ou comment dire cette chose d'une sorte de /.... mensonge " inhérent aux ombres ?? on est bêtes de trait, de somme, monte-coche, on veut toucher ainsi attelées ! et nous transformer dès que née en fée soit en fée de roche (la mort actée, avérée, allouée). on est fée des données de roche comme déposéees.On veut grave toucher à cette déité vdes données lacustrezs, qyui serait du Verbe (peiut-être) comme déposé sur roche agraire. On est fée née cul nu sur roche de pré, parmi x bêtes ici au débotté chargea&nnt grave que
tu chargeras ensemble sur paroi, et nous de chercher (fissa) à comme (peut-être) plus leur ressembler pour mieux "passer", être adoubées, reconnues en vrai en tant que fée des plages, des passages et autres passés. On est fée qui (en vérité) collons (ensemble : ailes) sur roche des prés afin de traverser la paroi des grottes et se retrouver, cul nu ou pas cul nu, peu importe, comme déplacée, transformée = formée, mise à pied pour insi dire sur un pré, à devoir brouter ! et nous de brouter comme si en vrai de rien n'était ! pas plus de changements que ça en szoi ! comme si on était ce qu'on était déjà avant le pâsdsage ("à la une à la deux") de la paroi. on gvoit ce qu'on voit. on entre ensem^ble toi et moi. on passe . Et une fois passées (deux femmes allouées au roc des données) nous cvoilà transformées comme à la parade, par magie, en fée du logis, fée clochette ou fée des bêtes, fée ! fée des prés, qui volette ! va et vient ! court presque à perdre haleine "dans la mort". la mort ici est cet espace dit "prairial" rempli de bêtes-charges, betes à bois ou pas mais grave imposantes sur par(oi (buffles, bufflons, mouflons, bisons, bison
nes et antilopes des chemins herbeux). On est commeensemble devenues la fée ! une fée des ombres sur roche (= pré) qui va pour ainsi dire son chemin de ronde ! ronde szur pré ! à la recherche d'une entrée, de type ... néné ? néné à téter ? qui sait ? on est née sur herbe fée, prête à devoir tracer à main levée les mots de sa rage ! rage d'être fée allouée à une sorte de prairie aux her b es .. vertes, vertes et hautes, hautes et drues comme qui dirait du Verbe de RUe. on aime ! on aime grave l'herbe ! on aime grave l'herbe à brouter ! le lait ! l'nherbe à léit : le Verbeb ! Grave en vrai on aime le Verbe et l'herbe des données lactées après-cimetière. On est fée des prés qsui voulons cernezr ce qui est en vrai concernant les données d'une vache à lait qaui nous atte"ndr&it passé le cimetière dans la mort à l'(oeuvre. Qui on est ? eh bien .... peut-^$rtre , en effet, AILE ! on serait une aile (ou deux ailes) sur pré ! ELLEs, la mort (une fois, ici) entérinée , on dirait. Mourrez, et nous ferons le nécessaire pour vous embaumer, adouber, préparer, accoler à une sorte de muret de cimetière. on est
né sur herbe fée après la colère d'une sorte d'embardée sévère en cimetyière ! là, on est comme sauvées ! on a passé le cap (dudit cimetoère) pour nous retrouver comme derrière, derrière ou devant ou hors du cimetoère aux données cendrés, i-on est nées ! on est re-nées ! on a passé ensemble le cap de la mort et là on mate grave, ce qui est qui nous regarde : l'ombre portée ! la charge mentale ! le tracé des corps ! les bonbons sucrés-salés ou seulement sucrés sont de ceux qu'on aime, tout du lo ng notre passage, sur pré aux herbes. On est pas couillonnes ! on sait ce qui est bon ! le lait ! les bonbons ! le sucré ! les nénés ambrész, la toison ! On est fée docte ! on est entrées ensemble comme en pèlerinage et à présent on trace = on dessine = on va = on conçoit = on y va de son chemin xde croix en ces contrées de base prairiale, sous un vent de fou, charge mentale. on avance. On est folles fées de base qui vgoulons creuser (ensemble) un passage pour une entrée . on est motivées ! On vgeut cfomprendre ! On est deux accolées (ailes) pour former la Fée des données de base : fée des fées pour une sorte de mise en branle d'une vérité de charge . cri dans les
cri dans les
cris dans les marais ! on entre ! on est accolées ! on est fée de rage ! on est ailes soudées pour fgormer fée dite "de passage" ; On veut comprendre = toucher = dire = composer = comprendre. Chalutier des mers profondes ! chants de roche ! cris de joie sur pré ! cohortte non en vrai d'hommes accortes mais de bhêtes grosses, bisonnée des pré, chevalières des données portées. On veut toucher à cette déité des données prégnantes. Q ui c''st qui nous regarde ? qui c''st en vrai qui pour le cfoup regarde, nous regarde, nous mate grave ? on ne sait ! on est fée qui voulons comprendre et toucher, on essaie. On cherche de près à pour le coup toucher à ce tracé de contrebande genre acidulé comme néné, lait de néné . on entre ! On veut vite toucher à cette xéité de contreband nde toute cernée ou sinon cernée consacrée ! On aime les nénés ! on aime ghrave les nénés ! gr ave" on aime les nénés de l'antre ! on aime ensrmble (fée) les nénés grave ! nénés des nénés ça nous plé^t. On aime et toucher et tét"r les nénés de l'âéme (l'antre ?) aux données de fait comme acidulées ! sucré-salé ! on est née ! on est morte-née ! on erst mort homme et dans la mort comme transformé en femme des prés = fée ! fée accorte ! fée des fées aimées des cohortes ! on trace sur roche une voie d'accès vers ici des nénés (un suffit, un néné) à pouvgoir téter. On est fée qui voulons t(éter ! le lait de la prairie ! lait des prés ! lait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! lait des laits !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! lait des laits de rage !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! laits de la prairie !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! lait praiorial de base !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! du pis !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! du psi !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! des données accortes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! beautés graves !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! charge ! charge mentales !!!!!!!!!!!!!!!! vie desz vies allouées à un lait de praéirie !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! vie des hombres portées sur roche aux prés !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on cfolle ! on cherche à (de fait) toucher-coller à cette roche aux donnéezs accortes !!!!!! on est fée sur pré comme soulevées par (on dirait) l'herbbe verte donnée, l'herbe aux données données, l'herbe verte allouée donnée comme une sorte de bonté ! on aime ! on aime aimezr l'herbe oou le verbe en herbe ! vive Déité Le Verbe ! Vive Déité le Verbe ! Verbe-Déité est aimé dxes herbesv ! vive le lait, l'herbe, la paroi de roche , l'australopithèque, les données anciennes, le tracé sur pierre comme à main levée , les roches souterrainesz, les traits, les données de b ase, le sole'il des rages, l'onctuosité des nénés ! On éime grave ici s'aventurer parmi les herb es, chercher pis que tête, le pis ! le pipi peut-etre, psi en goguette, le tracé chargé
, l'être bête, le Passé ! passé dé"posé comme une lttre. On est fée aux herbes des prés et de fait, on guette les bêtes, bêtes de trait, aller et venir sur l'herbe, se monter, brouter, s'allonger, se lécher, se frotter . On aime regardetr les bêtes sur l'herbe, les écouter, les sentir aller, peser, plomber, coller, pisser et chier. On veut cfoller à une sorte de donnée liée aux bêtes dessinées par l('homme-femme des cavernes, et pour ce faire il nous faut "parler" , dire un certain ombre de données données (ici) sur herbe et a&utres bêtes acidulées. coller = donner (on sait !). Faire = dire. Poser = donner/ Craindre = vivre/ Charger = transporter (et se transporter) /. Douter = passer. Chanter = pisser./ Poster = présenter sur roche le fruit des nénés , lait de roche ! dès lors (en effet) lait de roche ! c'est un fait ! on a traversé, on est passé, on s'est retrouvé de l'auttre c^$oté toute transformée e,n ... fée des ombres ! rage à lait ! cri de force ! passé tracé ! ça le fait ! on ose ! on force le trait ! on veut cerner ici ce qui est en termes de cohorte allouée à un muret, à un mur de rotonde , mur des fées ! on veut tracer = toucher = faire
= coller = comprendre = collaborer ensemble pour co:prendre ce qui est ici (ou pas ?) en termes de néné à lait ! on veut ici e,n,semble (fée) toucher à cette déité des déité dite des données données comme par la bande ! on est fée des fées ! on est entrées de rage ensemble pour fgormer la Fée alouée à une soryte de donnée de type prairiale : lait ? lait des laits ? vie des vies surnuméraires ! pis ? SPi ? psi ? pssssssssssssssssssssssssssssssssssss il semblerait ! on entend ce pssssssssssssssssssssssssssssssssssssxss qui serait ce pssssssssssssssssssssssssssssssss d'une vache à lait en train de pisser ! On regarde. On est née fée sur herbe moite (toute pissée) eh bé c'est pas grave, on s'y fait ! on entre ! on entre en ba,nde ! on est entrées ! on est fée des fées entrée de fait comme par( la bande en ce pré aux fées de la mort donnée (actée) comme pa r la bande (la bande aux nénés). on cherche grave en vrai à cfompre"ndre, ce qui est ici ou pas qui nous regarde (regarderait) en face, droit, comme campé, devant soi, pour (qui sait ?) l'éternité. Et voilà pour quoi on chante ! on est fée qui en vrai voulons grave chanter la chanson des prés ! charge docte = paroles fortes = traits de choix = vies d'ombre = vies des vies de porte = chalutiers sur
chalutiers sur ordre !
on est nées ! on est nées ! on est nées ! on est nées ! on est en vrai nées ! ailes au débotté ! déployées ! le passé tracé ici se déploierait pour former la fée ! la fée des ombres ! fée d'ombres ! fée des fées sur pré ! on aime son traéit , son tracé, sa forme. on veut toucher à déité dxes déités de porte ! chalutier ! chalutier sur ombre ! on vgeut toucher au chalutier, des ombres portées et autres anfractuosités liées aux ... nénés ? qui sa&it ! on cherche à trouver-déceler ce qui est qui semblerait être (de fait) une sorte de Verbe alloué à une V2rité elle-même allouée à une sorte ici de Déité liée ... aux nénés ? aux seins de Carême ? seins donnés offrent du lait ! lait celte ! On est nées fées comme à la retombée "après" le cimeztière, et nous voici comme projetées (sévère") sur ce pré aux herbes vertesq, prêtes ou rendues pr'êtes à du coup chercher qui c''st , en vrai, qui n,ous cherche , nous observe, nous veut en entier, chezrche à nous happer ! on ne sait ! on est "bêtes" ! on eest bêtes d'ombre" ! on ne s&it pas en vrai grand-chose sur grand-chose c'rst benêt ! on voudraiyt ! on aimerait beaucfoup ! on voudrait grave ensemble comprendre les données les plus profondes, ce que c'est, ce qu'en vr'ai c'est ou pas, à quoi ça ressemble , comme forme, est)-ce une sorte de ... samba ? danse folle ? transe-nouba ? tralala-parade sur paroi ? on cherche la porte ! où donc est la porte ? qui va là ? qui colle ? qui veut ça : la rage de base ? qui est là pour ça : toucher grave la paroi desx rois-reines de Saba ? On entre à pas cfomptés ensemble sur lesv doigts de pied. On fait gaffe à où on met les pieds. On est pas tranquilles tranquilles. On se dit que désormais le Passé fait foi, qui pèse sur paroi de tout son poids (acide) de bêtes de somme et autres bêtes de paroles fortes. On est accolées en tant qu'ailes de fée, et du coup on s'envole ! on vole ! on monte ! on est bête-fée pouvant monter en force ou pas mais nous envoler et du coup tracer comme au pied levé sur paroi des traits, qui , traits,
montrent la douceur (candeur) de ce qui nous plaéi^t en vrai. On est femme-fée, sachant tracerdes tréits sur roche : fruits des fées (des fées des féesz) des données vives acidulées, lait ! lait des léits ! laits doctesv ! lait de porte ! On essaie de pour le coup nous rapprocher de fait de cete entrée due bout du mondfe. Porte nacrée ! porte dorée on dirait ! le lait ! brille le lait ! brille brille Lait des laits ! On imagine ! on s'imagine téter ! téter dans la mort le l ait ! on s'imagine en vrai dans la mort téter ! qui on est ? on est la fée du pré, ailes dou
blées on renaît en force la paroi passée, tracversée, par le Verbe acté d'une sorte de passage outré ! On veut toucher à ette Déité des données dernières , qui c'est ? une sorte d'elfe ? chair à pâté ? vie ancrée ? chair des données du verbe tracé ? cri des cris sur pré aux herbes allouées ? Vache à lait collé aux herbes ? On est nées fée sur nherbe donnée, on mate, on mate grave, on reste là grave à mater (sur pré) les sarabandes et autres cavalcades surmenées ! On danse ! on est fée des fêtes ! on danse en transe ! fée des fêtes dee paroi et &utres nouba ! on danse en transe , on aime ça : et la danse et la transe. On cherche à traverser de fait la roche aux données, données de colère et autres sentiments exarcébés. Qui on est en vré&i ? AILES ! AILES ! AILES ! AILES ! AILES ! AILES ! AILES ! AILES DE PAROI ! AILES-BÊTES DE PAZROI ! AILES-BÊTES ! BÊTES D'AILES DE PAROI DE ROI / REINE DE SABA ! on cherche ! on est accolées exprès pour de fait chercher (ensemble) que tu chercher as, la raison première à tout ce tralala, le pourquoi, les données sévères, ce qui est et ce qui n''st pas, en termes dee paroles ou verbe de paroi post-cimetière. On est là pour ça : creuser ! chercher ! oser ! faire ! dire ! pisser ! compter ! tracer ! finir son tracé ici à main levé sous un ciel de traine ! chier qui sait ? on aime ! on aime chier ! onn aime aller post-cimetière à la recherc he de données données surnuméraires acidulées comme du lait ! on aime le lait ! vive le lait ! vive ce qui est du lait post-cimetière en
ces contrées ! pré ! pré d'herbes ! champs donnés ! on cherche de fait à cerner les données telles qu'elles se prése,ntent à notre nez ! qui on est ? eh bé oui des fées ! fées en herbe sur herbe de pré le cimetière une fois passé, c'st-àdire la mort actée ! ou à la mort actée, à notre mort comme entérinée ! On aime ! on vfeut toucher ici le nacré-sacré salé-sucré ! l'herbe ! le lait ! les données l;actées ! le Verbe ! le verbe)-lait ! le lait- verbe ! Verbe laid des donné&es somùaires et cependant voi:à on cherche ! on ne peut nous le reprocher ! on cre"use sévère ici le verbe cde la foi dans l'ombrte, la paroi, les traits, les données (de base sucrée), la nouba et les nénés tu penses ! vive ça ! vive les vivats ! lait de rage ! lai-t de base ! laéit tendre ! charabia ou pas le lait est là qui porte sa rage ! on y croit ! on entre grave ! on veut toucher à cette chose d'une sqorte de paroi de rage ! lait d'antre ! la&it de l'antre ! parade sa&uvage d'animaux en transe ! traits de rage sur paroi de ba se ! Vive ça : le boyau ! l
'entrée papale ? le tracé sondé ? le passage vers la place aux données données de type lacté ! On entre ! grotte fauve ! on entre à deux en cette grotte nue ! on est accolées ! on fait corps comme qui dirait ! on veut de fait rester accolées ! à la une à la deux on veut sauter, traverser la roche et passer du cdoup de l'a&utre côté afin de cerner (comprendre) les données premières de la mort à l'oeuvre : un pré, de l'herbe qui est verte et bien fournie, herbe verte bien fournie à de fait brouter sans discontinuer. on aime l
'herbe. L'herbe verte, le pré, le Passé déposé, le Verbe, Les diverses bêtes ici installées comme à l'accoutumée : betes cdes prés, des forêts, des champs alloués à un tracé. On aime aller, virevolter en tant que fée. On est fée aux herbes ! On veut coller ensemble à la paroi du temps. Toucher grave, toucher sévère. Faire ainsi ensemble corps en tant qu'ailes allouées à une sorte de parole docte, fruit de saison, corps des ombres, portion. On est papillon ! fée des ombres = cfomme un papillon ! On vole ! on monte ! on grimpe raide sur cloison ! on veut téter -gravir, toucher-lécher, faire et donner, dire et composer une sqorte de tracé à main levé sur paroi de groote : fruit de la passion, bête de roche, c abvalcade groosse, polissonne. On erst née fée sur pré du fait qu'on est passé d'un trait d'un wseul comme à l'unisson ! chose ! cause ! cloche ! coche ! lait des laits sur roche ! on est fée ! fée des traits de roche
à l'unisson, on porte la cloche ou le clocheton ! on vole !
4/10/2024
On regarde ce qui est qui se présente. On est deux ensemble qui voyons les choses qui, ici, se présentent, s'offrent, se donnent à voir. On est comme (de fait) soudées et on mate ! on voit ! on discerne ! on tente ensemble de comprendre ici et là ces choses qu'on voit qui sont des convois de bêtes de rage ! on regarde ! On voit ça : ces traces, la pampa , la rage des données rupestres, ce convoi de voix ! on voit ça ! on est comme adoubées (de fait ?) par la bande et du coup on trace ! on y va ! on file grave ! on enttre !
NOUS VOILÀ ! on est comme adoubées ensemble "à tyoi à moi" par la bande rupestre des données de base devant soi, à savoir : ça ! ce qui ici se présente en forme de paroi ! LA chqance ! on y croit ! on voulaiot ça et voilà qu'on y a droit ! on est comme vernies ensemble à la parade ! quelle chance ! On voulait c'est vrai ensemble cerner et toucher , soit comprendre et pas à moitié ce qui est qui se présente en termes de paroi, et voilà que la chose en soi se présente, s'offre là comme une "offrrande -chance" !
on est là de rage ensemble l e coeur roi, on entre, on est e,ntrées ! on veut :
toucher , cerner, cerner, toucher, et du coup en avancer dans les connaçssances , dans les connaissances concernant la Reine, la Reine et le Roi, le travail de soi sur la lande et autres faits de joie prairiale genre saturnales ! On veut toucher " à satiété" ! on veut grave arriver ensemble à comme si possible se (au mieux) situer en cette lande des données (rupestres) millénairzes ! on en veut ! On aime creuser ! On veut le mùieux e,n tyermes de donné"es de rage, on cherche à comprendre ce qui est qui se prése,nte (art) en termes de données rupestrss. Ce qui est et ce qui n'est pas,; et on en avance ! on veut ça : la Rage , la Par(oi, la Trace des Rois , Reines de Saba qui dansent comme à la parade ! On est là ensemble "toi et moiu" pour comprendre (de fait) ce qui est de base ,
gentes dames, fées des fées, rougeoiments iintenses surr place ! On s'avance ! On veut en vrai toucher à cette sorte de pelote , de tracé de fait rondelet, de grotte ronde, de colère monstre en forme de pelote : nerbvosités ! On aiùmerait en vrai ensemble, toucherà cette cbhose, d'une sorte de rotondité, qyui serait,
comme il paraît, grotte , grotte allouée à un hôte, genre Mastodonte,; mais qu'est-ce ? On ne sait ! on cherfche wsur le fait ce qui est qui est mais vas-y comprendre ! des nénés ? qui sait ? Des traits de parade et autres faits rupestres comme s'il en pleuvait ? ça se pourrait mais c''st pas dit en vrai !on cherche ! qui on est . Fées des fées peut-être = ELLLES . On est ELLES car on est AILes (dans la mort actée, délivrée). On est(comme) ailes = elles = féesc ! on volette ! on aime ! on aime sévère ! voleter-tracer. On aime grave voleter-tracer,
on aime grave voleter-tracer et voilà on trace ! on avance et on en avance ! On aime grave en avancer et en vrai on en a vance grave ! on est là ! on grave les données rupestrss "à toi à moui" sans débander en tant que fées surnuméraires deRoche Allouées (attitrée). On trace ! on y va ! on entre fissa en cette roche de paroi de grotte : waouh ! ça dépote grave ! on entre et wouah, ça le fait frontal de type paroi (ou pari"tal) , c'est ouf ! ça nous plaît des masses ! on avance : toi et moi. On ime la Paroi, on aime ça ! On veut gravir "les échelons de l'âme " cvomme qui diréit ! On veut tpoucxher /... Déoité des D2ités et autres divinités notoires. Qui on est ? On est des fées ! deux ailes allouées à une mort actée comme suppllantée par , qui sait , .... l'herbe ? le verbe ? l'herbe du verbe ? Le tracé prairial ? la de les ? la chance de ces prés ? On entree et du coup on trace, on avance, on court on vole, on est acculées ou comme acculéez ensemble à devoir tracer (par la bande des p^résq) les mots dits de rage et autres Verbe laid, comme une sorte de Parade, acidulée, sucrée , Romance cde Taille, on entre. On veut toucher à cette Déité des Déités Notoires : "qui c'est ? c'est L'plombier" ? la de les ? la trace des nénés sur place ? On ne sait ! Du lait ? qui sait ? ça se pourrait ! ça le ferait grave mais qyui le sa it en vrai ? On cherche ensemble à contourner, cet ensemble de bhêtes nacrées a llouéesz à un pré dit "de contrebande " ? on ne sait mais en vrai ça se pourrait parce qu'on est njées (en vrai) fées ! fées des ombres, et du coup il se pourrait que l'Homme , l'HOMME xdes tracés, soit commùe t"travaillé" en luipar un re"mords peut-être de tous les diables et auttres saints de rage ! On voit l'ombre sur le plat ! On creuse, on ponce, on cherche à toucher, on veut grave nous approcher ou nous rapprocher de la par(oi finale, la de les ! la paroi des fins de base ! On aime toucher ! On est passées ensemble comme à la parade età présent, on chervche à comprtendre ensemble ce qui est qui nous regarde et pas à moitié ! en vrai = en face ! elle nous mate ! elle ne nous lâche pas d'un pôil ! elle n ous reluque (grave) sans discontinuer cde base ! On la voit rageant, rageante ? , après nous constitutivement car elle nous voit ailées ! et ça l'emmerde forcément vu que voilà, elle nous vgoulait "vivant" et nous voilà "traçant" sur roche ... lkes nénés de l'âme ! oh ! on dirait un chant (cvhamp ?) qui serait là, comme par chance, alloué à une sorte de Romance (du Foyer) ! On est passées ! on est entrées ! on est femmes des prés (dans la Mort Notoire : Fame !) On a grave envie de dérouler
on a grave en vcie d'en discuter ensemble, cerner, déchiffrter, comprtendre = cerner = entoiurer = embrasser = ceindre = manger ! On est ensemblke nez à nerz (?) ou sinon nez à nez nées ! on est nées de rage ensemble sur nénés ! On tète sur pré ! On aime le lait ! la rage, le sent-bon, la trace, le moelleux de l'ame, l'enviro,nnement ruprsretre de la Rage xd'être et autres rages de salon (on aime). On est deux (ailes) de pa rade sur prairie de base. On veut :
toucher
toucxher grave
toucher ensemble
ensembkle toucher
toucher de fait les nénés de l'âme (du pré ?)
On veut ou on voudrait ensemble en vrai, touchezr les nénés de la roche imberbe et autres rocs des prés alloués au Verbe ! On est qui ? quête ? ça se pourrait ! On cherche ! on n'(arrête pas de chercher ! on cherche ici, on cherche là comme le furet car "on y va " ! on accélère ! on y va fissa ! on aime ! on est là pour ça : tracer que tu traceras des fils de soie surnuméraires et ça le fera, des fois qu'on soit comme (ma foi) des Fées , Fées des fées et ça le fait ! On est entrées en cette roche dite "des Prés" et à pré&sent on gagne la contrée finale = les confins, afin de comprendre, ce tracé, cette Chose, Enclos d'ombre, quoi c'est en vé&rité&é ? eh bien peut-être une sorte d'antichambhe à . comme il semblerait, quelque chose d'auttre de type "non-ruperstre obligatoirement" ou quelque chose d'autre ! On est cotées en tant que fées : appréciées . On est allouées à une Roche nommée. On s'approche des FIbnalités, mur de rochje, fin de grotte, fin des fins de l'Ombre. On veut touchger cettye sorte ici de Roche Allouyéecà une sorte de Finalirté accorte, ou sinon accorte sympathique, du fait (avéré) qu'elle nous attise ou attire,qu'elle nous cherche un peu , nous veut ! On est cfomme scotchées de près ! Ailesde fée ! sur roche mobile , on est près (tout près) de passer = d'y passer ? on est accolées ! On colle aux nénés prêtes à têter le lait ça le fait ! On veut TRACVERSER TRAVERSER
la ROche des prés = finalités, dxes données acides (lucides, éclairées)/ On est comme alloyuées (ensemblke) à une sorte (en soi) de vérité des bvérités notoires, à savoir ça, fcomme quoi la Roche (la p aroi = la pampa) est Roche des Rois, REines de Saba et autres Princxes / Princesses de base, qui "envoient", qui grave "envoiuent" et pas pour de fau ! La p aroi des Parois envoie et comme il faut ! Elle envoie du bois ! Elle gagne ! elle pousse le Vezrbe(ou du Verbe) haut ! elmle trace de rage ! montre quoi, montre sa rage d'être ça : l'antre , le creux de la vague, o'ouvre-boi^te ? ou pas maios voilà : on entre en cettre sorte d'antre de paroi de roche et là (le pré) on court on vole ailées , on est ailes sur pré (= ELLES) comme s'il en pleuvait (plxeurait ?) de rage ! Rage de la foi, des données maussades, des bases marquantes. On veut ou on voulait tr acer ensemble eh bé c'est fait ! on est entrées ! on est acculées = accolées, à cette bande de opa roi de rage , et on trace (à main levée, et aussi de rage, il semblerait) les ... nénés de l'âme ? qu'est-cde que c'est ? cd'est comme des nénés (seiins de contrebande) mais /... armés ! oh c''szt vrai ? ouais ! oui ! oui cf'est vrai ! On voit d'ici (de base) les nénés, se monttrerrr , et nous (ailées = fée) d'y aller, d'aller vite vers ce fait ! cette chose allouée à une sorte de ... fin de rotonde ! en creux ! seins de roche ! c''st moelleux ! onctueux ! doux-soyeux ! c'est mieux que la Roche aux données rugueuses et autres vives alacrités rocheuses ! sûr ! On veut ! On veut :
tyoucher moelleux
téter le lait le mieux
toucher les nénés des dsonnées acides
faire de son mieux la chose placide
comprendre = aller = dire = faire = donner = cerner ce qui est et du coup ou du même coup ce qui en faiot n'est pas du tout du tout mais semblkezrait en vrai être comme une sorte de ... coup donné ? on est nées fée de fait car on est nées la mort une fois actée (entérinée) . Nées Fée cde fait la mort allouée ! Quand on meurt cf'est pôur la vie ! Quand on ùmeurt on passe direzct cdes rages terrsztres, ici données , à une sorte de pré aux fées, pré des fées et auttres attributs de rage de type bêtes-mots de base, bisons-mots, carosses, chevaux, buffles-morses. On veut aller dans un boyau ! comp)rendre = toucher (à satiété) les nénés de l'âme . qu'est)-ce que c'est ? Eh bé, on dirait que ce sont des nénés comme donnés à qui en vrai aime ou aimezrait grave le lait et autres semences ! On est prêtes ensembke à y croire mais en vrai (en vérité) rien n'est fait concernant ici cette croyance, ce trait, cette chose allouée à un trait de rage, chose rude-dure mais du coup "tenable", "contenable". On veuit toucher à) cette Déité des contrées finales (des "rotondouités") et pour ce faire, à la une à la dfeux, on trace sur terre à qui mieux mieux, la ligne des fées ! La ligne allouyée à un tr acé de fée ! fée d'armes ! On s'arme ! on est fée armée ! une fée = Elles = Ailes = deux ailes = Dieu ? On ne sait mais on est comme ici cernées par une Paire d'yeux ! qui ne cessent pour le coup de nous mùater comme si en vrai on était en effet Fée, qui volions, voulions voler, voleter , en ce roc des roches "Cavity" ! On est tarnaises anglaises, ou on est anglaises par la fée et tar,naise par les faits, ou sinon quoi d'autre en, vrai ? Fée des Fées des b ases allouées à une sorte de Romance : on croit rêver ! on en avance ! on veut toucher ensembkle les ,énés notoires (FAME au Débotté ) et du coup tracer, cerner, dessiner
les faits, cdessiner l'aurochs de base,; le salé et le sucré, l'ombre sur le pré, le bison futé, la salamandre, l'oiseau aux traits, mandragores au ^poil près. On est
comme devenue Fée au pasdage de la mort actée on dirait. On est mort (homme au singulier) nous voici de fait transformé en fée, = transformée ! transformée = devenue = changée = vue ! On est Fée de base la mort advenue ou venue ! On change ! "é " devient "é /e" et c'est marre ! qui dit mieux ? on est doublée ! doublé -"é", puis comme (une fois passé) doublé - "é/e" à la retombée ! commùent "conjuguer" ? On voit que c'est pas si facile en vrai de pouvoir tracer de fait ce qui est, cette chose d'une sorte en soi de changement de roche sur paroi ! on voulait en vrai ensemble comprendrte les données de b ase, mùais quoi ? devait-on comprendre ensemble le pourquoi des artmes ? le pourquoi ou le pourquoi pa s ? On ne sait pas mais on en avance (sur paroi) bon an mal an comme à la parade ! On veut toucher grave = cerner = dessiner des bêtres , bêtes de foire, fêtes
lambdas, lambada, danse et transe, on voit ça ! ça chante ! ça envoie ! ça entre en transe devant soi ! c'est une chjance (pour soi) d'être de la bande et de pouvoir comprendre (une fois) à toi à moi les données frontales et autres gestes de paroi de f ace ! On enttre fade, on trace, on passe, on se retrouve rehaussée en tant que Fée Ailée comme un fait excprès, ça le fait ! ça le fait grave ! ça impacte ! ça envoie du bois ! ça charge ! ça cherche Romance sur PAroi des Rois et RTEines de SAba ! ça y va ! on entre ! on est acculées -accolées ... et on est Fée ! fée des Ombres Portées ou comme reportées sur roche :"qui,nc'est ? c'est l'plombier", comme dans la Romance ! charge donnée , sur mulet, dos damné, poids des prés ! "l'plombier de la CXharge" on dirait ! On est née Fée la mort venue, nue ! fée nue on est, ailée, sur le cul ! tombée ! sur un pré ! herbe^verbe au débotté ! on est née FEmelle = Ailes = Ailées = Elles = Elle = Fée des fées agraires ! fée femme ferme ! On est couillée
peut-être mais pasz à jamais car... une fois trépassé, homme, on devient Fée, femme , à jamais, donc "dé-couillé" ça le fait ! sombré ! on est trépassé = on a sombré = on a failli = on estmis plus bas que terre = enterré et c'est bien fait ! on re-naît ici (le pré, le p aradis) Fée, soit ailé comme une fée,; dfonc transi ! ficelé ! touché ! nu et comme soulagé d'être enfin devenue "celle qu'on était de faiten tant que telle en soi une vie
durant sans pouvoir lr'être en vérité". On est re^-né ! hé ! vivacicté, on
est devenu Fée à tout hjamais la mort venue ! ça pue ? ça pue du cul ? Pas sûr ! au contraire ! c''st un fait des fées, genre un délice de cl arté ! On est né Fée comme à la retombée ! ça le vfait ! c''rst un fait avéré ! On aime changer ! on aime, grave, changer de sexe ! on veut grave cha,n,ger et pour changer en vrai il faut comprendre les données de base, ce qui est en vrai à l'intérieur des êtres de la roche nue (traversée) telle qu'elle nous apparait "au cimetière" comme qui dirait. On est comme cerné de près par une sorte d'ange, MOrt-Duivinité, qui de fait nous guete grave s ans discontinuer car il nousq veut en vrai comme donné "de fond en commble", et sans sourciller, c'rst-àdire sans que nouys (nouys-mêmes) on sourcille, ou szourcill^at ! Or voil:à : nous on veut ensembkle passer ; passer d'un trait de rage la p aroi des Rois et REines de la mort en acte, et là, u ne fois qu'on est passé, que le Moi est passé ainsi dédoublé comme il sembvlerait, soit Ailé (aimé), alors ... on est une Fée ! on s'est transformé en Fée et du coup on devient ailé, fée ailée, Homme mort (enterré) devient fée ailée ! Elle = ailes !
On sait les données rupesgtres ce que c'est en vrai à présent, o,n sent ! on sent bien les choses, les données rupestrss : le sens de la roche, la cloison, rotonde des prés, charge forte desbv troupeazux de roche ou dits de roche, on est là en,trées comme allouées à ces troupeaux de roche;, on est née ! FÉE des présw ! On veut toucher à ces nénés des rages et autres Remontées ! On veut tpucher ensemble à ces nénés, ces bases rupestrzsq, alvéolaires, commerçantes, changeantes ou pas mais proches de soi, de cette sorte en soi (en nous) d'âme de base ! fée femme force la CXhose, à ... parler ? prononcer des mots de Roche ? tracer , le Verbe des p^rés? dire haut et fort ce qui lui paraît en termes de son alloué à une clarté ? On est ense'mv
ble comme "traversées" par une sorte de p arole forte ! On vgoit ça ! la roche ! la paroi ! le Roi ! la Reine de là ! le prince mordu , la princesse large ! On est nue de base (fée) allouée à une Sommité, dite "de la base (le cul ?) et des nénés " ! on dirait ! On est nées sur le cul ! on est velues, ventrues, couillues plu, mais vraiment cornues qui sait ? On
est remontées = tloutes remontées après Déité qui nous voudrait comme "trépassée" quand nous on veut duerer jusqu'à pouvoir téter en vrai les "nénés de l'âme" ! Mais ... qu'est-ce donc que les "nénés de l'âme", ducon ? Zh bien ... On cherche ! on rezgarde p ar là si des fois ... ou alors même pa r ici , on ne sait pas ! On cxherche ici et là dans la paroi, les données de rage . On y croit ! on se dit qu'un hjour, un jour ou l'autre (impossible auttement), ça le fera ! ça finira bien en vrai par rendre, rendre quelque chose, impacter, donner du blé, du f il (du fer ?) à rtetrordre ou auttre chose mais de fait ! On y cfompte ! on veut aller ! On est doctes ! on est nées doctes fortes dans la mort "de roche" , on fonce ! On veut grave toucher les choses, d'une sorte de
Donnée comme
😀😀
personnnifiée, transformée, allouée à une roche des confins ! qui c'rst ? c'st un fait ! iune sorte de donnée de roche transformée en Fait dit De Parole ! on est doctes ! on veut coller à cette roche des données, de Fin de Rpoche ! Qui on est ? eh bé puebt-^tre ... ELLE ! La donnée donnée ! le fait ! la roche des faits ! roche en herbe ! On ne sait ce qu'on est en vrai, et cependant on cherche (vgrave) à (de fait) cerner (ensemble) les données rupestres, les chevzaux sur pré et autres bêtes-mots surnunméraires alloués à une roche "imberbe ". Qui on est ? DEs fées ! des fées de l'herbe ! Fée du Verbe alloué à xde l'herbe à brouter par des V aches à lait Divinisées ! On les aime ainsi ailées comme nous mêmes ! on aime être Fée,; Fées des prés, Vaches à lait auprès. On est p^roches d'elles : on les aime ferme ! On aime aimer l:es vaches à lait nos soeurs en herbe ! vivacité sur pré des fées de Carême ! On court on volette ! On est nées fées en tant que telles sur un pré donné (carré ? ) qui est le pré des données rupestres des âges avancés ! des données vieilles ! des données alouéesz à des temps reculés ! On aime ! On veut
TOUCXHER
TOUCHER
TOUCHER
TOUCHER = cerner (dxe près) les donné&es a graires : fruits des fées données par terre, sur seuil alloué à un cimetière, ou sorte de , en soi, cimaetière des aieux aieules. On veut toucher à cdette sorte de divinité notoire ge,nre Passivité (?) , Passion aux fées (?); Passé Composé ? On cxhezrche à comprendre en vrai (en semble) les données de Charme, Données doctes, Cris de Roche, Passdages pour une ezmbardée (fumax !) au sein des données, des données des RTzages. Embardée des Embardées ! On enttre ! on est entré dxans l'antre (homme de peu de foi ?) et nous voilà "ensemble" transformé hé hé en Fée des Rois etr RTeines de Saba ! ça le fait ! c'est notre chance dit e "de paroi" . On est entré xde fa ce nu, nu comme un cu, et nous voilà "de l'autre côté" devenu ailé = ailée;, à la retombée ! on a gagné le E de l'âme ! de la meu ? de la meu de l'âme ? On a gagné un E de rage ! on est Fée ! On est en vrai devenu ailé et, de ce fait, nous voilà comme nanti d'un E de base comme consacré ici par une sorte de Divinité, Divinité des Déitésq, déité des Divinités allouées au passage "de vie à trépâs", comme !il se doit ! On aime toucher à cette sorte de p aroi, a ux données "immenses", gravess = charge, charge d'âme ! On veut ! on aime et on veut ! On é&ime toucher + ; mais aiussi tracer ! dessiner les bêtes, les bisons et les phacochères. On aime aller ailées sur pré ensembke (main dans la main) = elle ! = la fée , aux ailes a llouées à un corp^s dit sucré-salé tel qi'il en nait dans les cimetières toute la journée. On est Fée ferme ! Fée cdes Fées et autres Déités ailéesz pêut-être. On cherche ! On veut
TOUCHER = dire = faire = aller = centrer = comprendre = cerner = charger = chanter = ici même ch anter kle dire des prés, la charge mentale (frontale) d'une masse docte, d'un poids de paroi, d'un ensermble alloué à une charge crasse ! On veut
TOUCHER = TOUCHEZR LES NÉNÉs, les nénés de l'âme ! or, les nénés de l'âme, ces nénés susnommés, qu'est)-ce en vérité ? des traits ? dxessins et ombres sur roche gravée ? des traits allouées à des roches sardes ? on cherche ensemble ce qui est, ce qui semble être vrai ou semblezrait, on aime ! on aime chercher ! On VFoudrait ensemvvble de fait, comprtendre ce squi est, en termes de données de base relative au lait tel qu'on peut le tétter direzct sur néné ! sur néné de femme sarde ! est-ce vrai ? sarde ? sage ? sage femme ? fe:mme sage ? sarde ? sade ? sade et sage ? sade = le contraire de maussade. On est né Fée comme de contrebande la mort (une fois) donnée, nous voilà dès lors à vouloir chezrchezr (de fait) les nénés de l'âmec = le , lait ! Lait des o=mbres ? Lait d'homme ? lait des la its .? Lait du petit l ait ? Lait petit des laits de base soutiré ? On cherche à cerner (ensemble) ce qui est, en termes de "l ait tété ou soutiré " , on est allouée (ensemble : ailes) pôur du coup ou pour le coup voler sur roche, au sein de la grotte, soit nous envoler, et grimper, monter, aller haut en cette "cheminée" de grotte de fait allouée à une sorte de donnée de type Déité (Divinité) surnuméraire, genre ... Néné ! est-ce vrai ? Déité = lait ? Lait (des nénés de base) = D2ité ? on voudrait le croire ou pet êtte ensembvke, envisager pareille donnée afin de l'explorer, de la cerner, de chercher (en sembkle) ce qu'elle contiendrait en termùes de données de type vérités, concernant "l'au-delà" ou "l'au-delà à la p aroi". On cherche ensemble (fée) à du coup en avancer en ces donnézs de base concernant la mort, Déikté, Divinité des mots donnés, charge docte allouée à un front de roche dure, mûre. On est fée des fées , contenues-tenues, sur pré, par deux ailes trac&ées comme au pied levé par comme qui dirait un être des temps reculéx det ype né andertalien, néandertalienne. On cherche ! On veut toucxher = trouyver, et pour cela : gratter ! tracer de prsès au pied levé à main levé les mots de roche qui en vrai pourraient (aux "yeux" de la moprt) le faire ! impacter sérieux ! faire croire = a ccroire , et du coup ... faire
ainsi qi'on puisse u n temps encore durer allouées , allouées à une roche de type genrée, sexuée, ce qu'on veut de fait en termes de Je, mais comme main^-tenu (en creux) en ce feu, e,n ce pré aux données bestiales. On veut (de fait) rester , "dans ce creux de la vague", c'esst l'endroit le mieux ! On a grave envie-besoin d'aller ensemblme (à qui mieux-mieux) loin, au plus loin vers ce Feu, dees âges avancés, des temps lointains dits reculés, avancés ou reculés de fait = VRAIs ? ou sinon VRAIS, AVÉRÉS ? On est comme acculées ensrmble à du coup chercher à peut-ettre .../ toucxher ? toucxher aux nénés de ... l'arbre ? l'^$ame millénaire = l'(arbre ? On veut toucxher à une sorte de donnée de base, située, en vrai, face à la plage, face à elle , la tempête sarde, les remous, l'ombre de l'arbre sur nos genous ou commênt comp)trendre ce qui est en ces contrées chelous ? On est miséreuses
de façaade, mais voilà, on est ... sage ? sarde ? née fée du fait qu'on est passée = trépâssée ! On voulait aller (ense'mble !) charger ou voir à charger de base la paroi d'en face ! à la une à la deux ! foncer ! contrer ! taper ! cogner de fai t comme avec un bélier pour entrer, traverser de rage laz paroi des flammes ! aller de ce fait de l'autre côté comme à la p ar ade, et tyoucher ! tyoucher l'autree façade (pour le dire vite)- xde l'autre côté = fin de salle ! traversée étrange (en veux)-tu en voilà) et nous cvoilà, toutes, remontées allouées à une sorte de oparade sarde, fête desféesz, gentes dames, Fée des Féesq, on est acculées ! On veut aller,k toucher, cerner, contrer, dire et placer sur roche
x mots de bhête, = données, données certaines, sensibiljtés, charges sur pré, dominicités agraires et autres vilosités non épilées pour mieux lui plaire (à cette déité des déités des plaines et autres prés d'herbe). On veut :
toucher ! Toucher vif = à vif ! On veut :
dire et aller, faire et cerner, comprendre et allouer, faire-dire = comprendre-cerner, de fait, les données données par UN "CIMETIère de données" . quand on naît c'est pour la vie ! on est bêtes des prés allouées à une sqorte de Passé commùe Distingué ! Qui donc voudra cerner en v rai ce passé, ma intenant que démontré ? on ne sait ! on veut touchezr -aller, soit passer filer(, cerner = pisser, de rage, le pipi de l'^âme ! le pipi de l'âme" ? allons bon !!!!!!!!!! q'est-ce ? qu'est-ce donc que le pipi de l'âme ? une sommité ? un trait ? une sorte de dessin sur roche ? un pipi de V ache ? ah, ça se pourrait ... mais en vrai peut-êztrte pas , pas de vache ; de paroi ? pip
i sarde de pa roi ? de la pisse chaude sur pâroi des rois ? pipi szage ? pipi d' art ? on entre ! on entre dans l'antre ! On veut toucher à cette sommité tracée = dessinée su-r
roche, dont le nom de fait est V2RIOT2 des V2ERJIT2S , en vrai. On esqt nées fées comme à la r etombée une fois mla mort allouée à une vie passée. On est femmes des prés, charge d'âme olé olé on dirait mais ce n'est pas vrai ! on est pas olé olé ! on est nées femmes (femmes = fame) la mort allouée car on est nées fées, c'est un fait ! homme mort = femme née ! l'homme (et consorts) va (vont) dans le pré chercher à s'enterrer, à jamais , et ainssi trouver où pouvoir donnezr (un endroit idoine) ce qui est en lui, ici (mort) , qui puissee "donner" , "donner de la fée" si tant est, et tant est ! car , fée = fe=mme = faille = anfractuosité "des nénés " (?) ou alors quoi d'autre qui pôurrait nous aider, à (pour le coup) aller = tracverser ? On cherche à cerner grave les données ! On veut toucher à cette déité Notoire Illustre Renommée, dont le petit nom est Vé&rité, Vérité Déité est son nom complet, et nous de cherchezr, e,n tant qye fée (homme mort-né transformé en fée) , à cezrner, toucher, toucher-cerner comme p ar lna bande du Verbe Alloué à une Romma,ce, cette sort e de Donnée Donnée ou Donnée des Données . FAME? FAME DES PRÉS? FAME FAME = FAME SARDE ? On ne sait en vrai ce qui est, mais on est qui chervchons grave ! voulons cvomprtenxdre ! cfomprendre = toucxher mais toucher quoi sinon ... des nénés, c'est ça ? les nénéds de l'âme ? de l'arbre à vérités ? On est née fée au passage (de vie à trépas) et là, une fois née, en ce pré de l'au-delà (pour ainsi dire), on y va ! on ne traîne pas ! on ne lambine p as ! on doit, toucher ou alors : arriver à toucher , l;es nénés de l'âme ! de cetye sorte de Donnée
de Fable , de Donnée tracée, de do n,née crasse ou de donnée donné comme par la ba,nde et ça le fait ou ça le ferait ! On est comme cernées eznwemble par , en vrai,
une sorte de Donnée ... "Ineff able" ? Une sorte de donnée des rg ages ? On est femmes de p aroi céleste. On veut ensemble en tant que telles, comprendre les dponnées de base, et de ce fait nous projeter, aller, filer, nous pousser comme par la bande, à chzercher à comprendre le Passé ce que c'est en termesq d'offraznde à Déité La Mort : pis-aller ? oh, ça se pourrait ! ça wsee pourrait que le Passé donné (sur pré) soit ce pis-a&ller / trompe-cvouillon qui en vrai le fezrait (un Temps) aux yeux de la Mort, mais voilà, on ne sait pas vraimentce qu'il en est de ce p assé représenté, déposé, posé sur roche (bêtes-mots des omb res) , ce que c'est et pas, ce que c'est et ce que c'est pas. On veut toucher de fait les données rupestres, en vrai = concret !On ne veut plus transiger ! On veut tracer ! cerner ! pisser-chier de rage sur paroi des âmes ! pissouil:ler = dessiner de près on dirait ! comme en vrai ! On est Fée des fées allouées à une sorte de parade sage (sale ? sarde ? ) qui nous pla^t ! On avance ! On est fée des fées sur pré , qui vo nt chercher pitance, mots -des -fées, charges folles, conséquences et causes comme dépliées. On veut toucher à cette Déité du bout du m=onde. On est des cfées ensemble consacrées, du fait des nén&és qu'on cherche à toucxhezr et à téter, et donc voilà, on est adoubées ! on est reconnues comme fées des fées qui chervhent à téter ! on est repérées = reconnues =
adoubéeezx =cernées = touchées ! On veut toucher à notre tour les nénés de l'antre ! On veut loin allezr pour de fait toucher , toucher les nénés, l'herbe haute, soit ce pré aux données de ronde, ces données de fronde, cette sorte de pilosité comme allouée à une sorte de donnée ronde ! sein lacté ? sein des seins lactésv ? sein = saint ? On est née fée sur roche tracée par des holmes-femmes (femmes-hiommes) des temp)s ancfiens et n ous voilà dès lors consacréee ou comme consacrées par un Saint (des ?) qui npus regarde de la tête aux pieds et nous absoutv d'un tra&it ! on est né fée ! on est née fée ! on est nées fée ! on est nées fées ! On est commùe supllantées on dirait = transformées en entier, et du coup, d'un côté mort et enterré (l'homme tracé) et d e l'autre "envolée", fée
des fées femme, ferme, chant de gloire, seinn donné à déité ! qui le sait ? sein donné ? sein donné à une déité ????? on serait ... sein donné ????? on chzerche ! On a méga envie ensemble de trouver, dans ce co,nvoi de bêtes-mots , c e qui est en vrai, qui serait "mot" de roche", mots de trop (?)", mots d"homme" ? Quand on cherche on va, on file, on y v a, on trace ! On est fée de r age ! tralala sur paroi on danse ! on impacte ! on envoie ! on est là pour ça : monter notre charge de bras, pattes, sabots doctes, sabots beaux dondaines et autres museaux ou groin de Reine, Roi, Chants de Saba ("ça ira !") . on veut toucher à cette déité des déités surnuméraiores?;;; on veut grave toucher à cette déoté dxes déités surnuméraires de fin de contrée (ou de pré) . on est femmes fées, qui voulons ensembvle cerner les données données du verbe tel qe consacré par les fées des Herbes.
on est des fées données sur pré, on aime cerner, aller, toucher, coller, passer,; donner aux bêtes c;es denrées, fai re ses emplettes
dans un pré donné. On v eut coller à cette sorte de paroi aux herbes = pré = par adis des fées et autres créatures allouées à un pré, fée-bêtesz, fée des fées devenues bêtrsc agraraires = mots doctes. On veut aller (de fait) au plus progfpond, des grotte de l'ombre, chercher, fouiller, fureter, trouver, découvrir le trait de roche pouvant signaler le passage en force (de vie à trépas) sans se (nous) tromper. On y va ! On est femme de paroi = fée = ailée, car homme mort (et enterré) a donné ! a de lui donné ! a doknné de lui, et nous voilà comme znfin (?) consacré par.../ des nénés ? sein de sa&inte saleté ? sa&inte sarde salée ? sucrée ? salée et sucréez ? On aime les nénés , la roche sereine, le tracé tracé, l'ombre sur plaine, l'enveloppe humaine nous sied à moitié mais commùent faire qua,nd on nait d'un trait homme ou bêzte ? On cherche ! On a envie grave de toucher ensembvle à une s ommité qui serait (en vrai) Sommité des ommités sur herbe : le Verbe ? la paroi des r a ges ? VBerbe-Poids ? Verbe de choix ? On colle ! on vitupère ! on crache grave ! on ne cesse de cracher de rage !on veut souiller ! grave souiller ! on veut szurtout tsouiller la roche aucxx bêtes , par des chants de ferme, chants agraires, chants des prés, chants des champs donnés, chants des données comme
allouéees à une sorte de monts de clarté ! On regarde et ce qi'on voit nous intrigue asseez" on dirait. qui on est ? ELLE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!i!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ailes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! effe !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! elfe !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! F !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on est fée des fées ! 🅾️ on veut toucher à Déité Nacrée Sucrée ! LAIT 8 LAIT 8 LAIT 8 LE LAIT ! LAIT = Lait des LAITS ! on veut sucer, téter, boire le lait ! adonnéesz ! adonnées au lait sucré salé des nénées tracés sur roche cendrée ! On aimerait allzer a u plus profond téter ! on voudrait grave aller au plus profond téter ! on veut toucher tracer, donner-filer, cxerner-coller, dire-manger, faire a insi ensembvle (fée ailée) qu'on ait (de fait) de quoi coimprendre ces données (lactées) dernièresz, seins de rage, seins des seins, DEUX SEINS donés forment la donnée (ici ) dses données ! on est cernées ! rond e saluée ! on est comme cernéees en tant que fée p
âr des données de type mhurets, murs / murets des prés ! On est circonscrotes ! chine ! vie vive ! on v eut toucher à cette sorte de roto,dité
des données fginales ! fins des ombres et murs de rage comme soulevés, de face, devant soi (fée on est) qui cherchons en vrai à du coup toucher à ce muret des fin s de pré ! qui on est ? une fée ailée (passée) qui chezrche à toucher (ici : la vie ? la vie outrée ?) les nénés des ombres (hommes ?) comme soupesés ! On est néeqs (dans la mort) fée, prête à téter le néné (les nénés) de l'Ëtre alloué à une sorte de "cimetière des données en herbe" ! On est nées Fées , opn cherche à téter, à téter le lait, du Verbe, du Tracé, xdes données genrées sur roche des prés. On est nées en tant que voilà, une fée : sur toundra, sur prairie sauvage, sur pré de paroi, savane savannah, on eswt entrées ensemble "à toi à moi" comme par la bancde, et nous voilà Roi-Reine de Sa&ba là, sur roche nue, n ue comme
elle, fée nue du cul, cul nu, nue fée des prés cul nu prête à téter au néné de l'être ! ETRE sa&ligaud ? etre (fin) des données de rocxhe. On est ensemble comme soulagée (de fait) de pouvoir téter (enfin) au néné ! on voulait ! on le cvouléit ! on voulait grave ensemble téter eh b é on y est ! on peut téter ! on peut grave enfin téter l a roche des prés,Sein des dknnées, Sein des saints de base (saintes Vérités). On est née fée de rage enfin touchée ! touchée ... pzar une odeur de sa&inteté ? odeur ou moiteur ou peut-etrte senteur ou fumet ? On est nées fées de base prêtes à tétezr, de rage, le néné de l'âme = des données (dons des fées ? des ombresc portées ? des enfilades de mots allouées à une sorte de parade droite, animale, tracée ou gravée par des hommes et des femùes , hommes-femmes ou femmes-hommes, dxesw temps reculész ?) . On est né enfin fée xdes fées sur place (pré = parade = paradis) prête à être celle (ici) qui trouve (grave : ouf !) à téter en vrai le sein de l'apprêt ! de l'ambre ! du nombre alloué à une clarté ! Sein d'homme ? sein xdes seins tracés ?. Sein surnuméraire comme consacré ? sein docte ? sein acté en tant que sein dit "des do nnées", femmes doctes : = données. On est née fée des données fortes, sur roche, tracésc = trempées, et on saute ! on vole on volete ! on aime sauter = voleter sur roche ! wse montrer ainsi, légèrees fées, quand la bête rosse (sur pâroi) pèse de tout son poidfs afin xde faire accroire à la Mort que voi;là, le p assé fait foi ! le PASSÉ FAIT FOi cfomme une bêtre de paroi ! le passé f ait (ferait) foi tu p ârles, Charles ! sauf que voilà , la mort croit ! la mort gobe ça ! croit en ça, d'une sortte de passé-p arade, chant de choix ! sarabande ! Bêtes-mots en veux tu en voilà pour faire accroire à une vie pulsant, son etre de Roi , de reine mère, chant de voix
multiples soulevé ! Mort conne ! On est nées fées et on voit la chose ! On est comme nées sur pré Fée et du coup on sait co:mpter ! On est fée née sur pré, on sait compter les nombresv ! On
veut être fée des fées sachant compter le nombtre allou&é à une Somme ! sommité des prés ! charge d'ombres ! On est né&es ! on est (da,ns lza mort) néesz, nées fées des fé&es, il n'empêche : on est ! on est en tant que telle (bêtes) nées fées, et du coup on sa&it pa'rler, passer; donner, pisser, cerner, co:prendre, rechercher, szituer, coller, pousser, dire et poindre ! on a&ime ! on est fée des fées sachant pisser dans l'herbe et même caguer sans dépl$aire . On aime caguer et pisser, se vider, se soulager, faire ! dire et faire = faire et dire = donner ! donner vif de soi ou de son soi agraire sur herbe (merde, pisse, sang larvé, colère d'emprise, chine). On veut toucher à cette sorte en soi de Déité des Déité d'emprise qui serait (en vrai) Déité sur piste, chant total, charge grise, pôint de sang. on veut dire etaller, charger-p ôusser, emplir et décoller la cha rge allouée à une sommité afin de la porter, de l'emporter, de la manger qui sait. on est nées fées des fées grises, vives, non-soumises, tracées ...;.;;;............................................../...................................../.........../...........................féé des fées non-soumise ! grise ! grise et non-soumise ! grise et du cpup non -soumise ! fée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée des fées !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fées actives !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! non-soumises !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! le problèm-e c'est que dans "non-soumises" cfomme à chaque fois on entend "soumises" , ça fait suer !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! à chaque fois on dirait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! à chaque fois le non (la négation) contient le oui (l'affirmation) !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ça fait chier !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ça fait grave suer !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! car dans non-soumise on entend soumises !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! un tracé des fées ! une sorte de main-mises qui fiat grave chier et même suer ! on est née fée tu penses, pour tracer en vrai des dires de vérité concernant l'emprise de la mort à l'oeuvre , on veut toucxher ! on a méga envie ensempble de comprendre un certtain nombre de données de rage, donées fortes, folles qui sait, en tout cas cernées ou cdomme cernées (ici) de rage par la bande, à main levée, sur roche '"tendre" s'il en est, roche de paroi de grotte, roche d'antre. On colle ! il fait szuper chaud. on est dans une grotte pour ensemble (d'un seul trait) cerner-comprendre ce qui est qui va, de fait, cfomme à se donner,"à toi à moi", pour une sorte d'embardée (de base) dans la mort, danns le royaume (dirait)-on) de (qui sait ?) la mort en roche, ou de la mort sur roche. o, n cherche znse"mble, soudées (ailes), à comprendre +++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ ce qui est qui se présente : zqu'est-ce que c'est ? eh bien, peut-etre, une sorte de parade, parade nuptiale si tant est, une sorte de parade sarde ou comment ? sarde ou s age ? parade savante ? on eqst fée de base sur paroi de rage. On est née fée sur place, la mort venue. On pue du cul ! On est fée des prés et on pue du cul ! On est des fées de contrebande et on pue du cul. On est fée de rage et de contrebande et on pue du cul exprès, pour vous "emmerder" ! On a méga envie en tant que fée de vous emmerder (ennuyer) de fait ! On veut touxcher à cette Déité "du trou du cul" ! des nénésw ? des nénés lactés ? du trou du cul ??? des données allouées à une sorte de passage fin , genre "trou du cul" et on s'enfonce ! on fonce ! Trou du cxul de base comme consacré, permettant
passage, vers Déiité, passage nacré, sacré, ancré, vezrs une Déité Chelou ou, sinon chelou ... placide ? grise ? vive ? cendré ? verte ? donnée comme une sorte de denrée
serait donnée ? On est nées fée sur place (mort / (oyaume de la mort) et on cherche à ciomp^rendre", les do nnées, le Temps , le Passage vers un firmament de type Grâce ! On est p)roche on dirait de comptendre ensemble (ailes) un certain nombre de données de base, genre : mots de bêtesq, prières, chants de p^ré,
dons de soi sur base maniaque, genre "litanies"; on est vive fée de base rugueuse. On est fée des fées sur roche acide. on veut ou on voudrait toucxhezr (ici) aux nénés, aux herbes dorés, aux bêtes cendrées allouées à une sorte de vie de passé, ou vie du p âssé, remise, dfonnée, posée, sur paroi des prés; On veut toucher à cette sorte de donnée ou disons l'approcher. on est fée grise ! grise fée cdes fées !grise non-souymise m ais dans no-soumise on entend soumise et ça fait chier ! on ne veut pas ùêtre soumises ! on veut l'insoumision de l'être féerique en soi, de type charge folle (affolée
) sur roche tantrique ! le tantra ! la Chose-Colle ! colle des prés ! mot-colle ! colle docte ! cxharge rude sur paroi aux mots (ici) des Rois /reines Sa&rdes ! On y va ! On charge grave ! on veut comprendre large les données de Rome, l'enfilade animalkière, la pa r ade des bisons et autres bêtes ou bêtes de fêyte. Qui est qui en termes de savcoir natif ? quoi est là devant soi, en termes dee donnée placide active. Qui veut quoi ? en termes de vie allouée à une sorte de Passé passé. ON est née vie , on mùeurt fée, on entre dans le pré, on charge, on touche aux nénés, on est re-nées fées pour téter les nhénés xd'une sorte d'entité placide , vive mais posée, nénés ! des nénés ! plein (remplis) de lait on dirait sucré ! ou sucré-salé genre ... bonbon thaï ? ou qauoi ou qu'est-ce. On aime ! on tète ! on aime téter ! on adore téter les nénés de" l'antre de la mort à l'oeuvre au coeur de la roche dernière (terminale : muret).On cherche à comprtendre ensemble ce qui est qui pourréit en vrai nous en ap^rendre
un max concernant la mort m:ais ce n''st pzs donné d"emblé, cça tord, ça mord, ça fronce, ça corrompt, ça fait mal aux entournures, c'est frontal-fatal astral peut-^tre mais voilà, on aime ça ! aller loin en ça , cette roche dite "finale" ou "terminlale" ou même "ultime" ou même "dernière". On aime gravir la f alaise : grimper docte ! cerner ! grimper-cerner la roche. On est faits fée ! fait fée ! on est né fée dans l a mort actée ! On est homme ici (côté cimetière) , fée là-bas (après " le cimetière). changement de genre , de façade,de tourments, de paroles dites ou pas mais comme areticulées déjà en soio. On aime traverser la roche et filer, essayer de se lover en elle pour enfin s'y plaire (co:mplaire) et pouvoir comprendre (on le dirait) ce qui est en ces contrées en termes de "morbidité " (?) ou de "mortalité" (?) ou de quoi d'autre ? Qui on est ? bête-mot de poids (pèse -tête ?) ou, au cfontraire, fée légère , tracée , dépotée ? On est fée de tête ? tête bêche ? on est bête féee ? fée de bête ? fée-bête ? bête-fée ? chant des fées sur herbe et on traîne, on prend le temps du coup de s'y plaire , ou tout le contraire ? on file vif vers une destinée de rage comme ici promise pâr ... eh bien ... la Voix, la des Voix quiPArle à qyui de droit dès que mort s'ensyuit sur pré aux parades. On entre ! on
est ! on est nées ! fées ! on est né ! fée ! on est née ! fée des fées ! fée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée des fées !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! fée des fées surnuméraires !!!!!!!!!!!!!!!! chants doctes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! cris de joie !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! swentiments profonds sur roche aux voix !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on colle ! on veut grave toucher à cette déité des déités telle qu'anoncée sur pré par (on dirait) les bêtes mass, bêtes-^poids de rage.O n est nées fées du fait qu'on est néesz (dans la mort-charité). On est née fée du fait que voilà, on est (dans la mort-charité) née ! quand on mùeurt (homme ou femme) on nait
(femme = fée) . On meurt ici (ici- b
as) homme, pour renaitre là-b as (au-delà de base) femme = fame = femme-fée. une fée contient deux ailes pour voler en charitéb ! bUne fée est fée forcément ailmée ! On aime ! On est fée des fées ! On veut toucher à cette vérité des données données par une sorte de Beauté De Baise ! Qui on est ? Bête des prés ! qui on est encore ? fée ! Qui on est pas (pas du tout) ? Cette sorte de PAssé, Passé des données ou aux données acerbesz déplacées. Quand on passe la paroi de roche, on nait à la mort sûre souveraine : pic ! tralala ! la chance = le chant ! chante ton touurment et la cxhance (du coup) te sourira (momentanément = jusqu'à la prochaine fois !). qUand on chante on trace, on avance, on file, on voit, on cerne, on visite la paeroi, on entre dans la danse, on entre en tr&nse, on est collabée (collabée pour ainsi dire), on y
croit! on croit en l'au-delà de l'âme des pârois du Genre. Qui va là ? la Chance ! cherche pas ! on avance ! On crie notre jhoie. On est fée de contrebande, falbala, chants de grâce, vent de face, porcentage à la revente. On veut comme en soi toucher le Roi, La Reine Faste", PRINCE des Envois , Princesse diacre. On entre ! entrons dans la bande ! faisons corps de base : fée ! fée = corps centré ! On est entré en tant qu'on est (qau'on était) homme des prés (des prés antérieurs au pré des parois) , nous voilà changée en (comme qui dirait) fée Folle ! folle Fée dxes Ombres (szur pré postérieur). Qui
l'e$ut cru de rage ? qui , en vrai, au préalable, l'eût bien cru de rage sans forcer ? bé .... pas grand-monde il semblerait ! car on est fée des fées quand la mort venue on a traversé les données chelou d'une sorte de tracé de roche. on monte. On veut grave aller-monter sur roche, grimpezr, aller haut pour regaereder ensemble ("toi et moi") les données finales, de type vérité des vérités. On est accolées ! collées cernées ! on est accolées-cernées ! collées-accolées-cernées! on est accolées-cernées-collées-soudées ! soudées-accolées-cernés - collées ! on est comme soudées méga-accolées = fée ! fée = soudées ! ou impliqe qi'on est (en vrai) soudées = collées ! collées par la moitié pour ainsi dire ! séparées-collées = deux moitiées = deux ailes à monttrer, à déployer pour pouvoir voler = s'envoler "hors cimetière". On est nées vfées la mort venue, cx'est chou ! c 'est chou-bisou d'être née fée la mort actée ! chou genou ! chou caillou ! chou de chez chou ! on aime ! grave on aéime
quand c'est chou , quand c'est pas chelou mais chou ! grave chou ! chou du bisou ! grave cghou quand c'est pas chelou
: on aime ! fé on aime ! on aime être fée ! fée on adore ! on adotrerez être fée ! on ailme on adore grave être fée ! fée doux douce ! fée douce des fées non-chelous ! On veut toucher doux ! on veut toucxher à Déité des Fées, méis doux ! doux de chez doux, car on est fées des données données non-chelous comme qui dirait, mais douces de près (pré ?).
12/9/2024
On est nées de base sur paroi. On cherche à co:prendre, ce qui est et ce qui n'est pas. On envoie du bois ! On est celtes, fraîches natives, on cccherche. On est qui pour le coup cherchons, ensemble, à trouver (ici et là) de quoi comprendre. On est nées d'une sorte de rage dite "de paroi". Onn avance, on y va gaiement , on trace, on veut comptrendre. On est deux pour la parade cette fois. ON est nées deux (à deux) pour une sorte d'entrée en fanfare ! on veut y croire ! on
veut en vrai toucher la pierre froide ! On est comme allouées ensemble ("à toi à moi") à une sorte de "parade de paroi", genre cavalcade, ; on est deux pour ça : de rage, traverser la place, soit le pré, l'endroit des fées et autres eêtres de la rage et des données sauvages, genre : buffles déplacés, bisonnes des fées et autres bouqaietins tenaces
. On est bêtes de poids sur la place et on avance au pas. On y va ! On aime aller ! On a (grave) envie de cerner, un certain nombre de données de base , relatives ici à une sorte de ... mebnace ? On voit ! on creuse ! on essaie de pour le coup cerner ensemble les données qui sse présente
"nt. On est qui ? des bêtes de foire ? on ne sait pas. ON veut comprendre ce qu'on voit de là, de notre place, si tant est qu'on puisse ensemble se pencher et voir de près (ic-ci ou là) les données tangibles, de type "roche rude,", , "anfractuosiité des fées", "gentes dames au débotté comme soulevées",. On essaie de cerner les données données, gentes dames et fées des fées si tant est. On entre ! On veut toucher ensemble à cette sarabande ! On est accolées ! On veut de fait essayer de toucher accolées à cette sarabande de données comme télépoertées. On regarde et ce qu'on voit ne laisse pas de nous surprendre ! On voit ça : la bande, la paroi, la paroi des Rois, Reines de contrebande. On est deux pour ici en vrai tenter de comprendre un tant soit peu un certain nombre de donnéeds données ensemble par la ba,nde , c'est un fait. On cherche à deux l'entrée : où elle est ? elle est par là située , à nous de trouver. on est comme touchées (en vrai) par les fées , et du coup : o,n trace ! on y va vif ! on veut ensemble traverser la roche des données de base et autres vférités ancrées (nacrées) . Qui on est ? des enfants sages ! Filles allouées à) une sorte de parade, sur roche ornée, fille allouées à une sorte de parade, vive et enjouée, sur roche ornée. On cherche ensemble ici ou là, l'entrée, où elle est, et on espère pour de vrai, à u,n moment ou à un autre, arriver à trouver (peut-être ?) la chose et du coup passer, traverser la roche "àla une à la deudx" sans anicroches. On est deux serrées accolées.On a méga-envie de traverser ensemble sans p)einer de base. On veut toucher à cette "
déité des déités". On est blindées ! armées ! tenaces ! motivées ! on va y arriver ! On est comme accolées de base ensemble pour tracer et du coup cerner, ici, quelques données . On est pour ainsi dire "nées de rage", on est cernées, on veut toucher à cette (sorte de) "Romance des prés" et du coup nous infiltrer, comme à la parade, toucher les nénés, coller à la bande, ne pl;us rien lâcher de préférence. On est nées pour ^etre F2es , de base ! On est n"ées de rage, ensemble, accolées, pour être (un jour : dans la mort) fée ! on le sait ! on creuse ! on veut toucher à cette sorte de
DOnnée Allouéeé
à une sorte de ... denrée ? on dirait ! vivres de passage ? On est comme ensemble touchées par , en vrai, une bête allouée à une rage d'être (ici, sur pré) bête des fées ! Qui on est ? Sage ! le sage ! la sage ! sage femme des denrées ! quand on veut on trace , pas vrai ? on va , on avance. On est comme soudées ensembkle. On est accolées parce qu'on est nées.
On est nées.
On est accolées.
On veut cerner-toucher les données de base.
On est comme cernées-touchées de rage.
On veut toucher ensemble, dire et aller, comprendre les données, toucher-cerner ce qui est = aller.
On est nées sur place : pré, de rage, survoltées.
On cherche à comprendre les données données.
On est comme deux soeurs données, allouées cernées.
On veut (de fait) cerner des données qui puissent grave nous inspirer et nous faire comprendre ce qui est ici qui nous regharde. On regarde ! on voit des données . Données vives allouées à une sorte de romance, romance sucrée. Qu'est-ce que c'est ? du petit lait ? Qui saiot ! on avanvce ! on est comme ensemble cernées, de base sur pré , par une sorte de paroi "de circonstance". On veut comprendre ensemble ce qu'il en est. Ce qu'il est ici, ce que c'est que cette chose, d'une sorte de "rotonde des fées". On va à sa rencontre. On court on vole (fée ) /; On est cvomme accolées pour en vrai marcher, courir
et- coller jusqu'au muret qui semble nous interpeller on dirait. On mate ! on voit ce qui est, qui est,
une sorte de paassage, trou denté, sorte de trait ou de trait de rage par où peut-etre ensemble s'immiszcer. On veut toucher à cette sorte de muret des dits pazssages alloués cernés. On veut ensemble (qui sait ?) passer , mais pour le coup, sans y laisser des plumes (à jamaios) mais comme qui diraot, "par contrebande", " à la une à la deux on passe", on veut passer sans y passer "en vrai" : JEU ! JEU des RAGES ! JEU DU FEU, DES DONNÉES DE BASE, DU SANG FIELLEUX ! On veut comprendre ensemsmble ce qui est (en ce muret) "de la chance et des données données par contrebande", et pour ça, on mate ! on va loin, en cette chose-là ! mur des voix ! On mate = on entre ! On passe un doigt, l'oeil de base,
une langue, un bras de soi. On cherche à comme quyi dirait entrter ici comme par mégarde, mais ... sans y passer de préférence ! droit ! On est ensemble, comme "touchées par la grâce"... d'une sorte de paroi des bases !
On voit ce qu'on voitb : la place, pré des bases, bêtes reines et autres fées des bois. On est cfomme touchées ensemble sur paroi ! on veut toucher à une sorte ici de panse ou qau'est-ce que c'est que ça qui semble aller vers nous nous approcher de face à vcouloir nous toucher comme on pourrait de fait peut-être le pensezr ensemble.
On est nées fées, on regarde, on veut toucher la pabnse ? A qui elle est ? On est cernées. On voit quoi ,la base. Les données fgenrées. On est comme cernées ensemble sur pré ! on veut toucher à cette déité des déités commev représentée sur paroi aux fées . On est bêtes des prés.
On voit ce qu'on voit. Et ce qu'on voit (là-bas) est comme dressé sur ses pattes (arrière) d'ours de paroi. On regarde large. On voit un convoi, une sorte de parade. b^retes de la foi dans l'être des Voix. on est comme touchées ensemble par ici la bête des données du Roi, de la REine -Bête, des "Vives & Genrées" de type Belettes, Furets, Betes au museau carré et autres gentes Celtes. On est nées ici sur pré la vie passée. on est nées sur un pré auxd fées, et du coup on cherche ! On veut toucher. on a super envie ensemble de toucher à cette Déité dont on n'arrête pas d'entendre parler; Qui c'est ? On ne sait ! on ne sait pas ! On cherche ici et là , on cherche accolées (soudées) ici et là mais voilà ! on est comme deux bêtes (cendrées) accolées qui, là, sur pré, voient ce qu'elles voient, essaioent de fait, de cerner de près, les données en herbe, données fines et vertes (comme du verbe) ... mais ... On est nées Betes de paroi. On veut touchetv à une Déité "des cimetière". On est qui ? des bêtes de terre, bêtenues et vertes. on est velues ! On est nues velues ! On est en colère ! On a vécu et nous voilà "venues", sur pré des fées, quasi en colère après les données !
On espère un jour pouvoir coller à une vérité des vérités !
On est comme nées sur terre accolées et alors voilà on veut toucher, coller, dire et "donner du vrai" à celles et ceux qui de fait espèrent ! On est nées en vrai sur terre pour cerner des choses ensemble sans trainer et du coup comprendre ce qui est, en matière de vérité, qui on est qui on veut être, ce que c'est que cette chose qui en vrai semble nous regarder, alors même que nous, on s'en fiche pas mal puisque, nous, ce qu'on recherche pour le coup c'est de nous promener sur la jetée et de cerner ensemble ce squi est, en cette cjhose d'une sorte de paroi auxd fées. On veut comprendre ensemble les données données, le bois les denrées la chance la paroi, le fil de l'âme, l'envie allouée à une parade, on est néees de base sur paroi des voix, on veut cerner et du cfoup toucher et aller et faire ainsi que la paroi de base soit (pour nous) une sorte de façade qui en vrai pourrraiot nous en apprendre tant et plus en face et nous donner de quoi nous retourner, mais comme sans nous retourner si tant est ! on est nées de rage fées, on voulait en avancer ensemble et filer, tracer, cerner les données telles qu'elle se présenteznt de fait et du coup poster, dire et manger, coller aux données
, dire ce qui est qui nous regarde en vrai comme si dxe fait on étaiot des fées du fait que voil:à on vit "ensemble" commpe qui dirait, accolées, collées, soudées, montées (qui sait ?) sur base traçante, on veut ou on voulait toucher à cette déité des déité et nous voilà ensembkle qui cherchons de fait à pour le coup nous approcher le plus possible et sans traîner d'une sorte de fée , ou fée des fées, qui serait LA F2E des données de genre ! vitalité ! clatrté ! sarabande ! on est nées fées sur pré et on s'envole comme à jamaios en ces contrées, on court on vole, on veut toucher à cette sorte de clarté personnifiée, tracée et gravée, on veut en abvancer et comme qui dirait creuser ensemble une sorte de tranchée,
à prendre,
tranchée des prés à pouvoir prendre endsemble = emprunter de fait sans y penser ... ce searit gténial !
on veut coller à cette chose d'une sorte de donnée aux fées, vive clarté s'il en est et chance sur pré comme une sorte de romance donnée tracée gravée de base par des fées ou par des bêtes-fées, ou par des bêtes-fées toutes allouées à pareille envolée. On cherche à ensemble du coup cerner de près ce qui est qui nous regarde, on a méga envie de comprendre un certain ombre de données de base, données fines ,gravées, soulevées, prises, nacrées. on veut toucher à cette déioté des déiotés des bords de vase, bords de l'aeau de l'ange. On a méga envie ensemble de toucher à cette déité "des fées", à cette déité dite "des fées", à pareille fée des données lacutstres, la toucher de rage, ensemble sans trainer, sans chercher pour autant à cerner de rage les données données, mais en faisant ainsi que des choses de près puyissent opérer et aller et vite comme s'incurver ou s'incruster de
base sur un pré, une sorte de pré, sur paroi des fées, pré -paeroi, et ainsi aller, toucher, pouvoir penser, dire et coller. On y va ! On veut toucher à cette chose d'une sorte en soi de paroi des parois et du coup passer, traverser comme à l'arraché, cette sorte de donnée de base, qui elle est, ce que c'rst, ce qu'elle pense, quoi c'est qui nous regarde et sembleraoit voiuloir de fait nous toucher cfolmme si en vrai on était en transe et comme si en vrai on voulait ensemble aller loin en cette chose d'une sorte de parade aux fées qui pour le coup nous donnezrtait de quoi comprendre situer cerner la romance telle qu'elle se présente ou se présenterait à nos gouvernes (déplacées) sur roche. On voudraiot ensembkle aller loin en cette chose d'une voix de base, et du cfoup cerner ce qui est en vrai, cette chose des données de
rage.
On veut ou on voulait comprendre ensemble les données de base et voilà qiu'à présent, on cherche (ici) : la rage et les tourmentsz, les bois de contrezbande et autres vies de saint sur place, on est nées ! on est comme nées, ensemble, d'une sorte de face ou fa çade "aux tourments , cris de joie et romance, chance et cran" ! o,n est sagezs ! on veut toucher ! on veut alller ! on a méga envie ensemble si possible de cerner toutes les données qui se présent'nt et semblent vouloir noud parkler. On est là commpe cernées par une sorte de paroi des Rois et REines DE SAba. On a méga encvie ensemble de comprendre et de toucher à cette sorte de donnée de base, et du coup aler , filer, faire aionsi que des données de rage puissent (en vrai) être déroulées comme par lma bande et (de prédsférence) sans trainer. On est allouées à une sorte en szoi de rage à être des fées dites "de contrebande", ça le fait ! et du coup on en avan ce ! On file grave ! On est nées de rage fée car ... on est née ! et voilà, c'est fait ! "fait" pour "fée" c'est un fait ! car, on pourrait avancer, que , fée = fait ! un fait = une fée ! ou peut-etre des ? faits = fées ? On regarde ! On voit des choses qui se opassent
. On voit ça, en face : la paroi des ROis , cdes données de base. On veut toucher à cette sorte de passage aux fées de contrebande, aux fées (allouées) des données (de base) déroulées. On est ainsi faites pour cerner de près ces sortes de données aux fées. On veut toucher toucher toucher toucher à cette chose ensemble , ce tracé aux fées,
cette sorte de parade (détailléesz) qui sembleraient comme voiuloir nous parler par la bande. Qui c'est ? o,n ne sait , mais voilà, on veut comprendre (grave) ce qui est, et du coup en avancer dans les recherches "de façade" et autres types de recherches "sardes". On est accolées parvce qu'on veut toucher , dxe face, à une denrée, et du coup, essayer de comprendre les données de base ce qu'elles sqont en termes de passion, de religion, de crzoyance fondée ou non mùais commea,ncrées dans le langage, la langue telle q'elle se parle, les opinoions, les dictons et aiutres sermons prononcés de face. On est nées de base fée parce que voi;à, on est nées ! Naitre = naitre fée dès lors qu'on entre ici dans l'antre de la mort à l'oeuvre ! On est accolées, on danse ! on file ! on aime ! on veut toucher à cette déité des donnéessuprêmes . On est nées des féesn , on aime être fée, charger, toucher,n coller à une vérité post-cimetière ! On est qui ? on est bête de parade verte ! bête verte dite "de parade". On veut aimer, toucher, creuser, comprendre et cerner un grand nombre de données de contrebande si jamaios. On est bêtes ici de parade parce que voilà, on est nées ! on est re-nées ! on renait de base dès que mort "à tout jamais" tu parles ! On ,ne sait quoi penser, en vrai, mais la mort est là pour (il semblerait) nous indsdiquer par où passer, pas plus sorcier que ça en vrai ! On entre ! on veut comprendre = toucgher, et pour cela, à la une à la deux, la romance ! chant des voix de s rages ! on est cfomme accolées ense'mble à une sorte de don,néec, et nous voilàcensemble qui cherchons parade, vents des fées, commandes, vitalité et vie ancrée sur place commê centrée. on est des fées deecontrebande ! fée des fées de contrebande, ça le fait ! On veut grave aller, rentrer, coller, pisser et charger sur place (pré) comme par la ba,nde (ici cernée) des données de base (acidulées) qui nous font face. On est nées fées parce qu'on est née ! On voulait le co:prendre, on dirait que c'est fait. On, dirait que les choses peu à peu commencent à (raisonnablement ?) s'organiser, ce serait pas mal mais en vrai c'esst pas gagné on dirait, on a encvore du c hemincomme s'il s'en traçait au fur et à mesure devant nous au pied levé. On est née fée du fait qu'on est née, c'est un fait ! On voit ici de près le pré, la place, les données allouéex à un espavce situé , en vrai, entre des murailles (muret) d'enceinte allouée à une sorte ici de cimetière dit "des fées et bêtes de paroi". On aime ! on voit ça ! on comme,nce à compfendre (qui sait ?) un certain nombre de données de choix, qui pourraient bpeut-etre nous donner
de quoi en vrai nous situer,sur ce pré aus fées, en tant que ROI, REINE, PRINCE DES F2ES, PRINCESSE (IMBERBE) GENRées, on aime ! coeur d'acier ! on aime follement les fées, les bêtess allouées à une sorte de par(oi "de cimetière" et
autres bêtes-mots venus de derrioère ... de derière les fagot§s ! On aime grave cerner et toucher, aller et donner, faire et tomber, creuser les mots d'une sorte de plage allouée de fait aux do nnées "étranges" s'il en est. On cherche grave ! On veut toucher à cette denrée ! donnée des prés ! On veut comme toucher en vrai à une sorte de donnée de base, genrée si tant est mais est-ce ? est-ce en vrai ce qui est, qui ici se tresse ou semble ou semblerait vouloir peut-être se tresser , se tressezr ou se dresser de rage, comme par bravade ? On regarde !
On est deux pour être fée de base. on entre !
On veut comprendre les données de base.
On veut grave comprendre ces données de base.
Ce qsue c'sest en vrai, ce que c'rest que cette chance, ce tracé, cette sorte de donnée posée (déposée) sur plkace : pré ! pré aux fées, aux bêtes de masse, aux abords nacrés, aux fortifications dorés qui sembleraient vouloir comme nous éclairer pour qu'en vrai on puisse ensemble et nous repérer et en avancer, sans traîner, sans cctrop galérer jusqu'aux dits "confins" dees données Suprêmes telles que rencontrées ici même. On aime ! On a méga envie de tracer sur herbe des données , nos propres données si tant est ! On a méga envie ensemble de toucxher à une sorte de donnée dite "de cimetière" , si on pouvait ! Car on aime ! grave on aime ! on adore en vraéi c e genre de problème donné ! On aime grave aller dans un pré à) la recherche de données dorés ou disons nacrés, ou bien allouées à une sorte de clarté donnée. On
aime cerner , regarfder, comprendre , toucher, faire et contrefaire. On a méga-envie d'aller ensembkle à la rechezrche de données de base "non contrariées" s'il en est ! On se regarde ! On veut toucher à cette déité de contrebande, la toucher en vrai pour mieux comprendre ce qu''lle est en vrai, de quoi elle est faiote et en quoi elle nous intéresse, p arce qjue c'est vrai que pour le cou!p la mort nous interesse, et même beéucoup ! elle nous interesse beaucoup parce qu'on l'aime ? parce que quoi ? parce qu'on y croit , voilà ! on croit (de base) à la mort dite "du cimetière". on croit grave en elle, alors même que voilà : la mort est telle que , ma foi, la rage est là qui se fiche d'elle (de paroi, rage de paroi). On vitupère ! on
aboie ! on meugle ! on crie à tout va comme des bêtes, bêtes de
poids et ça le fera, du mome,nt qu'on est bête ! On entree ! on court sur pattes. On cveut grave cerner ensemble, la paroi, le sang, la chance, les données acerbes, le vent qui devant nous semble venir excprèds vers nous, souffler sur nous à nous faire chuter c'est fou ! qui il est ? quel est donc ce vent des contrées folles ? est)--il vent des fous ? vent docte ? vent des vives contrées aux fées ? On cherche ... à genouyx, on dirait (parce qu'on est tombées !). On prie ? on est comme touchées par une sorte ici, de
"donnée des données follasses" ! Vent fou, tu sais ! On est "entre" ! On est dans l'antre"entre" , c'est un fait. On est accolées et du coup ... on chante ! on ne s'arrête plus , du coup, de cha,nter, pousser la romance ! On est de s fées de La rage allouée à pareiullle romance ! On a méga-envie de comprendre ensemble, si jamùais, les données de base à quoi elles ressemblent et ce que en vrai on pôurrait ensemble en tirer comme conséquences. Qui on est ? on est ... eh bé
Nées ! On est Nées de rage un matin de Chance. On voulait xsavooir, on est bien tombées : naéissance ! carrotage ! on a creusé avec notrenez ou comment ou qu'est-ce la Terre. On est nées de fait sur Terre CElte. On voulait, eh bé c'est fait ! fée du cimetière, voilà les données.;: On aime ! On veut grave toucher à cette sorte de donnée des données allouées à une sorte de misère elle-même allouée à une (sorte de) paroi " a ux fées et autres êttres des contrées alertes vertes". on aime aimer ! on veut toucher ! onveut grave tracer des tréits, et comprendre, charger, filer, cerner grave les denrées, offrandes, vivres divers comme déposés au pied de l'Ebre. On veut :
TOUCHER, FAIRE, DIRE, COMPRENDRE, SALUER, ALLER, COMMA?NDER UNE LIMONADE AU CAF2 DU PRÉ, COLMATER LES FUITES DE ROCHE, CENTRER LES DONN2ES DONN2ES ET AUTRES DONN2ES GENR2ES, ALLOUER À PAREILLE ROCHE UNE SORTE DE DIRE DE F2E? QUI SERAIT DU DIRE ALLOU2
(LUI_MËME° À UNE SORTE DE PAROLE DOCTE, GENRE : POLISSONNE ? o,nn ne sait ! on veut toucher pzarce qu'on est nées et parce qu'on est fée ! on est ailée ! elle = ailes, vie = vit; chant = champs, cri = christ, et éutres mots à l'arraché du temps (situé). On est comme nées de base Fée , parce que voilàà, on le voulait ! on voulait cerner , on voulait grave traverser la roche et passer de l'autre côté ! On voulait de rage aller comme à la traversée d'une sorte de donnée aux fées : roche salutaire, roc cendré, rocher aux bêtres dorées, vie des vies allouées à une infinité de données en herbe . qii on est ? Des fées "de cimetière" ... pêut-êttre. On cherche. On est femmes situées sur pré en tant q<u'on est des fées de type "celte" , sitiuées, centrées, accolées, cernées ou comme cernées ici même en cette conttrée toute entourée d'une sorte de murette aux données "certaines, assurées, fixées, comme soupesées,". On est des fées celtes ! celtes fées aux données certainesz, comme affichées-avérées sur roche du pré ! On veut toucher à cette Sommité des Sommuité = Déité des Déités. Qui c'est ? cf'est ELLLE, l'AILE des données, des données sur pré. L'aile est la donnée suprême ! AILE = ELLE = DIRES DES ENTRÉES ; ON l'aime ! on veut grave ensemble soudées comprendre ici même les données genrées de la mort à l'oeuvre
on dirait ! grave ! gravissime en vrai ! grave de chez grave ! on a cerné : la mort est genrée ! oh on dirait ! on dirait en vrai que la mort est genrée cfomme une romance, l'arlequinade; la parade ou cavalc ade aux bhetes de masse , genre bête de trait, poidsde danse, cris comme affolés. On est grave tracée à main levée dans une sorte de transe ou danse déployée parmi les bêtes (mots) des prés et autres champs de blé. On est nées en transe : cris de joie (de vie) à tous les étages ... de la foi dans le langage (acidulé) d'une langue parlée de type romance chantée ! une fée est née ! ONN veut toucher à cette sorte de donnée de base ! qui on est ? eh bien peut-êttre en effet une "fée de roman,ce" ! une chance ! une sorte de fée en transe ! la romance allouée à u ne chance (d'être née fée ? qui sait ?). On veut toucher à cette sorte de donnée aux fées et du coup tracer, creuser, faire ainsi le trajet d'une sorte de balade endiablée ! On entre . Qui on est ? une fée de la cxhan,ce ! qui sait ? on e'st entrées. On veut comme (ensemble) cerner-
toucher cet attirail arqué, ce corset, cette sorte d'aaprêt de type corset aux ailes soudées. On est nées fées car on est nées ! on est bêtes monstres ou bêtes-poids ou même bêtes-mots de la foi en cette chose, d'une mort genrée, mort-fée et le tour est joué, les JEux sont faits , fées des voix sucrés, allouées à (comme qui dirait) ... une roche ? un rocher tracé ? ROC et ARMÉE ? On est comme accolées (de base ) toi et moi à une (sorte de) donnéedes bois, sous-bois, forêts d'oc/. on aime ça, les bois aux bêtes à bois ! On veut toucher ! toucher l'ëtre aux vives clartés
ou "des vives clartés". On est accolées et nous voilà qui, en vrai, voulons cerner ensemble des données (de base rupestres) comme si en fait on était sur pied pour cerner, coller, coller à cette sorte (pour le coup) de bête de par(oi . On dirait : le buffle ! la jument ! le bison des bois ! l'antilope des amùants / amantes ! On voit ça : charge ! charge et foi dans l'âme. On compense par la chance. On ve'ut comprendre. On est deux qui (pour le coup et parce que voilà) voulons grave cerner cette joie, roma,nce, ce tracé, tralala, cette sorte de parade, ce trajet, cette donnée de base, joie des fées, une sortte (en soi) de promenade sur chemin orné par des sortes de bêtes de poids comme s'il en pissait ! On est là : on voit. Qu'est-ce qu'on voit ? cette charge ! charge de
paroi sur place ! On y va de son envie de dire ce que c'est que ça, cette charge, pour nous (fée des fois) qui voulons comprendre . On charge de base ! on charge ensemble ! On charge de base ensemble, après la charge sur paroi des Bêtes des ROix ! on en avance. On a grave envie de comprendre alors voilà, du coup, on ne lambine pas, on file on trace grave, on y va royal, royale, on veut dire et faire cette chose , d'uje sorte en soi de parade , à hue et à dia, comme dans la Romance dite "des données de vie et autre mort genrée". Qui on
est ? des fées , ici, en vie , de contrebande si jamais. On est fée de rage , pouvant dire et faire ensemble (en même temps)
parade notoire, cavalcade, parade de genre. On est comme cernées ensemble par en vrai une sorte de barricade ! un drôle de trait ! de muret ! une sorte d'enciente allouée à un cimetière ou au cimet§ière dit (ici) des données suprêmes. On est nées fées dès lors qu'on est nées (dans la mort sur pré, mort genrée saluée, mort des données ou aux données secondes, LA mort Vérité) . O0n ve'ut toucher -à cette chose, d'une sorte de denrée des fées. Frai ! Charge ! colle ! pamoîson ! cohorte ! vie docte ! on est nées sur pré d'une sorte de contrée dont le nom m'échappe ici mais qiui est contrée aux données doctes. On
est nées sur pré comme à l'arraché, on est nées de fait sur pré par les pieds ou sinon par les pieds par l'épaule ou sinon comment ? tête-bélier ? au vrai desz données ? tête allouée à uene sorte de percée en force ? la cohorte ? les données de rage et autres bêtes-mots de base, comme
tracés ? on est nées fées : au passage (de vie allouée à une terre meuble, à trépâs lié à une sorte de pré aux herbes à brouter). On est dès loàrs devenues fée du fait q'on est passées comme à l'arraché à trvavers lpa p)aroi, entre ça (vie de base) et ça (mort genrée) . c'est un fait ! çarecommence ! on charge ! on y va ! on a besoin ensemble d'y aller sans plus traîner que ça ! on a besoin de consqacrer son temps ou un peu de son temps à cette szorte de Romance (ici) à comprendre. On est fées nées, tu penses ! On est fées sur pré qui cherchons Romance : ça le fait ! on entre ! on s'avance ! on avance un pied : chant des bois et sousz-bois comme en transe ! On est là pour ça : cerner et toucher, passer (comme par chance) à travers le muret, la paroi des Voix, mùuraille ou paroi allouée aux Voix ditesx "de la chance et du trépas". On entre . On est entre ça et ça = deux parois
(un ventre ?). On veut grave cerner = toucher, à cette sorte de paroi de genre ! On est quoi ? panse ? Une panse en transe ? qui est quoi du coup en vrai : romance ? chant des bois ? parade nuptiale et tra&lala ? NAISSANCE ? On veut croire ensemble (toi et moi) ennotre bonne étoile de
Java ! On est là en transe enwemble pour comprtendre des fois ce sque c'est que ça, la transe, la par ade, cavalcade gr avée comme à main levée par l'êttre des fées, homme-femme des temps reculés, qui cherchait pitance, vérité, appui, connaissance, vie dans la duré. On est entrées ensemble un peu chahutées mais on est entrées et, à présent, on cherche à comprendre, ce pré (paradis aux fées)c e qu'il est en vrai, cette sorte de prairie "nacrée" , à qui elle est ou quoi ou qu'est-ce en vérité et qui nous
intéersesswe . On est nées fée deès que mort et enterré. On est né fée, dès que mort et enterré. On est né (homme) fée (femme) dès que mort et enterré, car on meurt en tant qu'homme des prés, pour nâiotre femme à tout j amais la paroi passée ! on meurt homme dit du pré, mais du pré tracé, comme dessiné ou gravé à main levée par un ancêtre ou une ancêtre des cavernes. On est nées ! on est passées ! on est fées nées du fait qu'on est p)assées. On voulaiot être fée eh bé c'est fait , on est ! on naît ! on naît fée du moment qu'on naît, ici -même, dans la mort à l'oeuvre = genrée ! Car voilà, ce qui est qui est, on dirait : la mort est (qui sait ?) genrée à jamaios (après le cimetière) . On estensemble comme soudées en tant que fée parce qu'on est des ailes, ellesxc =ailes; deux ail:les soudéees, accolées,, centréezs, qui voulons (en vrai) nbous envoler vite fait, à tire-d'aile, vers de nouvelles contrées post-cimetière on dirait et à jamais ! on est des ailes de fée rupestre. on est fée des fées rupestre ailées. On est fée ailée du fait qu'on est fée dès la mort actée ! c'est un fait ! On est dezux fés ou une fée / deuix ailes. On est deux ailes pour une fée on xdirait, post-cimetière = vie derrière, mort devant en tant que pré à visiter ou sinon comment : pré aux herbes folles à brouter sans arrêt ? On vole ! on s'est envolées sur roche ! on est hautes ! hot et hautes ! on est hautes de principe actives ! On est hautes sur roche allouée à une sorte de principe (inné) lié de fait à une sorte de désir comme ici ancré en notre volonté de fée des prés. On entre ! on veut toucher à
cette D2ité" des contrebandes elles -mêmes allouéesz à une sorte de parade (nuptiale ?) animale de façade. cris de joie à tous les étages, ma foi, ça envoie ! ça ne traîne pas ! ça fonce ! ça y va ! c'est u ne sorte de paroi de rage, ainsi passée ! On est nées de base sur roche allouée à une sorte de passé comme déposé en tant que
vivres (offrandes) consacré (e)s. On est ensemble "de la Romance" , du fait qu'on est entrées et qu'on regarde ensemble, ce qui est qui nous entoure , de fait, en ce pré des données actives. ON est femmes-fées à la retombée ! On veut cfoller à une déité de vie et ne pas succomber aux envies néfastes de la mort genrée comme elle se présente. On est fées pro-actives du fait que (en vrai) on est passées ! on a passé la roche initiale (par chance) et nous voilà dressée (comê dressée) sur patte, en ce pré, à vouloir comprendre (svp) les données de base ce que c'est, à quoi ça ressemble on dirait , ou disons : à quoi on peut ou on pourraiot s'attendte, en termes de ... fin ? finition ? finitude ? On cherche. On est doctes, en vrai. On n'arrêtre pas de chercher, d'eesayer ensemble de comprtendre si possible loin ce qui est qui se présente , pour nous, dans la mort, qyui est la mort-ombrte, mort aux ombres, mort -hommes, mort des hommes, mort-aulne, mort des aulnes. On est fée faite fête ! On veut toucher ensemble (à toi à
moi) à cette sorte de Romance de Paroi : CAvalcade Rare, Rave Anale, Charge sale, conséquence d'une entrée salace, vive insalubrité de façade et autres saletés mal négociées. Ou bien ... autre chose ? une sorte de vie aux envies tracées comme par la bande d'une sorte d'enfance sucrée ? On voit les nénés ! le lait ! cette chance comme présentée, ou représentée (de face) par une sorte de donnée donnée, vive donnée de par la bande et ça le fait en v rai. On entre ! on est FEmme-fée à la retombée, alors m-eme que jusque là on étiet un homme, nous voilà tracé , du coup tracée = dessinée , gravée, par une sorte de piolet ou de piquet qui est pic de rage à la dérobée ! On entre ! On est comme cernées eznsemble par la bande
toute acidulée d'une szorte de contre-danse, contrze-bande ou contre-da,nse toute enjouée qui est danse sur pré, chant olé olé et pas de côté ! On veut comprendre ensemble si j,amais un grand nombre de données de base, les jauger, les soupeser, les faire nôttees si possible à jamais afin de durer ou de pouvoir durer (ensemble : ailes) dans le temps sacré d'une sorte de Passion des Fées. On est entrées et du coup nous cvoilà adoubées ! On est cfomme cernées de près par une sorte de tracé aux données "étanches"
♥️😀
on est nées !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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de base, comme si en vrai on était des fées au passage ! On est nées accolées ! soudées ! frontales ! vives et centrées comme par la bande dès qu'entrées en cette danse (sarabande) aux données genrées. On est fée de base rare, collées, soudées, on est entrées dè!s lors qu'on est nées (de rage) dans la mort genrée telle qu'elle se présente avec ses nénés (on dirait) ! On veut comprendre alors du coup et forcément on creuse grave (loin) au sein des connaissances (du langage dit "articulé") en espérant monts et merveilles et autres
"données de cimetière" pouvant nous indiqauer (en termes clairs) ce qu'il en est ou pas de la "mort sur parroi
", ou "mort de paroi" , ou "mort dans l'au delà de la paroi", ou "mort de l'au delà", ou "mort /au-delà" . On est accolées et on cherche du coup à comme nous envoler en vrai e,n grotte à jaémais si jamais ! On veut VOLER, VOLER GRAVE, VOLER, VOLER TOUJOURS ET TOUJOURS GRAVE, VOLER À JAMAIS en ce pré aux anges, pré des fées et des données ensemble ou ensemble liées par des faits de type "contredanses ". On veut toucher à cette vérité des données "morda,ntes". qui on est ? on est FÉE de type Accolées. On est fée de base, comme cinturées ! On est femmes au débotté la mort allouée à une sorte de Romance Triste, CHant duu Cygne, vive saleté. On veut toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher toucher
toucher toucher toucher toucher toucher tyoucher toucher toucher toucher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucxher toucher toucxher topyuchetv toucher toucher toucxgherty
toutchert à cette vé&rité des vérités acides ou sinon acide acidulée, de type "néné" (on dirait). et cze "néné" est le néné de l'être alloué à la mort deonnée (genrée) située, en ce pré aux fées (on dirait) . On imagione ! On est là (on dirait) pour durer. On veut toucher à cette vérité placide de type "durée", qui sait ? on s'active ! on y va fissa ! on est arrivée, tout là
-b as (fin du pré) , avec en nous (fée) l'idée de traverser, une nouvelle (dernière ?) fois la roche-ceinture . On voit ça . On est venues à petits pas, on voit. On est proche de la paroi , l'u;time parois, aux données dites "de base et d'effroi". On veut comprendre sarde. Comprendre le xarde. On veut grave comprendre le sarde . On vreut toiucher à l'ultime paroi aux données sardes ou dites "sardes". Que sont ces données ? que sont donc ces données "sardes" ? On regarde ensemble, à travers la roche finale, ce qui est qui semble ou sembleréit vouloir (ici) noud parler, nous faire signe, nous i,terpeler, nous dire une sorte (qui sait ?) de vérité, qui wserait une clé pour en vrai enttrer à l'intérieur de cette sorte d'enceinte vootive. On regarde. On est là (nous deux = fée) pour regarder. on voit un muret. une sorte de palissade, de muret d'enciente, forteresse. On rtegarde ce mureet.
On cherche une e,ntrée, un passage . On est mort et enterré on le sait, et ici (en ce pré) du coup transformé, xdans la mort transfoprmé en fée on le sait, on naît fée ( transformé en fée) la mort actée, et là, en tant que fée (deux fe'mmes formant xde fait, les deux ailes allouées soudées) on se rapproche d'une sorte à nouvrzau de muret, qui est muret de fin de pré. on mate ! On veut cerner-toucher c'esst à dire comp^rendre (à jamais) l'antre , tel que montré (présenté) en ce pré des base, des données latentesx. On est né fée
la mort actée, nous voici amennée (dès lors en tant que fée = femmes) vers ce trait, de fin de pré, anfractuosité de façade, traiot tracé a-à main levée pour une entrée de face, traversée de rage, immixtion au débotté sans plus tarder et pasdsage (donné ) de l'autre côté, côté néné (on dirait) . Qui sait ce qui est ? qui connait le Verbe ? qui connait les données données telles que verbalisées sur herbe ? On cherche à c erner mais ce n'est pas sisimple ! il faut grave tracer, passer, coller, dire et affronter le Verbe en ses données (de Verbe Nacré). On se doit dx'y aller comme à l'arraché sans trainer si on veiut tracer, tracer-graver ce Verbe ici comme alloué à une sorte de pré "de réserve". On est nées (de rage) Fée sur herbe (verbe) allouée à une sorte de contrée "'rêvée" , mais est-ce ? est-ce en vrai la contrée du r^ve que cette contrée ? le sait-on een vrai ? savons-nous des choses ? savons-nous de fait ce qu'il en est, de la
parole, des données du verbe ancré, des mots de la rage à dire les faits et les
méfaits d'une sorte de pré comme ceinturé ? On ne sait ! on ne sait ce qui est en vrai ! On porte parole ! On porte ici une (sorte de) parole donnée à des féits ! On cfolle ! On est accolées ! on est fées accolées du fait que voilà, on est fées ailées, fées des fées ailées ! On est fées -femmes = ailées, du fait que voilà, on ose ! on ose "répondre " ! on ose grave "répondre " ! on ose (c'sst le mot) RÉPONDRE , RÉPONDRE ACIDULÉ ! RÉPÔNDRE AUXX NÉNÉS ! ON OSE RÉPONDRE = S'OPPOSER , C'EST UN FAIT AVÉRÉ ! ON OSE GRAVEV REPONDRE = S'POPPOSER AUX DIVERS NÉNÉS RENCONTRÉS : C'EST UN FAIT AVÉRÉ ! On ose s'opposer = on conttre = on dit non à jamais, à la mort qui rode (les nénés ?). On vfeut dire ici notre féit et nous opposer aux dires alloués à une mort genrée. oN s'oppose ! on veut opposer aux nénés nos propres nhénés ? on ne sait ! on veut toucgher à Déité ,, ça oui, mais pour le reste, et c e qui est d'une sorte de donnée
genrée (dans la mort actée) on ne sait ! doit)-on de nouveau traverser ? doit-on passer à) travers ce muret dit "des nénés" comme d'un cimetière ? On ne saiot ! On voudrait en vrai pêu-^rtre en effet connaître les donnéesz ou davantage de données afin de mieux se faire une (ou peut-être son) idée concernant eh bé oui, cette sorte de donnée "de cimetière" = située, mais on ne xait en vrai à qui ou à quoi se fier. Que ou qui doit-on écouter ? le
Verbe ?
l'éloquence tracée ? la parade acidulée d'une sorte d'entrée fissa dans la matière (provoquée) du Verbe comme chahuté ? qui saiot dire ce qui est sans se tromper ? On veut dire et être fée , dire en tant que fée et être fée pour dire, dire ce qui est ici qui est (de fait) la Vérité (ou seraéit) "des Vérités", est)-ce possible ? on se dit que c'est possible ! On se dit, à part nous, entre nous (ellesz = ailes = fée) que peut-être en effet, la chose est possible ! on doit pouvoir
creuser, trouver, cerner, toucher, comprendre, connaitrte davantage, composer, faire et être fée, chercher, soupeser les données - pour
être en vrai ... eh bé
... ce q'on est ! ce qu'en vrai "au fond de soi" on est ! ce qu"'en vrai peut-^tre, qui xsait ? on est, on sezrait, tout au fond desoi, en tant qu"être rebelle", opposant du pré ou l'opposant du pré, l'être en guerre contre ... les nénés ? les nénés "du cimetière ? ça m'étonnertait ! plutôt le contraire ! le gouût du sucré c'est un fait à ne pas négliger ! On voit la Terre, au loin, approcher ! on est déboussolées peut-êrtrree mais on tient (comme qui diréit) aux tracés, aéux traits dessinées ou gravées, aux bêtes montrées. On est fée -bête si tant est, ou disons comme ellesc: fée-bête "aciidulée" des parois ornées. On veut toucher à une vérité de cimetière , vivacité, chaleur et moiteur, intimioté, sexualité , vitalité. On veut toucher à une sorte de donnée donnée comme présentées à jamais, sur de l'herbe de pré, au milieu des bêtes. On est née fée du fait qu'on est née dans la mort allouée à un pré aux herbes à (pour le coup) brouter comme des bêtres. Bêtes betes on
est , ou pas , mais bêtes des prés, bêtes de toundra, de bois et sou-bois, beêtes-mots des rages cde paroi et autres rages déployées du fait que voilà, on est entrées, on a traversé , et ayant travezrséeé on s'est cde fait ensemble retrouvées comme du coup emportées par une sorte de "souffle vital" nous donnant
élan, allant, vitalité, afin de pour le coup aller au plus profond (lointain) chercher comme , une sorte de trait ou de tracé pouvant laisser passer notre corps de fé né (en vrai) au passage. Fée on est qui vouloçns(re) p asser comme aux temps premiers, à travers la roche -ceinture, aux données pour le coup mâtures (cette fois) on dira ça. On veut toucher
toucher toucher de base à ça : ce trait dit "de rage" sur paroi, passage des rois, tréit des fées pour un passage étroit peut-^tre mais bel et bien là, pour les Rois et R"ines de SAba, qu'ielles puiisent passer (de rage ou pas) à travers la roche
ainsi proposée. On veut coller = dire = parler = montrer, et du coup (ROI et REINE de SABA) aller ! passer ! traverser une dernière (?) fois cete sorte d'enceinte de joie, mur des voix, murette agrtaire, tour de ronde comme une sorte (en soi) de rotonde qui, ici ou là, se montre comme un doigt, une
main chaude, l'oeil de l'ogre. On est F2e des bases hautesz. On est comme accolées sur roche "à la une à la deux" on saute ! on monte ! On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucxher toucxher toucxher toucxher toucher toucher toucher topucher toucher toucher à c egtte sorte de donnée de rage telle que déployée sous notre nez de fée. On est fée-bête, tracée, envolée, qui cherchons l'Entrée, ou un e entrée par où en vraéi ensemble passer le corps resserré, comme autocentrée. On veut coller (sse coller) pour passer ! coller serré afin de pour le coup enfin arriver à passer qui le cou qui la queue qui l'oeil qui la langue (blanche). Passer = trépasser mais sans vraiment (du coup ?) disparaitre. On veut être Fée pour l'éternité , est-ce ? On veut :
dire, coller, cerner, coller-cerner, faire ainsiu que des choses soient, qui restent (sur pré ) à jamais on dirait, et du coup regarder (en face) les nénés de l'Ebre ! qu'est)ce donc que
l'Ebre ? alors ,... l'Ebre, ici (pré) est une sorte de donnée genrée comme on en connait (des tas !), dans les cimetières ... de Java. Et du coup l'Ebre, est une sorte de donnée de type "livresque" et comme allouée (direct !) au Verbe tracé sur paroi aux fées. On colle du VErbe ! On dit ça, comme quoi le VErbe, est un tracé acté sur roche déplissé, en tant que donnée donnée par les fées et les bêtes, F2e-Bête centrée, comme (elle-même)accolé ou collé au verbe. on eszaie ensemble de s'y retyrouver mais la chose en vrai est assez comp acte, compacte et corsée, et du coup difficile à cerner. On vzeut toucher à une Déité des D2ités, et du coup on essaie (enwsemble) de (pour ainsi dire) dé
-ficeler le petit paquet dxit "de contrzaebande". On veut toucher = dire, mais piour dire il faut toucher, alors voi:à ! ça nous met en branle ! ça nous met bizarre ! ça nous renvoie à des ou à nos propres recherchhes, de type
frontales à jamais on dirait mais en vrai on ne sait, car on est passées (ensemble) comme un fait exprès sans vraiment comprendre ce qui est , ce qui se passait au passage, et du cvoup voilà , on est perturbées ! on ne sait p;lus trop où on est ! peu importe ! on est passées ! on cherche à c erner ! on veut toucher à une Déité, notoire si jamais ! doit-on lui parlerr ? l'apostriopher ? lui dire quelque chose de particulier pour la charmer, afin de la charmer
pour mieux l'aborder et du coup la faire parler ? Nous voulons nous approcher enxemble d'une vérité liée au langage, a&u parlé, aux données verbales. On peut en vrai ici comprendre nos sortes (en szoi) de volontés ancrées comme du Verbe dit "des pr"s", "des prairies savantes". On est née fée, au passage (de vie à trépas) et, à présent, on cherchje à comprendre ce qui nousq a
ttend. Va ton toucher des dividendes (dividendes de la foi dans le langage ? ) ou pas ? on ne sait pas ! On cherche ensemble à comprendre la Foi (dans le lan gage) ce que c'est. Est)-ce une sorte de croyance inoculée dans notre ventre (
antre) de bêtye-fée devenue "croyante", au passage d'un muret ? Ou bbien , sorte de tracé comme conjurant un certaéin nombre en soi de sorts (sortilèges) alloués à des bêtres , bêtes de paroi = mots du Verbe Sondé ? On cherche grave ce qui est en cette sorte de tracé "de bout des bouts" d'une vie donnée, mais, en vrai, ça nous met, un peu, en difficulté, car ensemble, peuêtre (fée), on est un peu armée
mais pas tant que ça
! On doit se recentrer, se remmettre ensemble de la travezrsée à travers la roche (initiale ) é&ux données frontales telle qu'appréhendée aux temps premiers. on est née fée au pazssage, ok, mais on doit encore chercvher à comprendre, qui on est , dans un pré, ici même, au milieu des bêtes, qui on est qu'on se doit d'êttre pour au mieux cerner les données rupestres et autres tracées qui, devant nous, sont encore (ou rewstent encore) à apparaitre, à se montrerr, à montrer de fait leur sorte de "nénés" tels que notifiées (plus haut) en ces sortes de données gravées sur roche des fées. On veut toucher à une vérité de type "déité" sait-on jamais .... ça serait grandiose !
vraiment coool ! de'ainsi pour le coup arrtiver à toucher à cette Déité sucré appelée Néné, par la bande ! on adorerait ! on signerait demain, des deux mains , c'rest une certitude ! on adorerait comprendre ensemble ce qui
est ici, qui swembleraéit vouloir (on dirait) parler, et dire ce qui est , concernant (peiut-êtte) le Verbe alloué ici aux Nénés dits "de la chance , de fait, au passage". On veut toucher à cette sorte de "néné" de base, néné né pour un passage à l'acte : chalutier ! On tremble ! on est secouées ! on est touhtes secouées ! on tremble ! chalutier ! on veut enttrer mais on est comme secouées parce qu'on a peur(grave) d'y
passer à tout jamais ! comment co:mprendre ? comment prendre ? comment cerner ? comment s'y prendre ? comment faiore pour aller ensemble, au plus profond des données étranges, cerner-toucher, touxcher -cerner à cdes données des bouts de rage, bouts des bouts des finitudes prairiales (animales et florales) : comment ? On charge = on cherche. Pas facile ensemble de trouver. ensembvle ou pas , pas simple ! Pas si simple ni aisé de s'y (ensemble ou pas) reytrouver ! on charge
grave = on cherche ! on y croit ! on veut toucher à cette croix du bout du monde dit "de la foi" , soit "de la foi dans le langage". on est blindées ! cernées ! secouées ! traquées peut-être mais en vrai : on charge ! bélier né on en avance ! vers une Déité des D2ités notoires (si jamais).
9/9/2024
On aime ! on veut percer et qu'sst-ce qu'on fait on perce ! on vca profond dedans cgercher des choses, du tracé, des données, de la Bête des prés si tant est et on est nous -mêmes (en vrai) des bêtres, betses fauves, cris de joie, hommelette/femmelette de paroi, on est l'Ambivalence Reine, le tracé fait foi qui nous amène jusqu'au cimetière et puis au-delà sous forme princière.
On aime ! on veut ça ! faire ainsi cortège ! tralala ! parade et passade on trace ! cavalcade ! le corso des Rois, l'Ambivalence ça nous va parce qu'on aime ça , on en redemande à chaque fois ! vive le Roi des SArabandes, le salut des Voix de Propagande ! on est Reines des joies, joies sur -terre-mère, on est comme ça = Premières, charge d'âme et Princesses, Filles de Joie et vives "écolières ! on y va ! on rage ! on ne rage pas ! on vire ! on ne vire pas ! on cherche ! on ne cherche pas ! on est cfomme allouées ensemble ("toi et moi") à une Ambiuvaleznce patente.
On veut croire en sa bonne étoile : "toi et moi" par là, "passant "le cadvare , c'est-àdire "le dépassant", et nous voilà FEmmes, toi et moi en FEmmes, un tracé, une sorte de sarabande, on est des fées de contrenbande, on veut y croire. On est là pour comprendre un certain nombre de données de choix, et ces données sont (comme) pour nous ( pour nous deux)faites de bois, de matière inflammabkle, on voit ça ! ça crame ! ça y va ! bois des Rois et Reines de Saba ! on trlaiîne la patte, on creuse, on creuse ensemble, on cherche à cerner-comprendre, ici même, ce tracé des rois, ce qu'il est de base pour Soi, caminade.
On y va ! On aime ça ! On veut comprendre le tracé des reines, reines de Saba. On cherche à comprendre ce qu'on voit , cette chose devant soi (ou devant nous) qui nous regarde. On aime ça ! on regarde à notre tour la sarabande devant soi, cette chose des parois ! on trace ! on veut comprendre ! On est là ensemble accoléezs sezrrées, pour de fait en avancer (on dirait) dans les connaissances concernant la Fée, cette trace, ce tracé des Fées, cette Chance Et Parade,sorte de tracé des Antres, cavalalcades. On est comme soudées ensemble par la bande et du coup on voit ! cette chose des parois, qui tremble ! on voit ça ! on trace !
on est danss un pré .
On est accolées dans un pré. On veut toucher à cette déité des données frontales et l'aimer . On veut coller à cette déité des données de base et l'aimer de Rage ! On veut tracer ! On s'est pour ainsi dire rapprochées ensemble des données (Ultimes) de la Face. On est quasi arrivées ensemble au point de passage. Qyui on est ? on est Fée ! fée des RAges on dirait. On est passsées de là à là , auprès des bêtes de paroi, dans une s orte de course effrénée jusqu'aux confins du pré. On est nées de La Rage d' être enfin passée, d'avoir traversée et du coup d'être tombées ou comme tombées dans un pré, champ des fées et des bêtes-Monstres,c ris de jhoie toutes les secondes ! égrenage des données frontales , temporisation des données. On est nées ! On est passées ! On est passées de l'aiutre côté ! Qui on est ? FACE ! Pile et face on dirait ! chamade !
On cherche à comprendre les données données, le tri frontal, cette vie en libre accès de l'autre cfôté et ça vente ! oh, qu'est-ce que ça vente ! ça envoie ! ça crache ! ça y va , et nous (la Fée) voulons cerner de base ce qui est, concernant la Charge, le Passé, le Passé posé comme (en tant que) offrande, les données données ssont les données poséeees (ou déposées) sur roche des Prés.
On est Fée de base, faite ensembkle d'un rapprochement-collage d'ailes entre eklles , pas plus compliqué que ça en fait ! On est ELLES = AILES des Données Données sous forme de ... Fée des F2es !
on croit rêver mais rien du tout ! on est fée pour de vrai ! une fée en herbe ça le fait et en plus c'est vrai !
On est la Fée de l'Herbe , des données ancrées, Verbe alloué à un tracé de fée, à une sorte de tracé de tfée sur herbe en herbe, fée en herbe sur herbe, fée des fées on aime ! on est fée noius-mêmes ! fée des Fêttes !
On aime fééet^ter l'Herbe , le champ de blé, les données primaires, le Passé posé, la belle meunière,; l'anfracrtuosité première, l'Envolée des Envolées .
On est une fée du fait qu'on s'aime ! qu'on fait coprps ensemble dans l'adversité, qu'on ose des faits, qu'on se tripotte, baise, cherche, colle, peénètre. On est bêtes de roche découvertes. On veut s'aimer sur roche comme des bêtes. on a pas envie de traîner mais tout le contraire, filer grave à perdre haleine, s'époumoner, filer -tracer, chercher loin la roche "des confins", l'aimer, s'en rapprocher, faire son chemin. On est Fé2e des Fées sur Herbe (Verbe) des contrées ruprestres (néandertaliennes on le sait) et on va vers elle, la contrée des fins et autres confins dits "de cimetière".
On cherche vif à tracer des traits qui indiqueraient en vrai CE QU'ON CHERCHE en termes de DONN2ES DES DONN2ES RUPESTRES, à savoir : le VERBE, VERBE en HERBE Tu lre sais, c'est gravé, çàa tresses ! ça tresse et trace en vrai ce qui est question volontées, recherches, tracés et données recherchées, solennités et éutres envies de cimetière. On veut toucher touchert toucher à cette Bête Allouée à un cimetière : laquelle c'est ? bête à cornes surnumeraires ? cheval fou ? bêtes des denrées toutes absorbées ? aNtilots des prés ? On cherche ! on est accolées comme deux frères, soeurs nacré.es ! on veut toucher toucher toucher à cette sorte de donnée allouée à du VErbe de Fée (de cimetière) s'il en est ! On est soeurs Brontë, Colère, Charge du Passé, australopuithèque si jamais au débotté, on cherche à cerner ce qui est qui est colloé à une sorte de passé qui est passé de cimetière, charge allouée à un passé de traîne, on rêve ! on ne rêve pas ! on est là ! on est pas là ! on charge ! on ne charge pas ! on crie ! on ne crie pas ! on vire ! on ne vire pas ! on file ! on ne file pas !
on y va gaiement question VGerbe sous le vent ! On est blême ! on est fouettées par du vent -colère alloué à du Verbe, vent donné ! On est face à face un vent des prés ! on s'en prend plein la figure c'est un fait mais enfin on en avance, on fait face, on trace, on grave grave szur roche des traits représentant la charge.
On est comme nées, bêtes de charge de paroi, bois des Rois ! Mats de contrebande ! on trace !
On veut en avancer ensemble "à toi à moi" en cette "Romance de paroi", comme (en tant que) bêtes de charge, traits, somme etc., du moment qu'on trace ! qu'on avance ! on veut ça.
On ne veut pas rester sur place à attendre (quoi ?) mais tracer de rage verz là)-bas la place, trait des Voicx, on entre ! on est allouées ensembke (femmes dans la mort dite "trépas") à une sorte de paroi de CFontrebande ! ça bande ! ça envoie ! ça charge ! ça y va ! On est là pour chercher à comprendre ensemble ça ! Cette voicx des voix : qui parle en soi ? qui est là qui dit ça, ce qu'il pense ! ce qui est, ce qui se trame, ce qui se dessine, ce qui se grave. On entte ! on est vfemmes de la mort en herbe, femmes-voix.
On est accolées de base à (depuis) notre entrée .
On est Femmes dees prés en tant qu'on est deux pour "faire" une Fée, Fée duPaysage. On est femmes allouées à un pré en tant que Fée de Paysasage, tracées, marquée, ancrée sur son territoire aux bêtes de charge, on s'y plaît ok mais on voudrait aller (comme à l'arraché) chercher plus avant la somme, totale, du firmament, cette roche terminale "des tourments" , ce qu'elle est en termes de données frontales, permanentesz, qui elle représente, qu'est-elle est en vrai qui pour le coup nous interpelle et semblerait (on dirait) nous parler en vrai, c'est dingue !
On a envie grave de se rapprocher de ce muret des fins de pré, toucher la roche au plus près, toucher toucher ensemble (fée) la roche allouée à cette sorte de passage d'un pré l'autre, ou sinon d'un pré , vers une sorte de donnée marine (maritime) cernée.
on est comme nées (ensemble) au passage (de vie à trépas) en cette chose d'une sorte (?) de pré alloué à du Verbe de Choix : verbe acté, vertbe des contrées célestes, verbe-bête et autres données, verbe de l'herbe et des champs de blé, verbe Celte. On veut toucher à ce muret "des entrées célestes". On veut "attrapper la bête". On veut passer ici par la tête, et nai^tre; Ou comme naîtte (à la une à la cdeux) en ce rOyaume des Embruns, MEr salutaire, Chant des FIns CErtaines, corazón, jeu de la passion, cortège des Poltrons et autres Spigolon de Tête.
On est accolées comme des bêtes et on s'aime. On veut toucher à une D2ité ! on veut cerner ! on veut grave tracer ! filer ! aller ! chercher la Reine, le Petit Colère, les données allouées à un (drôle de) cimetière aux entrées de Fée comme fêtées.
On a grave envie ensemble de nous avancer et de cerner la base ce que c'est, en termes de rage : betes des prés ? bêtes reines des contrées sévères ? qui on est : Fée ? Fée du passé collé? on est la Fée donné e ? Fé des Fées telles qi'on aimerait toutes les connaître en vrai sur terre ?
Mais ... on est sur terre ! on est sur terre au cimetière ! on est collées , ensemble (femmesc= ailes) dans un cimetière dont le nom est : Terre ! terre des données, données salutaires et autres données de type "légendaires". On est nées sur terre Ailes pour mieux en vrai monter en tant que telles une fois la roche passée. On est nées Fée ensemble dans un ciçmetière, nous voilà comme couronnées ! On aime !
On est reines des prés, charges allouées à un rêve, à une envie vive de durer , en ce cimetière, en tant que fée céleste, vive et nue comme un ver de terre.
On est nées de base sur pré en tant que Fée de cimetière. On est nées AILES, ELLEs, FEMMES DU pré , Felmmes des PRés, femme -flamme, ailées, chargées d'aller, en vrai,
vers la murette, le muret des fins de prés , muret/murette des données (frontales) terminales. On veut tracer de près ce qui est. Chercher àb cerner, comprendre et prendre ce qui est, en termes de Voix.
On est nées de rage sur paroi (en transe) Femmes (deux femmes) formant Fée des Passagesz de là à) là, soit du pré à l'après. On cherche à cerner ce qui est à travers le VErbe comme déplisséb sur de l'herbe de pré .
On est comme des bêtes ! on broute (à tout jamais) l'herbe verte. On broute que tru brouteras (à tout jamais) L4HERBE VERTE des parois (s'il en est !!!) et ça le fait ! ça charge ! ça envoie ! ça crache ! ça ne lambine pas car ça y va genre filage, enfilage, , filament des voix ça trace !
On est là qui ensemble sommes cette "somme de voix" ou quoi, qui tremblent ou pas, chantent ou pas, parlent ou pas mais quoiqu'il en soit elles tracent ! elles filent, tout bas peut-etre leur romance, mais voilà : elles tracent grave sur paroi la Bpête (justement) des Voix , dites (les voix) " du cimetière - aux données premières".
On est Femmes sardes : ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! et aussi : sagesc, oui encore ! et tant d'autres formes ! On est FEmmes des Bois de Bas-äge. On avance ! On veut cfomprendre, en tant que Fée allouée à un passage (vie /trépas), qui en vrai on est et à quoi on ressembke. Oui en vrai au fait, à quoi on ressemble ? est-ce qu'on ressemble à une Fée Clochette genre walt disney ? à une fée des fées genre une sorcière ? à la Fée dees prés et autres cimetières (car le pré, le paradis, est un cimetière : ça c'est dit !). ?
On est qui ? on ressemble à qui ? on est qui en vrai ? doit-on pleurer la vie passéex ? sommes-nous nées ainsi accolées une fois la vie morte et enterrée ?
On cherche à cerner les données de base, ce que c'est. On est nées d'une RAge à (ensemble) déposer sur pré un passé de poids (Temps des Actes) et tracer ! filer ! chercher ailleurs en ce pré le sentier menant (de fait) aux finalités , fins de pré, muraille. On est nées Fée de Rage sur pré (parade = paradis) et on trace ! en tra&nse ! le tracé rêvé, l'estocade ! vivacité à tous les étages : on est des fées , et dès loçrs on en avance comme au pas de charge (si tant est) concernant une fée "pleine de grâce", allouée, cernée, vive et nacrée, fée des fées. On est F2e au p assage = fête des prés. On est des fées de fête en vrai allouée à une sorte de pré de la Rage .
On est : Fée de fête, fée des fées tracées.
On veut ensemble en vrai cerner un certzin nombre de données toutestracées (sur roche) à main levée par (on dirait) une main de fée : qui sait ? néandertalienne on dirait.
On aime ! on aoime les fées ! On a envie nous-mêmes d'être fée allouée à une co,ntrée poste-cimetière s'il esn est ! On veut tracer sur herbe un tracé de Verbe et y aller, en vrai, à fond la caisse ! comme envolées ! comme soulevées par (squi sait ?) du Verbe d'Envolée ! On est nées sur herbe comme soulevées par du Verbe SZAcré (Naccré) !
On aime ! on veut aimer ! On veut toucher à cette Déité des Fins de Règne : confins-nés. O,n aime être Fée de Baise, Congrtatulatiuioons sur Herbe, Pamôison et autres faits de fête, concentration. On est des fées du cimetière cherchant vif à traverser (ensemble) le pré aux bêtes, pour nous (comme) téleéporter hors cimetière, vers d'aéutres contrées qui nous accueilleraient comme si en vrai on était (nous-mêmes) des bêtes, bêtes reines, bêtes des prés, des cimetières aux données données par (on dirait) des sortes de ... fées, fées en herbe ?
On est bpêtes ! on est des bêtes ! On cherche ! On est accolées ensemble soudées. On veut toucher à une déité dite "du cimetière et autres contrées déplissées temporelles". qui on est ? ELLES + AILES. On est (comme qui ndirait) des a&iles de fée.
Un homme mort (ou trépassé) devient femmes des pré, deuix femmes allouées à une (sorte de) corps de fée en tant qu'elles (ces femmes = elle"s") forment lmes deux ailes d'une fée en herbe !
passé ! passé clotûré ! ça ferme ! on ferme !on est fermé ! on ferme le Passé comme avec un couvercle dont le nom est : Fée, Fée des f2es, on ferme ! on a fermé ! on a baiissé de près ce qu'on devait baisser : garde et porte d'entrée ! On est fée des fées en ce cimetière des données serrées, actées, déposées, données sur rtoche à l'arraché, lmise sur piedfs dès que (pour le coup) nées sur roche et allez ! filez ! foncez ! allez-y donc fronteal sur ce pré des fées ! courez sans vous retournrez ! atteignez la Chose , là-bas, deployée, qui guette, vous regarde faire (aller et venir) et rêve (en vrai) de vous dévorer on dirait.
On a ^méga envie ensemble de toucher le Vrai de cette (sorte de) PArade Géante.Elle est qui ou quoi en vérité, on ne la sait p as. On voudrait c'est sûr comprendre mais cxomptendre quoi ? la p arade (aux bêtes de foire ?) ? paradis des Voix ? On cherche à comprendre ce qu'on voit, à quoi ça ressemble, à quoi on pourrait ensemble ici penser de fait que ça ressemblerait en termes de paroi, de roche ornée et auttres grottes ornementées. Grotte aux Fées ? peut-être ! On ne sait pas. On est baba devant (ou cois, coites) mais pas plus que ça ! si seulement on pouvait en vrai cerner ensembke et dans le détail les données frontales ! On dirait (de concert) ce qui est. On cne dirait pas ce qui n'est pas, mais on dirait (de rage) ce qui est en vra i. On pouurrait grave dénoncer ou je ne sais qauoi les données raciales et autres vilénies de base, attribuées à une sorte en soi de primauté frontale de données données comme à la parade. On voudrait comprendre ! On voudrait c erner ! On veut comprendre et aussi cerner eh bien tout ce qui se passe, ici, en ce pré ! les bêtes qui broutent, le soleil alloué, les clartés ett les herbes nacrées, le tracé sur herbev = sentierr, l'herbe verte.
On est nées dans l'herbe verte, comme en vrai allouées à une sorte de marche forcée vers des confins de fin de pré. On est nées fées pour en avancer et ne pas trai^ner. On est nées fées sur herbe en tant que telle (fés ? herbe !) et on fiile dès que nées car on est pressées (commùe présseées) par les données liées à une sorte de (il semblerait) souffle de base, vent de face, souffle vif des souffles allouées à une sorte ici d'enclave aux données doonnées comme soupesées , ou même szoulevées.
On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher toucher t(oucher svp, à cette D2ité des D2ités des D2ités des Déités surnuméraires afiliées ou allouées à une sorte de "crête" sur pré, sorte de monts "des Prés" comme une murette, muret, mur d'enceinte il semblerait , et nous de vouloir pour le coup aller (ensemble accolées) voir ce qu'il en est, en vrai, de près.
est-ce la murette (des passages alloués à dxes, qui sait ? szortes de naissances), toujours la même ? on dirait ! on dirait qu'en effet ... on retombe en enfance ! quelque chose comme ça : ça y ressemble. Car, la paroi semble similaire à celle déjà traversée à notre naissance. Car , on dirait en effet qi'il y a (ou qu'uil y aurait) en ce roc des fins, une sorte (fine) d'anfractuoisité par où en vrai (ensemble : fée ) on pourrait passer comme à la parade. Car (aussi), la vie (ici) semble se poursuivre, s'allonger, faire suite. Suite acide ! suite ancrée nacrée dans un ciel de suite (pour le coup) nacré ! .
On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à c ette chose ici trouvée, de type "donnée des données " = Femmes au débotté ? femmes fluides ? fines ? fermes ? doublées ou dédoublées ... hommelettes ? On chercvhe !
Onj a envie grave de chercher ensemble des dopnnées. On veut ensemble essayer de trouver , des données qui toutes le fassent. si possible ensemble on veut edszayyer de trouver le plus possible de dopnnéesv concernant la mort ce qu'eelle est , ce qu'elle n'est pas tout autant et autres vérités concernant de près le firmament, l'après, les choses du temps, l'avenir des fées.
On vzeut toucher à une déoté si tant est. On a méga envie de pour le coup nous approcher znsemble d'une vérité, d'une déité qui serait vérité , ou d'une vérité qui serait une déité.
On est deux femmes allouées à un peu d'herbe (un pré ) et c'sset en tant que telles qu'on veut (voudrait) en avancer dans ce qsui est ici une sorte de pré aux données serrées, aux faits vrais, aux petites et grandes vérités concernant de fait la vie sur terre, et la vie hors de la terre si jamais.
On est des fées de cfimetière et aéussi des fées d'hors cimetière, des conntrées lointainesz en dehors du cimetière dont le nom est Terre.
On a envie e,nsemble de comprendre un certain nombre de données concer nant la Terre, et si possible ensemble (oui) et : sans lambiner, de préférence, car, en vrai, le temps presse, qui nous pousse à "dire-faire" une sorte de Parade des Dionnées Données ou aux données Données de type "offrandes à D2ité".
On veut toucher = on vveut cerner. ON veut comprendre = on veut combler (de faits) les trous de l'âge alloué à un tracé.
On est des féesz comme (toutes) cernées par la bande (acidulée ?) d'une sorte de Parole Sage, SAge et Sale qui plus est , mais ça marche ensemble on dirait.
On veut toucher ensemble parce qu'on est ensemble et qu'on veut toucher !
On est sages, sardes, femmes sardes, dans la mort alloué"es, ou dans la mort comme allouées à ce qui (en vrai) est Sage = sale = dits des prés, dits vifs des prés aux données.
On a envie ensemble de cerner-toucher à une vérité de base, dont en vrai le nom serait celui, ici rencontré , à savoir .... Déité ! D2ité des Fées ! Charges d'âme et autres charges -pioids de base déposées comme à la parade.
be'$êtes de la foi dans l'herbe. On aime !
On a envie ensembkle de toucher à cette chose d'une bête, aux herbes vertes (herbe à brouter) et du cfoup on se rapproche d'elle , à la caresser , on se rapprocheau plus près pour cette chose de la caresser ici sans tra^$iner, et c'sst ce qu'on fait, on la caresse, on aime ça la caresser, on ne s'en laisse pas conter ! on l'aime ! on a envie d'elle en tant que telle ! la manger ?
On est des fées de cimetière, et on aime l'herbe, l'herbe des prés.
On est des fées comme allouées à une sorte de cimetière, et du cfoup on veut ensemble si possible tracer, un certain nombre de données de base , tracer-marquer, dire-marquer, un certain nombre de données de type "visibilités des visibilités" et auttres traéits ici affirmés (haut et fort) comme (en tant que) "Véritész des Corps".
On est deux à 'arraché, on erst passées, on est néesz sur herbe : ploc ! on est tombées.
On veut de fait ensembkle ici comprendre les données sondées, les faire nôtres à la retombée , les aimer ou tout cfomme, et, dès lors (qu'on aime ces données) , prendre ses jambes au corps et vite tracer, filer(, courir sans traîner, vers ces données auttres des fins de pré et autres "finalités des finalités gravées".
On est d'accord : on aime aimer le Corps de la Fée !
On est fortes femmes lourdes à l'arraché (la retombée) , nous voici transformées en Fée, Fée d'ombre, on est néee ! on est Fée née nue sur herbe du pré sur le cul.
On a ensemble envie de tracer et d'aller (au loin) rechercher ce qui est, en termes de données "velues" ou poilue", de type animales, "animalité de façade".
Qui on est ? on est des fe"lmes, ici, devenues Fée, Fée des ombres (hommes) cachées ! On est des Fées de base nues, qui (en vrai) chervheons (ensemble) à comprendre par le menu, ce qui est ici (sur roche ornée) et ce qui n'est pas, ce qui en vrai n'existe pas, voire : n'a jamais existé !
On veut toucher à une sorte de Denrée d'offrande, qsui serait ... des vivres dits "de contrebande" = chapardés, volés, cueillies commùe à l'improviste et à l'arraché sans plus chercher.
On veut toucher (grave) à une déioté des Déirtttés. Et pour cela : filer ! filer vif et sans chipoter ! filer grave en ces prés, vers (il semblerait) la Parade Finale ou Parade Terminale aux données actées comme de façade !
On ne rêve pas , en vrzai, on acte !
On est néesvd'une sorte de rage à vouloir ensembvke (deux femmes) s'immisver en ces contrées post-pariétale, et, une fois nées (comme à la parade = paradis = pré) on a vite couru vers là-bas cette (szorte de) muraille des fées, ou muraille aux fées , qui nous fait ou faisait face, nous attrirait, semblait comme nous appeler , nous interpeler, et nous (du coup) d'y aller sans plus traîner, àà grande enjambée, en courant-volant comme les fées qu'on est en vrai, et du cou voilà : on est arrivées ! on regarde ! on voit ça : la grève ! grave on voit ! on est femmes-fée , deux femmes pour une fée", on avance (on en a avancé !) et voilà, on mate ! on regarde au plus près ce qui est, on cherche à comprendre. qu'est-ce que c'esrt qui nous regarde ? qu'est-ce que c'sset qui nous fait face en vrai ? on est qui en vrai, qui (ensemble) cherchons à cerner un certain nombre de données de base , de données données ? On est nées sur place fée, et à présent on cherche à cerner, face au muret, les données finales ! ce qui est ! ce qui est qui nous regarde !
On charge = on cherche.
On ne veut plus traîner, on veut au contraire pistonner, trouver ensemble une manière d'y aller ensemble et cette manière, on croit l'avoir enj vrai trouvé, ici-même (cimetière), en la personne d'une fée en herbe, fée des fées, fée-manière ou fée maniérée peut- être mais on l'aime ! on aime cette fée qi'on est ! cette fée en herbe , fée des fées d'un cimetière alloué au passzé et aux chrysanthèmes !
On est féess de rêve, chercvhe-merde peut-être qui saiit ? on sème ! la merde ? on ne sait ! on est fée de traîne, données des données, on s'aime ! on sème ! on sème la merde ... ou pas la merde mais (qui sait ?) du Verbe doré ! chant docte ! parole enlevées ! vents de bord et autres souflles acidulées comme s'il en pleuvait ! cohorte !
On est des fées de rage sondée !
On veut se rapprocher ensemble de la vie aprtès la mort. On veut se rapprocher ensemble ici (pré) de la vie postée (?) après, soit après la mort.
on a grave envie ensemble de toucher à cette sorte de divibnité qui nous ressemble ou nous ressemblezrait ç-à jamais qui sait, du moment qu'on sème !
On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à une sorte de donnée de rage, qui serait en vrai donnée de base pour (enfin) comprendre ensemble (gouines-fée) ce qu'on est en termes de base, en termes de données de base, gentesdames au débotté et autres fées de contrebande (" quand ça bande on contrebande ").
On est nées fées , on veut cerner ensemble ce qui se présente en termes de données de rage, dans la mort.
On est (dans la mort !!) nées fée, Fée au singulier car on est nées (deux femmes) pour nous retrouver comme unifiée , réunie (de base) en ce corps (alloué) d'une "Fée des prés et autres champs dits de parade" (de parade abncrée dans un paysage).
Qui on est en vrai ? Charme ! vie ! passé donné comme une denrée ! une sorte de Fée des Données genrées, un acte alloué à une volonté !
On est passées, ensemble, à trvaers une roche donnée, on l'a traversé, on a aimé la traverser car nous voilà (du coup) transformées en Fée , Fée au singulier, du fait que voilà, on s'est retrouvé&es (sur pré) accolées (ailes au débotté) transformées en Fée, Fée des ombres et des données données comme une sorte de cohorte d'ombres (hommes, bnêtes, poids, somme, traits droits).
On veut ensemble de grâce toucher yeah !!!!!!!
O,n veut yeah ensemble de gr^$ace toucher = cerner = dire = faire = chanter ! chanter haut , fort, à tue-t^te , les données découvertes (comme au débotté, ou à l'arraché) au passage (ici-même) de'une sorte de "rocher des rocher" de type ... "fenêtre" ? feu de l'être ?
On veut toucher ensembleb à cette déité de cimetière. Toucher elle = son aile ?
On est nées Fée car on est (dans la mort) nées en tant que ... elles ! ailes ! Ailes allouées à un cotrps de fée de type rupestre , uune forte tête !
On est comme cernées, tracées sur roche à main levée, par, qui sait ? une bête ! une bête nous aurait en vrai ... dessiné , gravé, tracé au débotté sans sourciller à main levée, et du cfoup montré , haut, soulevées, comme êtres de paroi de rage, hommelettes de bas-étage, femmes sardes (!) accolées pour former la Reine, Reiine des prés, Fées des f2es et diu cimetière !
On aime !
On a grave envie d'aimer ! On veut azimer grave cette fée (du cimetière) comme "retrouvée" !
On est femmes des prés devenues fée par (?) un effet de manche (contrebande) à la une à la deux nous voilà transformées ça le fait ! pamoison ! cri de joie à l'unisson ! on est nées fée du fait que nous voilà ... ailées ? ailes allouées à une fée des prés ? On aime ! on est nées ailées (au cimetière) du fait que nous voilà (dans "la mort en herbe") transformées ou comme tra&nsformées en Fée Ailée du fait qu'on est ELLEs = femmes des prés à la retombée dès que "passées" = mortes en tant qu'humaines, homme mort-né sombre dans l'herbe pour former (lui) le fumierr "des prospérités". on aime !
On est felmlesb des prés allouées à un corps de fée dit "surnumeéraire" , du fait qsue voilà, il vient se rajouter à ce qu'on voit !$
On aime ! on a envie d'aimer ! on est fée des prés, gentes denrées, vives donées, offrandes et dons de soi sur roche gravé come à la parade devanr t szoi.
On est bêtes de somme ... ailées ! vaches sacrées ... ailées ! cris de joie à l'unisson, troupe soudée, on creuse devant zoi la roche pour en vrai passer, traverser, geagner (vite et bien) les embruns, fins de pré, murailles aux données (frontales) finales.
On est femmes allouées à une sorte de recherche (vive) à travers la plaine aux données données de type animalières;
QUI on e'st ? on est F2e ! Fée des Fées ! gentesdames allouées à un pré (p arade) p ariétal.
Cherchons ensemble ce qui est du coup en tant que fée !
on veut comprendre, on veut grave comprendre, on a envie grave de comprendre, toucher et comprendrr, ces ... nénés de base, seins soudés , ce que c'est ! ce lait = tout ce lait ! une montagne ! primauté , principauté ! corsage !
On a envie ensemble grave de téter, téter les nénées, des femmes sardes, sages, sales.
on veut cfoller ! cfolloer vivves à ces données de base ! ce que c'r'st que ces données on se le demande ! On veut toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher touycher toucher touchet toucher toucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher oucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher tou-cher à ces données ou sortes de données en forme de nénés à lait (on dirait) .
On nveut de vfait ensembleb (accolées, collées) comprendre ce qsui est, c e vqui se présente, ce qui nous fait face (dans la mort) en termes de données de type nénés !
On a méga-envie de base de comprendree ensemble ce qui est qui se présente , se place en face, se présente de fait , face à face, né !
On est nées de base Fée , on veut cerner ensembke les nénés ! les nénés nés !
On est fée de base dans la mort,on vgeut comprendre les nénés qui (en vrai) , face à nous, se présentzent comme au débotté ! qui c'est ? qui est là qui se présente ? Eh bé voilèà en vrai ce qu'on veut comprendre ! en clair (et pour pas cher) à qui sont ces nénés en vrai.
En clair, en vrai, à qui sont ces nénés qui sont, pour le coup, disposés devant nous pour être (on dirait!) tétés !
On est Fée de Rage sur pré, on veut cfomprendre les nénés de base, ce que c'est, en termes de Rage,, de Paroi Frontale, de donnée allouée à une vérité frpntale type "déité des Déités". Sont-ce vraiment des nénédss ? sont-ce vraiment des nénés à la&it ? est)-ce que vraiment de fait c'est (pour nous) des seins à teter come par la bande ? sommes-nous dans la mort des fées nouveaux-nés, fées nouvellement nées qui chercherions comme des affddammées à téter sans tarder ou traîner ? sommes-nous fri andes de lait ?. sommes-nouqs affammées ? Voumlons-nous sans tarder ni traîner téter ? faire ainsi qu'on puisse §ttéter et s'alimenter du bon lait de la vache sacrée ?
NOUS VOULONS COLLER À UNE ROCHE POUR LA TRAVERSER, EN TANT QU4ON EST UN HOMME AU SOINGULIER, ET UNE FOIS PASSÉ, SOIT MORT ET ENTERRÉ, SE RETROUVER "DE L4AUTRE CÖTÉ", COMME TRANSFORLMÉ EN F2E ! F2E AUX AILES ! FÉE AILÉES COMME SIL EN PLEUVAIT EN CE CIMETIÈRE-PRÉ DE TYPE PRÉ AUX F2ES ET AUX BËTES "SURNUM2RAIRES". ON EST DES F2ES DE RAGE SUPRË4ME ALLOUÉES À UN CIMETIÈRE AUX DONN2ES DONN2ES DU VERBE SOULEVÉ, SOUPESÉ, ENVOLÉ, POSÉ COME SUR HERBE AU PIED DUNE DIVIN9TÉ, PIS DE VACHE À TÉTER COMME HERBE À BROUTER, MËME SCÈNE !
on est néesc sur herbe Fée au âssage tracé d'une sortre d'embardée au sein du verbe (vie vive dépôsée) et des données de roche sacrée.
Vache à lait c'est elle , on la reconnait, elle trône sur l'herbe, c'est la fée Laitière, vache af-gréee par une sorte de divinité allouée au dit Verbe tel que consacré, par , ici, la bête bête, l'idiotie, chants en herbe, vives coneries de tra&îne comme vilénie et autres âneries salutaires (qui sait ?).
On veut : et toucher et paîttre ! c'est un fait qu'il nous faut souligner sans plus de réserve on le sait, on est nées ! on est nées dans uncimetière ! ça le fait sévère ! c'st pas rien en vrai ! on est fée de cimetière si tant est ! c'est nous la Fée du pré, l'emportée , la rosse ou pas mais celle qui va là, comme à l'arraché, nous accompagner et sans sourciller jusqu'au fin fond du pré aux portes des données fianales et autres murs de Fond de salle communale ou quelqaue chose de ce genre, muraille, mur du son.
on aime tracer ! On veut coller ! On veut grave coller et tracer sur roche un ensembke (pour le coup) de choses doctes, de type : fruits acidulés, vivres, dons, cornichons, poissons.
On aime être Fée ! On veut grave tracer en tant que fée sur roche des traits, traits de coupe, tra&its des traits. On veut dessiner. On veut graver des traéits de roche, traits des traéits sur roche, données, données des données.
on est des fées de co ntrebande, chance ! On veut (ensemble) traverser le pré, comme à la volette vite fait et, tout aussi vite fait, gagner la r(oche terminale, les embruns, sons de roche frontales, sons comme sourdant d'une roche de type "frontale", "frontale perforée", et on regarde ! perforée (la roche) et on regarde ! on voit ! on regarde et du cfoup on voit ! on voit ça : des traits , tré&its de coupe par où passr on le sait , qui un oeil qui un bras, qui la t^$ete, qui le pied ou la quiquette si ja&maisv (qauand on en est armé !). ON veut toucher toucher toucgher toucher tyoucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher à cette sorte de murette aux données toutes ancrées comme des croix de cimaetière on dirait mais est-ce ? est-ce vrai ? est-ce en vrai ce genre de données qu'on seraéit en vrai à vouloir ensemble (main dans la main ) comprendre ? sommes-nous fée de contrebande ? sommes)-nous fée sans bande ? sommes nous fées en ba,nde ? un troupeau de fées du genre , peut-^tte, des vaches ? Sommes-nous des vaches ? vaches à lait sacrées ? qui on est ?
On est femmes sardes ! sardes sages sales ou pas ! sommes-nous sales ? peut-être pas ! sardes ? Pas davantage ! sages ! certainement pas ! ou alors de rage ! on y croit ! on charge on fonce grave ! on est femmes des parois de l'^$ame et znsenmble on fil droit vers là-bas la place, la paroi finale, paroi des parois qui semble , on dirait , peut-être, nous apostropher, comme si on était en vraéi fée des Rages prêtes à nous donner ma&is que dalle ! on ne veut pas ensembble ou pas (d'ailleurs) nous donner en offrande ! on est pas des fées bornées ! On est fortes ! on colle au pré. VACHE À LAIT C'EST UN FAIT AVÉRÉ ! ON est des fées de type v"vaches à laéit" alors arrêttz de vous époumoner à nous apostropher pour nouqs attirer de fait en vos filets ! on ne veut en aucune façon trépasser ! jamais ! hé, pas si connes en tant que telles ! on veut durer dans la durée en tant que vaches à lait à pouvoir (par qui en vrai ?) téter ! On veut duurer ! tracer, dire, charger, comprendre, szoulever et soupezser les charges! on a envie grave ensemble dee durer ce qu'on peut durer et même davantage si on pouviat, en tant que vache sacré pouvant allaitrer (de préférence) et, du coup .. donner ! donner du lait c'dsst donner ! donner un peu de son lait = donner ! on est vaches sacrées, vies données pour une e,nvie ici de durer , szoit de durer en vie .. dans la vie ! Dans la vie de la mort c'est dit (et inscrit) sur ce corps d'une fée allouée à un pré ! On est nées (dansz la mort) fée, c'est un fait !
On est ensemble nées, en vrai, dans la mort, en tant que fée ! fée au singulier.
Récapiitulons : homme on meurt, on devient femmes au débotté, deiux femmes allouéess à une sorte d'entité dont le nom est "Fée". Ainsi transformé, on n'est plus cet homme du passé (l'ombre d'un ^ttre de la terre meuble) mais femmes comme dupliquée, et nous voilà qui (de fait) formons les ailes d'une sorte de divinité genre Fée, ou même fée des frées.
On aime !
♥️ !
on est fées des coeurs !
♥️ !
On veut grave toucher à cette Déité des cimetières, et pou$r ça (cela) : ça , le trait, le trait tracé, gravé, dessiné à main levaéé et comme né (ici paroi) d'une sorte de transe (de da&nse) enlevée ! on y croit ! on est femmes de paroi (devenues fée) qui (de fait) gravons de rage, la vache à lait, la bête de pôids, vive et ancrée, comme à la parade, pour charger ! convaincre ezt tromper, qui sait ? cette sorte de "divinité céleste" aux données de choix, Déité rupestres et autres Di'eu dit "des parois". On veut aller de base ensemble au co'eur de la paroi ("des confins de bout du monde"), on veut ça, et c'est à ça qu'u 'on pense (ma foi) quand on danse, qu'on entre en transe, à la foi dans l'au-delà, à la chance, au vents dits "de face".
On est femmes allouées à une danse de parade !
On danse ! on est femmes chantantes dansantes venant toucher , comme soulevées, une sorte de Divinité pleine de grâce, Mzarie Galante sur paroi ,forme sage.
On a ensembke en vrai envie de com^prendre, en soi (?) ce qui nous ressemble au sein de la pa&roi.
On a grave ense'mble envie de commprendre les données de base, fruits secs, fruits des bois, fruits juteux tombés de l'arbre, fruits données comme autant d'offrandes à une déité sucrée ;, déité des déités elle-même sucrée comme à) la parade ! on veut ça := co:mprendre ce qui est qui nous est donné ! du lait ? lait sucré comme s'il en pleuvait ? on en pleureurait ! on est des nouveau-njées , nouvellement néee à loa retombéec (par la bande) sur paroi du Roi, des REines de charme et autres princes et dames des bois ! on entre dans l'antre , on voit ça : convoi ! charge mentale ! parade = paradisz ! betes de poids sur roche lambda et ça charge ! convoi !
On seraéit (ensemble) données pour cxharge, sommerondes, on dirait ça.
On veut (nous deux , à toi à moi) comprendte grave, ce qui est qui nous regarde : une vache ?
On a (ensemble) on dirait (en vrai) en vie (grave) de comprendre cete vache ce qu'elle est en terme de .. lait, lait sucré de contrebande ça le fait ! c'est vrai que c'est sucré ! on aime le sucré mais en vrai pour le coup ici c''sst (juste) méga-sucré ! ça envoie ! ça calme ! c anadou de rage, tu m'as compris ! envoie ! on cale ! on est là pour ça: dire, et donner , cela même qu'on aimerait, de fait, pour nous, êttre "gratifiées" , tu vois la para de !
On veut toucher à cette déité des charges ! on veut (grave) toucher ensemble , à cette sorte pour le coup de déoité des cxharges : qui c'sst ? c'est MARIE BLAFARDE ? l'amante vénérable ? vache tendre ? vache à lait de l'age tendre : sacrée ? sucrée ? Lait de base comme consacré en vrai par la bande ici animalière d'unse sorte de pazsabge (de charme) àtravers les herbesz, enjambées, on passe, on est nées pour traverser le pré "paradisiaque", et aller plus loin , de l'autre côpté,, chercher le tracé, le tra&it, trait d'ombre ? traéit plutôt de clarté, de type "anfractuosité" et ça le fait !
On veut toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à une sorte de "denré"e" du bout des roches , denrées des denréesc= données = don = LAIT ! LE LAIT ! LAIT DES OMBRES ? QUI SAIT ? ON NE SAIT CAR ON EST ... DES NOUVEA21UX-NÉES DE L'OMBRE ! on veut grave s'aimer : va)--t-on y arriver ? on est nées de fait sur un pré d'ombre, d'ombre ou de clarté peu importe, car , ce qui compte, en vrai, c'est d'être nées fée, en tant que bête (bête ?) des prés.
on est fée de cimetière, on veut en avancer et, de fait, on trace sévère ! on file on vole ! on survole les données mais c'sst ainsi qu'on en avance sinon comùent faire ? ici le nez flanqué, dans l'herbe funaéraire ? Jamais ! survoler c'est un fzait qui (en vrai) nous intéresse, ou sinon un fait un état de fait ! On aime grave survoler sans rtrop s'arrêtrer. On pense (à part nous, en tant que fée) que, de survoler les données prairiales, est de loin préférable à une sorte d'examen de b ase, de base chelou car il freine tout, or le tréit ici à bien cerner, les donné&es de rage , à ici cfomptrendre, sont tous et toutes lié.es à cette chose déplissée ici en tant que volonté, désir ancré, de (pour le coup) tracer ! filer ! aller fissa au sein de la par(oi(pré docte) sans traîner ! fissa est la vérité si tant est ! on ne doit en aucune sorte lambiner si on veut tracer (à main levée) la bête de somme (Vérité des Vérités). On est femmes nées (d'une roche) dans la mort , transformées en frée, deux femmes pour une fée, voilà le compte .
Deux pour une et les vaches (dit-on) seront bien gardées , mèfle !$
On veut durer.
On a méga-envie de durer, de cerner ensemble un grand nombre de données liées à la mort. On veut toucher à une déité frontale, genre pariétale : une armée de bêtes groossses, aurochs et biseonnes, buffles et juments de roche. On veut tracer = filer = dire vite fait son propre fait qui seraéit cette chose (en vrai) comme quoi voilà : on était un homme, on s'est (dans la mort) transformé en femmes, ailes dites "des données", formant fée de base', fée des fées pour une embase de type "denré"ée, offreande, don de lait". Qui on est ? des fées ! fortes soudaines ambrées nacrées lactées ! Fée d'herbe ou alors fée en herbe !
On veut toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher tyoucxher toucher toucher à ces nénés de cimetière ! qui on est ? des nénés ? on ne sait ! on est pas des fées nous-mêmes avant de nai^tre fée en vrai ! on a besoin de traverser la roche (surnuméraire) aurignacienne auxsvdonnées données p)ar (peut-êtte ?) des fées dites "de cfimetière" à jamais (à jamais "de cimetière" ?).
On veut toucher (en vrai) de rage , les donné&es, données doctes, les données données , données données doctes, type "denrées = dons = LAIT ! ".
Lait des féesn ! on croit rêver ! rêve-t-on ? pas le moins du monde ! on est né- su!r terre pour tracer jusqu'au cimetière où pouvoir trouver (en tant que fée, homme transforlmé en ailes de fée) le lait de sa Bête ! On aime ! like au jugé ! coeur d'acier ! coeur surnuméraire on aime ! on veut aimer, faire, dire et charger, cette bête des prés, lui donner de l'herbe, la soigner en herbe verte : verbe ! traits tracé à main levé comme d'une bhête desb données rupestres (buffle d'oc).
On a ensemble envie vraiment de nous aimer-aider en tant que femmes allouéesz ensemble à une sorte de donnée, de type cha&rrue, soc d'oc ! et on trace (traits) pour la parade (paradis) au pied levé, ça le fait !
On veut de fait enwemble, devenir la Fée, F2e des ombres ? Fée des fées ? On colle aux ombres, aux parties molles, aux endroitsz mouillées pou r mieux traverser = passer, passer et du coup traversert pour dèsz lors enwemble, nous retyrouver, comme tombées, de l'autre côté , femmes. Tombées en tant que transformée, femmes (deux femmes) sur pré ! ça le fait ! dingue et même plus que diongue ! ... "taré " ????? on ne sait ! on cherche à connaoitte, mieux (toujours) , les données données offertes ouvertes,; si tant est ! si jamais !
On 'st cfomme accolées à une sorte de cimetière aux données tracées, données comme du petit lait ! lait de fée ?
On a envie ensemble grave de tracer un certtain nombre de données de base, données fortes-folles, comme (pour le coup) doublées de lait (sucré) comme acidulé, vivement sucré on dirait.
On veut toucher à cette déité lactée ! vache des prés ! vache à lait avgec ou sans lait on en recdemande ! on est fée des fées ou vaches à lait on ne sait maids grave on veut comprtendre et vite, sans traîner, car le temps défile qui nous voit veillir et nous ratatiner ou comme nous ratatiner sans nousprootéger, ou sans plus (on dira) nous protéger ou nous soulager.
On est F2E, F2E des voix, Fée des fées des voix de l'au-delà.
ON VEUT GRAVE ENSEMBLE COMPRENDRE QUI ON EST EN FAIT DE FÉE. On est qui ? quête ? marchand d'allumetezss !
On est qui ? "quête ! marchand d'allumettes , si t'en as pas t'en achètes, rue de la braguette ! ". On aime ! coeur du foie ! On veut grave cerner, toucher, comprendre, dérouler, comprendre, chercher les clées, le sens de la marche . Des données. Des tas. Des tas cde DOnnées de type "véritées", ça le fezrait. On serait les reines, Reines de sab a, Roi des ROis Chargés (toutes et tous) de victuailles dorées, ça le ferait ! On veut e,nsembke grave ma,nger, boire,et auusi chier , pisser, etre Vache à Lait et se comporeter comme exactement la vache sur pré se comporte en vrai. Brouter mais chier, boire mais pisser ! ça le vfait ou ferait grave, c'st un fait ! ça parade ! ça envoie ! ça gagne ! ça charge du bois ! Qui on est de fait ? eh bé ... Fée des Fées des Bois de COntrebande : charge mentale ! Fichtre, on e,nvoie ! on voit ce qu'on voit et du coup on envoit come à la parade (sur paroi) les bêtes de charge, l'antilope ... sarde ? on ne sait pas sa provenance ! On est là pour com)rendre. On avance à pretits pas. Il faut nous comprendre. On est là pour ça, comprendre, mais à pertits pas car on peut pas, de fazit, aller , nous dirons, " plus vite en vérité que la musique" , voilà l'acmé ! le dire des faits ! la musique oui, active à son rythme, x données dites "des vérités" , et du coup ça le fait ! la musique ici est vivacité, qui en vrai, dicte ! donne le tracé, charge la donne, pond son oeuf de Rome, ne peut autrement donner que comme elle fait ! musique du vivre (dans la mort) la (vraie) vérité des corps, âmes, tourments et supplices, chants des Reines et rOis.
On est nées Fées de RAge en cette chose d'une sorte de parade ! effroi ! chance ! considérations de b ase ! vivisections ? On enttre ! on est deux de base à la décharge ! on veut grave devenir la Fée des rages ! On va (veut ?) être comme aidées , soulevées , soupesées et soulevées ensemble, par un vent de face" ! vrai !
On a envie méga d'aimer , e^tre soulevées par(ici) VENT ! VENT donné ! VENT DES CONTRÉES De RAGE, ou contrée de la rage, d'être (en fait) nées nues du cul de l'antre ! VIVE LE CUL ! vive l'âme mise à nu au paszsage, on entre !
on entree comme dans un cul !
on entre grave comme dans un "cul de base" ! on veut comprendre = toucxher ! on veut grave toucher = comprendre, sans traîner, ce qui est qui nous fait face . On ne veut guère lambiner mais au contré&ire, toucher et donner, donner et toucher sans attendre, filer ! grave tracer ! courir sur le pré et aller, ensemble (main dans la main) vers ce muret de contrebande tant cité, décrit, nommé, alloué ! On veut toucher à ce muret des anfractuosiçtés dites "de contrebande" car en vrai, ce muret est muret des rages ! des rages allouées à une vérité ancrée, fistée, entrée, de type enculage de donnée donnée comme par la bande et on se tait ! le fait est tracé ! merde au données ! on est collées !
On cveut grave comprendre x données, de quoi on parle, ce qui est , qui donc est qui en cette sorte de charade allouée à un dire sacré , qui parle, qui est,, qui se pavane, qui est autocentré, qui voile, qui se taitb ou au contraire parle (vif) , et diu coup dévoile (qui sait ?) ce qu'il a en lui de plusancré qui serait caché ou sinon caché masqué : qui ? ON cherche ! on cherche à vif ! on veut toucher, on veut croire; dire et aéller comme à la retombée sur roche d'un pré, et tracer , dessiner à maéin levée une sorte de bête allouée à une vérité dite "de cimetière et autres terres aux corps sondés". On est devenues bêztes à tout jamais, du fait que voilà, le VErbe est passé (qyi ne passe pas , en vrai) à jamais !
vie des bêtesz. Vies de betes ailées.
Ici la vie des bêtes ailées. VFaches à lait.
Bêtes bêtes, betes des prés . BeBelles bêtes des prés. Betes-verbe. Betes-mots des prés. Vaches des prés bêtes. Betes-Vaches des prés bêtrs. Vaches-bêtes des prés bêtrs. Vaches sur pré allouées à une terre dont le nom est cimetières , cimetière des données ou aux données de type vérités des prés. On aime ; du coup : on like, à jamais, pour la parade (= p$paradis rupestre et autres vies tracées, comme au pied levé).
6/9/2024
On a méga envie ensemble de cerner
au plus près les données d'une sorte de vérité déployée ou qui en vrai serait comme déoployée à nos pieds. On regarde ensemble. On est ensemble pour cerner, soit toucher à une vérité. On ab méga envie pour ainsi dire de cerner et d'en avancer , et pour cerner ensemble et en avancer, on doit pouvoir creuser, êttre en capapacité ensemble de creuser profond, d'aller loin, de s'immiscer ensembkle dans les profondeurs (ici même) de cette paroi
ou sorte de paroi dont le nom pour le coup est "DOnnées " . Ou : "données des Données". On en avance parce que, voilà, on croit à ça, à cette chose, à (ici) ce train de vie, comme un allant , une sorte d'allant ou d'élan à même la roche. On est accoléres ... parce qu'on s'aime, ni pluds ni moins ! On est ensemblev, accolées, parce que voilà, on ss'aime énormément, c'est-à-dre qu'ensemble on fait cotrps , on est super unies, on est deux ailes pour un être ou même, pour être, ici, cette sorte de Fée du Logis, du logis de l'âme ou de je ne sais quoi qui vole et vire, va et vient en cet antre des données Suprêmes/ Donc
voilà. On est là ensemble pourr ça : cerner que tu cerneras , etc. On en avance oparce <u'on y croit, ou du moins parce qu'on veut essayer , d'y croire ++ , d'y aller ici de notre envie, de passer ensemble qui le nez qui la
barbe, et du coup se retrouver ensemble de l'autre côté, côté pré. On est dans un pré. On regarde (tranquilleùment) les alentours, ce qui se trame (ou pas) près de nous, ce qui se passe ou trame, bêtes de la joie, bête-poids. On les regarde +++. On a envie grave de les approcher et de les toucher. On a envie grave de nous appreocher de ces bêtes de poids qui sont bêtes de joie (allégraesse) qui nous matent grave, nous regarde nt en vrai comme si (qui sait ?) on était toutes des extrra-terestres ! dingue ! Sommes-nous des extra-terrestres ? peut-être. Qui en vrai sait ça et peut (pourrait) nous aider à y voir clair, ici- bas ? Bé, peut-^tte en vrai : personne !!!! personne en vrai qui sache dire , expliquer, rapprorter des choses en vrai ! On espère mais en fait jamais ça n'arrive, jamais jusqu'à au jourd'hui on peut dire que c'est arrivé , que quelqu'une ou quelqi'un se pointe ou se pointaât et vînt à nous dire ce qui est en vrai en termes de vérités avérées, de vraie vérité des vérités !! Oubliesc : jamais !et c'ssetvraiment dommage ! parce que nous, voilà, on adorerait ça, que quelqu'une ou quelqu'un, quelqu'un ou quelqu'une vînt à nous (nbous deux) nous dire ce qui est en vrai, les donné'es Suprêmes nous les exposer, nous les donner, nous donner une sorte ou un xwemblant de vérité qui eut pu nous aider à comprendre la mort ce que c'est, et tout ce qui reste à cfomprendre, toutes les données données, les petits faits, la vie en ses attraits, etc. On est super ensemble curieuses vraiment, d'un tant siiot peu s'approcher d'une sorte de "v érité scellée
" si tant est. franchement ce serait top, m^rme topissime. On est super friandes de pareilles offrandes ! on adore (nous deux) (pareil) pareilles offrrandes : dingue ! dingue comme on adore ! Ah si seulement on pouvaiot comme ça (au débotté) comprendre, accueillir,
emmagasiner des doonnées qui soient fiabkles, concernant la mort, ce serait top ! On a envie (auprès des bêtes de paroi) de (pour le coup) cerner grave (graver ? ) ce type de données Sup^rêmes , Suprêmes des Féees. On a super envie ensemble de nous approcher d'une sorte, en soi, de (disons) Véroité des Vérités, de type Bison, Bisonnée, BUfflette et buffles cendrées, Antilopre$es au pas chassé, etc. Toutes ces bêtes de paroi sont bêtes-mots de rage, faisant (grave ! )poids dans la balance afin de faire accroire aux dieux des Envois, que voilà : on ne se moque pas cde leur figure,; on donne de quoi, on est pas là pour se moquer de leur minois et autres face de rat, on pèse ! on fait poids ! on baise, on est là pour ça : donner ! donner à cette Déité, à ces Dieux des Féeees, à ce Dieu olé-Olé, eh bé ça, ce tralala, cette ribambelle d'animaux Suprêmes, de bêtes affolées, RAge d'être. On est comme nées nous deux dans un pré au milieudxes bêtesdans la mort. On est comme nous deux nées de fait ensemble côte à côte dans la mort, au milieu des bêtes qui pèsent. On est comme nées sur pré au milieu des bêtes qui baisent, pèsent, font effet ou font de l'effet auprès des divinités. On est accolées aussi parce qu'on ne veutsurtout pas se lâcher ô grand jamais ! On veut grave ici rester soudées comme on est ! coll"ées = accolées = serrées. On est côte à côte serrées accolées comme dans
une tombe (on dirait , estce qie c'est vrai ? on ne sait pas ! on cherche ! on va ! on avance pas à) pas au sein dxes connaissances) . On veut cerner parce qu'on est nées de fait dans une paroi, dans une sorte de paroi contenant qyuoi ? contenant un pré ,; une sorte de pré, une sorte de prairie quasi "minée" on dirait ! On est nées d'une sorte de RAge à n^aitre fée, de fait, dans un pré. On veiut toucher la bête aux fées ... pour devenir Fée ? On cherche ! On a méga envie de cerner un grand nombre de données de type "cimetière" si on pouva it. On est accolées pa rce qu'on s'aime et
parce que voilà, on veut toucher à cette chose là, là bas, à) ce tas, à ce tas de bois, à cette chose là-bas, d'une sorte de tas de bois, ou de tas tout court on sait pas de quoi, ce genre de choses. On est néesz sur roche fa ce au tas ! On veut comprendre. On a envie ici de comprendre, de toucher du bois, de cerner, de tracer, d'aller en ce pré à vive allure (tracer) jusquà cet endroit là-bzs , qui semble nous mater ou nous regarder sans s'arrêter, qu'est-ce qu'il nous veuit en vrai ? cherche -t-il à nous déstabiliser ? à nous vfaire chuter ? à nous troubler ? à nous faire du mal ? Onn avance ensemble pas à pas, vers ce tas, tas de bois ou pas, pierre d'angle ou pas,champ des rages ou pas , on ne sait pas. On en avance ensemblke fissa à petits bras ou pas mais on avance ! on est là ! on est au rdv de l'âme ! on veut comprendre alors f orcément on essaie d'aller profond en cette
grotte "des tourmentrs et autres vilénies" de l'âge (des âges) . On dira. On est là ensemble accolées, cernées de base, et du coup on essaie peu à peu, à petits pas, petites
enjambées sur terre allouée, d'en avancer, de marcher vers ça, là-bas, tas de sable ou tas de bois, qui sembleraiot comme nous attendre, on dirait, au pied levé. On rzegartde.. qui on est pour Ça ? ben ... on ne sait pas, vu qu'on est changées ! qu'on est deveznues femmes (FAme) à la retombée, à la retombée des âges et dans la mort. On est devenues ensembkle tout à coup, au passdage, nues, des femmes ! grave ! grave on est devenues ! Jamaios on aurait cru et pourtgant voilà, c'est un fait avéré, vrai, inscrit en vrai dans kle registree des données de "l'âme" pour ainsi dire. au passage (de vie à trépas) on est devenues femmes autant qu'avant on pouvait être, en tant qu'homme, homme au singuleier. À présent voilà ! Femmes au débotté ! femmes ancrées dans une rochze dite "aux données", on est nées ; et on est nues. Nées et nues. Nues et nées, et nées velues ! On est nées nues et velues, sur roche, paroi molle, pierre d'achopppe ! On était ensemble avant des hommes ou même homme (ou femme = humain /
hjumaine isolées !) , et voilà qu'au passage on s'est retrouvées comme nées Fées, enfin fées, disons Ailes = Elles. On est nées sur pierre (rocher) fées, c'est-à-dire transfor(mées en fée
, . On est passées à travers la roche vers la mort ou dans la mort, pour (dirait-on) devenir Fée ! une fée des fées ! On veut toucher à cette chose d'une sorte de bête énorme , genre cerf géant ou même Bison Vif, et une fois la bpête touchée, tracezr ! tracer à toutes enjambées vers cette déité des bouts de roche ou rocher : finalités, cloisons ultimes et données scéllées. Vers cette Déioté des bouts de bout. Bouts aux ombres et autres clartés cachéessi on y regarde de près, si on se pencxhe un tantinet on voit la chose, la clarté ancrée, cette sorte de faible luminosité à son approche, et puis la cghose (la lumière, l'ensoleillemùent) se met comme à s'allonger ou s'étirer ou se dfila ter et là, plein feu sur le nacré (le nacre);, l'ambre alloué à cette Déité des Données Rupestres. On essaie bien sûr enxsembkle de ne pas y passer et de tenir droit, de tenir en vrai méga droit sans flancher, sans se laisser aller. On est nues parce qu'on est passées à travers la roche, on a perdu nos tenues au passage, on est devenues nues enwsemblke quand on est passées, quand on a traversé (de rage) la paroi aux bêtes (à la nage ? de rage ?). On est comme vues nus (de base) p âr ici une sorte ... d'oeil de vie ! Oeil de vie de Poids. Une sorte
de Voix nous parle ! On essaie de comprendre. On veut colmprendre ensembkle . oN veut toucxher à une Déité de Poids (charme) "qui le f asse", qui puisse nous donner de quoi enfin comlprendre les données, ce qui est en vrai et ce qui n'est pas, pas fiable, etc. Peut-etree qu'un jour on y arrivera, à ça, comprendre. Comprendre grave les données rupestres, dessins de paroi, chants de charge, poids des Rois, Reines et Rois de co,ntreba,nde. On a grabve eznvie de comprendre, et aussi du coup de toucher à ette sorte de parade dessinée, à ce cghant total aux données rares ! aux données de charge. On est accolées, on marche, on avance sur un pré, on veut se rapprocxhef ainsi accolées ou sezrrées. La cloison finale,
lA cloison finale esst située eh bé en face ! On y va tout droit ! On veut cerner ensemvlble les données de base, ce qui est
qui charge, passe, vient, s'ouvre, etc. pour soi au passage. On y croit ! On est ensemble là pour ça : co:mprendre et y croire. On est nées fées sur pré parce qu'on est passées comme à la parade (ensemble) femmes (au pied levé, e,n transe) et on chante ! grave ! on y va ! on chante à tout va ! à tue-tête ensembke ! On trace ! on chante , on charge . Chanter = (on dirait) charger. Va comprendre ! Va y comprendre quelque chose, à tout ça ! On essaie ensemble (en tant que femmes nées, et nées dans un pré, au milieu des bêtes, des bêtes de somme) mais ... comment faire , hé ! Comment faire en vraéi pour cerner -comprendre ensembvkle les données de base qui (ici, en face) sont dressées, comme pour nous (mieux !!!) embobiner , qui sait ? On est nées fées sur pré. On est des fées de base sur un pré. On avance sur un pré en tant que fée (= deux femmes). Une Féec = deux femmes (l'homme ? en c endres). On eesaie
traquet traquet d'en avancer (si possible) dans les conn aissances concernant la mort, le langage , le langage de la foi, le ou les langage.s articulés, qui sont lang ages parlés, dits, dits sur roche dure. On avance pas à pas, on charge = on chante
😀
On veut :
Comprtendre ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ ce qui est en face, ce qu'on voit, ce qu'on voit qui s'offre, qui s'avance, vient, va et vient, s'approche on dirait de ça = soi = nous autres = nous deux = MOi = cette Chose = ce (ou cette sorte de) tralala en formes de ... Bosse ? Bosse-bois ? bosse en bois ? crosse ? oh, on sait pas ! On cherche à comprendre tout ça (de la mort à l'oeuvre et autres tralala) mais, en vrai, on ne sait pas ! La crosees ? la crosse de quoi ? d'une sorte d'armada sur pattes ? l'anuimal des bois ? Cerf de (ou du ?) courage ? On voit quoi on voit la paroi ! Le vent en face est viçf et chaud, qui nbous cingle le visage. On veut nous deux cerner , toucher du doigt les données de rage. On est nées "sur place" sur paroi, Fées des bases, des Envies de vie, Fées de Rage. obn est nées Fée ! Fée-Foi ! On a méga envie ensemble de comprendre, en quoi cette chose est ... reévolutionnaire ! Oh peuit-^tre pas tant que ça en vrai ou quoi ? On est nées Fée au paszsage (de vie à trépas) et c'est en tant que fée qu'on va plus loin ,, ttout au fond du pré, chercher, essayer en vrai de dénicher, creuser, essayer de
cernezr, une sorte de vérité concernant ... ce qui est ici (Royaume du Trépas) qui nous invite à pour le coup comme nous avancer, vers un trou, trou de boue, trou de terre, trouée par terre ou comment ? fosse et mer ? On est Nées ensembkle pour aller (nous dirons) chercvher ... pitance dans un trou ! charger = chanter. On est nées Fée sur paroi-aux-bnêtes (parmi elles) et à présent on veut continuer ou on voudrait continuer, sur notre lancée et aller plus loin dans les connaissances concernant la mort. On dira donc, que voilà : la mort (en soi) est une encklave
, un pré, de type paradis sûprême, Paradis des Paradis. La mort est donc ce pré ou paradis (pré et paraadis c'est pareil). La mort est une encklave de la vie (ou dans la vie) : bulle d'air ! vent de folie ! fée jolie, bruits de mer). On est nées Fée en Par adis (p aradise) et on avise ! On voit ! on reg arde ! on est au milmerieu (au beau milieu) des données fortes, des données de poids : on voit ça. la mort en ce cas, est une
sorte de , Para dis des Paradis : ok. Enclave "marine" ou "maritime". pré a ux fées, aux bêtes allouées (dites "de cimetioère"). On est nées fée comme à la retombée quand on est passé, quand , en tant qu'homme au singulier , "à la une à la deux" on est passé ! on a traversé et du coup on s'est retrpuvé, en ce par adis ... eh bé tout chose ! c'esst-à-dire transformé ! transformé en femmes ! deux femmes (deux ailes) pour (en vrai) faire Fée, être Fée ou cette Fée de contrebande, des données de base liées à la rage, à la Rage grave, d'êztre, du coup, passé seul (sur patte) pour se retrouver comme ailé de base, ailes au taquet !, va et vient sur pré , charge fronrtale, vivacité, vélocité ,chance. On est devenues Fée au passage : la FéÉe-E ! La fée grave ! On est née fée sur pa-ttes dans un pré : mort des anges, mort donnée, mort de l'homme et donc naissance de la fée des Plac -ges. On essair$e enwsembkle de nous rapprocher , de cettte sorte de muraille (terminale) = ce fronton. on essaie ensemble (ici même) et comme (pour le coup) soudées, de cerner-toucher, comprendre et graver, dire et faire cette sorte ,
dire et faire ensemblke, cette sorte
en vrai de vérité supr^me , la sceller, l'inscrire comme à tout jamais, dans la pierre ... "aux données Suprêmes". on est nées (dans la mort) fée : voilà ce qui est. Gravons-le swur pierre ! On est nées Fée dans cette chose d'une sorte d'encklave de vie, d'enclave contenue (en
vrai) à l'intyérieur de la vie, on dirait; Du coup, la mort est cette bulle (ou bulle de temps, ou d'espace -temps) qui est bulle insérée dans une sorte d'infini sacré (nacré) ou d'infini de vie ou de la vie. Enclave)-bulle allouée à une sorte d'immensité "lacustre ", mer des données données, océan de ruse , vents nature ! On veut toucher ! on veut se rapprocher du bout du bout. on a envie de toucher loin, à l'intérieur du pré, les donnéesz données de cette "ruse" mentio,nnée. , ici notifiée. On est Femmes nues sur roche nue. On veut toucher la mort de prés, disons : gambader, aller /venir ensemble (à grandes enjambées) dans ce pré , au milieu de toutes ces bêtes (velues) qui semblent ou sembleraio'nt nous regarder avec peut-^ttre de l'étonnement , qui sait ? est-ce que les b^êtes (ici) s'attendent ou s'aéttendaient, à nous voir arriver près d'elles ? sont-elles habituiées à croiser des Fées aux données Suprêmes?aiment-elles nou!s avoir près d'elles ? On est nées fée sur rochje à la traversée ou à la retombée et à
présent on se promène d ans l'herbe au milieu de toutes ces bêtes représentées, dessiné&es ou gra vées par l'^tre(homme-femme) des c avernes ! On est insérézes . On est AiLes ! Ailes de Fée à jamaos ... ou disons : à jamaios ici -même sur pré (champs des do nnées données) . On esqt cernées, entourées, cloisonnées en v rai (cercle) et du coup on aimerait sortir enwemble (ailes) de ce pré, de cet ancrage. comment faire ? comment
faire pour comprendre ? pour aller , toucher etpasser : comment s'y prendre ? faut-il aller ensemble chercher à passer (de rage) à l'abordage ? doit-on pousser comme des malades ? comment faire ? On est nées sages, bellesfées des passages. On a super envie de comprendre par ùoù passer, commùent faire pour tracer, charger, cerner de base x et x données, qui nouds permettrraient de comprendre ce qui est en vrai
, ce qui se présente, ce qui est comme à nous attendre au-delà du tas, des données déposées comme par contrebande sur paroi. On Regarde . On est accolées. On veut toucher ensemble et traverser, cerner, passer, voir et ressentir les choses d'une sorte... d' "après" (de base). Un "aéprès les nénés" ? un "ap^rès" quoi ? On est accolées en tant que fée (ailes d'une fée = femmes nées ) et du coup, on vole ! on
trace ! on avance à pas comptés. On veut comme toucher ensemble à cette déité des données sacrées, d'une sorte de paradancrée, innée, allouée à une charge (un chant) attribuée (proféré). On avance ! pas à pads ! comme par miracle ! le miracle de la foi dans le langage articulé dit "de contrebande" d'une sorte de paroi (voie) qui ... nous ressemble ou nou!s ressemblerait, au niveau de l'image, des données visibles et autres traits d'attraits. On est nées Fée comme à la retombée, et on tente ensemble une nouvelle traversée, cette fois comme à) contrevoie, à la rammasse, comment dire ? en ... chargeant la mule (la paroi) de tout ce qui'on a en soi en termes de rage ! Chargeons ! poussons grave ! gravons et gravissons ! gravissons et gravons ! allons haut de bhase sur paroi des Rois et Reines ! On veut comprendre les données s uprêmes ! toucxher, au -delà du tas, les données allouées à un "espace-temps post-cimetière
" s'il en est , soit : hors l'enclave de la mort à l'oeuvre , au delà. ET au-del:à y a quyoi ? eh bien ... on dirait que oui ... a&près (en dehors de) l 'espace de la mor t (ou
enclave), espace (de la mort) situé (de fait) ici même, à l'intériuer de la vie, il y cet espace eeh bien ... toujours le même : les entours ! Car la vie est colmme un océan sans fin (non terreswtre : céleste, cosmique) et la mort l'enclave insulaire, une sorte d'enceinte toute de forteresse . On est cfomme nées Fée, au passage (de vie à trépas), pour comprendre cet état de fée (d'une mort insulaire, vie à l'infini sans terme, à l'infini et dès lors sans terme). On est née Fée de Rage, Fée-Foi, Fée de la Foi et des Paysages. On vole comme des fées parce qu'on est (dans la mort) devenues fée ! On regarde ! on cherche à cerner au-delà de soi, au delà du pré et de la paroi (la paroi d'enceinte) ce qu'il y a. La vie ce que c'est pour szoi , pour soi-même en tant qu'on est devenu fée, au passage, au débotté. On essaie ensemble de comprendre les données profondes
, contenues en roche, ce qu'elles (ces données) contiennent de plus ancrées si jamaios et cette chose, cette recherche) nous tient fort à coeur (au coeur) car voilà : on aime ! on aime chercher, dénicher, fouiller, chercher dans du Verbe une Vérité ou sorte de Vérité en Herbe ! On aime l'herbe, les fleurs de type pâqsuerettes
, fleurs des prés on aime, fleurs allouées à une sorte de pré de type champ chanté, chant des Fées, chant du Passé. On est des fées chanta,ntes ! fées qui vont et viennent sur pré (à la volette) , en chyantant pa rfoisz à tue-tête, parfois pas. On est nées sur pré en herbe , on volette , on a super envie de troucher-cerner une vérité qui sera&it de fait liée à une sorte de donnée des Herbes. On cherche ! on cueille ! On veut allouer à l'herbe les données du Verbe (si tant est) . On est nées sur pré pour être aussi Herbe ! Herbe Sacrée ! Herbe des Herbes (comme du Verbe). On est nées Fée sur Herbe pour ... qui sait ? brouter ? ma,nger manger manger sans cesse de l'herbe, bête des prés ... vache à lait ? Fée )-Vache à lait sur pré ? On est née Fée parce qu'on aime l'herbe ! On ne peut pas s'en passer. On adore l'herbe des prés, des chemins tracés, des voies allouées aux bêtes de somme et autres champs aux pâqurettes (fines pâqurerettes). On veut toucher toucher toucher ensemble et comme de concert la chose, ici, tracée = trait ! trait des
données ! un trait = une clause. On veut toucher = aller ! Faire son chemin de ronde, inspecter les abords de la chose (cette enceinte de la mort à l'oeuvre) . CFomment cerner ? qui croire ? sommes-nous ... D ;;;; C ;;;;; D ? autant que née fée ? Sommes-nous DCD auta,nt (ouà égalit é) que nous sommes Nées à une vie de fée (sur roche sondée) ? Sommes -nous et mortes et en vie , e,n ce pré-paradis ? Sommes
-nous (en ce prparadiis) et mortes et en vie : les deux choses, consacrées ? Nous nous approchons d'une sorte de paroi finale
(pour la cent cinquante millième fois peut-^tte) :
on regarde. On cherche à comprendre = voir/ a comprendre les données de base d'une sorte de paroi finale, dite
"Paroi des 😀 Parois".On est
accolées, on est comme collées , accolées-colléezs l'une l'autre ou l'une à l'autre. On a -envie d'en avancer fissa au sein des données.
On est nées Fée (une Fée) en ces contrées dites "de la mort à l'oeuvre", et forcément ça pousse à penser, à enviçsager du coup "la suite", ce qui pourrait nous arriver, de vif, de corsé ! en termes de données finales ou terminales si jamais ... mais on dirait e'n vrai qe (qui sait ?) les données finales , ou ces données finales ou terminales, peit-p^^tre, ne sont pas, c'est-à-dire qu'elles n'existent pas, qu'elles sont imagin aires, qu'ellesne vivent opas dans les termes ou le parlé de bhase, qau'elles n'existent nulle part sur terre, ni même dans les airs. En ezffet, il sezmblefait que des données dites "finales" ne sont pas vfinales en soi (sinon en tant que fin de tas, ou plutôt : tas de fin). Parce que voilà : à partyir de là : la paroi, la Paroi du Roi , de lA reine et des Princes des Voix, à partir de cette paroi , commence ... eh bé ça : le sommet ! la plage ! l'océen des rêves, "baise-moi le ciel t'aidera", "touche-moi la vie sera ", "aime-moi et on y verra clair (en pleine lumière)", "chante moi tout bas et on saura ", déshabille-moi et je serai à toi (en Herbe) l'Herbe"". on regharde à
travers la paroi, le sang, les choses viçtales, le tic tac ... whaouh ! On veut toucgher à cette
chose rude d'une sorte de paroi des finitudes (de la mort à l'oeuvre) et des commencements (des données rupestres : champs, à perte de vue, sur une étendue). On est Fées -bêtes belles, belles bêtes = grasses et groossses bêtes d'abordage. On aime êtree ELES ! AILES ! FéE des vies allouées à de l'Herbe des pré (à brouter). On est Des fées de contrezbande comme par chance, qui voulo n s toucher à cette Déité d'une sorte de Chance accordé à une Fée ici des Fins de Cercle et auttres enclaves Rupestres. sommes-nbous de taille à comp^rendre, en vrai, ce qui est après le cimetière ? L'infinni sondé ? l'immensité bleutée ? Mer des Rives ? mer des données comme allouées à une dérive (à jamùais) sur
"AIR CONGRÉS"
? ON ne désispère pas de nous y retrouver mais c'est un fait, que la chose en soi n''st pas si simple qu'elle aurait pu, ici, sembler l'êttre, ni simple ni même facile à cerner, mais tout le contraire. on voit des chosesq, on remarque, on note (on prend des notes) mais de base on cale ! souvent ! fréquemment ! cfar voilà la chose : on est nées homme , on meurt en tantb que femmes , deux femmes (en vrai) à la retombée, dans une fosse (d'un pré), on est enterré mais lmes ailes montent, elles,,,,
vont et viennent (vol!ètent) à jamais hors cimetière ! Elles, elles sont nées sur herbe (pré) en tant que fée, qauand nous , l'homme au singulier, mort et enterré, est scotché de fait (à jamais) à la terre, pauvre hère, bien fait, il n'en valait pas plus la pêine ! il ne valait guère la peine d'êttre conservé ou prolongé vu le caractère. On est nées fée Suprême ! vive donnée ! ça le fait ! et sur herbe qui plus est ! On est nées sur herbe verte, chants du coq, voix du coprtps, chants celtes (sveltes) et faux accords ! On est dans un cimetière, mais la fée, elle, sait (très bien) s'envoler, s'en échapper, s'envoler de ces deux ailes,
et du coup s'échapper de ce semblant de cimetière aux données rupestres (paroi d'or, roche des données du corps). On s'est envolées ! on vole on court ! on est des fées de cour, cour romaine, céleste, chantée. On est des fées post-cimetière car on sait voler ! on est moins bêtes que la moyenne ! fée des fées on volette et du coup, houp, on sort du cimetière , à jamais, horrs pré, hors prairie rupestre, sorte d'encklave aux données animalièresq ... on l'a dépassé ! on est cfomme à présent allouées à des données de type céleste, champ d'azur, ailes au vent frais . On cherche à cerner un certain nombre de données célestes, de données des données mais ensemble comment faire pour s'y retrouver, quan,d on s ait pas parr où passer, où
s'avancer, vers où aller en ce domaine des clartés et autres champs donnés du Verbe comme alloué à une sorte dee "Lumière Sacrée" (?) , qui sait ? On est Femmes fées, Fe"mmes aux données données grâce aux fées , et au fait des fées. Qui on est ? AILES ! AILES d'herbe ! hé hé ! une aile ! une sorte d'aile allouée à une vérité céleste. On Veut cer ner encszemble si possible un grand nombre de données, et chercher du coup à passer à travers une sorte de ... passage (oui) aux donné&es donné&es, par (ici) la bande (celle du p arler, du Verbe sacré, dees mots de rage et autres termes animaliers). on est nées femmes sur pré. On est néesz Felmmes fées. On est nées Fées sur pré. On est nées Fée-femmes. On est nées Fée sur herbe par la bande et nous voilà commê a&llouées (de base) à une sorte de paroi aux données vives, chaergées, vraéies. On est entrées ! On veut toucher à cette sorte de.... vie vive , corps velu, animzl poilu,charge maître, tracé sur paroi des fées, bêtes dessinées. On est nues velues poilues non épilées = fée s ! On est des fées non épilées ça le faéit ! on plaît ! on est fée non épilées des nénés, du sexe alloué, des aisselles et de la ré, qu'est--ce qu'on en a à braire ! on est ! on est belles ! belles bêtes des prés ! vives et colère d'être nées sur herbe à jamais sans verbe ! ou sinon sans verbe sans ailes ? sommes nous des bhêtes nées sans ailes, genre vaches sacrées laitières (ou bisons futés) ? Sommes npous des bêtes fées , ou non : pas fées ? Sommes nous des bêtes des prés genre buffles cernés,, bisons futés et autres
ourses des cavernes, ou non : fées ! des fées ! des fées ailées ! Sommes-nous des fées ailées ? sommes nouus des vaches ailées ? les fées ailéesz excistent-elles ? et, les vaches ailées à lait ? avons-nous des ailes ? portonsz-nous des ailes sur pré ? sommes-nous des fées à ailes ? sommes nous des ailesz, ailes, elles, fées des prés avecv des ailes comme déployées et on volette ! on ne cesse en vrai de voleter dfepuis qu'on est nées (dans la mort à
l'oeuvre , on dirait) ? On essaie de sz'y retyrouver mais évidemenmmrnt que la chose est loin d'être actée, complète, certaine, avérée, située, donnée, comme stipulée ; on regarde "par la fenêtre". On regarde ici ensemble si on peut "par la fenêtre"; on regarde à deux, on se rapproche, on veut voir le feu, les ondes, les données marines,
les sortes de vagues,
les sorrtes de vagues allouées à une sorte de marée. On mate ! On mate grave. On est posées. On regarde sans sourciller, posées, on mate depuis où on est : la Rage. On veut de préférence et si possible aentrer (en ce roc des finalités) et regarder ce qui est. Regarder sans y passer, ce qui est qui est, en termes de données données, dopnnées vives, données des données. On veut toucher à ce rocher des contrebandes et du coup traverser (fissa) sans tarder ou traîner , et surtout sans succomber ! sans y passer ! on veut passer un oeil, un memebre, le nez, l'oiel sage, le nez des nez ! comment passer un nez ? vcomment un oeil passer ? comment tu fais pour passer un nez , un oeil, des lèvres, un sexe pointé, un petit véhicule alloué à une sorte d'immixion (pénétration) de Saturne ? On est Beauité Sacré des
"FinitUdes des Preés" , on dirait. Et du co!p on est achapeautées ou comme chaépeautées ! couvertes à fine allure, on est comme des fées Beauté, Fées des fées ! Grasses naturevives d'allure et chapeaiutées on est ! On veut tracer ! charger, toucher, collzr, essayer de s'en tirer sans se blesser, coller à une dune,; à un mont pelé, à un tas de sable centré, à une sorte de mont de Vulve. On est qui ? Quête, d'une sorte de vil ministère ! l'entubé ! le qui veut passer = pénétrer la roche , la dernièere : comment faire ? comment faire pour en vrai passer et coller aux données Suprêmes ? y aller de son chant de terre ? mais comment chanter : à tue-tête ? comme les fées quand elles s'y perden, voire perdent pied et ne savent plus où donner de la tête, te'llement elles sonht paumées et ne savent plus
comment se repérer ? on est fées de fées ! AILES, AILES AU DÉBOTTÉ,
AILES DES PRÉS. On est comme des ailes sur corset, avec forcebretelles on dirait, robe de fée, de f"ée szvelte et ondulée. On est cfomme fée ondulée ! On cherche à cerner ce qui est en fait d'herbe des prés et autre Verbe des COntrées Pöst-cimetière. La vie est-elle éternelle ? la vie contient-elle en elle l'encklave (l'enceinte) "MORT" ? La vie est-elle une sorte de contrée sans fin (= céleste) ? la mort est-elle "située", délimité, agraire, réservée à des bêtes "sommaires" et autres hommes ou femmes trnsformées, au passage , en fée ? doit on mourir pour renaittre ? doit-on entrerr en ce royaéume post-cimetioère, puis le retraverser et dès lors revenir com^
(un peu) e,n arrière, du fait que voilà, la vie est partout présente tout autour de nous, qui influence, résou grave les énigmes, joue de nous et en dehors de nous, chante grave ! chante sa&ns arrêt ! chyante que tru chyanter as , et nous bien szûr on aime ça , le chant, la chansonnette, la parade, la chanson des biches , des cerfs à bois, des chevreuils sonnés. On veut toucher aux bêtes des prés ! pourquoi fzaire ? pour pouvoir s'aimer pour ainsi dire : copuler ? "copuler" c'est un peu "rustique", mais oui, peut-^tre, on dfirait "copuler", c'esst pas loin en vrai de la vérité ou d'une sorte de vérité. Copuler pour copuler , pas quand même, mais pour ... tracer = fiiler = foncer = faire vite ! cettte chose en soi, ici, d'une (sqorte de) vive traversée, comme à l('improviste, des données finales et autres données deonnées par la bande (il semblerait). On est nées par la ma,nche, on est passées, on regarde, on vgoit loin les vagues, aéu loin : les vagues doréesz, et ces vagues loin, on les voit super loin parce qi'"on est nées et qaue nos yeux sont neufs , q ui se prête,nt au jeu ! On est nées fées sur roche à tout jamais : ça va le faire !!!!!!!! ça le fait déjà, du reste. On a&ime ! On veut pour de vrai toucher aux nénés de l'être alloué à une donnée, elle-même liée à la mort. Et cet être est : lA mort !Mort au carré ! On est néesz Fée pour toucher, tracer, toucher vif à ce tracé (ici, roche, un bison des prés) de la mort à l'oeuvre bonne dessinatrice à
main levé, qui dessine vite lpes données données (mises, prises, e,nvies, mainmises, etc.) d'une sorte de Déité Vive ! Déité des D2irtés des Prés pour ainsi dire. On est vives car on est , on est nées vives du fait qu'on est, qu'oon est
njées; on aime a&ller, touchezr ;,, conchier, chier, tracer et pisser sur herbe des prés, à l'abri des regards indiscret. on veut aller de fait ensemble loin en la forêt et du coup compre dre à fond la Roche Allouée à cette sorte de m%ainmise d'une Déité, sur des données comme déposées à ses piefds (on dirait). On est femmes des prés et c'est vrai qu'ensembkle et de préférence on a super envie de tracer (en transe) ces bêtes des prés, telles que les antilopes, les chevaux dee c arosse, les lionnes graciles, lesbêtes à bonnet, l es ourses placidesz. on est femmes des prés "passées", c'està dire que, pas plus tard que tout de suite, on a travezrsé la roche à la une à la deux §ête première (la caboche est dure) et voilà, on est passséesz ! on est dans un pré, on mate ! on ne veut pas se faire arnaquer mais on veut pouvoir s'en tirer , sans honte, sans dégâts, sans lombre d'un doute concernant la voie , ici, choisie par nous auttres, fées de c e logis (enclave) natif. on est nées fées sur roche ! vive les fées ! soignons notre approche ! essayons ensembkle de nous approcxher le plus possible d'une fée "des précipices" szans tomber ! allons vite pour la retrouver ! la coller ! la cerner ! la suivre ! la toucher come on toucxhezrait un êtte r^
vé ! On est bêtes de prés, fées, bêtes et fées, fée des prés, bêtes et fées des prés : sommes-nous fée ? spommes-nous bête ? pouvons-nous ^etre à) la fois bete et fée ? est-ce possible enszmble, en vrai, d'êtrte (qu'on soit) bête et fée? pouvons-nous nous rapprocher de cette bêzte, aéux données rupestres, néandertlienne ou aur(ignacienne ? sommes-nous assez calées pour du coup comprendre enswemble (au fin fon) les choses d'une sorte de donnée sacrée, quasi genrée, vive et tracée à main levée comme par la bande , et qiu nous chercherait (peut-êttre) ... des noises ? On est fées
du pré, on edssaie de se rapprocher d'une b$ete broutant, qui est-elle ? Bovidé ? On la regarde. On veut ensemble (AILES) la monter, la chevaucher qui sait ? on est des ailes, on peut monter et porter et faire s'envoler et naviguer ! on aime s'envoler ensemble da&ns les airs, aller haut le pluqs possible, essa&yer de toucher à cette sorte de vive entité dont on dirait en vrai qu'elle est ivre ! ... l'sest-elle, au juste ? difficile de se prononcer tant elle semble ... lointaine ? alors même qu'elle est près ? allez comprendre ! on est fée des bases. On a super envie de pour le coup toucher e,nsemble à cette vie d'après la mort, à cette chose , eçszpôsée sur roche, comme agrès ! et nous d'en jhouer ! on est fées de force allouée à une roche (il semblera&it) et à ce tittre on se sent comme obligée, de se tenir vive, portée, comme dressée, droite et pomponée , frée des fées ! on vire ! on vibre ! on hurle un temps puis on se tait ! on rit ! on pisse (on fait pipi) !
on chie (on fait cac a) ! On est fées filles, filles fées à jamais squr une sorte de paroi votive : est-ce vrai ? sommes-nous ... l acustre ?
Nous on aimezrait vraiment un jour comprendre les données qui en vrai président ou présideraient à cette chose, ici, qu'on voit devant soi et qui est (on vous le donne en mille) une sorte de paroi votive, oui, de mur ou de paroi sur lequel ou laquelle on peuit sans se gêzner tracer les noms (les différents noms) des convives . On est des fées parce que voilà on a passé (autrefois) la roche (à la naiss ance, disons ) et maintenant nous voilà commeengluéew (prises aux piègesz des données données) à même une roche, à même une sqorte de "cloison du fond ". On a e,nvie ensemble, c'est sûr, de comprendre, peut-^rtretre, un peu plus sérieiusement , un certain nombre de choses qui sont choses d'une soerte de passage au débotté d'une roche ornementée par des gommes ou par des femmes de lan préhistoire. on se dit que nousq auusi on appartiendrait en quelque sorte à ette préhistoire aux données gravées , dessi nées, etc. on cherche (ensembvle) à comprendre pas mal de chowses, en cette encxlave de la mort à l'oeuvre à l'intériuerr de la vie, car à préwsent c ette chose nbous semble plus q'évidente, nous sezmble presqu'acquyise, comme qauoi la mort n''st qu"'une encklave de la vie, une sorte de prairie-filtre, pré admis mais comme
remise, sas, sas des sas. Passage. Préambule. Nous vcoilà qui sommes presque à vouloir ensemble travezrser la roche une deuxième fois, vers quyoi ? c'r'st ça qu'on a, en vraéi, du mal (pas mal) à comprendre. Si, en vrai, on rehg rde ensemble cdans le même sens, alors on peut se rendre à l'évidence que voilà, on est deux en soi : deux ailes , une paire ! On m ate ! on mate grave ! Ailes et Yeux de rage ! on est presqau'envieuxses parce que oui, en vrai, on a pas du tout du tout envie, de subir ici une sorte de coupezret, de couperet à nénés ! On veut ensemble nous (en vrai) garder nos nénés, nos nénés à lait. on veut allaitter ! on a super envie (en vrai) d'allaiter ! on veut donner le sein (dit "des prairies") au petit malin qui, un jou!r, peut-^tre, nous ... éventr
terrera ?on esppère pas ! on veut comprendre, pas davantage. On ne veut pas servir d'appât, dee bête-appât de ch asse , d'appat de Roi ! nous onn aime grave aller fissa sur roche là-bas chercher pitance, et c'est marre ! On regarde tout ce tralala de groote, chants doctes, cris de jhoie, danses "hautescx"s" et "hot", falbalas . On aime les grottes et la toundra, transes hautes ("hot") et tralalas au son des tambourins dits "de paroi"/; On est Fées de base, Femmes ailées, douces romances, envies de lait. quand on entre en cette contrée (antre aux fées) on devient nousz-mêmes des vfées ou si non des fées , ailéesz, ailées comme des fées, montées, armées, acheminées, adulées. on aime tracer sur roche des se ntiers
qaui pôurraient nous guider jusqu'aux confins du pré vers cette roche imberbe des données ultimes ! on aime ! on veut toucher à cette roche dees données ultimes,
😀
aller, chanter, cerner, comprendre, dire et pousser , ici, e,nsemble, une sorte de chanson des ombres ! saluer et passer ! On est nées fées quand on est passées ! On veut toucher à cette sorte d'entité (de bout de roche)
allouée aux féesc. On est nées fées quand on est passées. ON veut toucher à cette sorte d'entité sacrée, dont le nom (deité) nous porte jusqu'au bout du bout des données données . On veut toucher = cerner = dire = aller = partir , = faire ce qui nous plaît en termes dallers et de venues allouées à (ici) une sorte de pré , de prairie des filtress. On est femmes-fées données à une sorte de parler aux données enragées. Qui on est ? on est des fées, on veut tracer, on veut en avancer sur roche et du coup cerner ense"mble, un grand nomnbre de données de base. Qui on est ? bêtes et fées ,! ou sinon bêtes et fées, bêtes-fées, fées-bêtes : on ne sait pas . On cherrche vaéillamment, religieusemrent, fionement , finement ou grossièrement mais asssurément, à
comprendre = cerner, les dfonnées qui , à nous deux, femmes des prés, se présente"nt, en termes de voeux, voeux des bois et forêts, voeux peut-être miteux mais voeux tout de même alloués à une sorte de recherche mênée (tambour
battant) par (en nous) qui de droit, à savoir un Moi, une sorte de Moi de bas bâge, petits pas par petits pas, basse rage. On est là ensemble il semble pôur cerner et dessiner une bête des données de base. On veut ensembvle en avancer xans cette sorte de remue-ménage aux données de poids, qui (en vrai) sembleznt être, là, pour ça : nous faire espérer, nous donner de quoi croire en cette chose d'une sorte en soi de donnée, de type "foi", "foi grave", "foi des fois", de type "croyance en l'au-delà". On en avance ensemble (femmes) car on croit à ça, cette Romance de Paroi, ces
B:êtes Gravées, ce côté champêztres, cette Herbe, ces Fées. On est allouées à une szorte de tracé de Joie , qui est tracé sur Herbe dit "paradisiaque" des données prairiales. On veut se rapprocher ensemble d'une vérité,d'une sorte de donnée de base, de type "vérité de contrebande", de type "donnée des données", et là, une fpois ancrées, touchger ensemble à cette sorte dee paroi "étrenge " ou pas mais située, quyi nous regarde ou nous regarderait en tant que fées, en tant que femmes-fées allouées à une sorte de roma
nce des données finales, actées et situées sur pré comme à la parade. On est femmes fées, charges mentales. On veut toucher à cette déité vdes prés et autres zones terminales d'une enceinte ici donnée à une (sorte de) "Vérité Pariétale". Qui on est ? bêtes de poids ici, fée des Fées là , au choix ! On aime aller, donner, guider, conduire, escortter en tant que fée motrice, on aime accompagner l'être &lloué à une sort e d'emprise qui le mène (vivement) de l'autre côté, vers les
confins et autres vents de face des données finales. On est fées dites d'escorte ! charges doctes ! On fonce. oN peut foncer car on est aillées, et ainsi ailé&es on peut tracer, dessiner, graver et gravir, bousculer l'ensembke des données et offrir à celles qui en vrai le souhaiteraient nos propres ailes décorées, finement dessinées, translucides et fines, pour voler, les aider à s'envoler, à grimper, à monter haut vers une sorte de sortie d'attaque ! qui plus est : grande ouverte pour faciliter lre passage ici d'un corps donné en vrai. On est des fées d'aide a&u passage (en résumé). Fée des faées, fées doctes, fées sa vantes, frées aidantes. Car
on veut grave aider sans sourciller ! Coeur des charmes ! On est gentes damesz, fées des bases, vives gentes aux envies pressantes de pouvoir de fait et sans trembler accompagner (en ce royaume de la mort actée) celles qui , e,nvrai, le voudraient. On est fées des fées de la ROmance. On veut t§oucxher à ce qui est ici de l'ordre de la transe (danse parlée) et qui de fait nous aide ou nous aiderait, à nous porter plus loin en ces contrées dites "des connaiisa,nces des données données des te"mps reculées". On veut aller , danser, chanter, graéver sur roche les noms alloués à des entités de type "divinités" et autres "déessses des Rochers". on aime tracer, dire et donner. fées des fées on est, qui voulons de fait charger = chanter, sur roche, nos chants alloués à une V2érité . On veut toucher à cette vérité de poche. On veut toucher à cette vérité de roche ! On ne veut pas du tout lambiner, mais tracer ! cerner ! comprendre ! situer ! aller vers une destinée ! charger sur roche les données a&ilées
et les restituer de force comme du lait szorti d'une sorte de "sein de roche ou de rocher". On veut donner du laéit à celles qui ici chercheznht à teter : fées des fées et autres entités nhées du passage de vie à trépas s'il en est ! On est nous-mêmes cfomme livrées à une sorte de nourrice ancienne, fée ancrée, bonne laitière, vaches des prés nourricières : on l'aime ! On veut toucher à ses nénés, pis sur herbe, entités lactées. On aéime le pré, l'herbe, le lait, les données, le tracé des traits, l'enveloppe charnelle, Bison Fûté ! On est Femmes à lait, vie actées, vie actée dans une sqorte pour le coup d'enclave souterraine de type "grotte auxb fées" ! On aime ! on dit (largement) qu'on aime ! on est pas chiches ni d'aimer ni de dire qu'on aime ! on est vive s parleuses, et vives fées des données données (dites, pôrtées, apportées, déposéeees, offertes). On veut se rapprocher
enwsemble d'une vérité qui , de fait, pûisse nous aider à nous téleporter ensembvle le plus loin possible de cette contrée dite "de la
mort à l'oeuvre" et du coup traverser la roche une foisq e,ncore, quiitter (ici) ce pré et trouver ailleurs de quoi se nourrir et poursuivre (enxembvle) notre sorte de promenade ou de szortie de roche, à la recherc he de données (de fait) avérées, de mots crédibles et autres vérités concernant, pour le coup, la vie venant non pas après la vie direzctement mais après la mort, du moins la mort qu'on vient (ici) de connaitre et dx'explorer en tant que fée logée e,n ce pré &ux herbes bonne nourricières. On a en vie, à présent, d'explorer le firmamantb . On veut à présent, toucher à quelque chose de nouveau, qui ne soit plus l'herbe du pré. On veut téter le lait des nénées de maman comme autreefois on tétait . On veut en tant que fées, à présent se téleporter, ou comme se téléporter , d'un pré alloué àune enclave pariétale de type "pré ou prairie édenique d'une mort acté", à un tout autre lieu do nné, à une tout autre paroi dees fées ou tout autres enclave située hors contrée des données prairiéles. Qui on est hors contrée ? encore des Fées ? encore des fées allouées à une contrée ? Peit^rtre
que oui, ou peut-être que non. On voit ! on mate ! on regarde deva&nt szoi ce qui se trame ! on cherche à comprendre ensemble la paroi, les donné&es de base d'une sorte en soi xde paroi des Rois, Reines de Beauté et Roi des petits pas. On mate grave ! on veut toucher (pour de vrai) aux nénées de cette
Déité De Rage, aux nénés de cette Déité dite de la Rage : qui c'est ? qui donc est cette Déité des wse'mblants d'espace ? Qui donc est cette Dé&ité , dite "des Déités et des dOnnnées Données de la Rage" ? Qui est-elle, sinon une Fée ? Qui donc est cegtte "Déité Des Déités des Données Dites Supr^'mes " '(s'il en est !)? ON mate ++, on regarde à travers les "persiennes" ce qui est. Et ducoup on voit en effet, les nénées de l'ange Surprême. ses nénés à lait ! charge d'ange ! faits des fées : le lai-t. Le lait directement comme provenant du néné lacté de l'ange des fées. On mate = on prend = on voit = on sent = on veut = on dit = on regarde, ici même (ppré passé) les données frontales, de type ... NÉNÉ S = Lait ! On est nées sur pré, on a gagné en vrai la paroi finale, on regarde ce qui est (au sin
xes vagues) on voit ... des nénés , nénés nés de la r age et des envies (ancréses) de perdurer da,n s la Romance d'une Vie allouée à une Destinée Frontale. Cris ! chants ! danses en transe ! chants des vies n acréeqs, voire acidulées! On veut toucher toucher toucxher toucher toucher ! on veut toucher toucher toucher toucher toucxher ! on veut de fait toucxher toucher toucher toucher (oucher ! on veut en vrai (ensemble
: nez à nez ) toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher ! toucher nz à nez ! toucher à ces nénés ! grave les touchezr ! les téter ! téter aux nénés ! téter grave les nénés plein de lait ! boire le lait ! téter ! téter les nénéds sans traîner, sans tarder, sans atgtendre, sans lambiner ! téter grave lzes nénésxdits "du fir(mamant" tel qu'il se présente sur les debcvants, finn de pré, débu!t de nouvelles données de type "nénés". On chezrche à entrer ensembvle (vives et armées) en cette sorte d'entité nouvelle, clairière passée. Nous voyons ici se tracer une sorte d'anfractuoisté sur pierre par où ensemble peutêtre, en tant que fée, pouvoir s'immmiscer afin d'a&tteindre sans traéîner (parce q'on a faim de lait) les nénés de l 'ëtre ! ceux qu'on espère, ppère ! ceux là (de nénés) qu'on aime à jamaios ! On veut toucher à ces nénés de l'ëtre ! On veut grave les téter ! On veut aller vers ces nénés de l'être ! car, en vrai, on les aime plus que jamais ! on les adore même ! on les aime à jamais, post-pré, post-cimetière, post-donnéess des données, post -croyances allouées à de l'herbe, post-bêtes sur pré. On est Fées passé&es par une sorte d'anfractuosité, de type "persienne" . On voulait passer, nous voilà (en plus
) en train dxe mater , les nénées de l'êttee, de l'être &lloué à une sorte de contrée hors cimet§ière. retour à Minerve ? qui le sait ? on cherche à c erner ou toucher-cerner ce que sont ces nénés, toucher -cerner ces sortes de nénésxp post -cimetière. On veut grave les aimer, les toucher afin de teter, en vrai, le lait qi'ils contiennent
, et du coup s'alimenter, se remplir cfomme des nouveaux-nées, nouvelles-nées d'un père et dd'eune mère. On veut toucher à cette chose, ici, d'uneb sorte, nouvelle, nouvellement née, de train arrière, de donnée comme "entrée" par un petit côté d'un cimetièfre, NÉNÉ ! NÉNÉ DES NÉNÉS ! NÉNÉ NÉ ! NÉNÉ NÉ NÉ DES NÉNÉS ! NÉNÉS DES NÉNÉS ! NÉNÉ NÉ COMME PAR DERRIÈRE ! NÉNÉ NÉ DES NÉNÉS, COMME PAR DERRIÈRE ! une sorte de cl
arté post -cimetière allouée aux nénés de l'herbe ! de l'être aux herbes ! de l'être des données de l'erbe !
2/9/2024
on est nues . on est comme nues parce qu'on est passées de frpont ensemble (vite fait) à travers la roche et du coup on s'est retrouvées comme dénudées au passaghe . on est venues ensemble main dans la main, on voulait vraiment comprendre les données, c'est-à-dire cet ensemble de données qui sont ici (devant nous) comme déposéees, et du coup on est accolées. On est nues, disons, et accolées, et c'est nues et accolées que du coup on en avance
sur cette prairie, qui est cette "terre d'accueil" qui, en vrai, nous adopte (on dira) côte à côte, nous invite à faire ainsi qi'ensemble on se sente, ou sentît, comme chez soi, ici. on est deux, deux femmes, sur roche-pré.
On aime beaucoup nous promener ensemblre et regarder un peu partout autourcde nous le paysage, en profiter, aller et venir tout en progressant tranquillement vers ces confins qui , au loin, sembleraient nous appeler ; une muraille, une sorte de paroi d''enceinte ou d'enclave tout autour de nous, comme si en vrai on était ceintes, entourées de ces murets autour de nous qui formeraient une sorte (pour nous ou à nos yeux) de forteresse, de prison insulaire ou ce genre de lieu dit "d"'isolement". on est nous deux arrivées (tranquillement) dans un pré, au milieu des bovidés, des bêtes de somme, bêtes de traits "ÉNORMES". On est deux (deux femmes) qui voulons du coup , parmi ces bêtes, comprendre l'aspect insulaire des lieux traversés. Qui on est en vrai. qu'est-ce que ça veut dire que d'être femmes (filles) en ce lieu d'enceinte. comment arriver à deux (
côte à côte) à toucher du doigt une vérité "de poids" quelle qu'elle soit. A qauoi ressemble la paroi finale ; est-elle percée pour pouvopir passer, est-elle ouverte comme si (des fois) on devait passer coûte que cou^te dès que arrivées, comme si le passage, en elle (cette paroi), était là pour ça (passer) c'est-à-fdire pour nous. nous nous approchons vivement
, à bonne allure disons, de cette roche dite "finale", nous avonds envie (énormément) de comprendre à quoi elle reseemble, ce qu'elle est en vrai, si elle est une sqorte de passage, de porte ou de pporche. On veut savoir. On a envie de savoir parce qu'on est curieuses (énormément) de nature et aussi parce que notre vie ici est en jeu on dfirait, on dirait que nortre vie ou notre à-venir ici est en jeu; se risque, ou est "à risque". on veut du coup, toutes les deux, comprendrece risque, ce qu"'il recouvre; est-ce que par hasard, si on "passe" complètelment (là-bas, au fond du pré, la paroi finale) eh bie,n, du coup, c'en sera terminé pour nous, de la vie
vive, de la vie en tant que vie vive ? Est-ce que de passer là-bas la roche finale signera notre "décrépitude" à jamais ? On ne sait pas ! On voudrait c'estsûr savoir et du coup aviser, se positionner
pour ainsi dire. On voudrait connaîttre ici et là (en c e pré) les tenants et les aboutissants de toute cette aventure qui est l'aventure de deux femmes accolées nues marchant da,ns un pré, sur roche allouée à une sorte de "Vérité Lacustree". On est entourées et on mate grave les données. On est ensemble accolées pour du coup comprendre toutes ces fdonnées lacustres, ce qi'elles sqont pour nous. On est deux ensemble, on est vives, on en avance. On est ensemble pour cerner et avancer, pour en avancer de base dans les connaissances et traverser la lande vite, très vite si possible afin de nous comme "téléporter" jusqu'au bout du bout en quelques foulées. On est ensemble ici deux femmes qui voulons comprendre les données qui nous attendent tout au bout du bout
du pré. On en avance ! On file, on trace, on fonce, on essaie d'aller le plus vite possible parce que voilà, on est là pour ça : vite foncer pour vite comprendre, c'est-àdire en vrai se rendre compte de ce vqui est, de ce qui nous attend en termes de "
destinée", de ce qui sembke être posté comme sorte de Déité, de Divinité, de Dieu des Données ou quelque chose de ce genre, disposé, posé allongé, allongé ou dressé; on a envie ensemble de s'en rapprocher, de voir de près cette Divinité comment du coup ele est disposée, dans le paysage; On est ensemble ici qui en vrai voulons nous approcher de cette D2ité
du bout du pré, la toucher pour la cerner (etc.) et peut-^tte ... passer, à travers la p)aroi , la par'oi finale, afin de mater ce qui est, qui sembloerait nous appeler, nous inviter à traverser, à passer, à faire un bond, le saut de l'ange ou quelque chose peut-être de ce genre. On veut comprendre les données quiu se présentent, ce qu'elles sont en vrai, à quoi la mort (la mort ?) ça ressemble, de quoi elle est faite , de quoi la mort (la mort !) est faite, en quelle matière. On est accolées, on se colle ou on se serre l'une l'auttre ou l'une à lm'autre. On est nées dans ce pré AILES, on est cdeux ailes (en ce pré) qui formons réunies une sorte de Fée dite "du cimetière" ! On est ensemble nées sur pré au passage (premier) d'e cette roche ornementée qu'on
voyait ici se dessiner avant d'entrer, au ffond de la grotte. on est passées et du cfoup à présent on peiut dire que oui, on est dans un pré, on est Fée, on est cette personne toute fine translucide volante qyui file, virevolte, fonce, va droit ou pas mais ne s'arrête pas. Oon est devenues du coup, après être passées , Fée ! Une fée des prés. On aime beaucoup les fées ou on aimait beaéucoup les fées et maintenant c'est nous
(hommes ou femmes) qui sommes Fée ! On adore cette chose, cet état de chose ! on est ensemble d ans l'adoration, l'amour de cette chose. On est devenues fée, on est passées et du coup nbous volià deveunes fées !
On est nées fée ici, pré, prairie, sorte d'enceinte cloturée, fée parmi des bêtes, fée des fées. on regarde ensemble au loin. on a méga encvie de comprendre les données, ce qui se trame , en vrai, pour nous, en tant que fée. on a super envie de cerner les données de base d'une sorte (pour nous) de destinée à travers la lande : qui on est et qui on est pas, pour nous cette chose a bre&ucoup d'importance. on a envie de s'avancer, d'en avancer, d'avancer ou donc de s'avancer dans les connaissancesz. qui on est, qui on est pas. Ce qu'être (dans ce pré) signifie, en termes de dponnées l acustres. ce que d'être en vie (dans un pré rempli de bêtes-poids et autres bêtes-masse) signifie. On file ! On est nées ensemble au passage, ici même en ce pré aux bêtes de masse ou aux bêtes-masses, on regarde deva,nt nous la chose comme se ddessiner, on essaie de cerner au mieux toutes les données qui se présentent, ce qu'elles signifient, ce qu'elles recouvrent en termes de présents donnés, déposés ou dispôsées sur une sorte de "parterre terminal". On est accolées parce qu'on est nées (de rage, on diraiot) dans un pré, sur de l'herbeb à
brouter, nues comme des vers et quasi velues comme des bêtes, ou comme ici ces bêtes (cervidés ?) qui sont celles qui ne cessaent en vrai de nous mater ! On est toutes deux allouées, allouées à un pré, à l'herbe, aux bêtes des prés, aux fleurs parfumées. On est nées sur herbe, et une fois nées on est bien obligées de nous redresser, d'en avancer, de tracer, dev marcher ebnsemble eh bé oui, vers cette roche terminale, roche d'enceinte ou d'enclave, aller au plus vite vers e,lle essayer de la
comprendre, de comprendre cequ'elle représente, ce qu'elle est, ce qu'elle cache, ce qu'elle recèle en fait de données suprêmes. on est deux femmes sur un pré, qui (du coup) vont et viennent, se promènent, cherchent sans cesse à se rapprocher d'une sorte de donnée finale qui est cette chose lointaine mais pas tant que ça een vrai , qui est ou qui serait cette sorte de "pa ssage aux fées", ou p"passage des fées", tout au fond du pré, à même la pierre, dans le muret , dans la pierre du muret une sorte d'anfractouosité qui serait comme une sorte de portière, de porche tracé, de porte "au fées " ou "des faits". On cherche ! IOn est pas encore arrivées ! on est loin du compte. on a envie c'est sûr d'en découdre et vite, de savoir (ensemble) vite fait, de vite fait comprendre ou
savoir ce qui est qui , du coup, devant, semblerait vouloir nbous attezndre , semblerait presque nous guetter pour nous surprendre
, nous crocheter, nous attrap^per. on est nées sur pré parce vqu'on est passées , on est nées de base ensembkle pour former la Fée dite "des prés". On est deux
femmes, à la retombée, formant une Fée allouée à un pré aux bêtes de somme. On peut dire qu'on est bien ezntourées ! On voulait cerner ce qui est, ce qui est sur pré, eh bé voilà ! des bêtes de bon poids, bêtes de somme sans tralala, bêtes simples, placides, broutant l'herbe folle, cherchant à brouter sans ceese de cette herbe dxes "prés aux fées" et comme nous lorgnza,nt de biais tandiçs qu'on progreese , accolées, serrées, main dans la main, au milieu du pré, dans la luzerne. on marche traquet traquet. On est deux femmesc allouées (disons "allouées") à un pré qui est le "pré aux fées". On aime aller, marcher, s'acvancer, c'est pas un problème. On adore se promener, se balader, faire des découvertes, regarder autour de nous ce qui est, ce qui est en termes de végétation ou de faune attitrée . on aime les prés. On a envie ensemble de cerner au plus près tout ce qui est ici,
qui nous cerne, nous contient comme accolées, serrées dans la luzerne. On aime marcher main dans la main à travers les prés, à travers les champs, dans l'herbe à brouter, dans les cimet§ières et autresc enceintes. On est des fées nous -mêmes on dirait. On est comme des fées qui cherchons ensemble traquet traquet à comprendre , incidemment, un grand nombre de données, concernant la Rage, soit la RAge de comprendre, ce qui, ici, en nous, nous anime fortement et conhjointement. on est nées fées sur pré c'est un fait, et
en plus ça rime ! On est nées sur une roche ou dans un pré (pré de roche) et, nées nues et
comme déjà mentionné (plus haut), on est comme allouéess à une soerte de recherche ardue, de recherche dure, de recherche à pour le coup mener de front ensemble ici, conjointement, pour la bonne cause, c'est à dire dans le but de pouvoir ensemble dénicher sans peine , une sorte de "vérité des vérités" qui serait la vérité-déité co,ncerna,nt la mort, ce que la mort est. Ce q('est en vrai cette chose en vie dont le nom (ou nom d'emprunt) est MORT, LA MORT. On regarde. on veut se rap^procher. on veut toucher mais pour toucher il faut être nées et pour être nées il faut passer et pour passer il faut traverser , traverser à deux (main dans la main) la roche "aux données primaires " (celle des aurochs et auttres bhêtes de la préhistoire de forte taille). qui on est ? peut-^tre des fées ! on ne sa it pas. on a envie ensemble de tracer sur pré une sorte de sentier pouvant nous mener
jusqu'aux confins, de préfrérence, alors voilà ! on trace ! on fonce grave dans le tas ! on a pas envie spécialement de trainer dans la souffrance mais en vrai tout le contraire ! filezr ! grave filer ! foncer à toute blinde pour ensemble chercher à comprendre par où on pourrait passer, et du coup trouver une sorte de passage "des "" confins" , "des données finales". on est des fées
, on avance, on fonce ! On est devenues au passage des fées, au passage de loa roche ornée on est devenues fées , nues, dans un pré, comme déposées. on est entrées ensemble et à présent (ou maintenant ) qu'est-ce qu'on fait ? on dira qu'on fait pitié ou peut$-p^trte pas mâis on est là, on cherche sans ceesse, on ne lâche pas le morceau, on en veut ! on veut t§oucher à cette sorte de donnée qui serait sorte de déité , déité des déioté, liées à la mort tracée. On regarde ensemble ce qui est tracé. est-ce une b ête-mot ? est-ce que c'est unmot , mot-bête ? On est accolées. On est nées dans un pré accolées ! On est nées dans un pré dont le nom est "la mort" accolées pour former la Fée. Deux femmes accolées forment la Fée ! Deux femmes qui, accolées (main dans la main) forment une Fée dite "des prés". on avance !nOn cherche grave ! On est ensemble pour comprendre assocxiées et du coup, on trace ! on fonce ! on va ! On ne traîne pas
mla savate ! On a envie que les choses avancent, aillent, se forment, se trament, se goupillent ense"mbvkle , pour ça : comprendre ! comprendre ensemble, ensemble toucher à une vérité de poids, faire ainsi que les choses ici
b as (france ?) aéillent ... ou pas ? On mate ! On est ensemble. On est nées sur place (
France"). on a supezr envie de comptendre ensemble, les données qui se prése"ntent et semblent nous parler. Comment on pourrait faire ensemble pour comprendre ces données ? comment
en vrai ensemble on pourrait faiore pour toucxher à cetre chose d'une vérité des vérités ? On est nées dans l'herbe fraîche au milieu des bêtes. On voulait en avancer et cerner les données, treacer, dessiner à main levée ces bêtes
, mais pour dessiner il faut cerner et pour cerner il faut passer ! il faut travezrser ! donc : on traverse. Et du coup on se retrouve nues ou cfomme nues au milieu d'un pré, quasi à brouter de l'herbe ! On est nées da,ns l'herbe à quasi brouter comme des bêtes ! c'est un truc ! ça réveille ! On est p)assées et nous voilà comme "considérées" (de fait) par un troupeau enteier de bêtes (de somme) dans un pré ! c'st ouf ! On mate !
à notre tour de mater. on a envie
de nous rapprocher de toutes ces bêtes des prés pour leurr pa rler mais commenjt en vrai par(ler à des bêtes , à ces b^-eztes des prés, prairies, bhois et sous-bois ; comment ? on ne sait pas ! on nje sait pas (encore ?) pa&rler le langage des bêtes . le langage de certaines bêtes. on aimaerait beaéucou!p savoir m ais voilà, c'est pas (encore ?) le cas, hélas ! on pourrait se comprendre, se dire xdes choses à priopos du monde, des données de vie, des données concernant la vie, mais comment quand le langagfe est inexistant pour ainsi dire, quand les possibilitées langagières ou verbales d'échange, entre humains / humaines et bêtes, n'existe"ntb pas, ne sont pas : comment ? on est nées dans un pré. On vfoulait tracer sanns trai^ner puisque, de toutes façons, c'est (précisément) ce qu'on a à faiore, ce qu'on à a faire de plus urgent on dirait, mais il y a les bêtes, ces bêtes des prés, qui nous retiennent, qui nous intriguent, nous plaisent, nous font lambiner un peu près d'elle parce qu'on les aime et aussi qi'on est super curieuses de mieux les connaîttre, de savoir en vrai comment elles sonrt de près, ce qu'elles font à notree approche, ce qui les interessent bquand on les approche, si on les effraie ou pas : au contreaire, si on les attire, si (même) on leur fait envie. ON est comme des fées-
surprise ! on est nées dans un pré (la mort) fée ! on est nées fée dans un pré (ou sorte de) : la mort. Pré = MOrt (on dirait ou on dira) . On est nées dans la mort ... FÉE ! On est nées fée (une fée) dans un pré qui est le pré dit "de la mort" , ou même la mort. Mla mort ou le pré, c'est la m-eme chose. La mort est un pré, une enclave,
enceinte, bois et sou-bois. Murée ! Muraille tout autour d'un pré ! On est donc nées (à nottre mort) dans un pré cloturé qui est pré ou prairie aux fées. On est nées de fait dans un pré qui est le pré de la mort à l'ouevre on dirait ! On est ensemble (dans ce pré- ) accolées, pour former la fée. on est , deux femmes = elles = ailes, formant fée ! On veut cerner c'est une évidence ! on a aucune envie ici (puisqu'on y est !) de passer à côté mais au contraire profiter d'être nées en ce pré pour cerner = toucher à une sorte de ... denrée ? opffrande ? un présent donné déposé ? on est ensemble pour former la fée, celle de la Romance, des Chants gaisz, des musqiques tendres, douces et sucrées. on veut ensemble en vrai nous approcher le plus possible si possible d'une vérité qui saurait nous donner en toutes lettrees une (sorte de) solution à un probmlème qui serait le problème de la Destinée, le problème des données données par (peut-^tre) une (sorte de) déité des déités ! On est colère ! on est excitées à l'idée de connaîttre,
de nous approcher de cette vérité, de cette déité des déités, alors même qu'on a pas envie d' y passer mais plutôt de perdurer à jamais en ce pré aux fées. Ce que nous on aime c''st de durer et pas du trout d'y passer. On est ensemble accolées aussi, parce qu'on veut le plus possibloe durer, nje pas sombrer dansz l'adversité mais chercher à toujours toujours tenir tête, à se redresser, à en avancer sa&nzs traîner, à faire ainsi qu'on soit toujours sur pied, colère peut-^tre mais sur pied, dressées, fée dressée ! et pas mise à pied ou foulée aux pieds ou même décalquées ! On a envie ensemble de durer (dans ce pré)pour cdomprendre, soit nous rapprocher de cette "déité des déité" dont en vrai on dira que le nom (pour le coup) est (de fait) "la mort du bout", ou "la mort ici du bout du bout". On est touchées ! On a envie ensemble de caracoler, en tête de proue, pour ici (pré) comprendre (debout) tout un ensemble de données données comme par la bande par iune sorte d'entité de base, pleine de charmes et pleiine de grâces, dont le nom swzerait (peut-être ? qui
sait ?) D2ITÉ DES DÉItés. on essaie grave de comprendre ensemble mais c'est pas gagn"é c'est sûr. Pour en avancer (dans les connaissances) le mieux c'est peut-^tre, oui, de tracer-dessiner par la bhande, sur rocher , roc ou roche des prés, les animaux de la pa rade, les b^$etes de foire, les bêtes-poids comme sus-nommées. Et foncer ! courir ! vite sauter à tr&vezrs la roche et se retrouver peut-êyre en effet sonnées mais qu'importe ! on est nées fgée aprèes"" la roche ! On est passées et du coup on est devbenue fée ! C'est un truc ! truc de ouf ! On avaiyt cegtte chose, en nous, de (pour le coup) vouloir (grave !) travezrser la roche (à la une à la deux !) , eh bé voilà ! ça , c'est fait ! c'est acté ! On a passé le bout de son nez et zou, le coprps en entier et on est passées ! on était au singulier (un homme ou une femme) et une fois passé (passée) , c'esst-à-dire né (née) , bnous voilà plurielles
! c'est-dire "elles" = ailes = deux ailes pour une fée allouée à un pré ! préambule; On est nées dans un pré qui vient après la roche orné , et précède la paroi dite "des fins de pré", ou paroi "des confins" (en vrai, il s'agit de lma même paroi comme dèjà paassée tête preùmière, la paroi des rois, cloture-paroi, paroi d'enceinte). on veut toucher ! toucher la paroi ! On est là colmmme dans un cime"tière ( ON EST dans un cimetière !) et on
a super envie ensemble d'y aller, de courir à peerrdre haleine vers (du coup) la roche ultime, der des ders, qui est roche des confins, qui est roche à (encore !) travezrser (ensemble) pour la bonne cause ! comprendre , cerner, cerner-tpoucher, comprendre-toucher, etc.On est là, deux femmes, pôur ça , et grave ! On a pas envie spécialement de perdre la face , on veut tenir xdroit, ensembvle, dans nos sandales ( même si vcoilà, de base, on est nues ! cul nu !). On veut comptrendre parce qu'on veut tracer ! = en avancer (dans les connaissa&nces ) sans traîner la patte. QUi on est ? des femmes du sable ! On est nées sur pré pour comprendre (grave) les données les plus enfouies pour ainsi dire dans la lave, dans le xable, en ces contrées (pays) sages. on est deux femmes ici comme à la retombée szur sable , mais comment cerner, toucher, aller, sinon (peut-être) en faisant ensemble, l'effort intense de nous redreseer sans traîner comme à la parade, et ;... allez ! on trace ! on ne traîne plus
! On en avance cul nu, quelle importance ! ce qui cfompte c'est d'y aller , de marcher, de tracer sur roche, de ne plus co:mpter à la dépense mais en vrai de foncer et sans se retourner ! On est deux femmes
nues sur roche, et ce qu'on cherche ensemble ici est une chose que peut-^tre on aimerait garder pôur soi un temps , afin de bien la mesurer, la jauger, l'explorer, avant de dicvulguer au tout-venant la chose sur pied ! On est deux femmes nées pour être fée (une fée) sur roche, et voilà la chose ! On est fortes ! on fonce ! On est nées pour foncer, tracer, filer à grandes enjambées. On est ense'mble pour percer la roche finale associéesw. on est comme assqociées (ensemble : main dans la main) pour essayer (si possible et vite fait) de toucher à cette vérité dite "des parois dites des finalités". mais que sont les finalités ? qui voi!t bien ce qui est en ces confins ? qui sait, ce qui est en ces confins ? qui comprend les choses bien ? qui comprend par le menu, les données premières , et les données dernières ? qui ? On est des bêtes de praoerie.
On pète. On est bêtes-mots. On est fée de base et bête-mot. On est ensemble dans un pré , on se ressemble ! On est deux fgemmes nées sur roche (pré) ensemble (accolées) prêtes à tracer (filer) vers la roche finzale. ON se regarde . On est des fées ensemble dans la lande. Fée.
on est ensemble fé&e, formant fée, deux femmes pour une fée/
on a envie grave, de comprendre les données. On est nées des fées ok, mais qu'est-ce que ça veut dire ? qui peut donc nous expliquer sans nous berner ? On nous dit ici ou là qu'on est nés fée, qu'on était singulier (au szingulier) et que voilà, nous cvoilà p^lurielles = deux ! d"ux fezmmes ! deux femmes formant la Fée. En résumé on peut avancer qu'en vrai la Fée (dite "de la mort acquise") naît, à l'arrivée sur roche, de deux eailes de poids léger ! ou sinon de quoi d'autre
en fait ? On a envie de cerner ensemble plein de choses qui pourraioent nous indiquer paroù passer ou par ouù nous immiuscer pour arriver à pour le coup cerner une sorte de vérité (en transe ?) mais comment passer ? comment on peut faire pour passer ensemùble ? On est pas nées pour nous cacher; on veut se montrer, t§oucher roche, aller profond, connaoitre la chanson
des rocs, le chant mooncorde (qui sait ?) qui seréit celui d'une sorte de TRONC, de BUSTE-MOT, DE BUSTE_ROI, REINE DES MO0TS DES BOIS ET SOUS_BOIS ! Qui est qui ici ? va savoir , va chyercher , va ! va comprendre ! On regarde ici ensemble parce que voilà on veut essayer de passer, qui iun oeil qui le nez, à travezrs la roche (voir / humer) mais en vrai, pas s-ûr que ça suffiçse pour (pour le coup)c erner de près (serrer) une vérité, sur ces contrées dites "dee la mort à l'oeuvre" commê sus-nomm^ée. on voudrait ensemble, c'est une évidence, tra cer, toucher etc., la roche, la paroi finale et passer et du cfou!p comprendre (découvrir) ce qu'il y a après , après le pré, soit après la mort. Parce que si la mùort est une enclave dans la vie (ilot ou ile) alors la vie apres la mort repren ses droits (quelque chose comme ses cdroits) la mort passée. Mais d'abord, peut-on parler de "mort passée " ?? doit-on parler de "mort passée "? Qcommenjt parler ? Qui sait ce qui est ? On se dit que la mort une fois passée, on retrouvera (peut-être) la vie. On se dit que , une fois la mort passée, on retrouvera (qui sait ? ) l a vie qu'on avait comme laissé de côté , m ais est-ce que c'est vrai ? on se dit que voilà, la mort est
là comme une sorte
(peut-être) d'enclave (un ilot) au sein de l'océan de vie ou de la vie, de l'infini de la vie. on se dit qe la mort (pré aux fées) est un ilôt, au sein de la vie, en son sein cerné (comme dans tout sein). Ca&r voilà, la mort (celle dont on parle e,ntre humains / humaines) est une enclave de type "ile", "ile" ou "ilôt", et du coup , est comme isolée, comme xweule ou isolée, au milieu d'une szorte de mer infinie, étendue, mer sans fin des étendues. On essaie enwemble de toucher à des données qyi en vréai ne sont pas tellement débattues tout compte fait, cela du faéit qaue la chose est ardue et pr$ete à rire , souvent. La chose souvent appelle le rire ! c'est même ce qui (en vrai) en fait une sorte de ... comment dire ? repoussoir ?
On cherche ! on est comme (toutes deux) ibvres ! on est comme rendues ivres, de par ce savoir ou de par ces rechersches menées de concert, nous deux ensemble, dans un pré, sur roche, jusqu'à plus soif on dirait et du coup voilà, on est ivresz, pompettes grave ! on roulerait presque sous la table tellement on est saoules (ou saoulées) ! On a envie de décuver ! on veut se poser. On est comme deux femmes allouées à une sorte de donnée de rage, mais nous on veut tracer , aller, courir vite, sortir de cette il ! On ne veut plus rester
ici ! on veut quitter l'ile (ilot) aux corbeaux ! aux mots ! On a envfie plut^$ot (que de rester) d'aller loin nous projeter dans le futur (peut-être) comme dessiné, au loin, sur uun rochezr, par un êtte néandertalienn (un mot = une somme = une bête de somme). on a envie de base de nous échapper et d'aller, de filer, de passer de l'autre côté et du coup de revenir (revenir ?)- à la vie antérieure, )à la vie avant la mort (si elle existe mais on dirait). On Veut aller loin &près la rive ! On est deux filles pour une fée (hformer une fée) , duu coup on peut nhaviguer, flotter, voler, flotter da&nsz les airs, ramer, aller, filer vives ! faire le chemin quy nousz plaît, et du cfoup sortir du pré. si on y arrive ! cfomment faire pour sortir du pré et filer ? On est nées filles (femmes = elles) sur une ile (il) , un pré, le pré dit "des fées". Qui est là pour nous dire ce qui est en vrai ? On est nées filles sur pré allloué à une
vérité "divine" ! On aimeraiot passer de l'a&utre côté mais comme,nt on peut passer qua,nd on est comùe clouées /rivées à une ile ? On a encvie ensemble de comprendre
les données utiles. On trace e,nsemble des bêtes de roche. On veut toucher à cette chose d'une sorte de paroi finale (der des ders à la pârade") : ça le fait ! On vgoudrait comprendre et du coup toucher. a cette déité des déités ? peut-êtte ! On cherchen! on est pas encore arrivées au bout de nos recherches. on a encore fort à fair". On veut monter, grimper, sortir la tête, comment fzaire ? on est deux fe"mmes cflouées ou comme clouées dans un cimetière auxd données cezrnées, mais nous on voudrait grave s'échapperr , ne plus rester comme fixées à une sorte de cloître coincé, mais vite fait filer, sortir la tête, chercvher l 'air "et le reste" comme qui diréit ... et, c'est quoi , "le reste", en vrai ? l'air et le reste : une sorte de donnée de
rage, souffle saint, vent de face. Est-ce que c'est ça ? ce train de rage face à soi ? Ou alors autre chose dont on ne sait au fond pas grand-chose? on devinera un jour ce que c'est, qui sait ? et du coup onn pouurra en parler sans g-êne, crainte ou retenue, tellement on sera sûres, sûres du fait, de ce qui est, de ce à qauoi la mort ressemble
en vrai : chance ? charme ? chant ? quelque chose qui comme,nceréit par ce "ch" aux données vives ? On verra bien ! On a encore pas mal de chemin ensemble à faire jusqu'au bout du bout tel qu'annonczé préalabloement par les instances du langage , de la langue, d'une langue en soi, d'un langage de base, langue parlée entre soi et soi. On sa&it pertinnement que le chemin en vrai est encore long, qui ne cessaera np)eut-^zetre jamais , qaui sait ? On trace ensembvle squr roche notre avancée. On est accolées parce qu'on s'aime. on ne veut plus se lâcher parce qu'en vrai on s'aime à la folie, sans haine ! On veut toucher à une vérité dite "de cimetière" si jamais, et cela : ensemble, accolées, montées, en transe, en transe si ja&ma&is. On est deux femmes nées sur pré la mort venue à la retombée ! on en voulait ! on a reçu ! on a eu ce qu'on esprérait ! On est moitié velues (cul nu)
ça le fait ! On a grave envie d'y aller ventrues eh bé c'est fait ! on a été ! On voulait toucher à cette sorte de muret des bouts de roche, on y est arrivées et sans traîner parce qu'on fonce , on a l'habitude de foncer , on ne fait pas dans le traquet-traquet , ou parfois, mais en vrai, le plus souvent, on fonce ! on ne lambine pas ! on envoie! On est motibvées lancées ! On est là pour tracer (sur pré) pour (en vrai) en avancer dans cette cchose d'une vérité allouée à une destinée (à une déité ?) qui seraéit"de roche", dite "de roche". On veut toucher , ou on voudrait toucher à une chose quyi serait, ici, une chose nue, complètement nue, peut-^tre velue mais pas forcément. toucher à une chose qui peut§être sera&it nue, nous intéresserait énormémeément parce qu'elle seraéit comme une sorte de choses sachanjt parler et du coup dire ce qui est question vérité, ce qu'est la mort en vrai, ce que c'est que la mort en vrai pour a&insi dire. Si on trace alors peut-^tre que (qui sait ?) des choses arriveront peu-êtrre à se révéler ou être révélées, des données, des données de base viendront comme affleurer la surface et du coup se donner à
compre ndre. On essaie d'en avancer de base le plus possibhle ensemble pour comprendre. On avance grave ! on essaie du moins, de (grave !) tracer un chemin sur sable, sur roche des pré"s" ; on trace ! On est d'ux femmes ensemble , ama,ntes , amoureuses des données, mais surtout amoureuses "des nénés des fées " (?) qui (pezutêtre ?) commandent à "déité" (?) on ne sait ! On avance parce qu'on est ensemble , on cherche à comprtendre . Qui est qui en ces dites "contrées aux nénés" ("nénés des fées" ? ). O,n est passées ensemble parce qu'on le voulait, on voulmait passer et voi!là, on est passées, on a travezrsé la lande, on a
traversé le pré, la praierie des changes. On est à présent au pied de la pa'(oi finale dite "de circonsrtance". On
regarde de près les anfractuoisités qui se présentent. On essaie de paqsser (d'y passer) le bout du nez, on tente notre chance. On veut (on voudrait) voir ce qui est. A quoi ça resseemble de près au jugé : à une langue ? On regarde. on a envie de passer la langue, oui. On est arrivées enxsembvle jusque là pour peutêtte en effet )asser la langue. On est arrivées ensemble jusqiu'à ce muret, pour peut-être en effet passer la langue (lécher ? la roche finale ? ) . Qui sait ? On est accolées et on essaie de travezrser e"nszmbvle un vcertain nombre de données. On a grandi ensemble ? on a évolué, on a grandi et évoluédans ce pré, et nous voilà comme dépôsées au pied d'une muraille ! hé ! on ne sait pas ce qu'il en est en vrai m&is quand même ça le fait ! on dira (même) que ça le féit gra&ve ! ça le fait des masses ! On est nées ! nées de rage ! on est nées de rage sur le sable, dans un pré, sur l'herbe des prés, de rage allouées à un pré, à de l'herbe à brouter, herbe à vache. On est nées dans l'herbe des prés près des bêtes de pré. On est bhêtes nous-mêmes (à la retombée) -on dirait, et peut§-^tre qu'en vrai on le sait au fond de nous-^mêmes sans avoir
à le rechercher ou à le chercher ou à le retrouver, car en nous, on sait, on saurait, on devinera&it, on a&ur&ait acquis, on a&uré&it des acquis à jamais ancrées mais dont on ne voit pas toujours d'emblée (une fois en vie) les données, les composantes affiliées, les tenants et les aboutissant(sz. On ne s ait pas toujours en nous vfoir ce qui est, ce qui pré-existe, ce qui est tapi, ce qui est enfoui, contenu et su (de nousz) au plus profond de nous. On ne s ait pas tout. On cherche à comprendre, cerner loin, mais c'est sûr que plein de choses en nous restent encore à comprendre, cerner et déchiffer. On est pasvencore arribvées au
bout des connaissances. on veut en avancer c'est une évidence mais comment en avancer ense'mvvle zans tracer, sans foncxer , sans filer ? On est ensemble sur un pré (posées) et on regarde autour de nous ce qui se présente" question bêtes des prés, et aussi paysage, et aussi
les lointains , ce que c'est, qu'est-ce qu'il y a au loin qui nous regarde ou paraît nous regharder comme de biais. une muraille ? on dirait. enceinte globale ! une sorte de muraillle almlouée à une forteresse (un fort), cloturée. On essaie d'en avancer gtrave. qui on est ? on sait pas ! On croit savoir mais au fond de soi on ne sait pas , car on est '"en transe", on est hantées, envahies, occupées. On est comme envahies en nous par du la,ngage, par des données de rage, par mille et une données allouées à un passé , à du passévde contrebande, et donc, ici, ensemble, on est comme confrontées à une image, à l'image d'une sorte de convoi (en szoi) qui est convoi dee base "méchante", , une sorte de convoi de rage ("méchante") qui sezrait (du coup) là, pour nous, nous aider (fissa) à comp)rendre, un certain n ombre de donnéesz de poids qui pourraient (en vrai) nous donner pour le coup à cfomprendre (sur paroi) ce qui est et ce qui n'eswt pas. jE
Je suis là. Je cherche. Je suis arrivé. Je veux comp)rendre. Je suis né. Je suis né sur roche des données. Je regarde au loin ce qui est qui semble ou semblerait vouloir me parler , on dirait. Je suis née fée e,n tanrt que telle (avec des ailes) sur un pré ou dans un pré (cimetière) isolé. Je suis née
fée de cimetière. Je suis une fée. JE suis la fée dite "du cimetière" (mouche à merde ?). On est nées sur roche allouée (à une déité des vérités) et nous voilà devenues ...? fée ! UNe fée ! Fée des bases tracées ! Je regarde. Je" vois devant moi ce qui est qui me regarde, qui est là pour moi on dirait , porte p)ersonnzalisée. On regarde = on est. On a envie grave de comprendre un grand nombre de données, mùais pour comprendre on doit s'accoler, c'est à-dire se coller ensembvle, s'épouser pourvainsi dire, faire en sorte que voilà, ensemble, on fasse corps, à la une à la deux, sans plus sourciller ! On veut aller ! on veut tracer ensepmble et toucher, par la fenêtre, à une deéité postée derrière ! Je ne saios pas qui on est mais voillà, on est, puisqi'on naît ! et qu'on naît dans la d ouleur, peutêrte ! ON veut coller ensemble à une soerte de paroi "m'euble" afin de (pour le coup) arriver à passer. fEmmes on est à la retombée, deux f"mmesz, alors mêmes que judsque là (avant la traversée ) on était femme (une) ou homme (un) mais (du coup) toujoursz
au singuliert ! c'est étra,ge ! On veut passer ensemble à travers la roche finale pour cdomprendre, cette fée, cette sorte de fée qui est donc la fée dees données tracées sur roche des prés, cette fée, comênt la cerner, qui elle est, que penser de certte fée des rages allouées à une Romance ? On acavance ensemble. On a envie de gagner grave du terrain, jyusqu'aux données finales, pariétales , ultimes, terminales. IOn a super envie de comprendre
enszmbhle les données finales, ce qui est qui se pavane ou comme se pavane ou se pavanerait en roche finale, en cette sorte de paroi des fins et des confins. On est deux fe"mmes ! Deux femmes formant FÉE ! on est donc fée nous-mêmes. On est fée des ragesz et on trace. On est insulaires. On a envie d'aller ensemble loin en ces contrées toutes liées à des savoirs "loi ntains", c'est-à-dire enfouyies, encastrées, serrés, plo,ngés, cachés. Femmes on est , qui voulons comptendre ! On regarde les nénés à lait, à téter. Les nénés à lait = à téter. on regarde les nénés à l&it, on veut téter. On a& super envie de téter aux nénés de la vie déployée, déployée sur pré (pis des vaches pour ne pas les nommer, en vrai). On est :
femmes dees prés, formant fée
femmes des données de base
femmes déplissées,accolées, formant Fée au singulier. On est ELLES / AILES qui formons en vr'ai une fé&e aux ailes. On a envie ensemble de tracer sur roche, à la volette, des données de force. On veut toucher à une sorte de donnée rupestre, donnée des données. on reg ardee ce qui est ense"ùble sur rocher, r('oche allouée à une vérité divinatoiree (ou pouvant deviner des vérités et les évoquer). femmes des prés, fées. femmes-fée des p^ré : on est nées ! On est mortes et enterrées mais voiloà .... transfoprmées (fissa) ennfée des prés ! c'est ça ! ça envoie ! ça le fait sans se gêner. On regarde tout autour de nous le paysage. On a envie grave de comprendre ensemble ce qui est autour de nous qui semble se montrer ou vouloir se montrer comme à la parade , mais est -
ce que c'est vrai ? on est là , motivées, on regarde, on regarde l;oin les données qui sont (on dirait) tracées comme à ma&in lev&ée, en tra&nse, par (qui sait ?) des ... bêtes .? Bêtes-reines ? bêtes des prés ? On ne sait pas ce q'il en est mais bon, on cherche au plus près à comprendre et à cerner les donnéesz f(ontales (pariétales) telles qu'elles se présentent de concert , en vrai, à notre gouverne qui est , pour nous, comme un sens (inné ?) des données à déceler sur roche des prés. On cherche vaillamment et sans traî n er , à comprendre ce qui est ici (pré) en termes de données finale. Qui on est ? eh bien, peut-^ettre, des agents du charme ? agents / agentes, c'est-à dire des agentes ! des agentesz allouées à une sorte de divinité incantatoire. On est deux femmes ensemble ici nées à "la vie dans la mort" par une sorte de ... donnée,
pâr une sorte de donnée, de poussée,
dee rage, de poussée de rage ou de donnée de rage, pouvant , en vrai , exoplioquer ici, cette sorte de passage comme, on l'a vu, évoqué plus haut, en termes de "chance, chant, charme". On est entrées ensemble dans ce prépar chance, ou bien par le charme (ou du fait du charme) d'une fée, d'un chant, d'une sorte de chant comme chanté par une fée, ou comment ? On est passées ! on a mis le nez, puis le reste, et voilà ! On a réussi à traverser ici ce rocher des données dessinées (bêtes des p^rés) p)ar des eêtres d'il y a des milliers et des milliers d'années. On s'est retrouvées de fait à la retombée, dans un pré, pré d'herbes, au milieu des herbes, des vaches et autres mammifères, on est nées ! On voulait traverser c'est fait !! et là,
on se retrouve transformés en fée ! fée insulaire ! c'est ding!ue ! On voit les choses se tramer, et parfois on est concernées, concernées de base et comme au pre"mier chef. On est nées sur pré Fée, transformé en fée, et nous voilà qui voletons en direction, direct, des roches (finales) de l 'enclave (enceinte) où l'on est tombées, ensemble, )as plus tard que toutt à l'heure (= une vie). Unevie d ans la mort). On est deux fe"mmes ensemble accolées , à la colle, afficxhées, qui sont enswemble dans la vie "de la mort allouée à une prairie". Qui on est ? deux fe"mmes des prés. On veut ensemble aller si possible loin dans les connaissancesz à (ici) developper enxsemble concernant ce qui est sur pré et ce qii n'sst pas, et auusi ce qui est qui nous reseemble , sur rocher gravée. Traits . Mains/; FAces.Dessins. On veut ensemble aller loin, de préfére,nce. On a envie de faire enwsemble un bon bout de chemin en ces connaiçssances, ou sur ce chemein de la connaissance des données rupestres et autres destins frontaux pariétaux. Ce qui nous retient (ici) c'est (en
dehors de l'envie de tracer) de comprendre, loin et profond, ce qui est "en face"", sur roche finale, qui nous regarde ou para&ît nous regarder. On ne veut pas tremblert, on veut tracer ! On veut aller ensemble, toucher de connive,nce, ce qui est sur roche à nous attendtre . On est nées
pour tracer ! On est nées, dans la mort (le pré des fées) pour tracergr ave les données rupestres qui nous apparaissaeent ici en transe. Dans la transze. ON regarde et on s'aperçoit, voilà, que ça va ! que c'en avance ! qu'on peut aller de base ensemble et main dans la main sans y perdre bêtement notre latin ! on pêut touccher de près la bande ! on peut se rapprocher, sa ns trainer, de cette roche des données finales, paroi des parois, der des ders; la toucher et la creuser afin de passer, soit de passer le nez, la bar'be, une mèche peignée, doigt de pied, sexe dressé, sourcil allonghé. On veut passer ensemble (nous deux) nos "nénés " (qui
sait ?) pour ici allaiter le dieu alloué à une sorte de muraille aux données ancrées. On est Femmes
aux données lactées. On veut coller , ici, à une Déité
des données ancrées, pour l'allaiter, pour lui donner du léit (nottre lait) sans traîçner. On regarde de base ce qui est, la fente, le passage, le hjour dessiné, le's données de rage, et du coup on ch arge ! On a mega envie ensembke de passer ! traverser ce muret "de la chance, du chant et du charme" pour ensemble nous téléporter (du coup) de l'autre co^té, côté mer des âmes, mer allouée à une vie après la mort (qui sait ?). On veut p asser, soit trépasser, mais ici : passer de la mort à la vie . Il y a ainsi pour nous une chose qui est, en vrai, à ne pas sous-estimer, et cette choswe est du coup cela, qu'il nous p^lait d'évoquer sur paroi. Cette chose , est une chose déposée : animal des prés et prairies bvoisées (ou pas) allouéeés à des bêtes de poids et autres bêtes aux données rupestres. On voit ensemble loin,le tracé frontal. on veut comprendre, on veut toucher : on va ! On veut a;ller ensemble là-bas (lointains frontaux) pour comme retrouver un air des données qui étaeint celles (avant la mort) qui nous appartenaient , ou quelque chose de cet ordre. On veut donner de soi , donner de son soi, donner grave de son propre soi, à cette sorte de face de rat ! On avance ! On trace ! On nest a&
ccolées (deux femmes pôur faire une fée) et on avance : on fonce oon file, on est vives ! on vole ! on s'enviole ! on entre en tra,nse = on s'enviole ! c'est-àdire qu'on lévite ! On est npassée ensemble, à travers la roche primaire, on passera ensemble sans forcer (on l'espère) à travers la roche secondaire. On est devenues Fée, (de base) par la bande animalière d'une roche orneme,tée : on peut le jurer (le certifier) . On est nées fée du fait qi'on est mort (du coup mortes ?) . On est mort en ta,nt qyue tel, nous voici nées (deux fe"mmes à la retombée) formant Fé"e , du fait que nous sommes, nous (devenues), des ailes (elles) en vrai. On devient Ailes ,
la mort venue (cul nu). O,n vole, on volette ! on aime ! on file ! on trace des traits, on est nées pour être fées, fée des rêves. On veut toucher à cette sorte en sooi de déiité des cimetières et autres champs dits "réservéés". Qui on est ? Une fée, à nâitre. On est commê une fée alloué à une sorte de contrée (un cimetière) insulaire !On veut aller loin vers lles données données des cloisons dernières. Si possible entières, sans flancher. on est femmes des prés, on veut toucher à cette déité post-cimeetière. On veut l'aimer, loa toucher, la connaître ou la reconnaîttre. Qui elle est ? à quoi ressemble-t-elle ? quels sifgnes sur elle la distingue ? qui la connaît sur terre (ou qui, sur terre, la connaît ?). Qui sait ce qu'il en est de ce t espace post-cimetière : vie après la mort ?Car, on dirait volontiers que la mort , est une sorte de .. passage forecé, ancré, prélude à une destinée (éclairé) d'un après -cimetière. On
comme,nce à se le demander. On se dit que peut-^tre en effet, la terre est une sorte de pré (entier) dans lesquel viendrait s'insérer une sorte d'enclave $tracé au pied levéé p)ar une sorte de divinité rupestre : qui sait ? Ou alors autre chose : un ocean ? On essaie de deviner. Qui on est. C e squ'on cherche en vréi à faire . qui on voudrait être. Ce que c'est que cette
déité dont le nom déjà ("Déité") nous effraie. On veut ensemvlble si possible aller pour (du coup) se rapprocher d'une sorte de bête des prész dont le nom (en vrai) est (serait) "Déité des Déités", qui sait ? On regarde ! on trace ! on dessinhe des traitsq. On veut comprenfdre, cerner, prendre et aller. qui on est en vrai ? on ne sait pas mais ça n'empêche pas qu'on cherche ! on y va ! on creuse l:oin ! on veut ensemble creuser loin, dire et faire sans pleurer, aller enswemble de son pas p)rincier, chercher la bête, "le denier des bêtes". On cherche ! on a envie (méga) de trouver à cerner ce qui est sur rocher, sur roche pleine, sur paroi ornée et autres murs des cavalcades ici creusées. Femmes = données. Données = femmmes. On est comme allouées à une destinée frontale , on ma&rche ! On est passées d'une sorte de pré (her b es et fleurettes) à une sorte de rocher, de roche (terminale) au nom qui reste de fait à apprendre ou comprendre ou trouver allouée à un nouvrau passage, celui de la mort à lma vie renaoissante. Quand on meurt on dit qu'on passe, mais passer ici est un m oment donné , à dépasser. On entre en transe, on se retrouve Fée ! Fée des prés ! On aime êztre Fée ! On est devenues Fée du fait de la transe ! On est entrées (nous deux) dans la transe, et nous voilà à présent transcformée, en une sorte de fée "des données de base".
nous voilà aimées ! nous voilà comblées ! tenues en révérence ! On voulait passer ensemble ("à la une -à la deux") la chose est faite désormais et pas qui'un peu ! on est comme adulées pour ainsi dire en tant que fée en transe , uune cha,nce ! on est aiméez , adulées quasi, adoptées ! on veut tracer, per cer et aller de l'autre côté; côté "sarde". Le côté des côtés "'sardes". Est-ce que c'est ok ? peut-on passer sans y passezr ? ju!ste changer de côté ? permuter ? peut-on se glisser sans du coup y passer ? on est nées fée la mort venue, on voudrait dès lors, e,n
ta,nt que" telle, profiter des ailes pour nous envoler et nous libérer de cette enceinte (insulaire) dont le nom esrt PRÉ, le Pré, cette chose allouée à une vérité creusée, de type trou de cimetière. On est femmes dees prész. On aéime tracer, à main levée, tout un tas de dessins de fées, de traits hachurés, de bêtes agraires, et passer , ainsi, pzar la bande, un messsage comme déposé . On veut toucher à cette bande de type animal, tracer a&u pied levé, et puis monter, léviter, grimper, alller tout en haut de cette sorte de par'oi frontale aux données capitales. On est fée de roche. Foi et fée. On est fée allouée à une foi. On est entrées dans un e paroi, on a creusé, on a traversé, on est passées ensemble à la retombée de l'autre côté : croix de bois ! On veut comprendre, soit toucher à une sorte (ensemble ) de vérité qui soit la vérité ici d'e
la foi en la féee donnée . On est entrées. On veut toucher. On vole. on est fée de roche, fée des prés. On s"'approche des données finales, roche des confins. On veut coller , épouser la roche des confins. Passer.Traverser. Coller pour passer
et traverser, et nous retrouver (encore fée ? ) de l'autre côté, toute retournée , qui sait ?
30/8/2024
On est deux qui en vrai sommes, pour le coup , accolées pour en avancer , car pour en avancer, le mieux ici (en ce pré) c'est d'être accolées c'est-à-dire soudées, prises ensemble, collées de près ou serrées de manière à pouvoir, du coup, mieux aborder les données qui se présentent devant nous et qui (on le voit à présent) sont celles
relevant d'une sorte (ici) de "déité des déités" dont le nom en vrai est La Mort il semmblzearait. On est accolées parce que voilà, on a super envie ici de gagner du terrain en ce pré qui est ... le pré sur lequel, à la retombée, la paroi franchie, on a atterrri comme qui dirait, de fait, sur le cul nu ! on est tombées toutes deux cul nu en ce pré aux vaches, aux bêtes massives, bovidés des bovidés. On voulait traverser la roche ensemble eh bien c'est fait ! on peut direça, on a réussi ensemble, sans sourciller et finamlement sans trop peiner , à traverser la roche, à passer de l'autre côté et à cerner du coup la plupart des données, des données de base qui, ici, sont comme déposées sur place, posées ou déposées, afin que des "meufs comme nous" , au bout du compte s'en emparent et en fassent bon usage. On regarde tout autour de nous ce qyui se passe = les données brutes, soit (tout près) ces bêtes pour le coup de bellke allure, bêtes-mots qui sont les figures des lieux, = bêtes-masses. On les rtegarde le plus attentivement possible et on essaire ensembkle de les app^rocher pour les caresser soit (aussi) les comprendre, les toucher du doigt ((un doigt suffit) pour nous rtendre compte (nous deux) de ce que ces bpêtes (en soi) représentent, ici, en ce pré post-paroi, en ce pré aux herbes folles et autres fleurs multicolores. On est femmes ensemble, qui allons pour (du coup) essayer de comprendre, ce qu'on peut de ce qui se trame, en ces lieux aux vaches et autres herbes de saision : on fait ce qu'on peut ! on est accolées pour comprendre
mieux, pousser en ce pré, en avancer le plus qu'on peut ensembkle, et du coup tracer le plius viote possible vers peut-être ces confins sus-mentionnées qui sont donc des "finalités de roche" dirait-on. On avance ensemble , on regarde, on est là ensemble pour comprendre ce qui est, le plus possible, et ce qui donc se trame en cesz contrées de "bout du mùonde". qui on est en vrai ?
des filles , des femmes allouéres à une recherche menée pour ainsi dire tambour battant, filles et fées sur pré pour ainsi dire, on essaie d'en avancer ensemble dans lezs connaissances et de travcer ensembvle une (sorte de) voie d'abord, un passage, un sentier vers cette Déité des Déités qui est la déité (qui sait ?) des données dernières, données des confins, des fins de pré, des ultimes tracés qui sont ceux de base qui , devant nous, semblent ou sembleraient nous regarder en face et quasiment vouloir (peut-être) nous parler du paysage, de ce qui est qui se présente , s'offre à nous , en fait de données. On mate grave ! On est accolées pour le coup pour mater et, tant qi'à faire, mater grave, espîonner quasi, ne pas se laiiser distrteaire ni accaparer par quoi que ce soit autour de nous mais tout le contraire, garder un cap, tracer c'est garder un cap, c'est filer, c'est en avancer sans traîner mais toujours en fait dans une même direction donnée. On veut essayer ensemble de comprendre les données qui se présentent, s'offrent à nous comme par la bande et semblent ou sembleraient vouloir nous attirer dans ses filets ! On est, ensemble, accolées comme une fée, comme fée des données, et on regarde, on voit autour de nous des choses comme se disposer de part et d'autres, et ces choses en fait sont des êtres allouées à une roche, des données de roche du coup, bêtes de paroi, bêtes ou bêtes-monstres plutôt puisqu'elles sont grasses et grooses voire énorme pour en vérité en imposer le plus possible, en jezter le plus possible, faire en sorte qu'elles puissent être vues, ou perçues, co:mme des êtres vifs ++ ! êtres de vie majeure, êtres de vie maxi et non cadavériques, ou même dégradées;, rien de cela ! On est passées ensemble à travezrs une paroi, pour vpilà (c'est vrai) comprendre ce qui est (autour de soi) en ce pré aux bêtes de poids qui (on le v
oi) en jettent grave ! font fde l'effet, montrent d'elles un côté qui sans se tromper impacte grave ! impacte énormément et du coup fait ainsi que voilà, la bête -somme ou sommité, se voit prise par, ici, la Déité, pour une sorte de vie majorée, une sorte de vie +, qui serait du coup adoubée ou comment dire ? par la mort soit la mort en personne ! On s'est rapprochées ensemble côte à côte d'une sorte de paroi finale ou terminale et c'est précisément à cet endroit qii'on cherche à, pour le coup, passer à présent, à présent on veut passer une fois encore, on veut traverser, gagner sur la roche dite "des confins" tesl qu'ils se présentent en dur à nos gouvernes. On est des fées de roche , on essaie ensemble de nous avancer vers ces données de bout de bout et du coup, cerner de près les moindres aspérités de cette roche qu'on a (qu'on aurait) sous nottree nez. On est passées ensemble, dans un premier temps, à travers "la Roche des Tourments" (liée à une vie terrezstre) , on a de fait atterri dans un pré (un pré aux vaches) et nous voilà à présent, qui avons gagné le roche dite "terminale", celle des confins, cette muraille des données ultimes et là, on regarde de près, on cheche u n passaghe, une sorte dr'anfractuoisité par laquelle pouvoir s'immiscer si tant est, et du coup passer et du coup voir ce qui, de l'autre côté, sezmblerait vouloir exister à jamaéis ! On regarde ensemble comme on peut en essayant d'ouvrir nos yeux le plus possible ! On s'est app^rochées de cette roche des confins afin de comprtendre c''sstà dire voir, les données dites "données" qui seraient co:me à nous attendre, à nous attendre
grave car les temps sont graves diirait-on, qui sont ceux liés à une siorte en soi de déité nacrée, sacrée, dont le nom à présent on le sait est "La Mort" . La mort en ces contrées. On essaioe de regardxer soit de passer un oeil à travers la roche. on a pas fini d'espionner ou d'essayer d'espionner. On arrive (à peine !) et en vrai c'est loin encore d'être gagné ! On veut ensemble regarder, derière la roche, ou diso,ns l'ultime roche, ce qui est, ce qui semblerait êttre et exister (la différe,nce enttre être et exister ?) et pour ça on fait corps en tant que fée ailée , voilà on est fée qui faisons corps ! on est ailées ! on est des ailes rap^p^rochées qui, ici même, devant ou ci-devant cette paroi ultime ou dite telle, cherchons à creuser ou (disons) nouys infilttrer, traverser la roche, la paroi de fin, la paroi qui sans doute est la même qu'à l'entrée sauf que voilà, on l'aborderaéit ou on l'aborde par un tout autre côté que par celui abordé à notre entrée, ici, dans le pré. Pour ainsi dire , on peut avancer cette chose, comme quoi la roche est ici posée, déposée, comment dire ? en forme de rotonde : on entre d'un côté (quel qu'il soit) on court on vole à travers le pré, ici, "aux bêtes-poids" ou praiorie "aux herbes hautes" (ok), et nous voilà du coup arrivées côte à côte à la fin du pré ou à la fin de la praierie, à nouveau devant une roche mais en vrai cette roche on la connait ! on l'a déjà rebncontré ! on l'a déjà vu à l'entrée du pré. Il s'agit de la même rocjhe ici et là, car en vrai la paroi est paroi de rotonde : qu'on se le dise haut et fort, si possible ! que tous et toutes, toutes et tous (touxtes) on arrive à se le dire , on arrive à le comprendre à toustes, on arrive grave à comprendre cette chose comme quoi la mort est hors de l'encklave ! comme quoi la mort en vrai est en dehors de cette encklave-pré ou alors non : cette enclave-pré, en effet, est le royaume (ou serait le royaume) de la mort, pré aux vaches, soit une sorte en soi de "petit paradis", peut-^tte. Et la vie, après ce "petit paradis", reprendraéit "les rênes " , qui le sait ? qui saura nous dire et nous expliquer sans nous tromper ce qui est en vrai sur terre et au-delà ? On est des fées parce qu'on a des ailes ! On est elles (dans la mort = dans le pré) pzarce qu'on a des ailes. On est pour ainsi dire dans la mort AILES = ELLES. L'homme est mort et enterré quand la femme (elle) poursuit en vrai le chemin des êtres (ou dit tels), et arrive à durer, continuer son (petit) chemin des fées traquet traquet , et du coup arrive à se pointer au-devant des Ultimes Données qui sont les données d'après le cimetière ! On essaie de nous y retrouver mais ce n'rest pas simple en vérité car les données de base en vréi se chevauchent ou se croisent sans arrêt, et pour "garder le fil" , et ne pas en prendre ou tirer un autre involontairement c'est coton ! On eesaie sans ceesse en tant que fée, de garder le fil toujours le même, sans le lâcher, sans en prendre un aiutre qui nous fourvoierait, ou plutôt : nous fearait nous perdre ou nous égarerait , nous tromperait. On essaie nous deux en tant que Fée de base , de garder le fil , de tenir le fil, de suivre un seul fil toujours le même, pour savoir, comprendre, où ce fil pourrait nous mener, jusqu'où ce fil pourrait en vé(ité nous mener ou nous conduire. On est accolées en tant que nous sommes ELLES = des AILES, ou dit autreement : F2ée ! On est une fée parce qu'on a des ailes et pârce qu'on est elles dans la mort. On traverse (de fait) au singulier pour mieux se retrouver plurielle dans la mort. On traverse en tant qu'homme (par exempl) au singulier, et une fois passé on se retrouve transformé en ELLEs, deux ailes, ailes de fée , et du cdoup F2ée ! ... fait comme des rats ? fait et défait ? on est passé de l'auitre côté de cette roche primaire (ornementée de bêtes néandertaliennes) et à présent nous cvoici devenues Ailes, = ELLEs, Fée des F2es, qui volons de nos propres ailes jusqu'au domaine dit "de satiété". On est nées sur l'herbe ! On est nées fées sur l'herbe cdes pré d'une enckave (ou enceinte) post-cimetière. On voulairt ensemble toucher à cette roche des donées telle que présentée (postée) devant nous à nos gouvernes eh bé voilà, on dira que c'est fait ,! la chose est actée ! on a traversé ensemble ce rocher "des fées", on se retrouve comme par vla bande acculées à devoir gagner (fissa) sur la l'ande l'autre bout (pour ainsi dire) de la paroi, en face ! car, en fait de bout, la cjhose (pour ainsi dire) n'existe pas, lles bouts de roche (là) sont légions qui tous "nous regardenbt" à égale distance si par exemple onn est comme positionnées au milieu de l'enclave-rosace.
On est devenu Fée, une fée de base. On voulaéit vraiment ensemble traverser le rocher 1, eh bien voilà c'estexactemennt ce qu'on a fait en le faisant ! on voulait tracer à travers un rocher , un rocher ornementé, eh bé oui, on a traversé, on a foncé comme des malades parce qu'on est des mal ades ! on est des coriaces ! on voulait en avancer en termes de connaissa,nce et duu coup on est passées, on a traversé la roche 1, celle de l'enfance qui sait ? on s'est retrouvé à l'intérieur d'un pré nanti d'herbes hautes et de bêtes de poids, on les a regardé, on les a maté et puis on a continué à tracer,n,à marcher, à nous tenir la mai,nn, à ne pas nous désunir, à suivre le fil !
pour aller au loin retrouver la roche toujours la :même, mais cette fois en face, de l'autre côté du opré, pile poil en face on dirait, car on le sait la roche du pré" , est en forme de couronne, d'enclave ronde, de rotonde, de forteresse ronde, de'enceinte close. On arrive pas )-à pas, on a tracé, maintenant on veut se rapprocher le plius possible de la roche ultime, des données ultimes. On a vraiment ensemble envie de comprendre, au miuex, ce qui est qui semblerait en vrai vouloir nous parler ! peut-ettre qu'en effet la Chose (ce dieu de la mort, ou même la mort) veut nous parler, nous dire des choses précises, nous donner le fin mot, nous indiquer la marche à
suivre pour durer, pour bne pas nous aarêter mais au contrezaire poursuivre sans cesse notre sorte de bonholmme de chemin de vie. On est Fée ici qui du coup cherchons à comprendre par où passer, dans cette roche d'une sorte de rotonde allouée à un pré aux herbes hautes. On est passées ensemble, on est femmes enwsemble qui avons réussi à traverser, une première fois, la roche ornée (de b^pêtes de poids) et à prése,nt on veut pouvoir nous introduyire au plus avancé et au plus profond de cette sorte de paroi "des fins de vie" ou "des fins de mort" si le pré est la mort soit la vie apreès la vie. On est femmes dans la mort parce qu'on s'est données ! on a vraiment cherc hè à passer ! à donner de soi npotre passé , à traverser la chaussée, la roche allouée, la paroi ornée. On a vraiment fait tout ce qu'on poiuvait pour passer et du coup on est pasdsées, on s'est retroubvées de l'autre côté à la retombée prêtes à comprendre ou disons cerner, essayer du moins, de comprendre ou cerner ensembkle les données offertes, offertes dans ce pré qaui sezmblerait êtrte "le pré de la mort" si tant est ! un pré ou une
prairie alloué (e) à une sorte de clairière, aux données de poids, d'enceinte de choix. on est des femmes -fées comme allouées nouys-mêmes à cette enceinte, à cette sorte de prairie "céleste". On est deuxaccolées de base ensem ble toi et moi, en cette ... sorte d'enclave, de pré-enclave, de pré-enceinte. On est passées parce qu'on le voulait et, tellement on dirait, que du coup la chose est arrivée ! qui sait ? On voulait passer de l'autre côté (d'où la transe) eh bé voilà c'est comme qui diraiot fait ! on y est ! on est postées debout après nous être relevées, on est postées, ensemble, en ce pré dit "des convenances". On voulait figurer au même tittre en vrai, que ces bêtes de paroi ornée, que ces bêtes ici massib ves, grooses de leur poids de rage. On aime beaucoup cezs bêtes les approcher, les caresser. On se sent un peu-beaucoup bhêtes de poids et masse nous mêmes. On chyerche grave à cerner xdes bêtes ou bêtes -mots de roche ce qu'elles cachent, ce qu'elles contiennent en termes de données de base. sont§-elles données elles-mêmes ? il sembvlezrait que oui ! que les bêztes de roche (dessinées, gravées par des êtres anciens) soient bêtes -mots de poids, qui donc, pèsent leur compta,nt dans la ba lance, leur sorte de comptant fatal/ on regarde ensemble toutes ces bêtes qui, à leur tour, nous regardent, et du coup on se dit que nous aussi peut-être on est des bêztes comme elles, on contient aussi notre comptant de mots de poids, de parioles "graves", de mots qui parlent ". On se dit qaue peut-^tre nous auusi on est des femmes qui cherchons à ici comprendre un mùaximum de choses qui en vrai seraient comme (qui sait ?) contenues dans la roche . Mots de saison, gros mots, mots des passions, mots gros d'une sqorte de passion à pour le coup vouloir comprendre mordicus "ce qui se passe", , c'est-à-dire ce qui est qui, dzevant nous, seprésente, en termes de données de contrzeba,nde. On cherche ensemble à ici toucher un certain nombre de données, disons à toucxher-cerner un certain nombre de données qui seraient les dobnées qui pourraient d'elles-mêmes nous indiquer sans nous tromper la marche à suivre et que"l chemin de préférence devoir emprunter pour aller loin le plus possible , tracer vite, courir et g-agner la rive sans trébucher. on est xes femmes fées parce que oui, c'est ça, on est ailées, ou ailes des prés", on est des ailes ou
AILES et du coup on peut en vavancer parce qu'on peut voler, on peut survoler , gagner bneaucoup de temps de ce fait car voler active grave toute progression (sorte de progression) active dans un paysage quel qu'il soit. En volant c'est sûr qu'on en avabnce ! on en avance beaucoup plus qu'à petits pas ! On voit large, on trace, on avance grave , on survole peut-^tte mais pêu importe qauand le but est d'arriver à un point b ! On s'en fiche un peu (pas tout à fait mais quand même) du paysage traverseé, qauand le but est d'arriver à un point b, à une destinée précise, à un point p^récis dessiné, tracé, ou même gravé sur une roche des confins ou dite "des confins". On a envie ensembl d'aller vite aussi parce qu'on est préessées (de fait) de savoir, ce qui est là-bas en toutes fins de roche . On a grave envie de savoir, là-bas, les donnéess finales à quoi elles ressemblent, ce qu'elles sqont pour nous (comme pour tout ou toute un chacun ou une chacune) on imagine ! On est des fées ici (la mort ?) parce que, la roche passée, on est devenues fées ! On était au singulier (il ou elle) on est au pluriel... mais pas ielles ! non ! elles ! car : elles = ailes = fée ! Comment il faiut
le dire pour pouvoir enfin être entendues, perçues, vues, admises etc. ? On a beaucoup tracé, on a fait pas mal de route, on a survolé pas mal de contrées en ces présq, et mainteznant on peut dire qu'on est arrivées ou comme arrivées à destination, c'est-à-dire à ce point de rage d"'iune szorte de cloison finale. On rzeagadre (forc"ément !). On mate grave ! On cherche le pasdage ou un passage, une anfractuosité qui, pour nous, permette passage, un trou ou une trouée, une sorte de fissure pouvant faire penser s-que, derrière elle, se trouverait quelque chose comme une ouverture, une szorte d'ouverture monstre, cavité des cavités, une sorte de mer allouée à une infinité mais en vrai on ne sait quoi penser ensembke de cette chose d'une sorte d'entité lacustre telle que squspectée. On est fées de contrebande pour ainsi dire et du coup, en tant que fée, on en avance oui (on court on vole) m&is, en vrai, on devine quoi ? on comprtend quoi ? on essaie de cerner parce que voil;à on veut cerner, et c'est en tant que fée (dans la mort acquise) qi'on veut ça ! on est fées pour ça ! on est fées pour cerner des faits (des faits de roche) car pour le coup en vrai szeules les fées ont la possiobilté
(eh bien en tant que fées) de cerner un certain nombre de données de base. Parce q'elles volent et qu'elles survolent ? peut-^ttree ! On ne sait pas vra&iment pourquopi les fées savent des choses ou tant de choses concernant la mort ! on dirait peut-^tre à notre avis que c'est parce que oui, elles volent de leur p^ropre ailes et haut, fissa, sansembarras, sans traîner, sans lambiner. Les fées ont des ailes qui en vrai leur permettent de "tracer " (dessiner ?) comme "à main levée" sur roche des prés. On saéit ça d'elles ! On leas aime beaucoup depuis notre entrée en ce pré aux herbes parce que voilà on est comme elles, fées nous-mêmes dans le cas où on l'oublieraéit. on est, au passage de la roche dite première ou prim&aire, de venues fées nous-mêmes, une fée à 2 ailes = elles (deux). on peut dire même sans ecxagérer ni trop se tromper qu'on /
... s'aime ! on est toutes deux comme nées à ^$etre pour nous deux chacune l'être cde chacune ! fées aimées ! on est femmes-fées, on aime s'aimer et énormément. On adore cette chose ensemble de s'aimer à jamais en ce pré des bases. On est des fées parce qu'on est ailées (ni plus ni moins) . On est ailées parce qu'on est des fées ! On est entrées "par le cimetioère" , on est dans un pré, un pré rempplie d'herbe comme tous les prés, et maintenant ... nous voilà allouées ou comme allouées à u,ne roche terminale qui est roche des données finales. On est &u pied cde cette roche ! on est accolmées ou serrées au pied de cette r'oche, on est comme collées (nous deux) à elle et notre volonté, est de ne pas nous en décoller grave (de sitôt) si tant est, mais d'y rester, de rester collées ensemblve à cette sorte de cloison finale, der des
der. On est collées à la cloison finale. On voudrait passer un oeil et regarder. juste un oeil le passer à travers la roche par un interstice ou une sorte de petiotevanfractuoisté pouvant laisser passer ... un organe, un petit rien (ou pas loin) en termes d'organe, genre un oeil afin de "cerner", ou de pouvoir "cerner", ce qui est de l'a&utre côté . Le sait-o,n n ? sAvons-nous ce qui, de l'autre côté, est ? se tra&me ou se tramerait ? est-ce que lma mort de faéit est juste l'enclave du preé aux bêtes toutes dessinées ou gravées ou bvien est-elle en vrai située hors enclave ou enceinte aux herbes et autres bêtes (monstres ?) de roche ? On essaie de cerner ensemble nous deux (touxtrs deux) les données qui sec présentent maéis voilà, on fait ce qu'on peut , la chose est loin d'e^tre gagnée d'avance, on a beaucoup de choses en soucffrance qui nous attendent et on se doit de les "honorer", si jamais, avant de nous lancer dans un marché de contrebande tel que celui d
es données allouées est, on diraiot. on a à creuser loin et longtemps lma roche des donnéezs finales pour en vrai comprendre ce qui est inscrit en elle en termes pour le coup de vérités des vérités/. On cherche c'est d'abord parce qu'on aime chercher ! on est très férues nous deux de cette chose d'enqiuêter sans ceese, de'ess ayer de tracer , trouver, tomber sur , eh bé peut-^ttrre "des lettres " (?) ou sinon des lettres des données qui de fait auraient ou porteraient en elles un sens ancré ou avéré, affiché, donné. on est des fées "de cimetière" ! on est passées à rtravers la roche et on s'est retrouvées rtoutes transgformées en fée alors même que rien avant la mort n'aurait pu le laisser présager ! on est scotchées de cet éta de choses ! Ja&mais on aurait pu penser que la chose arriverait, qui nouss aurai vu nous transformer comme qui dirait en fée ! en fée peut-être ... chelous, mais fée tout de même c'szst à dire ailée, à la baguette ! dingue ! jamais en vrai on aurait pensé à cettye chose qu'on deviendrait, qu'on serait à présent devenues, la mort venue ! On s'est retrouvées nues (cul nu) " de l'autre côté" commê à la retombée et à vrai dire on en est encore toutes retournées ! jamais on aurait pu penser que cettye chose un jou!r nous arriverzait, qu'on se retrouve nues (cul nu) dans un ppré, sur l'herbe verte et haute d'un pré où des bêtes de somme (de poids et bâtées) broutent sans s'arrêter. on voit ce qui est ici qui nous entoure. On aime beaucoup les bêtes de poids, qui en imposent et font penser qu'elles sont fortes choses, fortes données, quand en vrai elles ne le sont pas ! seulement ... cdes bêtes de paroi : gravures de bois, dessins de choix. On est devenues fées parce qu'ion est comme "tombées " de l'autre côté ! chute ! on a traversé
la roche ensembvle vite fait , et quand on est passées on a compris, qvite fait, qu'on t arderait pas à ... "se ramasser" à la retombée ! et c'est exactement ce qui esst arrrivé ! on a chuté ! on est tombées, vite fait ! on s'est retrouvées nous deux , toutes deuxd, le cul dans l'herbe fraîche, humide, à tenter de nous redresser, et on s'est vite redressées ! on ne voulait pas rester plus llongtemps dans cette herbe humide mais nous relever et du coup, étant ailées, nous envoler (à la tire) sans traîner , et geagner "la rive", l'autre c^oté du pré. Onn est des fées qui pouvons voler (comme toutes les fées) et nous le faisons ! Nous sommes kles fées du pré . nous avo,ns ensemble à beaucoup encore cerner ce qui est sur roche, ce qui se présente en termes de savoirs ancrés ou de connaissqances profondes qui (qui sait ?) seraient de fait contenuess, et contuneues dans une langue donnée (en particulier). On est fées pour chercher (dans la mort) pour ainsi dire "du contenu". On ne veut pas ou pas plus ou plus passer à)à côté d'un certain n ombtre de vdonnées qui seraéient aéllouées à une sorte de roche ou de rocher qui se présenterait (pendant la vie) à notre (propre) gouverne d'êttre des parois et des cavernesc (hommes ou femmes, même combat) . On voit là qu'on a
encore fort à faire, pas mal à creusert, beaucoup à comprendre-cerner , donc encore beauxcoup à "toucher par la bande"
si on est (ensemble) des fées dites de paroi, de roche primitive ornée, d'espace de pré. on est ensemble cdomme si en vrai on devait ne plus jamais se quitter, et est-ce le cas ? sommes -nous vraiment amenées (par la vie des vies ) à ne jamaéis nous séparer ? On est des fées sur roche ou sur rocher et on veut toucgher, ensembke (de la main), cet a,ge du bien ! cette sorte d'ange, dont le nom (on dirait) est peut-^tre "Mort", on sinon "Mort" , "La Mort" . On s'est rapprochées vite fait de la paeroi qu'on voit là-bas au loin comme nou!s n arguer et le fait -elle en vrai ? on ne sa it )as mais en attendant on ne lambine pas, on y va grave ! on cherche à comprendre +++
ce qui est devant soi (devant nous) en termes de Romance, Récit vrai et doux, Paroles d'enfance". On est ensemble toutes les deux dxes fées qu'on dirait (en haut lieu ?) de contreba,nde mais est-ce que c'est vrai ? rst-ce que vraiment on est toutes deux dxes fées de contrebande ? On est fées des fées, on est des fées de base allouées à un pré mais a^près ? est-ce qu'on est vraiment dava,ntage ? est-ce que vra&iment on est des fées, dites de contrezba,nde, à jamais ? c'est s^$ur que nous on voudrait compre,ndre grave et du coup tracer sans traîner sur roche des dessins d'enfance, des données rupestres, bêtes masse, mammouths et autres bovidés sacrés cfomme une vache, un bison, un buffle, un ours ou une ourse des cavernes et autres bêtes faisant impression et pouvant (hé !) convaincre, museler, éteindre toute velléité de rebellion à l'en
contre de ces "bêtes de cloison". On est arrivées ensembkle sur pattes mais on est fées (dans la mort) ailées , et du cfoup o, n en avance grave dans les connaissances ! on survole pet-^tre , c'est vrai, mais voilà, ça n'a pas que du mauvais ! on trace ! ça nous permet grave de tracer et d'ezn avancer (fissa), en termes de connaiszances de paroi ou concerna,nt la (une) paroi dite "préhistoriqaue" gravée. fée des fées. on est fée parce qu'on est devenue's (en mourant) des fées. Avant (avant la motrt) on était pas des fées. C'dst xezulement à notre mort (au singulier) qu'on est devenue fée ! fée des baises ! fée des baisers ! On est morts et on est re-nées (dans la mort) fée comme un fait exprès ! une fée = 2 ailes (ou 1 pa&ire d'ailes). On est nées fée dans la mort telle q'a&lllouée à une (sorte de) destinée singulière qui , pour chacune et chacun, est un tracé sur pré ,, de type dessin détaillé, trait effectué d'un trait, une sorte de tracé caché comme pré-existant à toutes soprtes d'exoistence humaine. On comprend de ce fait que la vie en soi est : hors enclave, hors lm'enclave de la mùort, et du coup que la mort n('est pas vraiment un après à jamais, mais une sorte de pré, d'enceinte "cloturé" à l'i,téroiuyir d'un champ plus large que serait
la vie. en vrai, comme si la mort était une sorte d'enclos de prairie, à l'intérieur de la vie, en son sein pour ainsi dire./ Comme si en vrai la mort était ... contenue dans la vie et non en dehors ! une sorte d'îlot de vie, qui seraiot un ilôt de mort ou sorte d'ilôt de mort, qui viendrait à nous (épouser nos envies) le moment venu (celelui de notre mort) mais en vrai ne serait pas donné à jamais sans issue. on se dit que peut-être oui, en effet, la mùort sezrait ... une sorte d'enclos, à l'intérieur de la vie, une soprte d'enclave, à travezrser, à passer , et après, ap^rès ce pré, de nouveau la vie ! l'océean de la vie ! la mer agitée ! cette sorte de mer sans fin ou bien ... où, cette fin éventuelle, pourrait-elle être en vrai située en ces contrées terrestres (humaines ?) etc. ? On est accolées parce qu'on est ailées ! c'est pas compliqué ! Si on est (depuis le début) dite ou présentées en tant qu'on est ou qu'on serait accolées", ne cherche pas plus loin c'est parce que voilà, oui, on est ailées ! on est munies ou nanties d'ailes , d'ailes de survie (de survol et de survie) avec lesqauelles on peut plus facilement "tracer" c'rst à dire en avancer, voler, aller, gagner, faire ainsi qi'on ne soit pas larguées de préférence" mais tout au contraéire , comme pointées ou à la pointe d'une szorte de recherche , pointéesz ezn tant qu'on seraéit devant ou sur un deva,nt qui nous montrezrait du coup à notre avantage, c'rest pas mal ! on veut aller , et aller c'est traverser, à la nage ou comme à la nage, la "paroi du monde". On veut ensemble aller loin le plus possible, sur ici ce chemin d'une sorte de ballade active, "ou de "balade vive" c'est)-à-dire "en vie", , sans plus traîner, en essayant de préférence ensemble de toucher de fait aux dopnnées données comme ... déposées, sur l'autre rive, cette chose d'une sqorte de rive allouée à uene sorte de sortie ! car, une île est accostée, dans un premier temps, puis comment ? qyuittée ? à jam&is ? on voit, loin, la pierre tombale des fins ou des confins, et du coup c'est szûr que nous ensembke (deux femmes = ELLES = AILES) on veut gagner vers elle ou vite fait aller vers elle tracer,
chercher, co:mprendre, faire ainsi que les données données de la contrebande affichée puissent nous aider à cerner de près, ... les enjeux, ce qui est en jeu qui ici (après la mort ?) se joue, de sérieud ! on est femmes fées, ok, on est deux (pour le mieux) mais aussi : on est fées allouées à une sorte de prairie, on est aidées en tant que telles par des bêtes- monstres, bêtes de paroi comme autant, ici, de "mots de choix", ayant contenance. On est passées (ensemble) à travers la rochje, parce que oui on voulaiot comptendre, on ne voulaiot pas rester complètement ignares, on voulaiot vréiment aller et tracer, en cette lande de la mort à lm' oeuvre et ça, de préférence, sans traîner ou sans traîner plus qu'il n'en faut , car la vérité est vite oubliée, ou plutôt ratée ou manquée, etc. Ou pluto^t manquée si on n'y prend gaarde tout à fait ou pas assrz. On a vite fait de la rater , comme on raterait ... la diligence. Nous, on veut comprendre vif ! on ne veut pas passer à côté parvce que voilà on traînerait, et qu'on serait de celles qui, de fait, "comprenhentb les choses sans les toucher "! nous non ! on veut toucher ! pour comprendre ou mieux comprendre nous on dit qu'il faut impérativement toucher , et pas qu'un peu ! vraiment ! tater ! prendre la mesure des données chargées ! On se rapproche des données de roche , on regarde (devant soi) la Chose, ce'tte sorte de Paroi Finale
qui, devant nous (soi) seraéit à nous tendrte ses bras comê qui dirait mais est-ce vrai ? on veut bien le croire ! on veut croire en cette chose de par(oi "bavarde", on ne sait pas, on est ouvertes à ça comme à mille autres choses concernant e,ncore la paroi de roche, la première ... à l'entrée, ou l'ultime il semblera&it ... à la sortie. On veut toucher à cette chose d'une roche "de szortie" et du coup comme (ensemble) traverser (encore) cette même roche mais en vrai, et pour le coup, à un tout autre endroit qu'à l'entrée. On veut toucher à cette roche ultime dite "des secrets", et pour ça come,nt on faot eh bé peut-^tre on passe un pied, une main, un doigt, un oeil , quelque chose de menu de soi, partie congrue, afin de pouvoir (ce faisant) peut-être explorer un tant soit peu ... LA BÊTE ! quelle b^rete ? La bête-Dieu ! La des ! la des bêtes ! ou (mieux) : LA BË TE DES BËTES" ! On veut touchert à elle parce qu'on l'aime, et parce qau'on y croit ! parce qu'on veut aller là-bas, comprtendre ce qui est et qui (il sembleraéit) nous tend ses bras, son gousset, nous donne le la, nous entraine de sa voix vers une sorte d'au-delà de paroi qui , peut-^tre , pourraéit être ... eh bien ... une plaine ? une sorte de plaine cendrée ? une sorte de contrée dorée ? cendrée et aussi dorée ? La MER ? Peut-^trre. On cherche ensembvle et on a pas fini ! On a encore pas mal à comprendre, de chemin à faire, de mots à cerner (bêtes-mots), de mots à graver. On est des fées parce que c'est vrai que nous on est ailées et que du coup ... on avance vite, on trace, on va vite vers ... n'importe quoi qui nous attirrezraiot de base avec des mots de contrebande si jamais. c'est vgrai que d'être fée permet gra ve d'en avancer et de tra&cer à main levé&e des bêtes (de poids et de masse) zur roche, à jamais ou presqaue. on aime beaucoup nous deux être des fées et du coup tracer comme à mé&in levée (en lévitatiobn et en transe") cela : des mots-dieux, mots doctes, des bêtes grosses, des données de roche ! on adore ! s^r que nous on a cvite fait de nous portersur n'importe quel côté ou dans ou vers n'importe quel côté du fait qu'en effet on est des fées, on est ailées, et c'est méga-aidant pour voler , nous diriger , nous rendre vers telle contreé ou telle auttre sans être g
^énées. On a&ime les grootes. onj aime entrer dans une grotte. On adore entreer dans des grottes de roche. on a vite fait ensemble d'entrer main dans la main dans une grotte ... oarce qu'on s'aéime ! ni plus ni moins ! Si on s' aime alors oui on peut plus facilement ou carrément aiosément entrer à l'intériuer d'une sorte de oaroi de rage ou dite de rage. en s'aéimant les choses pour le coup sont grande"ment f acilitées. On se dit que, en effet, si on s'aime, alors on peut tracer des bêtes, dessiner, graver vite fait d'un seul trait, des bêtes-mots (mots-bêtes) de roche allouée à une sorte de destinée, rupestre, terrestre, a,ncrées, tracée à main levée et c'est fait. ON est des fées qui allons vite retrouver la roche au fond du pré parce que oui, on court on vole, on l'a dit. On a envie grave enwsemble (AILES) de cerner un certain omùbre de données de base qui seréient pour nous quelque chose comme des données (données des données) qui resteré&ieznt c'est sûr encore et toujourzs à comprendre ou déchiffrer, méis au moins on les aurait par-devers nous comme en magasin, pour les étudier, ou mieuxx les étuduier, pour vraiment les comprtendre, dans chacunes de vleur compôsante, et peut-être à jzmais qui sait. On veut toucher à cette sorte de cloison finale qui donc seré&it cfomme "parlante" ! l'est-elle en vrai ? parle-t-elle vraiment quand on la croise (qu'on l'aborde") ? Que doit-on penser de cette chose ? qsue doit-on vraiment penser de cette sorte de cloison dite "des finalités ? Eh bé on en sait rien , parce qu'on est bêtes-mots de base, nées sans être vraiment nées ! on est com
me des fées ok mais en vrai on est ... fictives ? Oh on ne sa it ! On ne sait ce qui est vra&i ! On a super envie ensemble d'aller fureter en cette sorte de rive ultime c'est sûr mais si c'est pour le coup pour y passer , et à jam&is , et ne plus pouvgoir re'spirer, mârcher, vivre ! tu nous acs compris ! on préfère ne pas ! on préfère aller tranquille sur ce pré (comme les vaches autour de nous, les buffles, les bisonnes, les chevreuilles brunes) nous promener, muysarder voire jouer. ON aime jouer ! Le jeu est central en ce lieu de feu. On est cfomme allouées toutes deux à un pré , et dans ce pré on aime jouer, nous courir après, nous "chervcher", nous "ezmbêter", faire ainsi qu'on puisse, ensemble, se délasser ou s'oublier ! s'oubluier est capital ici, en ce pré ! on doit s'oublioer et du coup jouer (par moments) comme des enfa,nts. On joue au feu de la Zaint-Jean, au petit poucet, au ma&rchand et à lmza marchande, aux jeu de dé. C'est vrai qaue nous en tant que fée on adore jhouer et d'ailleur on joue, on hjoue sans cesse, on n'arrpête pas de jouer, d'aller et de venir sur roche nous poster, courir, crapahuter, monter et descendre sans jamais tomber de préférence, c'r'st aussi le jeu ! On aime aller, sur roche, cerner, un grand nombre de données, et essayer (au maximum) de comprendre loiin, ces choses des roches ce qu'elles sont ou szraient qu'il nous incomberait de comprendre ensemble. On veut allmer enxsembvle loin parce que nous ce qui nou s plaît le plus c'est cette chose d'une sorte de rotonde, d'enclave "fermée" (... comme toute e n clave !) qui seraéit : l'enclave allouée à une mort terrestre, don,née pâr la bande à telle ou telle persopnnaélité, mais en fait, cette enclave est délimitée (... comme toute enclave !) et de ce fait permet en qu'lque sorte la retraversée comme à reculons de la chose, soit latraversée nouvellement effectuée de cette même roche des comme
ncementsz mais prise pour le coup ailleurs, autre endroit de roche mais (de fait) même pâroi-cloison. On est donc a&rrivées ensemble devant elle, . On se raopporoche d'elle le plus p^rès possible. Que fait-on ? on met (par exempl) un nez en elle ! juste un nez ! on hume ! que sent-on ? des odeurs pârtuicuklières, on dira "iodées" . Hé hé ! serait-ce (de l('autree côté) une mer don,ée ? ça se pourrait ! entous cas ça (cette chose) revient sans cesse ! on le voit ! on voit ça que sans cesse ça revient, que sans cesse on dirait , dans la conversation, ça revient ! ça n'arrête pas d'être là comme une sorte de Paroi de Choix ! et nous du coup d'y c roire,; d'y souscrire, de penser à elle comme par exemple à une zorte de "paroi de contrebande" . On a ensemble envie ici, d'aller loin dans les connaissancesz, au sujet de cette donc praierie ou de ce pré aux herbes hautes, aéux massifs fleuris, aux bêtes de poids. On est associées ensemble sur une paroi et c'est ainsi, que nous, on passe, en étant scotchées, collées, ou collées-serrées l'une à l'autre comme à tout jamaisz et hop ! on passe la numéro 1 des parois de base, direction cette donc prairie comùe enchantée du fait que sur elle est tombée une zorte de lumière (des fées ?) surnaturelles ! clarté vive on le s&it! Et puis une fois la paroi passée, on se fdirige de l'autre cfôté, pile poil en face on dirait, vers cette sorte d'anfractuosité par où, on pouurait dire, "repasser" , ma&is en vrai, s'il s'agit de la même paroi (en forme d'e,n ceinte) il ne s'agit pas (forcément !) du même côté envisagé ou rencontré. On se retrouve donc nous deux de l'autre côté prêtes en vrai à (re) traverser, à (disons) re-traverser , de l'auttre côté, c'est-à-dire du côté où , en vrai, on était, avant d'arriver, avant de nous retrouver (à deux) en ce pré fleurii. De l'autre côté ce sezréit comme si ... on revenait ensembke, là où avant on était : un ventre ? On ne sait pas mais c'est vrai que en effet la question se pose, pourrait se poser et ce seraéit à nous en vrai d'y répondre mais comment y répôndre ? Comment répondre à pareille question qui semble (presque) folle tellement c'est gros ! comment répondre, ou plu$tôt (déjà) : comment, en vrai, poser la question, en quels termes ? on se dit qaue oui peut-^t
re si on retraverse, du coup on revient ... là où onn était. retrour à la maison. retournement de zi(§iua&tion. retour (ou szorte de retour) à l'envoyeureuxse ? On Regarde ! On est qauand même ensemble méga-présentes, pour ici essayer de dénouer les fils le plus possible, cvomprendre pasc mal de choses "de base";,, essayer de faire en sorte de cernerv de près la plupart des éléments d'une romance (romance de vie, de vie dans la vie) qu'on pourrait facilement prendre pour (peut-être) une (la) ... "mort de tête" ? On est entrées parce qu'on le voulait ! a-à présent eh bé on veut sortir ,! on est entrées ici (encflave, enceinte, prairie céleste : la mort ou "mort de tête"), maintenant voilà, on a d'autres envies et on y tient. on veut sortir ! on a szuper super envie, de szortir de la prairie, de gagner (vite fait) la rive opposée à celle de l'entrée, et de passer ! de complètement passer à travers elle et voir ce qui est (de l'autre côté) qui se tra&meraéit en termes de vie, a^rès l'épisode (narré) de la mort à lm'oeuvre (sur terre). on a envie (grave) de comprendre ensemble ce qui est, le pourquoi on se retrouve pour le coup à deux (deux femmes) dans la mort et plus du tout d'homme ! On a méga envie de le com^rendre ! On est deux femmes dans la mort, comme accolées (collées) et maintenant qzu'on sait (qu'on est deux femmes) on a super envie d'aller comme à la chasse de données de poids, soit de données qui grave pèse ou pèsera&ient dans la balance ! On voit loin là-bas les bases . On veut /
On veut coller à une sorte en soi de Vérité, Vérité qui sezraéit de fait cette
"sorte de vVérité " qu'on croit pouvoir ensemble déceler (desceller ?) à l'intérouir d'une
soprte, ici, de paroi de roche ou rocher. On a juste envie de cerner toutes les données lié&es à une "szorte de vie" ... après la mort pour ainsi dire. Car, admettons que la mort , la mort terrestre (humaine mais pas que : animale, etc.) soit une île, alors lma vie est comme ... une mer ! et nous ... on le pense ! disons quon le mpense un peu nous deux. On diraéiot que nous, on pense (un peu) cette chose , comme quoi la mort (déité de poids) est une île ou comme une île , et du coup la vie (tout autour) ne s'arrête pas, est infinie, va loin à jamais dans une sorte d' infini qu'en vrai il nous est impossible ,
RAISONNABLE%MENT, de comptendre, car, comment comprendre l'infini ? Comment faore ensemble pour comprendre l'infini ? comment faire ensemble pour cfomprendreETRRAISONNABLEMENT la notion d'ibnfini ! impossoble ! l'esprit ici ne le permet pas, l'espriot hiumain. Seul peutêttre la Foi, LA foi dans le LAngage , dans la LAngue incrustée, acquise, inséerée soit inculquée. On est des femmes fées qui ici pensons que, peu
t-^tree, un jhour, on va y arriver , à le comprtendre, à comp^rendre cet état de fait comme quoi la vie ... est infinie ! mais ne peut être envisagée réellement en tant que tel (telle ?) de notre vivant. Qui , pour de vrai, comprend vraiment ... ce que c'est qaue l'infini ? Une femme ? deux femmes ensembvke ? plus ! On est entrées ensemble, doit-on ensemble ressortir ? devonsz-nous en tant que femmeb ensemble ressortir de cette enclave dans laquelle notre envie n'est pas (n'a en vrai jamais été) de nous y engluer à jamais ? On a super e,nvie d'aller, au plus lointain possible, en cette sorte de chose acquise, genre "un parler", langue donnée, pour du coup y trouver des données, des pistes, des choses de poids qui, pour nous, puiisent fa&ire en sorte que voilà, on puiisse "mieux voir""
ce qui est en ces contrées (... de la mort à l'oeuvre ?) qui soit, pour le couop, dignes de FOi, mais vas)-y ! pas si facile ! La Foi est là qui est soumise à une sorte de "mainmise", de la langue sur soi. On est envahies ! On est des fées qui sommes envahies ! Une fée de fait est envahie de base ! sûr ! On regarde. C'est vréi que nous on essaie ensemble de nous approcher le plusz possible d'une vérité acquise, d'une sorte en soi de vérité qui (pour nous) puyisse nbousq aider à mettre, de fait, au jour, un certain nommbre de donnéesz portées, de données allouées ou portées, de données de base portées ou allouées en cette sorte de "contrée cloturée". On est des filles (femmmes fées) de "la rage d"être nées", c'est cfomme ça qu'on se présent e quaénd on nous demande. On est arrivées tout près, da,ns la lande, d'une sorte de passage assez étroit, mais peut-^tte que , en vrai, ça va le faire, on pourra passer. On est arrivées ensemble ici, en cette fin de roche prairiale, pour comprtendre ici ou là où pouvoir troucver par où pouvoir passer sans y rester. On veut toucher à cette Déité des D2ités ok mais pour cela d'abord il faut arriver (ensemble) à traverser la "Rive Ultime", ce passage vrai (né ?) qui serait Le Passaghe des Fées ! ce seraéit parfait ! On essaie de traverser ensemble cet te sorte d'ultime pasdage et pour cela, eh bien : fissa ! droit devant ! ne lambinons pasb ! cherchons ensemble à s'immiscer
(nous immiscer) le plus possible sans trezmbler une sevconde ou même défaillir, tomber dans les pommes ou seulemùent faiblir ! Si on peut passer (arriver à passer) passons ! ne recvulons p^lus ! ne lambinons plus ! allons loin en roche pour en vrai chercher des solutions à une énigme qu'on se pose ensembvle ici ou làb , inciçdemment,.
On est des femmes (deux femmes) dans la mort : pourquoi ? poirquyoi pas des hommes (deux hommes ?) ? Parce que l'homme ... lâche prise dès que mort ! son corps reste genré (dirons-nous vite fait) mais son "hominit"éé, ou sa "virilité" ou son statut "d'homme velu" disparait ! l'hommemasculinité, à la mort, disparaiît à jamais ! l'homme est transition (ou éléments de transition) ;. De coordination, mais ... quand il est mort il est mort ! quand l'homme est mort (à sa mort terrestre) il est mort et disparait, peu à peu, sous terre (dans la terre des aieuxw-aiueules). Seukle, la femme persisqte et de fait dure en tant que fée. Deux felmmes (ailes) pour ... une fée sur herbe ! On voit les néeénés ! les herbes et, au-dessus des herbesz (?), les nénés ! On aime ! On adore aller dans l'herbe. On a envie d'aller (enssemble) jusq' au bout du bout du pré alloué à une mort humaine ou hominienne , et en vrai c'est exactement (ensemble) ce qu'on fait en tant que tra&nsformé
(l'homme) en fée (deux femmes allouées à , de fait,... un corps volant). On est arrivées comme serrées (l'une contre l'autre)) dans un pré et à présent on a super envie de nous en échapper, de tra&verser (re) la roche allouée (de type cloiszon) et vite fait nous rendre si possible (si possible sans trépassr) de l'autre côté, côté embruns, ressac, bruits de fond, mer de rage ou, sinon de rage, eh bien ... de quoi ? des âges ?. On eesaie enwemble, de comptrendre au mieux les mots de base, ce qui est qui est etc., ensemble "toi et moi'" ... comme par la bande, si ça se pouvait ! si seulement, ensemble, on pouvait comprendre (et toucher) le maximum de choses aidant (chacunes) à (en vrai) nous dirige
r ou à nous guider jusqu'à la Vérité des Vériotés ! on serait aux anges ! on sezraiot ravies ! on ne démanderait pas davantage ! on serait aéux anges comme ravies, et du coup souriantes , vraimeznt charmantes, avenantes, vivement présentes et ... comme aimantes ? On est des "hommes /femmes" nues, cul-nu, qui (pour le coup) vont et viennent dans une praierie, courent à perdre haleine : hjouent. car, Nous aimons beaucoupbeaucoup jouer, nous trémousser, charger, nous amuser sur un pré, essayer de nous parler, essayer de nous comprendre, essayer d'en avancer dans cette chose d'une envie (grave) de connive,nces (connexions) entre nous deux, qui szommes Ailes, Ailes de roche de fait allouée à une "sorte de Déoité". On est nées sur pré femmes (ailes) dès que trépassées ! on était un homme, on mùeurt, on devient des femmes (de"ux femmes) allouées (elle$-même) à ... un corps de fée, c'est dingue ! pourtaént, on diraiot. On dirait vréiment que cette chose (d'une zorte de "transformation 'upestre" : transe et métamophose) est réelle, est tout à fait possible (ici même) dans le concret : est-ce que c'est vrai ? On dirait vrai:ment que, en mourant, notre corps d'homme (mâle !) se transforme (mue : une mue ?) pour ne laisser sur roche , en vie, que (de fait) la femme (ou les femmes) contenue(s) en lui. femmes allouées à une vie après la vie. On essaie en vrai ensemble de co:mprendre toutes ces données, ce qu'elles recèlent en termes de "vérité à jamais", mais évidemment que, en vrai, les choses, pour le coup, ne sont pas tranchées ! ne sont pas données d'emblée ! on doit chercher logngtemps ensemble dans la durée ce qui est en vrai, ce qui existe piour de bon concezrnant la mort, le paqszage à l'acte, les transformations ou les métampprphoses ici d'un type d'être dont le nom, à chasque fois, change, peut-être, mais les conséquences (disons : charnelles) sont les mêmes à chaque mort ou disparition, ou restent les m^rmes à peu de choses près. Un homme mort est un homme-mort, et dès lors ... "devient" femmes. En vrai, l'homme ne devient" pas femmes, il libère deux fvemmes contenues en lui ... depuis sa naissance ! Il laisse renaitre, et, lui, disparait, sans laisser d'adresse autre que celle, eh bé .... du cimetière et c'est bien assez ... pour le repérer. l'homme disparait. La femme renaît ! enfin aailes ! on aime , on adore les fées, les ailes des fées. On est nées fée de fait, une fois l'homme mort et enterrré, bien fait ! On est passées ensembvke de l'autre côté, côté pré, et à présent on charge cherche à (comme)
revenir en arrière, disons :
re-traverser "la roche aux fées", roche dure des données de base ... du pré. re-traverser, comme "en arrière", ce qui est .... mais non ! il ne s'agit pas d'un retour en arrière. Il s'agit d'une avancée ou sorte d'avancée
à travers une roche d'enceinte, szorte de "sortie de cimetière". On a cru y rester, hé ... que dalle, on se libère ! on essaie ensembkle, en tant que femme rapprochées, quasi scellées ensemble, ( = lesbioennes) de se libérer, de passer, de sortir du pré , de sortir du pré et du coup aller, mais où ? personne ne sa&it ! On veut comprendre eznsembkle loin, un grand nombre de données de base et, bon, peut-être, à la fin, on saura discerner ... le faux du vrai, on pourra comptendre, c'est)-àdire toucher ... aux nénés ? au nénés lactés ... qui sait ?
26/8/2024
On est deux pour être. On regarde ensemble les données qui en vrai sont devant nous, et du coup, on essaie de comprendre , ce qui est, ce qui advient, ce qui se présente, ce qui est pour nous devant nous. On regarde dans le même sens. on est accolées et (pour ainsi dire) jumelées. On s'avance ! On en avance dans les connaissances. on est ensemble accolées ou comme accolées qui cherchons ardemment à cerner le maximum (ici) de données
concernant la roche, la paroi, le sens de la marche, les tenznts et les aboutissants concernant le dieu "des Données Lacustres". On y va ! on fonce grave ! on ne s'en laisse ni conter ni surprendre en vrai ! On cherche à pour le coup entrer en roche (incidemment) vivement : d'un trait ! On veut passer , et du coup on charge ! on tra cfe ! on passe ensemble le dos rond ! on veut coller grave aux données du front et du coup passer ! On dit qu'on passe ! On dit qu'on est passé ! On dit qu'on est à présent de l'autre côté et pour le dire vite, c'est ici que ça commence pour de vrai (qui sait ?). On est entrées et on regarde (autour de nous) les données. On est pas toutes seules ! on est accompagnées ! buffles et bovidés divers ou autres bovidés divers ! onb mate ! On est accolées à une sorte de "pré des prés", pré aux herbes allouées à une Vérioté Verbale. On est entrées et on regarde. On mate ! On veut / on voudrait, comprendre ++++++++++++++++++++++++ ce qui est ici en termes de bêtes assoupies,
frontales, massives et broutant sans cesse l'herbe, l'herbe allouée. On est cfomme nées à une vie nouvelle (... dans la mort ?). On est nées en elle ! On est nées de fait en cette vie nouvelle ! On est cernées ! on est comme entourées de bêtes de poids , de mots-bêtes de paroi. On regarde ce qui est autour de soi et quoi on voit on voit ça : la roche aux données, rotonde, paroi moite des données de base , vives clartés, et au loin une sorte de passage par où peut-être passer on dirait. On est Femmes de Rage ! Fées ! Fées en vrai ! Fées de l'être ! fées doctes allouées (elles-mêmes) à une vérité dite "de rotonde". On regarde ensemble et du coup on cherche , à (ici) comprendre ensemble : ce qu'on erst, qui on est, ce qu'on fait là, pourquoi on est là, qu'est-ce qui nous attend devant, de quoi l'avenir (pour nous deux) sera fait, qui erst qui en ces contrées, qui mange qui (ou quoi). On mate grave ! on veut cerner les choses de la Roche , et (de fait) aller, ensemble, au plus profopnd à l'intérieur des connaissances. On est entrées ensemble à deux (il fallait être deux,
et, deux femmes qui plus est !) et, à présent, on cherche à comprendre = toucher , toucher à cette vérité des Roches, au Données précoces, au Données frontalrs dites "de paroi", aux données Royales, Reinales, des Roches de La Loi. On est comme nées, ensemble, dans une paroi, fond de Roche. On est entrées de base , on mate grave et ce qu'on voit ne laisse pas de nous surprendre ! On vgoit quoi ? on voit des traces (traces sur roche) de sang facial ! Ouh ouh c'est un fait ! C'est fgort ! ça cogne ! ça envoie ! On y croit fort ! On veut cerner de Rage ce qui est, en ces parois dites "de la Foi". On veut toucher ensemble la paroi dite "du bout du monde", l'ultime Allouée. L'Emportée. On veut toucgher ensemble la Rotondité des Rotonditéds ! On est nées de base en cette roche Fées, On est nées Fées de base en cette roche. On veut comprendre les données. Cerner de près. Faire ainsi qu'on puisse aller ensemble loin, à l'intérieur des connaissances liées à un pré, à une sorte de clairière aux données rupestres, et , tout au fond, l'Anfractuoisté Salutaire, Passage en vrai au débotté, Fene^tre, clarté, bruit de Fée ou qui c''st, qui est là en vrai ? Qui parle ou chante ? qui est là derrière qui, peut-être, parle, nous sussure un certain nombre de données de base, chante a capella, fait des pas. On est nées de base sur paroi (ou dans) et nous voilà ensemble,
et nous voilà, ensemble (main dans la main) qui allons (fissa) vers la roche dernière, la Rotondité Salutaiore, l'emportée, la donnée dernière : qui elle est ? On ne sait mais on cherche ! On cherche à cerner ce qui est, en cette sorte de clairière des données rupestres !haut les faits ! On cherche ! on ne traîne p;us ! On est "accolées par le cul" on dirait, et du cfoup, nous voilà haussées , comme haussées à notte tour, pour cerner de près (ainsi soulevées) les données Hautaines ! On cherche ! On est Femmes des prés accolées ... à une Déité de fond de Roche ! vivacité ! traits de fée ! chants doctes ! on trace à main levée ce qui est qui fi gure le vrai ! on y croit ! On force la donne ! on danse ! on est là chantantes ! On aime tracer, dessiner , graver sur roche ce qui est qui nous anime ! bêtes des prés ! données fines ! On court on vole ! On est fortes ! on colle ! On est comme accolées sur pré et on cherche cde fait un grand nombre de données donnéers, de xdonnées de force ! On est nées sur roche allouée, à une sorte de Véroité dite des Vérités qui serait en vrai la Vérité des Fées et autres
Vies Alternatives s(il en est. On est nées Fées sur pré ! On trace ! On avance ! On veut toucher à une Déité de bout de Roche. On est accolées. On est qui ? on est nées en vrai sur roche allouée à une Vérité des Vérités. On cherche ensemble de près à c erner sur roche les données données et du coup à en avancer, à aller toujours plus loinsur ce chemin des données Actives, Actives Fines. On est Femmes des prés fines, on touche aux données, on trace à main levée à vol;onté, on est auusi activesz, vives, enjouées, sélectivesz, rudes d'attitude ou pas rudes mais costaudes et prêtes à (pour le coup) tenir sur pied devant l'adversité. On est Femmes des prés cernéeds, et cependant on cherche à passer, soit trouver en cetteenceinte une sorte d'entrée (qui sait ?) vers un ciel de rêve ou toute autre clarté allouée à un liointain tracé. On cherche ! On est nées sur roche ensemble comme pour chercher, en certte sorte de Rotonde , une sorte d'entrée (ou de sortie) de vie. On est comme cernées par, autour de nous, la roche -rotonde. On rezgarde ! On cgherche à passer ! à traverser ! à, de fait, aller plus loin en ces contrées et à traverser ... la Roche Finale, la Donnée donnée des fins de roche : ce qui est qui nous fait face (adversité ?) et qui nous regarde ou paraît nous regarder il semblerait. on est là sur place allouées à une sorte de mission locale, celle de tracezr comme à main levé&ée la bête des prés de pasdsage, celle qui permet l'entrée on dirait, bête de charge et so:mité ! La tracer de mémoire et à main levée ! la graver de rage ! transe ! envolée ! grâce ! on dirait le frai ! On charge ! On est bêtes nous-mmêmes au tracé ! comme transfoprmées ! On veut comprendre = donner. Mais pour comprendre-donner il faut (il est bon de) cherchyer ensemble par où passer en cette
sorte de Roche des Fées ! où passer ? on se le demande ! on est accolées ! On charge ! on regarde ce qui est qui est et du coup comment trouver ? comment faire pour trouver. Peut-être déjà se poser, souffler, faire un pas de côté, regarder aéttentivement ensemble, ce qui est autour de nous qui nbous ressemble ou pas mais nous semble comme parler ou nous parler , qui cherchons ensemble à tracer des traits, des dessins de bêtes sacrées et autres fêtes rupestres engjouées. On est nées fées dès la mort actée ! O,n meurt un matin et on devient fée dans la foulée (= Elles). On est fées de Rage nées ensemble dans la mort des âges ici accumulés. On entre ! on cherche de fait (grave !) à) comprendre ce qui est mais comment comprtendre, toucher, saisir et cerner ? comment faire pour aller plus loin et "passer" ou comme "passer" ? cAr, en vrai, si opn passe on meurt ! Si par mégarde, ou malheur, on passe (ne serait-ce qu'un doigt) on meurt ! On est là ensemble deux (deux femmes) pour ... eh bé oui , misère, entendre = comprendre, ce qui est ! ce qui est qui nous regarde (nous concerne) au premier chef ! LA DONNÉE des Donnée ! Celle-là de fait qui se pointe en face quand on naît ensemble sur "Roche aux Fées" (ou dite "des prés"). On est entrée ! on a cerné ! on veut toucher toucher mais pour toucher toucher (y toucher) il faut avancer, pousser plus loin sur un chemin des fées, aller de conserve et tracer,charger, faire ainsi qu'on puisee gagner, sur roche, le sentier des vérités ! On cherche à comprendre ++, on est ensemble pour comprendre en vrai ce qui est ! On ne veut pas se laiisser démonter ! On veut gagner sur roche le sentier, le tracé; la voie allouée à une Vérité donnée. Qui on est ?., On est les Fées de Bas-Étage comme qui dirait ! On est entrée en tant que bête (homme gra-vé) on swe retrouve Femmes (deux vfemmes accolées
) à la retombée ! On est des Fées de base ! On charge grave ! On veut avancer , paqsser, durer, dire, cerner les chances, conduire, fermer,; comprendre-situer et donner-permettee une avancée du coup conséquente en ces prés aux charmes. on est femmes nées, femmes nées des prés ! on est femmes nées, femmres nées sur )ré ! on chante ! on aime chanter alors on chante ! on y va grrave ! on est femmes allouées à une roma,nce, romance sur pré, alloué à une "Vérité Frappante". On cherche à coller à cette v2rité sans plus d'ambages si tant est. Qui on est ? on est des fées (de base) quyi cherchons enswemble (ailes allouées à une Vérité) l'entrée de passage, ANFRA CRTUOSITÉ de RAGE, tracé fait, trou de roche en vérité par où s'immiscer. Et pour cela .... fissa ! à l'abordage ! vélléités ! charge frontale ! bélier ! il faiut pousser ! pousser grave les entrées ! les divers pasdsages et autres portes des données "de contrebande ". On veut passer-pousser, et pour passer-pousser iol faut cerner ensemble pour le coup le b on côté (sur roche) au débotté ! On travce ! Traçons ! chargeons grave ce qui est qui est en nous bêtes des prés ! On va vers un trait ! on acte ! on veut toucher à cdette sorte de donnée de base, dont le niom sur place est "Déité gravée", "Romzance allouée à une Déité", " Chance des prés","vive Clarté au jugé", "Parade et autres Cavalcades pariétales données". On est passées sur pré, on voudrait continuerfr ensemble ce trajet de base, ce tracé vers une sorte de Donnée... autrement "Pre,na,nte" on dirait. On est fées de base nées sur place (dans la mort) pour en vrai comprendre : ce qui est, ce qui vient, ce vqui va, ce qui adviebtnt, ce qui se présente, ce qui file, ce qui vole, ce qui se soulève, ce qui s'envole, lévite, fonce, monte, cherche à aller haut vers une sorte de "boyau" ou "espace-boyau" qui (en vrai) nous laisserait comme pouvant aller ensemble si jalmais (par lui) de l'autre côté , qui sait ?
🤔
On regarde ensembke ce qui est ! On est accolées-acculées ! on est nées sur place en ce rocher ... des données rustiques, rupêstres, alpestres, chargées, et on cherche à cerner ce qui est ! vivement l'acmé ! Qu'on y trouve des denrées-données, vives cklartés allouées à des sortes de données acides. On est nées fées ! on est (dans la mort avide) nées Fées à jamais et on le sait ! on est conscientes (ensemble) de cette emprise qui, sur bnous, bnous fait (fort, grave) de l'effet c'est un fait ! Onreste placides mais on est aux aguets ! On se tient un peu en retrait ! On ne veut pas tré-passer ! on veut demeurer. On est nées vives , on veut en vrai rester aussi vives, si jamais ou si possible ! On Veut ToUchezr toucher toucher toucxher toucher toucher toucher
toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher à une V2RIté des Vérités à jamais = autre emprise ! cri ! saleté des saletés, on s'enfiuit ! on ne veut opas rester bouche bée à se faire berner par cette Déité des Données Vives, mais tracer, aller, fuir , courir, à grande enjambées, vers une autre frise, autres parades sur paroi gravée, charges diverses allouées à une vérité-surprise, vérité des vérités ghravées comme p ar surprise sur paroi lisse . On est co:mme nées de rage sur pré, fées ! on veut toucher à une Vérité de mise ! On ne veut pas sombrer ! devenir vides , mais ghravir les marches de la Vérité et de fait se remplir ensemble de denrées ou de données faisant fonction
de prises, de prises allouées à une envie (criante) de cerner (en vrai) les données données , et ce ssans lâcher prise si tant est en fait. On est femmes des prés (à la retombée) qui voulons avanncer ou
en avancer (ensemble : main dans la main) sur pré et du coup comprendre les données données, données de base, bêtes-mots de roche et de rochers, cris de joie et de colère non rentrée, chants doctes, chants d'effroi et autres chansons graves déclamées de vive voix. On croitpouvoir ensemble cerner en vrai ce qui est mais ce n''st pas gagné car pour comptrendre il faut coller, à une "roche des prés", et pour cela ... il faut s'avancer, faire corps ensembke (deux felmmmes) , sauter et passer ! On est nées Femmes sur pré , on veut toucxher-cerner les données de Rage et cerner ensemble ce qui est qui nous regarde (on dirait) sans discontinuer. On est femmes des prés. On est n,ées sur roche à la retombée. Mortes-nées on est nées sur roche et on voit ce qui est : cohorte ! de bêtes de poids ! et autres tralalas comme gravész (à main levée) sur
paroi (par soi ?). On veut quon voudrait comp^rendre ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ ce qui est ici qui peut-être nous regarde.
on se dit que oui peut-êztre en effet pour comprendre il erst bon de s'avancer d'un pas, voire deux. De faire en sorte que, cette voie , sur place, qu'on emprunte ensemble, soit la voie des Voies ; qui sait ? On est nées fées parce qu'on est passées ! on est passées de l'autre côté et du coup voilà, on se transforme en fée ! ailes de paroi ! chanterelles ! on y va ! on aime ! on est bêtes des bois, des forêts, des champs de joie et autres prés allouées de fait aux données de poids. quand on aime il faut gagner (plus loin)
le chemin dévolu ... aux données Velues ! Qui on est ? On est des fées ! = fées chelous des prés ! on trace (comme) à) main levée sur place, en tant qu'on est ... des fées des prés ? Qui saiot ? on essaie ensemble de comprendre et, du coup, s'avancer, ensemb le, tracer , chercher à percer, cerner, toucxher la Base ! la Donné des Données de RAge. On est accolées ! on se colle grave (ici : paroi) l'une à l'autre en vrai. On veut toucher toucher toucher toucher à cette Donnée grave des Données, et tracer ensemble (vite fait) en transe les effets, les vifs effets, les tracés, les mots allouész à une prise, Chants des fées, vives aminosités et autres rancoeurs rentrée. On est "Fées des Prés" sur pré, on est chargées, on vo:le, on est nées sur roche pour voler ! On est des Fées vives ! On est accolées à une roche de données diverses et autres faits vrais . Qui on est ? On est ... eh bé oui : des fées ! gentes Fées de base on est passées, on est entrées (rotonde aux données) et, on cherche à , comme qui dirait, nous ... retirer ? on ne sait ! on cherche ! on veut toucher ! toucher est la vérité ! toc et toc on est p
âssées et on cherche ensemble, à gagner la rive, l'autre rive (si tant est !) et pour ça on file ! on y va ! on ne lambine pas ! On veut comprendre ensemble et tracer de près, ce type de données royales ! On veut toucher ensemble les donées don,ées du bout du bout du monde alloué à une vérité massive ! on est né'es d'une rage active ! on est passées sur pré ! on est nées à une rive vive ! chant doté de mots de friche ! On est accolées, et on chante ! On veut cerner e,nsembvle (via le chant ? la romance ?) les données, et , en vrai, ça se pourrait ! Il bnous suffirait de fait de ... soufflezr = respirerr ? On ne s ait mais on est (méga
) actives en vrai dans le genre on dirait, on file ! On est fées des Rives ! On veut durer ! cerner = toucher. Toucher = dire. Dire = accentuer. Accentuer = tuer. Tuer = vivre . Vivre = comprendre lles données données par, ici, une rive a&llouée à une sqorte ... d'enceinte solaire (il semblerait). On est femmes vives dans la mort active ! on veut cerner = vivre ! saluuer laé frise , les bêtes enchantéesz, les données rupestres en forme de bêtes ! Car, on est comme elles : fées-bêtes ! On cherche (pour de vrai) à être des (ensembvke cernées) qui (de fait) voulons grave graver, (en fait) ce qui est qui est qui nous fait face et semble nous "parler" en toute confiance de connivence. Mais ... 'st-vce vrai ? sommes-nous leur chance ? avoçbs-nous pour elles de quoi satisfaire (incidemment) leurs drîoles d'ardeurs conséquentes ? On avance ! On trembke ! On cherche à pour le coup comp)rendre e,nsembke ces ardeurs, ces vivesz envies et autres vifs désirs de type sexuels ancrés, tracés, marqués -accentuées en ces bêtess massives qui (toutes) broutent que tu brouteras, ensem ble en ces prés aux données actives comme des denrées et autres vivres déposés aux pieds de "Déité l'Acmé" ! ;On est vives fées ! chances-nées ! On court vite ! on file ! on ne lambin e pas (jamais) tant qu'on est "libres" de nos gestes alloués (ici) à une Envie de Verbe ! On est filles des prész, femmes enjouées, colère et tracé, on veut toucher à une Déité disons
Lascive ou sinon lascive massive, ou sinon massive passive, ou sinon passive gracile, ou sqinon gracile active, ou szinon active acide , ou sqinon acide placide, ou sinon pl acide massive ... et ça recommence ! on dans e ! on veut être des (ensemble) qui (en vrai et de fait) dansent que tu dansezras ta Romance' (ou sur ta romance) sans (ou avezc ) les bras ! danse slave ! danse de paroi ! charge de pas ! danse en traénse ! caillouttage ! On est femmes fées "des données de base". On aime aller ensemble sur paroi, à la recherche (ensemble) d'une sorte de Romance Grave, charge mentale, bleus de l'âme, une cxhatte sur un toit brûlant, chien ou chat de race sur paroi, va-et-vient vivace, tralala et a&utres falbalas sur bande; ion est accolées (de rage) pârce qu'on s'aime, ne cherche pas ! Ce qu'on est c'est ça : la bande ! bandana ! charge de France;, doigts des Rois et reines, Reines et Rois ! on veut cfomprendre , et ces reines et ces rois de base. Qui sont-IELLES en vrai ? Fées Des V2rités ! Croyez-vous aux fées ? vous devriez ! car les faits (
de base) néissent en vérité (au nez et à la barbe d'une Déité) sur "terrain advesrse " (qui le sa it ?). Fées = fées des Fées = Fées actées en ce cimetière des données rupestres. Ëtre = faire ! On pousse (sur roche) ensemble les données qui
toutes sont (de fait) à devoir pousser ! On veut t(oucher = dire = faire = cocher = comprendre , les deonnées du VErbe ! on naît ! On naît ! On na ît ! on ,naît ensemble par le lait, l a chance, la romance, le passé xdonné-déposé, les branches. qui on est ? On est bêtes de pa roi de Rage. Charpentées,massives et (plus ou moins) dures au toucher : non -fées ? fées ? On est passées ! on veut toucher-toucher = y toucher = cerner-comprendre = considérer et juger ce qaui est qui pourrait en vrai (tr ès certainement) nous en apprendre à satiété ! Car, en vrai, la Mort est ... XSATIÉTÉ ! , on le sait ! On sait très bien (à présent) que (en vrai) la mort est satiété, tourment c'est un fait mais également "satiét é" ! on veut toucxher ! On veut
touchert-donner ! donner du blé ! oseille allouée ! bretelles ! le passé et le présent sur herbe, les tourments mais pas seulementn : tout ce qui est qui en vérité fait ou ferait de l'effet, brillerait, en imposerait, fezrait penser que ce qui est ici donné (Vie Vive) est vrai , quand en vérité ... tu penses si c'est vrai ! Pacotilles que la vie donnée (le Passé) et rien d'autre dans un premier temps q'on voudraitb (de fait) voir durer indéfiniment. On esqt fées en herbev (des herbes) et on volette
! on adore voletter ;! on aime léviter ! oh, on a&dore ça , léviter, monter, se hausser, grimper, toucher à ce drôle de firmament alloué à une sorte de "donnée murale",donné des données. On veut : comprendre, dire, toucher, aller, cerner, pisser, donner, chier et pisser et aussi aller, faire, produyire, considérer, consigner, promettre, poussser, mettre, faire figurer, dessiner à main levée en transe l'animal des prés sur roche "imberbe". dessiner la bête et le pré (l'herbe) sans fraisz ! On est bêtes nous -mêmes (fée-bete) et on trace ensemble (de près) les données offertes (en vrai) par la bande (nacré / sacrée) des données actées diteexw (
pour le coup) "de contraebande " ! c'est un fait ... on bande ! on bande puis on naît ! on naît (au passage) Femmes (Fées) aux données données (de type bêtes-poids de charge : bisons, bisonnes, buffles, buflettes, chevales trac&és, "belles-bêtes", ....). On est allouées à une sorte de donné&e, tracée à main levée, pôst-cimetière ! à moins qu'il ne s'agissee d'herbes ! d'herbes des prés comme fauchés ? On est des bêtes belles on le sait (poids des Rois et Reines) mais voilà , on veut bien peser (grave) d ns la balance, figurer et faire son petit effet, il n'empeche que, voilà, on veut ensemble (pour le coup) con,&aitre pour de vrai la transe ! danser les mains levées , tourner et, sans cesse, tourner sans trezmbker ! faire-dire ce qui est en dansant sur pré x et x romances charmaéntes ! On veut comprendre = toucher et cernezr et du coup peut-êztre peser, mais commentb peser ? comment faire pour peser et en imposer , faire ainsi que l'Autre nous considérât comme ... non-ratées ? On est posées ! On est pauvres ! on est pas friquées ! on est nées pas friqées donc pauvres question money , tu sais ! On veut toucher toucher toucher toucxher toucher toucher à cette chose, d'une sorte d'envolée rapide, vive, d'un tracé sur roche (on dirait) vers déité : est-ce vrai ? on colle, ensemble, à la roche. On fait tout ensemble (on est collées). On ne l$ache pas une seconde. On est bêtes (des prés)"femmelles". FEMMES DES PR2S ON EST NéES ! FEMMES ON EST DES PRéS N2ES ! oN est des femmes des prés, fées, femmes, nées sur pré, en forme de fées . On est fées-femmes tracées gravées par (il sembleraiot) des êtres (de néandertal ?) qui auraient été (de fait) soulevész, en transe, en lévitation, par les fées de Saison, fruits de la passion, denrée zucrée comme du lait. On aime le lait ! On veut toucher à une vérité gravée et ne pas céder; On veut cerner ce qui est et du coup tracer un certain nombre de dsonnées lactées (frai, sexe et pamoison°) . On aime ! on veut grave a&imer, cerner, passer, ne pas y passer (trépasser) ma&is passer, à l'occasion, qui un doigt de pied, qui le nez, et cerner (de près) les données données de cet auttre côté d'une sorte de muret dont le nom , en fait, est : ... CORNICHON ! Nichon ? oh , qui sait ? Qui sait ce qui est ! On imagine ! on se fait le film ! On est nées vives et on se fait le film ! que penser ? comment se retournezr ? comùent dire et aller toucher ? On est femmesv szur pied (massives) qui fonçons tête baissée (bélier) vers c ette Déité Frappée qu"ion dit lascive mais en vérité c'est pas tout à fait vrai il semblerait ! On est mises et prisesc en Fées, et du coup dqu'est-ce qu'on fait ? on vole ! grave on y va ! on veut toucher de base, et donc voler = léviter = monter en cette "cave", à parois (ornementée) des parois. qui on est ? Filles ! filles des blés ! filles nées (sur roche) àune vie comme surajoutée, surnuméraire et szoulignée par (va savoir) telle déité qui (peut-être) existerait de mise sur paroi gravée ou dessinée. On cxhezrche une entrée sur roche tracée. fond du fond on veut toucher, entendre, comprendre, ressentir. On dirait que (qui sait ?) ce passage, juste là, devant soi, est passage d'une vie de gharde ! vraie de vraie ! On regarde . On est nées filles (dans la mort) on veut (on voudrait, qui sait ?) le rester à jamais, soit continue"r (de rage) à
^$etre filles ! filles allouées à une destinée de vie, à destinée (en propre) de vie vive, allouée à une roche (paroi) du monde. On voudrait (de fait) aller loin, e,n cette "Cloison des Cloisons" ! Passer ! Passer de l'autre côté ! côté "embrunsz", "plage", "bruits de fond", cri de bêtes sardes ! on est fiilles (femmes) sur le pond ! on trace ! on est faites de son on dirait : cris de la passion ! on grave ! on chante ! on crie (oui) sans cesse, sans traîner; on est nées de ba&se Femmes dans la mort et on romance ou romancerait grave ce qui est en vrai, on sait. On veut : passer, passer sans y passer ! chargeons ! filons ! allons loin ! creusons ensemble ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ la roche brunie ! On veut grave ensemble comprendre ce qui est ici qui nous regarde, et du coup cerner la Romance aux Données Données. On aime travezrser la lande : on le fait ! on trace ! On avance grave . On est nées Fées comme au passage et ça le fait en vrai ! Fées on est , qui cherchons passage (au débotté) au fond du pré(par où passer sans se démonter). Qui on
est ? zh bien peu-être des fées, fées-femmes qui cherchons ensemble à (au mieux ou pour le mieux) figurer ensemble sur roche gravée, dessinée,au nez et à la barbe d'une (sorte de) Déité de Charme. On est fées nées au passage (tête adjacente). On aime tracer (filer) , du coup on fonce ! on y va gaiement, on montre. on aime mo,nter, se hausser ou nous hausser, grimper, se soulever ou être sqoulevéesz, charger (tout en -haut des dunes) les données allouées à une sorte de ... "passé donné" ? octroyé ? déposé comme à l'aventure et on se prend (ensemble) à rêver, que la vie pourrait du coup durer en vrai une éte"rnité ! on est fées de rage qui aimons
danser : en transe (ce qu"on fait). On est déposées ! posées ! chargées de mots de base animalierrs sur roche. On aime allerensemble et combiner, alterner, chercher à pour le coup se démerder ensemble ou, par'fois, séparéement, mais en vrai, jamais tout à fait : on est accolées ou cfomme accolées dans l'instant si jamais ! dans le temps accolées sinon dans le pré ! on est collées ! on aime toucher, dire, pêrcer, chercher à trouver, comprendre ou faire- dire ce qui est en vrai , et a&ussi le reste : fauusetés, vivfs mensonges sur pied, genres déposées en branle, corrosion des données de base, fausses-clés de contrebande. On est come cernées ensemble par des sortes de données de type "vies a&ctives allouées" , quand en vrai les données données (par nous déposées) ne sont pas "vraies" mais "fictives" : fruits ! on est comme allouées à une vérité des prés dont le nom est : fée ! on le sait et on y croit fissa ! On est nées au passage, au débotté de la paroi des prés (ou dite des prés) ! on voit ça, qu'on est nées de rage ensemble à toi à moi come à la parade : ça y va ! ça gagne ! c'est coriace ! ça ne lambine pas ! ça cherche sérieux à comprendre les données de base sur paroi. "qui est quoi ? qauoi est qui ? et autres romances" ! On est nées pour être (dans la mort) des fées (défaits, et du coup des fées ) et c'est ce qu'on est ! Fées d'auge ! ftées dorées ! Fées de base morte mais vas-y, regarde , cherche à comprendre ! elles sont nées ou bel et bien nées ! on adore ! on est fées des prés chassés ! on a&ime aller, tracer et cerner, pisser et caguer, cernezr et douter, prendre et a&llouer, filer à l'anglaise, ne pas nous décourager, percer les mystères de la Charité, pisser peut-^tre, et aussi chier, mais aussi s!uer, perler, mouiller, comme des bêtes ! On veut toucher à cette SATIÉTÉ de Cimetière (?) qui auréit de fait mainmise entièrement sur les dfifférentes données données par l a Terre, Terre-Mère,
Donnés des Données. O0n est néeees de rage Verbe (herbe ?) et du coup, on devient Fée , ou peut$$êtree FEmme-Fée szur HErbe, qui voulons comprendre eznszmble ce qui est en ce's murets de rage "pariétales" et autre parois dite "de la foi". Quand on aime on dit qu'il faut tracer !
Quand on aime on dit qu'il est "préférabkle" de tracer !
On veut dès lors tracer, graver, dire, montrer, chercher à trouver (dans le dictionna&ire ? ) une définotion ancrée, certaine, avéré , au mot "cimetière" (ça nous aiderait un tantinet ... peut-être). on est comme nées fées sur herbe ! fées des fées ! ça le fait ! la peiine, la guerre, les diverseds monstruosités de l'être, les méchancetés, tout ça : du balai ! la fée desz fées sait faire ! se débarrasser de ce qui est faible e"n termes de données données de (pour le coup) vérité ! cherrchons plutôt à (ensemble : soudées) co
:mprendre ce qui est de ces contrées "hors cimetière" si tant est ! mais le "hors-cimetière" est-il (de fait) ... qui serait en vrai ? y a til des endroits sur terre (à la longue) hors cimetière ? on ne sait ! qui sait ? qui conna it ? On est : femmes-fées des prés, allouées eznsemble (accolées) à une vérité de base, genre "donnée des données". On trace ! on cherche ensemble à en vrai tracer, sur roche, un chemin de halage (des prés) si jamais. On est femmes touchées et ça fait (parfoisz) chier ! On est femmes / fées-des-prés touchées ça fait chier, quand on ne veut pas l'êttre ! sidérées ! frappées des instances ! acculées ! ça fait grave suer ! On entre ! on entre par un trait sur roche de passage ! On est néezs fées, et on trace ! On file grave ! On veut aller-donner, toucher-tracer, faé ire-donner, dire-coller, choquer ? Ancrer ? colmater ? Consulter les fées ? On compte les données données sur roche : on est étonnées du nombre ! On est accolées et a&cculées ! On fonce ! On veut toucher-toucher à cette déité aux données données de type Vérités de Cimetière (à jamais). On est faibles ! Fées des fées on cherche à en vrai découvrir ce qui est qui est en ce cimetière aux vraéis effets. Qii on est ? on est des fées dites (pour ainsi dire) "de base motrice", on court on v ole avec hélices ! on lévite ! Haut les coeurs chauds ! on lévite ! on va haut ! On monte sur un tonneau, une sorte de guimbarde. On veut voir d'en haut (de base). On est faites pour en haut y voir , et tracer a&u cordeau les données frontales, telles qu'en vraéi elles semblent ou sembleraient cvouloir (peut-être) se donner à nous, qui voulons comptrendre et tracer. On est femmes sardes ! sardes et salées ! on est femmes salées , sardes et nacrées
! nacrées comme le passé (ou dit "passé de sarabande"). On aime ! on valide ! on adore aller d'une rive (ici : avant -sc!ène) à une auttre , là : après-scène. Ça y va ! ça draine ! ça cocotte ! ça fouette ! on sent la toison reine, le poisson, la mer de rêve, les melons, les champignons, le sable sur grève, les traines. On est femmes sur monts, charge d'âme, alluvions, semence, cornichon (nichons ? ) sur panse ! On compte les tétons ! on est FEmmes sardes et on comp)te ensemble les tétons ! On est sur place eznwmble pour en vrai le pluq possible chercher à comprendre et aller (fissa) au-devant de soi, pour :
- comprendre'
- toucher
- aller
- pisser
- chier de connivence
- comprendre oui, les do,nnnées active's (vérité) qui expliqueraient le pourqauoi du commentJE est passé, comme un tourment dans une frise. JE donné sur grille : chants -tourments, sentiments, pleurs tristes. On est prises ! Vies des vies comme prises, soumises ... et, en vrai, ça fait chier ! On tente à notre tour une sorte de prise, qui pourréit (au p azsage) nous aider à (peut-être) nous éloigner de la Mort-Déité à jamais ! On est femmes ou filles / Fées de rage. On veut toucher ensemble à (ici meme) des données de base, poids de choixs , romances cracra (peut-êttre) ou pas : ça
se voit. La Rage est là ! qui, on dirait .... fait rage ! ça y va ! on trace grave ! On veut ensemble en tant que femmrs (fées) comprendre les b ases (ou les données de base), vérités ancrées (toutes) dans la masse ! qUi sait si en vraéi on peut y arriver, si on pourrait ? Ça le ferait ! ou : ça serait sympa , de fait, que ça le fasse un t§antinet, qui sait ? On est nées fées sur place (ici la mort) à la retombée, "retombée mausszade" ! on est nées fées sur paroi au p âssagge ça le fait ! On voulaéit comprtendre ce qui est et , au bout du compte, il semblerait qu'on puiise (en effet) comprtendre, un paquet de choses de près, en forçant la donne ! qui on est ? des féesz, c'sst un fait ! homme défait devient des fées en nombbre (= 2). On est fées nées, sur "base mortelle". qui on est ? xdes fées ! On s'aime ! On veut s'aimer ! On ne veut pas se laisser aller ou
nous laisser aller à rien glander en termes de recherche de données actées, mais tout au contraire ne pas s'arrêter à chercher, chercher grave, ici et là, toutes les données (possibles et imaginables) susceptibles de nous éclairer, en ce qui concerne... la lande, le pré, les fleursq alllouées, les bêtes de masse, les bêtes-mots et les mots-bêtes, le temps qu'il f
ait. On est des fées de contrebande on dirait ! tirées, poussées, bousculées ? On fait face ! On veut demeurer ! ne pas se laisser intimider , ou : ne pas nous laéisszr intimider ma-is tenir tête, le front haut, tue-tête ! faire ainsi enwsemble qi'on puiise comprendre les données rageuses, la Foi en cette lande ... entre deux parois ! La Rotonde est là (poitrail ?) : on y va grave ! On charge ! on veut ensemble comme un fait exprès cerner-comprendre l'alloué, le composé, l'e patent idoine , le chargé et l'exposé. On ne sait qui croire ! le placier ? le père Frappé ? l'entourage du père Frappé ? l'antenne aux nénés ? Le cimetière ? On est cfomme cernées de base par des faits qui , s'accumulant, fondent un paysage de firmament, ou, sinon de fir'mamant, de base, paysqage sage, champs ! champ des tourments ou dit "des tou'rme"nts". ON veut ensemble (toi et moi) comprendre les données active's,foi, Cri, charge, religion des parois, dessins doctes, prix d'ami, délivrances. Onj veut comprendre ensemble cette délivrance. On veut ensemble aller (si possible loin) à la recherche d'une "vérité intense". qii o,n est ? des nénés ? quéqués ? ... chr(ist assoupi ? On cherche e,nsemble ! On aimerait grave comprendre ensemble, ce qui en vrai ici (paroi) se trame de concert et semble (peut-être) vouloir, comme nous attendre pour nous dépiauter, nous faire chuter, nhous surprendre et nous blesser comme à jamais. On est fe"mmes)fées des prés, on aime s'aimer sur la lande, en tant que femmes ensemble (se toucher). On aéime se ... gouiner (?) de rage ! farce ! confiance ! on s'aime ainsi ailées ! Fées de France ! On aime s'aimer, s'aiguiller, se lover, se former en roche ! être bêtes des roches soudées ! coller à cette cxhose d'une szorte de donnée, un temps, morose mais pas à jamais ! les choses szont ensembvle, qui s'affrontent, se corrompent, se fronce nt et tombent, changent de parois, de visages et de traits (de base) sur roche il semblerait. On rst là ! toustes prises, parle cul, la rage, le tracé nu, l'emphase ! mille vertus font le cul de l'âme ! de l'âne ? on entre ! on voudrait de fait ensemble se loger en cette szorte de passage à même la roche, roche ici imberbe. On aime assseez se dire que voilà, la roche, dite (donc) imberbe, est roche nacrée = sacrée ! on cherche ensembmble, sans tra&îner, ce qui se pourrait. on est femmes des prés , des cimetoères, des données sur les êtres alloués (de fait) à une Déité, celle des Prés. On veut ensemble e,n tant qaue f"mmes, toucher, prendre, sitruer, deonner, percer, passer , connaître les données données où elles sont en vrai, charger toison, pisser sur le pont, caguer sans raison ! On est fées nées sur le ponton ! pisson-chions et laissons ! On aime : et pisser et chier en rond, autant qzu'on est ! c'est couillon peut-ettre mais c'est vrai ! ORAISON ! CHAPEAU MELON ! CARGAISON DE DONN2ES ALLOU2ES À UNE PASSION ! ON adore donner, percer, comptendre, se lover et s'allouer à une sorte de raison de garde, rationalité de façade ! ça le fait "bonbon" on dirait, même si c'est pas vrai au fond ou pas tout à fai. On compte les moutons ! on s'endormirait. On est collées et accolées. ou accolées et en vrai collées. Femmes-fées on est, qui cherchons TOISON (d'or ?) des temps "percés ". On est tracées sur rocxhe, faisant fonction (pour ainsi dire) de données de rage.
On est fées de RAge ! On est fées des prés ! On charge sur roche percée notre szorte de ramage ! bois des ors ! tra&its du sort ! On veut s'aimer sur prés, se toucher, se doigter, se caresser, se faire x et x choses ensemble sans traîner ! se bercer, pelotter, toucher de près. S'aimer fort (se lécher le corps) . s'embaumer ! se molletonner ! S'emballer comme un mort ! S'aimer fort = s'embaumer on dirait. On veut creuser ! Faire et donner ! charger, permettre, toucher et aller, dire et porter sur roche les données. On est fées dde base femmes allouées. Cris de nouveua -né ! Onntrace ! On vioudrait comprendre ensemble ce qyui est qui semble se pointer sur place, faire son effet, se montrer... et nous d'y penser. On veut
aller ensemble par le pré chercher Romance, Chants de Fée, Parades chantées, Cris des Prés, Sortes d'enfance. On est nés Fées en tant qu'on est; On veut ensemble ici comprendre les données, en faisant en sorte (de fait) qu'on puisse tracer (sur roche) ce qui est qyui nous app&raéit. On veut chercher (et du coup si possible trouver) ddes vérités qui puissent nous aider à (en vrai) comprendre ce qui est, ce qui se passe , ce qui est qui se passe ou se tra&me en termes de passages (dits "au débotté") de vie à trépas ou quelqaue chose de cet ordre -là. On est nées (dans la mort : au passage) fées ! soit dédoublé ! on est homme défait ! dédoublé ! fait femmes au débotté (ici) au passage = fées des fées , qui cherchons Romance à déplier, donner, lisser, comprendre, tracer, déployer, dire et poser. On est des fées de contrebande. On voudrait ensemble savoir composer les chants de "la chance", les données de g arde et autres chansonnetes haletantes. On est des Fées : "de passage" ou "au passage", féess "du passa&ge", fées ainsi formées ! On aime passer, traverser "la Roche aux Fées ", comprtendre les doné&es de base. Aurochnoïdicité de Rage ? on ne sa&it ! on trace grave ! vivacité et pugnacité font très bon ménage en vérité. Le soleil est haut qui semble briller pour nous inonder de sa douce chaleur animale ! on aime aimer ! on aime tracer et toucher les bêtes dees prés : buflettes à jamais, buffle sablé, chevaux des prés, charge-bisonnnes et autres bovidés dits "de saison" comme les fruits de la Passion. On aime s'aimer (aussi) de saison (en vrai). On cueille les baies. On est Femmes)
-Fées sachant chasser. On se colle ensemble ici au débotté au cul en vrai l'une de l'autre, à ne pas, jamais, s'éloigner (pour le coup) l'une (la lune ) de l'autre (le soleil). On e'st des fées (faites fées) par (en fait) un coup de lune ou de Soleil il sembvlerait (ça le ferait) .On VeUT cerner ce qui est pour de vrai afin de mieux comprendre les tracés de rage. On est fées de base, chants royaux, reines des prés, pesage et montrage. quan,d on aime il fait monter haut (sur place") par la bande ! creuser ! chercher ! prendre ! craindre ! coller ! cerner ! ALller loin en ces contrées dites "du cimetière" alors même que ce ,n'est pas vrai ! elles ne sont pas "du cimetière" mais post-cimetière on dirait. On st nées toutes post-cime'tière en ces contrées. On est accolées qui voulons cerner ce qui est, qui serait actif, vif, et saurait comme nous indiquer la voie (
le chemin) la (le ) plus propice pour nous aéider, à (peutêrtre, si jamais) cooimp rendre où tout ça (la lune, le soleil) pourrait nous mener. On est femmes de la Foi dans l'Âme ! Fées des Fées aux données de Rage ! On passe ! On veut comprendre ensemble (accolées) ce qui est, qui sembvle nous aller. on entre ! on est entrées (de base) en tant que fées (au passs ge) et on trace , on fait son effet, on court on trace ! on est comme nées a&u nez et à la Barbe d'une ... Déité attitrée à un Passage nommmé, marqué, signalé sur bande, allouée ! On éime s'aimezr . On veut tracer. On veut pousser de ra&ge les donnéesz, les avancer, les signaler, les tracer sur roche allouée, les faire monter, les hisser ! On est fées d'entre" les fées. On veut comprendre ensemble ce qui est qui pourrait nhous aider à cerner plus avant (encore) cette histoire (de fait) de romance allouée à une sorte de passage "au déb otté" (= de vie à tré&pas). qui on est ? On est des fées. On cherche à cerner ensemble les faits. On veut cfo:mprendre -toucxher = dire et faire à jamais une sorte de tracé qui szerait de fait l;e dessin en vrai des données avérées, concrètes, concernant la vie allouée à la mort, l'entubage-né, la chose sur pied, l'import. On est nées fées dans la mort (ni plus ni moins) et ça se sait. qUand on meurt onpasse (de rage) d'un port, à une sorte
de cloison des ors. ors des fées de Rage. Ors des morts. On porte Ramages ! Cadrat d'ior ! Ors de Rage. Ors des ors. Façade. On aime ensemble (fées) coller à ... eh bé à cette sorte de Paroi des Rages ! La Paroi de l'or sage, mage, passé . On cfompte les faits. On est passées près d'y passer à jamais ! On est fées des RAges Vives. On aime aller ensemble d'une rive l'autre, s'époumoner à force de chanter, gueuler, dire nos vérotés (nos 4 vérotés) , souscrire à une sorte de Passé tel qu'il se seraéit déroulé en vrai szur roche allouée à une Vérité Ancré de type Religiosité . On e'st nées sur pré , filles-fées de contrebande un peu chahutées, ensemble, on sait se lover ! se positionner ! comprendre ! sonder ! toucher et passer près ! se donner ! aller sur pied jusqau'au pied des Tra&its dits
"Traits des Déités
Allouées à un Dire
Doré comme les blés".
on est fées accolées à une (sorte de) pré aux fruits déposées. On court on vole. On dirait en vrai qu'on vole ! et peut-être qu'en effet en vraéi on vole ! On va haut sur Roche ! Tonneau ! on est ivres mortes ! On aime le Beau ou Bel Alcool de Peau. on est filles des prés, fées nées, on est assoiffrées ! on aéime (en vrai) le Beau Vidé ! On veut trouver, cerner et toucxher, comprendre un grand nombre de données,sopnder, permettre, charger et coller, ensemble (toi et moi , à toi à moi, à la une à la deux), à la paroi finale (terminale) d'une enclave. On
est passées de l'autre côté, nous voici dès lors, avec l'envie de travezrser en son entier cette sorte d'enclave tracée, ancrée, qui seraéit une sorte de pré dit "des prés ... et des charges mentales". On veut cfoller ensemble (nu pieds) à la lande. On marche en sandale ... non, sans sandales ... on marche pieds nus sans nu-pieds, on est nues ! on trace ! on est fées ! on est velues ! on veut toucher , comprendre, cerner et pister. On veut chercher ensemble les données données, te'llrs qu'elles se présentent. on est accolées de rage pour ce fait : comprendre-toucxher et du coup aller ! filezr ! foncer ! chercher ensemble si possible (en vrai) une vérité comme stipulée qui saura ou xaurait nous aider sait-on jamais ! On est fée des fées. On veut cerner-toucher ensemble les données telles q'elles sex présentent (de rage) devant nous , le temp)s venu. On est accolées, velues, nues, pieds nus, sans sandales .On v eut
: comprendre vif, charger fort, aller loin, porter haut, cerner de prèsz, szignaler sans traîner, coller &u plus juste, permettre un toucher, contraindre à se lover, activer en vrai, une Vérité des Vérités telle qi'on aimerait à jamais pouvoir (si possible) en hjouir de fait, en cette contrée, sous le vent buffant, ici, en ce tourment. On est Fée des Fées de La Rage nées, nées pour être, faire, dire, combler et donner ! On est fées comme nées d'une Rage d'ëtre , sous le vent, poussée à Faire-Dire ce qui est qui est, qui serait : Le Mot , La donnée Verbale, Allouée (de fait) à une Timballe, celle Des aAFFaires "sales". On colle aux données. On cherche ! On veut trouver-cerner. On cherche à cerner-comprendre : qui on est, qui on est pas, ce qu'on veut toucher, ce qu'on ne veut en aéucun cas toucher, ce qu'on est pour soi, ce qu'on est pour les autres que soi, ce qu'on regarde en face de soi, ce qu'eon voit, ce qi'on ne voit pas. On avancev pas à pas. On trace sa voie . On est Fée de base allouées à une Voie De Rage. On est là ensemble, accolées (femmes), pour comprendre ensembvle la paroi, le Roi, La Donnée de base, la (ou les) Donnée(s) Docte(s) et autres Chants Malins ; la base, le rampant, la bande, le Prince de Séant, la Balle. On regarde . On est nées sur pré dès la mort actée (au passage du pré). On colle grave ! On est comme défait (homme défait) au passage, et du coup transformé en fait en fées de base. Qui on est ? dans la mort ? des fées ! fées aux ailes d'or ! On est passées ! on a traversé vite fait ensemble la Donnée de base et du coup nous voiçci comme ailées , soit munies d'ailes de fée comme en vrai (on croit rêver ! ) On aime les féesz ! on cherche à cerner ensemble ces fées, ce qu'elles sohnt en vérité opur notre gouverne, ou ce qu'elles seraéient. On aime les fées comme ... nousz-mêmes ? car, en vrai : s'aime-t-on ? o u s'aime-t-on autant qau'il paraitraéit ou qu'il le faudréit ?°. On est femmes accolées car, voilà, on a traversé (ensemble) le "pont", la charge , allouée à une parade. On est fe'mmes des prés et fées de base ! on est collées de r age à u n e sorte de "guimb arde" aux dopnnées "étranges" on dirait . Que sont ces données ? desbases allouées à un pré ! Gentes dames : buflettes nacrées, bisonnes charmées, chevales des fées, bouquetines
ancrées, ourses des p)rairies et du paradis, lionnes allouées à une vérité chargée, biches accolées. On est sur pied. On veut toucher à une sorte de paroi donnée. On veut ensemble si possible aller au plus loin des données allouées à une vérité rupestre, du genre "buflette". qui on est ? on e'st de s fées de Rage touchées par (peut)être) ... une grâce, à être des bêtes ! On court on vole ! on monte ! on s'érige ! On a envie de vivre ensemble en cette sorte de prairie, notre vie ... d'infante sage ! On ne veut pas mourir ô grand jamais ! on veut vivre ... pour toujours ! ne pas trépasser ! aller ! charger ! donner ! coller ! dire ! pousser ! comprendre ensembleb les données tracées (szur roche) à ùain levée , pâr quelques êtres des temps reculés . on est nées szur roche Fées, la mort passée ! On est Fées, nées, de fait , la mort venue (passée) à jamais ! Fées d'entre les Fées nues ! On est nues de fait parmi les Fées ! On s'aime nues ! on se veut nues ! on aime être nues ! on aime toutes deux êztre nues du cul, l'une pour l'auttre, sans arrêt. On aéime toutes deux être nues (complètement) l'une pour l'auttre. On se plaît nues ! on s'aime (zinsi) nues ! On adore être nues et se balader nues et se promener en ces contrées nues, complètement nues ensemble sur un pré, au miieu des bêtes des prés, bêtes nues elles aussi quoique velues, alors que nous ... pas autant velues, quoiqu'un peu poilues, voire (parfois) beéucoup poilues, selon les moments , en vrai, de l'année. Car, par moments, on est plus poilues du fait que voilçà, ça pouusse, très !
23/8/2024
On regarde ensemble dans le même sens et on s'interroge. On aime comprendre et tracer. On est deux. On est deux pour être , pour ainsi dire, celles qui pourront dfe fait à lea une à la deux traverser la roche. oON se doit de traverser et du coup on trace ! on fonce ! On y va de concert car voilà, on s'aime ! On aime aller ensemblee à travers cette roche dite "des embruns". On se doit ensemble de tracer et d'y aller ! On le veut ! On veut tracer, filer, coller aux données, faire ainsi qu'on puisse coller ou traverser, passer de l'autre côté, filer grave, foncer à travers la lande, se joindre (ensemble) auux bêtes (nombreuses) des prés. On est nées pour être elles, les fées , les fées de la lande. On veut cerner et du coup voilà, on passe tête la première à travers la paroi , car on veut toucher ici et là à cette sorte dedonnée suprême dont le nom en toutes lettres est "Déité des Déités agraires". On connaît ! On est passéess de l'aiutre côté, on a traversé la roche "des prés", on est tombées comme à la renverse de l'autre côté et nous voilà alliées aux beters-mots, bouquetins et bouquetrines, buffles tracés, bufflettes olé olé,charmes et douceurs des prés, on est accolées, collées à elles, à pareilles bêtes. On aime ! On veut aller près d'elles ! on veut cerner-toucher ces bêtes, les aimrer et en vrai c'est ce qu'on fait ! on les aime de près ! on aime ces bêtes , on aime les toucher, les toucher de plus belle. On estvaccolées à pareilles bêtes , on veut les toucher, les aimer, les approcher (de fait) au plus près. On est ou on serait comme elles des bêtes. On est bêtes des prés comme elles. On veut les toucher , les aimer, les dessiner, les approcher de près. Qui on est ? On est bêtes des prés. On s'aime ! on veut tracer, aller, courir sans traaîner, faire ainsi qu'on puisse s'approcher des parois du Verbe, coller à cette Déité du cimetière dont le nom (genré) est : Tête ! Onest nées sur herbe, on trace, on va grave pour tracer sa voie ! On est comme nées du Verbe sur paroi sous fgorme animalière on le voit. On est bêtes de scène , somm, traits, fortes têtes on est , et aussi guerrières, allumées, vives
et colère si jamais ! On est nées pour être elles : les fées ! dans la mort du cimetière être des fées, ou Les F2es, Les Fées des Herbes. On e'st nées pour être fées et du coup on trace , on avance, on file, on ne s'en laisse pas conter, on veut comptrendre +++ ce qui est et du coup voilà ce qu'on fait : on file fissa ! on y va ! on cherche à hue et à dia ce qui est, c'est-à-dire les données données, le tracé ancré, l'omoplate délivrée, la chance aux agrès, la timballe, tout ce qui est qui puisse nous aider un tant soit peu à comprendre ce qui est devant (en face) à nous attttendre fixement et patiemment. On trace ! On reg arde. on est pasdsées de l'auttre côté, côté champ ou pré, côté bêtes fortes, on est entrées et du coup on trace ! on y va gaiement ! on cherche (ensemble) à gagner la place, le traczé sur pré attitré, la voiie de base. On veut aller ! tracer et gagner vers ce qui est en vrai cette voie tracée pôur aller fissa (jusqu'au bout du bout) en face : la Paroi ! La Chance au grattage ! on voit ! On voit au loin la Paroi ! l'amiante ou sinon quoi ? On est nées de rage (d'une rage) et on voit quoi on voit ça : ce qui est là-bas, ce tracé de base, voie des voies on y va ! on trace ! on va droit ! on est femmes des prés à la retombée, on trace, de fait, vers cette (sorte de) "D2ité des Déitéds" qui semblerait nous faire face. On est accolées (nous deux) en face à face, avec ... eh bé Elle, cette Chose imberbe ! Déité ! Chant des prés ! Romance ! On est passées à travers la roche direction le pré et (à présxent) on se rapproche à nouveau de la roche (en rotonde) afin de (une fois encore) traverser la roche, passer, voir ensemble de l'autre côté, ce qui est, ce qui en vérité est ou serait qui nous attendrait ! On veut comprendre grave ensemble les données données de la roche ultime ! Roche allouées à une Vérité Sacrée, riche en données de toutes sortes concernant la Mort, Vie et Mort accouplées, Chants du Sort, des Envies gravées, des Bêtes Montrées. on mate ! matons ! regardons les choses en face et en vrai essayons de comprtendre les données les plius ancrées ce qu'elles auraoent à nous révéler en termes de définitions ou de révélations concernant la mort. Alors .... on pourraiot dire ou avancer ceci, ici, cette chose (dite "de paroi"), comme quoi en vrai, la mort est ... Satiété ! hé hé ! On voit ça ! On est nées pour aller toucher à cette Déité dite "de paroi". On est accolées (à deux) pour eh bé voilà, tracer ! coller à la Donnée, aller graver, charger, faire ainsi que Déité soit comme rassasiée , d'ùo les nénés et le prix du Lait , c'est ! c'est ainsi que c'est !! On essaie ensemble de se rapprocher des néenés de base (d'une roche allouée à une sorte, en soi, de mamelon) et ce faisant , qu'est-ce qu'on fait ? on trace ! On colle ! on fonce ! on veut cfomprendre ce qui est ! On veut toucher au mamelon "montón", on veut y allezr ! on veut traverser et passer, se placer, coller pour passer, coller à deux pour du coup passer, traverser la roche, la paroi du monde, le sommet, la roche allouée à cette Déité des Déités . On veut coller et
traverser ! aller dec l'autre côté et filer ! courir à travers le pré ! aller vite au fond du pré pour cerner les do nnées ditrtes "disposées" comme à l'arraché, déposées sur pré, allouées à une soprte ici de pré aux données données de type (fortement) animalières. On connait ! on comprend des choses. On veut toucher la Roche du fond. On veut tracer sur elle les données premières, coller, s'approcher de front, comprendre et toucher. qui on est ? on est nées Fées au cimetière on dirait : AILES. On veut être AILES, AILES ALLOUÉES à une sorte de donnée de type Déité dont le nom en vrai (en toutes lettres) est FÉE ! Fée de Rage ! Fée de base ! Fée docte ! Fée des prés ! fée des données fortes , genre animalières néandertaliennes ! on est nées fées ! on est passées ! on est da,ns le pré ! on a travezrseé comme à la dérobée la roche prioiùmaire, le roc alloué à un cimetière (sorte de) et nous voilà tombées , tombées dans un pré, champ de luzerb-nz aux bêters gravées, on aime ! On marche ensemble au son des musezttes. On est allouées à ce pré en herbe. On marche au frais. On aime marcher. On va ainsi nous promener , charger, courir et se pôser, brouter, brouter
comme elles, toutes ces bêtes comme affiliées à une vérité "des prés". On est bêtes comme elles (fées-bêtes" , qui faisons ensemble le chemin des fées" on dirait.; On est nées fées sur herbe dans la Mort donné; on est nées (renées) en cette herbe des données rupestres. On veut cerner ! toucher ! aller ! comprendre cec qui est qui est ou qui serait pour nous la fleur (la crème) des données si tant est ! On veut tracer ! courir ! jouer ! ne p âsz vréritablement mourir soit défaillir mais tout au contrzaire se coller (l(une à l'autte) et tenir allouées à pareilles données dites "des prés". On veut cerner les données rupestres. Aller ensembkle jusqu'au bout du bout de pareille pour le coup enclave prairiale : toucher à certe vérité donnée de type "cloison murale". On veut aller ensezmble jusqu('au bouyt du bout, pour comprendre, toucher, regarder, presque espionner ce qui est qui en vérité ici (prairie aux fées) se trame ou se tramerait. On est F2ES de rage en ces contrées et on veut de rage, du coup, comprtendre ! toucher ! aller ! ne pas sombrer ! faire fi des bases allouées à un cimetière mais coller ! coller à cette soerte de donnée finale ou terminale, coller grave ! regarder ! toucher ! se glisser autant que possible ! regarder les données possibles, le tracé nacré, l'embarrure, le passé, le dieu donné, l'embrasure, l'envoyé, le déplacé, la turne, l'emporté, le vif et la plume, le petrit oiseau de bonnhe augure, l'idiot, le conno, le p)arfait conno ou qui d'autre quyi est là qui serait comme à nous attendre comme un nigaud ? On est de base Fées des F2es, qui voulons, dans ce "pré des Fées", comprendre. On est F2es faites ! pour l'Herbe, le pré, le c hamp des fées, le tracé a:lloué à une sorte de sentier menant tout droit (hors cimetière) à ce passage étroit d'un mur de derrière, vers là-bas, la plaine, la toundra, le soleil vert, la cghaine des neiges, le donné royal, l'amulette, le prairial suprême,
l'ontogénè-se. On vezut ou on voudrait ensemble faire (ici) cette chose à deux (on est deux) qui est, pour ainsi dire, de .... comprendre "sec" , les données du VErbe envieux ! On veut grave ensemble cerner, toucher aux données = cerner ces dopnnées, données des rêves ou sinon des rêves des pensées allouées à une sorte de Passé , dit "de cimetière", mais en vrai le cimetière est une sorte de pré alloué à du Verbe Nacré (sacré ?) de type Vérité des Vérités. On trace sur pré chemin de passage, on fonce grave, on court on vole (inclinaison, lévitation) et du coup on gagne (fissa !) la Paroi de Roche Finale, là-bas, le tracé des bases, le Fond de Barrage. On regarde ! On voit quoi ? des traces de pas ? on y croit ! On veut ensemble (main dans la main) comprendre les traces, les données de Rage dxes Paraois Finales. On rzegarde. On voit quoi ? une sorte de paroi qui , peut-être, s'ouvrirait à noptre passage,, ou pas ? Ouverte de base = échancrée ? On ne sa it pas ! On cherche grave ! On veiut passer ensembke, toucher D2ioté, Voir / comprendre les Données des Fées ou dites "des Fées", ce qui est, ce qui se passe, ce qui se trame, ce qui se rassemble, se qui se fait , ce qui est qui se fait, ce qui est qui tremble. On veut de fait ensemble si possible, au maximum, comprendre sezrré ! toucher Déité ! Toucher à cette Déité des Rages ! qui c'est ? "c'est l'plombier" ... des parrages ? On ne sait ! on veut comprendre = voir, voir de base les données actées, la fumée des paysages, les cl artés, entendre le cha nt comme alloué à une sorte d'anfractuosité permettant (grave) pour de vrai un passage, à travers la roche elle-même allouée à pareille contrée praioriale. On entre ! enfin disons on essaie d'entrer, de passer un oeil au jugé, cerner-toucher vite fait les traits, les formes oblongues,l es fumées, les clartés de près. On est nées fées on s'ap^proche des fumées. On est , dans la mort, nées fées, transformées, transformé en fées, transformé d'homme au singulier en fées, au nombre de deux il semblerait (ça le fait !) et nous voilà sur pré à chercher (rechercher) la Chose, le TRacé tracé, l'anfractuopsité de Rotonde, le pasdsage alloué à une sorte d'entrée ... du coup dite"de fée" telle qu'il semblerait qu'il nous fût alloué ! On est fées de trait ! On trace ! on colle ! on fo,nce ! on veut toucher à ce tracé "du bout du monde". On veut toucxher toucher toucher , à ce tracé tracé tracé ! du bout du bout du bout , du monde alloué à une Vérité Acté de type Déité il xsemblerait. On esty accolées (§serrées l'une à l'autre) et on cherche à (re)traverser la roche, après l'avoir unre première fois de fait traversée, nous voici, après le pré trouvé, qui cherchons ensemble (fée = AILES) à re-^(pour le coup) traverser, la Roche-Rotonde, l'ambra sure ; l a retravezrser (en vrai) pour ainsi dire, soit la retrouver , la voir se tramer, la toucher, la toucher dxe près, cerner-allouer, à pâreille Donnée, une sorte de "Vérité des Vérités". Comprendre. Cerner = toucher = dire. On veut dire et cerner ce qui est afin de OUI, faire ain,si que pareille donnée terminale (genre "vie après la mort-vie") soit vivace ! On entre ! on entre (si on peut) un oeil ou sinon quoi ? On entre, qui un oeil de Rage, qui un doigt. ON est au fond du pré. Rotondité des contrées, on a gagné le fond, qui est fond de b ase pierrale, pierreuse, mur d'enceinte fait de pierres , roches, roc durs, mots des fées. On veut toucher à une Déité matûre ! et du coup (OUI !) cerner ! , toucher = cerner = dessiner (de traits) les données, de base motrices, genre "animaux des prés", bufflettes allouées à une m atrice, bisons futés. On est comme accolées à une roche, de rtype "rotonde" des prés. On veut COMPRENDRE= COMPRENDRE LES faits. On veut ici toucgher pour (du coup) traverser, maiis cxomment traverser sans percer, et percer sans y passer ? C'est une sorte... de , sorte de , qui sait, casse-tête ? il sembleraiot ! On est bêtes, on chzerche, on ne xsait ce qui est ! On aimezrait grave connaittere, ensembkle, ces données de base, les jauger, les soupeser et voir ici (de près) ce qu'elles contienhent ou contiendraient en termes de vérité attitrée. On est qui en vrai ici ? des fées ? oon ne saiot ! ELLES ! peut-^tre ! Ailes ! qui sait ? on pourrait tracer, chercher, sui vre un tracé, essayer de comprendre les faits tels qu''ils nous apparaissent au débotté. On serait aéinsi éclairées ! mais comment faire ? qui on est en vrai en ce post-cimetière aux données allouées à une vérité de verbe ? On ne sait ! On chercvhe à cerner ! On est comme passées à travezrs la pierre une première fois (on dira : la mort) et nous voilà là (pré aux bêtes fortes) qui cherchons (de force) à essayer de, non pas en vrai rebrousser chemin, mais, en quelque sorte, retrouver la pierre, plus loin (la même en rotonde), afin de, pour le coup, ensemble (main dans la main) tenter cette approche d'une sorte de ... re-passage, ou colmment dire, re-passage de vie, de vie-mort à ... tré&^pas ? ou quoi ? re-la vie de l'au-delà de l'au-delà ? On cherche grave ! on est pas encore arrivées ! on a pas mal de "chemin en souffrance" qui, en vrai, peutêtre, nbous attend ou attendrait incidemment on a cru comprendre
; on veut aller profondcxhercher ensemble à pour le coup comprendre ces données dites "des fées", dites "des fées" car, elles sont comme i,ntroduites (avancées) par des sortes de fées liées à la mort ce qu'elle est (paire d'ailes ?). On est ensemble arrivées à passer de l'autre côté une première fois la roche, mùaintenant voilà : RE. Re la roche si tant est. Rotonde ! on se retrouve nez à nez comme qui dirait avec, à nouveau, la roche, la paroi frontale, les bêtes de rage, le passé, la place, l'avancée frontale pariétale, roche aux apprêts, façade, cloison murale, tracés de base, vérités. On veut passer ensembkle à toi à moi cette façade de paroi et du coup quoi ? se retrouver comme à l'ambassade ? re-passage pour une retrouvaille ? quoi ? on ne sait pas mais voilà on trace ! on ne lambine pas ! On veut grave comprendre, comprendre la charade ! On est là pour ça : enttrer, courir, passer, comprtendre, toucher. On voit ce qu'on voit. On est nées sur pré Fées, nous voilà comme sommées de re-passer à travers la Roche, de l'autre côté... côté vie de Base ? vie-Vie ? vive vie d'entre les vies de base ? vie des vives données de base ? On est nées fées ici (la mort) et nous voilà comme recondyuites (toi et moi pour Soi) comme à domi$cile ! On est touchées ! On cherche à cerner ! On veut grave trouver ! trouver graveà , pour le coup, comprtendre (ensemble) ce qui est ici, qui semble aller, se tramer, se faire, se monter, se dessiner. Une sorte de ... mât de rêve ? :mât de misaine ? tri actif ? rotation ? On est deux pour en vrai être Fée des fées, on est dans un pré rempli (ici) de bêtes de pré,
on marche têtes haute, on est accolées, on se donne la main, on est des fées nous-mêmrs, ou une Fée de cimetière, ou sinon fée de cimetière, Fées des prés, FÉEs de ce pré aux b^tes de somme ; ou sinon des fées dites "de parole", "Fées de Verbe"; on est entrées ! On vouklait (grave) essayer de toucher à cette D2ité des Déités dites "de cimetière", on y est ! On est passdées ! on a touché ! On est comme en vrai entréées ensemble tête premioère en ce pré de Rage, la tête relevéée, on est nées ! nées de Rage ensemble ! On est néesz de base sur herbe ! On est fées faites ! On aime ! ! on s'aime ! On veut toucher, aller, cerner, comprendre, allouer, dire, pousser les données vers (peut-être) une sorte d'enclave ou non, de passage, ou comment ? on enttre ! on est entre ! enttre deux parois de base d'une même (en soi) rotondité ! On est soumises à une sqorte d'"enclavité" de référence ou quelque chose du même genre, et du coup on trace ! on court on vole ! on s'envole ! on est comme envolées, voleuses, volantes, on passe ! On s'approche ensemble ! On veut comprtendre ! on veut aller ! on cveut faire ainsi qu'on puisse ezntrter tête première e,n c ette roche des données dernières. Qui on est ? on est allouées à une roche ultime aux données données , du genre Vérités ! On veut toucher ? On voudrait grave toucher ! On voudrait grave allezr profond, en pareille donnée allouée au tréfond des roches ! de la roche rude. On veut, ensemble, aller toucher. On veut grave ensembke toc-toucher la roche allouéeé à une vérité dite "des tréfonds". qui on est ? On est (dans la mort) F&ée ! On est Fée de RAge , dans la mort. On est commùe en vrai fée, en cette chose d'une enclavee, paradisiaque, dont le nom serait (de fait) La Mort ! La (en vrai) Mort d'Homme ou de Femme, Mort de l'Homme fait, qui, en vrai, dans la mort, devient Elles = Ailes = Fée ! c'est un fait avéré ! post-cimetière ! les nénés ! la grève! le sommet de tête ! l'envolée des envolées ! la pierre ! le donné et le jaugé ! l'alouette ! on jette ici les données do nnées commùe en vrai elles nous viennent , on est nées de base imberbe, on est fauchées comme les blés au cimetière, on est allouées à une roche pleine, forte tête, dureté
mùère, frai ! On edssaie en vrai de cerner les données les plus ancrées en cette terre mais voilà, la vérité est (quand même) difficile à atteindre, il faut s'y coller, il ne faut pas lambiner ! il faut chercher de près à cerner ce qui est, à comprendre , à aller (profond) en ces sortes de données frontales, qui sont (ou serzient) données axiales = vérités xde base "à tout jamais". On est icfi ensemble pour (qui sait ?) toucgher le... ventre de la Rage , Rage allouée à une Sommité de type Bisonne, Buflette touchée, Cheval-Amazone, Chavalité de zone. On est Bêtes de somme= Fées c'est vrai ! ça peut paraiotre exagéré et pourtant c'est un fait ! On est nées : bêtes de somme / fée, en ces contrées des bouts de mondxe d'une vie siur terre, et la roche passée, nous voici transfor(mées ! fées ! fées de Rage ! Trouée ! cri dee base ! On veut toucher toucher toucher , cerner cerner cerner, dire dire dire , en trinité les données données (donées). On ne veut pas faivblir ! on veut coller à Déité (aux données sauvages) et cerner de près et sans ambages ce qui est qui semblerait vouloir comme nous séduire. On est Femmes des prés allouées à une Sommité lascive. On aime aller sur pré saillir ! On aime baiser, toucher-toucher, se lécher , se laisser aller, se faire grimper, se faire monter, se faire foutre voire enculer = se faire traduire ! On est comme nées (sur roche) à la une à la deux, vives fées des Roches ! On est nées gouines en cette (sorte de) roche des prés dont le nom, attitreé, est : eh bé qui sait .... la mort.... en vrai ? on ignore !On ne sait ce qui est ! On subodore ! On est comme allouées (fées) à une sorte de cohorte de type "bisonne" et du coup on suit ! on colle ! on colle au troupeau! on est comme accolées à un troupeau (ou sorte de troupeau) de bmêtes de pré. Collées accolées on est. On colle ! aux bêtes fortes, aucx bêtes massives, au troupeau de peaux. On est : Fées de Vie, Chance accrue, Vives Allouéesz, Franches Venues, Mouches de Rue. OIn est nées sur pré à la retombée quand on est venues, qu'on a traversé ! On est nées à l'in stant précis où on est passées "de l'autre côté" , à la une à la deux le roc des Données. On a paqssé ensemble ... le minois, le torse nu, on est nées sur pré, ainsi tracées, on s'est regroupéses pour former ... FÉE, de base nue ! On est née F2e ! Ailes Dorées ! On est ensemble comme entrées en cette chose d'une sorte de prairie lacusttre, pré des mille donnéesz , pré animalier. On est entrées et on s'est retrouvées comme allouéee de fait à une vérité , elle-même liée à la rotondité des contrées rencontrées. qui on est ? Des fées ! dans l a mort des fées ! On est fées = ailes. On aime êztre Ailes ! On veut ! On veut (en vrai) être Elles , dans la mort . On veut dans la mùort en vrai e^tre ailes ! Elles ! elles desz données? elles-données, Données, DONNE. On veut grave en elle (la mort) Être FEMMES ! FEMMES -DONNE. On veut ! on veut on voudrait ! grave dans la mort ! être cette chose , d'une femme-donne. On veut toucxher à cette déioté du bout du monde (allouée à une roche qui serait, toute, à graver). On est femmes des prés , Joconde ! On ose ! on veuyt toucher toucher toucher à cette trinité , qui erst cette cohotrte : une bête de somme, une bête-mot, une bête de poids. On aime ça ! aller et venir en ça : la roche ! traverser ensemble, main dans main, comme accoléesz à une Vérité (Priofonde) de Roche, Paroi, Pierre d'ombre. On est paqsssées de rage à travers ça, la roche des prés, nous voilà Colère ! Fée des fées toute en colère d'avoir traversé sans céder ? ou sinon sans céder sans quoi ? On est nées ! on est enfin nées ! on est nées de RAge sans céder c'est un fait ! on est passées ! on est nées dans un pré, on se retrouve comme nées, de rage, dans un pré rempli de vaches ! c'est fait ! on est accolées ! on veut cerner-comprendre, chercher ce qui est, akller ensemble icxi sur place toucher à cette déité des déités frontal on dirait ou alors (sinon frontale) temporale ? on colle aux nénés ! on tète la bête ! on est bêtres nous-mêmes sachant téter, on aime ! on aime le lait (téter) , chercher à comprendre via du laéit, ce qui est qui estr en cette sorte de rotondité ou d'enclave à jamais, ou sinon à jamais , le temps de passer, de travezrser, d'aller vers ces contrées de charme, bout du bout des antres,, on croit comprendre. On est passées, et du coup on veut cerner les données finales. On est qui ? On est nées sur pl ace fées ! nées Fées ennoblies de base, on avance,, on trace, on file à toutes enjambées (?) vers les données finales, mur aux fées, antre terminal, cage dorée. qui on est ici (dans l'antre de la mort) ? des fées ! Fées du logis ! on est accolées ! On est nées de rage en ces contrées fées = mouches tsé-tsé ! On veut toucher à cette Déité des Roches Sacrées , Déité des D2ités. On est passées et o,n veut tracer et du coup quoi ? re-passezr ? re-voir du pays ? re-venir à la Vie en vie ? ret ourner à ses envies d'avant la roche ornementée ? chasse au dzébotté ? cueillete assoiffée , ,course à travers les prés ? ceux de l'avant-scène de la mort en herbe ? On ne xsait ! On est nées puis re-nées puis pâssées puis ... ou sinon passées : pré-passées. Ou sinon pré-pa ssées : comm" pré-passées. On oses ! on est cfomme nées, sur herbe, à la retombée, des fées. On est comme nées fées à lma retombée ! On veut cerner ! toucher ! aller ! comprendre ! faire ! allouer à une roche u ne sorte de ... sommité de cimetière ou dite "de cimùetière". On veut dire et cerner, chercher et faire, trouver, cacher, pondre et coincer, soulager. on est nées femmelles dans la mort en herbe on dirait. O,,n veut coller à cette déité des données dernières. quand on naît on naît herbe, trait, colère, femme des prés, herbe verte, colère innée et ancrée, soulevée, fière, chargée de verbe. On veut toucher toucher toucher, à) cette Déité des données Sûpremes . On est comme néezs à une véroité soudaine enfin soulevée (da ns l'herbe) = envolée ! fée ! fée ! fée de base des données de l'herbe ! fée des fées on aime ! On veut aller, toucher et tracer, comprendre, cerner, aller grave au plus loin des données p^rairiales rechercherv le trait, le tracé, le dessin acté, l'herbe des prés en sezrait transformée ! On aime aller sur herbe chasser (comme qui dirait) une vérité
"poxst-cimetière". Cerner-allouer. faire et dire. Chercher les données du rire, de la joie montrée, des actions mennées à même le pré. on est femmes des prés allouéesz à une sorte (en soi) de mise à bas des données "abruptes". Qui donc pourrait ou peut nous cfomptrendre en ça ? MOI ? Ce Moi de bas-étage genre "maussade" ? On est co:mme a&ccolées, par la bande, à une donnée de type "romance", et cela nous sied on dirait. On est "douce-france-allouées", on est nées de base en france, fées ! On est accolées en forme de fée. On est femmes d'une romance et du coup on entrte, à travers la roche, vers un pré de base, pré des prés, emplis (grave) de bêtes dites "de la chance", bêtes allouéesz à une sorte de donnée de base sale , saleté, ou peut-etre ... s age ? On est nées sur pré comme à la parade !
On est entrées ensemblke tête -pied, en force comme des malades, on voulaéit percer ! On est passées ! On veut coller ! On veut tracer ! On veut être nées, de base sur pré ensemble soulevées ! comme soupesées ! envolées ! On veut voler ! tracer ! filer ! comprendre enxemble follement ce qui est qyi nous concerne ou nous concernerait de près, et qui est cette chose cfomme vqyuoi on s'aime ! follement ! en ces contrées post^cimetière il semblerait. On est femmes-fées des p^rés alloués à une sorte de contrée post-cimetière, aux données données "par derrière", "à l'arraché", comme un sort jeté ! On est passéesz à travers elle (la r(oche allouées à une vérité) et nous voilà comme tombées dans lm'herbe au milieu des b^$etes (poids des Rois et RE"ines) à chercher à (de fait) nous recdresser. On est redressées. On court on vole. On ne s'en l&isse pas conter plus
qu'il 'en faut, on trace au cordeau, on file à l'anglaise, on s'aime follement sur herbe, on est "belles bêtes" de paroi de Roche. On aimùe aller ! s'(aoimer de près ! cerner les dobnnées, les données acxiales, la vie ce qu'elle est, les données frontales = les envies. C e qui est est, ce qui n''st pas n'est pas. Le sait-on assez ? on va droit vers ça : la porte ! On voit ça : la roche, aux données profondes. On veut passer ! aller de l'autre côté, à la recherche de données fiables oiu disons "tenables". On aime grave nous pointer deva&ntt
la porte des données finales. ToUcher ! faire ! graver ! dessiner ! On vezut grave dessiner des bêtesz et à main levée ! bêtes de roche = bêtes de poids. On les aime ghrave ! on aime ensemble grave les bêtes, de poids, sur paroi. On est FEmmes Sardes (?) : qui le croit ? On est des femmes sardes, on chante grave, on veut comprendre le pourquyoi dxes choses ici -bas et ici -haut entre deux voies (deux pas ? deux tas ?). On y c roit car on est là, qui voulons cerner la rOùmance" des parois et autres chants en transe ! Sarde tu le crois ? Sage sarde ? On y va ! on chante en transe ! tra nse xde paroi ! on y va et on y croit ! on est en transe ! on chante ça en transe va comprendre ! On est là pour ça : la transe-danse de paroi de Soi !IoN entre ! on entre ! on entre dans l'antre ! on est comê en transe ! en nage ! on sue de rage ! On est femmes sardes ! toutes nues on sue ! on est femmes sardes sur paroi de RAge ! cris de joie ! allelluyah, charges mentales, frontales ! cri d'effroi ! On passe ! on passe ensembvle ! Ailes de paroi ! on passe on trace ! on dessine sur ^lace (paroi) lza Chose de Poids dont le nom de base est : Charge ! poids ! rage ! dire de poids ! verbe à la noix ! potage ! charge de bois ! ramages en veux-tu en voilà ! CERf de bois et de sous-bois ! BEtes de poids = vie saubvage ! On aime ça, ensemble, tracer. On aéime ensemble ici et là (sur paroi) tracer : qui ça (le bison du Roi) , qui ça (la biosonne sarde). On y va de base sans tralala ! on est là ! on passe ! on trace ! ion va grave sur paroi tracer la charge, l'animzl "sacré" = "nacré" = "posé". On est comme nées fées dans la mort actée , c 'est grave ! disons : gravement acté, mais en vrai ... c'est que dalle, petit fait ! On est ezntrées ! On est passées ! On est dans un pré aux bêtes de charge.. on les voit brouter, qui sont allouées à une herbe rase, on les voit aller. On les aime grave ! on est aimées ! on est aimées des bêtes de base, et on aime aimer les bêtes de poids : balancier ! On aime, on est aimées ! la b alance souveraine ! souterraine ! le tracé en forme de trajet ! on aime ! On est nées imberbes, on est passées, on voulait connaéître les contrées, le paysage genré, les peuplades, les actes tracéés cfomme à la parade : on va dire que c'esty ok ! On va dans la lande. On court à volonté. On aime les branches, les données prairoa&les, fruits des fées, bouillons. On aime aller ensemble, comme à califourchon sur notre branche ! On est nées fées sur p;lace, on va vers le fond, on trace . On est nées féees de base. On est Fées nées sur place, la roche passée. On veut cerner-comprendre ! aller-toucher, faire-dire, vivre-tomber, se coucher-tracer, donner-coller, dater-saluer, vaincre les données de rage ou ... comment dire ? les toucher ? On est comme alouées ensemble à une base de données dont l e nom ebn nn vrai , est : MORT ! comme à l'araché ! On connaiot l'entrée ! on est néesz de base fées en ces contré&es la roche passée. dans la mort on sombre ! on trépasse, on tombe de haut homme, mais femme on se surpasse, on passe les rages, on renai^t grave, F2E ! F2E des F2ES ! On re-nait en tant que FÉE ! on passe , on repasse ! on volette à la retombée ! on se redresse, quand l'homme ( lui) cède, tombe, s'aplatit, trace, se frappe, se fracasse, n'est plus, qui trépasse (le goulu) ! On nait fée-femme des présc, à la retombée : la chance ! une chance ! On est femmes née, don,ée, faite fée à la retombée la mort venue nue ! On est fe"mmes des prés, on est nées sous roche, on va loin . On vole ! on vole on volette ! on volette on vole ! On veut être, faire, dire, aller, cocher les traits. courir sans désemparer ! aller ! toucher ! faire ! cerner ! comprendre ! pisser et cghier de bonne grâce , comme des benêts ! faire sensation ! toucher les nénés ! avoir raison ! tomber puis se redresser ! souder ! pointer ! aller ! dire et sonder ! faire fi des données sans nom (allouer à Roche son Nom = se donner, gagner du galon en forme de Melon, c'sst un fait et, sur "connnes roches", cons doctes, on tombe) ! On est accolées à une roche
aux données données. On est nées sur Roche fées, et on s'aime à la volée (à la volette) comme des bêtes, comme bêtes (en vrai ) de paroi vue. On s aute ! on gag,ne la rive ! on est nues du cul ! on, veut toucher à cette chose d'une sorte de paroi
"du bout du mon,de", paroi des parois, paroi dite "secondaire" car, elle arrive (en vrai) après la paroi ditee (du coup) "primaire", après le pré (pré-ambule rupestre de type agraire, prairaial, fleuri) comme une sorte de post )-cimetière, genre mùur de fin, cloioson finale , mur du son. On est
femmes sardes sur roche p^leine. On traverse ! on entre da,ns l'antre. On veut comptendre ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ les données fro ntale, ce quiu est qui nouys fait face. qui on est ? heh bé peut-être des fées , en vrai. On meurt, on meurt en tant qu'on est par exemple un homme (singulier
) et, dans la mort, on dirait qu'on est ... transformé en femmess, en femmes de pré, en femmes-fées des prés, en une fée des pré, fée aux ailes nacrées, dorées, allouées à une sorte de "mât de misaine" , on diraiot. On essaie de s'y retrouver dans cette sorte de po!ème aux données dibverses, mais en vrai c'est pas gagné ! d'abord parce que, pas sûr en vrai que ce soit un poème (du genre lettré) mais surtout parce que la mort est une sorte d'entité genre cadenassée, cloitrée, qui nécessite beaucoup de doigté afin de l'approcher dans ce qu'elle est, qui vous (vite fait) met sur le côté question vérité ou profondeur des données. On essaie de tracer mais ce n'sst pas simple !! on, essaie bien de cerner-tracer, la bête, la belette, le cheval;, l'ourse des prés, le buffle acoutré, mais voilà, la chose n'est pas données d'emblée ! faut cravacher ! Faut y aller ! faut s'y coller en vraéi ! faut ne pas lambiner pour de fait s'y coller et pas à moiti"é ! On est qui ? quête ! on guette ! on essaie ensemble, entant que femmes, ici accouplées, de tracer la Charte audx Données données. On est femmes des prés : on grave ! On dessine à main levée les bêtes allouées. On les aime ! opn veut grave les aimer en tant que telles. elles sont nos soeurs pour ainsi dire de boh^me (sacrée) et de contrée ! on les aime de près, de loin, de rage, sous le vent, n'importe comment . Soeurs de lait c'est un fait ! soeurettes ! on aime le lait, le nacré, la crème, le chrème, les données actées, lactées, tracées sur rochje à main levé&e comme du verbe du passé. On aime tracer ! on trace le Verbe ! bêtes-mots de poids sur roche = ÇA , La donne, les données de base, le tr acé primal =
la chance au grattage et autres jeux (des rages) suivants. On est comme des Fées du Tourment (ou des tourments) chantantes. On aime chanter ! on cherche à cerner ! on veut comprendre, almlouer et donner, faiore un choix de Roi, de REine Touchée, de petit bébé ( des bois et sous-bois : faon des aires). On est nées de rage à l'arraché, on fait chemin inverse ! on revient sur place : ventre des données ! on veut comprendre : qui on est. On veut ensemble grave se coller à une sorte de recherche allouéev à une contrée par delà l'ère du cimetière. Qui on est ?
Eh bé évidemment que, voilà, on ne sait pas vraiment. On aimerait beaucoup en savoir dabvantage et du coup pouvoir (pluqs facilement) cfomprendre ici ou là ce zui se tra&me, en ette sorte de paroi d'un antre qui est un entre, l'entre-choses de paroi. On est femmes sardes, et du coup, en transe, on essaie de fait de cfomprendre ensemble, les données de base. qui on est ? peut-êtte en effet des fées, mais rien n'eswsdt moins sûr en vérité. On cherche à cerner de base les données, ce qui est qui semble se tramer, se tracer à main lezvée sur roche : bousquetins des prés ? qui sait ! on espère un jour pouvoir ici cfomprendre les données de près, celles qui en vrai sembvlent "gouverner", "gouverner de conserve", les vies a&llouées à une aire, à un pré d'herbe, à une sorte (qui sait ?) d'enclave dorée genre cimetière dezs données don,nées. On est allouées nous-mêmes à une sorte de "cl arté" , qui semble ou semblerait venir ou provenir d'une abnfractuosité, tracédans la pierre. Qui le sait ? On tremble ! On est femmes tremblantres sous un vent de face ! il faut dsire que ça "buffe" grave ! ça envoie ! ça frappe ! On voit ça ! On est des fées-femmes de paroi qui (ensemble) cherchent à comprendre et tracer sur roche les données suprêmes, rencontrées, trouvées au passage,, relevées : qui on est et qui on est pas, les herbes../ parmi les plus courantes, noms des rois et reines, tralala sur herbe, oui, ça envoie ! ce qui est qui va devant soi, nous conduire en vrai et fissa vers ce tas, là-bas. Romance, charabia, transe, envois de bois, connaiossance des connaéissance's. On y va car on aime ça ! On veut (on cherche à ) comprendre grave cet envoi cde choix ! on est là pour ça : acter la romance, chercher en transe, doubler toutes nos chances d'y voir grave clair en cette sqorte de maison des bases, trou du con, maison sage, traduction. On e,ntre ! l'oeil ! la chance ! on entre = la chance ! de pouvoir ainsi ensemble un oeil passer en transe ou comme qui dirait il sembleraiot en tra&nse ! On regarde. On est né"es de base en transe (pour le dire vite) . un accouchement, en vrai, est une transe ou comme qui dirait : Trandse des Transes. Accoucher c'st entrer en transe (de rage). Qui on est ? Transes ! charge reine, point de croix ! On est comme nées sur herbe à une fée des fées, Reines des prés. On veut comprendre e,nsermble, un certain nombre de données de base, et pour cela, le mieux, c'est de, pour le coup, cerner les données (les données de base) dans un pré : bêtes allouées, betes des prés, b êtesz-masse sur roche tracée ou ornementée. on regharde. Il faut cerner ! On se doit d'aller comme à l'abordage, d'une vérité de façade !
on est fées de b base de base allouée à une sorte de denrée ! On colle au verbe ! On creuse ! On est accolées à du Verbe de Fée ! On est femmesz cdes prés allouées... à un Verbe de Fée de type Verbe Ailée ! p ôuvant naviguer (d'un endroit l'autre) à la volette, au passé, au temps donné. On aime ! on essa&ie de cerner ce qui est, en cette sorte de pré des prés. On est femmes des prés ok mais aussi ... fée ! On est fée des fées ! charge docte et tracé sur roche (une amulette ?). on est nées sur roche Fée, en tant qu'on est nées allouées à une Vérité c ertaine (charghée). On colle ! on est deux (accolées) qui sommes Ailes d'une Fée des Herbes(en herbe ?)! Qui on est ? du coup : une fée ! Fée des prés en tant que telle. On veut toucher à cette déité, des herbes semées, verbe de cimetoère , herb-verbe de cimetière peut-^tre ... qui on est ? on est .. cette herbe ? ce tracé à main levé sur roche ornementée d'une grotte cachée sous un monticule (ou sorte de) de flore diverse ? On entre ! On est coomme entrées ensemble
("à toi à moi") dans l'antre. On est cfomme soupeséees ! szoulevées ! montrées-montées ! mises sur pied ou quelque chose d'approchant ! On est nées de base sous le vent, comme nacrées ! soupesées nacrées on est nées fées , aaux ailes translucides dorées, vives et nues, ! on est nées fées nues ! on pue du cul ! on aime voletter e,n grâce ! on est nues superbes velues ! papillonante on pue ou on pue pas mais on envoie ! on veut tracer ! aller de rage ! graver et gravir ! toucher sans embages les données lactées (actées) du message (en ces contrées) rencontré (le messaege) colmme tracé (par qui ? on ne sait !)) comme à main levée et d'un saeul trait sur roche préparée. On voit les nénés ! les traits marqués ! les dessins allouées ! bêtes de rage, poids et masse. On estcomme nées ensemble à la retombée. On croit comprendre les nénés, le
lait , PIS de l'homme ou de la fzemme, a vant le passage (en l'occurence : pis de la femme ?) , et nous d'eesayer de comprtendre ce qui est en vrai, les données de base, les do nnées actées, le charme, la chance, le chant des fées, la parade ou la cavalcade, les chevaux et chevales lancées à travers la (les) lande(s). On essaie de comprendre)- cerner, les bases, ici, d'une sorte de romance (roman ?) des prés. chant de garde ! monstruosités ! méchancetés ! croyances diverses comme distinguées, on dirait. On est entrées ,
On est entrées en ces contrées
par le biais en vrai d'une sorte de donnée larvée ! On a prié ! on a parlxé ! On s'est rapprochées ensemble de la roche lisse, on l'a caressé pour ainsi dire, et, d'un couop d'un seul, comme à l'arraché, ion a jeté nos forces (toutes) en cet élan qui bnouq a vu passer en force les tourments, la roche aéux tourments, et du coup traverser ensemble (à la une à la deuxd) le pic (ici) du mont de Rage des données rupestres et autres envois (pariétaux frontaux). On colle = on ose ! c'est un fait. À ne pas négliger. On est nées fées parce qu"'on est passées , c'est ainsi qe c'est. On est fées nées ! on voulait c'est fait ! on voulaiot grave ensemble passer eh bé c'est fait ! nous voiulà cfomme entrées en ça : la roche ! le roc du tas ! la roche profonde (toundra) ! On colle = on ose = on trace (grave) un certain nombre de données de base ! On est femmes allouées à une sorte de Passé Maussade mais voilà ! "en passant je passe" comme qui dirait ! On tracverse enszmble, on se retrouve de l'auttre côté (dans la lande), on veut continuer, aller loin (de rage) vers le pré, au delà du pré, retrouver la roche finale (cloturante) et à nouveau (qui sait ?) la traverser, ensemble, comme' à l('unisson et par la bande, à la une à la deux comprendre ! sauter-comprendre ! touxcher-comprendsre ! sonder grave les données finales, traversrer ensemble, la paroi florale des embruns, des bords de mer sage, de mer attitrée, sondée, vue et bue . on est comme des fées de contrebande la nuit venue. On veut toucher ensemble si possible la monnaéioe d'échange, les choses dites "de la rue", le tracé nu, l'épopée franc-comptoise si jamais et autres romances allouées à des territoires donnés. On est accolées de base à des données de fond de Rage, tracées, dessinées, accolées. nousq sommes en transe ! nous sommes elles, qui voulonstracer (ensemble) en transe, les bêtesde pooids sur p aroi
de groote souterraines. on trace ! on est cfomme allouées à faire ce tr acé ici, sur roche imberbe ! On est nées (dans la mort) fée ! car : aimées du cimetioère (des) et desdonnées prezmières genre humanisées ! On guette ! on mate sévère ! on veut toucher à cdette déité "des cimetières" si tant est, comprendre ensemble (ici) qui on est, qui on semble êttre, quyi on veut être, qui on veut toucher en fait de bêtes, qui on veut cerner = dessiner et du coup connaîttre. betes des prés = betes-formes. On est nées sur roche des prés ! On est comme allouées à une destinée de type "colère" , "rage des prés", "emportement salutaire", "remontées de bretelles". On est : des femmes en colère ! on veut gueuler ! trpoubler l'ordre ! essayer ensemble de cerner les choses qui en vrai corrompent, font du tort, faussent ! Comprendre ensemble c'est tracer ensemble, à main levée, une bête dite "de cohorte" (genre bouquetin et tine) et du coup cerner ! touchezr ! cerner et toucher à cette Déité du bout du monde. On est nées sur roche, puis sur pré, à nouveau sur roche : trinité des temps donnéess !On aime grave aller sur roche tracer, qui des bêtes-mots (de type genrés) qui des mots -bêtes (de type alloués à une plainte). On est n,ées Fées sur roche, et pré.... pour la bonne cause : le salut des âzmes, des envies prégantes , des (de fait) vies de base. On veut ou on voudrait ensembkle chercher, les dires donnés et autres dits de contrebande . on est nées ! on est enfin nées ! on est comme nés ! on est comme nés sur pré ! on s'aime sur pré ! on est fées nées sur pré au pazdsage des données genrées ! On est passées ! on est trépassées = passées = faites fées ! On veut ensemble en vréi eessayer de cerner un certéin nombre de données de base, et du coup co:prendre ce qui est qui semblerait
vouloir arriver, ici, de rage, devant nous, comme un fait exprès. On est Femmes de paroi "étrange", genre "la paroides rois ", romance, transe, faits actés. On fait celles ensemble qui voulons-cherchons ici à comptendre, la paroi des rois , ou dite "des rois", ce que c'est en vrai, ce que c'est que ça ! On y croit ! on entre ! on veut co:mprendre grave et, qui sait, on va peut-être un jour y arriver ! toucher les né,nées ? le L;ait ? téter ? qui sait ! on est prêtes grave ! prêtes à téter la Vérité de l'(antre ! La Donnée Lactée ! La cerner de rage ! on est nées ! on veut téter ! on veut grave téter, de base ! en rage ! enragées comme des nouveaux-nées en vrai affamées ! femmes nouvellement née's nous sommes enragées, car, affamées, nous vpulons téter ! le lait de l'infa,nte ! soulevées ! touchées ! soupesées ! come soulevées de base à l'arraché ! car on est comme soulevées = montéesz ! on monte ! on s'envole dans le vent donné ! on monte on s'envole ! on est comme "soulevées-montrées" ... au Dieu des Passions ! On entre en lévitation ! on monte grave le long de la cloison ! Antre des passions ! En lévitation , on entre ! ion est femmes entrées, en lévitation, en cestte chose d'une sorte d'enclos-antre (aux Passions) des Données de b ase, du Temps alloué (en vrai) à une sorte de Romance aux données chantantes (chantées) de contrebande. On est Fées ! Fées doctes : pleines de savoirs de roche (en veux-tu en cvoilà) !On monte ! on grimpe la Roche de la Mort à l'oeuvre ! On est nées fées sur place (MORT) et, on en avance (ENVOL) à mesure qu'on avance (,TIRE-LARIgot) sur place . On est aimées des fées. Fées nous-mêmes (qui sait ?) aéimantes. On veut
toucher toucher toucxher toucxher toucxher toucher toucher toucher toucher toucxher toucher toucxher toucher toucher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher à cette Déités dite "des embruns". on veut s'aimer ! sur une plage sur un oreiller ! On veut (grave) s'aimer de psès, se renifler, se humer, se mater;, se masser, se toucxher en vrai et pas pour xde faux ! se renifler les coins les plus cachés ! se sentir à tous les niveaux ! se pétrir ! se toucher en vrai et du cxoup se cerner ! On est nées pour (dans la mort) se ... toucher de près ! devenir fées ! se sentir / wse renifler les parties "honteuses" ou dites telles, et du coup cerner ou mieux cerner qui on est, à qui on ressemble, ce qu'on est en vrai en fait xde bêtes, ici, de roche et de romance. On est néesfées ! on est (dans la mort) nées fées ! on pôrte un nom (%Moi : SPIGOLON) puis ... on p$erd son nom ! On est (sur pré) de type JETON ?, puis on s'approche, à pasx comptés, d'une cloisobn, d'un mur du son, on essaie de cerner la cxhose, de cerner, ensemble, la cloison, le son, la romance, le nom (nom alloué) et du coup comprendre : qui on est ,
en termes de Nom de famille donné, qui on est pas, ce qu'on veut ou pas (en fait de données allouées) e,n tant qu'on est untel ou une telle dénommées. On est des fées sur pré, on trace, on volette, on monte !On porte le nom qaui (en vrai) nouqs a été (gentiment ou p)as) donné de fait quand on est nées. Fées de la Passion ! Chance de couillon et de couillonne si tant est. On est pasdsées ! on a passéle
mur du son (le Rubicon ?) . On s'eest comme du coup retrouvées ensemble sur cloison ! on cherche à co:mprendre. On veut cerner de fait les données de pré, celkes des fronts, des cloisons du front, des poarois nues, des roches allouées à une groote elle-m:ême allouées à une (sorte de) donnée de base genre vérité dite "des vérités ... offertes en transe" . On veut enwsemble comprendre, cxes donnérs de bout de roche, ce qu'elles sont en termes de raison, de verbe "bon ton", de croyances "à l'unisson"n. On ose passer ! on se pose. On regarde les données posées ou déposéees sur roche. Les denrées pour nouveaux-nés
. Le LAIT ! Les traéits. Les données données. Genre potions. On veut cerner l;es traits tracées sur roche, allouées à une guérison. Guérison des guérisons. On voudrait comprtendre, toucher, cerner, chercher, pousser, poindre, allouer à une roche une vérité, de type ornée, décorée, gravée, dessinée. On est nées fées pôur comprendre la mort ce qu'elle est.Traits des traits. On cherche ensemble ce qui est qui est en termes de données lactées. Fruits des nénés ! On est nées (dans la mort "lacteée") fée ! fée des fé&es tracées . On veut toucher = cer ner = pister = comprendre = poser = dsire = coller = faire = jouer = entrer en colère = pisser ou chier le dire larvé ! On est nées de base soulevées ! femmesaux attraits et autres charmes aux nénés lactées ? Rage ! RAge ! RAge ! RAGGE des Rages ! RAge ! RAges ! RAGes des RAges ! RAges-Nées ! RAges des r ages ! Rages née des RAges nées ! RAge ! rage ! Rage en transe ! r age en transe dews Rages nées ! RAge des rages nées ! rage des rages nées ! rage des rages et dxes rages nées ! on est entrées ! on est en transe
entrées ! Rage aux nénés ! lactées ! rage lactée ! rage en transe actée sacrée ! rage sacrée en transe actée ! rage Aux Nénés lactée s comme en transe entrées ! on est entrées ensemble comme en transe ou dans la transe, de rage ou de rage lactée ! on est entrées ensemble (fées) en transe ! lactées ! actées ! de rage ! comme à l'iunsisson d'un son donné ! le son ... des nénés ? le son alloué à une entrée ? son des données ? on est entrées ensemble en transe au son des données allouées au Verbe, fruits de saison, lait de bière, boisson ou potion, chant des bêtesz, poison. Bière-picon.
20/8/2024
On veut cerner ensemble ce qui est qui est. On ne veut plus se laisser absorber mais tracer, dessiner à main levée, qui des bêtes-mots qui des mots-bêtes. Ce qui est qui vient , sous nous, se loger. On veut toucher à DFéité , toucher graveb! On voudrait aller, cerner et comprendre, les données primaires. On aime aller ! Onn avance = on en avance dans les connaissances. Qui on est ? on est ... bêtes de poids de rage ! on est bêtes-mots de poids de rage . Mots de trop ? qui sait ? On avance = on en avance ! on trace ! on y va ! on ne lambine pas plus que ça ! On cherche à comptrendre, à allrer profopndd, à (pour ainsi dire) enttrerplus en avant en cette roche aiux données fortes. On est
accolées et (de fait) on trace pour aller profond chercher à comprendre ce qui est en cette chose d'une sorte de romance des contrées lacustres, lacustres ou prairiales, ou les deux qui sait ? On est bêtes ensemble qui marvchons, allons, passo,ns, chercghpons à graviter, à cerner, toucher-toucher, aller et venir = danser (tourbillonner) sur l'herbe. On est bêtes-poids, gentes dames de paroi, princesses sévères allouées à une vérité dite "des cimetières". On est nées pour il semblerait aller ensemble dans la mort main dans la main ... en amoureuses. On s'aime ! on aime s'aimer ! on avance grave en ces prés, on y va ! militaiores ! gens d'armes = gentes saluées, comme,ntées, aimées, portées. On aime aller ensemble à la une à la deux vers ce tracé de bout de bout, porte fionale, anfractuosité de base,scscission. On est comme nées pour être ensezmble à la une à la deux des b^-etes de charme ! on creuse et on trace ! on marche (tagada) vers la plage, le sommeil des âmes, l'intranquillité des bases : le malin ? On creuse une trace. On est fortes. On se dfonne la main. On veut ensemble satisfaire nos besoins en termes de "parade totale", de données de base , de charge frontale. On aime ! on est deux pour être. On veut cerner ensemble les données fractales. Ce qui est qui est, et qui on est ? on ne sait ! On trace ... les nénés, les données coriaces, ampoulées, aimées, touchées : terre cuite, potager, vivres posés. On aime donner ! on, est femmes des prés à la parade, ontrace ensemble allouées, on creuse lezs dobnnées, on charge le mulet, on s'aime ! On est deux ici ensemble pour comprendre ou chercher à comprendre, au plus profond, les données de base frontales : bêtes-monstres, poids du Roi, fruiots d'amour, chants de ronde-bosse, cris de joie et autres hourra à travers la lande ! On y croit fissa ! on aime aller ensemble à la une à la deux en cette paroi, comprendre = toucgher. On aime ! on s'aime grave ! on aime de fait aller par la lande en reconnaiossance si tant est. On eswt femmes comme à la parade et du coup on en avance! On est trace de vie ! on charge ! on est accolées ! On veut toucher (pouvoir toucher) les données frontales et, une fois encore, traverser ! traverser brutal ! traverser de rage ! aller sans venir ! aller de l'autre côté et non rebvenir ? revenir ou pas mais comp^rendre, une bobnne fois, ce qui se trame ou pas, qui nous reg
arde = nous concerne et puis ... à jamais il semblerait ! On "gratte" ! on essaie de passer la patte ! comment traverser ? comment en vrai traverser la roche (la roche finale) sans (pour le coup) y passer comme à tout jamais ? c'est une question ! " the " ! pas qu'un peu ! ça charge ! c('est un fait de base ! on veut ! on voudrait ! on fait le voeu ! on voudrait comprte ndre tout un ensemble, les données frontalees finales ce qu'elles sont ou pas, la clarté fractale, les embruns, le chant sarde, la beauté des unes et des uns (en face) ce qu'elle est. Ce qu'elle revêt. On trace ! on dessine de mémoire. On y croit de base ! On veut ça, comprendre, traverser, charger, allouer à une roche un savoir Immmense ! grave !Une somme de données totales !qui on est. Où on va. Ce qui est . CE qi n'est pas. Ce qu'on envisage et tout un tas (un tralala) de choses vivantes. De choses de soi. pointes basses. Points de croixw. Pärades. Carrotage. On veut ça, toucgher grave, aller dedans, pousser, cerner grave les données de rage, creuser, faire front, aller au plus profond ,
aller auplus profopnd des données données comme en contreba,nde par la bhande.
On est qui ? QUÊTE ! on est bête = bête-mot de fort tonnage ! on trace les faits ! sans embages, à la dérobée, fusellage. On est accolées ensemble sur un pré comme deux mémés. On veut grave cerner les données allouées à (il semblerait) une sorte en soi de passage , à travezrs ... le Temps ? ou quoi d'autre sinhon ? le (les) sentiment(s) ? On est côte à) côte. On se serre les coudes. on est vaillantes grave et on cherche ensemble (une fois toi une fois moi) à comprendre les données de b ase, ce qui est, ce qui s'avance, x-ce qui est ici qui se présente et nous séduit ou pas mais nous interpelle. qau'est-ce qui est en vrai ? qui sait ? u ne chance = un chant. Une chance = une chansonb. Uun air de front ! une romance de cloison (de la passion). On estaccolées (l;'une l'autre) et on cherche à toucher à la rocjhe ditec "terminale" des passions, des données de fond. On est proches d'y passer (tout proches) mais non ! on tient bon ! on trace mais on tient bon ! on ne veut pas faillir à la tâche de (comme qui dirait) tenir bon "intrinséquement". On est toute RAGE ! vives de chez vives. On est allouées à une sorte en soi de Volonté, devenue (ici) Acidité. On veut toucher de près à cette chose d'un e sorte de cloison "du bout du monde", ce qu'elle est, ce qu'elle nous propose, à quoi elle ressemble, en vrai ; parl
e-t-elle ? dit -elle des choses de poids ? de quoi se moque-t-ellke ? est-elle la FOI ? est-elle Bête ? Voix ? Cratère ? On ne xsait pas ! On entre ! on entre ensemble à quatre patttes ! on essaie d'entrer ensemble à quatre pattes. On essauie de regarder parvfla fente ! on essaie cde comprendre ensemble ce qui est qui nous regarde, nous voit (nous verrait) comme par la bande (langagière articulée) il semblerait. On est nées de rage "ailes" ! on est traversées de base par les fées qui nbous gouvernent, nous aident à aller (graviter) ; à croire, à peznser et parler sur terre jusqu'au cimetière et aprèes le cimetoière elles reprenneznt leurs ailes, elles vont ! elles ne trainent pas ou plus , elles tracentà fond, fonc
ent grave sur la place, filent à la façon des âmes ! Elles sont fortes et graves, douces et nues, bêtes belles sur paroi nue. elles nous regarde,nt . elles aiment tracer. Elles vont ensemble sur un pré paradisiaque ensemble toucher à cette déité des déités telle qu'on la connait "dans le langage " = maturité ! chant docte ! vivacité ancrée devant la porte on opte ! on opte ensemble grave pour
... la Foi en cette chose d'une Fée des prés, vivacité ! papillonage ! sciintillements des âges les uns puis les auttres un Temps. On est cohorte ! gentes dorées, cherche-tombe, vives données devant la porte à espérer. mais qui sait ce qui est ? qui conna^$it ? qui saura nous aider à traverser , passer, regarder, sentir et toucher, ressentir, aimer les données, les données de base, lesz dfonnées données par la bande = le langage articulé sorti des nuées et comme allouéé à une sorte de romance "sarde". On ne sait ! on est bêtyes-masse, charge frontale, poids de choix, attelage. quand on y va on y va ! on ne lambine pas ! on trace paroi. On est bath ! bêtes ! blêmes ! et aussi offertes sur paroi comme des :mots de l'au-delà ou quelque chose comme ça ! On est bêtes de poids (sur paroi) à la charge ! on trace grave (fissa !) pour ensezmble (si possible) comprendre à toi à moi, les données profondes, les entrées en force, les passages ici réitérées, les envies profondes de gaieté, de hjoie, de
solennité, de vivacité, d'estomacv. On est nées sur herbe dans la mort ! On est femmes fardées, vives alliées, vives données allouées, vives clartés surnommées, chants des fées (des prés) sur herbe volée ! On est bêtes ! bêtes-somme = bêtes (en vrai) de somme (sommeil ?) sur herbe volée (ou comme volée) dans le Ciel ! Oh ! qui sait si c'est vrai ! On cherche ! on n'est pas en pzeine cde chercher, on trace ! on dessine à main levée les bêtes rupestres := les données de poids , la plèbe, la paroi des Rois, les données accolées ou colmme accolées à un Sa voir de Roi. On est bêtes des prés Souveraines ! chouette ! on est nées ! on est passées ! on veut cerner ! on veut toucxher à cette chose d'une sorte fde donée de rêve, ce que c'est, ce que ça semblerait que c'est, ce qu'il en serait en v rai. On est nées ensemble sur herbe REines ! Reines de beauté ? Reines ! Reines des prés ! On s'aime = on sème . Concours de beauté ? On ne sait jamais ce qu'il en est, mùais on dirait plutôt qu'il s'agirait d'une sqorte de course allouée à une sorte de contrée dite "des prés". On est accolées acculées. On est bêtes acculées accolées jusqu'au cimetière ou sinon jusqu'ouù qui serait le bout ? On est comme "touchées" =traversées ! On est traversées = tyouchjées = dites = parlées = rendues (qui sait ?) à la vie. On est femmes des prés "surnuméraires". On voudrait si possible ensemble comprendre un maxiùum de données données concernant la vie, la mort, ce qui erst sur terre qui nous voit aller, tracer vif, charger, et donc aussi la mort (au débotté) ce qu'elle est. On est femmes des parois de charge. On est fortes ! On pousse ! On est grave forte quand on pousse ! On ne veut pas passer pour ce qu'on est pas, jamais ! on ne veut pas pâsser pour ... eh bé ça, qui est là : l'homme des bois ! Le chant dit "des pârois" est chant de contrebande ! on est femmes des paroois de roche, on avance, on trace, on pousse grave. L'homme pas. Il (lui) ne pousse pas : il cache ses doigts ! il est coriace dans le genre mais pas là pour ça (pousser grave). O, n est femmes du bout du bou ! On entre dans l'antre ! on veut toucher en vrai à ceztte chose , d'une sorte (en soi) de paroi, pzaroi de roche, chant des prés, vives clartés, sons / images allouées à une vérité de roche. qui on est. Qui on semble être. Qui on regarde. qui est là qui, en vrai, se pavane, se dandine grave, fait le beau du Roi, charge dgrave la paroi de mots de poids : qui ? On est deux pour ça, le comprendre, le toucher du doigt. femmes slaves, sardes, sales, sages, esclaves des parois peut-être pas, et pas non plus sages, ou non plus sales, ou non plus sardes en vrai, alors quoi ? maussades ? pas ça ? On passe ! on cherche ! on entre ! on veut de fait toucher, et puis de bonne grâce, la Paroi du bout du monde ... de la Foi dans le langage (la langue) des envois. On est femmes de pA roi sage, sentiments dde poids, on charge ! on y va ! on pousse ! on creuse ! on veut comprendre ! on veut toucher ! on veut y aller ! on ne veut pas lambiner mais cerner-pousser, dire-connaîttre, charger-tomber, aller-toucher à cette donnéee dite "de cimetière" qu'il nous sied de mieux connaîttre à la retombée.
on est nées femmes (deux femmes) en cette chose d'une sorte (en soi ?) de cimetière "cdes données". On est nées (de base) femmes dans la mort : deux ! Deux qui sont : SOMME ! sont : SOMME, et poids de CHOIX ! ROI ! ROI /REINE en tralala (romance). On pense ! on est là pour comprtendre en transe si tant est ! On trace et on charge , on pousse et on cerne, on veut aller ensemble pour le coup dans la luzerne courir grave sans traîner = y aller ! charger de base, toucher, courir, se vautrer = s'aimer sur un pré comme bêztes de poids salutaires ! on s'aime ! On court sur herbe, on va ! on veut ensemble de bonne grâce (en toute bonne foi) chercher à comptrendre ce qui va là qui nous inquiète peut-être pas ni ne nousq désès
père mais voilà : on est là ! on regarde ! on se pôse des questions de base. On se dit que la vie, sur terre, est une cxhose, et la vie au-delà de la Terre une autre, on ne xsait âs. On est femmes de paroi ! Deux pour être ! pour coller" ! Pour aller ! deux ailes allouées à un "corps de rêve" si tant est ! corps doux ! corps de bois. cOrps chantant "tralala" sa rage , on voit ! On est femmes de base, nées nénés comme il se doit (seins de tresse) et on va, à la une à la deux, vers ça : la Règle ! le Roi ! la Reine ! La paroi frontale fiinale ! L'endroit de choix ! la Voie ! L'envolée des voies ? on creuse là ensemble le tas, on cherche passage, une voie d'accès si tant est, trou de base, petit passage qui serait pour nous comme un chas ! pour être Soi (nous deux) comme travrersières, passagères, volontaires, solictaires !On aime (grave) mater, tu penses ! on adore ça ! comprtendre est jeu de base, une sorte de donnée ancrée. Comprendre ou vouloir comprerendre est une sorte (on dirait) de jeu, de jeu quasi enraciné (par la bande) dans le langage dit articulé d'une langue qu'eklle qu'elle soit. Une langue pârlée contienndrait la Rage en vrai nécessaire à une sorte de vouloir-percer, de vouloir-comprtendre. On est femmes sages = savantes,
de ce fait : on entre ! Entrantes ! On entre ensemble (ffemes allouées) dans l'antre de la Voie de base. On est collées = accolées. Femmes accolées pour une virée à travezrs la la,nde juèsqu'au bout du bout alloué, donné, octroyé à un passage au débotté, qui serait le passage "final", le cdernier , dernier des derniers à devoir comprendre ou prendre, à emprunter, à faire ensemble à la une à la dfeux via /... la romance ? la romance vive ? Vive romance donnée par la bande (langagière animalière) du TEmps (peut-etre, qui sait ?) déroulé de rage ! On est femmes des prés = fées ! on trace = on dessine vite = à main levée, les données données de la lande. On aéime tracer = on aime aller ! Aller grave dans le pré "des fées" , c'sst aller ensemble (de conserve) comme en vrai des ail:es, deux ailes allouées à une sorte de Romance dite "de paroi" ,. On entre ! on entre ensemble. On est là qui (de fait) voulons comprendre ce qui est qui va, qui nous voit, qui regharde, nous regarde fixement ou pas mais sans trâi,ner, sanscesse, sans tarder. On est femmes des prés à la retombée
le cimetière une fois pâssé. femmes on est la mort allouée. On est femmes des p^rés dans la mort donnée. On est (dans la mort) femmes sardes. On est comme allouées ensemble dans la mort en tant que femme dédoublée, du coup tracées ! On est des (deuxd) femmes des dieeux ! On est des (deux) femme-Dieu tu m'as saisi ! On est des comme qui , ensemble, vont grave, chercher à comprendre les données données telles qu'il nous apparrait qu'elles sembleraient se dessiner à la parade, ou comme à la p ara de . On veut : toucher, dire, sonder, poser, comprendre ce qui est, aller et encore aller sur herbe comme (comme qui dirait)- des bêtrs. Car, en vrai bêtes on est, bêtes "de cimetière" = bêtes des prés, charges-nées, poids de Roi saluutaire, vives alacrités, pince-nez, colère on le sait ! On est nées colère, du fait que voilà ... l'aventure sur terre est singulière, quand en vrai la vie (dans la mort de fait) est plurielle ! pleine ! chargée ! somme des prés ! Dans la vie sur terre on vit (toutes et tous) des vies singulières, quand en vrai avant la cvie sur terre et aussi après, la vcie était et redevient pl;urielle et allouée (en plus !) à une Déoité des Déité = vérité des Vérités = Bête des prés ! bêzte bête peut-être ou pas bête mais en vrai comme dessinée à main levaée par des "mains surnuméraires", sur paroi pleine, chant des Rois et Reines, TRALALA on aime ! on y va ! chants doctes ! on y va ! chantons ! berçons ou hurlons ! dansons ! faisons de fait honeur aux monts, aux dunes des voies, au Pilat ! À la VOie de là, menant (vite fait) vers ça qui est là-bas la (qui saitt ?) plage des Rois ? On y croiit ! Des reines et des rois ? on voudrait y c roire , toucher, les toucher de fa ce, toucher ensemble, toucher de fait les données de base, les données frontales. On est là (deux femmes sur paroi) qui voulons comprendre, ensemble (on se tient et se soutient) ce qui est qui nous regarde (devant soi) à travers (en vrai) la roche des bois, le tracé (de rage) longitudinal. c'est quoi ? on ne sait pas ! On aimerait (c'est une évidence) avancer dans les connaissances,, essayer de comprensdre les données de base (frontales) devant soi, les rages diverses, r(omanc
es de choix et autres tralala "de convenance". On est l:à pour ça ensemble ! On colle ensemble. On se colle l'une à l'auttre : on veut ça ! On est bête de joie, cri de hjoie, chant de joie = JOIE de Roche ! On est JOIE de Base, tracé faste, cri de joie sur bande, vent de face, trait aimé,voie des données. On est nées comme à nous ^memes un jour, ensemble, par la bande (animalière) du langage ! on est nées de rage par la bande sur paroi de base : les nénés ! seins de glace ? vies des vies ! lait ! LE LAIT ! LA vie le lait ! On est nées de rage sur paroi gravée comme à l'embuscade, c'est fait ! On voulait , on y est arriovées ! On voulait passer (de rage) eh bé c'est fait ! femmes-attraits, on passe ! on passe sur pré ! on est nées pour passer la base des fées, on le fait. homme aux mots des veaux, on devient FEMMEs allouées à une Romance dite des n"énés" = nées ! On est coriaces à jamais ! tracées de fait ! cfomme à la ramasse mais en vrai on est, cfomm
e un fait exprès, nées sauvages ! sortes de voix doctorales ! On se tient tout pprès de sombrer mais non ! on tyient ! femmes nées pour durer o,n tient, quand l'homme est lui allouée à une sorte de chemin qui se termine ou se terminerait au fond d'un fossé ! hommes faits ! refaits ! femmes nées, elle, en vrai, dans la mort, à une vie nouvelle !on l'aime ! on l'aime des dieux ! On veut ELLE ! on veut être elle ! don de dieu sur roche des voeux ! IOn aime Elle = AILE = Noeud = vie des feux ! On veut cerner ensemble ce qui est qui est, ce qui nous ressemble , ce qui va, ce qui tremble , ce qui est là pour soi nous aider à comprtendre (loin) les données de base ce que c'est et aussi en vrai ce que (peut-être) c'est pas ! on est là grave pour ça ! comprendre en soi = preendre pour soi. La Romance. Le chant des parois. Le cri de hjoie. L"épopée frontale pariétale. La Paroi en soi. La Chance ! la cxhance = la foi ! la foi = la jhoie. La Joie = la Parade (animalee ou animalière) sur pa roi. On entre en ça, la Roche Rude, par la bande (langue) une fois ! et là, on trace ! une foisz là on en avance ! on trace = on grave grave ezt puis on regarde et là on voit quoi ? la Chance ! Le tracé frontal est chance = charge de joie ! On est fe"mmes des parois du monde . On est femmes des mondes alloués. On veut ou on voudrait cerner de base parr la bande c e qyui est qui cxharge et puis voilà, comp^rendre grave les données de rage, les données dsonnées qui sont données de front, charge mentale, cloison ou de cloison. on fonce ! Fonçons ! courons ! traçons ! pissons ! faisons co:mptendsre ensemble à cette Chose, Chose du Fond, qu'on est en bande ! qu'on fait front ensemble ! force d'union ! On veut ensemble faire (ainsi) impression ! On veut en jeter grave ... ensemble ! faire ainsi ensemb le que voilà, la mort ! la mort reculât grave ! se couchât ! se mît à part comme en vavcances de la Foi , des données de b ase ! On voit ce qu'on voit. On esqt femmes des prés. On veut toucxher ! Toucher grave à cette chose ici d'une sorte en soi de Déoté des Déités dite "de fa çade" ! croix de bois ! christ de contrebande ! charge mentale ! voix = voie de rage ! cri de joie et de poids ensemble ça y va on croit le comprendre. on entre ! vois ça ! reg adre ! vois la Roche à travezrser ! la Chose du pré ! l'herbe allouée ! le soleil nacré ! entre ! passe ! touche ! va ! traverse ! cherche à cerner = faire ! va pour être ! aide-toi le ciel t'aidera ! Coàmmence ! On est femmes des paroois aiméesz, on a traversé comme à la déerobée ensemble les données frontales, le Moi. ,A présent nous devons, ensemble , A p^résent nous devons ensemble pour le coup aller, comme énervées, vers ces données ditees "des nénés" , chercher du lait. On est nées ! on est nnées de rage ! on est néesz de base ! rage et base font bon ménage ! On est fe'mmes néées sur roche "aux nénés". On veut toucher ! toucher ! toucher les nénés ! On voudrait toucher ! On voudrait de fait toucher les n,énés ! on veut / on voudrait : toucher les nénés ! boire le lait ! chanter ! souffler ! aller ! dire et chanter ! On est femmes nées (de rage) dans la mort "de base", celle des données données allouées , à une romance, à un chant des prés, àune danse en transe, à une sorte de clarté naissante, à une sioorte en szoi de volonté coriace (ou tenace) de vouloir aller (tantôt) par les prés à la recherche des denrées, viçvres et autres offrandes alimentaires . On est comme nées sur terre pour aller = manger, courir, faire, tracer, copmprndre, soulever, perdre, charger et cerner. On veut être des fées sur terre ! fées des fées . L'est-on ?
sommes-nous ici des fées de rêve ? Avo-nous de quoi cerner les données dites "surnuméraires" et autres traitsz lovés ? sommes-nous Fées de Terre ? charges nées salutaires, pour aimer , de près, les êtres ? On s'aime = on se sait aimées ! par ELLES : les F2ES ! F2es des Rêves sur Terre , et F2es ... des données Célestess . On veut toucxher à cette Déité des données "Superbes" , soit "Belles", szoit "sublimes", soit "vives" ! On est nées sublimes de clarté, puis on sombre corps et âmes en vrai, pour renaitre Débottées ! sur Roche des Prés ! F2es retrouvées ! On s'aime ! on est re-nées comme à la retombée du cimetière, dans un pré, sur herbe, défait, défaites ! On s'aime ! on se veut aimées ! On veut toucher aux glaires, aux fruyits blets, aux chrèmes, aux sang séxché, aux liquides allouées à une vie p assée. On veut toucher ! on voudrait toucher ! toucher les nénés ! on voudrait toucher ! on voudrait grave toucher ! on voudrait ensemble en vrai grave toucher ! dire et aller ! cerner-pointer ! dire et coller !donner ! cerner ! faire ! composer un certain nombre de tracés sur roche allouée, de type cavalcade au débotté et autres parades armées. gentes dames sur rocher, cris des fées, voix donnés aux hommes et aux femmes cernées commê pa r la bande". hommes-troncs, femmes-passions, gens et gentes rosses ou sinon, sino n rosses, pauvres ! pauvre en paroles ! On le voit ! On voit ça ! la Chose ! La Paroi de Choix est paroi des voix comme soupesées. On veut s'avancer, on va ! on voudrait cerner de fait les données (przmières princières), les toucher (pour ainsi dire) comme des nénés, mais comment ensemble faire ? par le nez ? les toucher du nez ? les renifler ? On s'approche d'elles. On est tout près. On colle presqaue aux nénés ! on veut téter ! on voudrait de fait téter les néenés (surnuméraires) dee la Charité sur Herbe, Clarté, Découverte, Vie tracée, Lumière. On aime ainsi s'aimer face aux nénés des Bêtes! Pis d'amie , belette et autres bêtes vives des bois et forêts, campagnes cendrées , cimetyière ... tout autant. on entre par derrière ! on voudrait ! on voudrait ensemble entrer par derrière! Aller ! toucher à cette Déité des Parois desRoches! creuser ! chercher ! aller ! dire ! faiore ainsi ensemble q<ue la vie, ne s'arrêta^t pas ... à la naissance, à la pa roi, aux voies de b ase (sur façade) de paroi, aux tracés "étranges". On veut de fait ensemble aller (grave) sur roche tracer, dessiner les choses. ON est nées sur roche pour (en vrai) creuser sa tombe comme qui dirait = vie des vies. On voudrait ensemble svp tracer ! dessiner la charge, la parole docte = Auroque ! bisonne des prés, chants d'amont, vie des env
ies, cloportes et autres bêtes vives -des terres brûlées. On est comme né&es (ensemble) par des traitsq, dessinéesz, sur roche allouées, comme à la renvezrse : oups ! on aime ! On est femmes des prés ensemble cernées.. On avance pas à p as vers une sorte de clarté de l'au-delà m:ais va&s)-y comprendre ! Va cerner ! va penser à cxharge ! va donc allouer à une sorte de romance le tracé donné des données de rage et autres vilosités ! Craque ! craque ! craque ! tu serasx ... née ! Craque sur roche ! d""éplisse-toi et va ! on est là pour
toi ! on est dans l'antre avec toi ! on est les bêtes de paroi surnuméraires ! bêtes de hjoie surnuméraires ! on est là pour toi n'aies c rainte, dès lors va ! charge ! trace ! entre ! cours ! va sur roche et cours ! soit : cours car voilà ! au pa szage, l'un devient Deux ! de'ux pourr être Ailes ! Voeux ! Feux ! Vies des pré de loge ! On est n éesz eznsemble sur paroi. On veut comprendre les données de base. on est des femmesc nues. quand on parle on trace. on est femmes velues, on est femmes velues, nues, venues, crues, simplement tracées comme à main levée. on est femmes nues et velues, cul - nu ! On veut tpoucher ensemble si jamais à cette déoité des déité du Cul ! hé, tu le sais. On est néesvelues nues, crues, vives et belles, chargées d'être. On voudrait toucher à cette Déité des Déités, dont le nom de scène, est ... Amour ! Amourette ! On l'aime ! On est aimées ! On est aimées par Elle on dirait. On voudrrait grave aller versz elle (D2ité des D2ités) mais ce n'est pas simple ! Il faut charger ! azrmer et tirer ! c''st dur ! ça demande du doigté ! de la dextérité ! l'amplitude, les données, la chance, une soerte de volonté . On regarde pa r la fente
On regarde ensemble par la fe"nte
Enxemble ici (paroi terminale) on regarde par la fente : qu'est-ce qu'on voit ? on voit ça : du bois ! du bois de base !
qu'est-ce qu'on voit ? On voit ça : du bvois ! du bois d'antre ! de la jhoie en branche ! On regarde , et ce qu'on voit c'est ça (il semblerait) : de l'ambre ! On est comme nées (ensemble) à la retombée, on veut co:mprendre et cerner, toucher les nénés, boire le lait, aller et tracer, perforer la roche finale ! se coucxher ! On nserait allouées znsemble à une sorte de donnée de base. qi on est ? eh bé, qui sait ? des êtres ... d'une autre planète ? qui le sa&it ? soeurs de lait d'une a utre planète que la terre ! qui le sait ? On est nées sur terre au singulier (un homme ou une homme) et nous voilà, à la mort, tra&nsformées ou comme transformées de rage ! femme ! femmes ! femmes des prés qui, en vrai, ne vzulent ou ne voudraient plus se lâcgher , ni se perdre. ON est comme nées à une sorte en soi de "Vie Souveraine", Chant des Roches Lovées dans une grotte. On est nées VFORTES ! VIVES ! CHAE_RGÉeS ! Sorte de données de base, La Donnée. LA Donnée de s Données ! On charge ! On voudrait aller (gra&ve) au plus loin parmi les données ou entre les données. On est femmes des p^rés (fées) qui voulons tracer , tracer grave, les données de base , fées des prés traçantes ! On veut comprendre et aller, toucher et dire, faire et passer, comprendre et allouer, cerner et poindre, charger et peindre, toucher et pousser , faire ainsi que les fées co:mprtzennent ! E^tre = faire. On est nées fées, ailes, données des données; dans la mort Souveraiaine, surnuméraire ! On est néesFÉes en ceette sorte de rocher de groote, incurvé, tracé, comme soulevé !Fête ! fées des fêtes ! On veut aller, toucxher, dire, dire ce qui est, comprendre, soupêser, xcerner, comprendre, surprendre, pisser, donner, allouer par la bande, siffler, chanter, pieindsre et dessiner, coller et s'accoler, porter, naître, corser, narrer, feindre, soulager, crier, jouer, aller et sentir le's données données d'une rage (déplacée ?) à vouloir être, mordicus, des fées et princesses ;. qui est qui ici ? Qui veut qauoi ? qui est là ? qui veiut comp^rendsre ce qui en soi se trame ou tramerait de base ou semblerait de base se tréamer. On est là pour ça ! charmer = toucher. Dire = comprendre. donner = faire, etc. toute une sarabande, sur paroi, de verbes. Etc. On voit ce convoi ! ça charge ! ça envoie ! ça
ne tremble pas ! ça porte la joie, le sens de la joie ! ça trace ! On voit ça ! on y croit plus ... qu'à "l'être" de l'envoi ! On aime ça. iOn est bêztes de paroi, de style buflette, et oui, on envoie ! on envoie du bois ! On est bêtes de jhoie et on envoie du bois. qauand on éime on voit ! ... ça : la Bête Sévère, dite "de paroi" ; bête bête (?) de cimetière ? cri de joie sur terre ? on aime ! on l'aime ! on aimerait (grave) la toucher en face, la comprendre c'est un fait m&is aussi la toucher , la caresser, la toucher ou la caresser ; pour ça : lui faire comprezndre, en vrai, que, ma foi, ça va, on est pas des monstres de p aroi ! on aime la HJoie ; pas des rabats-joie. On est :
femmes nées sur roche, à la une à la deux, à la mort de l'homme (l'homme au singulier , genré).On est femmes ensemble allouées. On est entrées ensemble à la une à la de"ux sans tergiverserr ni dészmparer. On veut dire-faire(grave) x et x
choses sur roche, à savoir : cela ! la Joie ! faire et dire, dire et faire : dans la joie pour a&insi dire ! tracer ! se lover ! chercher ici ou là à co:mprendre qui de quoi et quoi de qui ! car , en vrai, on ne sait toujoursz pâs "qui on est" ! on aimeraéit fort :
le savoir ensemble , le comprendre, pouvoir (en vrai) pour nous savoir, toucher du doigt, soit se reconnéître" soi dans la paroi, se comprendre soi-même, ce qu'on est en vrai ! ce qu'"on est en tant qu'on est nées (sur roche) da,ns la mort , femmes surnuméraires (... et dans tous les cas ? peut-êttree). On voit ça, comme quoi la mort est une sorte de paroi (de roche) à traverser. O,n erst femmes des prés, chargées, sommées, tenues à cerner ce qui est dans ce qui nous regarde. mais voilà, ce n'sst pas une chose facile ! il y faut du doigté ! de la dextérité ! du sang-froid et de l'opiniatreté comme jamais car cerner est dur ! pas facile ! une sorte de défi qu'on (ici) se fait comme à la retombée : à toi à moi ... les don,ées suprêmes ! "j'aiùerais comprendxre "dit-on "ce qui est qui est qui nous con-cerne !". Peut-êtte, sweul"ment voilà : on aime ! on s'aime ! ça pèse son poifds ! ça "infecte" ! ça fait ça que ça '"infecte",,, d
'une certzaine manière; la voie est la voix ! le cha,nt est la voie. Le chant est total. Il est Voie (d'a&bord) sans misère ! On aime le cha,nt ! On veut ou on voudrait ensemble (de préférence) comprendre (grave) ce qui est ici qui nous regarde. il s'agit ici, d'une sorte de ... roma,nce . romance des fées ? qui bnous regarderaéit au sens de concerner, nous concernerait dès lors de pr(ès vcar nous sommes en demande à j&mais de sortes de connaisxsa nces allouées à une romance ! On trace! on marche ! on avance à pas comp)tés, chassés. On est bêtes de poids sur roche, tr&its de joue, tra&céz doctes, cris de joie (hourra) et aéutres vies montrées. On est de"ux femmes au débotté tracées. On est femmes tracés sous forme animale ! On est f"mmes des prés allouées à une roche. On est
femmes "à cornes". bêtes-monstres de paroi ocre. On aime aller ! on veut grave aller sur roche, à la rencfontre d'une vérité, d'un tra&it (en v' rai) sailla&nt de vérité, tra&it nacré acté, dessiné à main levée, viçf et léger. on serait et on est ! femmes allouées à un
"post-cimetière time" !
on veut toucher ! on voudrait comprtendre ! toucher grave (gravé) à Déité. On est femmes olé olé sur roche allouée , qui sait ? ou sinon olé olé, aimées ! touchées &ux n,énés = aimées pour le lait ! on veut cerner-aller, faire éinsi ici que les choses allassent, ensemble, comme il semblerait qu'elles aient toutes (de fait) à devoir aler.
On est des qui, desz données,
données qui.
On est des femmes qui, ensemble, sont données de rage, donné&es doctes. On est femmes des p^rés , données, déposées, posées, mises sur pied et déposéees; on est femmes a llouées à un e sqorte de romance dite "du bout du monde". qui on est ? eh bé ça, peut-êtte : belle bête, bête de paroi, bête-mot de somme, bêtesde traits, bêtes-monstres qui en imposqent, posent là leur sorte de poids . Onj regarde ! On voit le contour, les bêtes en marche, rugissantes, les massifs, les tas de bois, Verbe-pöids de Rage. On est femmes de paroi, on entre. On voudraéit com)rendre enxemble ce convoiç , de b-etes de poids, genre ... romance ? verbe haut ? transe ? une sorte d'insulte extrèmê, forte et salée. VERBE AU DÉBOTTÉ. Verbe au débotté. VERBE AUB DÉBOTTÉ DE GRÂCE , VERBE GRAVE AU DÉBOTTÉ DE GXRÂCE ! GRAVE , VERBE, TRACE, POUR LA FOI EN L'ÊTREE ICI SURNUMÉRAIRE DE LA JOIE. ON VEUT COMPRENDRE (GRAVE) LES DONNÉES TRACÉES SUR R'OCHE (AUROCHS, AUROQUES, CHEVAUXS, CHEVALES, BISONS , BIOSONNES, BUFFLETTES ET ANTILOPES).o n est DEUX,
pour une comprenure axiale : va-t-on ici un jour prochain (lointain ?) arriver à cerner un certain nombre de don,nées comme"de contrebande " ? eh bé qui sait ? on ne sait pas ! on est femmes sardes, sages ou pas ml:ais ce qu'on veut, en vrai on le veutb , et pas qu"'un peu ! à mort ! on veut grave à mort aller fissa, sur roche tracer ! cerner d'approche les données ! dire et jouer ! aller sur pré jouer à ça, jeu de l'oie ! On est femmes des prés, des prés donnés, qui sommes néesz femme ou homme au singulier, meure'nt femmes au p)luriel à jamais, c'sest acté, ou tout comme. on veut être , toucher et creuser, dire, poser et aller, faire, chanter et danser, e,n transe, les traits de la roche. traits dansés sur roche à toi à moi, on dira que ça fusionne ! ça remplit de chants la grotte. on est dedans ! on est accolées. On veut cerner de près ce qui est. On essaie de cerner ce qui est ensemble en cette grotte, les don,ées donnéesz. On essaie ! Qui on est ? des données = des qui sont dsonnées , ou même (qui sait ?) ... qui se do nne,nt ? On est nées (sur roche) à la traversée (ça le fait) et voilà ce qui est , qui semble se dérouler ou comme se dérouler : une femme est née ... de deux femmes ! fée ! fée de base ! fée née aux nénés (élevée aux nénés)! On regarde ! on voit des cxdhoses,. On voit un convoi , de bêtes de poids (c'est dr'ôle , on dirait un tas). on est sous les ordres d'une (sorte de) cohorte ,de bêtes de poids. on est fortes, folles, rosses, drôles/ Bêtes de poids en vrai ça vous pose ! Ça promet ! ça ose ! c'st osé
! On monte ! montons en grotte ! faisons l'ascension ensemble motibvées ! ne traéinons pas outre mesure mais creusons ! chargeons ! allons vif sur roche au diapason et chercho,ns à (nous deux) déplacer la cloison et passer ! qui un oeil qui de'ux, mais, de fait, passer un peu, un p)et§it peu, afiin de cerner (ensemble) les données qui sont ici celles d'un derrière, d'un derrière de roche gravée. voyons ! que voit-on ? on dirait ... de la
on dirait ... de la mousse bulleuse ! du mouusseux de trait ! de la bulle mousseuse ! traitsz animaliers ! ça pisse ! c''st liquide on dirait. On fdirait que derrière en vrai il y a ... du liquide, il y a ou i;l yy aurait pas mal de liquide, genre : MER ? mer d'embriuns ? On dirait cela ! du "liquide de paroi" , si tant est que ça existe. On dirzit cette chose de poids, là, comme quoi , derrière, fin fond, il y a :
la mer de roche, les embruns, la mousse des rois, monte-ch arge, l'au-delà de l'ambre, une sorte de voix, venant nous dire le tourment des âmes de la joie à être là, passées par derrière, sous un vent de face face au cimetière. On voit , ce convoi en face : bêtes de poids. Et derrière ...? la JHoie ! ou le Temps de la Joie allouée à une Voix de type voix grave, sourde, posée, mesurée, lourde, accolée, celte, abonnée à une sorte de "volonté" de nous voir sombrer. On ne l'écoute pas outre-mesure, on est pas gaga ! on est bêtes de poids mais pas gaga ! On ne veut pas l'êttre. Ce qu'on veut pour nous c'est ça : la chance ! un tracé de choix, une romance, un tracé chargé de mots de base, une sorte de romance à toi à moi de bonne chance, tralala de la foi et auttrezs croyances. On entre !
qui on est ? On est des femmes dites "des prés" comme dans la reomance d'une sorte de peuplade ("acidulée"), celle des branches, des arbres fruitiers et autres plantes paradisiaques. On est femmes allouées à un pré de base; On en avance dans les conna-issance ! on ne veut pas sombrer ! on veut (de fait) perdureer à jamais = cerner les données pour mieux les comp)rendre. on veut tente"r sa chance ! notre chance !! aller, toucher, cerner, pisser et c aguer, dire ce qui est sans embâges, ne pas louvoyer, être francs et franches de collier, dire les données comme e'lmlesz npous sont dpnnées si tant est ! On est nées de base "romance". On est entrées ! on est passées ! on a creusé et voiulà, on es entrées ! on est grave enseùmble ezntrées et nous voilà tenues à tracer les données qui nous sont données. on est velues, nues, nées nues et velues cfomme bêtes des prés allouées ... à une naissance, sur l'herbe faste, sous un ciel des rois, alarmées, scintyillantes, accolées, brillantes, soupeséeqs, invitées à cerner les données astrales pour l'éternité (ciel de base et aéutres envois dits "du bonnet et de l'âne attitré"). On aime la chance; On est grave ensemble (nous deux) qi voulons comp^rendre :
1, les vues de base, 2, les données royales, 3, la vie en ses plis, 4, le vent de face,
5, la vie en ses plis ici soulevée comme un drap de bain, et dessous ... eh bé la vie, encore, comme sou-mise !, 6, les données fractales et autres éboulis de vie; 7, la Joie, 8, l'ombre sur le tas, 9, l'envie de soi, 10, on recommence ! On est bêztes de poids sur paroi -romance, cha,nt de soi = tralala sur bande (de fait) pariétale et ça se voit, ça chante grave, c'st la HJoie ! On voit ça ! On est entrées ense'mble. On est comme allouées e,nsemble à un e voie, un tracé de choix, accès fin de paroi par où, ensemble, vite passer, s'immiscer, et du coup passer , en vtai , de l'autre côté. on essaie de fait de cerner la voie, où elle est en vrai, par où ça commen,ce. on regarde ! on est des qui sommes ensemble qui (en vrai) regatrdent ! On est nées de rage ensemble, pour tracer sur roche lesz don,ées naissante's.
Bêtes de pôids (de masse) sont ce tralala dont on parle (chants d'azur, chants doctes). et ce trralala ... indique la voie ! ça chante ! ça chante, et , du coup, ça p asse (pour le dire vite) ! d'où le fait que voilà, on est comme accolées ensemble à toi à moi, et c'est du coup ensemble qu'on ess&ie (qui sait ?) de comprendre, d'aller, de donner du ventre, des fessiers, du buste et des nénés pour comprendre, toucher, cerner, considérer tout un ensemble de données données comme p ar la ba,nde par une Entité dont le nom, pour ainsi dire, serait (peut-être) Déité (Maïté ? on ne sait !). On est accolées, ensemble (main dans la main), à une roche. On ne veut pas sombrer c'est un fait (comme les hommes hommes) mais (pour le coup) pêrdurer ! perdurer -durer à jamais si tant est ... On est nées de Rage (d(une Rage) et nous voilà comme touchées , ensemble, par la bande, sous le joug d'une loi de base = looi des voies, qui est la loi d'un paysage de passage, chant de joie et loi, certitudes et amertumes, c hance et charge = la Voix ! ça se voit ! c'est un drôle de contrat qui nous lie là ensemble ! une sorte d'embuscade, ou quoi ? tracé fou ? cueillette ? on va devoir (il semblerait) sortir les assiettes , les couverts, les verres ; l e pain et le vin ? on ne sait pas mais ça se pourrait bien ! On mate grave ! On est , femmes a ux prés, comme
"bulflettes--entités". On broute ! on est comme les cernées de base ensemble alentour. fruits des monts. Monts des fruits. monts des données rudes. Asphyxie ? On dure ! on trace vif ! on y croit ! on voit ! on mate ! on veut être des (ensemble) qui tracent, ne lésinent pas sur la dépense, vont droit, chargent que tu chargeras, vont jusqu'au final ensemble s'épauler (voire s'aimer) et ça le fait (le ferait) pour l'éternité qui sait ! on entre dans l'antre. une voix est u ne voie car ,
elle creuse l'espace et nous aide grave à nous orienter c'est un fait, et du coup nous voilà qui (de fait) traçons grave sur roche des prés, chemin de passage, tracé,, bêtes de csomme sous le nez, on est bêtes nousz-mêmes, colère, vivacité, charge-née ! On est accolées qui poussons jusqi'aux nénés de l'être ! LAIT ! Du lait plénipotencière ! plénipotencier ? On veut aimer le lait, s'aimer xdans le lait. le lait est nacré et sacré. On veut ensemble s'aimer grave da&ns le lait ! On est nées pour s'aimer ensemble dans du laéit, dans un bain de la&it "de l'autre côté". On est femmes des prés, on veut toucher, tracer, cerner et coller. On ne veut en aucun cas sombrerr, mais tout au contraire pezrdurer, charger, dire et aller, coller à une sorte de "mât de misaine" et tracer := naviguer sur mer souveraine. Mer des données. On est nées sur mer allouée à une sorte de donnée dite"surnuméraire" vsouveraine salutaire. On est des foemmes aux données données souterraine; qui on etst ? des fées ! on le s a it ! on est fées faites Mort ! On est Fées de la Mort. On est des Fées comme "De la mort" ! On aime être Fées allouées à la Mort, comùe qui dirait. On est nées sur roche Fées, et du coup on est allouées à une sorte de don,ée, liée à la mort dans ce qu'elle est. On regarde dzvant soi et c e co,nvoi de b^-etes fortes est ce convoi de bêtes rosses liées )à la mort. On mate ! on veut comprendre ça et ça. On voudrait de grâce aller ^)rofond et pour cela, il
est mieux de tracer (à main levée) les bêtes de poids , bêtes belles = masses ! Poids de RAge! On voit ! on est là pour ça, voir ensemble, aller grave, toucher, cerner de p^rsès, aller ensemble, se "toucxher la main" et ce faisant tracer, courir,, gravir, toucher, se donner, faore fropnt, allouer à une roche u ne Passion, coller à une roche son nom, le graver de front à l'unisson, deux noms font le nom de la Chose. On est passées ensemble sous les peupliersz. On entre ! On est fe"mmes allouées ensemble (deux femmes) à un antre. On aime aller vers plus de clarté, de vives clartés souterrainezs./ On veut dire et faire, charger et aller, comprendre et soupeser, soulever et ne pas tomber. On est bêtes de somme nées d'une sqorte de parade (ici : paroi) grégaire on le voit, ça ne nous choque p)as , on aime ! on est là enseùùmble (à toi à moi) pour être et, du coup, être unebête, bête de hjoie (pâroi)bsur herbe, légère ou pas, le tout est d'être, sur roche des bois, l'êttre surnuméraire salutaire qu'il nous sied (ô cfombien !) d'êttre. car voilà : o, n est là pour cerner (ensemble) cette jHoie de l'être ... en tant que bête. On est femmes des prés, allouées à une Dewstinée, dont le nom est Pré, Herbe, Prairie ou Champ de luzerne. QZui on est ? On est des femmes souveraines, acc
olées, qui voulons perdurer, foncent, creusent "dans" la vérité le sillon de l'être-bête tel qu'il nous apparraît (on dirait) dans les rêves.On veut ensemble en vrai toucher à cette' d"éité "des données sup^rêmes", la toucher de près, sonder son êttre, regarder ce qu'il en est (de fait) dans la clarté, peser et toucher, coller et monter, a&ller sur herbe jouer, s'amuser, comme ... des belettes. On est n,ées, sur pré, belettes en colère (?) ou, peut-être, auroques enjouées (?). Qui le sait ? l'herbe est verte !on est bêtes de jeu. On s'aime à qui mieux mieux couchées dans la luezerne nues. on se sent le cul. l'herbe est verte sous le cul; on aime ! l'herbe verte et le cul ! On s'aime ! On trace ! On regarde. ON veut cerner ensemble les données "étra,nges", les tracés patents, l'antre menaçant, la chance, les tourments, les traces frontales, les bêtes de poids sur cloison murale. On y croit ! On est là pour ça : croire ! ne pas sombrer, chercher pitance, soupeser le blé, les graiines et autres céréales. On aime aimer . On veut toucher à cette déoité des parades allouées à une sqorte de mur de piété, charge sarde, calamités. On veut être près. Toucxher. Toucxher déité. Toucher; Toucher à cette Déité. Toucher à cette Déité des Déités. La toucher de base ! Toucher ! Toucher grave !
Toucher) à cette sorte pour le coup de D2oté des D2ités. On veut comptendre (à deuxd) la Chance = la VOie = Le Temps./ On est comme deux enfants qui ch assent ! On est femmes chasseresses et on en avance dans les connaissa,cesz, sur terre, sur paroi, sur ciel, au temps donné des donnés frontales, sur charrue, hjoug et bois. On est deux femmes de paroi "étrzange" (la paroi étrange, et femmes étranges... car voilà : on s'aime là, dans la voix !!!!! étrange... n'est-ce pas ?°). On charge ! On est comme (toutes deux) cernéess ensemble à toi à moi dans une soerte de parade dont le motto (on dira) est ça : "une voix pour soi ". On colle ! montons ! traçons ! courons ! creusons ! perçons ! fraisons corps ensemble ! chervchons le plus possible à comprendre ce qu'on voit d'ici (champ des effets) qui nous "regarde " de près (ou semblerait) . On est deux femmes soulevées ! on est femmes soulevées de près ! on est femmes qui , soulevéesainsi, lévitent, vont, touchent, sortent, wsautent. on vgoit loin ensemble ma foi : loin .... derrière soi , la plage , le sommet, la crête et les embruns de bord de mùer, les plages sondées, le courant marin, le sable,
l'alchimie des algues et autres coquillages. On veut comptendre, toucher,, cerner, aller sous l'effet desz données données ingurgitées. S'aimer tout près = se lécher. être Fées des Rêves si tant est. faire ainsi qu'on soit "solidaires" , allouées à une grêve, aux abords des prés, vagues d'herbe, cris des joies. On est accolées sur rochetracée (ornementée) comme un cimetière , comme un cimetière l'est, est ornementé, décoré, enjolivé peu-têtre. on est comme nées sur l'herbe des prés ! obn est nées d'uncimetière ! on a traversé les différentes contrées post-cimetière et à présent on sait mieux qui on est ou même ce qu'on est, notre identité de genre et nombre, les données de force, nom / prénom et qualités diverses. On est nées sur roche deux. On est nées sur Roche au nombre de deux. On est deux main dans la main sur roche, nées sur pré, chargées, accolées. On est femmes (deuxd) qui (en vrai) étaient peut-être encore homme (au singulier) "derrière". On veut cerner ! toucher ! aller ! comprendre ! soupeserr ! soulever ! charger ! pisser ! ne pas couler ! compter ! perdre ! charger les données salutaires ! pisser de près ! aller et coincer, dire et pousser le Verbe, dès lors, vers ... la rivière ? l'ondée ? la grève ? le courant altier ? les remous mousseux ? les bêtes des Dieux ? Le collé-serré surnuméraire dune sorte d'antre merveilleux ? On est cfomme des féesz de ba
s-étage, misérable miracle, on veut les cieux mais vas-y voir ensemble ! c'ewst merdeux ! ça tremble ! c'st peureux ! ça chante grave ! ça vous glace ! vous transit de base de la tête aux pieds. On veut comprendre,; alors voilà, on comp^te nos pas. On est franches . On est là pour ça, comprendre par l a ba,nde un certain om
bre de données de base, ce que c'est, ce que c'est pas, ce qu'il advient, ce qui se trme içci bas , et aussi plus haut, là-bas, tout là-bas, vers les embruns, ce paysage sous-marin, la Chance des pages, le sommeil, la Voie de face. Une entrée en vrai. Un drôle de "passage pour Fées", pour Fées qu'on serait. Une sorte de porte sauvag . un endroit par où ensemble aller comme à la ramasse ! On est nées sur pré. On charge ! on pousse grave ! on veut tracer = allouer à uen D2ité, toute (ici ) cette charge mentale (mots de la tribu) dont on est redevables il semblerait ... du seul fait d'être nées, qui sait !
17/8/2024
On est deux pour être. On veut cerner ! On est accolées.
On est ensemble pour cerner ce qui en vfrai semble nous "regarder", noud voir en qauelque sorte à travers la Chose ! On est deux ensemble ! on avance ! on est cernées , on est colme allouées à cette Chose , des données premières , princières ! On veut : et cerner et c omprendrte, et toucher et dire ! On veut : aller ensemble, fissa, à la une à la deux, comme à l'avenrture ! chercher quoi ? chercher ça ! cela là qui, en vérité, semble ou semblerait nous regarder en face ; et c'est quoi ? c'est ... l'plombier des charges ! l'envahi ! le guetteur ! le crac de la bande ! On regarde et forcément on voit des choses devant soi qui se pavanent ! roue dentée ! crénelée ! on comprend des choses, ou du moins, on cherche à comprendre, ensemble, un certain nombre de données de base concernzant la vie dans ce qu'elle a de plus profond, de plus ancré, de plus enraciné en vrai par la bande, dans ... preut-êtee en effet, ce seuil dit de rage, cette chose "des confins" : la mort ! oh, voilà ça , qui (qui sait ?) nous regarde comme parr en b as ! on y va ! on charge ensemble ! on essaie, du coup, de comprendre ensemble ce qui est qui vient vers Soi = Nousq de rage ! On est , eh bien, accolées de base, car surfaites = faites sur ! faites ensemble sur le tas ! de rage ! sous le Verbe à ras ! la chance ! on avance ! on entre ! on veut cerner-comprendre ensemble un certain niomvbre de donneées de bhase, ce qui est, ce quin'est pas, ce qui va là ou nhe va pas là . On veut ou on voudrait ensezmble, cerner un certain nombre de données acides, données de parade, données-vies, charges mentales,, supllices à vrai dire , à moins que ce ne soit la Chance en soi d'être et de paraître celui ou celle ... qu'on est pas ! charge rude sur paroi := bufflette ! oh voilà ! on y croit ! o,n est buflle-bufflette de paroi ! homme et femme lambda ! caramba ! On avcance ! On veut ou on vouderait ensemble comprendre un certain iombre de dionnées de rage, ce qui est qui est, ce qui semble comme aller de soi, ce qui charge ! ce qui va et ce quine va pas. On est face à face (la paroi et Moi = Nous = Vous = celles des envies (folles) de Vie !) . On aime ! on est comme Amour alloué de Caérême , chant total, pisse-vin, toucghe)-misère, octogone ! On est comme deux connes qui voulo ns aller (de rage), à la une à la deux, à la recgerherche d'une Vérité disons de bas-étage (qui sait ?) ou quoi sinon, d'autre ? Car, on sait ensembvle traverser la roche ! aller vif ! toucher le nacré et passer qui son doigt de fée, qui sa serpette, qui son sang des règles, qui son oeil de bois ! On est femmes sûres ! corps à coeur ! vives alkacrités massives genre bêtes des przairies et autres prés acidulées. On avance ensembkle ! On veutcverner ! comprendre, allouer ! dire et toucher ! Etre près de cette b^ete de derière , chercher à cerner ce qui est ! On veut être ensemble des , qui (de fait) veulent traverser (ensemble) les données ddonnées de type roc et pré, roche allou"éée, roc des données vives, trimballum ! On est comme nées pour être ensembkle (ici) traversantes ! On avance ensemble ! On nest deux ! on collle ! on veut aller de rage ensemble au fond du fond des roches de base , trou du .. con ? on est comme nées pour être allouées, à un .. "vcon de rage" ? qui sait ? qui le sai -t en vérité ? On veut : toucher-aller, dire-faire, comprendre et s' avancer ensemble, à toi à moi, sur la lande par la ban,de ! On est femmes des prés ensemble ! on est passées ! on est nées de cette sorte de paroi "étrange", -dureté parmi les duretés, charge totale, enfilade, coeur des joies. On est sages = sades = vagues = mer en vrai saumârttre ou sinon saumêztre ... mâttre ? Onn y croit ! Allons-y ensemble à toi à moi comme à la parade et peut-être o,n y verra de grâce les données de poids qui (ensemble) pourront faire, ou le faire , on le voit, qui sauront nous dire, faire comprendre, etc., ce qui est qui est et du coup (aussi) ce qui est qui (peut-être) en vrzai n'rst pas, ou pas complètement ! Car, la vie ici est une sorte de paroi intime , creux des fois (ou de la foi) en l'au-delà . On est nous ^mêlmes pour nous-mêmes intimes . on essaie d'aller ensembloe au plus profond, on est sur un chemin p)rairail et du coup on marche, traquet-traquet, mzain dans la main , à l'intériouer de cette cavité prairioale, on est accolées, on marche ainsi accolées, on est nues, femmes nues accolées qui marchent, vont ensemble droit, en avancent, vont vers , vont ensemble, vont droit ensemble vers là-bas cette chose en offrande qui est quoi, qui est la Rage, faite Vie de base ! cchant du coq ! mort et grève ! On est comme deux ensemble soudées accolées, qui marcjhont d'un pas vif (ou pas !) vers elle : la mort -grève ! On est soudées pour ça et on marche vif ! on est ensemble sur le pré aux buffles et buflettes, on est dans l'herbe, on est bêtes nous-mêmes. On veut aller profond toiucher à cetre chose d'une soerte de cloison du bout du monde ! qui saura nous dire ce que c'est que cette cxhose devfant soi, de type cloison ? qaui est là devant nous qui cxharge ? qui charge devant nous pour ça, nous "inclure" fissa part la bhande et v as-y comprendre, zzar atoustra ! On est femmes des prairies vertes, bêtes de poids, charge rebelle, on est là pour ça : aller (de plus belle) vers ça, genre "la misère", genre "le tombeau", gentrre "l'emportée", genre "le tonneau aux données acculées". On est deux pour être celles qu'ion voudrait conna&îtte (en soi) à toi à moi commùe à la parade ! Qui on est ? eh bé, peut-être, celles qui pèsent ! oh peut-être ! celles qui (ici) vont ainsi verts elle (la cloison frontale) d'un pas lourd ! .... ou d'un pas léger ... s'i elles sont belettes ! On est fées ! faites ! dures au toucher ! chezrche-mercde ? crudités ? On est comme cernées-accolées à l'être et du cou!p on cernne ce qui est qui se présente sous nos yeux de bête ! On était bêtes avant de naître on renaît bêtes ... dans la mort. On veut (on voudrzaiot) de fait aller = cerner = dire ce qui est, et ne plus se perdre,; mais tracezr ! tracer grave ! charger ! toucher à cette chose devant soi df'une sorte ... d'"oubliette, d'oubliettes des données qui , en vrai, sauraient grave nous informer sur ce qui est et sur (aussi) ce qui n'est pas , en matière de (pour le coup) données , de type "mortuaire". On est nées pour être ensembloe, dans la mort, des fées dites "de basse-mesure", chant des dunes, foi en Soi en tant que Fée des dunes. On est comme allouéews ensemble (nacrées) à cette chiose d'une sorte de do,nnée épique ! tarantule ! danse des turnes ! On est là pour ça : la danse (la transe) = la rumba (sur toundra) et autres danses macab res ! on y va ! on lance les bras les jambes ! on tourne sur soi ! sarabande ! cxharge-chant ! charge et chant venu de soi ! On entre ! On est comme ensemble nues cooll"ées fissa de rage pour ça : aller-danser, courir et toucher, comprtendre et coller, traverser les prés jusqu'au bout du bout qui nous est donné à la une à la deux com^me par la bande (langagière) animalière des do nnées muralesx (frontales) de paroi ! On avance ! on est deux pour ça = comprtendre = dire = faire, et ce faisant tracer ! aller comme à la parade ! s'incruster ! toucher la bande des données , données en face ! connaître ensemble "l'interface" aux données données, "l'interface" alloué à une charge (ici mentale) de type "donnée des données" et c'est marre à tout j amais on dirait. On est qui ?
on est — fe'mmes doctes, genre "mortes".
On est — douces et vives, rudes et armées, on est nées pour être (il semblerait) allouées à "une mort certaine prolongé". On est femmes cernées de base par la bande et du coup voilà on avance, on trace, on y va ! on veut comprendre lma paroi, le sens de la marche, les données de base, les procès, les envies naissantes, la donnée su pr^éme et c eklle (aussi) au ras de la terre. on est nées ensemble à la retombée , comme soulevées, mo ntrées, chargées ! On avance ensemble des deux pieds, sur roche des prés , on est saintes âmes, charges sales, charge au nez et à la b arbe des divinités, chant des voix, peuplades de toundra, de canotage. On est apeurées ou pas , en attendant on y croit ! on va ddevant soi, on trace des traits de paroi, on creuse on dessine, on est soulevées ! montées ! redressées ! allouées à la roche en tant que fé&es sinon carabosee fées des prés ! On aime ! on chante ! on va sur herbe au milieu des vaches ! on est vfaches sardes ! on est nées sur pré pour (dans la mort) être (redevenir) vaches ! vaches à lait ! bêtyes des prés ! charges ! divinités ! âmes ! car la vache sur pré erst l'âme des données ! on est nées vaches dans la mort donnée ! on est re-nées vaches ! on veut toucher-cerner la vache = la comprendre à jamais et devenir vache nous m^rmes, si tant est et par la bande , qui saiot ? On veut vachge, être. On veut vaches, devenir ensemble. On veut grave ensemble aller et toucher à cette sorte de donnée de rage, vache à lait ! on tremble de n'y pas (ensemble !) arriver si jamais ! on veut comprtendre = être = dire = faire = aller = toucher à cette sorte en soi de sa r abande des co nntrées de base. O,n est nnéesq pour être fezmmes à tout jamais , qui sque l'on soit , qu'on le sache ! on est nées pour être (dans la mort) femmes à tout jamais , qui que l'"on soit ! on est nées sur terre, né, née,, nés, nées, pour (dans la mort soudaine) devenir (= recdevenir) femmes (au pl;uriel car : 2) à kj&mais ! On est accoilées ! on est femmes jumelées, femmes slaves, charges, corps de rage, dupliçcités faites charge, corps de joie maussade ou pas mais comme élancé, corps de type flèche , corps de rage alloué à une cxharge de paroi de base, charge' née. On est né qui on est, ^pour mourir alloué, à une sorte de donnée de type "femmes" . On est accolées, soudées, collées, comme allouées à u ne sorte de paroi de rage, "confinade", charge finale ! On est nées ensemble, on veut tracer ! On regarde devant soi la base des données, on est comme cernées et on avance ensemble, on y va ! On est femmes des bois, des parois, des choix du roi, des choix princiers, des reines des prés, fentes labiales ! On veut ensemble au mieux co:mprendre ce qui est da ns ce qu'on voit (verrait) devant soi comme à la parade ! qui on est ? on est Roi et Reine ! chant du cru ! IOn est bêtes sur rocher comme gravées, et on veut "tracezr" = traverser la roche, aller là (ensemble) à la chamade ! toucher ! toucher ! toucher ! toucher ! topucher ! toucher ! touxcher ! toucxher ! toucxher ! toucher ! tpoucher ! toucher à ce qui est en vrai qui nous regadfrde, nous reluque grave, bnous m ate de près, nous mate grave, bnous veut "en entier" mais comment, de fait, se sousqtraire, à pareille volonté venu des confins , des données dernières ? cfommùent faire pour ne pas céder ? pour aller sur pré sans, pour autant, succomber à l'appel de la forêt dernière, des données dernières, des dernières volontésq, des vives clartés de derrière ? On veut (on voudrait) ensembvke chercher à comptrendre. On aimezrait beaucoup aller ensemble pour trouver , en cette chose des données ultimes, ce qui est. On rezgarde devant soi, on mate. on veut cerner ensemble les données et pour cela le mieux c'est d'y aller ensemble à toi à moi cfomme à la parade, charge frontale !charge grrave ! tr aversée ! on trace ! On passe ! on regarde , on est allouées à une sorte de prairie de base genre pâradisiaque, on y croit ! On veut aller , marcher, courir, travezrser le pré, comprendre les données, aller et regarder les bêtes qui (en vrai) br(outent que tu brouteras (comme à la parade) ensemble. on est accxulées ! on est entrées ! on est entrées car femmrss soudées, femmes doctes, collées)-accolées. On est entrées en tant que femmes aux données données. On est pasdsées de l'autree côté. On est pasdsées enj tant que femmes dédoublées ! femme dédoublée (au singulier) = femmes dédoublées (au pluriel) ! le singulier l'"emportreait ? le pluriel est né ? le singulier se verrait transforl$mé en pluriel des prés ? on est felmmes allouées à une sorte de prairie de base de type contrée comme cernée, entourée, constrite. On veut toucher à cette Déité des bouts des roches, déité des déités, qyui, en vrai, serait celle qui (de fait) nous rtegarderait ... par derrière ! de tous les côtés ! on est "faites " , fées, doucemenrt cernées ! commandées ! charbgées de tête ! comme trimballées sur herbe ! on est entourées d'une "murerttte" aéux données données par "qui on sait", mais le sait-on en vrai autant ? qu'en sait-on de ce "manant" ? qui est )-il qui sait qui on est? On est nées ensemble riches de données données concernant la mort ! On veut tpoucher ! toucher ! toucxher ! toucher ! tpucher! toucher à cegtte déité des déités graciles, fines, élancée, nacrée-sacrée, on file ! vivement qu'on sache : qui est qui comme pa r la bande ! on entre ! on est entrées ensemble. On veut toucher à cette sorte de donnée de base , genre "Dulcinée". On aime les fées ! les donné&es prairiales ! les entrées de rage, le sommet, la charge mentale, l'épopée, l'onctuosité de façade, lea cloison terminale, la cxlarté donnée, les embruns sauvés, le chant de la roche et autrees sons sans anicroches ! On aime chercher ! et on se jette dans le t as ! on entre ! on est acculées ! on est deux pour être ensemble l'êztre des ,prés (buflette au dé&botté, genre bisonne des prés). On est bêts aux données données comme par la ba,nde (ici lang agière) animzalière gravée. On aime ! on aime aimer la bête dessinée ! on est bête nousz-mêmes ! on hurle ! on creuse ! on v a ! on est comme deux fées de paroi ! on est fée des prés et des parois du bout de l'âme ! on est accolées ! On se colle l'une à l'autre pour enttrer (pouvoir entrer) sans anicroche, sans se blesser, sans y passer . On est femmes données, o,n est mortes-nées = vives-allouées à une sorte de paroi "du bout du monde". On y croit ! on voit ce convoi , bêtes de roche, gravures et morsures, traits de force, mains lambdas, genttes dames sur paroi, fentes. On aime ça ! on veut touxcher à ça ! la charge mentale (ici) de façade ! le tracé des reines et des rois ! la paroi première ! l'emportée massive, le donné de choix, l'aura ! On est femmes de paroi, on est accolées, on est entrées, on est comme toucheées par (ici) la grâce d'être ça : la Rage ! l'envahidssement de soi par la bande , la colère immmense, l'ire envoutante , peut-etre (du coup ) la transe ! on voit ce qu'on voit ! on est felmmmes de paroio en transe (danse en nage) et du coup on en avance (ici) dans les données savantes. On est comme (re) nées à une vie de base
à
àune vie
de base mordante,
à une sorte en soi de vie, de base "mourante", de base "montante" ;...
à Vie -Mort de base, à Mort-en-vie... de base montante ? à Vie = Mort en cette Roche , aux données acides voire acidulées ? On colle ! grave ! on est mortes = vives ! vives dansz la mort mais comment comprtendre ? en tant que femmes déplacées. On est nées femmesz (de fait) dans cela qui est (ici) la.. eh bien, la donnée Su^prê'me ! charge ! poids ! cri ! colèvre de prairie ! on veut toucher à cette déoité des déités transies ! "quui c'ewst ?", c'est l'plombier des prés ! l'Anarchie faite Fée , persi-obnifiée ! On aime ! on like grave et plutôt deux fois qu'une ! on aime les fées, les donnéesz données, lesc présences, le p assé des prés, le chant de la bande, l'envolée toteale ... et la chance ! On veut toucher à cette déoité des données suprêmes dont on parlait. On est qui ? "'quête" ! on est cfomme nées (de base) femmes (ensemble accol"éées) dans un cimetière. On veut toucher-cerner = passer le nez , qui un oeil qui deux ! et mater-sentire = renifler-reluquer = comprendre. Ce qui est qui est derière la paroi (cloison) termi nale. Minois ? minou ? moi ? ma "don,née colère" ? mon ch at ? mon (mon ?) chant , dit "chant des dunes et des monts de bosse " ? On est femmes doctes dans la mort. On est , dans la mort, femmes doctes. On veut = on voudrait : cerner gra ve, les données de base. Toi et moi. Ensemble. Associées. Femmes de roche à la retombée on se consacre à mieux cerner ce qui est qui est da&ns ce convoi du bout du monde : la paroi des roches, le dessin total, l'envolée, la montée, la parade aux bêtes sacrées (vaches à la&it, bêtes-monstres, données des données, cohorte). On aime alller (ensemble) à la retombée et toucher = dire ce qui est qui est, et aussi cezrner = dessiner , ce pré, ce champ, ces contrées prairailes, herbes "tout venant" et autres luzernes. On est "devant" ! on creuse à vif la roche Du Temps, c ar oui, on est comme "devant", postées à la base, posées, contenue's, accolées, montées. femmes des données données on est passées et à présent on peut (grave) chevaucxher la lande à toute enjambée et aller juèsqu'au portail dit portail des fé&es , une rooche en poste , trou du cul des roches ou des données de roche. On colle ! on ne s'arrête pas de coller ! On est comme touchées, faites, entrées, passées, on mate ! On reg rde ! On veut aller de fait comme par la bande recher c her, qui l'entrée qui la sortie, mais du coup "un passage de rage", trou de base. On est cdomme néesz ennsemble (à toi à mùoi) par la bande en ette sorte cde champ de paroi" donjt le nom est ça : parade ! coin de rue ! charge -avenue (advenue ?) ! poids de taille ! On est FEMMES DES DONNJ2ES DE BASE, on est FEMMES DES DONN2ES DE BASE , on est FEMMESCV AUX DONN2ES DE BASE ! On est FEMMES NUES AUX DONN2ES DE BASE ! on est FEMMES DES DONN2ES NUES ! on est FEMMES DES DONN2ES DE BASE NUES ! on est FEMMES NUES AUX DONN2ES DU TROU DU CUL ! on est FEMMES N2ES AUX DONN2ES DU TROU DU CUL ! on est feMMES N2ES E?SEM%BLE AUXD DONN2ES GRAVE DU TROU DU CUL OU DITES " DU TROU DU CUL" ! on est .... FEZLMES , DOCTES, SACVANTES, AUX DONN2ES STRANGE ! AUX DONNJ2ES DONN2ES DITES IL SE4MBLERAIT° "DU TROU DU CVUL" ! On est femmes par lma bande et par le menu, dudit passage (devant soi) "du trou du cul" et ça bande ! grave ! -ça remu e d ans l'antre ! c'est couillu de rage (cousu !) ! ça charge gra ve ! on est nues vues, vues nues, on est nues et vues : on entre ensembleb = main dans main ! On est passées compme par la bande à une sorte de nouvell e charge ! on est accolées ! On est nées ensemble d
ans la mort ! on est (dans la mort) comme nées (ensemble) à une sorte de nouvelle vie dont le nom ici est : vie des vies ! colère monstre ! cxhant fort ! communication de l'au-delà à travezrs en vrai la paroi de roche, ou p aroi des Rois , Reines cachées, RRois des Fées, sarabandes. ON veut (on voudrait ) collezr , ensemble ici comme aallouées, à une Roche terminale, genre "paradisiaque" si tant est. On est femmes des prés, charges frontales, fées des p^rés = chance ! on aime ! on aime grave ! on veiut grave aimer de près ! on veut de près aimer grave = toucher ! on a&ime aimezr ! on aime aller ! on aime cerner ! on aime se toucher ! on aime se branler ! on aime comùprendre ce qui est en cette chose d'une sorte de "mansarde de l'au-delà" (dans l'au-delà) de typee "par adisiaque" . on aime ça ! on entre ! on est entourées ! on est au milieu du pré, parmi x et x bêtes broutant l'herbe fgrasse. On voit autour de bnous la Chose de ba se, le bâti. On voit la Roche, la Rotonde, lemporté, le décollé. On voit de fait la Roche des Fées. La murette donnée. On voit ce qui est , on entre en vrai, on est accolées, on fait corps , on fait fée". O,
n est femmes-fées allouéesz à une sorte de "roche des prés", et là, entrées ou une fois entrées, on cherche à toucxher toucher toucher toucher à cette sorte de ... muret ? mur de roche déjà traversé ? on essaie de cerner ce qui est. On cherche ! on veut toucher c'sst un fait mais aussi "p asser" ! on voudrait ensemble, parce que nées ensemble, traverser . Passer ensemble, aller, comprendre, traverser la roche, passer cfomme en force ou sinon comment ? comment en vrai pour le coup passer ? commùent faire ensemble pour p asser la roche des données finales ? en force, vraiment ? ou sinon comment ? par la bande sonore des enttrées parlées ? par le TEmps ? au moyen du temps ? On est comme nées ensemble dans la roche, et (en vrai) à prése"nt, on aimezrait re-travezrser dans l'autre sens ! aller loin dans "les données", faire ainsi qu'on puissee aller comme en une sorte de retour, de re-quelque cxhose à rebours ! Qui on est ? on est FEMMES N2ES PAR LA BANDE ! PAR LA BANDE FORTE
d'une sorte de do nnée vivante !
CHARGE DOCTE ! PAMOISON ET CJHAMPIGNON ! On ose ! on ose aller ju!sque devant la porte aux données finales rezgarfdrrer. regarder ce qui est. Ce quyi se tra&me. De quyoi donc ... la "mort" (?) est faite . Ce qui est derrière le mur en rotonde . ce qui est derrière ... ce mur alloué à une (sorte de) charge praoriale (ventre ?). O,n est FEMMES AUX FOLLES DONN2ES , FEMMES AUX DONN2ES FOLLES ALLOU2ÉES à DU VERBE, FEMMES (DEUX FELMMES°) ALLOU2ÉE (ENSEMBLE) à)
UNE SORTE DE "PAROI DE BOUT DE ROCHE" (MA FOI°)ENSEMBLE. ON veut grave tracer-pisser, se toucher-baiszer, a&ller et venir, se doigter du feu de dieu, comprendre les données frontales = pisser ! pisser À la ré, connaéître le pré, les bêtes, le vent, l'herbe, le champ et le chant donné. On aime s'aimer sur roche allouée. On veut êztre fées ! fées des bosses et autres dunes de paroi (ou religiosités). On aime tracer ! topucher terre ! pondre ! coller ! faire ! dire et faire ce qui est ! pousser vers déité des ciment§ières nos envies sacrées ! colmater par (comme qui dirait) du verbe ! On est nées sur terre allouées à une sorte de verbe des prés, chants des rues, vives amabilités, cortège. On est femmes dees prés, on est femmes des données ardues. On est (dans la mort) re-nées ! On veut cerner ! Qui on est ? nues ! on est nues (de base) velues, vives et crues. Mues. On est mues de base. Mues et nues. Bêtes des prés sur la place. charge de rue ! antre. On est cfomme znsemble toi et moi en nous (offrande) comme szoulevées nues par la bande en ce sas des sas. On veut toucher ! on veut aller ! on veut cerner ! on veut dire et faire ! on voudrait de fait dire et faire ! on voudrait de fait ensemble dire et faire ici, en ce sas des sas, une sorte de cortège. genre sarabande. coller. On veut coller ! on veut coller ensemble . On voudraitb ensemble coller .On voudrait ensemble nous deux coller , coller grave ensemble : toucher ! toucher Déité des Déités et autres divinités de roche si tant est. coller grave à cete chose d'une sorte de donnée donnée tellle que présentée (divinement) sur pa&roi du Temps. On veut : cooler, allmer, dire, cha&rger, chanter, faire, comprendre, disposer, aller vif et comme "soulever" la roche pour passer, dire ce qui est, chercher sens, poindre, calfeutrer, comprendre les données données, filer, pousser, pisser dru, e't aussi chier = se vider ! c'est important ! On veut : faire)dire, comprtendre-allouer, comprendre-percer, percer-toucher, traverser l;e muret et aller de fait ensemble (main dansz la main) de l'autre côté ! on aime toucxher ! on aéime comptendre et dire ce qui est qui est. on ne veut pas passer à côté des choses de la Vérité, comme conduite. On veut : toucxher-passer, cfomprendre-allouer, dire-faire, communiquer, faire ainsi que pour le coup les données soient posées, et ciomme consignées sur roche . On est nées sur roche comme à la parade poour ainsi comptrendre ensemble ce qui est qui se dessine (dessinerait) vraiment (de base) pour des ans et des ans. On est femmes fortes (grosses
) des données données comme p ar la bande ! on veut toucher-comprendre cesz données (fortes ?) allouées, ce que c'est en vériité,, ce que ces données e"n vr(ai xcachent ou cacheraient en termes pour le coup de connaissances concernant la mort. On est femmes fortes, fortes = groseess = savantes = pleines = pesantes = sachant tracer, dessooiner, comprendre, traverser la roche et passer sans forcer (?) de l'autre côté il semblerait. On est nées sur place (roche') pour tracer (dessiner) et (de fait) traverser la roche, se retrouver ensemble femmes (deux) de l'autre côté (dédoublées) et du coup prêtes à creuser (en vrai) plus loin, toujpurs plus loin, vers cettte déité dees déités surnuméraire. On est prêtes ! o n creuse ! on t§race ! on va& ! on en avance grave ! On veut
toucher-cerner de baseles données. On est FEMMES DES DONNÉES donnÉEs ! on est allouées à cette déité des rages naissantes ! on est cfomme allouées à cette déité des données savantes ! On est nées homme ou femme sur terre au singulier, on meurt transformé.es : femmes ! femmes = de'ux femmes ! en vrai ! dans la mort ! allouée à une mort données, celle du Verbe faisant la navette (vie / mort surnuméraire). On aime toucher ! se toucxher ! béiser ! se mettre ! se doigter ! se tripotter et se lécher ! et se humer ! se renifler ! se salir de la tête aux piedsz si jamais ! femmes fées ! fermes ! douces en colère ou dures soupesées ! On se lèche ! frêles ? raides ? cools ? on entre, en cette herbe d'un pré (alloué à une entrée) par le cimetière , direction les termes. On veut : et coller et toucher, et aller et cerner, et dire et passer, et passer et toucher, et cerner et dire. On veut ensemble traverser la base (prairiaéles) aux données rupestres, chargess folles, bêtes fortesq, cornes et coups de pied, bêtes-monstres, vaches à lait, bisonnes, bises et cohortes, contre-alléeez. On eswt comme nées (ensemble) et on veut toucher ! toucxher = faire = aller = connaîtte . on veut toucher pour ainsi dire les nénés de l'être ? femmes entre elles c'est un fait ! On veut ensemble s'accoler à cette sorte de cloison dernière aux données deonnées ! on aimerait ! On veut toucher à cette chose d'une sorte de donnée venue, comme de derrière (ici) la murette allouée à un cimetière (ou genre de)! Qui on est ? on est bêtes desz prés ! On est bêtes des prés en ce cimetière "de la mort à l'oeuvre" tel qu'il nous apparait ou nouq apparaitrait sur herbe ! On est nées de rage pour être, pour de fait être Fées , être Fées des Herbes ! cxhants des Fées sur roche imberbe ! traverser ! nées pour traverser ! nées pour êztre des fées ou "dans la mort : des fées " ! fils de l'herbe = filles nées comme soulevées, montées-montrées, portées. Cimetière des données de l'herbe ! On est nées sur herbe à une vie nouvelle faite de données données et comme soulevéesz vers Elle, l'Herbe , l'$Herbe des prés. On a&ime aimezr l'herhe, l'herbe des préds. On veut passer (à nouveau) de l'a utre côté = traversefr le mur, le muret, la murette "a&ux donnézss " et du coup comp)rendre (ensemble ++) ce qui est en cette chose d'un e sorte de passage nu, tracé nu par où, de fait, s'immiscer ensemble = à toi à moi, aller vif en ça, en cette sorte de paroi trouée, crteusée ! On est nées ! on est passées une opremière fois, nous voilà donc qui sommes ensemble faites fées de fait ! On est comme entrées on dirait, par la roche, à... rebrousse-poil ? ou sinon comment ? à la pa rade ? charge des charges ? on ess&ie ensemble de touchezr à cette cxjose d'une sqorte de muretde ba se, ce qu'il est c'est quoi ? mur des Rois ? mur /muret des REines de Saba (de P aroi ?) ? liens ici entre roi e't paroi , reines et fées, genres de données , perles et paroles allouées à une sorte de roche des prés. On aime tracer = travezrser cette roche donnée , par du verbe oui, par (en l'occurence) du Verbe "de Roche"" : cris de la passion , chants doctes, voix de fée, cohorte animalière finement gravée, pâroles de r'oche tracées, voix des morts et des mortes. On est morts-nées pour ainsi dire. Finement tracées sur roche on naît (on renaît) à une vie autre, celle des confins, des fins de roche, fin des fins. IOn aime s'accoler( à une szoerte de paroi de roche) pour cerner, toucher, comprtendre, faire ainsi que (par exemple) on puisse a&u mieux toucher (cerner-comprendre) cette Déité des Déités de Roche, Dieu des Dieix et autres Personnalité de base forte, dure comme la musique comme enracinée en cette dureté de roche gravée. On aime grave aller verscette Déité des Déités des données frontales et autres genres de données de roche telles que "visitées" ... par des fées. On voudrait ensemble traverser ici la roche des prés, retrouver l'allant = le temps. Traverser = charger ! charger tracer ! On voudrait vraiment , ici, coller , à ceette soerte de donnée dite "du bou!t du
monde" , coller-achever ! on aimera&it ! on vouydrayt ! on croit pouvoir tracer et, de fait, cerner-comprtendre ce qui est qui est, qui se présente et sembkle ou semblerait vouloir cfomme nous parler, noàus apostropher pour nous demander qauelque chose qui wserait pe"ut)-êtte,une sorte de vérité sur terre si tant est ! qui on est en vrai ? )eut-être, voilà, des fées, qui sait ? on creuse la roche allouée ! On passe ! Fées des herbes ! Femmes des prés alloués à une Parol:e dite "de cimetière" . Frai des fées ! On aime ! ion aime grave pouvoir frayer ! On adore ! On aime le xsece aux données données ! On aime grave ici (sur terre) le sece" a&lloué à une Vérité dite "INTRINSÈQUE " , c'est vrai ! on aime ensemble ! on aime aimer, comme à la parade, le frai ! l'enfilade ! on veut s'aimer ! se toucher ! se mettre femme = se mettre en tant qu'on est femmes, deux femmes à la parade, au chandelier ! on veut, ensemble, toucher (femme / femme) les donnéesq. On veut en tant que femmes dans la moçrt toucher = se toucher, tou!cher D2ité, se doihgter (ensemble) en tant que fées (doigts de fée = doigté = doigté dit "de déité"). On entre dans l'antre ! on est comme entrées ensemble dans l'antre, et du coup, on cherche à s'aimer, à en avancer, à tracer, à courir sans désemparer. On veut : et dire et toucher, et faire et aller, et coller et passer, et co:mprendsre et s'a madouer si jamais mais le peut-on enb vrai ? qui on est ? on est Fées ! Fées des Hommes mortsz ! fées comme aya&nt pris la place (dans la mort) de l'homme hier encore en vie ! car, si un homme cdans la vie sur terre mùeurt, alors il se transforme illico -presto, en femmes des prés se tenant la m&in ! deux femmes allouées grave à une roche, ça le fait ! homme au singulier, mourant, devient femmes (deux femmes ) au pluriel c'esst un fait à présent largement avéré et comme installé )parmi les connaiissqa nces ici liées aux faits et gestes de la mort à l'oeuvre et de la vie dite "surnuméraire" . On veut toucher à cette vérité dernière : clarté ! vivacité des clartés dernières ! embruns ! sons de roche (clocheztes ?), animaux sacrés . on ne sait pas ce qui est au juste vraiment vrai mais quand même, on subodore ! on veut êtreaccolées, se toucher, faire corps de près, toucher à cette Déité "des fonds de réserve". On aime grave tracer serré ! comprendre les données rupestres : les aurochs chargés, les bêtes de foire (= de foirail), les buffles ailées et autres vaches à l, ait sacré sucré. Aime ! charge ! croit ! voit ! perce ! perle ! parle ! va ! chetrche si possible à (toujours) mieux cerner-comp)rendsre les données données comme par la bhande. vives monstruosités de façade" ? on est comme nées ensemble par la bande (le langage parlé) sur roche des prés (temps frontal) comme p ar la bhande (des idiomes articulés). "Qui est né ?" = "qui va là ?". On s'en sera&it douté ! on est femmes doctes ! soit : sachant (sachantes) mille et une choses concerna&,t le sang, le corps en son entier, loes fonctions vitales, les données des fées concernant le cr(âne et le cervelet, la pie'-mère et autres dure-mère ou corps calleux "de destiné". qui on est ? On est , femmes "folles-fortes" = tourmentées = tournées = mises en forme . comme on est on va ! on entre ! on est ensemble on dirait pour peut-^tre mieux, comprendre-cerner les données de base , charges mentales, croix de bois, p)assages, mots des reines et rois, traces. quand JE bande , JE va ! Je se passe de Moi , car sale ! sage ? sarde ? charge ? On est comme c ernées de base ensemble par la bande, on est accolées, acculées, poussées, poussées de près et on essaie de fai-t ensemble de co:mprendre les données, ce qui est qu'on est des fées et pas des êtres comme nécrosés ! On veut : toucher à cette chose d'une sorte (en szoi) de Déité de cimetière ! Charge allouée à une pierre, à une donnée, à un muret, au mur des données allouées à la pierre. Qui on est . des fées ! fées de cimetière = verbe ? On ne sait mais ça sz pourrait ! O, n est cfomme pa&ssées ensemb le (tête première) à l'entrée , et nous voilà comme alertées, situées, chargées, mises sur pied, prêtes à y aller, ensemble, vivement, vers ici déité des parois terminales ou finales des confins de l'âme. on entre à pas chassés peut-être mais en vrai ! on rst acculées ou tout comme. On entre, vives et sacrées, acculées. On veut toucher à ce qui est de ce muret de fond de pré . Fond de pré de base. On veut toucher à ce muret, aux donné&es centrales, auxs données dpnnées. on veut touxcher ens'"mble ! vivement aller ! cerner-comprendre ! crever l'abcès mais crever l'abcès c''rst un truc de ouf en vrai, pas si simple'à faire pour de vrai ! en vrai c'est (c''st simple) pas (ou pas tout à fait) une sinécure ! On est des femmes de paroi entrées, entrées en tant que fées on dira&it. On aime tracverser. On est passées. On s'est retrouvées (de fait) de l'autre côté, et voilà, à présent, on est comme soulevées, on veut toucxher , on veut cerner les données frontales , ce qu'elles sont vues de près, à qyuoi elles ressemblent, sur quyoi elles donnent, à quoi on doit s'attendre, qu'est)ce qu'il en est en vrai, des paroles "de vérité" ou des paroles doctes. On reg arde ensemble . on se penche dngereusement; on veut com^rendre ensembvle ce qui est ici qui semblezraéit vouliior, nous donner à c erner ensembvle les données de base, donnnées rudes. Qui , qui on est, qui en vrai on est ? On est F2ES ! FÉES aux DIONNÉES DONN2ES COMME PAR LA BANDE LANGAGI7RE DES
ENVIES NACRÉES DE VIE ALLOUÉE À UNE SORTE EN SOI DE CIMETI97RE AUX DONN2ES DONN2ES ! on aime aller , faire et montrer, toucher et graviter (graver) autour du Verbe ... de la Foi d&ns les Données Données sorties du cimzetière. on touxche a&ux nénés ! lait des Fées de cimetière ! Lait (en qauelque sorte) sucré ! lait dit "maternel" du fait qu'il appartient aux mères allouées à une Roche dite (elle) Primaire". (première et pri-mère, pré-mère). On est ,-néesz sur roche à la traversée c'est un fait, eet du coup (à présent) nous cvoici comme ezntrées tête prmière dans la vie, "vie vive aux données de Fée, vie des Fées des Rages et autres Fées allouées à la marge". quion est ? On est des Fées de base anale, conaissances , gentes dames, frappes (petites frappes) au firmament , druplicités. on voudrait grave ensemble en avancer de base dans les connaissances mais c'est vrai que la chose en vrai n'est pas automatique, ou plutôt , ne marche pas automatiquement de pair (ou si ?) avec le langa ge, la langue dite " articulée". on voudrait savoir grave, ce qui est partout, ici (le cimetière) sa ns avoir à se ... prostituer ? de fait, se donne'r en écha,nge, se donner entièremebt (corops et âme, etc.) à la mort donné, à cette Chose en vrai de la Mort Donnée, déposée ou sinon déposée tracée ! On cherche à comprendre, ici , là, ensemble, fissa, à cforps perdu, ce qui est devant, ce squi se présente en tant que Devant, Devanture, champ des duretés, champ vif. on voudrait ensemble ici et là co:prendre les don,ées actées mais c'est vrai en fait que (pour le coup) la chose (à comprendre) est rude , et pas qu'un peu ! on se doit ensemble (pour co:prendre), à toi à moi, de cravacher, de cravacher dur ! d'y alller ! de cerner-toucxher ! de dire-allouer, de p^rendre ! faire ! aller ! cfomprendre ! composer ! allouer ! cerner ! cher cher ensemble, sur roche (pa&roi), mles mots des fées = Verbe Haut ! Colère ! Gravité ! GHravité Sacrée !
On saitc e qu'il en est car
nous ^-mêmes sommes (en vr ai) Colère, mille fois colère ou un million de fois comme colère, ou ditzs "Colère", car voi;là .... on
ne veut pas passer pour ce qu'on est pas ! on ne veut pas p asser pour je sais pas quoi qau'en vrai on est pas ! On est pas n'importe qauoi ! On est BHêtes de poids, sous joug, pour tracer-tracer , tracer grave le sillon de terre. On est fermes ! femmes fermes ! deux femmes sur terre ? dans la mort deux femmes, au sillon de l'être ? on cherc
he ! On est femmes d'une foi dans... l'être de la foi ? du foie ? On est comme "surnuméraires " On veut toucher à cette" chose, là-bas, d'une sorte de paroi. On veut : toucxher, dire, chercher, cdomprendre, cerner, peser, faire, disposer, aller, cerner-dire, permuter les dires, les tempora&lités, creuser roche et trzaverser icelle ici d'un même élan, si tant est. on veut ensemble aller ... comme à reculons ! qui on est ? des millions d'$etres surnuméraires alloués à une Roche Sacrée ! Femmelettes-goutellettes ? On est femmes serrées, accolées, sacrées et sucrées, qui voulons comprendre, dire, porter, se poser, chezrcher à dire, peser et porter le Verbe au pluqs Haut des Données MOntrées . Porter ce Verbe Haut en ce cimetière. verbe Haut = Cime-tière. Chans choraux ! on entre ! entrons ! fouillons ! c reusons roche ensemble au plus profond. femmes dans la mort. femmes dans la mort. Homme moussaillon dansz la vie sur terre. femmes (deux femmes) comme szoulevées-montrées, dans la mort en vie, mort des ombres §(= contenanrt des ombres, ombrezs qui sont, elles, des hommes tapis). vives ! trappues ! collées ! femmes collées, vives et trapues ! collées ! chargées ! craintes ! corsées ! On les aime ! on aime grave les aimer (femmes = féesw) . on aime les Fées , Fées des prés, cortège de fées, fées clochettes et autrexs fées au débotté sachant se pavaner, tortilller, se montrer, cherc her à plaire, se placer, etc. la vie ici des fées (des roches des bois) , est une vie comme de parade ! chant ! choix ! vin montant vite fait à la tête et vous sa&oûlant ! On aime travcer ! chercher le firmamaent en cette chose de la mort à l'oeuvre on ne sait jamais, on ne sait jamais szi
par h asard on ne pourrait pas le trouver, le toucher pour insi dire . On est arrivées tête la première. entrées ! on est comme arrivées tête la prezmièreensezmble ici (paroi / paradisz), à présent voilà, il faudrait pouvoir (vite) s'en échapper, szortir du pré, travezrser et du coup se retrouver ailleurs, szoit : de l'autre côté de ce dit par adis ! on veut comprendre ce qui est ici, cette chose d'u ne sorte en szoi d'enclave supra-sensor(ielle, szurn aturelle, hors temps , hors espace qui sait, on entre. quand on entre il est bon de cerner dès lors ce qui se préswente en termes de données frontales tout &utour de soi. on voit, on voit parfaitement ; ici : bêtes dee paroi; Là : mots des roches surnaturezles (her(b ?). Qui ou
quoi ? Quand on entre , on se doit de chercher à com^rendre, cerne"r ou saisir, des sortes en soi de "théorèmes" , a&ux do nnées centrales, primaéirees et princières. On est nées de rage da&ns la mort Fées. On est nées Fées de rage dans la mort. on estdans la mort nées Fées de Rag". On est nées de Rage Fées dans la mort. Dans la mort, on est nées Fées de r(age, et pas (envrai) pour rire, pour plaisanter ! pas du tout ! On est nées VFées ! on vole, on volette ! on est nées des prés ! c'est chouette, vif, vivant, plzisant ! On se plaît
en Fées ! On se voulait fées, eh bé voilà ! on est ! on est entrées ! on est femmes des prés ! fines mouches ! trempées et mouillées ! on est Fées )Moucxhes, Fées des présn! frappées ! allumées ! vives ! chargées ! on est nées Fées sur vaches des prés = mouches ? mouches ambula,ntes ? mouches savantes ? qyi on est ? on est des mouches ? On se le demande ! on veut comprendree dans la mort ... ce qu'on est. Ce qu'on est (dans la mort) on ne sait pas (vraimùent) c e que c'est . des mouches des prés ? fées clochettes ? qui sait ?
quand on chante on est là vaillantes, sur pied, prêtes à c ernezr (de près) ce qui est , comprendre, soupeser = soulever. on est entrées ensembvle et à présent on essa&ie ensemble (toujours) de comprendre, de s'avancer ou d'en avancer dans les connéiss&nces. On voudrait de fait ensemble cdomprendre (++) les données de ba se gravées, les dessqins au débotté (au pied levé) de l 'homm-femme de Néandertal, des temps reculéew, des ébuts (?) de l'humanité. on est femmes des préqs ! deux femmmes da ns un pré se baisent grave ! charges mentales ! poids total ! mesures de base ! finitudes ! frontitudes ! collures ! echancrures ! On baise ! grave on ensemble baise ou baisons, sur roche-rocher, on y va ! on ne lambine pas (pour ça) ! On veut grave s'aimer, sur rocher, roche des prés, sans désemparer ! se toucher ! se doigter ! se donner l'une à l'autrepour l'éter
nité ! s'a&imer vive"ment en ce pré ! Herbe au cul des p assions, des envies de Vie, des données deonnées et autres nudités zn mat(ière de Vérrité. On est nées nues , puant du cul ! velues ! charnues ! crues ! On est feemmes rudesz, connues. On est e ntrées en ceztte roche des données comme à reculons on dirait ou sinon ? à califourchon comme des cons (connes) ? On cherche ! On éimerait (grave) mieux ou au mieux cerner , les données de base, les (comme quij dirait) toucher ensemble, soit "à toi à moi" comme p ar la bande. on aimerait pouvoir aller profond ensemble, se toucher ! aller ! faire ! tenir !contenir les choses, les données de base, le sang de la r age pissant, pisse-rage de la foi ... sur rocher trzmblant ! On est femmes ici des données colportées ! femmes savants-sachantes ! Fruitsq (fruits ?) desw ronces ! On est malhab!iles sur paroi parfois et parfoids pas ! On s'aime ! on s'aime d'amour ou d'un amour céleste ! célèbre ! On aime l'herbe, la paroi, le sang, les données de base et autres b ase de donnés . On est bêtes des prés, et belles et tracées. On est bêtes des prés en herbe. champs de luzerne sous lpes pieds. On s'aime ! on aime s'aimezr ! sur l'herbe et pas à moitié ! On est" belles b^-etes" c'sst un fait. cherxheons grave ensemble à comprendre", c et ét at de fait ce qu'il est ! vive l' ar(mée tu p ârles ! vive l'e,ntrée des passantes (= vaches à lait) à traversq ;a r'oche prenante ! On est nées ensemble ! jumelées ou comme jumelées ! en cette roche et à la travezrsée ! fente labiale ? creux des fois ? un tracé creusé ? On est femmes des prés . Nues ou à peu près. On aime être néesz &insi accolées à un e sorte de "donnée de rage", de type "paroi", "la oparoi des rois", "la parois
dite des reines et des rois". pa&roi de choix. On est comme néesz (main dans la mùain) ense'mble d'une Sommité, qui sait ? On éime aller ! chercher ! toucher ! toucher grave à Déité ! l'aimer ! la toucher (de bonne grâce") à (peut-être) l'envelopper ! l'emporter ou comment ? tracer au débottté les traits debase l;a représentant (de face) : déité des prés = vache àlait, c'est troublant mais c'est un fait, avéré et vra&i, vrai de chez vrai! on est monté , on a voul u cr(euser et on a creusé. On est bêtes de poids dans u npré . ce pré est une e nclave, un champ cloturé. Au delà du champ c-loturé il swembllera&it qu'il y ait la Vie telle qu'on la connait à quelque chose près si tant est. on essaie de fa itde pour le coup s'imaginer au d"ébotté de quoi il en retourne,
question vie après la vie, ou même au)^delà. On regarde loin. On voit des clartés, de la fumée(embruns ?), des données fugaces, de la brume ou quoi derrière la paroi là)-bas, en face, fond des fonds des landes. Qui on est ? on est ... eh bé dees vaches àlait ! vaches des prés ! broutant en veuxs-tu en voilà pâr la b ande l'herbe vezrte allouée à pareille enclave" ! Fil de la passion ! Charge rude des envies de Vie dite "permanente", "durant", "maintenue longtemps". On est comme nées sur une roche bi-pol;a&ires. On est nées comme bi-polaires sur une roche. On est ensemble comme nées (de rage) szous le vent ! ça buffe grave ! c'est du vent de face ! pets à tous les étages ! ça sent ! ça cocotte grave ! vents des sables ? vents ardus ! ça pue du cul ! On dirait l'odeur du sang ! L'odeur des prés ! la senteur acidulée (qui sa&it ?) des prés avenants. on est entrées, on a vu ce qu'iul y avait. ZSoit : bé ça ! des (ensemble accolées) bêtes des prés, hgrégarité si tant est, tout à l'avenant dans un pré acté. IOn est nées d'une mère allouée à une terre. On (dans la mort) rena&ît, car devenues terriennes on est passées, on atraversé ensemble les données données (données rudes et dures) et nous voilà comme allouées à une Déioté Matûree, mûre , grave mûre ! on saigne tout
c e qui est ! on saigne sur paroib aux herbes, tout ce qu'on sait, ezt que sait - on ? eh bien, au fond, pas mal de choses en vrai. On sait qu'on naît (parfois) "homme" (dit-on) , et que, dans la mort : inversiobn ! dédoublement ! gros changement ! nous cvoici (de fait) transformé, d'un homme nous voici passées ! devenues femmesc = fame = renommée = femmes des prés ainsi renommées. On est comme nées (de base) "homme sa ns pré", nous voici mort-né devenu femmes, a
llouées à (ici) un pré de rage ! vfivement l'été !, qu'on sache ! qu'on en sache mieux en vérité de ce qui est qui nous reg arde, semble nous lorgner de la tête aux piedsz ! charge mentale la voi:là ! on est rega rdé ! on l'ét§ait , l'est)-on ? en vrai est-on encore et toujoursn regardéées ? pezut-êttre bien que oui, qui sait ! szommes-nous femmes des pr)és à la retombée devenues ? sommrsz-nous acidulées ? avons-nous de quoi nous nommer nous-mêmeq ? qui sommes-nous devenues ? qui sommes-nous ensemble (soit main dans la main soit deux mains suur qauatre) devenues ? puons-nous du cul ? sommes-nous ventripotentes ? avons-nous du cul ? des jambes ? de la viande nue , crue ? Sommes-nous nues de la tête aéu cul ? que vou:onsz-nous comprendre ? voulonjsz-nous cerner la chance ? la parade devant nous tracée, deessinée ,- comme à main lzvée ? voulonsz-nous faire et donner, tracer et coller ? pisser -chier = se vider de
tout ce qui en nous semble (juste) transiter ? J'aime = Je suis = Nous fa&isons ! Je = Me = Ne = DIT.
Quyi dit ? eh bé, x
dit. C'est ce x, l'inommée (?) qui dit. Et que dit-il, ou elle ? iele dit que "merde, ça suffit, des faits faits exprès !", on est colère ! on neveut pasombrer ! on veut s'aimer ! on veut aller sur trrrrrrrtre , oui ! terrrtre ! dune des monnaies ! monts de piété ! chercher non la misère mais tout le contraire, la richesse ! l'argent frais ! le solde posté ! motsq des roches animaux ! coins des hommes, femmes au tombeau ! on est ormes = ormeaux = hors mots, quand on sonde ! quand on ose ! quand on sombre en tahnt que homme du tombeau = femmes au lamparo ! chalumeau ! on est doctes (femmes doctes) dès que ... mort s ? mortes ? comment dire ce qui est qui est, quand on naît à une vie nouvelle ... da,ns la mort ? comment stipuler ? qauand on naît on naît Fée ! fée = fée des ormes ! On est femmes docdtes ! femmes aux mots ! cxharges mentales au lamparo, on acte : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 1(, 16, on y croit ! on
trace ! on mesure de nos pas le champ dxe la lande, on trace grave ! on en avance ! femmes des bois ! on est toutes flammes pour ça : co:mprendre ! tracer = donner ! donner de la voix ? qui sait !
on ne lambine pas ! on en avance ! on ne traîne pas ! on veut grave cerner ce qui est qui nousc regarde et semble nous sommer (peut-être) de nous prononcer, de nous présenter, de nous étendre ! on dit (en vrai) "merde" aux nénés et aux quéqués ! ils nous emmerdent ! on ne veut pas (ou plus) avoir adfffaire à eux ! qu'ils disparaissent ! nous laissent ainszi sans eux , chercher en vrai la chose des cieux, le dieu agraire, le mieux des dieux des terres agraires. Qui dit mieux ?
2/8/2024
On est comme nées pour être ensemble celles qui en vrai cherchent à cerner le bout du bout de l'antre, ce que c'est, ce qu'il recèlerait ou comprendrait en termes de données de base. On est nées pour chercher endsemble comme qui dirait. On en avance ! on court on vole ! on veut ou on voudrait cerner de rage ce qui est
et du coup, voilà ! on est là ensemble, on se tient la main, on est accolées, on se colle l'une à l'autre comme (comme qui dirait) des méains jointes ! deux mains ! on est collées ! femmes collées on entre ! on passe ! on passe ensemble ainsi collées ou accolées comme deux mains jointes peut-être dans la prière, ou alors, peut-etre, dans une sorte d'accolade, de présence à l'autre, don de soi pour la parade (l'apparat) etc.. on est bêtes de fosse ! on colle ! on trace ! On veut cerner ensemble ici et là les données supr^mes ! celles
qui "gouvernent", celles qui "trônenrt" devant nous, nous lorgnent ! O,
n est femmes des prés, et aussi on trace vif, on creuse, on dessine sur pâroi les bêtes des bois, des foêtrs, des champs de luzerne. On est côte à côte ! on avance = on va ! on erst côte à côte qui allons bon an mal an "àtoi à mùoi" ensemble sur un champ, marchons droit, filons vers là-bas à l'horizon la pierre , la paroi profonde, ce tracé on dirait de rotonde devant soi, ce mur des catacombes et autres données pour le coup données pour , soi, une fois, un de ces quatre, comprendre. On ebn avance grave et du coup nous voilà, ici, comme au pied du mur, qui voulons ensemble, entrer fissa, passer, regarder forcément ici ou
là ce qui se passe, ce qui se présente, à soi = nous, ce qui est présent et présence, le présent du temps et la présence des données de base, devant soi, qui tremblent, qui semblent bouger, qui sont comme toutes "chose" de nous voir arriver on dirait. On est accolées ! on regarde ! On voit quoi ? on voit ça : embruns de bord de mùer maussade, champ de flleur, vive clarté des bouts de mùonde et autres luminosités toutes acidulées ! On voudraiot passer mais sans y passer ! On entre ! on est collées-accolées ! on est prêrtes à ... naîttre à l'autre côté ou de l'autre côté à cette sorte de donnée donnée donnée de base, chant des ombres (hommes ?) ou comment ? on essaie du coup de fait de cerner, ce qui est dedans ! on est pas "arrivées" ! on cherche à percer , qui de la dent, qui de l'oeil énucléé, qui du doigt pointé ou de la main posée ou apposée, du pied de l'avant, du sexe dressé pour ceux ou celles que le sexe sied ! on est comme cernées
! on est comme ceinturées ! on est prises de fait sur le fairtt, cherchant non misère mais bonté, donnée des données d'une sorte de
bonté donnée, offerte, déposée, posée sur roche comme à jamais ! On serait colère et on verrait des choses trembler : feux des roches ? On est passées (iun peu !) de l'aiutre côté ! on aime ! on est bêtes des prés , charges rudes, sommités grégaires, chants de lutte, romancières. On veut cerner cer ner cerner les données (posées sur roche) à la une à la deux devant soi, nous de base vôtre. On colle ! On est posée collées ! On monte ! on traverse ainsi la roche ! montons ! on est montées !
On veut toucher ! On veut cerner la base des données données. On veut toucher à cette base des données données ! On veut ou on voudrait toucher ensemble ici , à (donc) cela : base ! base des données ! données données ! Chose ! choses des traits ! traits ! traits de rage ! convivivialité des êtres allouées à une roche si tant est ! On entre ! On veut cerner ensemble tout un ensemble de données qui de fait seraient à m^me de nous éclairer un tantinet sur ce que c'est que cette chose d'u ne sorte d'au-delà du monde, chose rude dont le nom en vrai serait (qui sait ?) "la mort" !On est donc passées ensemble (deuxd femmes) pour toucher à cette sorte de"donné". On est âssée ou comme passées par la bande ! on est comme "éjaculées" de rage ! On est passées et nous voilà (en vrai) siituées de l'autte côté ! on est entrées, ou disons comme entréesz car en vérité, on a passé quoi ? le bout du nrz ? guère davantage ! vit et vie des données passées, du passé de contrebande ! chalutier ! On est comme cernées (ok par la bande ) mais va comprendre ce que c'est en vrai ! que cette chose d'une entrée ... p ar contrebande ! Vie du vit ? est-ce ici la
chose trempée ? le calé ? le c aché ? le passé de rage qui serait ... juste du passé ? On est accolées en tant que femmes soupesées et soulevées de base par ... eh bien, qui sait ? du vent ? en rafale ? vent d'autan ? charge
venteuse des amants et amantes du temps ? on entre par devant, qui un nez qui sa barbe , et du coup on voit ! voyance ! à tous les étages ! un certain nombre de données de face (base) déposées (de rage?) devant nous qui (pour le coup) n'en loupons plus (pas) une s('il vous plaît ! . on regarde. On voit. On mate grave ! grave gracve ! On voit quoi on voit ../ eh bé ça ! cette chose à ras, ce tapis de base, point de charge, tableau gris, passade, gens des envies vives, vives gentes et vifs manants, vives manantes, gentes dames et vives amantes, lm'Amoiureuse toute Transi, transitoire, chargée, posée sur roche : une Fée des Fées, qui nous regarde
! oghé la fée ! ohé la jolie fée ! oh la fée ohé ! on est accolées !
on chante ! on est posée, et du coup on se permet ensemble de chanter "à toi à moi" ce qui est, de cette entrée ou virée de charge ! On regarde ! ohé la fée , qui tu es ? On est accolées ! on regarde ensemble les données données . On veut cerner ensemble ce qui est qui charge ,
qui est comme qui dirait donné ! vertsé, accolé, déposé , sur roche des prés comme à la ârade. On veut ou on voudrait cerner la Base des données. Ce que c'est, et du coup co:mprendre dans les faits les mots de la charge, le taureau, l'antilope grave, le bison coté, buffle au cordeau, bufflette au poteau, l'angevine, le syndrôme du couteau, la bête chevaline, l'ours des Baux du Grau, l'intrépide bise. On est montées comme sur,
une soorte de pic;
On est comme nées sur roche des prés pour de fait cerner des données de base qui (toutes) seraient, disons, sinon animalières, animales ? on entre . On veut cerner-toucher, pousser-aller, dire, et porter le dire, enfoncer les portes d'une sorte de maison natale ! on regarde ! on cveut ciomprendre ensemble et du coup passer. car qui dit "comprendre ensemble ("à toi à moi")" dit "p asser", dit "trépâsser" mais sans y passer ou disons sans vraiment "succomber aux chaermes", non ! tenir bon ! se dresser ! tenir de face ! ^$etre droit sur place ! chercher ! aller et venir comme à la par ade ensemble en ce passage ! On est d'ux femmes qui ensemble en vrai cherchons à comprendre un certain nombre de données de face. On voudrait vraiment ensemble comptendre ce qui est qui se présente et ce sans succomber c'est-à-dire sans tomber ici ou là de préférence. On est grave ensemble elle et moi = nous, accolées, et c'est ainsi (accolées) qu'on regarde, qu'on s'approche de la roche terminale, roche de rotonde ou d'enclave. On voudrait vraiment ensemble comprendre c''szt-à-dire cerner, de près, ce qui est qui semblerait qyui sait ? nous regarder comme par la bande, et qui viendrait ainsi vers nous, nous mater, nous reluquer, nous lorgner comme un fou
, comme si en vrai on était, nous, bêtes de paroi de rage, de là ! on voudrait ensemble , nous, aller ! aller loin ! plus loin , soit toujours plus loin ! on voudrait vraiment ensemble comprendre loin, c'est-à-dire beaucoup ! on voudrait chercher et trouver, trouver et cerner, cerner et poser. On aimerait c''st un gfait (grave) comprendre, un grand nombre de données données,, mais comment comprendre ?en touchant la Roche des prés ? en se lovgeant tête la première en elle ? en faisant corps en vrai : deux femmes, comme "célibataires, ou soingulièr"'es" se serreraient pour former de fait un corps de ...
mer ? chant ? cri ? christ ? ohé ohé on colle ! on est comme néesde la roche et voilà qu'on se met ensemble à (on dirait) coller ! coller
grave ! On est accolées sur place (pré aux fées ) et nous voilà cdomme cherchant ensemble à (du coup) toucher à cette Vérité d'un chant donné ! Quel est-il ? qui chante en ces contrées ? de quel chant s'agit-il ? qui est derrière ? qui donc est derrièree le chant ? qui veut donc nous entourlouper par ce chant ? qui veut nous enfumer ou nous endormir ou nous blouser ou même nous faire défaillir ? qui donc est là, derrière, sous le vent, qui guette , chante, va, se promène et ne cesse de nous regarder comme à la dérobée, mais, chante ! il est vif du tertre ! il mate sévère sur son pic de gué ! il ne nous abandonne plusz ! il nous guette sévère en père sévère ! il est fils et père, charge allouée à ... eh bie,n oui, cette dune en soi, ce bloc, ou tonneuau de joie, tertre !
dune du pot ! On est comme mirées ! On est comme acculées ! On est prises sur lme fait ! on est guettées ! Oh oh on l'est ! On est vues depuis la dune et comment faire pour ne plusz ? On est bêtes de scènes (paroi) qui voulons ensemble (grave !) aller, au plus profond de l'antre, charger = cerner, charger = comprendre, cette chose devant soi dont le nom (de base) est gravé comme sous le vent ! données ! les données ! la Chose ! le Temps ! Temps donné sous le vent ! On est accolées et on mate ces données qui (de fait) sont données qui (qui sa&it ?) nous incombent ! on est n,ées sur base nautique, on est nées vives, vives et ailées, on est nées du pré, de l'ombre, sous le gué. On est nées vives ! vouivres ? on est nées de rage ! On veut toucher ! On est cfomme accolées de rage à une sorte de donnée, et nous voilà nées ! On est cfomme accolées opour en vraéi eh bé être nées ! On avance ! un pied ! on trace ! On est fe'mmes des prés dits "de la romance", et c'est ainsi, en tant que femmes allouées à un pré, qu'on trace, qu'on avance un pied, qu'on va, qu'on se déplace cahin caha, sur place , o,n voit ! On voit là-bas la vive clarté allouée à la paroi dernière, cette Chose de poids, cimetière, gré et bois, charge entière, paéroi des rois et des reines
; la Samba ! on entend ça ! mais est-ce vraiment la Samba ? la rumba ? la salsa peut-^tre ? quoi ? une sorte de musiqzue belle semble de fait émerger d'une sorte de trou des Fées (dit "des fées") qui serait, ici même, cet endroit par lequel en vrai on voudrait passer, pour comprendre ensemble de l'aéutre côté eh bé ce qu'il y a. une sorte de cha-cha-cha des temps alloués alloués à une roche ? Une sorte de musique folle ? entraînante et délurée, ou débridée ? On est acxcolées (FEMMES DES DONN2ES) et du coup on essaie, en vrai, d'entendre-cvomprtendre ce que c'est que cette sorte de musique des attraits, musique des Fées. Qui "chante" ? qui "joue" de la vioole ? du pipeau d'eau ? de la mandragore ? Qui joue du saxo ? Qui s'époumone ? On est comme nées fées sur roche dès que trépassées. Disons pluto^to que oui, on naît sur roche dans la mort comme doublées, colmme dédoublées, comme si, en mourant, d'1 on devient 2, pour l'éternité, l'éternité
des tempsz, mais voilà : deyux femmes pour une Fame (renommée) déposée. On est comme néesxc,de rage, Femmes , la mort advenue, sur roche des prés, conclues/ On est femmes des prés = Fées, nées de rage par la bande (ici , du coup, animale) pour cerner ! cerner grave ! toucher ! toucher à cette déité (de fait) des parages ou de ces parages dont le nom (dans l'intimité) est... eh bien .... on dirait .... qui sait ? ;;.. on voudrait le dire ! on voudrait vraiment ici ensemblre maéin dans la main dire ... on voudrait ou
on veut, mais ici on voit que ... que quoi ? dur à dire ! hiatus des parois ! on essaie, on franchit des fois le pas, maéis en vrai c'est dur ! comment faire ici ou là pour en vrai ensemble "à toi à moi" nommer cette sorte en soi de déité des déités ? on voudraiot ! on di ... oh on dit quyoi ? on dit ce qui est, ce qu'on voit = ce convoi ! buffles à sati"été, monstres des prés, les bisons et les bisonnes nacrées sont comme des succédanées d'une sorte de Vérité des Vérités dont le nom pour de vrai est ... et ici : un blanc ! alors même qu'on le sait ! qu'on connaît ! qu'on pourrait nommer (et d'ailleurs parfoidss on le fait) mais bon ... on est nées pour
prononcer (qui sait ?) le VErbe (du Temps) comme à la par ade , pour comprendre = prendre , et prendre = dire , et dire
= nommer , et nommer = nommer déité des déités... pour (comme qui dirait) paqsser ,; szoit passer le temps = les tourme,nts de l'âme ! on est nées de base accolées, on parle ! on dit ! on dit ici et là des mots allouész à une vie dite temporo-spatiale ! On colle ! on est accolées de rage à (donc) ici cette chose, d'une sorte de PAROLE DOCTe ! oh oh ! et si c'était vrai ! On regarde ! on est deux (massives, accolées) qui(en vrai) vont (fissa) à la rencontre de (peut-être) l'ultime p aroi ! paroi des parois (rotonde ?) ;: on y croit ! on fonce ! on ose ! on veut voir des choses ! paroi = parole = rotonde = mort ! voilà l'arme ! Le port des ports ! port d'arme ! on colle à une sorte de données lacustre des données de base de la Voie, telle qu'elle est là qui on dirait nous voit, ou si ne nous voit pas semble ! On est comme nées ensemble en ... semble ! en, plus loin, semble = sang bleu ? sang des Reines-Rois des Parades Martiales ! äme et arme comme à la parade ! charge ! chant ! chant des champs ! champs fleuris ici, vert pré, chose en vrai paradisiaque on dirait. On est femmes (accolées) ensemble,
qui voulons comprtendre, ensemble ce "semble", cet ensemble, cette chose en sang, ce sang de contrebande ou de connivence, ce sang blanc et ce sang bleuu, ce sandg dit "des rages", "des
tourments de l'âme". Qui dit mieux ? On est données = données par .... (on ne sait) , et données = les données, les bases, les outils de connaissance, le Savoir ancré ou alloué au Temps via la rampe de lancement dont le nom (en vrai) est... eh bé peut-être... buffle ? bufflette ? bique ? biquette ? une sorte de bête en forme de manège ? On est cfomme néeds sur pré , chererchant clarté ! on cherche à cerner cette donc clarté dite surnuméraire des données allouées à une roche temporo-spatiazle, de type rocher, roche, roc, roc des vies de base, roc et toc ! On est comme passées, à travers la roche, direction le pré, et une fois pasées, une fois insérées, intégrées, allouées, prises de fait, on va (fissa) jusqu'au bout du bout si tant est , soit : de l'autre co^té, vers FIBNALITÉ DES FINALITÉS = fond de pré = rotonde = ROME ! oh on ose ! On est comme nées à une szorte de données "fatale" quyi (en vérité) serait donnée (une donnée) des bases royales (reinales) à juger
= jauger = soupedser = soulever et montrer ! on voit la donnée ! on mate ! on lévite comme à tout jamais sur pré, et, ce faisant, nous voici comme nées à une Vérité Tantrique allouée à ... une bique ? on dirait !Allouée de fait à une soerte de donnée, de type' bique, biquet, biquette des prés, bique-nique, vive bique sur p^ré, cherchant toujours (incessamment) à s'amusezr, à jouer , à
courir ezt danser, à sautiller et gambader. On éime ces fées ! bique des prés allouées à Déité, va sur pré xcharger-danser, nous amadouer, nous attirer, nous faire aller, nous condyuirede fait vers cette sorte de finalité des données prairia&les : ce muret ! cette face ou façade ! fin de vie ! Et nous, du coup, en tant que femmes, nous tenant la main, on va, on vole, on lévite, on suiyt la bis-que , le biquet, bique femmelle / bique mâle, à jamais, on aime ! On s'aime ! on est colléees/ accolées pour en vrai s'aimer , au cul de la bique ! on la suit ! le biquet ! bique et biquet nous mènent pour de vrai au "cimetière" des données données. On aime ! on aéime aller , bouger, danser ! au cul de la bique et du biqauet, ou de la bique ou du biquet, on a&ime aller ! suivre ! être happées ! être prises ! êtres conduites ! ça nous plaît ! On veut aller vaéillantes ! vaillament aller ! Toucher ! toucher ROche des données ultimes . nous voilà arrivées . On est face ensemble, à ce rocher du bout (?) du pré ! bout des bouts partout ! on est arrivérs ! on est à côté ! on est au pied des fées;
IOn est fées nous -mêmes qui sait ?
on est arerrivées au pied des fées, on est bêtes des prés ! on est accolées-acculées et du coup on est serrées , toutes pelotonnées , pour former ce que d'aucuns et d'aucunes appaelent UNE .... FÉE des FÉES . On est femmes-bêtes, Fées des fées, on est fées des fait s sur roche des prés. On est accolées ! accolées-acculées ! cimetière des données somaires. On nait ! on renait à la guerre comme à la guerre fées . On renait en tant que fées dès que passé le cimetière ! feées des fées on est comme re-nées , de bonne guerre, en vrai, sur l'herbe, sous un vent montant de colère, on dirait du firmament, sauf qu'il semble rupestre plus que céleste, ou cfomment ? on est nées Fées ! on entre ! on est toutes deux accoléequi voulons comptendre : 1, la Fée, 2, les Données, 3, la Paroi qui searoit "
Parole" allouée à une Roche ou un Rocher, 4, le Bison des prés (la bidsonne), 5, l'antilope , 6, la chevale (le cheval) sur pattes dressée ! On veut (fées) comprendre (ainsi re-nées) ce qui est qui charge, va, soulève, vit, tremble, nous commande, nous conduyit, nous mène, nhous contient et nous retient. On est nées à une vie nouvemlle en tant que fées des fées surnuméraires, femmes allouées à une sorte de "rotondité rupestre", rocxhe agréée, paroi celte, roc des oies. On est cfomme cernées ! on est cfomme toucheées ! on veut aller ! dire et prendre, faire et comprendre, donner et apposer sur roche x mains comme multipliées desz chants eux-
mêmes a&llouées à une qsorte de donnée de rage dont le nom serait (dans notre langage) "Vérité" ! soit : "Vérité des Vérités". Ça le fa&it ! ça envoie ! c''st bath ! c'est un fait avéré que c'est bath ! on aime ! on entre ! on essaie ! on est cfomme nées de rage à une sorte de ... eh bien peuêtre... vérité des vérités, qui serait... un a,nge ? musicalement "amené " par la bande (musicale , de fait) des données données ? O,n entre ! on est VErbe d'allant ! Un verbe est né qui se soumet (en vrai) aux allants (chantonnés) de l'ëtre. Qui on est ? on est nées de rage sous un vent de face ! souffle démultiplié comme dans la romance ! On colle ! on veut coller ! on ose aller-toucher à cette ici donnée de cimetière, comme quoi le verbe alloué à une "mort certaine" est verbe d'herbe ou verbe des prés (des prés de données) qui est Verbe de l'$etre tel q'il nous semble se montrer à la mort donnée . On est accolées, on gère ! grave ! les données ! On est nées pour ^rtre (de fait) allouées à une sorte de colère qui est chant, chant donné, chant des données. On est comme soulevées de base p ar ce chant (surnuméraire) des données données du Verbe de la mort à l'aise ! On est cfomme nées à elle, Blaise ! On veut toucher ! toucxher-cerner, faire)aller, comprendre-dire, faire et tomber dans l'herbe et de se relever et marcher et aller vers ce dit "cimetière" des donnéesz terrestres . qui on est ? des (ici même) qui (en vie) voulons cerner (ensemble) ce qyui est (de fait) de la mort en ces contrées telles que représentées de rage sur paroi et autres pierres par des hommes et femmes des cavernes
! On est nées rupetrses ! on est nées bisonnes et buflettes ! on est bêtes de somme et sommité, fame au taquet ! On est célèbres (des Célébrités) ! Britney ! Chou à la crème, sensibilité ! On veut faire -dire, chercher-trouver, coller-décoller, aller et venir sans sombrer mais tout le contraire : durer dans la durée de l'être alloué à un dit "cimetière"
aux données données. on paér(le gras ! cel te ! on est là pour ça : aller ! charger et comprendre dans le tas ! Qui on est. Qui on est pas. Ce qu'on veut. Ce qu'on veut pas. Dire et toucher = ne pas sombrer . On est FEMMES AU Débotté qui de fait voulons acter la chose ainsi nommée ("cimetière aux données") sur Herbe. On colle !
On ose ! on entre ! on pose nos mains sur les hanches ! on est des qui (en tant que telles) vont, filent, mais parfois se posent, mains posées, et souffllent un tantinet avant de re- y aller en vrai, comme à la dérobée. EMMES altruites artistes on dirait. En vrai pas tout à fait. On colle aux Vérités tracées ! On est gouines, charges, vivres, sommets / sommités, FAME ambrée , charge mentales, nénés, condomines. On veut :
toucher toucher toucher toucxher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher topucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucxher toucher toucher toucher tucher topucher tpoucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher tpucher touycher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucher toucxher toucher toucher toucher touchr
à cette Déité des D2ités iici nommée (ou dénommée) N2N2 ! N2N2 des N2N2S ! nommée "Les nénés". On entre ! ventre ! corps ! on veut cerner ensemble la mort, en vrai , ce que c'est ! Des nénés ? eh bé ... qui s&ait ? on est comme passées à travers la roche à la recherche d'une vérité qui eût pu nous donner en vrai un pêu de cette chose qu'il pour nous serait bien utile ,pour le coup, d'avoir en propre. A savoir : le savoir ! la connéissance dite "grave" des données spéciales concernant la mort... en ses contrées,. OOn veut = on voudrait ! Comprendre oui. Et aussi cerner = entourer = cercler = prendre ici même en son sein le Verbe, le faire fructifier (fruit de la pâssion) et puis le mettre au monde incidemment comme qui dirait "un fait exprès" et par la bande sur paroi des Reines et des Rois Nacrées. On est comme nées sur roche d'une sorte de Pässion Christizque allouée au VErbe de la Foi (en soi) dans (en) la mort Certaine. On colle ! on est deux qiu, ensemble, main et main (on voit) chargeons = chantons ! cfomme à la parade, la chanson, des Rois de Faça de, Reines au diapâson
, saint-ignace au violon, on ose ! On est fe'mmes des prés f= ées. Homme trépassé a donné son "âme" à la fée des prés, ailes, ailes passagères, vont et viennent, volettent vers en vréi ce trait donnné a&u x confins des herbes ! On volette avec elle ! fée ! fée des fées est nottre fée ! on l'aime ! on veut la toucher ! la toucher afin de mieux en vérité la connaitre si tant est, car est-elle en vrai ? corporelle ? on dirait ! mort donnée ! mort ! mort allouée ! mort ! mort actée ! motrt des données données ou aux donnéeds données ! on est "raccord" ! on veut aller, toucher, cerner, pister, cpmprendre, rendre, soulever, soupeser, être et avoir en
vrai sur soi cette chose d'une aile (deux) qui nous siérait de fait, nous irait de même comme un gant, bretelle, jupe des données, verbe de terre, chapiteau, verbe comme s'il en pleuvait sur notre tête et nous ferait pousser comme (ailleurs) l'herbe à brouter. On est nées comme cernées par (autour de nous) de l'herbe (paradis) sur pré ! On est bêtes des prés aéinsi montrées ! Montrées et montées , car soulevées , car ailées ! vaches à lait = vaches ailées , pour aller (de fait), ainsi ailées, vers le cimetière des données données = le Verbe ? verbe des prés ? On croit rêver mais en vrai guère on ne rêve ! on est ! on est nées ! on est allouées à l'herbe , au pré à brouter, aux champs et prés d'une sorte d'enclave szurhumaine', surnuméraire, céleste, sainte, consacrée, chargée de Verbe comme s'il en pleuvait ... par derrière ! Car / le passé ! le pâzssé nous suit ou nous colle au dxerrière ! on est nées et voilà le Passé passé , qui (en vrai) nous suit de près, ne nous quitte plus jusqu'au cimetière ! on est ailées ! vaches et buflettes ailées, les bisonnes . On est bisonnes ailées (par le Verbe de la Foi dans l'être de la mort à l'oeuvre en ce cimetière aucx x données données) . On veut grave toucher nos ailes ! obn veut s'aimer dans l'herbe ! se gouiner tantôt ! s'allouer au cxhapêau (chapiteau) sur tête ! On est bêtes, de roche sondée, dessinée , ornementée, et on s'agrège ! entre nous on s'agrège ! On est des bêtes fortes, sommes folles, cris de vie, fortes charges, poids de masse, parades
graves, chants lourds des bouts du bout des vies. On se masse ! on fait masse ! on veut grave peserrdans la balance ! On est bêtes des prés de charge = sommité = renommée = fame = genre "on me connaiît" , ça le fait grave !". Quii on est ? on est nées par chance par la bande (animalo)-langagière) d'(une sorte de paroi, paroi souterraine, galerie-boyau, anttre, caverne, trou des razts et autres bêtes (rampantes). On &ime ça ! la rage ! la sa&mba ! la transe ! le canal des voies vers l'au-delà ! la chance = la danse = la transe = la voie = l'animal de la foi = l'antre ! On est comme touchées à la base dès notre naissance sur paroi ! touchées quasi coulées mais voilà ! on est entrées ! on a franchi la roche ! on est passées ! on est passées avec notre passé, derrière (ici) la paroi du roc . On est passées = on a frnchi = on a traversé = on a creusé = on a conclu = on est nues ! nues de base ! nus du cul ! on aime aller (nous) nues grave ! on adore aller nues de base, cul nu, vers (on dira) l'au-
delà , l'au-delà du cul ? pourquoi p as ? après "le cul" il ya ça , l'au-delà des aâmes , armes, bras, charmes, gravats, cendres, à toi à moi la voie du passage, passage de l'antre, l'intrioduction dans une sorte de cloison qui serait comme une sorte de rotondité ou même enclave des Passions ! On est = on est nées ! voilà ce qui est ! je (on) suis (est) né (es) = je suis ... ce jambon ! cette domination ! ce trait = on ! homme des contrées "du bout du monde". Quand on naît homme dans la vie (jambon) on meurt en tant que femmes des données célestes (fées, en vrai, aux deux ailes). On nait Homme (premier temps) , on meurt Femmr
es (deuxième temps) . On renait ... (tyroisième temps) vive clarté, chant montant, vie des vies comme sourdant d'un puits ! vie vive = eau vive = paradis = vie des vies = chants de vie = vie ! Vie = vive animalité sacrée ! On est comme entrées d ns une roche, tête première. On est nées sur hrerbe ok , à présent on sepromène. On veut dire et toucher, mais pour dire et toucher il faut sonder ! coller ! cerner la roche ! szi possible (préférentiellement) à deux !
aller
à la rencontre du feu, de la vive clarté, des données allouées à une sorte de cloison et à son derrière, à ce qui est derrière (en vrai) cette cloison, des données rupestres dernières. qui on est en vrai ? FÉES ? qui sait ? ELLES ? hé ! peut-être en effet szommes-nous elles , elles aux attraits ! on est (homme) femmes cachées ! homme de la vie avant le pré ! femmes de la vie après le pré. Pré = pré-ambule = pré en bulle = pré comme enclavé ou comme qui diraéit muré, entouré, encerclé par un muret qui fait du pré ce pré nacré, cerné, comme touché ! On est des bêtes-FOI ! rage des parois ! foi en l'au-delà de base : la paroi = la parolr !. La parole en soi "porte" la foi comme la foi en soi "porte " la parole : "à toi à moi" ça sonde ! ça y va va ! ça charge gravze ! grave ça y va ! on entre ! femmes entrent ! femmes des parois entrent ! femmes de la foi dans l'âme ici, de l'au-delà à la paroi ! On est des femmes szous paroi, o, est comme soudées à elle , et nous (entre nous) p areil. On est vivrres ! herbe ! mangeailles ! offrandes ! vives et vivres (ou vouivres) ! quoi ? on entre ! On entre par la bande ici animale de paroi. On entre par le ventre" ! On entre grave de face !on pousse ! va ! colle ! fonce ! foncefissa ! va ! colle ! essaie donc de comprendre ce qui est qui est là devant toi qui ose , quoi ? te donner du rose !
du doux dit anuimalier ! chose nouvellement né et comme déposée sur rose ! On est comme nées toutes "chose" dans un pré sur une rose ! Nées sur pré ! on aime aller ! on veut toucher toucher toucher, on veut toucher toucher toucher , on voudraot toucxher toucher toucher, on voudraiot trpucher toucher toucher, on voudraéit grave ensemble toucher toucher topucher à cette déité, des données de base, charge d'âme ! viva lacrité, charge mentale, solidiarité des nénés , chyant des bas (des bas fonds-) de l'âme. On entre ! RAGE ! Excentricité ! connaéissance actée ! fatalité ! colère sur pré ! on va vers Déité pour en vrai la toucher comme dans la rommance = "la toucxher, la toucher la rtoucher ...". Qui on est ? on est (dans la mort) des fées ! fées aux ailes nacrées ! diaphanités nacrées surnumérairres (célestes) allouées à un pré d'herbe ! collées ! On colle au pré ! tête dans l'herbe ! on aime brouter ! on est bêtes belles ou belles bêtes du fait qu'on est grasse et fortes et dures et ventrues et comme charnues. Vaches d'ambre ! on entte dans l'antre "farfelu (?)" des données du cul ! IOn aime ! oh, peut-^tre ... enfin oui ... le cul , la baéise des bêtes ... on aime le cul
et la baise nue comme des bêtes bêtes nues du cul ! On est comme Colère ! IRE à vu ! chant des grèves ! velues, ventrues, voulues ! On aime être nues dans un cimetière, merdre ! Comme nues ! = velues-poilues-cornues ! ça allège ! ça nous pénètre ! c'est couillu ! ça pue du cul ! c'rst bête et mouru ! On aime ! On est bêtes des bêtes ! on est comme nues dans un cimetière = pré aux herbes ! car la terre entière ne cherchez pas est un cimetière . La vie sur terre est un cimetière ! ici-bas est tout entier un cimetière ! la vie en soi (la réalité de la paroi ?) est un cimztière où l'omme et la femme ont
mouru ! à toi à moi ! ça pue du cul , c'est bath ! ça charge ! ça fonce ! ça fonce dans le cul ! ça danse sévère ! c'est couillu du cul et ça persévère ! on aime ! On veut toucxher dee fait les fées sur terre maie où et comment ? où sont-elles et comment s'y prendre si ta&nt est qu'on saurait l'endroit où pouvoir les trouverv (dénicher) ensembvle ! On est nées d'une sorte de rage à la bn ase, de base de rage. cri de la passion. Mirage ? SPIGOLON ? MIRAGE SPIGOLON ? SPIGOLON %IRAGE ? on est nées (de base) simple trouffion, gns de la base, sous-menton, petit pont, coquelet desz prés, ding dang dong ! On a&ime aller enbsemble à la rencontre de données de bout de pont, c'est vrai. qauand on aime il faut y aller ! il faut cerner, toucher, s'avancer, essayer de cernerv de près et avancer à reculons ou pas à reculons maisv avancer = en avancer ! On est un peu préssées ! on veut grave toucher, cette sorte (du coup) de déité, qui serait cette chose des données données : poison . fiction ? boisson ? poisson ? On est n"éées sur herbe d'un pré dit surnuméraire, pré-acté, pré)cité, pré)-caché, pré-armé, pré-indiqué.On veut cerner = dire, et pouvoir
écrire (ce dire) sur roche tremblante sous le feu des lampes ! vivacités !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! vivacités !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!ç!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! vivacités !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on estnées bêtes sur paroi , charges doctes, poids de roche ,; et nous vpoilà convoi en force traversant le temps, passé-présent, vers l'ombre ! l'ombre du tourment ! On ose ! on est comme deux qui , , doctes, voulons dire-toucher, la Chose qau'on connaiot ! l'ombre ? l'orme ? l'homme ? l'ambre ? l'âtre ? l'antre ? l'être ?l'entre ? l'entre-deux-feux ? Le paratonnerrre ? Le feu ? fils de ? commissures ? fille des fissures ? Fées ? On veut aller, comprendre (et cerner) la roche, dessiner etdu doup creuserr un certain nombre
de qauestions, ditesc"d'envergure" ett on sait pourqauoi ! ailes de papilons ! la foi ! la foi en ça : la chose du fond ! on y croit ! on ne croit qu'à ça ! on est bêtes du port, on entre, on voit, on comprend là que en vrai, on dirait, des choses se passent ou se passeraient dev anrt soi ! diantre ! fruits de la p assion ! on est comme deux êtres, dits bêtes (couillons, couillonnes) sur pré, et qu'est-ce qu'on fait ? on fait pitié ! va cerner ! ose ! compte ! foule ! vit ! chie ! colle à Roche des Malappris (les Hommes) et fous-la leur profond si tu oses , oses ! VA ! compte tes pas ! tu es né sous roche homme, te voilà née femmes en roche, deux femmes et basta pour toi ! ça le fera ! On est cxomme Betes de somme lambda mais zn vrai pas tant que ça ! Sommet des parois ! sommitées des sommoités qui le croirait ? FAME DES AR%MÉES DE L'ÄME ! on y croit ! on veut toucher paroi ! toucher l'arme ! fée des rois ! fées reines aux abois ou pas , car l'ombre est souveraine , va, se pose, là, sur un bras, charge, commande
, tue le Roi, et la Reine est enfin Première, Fée des Rois traqués la voilà Nommée Duchesse, dure-mère, collagène, veine, voix, voix de là = l'au-delà des Rois/ Ombre-homme abasourdie s'efface laisszant place à Reine Mère des Paérois des traces. On voit tout ça de face ! cxharge d'âmz ! chant total ! un parterre d'amês cforiaces : des bisons ! des buffles ! des cheveaéux de tra&it et autres vaches à léit . Vive la Na&ture des données tracées ! chants rocheux, pariétaux, muraux, sur pierre allouée à ce cimetière ! On est comme nées à la paroi d'herbe ! vivacités !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! vivacités !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! vivacités !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! on aime ! on en veut, grave ! on veut, grave, aller ! on veut toucher à cette déité, des p)arois des Rages, des données F&atales, vraies, ancrées, avérées; On est femmes (des prés) dans la mort. Mort -des prés de base, mort des données nées de la base. On est entrées . On voulait comptendre. On voulait vraéiment com^rendre ce qui est ici, mais pour comprendre ce qui est ici il faut a ller ensembleble, il faut tracer, cerner ensemble, tout faire ensemble, se toucher la main, monter , grimper, soit léviter ensemble, et alors peut
-^tre, en effet, on peut comprendre, on peuttoucher, on peut cerner , on peut allouer à une roche une romance, faire ainsi qu'une sorte de romance ici, soit (ou nous soit), donnée en vrai comme une dionnée, donnée des données. Quand on aime il faut tracer c'est un fait, et c'est ce qu'on fait. On voit loin là-bas les contrées, les choses de la foi, l'attirail, la roche dernière. Une sorte de clarté en fond de cimetière qui s&it ? on esa&ie ensemble de cerner de près toutes ces données mais en vrai la cxhoqse n''sst pas aussi simple qu'il y paraît car on doit pour le coup s'approcher au plus près et s'approcher près c'est risquer d'y passer à jamais et à dire vrai, on ne veut pas y passer, on ne veut pas s'y risquer , on ne veut pas se pencher, passer qui le nez qui l'oeil. On veut rester = demeurer en vie, le plus possible. Rester =demeurer le plus longtemps possible en vie de ce c$oté du pré ! On veut en vrai regarder mais comme,nt regarder sans trépasser ? là est la qauestion UNE ! O n le sa&it ! le but ! la charge rude" ! on s&ait ce qui est ! on est pas des bébész ! et mê'me on sezrait des bébéd qu'on saurait ! car , meme les bébés savent cette chose, d'une "fin de pré", d'une clarté, d'une anfractuosité, d'une sorte de passage fait exprès pour aller ensemble (femmes = fame) à jamais vers ELLE, lA clarté on dirait, l'AILE ! l'amportée , l'emportée des emportées . On aime aller ! on est AILES avant de naître et nous voilà comme re-nées et du coup à nouveéu Ailes (ELLes) de Fées ! on est comme re-nées au nez et à la barbe de la Souveraine Reine des COntrées Armées , Mort au Taquet. On est nées sur terre ce qu'on est qu'on ne sait (ce que c'est) en vrai, qu'importe, on re-nait dans la mort telle qu'en vrai on était ava&nt de nâittree, ava,nt de
nâitre sur terre, on renaît "à la une à la deux" ce qu'on était ou eut été ! on re-naît femmes des herbes, vaches sacrées, par la colère d'une entrée frontale par(iétale (à main levée) nous voici fatales ! Vaches sur pré olé olé ça gagne ! ça se dilate ! c'est fait exprès ! ça va aller jusqu'à la pa rade et après ... les nénés ? les "nénés de l(après " ? On se colle de ba se à une sorte de paroi de rage. On est cotées = aimées = reconnues en tant que telles : vaches sur pré ailées !c 'est dingue ! on aime les fées ! les ailes ! les vaches à laéit sacrées ! les données pre"mières. On aime aller tête première, toucher déité, cerner et voler de nhosz propres ailes et monter vers la lumière. Qu'est-elle ? celle d'une fée clochette ? d'une
allumette ? fée aux allumettes ? On voit la clarté on dxirait mais est-ce ? et si c'est , qu'est-ce ? une caisse ? une sorte de pet ? fumerolle fumatière fumée ! On est bêtes des prész allouéesz à une sorte de parade gigantesque, parade sur pré gigantesque elle-même allouée à une szorte de donnée des rages aniùalières, elle-mmeême allouée à une sorte (on dirait) d'aubade ! on entre ! entrons (ensemble) ! toucheons ! touchons à cette face offerte, ce visage de la foi, nez, barbe et menton, front des bords, casque aux abords, yeux mieux , langue lourde , poils ! ON cherche ! à qui ça pourrait ressembler (la mort). On est proche qui sait (?) de cfomptendre et de trouver, mais encore non, on est sur un chemin de vie, on profgreese de folie mais, ça file à une vitesse !!!!!!!!!! va comprendre = cerner = te poser ! c'est pas ghagné ! on est entrées en se tenant la main (deux mains) , à présent on aimerait aller plus loin , dans les connéissanxces (concer nant la mùort) mais aussi en cette roche des parois profondes, roche de rotonde ! mur d'enceinte sous le vent des ombres /
murs d'enceinte sous le vent ! On monte ! on grimpe vif ! On est accoléesz prêtes à traverser l'utlime "donnée" allouée à un muret (dit "de cimetière" ou " du cimetière qu'est la vie" ou du "cimetière de la vie" ou xd"u cimetière-vie"). On monte ! on grimpe ! on fonce car on a des ailes ! on est mort homme , on renait (dans la mort) ailée cs'est un fait ! charge d'homme ! femmes des prés
= vaches sacrées = chants de roche = vivacités = optimum des donnéesz allouées à une Vérité gravée ! On enttre ! on commande ! on est bêtes des prés ! On mate ! On = homme = femmes = bêtes allouées à une roche docte (ou dite "docte" car en vrai pleines de données) . On est comme nées ensemble par la bande animalière d'une sorte de parole "sale" ! va comptendre ! qui sait ? qui comprend l'ense'mble des données de fait ? des données cde rage dite "pariétale" à jamais ! qui ? "L'plombier" ? lxa bête gravée ? l'antilope zébrée ? la lionne des cavernes et des bois et forêts ? le (la) bouquetin (tine) ?La buflette rameutée ? la bisonne chargée ? la bête de somme (NOUS° sur pied ? On est ce trait de rage dessiné ! mains surnuméraires souffl"ées, bêtes raides ou nacrées, cernées ou effleurées, tracées au fusain ou gravaées de près ! lévitons ensemble ! allons ! faisons fi des contingences ! lévitons ! Soyons doctes ! savantes ! savantes fées ! braves fées des prés, dessinant à main levée la Chance ! le sommet ! la chance au sommet ! On est femmes nées d'une sorte de parade sur paroi naissante, on est allées, on a touché, on veut aller plus loin comprendre davantage, de ce qui est dans ce qui sexprése"nte. On est Fées des entrées de face ! charge frontale ! de la corne et des na&seaux on entre, fatales ! Bêtes des
prés ! Bêtes-mots de Rage ! on passe ensemble de l'autre côté mais va comprendre ce qui est, en ces lieux dee contrebande, soit de bande et contrebande ! on est nées homme au singulier (singularité) ion meurt fmmes (données) au plriel ( sommités des sommités = Fame agréée). On meurt homme, on re-nait femmes (en tant que femmes) dans la ùmort. fe"mmes = fame = sommes.. Amês -sommes ! Somme des sommes. NOUS ! SOmmes = NOUS ! car NOUS = sOMMES ! des sommes (bêtes de somme). On est femmes des prés ayant traverséees comme à la parade la paroi ! parole-paroi ! choix des rois -reines, chose des données concrètes, fruits, offrandes, près du puits, choses déposées sur une branche, données dites "données". Quand on éime en vrai c''st mieux de s'en
aller ensemble vers Déité (fonfd
du pré). On veut aimer ! sur une roche szur un templiezr ! sur une chose donnée des donnée, fruits de la passion, colère de front, mots des cherche-m erde ! On aime ! on aime grave ! On veut toucher la roche lointaine à jamaéis soit ne p âs trépasser; mais pour cela on doit s'aimer ! s'aimer nues par terre, se lécher le cul, les glaires, les parties charnues, les données imber bes, les joues et les orteilles. On est nues de cul ! "szous le verbe
", "sous l'emprise du verbe ", "sous l'emprise notoire , commune, allouée, du Verbe". Soit : fortement conditionnées c'est un fait ! femmes comme agrégées, comme accolées. On est femmes accolées dans un pré, par terre, nues velues, on s'aime, c'est le pied ! on aime sw'aimer = se toucher = se renifler = se lécher = se mettre / On aime SEX ! Sex ancré ! sex et autres animéalités de conserve, sex acté, sexe vendémi&aire ! charge allouée à du sexe de pré ! vivacités
!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!ç!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Qui on est ? on est bhêtes des prés, souveraines reines, femmes au débotté, nues et velues, voire méga-poilues même du cul, ou moins du cul mais quand même en vrai pas mal poilues, ailmleurs imberbe, bêtes vues, bêtes-mots de rage, bêtes-mots disant la rage d'être connues, vue-connues, bêtrs vues et connues de cet te sorte d'hurluberlu des données finales ou terminales .
Qyui l'eût cr(u ! L'ombre sur la place ! Ou sinon ... le rût ?
la charge-
dard ? Qui ici sait en vrai ce qui est ? On est montées ensemble ici le long de la paroi à la recher che d'une vérité qui fut de bon aloi, de belle densité, de bon rapport, de belle tenue si jama&is. On aimerait compre"ndre ensemble si possible un maximum de choses, de données, des données comme s'il en pleuvait on voudrait ! On est nées vel ues et poilues, pa&rce que oui ... chevalines on est ! ou bien .... bouquetines ! ou même léonines ! On est entrées en roche ense'mble à la une à la deux au pas
de charge, et une fois entrées, on a cherché ensemble à pour le coup nous rapp^rocher d'une sorte d'anfractuoisité de la paroi finale
dans icelle roche des données finales, mur d'enceinte tout du long où qu'on reg arde ! piston ! ça commande ! on voit très bien le rond, la rondeur de base, muraille-muret, féisant cour (courette) d'intériuer pour a&insi diire (une szorte de jardinet). On aime ! on aime grave aimer ! on aime aller à se porter, à s'allonger, à se coucher , près d'une fée on dirait (on dirait une fée ). On se couche près de la fée. On aime les fées. On est mort et dsu coup on s'est rappr(ochées d'une sorte de fée allongée. On est vaches à laéit dans la mort ! qu'on se le dise ! on est comme en vrai des vaches à lait aéilées ! on vole ! on s'élève ! on monte ! on grimpe ! on est nées actées sur herbe allouée à un pré, nous voici devenues toutes légères, celetses , celtes / célestes.En vrai célestes !
on volette ! On est nées sur l'herbe, on se lève, on s'élève ailées (vaches-fées) , et voilà : on grimpe les diverses allées, les di vers niveaéuxs, les hauteurs nacrées, les traéits ! On est vaches reines souverazines qui aiment grimper pour aller tracer ! on aime ! on aime aller ! ion veut tracer ici ou là des bêtes des prés afin d'amadouer (on le sa&it) qui de droit qui se reconna&itra on jurerait ! On est fées et vivacités ! vivacités et fées ! fées des vivacités ! Gentes viles fades fe'mmes ? des sorcières-fées à jamais ? du balai les commentaires ! on est M ! M comme Mort ! on est fe'mmes allouées à une mort dite "de cimetière" mais en vrai c'est .................................................................................................................................................................... eh bé ...............
faux ! fausse donnée ! contre-vérité allouée à des traits gravés ! On est fées des données sages ! on est accolées à une rage dite "des rages". Pas sale forcémént, ni maussade obligatoirement ! On est fées des prés, ailées (vaches saoules) , on monte et on descent ! on volette ! on va et on vient ! on est en haut , on est en bas ! le troupeau, l'herbe, les fleurettes, puis, plus haut , le ciel, le bleuté, les nuagess cuivrées. On est bêtes aimées, on volette. On aéime voleter. On adore l'herbe des prés, mais aussi les nuées, le ciel bleu, les rayons dorés, l'ensoleillement lunaire, les contrées célestes. On est nées sur roche a&llouée à une sorte de cimetière des données frontales (animalités) et on avance ! on en
avance ! on creuse grave ! on veut toucher à cette déité frontale auxd données cruciales ! on est n,ées fades (homme) ion meurt moins fades (femmes) : est-ce vrai ? car, si fée = fade , alors fée = folle ? On colle ! on est collées ! collées à la roche des données données il semblezrait ! On veut toucxher = on veut aller !, faéire-dire, ne pas sombrer mais comme travezrser lultime roche dite "des données profondes". Rotonde. Rotondité. Mur d'enceinte. VIvacité. On est comme nées (appelées) à re-naître dans un pré, au-delà ma foi, cerner, toucher, passer. qu'est-ce qi'il y a de l'autre c^té ? une voie d' accès vers une déité doonné. une sorte de âssage à tout jamais vers une déité. Cette déité est nacrée et sacrée. Elle porte le nom non deson père mais de sa mère, dure mère. Elle porte le nom d'une sorte de .. dure)mère, cervelet, pie-mère et autres corps calleux dénichés ! Qui c'est ? "c'est l'plombier" ? pas en vrai ! plut^ot le passé ! Le Passé des offre allouées ! ässé docte = souveraineté des données tracées (aurochs et bisons, buffles et buflettes, chevales amaozzones, crins des crêtes, ourses et lionnes, gens des fronts, b^$etes sales). On croit mourir de front, on se retrouve charges d'âme ! On est homme à l'unisson d'un temps de façade, on meurt femmes fractales, déployées, déplissées, désarmées, calmées, sondées, dédouvblées , dépliées. On est pour ainsi dire devenues, ren mourant, femmes , ouplutôt "des femmes", soit deux femmes, à la une à la deux, qui (en vrai) se tienne,nt par la main , ou se donnent la méin, ne se lâchent plus (pas) et
avancent ! on est femmes de parois de choix ! on est entrées ens"mble comme p ar la bande . On voulait re-naître , c'est fait ! on voulait "se retrouver" ! c'set fait ! on voul&it revenir comme, en arrière, au temps donné d'avant (la n&issa,nce sur terre) on va dire que c'est fait. On voulait revenir een a&rrière = au temps bébé ? bé peut-êtte ! La mort serait ce temps (dès lors) du bébé retrouvé ? la mort en vrai seraéit ce temps du bébé sacré ? La mùort seraéit en vrai ce temps sacré du bébé acté ? La mort on dirait serait le temps d'avant , d'avant notre nniassance ? On est comme allouéesz à une sorte de donnée rupestre, de type : anfractuoisité par laquelle on peut passer ou on pourrait
p asser ense'mbke, à toi à moi, hop ! on entre ! on est entrées ! on est da,ns (sur) le pré ! on est au milieu des b$etes, on broute avec elles ! on veut grave en vrai leur ressembler si
ta,nt est. on est bêtes des prés comme elles ! on mange l'herbe = le verbe (qui sait ?) . On est bêtes des prés, cernées, cerclées, entourées, encerclées par, autour de nous, une sorte de muret ou de murette, de cimetière (rotondité = enceinte) qui nous pléaiît sévère,nous fait grave de l'effet, semble nous appeler, nous entraîne à nous en rapprochezr pour esszayer, qui sait , un de ces quatre , de le traverser (le muret) ou bien la traverser
(la murette) à jamais (genre : j'y suis j'y vais !) et du coup : cerner = comprendre = allouer à un ciel donné une romance d'éternité, hé hé ! on dirait !
9/3/2022
Nous devons comprendre ensemble ici m^eme ce qui est de tout ce que l’on voit. nous devons toucher la roche ensemble. Nous devons ensemble , vite fait, toucher la roche. nous devons comprendre ensemble ce qu’elle est pour nous, ce qu’elle repr»-ésente, ce qu’elle est devant nous qui nous approchons d’elle vivement. Nous devons aller vers elle ensemble et, ensemble, la toucher. qui est-elle en vérité ? que dit -elle ? que dit-elle à ceux et celles qui l’approchent ? nous sommes ensemble qui allons en vrai vivement vers elle avec un but précis en tête, ... celui de la toucher, de nous incruster en elle = de la perforer, d’entrer en elle comme deux moineaux rentrant tranquillement au bercail ou quelque chose de cet acabit. Nous devons toucher la roche, nous glisser en elle, la pénétrer (incidemment), faire ainsi que nous fussions dedans sans trop tergiverser, comme deux oisillons qui rentreraient au nid après quelques heures de vol plané. Nous sommes deux qui cherchons ainsi, à retrouver l’endroit connu de nous : ce nid ou bercail, cet endroit d’une couvée, ce sein des seins. Nous avons ici cette chose à dire comme quoi nous sommes deux à chercher cela, qui est de, nous, nous retrouver chez nous ou comme chez nous, soit ici même = nid = paroi = temps. Nous devons ensemble (c’est important)comprendre cette chose, d’une sorte de retour à des valeurs ou choses de valeur ou bien comment ? à des endroits ? à des lieux précis , qui sont lieux d’un passé ancien qui nous a vu naître. Nous touchons ainsi à des choses passées qui sont pour nous du coup essentielles et que (de fait) nous cherchons à déposer sur roche incidemment chacun chacune sa façon ou sa méthode. Nous nous approchons d’une roche en continu. nous nous approchons ensemble d’une roche des temps en continu et sans sourciller. nous sommes deux pour aller en cet antre des destinées, des tracés de vie. nous sommes ensemble qui cherchons à entrer ici dans le temps. Et pour ce faire, nous devons impérativement nous donner la main, ne pas s’éloigner l’un de l’autre, avancer ensemble et garder le cap. nous devons ensemble toucher que tu toucheras la timbale du temps déployé. Nous devons comprendre ensemble ce qui est, ce qui se présente, ce qui devant nous pointe son museau de tanche, etc. Voilà qui est dit. et du coup comment s’y prendre ? eh bien facilement, facile, il faut agir, il faut placer son pied puis l’autre devant soi ! il faut actionner les membres ! il faut virer de bord et plonger en avant vers la roche et la pénétrer et passer à travers elle,; et se retrouver ainsi ayant traversé. je suis là ici pour aller dedans avec toi. je regarde les alentours. je suis cet homme qui ici est là qui regarde les données de base déployées. ce sont des bêtes-mots de race, c’est un fait. ce sont des bêtes-mots de rage dure, on voit ça. il faut toucher devant soi cette chose d’une sorte de paroi des temps = le dur de la vie rustique. nous devons percer ensemble la roche des temps et nouds retrouver dès lors de l’autre côté
. nous avons cette chose à faire ensembkle. nous devons ensemble aller et dire-toucher, aller en roche et toucher-dire son fait, etc. je regarde autour de moi et je vois des choses qui remuent , qui xemblent de la vie en vrai
: en est-ce ? est-ce de la vie en vrai ? est-ce cela ? est-ce de la vie vive flamboyante ? ou bien succédané ? faux-semblant ou simulacre ? je ne sais que penser en vérité car on s’y tromperait facilement c’est sûr ! alors comment savoir ? nous nous approchons de cette chose dessinée à main levée, il s’agit d’un cerf aux bois majestueux. Nous voulons comprendre ce qu’il représente aux yeux de la mort-dieu. qu’est-il de plus à ses yeux ? que doit-on penser à ce sujet ? je suis homme qui cherche à comprendre vivement, à l’intérieur du temps, les données données de base, celles-là qui sont sous-jacentes à une sorte de prése,nce devant soi, présence pleine, présence corporéifiée, etc, qui est cette bête, qui est ce cerf des prés et prairies. Nous sommes ensembkle qui voyons ce cerf de roche dure. nous voulons comprendre ce qu’il représente et qui il est vis à vis ici du temps déployé, etc. Nous aimeriions comprendre ensemble (ta main dans ma main) ce qu’est ce cerf de rage, aux bois de charme, vif et racé, bel être des forêts du temps déplissé : qui est-il pour notre gouverne ? et qui est-il pour cette déité nacré des lieux consacrés ? nous chezrchons ensemble x réponses à même la roche. Nous voulons comprendre ensemble cette chose d’une roche des temps habitée ou comme si. nous voulons comprendre ensemv$ble cette chose d’une roche du temps havbité par (on dirait) des êtres-fantomes, des figures, des tracés etc, qui xsemblent plus vrais que nature. c’est étrange et ça nous surprend. nous voulons comprendre les données offertes par la bande dite langagière d’un parler inculqué en nous depuis la nuit des temps; nous sommes ainsi qui allons pour le coup chercher des répponses en ce sas de roche dure (= la vie) mais comment trouver ? comment faire pour trouver quand le verbe est comme accolé à nottre gouverne et ne s’en laisse pas conter ou comment dire ? renacle à nous lâcher ! renâcle vivement à nous lâcher la grappe ! car, il est cette chose ici, que donc le Verbe est accroché à nous ... par la mort ! eh oui ! le verbe en nous tient à nous par l’entremise de la mort (en nous) à l’oeuvre, c’est vrai. je regarde ici et là avant de traverser la roche mais le fait est là , que le verbe et la mort sont comme en ménage, et ce depuis le premier jour ! Nous allons en roche trouver des réponses à cet état de fait mais le fait est là que verbe et mort sont associés dans cette sorte de croyance inhérente à l’être, et qui a des ramifications nombreuses, en nous, comme ... cette chose de la foi en son propre langage, comme ... cette chose d’un e foi en nous incarnée par le verbe inculqué; je suis homme qui vient et va sur roche à la recherche d’une vérité qyi
puisse nous donner des choses de poids en retour. il s’agit pour moi de cerner au mieux , la qUeswtion des cerfs (royaux) de rage gambadant comme à la dérobée, sur champ, sur praierie, sur pré vert , et nous regardant aller et venir autour de lui. nous devons toucher sa pelisse, et du coup changer, nouys transformer, devenir des alliés ou ses premiers alliés. nous avons à toucher la pelisse du cerf aux ramures et autre bois dorés; nous devons toucher le cerf, devant nous, dans ce temps pariétal aux e,ntrées diverses. nous sommes deux. nous nous aimons. nous copulons sious l’oeil de ce cerf aux
bois dorés, sous l’oeil de ce cerf qui semble malgré tout nous ignorer, ne pas faire cas de nos ébats endiablés. Nous nous approchons d’icelui afin de toucher ensemble sa pelisse douce (rêche ?) et de nous rendre compte de «sa vérité» en tant que bête-mot de rage pariétale temporelle. Nous devons comprendre les données offertes par la ba nde dite langagière, et ce : en passant, «en passant je passe»»», on avance. on va de l’avant. on cherche vivement de belles réponses seyantes, qui aillent pour le coup au mieux avec nottre gouverne, avec ce cap de roche en nous. Nous voulons ensemble cerner, de fait, les données de base, qui en roche nous regardent ou semblent ainsi nous regazrder voire nous faire des signes, nous appeler. je tombe des nues. Je suis cheval ailé. je me transforme volontiers en une sorte de cheval ailé. je suis homme nu, homme vif, homme-cheval nu, je vole. je suis cet homme nu transformé par la bande en cheval ailé qui (du coup) s’envole vivement, monte que tu monteras et franchit la roche (oup !) et ainsi se retrouve, dès lors, de l’autre côté, à regarder ce qu’i s’ y trame de concret à regarder. je vais et je viens. je suis nu-cheval. je voleque tu voleras. je suis cheval de rage. je suis entré en cette «roche ouverte» des temps impartis et me promène en lui comùme (qui sait ?) l’animal , l'animal de compagnie d’une déité assoupie. je cherche à comprendre les données de base, ce que c’est, ce qu’elles sont au juste et en quoi elles pourraient nousv être utiles. je veux être celui-là qui trouve incidemment, dans le temps, des choses de poids = des bisons de foi = des aurochs de contrebande etc, à pouvoir afficher de front et pour lesquels nous pouvons nous bazttre, nous placer en cette chose d’une sorte de riposte à ici offrir en quelque sorte à un dieu narquoi s qui ne nous lache pas d’une semelle, qui ne lâche pas la garde et nous enquiquinne prodigieusement; nous voulons toucgher la roche et aller en elle . comment faire ? en parlant continument ? en regardant ensemble les bêtes de rage que donc celle ci (de roche) contient ? en nous agenouillant à ses pieds ? en faisant quoi au juste , nous voulons ensemble toucher la pareoi et comprendre de fait ce qui est en ces temps (de vie) à venir qui sont rocheux autant que divins. nous parlons de choses en vie et aussi de la mport qui est ou serait en ménage, avec, en nous, le verbe seyant, le parler de base, cet habit de bure;. nous voulons toucher à cette chose d’une sorte d’habitus de vie parlante, ou de vie prise ainsi dans l’étau du verbe. Nous voulons toucher le verbe : le toucher fissa = le contrer par la bande dite temporelle afin de faire ainsi qsu’il se sentît piégé. Je cherche quotidiennement des choses neuves à formuler afin d’en avancer au mieux sur cette voie, d’une sorte de vérité à devoir cerner ici ensemble. nous voyons les bêtes-mots se déplacer, en avancer, courrir, aller et venir sur roche. Nous voulons comprendre ce qui est ici en cette roche dure du temps alloué à une vie de base rrageuse. Je vais loin en elle. je m’enfonce en elle. je veux ou voudrais aller loin en elle et loin trouver ce qui est qui est la fin des choses de base ou plutôt ... la fin de ce lieu, de base rocheuse, de ce lieu ancré, de cet antre aux données premières, de cet antre aux douces données dites «de base». je cherche. je suis lancé dans un programme de recherche «sidéral», qyui me voit de dait toucher la timbale (la timbale ?) du temps à même l’espace (ce lieu ici des prés, des chzamp d’azur). Je cherche à cerner lkes données priimaires. je veuxcx comprendre ce qui est. ce que c’est que cette chose nommée , qu’on appelle «mort». quoi est-ce ? la mort est un mot, de base, inculqué, alloué à du verbe nacré, et déposeée sur roche des temps pariétaux. nous avons à trouver ensemble les mots de description fine et pour ce faire nous nous enchainons les uns les autres, nous faisons corps. nous avons à ensemble toucher la roche du temps, la percer de nottre pic de verbe (museau) et traverser. ayant traversé nous sommes accueuiillis (de l’autre côté) par une bête-mot des premiers instants de la roche du temps (xddes temps de la roche). nous disons : «oui !», et njous nous éloignons. nous allons plus loin à l’intérieur. il y a
un sas. il y a de l’espace dans le temps. et du coup deux temps = une entrée de rage , et une sortie ... vers de l’inconnu de bas-âge (?) ou autre. Nous voyons cette chose ensembkle (à deux) comme quoi la mort est cet espace en soi de conduction
, de promenade (?), d’entrée en matière , etc, qui nous tend les bras. dans la roche il y a de l’eespace où bon gambader comme un animal. soit un fond de roche qui nous interpelle vivement : lumière, fumée, ouverture ou échancrure mordorée, cris soursds ou bien est ce des chants ? des chants susssurés ? nous allons ainsi vers cette issue de roche , de roche des temps. nous sommes entrés ainsi en cette chose d’une sorte de pierre «acoustique». nous gravitons (gravons ?) sur roche. nous nous avançonds des données dernières. que voit-on ? nous voyons des fumées blanchhes. embruns ? embruns de bord de mer ? nous voyons de la buée, un souffle et le vent qui en vrai buffe à mort sa mort ventrale ! nous cherchons ! Nous voyons d’un trou sortir du vent qui est vent de rage ! nous cherchons ensemble à percer des mystères adjacents à une soorte de vie humaine terrestre. qui est là (roche) à nous attendre ? le vent sort de la bouche d’un zanfant ! le vent sort de pareille ici ouverture dans la roche = dans la terre. nous voulons ensemble toucher cette chose d’une sorte de bete de foi, qui est là devant nous, qui regarde notre /
qui regarde après nous et se pose (qui sait ?) des questions sur nous : qui sommes nous pour elle ? que cherchons nous à ses côtés ? que voulons-nous savoir ? où allons-nous d’un pas si alerte ? nous voulons comprendre cette chose en soi, d’une bete-mot faisant écran : premier palier . récapitulons : 1, la roche (dure) de la grotte à devoir traverser (cet abri rupestre), 2, la prairie de l’autre côté, avec ses bêtes. 3, les bêtes devant nous qui semblent s’interposer, bêtes-mots et mots de bêtes, etc. 4, le fond de la roche, l’entrée (la sortie ?) qui semble nous interpeller ou s’adresser à nous, nous crier de venir jusqu’à elle : pour quyoi faire ? voilà donc les données de base := 1,2,3, et 4; ce qui est ici cette chose d’une sorte de pazrcours de rage à mener à deux. sorte en soi de parcours de «rage à naitre» à une vie nouvelle (rocheuse, ancrée, aérée, vive, accompagnée, douce et soyeuse. nous voulons aller ici en roche du temps chercher vérité. la vérité est celle des monts. nous voulons comprendre ces monts ce qu’ils sont pour nous qui montons car nous montons , et même en fait de montée, nous lévitons, chevaux ailés nous
grimpons dans les nuages dessinés par les fumées. nous voulons en xsavoir long et toucher de fait cette fameuse timbale tant vantée et tant évoquée. nous sommes deux personnes (en soi ?) qui cherchons à co:mprendre un certzain nombre de données de base concernant une sorte (dans le temps) de passage à autre chose, trou de base, trou des fonds de roche, point 4. je cherche avec avidité. je ne suis pas venu pour m’amuser ou seulement pour m’amuser mais aussi pour comprendre ce qui est de ce point 4. Le 1 on comprend : traversée de la roche dure, au pic du verbe acéré. c’est ok. lee 2, c’est aussi connu : le pré, l’herbe, le foin, les bois, les sous)-bois, les bêtes gambadant etc, tout un paysage. 3, plus préciosément ces bêtes dites «de paturage» : ces cerfs de belle envolé, ces biches nacrées, ces betes-mots du premiier des âges de la création, ces mots-bêtes chevauchant .... la roche du temps. puis le numéro 4,ses données fumaeuses, l’à peu-près en son jeune, etc. nous voulons cerner le 4 plus avant (après avoir franchi, ensemble, les 3 p^remières étapes, stations, comme par la bande). le 4 est là qui nous intrigue fort. qu’en est-il de ce passage ouvert ? échancrure, oui. grotte des mille et une nuits ? peut-être. un passage en arche. aurore. nous cherchons. nous voulons comprendre et comme nous approcher d’une sorte de vérité du numéro 4. Nous sommes postés à cette même entrée de grotte. déjà le pourtour : de la roche dure, du sol en seuil, une musique sortant du trou , un bruit sourd plus qu’une musique ? une sorte de cri musical, ou de ... mélopée des profondeurs ? ça chante ? ça crie ? ça râle ? ça meurt ? ça râle son dernier soupir ? ça fait quoi ? nous voulons comp^rendre cette chose du numéro 4 au fin fond des temps impartis, ce que c’est. nous cherchons ce qu’est cette
chose rude, ce vent des profondeurs soufflant de plein fouet dans nos figures. quoio est-ce ? le vent de la mort ? la mort serait vent de face ? la mort est-elle vent de face violent ? ce vent pour nous fzaire chuter, nous renverser, nous faire reculer ? nous cherchons les mots car nous cherchons de fait à cer ner les choses ... et les mots de la rage, de la rage en nous, sont aussi là pour nous permettre un certain nombre d’avancées notables, c ertifiés et vraies. nous sommes entrés en roche du temps. nous sommes deux qui nous sommes introduites dans un antre (antre ou sas) temporel = lieu de vie. il y a là des betes herbivores (notamment). nous marchons et chantons sur nos passages. et ... au fond de pareille cavité qui est donc habitée, il y a (en 4) la paroi « qui recommence » = fortification ? Nous l’ignorons mais cherchons ardamment à comprendre cette chose d’une sorte de paroi nouvelle avec (encore ?) échancrure ici ou là en ses parties et donc passage ouvert pour une traversée nouvelle la tête en avant comme le bélier. nous ouvrons la porte (une porte ?) à cette sorte de maison de type rocheux. porte ou pas nous entrons, passons un pied et là... un vent de folie mes a mis ! une bourrasque ! le souffle de la joie divine ! un souffle mortel ! quel souffle divin ! quel est-il sinon celui du dieu des perditions ? nous nous confrontons à un vent fou ! nous avons devant nous (4) du vent, et ce vent est le vent des fous, car fou lui même et qui rend fou ... de par sa sorte de soudaineté, son âpreté, ses apprets, sa virulence, sa violence , son insoumission, sa dureté, son vacarme, sa musique des profondeurs. le vent de la mort est prégna,nt. il vibre vivement à nos oreilles et nous ferait vite chuter tellement il souffle. il s’agit d’un vent de face. je tombe ! aïe et re-aïe ! ça fait mal ! de tomber ça fait mal , ça peut esquinter! le vent continue de plus belle. il est le vent des fous. ,le ve,nt fou de la roche perlière, soufflant incidemment sur nous qui vouliiions en vrai braver son souffle, résister et en avancer sous la violence, ou du moins tenter d’en avancer grave. mais le vent est si violent qu’il nous fait tomber. et nous voilà qui sommes tombées? qui tombons à la renverse. qui ne pouvons pas tenir sur nos (2 ?) jambes car menus, nous sommes frêles, peu
costaud au demeurant, peu solidement arqué et impla,ntés. nous sommes balayés par un vent violent, souffle musical de rage sortant des entrzillkes d’une sorte de paroi de terre- mère. nous tombons car nous sommes frêles. nous ne sommes pas comme ces bêtes-mots ici présentes (aurochs et antil;opes, bisons et ours des cavernes) qui ezux-elles savent s’y prendre, p^lomber, tenir, et ne pas s’envoler de fait. D’où leur présence éminemment actée en ce lieu prairial de broutage et gambadement; l’aurochs et le bison tiennent debout (4 pattes) et ne s’en laisse pas conter si facilement : la mort peut souffler ou leur souffler dessus , qu(‘ils ne tomberont pas de sitôt. ils sont costauds, ils tiennent bon, ils sont solides et solidement implantés. je suis là pour comprendre les données rudes. les ponts . les jeux de mots et autres glisssements verbaux : qu’en faire ? qu’en penser au juste ? Nous aimons la roche rude , nous la franchissons, nous passons; Et après ? que voir ? échancrure avec bord de roche, ouverture dans du noir de jade. une sorte de conduit auditif interne ? oreille perlée ? boucle ? Nous nous sommes rapprochés de cette chose devant la paroi, la paroi du 4. nous
nous sommes rapprochés et nous écoutons ensemble ce chant de la roche des temps, roche profonde des temps alloués à une vie humaine «entière». Quii est là (en roche : temps) pour nous indiquer les chodses à devoir comprendre en premier ? mots de roche = verbe assidu = vif de paroi = meuble. je cherche une voie d’abord en ce sas de bienvenu, près des betes de paroi dure (des aurochs, des bisons, etc) . comment comprendre ce qui est devant ? du temps ? le temps incertain des roches gravées ? le temps ici est une sorte de donnée à bien considérer. le temps est une donnée rude à p^rendre en compte incidemment et sans tarder car le temps est money et aussi ... des mots ;déployés, ruban des prés, chair vive aux tourments. nous vcoulons toucher kla timbale du temps et pour cela, nous devons nous approcher ... de la vie sensible, la toucher verbalement mais en vrai la toucher, et tout de suite après entrer en elle, faire place nette pour «s'y mettre» un temps. je vois dans la roche du temps car cette roche du temps est ma boule de cristal pour ainsi dire. je vois en cette boule de cristal des choses de pooids, qui s’avancent : biche, antilope, a urochs, lions, chevaux. je vois en cette roche-boule sas, choses de poids = bouquetins-verbe. Je vois loin car je vois d'ici le paysage intégralement ou pas loin. je suis cet homme qui voit, dans la roche du temps alloué, des choses. je vois dans la roche des choses. je suis qui vois dans la roche des choses. je suis là qui vois dans la roche des choses. je suis là qui vois dans la roche du temps foultitude de choses. je suis là qui vois dans la r-oche du temps une grande moisson de choses; je vois cette bete de joie arriver vers moi; elle porte un nom. son nom est inscrit sur roche en touteszs lettrrees. je connais son nom. il s’agit d’un nom ... de bête sauvage.ici son nom est, qui est inscrit sur roche du temps. je suis cet hjomme des parois dit «de la base (mort) et du sommet (vie)». je tombe ou tomberais à la
renverse dans un bain de sang de roche . je suis une bête. je suis cette bete des parois du temps, bête-mot de première instance, chaleur vive du rut animal. je fais impression avec mes cris de rage cérébraux ! j’hurle à la mort comme le furet, comme le gnou, comme l’antyilope . je suis homme-bête avide , qui va-vient sur roche placide, vif, colérique, mortel. je cherche un e,ndroit où pouvoir de fait me déposezr diligemment sans gêner personne. je suis pris ainsi entre deux feux de rage, deux parois pour ainsi dire ou est-ce la même qui fait (ferait) le tour de la penndule ? de la quoi ? Car la roche 4 est toute semblable à la roche 1. c’est ça qui est étrange ! 4 et 1 semblent appartenir aux mmêmes fortifications rupestres, même zone des tourments, continuation paysagère. je regarde. je syuis penché ainsi sur la paroi de base = mon écran aux données de base. je veux trouver = toucher. car trouver = toucher. et inversement ? toucher = trouver ? je chercjhe rudement à traversz ... une sorte de paroi comme d’un écran ou comme du cristal de belle remontée. Je suis chercheur-voyant en colère, qui fouille la plaine, vaille que vaille, à la recherche d’(une bête de bon pôids pouvant (face à l’adversité venteuse) faire potentiellement l’affaire (on l’espère fortement). qui pour venir ici nous rendre service ? un aurochs ? ce sezrait parfait. un aurochs en colère encore mieux. qui bravât le temps du vent montant des profondeurs. je suis penché de fait sur la zone des vérités et cherche à co:mprendre ce qui est ici en termes de données vives, rustiques, rudes, clairvoyantes. je veux être là pour comprendre de plain-pied. je cherche ainsi à me placer de telle sorte que voilà j’arrive à trouver des choses diverses, des donnéesw de base, dires directs, chants de base, ou bien chants de la base, etc. je m’approche de pareille roche et la traverse et là le champ (à perte de vue c’est doux !). je vais pouvoir comprendre enfin un grand nombre de données données et du coup soulager les gens de la suite. je compose. je suis l’ombre de la roche rude, je suiis ombre sur pied, ombre «montée»,, chevvauch»éée de rage en termes d’élans rupestres. je cgherche une voix pour moi l’attrapper, la prendre au collier et l’adouber pour l’imiter. voyons : je suis entré en roche et me voici qui cherche à cerner, un grand nombre de données à explorer concernant telle ou telle personnes ici (roche ?) présentes, à savoir : petit a, la bête. une bête de poids bravant la bourrasque du souffle divin (= de la mort) et aussi , petit b, la bête-mot, qui est grosse d’elle-même et pèse son bon poids d’incandesce nce. je regarde à travers la roche, vois par transparence des données à étudier de près. je suis bien placé pour ce faire ici. je veux toucher des choses en vrai et les comprendre
1 par le toucher,
2 pzar la raison, etc. il y a à comprendre un bon nombre de choses de poids, il y a ici à comprendre moultes et moultes choses qui pèsent lourd dans la ba lance des données de base à la vie sur terre et au delà. je comprend ce qui advient avec lmes mots qui sont mots de base, de rage dure, de concert. je compte les piedsq; je cherche à toucher une roche dure. je vois la roche devant moi : animaux de compagnie. biche des prés, biche ma biche, biches soulevées et a ériennes sous mon oeil inquiet. va t elle retomber comme une merde ? non !!!!!!!!!!!! oh non , que bambi vole , continue, mais ne tombât pas de grâce ! telle est ma prière du jour évoqué par la bande! je m’avance et cherche à comprendre qui est là, qui va là, qui est là en ce sas de rage à être vif: qui ?. car la vie est vie de belle envolée de lyre, belle rage à déplisser devant, tourniquet, attirance de roche des prés. je vais voir du paysage pa riétal et je reviens. je ve’ux voir icelui en pied ou sur pied. je ne déses père poas d’y arriver fissa ca r je suis plus que motivé, je suis pris par la douce folie d’alller chercher devant , moultes données de base censées pouvoir toutes nous éduquer et nous inddiquer le bon chemin pour trouver où aller ensemble. je me vois ainsi prezndre ce chemin de belle vue, trouver de quoi devant moi comp^rendre, trouver belle de rage, la brebis, la bête, be^te-mot de rage accouplé à la bête en vrai surnuméraire. je regarde et vois icelle qui gambade sur pzaroi. elle a fort à faire. elle ezst belle des rochers (appelée telle). elle en jette ! elle est vive et va loin devant nous nous indiquer pour ainsi dire la voie de l’envoi. hje suis derrière elle, je la suis patiement et gentiment. je veux la com^prendre et e pas la rater. je veux
comprendre ce qu’ellle est pour moi, l’animal qu’elle est en soi (en elle) et cet animal lui parler en toutees lettres; qui est-il en elle ? que suis-je aussi pour elle ? est ce qu’il me comprend? connait il le verbe ? est il lui-même du verbe ? est il du verbe lui même pour moi ? a-t-il en lui ce verbe des parois de roche ? qui parle pour lui ? qui parle pour moi ? où sont les données de la rage d’être ? où donc sont passées les gazelles de la rage à être l’animal des prés ? je chante à tue-tete et ce faisant je ne m’en laisse pas conter outre mesure car je suis un homme de la roche dure. dure des dures. je fouille au-devant le temps : il contient le verbe = la mort. car le verbe est le verbe qui parle pour dire la mort et, dès lors, combler ce trou de bouche-mort qui devant nous se montre à nos yeux ... d’enfants baba. la bouche de la mort ! la bouche de la mort ! oui ! ici même ! devantt moi ! la bouche de la mort en position 4, quand la notre (de bouche) peut-être, depuis l’intérieur de nous, est en position 1 ? comment savoir ? comment faire pour comprendre enxsemble (qui, ensemble?)? Pour comp^rendre il faut toucher la roche = la mort. pour toucher la roche il faut être mort or merdum ! merdum grave ! je veux pas ! Qui veut ? certtains veulent mais pas tout le monde, c’est la loi ici qui dicte son vouloir de base... ou pas, soit le bon-vouloir d’icelle à nos côtés; mort = vie moins le passé ? Ou comment ? je cherche asssiduyment, je suis qui cherchecherche vivement en cette roche devant moi , qui semble vouloir me pa rler, me dire des choses. parle-moi la roche ! qu’as-tu à me dire en termes de données de base vive ? la mort est l’endroit de roche dure à même de te présenter à une déité rocheuse de base rupestre. la mort est devant ... en roche déité. la mort est déité ... qui se loge en roche = sas. qui parle quand je parle en vérité ? qui en moi prend la parole et ne veut pas lâcher pour ma gouverne ? qui parle incidemment son parler des embruns et des nuits de pleine lune pariétale ? je regarde. je suis vif. je comp^te les points de roche frapp^ée. je suis celui qyui veux trouver le pot aux roses et cherche vivement à toucher de chez toucher la roche aux serments
. je conduis le verbe à des dénouements rupestres. dénouements et dénouements et dénouements et dénouements et dénouements ezt ezncore d’autresc . fin des fins. je me plonge, a insi, dans la roche temporo-spatriale des dénoue:ments de toutes sortes (vies diverses) à kla recherche de la vérité des gens dee près. je m’applique; Je veux cerner. je dois cerner. je veux toucher. je dois toucher. je veux aller en roche, et trouver le pot aux roses, et c’est ainsi que je le fais incidezmment, entrant en roche par percée de vive voix (pic des pics) et là : voyance ! la voyance est profitable ! elle naît à elle comme du tourment, mais là indemne de méchanceté car la voyance ici a de quoi aller sans faire d’écarts ou d’écarts mal faits, mal pensés, mal venus, etc?. je veux voir iici des choses de la vie à vivre, et pour cela je dois aller au fond des choses, soit : de la grotte. dernier sas. chant des partisans. je tombe. je suis homme du mal-être permanent d’un être de base??; je me dois de lui venir en aide. je veux prendre ici le pari ... de pouvoir agir. je cherche une issue agraire. je veux toucher ici voix d’une sorte de chapitre à double entrées. ici nait la chose, ici même. je vois cette chose aller, venir, tomber,, être. je cherche une voix de base. je cherche une voix ixi qui donnera le bon tempo d’une vie nouvelle à vivre tantôt; je suis homme chercheur de paroles vives. je suis cet homme des paroles des tourments de vie à vivre ensemble dans le sas de roche des prés, des prairies nacrées, etc. . je suis devant la roche cgherchant des paroles adoubées qui puissent me donner de quoi toucher à une vérité profonde. je veux être l’être de la voix du monde collé à une roche. je suis dans le sas. je suis ici passé en ce sas de bonne roche à la recherche des embruns et des eff;uves, des cris souterrains et du vent moqueur. ici est cela qui buffe (souffle) et vous emporte au loin dans le sas des sas. parol:es dures ! colère en d’autres termes ! des col:ères. du vent. de la voix rupestre (stentor) en guise de contrechant ! on comprend, onest pas si bêtes,; on est là pour ça = la compréhension fine et racée, la comprenure fine et racée, la chose d’une comprenure assez fine et racée pour pouvoir en avancerr assez sur ce chemin des données rupestres. je comprend les données rupestres. je veux toucher ce qui est en termes de données rupestres essentielles? ce qui est devant est dans le sang. ce que je vois devant sort du sang ou provient du sang, du sang offert en offrande = le temps = le présent = ce temps déployé comme un ruban de confection (apprêts). je me loge en roche, afin enfin de pouvoir cerner ce qui est d’une sorte d’envol»ée massive de chevaux ailés à même la roche; en lévitation. curieuse solitude . je me
vois volant ! je me vois aller et venir en roche (sas) comme un cheval ailé voleta nt de fait vers la roche à traverser; je co:mprend ce qui est qui vient = ce cheval dxes certritiudes, des dxonnées dures = fiables = vérités des vérités. je cgherche à travers la roche à voir loin ce qui est qui semble arriver =advenir = se passer = nous rejoindre
= nous pousser dans nos plus vifs retranchements, c’est dit. car oui, la roche est pleine de données diverses : boule de cristal qui est, devant soi, l’espace de diffusion. je vois ça; à moi de comprendre. à moi de toucher par la bande un certain nombre de données vives et de les consigner illico presto sur carnet à souches, etc. Qui va me croire ? qui va suivre kle mouvement ? qui suivra le mouvement pendulaire d’une voix de rage inscrivant ce qui est, sera, ce qui surviendra, ce qui survient? Je dois peser les mots. employer les mots de rage avec a ssez de tact pour me faire comprendre et donner de moi (depuis moi) les informations nécessa ires oà une sorte de portrait cde charge à dessiner comme autrefois l’homme ou la femme des cavernes savait. l’homme en moi (des cavernes) veille , qui me voit tracer deva nt moi dxes traits de parade,, des traits fous de bonne taille = des portraits sur pied de bêtes massives. je suis là pour voir ce qui ici (boule, paroi, ombre) se dessine sous mes yeux. voici la chose enfin d»éployée, qui est chose d’un ruban des vérités de chance , charme, etc, sous le vent sortant d’une bouche ici dee la (ou des) vérité(s) de base. ruban fin comme voie d’abord. je cherche le nom noté, celui-là que l’homme-femme des parois savait, en vrai, reconnaitre sans forcer, car toute sa vie était en quelque sorte dans son geste menu mais précis. je suis celui qui voit la bête. je suis ici celui qui cgherche le nom de la bête. je suis cet homme cherchant
nom de bête endiablée. je swuis homme qui cherche à comprendre beaucoup , de ce monde rude des apprezts (de bonne venue) sur terre-mère. je suis là qui voit une roche, un cghemin, un passage vif, un terrain de prédilection = la roche rude = la paroi xdes ttezmps = lm’échancrure = la félure. je suis homme au vent. je me prête au je (jeu) du vent facial. en prends p;lein ! ouille ! vif ! ça pique ! tant pis/; pas encvie de pas ou de ne pas /
pas envie ou plus envie de ne pas y aller, de voir à reculer. je charge = je donne = je dépose = je pose = je nourris = j’asperge etc. Je suis l’hommê aux voix menues ou de base menue mais qui pour le coup savent toujours dire ce qui est de fait en roche pour la bande, voix menueszxsoufflant leurs dires de parooi percée. je cherche à me retourner et dire ce qui est que je cherche à voir (de visu) en cette roche aux aprêts. je veux combler le trou de bouche par du verbe: deux fois. ici à l’entrée = percée, et ici (:à la sortie ?) par une sorte de chose qui sezrait de l(ordre d’une sorte d’embardée votive incandes cente : feu ! feu de rage ! feu sur toute la ligne ! feu en ligne ! feu vif de ta rage à naître et
renaître ! qui ;l’eût cru (cette chose) ? qui aurait pu penser que cette chose enfin adviendrait, qyui me verra tracer des plans sur la comète mais pas que ! car la voix de second va pour moi m’aider à tracer ;les traits d’une bête en vrai. je vais sauter sur l’occasion. je veux sauter sur l’occasion, toucher vif, dire à vif ce que la mort est pour tout un chacun / chacune,; et les soucis, les peines de coeur, les dires avortés, etc? je comblerai?.. je dois combler, au passage, trou de bouche en veux-tu en voilà sans me retourner. je veux comprendre ce qui est au juste d’une sorte d’embardée votive dans la sas des sas d’une vie à vivre pour untel dont le nom ici serait caché. je veux dire ce qui est. je veux pouvoir dire ce qui est. la chose se dessinerait peu à peu sur roche, à lza ressembl:ance d’un être donné qui verrait dès lors pour lui se dessiner des traits, des courbes, des schémas de base et autrescx points de vie vive agréés. je cherche à m’approcher d’icelle roche «transparente», prairie, pré joli, carré frais. je veux êrte l’être du passage à un audelà rupestre, ou en (souligner) un audelà rupestre ou pariétal = le temps. passage au temps ou dans le temps. le passage d’un corpus, corpuscule, dans le temps. le passage ici du sang, dans le temps. le passage voulu du sang à l’i,ntériur du temps dit «pariétal». ici ce passage du sang (coulure) dans kle temps, à travers le verbe (la voix) enfin déployé devant soi : rubanesqque. je comprends les choses enfin en quelque sorte déposées sur bâche, sur tapis, sur carré devant soi, vide-grenier. je veux toucher
la roche des temps donnés, et, cela fait, aller loin en roche, aller au plus que je peux, en ses profondeurs, en des profondeurs de cette roche, en les profondeurs d’icelle roche ou à la profondeur, en la profondeur d’icelle, au profond le plus d’icelle roche, en elle dans la profondeur. je cherche parade rupestre : cheval, cheval dépl;issé, traits de base, aurochs adoubés, traits de charge à contrevent, massifs eh comment ! double-^massifs de la rage à être contre le vent ou à contre-vent. j’hallucine ! je cherche à voir : je vois ici une sorte de chose rude, dure, du dur de chez dur qui semble aller ainsi sur roche se tramant comme le sang qui coule sur table aux offrandes, comme un sang de veau sur roche perlée. hje vois : homme, sang, veau, perle, rocaille, une femme qui s’approche, un homme rude, des chevaux, l’haleine des chevaux, le souffle vif, le vent soufflant vif, les paroles en djur comme une sorte de coulée de lave pariétale. je suis un homme des temps avertis et du coup que fais)-je , je regarde les alentours
. j’essaie de piger vif ... ce qui est; ces dons de soi, ici déposés, sont ils des offrandes (le passé) à telle ou telle déité de choix ? les mots ontils de quoi nous satisfaire incessemmant ? fau-il croire au sens des lmots , a)-t-on le choix ? qui parle pour moi ? qui parle pour un homme comme moi qui est homme des parois de roche, homme-bouc, qui ? qui pazrle en moi pour dire sa hjoie de voir ce qui devant moi cherche à pointer sa rage : qui ? qui vient vers moi semer la pagaille ? qui veut comprendre assez pour mieux s»’en retourner ainsi armé et vaquer que tu vaqueras à swses occupations quotidiennesq : squi ? qui va là ? qui chante ezn moi la chant de sa rage d’être ainsi envahi par, en soi ... la mort du petit cheval ... ou auttre mort de bete de poids pouvant lutter contre le vent brutal de la mort à l’oeuvre en ces contrées dites de base rupestre (sas des sas, etc)? qsui veut m’avouer ou veut bien m’avouer ce qui pour lui ressemble à de kla vie en vrai ou «pouvant le faire» incxidemment face au dieu (le seul) de la mort. croire en la mort = croire ezn dieu. croire = conserver pour soi le verbe. être être de verbe inculqué (impossible à évacuer) = croire ce qui est = croire ! Je pense = je crois donc jésus, etcx. je veux être ici la roche p:leine, la toucher de près, être roche = entrer, etc. je suis homme d’une voix de base rocheuse, cherchant à travers la roche un ou une allié(e) qui sache pour de vrai ce quil en est de la parole vive des ap^r^$ets : qu’est-elle ? qui la parle courammeznt à travers moi ? qui sait parler à travers moi la langue pleine ? qui comprend la langue pleine ? qui pa rle en moi la langue pleine = complète =entière = massive =aurochs des prés et des prairies. je regarde devant moi l’aurochs, le bison, la brebis, le chameau, la belette, le cheval bai. qui sont ces bêtes allouées à une vie de base rupeswtre = la vie: -qui ? je me penche sur la question. je cherche à comprendre vif ce qui est ici qui semble avoir à me dire des choses , à me parler incidemment, à évoquer des données de rage mais basiques. je m’avance en pays qua si conquis (car je suis entré) et vais auprès des bêtes demander ce qu’elles fabriquyent ici, le pourqyuoi du comment elles ont donc atteri ici (champ de marss) et les mots, qui sont ceux qu’elles portent, pourquoi cela ? je demande. je vais vers la biche et je lui demande. que peut-elle dire ? que pourra-t-elle me dire en vrai qui puisse m’(aiguiller vers des cxhemins de vérité , que saura-t-elle signifier et comment , est-ce que la biche sait parler lalangue rupestre ? connait-elle le françzaiios ? a-t-elle quelques rudiments en langue étrangère à elle ? que connaît-elle en fait de langues étrangères ? connait-elle l’indo-marital ? la langue plénière ? le chant choral interne à une gouverne ? l’indo-sacripant parlé , la chance-langue adverbale ? le pointu ? le couillu ? le chant morveux ? le vil babil des classes laborieuses, , version canigou ? que connait elle en la matière ? je veux le savoir tantôt car je veux piger et m(aligner, soit parler pour elle avec elle et ce en la matiè!re (idiome) qu’ezlle a ura choisi : je me plie. je vuex toucher icelle bête devant moi, la toucher des yeux (1) puis avec la main = une caresse sur pelisse, vent facial, chaleur du rut, hommage de l’artiste à son être divin ? Je tombe ! je suis las! je suis vif de rage mais las , et du coup je tombe, je m’affale , m’étale là de tout mon long et dieu sait s’il l’est ! je suis étalé, je suis a llongé, je suis déposé, je suis posé, je suis mis, je suis aligné, je suis déposé sur
une table, table nue, en pierre de lave. je suis l’offrande?;; je me meurs comme une bête pourchassée touchée , que l’on dépose encore cxhaude (le sang chaud) sur pierre d’offrande. je parle l’idiome idiot de la rage à être nu ! colère ! animal velu ! poubelle des rues ! anfractuosité ! je plonge ! je me place ainsi de telle manière à pouvoir entendre et écouter la musique des sphères : la voici qui monte»»»» et s’élargit,
je vois ce qui est ici qui me rezgarde et me fait envie; je me couche sur la pierre; je suis l’animal saignant car j’offre mon sang aux temps impartis, aux temps alloués à une vie en particulier. je vois ce qui est qui marche, quyi va, qui mange et qui s’ébroue. homme-buffle au sa ng mauvais ? j’opte pour le buffle ! je charge à la manière de la bête des parois, soit de tout mon saoul, à contrecchant, à c ontre-parade. je veux m’envoler comme un cheval ailé s’envole et franchit la corde. je suis être au vent mauvais ... pris de face , et qui (etre) veut (cherche à -) s’échapper fissa de là car ça pue du cul : car là (porte damnée) ça pue grave du cul, tu le sais. ici ça pue grave ! oh ici énorme : c’est la porte. la porte aux damnés ? la porte ! oh alors fichons vite le camp ailleurs et n’y revenons plus ! mais comment cela ? car il s’agit ici d’u ne sorte d’échancrure à même le roc et à travers elle souff;le que tu souffleras le vent de la mort ou de l’empechement à naître ! ah voilà ! alorsq commùent ? qui pense ? qui parle ? qui crie ? qui chante ? qui veut soulager ma gouverne et penser ou poarler pour moi ? qui veut dire ce qu’il sait sur roche gravé? qui veut dire gravé ce qu’il sait sur roche des temps ? qui gravera , qui gravera gravve la bête repue ? qui va graver grave la bête rezpue ? qyi sait graver grave la bête des prés ? gravons ensembkle telle ou telle bête des champs, des bois et forêts. gravons grave eznwemble les noms de tous nos associés de chaerge. qui parle en mon nom ? qui porte mon nom ? qui porte ou porteras mon nom ? qui est là pour moi ? qui parle pour moi enn mon nom ? qui parle avec sa voix de contre-chant ? qui pârle bri;llamment sa belle romance d’enfgant déployé sur roche d’allant ? qui enfin comprend son sien mal-être étiré comme une tourmente ? qui veut mourir ? pas moi, dit le coq. pas moi dit le cochon. pas moi dit la bete des prés consacrés. je vois ce qui est ici qui semble me mater de pied en cap, et pourquoi cela ? qui suis-je qu’elle ne connait pas? ou l’inverse ? qui la bete des prés voit elle en moi qu’elle semble reconnaittre voire connaitre et comment connaitre si tant est ? car, je suis nouveau venu en ces contrées de base. où donc m’aurait-elle de fait déj-à vu ou rencontré .? me connait -elle en vrai et si oui d’où ça ? car, je suis nouvel arrivant ! je viens d’entrer à peine ... à pic -pique , à pique-piquage, à mêmùe la roche:
donc ? commùent ferait-elle pour me reco,nnnaitre ?
comment pourrait-elle me connaitre ? qui déjà lui aurait peut-etre un jour parlé de moi incidemment ou bien comment ? m’aurait-elle cerné ? m’aurait-elle touché ? m’aurait-elle senti ailleurs, une autre fois que là ? Je cherche ! Je demande à voir. je suis être du temps des tourments de rage, habillé à la six quatre deux, venu tard sur le devant de roche, calfeutré, pris à partie par un vent de face mais cherchant un abri derrière (ici) la bete à cornes. je calcule les données de rage (= chance) et me dis que oui peut-être un jour ou l’autre je serais enfin touché par telle ou telle bête pariéytale dessinée ou gravée par un homme ou par une femme des temps reculés; je
(je me vois toucher la roche, je me vois aller et venir, je me vois toucher la roche et aller et venir, je me vois toucher la roche)
veux être vu ainsi comme l’animal, la bête, l’homme des parois dures. je veux être ainsi comme touchézsx des yyeux par un e sorte de divinité qui me regarderait sans chercher pour autant à me vouloir des noises, etc. mon ombre est l’ombre de mon soi (mon moi ?) abrité. comment m’exprimer ? je suis l’homme des temps alloués à une vie humaine de roche perlée; je suis celui-là (celle ?) qui va ... dans le sens d’une parole proférée comme à l’emporte-pièce par un homme ou une femme des cavernes, et cette parole est ... insulte à divinité ! à deité d’antre ! on voit ça ! ça le fait (fera ?) grave ! Je rezgarde ce qui est ici (sous moi = la terre) et je comprends dès lors que je suis arrivé sur roche tete la première, cap sur cap ! je suis dès lors en quelque sorte l’(ombre de moi-même ou comment ou qui sinon ? dessin animé ? ah peut-être ! je me vois toucher la roche, je me vois toucher la roche
je me vois toucher la roche. je me vois aller et venir en cette zone des embruns, des betes de poids, des betes rosses. je vais vers la bete de poids. je m’approche d’elle. je veux lui parler, la toucher et lui parler. je veux être un ami fidèle, un ami de poids pour elle. hje veux être pour elle cet ami sacré qu’elle attendait peutêtre. je suis un hjomme des parois des temps octroyés à une vie terrestre, . je vois ce qui est. je vois ce qui se trame en ces contrées de charge. je suis un homme des parois du monde aux apprets. je regarde au loin les données de base, fummées, voix, chaleurs, sentiments diffus, contrechant, amours, donations. qui sait me guider vers les finitudes ? qui saurait me donner du lest ? qui pour m’aider à chevaucher le temps ? qui pour me donner le nom quil me revient d’avoir à porter ? qui pour me souffler à l’oreille les mots importants concernant une vie sur terre ? qui chante avec moi ? qui chante depuis moi ? qui veut ma gouverne et charger pour moi les betes de rage postées devant .? qui sait ma misère astrale ? qui commande en moi les données ancrées, les mots du passé ? qui parle en mon nom surnuméraire ? qui connait le chant des contrées premières ? qui a parlé le premier ? quel était le premier mot prononcé sur terre ? qui parle à travers la roche gravée ? quel homme en moi parle pour moi ? est il homme des cataacombes ? est il homme mérovingien ? est il homme plus ancien, de type aurignacien ? vit il en moi en quelque paartt , et où si oui ? qui vit dans :mon sein ? qui vit en moi qui me connait mieux que mon ombre ? qui est en moi qui parle une voix de fausset ? qui parle en moi qui dit n’importe quoi ... pour jouer ? qui a dit que j’étais niais, l’imbécile, le menteur, le sacripant, l’australopithèque ? je regarde devant moi ce qui est, et qUe vois)-je ? une sorte de donnée étrange, un don en nature déposé, une sorte de corps allongé déposé sur roche ? outre ? antre ? autre ? être ? de quoi ws’agit-il ? les mots n’aident pas qui se ressemblent ! comment faire ? je chercbhe à comprendre mais ce n’est pas simple, pas simple du tout car la voie de passage n’est pas bien large, il fzaut se serrer, se faire menu, enfant, se faire fin, se faire fil, etc.Nous avons à comprendre l’être du temps (l’antre ?) commùe étant ce qui, pour nous, nous ressemble (au fond) le plus ou, sinon le plus, ce qui est pour nous le plus ressemblant, en termes de traits, de hachures, de croquis, etc, à même de nous présenter ressemblant : aurochs des prés comme cheval bai. je vois devant moi un homme qui s’avance et vient vers moi mais ce n’est pas un homme, c’est quoi ? un cheval ? ah oui ! un cheval de rage, dessiné à main levé. je comprends. je sais ce que c’est à présent : il s’agit d’une bête-monstre. bête de destinée. bête représentée pour fairze accroire à une déité (la mort) que la vie (la nôtre) est là tout entière offerte pour sa gouverne, pour une gouverne magnifiée mais en vérité ce n’est pas tout à fait le cas. magnifiée peut êtree mais question vitalité c’est pas ça; on voit ce qui est ici, qui est cette chose comme quoi la mort, quoique magnifiée (tu parles !) n’a pas , ou disons n’est pas, à nos yeux, si enviable? comment dire ?
à nos yeux la mort, ici bazs, n’est pas cette chose
qui, pour nous, nous plaise tant, qu’il nous faille donner notre vie devant pour la satisfaire . nous ne voulons pas tant que ça la satisfaire. nous ne voulons pas lui plaire; nous ne voulons pas qu’elle sache notre senti=mment p^rofond. nous faisons semblant (en vérité en étant vivant) de lui plaire, de la satisfaire complètement ou de vouloir la satisfaire complètement, mais en vérité non, nous cherchons à la ruser, à nous passer d’eellle. nous faisons semblant de la satisfaire ou de vouloir la satisfaire mais ti,ntin.nous donnons de nous le passé de nous, le passé mort, le passé est toujours mort. nous donnons de nous le temps qui est pour ainsi dire du passé de nous, ou plutôt le temps passé de nous qui n’est plus tout à fazit nous, ou plut^$ot cette chose du temps, de ce temps de nous passé, qui semble la vie,, qui lui ressemble fortement, qyui ressemble fort à de la vraie vie mais la vie la vraie n’est pas le passé bien au contraire , la vie est le présent cordial. nous cherchons à la truquer : à truquer la mort. la mort gobe tout. la mort est un ventre. la mort est un antre?. la mort est une bouche ouverte. la mort est un trou. la mort mange. la mort a toujours faim. la mort n’’st jamais rassasié. la mort prend ce qu’on lui donne. la mort mange de tout. mla mort aime manger. mla mort aime bien ma,nger ce qu»’on lui met en bouche. la mort mange le passé de nous. la mort mange de nous notre passé, deposé par nous, deevant nous, comme un présent en guise d'hommage, ou comme une offrande à une déité. la mort aime nos offrandes ainsi déposées. la mort aime avaler. la mort aime ezngouffer. la mort avale vif. la mort n(‘est pas la dernière à s’attabler. la mort avale les denrées diversesc et autres vivresx ou victuailles qui lui sont ou seront (par la bande) proposées; la mort avale les données de base. la mort est un estomac sur pattes. la mort est bete carnivzore. la mort aime la viande fraichje. la mort aime
manger la vie. la mort aime la vie. la mort aime s’empiffrer de vie vive, de chair fraiche et autres offrandes inavouées. la mort mange vitte. la mort engloutit comme un alambic. la mort est vite assoupie. la mort est assoupie. la mort s’assoupit. la mort a mangé et cela fait va à s’assoupir , un temps. Ou non ? la mort jamais ne s’assoupit ? la mort jamais ne s’assoupit ? la mort toujours se met sur le qui-vive. le qui-vive intéeressee fortement la mort. la mort adore le qui-vive, s’en repait vif. kla mort aime que la vie soi t donnée d’emblée. que toute vie soit donnée d’emblée. la mort adore que la vie d’emblée (dès potron-minet) lui soit donnée. La mort veut la vie pour ezlle. la mort veut toute la vie, pas que le passé. la mort veut toute la vie dès que née. la mort veut la vie tout entière en permanence. la mort veut toute la vie pour elle. la mort a besoin de la vie pour elle, pour se rechzarger. la mort veut pour elle la Vie en-tière. La Mort veut pour elle la Vie en entier, soit tout de tout de la Vie vive existante sur la surface de la terre. La Mort veut la Vie entière, toute, le paquet, toute la Vie vive en entier pour elle. la Mort veut la Vie pour elle , pour être la Vie à son tour, pour être vie à son tour, pour devenir Vie à son tour, pour mourir en tant que Mort ? La mort veut la vie pour elle : pour être. La mort veut la Vie pour être Passé.
8/3/2022
Nous devons comprendre ensemble ce qui est dans ce qu’on voit. Ce qui est est une choese rude si tant est et cela est. Nous devons cerner des choses au sein de la paroi , et ces choses (toutes) portent un nom. le nom des choses (de chacune des choses) est nom donné par un en-soi qui s’interpose, se glisse fissa entre elle (la paroi) et nous qui la regardons, l’approchons, la touchons. nous avons dès lors à comprendre, ensemble, cette chose (ici : face à elle) comme quoi la roche ci-devant est ... du dur de dur, du coriace, du «pas facile» s’il en est, etc. Notre but est de comprendre au mieux ou du mieux poss blle ensemble ce qui est de cette roche des apprêts. quoi ou que est-elle en vrai ? succédané ? Nous disons que nous pensons que nous voulo-ns savoir ce pour quoi pareille roche est devant nous, comme dressée, qui xsemble nous interpeller. qui ou que ou quoi est la paroi ? vaste question ! Nous cherchons une réponse. nous devons trouver une réponse ! nous nous devons (c’est-à-dire à nous-mêmes) de trouver réponse qui soit opérante, qui soit fiable et sur laquelle pouvoir s’appuyer. Notre envie est de savoir ensemble ce pourquoi les choses du devant (paroi rocheuses) sont, et oour cela nous nous devons de nous poser en vrai les bonnes questions, ensemble, face à face, et tenter d’y répondre au mieux. la vie est telle que le temps nous est compté, nous savons cela. nous voulons cerner les s choses au mieux c’està dire finement et dans toutes leur complexité. nous voulons nous approcher de la paroi, nous voulons toucher et entrer en elle. comment cela ? par le biais (natif) de la transe ! on plonge et on y est ! on monte et voilà que les choses devant soi viennent à s’ouvrir subséquemment, qui nous laissent entrrer, qui nous engloutissent (bouche de la mort à l’oeuvre !). Nous avons cela pour nous, qqui est que nous savonbs (très bien à présent) entrer en transe (ou quelque chose d’approchant). nous nous mettons dans des dispositions ensemble rappeleant la transe par bien des côtés. nous voulons comprendre, touccher, entrer, nous glisser dans les profondeurs, c’est un fait, mais aussi nous voulons nous adjoindre à une déoité qui serait contenue en cette roche, ou : déité des déités. Nous voulons toucher la roche (la réalité) poutr la dépasser, la traverser, nous introduire en elle et, en elle, «toucher la timbale» d’une déit»é des plus ancrées. Nous ne voulons pas flancher mais tout au contraaire entrer de chez entrer en elle (fissa) et y rester un temps (le Temps ?) , pour , en vrai, nous soulager, nous poser et résister. Nous devons toucher la roche, nous devons entrer, nous blottir incidemment en elle, nous poser un temps, nous poser le temps nécessaire, nous glisser en elle un temps qui est le temps de l’immortalité ou, sinon, le temps de quoi ? nous devons cerner cela ! Nous devons résister
on l’a dit : à quoi ? à cette chose ici qui semble vouloir nous faire trépasser ! a pazreille chose en ce tte roche, en pareille chose de roche, en cette chose d’une sorte d’entité de roche (etc) qui est cela, qui est pour ainsi dire cette chose-là qui chercherait fissa à nous faire chuter et pourquoi ? parce que voilà : la mort cherche la vie sous toutes ses formes ! La mort aime la vie et n’aime pas la mort ! la mort veut de la vie fraiche ... pour sa gouverne ,
pour son xsein ! La mort veut la vie ! la mort aime la vie ! la mort veut la vie vive ! la mort aime la vie vive et bien fraiche, à consommer subséquemment ! elle aime manger, engloutir, prendre pour elle : aelle a faim , un faim de bête ! on dirait cela, que la mort a fvzaim, c’est-à-dire une faim incommensurable, faim de la fin des temps, fin de la rage et des tourments de bure. La (ici) mort, est cette chose, cette chose comme quoi ou, comment ? cette chose devant soi (loin ?) que l’on cherche 1 à situer, 2 à approcher, 3 àà décrire finement. Nous disons cette chose là comme quoi la mort a faim, faim permanente, a pour elle une gueule affamée en permanence, ou sinon dsouvent : estomac sur pattes. On dit que la mort est un estomac. On pense cela et on le dit. On dit que la mort est comme un ggidgantesque estomac sur pzatte et on ne se gêne pas pour le dire. on pense xici quela mort en roche (à l’oeuvre) est Estomac, a la fringale dite permanente ou sinon permanente pas loin. nous voulons comprendre ensemble le sein de la mort et aussi ses liens avec le Verbe ancré en nous. nous voulons ensemble (2) essayer de comprendre ici ce sein de la roche, ce sein de la mort, cette enclave absorbante, cette gueule ou grande gueule ouverte : qui elle est.. Nous voulons comprendre le pourquoi la mort est ... un sein, un anttre, un ventre, une sorte d’utérus des temps déployés. Qui a dit cela ? qui veut nous dire ou bien nous «dire des choses» pour nous seconder ou nous aider à y comprendre quelque chose de concret ? nOus devons nous approcher d’icelle paroi, la toucher la toucher, et entrer en elle (fissa !) et là nous enfoncer en elle, creuser que tu creuseras direction le fin fond, le son, le chant des terminaisons, des creux, des portes ouvertes. nous voulons nous approcher ensemble (2) de cette chose du fond de la roche = la porte, cette porte ouverte sur un au-delà de type pariétal, sur un espace auttre qui commence là, en fond de roche, sous les embruns. Nous avons à dire ici cette chose d’une sorte de lien précis qui existe entre la mort d’une part (telle qu’on la connait entre hommes / femmes) et le Verbe monacal (ou pariétal) tel qu’il
existe dans son coin, en nous, sous forme de bêtes. nous pensons pour nous que lza mort et le verbe ont parties liées. nous pensons que la mort est comme attenante au verbe? nous pensons que mort et verbe sont unis et courent ensemble sur prairie ou sinon comment expliquer les choses, toutes ces choses qui ici semblent nous gouverner, avoir la main mise sur nous, etc, comment expliquer de fait le temps de la roche rude (brute) ? comment toucher au verbe des de vants ? squi comprend ce qui est qui va devant soi ? qui peut nous aider ? Nous disons cette chose ensemble (= 2) comme quoi la mort est cul et chemise avec le VErbe tel qu’on le pratique ici entre nous au sein d’une tribu, d’une con frérie, peuplade, d'un groupement, etc. nous devons cerner ensemble ces données concernant la mort en tant qure telle et nous approcher au plus des choses
de la v»éérité, des définitions. nous devons toucher juste. nous avons à toucher juste les données. notre but est de touchger au plus juste toutes les données qui, devant nous, s’offrent à nous soit à notre oeil. Nous voulons comprendre ce qui est du monde des esprits, de la mort et de l’au-delà à la paroi, à la lumière d’une déité de type ancestrale = monacale = pariétale = aurignacienne par exemple. Je tombe à la renverse ici et que vois-je ? l’antre ! ou le ventre ! cet antre est un ventre rond ! Je cherche à comprendre les données de base qui, en nous, gravittent et chgerchent issue, car il est ainsi que des mots cherchent à affleurer d’eux-mêmes c’est une évidence. nous voulons toucher ensemble la roche du temps et la traverser. nous avons en nous cela = volonté ancrée, de vouloir toucher... la roche du temps, de la pénétrer pour aller nous y loger fissa et là : résister, on l’a vu. à quoi résister ? eh bien aux assauts bruyants de la mort des rocghes ou dite «des roches». nous devons nous protéger de ses assauts, des à-coups réitérées, des coups du sort, des coups de massue et de bambou. nous devons veillezr à toujours le plus possible nous placer de telle sorte (ici = la roche) que la mort nous laissât tranquille et ne vînt nous poser sur nous sa main de bete immonde = saleté. Je regarde devant moi et que vois-je ? antre de parole vive ! mère sulpicienne ? je tombe ! ah me voilà tombant dans»»» roche ! oh l’affaire ! oh voilà ce qui arrive à moi qyui m’approchais de la paroi et cherchais grave à m’insérer en elle via le trou fait par (en moi) la pique verbale éternelle ! merde ! pourquoi faut il toujours tomber au pire des moments ? juste quand on entre ! merde ! merde de la merde ! merdum de merde ! merde à loa mort saleté ! merdum au dieu vivant (?) de la mort à l’oeuvre ! Nous vouliiiions enttrer et nous
voilà qui nous trouvons comme sur le carreau à compter les morceaux pour ainsi diire ! lmerde ! on voulait pas ! on ne voulait pas ! on voulait restyer vivant en cettye roche dure ou alors comment faire pour ne pas sombrer ? Nous sommes ensembvle qui allons en roche à la recherche de la vérité. ici on dirait que le temps est un apprêt. on voit la chose remuer qui est la mort devant soi nacrée, qui va et vient, serpente sur son chemin. quand va t on devoir»»»» mourir pour ellle ? a t elle décidé du moment pour elle, pour elle ou pour nous, : a t elle choisi lm’heure et le jour ? est elle décidée ? a t elle des vues sur nous = notre vie ? qui est-elle ? nous voyons une chose, nous sommes deux (ici) qui voyons cela , devant nous = une porte = une entrée = un trou dans la roche = un passage concret = une sorte de sas pour une traversée ... des données de base rupestres. NBous entrons ensemble, nous nous faufilons, nous voulons comprendre ensemble ce qui est ici pour nous en termes de données de rage. qui pour être là à nos côtés de grâce, qui ? car, on veut avancer ! on veut pas rester à quai ! on veut cerner ! on veut pas rester sur le pavé à lambiner etc ! Nous voulons toucher la timbale, creuser le fossé et nous y loger si tant est , nous faire petits, nous glisser en lui (fosse ou fossé) et ne pas trépasser mais rester = tenir = aller toujhours, vers sa destinée ou en direction de sa destiinée = tenir bon = choisir le bon wagon ou bien le bon cheval. que dire qui puisse nous donner de quoi comprendre les données les plus intimes des choses du monde ? nous ne vcoulons pas trépasser car nous voulons être, pour la chose devant soi nommée, êtres de renom. nous ne voulons pas sombrer corps et biens à la renverse mais faire ainsi (à travers le temps) que le nom que nous portons soit celui que l’Amour des roches , cet etre diffus, ce fantome ou commùent, puisse conserver par devers lui en sa mémoire, en son sein ou antre mémoriel. Nous creusons la roche devant nous = nous faisons un trou = nous fouillons = nous nous infiltrons = nouds mesurons = nous étirons, etc. le temps pour nous est cette chose permettant l’offrande d’un devant en quelque sorte de fausse monnaie. Nous nous agenouillons sur roche et prions pour que la mort restât gentiment où elle est dans les embruns. nous sommes qui voulons comprendre des données liées à du Verbe nacré,, à du verbe fin, à du Verbe de paroi ambrée. Nous nous approchons du fond de roche et nous cherchons à passer la tête, à comprtendre, à trouver, à toucher pôur trouver. la mort est une et indivisible ? ok ! Pourquoi pas ? la mort est un antre de roche dure !Bon. elle se situe au centre de la roche dure = de la vie, soit en son sein. elle n’’st pas facile à trouver ‘(à dénicher) car elle est bien cachée en ce sein de roche (de la vie vive ? de la vie dure ? des tourments donnés ?). nous nous appreochons d’icelle (roche et mort) et nous les touchons (les deux) à même la peine ! comment dire ? nous voulons comprendre icelles (roche et mort, roche de la mort) ce qu’elles sont au juste, ou bien ce qu’elle elle est pour de vrai (roche de la mort à l’oeuvre) et pour cela nous... chantons ! ah misère ! oh l’enjhoué ! oh l’homme aidé ! oh l’homme mal aidé oui ! hommùe ou felmme ici pas d’importance ! et homme et femme aussi bien ! Nous cherchons ensemble , nous sommes soudés, nous sommes collés entre nous et c’e’st même pour cela que nous ne nous lâchons pas d’une semelle ! Nouys entrons ensemble en roche (pîc de verbe aidant). là, en vrai, nous regardons les abords, zt l’horizon au loin qui semble ou semblerait nous faire sign e et nous appeler (musique !). nous sommes deux (2 de rage) et poussons au loin, allons plus avant, ma rchons de guerre lasse et, ainsi faisant, nous voici qui arrivons ensemble jusqu'aux portes ouvertes d’une sorte d’enclave en paroi. Nous passons la tête, manière. qu’y a t il à voir misère ? peut-^ttre une... voix ? ah ! Quoi d’autre ? voix qui parle = meugle = animale ! ah ok ! et du coup on se dit que peut-etre en effet la mort = un antre = un terrier = un lieu de repli animalier, etc./ ventre ? nous disons que nous ne savons pas ! nous disons que nous voulons savoir ! $nous disons que nou!s devons savoir et aller plus loin vers des connaissances primordiales, princières, premières, ancrées, insérées en un sein de base. Nous nous devons ensemble de pousser plus loin nos investigations. Nous avons à faire cette chose ici d’une poussée en roche ! et cela : fissa ! via du verbe repoussé ... comme un métal ! via du verbe de paroi de roche
, à la mode des temps reculés (aurignaciens ou magdaléniens) comme pour de juste. Nous devons cerner précisément un certain nombre de donnée, les poser sur roche (offrande à deéité) et puis ... nous échapper ensxemble (main dans la main) sans nous retourner de préférence. antre ? ontre ? outre ? être ? altre ? ancre ? Nous cherchons ! Nous sommes ici sur des questions de très grande importance. Nous chgerchons avec beaucoup d’assidyuité, de sérieux et de conviction. nous nous disons que nous devons pousser = pousser loin mais comment ? les mots sont tous de la partie on voit ça. les mots (le VErbe) sont là (est là) qui pèse(ent). On dit que les mots sont des mots qui pèsent = plombent = porteznt = étais = cheville ouvrière = producteurs de choses de roche à la base et au sommet/.;. Nous cherchons la vérité de la lande dans la la,nde. nous voulons comprendre ce qui est en roche, ce qui est pour nous qui sommes des intrus et des intruses pour ainsi dire, qui allons en roche ar(mées de nos verbe acidulés, ou de notre verbe dit «a cidulé». qui est l:à pour nous aborder, nous guider, nous acccueillir comme il se doit, et, ... qui ? qui fait ça ? qui est là pour ça ? Nous voyons devant nous comme une porte = échancrure de roche dans la roche = concavité ? Nous nous infiltrons en elle. nous entrons à pas comptés, marchant lentement, sans bruit, dans une direction comme voulue par la bande pariétale. Nous sommes deux (2). nous ne sommes pas de trop à deux (2). car à deux c’e’st mieux ! au moins à deux, etc. nous voulons toucgher ici au plus vif du verbe ! Nous voulons ici ensemble toucher le vif du pklus vif du verbe déposé. noussommes deux ici (roche) qui touchons au vif du ver-be nacré. Nous nous excusons ou presque de toucher. Nous nous excusons d’avoir touché mais il le fallait car nous sommes pris et prises = prisonniers et prisonniéres d’un état de fait qui nous voit grimper, léviter, charger, piquer roche et entrer cfomme par miracle. ,nous avons pour nous ce pic de v erbe acéré, nous nous en servons cfomme on peut le penser et entrons
. Nous nous immisçons en roche = en ce sein des seins pariétal animalier tempporel de
roche. nous devons toucher la roche. Nous nous devons de faire ainsi que nous soyons comme accolés à pareille «roche des tourments» liées à une vie humaine (contractée) à devoir endurer vaille que vaille. nous devons pousser la chose ... au plus loin possible , vers les embruns, vers le son sourdant de pareille ici anfractuosité. les mots sont de roche dure mais ils vont vers pareille entrée et savent «naviguer» dans un sein pareil, aux donées de roche déployée. les mots naviguent, flottent, aident, tamponnent. Je vois ici la roche s’ouvrir et moi (nous) d’y entrer. d’entrer en (oche pour la vie ! d’entrer vif en elle et de vite chercher à m’y loger sans crainte, sans souci. Je me loge. je me love. je m’accoude. j’entre en roche comme en religion : ici lka parole est verte. ici la roche est un antre? ici le verbe est une plante ou comment ? qui pousse en moi comme une branche. Mort de rage est là quui menace, saleté ! nous voulons compren dre. Nous devons comprendre. nous voulons cerner ! Nous voulons ensemble cerner au mieux. nous voulons ensemble cerner ce qui est et ne plus recvuler. notre but est affiché depuis la nuit des temps dits «pariétaux» c’est dire ! notre but est notre ambition est notre projet est nottre trajet est deVerbe constitué etc. charges comprises. car la charge ici est massive soit considérable. on sait ça comme quoi le verbe est animalier qui cherche à se lover non dans le passeé mais dans le présent adoubé par l’avenir du dire déplissé comme une chemise (chandail ? jacquette ? chasuble ?). nous disons que noys voulons cerner au mieux, les contours d’une sorte d’antre fzit de verbe animalier : cette chose-grotte est chose-sein. notre but est de nous afficher nous-mêmes sur roche, sur paroi comme aurochs des prés ou autres betes cavalières, chargeant, pouvant du moins charger que tru chargeras dans le tas. nous nous affichons en tant que nous serions bêtres nous-mêmes, et de même ordre divin = aurochs et autres betes à cornes et des prés. nous nous approchons de la bête monstre, elle eswt là devant nous qui cherche à nbous parler et à nous donner ce la de base (musical dès lors) qu’il nous sied
(à nous) d’activer fissa par la bande : la la la ! nous chantons ce la de contrebande
, ! nous sommes chanteurs d’une rage à être prisonnier prisonnière dans un sas de roche tourmenté. Nous ne voulons pas trépasser, nbous voulons tenir en roche le Temps le plus approprié à une vie longue. nous voulons aller fissa en roche , traverser la roche et nous retrouver, au fond d’iccelle (croisée des chemins), à devoir toucher (touche que tu toucheras) la porte d’entrée à une autre cavité cachée ou celle-ci cachée qui serait pour nous l’entrée parfaite, l’idéale;. nous sommes (à deux) contre = accolés. Nous cherchons à passer la tête = à naittre à cette sorte de nouvelle vie qui semble pour nous se tracer devant nous. Nous sommes deux qui ici cherchons à) passer la tête soit à renaitte là, ici, roche, galère. nous voulons essayer de passer la tête c’’esst galère ! Comment faire pour passer la tête ? comment faire là ou ici pour passer la tete et le reste à travers ... la roche du temps ? soit : crever (percer) l’écran du temps ? comment on peut faire ? comment cette chose ici (la mort en roche) est-elle comme dépassable ou traversable ou perçable ? Nous nous immisçons enn roche et cherchons. nous sommes deux qui (ensembkle = main dans la main) cherchons à percer l’écran, la feuille, la fibre du temps. nous voulons percer cela qyyi devant nous déploie ses ailes de géant. l’animal ici devant est comme ailé on dirait. On dirait cela, comme quoi ici bas règne l’animal ! l’animal est roi, qui rèeg,ne sur terre paertout et même en ous. nous voyons la chose, nous la comprenons : une bete
en nous est logée qui cherche à sortir son nez ou bec ou museau. nous sommes occupés ou avons en nous cette bete, par cette bete. nous sommes occupés par en nous cettye bête de la paroi dure. l’animal est en nous du verbe. la mort est greffée sur pareille chose déplacée. ou disons placée et où ça placée ? en nou--mêmes. Nous voulons comprendre tout cela ici à la lumière de la vo... voix qui parle en nous ? ou de quoi d’autre ? une voix en nous s’exprime, dit fissa ce qu’elle a à dire, ecxprime ses vues sur la roche, dame le pion à Mort la Grande Bécasse, etc. voix de rage en nous, qui n’en demandions pas autant. Nous nous approchhons d’une bete de joie. la bete est devant nous, qui semble voir en nous la bete contenue en nous : de bête à bête. Nous sommes postés ici mêmev (roche) sur paroi = l’endroit des betes perlées. nous ne voulons pas mourir et voilà pourquoi nous sommes ici entrés en roche (la vie) par la bande (le langage inculqué ezn nous). nous sommes éduqués.nous oparlons l’idiome loco-régional que l’on nous a appris conséquemment, et cet idiome à présent est incrusté et ne sw’en laisse pas conter tu peux le croire. nous sommes à devoir comp^ter les mots les uns les autres,; afin de comprendre ce qui est, cette chose en nous qui est du passé, qui est temps vécu = mort. nous l’offrons à qui de droit, devant soi = postillons. nous ne voulons pas passer l’arme à gauche (point de ça simone !) : non ! Nous voulons creuser la roche
et du coup toucher la Chose devant soi qui est... un animal on xsait cela ! l’antre de la bête ou bien ... la bête elle-même ? ou bien les deux mon caporal ? nous cherchons à vif ! Nous devons ensemble nous positionner dans bien xdes domaines et toucher les choses pour de vrai de préférence. Nous voulons comprendre les données de base présidant la Chose, soit la Voix, ce qu’elle est pour nous qui ici nous enfonçons dans lke Verbe vif de rage incluse. NBous voulons cerner les données dx’une rage à être on le comprend. Nous sommes qui voulons cerner ensemvbvle et en avancer grandement sur ce chemin des connaiossances eswssezntielles = vives = premières. nous nous approchons de la bête et cgherchons à toucher sa pelisse. devant soi il y a la bête. une bête trône devant nous. nous sommes deux qui nous inclinons . une bete devant nous est là qui nous en impose par sonn poids, sa masse, son allant de rage, son pas lourd? voi;là ce qui est. nous sommes à ses pieds comme deux enfants des landes, pezrdus, perdus dans les prés, dans les prairies, dans les bois et sous-bois. nous voulons comprendre ce que c’est que c ette chose ici pour nous d’une sorte de chant choral(?) qui vient hjusqu’à nous. nous voulons cernner des choses fines, vraies, avérées, qui puissent nous aider pertinemment et concrètement sur ce chemin (devant nous) des connnaissances définitives. pour cela : un mot d’ordre : fiissa ! pas d’autree moyen que la vitesse ! ce qui vien t de chic impose sa loi ! la chose est rugueuse mais a le mérite d’exister c’est déjà ça ! je vois cette cjose en moi qui a pour nom la mort. elle est toute entortillée au Verbe, et, de ce fait, semble se comp^laire à pareil embrouillamini. on dirzait que ça lui convient ! je vois lma roche dezvant moi= la bete = la gravure = du verbe = l’homme ancien ? je veux être cette bete que je porte en moi et, ainsi, déposer icelle, vite fait, sur ce seuil de basse-fosse, sur roche attitrée ? Je veux être vif = en vie : à jamais on l’a dit . l’immortalité ! cfomment s’y coller ? comment comprendre ? commùent donc toucher latimbale ? comment faiore ainsi, que des choses soient pour nous choses de rage à naitre, à être sur terre, à v enir?-? car voilà ce que je vois devant moi : une sorte de paroi du monde»»»»», qui est (sezrait) la vie e lle-même
avec ses soucis, ses coups durs ou autres coups du sort. nous voulons savoir ensemble (en même temps) ce qui est ici pour soi en attente.en attente d’une réponse : en attente d’une sorte de parade ... à la mort. La mort on le voit est toute entortillée
au verbe de la vie interne à soi. on comprend que les choses ne vont pas de soi, que rien n,e découle de rien sans chose cachées. On voit ce qui est qui nous regarde et nous de nous en étonner permanemment si tant est, ou si chose se peut. nous voulons piger vif la vie, la mort aussi. but avoué est à moitié touché. Nous devons pisser (copie de rage) et aussi filer doux à la dérobée, car, nous sommes postés, nous nous so:mmes logés ou lovés dans la roche... à la place de l’animal, et ça l’animzal nj’aime pas, donc : fuyons ! allons voir ailleurs si on y est, etc?. je suyis celui-là qui cherche à comprendre des données de base concernant de fait cette chose devant soi d’un animal de poids. outrage ? nous nous sento,ns comme conditionné, enserrés, encerclés, c ompris ou comme comprimés. Nous vcoulons nous échapper (par la bande ?) de la cape d’une sorte de raison de base ... adjacente au dieu de la mort (entortillement ?). nous sommes à vouloir chercher ensemble des données de rage tantrique, etc. Fuyons la raison ! ou pas vraiment : fuyons l’analyse . ou comment ? Fuyons tout court, à bride abatuue, à toute blinde, dans le temps (soulignezr «dans le temps»-). je suis homme qui (ou femme) va vif devant lui (ou elle) : un chemin de croix pour une sorte de réserve à faire pour soi en matière de ... joie à être (à naitre, etc). Nous ne voulons pas pâsser àç trépzas. vifs et vives voulons rester et fissa. je rega rde devant moi, ce temps déplissé est du temps de rage. ,je suyis ceet homme cheveux courts, pas bronzé, menu (?) ou potelet qu’importe ! je vais dans kla roche. je m’avance en elle. je cherche à cvomprendre: à comprendre ici cette chose nommée «sas». Je suis inséré en cette roche pariétale capitale =antre = outre = réduit = caverne =
pièce = sas. nous voulons comprendre ce que est ce lieu , d’un dezvant de soi offert. il sezmblerait que nbous ayons , à cerner de près pareilles données concernant la mort. admettons un antre devant soi. de quoi est-il fait ? de magie ? de quoi donc ? nous devons à présent explorer ensemble les tenants et les aboutissants de la magie telle qu’elle semble opérer en nous, dans notre cavité perso (antre-outre de roche dure) . nous voulons comprendre ce qui est , et pour cela nous devons rester éveillées , ne pas glisser subrepticement, ne pas s’endormir sur ses l auriers et y aller ! tout de go ! vif fissa ! Ne pas trébucher ! tenir bon la travée (sa travée) et ne pas en démordre ou s’en éloigner car là (sa travée) est la vérité on le voit. on doit faire cettye chose ensemble qui est de comp^rendre et comprendre au mieux les données les plus fines et perceptibles possib le. Nous cdevons touchger à pareille roche et ne pas sommbrer soit chuter de tout son long par tezrre (en arrière par terre, ou en avant peu importe : ne pas sombrer coute que coute, et d'y akller fissa en roche debout, droit posté, etc). Nous devons toucher la roche pour nous. Nous nous devons, pour nous, de toucher la roche. nous devons veiller à ne jamais sombrer mais à toujours tenir bien droit, ou à nous tenir droit face à l’animal consacré. La bete dezvant soi est une bêzte-monstre, éminaemment forte, qui connait beaucoup de choses qu’elle serait sans doute susceptible de nous divulguer le cas échéant. une bete(devant soi est une bete à chochoter, si possible, ou disons à ne pàas effrayer, à toujours veiller à la tenir en vrai comme rassurée face à nous qui nous a pprochons d’elle à pas menus. nous sommesq deux êtres (ensemble) qui cherchons vaille que vaille des donhées «de profondeur» concernant ce que c’est que la mort, la vie, le verbe, les embruns, lm’au-delà etc. on sait que l’au-delà (déjà) est une gageure. On sait très bien cette chose, comme quoi l’au-delà est une sorte de prairie bien verte et lumineuse. on voit y brouter ou y paitre moultes bhetes herbivores. kle cheval en (très) bonne place (la première) . et l’aurochs alors ? bon dernier, qui traine sa misère ? qui fait long, fastidueux, qui traine que tu trainezras sans cesse ? Nous pensons aux betes. nous voyons ce s betes devant nous recelant le temps cd’une vie à vivre, et la mort comme enchevétrée à notre» tige». a pareille tige pariéta le, etc. Nous njous enfonçons dans la roche. je regarde un peu autour de moi et que vois-je ? eh bien ... je vois que des choses sont en train de se tramer que je n’attendais pas forcément. une Voix parmi d’autres s’élève, quiiu dit ce qu’elle a à dire. et qu’a-t-elle à dire ? elle est Voix de Rage au singulier(rage) et voix de rages (au pluriel). car la rage a fait des petits qsui brooutzent (tous) sur pareille prairie-aux-embruns de l’au-delà à une vie terrestre lambda. nous cherchons ensembvle à comprendxre ces données de rage(s) ici déployées, données d’une rage à être nanti ... de ce bec de perce-paroi ! et auussi d’une rage à naittre dans un sein des seins clôturé comme une prairie. je trace des traits à même la roche. j’essaie cde co:mpre ndre ces traits (venus à moi) ce qu’ils représentent, ce à quoi ils se rapportent. Je cherche à trouver pour ainsi dire des choses de poids à même la roche. Comment faire ? Je voudrais connaitre un certain nombres de clés ... susceptibles d’ouvrir x et x portes de destinée. comment trouver ? nous cherchons ensemble les clés un peu partout à la surface de la terre. Nous cherchons depuis des lustresc ensemble, partout, dans tous les coins et recoins du monde. ou sont passé les clés qui ouvraieznt des portes ? ou sont donc passées ces clés de base, clés de choc avec paroi de roche, où ? nous sommes deux, nous voulons comprendre ensemble, nous voulons toucher la roche et la pêrcer ensemble : verbatim au plus haut des cieux ! Nous cherchons à léviter ! grimpons ! cherchons la lévitation ! cherchons ensemble icelle ! Ne nous laissons pas démonter mais allons profond, creusons, faisons obédience (etc) à meme la paroi du monde. nous ne sommes pas de trop de deux pour creuser la roche et trouver qui des choses graves, qui des choses moins graves, etc, mais ensemble, creusons pour la bonne cause, qui est de nous voir enfin comme récompensés de tout ce travail par nous effectué à même la terre, terre-mère, soit sur roche = gravure au stylet, dessins animés etc. Homme des cavernes. je suis homme des cavernes. je chante à tuee-tête comme l’homme des cavernes. je chante que tu chanteras ainsi, je file, je chante en filant à même la paroi de roche, soit en m’’immisçant en elle, tete première comme un nouveau-né sortant du ventre de sa mère. je ne suis capitaine de rien (pas militaire). je cherche une voie d’abord pour pouvoir perfuser la roche de mon sang chargé de betes, de betes de roche. Je cherche. Je veux percer. Je veux passer l’épreuve du sang soit du sang donné par la bande et ensuite me ficher ou voir à me ficher plus loin en cette roche dure (une vie de base). je veux etre pris en elle = choyé.
mon sang donné je veux pouvoir aller à me porter plus loin = dans le sas des sas, en ce lieu des vérités indéfinissables ou incommensuralbles ou bien imprévues. car, la vie de roche contient l’imprévu des temps à vivre dans le temps. Je cherche à comprendre ce qui est en ce verbe de choix. qu’est-il pour nous ? tampon ? molleton ? condition sine qua non à un passage dans l’au-delà de la paroi du monde ? Je cherche avec entrain et conviction. je fouille dans tous les coins. je ne suis pas en reste de fouiller que tu fouilleras comme un forcené qui ne s’arrete ou ne s’arreterait jamais tou du long mais continuerait permùanemment son vibrant travail de sape, son chemin de ronde, son entrée dans la matière des données de base (rupestres). Je cherche = jke chante, car le chant induit fortement les recherches, qui incline, incurve, déplace, etc le Verbe dressé. je cherche une excpression à du mystère?. ce qui est ici se loge à vif en cette plaie en quelque sorte d’une hjoue blzessée transpercée pour servir (incidemment) de bouche. je veux être ainsi adoubé par cette autre «bouche de la mort» d’un devant de soi déployé. Je file Phil ! Je fonce Alphonse ! Je regarde Rémi Garde etc ! Je suis l’homme des parois de rage, calfeutré dans son antre, cherchant sxa chaine, tramant ses dires à même sa paroi de charme, etc. Qui veut aider ici pour y voir plus clair sans trébucher ? qui donne ? qui veut faire un geste pour cette recherche à mener ? qui va là sur rail s ? Je regarde, je vois devant moi la roche, je suis proche de la roche, j’apose mes mains sur pareille roche froide. je suis là pour ça. je veux savoir les choses ce qu’elles sont et ne sont pas. je veux être cela que nous voyons devant,, qui est animal, qui est bison, qui est buffle, qui est aurochs, quyi est antilope, bouquetin, lion, ou ours des cavernes. je m’appelle ainsi que l’on dit à voix hjaute en classe, par mon nom. Je tombe ! aie je tombe ! aie aie je tombe ! mille dieux de rage assoupis (les diieux sont assoupis et la rage aussi !). qui parle en mon nom ? qui cherche pour moi à même la pierre une entrée de pa roi ? qui veut m’aider ? qui comprend ce qui est devant ? qsui voit le sas ? l’antre ? l’outre ? la cavité ? Je m’avance et comp^rend des choses. un jour prochain j’en saurai davantage. il y a loin de moi à cette chose, qyui le sait, mais voilà, je suis prêt à braver la roche, m’immiscer fissa, et tomber nez à nnez si tant est avec une quelqconque (?) déité dite « de la roche et des touyrments», quyi sait ? Je suis l’homme au sang qui bout en ses veines. je m’appellme ainsi que je m’appelle, soit du nom porté. je suis ombre = homme (as)--tu pigé ici l’allusion de masse ?). j’opte pour une voie neuve en cette roche dure, j’opte ainsi (pour moi)- pour (en vrai) nouvelle entrée de base = les données données = la paroi percée = le sang donné. je donne mon sang à la paroi du
monde. c’est ainsi qu’ici je suis, à vouloir donner que tu donneras mon sang à la volée , comme une balle à attrapper ? comme balle jetée ? comme base vive déployée ? comme quoi ? flux sanguin qui est donné à travers la fente rocheuse; invcursion plénière. sang de base consacré. règles. temporalités lunaires; Handicap. obtention d’une prime à l’embauche. collagène. attitude de paroi des monstres? confort manquant, souplesse défaillante, âge gagnant. je tombe ! je suis tombé en arrière et je me suis esquinté les omoplates. je sombre. je suis ombre . je veux être ainsi touché comme par la grâce d’un qui sezrait présent à mes cvôtés pour 1 me soulager , 2 m’aider, 3 me donner du lest, 4, m’octroyer quelques données à me mettre sous la dent en termes de nutrimùents. je veux être pris en considération , par la bande, or ce n’est pas simple, il ,ne suffit pas «d’en être» = de la confrérie, encore faut il savoir «naviguer», «nager», «flotter», «en avancer fissa’» dans les eaux du temps. BNous voulons comprendre à fond, et pour comprendre à fond nous devons percer la chose jusqu’au fond = à la garde. nous devons aller en roche à la recherche d’une vérité concernant la mort, c e qu’elle est et le pourquyoi elle est au lieu de ne pas être. car les choses ont l’air (toujours, mince !!!!!) d’aller de soi or pas ! que non ! on peut pas le dire, et cependant... Les mots influent, gravement, qui sont formés sur tramed’autorité. les mots ont ce semblant de base, autoritaire, qui forme les choses dans un sens tout de persuasion, de certitude. nous disons que le langage parlé, les mots de rage, le parler des mots inculqués, est basé sur une trame dite «d»’autorité» qui en impose et font penser, à tout bout de champ, que les choses (toutes ou presques) vont de soi, sont vraies, ne souffrent aucune voix contraire. or c’est faux ! les mots tremblent sur leur siège ! ils
sont menacés. les mots tremblent fortement qui sont infoutus de teniçr parole longtemps, et ont vite fait de tomber à l’eau, de dater, etc. Nous voulons comprendre ici les données vives liéesz à la mort. nous voulons cerner au mieux ce ghenre de données primaires ou premières à même la terre. car, les mots sortentb (sourdent) de terre c’’szt un fait. la terre recèle les mots. La terre est l’antre des mots . la terre est le cercueil des mots et le berceau. ou 1 le berceau, 2 le cercueil, etc. je parle tout bas car ... je sais que je suis pisté ! je connais (de loin ?) l’olibrius, il s’agit d’un Roi. oui, Méga°_roi de la Roche du Temps, du chateau. je cherche à comprendre ce tout mais comment car avec quelq mots ? Je suis sur roche un homme perdu. je suis homme perdu sur toche des temps et je vais et viens incidemment à la recherche d’une déité perlière (perlée
?) qui puisse m’aider dans mes recherches (souterraines ? aériennes ? à ciel levé ?). Je chezrche que tu chercheras en vibrant. Je suis un homme des guerres aux tourments mais comment veuxtu faire la guerre aux tourments ? Je tâche d’y voir clair au plus, et pour cela je me rapproche de la paroi meuble, je m’approche d’elle au plus possible que je peux. jhe vais ainsi. hje touche. c’est touché. je sens en moi la force gagner qui veut me donner le peps nécessaire à un jet brusque de mon moi ... tracé à la ronde : pif ! adoubé = inséré ! Je suis entré et je m’assied un temps en roche. dur de ne pas souffler ! Je creuse ! Je veux être là cet homme sans voix qui va de l’avant et s’enfonce ici (roche) da,ns les sphères d’une sorte d’au-delà à une autre roche, ceklle -là, à savoir : roche des embruns de bord de mer. Je veux être reconnu comme homme des prés chargé de victuaillesz à devoir donner oà une déité de passage. qui est-elle ? je veux toucher roche-verbe. je veux cerner verbe-roche. qui est qui ? la mort est elle salutaire ? La
mort a t elle pour elle de quoi se
vanter ? est elle maitressse ? que dit elle ? ou est elle logée ? en mon sein de base ? verbe-cancrelat ? chanoine en moi ? je veux etre ici compris pour celui ou pris comme celui ou pour celui, enfin pris-compris pour celui-là que, en vrai, je suis, or qui suis-je ? Je cgherche à comp^rendre x données ici de base royale, ce que sont icelles sur un pré, dans un champ etc, pour moi qui veut vaille que vaille m’approcher d’elles pour les soupeser, les jauger, les prendre en main pour m’en faire une idée et les nommer (renommer ?) le cas échéant. je suis homme des tourments qui cherche (ici et là) sa gouverne, son chef en son propre sein de base. je cherche à même la roche gravée, soit ainsi plaqué contre icelle, mis à pklat sur elle = appuyé etc. je suis homme qui (dans son sein) contient du verbe, et ce verbe est natif, et nominatif. je cxherche à comp^rendre un certzain nombre de données qui pourraient toutes éventuellement faire l’affaire et me donner les ailes nécessaires à un envol, de fait, dans lkes règles. Je veux être ainsi soulevé et je l’annonce en pâreille roche ou en ce sas de roche, c’està xdire que j’annonce la couleur de cette chose que pour ma part je souhaite instamment pouvoir développer incidemment. je m’appelle ainsi que l’on me nomme et ainsi nommé j’avance d’un trait, d’une foulé et m’incruste vif (le passzé donné) sur roche des bois et des forêts dites «domaniales» il se pourrait. je vais en roche nommé. je suis nommé. je suis homme nommé. je suis bêtye nommé. je suis bête de paroi nommé. je suis homme-femme xdes parois nommé. Je veux l’etre et le rester. je ne souhaite pas perdre le nord, je souhaite le conszerver et savoir me repérer en toutes contrés (boussole du Verbe enchâssé en ma gouverne) . je tremble quelquefois devant l’adversité mais pas cette fois on le voit : je me risque à nommer la mort ! Je pzarle d’elle à des temps conjugués et ne m’en laisse pas conter pour rien , ou sinon pour rien pour me faire blouser par icelle. car la mort est un chenapan de sa rage. la mort est toujours là (présente) pour vous blouser, pour vous attrapper. La présence au monde de la mort ne fait pas xde doute, car, on la sait logée dans un antre qui est un ventre qui est un sein contenant des bêtres. et si ces betes contenaient la mort ? l’abritaient ? nous ne savons pas mais nous chercghons coûte que coûte et sans rechign er. on se doute ici que le mot induit la chose recherchée ou plutot : le tempo, induit (fortement) le déroulé de ce qui se dit en termes ici de recherche à mener, à conduire. la dite «musique» ici fortement indyuit qui conduit le dire et le canalise à son gré. Or voilà ce que je vois ici : je vois une mort, la mort, aller et venir en moi. le passé de moi empiète sur une sorte de paroi de temps qui est la sorte de paroi du temps dite «du temps présent». le temps est don à dé»ité, mais quel don !Le temps est déposé au pied de la roche du monde = sur la terre ferme = le plancher des vaches laitières. je suis à la recherche d’une voie d’abord afin de perfuser le temps de mon propre sang. je cherche à perfuser la roche de mon propre sang ou avec icelui on dira en premier de préférence. Je cherche ici à donner mon sang à l’intérieur du temps = règles ? Je suis homme au sang chaud bouylla nt cherchant chose = don. Je suis homme des parois du monde, je suis ombre et homme = hombre = animal = animaux car je suiis double ou en moi doublement habité par deux tetes chercheuses qui cgherchent (les deux) à donner du sang pour ainsi dire par la bande. je veux être a insi considérés comme icelui donnant du sang de lui à déité nacrée, à ce dieu des parois mobiles. je m’applique. hje tente une approche presqaue rebelle. jhe veux être un homme déployé et pour ce faire jentre dans le temps d’un déroulé en vrai quasi monacal. disons pariétal et ça fera l’affaire on voit. on voit ces betes de choiçx (bouquetins ? buffles ? bisons ? ) aller et venir sur roche comme da ns le temps. ce sont de bien belles betes au demeurant, on voit ça. on dit qu’il s’agit du temps ainsi déposé mais du temps passé qui donc ne jouit plus du même «train de vie» que la vraie vie encore tremblante. La vie vive est chose rude mais tenace. Je cherche une voie, une voie d’abord pour une perfusion voire une transfusion. qui voudra donner le sang de son passé passé ? qui perle ? ou qui parle à travezrs le sang ? qui veut y toucher (à la roche) sans se brûlerr ? qui a mis ses mains devant et tracé la Chjose du temps saccadé? Je vois devant moi une chose rude, cette chose est une chose dure, il s’agit d’un être de paroi. Chargement. qui va là sur roche ? qui me veut ? qui voudrzait incidemment de moi ? qui pour me comprendre ici ? qui me co:mprendra et m’écouteera d’abord et me donnera des garanties concernant la mort ? c’est à dire : qui pour moi me secondera, ou m’accompagnera dans ce saut de rage , dans un saut de rage, de là à là: qui ? Je suis homme des parois de roche dure, je m’enfonce en elle, je cherche mon nom : quel est-il ? doit il se terminer fiszaa ou doit il continuer le temps d’une vie allouée ? je ne cherche pas la Chose pour la Chose, mais pour me sauver, ou quoi ? comp^rendre ? qsue comprendre ? me tenir coi ? je cherche faille pour me protéger, éviter les coups du sort et les coups de bâton. je vais en cette roche innoccement quadsiment (?) à la poursuyite d’une sorte de donnée royale, princière, vive comme l’or. cetye donnée, ici, porte un nom, et ce nom je vais à mon tour vous le donner si tant est. le
nom ici est.... Chose = bidule ou machin dit «de la roche des apprêts» . retenez son nom, soit la fin. car la roche des apprêts» n’sst pas rien. il s’agit ici d’une sorte de denrée, de chose à manger , à ingurgiter. la mort a toujours fzaim et jamais n’est rassassiée hélas. la mort mange = gagne du terrain, à mesure que nous a vançons en âge. la mort est Chose rugueuse, qui file vif ici (roche) sa pelote à faire des chjoses et d’autres à qui mieux mieux afin de vous comme pousser à la faute et vous faire tomber illico presto sur roche. nom de nom ! mzais qu’est-ce que c’est que ce travail de saligaud ! car, la mort est à injurier ! toujours ! volontiers ! permanemment ! car elle le mérite : elle mérite les mots de forçage, l’incandescence, les feux de l’enfer des mots déployés. je regarde loin et quoi vois-je ? eh bien ces apprêts = cette
chosedéposée= cette chose comme crémeuse, huile de bain ? huile tout court ? huile à masser ? huile d’enduit ? huile alimentaire . huile des tourments de rage et autres faits divers? Je cherche dans la profondeur d’un sein qui est ce sein qyui est le mien. oh voilà la chose rugueuse enfin décrite, sur rochje : il était plus que temps. c’est fait et on s’en réhjouit ensemble. je tombe sur le cul et me ramasse. je suis ou serzais cet homme dees temps déployés ou déroulés comme ruban flottant flottant dans le vent. il s&’agit(peut-être) d’une... gamète ? oh peut-être ici cette chose en don et dé»posé dans le temps lunaire d’une déité est clle-ci que nous pouvons toucher incidemment peut-être par la bande ? qui le sait ? nous passons et pensons , et pensant et passant nous abordons les questions cruciales = celles qui importent au plus haut point et nécessitent réflexion profonde, échanges nombreux, confrontations vertigineuses, mises à plat sur un devant à soi du genre table ou tablée. je vois cela sous l’oeil (en moi ?) de la bête de rage, cettye bête multi-^séculaire, apparté. je cherche à la cerner du mieux possible : est-elle en moi ? est elle si vieille ? est elle une aide ou au contrzaire un handicap ? surcoût ? surpoids ? Surcouf ? je cherche à cerner le plus possible les contours de cette bp^te-mot en mot, ce mot de la mort ! ah voilà ! le voilà qui pointe son museau ! le mot si costaud, ce mot si prégnant, ce mot-massue si vif et vigoureux = ou égalerait ce «beau» (?) mot de «mort», ou même ces mots accolés de «mort à
l’oeuvre», etc. est-ce cela ? est)--on sûr s de cette chose ? peut
-on dire ainsi sans cse tromper ? est on sûr que le mot-$bête par excellen,ce est c e nom ou mot de «mort» ? on ne sait pas. on cherche dans les profondeurs. on ne veut pas passer à côté d’un xsavoir immense mais plutôt comprendre, fouiller, nous jeter à corps perdu dans la recherche des raisons initiatrices et des mots de la base de l’être. nouys disons cette chose enswemble (ou nousd disions) comme quoi merdum ! va la mort te faire foutre ! va dégage! va nu pieds de merde va loin et ne reviens pas», etc. Nous insultons. nous injurons. nous traitons la mort comme une merde, et plus que ça, comme moins que ça. NOus traitons la mort de «petite merde «. De «petite à moyenne merde»,; ou de moyenne à grosse merd» etc. Nous n’y allons pas avec le dos de la cuillère. «saleté, dégage de là», etc. nous avons compris cette chose comme quoi, la mort-déité a à être insultée pour être «chargée». nous voulons cela, charger, charger la mort, et pour cela une seule chose à faire instamment, et cette chose = in jurier fissa, la traiter de tous les noms, la foutre minable comme à l’ensevelir de termes notables. nous pensons que c ette chose est rude à faire c’est un fait, mais nécessaire à la gouverne, à bonne gouverne pour nous, à bonne gouverne pour elle (nutriment de chargement) mais aussi pour nous qui, ainsi faisant, pouvons un temps nous mettrre ainsi à l’abri de ses dents à elle (mangetou). Je cherche à comprendre au mieux les données rudes, celles qui sont dures à devoir déposer, comme les insultes, les gros mots, les injures et autres blasphèmes éducateurs. car ic, nous avons affaire à une bouche-monstre. Elle est grande comme la mort, ou oui : la mort ici a grande bouche d’engloutissement notable. je cherche des mots d’une rage à mettre sur roche, mots d’argot ? mots de merde . mots cvomment ? nous nous sommes approcjjés de la porte du temps et nous avons passé la tête un court instant pour y mieux distinguer d’éventuelles formes qui seraient logées à l’i,nté»rieur d’elle. et qu’avons-nous vu de si précieux ? un homme ? un homme nu ? un homme nu touchzant la bête ? une bête ? une bête aà ses c^otés ? wquii est-on ici qui parlons de cette chose ? qui pârle ici même à prôpos des temps d’allouage ? nous voulons comprendre ensembvle ce qui est qui ici semble se tramer. une porte (?) ouverte. un passage de grotte disons. excavation ? anfractuosité ? damnation ? nous entrons. nous sommes en un sas de roche de choix (toujours) qui nous avançons et chgerchons à être. nous cherchons des données de base royale. notre but ici est de donner des nutrimentsd de choix à une bouche ouverte ou à la bouche ouverte d’un être glouton plus que de coutume. nous voulons percer l(hymen de la roche dure des temps octroyés à une (un ?) vie (vit ?) de parole. Homme court, as)-tu vu la roche trembler ? homme aztèque, es tu de la roche comme une déité nacrée ? homme tampon, saignes tu ? homme hybride, as tu de la peine ? sais tu naviguer ? j’entre en roche nu. je v eux entrer en roche nu. homme je suis qui en roche veut ou voudrait ou
voudra entrer nu. pas plus. Pas davantage. rien de plus que cette cxhose d’une nudité à jama is.soyons chiche ici de dires alloués et donnons du dire à foison : pleurons ! Car ici, dire = (oui ?) pleurer sa rage d’être ... un enfant égaré dans un sas de roche dure. nous voulons comprendre au plus, et pour comprendre au plus nous devons pleurer !ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! oui ici ! car oui ici c’est ! c’sst ici oui que c’est, et quoi c’est ? c’est la vérité ! la vérité des vérrités (V majuscule) passe, passera, passe toujours, par du verbe dru = qui pleure sa rage enfantine (nacrée) dans le sang donné. j’opte pour le sang. je chevaucxhe le temps. je rentre dedans. j’entre en roche = je m’infiltre = je me glisse = fuselage = gaine vive au sein de l’être. j’opte ainsi pour du sang touché comme effluves, embruns et autres brumes de passage. je suis hjomme-embruns à mon tour car je passe ! je passe dans le vent. jentre. j’essaie grave d’entrer mais le vent me refoule, me repousse , m’empêche de progresser, me flanque la trouille qui me crie dessus vcomme un forcené. vent fol des parois de roche. je suis sourd (devenu ?) à ses appels de rage déplacés. je veux y aller de mon propre chef pour comprendre (viser) et en revenir instamment sans y passer complètement, mais cela, tu parles, la mort n’en veut pas qui me refoule en veux tu en voilà comme (à son tour ?) une merde ! un qui ne compte pas ! un qui ne fait pas le compte ou n’entre pas dans le décompte ou ne fait pas partie du nombre. est-ce cela ? je voulais entrer et voir (com^prendre , jeter un oeil) mais non ! pas d’oeil ici à jeter qui se voit refloulé, écarté , eloigné du globe et tenant à peine ainsi : par un nerf atttenant au cervelet. fichtre ! quel
vent ! il s’agit du vent de la mort ! le vent furieux tenace, qui nous pousse vif, ou qui vif sait nous repousser colmme de rien, comme un fétu de paille, une herbe dans le vent, un rien pariétal : aurochs ? hum ! l(aurochs campe sur ses positions et ... resiste à mort ! c’est à dire à la mort (il faut). l’aurochs ou le bison, le buffle ou le méga)-chevreuil, le troupeau de buffle, les chevaux, les antilopes et les rhinocéros, tout cela fait bloc et tient bon face aux courant venteux provenant d’icelle échancrure de roche de la mort à l’oeuvre buffant de tout son saoul sa gageure, son embonpoint, sa mainmise, son train, sa rage perlée ou perlière, son aimant, son sel, sa vie , sa chance, son paradis.
7/3/2022
Notre but est de comprendre dans les profondeurs le plus que nous pouvons concernant ici icelle paroi et icelui «devant» qui nous regarde. Pour ce faire nous nous blotissons l’un l’auttre, nous tentons de faire coprps le plus possible, soit 1 corps, 1 corps regroupant nos deux corps ainsi soudés par ... du Verbe. Nous cherchons ensemble à comme nous projeter en cette roche des données de base. Nous sommes ici deux pour un. Nous cherchons à comprendre dans la profondeur d’une joie ainsi présentée. Nous nous avançons ensemble soit soudés soit unis soit pris comme on dira de deux morceaux de bois collés entre eux que la colle a pris, qu’ils sont ainsi unis en quelque sorte par la colle ici d’un effet de rage?.; nous nous blotissons et en avançons sur ce chemin ici d’une roche dure, sur pareil chemin de rage, sur une voie ou route de passage, etc. car, pour nous, la vie devant soi», ets celle ci que nous voyons formée comme une masse déposée au pied d’une divinité, un présent d’offrande, du temps pour les rêves, une voie de rage, un essai de doublement des choses du monde. Nous nous avançons unis et nous regardons ce qui advient, et qu’advient-il ? Nous voulons aller ensemble au plus profond de pareille paroi. notre envie est de comprendrec dans la profondeur de la paroi ce qui donc se passe, ce qui est et ce qui ainsi nous regarde. Nous cherchons à nouys blottir en elle, à creuser profond jusqu’à toucher le Verbe si tant est. czar le verbe est ici logé qui nous regarde. il a fort à faire : il se doit de nous suivre à la trace et ainsi fait, de nous espionner ou sinon de nous suivrre sans arret, nous mater de base, etc, de façon à ne jamais , pour ainsi dire, avec nous, perdre le contact. nous devons comprendre ensemble ce qui est ici de cette chose qui va là, en suite royale, pour nous espionner de visu. Il s’agit de quoi ? il s’agit du Verbe. car, le verbe est là qui nous regarde de là-bas ... soit de là ... soit d’ici ... soit de tout près = cet endroit de base, ce lieu des dépôts d’offrande, ce seuil. or, quel est)il ? qyuoi donc est ce seuil ici présent ? verbe incarné ? chaleur de type rut ? amitié de rage ? ombre ? NOus voulons comprendre ensemble ces données qui s’offrent à nous et pour cela , nous avons ensemble décidé en amont de nous loger en cette roche (dure) des tourments en veuxx tu en voilà, collé serré, en elle comme deux oiseaux ou oiselets ou oisillons qui de fait se pelotonnent pour braver lesdites choses de la vie. nous devons ensemble cerner (là) une vérité de base qui nous tend les bras, et cette vérité est celle-ci que nous devons comprendre ensemble par la base, par le pied pour ainsi dire, chose à vite vite cerner par la base ensemble et vas-y à y comprendre davantage sans cela ! Car, la vie naissante ici est vie de rage. un poids lourd. un beau poids qui pèse son pesant de rage !! nouxs voulons comprendre ensemble cette chose d’une Voix qui parle haut, nous dit de toujours nbous tenir prêt et prête à tout moment, ne nous l^zache pas «la grappe», nous sermonne un peu aux entournures, nous parle d’une voix qui va de son allant nacré, de son timbbre lourd. nous devons comprendre ensemble un certain nombre de données liés à des sortes de vérités qui sont vérités de bon aloi, qui sont vérités de première instance, chant d’azur, honte bue. Nous nous faufilons à travers la paroi et hurlons notre rage à être ainsi tenues par (en nous ?) cette voix de rage introdyite, ce chant fzaux, cette sorte d’incartade, etc. il s’agit pour nous de nous (en quelque sorte) délivrer ensemble de ce mal de rage à être un animal en soi contenu. Nous ne voulons pas décéder et cela étant dit nous nous introduyisons ensemnble au coeur du temple, en ce coeur des coeurs, au fin fond. nous tenons à ne pas lâcher notre mission, nous tenons à poursuivre ensembvle sur notre lancée et à ne pas lâcher pareille mission qui nous voit aller dans la roche du temps à la recherche de la vérité des véérités. notre encvie est délimitée. elle appartient à un corpus. elle est introdyuite, elle est achevée et acheminée. Nous disons que nous voulons comprendre ensemble cette Vérité de rage déposée ou comme déposée sur le seuil ici d’une sorte d’Entrée en matière. notre vie est dépandante d’icelle = cette Cjose devant soi, ce bouledogue ou sinon cette bête-monstre, chenapan des loges, homme-bete ou bete-homme des apprêts. Nous nous voyons ainsi comme perdus, ou comment sinon ? détachés ? décollés de pareille roche ? et à nous de nouds y replonger comme par lma bande = par le temps ? nous voulons entrer en cette roche de paroi, de paroi dure, entrer en elle et mieux cerner dès lors l'ensemble des tenants et des aboutissants de cette voie d’abord, de ce chemin sa,nglant, de pâreille issue devant soi qui semble vouloir pour ainsi dire nous ouvrir ses bras comme un ami ou une ami (e) chr(esrs. nous Voulons entrer en cette Chose devant soi qui est de ml’ordre des choses données, qui est outil , siège, pa role, contact, etc pour nous. Il s’agit ici , de toucher la parole de front. il s’agit ici, pour nous, de toucher icelle, de front, et de lui bparler. s’agit-il pour nous de toucgher icelle (pa role de front) et de lui parler ? Il semblerait que oui ! Il nous swemble ici que nous devons aller au fond en quelque sorte d’une sorte de paroi des profondeurs verbalkes, nous devons cerner ici ensemble les fonds de la roche afin de mieux comprendre les données de base présidant (de fait) la vie de ta race ! Nous voulons aoinsi ensemble toucher le fond. Nous devons ensemble (toi et moi en nous) toucher le fond d’une sorte de langage abrupt, sorte d’incartade ici tenue, qui est écart, qui est encart. Nous voulons toucher le fond d’une sorte de roche du temps. pour cela nou!s nouys blotissons l’un l’autre, l’un dans l’autre, nous faoisons corps. La chose estcruciale. Il faut voir cela, comùme quoi pareil effort ici = une volonté = un désir = cette envie en nous de traverser la roche (le temps) et de nous loger ... à la droite d’une déité ... qui serait celle-là même que nous espérions rencontrer depuis longtemps ! Nous disons cette chose , là, comme quyoi icelle déité de roche = une sorte de divinité des choses du monde = un voeu, une sorte de V, etc,, qui est ce V moultes fois rencontrées depuis notree naissance = vbVérité de bon aloi = Vérité des Véreités = vanu pieds. Nous disonsq ici que nous devons toucher ce va nu pied venant vers nous, le toucher du bout des doigts, le toucher à même la roche des temps (du Temps). Nous voulons toucher cette ombre, cet homme, cette Chgose, ce Vent, ce va-nu pied tel qu’il nous apparait. Nous voulons toucher cet homme devant nous qui nous regarde et semble vouloir nou
!s parler. Nous voulons aller vers lui, nous voulons le toucher au vif. Nous ne voulons pas le laisser de côté et le snober mais tout au contraire le toucher de nos dix doigts, le touchger en vrai, concrètement, pleinement et amicalement. il sw’agit pour nous de comprendre ici la raison qyui nous pousse (de conncert) à vouloir en vrai aller profond dans pareille loge ou roche de contenance. nous sommes ainsi ensemble mis ou mises ou soudées, pour un faire qyui concerne ici la Vérité des Vérités, ce quartier, cette loge, ce sein, cet endroit des données profondes ou aux données profondes, ce drôle d’endroit», etc. Nous voulons ensemble toucher cette chose devant noys qui nous regarde, il s’agit peut-être ici d’une sorte d’entit-é de base, formée ou dessinée par un homme ou une femme des cavernes : un aurochs ? nous voulons essayer ensemblke de nous approcher d’icelui aurochs. Notre envie est de nous approcher, à pas doux, de pareille bête de poids conséquent. nous voyons la bête devant nous , eelle est drôlement osseuse et massive et forte-folle, etc, elle pèse son pesant de rage c’est un fait. Nous voulons ensemble nous en approcher via l’emploi de «verbe de poids» tout autant = feu contre un feu ou comment ? nous faisons le pendant ! Nous tentons ici de faire ainsi que la chose soit, que pareille chose ici d’une sorte en quelques sorte de contre-poids, ou bien de contre-chant, ou de contre-balancement puissent nous donner de quoi rétorquer et peser en face, peser à notre tour face à la bete devant nous dressée qui nous regarde méchamment et semble vouloir attenter à notre vie de rage à nous. Nous cherchons à comprendre
ensemble x et x données qui nous en apprendraioent en quelque sorte sur les rudiments d’une façon d’agir en face» de pareille bete. Nous voulons apprendre ensemble à comment nous en sortir, à comment contourner, à comment toucher
sans se brûler les ailes, etc?. Nous sommes deux. Nous sommes soudés. Nous sommes unis pour la vie en un sein de première instance. Qui vient à nous qui nous regarde ? eh bien peut-être est-ce un aurochs ? ou bien qui d’autre ? qui veut nous voir et nous parler ? qyui veut nous toucher à son tour ? qui est là pour nous, qui veut nous toucher et nous adresser mla parole ? une sorte de bête de rage enfin dressée ? une sorte de bete des parois ? animal domestiqué par lm’homme des cavernes ? animal des parois mobiles ? animal mobile des parois d’une sorte de rage à être ? qui veut savoir ? qui dit que cela est ? qui en nous parle un langage des entrées en roche ? qui veut nous toucher à même notre peau d’enfant naissant ? qui veut nous toucher déjà tout enfant ? qiu a compris ceztte chose ici d’une sorte de parole ... incarnée, devant soi (le passé déposé) qui nous regarde ou regarderait fixement comme un dératé ou désaxé ou comme le fol de sa rage à être devant nous l’homme-ombre des parois du monde : qui ? car, la vie est vie de rage, elle se déploie en quelque sorte dans le temps comme un ruban. Nous ne sommes pas trop ainsi de deux, pour aller en cette roche dure d’un verbe incarné = une mesure, un poids, une sorte de poids de rage, drôle de mesure etc. nous cgherchons. Notre but est là quyi est noté en toutes lettrees sur la roche et ne souffre d’aucune sorte de , comment dire ? déclinaison ? non ! comment alors ? nous cherchons ! nous sommes sur un chemin : est-il le bon ? devons-nous poursuivre l’aventure ? devons^-nous creuser plus avant la roche et tenter de «lever des lièvres » pour ainsi dire = des données = des savoirs = des données de base = des
savoirs de roche, etc : devons nous creuser ensemble ? devons- nous creuser le Temps du dire assoupi ? devons-nous creuser assoupis le temps du dire ? quelle est donc la vérité à mettree en branle ensembkle ? qui connait le chant de la roche ? qui a cerné ou bien comp^ris icelle chanson des grandes largeurs ? Nous ne voulons pas cessezr de gagner du terrain à petits pas comme nous faisons. nous savons que nous sommes deux à chezrcher ensemble le chemùin menant à la paroi des vérités de poids. Le poids ici importe, qui parle fort, quyi vitupère, gronde, pèse lourd son poids autoritaire, son poids de paroles fortes,
de paroles rudes. Nous sommes sous le choc ici d’une sorte d’image , ou d’une imagerie votive conséquaente : quelle est)-elle ? patriarche ? homme fort de sa force brute ? colère idoine ? Qui s’avance .? qui est là qyui nous regarde avec nos propres yeux pour ainsi dire (= ici ! en-soi des pârois ! charge première ! naissance assistée !). Nous voulons aller en roche à la renconttre de l’aurochs des p^rés ou de quelle autre bête ici même sinon ? bicxhe des bois jolis ? chevreuil au débotté ? cerf des paroles avouées ? Je suis l’homme-femme assoupi parlant sa lmangue vive (de la vie) à même le temps déployé comme un tapis. je regarde devant moi et vois la CHose ici qui se dandine, qui jhoue pour ainsi dire de son popotin, qui m’attire à elle, semble chercher ici à me faire aller quelque part que je ne connais pas encore. où ça ? ici même ? seuil de base, corps de ferme, danse natale, colère du vin, chaleur des parois étanches, contrechant pour le coup votif, dureté à même les temps dessinés par des hjommes et par des femmes de temps plus qu’anciens. nous nous acheminons et grimpons et montons sur la bete et sur la bete (ainsi montés) nous y voyons loin. nous voyons tout le paysage; il s’agit d’une vallée, il s’agit d’herbages, de bois et de sous bois : la campagne environnante. Qui sait où c’est ? qui connait les lieux pour nous aider à nous rep^érer ? Qui sait de quoi il en retourne ici ? qui ici a déjà parcouru les lieux et pourrait nous indiquer ce qui est, par où passer au juste, comment ne pas se fourvoyer mais tout au contrzaire trouver le chemin qui convient, ce chemmin de rage prégnante, ce chemin de voix offertes, hurlée ou pas mais posées comme des présents dans une caissee, ou comment dirons nous la chose ici présentée ? Nous ne voulons pzas tomber à la renverse. notre but ici est de nous tenir bien campés sur nos quatre pattes, sur nous guibolles, sur nos étais. nous voulons aller ensemble (elle et moi) en roche ainsi et ainsi muni (étoffées) comme nbous le sommes : voix, peau de rage, pleurs, cris des chants du temps, etc. chqacun chacune voit ce qu’il doit voir. il sw’agit en vrai d’ouvrir l’oeil et de ne pas du coup se faire embarquer dans une tourmante qui vous ficherait vite fait bien fait plus basque terre, c’est sûr ! c’est écrit ! cela est écrit ici sur roche par un homme des cavernes ou par une femme des caverne c’est égal puisque derriière cet homme ou cette femme il y a qui , il y a la bete des rocghes dures ! il y a l’aurochs velus ! chevelus ! poilus ‘ etc, cette bete-mot déplissée qui dit son trajet et son dire de base tel que nous serions nous à devoir l’entendre. nous nous blotissons et cherchons à comprendre ici cette chose d’une roche dure de la Vie, ici, déployée = temps d’un parler vif, temps venu d’un dire homologué, temps enfin arrivé d’une venue venant direct des prés de roche. qui vient ici ? qui s’approche ? une bête, c’est ainsi ! Nous voyons la bête et elle nous voit. nous sommes face à face. il s’agit d’une rencontre ... cruciale = première = primitive = collégiale ou comment dirons nous ensemble pour la qualifier ? qui est là en nous qui cherche une voix ? qui cherche une voiix et une voie ? qui cherche passxage de stentor ? qui cherche en nous ici ce passage pour la voix qui déclamera son statut de rage ? qui est là en moi qui parle pour moi et chyante à tue-tete un pareil chant de rage pêrlée .? je cherche = nous cherchons = nous pleurons = nous allons sur roche du temps («la vie devant soi») à la recherche d’une sorte d’entrée en matière capable ainsi de nous pousser ou diriger vers des v érités à bien cerner ensemble = elle et moi en moi. Nous = je + je = une sorte de jeu d’enfant à mêmùe terre-mère = tourments ? Nous voulons comp^rendre ce qui est, et pour cela nous allons ensemble ici en roche toucher la paroi du monde = du verbe perlé. nous voulons ensemble toucher cette roche du temps déployé, déployé par la bande (langagière) d’une destinée en ^particulier, soit d’une destinée appartenant à tel ou tel sur la surface de la Terrre. nous nous accolons = nous faisons corps = nous naissons = nous sommes cdeux = nous sommes enfants = nous sommes pris = nous sommes compris = nouis sommes ici comme dans un antre de mère vive. Nous cherchons ce dire de nous, qui puisse indiquer un trajet, une direction, un passdage, une entrée, ou bien une sortie etc. Nous ne voulons pas perdre le nord ! Nous voulons aller en roche dans le temps qui est temps d’une roche des TEmps. nous voulons toucher à une cxhose qui sezrait ... chose de la vérité des temps offerts comme par la bande (langagière) d’une sorte d’embardée princière (premmière). Ici est la Vérité. Ici nous touchons à quelque chose des profondeurs, et, le touchant, nous nous faufilons dans ce sas de paroi meuble = mobile. nous cherchons les mots de la chance. nous voulons toucher la roche à même le Verbe ... soit la peau du monde ? peut-on ? peut-on toucher à vif pâreille pelisse de bete venue devant nous nous offrir son être divin ? qui parle quand je parle ? qui en moi parle quand je parle ? qui dit en moi ce qu’il a à dire ? qui parle pour moi ? qsui pour moi
exprime ses pensées de rage ? rage belle, rage rebelle, rage des abris, des antres, des zones de replis, des sas. Nous creusons la roche du temps, nous cherchons à comprtendre les données subtiles. qui va de l’avant ici même (chant) sinon l’ettre en soi de la rage à être ? à quoi être? à être un enfant de la pa role due ! ou quoi d’autre ? car, voici le temps venu de casser la glace, de briser ici ce qui gêne aux entournures = ce corps ! Nous voulons aller profond et comprendre enfin les données qui ici président à une installation en soi d’une bête de poids comme surneuméraire à notre corps. Nous voulons comprendre en ous pourquoi ici même (corps) cette bete comme surnuméraire = un doigt, une main de trop , pourqyoi ? qui en moi se loge ainsi qui veut s’échapper = sortir du cap de ma raison native : qui ? qui cherche à ? qui veut dès lors ? qsui souscrit à ? qui a pâreille volonté comme enracinée en son être, et par là même en nottre fief auto-régulé il semblerait : qui ? qui parle pour moi et dit les mots d’un cap de première ? qui en moi est la bête à voix, à verbe, à co:;ère, à haine = ce mal à être un homme de joie tel que je me dois (? ) ici -bas (?) de l’être pour moi. Est-ce cela ? Je suis chercheur, je cherche en laboratoire. mon être chercxhe en laboratoire. nous sommes deux (l’êytre et moi en moi) quyi cherchons de concert en laboratoire = toit du monde ! caillou ! ordonnance ! Je veux toucher la roche du temps et la traverser à l’aide de (nonchalamment, mùais vivement) mon pic attitré de roche ou de percée de roche = cette chose rosse sortant de ma bouche grande ouverte. passage forcé. cailloutage, etc. je xse,ns cette chose ici d’une traversée en moi de la bete de poids surnuméraire. la bete traverse, pazsse un cap = une raison humaine = un phrasé alzambiqué, etc. la bete est sous le charme d’une voix externe, un chant nuptial, pa role d’évangile, attirance de re^ve ou des rêves, chant d’azur émancipé. je tente une approche et touche la roche. je suis un homme des (doux) sentiments de base masquant bisque rage d’enfance incréée. Je vais sur le parvis. je m’approche de pareille bête meurtrie, qui, devant, devant nous, cherche à nous parler, à commmuniquer l’ensemble des données de présidence. Nous voyons la bête devant nous, comme une hydre (un ?) , comme quoi ? nous voyons icellle bête devant soi, elle charge, elle pose, elle pèse, elle est grosse, elle mesure long et profond et haut. qsui est-ezlle ? est-elle pour nous la Voix ? est-elle pour nous la Voix qui gronde ? squi est-elle ? qui est-elle pour nous ? qui est-ellle devant nous ? qui est-elle qui nous mate dur ? qui est-elle qui cherche à nous toucher de même ? est elle en vie ? est elle en mort ? est elle un rire fort voire trop fort qui nous assourdit ? que veut-elle avec nous ? veut-elle nouys faire du tort ? veut-elle nous toucher à mort soit à kla mort ? veut elle nous toucher jusqu’à ce que la mort s’ensuive et nous laisse là, pantelant ou pantelante, sur roche tremblant ou tremblante, sur roche assoupies, morts ou mortes comme de juste, misérables ? a t elle envie de nous voir morts ou mortes et entérrés ? a t ellle envie de nous voir retrouver la terre ? a t elle envie de nous voir nous immiscer dans la roche sinon de terre mère (ouh !) disons de la roche du temps , disons de pareille roche du temps : estt ce ainsi que les choses tournent ? ou s’en retournent ? Est-ce ainsi que nous devons faire = toucgher ... le Temps par la bande ? Devons-nous aller en roche dans le sang, ou comment devons-nous faire ? Nous voulons aller en roche dans le sang ! nous voulons aller dans le temps devant = le sang versé = donné = offert devant = offrande à déité consacrée = offrande aux dieux des pzarois perlées ! Nous sommes deux : outrage !! nous sommes deux qui venons dedans et creusons de notre rage ! Nous disons ici que nous cherchgons ensemble à poser des banderilles, à touchyer de biais dans un premier temps, mais pour ensuite aller au loin, au p;us profond, au plus que nous pouvons aller. Nous voulons aller au loin, chercher de quoi comprendre ce qui est qui nous entoure . Nous voulons toucher la roche du temps et ainsi faisant aller loin dans les connaiossa ces, percer roche pour trouver, percer icelle (roche du temps) pour trouver sortes de vérités à transposer, à poser sur paroi comme dessinées, gravées, à même la pierre. Nous voulons aller profond et toucher le verbe incarné = la roche mobile, l’onglet, l’antre, le bonhomme des temps, l’hydre chevelu, le tourment des ans, la peine, le vif ou kle plus vif de la colèreancrée. notre but est affiché et porte un nom, un nom de rage s’il en est, qui est celui que nous portons chacun et chacune pour soi depuis la naissan,ce. voilà qui est dit deux fois (au moins) sur paroi mobile. nous avons à dire ici une chose rude, cette cxhose est rude du fait (oui !) que nous sommes nu.es et frêles et perdus commùe deux enfants qui (dans la forêt, dans un bois) cherchent à s’y retrouver?. nous sommes deux qui sommes égarées et qui de ce fait cherchons à nhous y retrouver, à trouver passage, à trouver par où passer ensembvle sans, plus que dee coutume, avoir à galérer pour faire ainsi qu’une clairière, un chant, une voix nous apparaissent et nous disent ce qui est et comment aller. nous voulons toucher kla chose ou chose de poids devant nouys = masse = poids lours = remorque = chaine = trame = tissage des endroits perdus = colère d’une déité incorporée. je suis l’homme ici qui va à la recherche d’une déité incorporée à la paroi du temps. je vais, vers elle, en parlant, marchanht etc. Et si le temps était ce dieu «de rage assoupi» ? ou non : cette déité des passages induyits ? ou bien : ce cheval ? aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah voilà lui ! Voilà itou ! ou voilà ce qui est qui va et nous regarde devant nou!s, qui ici se pointe,
qui pointe son museau, qui campe, qui se campe devant nous dressé comme un piquet. je suis là qui voit la bête devant moi (mes yeux sont ouverts sur le monde) et cette bête est bete de joie = je, pour ma gouverne, gouverne première (printanière) mais ... quoi de plus en vérité ? je = joie. je = jeu. joie = jeu. Jeu = voix qui cherche à se faire entendre «par la bande» c’est dit. je suis «je», homme des ravins, des endroits de dangers divers, endroits comme ouverts et qui sont risqués. Je veux faire ainsi que je pûisse aller, fissa, à travers la lande, à cheval, à) la recherche d’une déité des prés, des praireis, des bois et si-ous bois, en la personne de Bambi (peut-^ttre) ou de qui, sinon ? car ici, le chevreuil conserve à nos yeux ses attraits. il est juste ici de dire ainsi, comme quoi la biche, le chevreuil, le cerf, le mégacerf, etc, conservent à nos yeux tous leurs attraits, et ne manquent pas de nous attirer. nous devons comprendre loin ce qui est ici question attraits, et commùent cela ? en parlant à tout va à tue -t^te à mêzme la roche du temps ? en faisant squoi ? Nous voulons aller loin dans des domaines en vrai de connaissances encore inexplorés de nouis. nous voulons essayer de comprendre ensemble ce qui est, qauestion roche, roche meuble , roche mobile, roche dure ou pas, etc. nous nous approchons d’une bête rosse, bête massive, elle trône grave devant nous et nous regarde. qui est-elle ? le passé ? le pazssé déposé .? lez présent sur roche : cette offrande du passé ? lme présent ici est ou serait du passé que nous déposons / déposerions (de rage ?) à même la roche du temps ? est il ce passé déposé de la sorte ? est il une offre vaine ? est ce ainsi que les choses sont comme par la bande ? nous cherchons ensemble = à deux = vifs /vives = nous = NOUS = vous aussi , à comprendre cette chose d’un devant de soi temporel habité de fait par une masse qui est langage et plus que ça, qui est le Verbe de céansq, la roche plénière, le temps adoubé, le parlement. nous voulons aller en roche pour dire la chose et du coup la mettre (vite fait) en ceette sorte de lumière vive qui est celle d’une entrée solaire dans la pierre, au coeur d’icelle, au plus profond du coeur (pariétal) d’une sorte de donnée ... de base royale. Je = jeu = j’ y ! j’y quoi ? j’y suis j’y reste ! Car ainsi est-ce, que (là, pour soi) je = j’y = joie. je vuex être ici pour toi l’homme du comment dire changement brutal de paradigme . changement des changements. Je suis homme défait (ou tout comme) pour un dépliement de l’être en moi. je suis l’homme défait (déplissé ?) en moi par le temps du verbe ou comùment sinon ? je suis déplissé par le temps, je suis déployé, déplissé-dép^
loyé, dans le temps ici d’un xdéroulé de rage vive = en vie. qui l’eût cru ici ? qyui a cru que cette chose
allait vraiment advenir ? déplioement, déplissement, dépleoiement, etc, dans le temps = verbe assidu ! assoupi ? je vveux toucher à Roche des prés. Je veux me rapprocher de roche des prés. je veux être roche des prés. je veux comprendre icelllle rochge des prés adjacents concomittants. Je suis (szerais) un homme au sang coulant dans des veines de temps. Je serais un homme ou cet homme des temps au sang royal coulant en moi commùe une sorte de denrée de choix, aide alimentaire, nutriment donné par la bande en moi. Je syuis ou szerais cet homme dit femme dit homme allant de l’avant, dans le temps, comme dans une roche qui serait percée. je suis celui-ci qiu veut toucher la roche rude, rude et dure des parois, du monde entouurant, etc; Je veux ettre homme de la joie à naitre ... au monde verbal . Qui le croit ? qui est pour moi être de bon aloi ? qui est ici ou là pour moi cet être donné, ce don de rage, cette voix ? qui suis-je que je ne suis pas ? qui est là pour moi comme une sorte de paroi votive à devoir percer ou comment sinon ? Je veux ^$etre l’homme de la rage à être. je veux être l’homme aux sentiments exacerbés, a&ux paroles fortes, au sang chaud, aux allures de bêtes qui grondent. bete monstre = betes-mots de rage = parler de la lande = paratonnerre. je veux là être ça= cette bete fauve forte: lion ? cri ? vue d’ensemble sur une vallée primzaire ? Je veux être ici un homme qui voit et pige vif et peut dès lors aller plus loin xdans le domaine de la connaiossance des choses natives. je veux être homme des temp^s impartis, offert en offrande pour ainsi dire (d'une part de moi = le passé nacré) et pour cela («à toi à moi») la balancelle ! la balance ! la balançoire ! l’escarpolette ! je me joue d’un monde, enfantin, à comprendre par la bande = la raison première, à savoir ce monde (intéreiur) des rochers de grave, de roche allouée. je vais (vite !) en c e sein des seins. mon antre est celui-là même que je vois se dessiner (devant moi) à main levée:= effigie d’antre, ventre dur, colère allouée, gageure sur paroi de roche, escarpolette, dancing. je suis cet homme des roches allouées à une vie rêvée ou tout comme en v érité car,peut-on se fier aux donn,ées de base ? à pareilles données qui (dépôsées en nous) nous semblent comme surajoutées à de l’etre ici comme caché en nous va-t-en savoir où. Nous voulons vider le corps (le notre) de sa chair de base et le remplir de vie d’emprunt, de vie éternelle. comment faire ? par le verbe ? alors si c’set ainsi , comment ? comment on peut faire eznsemble pour s’y prendre et déloger ainsi la bête en soi ou en ous autres qui so:mes pleins et pleines d’une sorte de masse dure (temporelle) comme d'un intrus : comment pouvons nbous ? il y a en ous une sorte de masse de poids (masse dure ici ou là) en nous, qui sembkle ou semblerait vouloir peser = pesezr lourd dans la balance = enquiquiner. Nous voulons toucher pareille masse qui (masse) se laisse regarder en tant que telle quoiqu’elle sache (au fond d’eele-même) que cela m^eme qu’elle montrre d’elle n’est pas elle à proprement parler mais succédané. Nous nous approchons d’une sorte de masse posée devant nous. nous sommes deux (comme toujours) qui cherchons à contourner la cxghose, à la voir sous toutes ses coutures, à prendree la température de cette chose ici déposée. nous essayons de faire cette chose de pouvoir nous approcher. Nous sommes qui cherchons à nous approcher de la bête. cette bete est lourde, pesante, massive, un poids de rage, poids mort comment dire, âne mort, poids lourrd de sa rage, bete prisonnière d’un effet de masse. je m’approche de la bête ici meme déposée comme un présent (offrande) aux pied d’une divinité (le temps est posé conséquemment). la déité de paroi dure est une déité de rage, déité postée sur ce devant comme (qui sait ?) un Père en soi autoritaire et menaçant. je vois la chose crument à présent et je chercjhe à la décrire au mieux possible. la bete (devant soi) = bete de paroi = dessin. ok . mais pazs seulement cela (on le comprend bien) ... mais aussi : l’aurochs = le Verbe échevelé = cette masse dure (une masse déployée !) qsui est, devant nous, du temps à dépenser ... encore à venir. le temps devant soi est masse bestiale, agréments de rage, perles posées en guise de dons à une sorte d’animal phénoménal, charge majeure, colère intégrée. la ici (bete) est , o,n le voit , rage à (ici même) etre l’enfant ou lk’enfance. je = cet enfant portant
pareilllee bete de poids en soi : cxomment faire en étant enfant ? eh bien en ‘subodorant» la chose : perspectives, projections, ciné-pariétal, catalogue pour une destinée à vivre tout du long en tant que voie d’abord à déité. je suis l’enfant-de-rage, l’enfant-roi, aurochs nouveau-né,, vile pensée de base ? cariatide ? Qui suis je ? Je suis homme-bete = mot de rage? Verbe cru ! bisque bisque la pareille ! va au loin et vois ! mate ! charge la Chose, cette chose devant toi, cette chose devant toi qyui la regarde ! et elle de même, de te regarder vive, de regarder à vif, de voir à vif et fissa la chose en toi, qui est quoi qyuui est du verbe de parade ! charlatanisme ! oh l’envoyé ! oh le larbin ! oh l’homme à tout faire ! oh galère ! oh homme de peu qui vaque à ses affa ires do:mestiques coutumières ! qui es-tu homme du balai ? je suis homme balai, je ramasse grave, j’en prends en veux tu en voilà à longueur d’année, je ne suis à l’abri de rien. ma vie est une chierie ou comment ? chienlit ou quoi ? on dit comment ? Oh ma vie ! rudesse ! royauté mais rude ! ouh la, vif de vif à la rude, etc. Jecherche à me glisser dans une roche des parois mobiles, des parois du monde vivant, charlatanisme et autres viies d’esprit à ne pas suivre ! squi a dit que vif = vivant ? quui dit que vie vive = la vie, quand le vif du présent déployé (offrande) est du vif décédé, trépassé = le passé (très passzé c’est fzait !). je cherche à comprendre. je suis celui-ci dit «de roche dure», l’homme écartelé en lui par du verbe ici de bon poids surnuméraire./ mon nom est affiché à l’entrée du monde sur ponton, comme sur panneau (panonceau) de signalisation rupestre. aurochs dis-je ! Je m’appelle l’aurochs ou même Aurochs tout court. quand je chante on dit ou on dirait que les choses vont ou vont mùieux. ma voix se greffe à la roche du temps déployé, déplissé à même la pierre tombale (ou à même la pierre d’offrande). je vois loin car je suis en moi porteur de l’oeil bestiazl de la bete cachée en mon sein (surnuméraire) d’homme (feemme) des données de rage. hje file (vif) sur roche et voit cette chose de la mort à l’oeuvre incidemment. hje veux toucher zau verbe sacré, merde ! Moi ici je veux ! Je suis fhomme et fhemme ou qui suis-je, en roche du temps logé(e) ? Je me positionne en tant qu’être de paroi recherchant la vérité sur une chose déplacée ou si,non déplacée peut-être placée à bon droit mais menaçante incidemment, pour nous ou à nos yeux, du fait qu’elle charge ! qu’elle rue ! qu’elle vitupère gravement ! qu’elle nous regarde (devant) d’un air de deux airs ! je veux être homme des temps forts et moins celui -là des temps affaiblis par des coups de masse de rage sur nous (habilitatation) qui cgherchons ensemble à savoir du monde ce qu’il est en vrai. nous voulons toucher et cerner, soiyt : toucgher-cerner et c’sest marre pour ainsi dire ! Je suis cet homme qui (en vrai) cherche que tu chercheras , et vibre que tu vibreras, et fouille que tu fouilleras, et vais que tu iras, ou va que tu iras, etc ! un cghercheur de perle princière ! un chercheur de rage allouée ! homme-femme-enfant (un seul être vous manque et tout est dépeuplé) de la rage à être l’etre des tourments, des ennuis de toutes sortes, sur roche. comment être sinon vif ici, pour être = pour être vivant de roche dure ou dit vivant de roche dure : commùent ? je m’enfonce pas à pas. j’avance en cette roche dure des temps donnész donnés par soi (ou par nous) à l’entrée (= à la naissance de notre mobile). quand je touche vla paroi ça va. je suis homme des temps vifs comme amenés à ébuliition ou tout comme afin de , enfin, déployer pour nous la Chose, d’une vérité à pouvoir (devoir et savoir) graver à même la roche. je m’enfonce en elle. je suis comme dévasté par en mùoi du parler brutal (hominien bestial) qui plombe, m’empêche d’être si tant est, et me catapulte ou presque (direct) en tombe de hjoie (ou non : en tombe ... pour soi). Je vais ainsi qui m’avance en paroi , cherchant un mot, un nom, une parole de bienvenue mais elle ne vient pas : pourquoi ? qui a dit que j’étaios frêle ? qui a dit que j’étais menu ? que j’étais timide et doux comme un animal de douce comp)agnie ? qui a parlé de moi ainsi ? qui me voit ainsi ? qui sait de moi des choses de razge ? qui comprend de moi icelles choses d’une foi à être ici lm’homme-femme des parois ? qui pour me plaire ainsi ? qui voudra me dire ce qui est de pareille donnée mais pas seulement, aussi du Verbe déposé en guise de présent, et où ? sur ce devant de soi dit «temporel» = masse bestiale ventripotente, bouc ? Je fonce rude. Je colle à la source. la voie s’ouvre devant moi au fur et à mesure mais en vérité de qyuoi s’agit-il au juste ? est-ce voie d’abord pour une perfusion de l’etre ? est-ce voie d’abord pour une perfusion d’etre à petits pas ? qui porte en moi la raison ? quoi en moi se parle ainsi ? qui parle et porte en moi cette raison ? qui est qui en moi ? suis-je moi pour moi ou bien je suis la voie de l’animal battu, aux coups reçus ? Suis je bete de paroi meuble ? suis je ignare ? suis je l’enfant vil de la naidssance, recouvert de merdxe et autre vernix de bienvenue ? comment suis-je ? suis-je le parfait bandit terrestre ? cvolère des dieux ? cocoricocoboy ? chercheur d’empreintes ? colllargol ? qsui suis je ? un petit de rien du tout déposé en roche par la bande langafière d’une confrérie antédiluvienne ? les mots quye j’apprends sont des mots de rage latents, ils s’incrustent en moi comme des pseudocytes sur des leucocytes. je tombe des nues ! ma voix se porte loin qui hurle sa joie... d’être je, homme, femme, grizzli, enfantillage, animal poilu on l’a vu, homm-bête du monde adjacent ou dit tel. qui voudra de moi kle moment venu ? soit le moment de ma finaison, de ma fin de vie, de ma livraison : qui ? jke voudrais savoir ca r il en va de mon désir à être vif, encore et toujours, soit le demeurer. qui donc vibre en moi qui me connait de pied en cap et sait ou saurait tout de moi (depuis le début et au delà même du temps présent les données futures : vernis du passé déposé pour ici l’avenir d’un dieu des parois) . je me pose ainsi comme icelui qui cherche que tu chercheras. un chercheur. un homme de la science et des données a priori riches d’enseigneme,nts. homme-science ou chaman peut-^tre va savoir ! qui sait qyuoi sur la question qui nous occupe ? qui peut dire là (devant ! de suite !) ce qu’il sait , soit tout à trac l’étendue de ses connaissances. mort je monte, vif je tombe. c’est dit. Car, la vie est ce mouvement de glissade en arrière (sur le cul) jusqu’à nouyvel ordre ou un nouvel des choses. je tombe = je file = je vibre, et vibrant m’incline et me loge = me confond à terre-mère. qui va là sur terre ? le père de la joie d’etre .? petit père des parois dures ? je suis l’homme des parois du temps comme enseveli par le verbe naissant et prenant (vite fait bien fait) la tangente = le temps on l’a compris. je cède, j’ai tenu longtemps. je craque, j’ai tenu des années durant et j’aurais fait (dès lors) mon possible pour aller ainsi, en roche des temps, à la recherche de la vérité dite des vérités concernant icelle la mort, cette chose des embruns, des effluves, des senteurs des bois, etc. qui donc me dsdonnera de quoi m’exprimer par la bande ? qui saura trouer ma joue de base et fzaire en sorte que des mots de moi puissent s’échapper direction la joie, le je, le je de l’enfant narquois ? Je cherche une base à un dire fort, ici sur la roche, bete dessiknée en transe, etc, et cela, ce dire (cette recherche) concerne ma vie, sa vitaluiité disons, son désir en elle de toujours aller vaers un maintien des forces vives , soit des forces qui, en soi, tiennent bon pour aller plus loin , toujours, à la rencontre du pot aux roses, du piquet de rage, du poteau d’anggle etcx. on co:prend en nous que tout cela est d’une importance capitale ! c’est un dire à formuler fissa comme il se doit et aussi à incruster sur roche comme parole qui serait parole d’évangélisation, comme pariole (de paroi) coriace. je vais donc sur pâroi afin de dessiner pareilles parioles coriaces prêtes à faire entendre toutes leur fond de haine et de méchanceté, de vilénie, à l’encontre de la mort soit de Mort la Rage à être. je cherche issue. je veux toucher = trouver une issue
à pareille enclave. car la vie est une enclave (qui contienbt la mort) que le verbe définit, en tant que telle?. car, le verbe est, lui-:même, donnée de rage à être , soit la mort en nous incorporée = mise par à-coups au fil du temps et des épreuves traversées du quotidien. on voit ce qui est quui vient à nous, ces données dites «incorporées» sont «natives» = brûlent à vif (au fur et à) mesure) leur chandelle en nous ... qui allons, fissa, vers elles (?) ou pas peutêtre mais qui sommes enfants du jeu à être hommes-femmes de la préhistoire, pré - «histoire narrée». HJe veux
comprendre sciemment
ce qui est = le Verbe de joie, le Verbe de rage, ce qui est ici en tant que parioles menacées, paroles des apprêts comme menacées par la mort en elles. la (ici) mort (belle ?) de la rage à être soi. je vois cela (la mort entortillée) comme une sqorte de chose de nacre, chose belle car fluorescente, etc, et cette chose (dite «belle») est comme naissante, à même la racine du langage incorporée.
je cherche la voie ici, le parcours, la trtrace, le chenal, le passage ouvert pour une entrée facilitée de mobile foetal incorporé. je cherche passage (trou) dans du Verbe (Verbe «de paroi»), pour aller loin, creuser-crever la CXhose du temps immmanent. je veux pouvoir trouer la roche du temps par du verbe contenant la mort. la ici (mort) est , comment dire ? «belle» ?, qui s’apparente àç du verbe ? je veux ou je voudrais aller au plus profond d’une parole incorporée par .... la mort en soi (la mort d’une betye forte) ! je veux comprendre cette cghose en moi, dx’un verbe de poids (u ne lourdeur) contenant la mort qui est la bête de paroi gravée ou dessiknée par l’homme ou par la femme des cavernes. car, la mort en nous trace que tu tracezras sa voie de «belle» bete menaçante, déployé (temporellement déployée) par une bande langagière inculquée. quoi donc , la mort, est-)elle pour nous, qui avons en ous du verbe ? ezh bien en vérité : la mort est du verbe, la mort est le Verbe. nous parlons la mort. parler = dire celle-ci qui en nous est comme incrustée pour mieux nous plisser, pour nous faire plier, etc? je comprends la chose ainsi et tente incidemment à poartager ce dire un peu tourmenté il est vrai mais dit avec le coeur, avec en moi ce que mon être au plus profond contient, en termes de joie ... à dire kles choses du temps. la mort en moi est le verbe. la chose ici qui est et que donc je partage en l’énonçant, est cette chose comme quoi la mort (celle-là qui nous «brûle» les lèvres) est ... du contenu verbal. les mots de ta rage sont : verbe , dires, parler, mots-bêtes,; etc, ou vo cables. Qyui disent (tous) cette chjose comme quoi la mort en nous loge dans le verbe ! et ... la vie alors ? le coeur ? oui en effet le coeur, il se peut. nous cherchons , et nous en sommes au tout début, nous avons encore fort à faire et rien n’est fait. les mots s’agglutinent à qui mieux mieux mzais que disent-ils ? voilà ce à quoi nos recherches se sont attelées. nous cherchons vivement, patiemment, séerieusement des dires de poids (de genre aurifgnaciens) qui puissent «aller» avec une sorte de chevauchée brsusque au fond d’une grotte, sur parois toutes éclairées à loa lumière, vibrante, virevoltante, des torches. la dite mort est de la mort dite. seulement ? la mort est du dire, et aussi : le dire est la mort. Comment dire cette chose ? voyons : on dit cela, comme quoi le dire contient la mort, et la mort le dire. erst-ce ainsi que les choses sont ? que voyons-nous qui s’adresse à nous ? que sommes-nous qyui allons ensemble (toi et moi main da,ns la main) à même la roche ? Nous sommes des êtres de peu, eanimaux de rage, chien et cheats (?) quyi allons ensemble nous enfoncer ou pour nous enfoncer dans une pierre, une pierre ... à graver avec des noms, à graver en transe, etc. nous cherchons à signifier pour dire ce fait comme quyoi la bete dessinée est grosse de son être-vie de rage à sauver. mot de la roche complète. mot d’une roche entière, pleine, masse de paroles viles, conjugaisons. je tourne et retourne une langue en bouche de joie. je suyis celui-ci qui va en roche à la rencontre d’une déité de type bléssée, de type touchée par la bande (langagière ? ) du temps adonné. Je chante à tue-tête mon sonnet de bete de rage. je chante que tu chanteras ce chant de la rage à être le porte-parole attitré d’une bete (de roche) en moi, mort va nu pied, mort de colère à être la mort, mort dure, mort tenace, mort cvoriace, mort ... «connasse» ! on l’a dit (ezntendu). je suis homme qui , sur roche, cherche à comprendre cette chose d’une mort de peu (?) qyui viendrai morveuse me toucher pour me mettre à mzal voire me tuer. je veux pas ça ! je suis homme là qui ne veut pas de la mort pour lui enrubannée à du Verbe inculqué
à la naissance , et qui cherche
à s’en libérer = dégager = à décoller la mort du verbe, merdum ? car, quoi au fond ? sinon icelle ici mort de la rage d’être cette chose, mort de rage à être, fille de rage, fils de = fils de rage idem. comment s’échapper (sortir) sinon ai nsi faisant = par du verbe dru dép^loyé» et qui file fissa sa gouverne, tisse que tu tissezras, iras, etc, à même le temps ici déroulé comme une bande. je commence. je débute ainsi le voyage. l’embardée votive. je commence incidemenht et jke sais cela comme quoi kle chemin est ardu, long de sa rage (aussi ?) à être : même rage que la précédente ? simili-rage ? simulation ? simulacre de rage adoubée ? les mots contienhent la mort. la mort loge dans le Verbe. le verbe contient la Mort. la Mort loge dans le Verbe dép^loyée temporellement et s’en plaint grave depuis eh bien les premiers moments de notre venue (engagement) sur terre-mère (tourments). qui l’eût cru ? comme quoi la mort est dans le verbe (ver dans la pomme) qui dit son fait brutal et apeure ! délivrons-nous-en et allons par les chemins de la roche des temps nous porter, vaillants et vaillantes, à d’autres recherches, à d’autres fêtes. ou vers d’autres fêtes, recherches, embardées, etcx; filons sur monture. canassons ! fuyons ! cha rgeons ! faisons comme si , d’aventure, la mort n’étzait pas en nous contenue, comme le ver est dans le fruit. faisons comme si nous étions indemne, non recevable ou comment dire : vierges ? notre voix pousse ce qu’elle veut bien dire, en passant, monture, cheval, nous sommes portés et disons. que disons nous de si malin en vérité ? oh, peut-être... rien ? Ou bien : ça , cette chose comme quoi ... nous sommes porteurs / porteuses de la mort en nous (dans le verbe ) et pas... au delà. est ce cela ? Est ce ainsi que la mort est ? est ce cette chose qui est à dire et aucune autre ? la mort est en nous logée, dedxans, comme une bete de poifds massif. il s’agit du verbe. ou «de» vervbe. car, le verbe en nous est une sorte d’entité majeure, comme (pour ainsi dire) en,châssé en nous (perle princière sur anneau d’or) et cela est ainsi que nous comprenons ici cette chose comme quoi la mort (le Verb’) est à proscrire dans le temps = à brûler. je cherche une vooie d’abord. où la trouver sans rire, où donc la dénnicher sans s’esclaffer, sans honte, sans rougir de honte ? nous cherchons la mort. nous cherchons disons à situer la mort «sur léchiquier». où se loge t elle ? eh bien... dans le verbe ! oh voilà ! oh la trouvaille ! et donc ? à p^résent ? tu fais quoi ? tu vois quoi ? tu dis quoi ? tu vas où avec pareil dire ? où veux tu aller ou en venir ? quel être es tu pou$r dire une chose pareille ? qui es-tu pour parler ainsi et faire cette chose (ici) d’une parole déplissée comme ruban dit de données premières, à même le vent, changeant, tourneboulant mais toujours étant ce ruban d’une rage (vive) à etre vivantet vivante? qui est là pour nous parler de ça qui nous échappe grandement du fait de notre infirmité intellectuelle : qui ? je voudrais comprendre les lointains, les fonds de roche, le fin fond du temps, les trous de basse-fosses de ce temps royal ici déployé pour une vie à la sauvette, pour pareille vie de grâce, pour pareille vie chanceuse ou sin on chanceuse comme «aidée». nous voulons savoir cela qui existe en nous en tant que bete de poids fort, qui renâcle, qui hurle, qui cxherche issue, : est-eklle... la mort ? la mort qui dès lors chercherait vivement à sortir de nous à toute vitesse, ou comment ? mordicus ? qui chercherait mordicus (plutot mordicus) à sortir de nous coute que coute, pour une question (pour zlle) de survie, etc. Est c de c ela que nous devons parler et si oui le doit-on en
parteils termes ? doit-on agir de la sorte ? doit on poser des mots sur roche comme autant d’aurochs (surnuméraires ?) censées éloigner le verbe de nous, de l’antre des jhoies de la vie en nous ? je ne veux pas que la mort-verbe s’incruste en moi ! je dois la cxhasser ! je me dois de chasser l’aurochs qui est en moi ! je me dois de chasser la grosse berte (= la mort-verbe) en moi contebnue ! qu’elle s’en allât )! qu’elle filât ! qu’elle nous laissat tranquille une bonne fois pour toutes et ne revint pas à la charge; je comprends la chose rude, cette voix ici plombante, hurlant son dézir, son vouloir, son envie de nous oter la vie, de prendre de nous non point de la rage seule mais la vie de base. et nous de rétorquer en quelque sorte par du verbe vif de roche incrusté, et qui va loin dans un dire de paroi gravée, qui va dire loin, qui cherche à dire loin, qui va à graver loin son propre dire. je grave mon dire (auochs aux confins) et ce faisant je «plombe» la mort, je la gruge finement (un temps qui est le Temps, ni plus ni moins). grugeons la mort néfaste. grugeons-la comme nous savons ensemble faire très bien cette cxhose, déroulons. faisons ensemble ce déroulement = temps = Temps = musique = verbe musical de contre-
bande/. je sais (ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !) la mort ici comme étant incluse (
introduite) en moi ou dans moi à la manière d’un poids mort. cependant, je dois faire ainsi que cette mort (incluse en moi) ne sorte pas sinon comment ? sque dois je faire, le verbe, la mort : la mort contenue dans le verbe. or, le verbe est en nous depuis la nuit des temps. que faire ? chasser les démons ! chasser de moi le mot mort et non pas le mot seulement, aussi la mort-bête : aurochs ! ah voilà le pot aux roses ? que penser ? qui croire ? à qui se fier ? qui dit vrai ? qui dit le vrai ? qui parle sciemment pour dire la vérité (la
sachant si tant est)? qui est pour moi l’ombre de cet être de paroles justes ? qui voudra dire ce qui est et ce qui n’est pas ? je vois devant mpoi se dessziner (malgré moi ?) des betes de poids. elles sont cela même que nous voulons, cette chose rude ... comme tourments de vie, méchancetés de vie tout autant et autres vileniesq. nous hurlons injurons la Chose : «merd»use ! merde et merdum ! merdeux», ainsi tout du long?. et ce verbe, déclamé, devient du verbe ... d’injure gra&vé. gravé au stylet de l’homme ou de la femme des cavernes. Blasphéèmes, livraisons d’injures, convalmescence, congratulations, pleurs, chaleurs vives, tombereau de mots votifs de type gros mots par la bande; je regarde les lointzains, je vois la parade. je regarde au loin (aller et venir) les cerfs, les biches des bois, les chevreuils amis. nous devons toucher la roche ensemble. viens le cerf ! viens t’accoupler ! viens la biche ! viens te szrrer et me monter ! je suis celui ou celle que tu es. joignons-nous de destinée pour une sorte d'embardée et traversons de fait les contrées rupestres. betes-joie de poids ... pour une embardée salvatrice. je regarde = je vois ... la roche d u ttemps. le mot mort a deux entrées : 1, celle de la mort en tant que telle = le temps de la mort. 2, celle de la mort en tant quu’événezment de survenue vive; je dis ce qui est pour moi squi me semble être comme une parade, devant moi, chargeant dans le temps son apport de base sensique. Je regarde devant moi. je vois une chose rude. son apport est de type bestial. il s’agit d’une bête de poids, d’une masse énorme, considérable. un volume conséquent. il s’agit du Temps. le Temps ici est ce devant de vie à vivre devant dsoi = hors de soi = bete-mot de rage folle dessinée, ou gravée, sur paroi de roche, à la manière du magdalénien. je vois hommes sur roche = aurochs. vies de sauvetage. qui est qui ? je vois les mots devant comme mots de rage pour une incursion dans le domaine de la mort de l’être. je vois icelle chose devant moi, pousséeé en moi comme par la bande (transe) s’inscrire à vif à m$ême la roche (le dur) de ce Temps imparti à une vie. la mort gagne mais ici le temps déploie son drole de facial de rage à être vivant. je veux être cetteChose ici accumulée : dires sauvages, grinçants, vifs, honteux, déployés à vif, mis sur roche à la volée. je veux être l’homme de ce déploiemeznt conséquent. je veux penser la XChose du temps. Je suis cette Chose rude déployée sur roche (temps) à la manière (surnuméraire) des hommes et femmes des temps des cavernes. hommes et femmes regroupées sous une même égide, celle de la Voix qui parle au nom des hommes et femmes toutes soudées, regroupées;, envahies par du dire fol de transe endiablée. Qui va là, du tourment? Moi iici ! moi qui brûle ... mon passé sur roche déposé ! chant du roc aggravé ! Je cherche un endroit où pouvoir déposer mon «joli barda» de contrebande ... dans le temps peut-etre ? Ou sinon où ? je vois la chose comme quoi je suis un être en vie du fait du Verbe-mort en moi. et comment cela ? c’est ... ce qui reste à comprendre, ou à explorer prochainement incidemment. nous devons aller au loin ainsi armés et touchger la roche du temps aux endroits magiques, aux endroits qui sont comme des points de paroles magiques. nous devons prochainement comprendre ce qsui est de cette chose de parois ou d’endroits dits magiques. nous devons ensemble nous pencher sérieusement sur la question de la magie, de la magie toute contenue en pareils endroits de parois (et pas à d’autres il semblerzait dès lors ? ). nous nous approcherons ensemble de ladite roche (à deux mains, soit à quatre) et ce faisant
nous pourrons comp^rendre mieux les données de base concernant une certaine chose dite (comme) «relevant de la magie des choses»,. nous voulons aller jusqu'au lointain des roches , combler notre soif (indemneà ce jour) de connaissances. nous voulons toucher la roche des savoirs, la roche magique. nous voulons toucher la roche magique (animée à notre approche) des savoirs de base : quoi la mort est ? quoi la vie est ? quoi le Verbe est ? quoi le sang est ? quoi la vie + la mort sont ? quoi la vie + le Verbe sont ? quoi la mort + le verbe sont ? quoi en soi (en nous) est magique : l’aurochs de contenance(?) ? le cheval en nous ? la bete furieuse ? la mort incluse dans (en nous ) le verbe du dire princier ? la mort est-elle chevauchant la vie comme la bete dxes prairies ? la mort est elle en nous comme pour ainsi dire cxhevaucxhant la vie comme elle cxhevaucherait une bete sur la prairie : cheval de la rage ? jument des apprets de base ? qui le sait ?
2/3/2022
Nous voulons comprendre ce qui est incifdemment de ce qu’on voit qu’on voit devant soi. nous = nous deux. car nous sommes deux, nous sommes soudés, nous avançons ensemble de concert, nous sommes deux pour une connaissance (ou reconnaissance) de paroi. Nous sommes soudés comme les 5 doigts de la main. Nous nous avançons dfe concert, nous marchons d’un pas décidé, nous voulons comprendre les tenants et les aboutissants de pareiille ouverture de roche, devant soi, ce qu’il en est au juste, ce dont il s’agit en clair de cela qui (pour nous) est d’une importance majeure, à savoir le mot de lza fin. il s’agit pour nous de comprendre ce mot, cette cchose, ce mot de fin de roche , ou de fin fond. cazr il s(‘agit ici de bien comprendre cette chose, à deux, ce trou de roche de paroi, cette chose ici qui semble s’ouvrir devant nous à notre mesure. Nous voulons comprendrde ;les données rupestres les plus fines (= ces dessins de bêtes) et pour ce faire nous devons nous inciter, nous provoquer, nous bousculer ensemble, pour aller fissa, pour entrer en roche, pour nous immiscer. Nous devons comprendre ensemble le pourquoi nous nous plaçons ainsi à deux de telle sorte que soyons (dès lors) en mesure, de comprendre cette chose d’une excavation, d’une sorte de fissure par où donc passer le corps, ce trou de la roche (devant soi) par où un corps peut ou pourrait passer. et pour cela, une chose dd’envergure : ici = la vie devant soi = le temps à venir = des mains sur un devant de soi comme déposé. Je vois devant moi qu’une cjhose semble ou semblerait vouloir se dessiner qui ressemble ou ressemblerait à une bete de paroi aurignacienne. Je vois devant moi cette bete qui va et qui vient, je vois cette bete meugler, trépigner voire s’énerver. je sais de quoio il s’agit. Il s’agit ici de Verbe, de verbe nacré, de beauté nacrée, d’une bete belle, etc. une bete forte et belle, bete belle et forte, qui va de l’avant, qui meugle, qui trépigne, qui s’énerve volontiers. Je vois devant moi pareille bête des apprêts qui cherche à s’approcher de moi dirait-on, ou du moins qui regarde en ma direction et cherche à entrer en contact. Est-elle pour moi une alliée ? est-elle pour moi une ennemie ? a-t-elle pour moi de la bienveillance en elle ou bien veut-elle me faire du tort ? Je suis en roche pour lyui parler. je suis comme entré dans la roche (le dur) du temps pour tenter de lui parler, de l’approcher, dans le but d’échanger avec elle. Est-elle en capacité de pouvoir échanger avec moi ? a-t-elle de quoi correspondre et me comp^rendre ? je veux etre une bete comme elle, ici même, afin de pouvoir lui parler, lui donner le change. Une bete est devant moi , dans ce temps imparti d’un devant de soi temporel. Il s’agit d’une bête de bon pôids, pesant de toute sa grosseur sur pareille «pierre de vie» devant soi , qui est seuil de vie-mort à venir , ou bien entrée pour une parade. Je vois devant mpoi cette entrée et cette bête. Il s’agit ici de comprendre cette bête (dans l’entrée) comme notre propre amie de roche, la parleuse, l’entremextteuse aussi. on voit la bete ici postée au beau milieu de la prairie. on voit ce préfleuri de la prairie. Il y a là des fleurs de
choix. Noius voyons la bête (cerf de rage ?) qui est là, dans l’encadrement de la porte, au seuil de lza prairie, prêt à bondir et à nous inviter (inciter) à bien vouloir le suivre dans sa course. Nous aimons ce cerf de roche mzis nous hésitons car la mort est un curieux pays, il semblerait. Il est pour nous une chose ici à souligner et cette chose est cela , comme quoi la bête devant soi est bête des azpprêts, et nous du coup d’hésiter à nous lancer à sa poursuite au sein de la prairie soit de la mort incluse en roche comme une entité, une encklave ou un sas. Nous voulons comprendre cette chose (ici) d’une sorte d’enclave à parois, à murs d’enceinte mais commùent ? et c’est là que le chevreuil, la biche, le cerf ou l’ours des cavernes pourraient nous aider , car la bêtye sait. La bête est savante. La bête sait des choses. la bête en sait long, en sait suffisamment pour nous en apprendre sans doute tant et plus c’est un fait. Nous voulons comprendre ce qu’ici la bête du devant pourrait nous indiquer ezt nous donner en termes de données premières. Nous cherchons à lui parler. elle est devant nous, elle pavane. elle est devant nous qui fait la belle, qui se montre à nous sous ses plus beaux attraits, elle fait la roue, elle fait la belle devant nous. ET nous d’eessayer de la comprendre afin d’en avancer plus plus dans toutes nos recherches sur prairie, à propos de la mort, du rapport mort/bête, du rapport entre d’un côté la mort et de l’autre le verbe (par exemple). ici, l’animal en sait long (on le comprend). La bête ... connait la musique des sphères, le train de la vie, le chant de la prairie, la magie des perles, etc. la bête en connait un rayon. elle n’est pas née de la dernière pluie et son savoir est dingue, est pprofonds;, va loin, va dans les propfondeurs de la roche du temps, car , la bête est temporelle. son élan de vie est une sorte d’entrain musical, de mélodie, de chant des profondeurs. ce chant est le chant de la terre. il s’agit ici de cerner cela comme quoi la terre ici est une sorte d'ouverture pour un chant venant des profondeurs. On sait que la bête entend ce chant (toutes les bêtes) . toutes les bêtes sont à l’unisson du «chant» de la terre = d’une vibration, d’une secousse, d’un bruit des tréfonds, etc. La bête est (en vrai) come branchée direct ici, à mêmùe le «bruit» du monde adjacent, alors que nous.... moins ? on cherche ! on veut savoir ! On en a pas fiini de chercher et de savoir, de chercher à savoir, de creuser (dans de nombreux sens) pour bien comprendre de quoi il s’agit. Nous voulons toucher la timbale
du temps à travers la bête. ici, une bête nous parle en direct, via la roche devant soi (aurignacienne etc) et du coup ... on écoute à fond ce qui est dit, ce que la bête dit , ce que la biche ou le chevreuil disent?. Nous voulons comprendre ensemble les données liées à la musique des embruns, au chant de la terre, à ce qui sort de terre, au chant du monde. ce chant venant des profondeurs vient à nous via le chant (le cri ?) d’une bête ici postée, soit dans l’encadrement d’une porte cochère = ,ici, la fin de vie la bien nommée, la mort en personne. Nous voulons comp^rendre toutes ces données de base ici pour nouds pour aller loin dans nos réflexions et mieux cerner l’ensemble des données offertezs pzar la bande lan,ghagière intégrée. nous savons que cette bande a fort à voir avec le sang. nous nous appuyons sur de tels savoirs pour en avancer sur un chemin ardu s’il en est, qui est chemin des connaissances affichées, montrées pour ainsi dire. notre but est de creuser la roche jusqu’à l’animal. et l’animal atteint de voir avec lui à comprendre un certainn nombre de pourquoi et de commùent. qui parle en moi = qui parle à travers moi = ma voix) ? qui parle à travers ma voix ? qui parle pour moi ? qui en moi s’agite ? squel animal en moi s’agitte ? quel est cet animal qui en mois s’agite ? quel
est donc cet animal qui s’agite en moi ? qui est)il ^pour de vrai ? qui estil pour de faux et qui parait être pour de vrai ? etc. car lma bête en moi parle que tu parleras, et ce sans cesse. il s’agit de fait d’un flot continu , une mer, un ru, une avalanche de paroles «bêtes» soit fortes et massives, un poids de plusieurs kilos voire davantage, car, la bête ici est bête de belle taille, elle pèse lours dans la balance, elle en impose, elle est une force vive, elle va loin et profond du fait de sa masse qui pèse et force barrage. Je suis avecv elle celui-là qui cherche à percer des mystères. Je suis cet homme fou-vif, cette ombre sur de l’herbe, ce fennec peut-être moi-même ou bien quoi d’autre ? Je cherche à cerner ce qui devant
moi se trame ; une bête se poste = se positionne dans l’encadrement d’une porte d’entrée, elle me fait signe de la suivre sans tarder, ce que je fais. et là me voilà qui me retrouve dans un sas de vie de rage, une sorte d’enclkave vitrée ou sinon viitrée luminueuse, éclairée de part en part, enveloppant mùon corps d’une douce lumière vive. Je suis avec un animal des prés et j’essai-e de comprendre ce ^pour quoi cet animal est là qui m’a poussé à bien vouloir aller vers lui et traverser la roche à la une à la deux. Celui-ci (l’animal en question) est bete des prés et des bois. il s’agit d’un c
erf de grand ramaghe. Je sais qu’un cerf est bete royale. on sait cette chose depûis fort longtezmps
, comme quoi un cerf de parade = objet d’attention. je file vers lui pour ne pas le perdre de vue. mon interet est de bien mù’enchainer à ses pas et de bien garder contact avec lui, ne sezrzait-ce que visuel . une bete-devant de soi = un devant de soi animalier = une vue d’esprit salutaire = une sorte de main offerte (deux) qui est (qui sont) main (s) du temps imparti à vivre. je vois cette bête ici comme celllle qui me guide dans la vie de la mort à l’oeuvre. on voit ici cette chose d’une main (de deux ?) qui est (qui sont ?) dès lors cette (ces?) main(s ?) tendue (s ?) ou bien comment ? on sait une main (ou deiux) devant soi, ces mains sqont de bête, sont de provenance animalière, elles sont là ou elle est là (la main) pour nous aider à ici franchir (verbalement) le pas d’une vie à vivre tout du long. on sait que cette main = une chose rude. je vois près de moi (déposé) une sorte de corps mort de bete ou bien une sorte de chemise froissée enseanglantée, ou quoii donc , je suis à la recherc he de la v érité sur terre. je suis à la recherche d’une vérité a ttenante à une paroi temporelle. on est plusierurs ainsi à travers le monde , qui ncghercghons des vérités de grande (et première) importance. nous voulons creuser cette idée commùe quoi le Verbe est dans le sang comme le ver est dans la pomme. un ver de pomme cherche issue. la bete en ous aussi. et voilà pourquoi nous raisonnons, nous batissons des architectures de raisonnemenrtts, nous cherchons une compréhensiuon mutuelle. nous ne voulonbs pas céder, nous voulons intercéder et gravir les échelons de la paroi aurignacienne ou néandertalienne. nousd devons comprendre tous ensembvle (une humanité) ce qui surnage ici en termes de paroles offertes ezn guise de présents à déposer sur table, table a ux offra des, sur seuil ou sur paroi. nos mots sont des bêtes-mots, sont des bêtes et bêtes. nous voulons comprendre au plus loin et aller ainsi de découvert en dsécouverte. Nous sommes deux qui voulons ensemble toucher la paroi des choses cachées ... à la vue de l’homme et de la femme.
Nous ne voulons pas passer à côté sans savoir, ou sans rien y voir, mais tout au contraire emmagasinner des données et en avancer sur la v oie des connaissances les plus achevées sur la question de la mort en atteznte, de la vie déposée pour de faux, de la mort en branche, de la vie des sphères attenante à une vie telle que celle que nous vivons sur le plancher des vaches. Nous ne voulons pas nous affoler mzais placidement ou calmement avancer sur ce chemin (escarpé) des connaissances brutes, des données de rage ou de la rage, des embruns, des apprets, des chants des profondeurs. la bete devant soi sort (est sortie) de soi via la bande langagière et à présent comment faire ? comment comprendre cette bete, son parcours, son but de vie, ses intentions rupestres, son cri ?. nous voulons comprendre ensemblme (la bete et moi) les données du monde adjacent qui est le monde vif et beau d’un sas de prairie. nous voul:ons cerner dans loa longueur du temps ce qui est qui est, et inversement ce qui n’st pas dans ce qui n’est pas. car il va de soi que nous sommes touchés, meurtris, ou susceptibles d’être touchée s ou meurtris. Nous avons devant nous une bête sortie de nous par la bande langagière. Cette bête est bête de roche, qui pèse un âne mort et jamais à nos yeux ne s’en laissera conter si aisé ment ! car, elle trépigne continument (en nous déjà : le sang, et à présent hors de nous : les effluves). Je vois devannt moi cette bete qui se tiennt droite et nous fait des signes (kabbalistiques ?) afin que voilà, on puiisse la suivre et entrer de ce fait dans le sein des seins ou sas des sas. nous obtempérons et entrons. décrivons. nous voyons des choses, nous voyons de l’herbe, nous voyons de la lumière, nouis voyons une belle lumière sur une prairie (un fond d’écran ?) . Nous avons devant nous de l’herbe et des betes (bouquetins ?) qui paissent. il y a des champs à perte de vue, tout un paysage de nature. du vert en veux)tu en voilà. soleil et clarté sur les prés. des betes qui paissent et batifolent. univers p)rairial ensoleillé. une sorte d’encklave rustique, une sorte de troué-e dans une adversité. Je vois l’herbe verte devant moi et j’avance en elle. touché ! j’ai touché l’herbe ! je suis entré dans l’herbe. il ya beaucoup d’herbe : elle monte haut. je suisq entré en elle et à présent je suis comme l’enfant qui cherchant a trouvé, ou qui même sans chercher si volontairement a fini par trouver quelques données de roche. je suis ou serais cet enfant des prés qui sans vraiment chercher (ou si ?) a trouvé. et ce qu’il a trouvé relè ve de données fondamentales. nbous sommes
des enfants qui pour le coup nous avançons sur roche = dans les prés, à la recherche d’une découverte à faire incidemment, un trésor de beaiuté (?) ou un trésor des templiers, ou bien la clé des champs, ou bien la clé musicale des chants, ou bien la cklé musicale des données de base? nous voulons trouver ce pour quoi le temps est dit le chant est dit la roche est dit le verbe est dit l’animal . notre envie (
enfantine ici) est de dire ce quyi est. ce qui est serait ce qui se voit. pas seulement mais pour paertie?. nous disons dès lors que nous sommes les enfants de la pprairie qui nous enfonçons, ici, dans les herbes vertes, hautes, à la recherche du trou de céans, passage idoine, excavation et perfgoration, trou non-borgne si tant est = pasdsage pour une entrée. nous sommes enfants en nous, qui cherchons à découvrir kle pot au x rooses et pour cela nous chantons à tue-tête le chant de la roche perlée. nous chantons haut et fort ce chant de roche dure, ce chant venimeux, cette drôle de parade mortuaire, ce chant des sphères dernières. nous voulons ensemble trouer la paroi et nous immiscer bon an mal an à travers elle. la vie est une chose vive mais la mort aussi étrangement. la vie est vive, et la mort est vive. La vie est une sortie et la mort aussi. des passages différents mais... concomitants ? Nous cherchons ! nous voulons cerner des données. nous voulons toucher à des données de poids «qui puissent le faire urgemment». Nous voyons cette chose (en tant qu’enfant) s-d’une sorte de praiorie des roches, lieu des betes des prés, lieux des cavalcades. nous voulons aller au loin en cette roche du monde,
en cette chose de l’autre côpté du monde, en ce sas. trouveropns- nous ensemble kle secret ? quel est ce secret ? qui connait au juste (exactement) les mots du secret ? qui peut parler au nom du secret ? je veux toucher à une bande royale langagière qui le fasse. je ve»ux toucher à un Verbe de joie. je ne veux pas rester en carafe mais aller profond au sein des connaissances. ma voix est voix qui porte comme celle peut-etre d’un enfant de peu mais enfin je cherche, je ne cède pas, je poursuis sur mode déraison mais pêu importe ! le but ici est de trouver «des chose», du menu fretin pour certains peut-être mais pour nous ce menu fretins est plutot des merveilles, des données riiiiches, des données solides qui imposent leur étant à même une roche, roche souterraine. nous cherchons partout (soit dans kle temps ici) des données de roche dure = des choses de poids , afin de comp^rendre le monde, l’(étudier au mieux, toucher la timbale «aux enjeux de base». nous sommes ou serions des enfants. nous sommes ou serions des enfants qui cherchent, qui creusent des puits, qui soulèvent des fourrész, qui zyeute à la toque ici et là la rocxhe du temps à la recherche de données qui pûiissent informer quiconque de ce qui est au monde (ou derrière» le monde) en tant que choses de la vérité la plus extrême, la plus fine, la plus ancrée. Je suis un homme-bete qui cherche avec en lmoi une voix jeune de parade,, voix d’emprunt surnuméraire, qualité à zéro degré de mensonge en vrai. je cherche une façon en roche d’y voir clair le plus que je peux. ma voix porte ce qU4elle porte mais en vérité peu importe, car je cherche que tu chercheras, à tout va, à fond, au fond, dans la profondeur du monde adjacent et ce à travers le verbe ancestral, ses réseaux internes, ses relais en roche, la faconde. nous devons aller eznsemble (qui ?) à la recherche de données de base, de choses de poids = aurochs, de belles et douces vérités qui en imposent (verbe perlée) etc ; le chant de la paroi file et vibre. nous savons que nous devons aller en roche à deux (toi, moi) et ce main dans la main (à toi, à moi) afin de pouvoir ensemble nous introduire illicoo presto en cette zone de temps impartyi, en cette matière temporelle et aussi musicale de la roche dure ; nous ne voulons pas succomber mais plutôt poursuivre sur notre lancée et tentezr d’y voir (enfin) suffisamment clair pour pouvoir nous prononcer sur la question des vérités cachées du monde (s’il en est). nous voulons trouver «des choses de poids», ces choses nous les a ppelons du nom de la bête ici postée devant. nous cherchons une sorte de définition. le but ici est de cerner ce qui est, à la lumière conjuguée de la cla rté céleste et du soleil de roche dure et xdes apprêtsq. nous vou:lons enttrer dans cette zone de vérité;; nous voulons percer la roche et nous loger en elle instamment. la beauté des lieux incite à se poser et à seulement contemplér le paysage. nous nous approcjhons du cerf géant.. nous voulons toucher icelui en son pelage dru. nouys voulons toucher la bete de crin. nous aspirons tous et toutes à dire des choses dee poids , soit à révéler un certain nombre de secrets ... contenus ici bas. peut-on et si oui commeznt ? en tournant sa langue dans sa bouche ? en pleurant ? en ouvrant son coeur ? en pissant ou chiant ? en parlant tout haut ? en gueulan,t même ? en donnant du fil à retordre à son entourage proche ? en oinspectant le dessous des cartes ? en levant lkes jupes des femmes de tout ages ou presque ? en faisant comment ? nous diso,ns que nous devons comprendxddre
ce qui est du monde = ses dons de choix, ses offrandes, à même le Verbe comme ... turgescent.?. le but ici est de toucher au but = de comprendre le mot de la fin. Le mot dit dans une prairie. ou le mot prononcé en cette prairie par une sorte d’animal de base, animal au poil serré, bete des embruns, bete au chant, bete aux cornes ou aux bois de roche. je cherche à comprendre = percer un secret mais il n’est poas facile d’atteinte et je je ne cesse de percer, de faire en sorte que pa reil secret me tombât dessus comme un fait exprès. enfant de lka roche aux tourments de mille sortes, je m’avance et donne mon la de contrebande : vie flouée pour ainsi dire = le passé. mais ... le passé seul ne suffit pas. Seul il n’eswst pas assez, ne pèse pas assez , ne pè§se pas assez dans la balance, ne pèse pas assez lourd pour la mort à l ‘euvrre, ne pèse pas son pôids de rage dure, ou si oui incomlplètement aux yeux de l’entité déjà nomméee plus haut. Nous disons cela comme quoi les mots ne sont pas suffisant pour dire ainsi qu’ils feraient bon poids dans la balance qyui est cellle xde la mort à l’oeuvre. on dit cette chose, on dit ainsi. on pense que la vie passée (qui n’est que du passé) ainsi déposée devant soi (dans ce temps d’un avenir direct et tombal pour ainsi dire , quoique non) n’est pas suffisant aux yeux de la mort. il en faut plusz (eh comment !) pour la contenter. nous disons que le passé seul ne suffit pas pour contenter la mort, le feu vif
et impactant du passé (mort oui, mais pas assez fort , ou pas assez vif) n’est pas chose qui pour elle (mort) en impose asssez et fasse illusion assez de temps pour que nous puissions faire pour nous une sorte d’écart ou de pas d’écart temporel qui
nous tînt en vie incidemment plus longuement. nous disons que nous sommes qui cherchons à dire-faire un pas d’écart un temps. et pour ce faire, ici : le v erbe. verbe pariétal ety monacal pour ainsi dire. verbe dressé, verbe en berne ou pas mais verbe de paroi, de roche dure, de sein des seins. nous nous immisçons en cette roche du temps alloué à un devant de soi de rage à être coûte que coûte vif ou vive et non mort ou morte. nous voyons la roche devant nous, nous pouvons toucher icelle sans crainte. nous voulons aller en elle dans la profondeur et comprtendre kles données basiques initales. je est je mais pas xseulement. je est nous mais pas sezulement. je est un ensembkle de données peerlières princières. je est effluves. je s’infilttree ici dans la durée en équilibre. je est une tentative de «raisonnement par la bande» à propos du temps. je s’incruste dans la pierre comme pic de roche à pezrcer la roche. je est vers de roche, et ver de pomme. je est chant et champ. je : glisse sur les mots, d’un mot l’autre continument, sort de sa bulle précipitamment et grave que tu gravezras à lka manière toute pariétale d’uun homme ou d'une femme des temps des cavernes. je suis hyomme-femme soudés entre eux. je suis homm-femme soudés, qui tremble, qui a froid, qui cherche un reayon de lune ou de soleil. je veux toucher la pareoi du monde (kle verbe) et pour cela, je parle en continu et jamais ne cesse si possible. je creuse’ à même la roche dure. je veux toucher à cette roche dure et rude et, commen,t ? , rugueuse, d’une sorte de peau de paroi rocheuse, de paroi du temps. vive la vie sur terre parlante ! vive ici la vie parlante à traversz la pierre,, la roche du temps ! je veux être ici homme considéré, aimé, qui veut cette chose pourv lui, d’un nom donné qui, en vrai, lui plaisze et qui aillle (au mieux) à son teint d’enfant naissant. je cherche à percer la pierre. pour cela les mots. pour cela il ya lkes mots, le verbe dru, les mots de derrière, les mots à hurler au fond des cavernes. je hurle ! j’hurle comme un dxexaxé ! J’hurle à fond les manivelles ! je plaide coupable et invective concomitament ! je dis que je poses (dépose) la vie passeé ou du passé sur la pi
erre, en lieu et pklace d’une vie humaine, d’une vie pour le coup complète, entière, exa cte. or, vas-y !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! je donne voix passée, voix d’ombre !Je donne peu. je donne mon passé en tant que tel = une faillite.
et la mort, of course, de rouméguer, de râler haut et fort , de se pl;aindre et de pleurer que ce qui est donné (par moi, en mon nom) ne lui sudfit pas. elle se moque du pzassé. ce qu’elle veut n’est cpas de ce passé bruûlé mais ... de la brûlure, en nous de la bnrûlire vive, du fond de partage, etc. le fond de roche est ouverture vers un au-delà auquel nous n’avons pas accès. nous voulons comp^rendre ce passage ensemble, ce qu’il est au juste : une naissance ? une seconde naissance .? une renaisszance ? une mort-naissance ? ce que nous voulons pour nous égale cette chose d’une sorte de donnée de base rupestre = ce cheval en nous, cette bete en nous ! nous voulons toucher la bete en ous mais ou est-elle ? comment faire ? devons-nous «entrrer» en nous à lka recherchez de la bête ? devons-nous percer en nous une chose de nous ... pour trouver où donc en bnous se loge ou logerait pareille bete de la vérité: devons- nous percer ? devons-nous toucher la roche = le verbe? comment faire pour toucher le verbe ? commùent faire pour toucher le verbe ? comment faire pour toucher le verbe d’une roche dure ? comment faire pour toucxher le verbe ... tendu comme un arc ? comment faire pour touchger à vif et sans contraefaçon le verbe ... tendu comme arc ou comme une arbalète ? je cherche à comprtendre les données de rage en soi contenue et qui ne demandent rien de moins que de sortir de nous pour allezr fissa voir à xse loger en roche en l’une de ces anfractuosités poreuses, etc. je suis hommbête qui veut toucger à kla paroi =à la timbale. je chezrche vif ! je cherche à fond ! je cours et je vole ! je suis être ailé comme le cerf volant de la rage des temps. mon nom s’incruste à
même la paroi : aurochs de la rage à être un aurochs. je suis homme qui veut comprtendre
kles données qui sont à la ba se d’une sorte de pareoi du monde. je me prénommre Averell, je suis niais, je comprends les choses à peine, et cependant ai droit de cité en cette chose que malgré ma très grande bêztise devant l’éternel je n’en suis pas moins un êttre pensant, qui réflévchit, qui cherche à comp^
rendre, soupèse des mots, va dans le sas des choses retenues et à comprendre un jour, etc. Oui je suis crétin c’’st entendu. je ne vole pas haut. cepenfant je vole, je monte, je m’envole. je suis oiseau de branche, ou bien oiseau-ma rtinet qui jama is (?) ne se pose de son vivant. j’essaaie moridicus de comprendre les choses du monde, la mort en son logis, la vie en son autre logis, etc. la porte d’entrée. la paroi d’un couloir de rage. un b ruit dans le fond, au fin fond du monde. une voix appelle ! elle crie de toute sa misère ce qui est , ce qui est qui va se tramant.Je cherche à etre cette chose d’une voix qui dirait, en vrai, ce qui est, soit : ce qui serait pour elle comme aux yeux d’une bete des prés. je veux essayer de comprendre ce qui est qui est devant moi, ce qui devant moi se trame. je veux essayer de co:mprtendre les choses du monde au mmieux, essayer de :m’intégrer à une sorte de vision globale qui me dépasserait (de loin) mais m’engloberait. mon souci premier est de m’inviter à pareille supervision , à ce genre de supervision collègiale, à pareille chose d’une sorte de vision supraglobale sur le monde, qui verrait dès lors le tout, ssoit : chaque chose d’un tout intégral. je serais cet homme qui, bon an mal an, cherche à tirer profit d’une course vive aux données diverses. je m’infiltre cvommùe un agent double dans la prairezie. mon souci constant est de bien cerner lmes enjeux qui président ici aux choses du monde. mon souci premier est de percer vla roche, et de m’introduire du coup en une sorte de conversation supra cérébrale comprenant ;kes données du temps soit du temps adjacent à une vie vive,mais aussi les données de la roche dure, soit les betess , dessdinées, gravées, qui paradent et semblent nous interpe:ller de loin pour nous dire qUelque chose. qu’ont-elles à ous dire de si vif ? qu’ont-elles à bnouds donner comme renseignements de première main ? veulent- e;lles nous troubeler par des dires de poids ? veulent-elles nous toucher de leur museau pour ainsi dire de bete de poids ? sont-elles pour nous des v érités premières ... en l’état ? mots-bêtes de charge ? mots qui sont des betes et qui parlent en
leur nom à travers le nom que nous leur donnons par misère ? je suis à la recherche d’une v érité qui pl;ombe, qui pèse dans la balance, ou qui pèserait dans la balance. je veux être considéré à l’aégal de ceux et celles qui , comme moi, cherchent de leur côtés des choses de poids, des vé»rités premières et autres évclaircissements. nous sommes tous et toutes parties prenantes dans le grand concert de la Voix des choses du monde. qui est là qui parle en moi sinon cet autre moi de contrabande ! je veux essayer moi-même par la bande (= avec le temps en quelque sorte comme allié) de creuser le plus loin possible la terre des apprêts et trouver en elle de quoi me sustenter un temps en termes de données probantes pouvant m’éclairer sur les (diverses) affaires courantes, celles qui ici sont pour nous attenantes aux choses du monde. Nous devons ensemble comprendre ce qui est,, à la lumière vive des données qui sont données de roche, de paroi rocheuses et zautres pierre de taille ou d’offrande. nous voulons percer les mystères de ... l’au-delà à une vie brève. pour cela il y a le verbe, soi le Verbe dresszé pour un faire. je pèse les mopts afin de me fa ire comprendre le plus possible du plus grand nombre. Je veucx êtres pris pour un être de la joie à êttre. Je ne veucx pas être pris pour un être qui serait celui-là que la mort rejette. mon moi est une chose rude, qui perle, qui perd d’elle ses attraits au fur et à mesure que le verbe croit en moi. Croit , du verbe croitre et non du verbe croire, quoique. car, ici, le verbe est aussi cette chose en soi qui tend à montreer, de lui, un visage proche de la foi. je suis donc je crois. et en quoi crois)-je ? je crois en du verbe pris comme une sorte en soi de bête forte = fauve = de poids = pesante = lourde = qui sème sa charge = qui en impose beaucoup et longtemps pour comme nous aider instamment à tenir en vie le plus longtemps possible. je regarde devant moi et ce que je vois est une chose rude mais tenace. je vois la bete. je vois devant moi la bête. devant moi est une bête qui est une bete de la joie à être, et voilà pourqauoi nous cherchons sxans cesse, en vivant notre vie sur terre, à nous app^rocher d’icelle bête qui est bête de la joie à naitre. Je pe nse ici = je suis ici la b^ete de la joie ... à naitre nommé. Je suis homme des embruns. je vais sur roche regarder au loin les donnnées de base à une vie humaine. je veux connzaitre ces données. je veux toucher la mort pour la comprendre et comprendre ce qu’il en serait si moi même en était = de la mort comme elle. or, ce que je vois, ce que depuis la vie que je vis il me sembkle voir de la mort, est cela, co:mme quoi la mort est vive comme une vie vive. je vois cela, cette mort vive, comme une donnée qui, pour nous qui cherchons, sonne fort à nos oreilles qui sont ceklles d’hommes et femmes des prés. Nous sommes néandertaliens néandertaliennes ou aurignaciens aurignaciennes en nous mêmes pazr nos orteilles = nous sommes restées hommes et femmes des prés via le son qui vient sonner à nos oreilles. Balafon ! balafon ! balafon
moqueur ! je cherche ici une chose de poids. je v eux toucher la mort dans son terrier sans pour autant moi-même ezt à jamais (dit-on) passer l’arme à gauche. mon but n’est pas de sombrer. mon but est de connaitre ce qui est dans ce qui vient. et ce qui vient vient vite, vient vers moi si vite qu’il est difficile de cerner avec justesse et ce permanemment les données de base du monde, soit les outils de comprenure, les outils de rage, les cerner au mieux, il est difficile, ensemble (une humanité) de co:mprendre ces données, ces outils, ces bruits, avec pour nous comme seul bagage la raison de l’homme ou de la femme perdu dans le temps. notre voix porte mais porte peu. notre voix est une sorte de parole à vide. il est nécessaire de penser les choses à la lumièrre d’une sorte de parole «p;leine» = enceinte d’un double de soi animal. je veux être pris, je veux être compris, je veux être adoubé voire considéré par mes pairs
comme celui-là qui, parlant, chasse des démons. mes pairs sont ceux qui , comme moi, parlent vif à d’autrews qu’à soi; je cherche ici (dans ce sas de bienvenue) une parole animalière(animale ?) qui puiisse ou pourrait me guider ... sur la voie , peut-etre, d’une vérité de bon aloi. ce qeue je cherche est une vérité ancré dans une roche. cette roche est faite de temps comme amonczelés. Temps d’amoncellement pour une sorte d'embardée rendue possible à maints hommes et à maintes femmes des cavernes dont nous sommes. car, je suis homme des cavernes, je suis cet homme gravant la paroi, la paroi du temps. je suis (aussi) cette femme aux attraits, dessinant sur roche l’antilopê, le buffle orgueilleux, la bete de rage sanglante; Je suis celui-ci et celle-l)à . je veux etre homme et femme à la fois , afin de comprendre au mieux ce qui est devant moi dans ce que je vois. je suis homme vif et feeme vive = en vie , sur rochje, comme l’animal ... dans le sein des seins pariétal. je suis ce même être de vie. je vais et je viens vers lui, verts la b ête dessinées, cvers la bete en sang, vers une bete qui se fait ainsi apprécier par une déité (de base) aimante. car, la mort nous aime. la mort nous aime ta nt, qu’elle nous veut pour elle, qu’elle cxherche urgemment à nous prendre en elle, ou sous son ai;:le.la mort est pour nous cette aile qui, bon an mal an, cherche couramment, urgemment, vivement , à nous prendre au vif de notre floraison , sous l’aile d’elle qui, ici (sas) est celle de la vie ... en la mort. nous avons cette chance ou chose, pour nous, de pouvoir voir l’aile sur la roche. quelle est-elle ? eh bien elle est celle-là que nous voyons se dessiner, à) part nous et comme par devers nous, sous
nos yeux, à même la roche, entre nos mains. nous sqommes pris ainsi par un feu en nous de rage, qui, vif, hainueux, tend à faire sur roche tout le mal que nous souhaitons en fait offrir à cette déité. nous sommes hommes et femmes des enfants qui haïssons la mort. nouys voulons la mort de la mort. nous dessinons sur roche la mort de la mort à travers ... la vie de la vie. nous voulons aller en roche comme deux (elle et moi) qui savons de quoi il en retourne entre nos bras, entre nos mains, depuis nous qui sommes comme lévitant, en grotte, pris et prise en une sorte de tourmente qui nous voit ici co:mme léviter pour aller fissa tracer les tréits (sur roche) de la bete en sang, de cette bete-verbe qui pour ainsi dire dit ce qui en elle ecxiste de plus prégnant en termes de vie offerte. je suis hjomme et femm, l’enfant de la roche. je cherche à faire ainsi
que le verbe dise ce qu’il a à dire de plus urgent?$-. je ne cherche pas l’amoncellement pour l’amoncekllement mais à tracer les traits nécessairees en quelque sorte à une vision. ce qui m’importe ici est ... ce dire de la joie à être (ou naitre) je = nous = l’homme ... doublé de la femme. ou bien un je de rage qui soit celui-ci , que nous nous voulons, pour (a insi) faire (depuis nous) all»égeance. ici allégeannce, pour aller plus loin et tenir encore devant soi le ou ce présent ... donné à une déité en tant que présent de réserve. je suis homme débordé mais qui cherche l’être ... dans le vent sortant, d’une anfractuosité menaçante. je veux toucher pareille menace, je veux pouvoir toucher à pareille menace plénière. je suis homme des tourments, homme des roches dures, du temps présent, du temps offert au présent comme un présent à déposer sur roche. mon coeur dit ce que la vie ... l’oblige à dire ... à dire à la mort. Ou plutôt : mon coeur battant ... dit à la mort (qui est là près de luii, à comme veiller sur lui, à lui chercher querelle aussi), mon coeur dirt ce que la vie en lui lui demande (urgemment) de dire. je suis celui-ci qui parle et qui, parlant, sauve ... un dire de la mort de kl’âme. je suis (je serais) unn être calculateur. je compte chaque battezment-. je vais devant à la recherche d’une vérité (vérité de poids) qui soit pour moi une aide substantielle à un maintien (en moi) d’u ne poussée (vive) de vie vive. je suis cette ombre déplacée. je suis celui-là , qui veut aller loin dans la roche, à la rechercjhje d’une sorte de donnée votive, et pour cela je me dois de toucher le verbe ... de la foi dans l’être. je touche ! je touche et touchant (forcément !) je suis touché et ... voilà où le bât blesse ! car, touchant on se trouve touché et touché on se trouve blessé. je voudrais comprendre à jamais les données franches d’une vie à vivre ! je cherche (ici même) à comprendre au mieux ce qui est de cette chose en moi, d’une bête de joie (ce je !) qui cherche à être ailleurs qu’en moi, soit : dans la mort ! or, mèfle ! nooooooooooooooooooooooo
n , merdum non ! pas vouloir ! moi enfant ! moi pas avoir envie ! moi enfant parle pas ! moi qui suis enfant peux pas ! sait pas comme il faut ! peux pas bien ! sait pas bien ! parle à peine ! voilà ! et donc du coup comment on fait ? si en moi l’enfant ne parle pas car il ne sait pas, qui pour lui va prendre la parole ? qui prendra pour lui la pa(o;:e ? un dieu ? la rage ? la bête ? laquelle ? le serpent $? la vipère ? le père ? le sang ? la chance ? le verbe ? le verbe menaçant ? la prière ? la joie ? je ? et nous voilà cherchant ici et là ce qui est de fait dans ce qui se trame ! nous ne sommes pas sortis de l’auberge ! nous avons du pain sur la planche ! nous devons nous serrer les coudes ! nous avons de quoi faire ! nous ne sommes pas en manque de quoi que ce soit en ce qui concerne ce qui reste à faire pour comprendre ici les tenants et les aboutissants d’une vie sur terre, avec : temps de vie effective (fluctuant) et temps de
mort (enterrée ?) qui en vrai peut varier selon les données qui seraient les noôtres ... au moment de notre mort. Je suis ici pour faire cette chose ,
d’un calcul, d’une sorte de calcul de base, concernant les jours à vivre vif et ceux qui seraient (peut-être) à vivre non-vif = mort. je cherche devant moi (ici bas mais dans le fond des choses recentrées) ce qui est qui puiisse m’offrir en quelque sorte des donnéesz dde base ... intéressantes à plus d’un tittre. je veux toucher cela même qui vient à moi dans le temps. mon soucib ici est de toucher vif la mort contenu dans ce daevant de soi interplacé. je veux être homme comme bete des parois du monde = un homme ... devenu bouquetin ou bison ou cheval. je suis : homme de rage au sang chaud, au sang qui vibbre en lui comme du verbe. jke cherche à toucher roche de mon pic (acéré) de verbe, pour percer icelle (illico presto) afin de percer par la même le mystè§re de la destinée. ce pic est cette chose, en bout de moi , qui pisse sa gourme, qui va ou ira à vau l’eau ou pas mais tente ou tentera une approche liquide, effluves ... ou sinon comment ? volatile ? Je cherche à comp^rendre les données (de fait) les plus fines et les plus naissantes. jhe veux toucher la roche des temps alloués de ma pique perlée, plzine de Verbe , de verve, de paroles vives, de cris de haine et de joie mêlées. mon coeur est tendu à l’extrè:me : je monte ! je me hausse ! ou plutôt : je suis haussé, porté et me voit monter comme soulevé par en moi une sorte de bras qui me soupèse, me portye haut et me fait tracer sur roche des betes des prés. je suis homme des paroles dites à la voléée
et tracée de fait sur pierre au stylet. je suis un homme à la voix perchée. je suis homm des apprêts , qsui cherche à comp^rendre au loin ce qui se dessine et qui sembvle vouloir me parler (qui sait ?) en son langage. quoi lire ? que co:mprtendre dans ces dires d’homme des cavernes ? que la vie e-st vive sur paroi qui n’est pas la vie vraie ? que la vie dxes betes est vive sur roche mais c’est faux en vérité ? que la mort est soudée au verbe ? comment cette chose , comment l’exp;liquer ? si la mort est, en effet, soudée au Verbe alors l’animal en moi erst soudé au verbe et de fait à la mort ! eh bien ... peut-être ! très certainement ! peut-être qu’en effet il est cette chose comme quoi la mort est soudée (enlacée) au verbe ! qui l’eut crû ? la mort est vie de rêve ... enlacée à du verbe vif ! la mort est cette chose d’une sorte de parole en soi, accrochée à une roche, à un pic de roche (etc) qui fait d’elle une sorte de conseillère attitrée. je la vois qui s’agrippe au verbe comme un fil de soie. Je veux la comprendre et pour la comprendre il faut la toucher. il faut faire cette cxhose de toucher la
mort.; mais comment faire ici ou là pour la toucher ? est)-elle touchable ? est-elle intouchable ? est-elle donnée ? est-elle une offrande à son tour ? est-elle enlacée ou entrelacée à du verbe et si oui à du verbe à qui ? je cherche à fond kles manivellkes ! je ne m’en laisse pas conter outre mesure ! je veux tracer ma route, tracer au mieux et cerner. Mon coeur bat comme celui d’une bete de joie et j’en suis bien aise, car je veux que ma vie perdurâ t et tint bon sa chandelle verte. je suis animal. je suis Bête. Je suis un
animal des données profondes , et je veux trouver sur terree cxde quoi me loger, me mettre à l’abri, me protéger des intempéries et des prédations. je m’appelle du nom doux de Spi l’homme des parois du temps. j’opte pour un autre nom que kle sus-cité par la bande. je cherche fortune dans le temps donné d’un déploiement, ou comme fortune car kje chgerche à moitié car je suis cherché, je suis comme (en moi même) cherché par la bête qyui se joue de moi et moi de suivre ses prérogatives et ses volontés. je fouille dans la roche dure à la recherche de données de base qui piuiisse nous donner de quoi avancer sur la voie des connaissan,ces majeures. mon coeur est une sorte de machine à être. je veux sortir de là (sas) et aller là (autre sas) pour comprendre ce qui est d’une vie terrestre. je vais vif. je suis l’homme au passé déposé. Je ne veux pas tomber à la renverse mais tout au vcontraire rester droit et voir devant moi les présents de taille déposés en guise d’offrandes. je les vois qui trônent devant moi = le présent, la cxhose offerte et le temps passé déposé. je vais vers la roche et touche. Je suis l’homme aux bras ouverts. je ne tombe pas à la renverse mais je tiens. nous voulons comprebdre loin et profond les choses encerclées, les choses situées, celles qui sont déposées ici ou là dans le monde. notre besoin est incommensurable de vouloir comprendre mais cvomment quand les mots surnagent qui nous font espérer et ce faisant sont liés à la mort. la mort et les mots sont main dans la main. ou : le v erbe et la mort sont main dans la main. ou
zncore : mort et verbe sont main dans la main. Ou bien verbe et mort main dans la main. je cherche que tu chercheras les mots insérés qui sont dans la paroi comme adoubés par la mort à l’oeuvre. nous devvons comprtendre un grand nombre de données de rage et pour ce faire : aller fissa ! filer à l’anglaise ! tracer ! faire vite fait! pistonner ! par la bande aller et tracer que tu traceras qui des buffles, qui des bisons ! Je vais dans la roche, je vois ce qui est : des betes sur un pré et qauoi d’autre ? dees entrées de groottte,
et quoi d’autre ? je ne sais ! je regarde, jke regarde de pl;us près mais il n’est pas facile i ci de distinguer les choses en vrai, car nombre d’entre elles ne sont pas en vrai mais seulement ... enfants (?) du Verbe ! Je m’approchhe d’une biche , je m’approche d’un chevreuil, je m’approche d(une bete des bois, je suis l’homme des approches de prairie. la biche est douce comme de la soie. Le cerf lme regarde méchamment, qui se demande ce que je lui veux incidemment. Je vais vers eux et cherche à lkes toucher en vrai. mais sont-ils vrais ? sont-ils en chair ? ont-ils de vrais attributs sexuels, de vrais bois, etc? je me le demande, à présent. rien n’est moins sûr il sembklerait. et cependant ces bêtes me parlent, $me regardent, me parlent avec des mots, des mots de contrebeande ma is ce sont des :mots. je veux les comprendre. La mort dans la vie. Où est elle située ? que fait-elle de ses journées ? la mort est-elle si occupée au jour le jhour ? est elle réellement sur le qui vive en permanence ou prend-elle le plus souvent ses aises, le soleil ... en terrasse ? Qui ou quoi est la mort ? Nous voulons comprendre ce qui est et pour cela nous devons cerner (au mieux) les contours du Verbe, car la =mort est dans le verbe et le verbe dans la mort (cul et chemise) on l’a dit ! La mort et le verbe font bon ménage, ou disons qu’ils sont en ménage. ils couchent ensemble. ils sont ensembkle. ils sortent ensembvle = ils sont ensemble dans l’intimité. je cherche à comptrendre ce qui est, et ce que je vois c’est que la mort est une sorte de don,née de poids qui tend à devenir ... Êttre, au fur et à mesure que le temps grossit d’une vie particulière. je cherche en roche des motifs qui soient des formes qui puissent nous donner un quelque chose à butiner. ,je veux être pris en considération
. je veux être comme priis en une sorte de considération. respêct à personne en danger peut-êtrte pas mais enfin le respect qui serait kla première des choses. donc, la mort : respect à mon encontre. tu me dois le respect en permanence. tu ne dois pas encombrer les lieux mais déguerpir vite fait bien fait et nous laisser aller à nottre guise soit longtemps si tel est notre voeu le plus cher. nous voulons comprendre ensemble (elle et moi = une paire) les choses de poids qui font que voilà, nous avons, pour nous, à cerner le Mal par la bande et non point frontalement comme ccertains le croient. le Mal est bien enfoui en nous, il se loge là pour de vrai, il prend placce, il est inscrit en nous comme un silence dit des profondeurs, comme anguille sous roche, comme bête des tréfonds. je suis homme des fonds de la rage à être et veux comprendre ce qui est ici (roche) qui existe en tant que tel et n’est pas du mirage ou seul mirage. voilà , la mort, ce qui lui passe par la tête !Elle pense « la vie» sans cesse. elle veut de la vie,
elle souhaite pour elle la vie, elle ne veut rien d’autre que la vie pour elle (s’en rassasier, s’en foutre plein la la:mpê, etc). La mort aime la vie. la mort en vie aime la vie en vie. et nous, ce que nous donnons, c’est de la vie en mort = le passé brûlé ! et la mort de rénacler... où ça ? en
nous ? comment ? par le sang ? et si par le sang comment ? NOus voulons savoir, nous voulons en savoir long, nous voulons trouver. la mort est liée à la vie (tressée à elle) par le Verbe. la mort n’est ni devant ni derrière mais liée à nous (tressée) par le verbe serpentin en ous (un caducée ?). nous voulons comprendre vif et pour ce faire comment faire ? nous voulons ensemble ici comprendre et cela pourquoi ? parce que nous voulons être in-formés c’est-à-dire formés, en ous, comme est en nous la prière induite. nous voulons aller en roche des prés ceuillir des herbes, ;les brûler, les offrir à une déité de parade. nhotre envie est notre vie. les mots caracolent dans le tezmps et font diversion. les mots sont tresszés à l’être et ne peuvent facilement être débarqués (et si oui comment ? qu’on me le dise !). je sais cela, comme quoi les mots sont (pour moi) adjuvants à autre chose en soi qui perdure un tempsz puis finit par s’étouffer et céder. je comprends les données de base (de rage ?) mais enfin la terre est ronde et non p;late ! le ciel est bleu et non vert, et . kje suis «branché». je vois avec des yeux de rage.
mon coeur voit pareil. ma voix se perd. ma voix est sans importance notoire, elle fait ce qu’elle peut et que peut-elle sinon peu een vérité, quyi a vite fait de dérailler comme la voix qui mue du jeune blanc-bec. Je cherche à comprendre, dans un tas de choses ent&assées, ce qui est et ce qui n’est pas. mon nom est un nom d’emprunt que je n’aime pas plus que ça mais peu importe. ce qui compte c’est la voix ! la voix de rage ou pas mais cette voix qui sort de moi comme un cracxhat. JE veux être pris pour ce que je suis et pas pour autre chose ! je veux être priis et du coup, considéré pour cela même que je suis (mais que suis-je ?) et non pour quelque chose ou qsuelqu’un d’autre qyui en vrai se verrait payer à ma place, ou moi à la sienne plutôt ? Je ne suis rien de plus q’un verbe de poids sur paroi, ici la bete de réserve, la bête rosse. mon nom trône c’est un fait, se voit réifié, etc, mais en vérité il est peu de chose. il n’est pas si fin. il ne donne pas grand-chose. il est ce qu’il est mais ne porte pas loin.Je sais bien cette chose comme quoi un nom xe famille est une chose prise à part par en soi la mort. comment cela ? par la bande = par la bande langagière = par kle temps. nous nous agenouillons côte à côte et regardons au-devant de nous ce qui se dessine sous nos mains. il s’agit de betes de cazvernes ou autre bêtes des prés ou des bois = l’ours des cavernes mais aussi le cerf, la biche, la jument, la bisonne. je regzrde ce qui est. la mort est toute assujettie au verbe. le sujet du verbe se voit accouplé )à cette chose (en vrai ?) de la mort de l’être; je regarde innocemment mais en vérité peut-être pas tant que ça. je suis cet homme qui va devant et court et traine sa misère et fonce et trainaille selon les moments. je vois loin. mon etre est l’etyre de la jhoie à être. je veux etre vif permanemment et ne pas tomber en arrière ni :même )à kla renverse. mon coeur bat et tant qu’il bat c’est donc que l;’animal en moi est toujours là comme une sentinelle. je veux être adoubé par qui xde droit qui me dirait oui, szoit un oui massif comme aurochs des prairies. ce ouiii serait la marque d’une sorte de /
d’une sorte de, peut-être, volonté ancrée, pleine, venant de l’après, de me voir secondé par en moi la bête majeure. je dis oui à cette bête. je me la veux pour moi dedans comme un -enfant. je veux etre enceint (ou enceinte) d’elle. vive la bete en moi ! vive elle ! que vive la bête en moi ! qu’elle soit toujours là ! que la bête en moi gouverne ! que la bête en moi à jama is gouverne ! qu’à jamais en moi la bête soit le guide de mes pas ! Je veux de cette bête en moi pour être mon être de joie = je ! Je veux ça ! je la veux pour moi comme la bête qui en moi serait c elle-là que la mort voudrait mais n’aurait pas ! Je suis être de vie et de mort puisqu’en moi la mort (dans le verbe !!!!!) erst insc rite en vrai. Je suis adoubé. Je suis betye en moi de rage dans le sang. HJe suis cette bete en moi qui se peletonne et chyerche son aise. je veux de cette bete en moi à jamais enchevêtrée au Verbe de la mort . je suis homme-ommbre bete-mot qui (un jour) va tomber et va succomber et mourra et alors on verra cve qu’on verra. je veux ne pas. je suis l’être qsui veut ne pas. Soit : tomber à la renverse, t^$ete la première, dans les bras non de morphée mais d’une sorte de bete de joie en soi. je suis homme des parois du temps, qui irait tremblant mais tiendrait le cap de sa rage à être un enfant.
1/3/2022
Qui est là devant soi pour soi ? qui nous regarde ? qui s’approche ? qui vient à notre rencontre ? Nous cherchons ensemble à comprendre les données présidant le monde mais comment agir ? comment décider à quoi faire ? nous nous approchons d’une porte ouverte : cela est. nous disons cette chose comme quoi nous sommes ensemble (une confrérie) à nous approcher d’une porte grande ouverte. Cette porte est une porte ouvrant sur du vide il semblerait, mais qu’en savons-nous ? nous nous approchons nonchalamment d’une porte ouverte sur quelque chose qui reste grandement à définir ensemble , il est cette chose comme quoi une porte, devant soi, nous est ouverte, nous la regardons, nous sommes cois ou coites, nous nous tenons par lma main mais nous ne savons pas grand chose de ce qu’il serait pour le coup judicieux de faire à cdeux comme nous sommes. Nous voulons comprendre ce qui est (ou ce qu’il en est) du monde. nous voyons au devant de nous une porte. Cette porte ressemble à bien des portes. elle semble ouverte. il semblerait que cette porte devant nous soit une porte ouverte sur un avenir, sur des lendemains, sur demain, etc. = sur ddu temps offert par lma bande, ou sur du temps multiplié par une bande devant soi, bande des abris de buve, souffle tantrique , estomac. Nous cherchons ce qui ici peut bien être trouvé en la matière. Nous nous approchons de la porte et regardons subrepticement ce qui s’y trame et que voit-on ? nous voyons des choses remuer mais sont-ce des choses ? fantomes ? herbes ? foin ? quoi donc ? il s’agit d’un champ. Il s’agirait d’un champ. on peut s’imaginer un champ de blé ou d’orge. de quoi s’agit-il ? on voit que derrière la porte une chose se dessine et semble bouger comme herbe dans le vent. on pense à un champ
mais est ce bien cela, ou plutot un ... chant ? ou comment peut on comprendre ce qui est ? car la lumière ici est vive et nous éblouie ! nous sommes subjugué pour ainsi dire et rendu mirauds miraudes. Nouys voulons comprendre ce qui est (ici) de pareille lumière vive, on voudrait comprendre (ensembvle) cette chose, de pareille vive lumière des embruns. Nous ne savons pas au njuste ce qui se trame et raison de plus pour essayer ensemble (= main dans la main) de le comprendre. Qui est qui en la matière ? que voit-on qui semble s’agiter derrière la porte ? qui vient ou viendrait (peut-etre) à notre rencontre ? ou n’est-ce qu’une sorte de vision faussée ? brin de muguet ? brin d’avoine ? champ de la roche des temps ? praiorie faciale , collège ? chant d’azur de la plus haute branche ? arbre de vie calfeutré ? Nous ne savobns pas mais il semvlerait <qu’il y ait derrière (une porte ouverte) une chose d’importance, un sas, une sorte de pièce d’acceuil, une antichambre à une chambre bien plus vaste qui serait de fait cette chose d’une sorte de champ étendu contenant des bêtes de poids, contenant des biches, des cerfs et autres chevreuils de compagnie. Nous cherchons à comprendre cette porte devant soi (son aspect ?) quoi elle représente en termes d’ouverture sur un (pôssible) ... prolongement à la vie ? nous ne savons pas ce que pareille porte représente et pour nous il va sans dire que c’est plutot chose gênante et peu confortable. Nous voudrions que pareille porte ouverte pour nous devienne un savoir fort et ancré. nous avons cette envie en ous de comprendre cette porte ce qu’elle est pour nous qui la voyons car noius savons que notre vie un jour va se terminer, se terminera, finira par s’achever, etc,
soit : nous quittera. or , comment dire, nous s&avons mais que savons-nous ? nous savons disons-nous (voilà la porte !) mais que sacvons-nous de ce savoir-là ? NOus dison,s que nous savons ou plutôt connaissons l’existence de cette porte (ouverte ou fermée là n’est pas la question à cet instant) mais qu’en savonsnous ? que savons nous de ce savoir ? que savons nous du fait que nous disons que nous savons de fait notre fin inscrite ici dans une sorte de tracé de vie à vivre, que savon- nous de cette chose au juste = de pareille porte (ouverte ou fermée) qui nous serait offerte ... au fin fond d’une vie à vivre ? nous disons que nous savons que la mort existe, que la mort est inscrite en tant que telle, soit qu’elle fait paretie du schéma de vie. Nous disons que pour nous kla mort est une évidence. Et voilà où le bât blesse ! voilà exactement où le bât blesse ! nous croyons dire vrai ou juste en disant cela (comme quoi la mort existe en vrai), nous pensons être dans le vrai, nous sommes sûrs de nous. nous en mettrions la main à couper. nous l’affiermons ! nous affirmons ce dire. et cette affiormation ... est le fait global du dire humain ! voilà ce qui est ! dire = affirmer. affirmer cette chose ici pour nous, d’une mort éminemment annoncée comme incluse de fait (et pour le coup) dans les arcanes du langage humain. nous disons que cette chose est, comme quoi parler humain (en tant qu'humain / humaine) équivaut à dire ... que la mort exisqte. et parler animal = ... auttre chose qui reste à comprendre (ici ou là à) un moment donné). nous disons que nous cherchons du ... dire crevé, percé, comme percé par, en soi, une pique qui viuendrait trouer une bulle de Verbe. nous cherchons à percer une chose ici, devant soi, qui est une bulle de verbe, qui est aussi comme cette porte signifiée plus haut, ou outre, ou fenêtre, ou paroi, ou roche etc.le Verbe en soi dit la mort de base. on comprend cela
comme quoi le verbe, le verbe comme déroulé dans un temps donné, dit cette chose comme avééeré , commae quoi nous sommes (serions) mortels / mortelles. ou plutot : comme quoi nous avons la mort, pour nous, au bout du chemin. or que dire ? que dire ici et là sur cela ? nous disons que nous cherchons à bien comprendre ce qui est pour nous d’une sorte d’emploi du langage humain (animalier ?) en tant que tel. Nous pensons que nous avons à bien comprendre cette chose d’une sorte de parole comprenant la mort en elle en termes de chose avérée, certifiée, sûre de chez sûre. Nous disons que parler = asséner ce fait, d’une mort prochaine. D’où l’autorité intrinsèque du langage humain. d’ou l’autorité incluse en ce langage humain. d’(où cette chose d’une certitude affichée aux quatre coin d’un langage humain. Nous voulons comprendre cette certitude à la lumière d’un dessin de bete pariétal, d’une gravure de paroi, etc, et pour cela, n ous nous approchons d’une sorte de porte devant soi, porte des embruns (dite) qui est devant nous ouverte et semble «nous aspirer». Que est-elle en vérité pour nous ? il y a devant soi une porte ouverte (à jamais ?), qui semble (on dirait) «nous aspirer» et nous pousser à nous approcher d’elle (simple curiosité ? aspiration a vérée ?) . Nous nous approcjhons. Nous voyons cette chose devant nous = une sorte de mort, inscrite sur roche (effigie ?). nous nous approcjons de cette porte. une porte ouverte. une porte ici semble e^ttre ouverte pour quelqu’un ou quelqu'une en particulier. Nous nous approchons (à deux ?) de cette ouverture dans le temps qui est une ouverture dans le vent ou comment ? car, ça souffle fort en ce lieu, misère ! ce que donc ici ça peut souffler de rage ! on se croirait tout en haut d’un mont ! on dirait un mont de rage ! on dirait un mont haut perché aexposé aux quatre vents ! Et noius de nous y retrouver ! que faisons-nous ? qu’avons-npous décidé ? qu’allons-nous décider de faire ? sauter à même le vide intersidéral éventuel de l’apres-seuil ? que décidsons-nous ? mais d’abord que voyons- nous ? pouvons nous décrire la chose, la comprendre et l’exposer ? nous voulons comprendre ce qui est ici pour nous en termes de certitude inhérente à un la,ngage d’autorité. Est ce animzalier ? est ce autrement ? qui sait ce qu’il en est du langa ge parlé sortant de nos bouches ? humano-animalier ? ah certainement ! il semblerait que cette chose soit (ici) d’une langue humano-a nimalière de base ou par défaut, langue humano-animale par défaut, venant en nos bouches combler cette
cghose d’un trou inhérent à nos natures. Nous voulons comprendre ici une chose vive, cette chose est une chose liée au Verbe. Nous voulons comprendre cette chose ici d’une sorte d’ouverture dans le sas du temps. nous disons que nous cherchons à bien cerner pour ainsi dire une chose qui serait comme relevant de données liées au temps = cette sorte d’ouverture en roche, cette faille dans le dur, cette excavation-fenêtre, ce passage des embruns, eh bien tout cela, cette chose entière, cet ensemble à apprécier, ce conglomérat de données, serait lié ô combien à une sorte de pariole vive temporelle, à une sorte de vive parole liée au temps, à un temps imparti d’ordre musical. reprenons : ici nous sommes, nous autres (ensemble) des êtres qui nous avançons (de-ci de-là) dans un temps donné ou imparti qui est celui d’un temps de vie icicoctroyé. nous noius avançons = nous cheminons. et ainsi cheminant nous allons ensemble vers des lendemains, progressons ensemble vers des lendemains qui (dit-on) mènent à la mort inscrite ... inscrite d’emblée dans le paysage, pour ainsi dire . nous disons ainsi que nos vies ... ont un parcours pour elles à devoir suivre et une fin (brutale) au fond du parcours ( à la fin). Or, comment dire,
icelui savoir, cette chose, ce savoir de basse extraction langagière en nous , est savoir qui demande ... examen approfondi. nous ne sommes sqûrs ou sûres de rien et cependant nouys l’affirmons ! nous ne pouvons faire autrement (etre parlant) que d’affirmer . nous ne sommes pas capables en vérité, de parler sans affirmer du dire. la chose est claire et nette, nous savons cela. nous savons cela comme quio pârler = toujours affirmer = asséner = approuver = conforter un dire de mort, c’est à dire un dire qui inclut la mort, c’est à dire un dire qui dit que la mort existe, et ne dirt que ça pour ainsi dire. Paerler szemble deès lors une gageure à la hauteur exacte de nos espérances. nous voulons ouvrir un e voie pour un passage autre que la mort inscrite (ici même = le langage «humano-animalier») et pour nous, il est important de comprendre = prendre à pl;eines mains, à la sauvage, vivement, une chose de poids, cette chose qui est un massif de type temporel, de type animalo-temporel, soit un aurochhs (ou tout autre animal xde poids dans la balance). nous voulons cerner cette chjose, d’un dire «de la mort inscrite», d’un dire «fol;», d’un xdire qyui vous ravale, qui vous intercède, qui vous condamne, qiui vous cxharge, qui vous pl;ombe pour des décennies. notre but est de comprendrree en quoi le langage ne peut ... se sortir de l’étau , de la mort inscrite en lui. nous voul;ons comprendre ici cette chose, cette vérité pour ainsi dire temporo-pariéto-animalo-certaine, d’une sorte d’enclave à chercher, et à trouver, à même le temps. comment se sortir de ce guépier ? comment faire cette chose ici (parole de temps) sans se perdre et y laisser la vie ? Nous voulons «toucher» le Verbe (on l’a dit) quand bien même le verbe est une chose qui peutêtre n’est pas à toucher. Nous voulons toucher = ressentir = nous approcher ou nous en approcher physiquement, etcx. toucher dans la vitesse. toucher par le train mené (le nôttre) vers elle, vers la mort, vers du temps, vers la mort induite dans le verbe via le temps d’une diction animalière. Nous sommes ceux et celles-là , qui cherchons à bien comprendre un certain nommbre de données particulières liées à un verbe qui serait un animal à graver xsur roche, et cet animal dit (dirait) la plus grosse des choses qui est (serait) cet allant de vie massif en nous, dont le nom (bizearrement ?) ailleures est celui de «Mort» comme de juste ! alors même que non ! nous disons pour nous, que laz mort ici, cette mort induite, n’est nullement la chose vraie qui nous attend ! non ! nous disons que non ! nous disons que cette chose n’’est pas vraie ! nous disons que le Verbe dit la mort de part en part (grosse chose à déposer) mais en vérité non ! nous ne pouvons pas savoir ! nous pouvons deviner mais quoi en véroioté ? La mort est une chose rude, inscrite ici dans un langage animalier imaghé qui est ce langage des parois des hommes et femmes des cavernes. la mort est déposée sur roche instamment. il s’agit de bien co:mprendre ici cette chose rude (la mort) inscrite d’emblée dans nos gènes en tant que verbe de données de base, de données données. Nous disons ici cela qui est. Nous disons que verbe = autorité (de base) et que pareille autorité signe notre foi (intrinséèque et massive) dans pareil en nous langage humano-inculqué. Nous voyons cette chose de la sorte en nous et
pour nous. nous disons cela comme quoi pour nbouys la vie est une donnée franche mais en vrai coton à comprendre ensemble à la lumière des seules donnéess inscrites df’emblée (à la naissance) dans le langage. nous voulons co:mprendre ce qui est au juste, ici (langage humano-pariétal), et pour cela nous nous apporochhons ensemble tempoorellement d’une porte qyui semble êttre ouverte ici devant nous (puisque nous nous infiltrons en effet !). nous nous infiltrons dans un sas de temps déployé, nous sommes plusioeurs, nous sommes ce «nous» qui s’exprime au nom de plusieurs. qui sont ces «plusieurs», ou plutot qui sommes-nous qui sommes plusieurs en nous ? Nous cherchons à nous approcher ici d’une sorte de «fin» de rage à dire le temps d’une vie impartie par la bande animzalière d’un dieu de la mort. nous nous infiltronstemporellement dans un sas de rage = dans un sas dit «de rage» à être l’homme ici ou la femme qui chante son tourment lié à des tourments paticuliers liés à de la misère : à être, à devoir passer, à souffrir, à endurer les ordres, etc. nouys voulons comprendre les données du monde
offertes dans la roche d’un temps déployé pour une vie humaine. nous voulons cerner les choses vives, les toucher pour ainsi dire. Nous voulons aller au plus profonds des choses du monde. Nous voulons aller loin , dans les arcanes d’une vérité à devoir «toucher». Comment faire ? dans le temps semblke une solution mais comment nous y prendre au juste pour bien faire ? Nous nous approchons (à force) d’une vérité de bout de phrase, car, lma vérité n’est pas donnée complètement mais y va (de fait) de son déroulé temporel animalier (cavalcade) sur paroi de Verbe. nous cherchons à nous approcher d’une paroi de verbe. Nous voulons nous approcher ou rapprocher d’une sortye de oparoi de verbe = ouverture à l’iris, chant des autres, chant vif d’une sorte de mélopée sortant don ne sait où en vérité. il s’agit d’un chant dépl;issé , qui conduyit à aller profonsd, ou qui incite, ou bien qui pousse. nous cherchons à comprendre cette mélopée, mélopée de base, ce qu’elle est pour nous qui nous approcjhons toujours davantage (temps) d’une sorte de fin inscrite = écrite, qui serait Vérité de rage, Vérité grave, Vérité incommensurable et comme éternelmle. nous voulons aller au bout de la phrase soit au bout d’une vérité affichée, certaine (comme toute vérité), mise enfin sur pied et utilisable à jama is, mais nib de nib a ton dit ici ! nib ou tintin ! car, vas-y à terminer la phrase ! Aucune phrase n’est (de notre vivant) possiblement terminable en acte. nous savons que cette chose est impossible. Toute phrase engagée ou démarrée aura sa fin de rage ,
aura sa fin de rage dans les vents ! nous voulons comprendre ! nous cherchons à toucher à
= à toucher à une chose = à toucher à une chose en dur = à toucher à du vif = à toucher à toucher = à toucher un corps nus, à une nudité de base, à un corps vif et nbu de base = corps à aimer, etc. nous voulons toucher une sorte d’entité de base qui serait (pour nous) du Verbe incarné, un verbe de poids = une parole qui (de fait) dit (dirait) la vérité , sans autres contours de quelque sorte que ce soit, sans faux-fuyant, sans paroles mensongères surajoutées, sans crainte. Nous voulons comprendre, ensemble, un grand bnombre de données liées à une vérité qui serait (pour le coup) corporéifiée de base (Amour des chants) et qui serait pour nous (qui sait ?) une solution (ou représenterait) à nos problèmes de vie et de mortenchevêtrées. nous savons cela, comme quoi le Verbe ets une autorité passagère. Nous disons que pôur nous le v erbe pèse (lourd) et fonce que tu fonceras, et à ce titre il est incommode, il nous enquiquine, il n’est pas facile à endurer etc. Je suyis un homme qui (en roche du temps) essaie de trouver parade , une sorte de parade langagiyère (à ma façon) afin d’en finir avec cette sorte de chose induite dans le verbe appris, à savoir avec la mort. car , la mort est ce mot sûr , est cette chose induite, inscrite, à laquelle nous croyyons permanemment, indubitablement tous et toutes. notre foi est cette foi que nous avons en ous concernant la mort. qui ne croit pas à sqa mort p^rochaine (un de ces quatyre), qui ? qui est là qui ne croit pas à cela en vérité ? qui est près de nous, qui donc ne croit pas au mot «mort» ? L’animal ? hé hé on ne sait ! on ne sait pas ! on ne le sait pas vraiment ! on croit savoir mais quye sait-on ? les mots se chevauchent (chevaux) qui semblent nous dire des choses (nous tromperaient-ils ?) à force d’aller en ce champ à la rechgerche cde données. Les mots se chev aucheznt dans le champ temporo-spatial d’un chant mélodieux qui est le chant des temps alloués dépliés, temps des dires fous déroulés, temps comprenant phrasé aux issues fatales (?) ou pas, mais qui semble voué à une sorte de tyerminaison de type «vértité» incommensurable. nous voulons comprendre cette vérité des chants xd’ai:leurs, cette mélopée (mélodie) de base s’élevant. où sommes nous enselmble ? que voyons nous ? que craignons nous ? que cherchons nous dans un sas pareil , fait de temps et d’espace méla,ngé ciomme dans la brume acidulée d’une sorte de verbe de fin de campagne, quoi ? Nous voulons aller et loin et vif. nous voulons cerner et court et près. Nous voulonbs cerner (au plus près) les données langagières de base, celles-là que nous contenons en ous-mêmes = ces données de rage animalière, ces données déployées dans un temps déplisszé pour quelques années. nous chgerchons à co:mprtendre ensemble (Nous) ce qui est ici d’une rage (contenue en nous) quyi sezrait du verbe dépôsé sur roche du temps. Nous voulons aller au plus loin possible de la phrase = de la vérité qui donc
apparaitra (de fait) à la fin de la dictée. Nous nous disons que cette chose (d’une phrase élaborée, et complète) est chose inatteignable. car, qui dit vérité dit phrase et qui dit vérité-phrase dit phrase terminée, complète, avec un début et une fin qui rendent kla parole contenue en elle , en, pareille phraxse, hautement intelligible.
une véryté nécessite du temps = temps d’une diction, d’un déroulé, d’un xdépliement, d’un déployement, etc = temps donné. Or ici on voit cette chose , comme quoi le temps donné trouve chute (sa chute) au moment précis où nous passerons (où nous passons ) l’arme à gaucghe. donc quoi ? on sait cegtte chose d’une mort pré-enregistré dans le langage de la ... foi dans le langage de la ...
foi dans le langage lié (évoquant)
à la mort (la mort).
Nous voulons comprendre le «langage de la mort» en tant qye tel. Le «langzeage de la mort», est le V erbe rude (ici présent) qui sembkle «toucher» à lka roche du temps. KLe verbe en nous , congtenu par la bande (animale = animzalière), est une chose qui (ici même : écrit) pèse ... de tout son pesant. nous devons comptrendre ici même = dans lke temps du déroulé verbal, cette foi induite, cette mort donnant accès, cette foi induite en pareillle lan,gue inculquée et qui est la foi ... enn la mort, soit en la vérité de la mort, soit en la vérité des mots. Les mots contiennent des données de type vérités = des définitions, qui donc «finissent» les termes, les cklosent. Nous pensons que nous devons comptrendre ainsi la mort (et lke dieu ou la déesse en elle) à la lumière des définitions contenues (pour le coup) en cxhacun des motds que nous e^
mployons. kles définitions finissent les mots, lesz achèvent = les terminent. Les mots zont ainsi cernés. les mots deviennent ainsi des vérités à part entière. les mots sont des stèles. sont commùe implantés dans des champs de raves. Nous cherchons à bien cerner ces choses de mots inculqués, de mots qui szeraient des bornes. Nous voulons co:mprendre ensemble des données vives (verbales) dsans kle chant, dans un chant de rage déployé (le chant) à même la roche «transversale». Nous ne vou:lons pas subir le Verbe or si ! nous subissons intégralement ! Nous ne vouliiiions pas subir le verbe de lka foi, et pourtant, voilà que nous nous trouvons ici pris commùe d’assaut ... par du V erbe de poids en nous, qui semble trépigner, nous en faire voir, nbous mettree à mal. nous voulons co:mprendre cette chose ici (verbe en nous) d’une définition écrite en toutezsxlettres (aurochsc ?) qui serait celkle concernant la mort en tant que chose qui serait sans manque ou manquement, sans faute ou falsification, sans appui, etc, en cettte chose (en nous) d’une foi en elle; ou comment exprimer cette foi en nous contenue ... en une sorte de parade (printanière) d’apparat ? Nous voulons cerner kla mort, la cerner au vif, au plus près. notre but est de co:mprendre ce pour quoi nous croyons en la mort , en la mort et en la vie , et en d’autres choses de poids dit massif. nous voulons comprendre cette foi (en nous) en ces vocables : pourquoi ? pour parer ? pour tenir à distance ? occuper le terrain de la vie impartie et ce sans succomber au premier coup du sort ? pour se tenir aux branches d’une vie offerte pzar la bande langagière ? pour chasser les vieux démons ? les vieux et / ou les jeunes, qui sait ? pour tenir face à la tourmente des méfaits et autres faits de vie ? pour aller contre le vent sans devoir poser pied à terre ? pour «rouler» = roule que tu rouleras à roule-barricot ? pour chercher ombrage, ombre, ombre sur la prairie, ombre où pouvoir se poser, se reposer, déposer son barda de vie vive ? Nous sommes deux en nous (bete et bekllke ?.) qui nous approcjhons à) petits pas ensemble de la vérité, à savoir d’une fin, d’une fin de phrase. notre but n’est pas de finir la phrase (et de co:mprendre dès lors le sens complet d’icelle) mais d’en avancver (fisza) dans lke temps, à savoir : de percer la roche devant soi, de touycher la Chose qui se (ici) présente à nous, qui creusons, et ainsi faisant : de «trouver». De «trouver» joie = je = jésus= jean= le père = cette Chose rude (rugueuse?) d’une foi à être. nous sommes ensemble accrochés, qui allons fissa = à fgond la caisse
dans les remblais d’une sorte de foi à être : est ce cela ? nous nous affichons comme ceux ou celles qui cherchent violemment, incxidement, coonscienceusement, finement ou pas mais vivement, etc, à cerner les données qui ici président cette chose d’une foi (intrinsèque) inscrite (de fait) dans le Verbe ... déposé en nous comme présent d’offrande. A la une à la deux, renvoi, envoi, chose donnée chose due, chose promise chose déposé, échanges (à toi à moi) de bons procédés. je suis un homme femme déployé (= temporel) qui dit ... l’etre de la mort ; qui , parlant (foi en des mots, de base, inculqués) dit cette chose de la mort inscrite, de la mort en tant que croyance inscrite indéplaçable. Je pense (la mort) donc je suis (la mort). je pense la mort = j’y crois mordicus? Ou comment ? je parle-pense mots de roche, et ces mots en moi inculqué sobnt fixés et ne peuvent être déplacés, et voilà pourquoi nous avons «’la foi», qui est foi en du Verbe massif, pesant, pesant comme aurochs. avons nouy bien compris cette chose ? avons-nous bien cerné cette chose rude ? sommes nous assez fins et fines et malins malines pour comprendre cette chose rude ? voyons-nous ce qui est asssez ? voyons-nous cette chose ici d’une sorte de foi intrinsèque liée au verbe implanté en nous ? nous parlons le langage de la foi qui est le langage du «je crois», du «je crois au sens inculqué (indéboulonnable) des mots». la foi est foi en ceete chose (rude) des mots implantés. la foi est cette chose qui est cette chose i:mplanté et inculquée.je pense-parle et dès lors je crois, je fais avec, je ne peux me défiler «comme qui couillonne» mais bien au contraire je dois faire avec = je n’ai pas d’auttre cghoix que celui-là qui me voit croire en ceratins mots (tous ?) qui vont avec la vie à vivre musicalement = temporellemnent. croire = ici penser = ici aller dans un sas de vérité. d’où l’autorité
intrinsèque du langage en soi : incontournable et bien utile en vérité il swemblerait... ou pazs ? Car, nous voulons comprendre kles données vives, celles là qui appelent l’être. nous voulons cerner au mieux ce qui est ici d’une sorte de «dire de vérité», ou serait ici, d’une sorte de dire implanté, dire vif, nacré, implanté, enchâssé en nous qui so:mmes ou sezrions des sortes de betes de rage, ou de betes-rage de première./ Je suis homme et homme je vais. je suis cet homme qui dit ou dirait des mots de charge. cxhaque mot contient son poids de vérité soit d’uidentité. Je parle avec des mots d’a utorité. je pa rle-charge, j’entre en bière. je suis l’o:mbre d’une ombre d’un homme du dire comme déplissé à même le temps d’une virée. je compte les piquets de base = les mots , dé»posés sur roche (autel) comme des offrandes. petits piquets deviendra grand ? petit homme pouussera céans et dira à son tour son dire de voix, son dire dur, sa chose lourde, son pesant de paroi, son vif déploiement avide. je suis homme et homme je suis : je suis homme du temps, et homme je suis qui va de l’avant, qui seconde, qui chevauche, qui foule, qui vire, qui poursuit sa route temporo-spatiale )à même lke chenal des rues, des opassages, des routes de vie, dees passages ardus, des venelles, des artèresq, des trous dans la roche. notre bhut est de creuser kla roche ou roche du temps à la recherche d’une sorte de donnée de base rupestre. qui est là pour moi ? l’a n,imal cxhagrin
? le roi du monde ? un dieu malin ? une ombre ? un cri de victoire ? un cri ressemblant à un chant ressemblant à un cri ? qui sait ce qui est qui nous attend devant ? qui sait c e qui est qui devant nous fait son petit spectacle fou-fou et semble vouloir nous charmer, nous attirer, nous plaire ou chercxher à nous plaiore, nous «toucher», ou à nous toucher»? Je suis un homme des parois de rage à être, je cherche des données de poids, je veux connaitre cette chose ici dx’une roche remplie, pleine de verbe, pleine-comblée de verbe intégré à une gouverne. je me loge en cette roche des temps déployés et là j’essaie de comprendre ce qui est au juste en ellelle, question foi, question pa rade, question parole, question mot de la mort à vivre. Nous ne sommes pas des êtres déployés pour rien sur le front de pareille roche mais tout le contrzaire, nous sommes armés xd’un pic de percée vive. chacun chacune ici de nous se voit muni d’un pic de verbe ... à percer la roche= la roche du temps. chacun chacune ici (de nous) se voit muni d’un pic ... à percer la roche du temps , à savoir d’un pic de bouche, pic sortant de notre bouche à tous et toutes. njous piquons devant nous kla roche (= le dur) du temps. ah c’est dur ! ça rigole pas ! c’’st pas si facile ! ça coince ! ça répond ! ça a du répôndant ! ça veut pas se laisserr faire si facilement ! C’est pas de la rigolade ! c’est pas du tout de la gnognotte, en l’affaire ! C’est dur à percer, !ça résiste! c’est pas évident ! ça veut pas forcément nous laisser entrer , sauf qu’on wse doit d’entrer car on est là pour ça : on a payé pour ainsi dire ! On veut entrer ensemble tout du long dans ce dire fol d’une roche de temps déployé, nous voulons entrer
en ce temps des temps,; en cette chose d’une sorte de donnée de rage dépliszée et prête il sremblerait à nous acceuillir convenablement. qui peut aider à nous placer de telle sorte que (enfin) on puisse entrer sans nous retourner ? qui sait ce que signifie le mot ‘«dire dru» ou les mots de rage, ici formulés en tant que mots drus, qui peut ou pourrait ? nous nous infiltrons dans un temps de rage qui est le temps de la vérité cha&assée mais... l’attraperons-nous à temps, soit avant de succomber ? pas sûr ! LA bete est tenace ! Nous cgherchons. nous cherchonsdans les embruns, dans les vocablkes, dans un sas, dans un abri, dans lke Temps, dans un déroulé-déplissé-déployé actif. nous chezrchons à toucher» le verbe si tantt est et pour ainsi dire de biais. Nous sommes (deux) qyui chgerchons à «toucher» icelui Verbe «de mes cdeux», dit on, car, il s’agit d’un verbe de foi en la mort. Que pouvoir comprendre dès lors ? qsui est là avec nous pour nous guider en quelque sorte sur la voie de la raison ? qui a compris le fin mot de l’Histoire ? qui pige vif et loin ? qui va loin en le disant , ou comment dire ici cette chose d’un dire qui irait profond et loin en même temps? nous sommes qui vopulons «toucher» le verbe de la mort de l’etre, mais comment en v érité ? car, le verbe de la mort de l’etyre est verbe vif, qui file vite ailleurs, nous échappe continuement qui nhe peut être rattrappé de notre vivant; Jez suis homme de la voix en mùoi qiuiu parle et dit de fait des choses du temps. nous voulons comprendre les données de base ensemble (l’animal et moi) et pour ce faire nous avons à nous glisser (subrepticement) en cette chose d’une roche des attraits, roche du temps déployé, dureté incommensurable et cependant, cependant voilà ce qUI est : il est cette chose comme quoi, ici, nous sommes deux (oui !) pour x et x recherches ininterrompues. voilà ici ce qui nous absorbe. nous cherchons s des vérités de poids qui aient assez en elles de pouvoir afin de nous permettre une échappée dite majeure en son wsein. nous voulons cerner kes données du sein en même temps que nous allons au plus lointain ensemble vers une lumière, vers une clarté qui est lumiàre (ou clarté) de vérité. la vérité n’est pas de ce monde
, elle est du monde «d’après». La vérité (avec un grand V) est logée en dehors du monde sensible, de ce monde à nous que nous parlons continuyment = sans nous arreter , or cette chose ici dit bien cette auttre, comme quoi ... la vérité du bout de phrase est juste impossible en ce bas monde connu de nous. il est fonda mentalement impossible de ne pas dire = de ne pas penser = de ne pasv poursuivre sur njotre lancée langqagière. colmment pourrions nous , voilà ce qui donc l’emporte en fait de pensée ou de dire formulé, voilà ici la chose, cette chose de dires inco:mplets, des parcelles, des carrés, des bouts, de la filoche,; etc, des petites choses qui, peutêtre, mises bout à hout, donneraient «qUELque chse», mais rien de moins sûr. njous nous disons quye nous devons comprendre ensemble cette chose de la mort, cette chose de la mort à l’oeuvre, comme une chose dépôsée sur un dezvant de pacotille (poudre aux yeux) quoique douloureux pour les yeux (pas seulement mais aussi pour les yeux). Nous nous avançons sur un chemin de connaissance qui n’est pzas facile à arpenter on le voit. les mots que nous avons en bouche portent en eux la foi qui les anime, les pousse à etre prononcés, etc. les mots que nous portons en nous (sas de vie) sont des animaux on le sait, du verbe-âurochs de rage, on a vu ça cent fois, sont des mots de poids qui font que voil;à nous sommes qUI restons (le Temps) en vie et ne succombons pas de sitôt a priori?;. du moins pour la plupart d’entre les hommes et femmes. Nous nous appretons à percer la roche = le temps , pour enfin comprendre un c ertain nombre de choses de poids, qui forcém»nt pèsent dans la balance d’une vie sur terre. nous perçons la roche avec du verbe. nous perçons le Temps avec du verbe. Nous sommes deux (bete et belle ?) qui perçons le Temps avec du verbe, qui cherchons à trouer la roche, à passer à travers elle fissa, à nous retrouver de l’autre côté comme deux perdreaux de l’année, fraichement débarqués comme des nouveaux-nés. le sommes-nous ? sommes-nous fraichement débarqués ? sommes-nous fraicheme,nt émoulus ? Nous arrivons ici (le Temps) comme des bébés ... couinant à l’envi leur cri de fringale ou autrte, d’inconfort ! Et nous d’y aller de nos recherches poussées ! nous cherchons des vérités de roche (temporellesp) qui puissent nous offrir de quoi en vrai respirer longtemps, peut-être à jamais au sein d’icelui Temps wsusnommé. nous sommes deux en nous. nous sommes deux qui (en nous) cherchons des entrées. ces entrées sontt des sorties animalières. nous voulons tyrouver des mots de poids à même le temps et pour cela nousq nous faufilons par un interstice et passons la tête et rega rdons et que voyons-nous ? nous voyons des betes de poids qui se montrent à nous, qui tournent leur t^tete vers nous, qui broutent, en nous regardant venir vers elles. les betes sont des mots de rage. verbe fol. je suis ombre qui va sur roche et marque de mon empreinte (ombreuse) lke mot de la fin. je touche la roche à vif. je suis un etre de rage , de vie, ‘ombre, fait de temps assoupi et de temps éveillé comme de juste, et ainsi étoffgé j’avance (du coup) dans une vie dx’empruunt, sous nom d’emprunt (visible) et sous kle joug d’une sorte de peine (une) à devoir ici endurer de force. je m’appelle Espigolon, mon nom est un nom de rage coutumier, il ressemble à plein d’autres noms formés par la bande, mon nom est un nom de passage. il me syuit cdepuis ma naissance et prendra fin le jour de ma mort (il semblerait). Je suis donc porteur dde force (de gré ou de force) d’un nom qui dit non, qui revendique son opposition, sa contrariété. mon nom dit non à dame -sir la-le mort de branche c’est une évidence.
Car, je cherche à voir au mieux ce qui se trame dans une évidence mais ... ce n’est pazs si simple loin de là. BNous voulons «toucher» la mort via le verbe, oh la gageure ! Toucher la toucher ! la toucher toucher ! à travers le verbe, icelle ... «mort des apprets», «des faibles contrées». Nous nous approcjhons d’elle (la mort) dangereusement. nous ne voulons pas d’elle, nbous ne voulons pas de sa mécxhanceté, de sa vilenie, de sa monstruosité, de son allant de rage à être contre nous. Ce que nous voulons tient en quelques mots. Ce que nous voulons est une entreprise de salut public, de bonhommie, de bienveillance. notre envie (à nous) est de creuser le temps (devant) pour comprendre kles données s’y référant ou bien attelées à icelui temps «des données incluses» (via Verbe et consorts). je rega rde au loin ce qui me regarde. Je regarde au loin ce qui sembkle poser sur nous des yeux de rage à nous voir êttre. nous traversons , ainsi, des contrées
, nous en avançons et ce faisant ... nous alloons loin dxans les découvertes ruprszstres , et pas seulement rupestres. nous sommes deux en nous qui tenons la baraque et ce contre vents et marées. nous sommes deux en nous qui endurons la vie. la mort est prise dans les mots cvomme dfans un filets de haute mer. la mort est coincée dans le verbe ici prononcé de gré& ou de force (foi), et voilà pourquoi kla mort ... persisqte à être, à exister et a, pour nous représenter, enclave temporo-spatiale qUEE nous aimerions savoir (et voir) exister quelquepart. je suis l’homme du temps poussé dans ses retra,nchements, et au bout du compte il wse opasse quoi ? au bout du co:mpte il y a qauoi ? quoi a t on déniché enswemble ? au bout du co:mpte qu’avons-nous appris ? des petites choses tout de même ? sommes-nous des enfants du temps, qui déboulons (incide mment) sur la place et imposons nos dires fracta ls ? avons-nous de quoi nous retourner = vivoter un temps ? avons-nous pour nous de quoi prolonger ensemble le temps du séjhour qui nous est offert tout gentiment par la bande langagière animale en nous ? Je vois ce qui est deva nt : des mots, du temps, de la rage, du Verbe nonchalant, de la parole acerbe, du pipeau, de la hjoie, du je de base, de la nuit. je chercxhhe, dèsq lors, à comprendre cette nuit, ce chant, ces mots radicaux, cette foi induite ou incluse. les mots en nous obstruent le passage de la vérité plus qu’autre chose. ils gênent fortement fondamentalement. je chante la chanson des affres. Je suis ombre de paroi, je suis ombre sur la paroi, homme)-aurochs. qauand je chante je vois, quand je chante j’attrappe. J’attrappe un peu de cette chose d’une vérité saillante, contondante, vive percé ou perce-vie de rage (?), je ne sais, je cherche vigoureusement. je suis cvelui-ci (homme) qui s’inquiète du sort, un tant soit peu, dee ses congénères, qui veut kleur bonheur, santé, prospérité, sur un air de fraternité, de joie pa rta gée (peut-être). je vais vif en rocxhe et tente une a pproche. je veux voir la Chose sur pied. Je veux comprendre ces données de base pour moi, et les intégrer à ma gouverne. mon temps est le temps phrasé (fractal) d’un parler de poids intéreiur mais coulant de moi comme effluvee sortant vif de mon sein de bois. Je suis un qui vibre à vif, parlant dru, communiquant à tout va de rage, allant de son pas de charge sur p)aroi comme troupeau de rage à être. je com^prends la mort, sa colère. je trompe le monde avec ma trompe, avec icelui pic de rage, pic de rage à êztre, perce-vie de rage. mon corps est corps de passage, pourrira. mon corps est ce corps juste de passsage ici, qui un jour va (tu verras) pourrrir ici bas et c’est alors qu’un nouveau monde (pour moi ?) commencera, un monde nouveau fait de chants rupestres, de chevaux, d’aurochs herbivores, d’antilopes sur pattes (fines) agiles, de rhino. je chante à vif ma colère : car, voilà la chose , cette chose, cette choçse ici, voilà ce qui est : je me meurs de rage. jhe suis homme ici ardu, qui cherche vérité (aussi) ardue, qui chezrche que tu chercheras une (oui) vérité de poids = «qui le fasse» aux yeux de tous et toutes ou de toutes et tous. Je veux faire ainsi que des choses soient qui puiissent nous en inculquer et p)as qu’un peu. Choses rudes ! choses ru des et dures ! choses dures, rudes, rugueuses si tant est. Je veux dire ici cette chose, comme quioi les mots sont, à nous (en nous) , comme le passé. le passé est en nous qui vibre, et, ce faisant, nous permet ... le don d’échange. les mots semblznt pareillement pouvoir servir à qui de droit, et à faire en sorte que, nous tous et toutes, puissions y voir clair ... un jour ou l’autre. y voir loin, tout autant qqUE clair. voir au loin ce qui se passe = loin là bas, en bout de phrase, loin daans une phrase. nous devons comprendre ce qui est sur roche qui s’anime devant nos yeux, et semblent parler en vrai. que dirt la roche septemptrionale ? que dirt la roche devant soi (la roche du temps)? La roche dit ceci : « je suis bete-mpot, je suis une bete, une bete-rage». je suis bete-rage» dit la roche, dit le temps. je suis une bete de rage dure». voilà ce que (donc) dit le temps, cette chose rude, cette chose ici gravée au pic de percé. je veux être un homme du savoir, aller dans une roche et trouver des choses qui puissent nous conduire vers des vérités de poids. on se dit que le temps est une vérité. mais en vérité il n’y a pas de vérité qui soient au wsein du monde ici bas, seul le monde du très haut (lévitation !!!!) peut être pour nous le sezcours (en la matière) que nous attendons mordicus. que nous attendons depuis si longtemps (à présent) que nous l’oublions, avons tendance à l’oublier mais rien du tout ) la chose est toujours ! le verbe est toujours toujours présent en nous. nous parlons à l’emporte-pièce car les mots en nouys s’enchassebnt comme des piolets dans une neige épaisse, comme pics de rage dans la boue, dans la terre glaise. les mots sont une enclave souterraine. les mots-bêtes en nous sont des mots de foi . Les mots, les mots de rage en ous, ont de l’allant, . on dit que des mots, en nous, auraient trouvé où se loger en nous, auraient trouvé» rzefuge, maison, une maison, voire deux maisons où pouvoir se loger fissa. nous voulons comprendre ce qui est ici d’un endroit idoine, en nous, pour une invitation (?) ou pour inclusion. je parle mots de rage à être vif (= vivant) et
parlant je sauve ma mise (ce cheval) à :ême le temps. je ne suis cap de rien, ni capitaine, ni caporal, je chante à gorge ouverte chants de contrebande à être, je trompe le monde . qui sincèrement ne trompe pas son monde ? qui véritablement échappe ou s’échappe des fourches ? a-t-on de quoi (en nous) pouvoir filer à la gaillarde sur paroi et sortir des griffes de la mort à l’ oeuvrree ? Je cherche une raison qui donnerait (qui sait ?) le piment nécéssaire à une vie de gré. Je veux (de fait) comprendre le temps, la paroi du temps, les mots rageurs, le sang dans les veines, la Reine et son valet, le Roi surnuméraire, l’ombre des amants, etc. Qui est mena!çant ? qui menace ? qui veut nottre peau ? la mort a t elle ses agents sur terre et si oui ... njommés par qui ? je ne veux pas succomber à des menaces et me faire lyncher (manu militari) sur la place. Mon corps n’eswt pas un otaghe. je veux ou je voudrais cerner pour ainsi dire le temps du passdage ... à la cravache, ici = en pissant ... le dire dru, en pissant que tu pisseras (contre un arbre ?) ce pissou d'une rage éhontée ou comment cette chose, à faire de front, cette grâce, ce chant de pierre, cet aurochs gracvé, ce cheval s’ébrouant dans le temps. Qui comprtend en vérité la chose crûment ? la mort devant soi est ce verbe brûlant ses cartouches diurnes ! je vois la moprt devant moi comme une donnée belle tenace peutêtre mais bon : pas encore pour moi ! ne veux d’elle, ne la veux pour moi ! car : cette chose, ici, d’un verbe fol( tiré !) qui (de fait) s’impose pas à pas et donne ou donnerait son propre la de base (une musique des parois) à même le temps déployé funèbre, ou sinon funèbre déployé tout court comme une ribambelle, un ruban de joie, une ligne devant soi, un tracé de pas. je chante une chanson de la grâce à être vivant permanemment. mon corps est corps de pasdage à vif. betes en moi sommeillent qui cherchent issues. Suis je fier pour elles ? trop ? qui suis)-je ? sque sui-je ? que vais-jez être à l’avenir ? un chant ? un cri ? un mot de rage ? un braiement ? roucoulement ? Je vois devant moi qui s’avance un etre de rage, un etre de peu, un
être vif, un etre de poids, il s’agit d’un etre de poids qui est etre vif , etre de
rage vif des champs et des bois, j’ai nommé le CErf. oh voici l’être ! oh voici le Roi ! Il est majestueux comme tous les rois. Je vois ce roi (ici) devant moi, il en impose grandement, il pèse, il plombe, il impose son allant, il est vif, dur, coriace, debout, il pl;aide pour moi, pour mon salut en rocxhe «des temps alloués». on dirait ccela, qu(‘il plaide pour moi. plaide t il pour moi ? est il avec moi ou contre moi ? est il la bete azttendue par moi ? d’où sort elle ? d’où sort cette bete ? la bete a t elle assez de répondant pour tenir tête au dieu de la mort ? la bete en moi a telle assez de répondant pour pouvoir tenir tête incidemment à un dieu de roche vif, dieu vif de rochje dure qui sezrait ce dieu des parois du temps , ou bien ce dieu des tourments, ou bien cet autre dieu du temps brûlé acqiuuis.... La bête est elle assez forte et musclée ? a t elle du liant ? de l’entregent ? assez de courtoisie pour savoir jouer ou jongler en société ? est eklle une betye morte ? est elle une bete ... plkeine de vie à déposer sur roche ? est elle géante ? un amas ? une grandeur d’ame ? est elle une souris ? est elle chargée de victuailles, prête à déposer icelles (sur roche) en tant que présent (temps donné) ? est elke une enfant (un ?) ? a ton en nous cette chose d’une sorte de bete à bois ? suis je vif et dru comme elle ? suis je enfant de cerf et de biche des bois ? où est l’enfant roi en moi ? où en moi se loge ... l’enfant de la roche, soit ce cerf des temps alloués, ce beau de la forêt, cette ombre sur roche? JE veux être pris pour l’homme contenant la bête. je voudrais ici être consifdéreé comme étant celui qui porte en lui pareille bete de céans. Je suis Chevreuil, ourlé, pris à part, grave. je suis chevreuil : chanteur. je suis cet homme du brame. je veux «toucher» au verbe de la mort à l’oeuvre dans le temps, le toucher le toucher comme le bateleur les berges, est ce ainsi ? Je veux, ici, faire ainsi que mon nom soit peut-être, en vrai, recvonnu comme icelui d’un d’ici qui, en son nom de base, chante que tu chanteras la chamade, le tic tac du coeur, les mots de la rage à e^tre un homme cde la lande (comme peut-être l’aurignacien, comme peut-être le solutréen, etc). mon vcoeur est las de savoir cette chose ... d(une mort annoncée, intégrée au paysage, et lutte de toutes ses forces pour contrarier (autant que possible) la chose. je suis homme du temps qui passe ... à cdevoir déposer sur roche (= vivre). je suis l'homme doux des temps définis comme étant de ceux qui sont attribués (incessamment à la naissance = par la bande) à l’homme intransigeant = qui chgerche la vie vivement, absorbe, prend et se gonfle pour un temps. je v ais devant, je plonge, je nage, je suis l’ombre. il se pêut quye je sois l’ombre de la bete en moi , celle que je porte (ou porterais) au fond (?) de moi et qsui porte ... le nom que je porte, fatalement. j’ai nommé la bete des bois, le cerf aux razmures imposantes, racées. le cerf qui va sur roche (nonchalamment) toucher la paroi du monde. je veux être cerf. c’’est-àdire cerf géa nt, bete de la rage à êtrte bete dans corps d(‘homme ou de femme des temps impartis. Je szerais la bete. Je serais une bete des bois. je serais vif comme une de ces betes fauves des przairies , un lion peutêtre ? Je suis un animal xde grande taille, je suis une bete rosse, je grave mon nom de bete rosse sur la roche. je ne traine pas, je suis sous l’influence conjugué»e d’une betye de poids et d’un homme de peu (genre qui en vérité ? saint homme ?). jhe tourne que tu tourneras le fil de ma pelote vive , qui est fil de voix, fil de Verbe, mots des chants, mots de la colère intéègre, mots du vent soufflant à travers le fût. Je suis homme du temps déposé sur la roche et ce pourquoi, pour déplacer les choses du monde, pour crever l’abcès, pour contrarier la mort, pour gagner sur le tableau des données de base, celles qui ensemble forment ce savoir de l’êttre, ce savoir du temps alloué à une vie humaine. je comprends les choses à moitié dirais-je mais enfin je trace, advienne que pourra, nous verrons plus tard à y co:mprendre quelque chose un tant soit peu, à déchiffrer les hieroglyphes et autres glyphes ésotériques. je suis un homme qui cherche (dans le temps) une entrée en mùatière juste, vive, qui soit porteuse de vérités ! la vérité ici est tout entière contenue , qui ne dit rien de plus que sa gouverne langagière d’attribut ou d’attribution. je pense la rage, je parle la rage, je pose la rage et tente ainsi de faire impression. est ce ainsi que les choses se passent ? suis je l’animazl des paroles ancrées ? suis je un animal comme il en existe au fond des grottes parcheminées ? qui parle en moi ? qui me cherche ? qsui veut ou voudrait de moi par la bande ? suis-je donc appelé à devoir un de ces 4 mourir en roche comme aurochs de compagnie ? ou bien ... direct ... la fosse commune , le charnier, la flamme ? Que vais jke être dans le futur ejn tant que bêzte ? grilladou chaleur sous les tropiques ? venaison ? Je suis celui-ci qui s’avance à pas comptés vers une porte qui parait oucverte deva,nt lui. je regarde kles différentes données repérables et essaie d’y comprendre quelque chose de patent. je suis sur une branche pour ainsi dire . attention à moi de ne pas tomber à la renverses mais de bien voir à m’accrocher à cette branche et de bien regarder ce qui est autour de moi qui semblerait advenir : parade ? corso ? cavalcade ? défilé ? une tribu passe. il s’agit d’aurochs ici rassemblés pour un but qui est de voir à se loger ensemble (cote à cote) dans le sas d’une roche du temps, dans un recoin où bon avoir à se loger, dans un coin de roche mùeuble. Je suis homme des temps déposés pour faite accroiire. la question est là qui toujours cherche à se voir formulée mais le temps emporte tout sur son passage et ne laisse pas le dire se dire à sa guise ! le temps l’emporte, le temps a sa prpopre guise qui conduit le sens et repousse les assauts du dire animalier: est ce cela ? nous pensons quye kles choses, ici, se disent, incidemment, à la mesure du pas d’un géa nt qui est ce méga-cerf de contrebande. je regarde au loin et vois la roche :
aux tourments, aux bahgarres, aux présents.
qui me croit ? qui comprend les choses du temps ? l’emportement, la vague ? qui comprend la vague langagière du temps déplopyé qyui se joue des sens (à sa guiuise) et gêne grandement les miennes entournures, si tant est : qui voit cette cghose ? qui comprend ici que les choses dites sonbt toutes tourneboulées selon la guise d’une sorte d’entité (votive) appelée Le Temps ? qui voit que le temps est cette chose ouverte devantt soi comme une découvertte ? je file à toute vitesse dans lke sas. je veux mon nom ici gravé en elle. Je comnble des trous. Je continuellement m’acharne à combler kles trous (infinis) du temps et ce par du verbe de roche, verbe vif destiné à (pour toujours) comblker de joie la roche des temps = la mort, cette printanière entité de choix. Je comble en veux-tu en voilà kla roche (et ses anfractuosités) par des mots de rage (aurochsc, bisoons, cheveaux, antilopes, ours, lions, guépards, rhinbocéeros, b uffles, bouquetins). je comble de joie (de je ) le verbe nacré, le verbe du temps déployé, le chant de rage, l’épopée. je suyis un chevreuil de raghe belle, ombre sur le pré, majesté tenace, roi du bala fon, roi des chants choraux, roi des musiquesqq des apprêts, roi du temps déployé à vif sur roche dure et dans le sens d’une venue majestueuse, d’une sorte d’arrivée vers soi d’un enfant de la rage à être enfant. je suis roi de rage à etre enfant tenant parole. Je
co:mmble les trous de la roche. hje veux comprendre les données de bvase: qui est qui, qui fait quoi. qui est l’enfant, qui est le roi. qsui menace, qui tourmente. Qui fait le bien sur roche dure. qui commble et qui ne comble pas. qui a pour moi les yeux doux de l’amour courtois et qui n’a pas. je suis homme au chant ficelé. Je tourne que rtu tournzeaers ma langue dans lma bouche : sept fois avant de trépasser, ou sinon non : mille ? Je suis homme)-cerf. je marche droioit. je ne tombe pas. je ne chute pas. je ne suis pas un ange de lma roche, ni démon des bois. je suis homme-chevreuil d’un temps dominé par les embruns. je cherche une faille = une ouverture de paroi. pour cela : je parle, je comble de mots le temps imparti, je suis Verbe de la tête aux pieds. je suis du verbe ainsi incarné de la tête aux pieds; je cherche une amie dans les prés ... avec qui batifoler ! je suis doux et fou, fou-doux comme jamais, qui batifole, qui en vrai saute à tout va, qui fonce dans la paroi, qui me joue du tezmps à ma guise. je suis un homme des parois du temps , du temps dép;loyé, je chante à tout crin,; je hurle ma rage à vouloir demeurer la bete du sang, des veines altières, du sas royal. Je ne tombe pas à la renverse. ou si, je tombe à la renverse ? je ne tombe pas à la renverse ou alors si, je tombe, je m’affale, je m’affale de tout mon long, de toute ma longueur ... de temps déployé qu'on dirait imparti à mon être animalier de vie ? je m’afale sur prairie, sur pré vert de chez vert, je m’allonge, je suis long?. je cherche une voix parmi des voix. je cherche à capter juste. je chercxhe à faire un tri. je cherche à bien capter la voix qui parle àà bon escient, celle-là qui dit la vérité des choses des temps, cette voix amie qui sait. je cherche une voix dans les apprêts. je chezrche une voix de concert.
23/2/2022
Nous voyons devant nous une porte. Décrivons la porte. Cette porte 1 est devant nous. 2 ressemble à une porte lambda. 3 est porte qui semble nous interpeller. 4 est porte ouverte pour nous faire entrer ensemble. 5 est cette porte que nous recherchions depuis longtemps en tant qu’eêtre humain. 6 est la porte parfaite pour des découvertes à mener ensemble (elle = la bête = la bête en moi ... et moi). 7 je vois cette porte, je vois cette porte devant moi, je vois icelle porte devant moi, je vois que cette porte devant moi est porte ouverte pour un soi à déposer ici ou là, sur seuil ou bien à l’intérieur mais à proximité d’icelle. Nous disons ici que pareille porte porte en soi les attributs votifs d’une sorte (d'un semblant ?) de Vérité majeure concernant la Vie = cette chose ici à découvrir sous l’angle d’une finitude comme déjà inscrite à l’origine , ou aux origines. Nous voulons comprendre un grand nombre de données ... de ces origines, de cette origine native, de ces premiers pas de l’Ordre, etc. POur cela, nous décidons cegtte chose , d’aller loin dans la découvertte. pour cela nous disons que nous sommes qui employons une technique particukière qui est celle de la voix rapide ou qui est celle dite de la voie rapide. Nous voulons comprendre ensemble. Nous voulons cerner ensemble et pour ce faire nous creusons dans la pensée ce dire-faire (ici natif) d’une voix (voie ?) rapide s’il en est. Voilà ce que nous faisons-disons. et aussi voilà ce que nous recherchons, pzar ici, de tels dires, poussés loin et menés de front, à fond. Notre envie est vive de cerner ... des choses de poids, c’est une évidence. Notre envie de dire vif des choses fortes-folles est là, ancrée en nous, comme un pieu, comme une arme. Nous savons que pareille arme a un sens et n’est pas vaine. Nous savons cette chose, comme quoi la mort est devant nous comme une sorte d’ouverture vers de l’inconnu supra-sensible, vers embruns dorés, vers lumière tamisée, ambiance nacrée. Nous aimons ces ambiances de rave, de rage, etc. Nous savons cette chose, là, d’une rave à mener, à comprendre, à vivre, à user, etc. Cette chose d’une sorte de rave en soi, de partie de vie, d’ambiance au débotté. Nous voulons comprendre loin
ces données de vie déployée sur des confins. Nous voulons comprendre au mieux ces données de base, ces dires majeurs, ces envies natives, etc. Nous creusons devant nous dans la pennsée d’un dire-faire d’envergure, d’envergure au sens où ce que nous fouillons concerne des choses de poids concernant la mort. Nous voulons cerner
ces choses au débotté on le voit là mais pas xseulement, au débotté comme il se doit mais, aussi, à la cravache, vivement, durablement, considérablement, comme on le ferait peut-être d’une sortie brusque d’une route traversière. nous voulons compter les points tracés sur roche : claps divers, punctums, sites. Nous avons à comprendre, tout un ta s de choses de poids à même la pareoi du monde, ce devant à soi qyi nous regarde, qui nous parle mais l’entenddpns-nous ? sommes-nous capable d’entendre celui-ci ? sommes-nous en mesure de comprendre dans les profondeurs ? sommes-nous de taille pour ce faire ? qsommes -nous capable de comprendre ensemble cette chose d’un parler de base, d’un dire natif, d’un vif aperçu, d’un dire de poids et de charge ? sommes-nous en mesure d’aller loin dans les données natives, dans les données vives ? sommes-nous en mesure de cerner (au mieux) les données qui se présentent, devant nous, en tant qu’elles sont données de paroi de taille ? nous disons que nous cherchons assidument, que nous ne voulons rien céder pour nos recherches. Nous nous avançons ensemble pas à pas de cette porte du devant de soi, qui est cette porte du présent au monde et du passé mort déposé comme vie de Roi. Nous avons à piger vif, à cerner cool, à voir vite. à vite cerner-voir ce qui est qui se présente à soi ... comme une furie, comme un trait de vie à vif (comme entaille) ! et pour ce faire nous allons tout aussi vifs et vives
vers porte de ce roi du monde,
de ce gentilhomme des parois anciennes. Qui est-il ? qyi est ce Roi ? qui est le ROi ? qui est ce Roi qui nous attend (ou semble nous attendrte) de pied ferme devant nous qui nous avançons d’age en âge, qui est il ? nous voulons comprendre qui il est
. notre but est de comprendrec ensemble qui est donc ce dit Roi «des portes du vent» soit des portes de cette chose, devant soi ouverte, qyui semblent ... une entrée vers quelque chose ? sas ? ou comment comprendre cette entrée ? l’entrée ... poour une sortie ? une sortie pour une entrée ? ou bien une entrée poour une sortie ? nous nous blotissons l’un contre l’autre (nous). NOus disons que cvette porte est une porte ouverte vers de l’avenir. Nous disons que cette chose ici d’un antre (troué, incurvé) est comme un dire fou. Nous pensons que nous devons comprendre ensemble ce qui est ici (en roche du temps) pour nous, cette chose d’une entrée-ouverture de roche, d’un trou bleu, d’une sorte de trou bleuté, nacré par endroits. Ciel ? ciel d’eau ? ciel de quoio ? bleu d’azur ? bleu de belle des beautés de rave ? nous cherchons ensemble à cerner au lmieux les données de base se présentant. Nous voulons comprendre au plus juste ce qui est qui se présen,te à nous dans $la durée d’une vie octroyée impartie ou alloué par une bande pariétale v(vive, vive et belle). Notre envie est entière, est complète, est pleine, est formée, soit de chzair et d’os : elle remplit de fait sa fonction première qui est de nous donner l’allant de base à une course, à une entrée vivve, à un pas de plus, à pareille incursion immersive dans un sas de vie à vivre. nous disons que nous voulons enttrer, en cette paroi, par la porte (ici ouverte) de préférence et conjointement, et ce dire a du poids, pèse lourd, nous protège, nous pose et nous aide à poursuyivre sur nos lancées. Nous voulons cerner au mieux les données qui ici se présentent et comprendre ce qui est devant, qui pointe sa tête, son museau de tanche, son avant de taille. Nous parlons comme des enfants ... car nous sommes des enfants. Nous parlons «enfant» car nous sommes des enfants qui ensemble allons à la recherche d’un trésor caché, de préférence : caché ... de préférence, et trésor ... de pré férence. Nous disons que nous voulons comprendre dans la profondeur des choses icelle figure de Roi, de REine, de VAlet, de chose et auttres dépla cées. NOUss voulons comprendre ,
icelui roi de rage. ou icelle reine des apprêts. ou bien ... ce valet chantant sa romance devant nous comme un bateleur ! il chante bien. il a de la voix. il chante longtemps. il ne pleure pas quand il chante. il ne chante pas pour rien car son chant s’infiltre ici en ous qui nous mettons dès lors à danser, à remuer comme de beaux petits diables enfantins. Nous dansons la carmagnole, la gigue, la bourrée, la danse de saint gui, les pas de trop, la belle danse des arrêts. Nous ne sommes certes pas les derniers à vouloir bouger et nous bougeons ensemble main dans la main, nous entonnons le chant de la rage à être présent. Nous disons que nous aimons la chose, cette danse ensemble. Nous entrons dans la danse ensembvle. nous entrons ensemble dans la danse d’un parler brusqué, ouvrant des portes inexpliquées, portes d’azur et de royaumes ancrés dans un ciel de paix. Nous disons que nous sommes ici, à vouloir comprendre ensemble un certain nombre de données de base relatives à X vérités de poids qui puissent pour le coup nous éclairer da,ns notre marche vive (transe ?). notre but n’a pas varié (du tout) depuis la nuit des temps. Nous cherchons toujours la même chose , oui mais comment à présent ? telle est cette question qui nous taraude depuis longtemps. Nous voulons comprendre ensemble icelle question ... de poids et de rage. quoi est en elle ? hein le sait-on ? hein savons-nous ? qui sait ou saurait ou saura nous répondre et où ? dans le monde de la mort ? dansq quel monde au juste ? nous vopulons comprendre des données de rage, données folles, données vives devant nous offertes. Nous voulons trouver des choses comme des xsecrets enfin levés, ou des choses de poids qui nous informent, ou nous informeraient, du coup coomme il faut soit ou comme on le voudrait = durablement ... dans la vérité. Nous sommes deux een nous, la porte est ouverte, un Roi règne avec une Reine et leur Valet. le ciel est azur et brille. il s’agit d’une ouverture. il y a des embruns, eau-forte. Nous pensons à ce qui est devant (vive voie, vive voix) comme à une entrée dans une matière. Nous cvomprenons= nous prenons contre. Nous voulons comprendre = nous voulons pprendre tout contre. nous sommes deux = nous sommes ensemble = nous sommes un ensemble =nous sommes une (seule) partie d’un Tout majeur. le Roi est devant nous qui nous regarde, assisté : Reine d’un côté, Valet de l’autre. Nous ne sommes pas venu au monde pour déchanter bien au contraire ! nous sommes là pour la bonne cause qui est celle d’un parler «tenu» de bout en bout comme une ficelle, un fil de soie, une ligne de partage, don de soi à Sommité (roi, reine et consorts). nous voyons des choses, et ces choses nous regardent également, nbous parlent à leur façon : sachons déchiffrer. NOus voulons comprendre les données du monde d’une royauté développpée pour ainsi dire aux confins du monde, instaurée. Nous voulons comprendre (nous = 2) cette Chose rude, ce chant de prairie, cette atmosphère embrumée, ce val de rage, cette rage à vivre au devant, cette ouverture vive de torrent, ce mal d’aventure, cette quoi au juste ? vive armée de mots de toutes sortes et de toutes provenance ? nous cherchons ce qui est ici devant = cette chose ouverte ... de la Mort des temps donnés. Nouys posons pour la postérité (une image) comme on se doit de faire cette chose là, soit là devant, là sur ce devant = pierre meuble, ordre des temps, seuil de bosse, porte des parents, caillou. Nous voulons comprendre cette chose d’une sorte d’entrée en matière qui est ou serait une entrée dans la matière. nous voulons comprendre ici même (seuil) cette chose d’une porte ouverte sur un au-delà de rage bu = consommée. Nous voulons co:mprendre ce qui est ici d’une rage à être, ensemvbkle, nus,
main dans la main, assoupis, vifs ou vives à l’intérieur car la voie va, elle ne s’arrête pas, elle poursuit sa route de joie. NOus voulons cerner ensemble des données de base, données de choix pour un savoir de choix, le savoir de base de la rage à être. Nous sommes 2 pour cela ! nous ne sommes pas seules au monde, nous sommes deux à dire les faits = 2. 2 ici pour une dévcouvertte à mener de front, à compre,ndre = à prendre = à cerner = à toucher. Le vent souffle par l’échancrure mordoorée. Le vent s’engouffre, il
vient de dieu sait où soit de si loin que ... nous ne savons pas d’où. nous cherchons porte d’entrée à un monde caché de nous. Nous cherchons la porte du roi et de laReine. la porte.. est logée devant, comme une sorte de paroi princière printanière : la prairie des prés, le vent sifflant, les bêtes paissant, les fleurs s’ouvrant, le chant grimpant. Nous sommes ouvertts également car nous sommes deux qui ensemble collaboraons en une sorte de corolle pour les découvertes. nous cherchons à comprendre soit à entrer. l’entrée ici se fait par lma bande = par du langage ... meurtri, ou sinon meurtri bousculé, passé au vif de notre moulinette primesautière. nous ccherchons ensemvlbe à cerner au vif les données du temps déposé ici au jour le jour. Nous donnons à Dieu (la mort : idem) cette chose par nous déposé, par nous passé = du passé. nous donnons de nous au fil du temps. ... le Temps de nos vies passées, et ce temps devient présent , devient offrrande déposée sur seuil de porte ouvertte = celle de l’après , de la vie après ou d’après. Nous voulons ce faire dire, ou ce dire faire, d’un dépot de «soi» (vif ? mort ?) sur table (?) d’offrande. Nous posons vivant ou vivante (de notre vivant) le passé de soi consummé ; sur table d’offrande = terre-mère s’il en est, et il en est : la preuve est sous nos yeux , ouverts sur un monde comme déplissé. Nous disons que nous avons à faire ce pas en avant ensemble vers la voie qui s’ouvre devant nous longitudinalzment. nous voulons toucher le Roi mais ne point en subir les affres. Nous disons que nous voulons comprendre au mieux ce qui est ici, d’une voie royale : qu’est)-elle ? quoi est-elle ? où peut-elle nous mener ? quoi erst en elle ? que il y a en ? quoi en elle est ? voyez-vous comme ensemble nous cherchons la faille ? ce passage de destinée, cette faille d’échancrure, ce passaghe pour un corps de rage, cette chose d’une sorte d’anfracvtuosité dans la paroi , dans la pierre meuble, dans le sas, le voyez-vous ? Nous cherchons la faille-taille, nous cherchons ouverture de
bas-âge, enfance donnée, vive parole échangée à même ce seuil déployé. Nous voulons toucher cette Chose là, d’un Roi de patience. Nous disons que cela est qui existe ici. Roi de rage, Roi des patries folles, roi du temps passé déposé , roi des Asturies. Roi du passé de la rage à être mis (de base) à l’’écart. roi du monde dit. Roi pour une infante assoupie. Roi divinatoire. Roi chaleureux. roi des patries marquantes et des parties manquantes. Nous voulons toucher (connaitre) ce Roi du paysage, ce roi-Reine avalisé, cette reine -roi avalisée. Ce chant de la terre, ce chant d’azur, ce chant de la colère, ce chant de rage, ce cjhant des parties fines, ce chant des touchers et des caresses. Nous voulons toucher la reine et l’embrasser. Nous voulons toucher le roi et lui dire (donner) l’amour que nous avons en nous pour lui comme une bête, comme icelle ici bête de poids déposée sur rocher (magdalénienne). tout notre amour. Car l’ammour pèse ! oh oui ça oui ! oui l’amour pèse et pas qu’un peu : il fait partie des choses de poids, comme chair de rage ou boeuf de mont. Nous disons que nbous voulons donnertAmour à Roi. Nous disons que nous voulons donner tout notre amùour au Roi de la rage des devants à soi, qui sont debvants
comme des portes ouverttes sur un au-delà planétaire. notre envie est située à cet endroit et n’’st pas vaine. Nous sommes deux pour cette chose d’une voie à dénicher à même la paroi du monde. Nous voulons toucher la chose devant soi, cette chose d’un debvant à soi qui nous regarde, qyui nous parle, qui dit des mots de poids, mots de poids qui pèsent leurr pesant d’insanités rupestres on xsait cela (injures votives, etc)
. On dit que le mot renseigne mais le mot en vérité (d’abord) vitupère ! et comment ! à la cravache jusqu’au firmament c’est dit ! le mot crie sa haine première (primaire) avant toutes choses ! il n’est pas là pour rigoler, il est là pour dire ce qu’il porte en lui de misère à être ! il panse les plaies (de bouche percée) au passage
, il n’est pas pour faire joli, il pisse de rage. Nous disons cela comme quoi le mot vitupère au préalable, depuis longtemps, depuis la nuit des temps et des rois, etc . Nous voyons la chose à présent plus clairement concernant ce passaghe vers un au-delà de prince et de roi de céans. Nous cherchons à nous y retrouver , et pour ce faire nous touchons la chose devant nouss, roi-reine des parois du monde, royaume des présences, des dons de soi à Auttre devant soi = la vie, rageuse, donnée, de base, à déité demandant du vif, du qui saigne vif = en vie, etc. Et nous de la couiller comme de juste ! la coquine ! la voilà blousée ! nous savons $y faire dans le faire ! nous savons nous en dépatouiller ou nbous dépatouiller de la misèère à être des qui sont appelész à devoir flancher. Nous disons que nous avons à faire-dire une chose ici (seuil de porte) qui est cvelle ici qui concerne ... une vie après la vie, via le passdage (rage) de la mort de base. la mort est porte, est passage, est entrée, est sortie, est antre, est porrtique, etc. passage vers un au-delà rupestre, prairial, salutaire, clair, vert, aéré, limpide comme une justice qui se tiendrait. Nous voulons toucher la Voix du père ! Nous voulons «toucher» la voix du père, les mots du ruisseau. Nous voulons toucher vif, cru, à même la rage,
cette voix du père éternel, du roi de sa rage dite, Roi majeur des catacvombes, ce prince rentier, cet homme des tourments noyés, des tourments terminés?. NHous voulons comprendre ici cette chose d’un vouloir toucher ( d’un vouloir de base), d’un vouloir toucher voiiooix comme d’une base. Nous voulons toucher que tu toucheras, la toucher la toucher, toucher la rage à la voisine, toucher toucher la rage, cette voix de rage. comment toucher Voix ? comment faiore cette chose ? Comment faire pour toucher la voix ? comment faire pour ici toucher la voix d’une rage à ^etre ? comment ici faire cette chose d’une sorte de toucher buccal (rectal ?) ou comment ? comment faire ? comment toucher une sorte (ici) de voix venant des profondeurs ? La voix en question est celle d’un père assoupi , d’un père éternel, d’un père des embruns, d’un père mordoré, d’un père pionnier, d’un père premier. Nous voulons comprendre les données qui président ici , à une remontée des catacombes, chenal, pâssage étroit, sorte de conduit menant directement à pareilles vérités comme «incarcérées». Nous voulons aller en roche du temps comme à la guerre maiss non ! non nous ne devons ! Nous devons ne pas. Nous ne devons pas aller ainsi. nous devons conduire nottre vie en vie et la mener à charge sans fausse maneuvre, sans p;lainte, sans douleur, si possible sans douleur. nous avons à comprendre des données de poids, à cerner le Mal ... dans toute son étendue de rage, à piger vif et bien ce qui est (devant nous) qui nous apparait : tronc ? buste ?
tete couronnée ? sceptre d u temps passé ? colère ? nous cherchons assidumment à même le verbe
jeté, nous voulons tracer des traits de rage sur roche des prés et dessiner l’arbre. Nous voulonsaller profond dans le savoir des choses déployées, des choses mises à portée. Nous sommes ici deux pour une entremise d’envergure princière (royale ? monacale ? pariétale ?) et ainsi étant nous sommes qui allons, qui poursuyivons recherche, nos recherches assidues. nous ne voulons pas mourir car nous ne voulons pas céder car nous ne voulons pas rétrocéder, quoi ? notre vie de rage contre un mal de chien. Nous disons ici cette chose, comme quoi ... nous sommes deux pour une perspective longue, pour tracer des choses rudes, pour creuser l’abcès d’une vie de rage octroyée à la naissance (pour nous deux). Nous voulons toucher-tâcher d’y voir et loin et profond. Comment faire ainsi que nous fussions pour ainsi dire deux ensemble à comprendre sur pied les raison,s qui gèrent, président, chapeautent le monde . Nous voulons cerner au vif = à la vive = acvec bon train et bonne allure = en vitesse . car, nbous sommes deux qui ici nous disons que loa vitesse prime, primesautière elle vibre et dès lors prime, qui permet des sauts de rage, des écarts de voix, des passades, des entrées diverses en diverses matières déployées. Nous voyopns la porte ouverte devant nouis. Nous nous approcxhons de cettye porte ouverte. dedans on voit des choses déposées. dedans cette pièce derrière, on voit des choses qui sont déposées. on voit des objets, des victuzailles, des dons divers qui sont comme déposés à dessein, qii sont des offrandes à des dfivinités. Nous voyo,ns pareilles offrandes posées ici à même le sol qui est le seuil qui est la marche , qui est marche pour une avanncée. nous posons ntre pied sur cette marche. nous sommes proches (tout proches) de comprendre ce qu’il en est, de cette entrée, de ce passage découvert, de cette bouche avide, de cette bouche de rage, de cette bouche gueularde, charretière, poissonnière, chant des parois rocheuses du monde, chant des tréfonds d’une terre grande, grosse de vie morte. Nous disons que nous voyons une chose rosse, cri de guerre, cri vif, cri des déportés de la misère, cris des hommes perdus, des femmes battues, des hommes pris, des enfants meurtris, ou bien ... cris de qui ? les cris (le christ) montent (monte). Le cri est le cri du christ qui monte devant nous et vient pour nous parler de ce qui est pour nous qui nous attend ici devant nous. je suis arrivé ... à destination (destination princière) en ce passage des tréfonds. je suis arrivé là avec, en moi, du dire de poids : chant des pertes, chute libre, bois des partiess pleines, mobile, choix de carême, plaintes ténues, bois d’ombre. Je suis là avec avec moi des ombres. Je suis là (sur roche = sur paroi) avec avec moi des ombres de poids : aurochs de bienvenu, mais surtout cheval ! Je trace; Je suis monté. je suis cet homme des temps premiers qui trace à main levée des betes de poids
qui en imposent grave,
qui poussent à vif leur chant de poids premier,
qui font obstruction comme un langage de vif affront;
je cherche à comprendre en moi la bête de poids qui sommeille ou ne sommeille pas mais rêve ou ne rêve pas mais cherche à parler. jke cherche pour le coup à parler pour elle ! je veux faire à tracvers moi parler la bête contenue en moi. Je veux faire parler la bête contenue en moi depuis longtemps, dezpuis si longtemps qu’elle en fatigue et semble ... vouloir s’assoupir (s’éteindre ?) alors ... non pas ! ne pas ! que ne pas cette chose ! non et non ! Nous ne voulons pas qu’en nous la bête, en nous contenue (l’aurochs on l’a compris), ne s’éteigne et peu à peu vienne à flancher et meure de tout son long sur pareille pierre devant soi (la vie) comme pierre d’offrande.nous voulons comprendre ensemble (la b ete et moi) cette chose, d’une sorte de donnée de base, ou dite telle, qui sezrait cette chose d’un devant de soi monacal, sorte de paroi du monde, chaloupe, antre, arche pour une aventure ... de recherche surmenée ou disons soulevée ou bien menée grave ou comment ? menée tambour battant à force de rage ! Nous nous infiltrons, nous entrons, nous nous faufilons, nous nous infiltrons ensemble, nous passons le pâs. nous sommes entrés dans un temps de rage et de colère ancrée. nous sommes entrés dans le sas de la colère, de la joie à dire vif, de la chose vive, des vives données. nous donnons de nous l’invective, la haine, la voix rude, le coeur vif de vie pleine, entière, battante. nous voulons cerner les choses du monded’après. le monde est tel qu’il nous fait croire en un après, à une vie sur terre, déjjà, au sens des mots commùe allant de soi, etc. les mmots que nous portons en nous son,t Verbe de joie = Verbe des croyances en un sens avéré et attenant aucx choses du monde : la vie, la mort, le sang, la douleur, la parole, le cri, la peine, lma vive misère, les données rupestres, les aurochs, les chants, les cris pariétaux, les dessins donnés par la bande, l’art surnuméraire, le pouvoir de dire non, l’épopée princière, les appeaux, les traits de rage, les enfants qui cherchent et finissent par trouver le pot aux roses en cet endroit qui est perforation, anfractuosité, passage dans la roche dure, trou de choix, perçage, ombre, ezntrée sale, pluie de verbe dans le sang qui va de son chant circulant. Nous disons du Verbe alourdi de peines diverses, il es t temps de s’en alléger, et de pousser ailleurs l’escarpolette ou bien la chansonnette ! Nous voulons comprendre ensemble ce qui est ici (roche-royaume de dieu = de la mort nommée) et pour cela, un mot
un seul : l’entraille ! l’antraille dite, l’entrée dure, l’entrée de poids, le passdage en force par le sas. nous sommes ainsi nous deux qui voulons cette chose d’un passage en force ! NOus voulons ensemble pester ... pour traverser. soit pour une traversée. nous voulons ensemble (qui en nous ?) aller ainsi vers un ailleurs votif qui serait celui d’une vision globale = totale= élargie. comment s’éla
rgir ? comment faire ainsi que des choses soient ainsi que nous le voudrions ? comment faire ainsi que nous puissions «sortir de nous» et toucher le père ? qui a dit que le Verbe était nécessaire pour ce faire ? qui dit ou dirait cette chose d’une envie (vive) de toucher le père devant soi = ce roi = cette reine = ce valet = trinité ! Je cherche, avec les mots de ma tribu, des choses de rage ... qui seraient comme des levées, des découvertes. Je cherche à même le verbe buté, je cherche à bloc, au débotté, à la vacharde, au vif canif, au tracé rugueux, au colérique. Je cherche à vif et ne m’en laisse nii conter ni démonter car je suis motivé = motorisé = mû = bougé = seconcdé par, en moi, l’esprit de la lutte entièyre, pleine, formée ronde comme meule, douce et brillante. je veux être l’être des découvertes
d’enfant de ta rage. Je veux être l’etre d’enfance )àà être de rage une rage à être ! car, enfance = rage. rage = enfance. rage à être = enfance de poids, aurochs et bison, soulèvement ! Je cherc he à comprendre les données du monde et agir = à agir durablement. je suis venu en roche pour compre,ndre les données (les dons) du monde, ce qu’ils sont et ce qu’ils ne sont pas. je regarde aux alentours et du coup , j’esszaie de comprendre ce qui se passe. pas facvile de toujours comprendre ce qui sexpasse. on essaie bien mais vas-y, essaies de comp^rendre vraiment les données du monde ! On rehgarde longuement, on essaie bien sûr de regarder, de voir dans la profondeur, de comprendre tout ce que l’on peut en fait de vérités, mais ce n’’st pas simple car , pour comprendre loin et profond, il est nécessaire d’avoir pour soi un esprit particulier c’’st)à-dire bien affûté, bien tourné dans un sens qui convienne à pareille visée, il est nécessaire de pour ainsi dire se placer au monde ou dans le monde de telle sorte que des données puissent affleurer et s’ooffrir dès lors à notre gouverne. Nous testons en perma,nence. nous faisons de la recherche. nous voulons expérimenter, creuser des données, trouver des choses, trouver dans la profondeur, trouver le plus possible de choses dans oa profondeur. nous sommes nés pour cette chose et nous faisons dès lors ici cette chose d’une sorte de pratique de la profondeur. nous faisons pratique, ou en pratique, nous cherchons des choses, nous creusons une pratique. ou bien : élaborons une pratique. Nous sommes ensemble (deux = 2) qui cherchons à comme développer, par le verbe, une sorte de pratique rudimentaire peut-êztre mais bien réelle , pour des tentatives de percée de roche, pour des tentatives de passage, d’entrée de rage . Nous voulons toucher la déité. Nous voulons toucher déité. Nous voulons toucher à une déité. Nous voulons toucher déité de pasdsage. nous voulons creuser loin et profond à travers la roche du temps qui est cette roche du devant qyui est cette roche d’un devant de soi qui est cette roche d’un passage acidulé verbal, qui est lui meme un passage à l’acte. Nous touchons là à une vérité de poids : nous sommes double = nous sommes doublé = redoublé = pris au sang. Nouis solmmes qui allons à même la roche à la recherche d’un xserment, d’une parole an,crée, d’un dit de poids ou d’évangile. Nous cherchons au débotté (à la gailla rde) à nous approcher (par la vivacité) d’une vérité qui serait native = naissante. La des vérités. la seule , l’(unique. Nous pistons, nous explorons, nous ne voulons pas lacher prise, nous poursuivons sur notre chgemin cette recherche de
tous (ou presque) les instants. Nous voulons trouver ce qui est au juste à travers le v Erbe: le verbe peut il nous aider à y comprendre quelque chose de vrai ? le Verbe a)-t--il en lui possibilité ? qsui sait ce qu’il en est du Verbe employé par mla bande ? la ba,nde est-elle de la bande ? est-elle minorée ? est-elle :majorée par les embruns ? a-^t-elle du répondant ? peut-elle induire des données de vérité ? est-elle majeure, mineure ? est-elle à vif dans le sang ? la bande est)-elle le sang ?
La bande est elle dans le sang ? la bande est elle sang de vie ? la bande est elle sang de vie, pour une vie libre à mener fissa ? qui saurait nous indiquer les choses, nous donner le sens de pareille donné de base ? qui est pour nous celui qui sait ? qui est-il pour nous ? comment le nommer ? nous cherchons à même la roche, à même la paroi du monde. nous voulons comprendre ce qui est, ce qui est sur roche qui nous parle rude, qui sermonne. Nous sommes dxeux pour ensemble nous y retrouver et comprendre au mieux les données du monde. qui sommes-nous qui parlons pour nous, qui nous exprimons dans le dire vif d’une parole comme (peut-être) échancrée de base ? qui on est pour soi ? qui parle en nous à la gaillarde ? qui s’exprime durablement en nous par le verbe dru ? qui parle qsuand je parle ? l’épopée ? la pleine misère ? le chant de la rage à être ? muusicalement : de principe ? comment parle t on ? parle ton par la voix dexs astres,? des prairies ? des prés vertts acidulés ? des chants d’azur et de beaueté ? Nous pensons que nouys devons ensemble chercher à comprendre, vif, les données de base rupestre, à la lumière d’une voix qui nous serait donnée à la naissance par nos pèrres et mères, et qui nous dirait ... de nous pencher, durablement, sur pareille roche aux apprêts, et là : écouter le chant d’une rage à être ... domi-cilié. Car, ici nous sommes (terre-mère) sur roche du temps dans un sas de belle (bonne ?) aventure rupestre. Nous solmmes assis / assises. Nous sommes déposé es. Nous sommes sur le tas. Nous regardons au loin ce qui est qui semble vouloir se passer loin de nous. nous regardons au loin ce qui sepasse, loin de nous, de notre gouverne. il y a plein de choses déposées à même la terre, victuailles diverses, données vives, temps passé déployé, temps passé brûlé comme de coutume, et nous de penwsezr la chose comme quoi nous sommmes deux qui allons de concert à même la paroi du monde, à la découverte des données princières, celles-là qui nous intéressent, mots de rage pariétale, mots des embruns,; mots de la mort à l’oeuvre, mots de la fin. Nous voulons cer-ner ensemble (corps à coeur) les données qui sont, devant nous, déposées comme des offrandes : temps passé brûlé, chose de la rage à être, prime sur l’éternité. Nous savons des choses à force. Nous avons à force compris certaines petites choses du temps, nous avons enfin à force pigé x petites choses du temps donné qui est le temps brûlé= le temps mangé = le temps perdu. nouys voulons comprendre ensemble ces choses rudes, les pousser au plus de leurs retranchements diurnes. notre volonté s’inscrit dans un projet. il y a ici des choses et autres qui sont ou sezraient à devoir être dites mordicus (Verbe aidant) et voilà ce à quoi nous croyons (notre foi de rage) et ce à quoi nous voulons porter pareille foi, ou nos efforts, nos envies. nous poussons loin. nous allons au plus loin possible que nous pouvons. Nous eessayons de forcer la roche et la dose et creuser profonds pour des connaissances à faire affleurer à la surface d’un dire de pâix. nous filons ! nous filons le ruban de l’âme ! nous foulons ! nous foulons la terre première ! nous cherchons à nous carapater ou comment dire cette chose d’un vouloir particulier visant à se cacher, à vouloir se cacher, à chercher cachette, à chercher salut dans le verbe
dru. nous sommes ensemmble qui nous promenons sur un chemin. ce chemin est une voie qui mène ... à un au-delà pariétal. Cet au-delà pariétal est une cachette (ok) qsui nous concerne, nous intéresse, nous parle, nous regarde, nous espionne peut-êtrte, nous parait convenir à nottre sorte de gouverne si tant est. nous voulons nous libérer d’une emprise rupestre, nous cherchons la libezrté. notre but est ici de traverser à travers la roche, de la dépasser, de creuser entaille, de passer, et de nous retrouver de l’autre côté, et là de toucher ... le pere éternel ? à la voix rude (?) qui (du coup) parle dru à nous qui sommes des enfants devant le firmament. nous disons que nous devoons comprendre ensemble (main + main) des données princières = primaires = premières liées au Verbe d’un élan vif. nous faisons ainsi ce parcours de vie dans le verbe. nous poussons de rage nos savoirs comme autant de données à déposer sur seuil de cdemeure l:ouée. Nous disons que nous devons louer pareille demeure, glorifier l’antienne, hurler de joie-souffrrance notre propre avancée en pareil sentier. hurlons la demeure, ou : hurlons pour la demeure ! faisons fi de notre santé appelée à succomber quoi qu’il advienne ! Nous devons penser à ici subséquemment nous protéger du verbe continu qui semble menacer (à vif) notre vie interne, vie de rage, qui semble vouloir nou$s toucher à vif et nous faire chuter. Nous sommes
des enfants dans une grotte. nous parlons pour comprendre le monde. nous pen,sons que de
parler ainsi (à brûle-passé) peut de force nous aider à comprendre ici le monde au mieux, c’est)àdire les données premières , c’est à dire ce qui nous attend ... dans la mort, car on dit cela (et on le croit) que nous sommes appelé.es à devoir y passer un de ces quatre. Nous pensons que c’est lma vérité. que la vérité des choses est logé e dans le v erbe, dans ce qui est dfit. misère ! que ne croit-on pas ! Le verbe est salutzaire mais point da,ns le sens où ce qui est serait dicible ! oh misère ! oh enfa,nce de la pensée, à jamais ! Nous passons par un trou d’aiguille et nous sommes à présent comme mis et mises de l’autre côté, à savoir côté pair. nous voulons cerner des choses toutes liées à des vérités de poids. nous parlons pour dire icelles. nous pensons que de parler (de raisonner) aide à comprendre, à savoir, à naviguer, à aller, à marcher... comme des jambes aident. mais la vérité c’est que des jambes aident davantage. nous pensons que cette chose de parler... induit la vérité, permet une approche (à chaque fois renouvelée c’est à dire repoussant la chose ). Nous pensons
que de parler et de penser, est chose de base, est chose de poids , chose pesante = lourde = quoi ? nous pensons que nous devvons parler (penser) pour prendre, avec soi, un paquet de chose de poids. nous pensons que nousq avons, pour nous, cette chose (rude, vive) à faire tout du long, qui est , de penser-parler le monde, de penser-parler icelui (ici) en allant, repoussant par le verbe au loin ce final pour ainsi dire jamais en vue d’une verité qui se puisse être dite enfin et une fois pour toutes. gageure et anerie font bon ménage ici. la chose est classée. le dire dit «de vérité» sé’éloigne à vue d’oeil. il file da ns les profondeurs des limbes de la vie sur terre. le sens est perdu qui n’a jzamais été pour nous donner de quoi pouvoir dire «c’est fait, nous savons, la chose est ainsi». Jamais de la vie. nous pe,nsons -parlons ... pour en rajouter dans le dire qui, accumulé, éloigne le dire du vrai. je pense donc je suis la chose, or que suis-je d’autre que ce verbe déployyé (le temps suffit) pour une sorte de gouverne en sainteté (odeur de sainteté ?). je cherche à comprendre ce qui est dans ce qui se voit, mais impossible car la vie ici est telle que le temps brûle tout entier son allant de rage au fur et à mesure que nous a vançons ensemble en age = concomitament dans le
VErtbe cru. nous croyons. Nous pensons = nopus croyons. Penser = croire, évidemment ! il s’agit ici de voir la chose comme qyoi penser-parler , induit la croyance en du verbe sensé or inutile (presque) de préciser (ici) cette chose, comme quoi le verbe est avant toute cghose du massif de base, rage vive à devoir propager sur terre-mère à la volée (le temps aidant) comme une chose dég&agée des limbes, ou même déployée des sens, homme / femme délivrée dès lors dee sa gouverne printanière. hje cherc he dans le dsang le mot de la base. je cherche dans le sang perlé, le mot qui pose, qui pousse, qui enchaine. hje suis homme des parois du monde
et je cherche dans le sang des choses qui, de fait, sont (ici mêmme) les choses
de la joie à être. le sang porte en lui le nom donné ou qui nous est donné à la naissance. il s’agit ici de cette chose d’une donnée rude, vive comme les pluies, vive et belle, belle bête s’il en est,
qui vibre, qui pousse, qui permet d’en avancer fissa sur le chemin de notre destinée, etc. Nous savons cette chose ici, comme quoi la vie est une destinée de rage, qui va du point a au point b en poussant des cris de betes massives, des cris forts de betes des bois et des prés, comme aurochs, comme cheval, comme bison, comme rhinocéraos, comme cerf de grande taille. je pense ici = je parie sur l’avenir = j’extrapole = je pousse dires et gestes au loin comme une coupole lancée comme à la vol:é. je suis sport. je chante. je suis cet homme qui va de l’avant... dans un dire affolé qui vibre et s’implante sur terrain approprié comme est le temps de la durée d’un verbe attaché à une pensée. je suis homme qui compre nd ici les données posées ou déposées à même l’herbe. je tomberais à la renverse, je serais piégé, je serais piqué par la mouche tsé-tsé ou par quelle autre bête inoculant son venin acide meurtrier ? par quelle autre bête filant sa toile , par quelle autre bête de poids ou de charge ? Je suis homme des apprets de base, on voit cela, on comprend, on devine, on voit ce qui se trame, on voit les données de base qui ici se p^rofilent et semblent vouloir nous adresser comme une parole de destinée (de sainteté ?). je sens venir l’ombre sur moi. je vois venir le verbe ... sur ma gouverne. je comprend que des choses se passent (qui sait ?) par-devers moi. le temps se déploie par la bande. la bande est celle-là même qyui me voit aller tout de guingois dans le Verbe. où se loge t elle ? dans un sang des rois ? dans le sang dit bleu d’une sorte de reine primaire cherchant querelle et me sermonnant comme un enfant ? qui est ici qui puisse dire ce qui est ... pour de vrai ? qui sait la vérité des limbes ? qui connait le mal à être soi pour soi ? le verbe est il porteur (en soi) de connaissance ? le verbe a t il pouvoir sur nous ? saurait-il nous indiquer la marche à suivre, le trajet à empruunter ? le mal est il logé ? la peine (la douleur) est elle à devoir etre ? qui sait ce qui est du verbe en nous contenu ? qui parle pour moi ? qui me parle et parle pour moi ? est-ce u ne mère ? esdt ce un père ? est ce la voix du Verbe attenant à soi ? est ce une misère ? un monde ? le monde ? le portrait craché d’un monde ? je cherche à comprendre avec (ici) les mots qsui tombent et me portent et aussi me soulèvent et ausdsi me prennent et aussi m’amènent au loin, là-bas, champ
d’azur et de betes boisées, les biches nacrées me regardent. je suis homme déployé ... par la ba,nde en moi langagière. Je suis homme langagier, dit homme des contrées vives, homme vif dxe verbe employé, homme du passé brûlé (calciné) comme charbonille. je tombe ici de tout mon poids d’aurochs offert, du fait que je suis ainsi à même (incidemment ) de pouvoir parler, en veux-ttu en voil:à, à même la pierrre. qyui suis-je d’autre que cela, cette pierre, ce sang sur la pierre, cette pierre (pierre d’apparat) ainsi «décorée» : qui ? je suis un homme qui, sur pierre (monde), pose le (un) présent attezndu par la mort à savoir la vie, mùais ici la vie n’est pas à proprement parler la vie mais «la vie passée», soit le passé brûlé, consumé, le passé de soi (ou d'un soi) comme mort, vie de soi sans vie, etc. je tombe sur le sol , me ramasse, me relève, va = vais. Je suis ombre et homme des parois du monde ... adjacent à celyui ici que nous vivons. Je regarde la porte s’ouvrant devant moi à mesure que jh’avance sur ma voie. je regharde au loin et voit la biche, le chevreuil, le cerf, le méga-cerfg. je suis cerf mùoi-même. je touche au but. je touche avec des mots de base qui sont mots de rage rupestre. jhe veux dire ici cette chose d’une voix (de base) menaçante, voix qui hurle à la mort son juron (de poids) monacal : bisque rage ! Je suis
homme au parler ardu, critique, perlé, parfois vif, parfois vil, etc. je cherche à comprendre ce qui est ici, les enhjeux de race première,;, ces données de poids, ces données de vie riche. je fou;le la terre , je m»’e,nfuyis pour ainsi dire. Je suis homme qui s’enfuit , dans du verbe (de poids) salutaire, dans du verbe dru, récolté, rassemblé, assemblé, mis comme bout à bout par paquets de dix. je cherche «une entrée de voix». je cherche assidument un passage pouvant (de fait) donner de quoi ou vers quoi aller. je suis cet homme qui, parlant, pousse une porte, cette porte porte un nom de porte = «porte»; je veux. je cherche. je veux savoir. je veux comprendre le xang, la chose du sang = l’être, le chant du sang, le chant sanglant du sang qui se faufile finement par les anfractuosités de l’être. je comprends. je cherche à savoir. je file. je cherche à comprendre loin. je veux cette chose. je veux faire cette chose d’un savoir de dires durs, d’un savoir lié à du dire dur. je veux faire cette chose de savoir et de savoir loin ... et long, longtemps, vif, comme un homme qui serait nanti, qui serait pour le coup muni (bel et bien) d’un dire de poids, d’un xdire pour des «embardées salutaires» à même une paroi de roche ... à graver, à peindre, à percer. je sens cette chose qui en moi renâckle, qui szerait
bete soit la bete-mot contenue e,n moi. je cherche à comprendre ce qsui est en moi qui serait pour moi une sortye de «gouverne animalière» et cette chose, l’approcher par du verbe dru = dur = vif = porté = mené = déposé = posé = donné. je veux aller ainsi vers des savoirs qui puissent me donner l’élan, l’élan suffisant , pour une incursion à faire en roche, à deux : la bête et moi main dans la main pour ainsi dire. sauter le pas. franchirv les obsctacles posées devant soi; sauter les bouts de bois de la foret qui jonchent le chemin de destinée. Je suis sur ce chemin de destinée, je file vitesse grand V. je cherche à comprendre ce qui est qui devant moi se pointe à vif comme une pointe . vit ? vite venu ? vite venu à moi comme un geste de bienvenu décoché ? je cherche à comprendre ce qui est cde ce que je vois se tramer. la pensée rédige. l’homme en moi déplace la pensée vers ... un dire animalier de bien venue (de bonne renommée). je suis à vouloir xdép^lacer une pensée de poids (plus ou moins salutaire) vers du verbe ancré, ou vcers un sentier, ou vcers sentier de cverbe déposé. Je cherche à comprendre ce qsui est pour moi, dans le verbe soit en moi, cette bete de poids qui cherche à pa rler;, mais comment peut-elle ? comment faire pour ainsi faire que les choses soient ... et restent ? comment faire pour soi (en soi) faire parler la bete ? quelle est-elle ? suis je en moi pôrteur d’icelle ? qui est cettye b êtye ? quel nom a t elle ? quel nom porte t elle ? a t elle un nom que je connais ? le verbe est il inné ? est il donné ? est il appris ? est il induit ? est il déposé ? est il donné comme ... le présent du temps ? est il Verbe de peu ? verbe de poids ? verbe sauveur ? verbe contenu dans le sas de la vie sur terre et pas au delà ? a t il des ramifications dans l’au-delà ? est il du verbe de paroi (aurignacien pour votre gouverne) ? est il verbe d’un don de rage ? est il poussé ? est-il tiré ? est il aspiré ? est il soufllé ? est il contenu en nous ou hors de nous contre vents et marées ? est il verbe des loiintains parages ? est il verbe traversant nos corps comme un instrumment ? Suis je bete ? suis je l’idiotie première ? suis je ab ruti ? suis je con comme une lune p;leine? croissant ? quartier ? suis je con-con ? suis je à emplatrer de première ? dsois-je vivre longtemps ? suis je fait pour vivre ? suis je fait pour aller loin en pareille voie ? suis je fait pour toucher ici au verbe vif, monacalement logé, emprunté à qui vous savez, etc : suis-je celui-là ? suis je un moi ? deux ? suis je en moi deux moi ? qsui gouverne en moi = qui parle et conduit le mobile de vie ? qui est qui ? qui en moi comprend ce qyui est ? qsui de moi sait ? qui sait de moi ? qui de moi sait ce qsui est ? qui sait de moi ce squi est ? qui en moi regarde ? qui voit en moi profondément ? qsui en moi voit ce qui est que je szerais? qui «en moi « (où donc ?) voit ce qui est que je sezrais ? qui peut avec des yeux voir ce qui (en moi) semble être logé ? squi pour moi peut dire ? qsui pour moi sait ? qui pour moi peut dire ce qui est qui semble se tramer en termes de santé à vivre ? qyui connait la destinée de tout un cxhacun et chacune sur terre mère ? qui parle pour moi ? qui est là pour moi parlant ? qui est là pour moi qui dit ce qsui est ? qui pour moi est là qyui parle en moi et dit ce qui est de moi = ce qu’il en ressort ? qui parle à travers moi, mes dires, le verbe, les dessins de rage sur pierre d’oofrande, tout ce passé mort ici déposé en voulant faire accroire( à une déité) que le passé est vrai, vrai sang de ta race.
Je suis celui-ci qui cherche à comprendre un certain nommbre de données de base = de poids , qui puiissent (dès lors que ça pèse) donner directions. Je vois ... ce qui est devant (le temps) comme une sorte de voie à ici emprunter fissa par la bande (sanglante) du temps. je suis homme qui s’avance sur p)areil sentier et fonce que tu fonceras , tête première, vif éclair dans la nuit des temps, à la recherche d’une voix. la voix Premièere. Mot des mots. Mots des dires fous de rage. mots des voix qui péèsent. je regarde cdevant moi ce qui est qui semble aller de soi et nous donner ... du fil à tisser, et ce que je vois est , ce fil xde soie, ce fil de rage, fil fin d’une rage à être vivant - vivante par la bande = le verbe = le cri = le christe = l’oint de destinée. je me place ainsi en ces parages à l’abri du vent qui souffle fort. je regarde de biais et comprends ce qui est ici en matière de donnée primaire : le vent, le vent dans les voiles, souffle que tu souffleras, le vent vif qui cingle le visage, le vent sifflant. je vois devant moi cette ombre portée qui vient jusqu’à moi, m’effleure, me touche crûment, cherche à m’emporter, à me rapter. Je suis l’homme là du la de la bande, du ... la la la d’une bande en soi, chant menu, chant fin, chaznt doux, fil de chant de soi, chant de rien ou de si peu. je vois ette
chose devant moi qui est : entrée de rage dans la matière. hje veux savoir, et cela que je veux savoir existe ici en gra,nd, devant moi, sous la forme d’une bête gigantaesque, la bête des bois, le cerf mèga-grand qu’on l’appelle, ce grand des grands cerfs, ce cerf géantissime, cette bête de forte prestance et assurance-présen c
e.Je regarde icelle. ma voix porte. le temps file vif. les mots viennent à se loger dans un sas de roche dit «magnificient»». je pense à la bete belle. je suis ombre. je touyche la bete belle. je regarde icelle devant moi et m’en approche. il s»(‘‘agit d’une bete de poids, qui sepose là , en impose, dit son dire fol, peuple laterre. je vois icelle devant moi, et essaie de la comprendre soit de la toucher. ma main s’approche d’elle. je ne tiens pas à l’effrzayer. je veux être un ami pour elle, bienfaiteur, ami doué, jeune pezrsonne apprécièe par elle, seigneur . je veux être un seigneur pour elle, un joli être d’approche sensible, caline, pas brusque, doux d’allure, etcx. que la bête ne me craigne surtout pas mais au contraire qu’elle soit en confiance, qu’elle vienne à moi sans crainte, qu’elle vienne à s’approcher de moi sans crainte, en toute confiance, doucement et durablemenent. la bete- chevreuil, la bête)-biche, la bête-joie, la bête-mot, la bete-mort ou comment se nomme-t-elle ? Je suis l’homme des parolesq déposées sur roche, magdalénien, aurignacien, solutréen, ou même plus loin, néandertalien de rage. je m’approche de la bete incidemment, et je cherche à lui parler ou à la toucher, les deux. à toucher-parler ensembvle
une bete des bois de la rage à être?.
mon nom est le nom de cette bête. je connais mon nom , il est celui de cette bête. mon nom est exactement le nom de cette bête, de la bete devant moi qui se présente comme un temps donné. mon nom de base est nom de bête. je cvonnais le nom. ce nom est logé. il siège. ce nom est contenu. il préside. ce nom est un cap de rage. ce nom est capitaine au long cours. ce nom est un nom déposé pa r la ba,nde en un antre de rage. ce nom (mien) est tel que la bete le voit (dezvcant moi), le sent, le subodore, le renifle, le lèche etcx, comme une chose en soi dépôsée devant. je suis l’homme au nom animalier, porté par la joie à être ... un homme rageur, d»éployé dans un temps tout aussi rageur ! je suis l’enragé de la bande, homme)-cervidé, connu, cherché voire recherché par d’autres cervidés de la lande. il se peut que je sois renommé par la ban,de. par la bande animalière. D'un nom d’appret. nouveau nom de ta race : nom ici apposé comme une main qsur paroi de roche . nom
surnuméraire ? nom donné par les embruns ? par les betes paissan,t ? par la roche elle-même ? par un dieu de foi ? par la bete en col:ère ? par la mort ? par lma mort en vie ? par une mort en vie contenue dans la vie ? par la mort en nous contenue ? par en nous une mort contenue ? par en nous lma mort vive ? par en bnous une mort vive ? par en nbous la mort qui vit ? par en nous une mort vivante ? par en nbous une de ces morts vivantes qui siègent en nous comme une sorte de «gouverne princière» ? qui donc loge en nous en fait de gouverne ? qui en nous se loge en fait de «gouverne princière» ? le grand manitou ? une huitre perlière ? un prince ? le prince ? le Roi ? le roi des parois de rage ? rOi aurignacien ? roi madgdalénien . roi néandertalien . ? Roi de céans ? rois des parages, des parades ? quel est donc le roi en soi qui pèse, pose, siège et parle pour nous ?
21/2/2022
Je suis ici celui-là qui cherche volontairement, à comprendre ce qui est qui vient ou viendrait à nous soit devant nous, et ce qui est est cette chose d’une sorte de donnée vive, brusque, déployée etc, qui semble nous «ouvrir des portes» sur des vérités de poids. que sont ces données ? ces données sont des choses rudes on le sait. Sont des choses qui en imposent de par leur stature, de par leur profil bestial et rugueux, de par leur élan (une chevauchée), de par leur allant (un vif remue-ménage devant nous). nous devons comprendre ces données ici en tant que massifs différenciés, qui tous imposent leur stature, leurb présence. Nous regardons, et ce que nous voyons ne laisse pas pour ainsi dire de nous intriguer, de nous impressionner aussi, de nous subjuguer. nous sommes dès lors face à pareille données qui semblent nous narguer, ou bien nous faire des signes : de bienvenue ? appel ? appeau ,
que se passe-t-il ? Nous ne voulons pas passer à côté ici d’une vérité de poids et pour ce faire nous entrons ensemble (à deux) dans le temps, dans ce temps d’une vie allouée à une existence ou quelque chose de cet ordre. Nous sommes deux (en nous) car nous sommes double. Nous sommes double = nous sommes deux = nous sommes doublé = nous sommes «plusieurs» si tant est que plusieurs puisse être deux. Nouys cherchons de ce fait ensemble des données brusquées (ici par la bande et volontairement) qui puissent nous donner de quoi éclairer suffisamment notre lanterne pariétale. Nous ne voulons pas flancher mais tout au contrzaire poursuivre (et fissa) sur notre lancée qui nous voit ensemble (main dans la main ?) chercher ici et là des données de base concernant les choses de la vie, soit tout autant les choses de la mort. La mort est de fait de ces données de base que nous recherchons. Nous voulons comprendre ensemble loin ce qui l en est, ce qu’il en résulte ou comment exprimer cette pensée qui nous occupe tout du long tandis que nous allons ? comment dire icicette chose d’une mort qui serait ... une donnée ? Nous pensons que cette chose (mort = donnée) est très importante (souligner). Nous pensons que cette chose ici (ce dire) est capital (souligner). Nous voulons comprendre cette chose. Nous pensons que cela (ce dire, comme quoi la mort est une donnée, ou sorte de donnée, et aussi : donnée, offerte) est une chose de compréhension ou relevant de kla compréhension, des connaissances, etc, à ne pas traiter à la légère. Nous cherchons des données fortes, rudes, dures soit qui tiennent et ne flanchent pas. Nous pensons que cette chose de lza mort en tant que donnée (et donnée au sens adjectival du terme) est chose de toute premiere importance, capitalissime, capitale en cela que la mort ne tombe pas de rien, ou cheveu sur la soupe ou fait subi, mais est don pour soi, don d’une déité pour soi, don pour soi d’un dieu Amour. Je dis les choses ici telles qu’elles me sont soufflées ensemble par la bande pour ainsi dire. ici je dis les choses d’une sorte de souffle ou soufflet qui m’est ou me serait comme transmis virilement ou sinon virile ment visiblement, ou sinon visiblement incidemment par devant moi cette chose d’aplomb, cette ombre portée, ce chant personnifiée, cette ove. Je cherche une Vie. je cherche devant moi cette chose d’une vie à vivre et virilement (?) et visiblement et incidemment à même Terre-mère des Tourments = ce monde adjacent à une vie (autre) de rêve, ou sinon de rêve : de poids. JHe sais cette chose comme quoi la mort est une sorte de donnée de poids, est une sorte de donnée qui pèse, qui en impose largement de par sa masse, son allant trappue ... comme aurochs. il y a longt
:mps que nous avons compris la chose, celle-ci, comme quoi la mort ... est donnée (une donnée) qui en impose durablement et à la dure face à nous qui regardons, regardons comme nous pouvons, cet être de joie devant soi = devant nous ... qui allons ensemble à la rencontre d’une vérité. La vérité ici est
comme imposée. un impôt pour ainsi dire (imposition ?). Nous voulons toucher
cette peau de bête, ce chien ? ce cheval ? Nous voulons toucher cette peau devant soi, qui se présente, qui se déploie, qui se place sous nos yeux pour inspection pour ainsi dire.
Nous voulons toucher cette chose d’une sorte de donnée vive (vivante ?) qui vient à nous et cherche ici à nous embrasser, nous serrer, nous prendre, nous cerner, nous comme envelopper, nous souder à elle. Collage : frottadou. Et pourquoi cela ? parce que nous sommess intéressant (ô combien !) pour elle ! Nous ne sommes pas rien! Nous sommes êtres qui comptons pour ainsi dire notre poids de cacahuètes, de monnaies. nous sommes êtres qui comptons pour elle = nous valons, nous sommes de valeur, nous sommes cher, et nous sommes chair. Nous sommes cher et nous sommes chair = nous sommes h umains qui sommes de sang et de chair. nous sommes incarnés. Nous sommes incarnés pour elle = des êtres ... de poids et de masse, des êtres quyi se posent là, êtres qui sont ... des qui sont, qui existent en dur, pour de vrai, homme et femmes aux attraits , de par leur étant dur, leur constitution. Et voilà pourquoi la mort «nous cherche» et finira par nous trouver ici ou là. nous savons cette chgose d’une porte devant soi, temporelle, dure, vive, ouverte. Nous la voyons de nos deux yeux, nous voulons nous en approcher et pouvoir y voir à travers ou bien pouvoir entrer (d'un pas timide) et voir au loin, ou dedans, ce qui est, etc. On sait que la mort est une donnée de poids de type peinture rupestre. On connait ces choses des parois, toute une imagerie de rage étirée, cette chose d’une cavalcade pariétale. On connait les betes dessinées ou gravées et on sait (on devine) leur importance «mimétique», cette chose d’un semblant qui est offert à une déité afin de faire accroire. Nous savons que cette chose (don de soi par la bande) est : et capitale et un capital , Le Capital, cette chose d’importance grave, rare, dingue. Nous disons que nous voulons savoir les choses de ce capital, nous disons que nous voulons comprendre ensemble (tous et toutes) cette chose grave, rare, cette drôle de donnée massive appelée » le Capital». Nous ne voulons pas faiblir. NBous ne voulons pass lâcher les brides de la connaissance en toutes choses. Nous voulons comprendre ce qui est ici (le Capitzal) en termes choisis, appropriés, qui cvonviennent à une pensée menée tambour battant, vive pensée vive, vive pensée vivement déplissée ou déployée comme un devant de soi de type monacal, pariétal, d’homme ou de femme des cavernes. Nous sommes ensemble (homme et femme réunis) pour cause commune qui veut cette chose d’un savoir ancré. nous sommes ensemble pour = pour agir ensemble, trouver, consulter, trier, convaincre après nous du bien-fondé de nos recherches actives. Nous voyons devant nous des choses de poids et ces choses de poids sont de l’ordre de la vérité des choses graves (dites «graves»).Nous voulons cerner ensemble ces choses et ces choses les déplavcer pour nous en des formes, ou vers des formes qui puissent, vivement, faire accroire ou du moins en jeter etc, à qui de droit. Nous voulons faire ainsi que pour nous la mort nous dédaigne, ou comment dire ici nos quatre volontés. Nous voulons
comprendre les données ici devant soi déployées comme des temporalités à cerner, à toucher, à approcher sans crainte, à voir. Ici sont ces chosex déployées qui sont pesantes, qui sont choses de grande importyance de par leur stature, de par leur aspect de bete de choix et de bêtes des Rois. l’ours des cavernes, l’aurochs, le cerf géant, le mammùouth,; le grand bison, etc. toutes bêtes quyi (devant nous) se posent ou posent comme autant d’effigies (rupestres) d’envergure, fils de roi et reines, fils et filless de ces rois et de ces reines des parois du monde , ou de ce monde d’un après le monde. Nous touchons ici à une vérité de poids, à une de ces vérités de grande importance, capitale, conséquente, centrale, d’importance majeure. vérité des vérités. Nous voulons savoir ensemble les données, ce que sont ces chose d’un devant, ces betes charnues, ces betes devant nous qui sont des images de la mort à l’oeuvre, ou sinon quoi ? de la vie vive dzéployée comme pour de vrai ? une vie d’emprunt ? vie de rage pour la bonne cause à imager ? vie vive d’une fausse vie offerte ? nous voulons cerner la mort dans ce qu’elle a pour nous à nous apprendre sur sa vie. Nous voulons comprendre les données franches ... d’une mort pour soi à l’oeuvre (pour soi et pour tout un chacun et chacune) devant soi = face à soi = dans le temps. Car, cela est ici (en vérité) cela, comme quoi la mort = ce devant de soi rupestre (on le sait) et ce devant est là qui se présente en tant que tel = un devant ... de rage forte (folle ?) qui crie à tout va de par lui sa faconde volubile, crie vif son cri pulmonaire. Il crie, le devant de soi crie. Le devant est cri. il est ce cri qui va, vif, nous envahir ou, vif, vient nous envahir et nous interpeller et nous en mettre plein la vue et aussi nous sermonner, nous adjurer, nous mettre en difficulté. Nous voulons savoir pourquoi ce cri mais comment sa
voir ? pour savoir il faut mourir dit-on ? Doit-on ? nous voulons savoir c’est un fait , mais pour autant nous rechignons à cdevoir mourir pour en savoir long. nous ne cherchons pas la mort mais la vérité, et pour trouver la vériité doigt-on trouver la mort ? la question se pose durablement (en dur et dans la durée) . = durement et durablement en un xseul mot pour ainsi dire. Nous voulons cerner « la mort, la comprendre pâr le menu, la toucher la toucher comme la chatte à la voisine, etc, c’est dit, mais doit-on ? doit-on toucher toucher ? doit-on toucher la mort ? doit-on toucher la chatte à la voisine , ? etc, autant de questions ou interrogations à devoir résoudre (fisza) afin de pouvoir (enfin) passer à auttre chose ensemble, dépasser un certain nombre de données de base (écueils ?) qui gênent (un ppoil), s’immisce, s’incruste, et dise,nt ce qui est pour elles, ce qui est masqsif. Ce qui est pour llles (ces choses) qui doivent ou se doivent être ou d’êtres formulées coûte que coûte (naîveté et puérilité) avant de pouvoir (nous pour nous) en découdre, dépasser la chose et aller ensemble nous poser ailleurs. ainsi, il y a comme ça ici des choses à dire ipso facto, choses qui s’imposent dans un dire (déployé) infini, choses ici qui cherchent à se placer manu militari ou presque, etc. Nous voulons savoir les choses, ce qu’elles sont. les choses posées devant soi, présents d’offrande, temps présent d’une offrrande (à des divinités) qui sont des mots d’enfants prononcés par lma bnande et comme échappés. nous voulons ensemble ici toucher la Vérité des mots et sentences. nous ne voulons pas passer à côté, tout au contraire, nous voulons toucher la Cjhose vive, ce devant de porte, ce seuil pariétal du monde des vivants, des morts, des etres bi (mi mort mi vif) etc. nous voulons toucher à cette vérité de belle prestance, de jolie fame, de belle renommeée s’il en est, de grande stature, etc. La vie ici n’est pas pour ainsi dire déposée en tant que telle (qui serait la mort pour nous mais la vie pour la mort) mais la mort d’(une vie passée. ici, la vie déposée n’est pas la vie en tant que telle mais une sorte de petite vie (le passé) qui est une mort , qui est la mort de soi en continu. cette vie-mort, ici donnée en tant que vie vive ou au nom d’icelle, comble un temps la mort avide de données de poids, qui le fasse vif et bien, qui fassze ce pour quoi la vie est là pour elle (un combustible ? une denrée ?) et voilà ce qui est, du coup, pour elle. Couillonnade alambiquée comme de coutume. couillonnade vive et comme déposée. Nous cherchons ce qui est à même la langue. KLa langue a deux mots à nous dire il semblkerait. nous sommes
à vouloir chercher les mots d’une langue «informée» qui en swait des tonnbes, qui connait sa bible. Nous cherchons à comprendre ensemble un + qui pûisse concrètement informer notre gouverne, nous en dire long et vif, qui puisse nous donner les beases d’un savoir à devoir creuser, à pousser, à placer pour nous cvomme savoir de base en nous , donnée franche inscrite à jamais , langue maternelle. les données du monde sont celles que nous voulons pour nous acquérir fissa si tant est. Nous voulons ensemble (tous, toutes) acquérir des savoirs de rage (pour nous) et de fame (aussi) qui puissent convenir à notre propre gouverne et éclairer notre chandelle. Nous allons fisqa, nous marchons. la marche ici est importante, nous devons ma rcher. nous devons comprendre l’importance ici de la marche, de l’avancée, de l’allant, de l’éla,n, de la conduyite en avant d’un mobile, des traversées, des avancées nonchalantes ou vives mais menées durablement à même le temps. nous voulons comprendre la mort. nous voulons comprendre les raisons qui poussent icelle
à nous affronter, à venir vers nous, à nous chercher queerrelle, à nous en vouloir = à nous «en « vouloir. Nous cherchons vivement mais il n’est pas simple de trouver (icelles raisons) en nous-mêmes, car nous ne sommes pas voyants extra-lucides hélas, nous ne sommes pas devins, nous ne sommes pas des êtres aux vues longues s’il en est. Nous sommes êtres de peu , êtres de foi oui mais qui allons, ainsi armés, soit mal armés car nos vues sonjt courtes. Nous essaéyons vivement d’en avancer, de gravir les échelons de données en particulier, de cerner au plus juste ces choses de poids pariéto-frontales c’est un fait. mais bon, nous sommes êtres de peu, nous sommes pauvres, nous ne sommes pas ecxtra-lucides, nous ne voyons ni loin ni longtemps dans la durée. Nous voyons court?. et nous sommes courts. Nous ne
sommes pas tr!ès doué en la matière, notre vue ne va pas loin. La mort pour nous est une
donnée et peu de chose en plus. ou comment sinon ? car nous voulons comprendre +++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ce qui est qui se présente à nous . Quoi est la mort en vérité ? nous voulons comprendre ensemble cette chjose de la mort, nous voulons ensemble cerner cette chose = la cerner d’un trait = la dessiner = la comprendre de cette manière formée sur paroi. Nous voulons toucher la mort au plus pprès. Nous voulons toucher icelle ensemble. nous voulons toucher la chose vivement, en vitesse et durablement. nous voulons comprendre icelle ce qu’elle eswt au juste, ce qu’elle signifie par la bannde, ce qu’elle est pour nous qui nous en approchons par le Verbe incidemment. qui est-elle pour nous, que nous dit elle à nous que nous pourrions entendre ici ? quoi est dit ? qui parle ? qui dit quoi ? quoi estdit ? etc., nous cherchons ensemble à nous approcher d’elle, à voir à quoi elle ressemble, qui est en elle, quelle bête, quel animal de vie, quelle bête de joie, quelle bête vive. Nous voulons comprendre ici ce que la mort est, un cri ? un cri venu des profondeurs ? un cri pariétal ? un cri de s tréfonds de l’ombre ? une mainmise ? une main ? une main sur soi ? un semblant de main sur soi ? une gageure ? une donnée francjhe et si oui laquelle ? une pensée ? une vibration ? un vibre- méninges ? quoi d’autre ? nous voulons toucher à une vérité de poids qui pûisse nous donner de quoi comprendre dans la durée les choses comme elles sont en vérité. Nous ne voulons pas ou plus à présent passer à côté mais tout au contraire y aller fissa et franco vers des vérités ici et là à decéler, à dénicher, à attrapper au vol. Les données de rocjhe importent, elles sont capitales ici, pour nous, pour comprendre ce qui est et ce qui n’est pas. Nous devons ainsi aller fissa tout contre la roche et trouver ces dites «données de rage» nichées incidemment, par qui on ne sait pas (enfants des lumières vives ?) mais voil:à, la chose est là comme elle se doit, nous devons TOUCHER ! c’est un fait ! c’est sûr ! la vérité passe par là ! nous devons comprendre cette chose d’une vérité passant par le toucher à même la paroi des cjhoses : touchons et creusons la pensée ! touchons et creusons une pensée de poids ! touchons au monde et nous allons comprendre :loin, loin et long, car nous sommes vifs, outillés pour (ou pas loin) et nous pouvons savoir ensembvle des données, les cernerr d’un trait, dessiner à main levée, léviter etc. si nous sommes soudés, si nous nous soudons, si nous ne cherchons pas à nous séparer, si nous resstons unis, si nous insistons dans l’union, alors peut-être que nous pourrons, que nous serons à même de pouvoir savoir longtemps et loin. il suffit de faire ainsi que nous restions unis. Nous ne devons pas nous désunir mais rester accolés, colés, soudés, scotchés pour ainsi dire l’un à l’autre et ainsi entrer en roche des temps;$, ainsi faire de concert. nous sommes deux (en nous) qui cherchons des vérités de poids, des choses durables, des impactants, des choses «qui le fassent» dans le temps comme par exemple donnée rude d’un temps défini, ou comme do nnée rude , déployée, d’un temps en p)articulier, ou alors comme donnée massive d’une bête-mot toute déroulée sur un devant de soi pariéto-temporel. nous nous sommes avancés ensembvle de la paroi , et hop, vifs, entrons, lévitons-entrons, filons fissa en elle et touchons dès lors à la vérité desz choses de la mort. La mort est une donnée vive dite « de base» couramment. La mort est cette chose d’un devant de soi «temporel» ou sinon «temporel» ... «temporal» : ? La mort est-elle «temporelle» ? «temporale» ? Qui le sait ? Nous sommes deux ensemblke à vouloir savoir et nous gravissons les monts, les roches rudes, nbous creusons dans loa paroi, nous fouilloons en veux-tu en voilà comme des forcénés que nous sommes ici bas, nous ne lâchons pas la grappe, nous fouillons mordicus, nous fouillons en roche, cherchons une entrée pariétale, où la trouver, où aller ensemble, où se loger, où se lover ensemble. Nous cherchons ensemble l’endroit?, le lieu qui le fasse dur. où donc aller à se lover pour cette chose d’un savoir ici à acquérir, d’un savoir coinc ernant la mort et la joie, la vie et le sang, la mort des données et la vie de rage, les données vives de la mort à lk’oeuvre, le chemin, la voie de la voix. nous av ons ensemble à comprtendre, ces choses rudes, ces choses d’un don total, brutal. Nous dezvons savoir pourquoi et pour ce faire nous disons que nous avons à dire ici durablement sans peine, au fil du temps, ce qui vient en nos bouches ... d’enfant désarmé (armés ?) . nous avons en nous des mots de rage à pouvoir en quelque sorte déposer sur roche comme autant de bêtes (bêtes de poids) qui sont des insultes votives on xsait cela. lers insultees votives sont force de poids et d’apparat. elles vont chercher loin, beaucoup plus loin que les simp^les mots des jours du quotyidien. les insultes dites votives ont le poids (de leur étant et de leur allan,t) pour elles : ellkes brisent les chaînes, eklles forment armée de réserve, elles sont la puissa,nce même et donhent le la d’un ensemble à cru d’entrées dans la matière. Nous pousson,s nos pics dans la roche et perçons icelle de part en part. nous ne sommes pas venus pôur rien (en ce bas-monde ?). nous avons bien fait de venir ensemble et d’ainsi percer roche en ces
endroits d’entrée en matière (failles ?) permettant pénéttration et pouvoir de logement. nous avons traversé la roche et à présent nous comprenons des choses ! nous comp^renons ici cette chose comme quoi nous avons ensembkle à comprendre les données du monde à l’aune d’une destinée durable. nous sommes sûrs, nous sommes p^lein s de foi, nous avons des certitrudes, nous voulons savoir à l’intériur des certitudes, nous voulons comprendre enffin ce qui est, ce qui ecxiste, ce qui se soumet à notre entendement en mpatière de données de base concerna,nt les choses de la mort à l’oeuvre. Nous avons pour nous des mots en réserve (un acquis = un apprentissage) et cekla est, que nous sommes ainsi comme parés. Armés peutêtre mal mais parés. Nous sommes dans un sas de vie vive, sûr, et là : nous pensons. Nous sommes dans nos pensées. Nous sommes dans une sorte de pensée active, cherchant vivement à se dépatouiiller de ces données de base comme offertes devant soi ou sinon quoi : présences ? présents ? offrandes ? nous cherchons à ensemble nous diriger en cette chose d’une vie de vives données. nous voulons ici cerner icelles «données de rage» et comprendre loin ce qui est . qui est
qui . quoi est quoi, etc. pour cela : la voix. La voix en soi quyi parle et dicte sa loi. nous sommes e,n transe, la chose est connue. nous sommes e’nsemble (tous ? toutes ?) entrées dans la transe d’un homme des bois. Nous cherchons ensemble à comptrendre des données de base concernant la mort. Nous sommes entrées dans loa transe, nous devons fouiller, aller dans kles forêts, aller loin dans les embruns, aller fouiller dans les fourrés ici de la lande. nous avons c ette chose à faire ensemble et ne rien lâcher. que faire sinon sinon cette chose, car nous le devons. nous nous devons ici de fouiller fissa , par la bande pariétale, les donnhées du monde
adjacent et concomitant. nous devons trouver des mots de rage et de les afficher (ensemble) par la bande durablement. nous avons à trouver ... iceux mots de rage, et de les ficher incidemment sur rocxhe et voilà la chose comme déployée ! Nous sommes deux (un 2) , quyi poussons les cvhoses loin, quyi poussons le bouchon loin, qui loin voulons pousser la réflexion et lkes conquêtes. notre but est de trouver le pot aux roses des données des choses. Nous sommes tout proche de le trouver il nous semblerait. nous avons cette chose devant soi qui est du Verbe de données de base ou aux données de base?. consultons la chose = regardons de près et fouillons avec nos mains nues. nous avons cette chose à nous qui nous a été de fait octroyée un beau matin (la main, le verbe) alors usons de notre main de Verbe ! usons d’elle pour creuser la roche et graver des bête-mots de rage rupestre. creusons les données rudesq. allons à la recherche de données de poids. soyons colère ! soyons énervés ! rugissons ! ruons ! allons vifs ! complotons si nécessaire ! filons à l’anglaise ! cherchons querelle à icelle déité dite «de la mort en branche» ! nous avons en nous la possibilité de nous énerver et de pousser notre gueulante (notre cri) alors faisons-le ! n’y allons pas de main morte ! poussons gueulante assurée, vive, tenue, complotiste ou pas vraiment mais du genre qui ne s’en laisse pas conter outre mesure ! couillons la mort ! couillons-la de grâce ! allons-y ! baisons-la ! baisons-la durablement ! ,notre vie est notre vit (?) ! sachons discerner et nous appuyer sur des savoirs de rage nominale ! creusons les données, cherchons vif et courageusement ! allons dzans le sas et trouvons ! trouvons de quoi faire et la ramener ! ne nous laissoins pas griser, soyons attentifs et attentives, examinons les choses de front et voyons voir ce qui est au juste, les mots délivrés, les nbêtes courantes, données-sommes, etc.le poids de la bête sur roche en impose et a son effet. la roche est du temps donné ;à) la mort. la mort est une (seule) entrée dans la matière. le Temps est déployé comme un ruban ... de données (ailleurs?) dites «acidulées». la peine est celle qui sur bnous ravage nos esprits, les met fissa et vif en (grande) difficulté, etc. nous essayons de trouver mais ce n’est pas simple car nous sommes bousculés vivement, durablement soit tourmentés. C’est une vérité élémentaire que cette chose et voi;là pourquyoi nous nous tenons debout, rassemblés, unis ici dans un apparat de fortune en tant que tel, grimés ou pas mais près et prête à comprendre, à chercher (en transe) le contact avec la déité. déité qui es-tu, peux tu me parler ? déité quyi tu es, m’entends-tu ? as-tu cdes oreilles pour entendre ? as-tu des yeux pour voir ? as-tu une langue pour parler ? es-
tu mâle ou femelle ? es-tu homme ou femme ? es-tu homme et femme ? es-tu homme et femme à la fois dans la mort ? es-tu un femme de parole ? une famme douce de parole ancrée ? une homme à lettres ? mot de roche : bête des entrées brusques ? cavalacade fleurie ? le corso ? la bete remontée ? la qui pulse ? la qui peine ? la qui se propulse ? la qui cherche querelle et si oui pourquyoi ? qui es-tu déité qui nous rega rde, qui es-tu entrée dans Matière, qui es-tu Sommité-somme , qyui es-tu pour nous qui entrons en Verbe dans le Temps ... d’un déroulement pariétal : qui ? une femme ? une homme ? un femme ? qui pour nous es-tu que nous cherchons à «dessiner» en ces contrées ? qui pour nousc es-tu qui semble ou semblerait nous espionner pour ainsi dire par la bande allègre ? je voudrais savoir ! je ne voudrais pas passer à côté mais au contraire : de plein fouet comprendre et entériner et avaliser et savoir ce qui est et prendre (comprendre) pour moi en mon sein la chose de la joie, la poursuivre et l’attrapper et dire (dès lors) «je suis» homme d’une attrappe de parade. je suis homme des joies entrées (rentrées ?) en moi-même. je suis icelui qui «pense» les données de roche en moi même et non pl;us sur roche comme dans le temps des hommes et femmes des cavernes. Je suis celui-ci qui cherche «dans la durée» ce qui est qui nbous incombe ou qu’il nous incombe de devoir comprendre. Je cherche la voie, en roche mais pas sweulement, dans un sas de roche pariétal mais pas seulement. Je chgerche une voie d’abord, douce et fine,
pour parler à une déité , pour
parler à Déité «de la roche Dure». je suis homme gris, je suis un homme fait , je suis cet homme blet, cet homme de peu prêt à la traversée mzais comment ? nous devons touchyer
la roche des temps pour la tre$averser , nous devons toucher en,semble, la rochje dure (calcique) des temps impartis afin d’etre en mesure de la traverser et de pouvoiir passer de l’autre côté sans ghêne ; notre but est de traverser la Chose ici même sans trop de gêne et d’aller là-bas. de toucher à icelle roche des données de base (de la vie et de la mort) et de mieux comprendre ce qui dès lors pour nous va à se tramezr. Je cherche donc je vis. je ne suis pas en reste de chercher des données marquantes. mon corps traverse la roche. mon être est de plein pied avec elle. mon savoir se construit au contact des données rocheuses. je suis êtyre-bête, chose rugueuse, qui fonce. mon corps est à la science ce que mon âme est à la mort. je suis cet homme-femme déployéecomme ... une aile de paroi, comme aile d’oiseau de réserve, aile longue, vool plané?; je suis cet ombre-homme en transe dans la roche des donhnées du monde des esprits finis, des betes mortes, des betes calcinées. je veux etre bete. Je veux êztree une bete de vie rocheuse. je veux être une de ces bêtes de vie rocheuse des parois du mùonde : etre de la roche dure venant à comptrendxre la mort et autres divinités. Car la mort en est une, la vie une autre, la bete une de plus, etc. nous sommes environnées de diviniytés de toutes sortes qui nous regardent, nous matent en continu, ne nous lachent pas d’une once, cherchent à nous coincer comme par la bande, nous suivent au pas, nous cherchent noise, nous poursuivent, nous suivent incidemment au fur et à mesure que nous (de notre côté) avançons en âge. notre envie d’être ainsi (touché) est de celles qui nbous donnent un élan certain , en ce qyui est nottre désir de poursuivre fissa notre aventure de vivant / vivante sur terre. notre envie de vivre est dite à haute et distincte voix on le voit, et n’a pas à rougir d’être ce qu’elle eswt, ce qu’elle représente. nous touchons ici à des bvérités profondes. nous voulons toucher profond et faire remonter mille et une chose d’importance à la surface de nos ... dires bousculés. nous touchons à des bvérités de poids, à des vérités massives, dures au contact mais solides comme roc de
roche. Nous voulons connaiotre le fin mot de toute cette adffaire de paroi du monde, dee bouche de la mort, d’ouverture -faillke dans un sas de temporalités diverses (pour chacun et chacune ?). Nous voulons aller en roche (de la connaissance des choses du monde) à plusieurs ... en swoi-même ... ou sinon : armés comment ? car on dit que l’union fait la force et peut-être est-ce vrai !Notre but est de toucher au but= de toucher ! Notre but est de toucher laz mort sans la contracter pour ainsi dire = voir. Je panse pour le coup mes plaies de bouche par du verbe et ce faisant, j’arrive à comprtendre un ertain nombre de données des plus importantes. je vais dans cette roche du =monde (terre-m^ère ?) et cherche instamment à me repérer afin d’avancver vers le lieu éclairé (?) de la Vérité contennue en elle. la voie est ouverte. jhe traverse la paroi longitudinalaement et me porte en ses extrémités. Je suis à présent tout au bout du bout . où suis-je exactement ? je suis au bout du bhout du bout du bout du bout du bout c’e’st facile. je suis arrivé à destination = au port de la roche des fins , des peines déposées sur roche, des offrandes = au pied du mur ... des lamentations./ je ne suis pas capitaine, je ne suis pas caporal, je ne suis pas militaire mais je suis armé , mal armé ou bien armé qui sait mais armé,. De quoi ? de mon ... pic de Verbe acidulé ! Je veux creuser le temps et comprendre la mort, cette déité contenu (la foi ici) dans le langzage indubitablement. voyez mes recherches un peu où elles me mènent ou bien m’ont mené. je fouille à l’intérieur du Verbe déposeé sur rochje ce qui est, et ce qui est est encore et toujours du verbe mais pas que. La chose est rude. il faut le comprendre?, ça demande
de la persévéran,ce, ça demande foi et persévérance. Je pênse donc je ne plie pas aux premières
attaques pariéto-frontales. je suis un homme des entrées de rage ou aux entrées de rage et je vais (fissa) contre la paroi. Crane contre crane ? craneur ? crane ? que dire qui soit juste et vrai ? je veux faire ainsi que pour moi lkes choses soient sues, comme acquises = entérinées = absorbées = eznglouties = bues = avalées = mangées = prises = enregistrées dans ce qsui est (ici) ma gouverne (ma foi) = mon âme (?) = mon esprit d’homme des cabvernes. je suis homme et femme des cavernes, je cherche une entrée dans la matière, je chgerche entrée vive pour un corps de rage. moi-même suis ce corps de rage. Je veux comprendre, ce corps, ce qu’il est en c ette roche dure de la foi à êttre (= ici les motsc acquis). si je rentre je m’installe durablement et je regarde et je tire des conclusions. ce qui est sur roche est sur roche = animaux-mots des vérités. Ce qui est sur roche = bêtes-mots de la vie morte. ce qui est sur roche = vie morte, comme autant de données de rage déployées. je veux toucher ce quyi est = l’être d’une déité. qui est-elle ? qui est cette déité ? est-ce elle que l’on nomme «Mort» ? la mort est-elle déité ? la mort est-elle déité de poids qui en impose ... comme aurochs, comme bison,; comme antilopê, comme méga-cerf ? je suis à la recherche d’une vérité qui serait en quelque sorte contenue da,ns un aurochs de compagnie, dans un buffle de base. je veux toucher à pareillle bête de roche des temps. le temps pour moi est cette sorte en soi de déploiement animalmier votif. qu’en est)-il de la mort à l’oeuvre dans les parages ? je suis cet homme, cettte homme, et je suis cette femme ou ce femme, cette homme-femme et cet homme-femme des abois , ce homme-femme grêle, ce homme-femme frêle, cette homme frêle et femme et homm, ce homme-et-femme déployé comme un temps donn»é, voilà ce qui est. je pisse au lit enfant. je grandis. jhe deviens cxhevalier de céans, je vire
. je touche au but, je cherche. je suis homme-bête de la mort certaine en ce sas de deswtinée humaine. ah la peine ! oh le mal ! aïe tourments des tourments ! me voici qui entre imberbe dans le sang d’un savoir ancré et des profondeurs. Je veux toucher lkes choses d’un savoir «de vérité » , et pour cela, je dois faire ainsi de me montrrer sous un aspect de corps de vie en tant que donnée de vie rude comme mouvement-déploiement sanguin en moi-même, etc. je vois en moi , ce que je vois = des données de base. Mais d’où sortent-elles ? squi est là ? qui vava là ? qui me cherche ? qui est en moi (une bête ?) qui me cherche ? qui est ici ou là en moi qui cherche à me faire du tort et à me mettree à mal comme une bête ? Je veux toucher à cette chose en moi qui circule fissa comme par la bande et pour cela je choisis la voie la plus raide et directe, j’ai nommé la voie sa nguine, le sang circulant, car le sa ng est le support numéro un = la voie principale (ou artère) = voie royale, s’il en est = voie des princes et des princesses du palais. je veux aller dans le sens de la vérité des choses du monde. je suis remonté à cet ezffet, je le veux. il se fait que je veux (mordicus) cette cghose et que je m’y tiens et durablement. tout mon corps tend vers ça. mon corps en entier est une flèche on le sait. tout mon cvorps est comme une flèche projeté et tend à aller à se ficher sur roche = la paroi des choses dures de la vie à vivre. et cela pourquoi ? pour traverser. pour aller à un,e travzersée, pour aller à se loger de l’autre côté. je vois devant moi une chose rude, un mot -animal;. je vois devant moi un animal de compagnie. je vois devant moi un e bête dite «des embruns» qyuui cherche à me parler ... et moi d’aller vers elle, d’essayer de la toucher, de la caresser pour l’ammadouer, etc? qui est elle ? qu’est cette bête au juste ? on dirait un bouquetin, on dirait une beteantédiluvienne dessinée, on dirait une bêtye de roc. je vois cette bête devant moi : est-ce mon n,om ? mon être ? mon soi ? mon élan .? mes tourments ? une déité élaborée par une pensée ? la pensée est ... la cvhose rude qui trépigne. elle renacle en veux tu en voilà depuis la nuit des temps. elle n’arrete pas. elle ne cesse pas de renâcler comme une bête (laquelle ?) enchâssée en nous, en notre sein des seins. je vois cette bête en moi et cherche à la faire parler mais comment s’y prendre ? je voudrais tellemment c onnaitre son nom, savoir qui elle est pour moi par ecxemple déjà en termes de parenté , qui elle est pour moi, qui me connait ou connaitrait mieux que moi sur mloi, qui elle est ? Je vois cette chose ici d’une bete qui en moi en saurait long : elle vit en moi, elle trépigne en moi (le langage = le langage de la foi), qui renâcle en moi (une certaine odeur de sainteté), qui ne cesse de ronfler en moi (ronfle que tu ronfleras : du fait des apnées ?). je veuc pister. je veux être. Je ne suis pas celui qui veut rester sans conaissa nce. je cher che à tout va des données dures sur lesquelles pouvoir s’appuyer et en avancer. ion dira ce qu’on voudra de moi ou sur moi, il n’empêche que je suis cet homme (cette femme) de foi qui en sait un b rin, qui comme,nce disons cette chjose, d’en savoir un brin on le voit. Je com^mence à y voir un peu, à comprendre un peu , un chouia. pas si:mplle de dépatouiller, pas ssimple de voir clair, de se réperer dans la nuit des choses cachées à sa propre gouverne. Vite, ma lanterne ! ma chandelle ! ma torche frontale ! la lumière ! Je vois devant moi le temps déployé, comme une sorte de donn,ée de circonstance. devant moi se dresse l’ours-temps des cavernes, ce chacal des prés, cette bête aux bois dorés, ce chien applati, ce vif bison des roches, ce cheval. Mon coeur bat (c’est dit). on voit se dessiner au loin des betes de pré. Je commence à me repérer, j’y vois quelque chose, je suis éclairé par la bande = cette bande (traçante) des embruns de bord de roche. vive la vie ! houlà à sec ! ou meme humide qu’importe ! Je m’avance de concert (moi + moi ?) et, je fonce en cette rochge-temps du Nom de soi, dépl;oyé comme une offrande (mort blousée). Mon coeur est mis à nu par ses célibataires même, et par la joie aussi de se voir ... vaincu. hje tombe à la re nverse ! vivement le soi dép^loyé à jamais ! chant des roches contenues ... dans un,e paroi inconnue ! Mon corps s’(époumone de la sorte, à dire vif ce qsui est qui setrame de front et nous nargue ou semble faire cette chose devant nous ?. devons-nous pleurer ? chanter ? rire ? toucher la voisine ? toucher le voisin ? entrer en colère ? reluquer et fissa par la bande ce que l’on voit ? pisser co ntre un arbre = se soul:ager, comme rabelais ? je suis homme en dur,
hommefemme dure des années de rage. mon corps est nu, ma voix tremblannte, siè§ge de mes to urments. qui vient vers moi et me donne l’influx
? qui pour me souffler dessus ? suis je moi, êt re-âme ? ou bien suis-je une entité wseulement pariétale de raccroc ? comment être et comment savoir ? je veux être en roche homme des tourments de rage, mis à mal pour la bonne cause mais comme restitué à l’identique, du moins il semblerait. je (suis) veux(là) être(vie) dans un sas de roche dure. Je suis celui-ci qui veux être. je suis cet homme des pârois qui cherche l’être, vais-je le trouver ? où se loge-t-il au juste ? est-il donnée de base à déployer ? que vzais-je être en c ette tourmente ? comment ne pas succomber aux chjarmes d’icelle Colère ? je m’avance à pas comptés et cherche à regearder le plus possible et le plus loin possible ce qui est qui vient vers moi. Est-ce une bête ? est-ce une divinité ? est^-ce (sont-ce) les deux pour ma gouverne , pour me diriger, pour s’introduire en mes exrtrémités et de me commander «comme une merde» ? JE cherche à comprendre ! Suis-je une merde ? suis hje une so=mmité ? un salut ? un enfant ruiné? feeme-outre ? homme des prés? suis je fait d’etre de peu en mon âme ? suiis je corporéifié inci:demennt comme par la bande depuis des années ? dpuis en vérité que je suis né , suis je ainsi carné ? suis je ainsi fabriqué et estampillé ? je veux voir la vérité se dessiner «sous moi», devant moi mais aussi «sous moi». Le coeur est la donnée de base, le siège de la vie dee l’homme et de lma femme de l’éternité. le monde est rudiments?. la mort est une sorte de tourmente acidulée comme du Verbe pourchassé par des hommes et femmes des caver nes. je sais cette chose d’une mort donnée comme par la bande animalière temporelle. je connais la mort de près, elle pisse le sang devant soi, elle crache (remugle) à tout crin comme une bête morte ensanglantée pissera le sang sur table d’offrande. jhe vois la chose se dessiner ... sous moi : merdxe ? sanquette? pisse ? cris ? je suis homme et ombre car je suis (h)ombre en moi même de la part d’un soi intégré. je suyis (h)ombre à l’allumage et peutêtre (autrement) au finissaghe. que dire ici d’une foi dans le langage comme inhérente ? ça, qui est cela ... que je suis cela = cette foi. Je pisse
le sang comme une b ête déposée sur une marche. comme une bête morte dé»posée sur une marche, sur un sweuil de rage. Ma vie est vie de rage dure = des tourments et des tourments de base et encore des tourments. une calamité. je songe à part moi à ce que la mort, la mort-déité, pourrait m’apporter
en termes de données rageuses (de surcroit ?). Je vois loin loin car mes yeux portent. qsui est qui dans les embruns ? où va ton une fois la vie cloturée» ? qui est l’homme des entrées données, du passage vif, de l’aide au pasdsage ? vais je mourir de rotation ? comment s’y retrouver en cette cxharge ? qui va là qui me parle bas ? j’essaie de comprendre ce qui est qui gère et touche au but à travers moi . qui est l’homme-femme-bete en moi qui parle ? quyi est l’homme-bête de la roche dessinée, ou la femme-bête aux bois de roche ? qui parle ? qui veut parler ou bien pa rler à travers ma voix? qui veut (me) parler à travers la voix ou cette voix de rage à travers moi ? qui parle vraiment ? la bête en moi parle-t-elle ? a-t-elle des mots pour elle ? je parle pour e lle ? qui parle pour moi ? suis-,je une entité princière ? un coeur vaillant (coeur à prendre ?))? Qui je suis que je vois aller à travers la lande, les champs d’azur, les forets et autres bois des abris pour soi, qui suis je en vérité ainsi «chapeauté» ? Je commen ce à voir peut-être c e qui est autour de moi : cerfs et autres cervidés boisés. je commence peut-être à savoir et à pouvoir me rep^érer un tant soit peu, car ma gouverne semble .... à nouveau (?) éclairé. Je fonce grave dans le tas et remugle comme une bête. allez donc cher cher à comprendre ce qui est en moi qui peine à co:mprendre ! mercdum ! est ce moi qui gêne au pasdsage, ou quoi ? je sais cette gêne bien enquiquinante, cet amas de VErbe obstruant un passage direct et cependant, grâce à icelui, nous voilà qui restons (oh, un temps court tout compte fait) en vie ici ! je suis homme)-ombre sur roche (double à Malacca ? là ?) et je vais ainsi chercxhant idiome de base royal, faisant fonction. qui me croit ? voulez-vous vcomprendre (mieux) le sens de ma requête ici ? dois je dire les choses crument , à base ou force d’injures diverses ? dois je dessiner le Mal ? que dois je faire pour me faire mieux comprendre en vrai des autochtones, des contributeurs, des gens du service, deees azmis de longues dates, des paroissiens : que dois je noter,qque dois je tant développer de base par la bande ? y a t-il péril en la demeure si « ne pas» ? comment dépl:oyer sans temporalité ? comment d»éployer (et décliner) son identité, hors le Temps de son vivant ? Hum, dur dur à ce qu’il semble. Peut-^être en marchant sur la lande = en parlant sur la lande = en cueillant fruits et fleurs pour offrir à notre deéité de la lande ? Je cxherche à aller loin dans des directions appropriées à pareilles recherches «de tête» mais enfin ce n’est pas simple (du tout), cela demande beaucoup d’application, de rentre-dedan,s, de chevauchées, de maitrise, de vitesse, etc. le mal à dire est dur à dire. Le Mal dire est concomittant, dur tout auta,nt qui nous intéresse. je vais et vois. je suis homme du temps déployé par la bande. je cherche le mot, dit «de la vérité» , et où cela ? à l’intérieur des mots comm e il se doit, ou comme un fait exprès, ou comme de juste. Je cherche dans les mots des solutions et des combinaisons pouvant apporter peut-être un peu d’eau à notre moulin. Je ne veux pas flancher mais tout au contraire tenir bon de rage et aller fissa et loin dans les savoirs répertoriés en tant que ... savoirs de poids (betes de charge) «qui le font des masses» c’est à dire pas qwu’un peu. Qui est là qui s’avance vers moi ? qui vient vers moi me seconder, ou me sermonner peut-être ? homme des embruns ? femme de joie ? femme à homme ? homme à femme ? bete des parois = aurochs ? buffle ? ou bouquetin peut-être ? mon cher bouquetin ? je suis un etre qui est fait de chair et de verbe. Si le verbe meurt la chair se sauve, et inversement : on voit.
On sait cette chose d’une mort prochaine de nottre mobile à même la roche du temps, car le temps (pour nous vivants / vivantes) a une fin qui est ... la fin de la phrase ni plus ni moins, c’est ennfantin ! La mort pour nous est passage, le verbe est enfantin, la vie est tourme,nts, le coeur est un aidant de rage, la mort est une saleté de ta race de meu, etc , = à insulter. oui : cela . la mort oui, est à insulter et pas qu’un peu de grâce ! sonnez lees ma tines ! gueulez-lui dessus comme il faut ! pissez-lui dessus (à la ré) et même bouffez la, ou comment ? la mort est à insulter car elle ... pue du cul. voi:là ce qui est. insultons la mort. disons enfantin les mots qui s’imposent en tant que tels = merde, merdum, merde sèche, pue du c$ul de mùerde, puanteur du cul etc, et ... saleté ambiante. Je sais ici cette chose, comme quoi la mort est à insulter (via la vie cordio-cardiaque) pour rester en vie. Vivre = user de l’insulte à tout va = jeu d’enfant. je comprnds. ou disons que je commence , ou disons qu’il me semble cette chose ici comme quoi je commence ou peut -être commencerais à comprendre ... un certain nombre de données de base. Je suis un de ces enfants qui jouent à insulter la Chose devant soi = cette chose pléacée de front. Je vois celle-ci (dite « de la mort de branche» ou «de la mort en branche) venir vers moi pour me pârler ou
peut être me troucher. Que me veut-elkle ? devine ! c’est tout vu ! elle cherche la merde. c’est compris.Elle cherche à me faire du tort, à me g^ener aux entournures, à me briser les ailes, à me raplatir, à me minnimiser en pl;eine terre, etc. la mort n’est pas en soi cet animal par soi dessiné (si ?) mais cette déité contenue en nous comme un relent, ou comme un remugle, ou comme ce souffle ou air (cet air vif) sorti de soi par une bouche qyui est trou ou trou de sang, ou trou-bouche sanglant. la bvouche est (eznfin !) ce trou permettant sortie affolée de betes de poids nombreuses affolées. Je suis ouvert à la discussion. Je cherche à comprendre. je cherche une sortie et u ne entrée. une sortie de moi en tant que tel (= corps de chair tourmentable) et une entrée : dans un savoir à dessiner ou à tracer à main levé.
qui pourra m’aider pour ce faire car je manque d’aide ? je suis hommù-charge déposée commê une offrande sur seuil de vie morte. Mon nom ici sert de transaction , ou non ? je vois cette chose (devant moi) aller, ce mot qui s’époumone et va à se loger à même la roche du temps imparti (par qui ?) à une vie rude (humaine) de coutume. je vois cette b ete aller à se graver (incidemment ?) à même la roche : lévitatation ! gravure en lévitation ! mon nom ainsi inscrit comme une donnée forte et folle (nom d’^tre de joie = je , ou sinon je : nous). voilà les raisons qui cxhapeautent un tout. ce tout est vie de rage (incommensurable) sur paroi du monde. je m’avance et touche la roche. jhe ne suis pas mort. Je suis bel et bien en vie. je cherche une connaissance (un être ? un savoir ? ) et pour cela je dois me rapprocher de la paroi du monde , et la toucher vif (pareille connaissance) ou le toucher vif (cet être de joie) et comprendre les deux choswes ensemble ou voir à les comp^
rendre. je cherche ma voie dans la roche = par où passer, pour me faufiler et entrer. JE cherche à me loger en roche comme d’autres en religion car les deux choses se ressemble,nt énormément et ne manquent pas d’entrer de fait en correspondances sur de nombreux points. la mort eswt une chose rude ... pour un homme ou une femme sans langage./ la mort est une chose détestables pour un homme ou une femme sans langa ges, quel qu’il ou elle soit. la mort nous enquyiquine énorméme,nt. la mort porte le nom de sa bande langagière. la mort n’a pas raison car elle est sans raison. la mort est le coeur ! l-a mort est le coeur !oui!!!!!!! le coeur (en soi) est la mort , ou on dirait cela ! on dirait que la mort est le coeur ou le coeur la mort. la mort en tout cas a quelque chose à voir avec le coeur. il y a une chose, ici, qui serait à comprendre, comme quoi la mort est partie prenante (du coeur ou avec le coeur) . la mort et le coeur sont main dans la main = temps total d’une vie-mort à vivre à l’intérieur du nom que nous portons pour notre identité. nous savons une chose de poids. Nous savo,ns une chose rude (de poids, de rage) qui est celle-ci commùe quoi nous sommes munies (en nous) d’une parole vive (traversée des siècles) qui nous pousse au cul et qui nous fait (quasi de force)) e,ntrer dans une ,nasse, mare, mare aux animaux, etc, qui est pour nous antre «de vie et de mort». Nous touchons là à une chose de la vérité. La mort et la vie sont liées ... par du verbe ancré (contenu dans le coeur:). le coeur, à son tour, contient cette chose (tressée) d’un tronc de vie-mort accolées. nous pe nsions à la mort comme à une gouverne printanière, a&érée, claire, etc, mais en vérité il s’agit d’un coeur de destinée votive. la mort est un salut de type pariétal (monacal) qui induyit du Verbe. le Verbe dit la chose crûment comme il sait le faire («gros mots» acidulés d’une enfance de récréation) et ce faisant vient à se loger (pour un temps ?) dans kle Temps. Je cherche Issue de secours .... dans du Verbe sale, ni plus ni moins (c’est dit un lundi). Je cherche à dire ce qui est ... pour de vrai. je cherche misère, je vois les embruns, je :m’époumonne (chacun son tour) : cela pourquoi ? car je suis homme-chercheur, la tete pensante, guide des travaux, collègue de bureau. je vois ce qsui est qui me regarde. ce que je vois
est une nuit des longs manteaux. ce que je vois me trouble, trouble ma vue. je vois bien des chosesw. jhe vois ce qui est. je vois des choses qui vont ensemble à comme s’agglutiner : sont-ce des mots ? bêtes-mots de rage primaire ? gros mots sanctifiés par la bande collégiale professorale ? sont-ce des mots de foi ? mots de bas âges ? mots bébés ? sont-ce des mots ou semblants de mots (mots de bébés) qui vont à se coller sur roche comme autant de vues, vues-effigies de contrebande ? szont-ce ?
16/2/2022
je suis cet homme cherchant ciel ici et là . le ciel est une entité comme la mort est une entité comme l’animal en soi-même est une entité. Le ciel est un paysage vibrant qui nous donne un lien vers un audelà pariétal. je vois devant moi la vie qui vibre. la vie vibre devant moi. un homme se meut en moi maoiis est-ce un homme ? je suis homme de peu soit homme de bure soit homme de rien ou comment ? mon nom est gravé ici ou là sur des parois : antilope de la joie, aurochs des données faciales, bison des abris, mmammouth géant, cerf aux abois, biche des prés, et autres betes imposantes. je suis cet homme qui va en prairie , en forêt, qui cherche, qui cherche dans les profondeurs des bois et des sous bois, qui cherche une vérité parmi des vérités, une vérité qui nfasse le poids on l’a compris. Je cherche de quoi, je suis à la recgherche (une recherche vive) d’une vérité de bon aloi, qui fasse le poisd, qui en impose par son poids, qui fasse obstructionb. De quoi s’agit-il ? il s’agit de cette chose comme quoi le verbe(pesant de tout son poids de bete forte) va bloquer issue, bouche que tu boucheras, va faire obstacle à quoi ? à mort de la lande, à pareille entité merdeuse ou comment dire ? on cherche ! on cherche crument soit dans le cru des mots en réserve. on sait cette chose comme quoi la mort est une saleté qu’il est bon de nommer ainsi qu’on le fait, à savoir : à coups de mots crus sur la tete ! à coups redoublés de mots crus en veux-tu en voilà prends ça la mort ! Et nous d’y aller de plus belle, d’appuyer ! de faire cette chose d’une sorte de battue sur roche à coups réitérés de battements de bois en tre eux, à coups redoublés de claquements des mains entre elles ou sur donc la roche devant soi, un temps donné. nous ne voulons pas succomber sous elle, sous la mort ou plutot sous ses coups à elle, sous ses coups de saleté qu’elle est. Notre but est d’éviter le coup du sort. NOus cherchons perma,nemment à éviter le coup du sort de la mort à l’oeuvre et pour ce faire nous faisons ainsi,
de lui asséner nos cris de joie vive, nos cris redoublés d’hommes et femmes des cavernes, nous crions à tout va ! nous gueulons comme des putois ! nous disons nos affaires de haute volée en gueulant à toute gueule nos dires méchants, nos insultes à son endroit, nos turpitudes, nos cris vifs, nos gueulantes bien placées. NOus ne voulons pas de la mort, et voilà pourquoi nos incantations et autres chants gueulés assénés. merde à la mort qui nous encombre ! zut à celle-ci qui vient pour ainsi dire nous emmmerder vive , qui vient nous géner grave, qui vient grave nous enquiquiner. Nous ne voulons pas , en nous, de la mort, et c’est en nous que nous faisons obstacle, comment ? via ici le Verbe en soi, comme déposé devant soi, comme posé en nous vers ce dezvant de soi ou comment ? ou est ce verbe déposé, en vérité ? est il déposé dans le temps ? ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii voilà où il est ! il est là, flambant neuf, dépot perlé de première et belle offrande s’il en est! Je suis cet homme au dépôt de verbe sur socle ou autrement mais déposé comme un présent ... offert par la bande à une entité redoutée. Qui va là qui me regarde ? je dirais : la mort. et comment fait
-elle pour me regarder ? elle mire avec ses yeux partout cachés. où sont ces yeux ? ils sont partou cachés dans les embruns, dans la vie, dans les recoins, dans les recoins de la vie, etc? ou ça exavctement ? la mort a des yeux qui nous mate volontiers mais comment savoir, comment faire pour savoir, comment savoir pourquoi et où et comment la mort etc ? NOus cherchons dans tous les coins, nous cherchons partout, nous nous déployons. Nous avons cette chance pour nous de pouvoir faire obstructuuiion à pareille entité en nous via ce Verbe des débuts de vie, en nous inculqué incidemment par nos parents, par nos proches, etc?. Nous pensons que nous avons pour nous beaucoup de chance d’ainsi avoir été touché, d’avoir ainsi été élevé et monté ainsi vers du verbe d(‘obstruction masssive («aurochs, aurochs, aurochs «). Cela a été une bonne chose pour nous car ainsi, la mort, nous pouvons un temps (le Temps) la tenir à bonne distance et ne pas subir de front trop tôt ses vélléités guerrières
. Nouys voulons comprendre ainsi pour nous ce que cette obstruction en nous au juste signifie. NOus voulons savoir pour nous ce que cette disposition en nous (d’anima ?) signifie en termes d’obstruction à passahge, à entrée ou à sortie car la chose encore est à considérer et à étudier. Nous cherfchons les données probantes, nous voulons comprendre loin. Notre but ici est de comprendre loin et vite les données de base quant à l’obstruction en soi à pareille entité de rage, à icelle entité de bas âge ou comment ? qui est-elle ? qui est la mort si entité ? qui est cette entité appelée la mort ? bas âge ? qui est elle ? était elle à notre naissance c’est cela ? était éelle là lorsque nous sommes nés ? est elle lié au verbe inculqué en nos bas âges , est ce ainsi ? qui est elle pour nous qui faisons obstruction par du VErbe en ous , qui est elle pour nous en nous? et d’abord est elle en nous et si oui où ? nous voulons comprendre loin, dans le Verbe et aussi dans l’enfance du Verbe pour nous . Nous cherchons à tout va, tout azimuth pour ainsi dire. Notre but est de chercher et de trouver, c’est à dire de chercher et de mettre la main sur une vérité ! la main sur elle afin de l’attraper et de l’écarter pour ainsi dire ! Nous voulons comprendre ici cette chose d’une voix en nous qui parle pour nous et nous permet pour ainsi dire d’écarter un Temps la mort. Cette voix est en nouys la voix inculquée soit éternelle (traversant les âges) : elle nous survivra.
Cette voix (une langue qu’elle qu’elle soit) est en nous comme un bouchon de rage, venu de loin (des profondeurs des âges en vérité) et qui nous aide follement (oui ?) à tenir bon et à ne pas céder devant icelle mort qui nous attaquerait (vite fait) par la bande ou autrement sans chercher autrement. Nous devons comprendre ensemble cette chose d’une voix ou langue en soi qui fait obstacle : 1, à la mort à l’oeuvre ici bas, 2 , aux vertus cachées des embruns, 3 , aux mots de trop. Car le verbe est ici cette chose qui fait front et permet de tenir bon. Le vErbe gêne la mort, obscurcit kles choses dite «de la vérité (c’est le prix à payer) et nous permet de vivre un temps particulier loin des affrres de cette entité qui nous cher che noise, nous cherche des noises à tout va : la mort . car la mort est une enquiquineuse de première pour ne pas dire une emmerdeuse ! Elle nous cherche querelle permanemment, elle ne se lasse pas de nous chercher querelle ! elle est quelque chose ! elle est toujours là (dans nos pattes) à nous enquiquiner, et nous , par le Verbe en nous contenu, de la repousser, d’y faire obsctacle, de l’écarter, de la tenir à bonne distance . Nous ne voulons pas de la mort et le Verbe est là (dépot devant soi = le Temps) pour faire ainsi que les choses soient ainsi. Nous guettons. N?ous sommes aux aguets. Nous tenons bon devant l’adversité. Nous voulons tenir. Nous ne voulons pas céder. Nous voulons tenir bon et repousser tous les assauts les uns après les autres. Nous ne sommes pas de ceux et celles qui veulent déceder fissa dès qu’ils ou elles sont nées mais de ceux et celles qui veulent perdurer un temps en ce monde des tourments peut être mais tel est le prix à payer pour tenir bon et ne pas chuter. Nous ne sommes pâs de ceux et celles qui veulent chuter dans les limbes du temps dès potron-minet mais de ceux et celles qui veulent perdurer un temps qui est le Temps pour nous (pour soi) dans une vie vive. Notre but est de tenir (ainsi) à la vie via le BVerbe «d’obstruction pleinière» en soi. le Verbe sert à ça. Le verbe est là pour boucher passdage, empêcher une sortie de soi qui viendrait nous dépl$acer d’où nous sommes où nous nous sommes déposés; Nous disons cela : que le verbe ici, le Verbe en bouche, ce verbe de kla foi en des mots de bouche (comme «mort» ou comme «vie etc), ce verbe est pour nous bouvchon ! Le bouchon obstruant passage à cette bete en soi que nous avons, et qui est peut-être cette bêzte qui pourra ou pourrait tenir tete à la mort ? qui sait ce qui est ! qui le sait ! qui sait ce qui est au juste : c’est une question mais
c’est ausi une exclamation ! car la bete est là, en nous, qui est comme «coincé» par du verbe contenu depuis notre bas-âge , du verbe contenu et tenu en laisse, comme un animal, comme un chien, comme un petit être contenu. Nous disons que, en nous, existe ... une bete-mot, soit ce verbe de maitrise, qui fait front. Le mot-bete est verbe et bete et contient les données ensemble associées. Nous disons que nous cherchons ce qui est exactement, soit la place des chosesxc : où sont kles choses déposées ? où sont donc déposées les choses ? qui le sait ? qui sait où sont les choses déposées ? qui sait cette chose ? qui sait où est la mort, où est le verbe et où est l’animal ? y a til 3 choses ainsi à considérer et à cer-ner ? est ce que les choses sont superposées ? la mort est elle la bête, la bête le verbe, le verbe la mort, etc ? ou bien est-ce 3 choses bien distinctes en soi ou sinon en soi hors de soi mais vraiment distinctes et dséparées ou tout le contraire ? le verbe est cette chose faisant obstackle à quelque chose : à la bete contenue en n ous ? )à la mort elle aussi (?) contenue en ous ? sommes nous solidaires de pareille étoupe d’obstruction massive (placide ?) ou ne sommes nous point solidaires d’elle ? qui sommes-nous ? nous disons qu’en nous une bete existe qui file sa pelote toute verbzale et ce faisant obstrue la bouche qui est plaie = panse . nous disons que le verbe est là pour panser la plaie d’une bhouche ainsi sang uinnnolente.Nous disons que nous cherchons à comprendre cettte plaie de bouche (la nôttre) avec les mots qui sont à nous, qui sont ceux que nous avons apprris. Nous disons que nous devons comprendre cet apprentissage, ce qu’il est et a été pour nous en termes d’obstruction à quelque chose, à quelque passage, mais de quoi ou de qui et surtout pourquoi et dans quel sens : dedans
-dehors ? ou dehors dedans ? nOuds ne sommes pas au bout de nos recherc hes. Le verbe est
bouche-trou on le conçoit, la bouche est une plaie c’est une évidence, en nous des betes de poids (des injures tout aussi bien) c’est certain. reste la mort à situer ! est-elle liée au Verbe en notre bouche ? peut-être bien que oui ! Est-elle liée à la béte-injure en nous (le temps présent ?) peut être bien aussi ! Est elle liés-e à une plaie, à un pansement, à une obstruction, etc, à des mots d’obstruction ? on ne sait pas. On est ensemble à rechercher des choses ici et là et ce n’est pas simlple de comprendre le fin mot.nous devons chercher avec applicattion et ne pas musarderr incidemment mais s’y coller fissa sans respirer (quasiment) car le temps presse. Le temps nous presse fort qui nous pousse ++ à chercher fissa à même le temps pour ainsi dire : dans le sas. Nootre but est de trouver en quelque sorte des données de rage qui, pour le coup, soient des données utilisables, fines, avérées, construites, posées ou dépôsées comme des offrandes sur une corbeille, sur un tapis, sur une étoffe. Nous voulons comprendre ce qui est ici (bouche ouverte comblée) à la lumière de cette entité dénommée «la mort». La mort est une entité déplacée. La mort est une entité déplacée = qyi n’est pâs situé à l’endroit où elle devrait (pour elle ?). La mort est cette entité que le Verbe (en
nouys : bete de joie, du je de la bande) repousse aux calendes grecques ou disons à quelques heures (mètres ?) de distance. Nous cherchons ici à piger ce que la mort est. La mort est une entité dite «déplacée», ce qui sihggnifie qu’elle n’est pas (à ses yeux ?) à sa juste place et elle renacle méchamment, trépigne tout va, se met en colère souvent, se cabbre, vitupère, charge, nous enquiquine pour être gentil et ne pas dire de mots plus violents. nous voulons savoir la mort ce qu’elle est au juste et où elle se trouve. Pareil pour le verbe, pareil pour la bête ! La bete est le verbe. Le verbe est la Bête; Tous deux sont équivanlents dans notre bouche qui font obstruction. qui repoussent «l’échéance» d’une mort qu'on dit annoncé, etc. nous savons que cette chose (de la mort «vivante») est croyan,ce criticables et critiquée. nous savons que cette chose est parfois critiquée comme quoi la mort ici bas ecxisterait, certains n’y croient pas. Nous poensons que nous sommes deux en ous à chercher via le langage (une langue incorpôrée) à comprendre ce qu’il en est de l’action conjuguée du verbe en nous (parole de bure) et de la bête en nbous (bête de poids et de charge). le tout ... à visée de reculade , c’est à dire dans le but de repousser la mort qui gagne, qui procède par étapes, qui fait des bonds, qui saute en veux tu en voilà d’une t^te d’homme à l’autre, etc.la mort est cette chose devant soi qui cherche sa place ... dans la vie c’est cerztain. la mort cherche à trouver sa place à l’intérieur du «sas de la vie» mais vas-y, du connaud ! cherche ! quand tu es la mort tu n’es pas la vie ! tu ne peux prétendre à cette chose ! et dès lors comment
veux tu trouver ta place ici puisqu’ici est ... le royaume de la vie, ducon ! voilà comment nous parlons et commùent dès lors nous repoussons la mort dans ses dix huit mèttres. nous ne voulons pas de la mort «dans la vie» et voilà pourquoi nous parlons, voilà pourquoi nous sommes nanti (muni) de cette sorte d'arme de combat à savoir du Verbe du jeu. Nous disons que le Verbe en ous (l’animal de compagnie) est du verbe vif et qui va son allant contre vents et marées et comble un trou que le jeu permet, ou comment dire ici cela qui nous interroge ? Nous pensons que le verbe est cette chose d’une bete-mot qui fait ici ainsi que la plaie du coprs est pansée, est apaisée, est mise en sourdine question méchanceté d’une douleur vive. Nous disons que nous devons cerner pour ainsi dire des données de base à même kla plaie, soit le corps, et comprendre ensemble les enjeux qui sont à ce niveau de réflexion, comprendre les enjeux à ce niveau de réflexion. Nous vou;lons comprendre ensemble les enjeux qui sont ici et ce avec les mots que nous avons en bvouche incidemment. Les mots (bêtes de charge et de rage tout à la fois) pansent la plaie du corps, et nous permettent de tenir un temps qui est le Temps (en vrai) d’une vie humaine. Les mots sont (pour nous) ce chargement, quiu pousse la mort vers d’autres latitudes, la maintiennent hors la vie pour ainsi dire. ce quyi est ici (indubitablement) est cette chose comme quoi ... kles mots repoussent et tiennent à distance et font en sortent que la mort soit écartée, écartée à jamais, de la vie telle que nous la vivons (de base) sur la terre ferme, telle que nous sommes nous à la vivre ici debout, sur nos deux jambes. Nousv ne voulons pas de la mort chez nous et nous le disons par le verbe, qui est insulte , qui est bestial, qui vitupère à la une à la deux, qui ne s’en laisse pas conter des fariboles, qui renâcle, qui trépigne, qui jhoue du sabot dans la poussière, qui gueule sa haute gueulante cérémoniale. Nous gueulons notre parade nuptiale ou «de» notre parade nuptaile, soit p)»par» notre parade nuptiale ! nouds repoussons les assauts vifs de la mort à l’oeuvre dans la vie comme une cochonne qui fait mal les choses ! la vilaine et cochonne personne mal léchée ! je t’en mettrais , etc. de sorte que voilà ici (la vie) ce que nous faisoons : nous faisons preuve de belle intelligence -sabotage. Nous faisons corps = nous poussons. nous faisons un corps, nous faisons un corps de repoussage, repoussoir, etc. Le corps est du verbe -repoussoir . plaie pansée. plaie pansée pour un repoussage de première. Nous voulons repousser lza mort dans ses pénates qui sont ses pénates et non pas les nôtres. ses pénates sont ailleurs. nous voulons que ses pénates restasse,nt les siennes et ne devinssent pas vles nôtres. Nous voulons faire une chose ici qui est de repousser la mort soit en vérité lk’empêcher d’advenir et pour cela nous faiosons cette chose qui est de parler que tu parleras à tout crin, de vive voix, à la cantonade ou pas, en catimini, chuchoté, c’est sans réelle importance puisque ici ce qui compte vraiment le plus est de parler sans discontinuer, sans faiblir = le Verbe connu, le Verbe incorporé= le verbe enregistré en nous à jamais car qui n’a jamais désappris son verbe ? qui a perdu les pédales du Verbe ?
qui a un jour perdxu icelles ? qui a perdu pédales un jour ? qui de nous a un jour perdu les pédakles du Verbe inculqué , qui ce serait retrouvé «imberbe» comme un coquinou, mis à bas ainsi, detaché, comme délavé, comme vidé, comme vain ? Nous voulons comprendre ici cette chose d’un Verbe de repoussage, de repoussée, de repoussoirage, de bousculement. notre but est celui-ci qui dit ici que nous fgaisons corps pour ainsi dire avec le Verbe en nous incorporé ( ‘d’où la chose) et voilà pourquoi la mort ... « ne peut entrer». e,nn tout cas pas tout de suite. ou comment alors ? quand ? quand exactement ? lla mort est toujours là qui guette dans les menus choses de la vie:. La mort est induite. La mort est inscrite dans les mille choses . on dirait que cela est, et cependant ... oui ? ou bien non ? non à la mort ici et là inscrite ? ou bien oui ? oui à la mort ici et là lovée-cachée etc ?
QSue sais je, qui cherche fissa sans discontinuer. nous voulons comprendre des donnéesz, ce qui est qui va, cce qui va qui est, etc, et pour ce fairev nous parlons «à l’emporté» comme il se doit peut-être. nous voulons creuser dans ce sas de vie profond. Nous voulons creuser profioond ici, chercher les données cachées,
comprendre en soi la bête-mot de rage, ce qu’elle est, ce à quoi elle sert, ce pour quoi nous la voulons pour nous expréssement, ce qui est au juste la concernant. La bete en nous est mot d’injure on, le sait. va loin dans l’injure, le ressentiment, le mot de trop, la violence verbale, le haine, les effets délétères, les mots crus sexués et autres saletés verbeuse. c’est une évidence ! Le verbe est sale, qui se veut tel pour repousser la mort ! le verbe est sade et sale, qui en vrai veut pour lui repousser la mort dans ses pénates ou en ses pénates on l’a vu ! car, Lza pmort est à repousser en ses pénates. où crèche la mort .? où qu’elle crè!che la mort , dis ? qui le sait ? qui sait où la mort crèche ? nqui sait cette chose ? qui sait où crèche la mort ? qui sait cette chose ? qui sait cette chose ici ? qui connait ici cette chose ? qui sait cette chose ici ? qui co=mprend les choses liées à la mort de base ? qui comprend la mort de base et saura nous révéler le pot aux roses ? qui voudra bien nous donner son savoir, ses dires, son influx ? qui est là pour nous ? je cherche dans mon coeur de base des données, je cherche fissa. je suis (deux) qui chercheune Chose (ici bas) à la force d’un étant ou d’un allant verbal. le vent souffle. la lumière se fait sur les embruns, me voici pezrlé, brillant sous les rayons qui darxdent, je brille à tout va, j’illulmine les entours, je suis homme de cro-magnon, bete fauve, ogre, monstre des prairies vertes, je charge à la force du verbe brandi, je file , je caracole. mon nom est insc rit tout en haut de la paroi verbale. je suis homme de la tour de rage, considéré, conscrit, pris, chargé d’allure, concomittament temporel = de concert. je veux comprendre ce qui est qui se trame ici, dans un sas de
bienvenu. Je veux comprendre des données, des mots, le verbe, les données rugueuses du temps de la vie et les donhnées soyeuses (?) du temps de la mort ce qu’ elles sont (les unes et les autres). qui sait ce qui est ? qui dira la vérité ? bnous cherchons partout sur terre des idées de base, données brutes, données profondes, pleines, pesantes. nous ne savons pas ce qui est au juste en nous : sommes nous comblés ? sommes nous pris en défaut de verbe ? sommes nous comblé de joie-je ? sommes nous des êtres malfaisants de base, le verbe d’insulte à agent aidant ? qui sommes nous en tant qu’être de verbe ? nous avons à ici cpmprendre des données profondes concernant la vie et la mort ce qu’elles sont pour nous. nous voulons en avancer et faire cette chose d’une sorte de recherche jumelée (à la vie à la mort) mais comment ? Nous ne savons pas . Nous sommes penauds. Nous sommes de petits êtres penauds voire raboufgris en notre misère de faisant partie ici ou là d’une misère globale, générale, liée à la vie sur terre. Nous voulons co:mprendre loin dans le sas de terre-mère et, pour ce faire, y aller fissa de notre gouverne temporelle, chercher ici et là (recueillir) des données fortes, costaudes, qui tiennent, qui soient comme des certiitudes de paroi. Nous voulobns toucher (trouver) la bête en nous , cette bete-mot qui en impose un peu malgré tout et charge et tient tête, tient la tête, la tient devant soi = la repousse de
ses deux mains, repousse à demain, à deux mains la tête de la mort à l’oeuvre dans la vie ou sinon quoi d’autre ? nos mains sont ici qui repoussent, tiennent, contiennent, cherchent à contenir, à suspendre, à tenir à distance, à protéger tambien, ou comment ? la tete icii d’une mort annoncée comme un nouveau-né. présentation ! calfeutrage ! homicide ! colère ! chearbon de bois ! dessin galbé ! le lion est dans le pré ! la pelouse ! le lion est consacré roi des lieux de rage, ornements dorés, veture de nacre, Soleil. nous voulons contenir de nos deux mains la mort de rage. nous voulons de rage contenir la mort et ce de nods deux mains. Comme une sage-femme. car la femme contient (elle) et nous aussi qui voulons être fame. nous sommes ainsi que nous voulons la rebommée. . nous sommes homme ainsi qyi voulons la fame comme la felmme et repousser l’assaut de ll’assaillant en la perso,ne de pareille ici entité de merde, ou comment dire ici la chose à insulter comme une merde?Nous ne vcoulons pas de la mort. Nous ne voulons pas de la mort . mnous ne voulons pas de la mort merdum. voilà qui est dit et crûment dit. La mort est chose rude, crue, elle va droit vers nous mais nous avons deux mains pour en repousser son mobile. Nous ne voulons pas d’elle pour nous, et nous la repoussons du mieucx possible et pour ce faire il faut faire poids , il dfaut contrepousser, il faut contrecharger, il faut contre tabler, contrer etc la mort qui elle ne s’en laissze pasz démonter si vite. Nous voulons toucher la mort pour la repousser, avec nos deux mains devant. nos mains sont du Temps (on le sait) . nous repoussons les échéances ménagères. nous ne voulons pas que la mort vienne sur notre terrain. nous disons que nous ne voulons pas que icelle mort de merde vienne saleté. nous disons nos excréments de verbe ici fissa à son encontre, la souillons de Verbe vif, culotté, contraire, etc, afin de la pousser et de la repousser et la rerepousser en ses quartiers. Lune ! charge ! conne ! pute ou putasse ! tu vas trembler ! voilà ce qu’à la mort nbous lui disons en face (
demain) et c’est ainsi que la mort recule pensons-nous. à la force bestiale du verbe «temporel», du verbe cru et nu, du verbe de haine, hot verbe de rage, vif de vive, cher verbe ollé ollé et pire ! nous pissons de rire et gueulons de rage et gueulons de toute notre vie de la vie de rage ! nous voulons contrarier la Mort. Nous voulons contrarier ses avances, la débouylonner, lui faire peur, l’effrayer, la placer ailleurs, la faire reculer, la rehjeter ailleurs qu’ici, ici = devant, ici = où en vérité ? nous voulons aller loin dans l’invective. nous voulons aller loin dans l’invective !BNous voulons aller loin dans l’invective et cela pour ça. pour cette chose d’une reculade. Car, dire «vive la vie !» n’y fait pas des masses; mais l’invective. Nous voulons repousser les assauts vaillants de la mort à l’oeuvre et pour ce faire ... un Verbe de bête, zaurochs et bison, mots d’insultes de poids, charges pleines. Nous devons comprendre cette chose de la mort qui charge, et nous, en contrefort, en contrerpartie, en contrarieété ou comment ici le verbe accolé. La mort est une charge mais le verbe aussi. et donc voici la chose, x contre y, la bete-mot de poids, de poids et de rage, contre madame ou sieur ... de la Mort à l’ OEuvre. une belle partie de campagne. Nous voulons savoir, bnous saurons. nous voulons comptrendre, nbous toucherons au but un de ces quatre, à la force du poignet qui sait. Nous voulons toucher à la vérité des choses du monde, celles-là qui nous regardent,
qui sont donc présentes autour de nous , comme un cercle d’initiés. je cherche une raison de tête wquand la vérité est dans l’à peu près des dires jetées ... comme des armes de jet. nous disons que la vie est Une et Indivisible comme la parole divine mais en vérité la vérité est une
que nous sommes des enfants du jeu de la chance. La chance est éghale à cela même que nous engageons nous mêmes (de nous mêmes) comme poids dans la balannce = du donnant-donnant. nous poussons (repoussons) la mort de nos deux mains (de nos dix doigts) car nous sommes fort et forte de la rage à être des bpêtes de poisds surnuméraires. Main, main, main, main, main, maoin , main, main, main on l’a vu maintes et maintes fois et c’est ainsi que cezla est c’est une vérrité qu’ion ne peut nier. je regarde devant moi et vois ce qui est qui setrame . une vérité est là qui cherche à être formulée. La mort est une entité menaçante c’sst un fait, mais le verbe est nacré, il résiste au choc, il est bestial et sait contenir, faire contrepression, porter charge et faire face ou dès lors faire face. L’animal en bnous-mêmes, cette bête-mot des années écoulées ou amoncelées ou agglmutinéees, ou associés, cette bete mot est la bete en nous qui sait résister et toujours tiendra tete à distance, tiendra la tete (de la mort) à bonne distyance. IL
faut cette chose. il faut ce sens. il faut comprtendre cette chose, d’une tete tenue, repoussée sur le haut du crâne. nous poussons ensembvle, lles mains, nous pousso,ns ensemble, deux main, nous poussons ensemble de nos deux mains (ç a fait quatre ?) l’assaillant. La mort assaille. La mort vient pousser pousser de sa tete de bélier et charge. nous sommes nous aussi en face qui chargeons et mettons nos deux mains (le Temps) devant = présent de bonne renommée on le sait (fame ou réputation) qui nous aide à tenir bon. Nous ne voulons pas céder aux premières incartades. la mort est ce bélier de face, à face dure, cornes devant, chertcheuse d’emb rouille. Nous résistons = nous repoussons avec les mains ... du TEmps déployé dans du faire monacal , pariétal ou autre, ici ou là, pourvu «quon ait l’ivresse» de la joie à être ces etres de rage repoussant l’enflure, la vilaine, l’assaillante, la cochonne, la merdeuse, la conne mort ou saleté d’etre des vents. Nous ne voulons pas de cette saleté et aussi nous l’effrzayons, verbalement, comme nous pouvons . l’insulte à agent est notre réponse = la vie en nos organismes/
. nous cvoulons creuser les données royales et comprendre ce qui est ici en ter:mes d’insulte. nous avons à chercher longtemps et ce faisant nousc repoussons également. les recherches sont telles ici que nous sommes ainsi à pour ainsi dire nous accoler à une question qui est celle-ci qui nous voit forcer, rentrer dans la masse, contrecarrer, pousser dur, charger de tout notre aplom,b. nous voulons creuser profond les questions, nous voulons charger de front, nous voulons «tenir tête» et c’est cela que nous faisons ici , caracolant à toute blinde et àà
tout va vers icelle «bête» (?) de la mort qui charge, elle, vers nous qui chargeons, nous, vers elle continument et elle de même ; feu contre feu. la mort contre la vie du verbe insultant = la vie. La vie est une insulte (proférée) devant la mort via le temps de son déroulement ou de sa diction, ou du temps utile à son déroulement . Nous disons et disant nous repoussons. Nous disons le mal
en nous contenu (le lmal et le mal : la douleur et la vilaienie ou la méchanceté) et ce qui est est. Nous disons que ce que nous disons provient loin en nous du mal de base nous constituant. Le mal est un mal de base. le mal à la base est la douleur de bouche, et puis le temps aidant ou passant, la chose est cdevenu cette autre ch ose d’une sorte de méchanceté latente, enfouie, en réserve, dans les profondeurs de la bete en nous contennue. je suis une bêtye de rage, betye de poids qui pousse et contient (temps-verbe) la mort à distance sinon en repos. corne contre corne. Cornes contres vcornes. Nous passons un temps ainsi à tenir tête (sage-^femme’ = maïeuticienne) et faisant cela nous disons que nous voulons ... de la vie poour nous à jamaisq. La maïeutique est l’art de faire naitrec les bébés, soit de les mettre au monde, il s’agit de cette chose d’une mise, d’un dépot, d’une deposition à même le sol de dallage. je suis cet homme-ombre qui, maieuticien, cjherche à tenir la tete de la mort pour (de fait) la contenir avant qu’elle ne naisse au monde des vivants. nous devons tenir la tete à (de) la mort de branche. La mort est mort qui pousse devant soi, qui grignote sur le temps (verbal) de survenue, sur cette chose à bas qui est présent de dépot d’offrande sur table dédieé. nous cherchons la v érité des sables, des embruns, des terres en friche, des devants de soi alloués, des verbes haut perchés, des vêtures de bure pour une embardée dite «de contrairiété
». Nous disons que nous voulons comprendre loin et profond et pour ce faire nous devons chercher ensemvnle les données de base (dites «nature») venant à nous, à notre gouverne princière, cap de la haute, parlure du chapeau, collège. Nous voulons comprendre avec des mots sensés les choses du monde mais le peut-on ? je pense que non. le monde échappe à tout entendement intelligible et seule une approche sensible intuitive fine arrivera à cer-ner des cercles, des sortes de bulles de sens, à toucher la tête, à teenir pour soi (dans ses bras) des dires de poids de type aurignaciens, magdaléniens ou même plus lointain néanderthaliens
. BNous pensons que npous devons fouiller le dire intégral enb ses déclinaisons diverses et contfronter ces dires les uns aux autres afin d’en extraire la moelle nourricière, la belle romaine, le suc, le charme, l’esswentiel de ses atours. Nous voulons cerner en confronta
,nt les dires de base : mots creux mais tintant comme des instruments de musique (à vent ?). nous disons que nous nous engageons ,
dans des recherches fouillées, dans des recherches qui vont loin à fouiller des vérités de poids et de bon aloi. nous fouillonns dans la profondeur d’une langue inculquée vles données offertes par la bande et ce faisant le temps sé’écoule qui repousse les assauts (bélier) de la mort à l’oeuvre incidemment. la mort est beauuté cachée , qui sait ? nous la tenons à la distance qu’il nous sied. Nous sommes deux mains. le temps pousse. Le temps est cet homme ou cette femme de paroi qui pousse (= repousse) et cherche à tenir (= contenir) les coups de l’assaillant brutal. sus à la mort ! laissons la mourir ! que faire ? les mots cherchent u ne entrée de choix, de base, dans la faille d’une paroi. les mots sont mots de rage à être, c’est un fait, et bouchent (ensemble) la plaie qui saigne (saigne beaucoup) de nous. nhous voulons comprendre tout ce sang perdu, cette plaie de base, ce sang de la rage à devoir repousser et à repousser. Les mots chargent de tout leur étant rupestre : sens et musicalité pour recul avéré de l’assaillant ailé. nouds ne voulons pas de sa présence en ce sas de vie qui est le nôtre et du coup que faisons nous ? nous repoussons la tete qui devant nous se présente (imberbe = crane nu). Nous voulons repousser ce crane, ce mobile, cet os, cette ame, ce sens, cette peau, ce brin, cette charge, cette bete, ce caché de l’age. Nouys voulons repousser le caché ici qui vient à se ficher (devant nous) pour nous enquiquin er et nous briser dans notre élan de vie racée. alors que faire ? nos deux mains misère ! mais oui voilà ce qui est qui est nécessaire ! vive nos deux mains ! que n os deux mains vivent . les deux mains d’une rage à être temporelle seront nos alliées et vont (iront) nous aider à comprendre, à prendre corps, à prendre corps contre, etc. Accolés pour une floraison. nous disons que nous devons co:mprendre ensemble ce qui est ici qui nous regharde, et , qui cherche à nous tromper avec son crane profilé, sa tete première, son avancée princière pitttoresque : sus à l’assaillant des rois! ne nous laissons pas piéger ! nous ne voulons pzas que la mort gagnât trop de terrain sur notre p^ropre territoire, elle se doit de nous respecter. Nous voulons la contrarier et
pour cela rien de mieux que nos deux mains := le temps ... à d»ployer sur roche (monde) et à opposer. nouds devons aller contre icelle entité armés, et pour cela rien de tel que deux mains «frontales» , quii sont des repoussoirs de choix et de poids, qui tienhent la tete , la retyiennent, la coincent, la blmoquent, l’empêchent de trop progresser vers nous qui ne voulons pas (vraiment) d’elle du tout (en vértiré). nous nous plaçons de telle sorte ici que voilà : les cornes ! cornes contre cornes ? feu contre feu ? la vie du Verbe contre la vie ... de la mort .? BVerbe versus Mort ? nous sommes des (ici)
qui(là bas) allons à contrer la charge princière opposée, à savoir les cornes, les cornes rouges de la mort, les cornes fumeuses, les cornes rougies, les cornes br^ulantes de la mort en sa lave-coulé, en son feu terrien, en cette flamme dure,
qui brûle que tu brûleras le Temps. nous ne voulons pass passer trop loin des données de base. en sommes-bnous loin ? nous voulons comprendre ce qui est, à l’aune d’une vérité accouchée. nous sommes deux mains = le temps = le verbe = l’animal ou mot-bete , qui allons ainsi bille en tête repousser laz b^ete, repouuser l’etre de l’opposition à nottre allant. nous voulons percer la terre. Nous voulobns creuser la roche. bnous voulons d’une traversée des apparences et pousser loin les données du mon,de, du monde adjacent, vers des données plus lointaines encore qui sauront ou sauraient nous dire ce qui est exactement de tout un monde qui se cache ici de notre entendement. quoi existe hors le monde ? nous voulons toucher la t^te (crâne, craneuse) de la mort, et pour cela il n’y a pas à lambiner mais à fissa aller vers elle et la contenir, la tenir à bonne distance, avec nos deux mains , avec les mains qui sont celles que nous opposons pour notre chance. nous voulons repousser l’assaillant brutazl en nous montra,nt nous mêmes tout aussi brutal. nous ne voulons pasv mourir c’est un fait mais non p;lus céder du terrain, laisser la moprt grignoter nos terrres. Non ! nous voulons qu’elle se tînt à
carreau et n’empietât pas sur nos plates bandes de fortune. la mort, tiens-toi à carreau, de grâce ! voilà ce que nous lui disons en lui tenant tête. voilà ce que nous disons et cela (ce dire) est du tenir-^tête de premmière. les mots chargent et
caracolment et tiennen,t bon l’onde de choc. nous voulons que cette chose de la mort à l’oeuvre («choc time») tînt son rang et n’en bouge ou démorde pas ou reste à sa place là où (où ?) elle est en vérité. Mais oui sinon : où est elle ? la mort est une sorte d’entyité de base, contrariante, qui est pour nous contre nous, qui s’oppose à nous, qui est une donnée rude, qui est une donnée de poids, qui est cette chose d’en face qui nous gêne continuement et cherche sans cesse à nous mettree à bas. nous résistons bien mais vas-y à comprtendre tout de tout. quoi est-elle en termes de contrzariété ? que nous offre-t-elle comme perspectives dec destinée ? où veut-elle nous embringuer ? commùent se nomme-t-elle ? que nous veut-elle de bien ou de mal ? que et qui croire ? on dit que la mort est dans l’atte,nte de notre âme ou de notre coprs ou des deux mais en vrai la mort vient charger, vient nous plan,ter ses cornes pour nous assaillir, nous tuer, nous tuer de rage, nous tuer car nous l’effrayons, elle nous voit comme l’ennemi potentiel numéro un pêut-être et dès lors elle vient nous agresser de force et de rage comme d’un fait excprès. la mort est efffrrayée et cherche à nous tuer car elle est ainsi qu’elle a dans le sang (en e llke) cette envie de vivre à vif et du coup de tuer autrui qui lui apparait comme un danger éventuel ou bien comme proie pour son quotidien, pour son anttree. nous voulons comprendre des données qui pèsent. le vent souffle à travers les monts. le vent siffle et souffle et nous fait impression. la mort rôde ? la mort est elle proche ? est-elle derrière la fine tenture des choses du monde comme façonné? qui sait quoi ? la mort est-elle «derrière» le monde ? Qui sait ce qui est ? nous voulons enbsemble trouver les données cachées , comment faire ainsi que la vie ... restat en vie ? comment faire ainsi que le Verbe put dire ce qui est en toute logique ? la logique est-elle la v érité ? qui saura nous aiguiller et nous placer sur le chemin approprié pour une connaissance avérée ? nous prenons le temps de co=mprendre = un temps pour un passage = une vie humaine. Et ce temps est cela :même que nous déposons sur terre-mère (la paroi) du temps de notre vivant. je chertche la voie nacrée, le passdage ondoyant, les fleurs des prés, les vives clameurs, le chant roucoulant. nous chercvhons ensemble des entrées, ici opu là, car oùù aller ?où se placer ? où se mettre
et comment ? nous disons cette chose comme quoi le temps est une donnée brute qui mérite réflexion etv inspection. nous disons qu’ici la mort est une entrée dans la matière = faille à ^etre = trou non-borgne si tant est, mais où ? dans le verbe ? maids où donc est le trou dans le verbe ? ou se situe-t-il ? où donc se situe le trou dans le verbe ? où donc est le trou dans la bête en soi ? où tyrouver le trou du passage et commùent? je suis une bete car en moi vit une bête. je suis une bete de poids c’est
sûr. je pèse mon comptant de choses et autres (veture de bure, mots acidulés). je m’avance sur les devants, je suis sur ces devants l’etre menaçant. je suis bete-verbe aux allures rupestres (bison ?) et, ainsi vêtu, ainsi atiffé, ainsi arrangé (de bure et comme acidulé de par le verbe) je vais. je suis homme-bete de céans, je vais et je viens à travers le temps, je veux savoir la vérité, je veux comprendre, je veux trouver, je veux être. je suis homme des prés qui court comme un dératé à la rechezrche d’un semblant de vérité contenu dans l’herbe à brouter. JKe ne suis capitaine de rien. je suis un être de paroi de monde (du) et cher che que tu chercheras à travers la lande les données. oh mais je trouverais ! un jour ou un auttre. je suis ombre = hombre, cela est , mais pas seulement. Je suis femme = fame, cela est tambien, mais pasxseulement . Je suis bete = bete comme chou, cela est également , mais pas seulement. je suis verbe à vif de sa découverte, je saigne des dents, de la machoire, des joues, du palais. un trou de merde !!!!!!!!! merde merdum !!!!!!!!! un sale trou en ma face imberbe , oh saleté de bete en moi ! et me voilà qui parle à toute blinde, fort, chargeant de rage, y allant, etc. je parle par le trou : ni pl;us ni moins. je pa rle car j’ai un trou. et ce trou = une bouche
. Ce trou
est une sorte de fissure à laisser faire. une sorte de fissure en ous, laissant passer la cohorte de betes contenus en noous depuis l’aube de l’humanité et nous voilà êtres parlants, êtres qui avons en nous des mots de bouche plein la bouche, qui les exprimons de conserve et ce faisant bouchons notre bouche d’étoupe verbale. Nouys voulons comprendre cette étoupe ce qu’elle est au juste et aussi ... ce que cela fait d’avoir pour soi cette chose en bouche, ce pic de verbe, cet onguent, ce pansement, cette chose ressemblan,t à quelque chose d’autre comme par exemple à une sorte de ... bete de jhoie.-, etc. nous voulons savoir les mots, depuis qu’ils sont là
, dans nous, qui bouchent que tu bouchertas la bouche, ces mots : qu’en est-il en vérité ? sont ils dews apprêzts ? szont ils appeaux ? sifflent ils pour attirer ? font-ils partie d’une chose en soi plus ancienne ? font ils partie d’autre chose que de nous , dans le sens où ils seraient liés à d’autress corps
que nouqs? nous pensons et, ce faisant, nous plaidons coupavle de coups et blessures envers la joue en nous. jze pense donc je suis coupabvle.je vais ainsi à la recherche d’une vérité dite «de bon aloi» qui me donnât de quoi , disons, «respirer» et me porter bien. et faisant cette chose ,
d’une recherche aussi attentive , aussi soutenue dans la longueur, je m’approche (on dirait) d’icelle v érité nacrée des fonds de la paroi. Je cherche à m’approcher d’icelle. la paroi = le monde qui est attenant à l’au-delà. je veux cerner un univers entier (de la naissance à son passdage de l’autre cvôté : trépas de charge) et pour cela je parle en continu, je ne m’arrête plus, je charge à bloc les données frontales, les soupèse infiniment et cherche à comprendre. les hommes sont des femmes quyi sont des hommes qui sont des femmes qui sont des hommes qui sont des femmes qui sont des hommes qui sont des femmes qUI sont des hommes qui sont des femmes qui sont des hommes qui so,nt des femmes qui sont des hommes quui sont des femmes qui sont des hommes qui so nt des femmes qui sont des hommes qui sonht des femmes qui sont des hommes qui sont des felmmles qui sont des ghommes qui sont des femmes qui sont des hommes qui sont des femmes qui sont des hommes qui sont des fgemmes qui sont des bétes, qui sont des bêtes-mots, qui sont des mots animaliers, qui sont des mots de peu, qui sont du verbe. Je comprends la chose ici qui me regarde fixement, ce qu’elle est pour moi (la misère) et ce qu’elle cxherche ou recherche avec moi (la misère?°. Je cherche une voie .... pour un accèe, àà même la terre, à même le sol, au ras des pâquerettes. je veux être une voix pour moi. je veux toucher la voix en moi qui parle pour moi et la déplacer sur roche de paroi. je cherche à toucher en vrai icelle. la toucher la toucher. je cherche incidemmeznt,
concomittament, allègrement à toucher icelle (voix de rage) en moi, la toucher la toucher, concomittament = en parlant. puis-je ? suis-je en réelle capacité de pouvoir ? suis je capable de ? suis kje capable de faire ainsi que cette chose ici puisse ou se puisse ? suis je (moi) l’homme des prés de la situation ? comment puis)-je ? comment on peut dire ? comment pourrais je dire et faire à la fois = concomittament sans y laisser des plumes d’oie ? je veux être cette bête contenbue en moi! je veux parler le langage des bêtes à cette bête contenue en moi et comprendre q<ui elle est et poyurqoiu est-elle là en moi, qui swemble s’y plaire ou s’y complaire, qui est-$elle ? la bete en moi a un nom de passe. la bête contenue en moi porte le nom de son espèce, de son genre, de sa voix. il s’agit (pour moi) d’un nom «adultère» pour ainsi dire. Jhe suis homme de la voix qui tremble (en moi) à dire ce qui est de moi ! qui je suis je ne sais pas mais les choses ici sont ainsi que je dois (en vrai) comprendre loin et voir loin et marcher longtemps. je suis hjomme qui veut comprendre ce qui est autour de lui sur terre, et pour cela je dois marcher vers les embruns c’est-à-dire vers la vérité. je ne dois pas m’en éloigner. je dois chercher une voie d’abord et creuser et fouiller et dire p;lus plus sans lambiner ni trainer ni faire le malin ni pleurer ni trépigner ou faire son intéressant ou le petitt diable ou quoi d’autree en ces contrées? Jez suis homme à paerler vif, qui chante là son dire du passé de soi. je dépose. le passé est cette chose (en soi) qui pour le coup est déposé au fil du temps sur une marche (table) des offrandes. mon passé ne m’appartient plus qui est à présent déposé sur une table à offrandes. je sais que mon pasxsé est cette chjose qui est dépôsée sur une table (où ?????) et qui sert en vrai à cette cxhose d’une sorte de repoussoir. je cherche à compreendre où donc la table,
or voilà : dans le temps. La table aux offrandes est musicale = une portée. la table aux offrandes
est une portée musicale = temporelle. il s’agit ici de piger cela, la portée porte le passé, le temps est le nid, nos vies la nichée etc. je veux croire en c ette chose d’une sorte ici (pour nous) de temporalité première déposée sur roche au fur et à mesure de nos «avancées bille en tête». le passé se voit déposé ou comme déposé sous fgorme de temps sur une porté, ou sinon : sous forme de p^résent (dons de soi) sur portée de sol, de fa ou tout autre portée musicale de consitutiuon. nous disons que la portée est musicale de constitution et porte le passé de soi (le passé vbrûlé) qui est donc le présent (le don) déposé, par la b ande passqzante, par icelle bande en nous du temps qui passe ... sur nbous. nous ouvrons la b ouche et parlons et la parole co:mble et panse. la pensée est chose de rage, elle vibre en ous (onguent) et vient à se ficher sous forme verbale (crue) entre nos lèvres. ainsi est la foi. nous parlons et disons dès lors la foi que nous portons en nous, qui est la foi en des entités ... divines, de type : la mort, la vie, le verbe, laBêtye, la joie, le sang, la Parole, etc. les mots sont ainsi portés (:musicalement, une portée) à travers la vbouche, à travers une bouche , et, portés, se voit comme déposzés comme autant de vivres sur une table, table aux offrandes, ou comme autant d’offrrandes diverdses sur ou dans un panier. Nous disons panier, et table, marche, pourtour, devant de soi, seuil, entrée, devant de porte, etc, pour dire le monde adjacent =: terre mère aux embruns lointains. je cherche une voie d’accès pour un passage de destinée et à comment m’y prendre, voilà
ce qui est qui m’occupe fort. je veux creuser la terre et traverser le film de la réalité des berges. je ne suis capitaine de rien et c ependant le verbe ... est du capitai ne. alors comment faire ? comment pousser loin ces données frontales, duccales, pleinières, princières et premières ? en chantant ? moui ! peut-être. ou bien en marchant ? les deux mon capitaine ! ... ou comment ? car, car je suis vaillant, je file, je tie,ns, je coordonne, je donnbe, je vais, je sens, je resse,s, je cherche, j’obtempère, je renifle, je touche, j’entre, je perçois, je coopte, j’envisage, je pl;eure, je ris, je ventile, je m’ouvre aux quatyre vents et moi même je ventile, sougffle que tu souffleras, je cherche à comprendre, je vais loin dans les recherches, je m’enfonce dans la nasse des savoirs de toute sorte concernant la mort et la vie, la vie et la mort. Jee ne suis capitaine de rien or si. je suis au cap de mon phrasé de bure, maintenant du sens coûte que co ûte. je suis celui-ci qui parle mal mais parle. un homme de la foi dans le langage (comme tous et toutes les hommes et femmes ?). je fonce fissa à travers la lande . je vais vers les bêtes de poids qui toutes broutent à l’unisson, paissent nonchalantes, me matent de coin, voudraient peut-être me parler comme elles me voient comme elles, peut être (qui sait ?). Je veux toucher, je veux toucher, hje veux toucher la vérité. Je veux me rapprocher d’icelle . je veux via le verbe toucher icelle v érité de la «voix en moi» qui vibre que tu vibrera s tton élan (son élan). je suis un homme-femme, aux mains plaquées contre. contre la paroi = le crâne (je le sais). sage-femme... aux bois sur la tete. je touche la roche, affronte. je suis la bete rosse, je suis pour de vrai cette bête rosse qui touche la roche, qui pousse la roche, qui foule. je suis bete rosse qui foule. je vais dans la roche, je suis une bête de poids, mon poids est chose de poids en la matière, qui impose son allant de rage, sa toute puissance contenue en elle (bete) comme une (sorte de) vive donnée à donner , temporellement , finement, volontiers, sur pareil devant de soi de type rupestre. je vais vif en roche et trouve là la vérité par nous recherchée à savoir le NOm. qauel est-il ? qu’est-il ? est il mon nom ? est il le nom donn»é à lma naissance ? est il un nom vo:lé ? erst il le nom d’une bête ? est ce que ce nom, le nom que je porte (portée temporelle) est le nom qui m’a vu naitre ? suis je moi-m^me le Nom ? suis je un nom parmùi d’autres noms ? suis je un nom parmi d’autres noms ? suis je ce nom-ci ou ce nom-là parmi d’autres noms ? suis je une vie d’emprunt ? la mort à l’ame ? suis je unn enfant qui va sur son chemin vif ? suis je l’enfant de la fame ? suis je l’enfant des tourments d’une vie à vivre ? suis je vif ? suis je à vif ? suis je mort ? suis je la mort ? quel est ce nom qui en moi chercxhe à naitre, à voir le jour, à sortir de ses gonds, à parler pour moi ? quel est le «vrai» nom (de paroi ?) que je porte ? est il celui-ci :»Aurochs» ? est-il celyui-là : « Cheval «, ou tel autre du même acabit, «Bison des prés», ‘« Sanglier», vache ou dindon, etc. Je cherche à savoir en moi. je pense que je suis il semblerait sur un chemin tracé ici en amont qui peut peut-^erte être fructueux on ne sait jamais.
le chemin est peût^etre tracé de fait avant moi = mon passage = ma venue ou peutêttre pas. je vois que les mots s’en vuiennent sous mes doigts et chargent la paroi. je suis pour ainsi dire la bête des prés et des forêts, je cours et vole car je suis ailé comme le cerf ailé est ailé. je veux comperndre (arribver à comprendre) le cerf em moi (ailé) et pour cela je dois me pl;onger tete première dans l’eau vive d’un chant choral qui résonne en moi son fluide nacré c’’est un fait. je plonnge. je suis bete des parois de roche. monacales. pariétales. Et je file ainsi à la recherche instrumentée d’une vérité musiqcale du monde adjacent soit du monde de la vie et de la mort dxans le langage. je file (vif) sur pareille portée musicale dee céans. je vais en roche à la recherche dx’une nichée. je ne ferme pas la porte aux savoirs de base mais je cherche loin, à tout va et à tout crins, des savoirs autres : savoirs déployés ici et là à la d»éerobeée peut-être par qui de droit ... que je ne connais pas ou si ? que je connais ? qui c’est ? qui est)-ce ? un être caché dans les fourrés ? l’animal aux aguets , un frère animazl , une soeur de roche ? une effigie ? une bete gravée ? un etre de frai ? vive gente ? qui est cette bete , qui sait ce qui est ? suis je bete moi -même ? l’idiot du village ? le demeuré ? le bestiou de sa rage entière ? ‘l’écervelé à bride abattue ? ou sinon qui ?
15/2/2022
la mort en nous est une entité. nous ne sommes pas dupe (au fond de nous) de cela. nous savons pertinement cette chose ici, comme quoi la mort est une entité que nous portons en nous ... comme un animal, ou comme un anima, ou comme une ame. Nous portons en nous cette chose appelée mort, qui est une sorte d’animal pour ainsi dire contenu soit maitrisé en soi, animal ou anima (ame ?) qui est comme ainsi logé en nous à un endroit précis mais qu’il nous reste à situer. Où donc en soi (en nous) la mort est-elle situé ? nous ne savons pas. Ou bien le savons nous à notre insu ? savons nous en nous où se trouve la mort ? savons-nous en nous où se trouve cette chose nommée «la mort» et qui est chose de grande importance pour nous, puisque contenu en nous ... peut-être comme un organe, ou comme une bête contenue soit tenue, tenue en laisse, maitrisé par nous à notre insu ou sinon à notre insu par la bande ou sinon comment ? car la mort en nous est logée. elle habite dans notre sein. le sein est l’endroit en nous qui loge la mort ou la mort peut-être «animalière». Le sein est un endroit en nous qui, pour le coup, contient des choses, un endroit de contenance ici en particulier puisque ... contenant la mort dite »animalière». nous savons que cette chose est d’une importance majeure, nous savons que vcette chose (de la mort dite «animalière» )) est d’une importance
considérable pour nous, pour les savoirs à acquérir, pour notre avenir dans la penseé, pour la compréhension des choses du monde. il est important de signaler ici cette chose comme quoi la mort (qui vit en nous) est une chose incluse dans un sein. ce sein est le «sein de base» ou dit tel. ce sein est un sein qui demande à être en vrai observé et étudié. Nous pensons que cette chose , de la mort en soi, est logée en nous par des canaux ou en des canaux en particulier (réservés à cet effet ou à cette chose) et ces canaux se doivent d’être regardé de près, c’est une évidence. Il est nécessaire ici de comprendre cette chose de cette évide,nce
, à devoir ensemble regarder de près des canaux qui sont canaux de contenance. Ces canaux en nous ont une importance majeure qu’il est bon de souligner. ces canaux en nous sont d’une importance considérable, à prendre en compte sérieusement, à voir de près, à explorer (fissa) par la bande ou autrement mais sans plus tarder. que sont ces canaux ? que cvontiennent-ils ? ou se logent-ils au juste ? qui connait l’existence de tels canaux et qui donc les étudient dans le monde ? y a t il au monde des personnes bien intentionnées étudiant de tels canaux de vie ? nous sommes à vouloir connaitre un grand nombre de vérités et pour ce faire nous creusons notre pensée dans un sens qui puisse nous offrir des retombées de poids. Nous voulons comprendre dans la profondeur cette notion , ici abordée, des canaux de vie, d’un sein des seins hospitaliers , d’une mort animale, animalière ou autre, contenue en ce dit sein des seins, mort en nous contenue comme (dirait-on) un animal en fuite ou bien-caché , logé-lové comme un serpent, comme une anguille sous un rocher. que penser de cela ? Nous espérons à termes pouvoir démontrer un certzain nombre de vérité mais enfin le travail est immense qui ne laisse pas de nouds bousculer, de nous presser et de nous pousser dans nos propres retranchements de chercheur / chercheuse de base. nous sommes en nous (le Soi) plusieurs on le sait. nous portons une parole d’envahissement du Soi en nous-mêmes, c’est à dire en vérité que ... nous sommes cette chose, cette chose rude et vorace, cette chose d’un être (comme) envahi de base, comme (être) envahi de l’intérieur oou même dévoré par en soi une sorte de bête de rage, fauve nacré qui cher che ou chercherait une issue en nous via un trou de bouche ou tout autre anfractuosité cutanée?. nous sommes plusieurs ainsi en nous à
parler lorsque nous parlons. nous sommes au moins deux. Il ya la bete vorace, et il y a npous qui sommes de peau recouvertes. Nous sommes deux en nous à nous exprimer lorsque nous parlons . nous sommes deux à nous exprimer, et étant deux, nous nous tenons pour ainsi dire par la main, nous faisons corps de cette manière liée à la main (la manière : importante ici) et ce faisant nous avançons cahin-caha sur le chemin de notre vie ainsi soudé ou attachés. Nous sommes deux qui vont ou allons ainsi leur chemin. Nous sommes en nous (le Soi) deux à marcher, qui dans la forêt qui dans un champs de blé, qui ailleurs au bord de l’eau, etc, et ainsi nous avançons sur un chemin, nous sommes qui nous avançons sur un chemin de vie lié à une mort en soi contenue de fait dans le sein des seins. LE sein des seins est cet endroit en nous ... qui contient la bête. Il x’agit d’un endroit caché, c’e’stà dire enfoui, mis en nous par la bande animale du temps, déployé en nous comme par extraordinaire, déployé pour une cause en nous liée à la parole ... à acquérir enfant. Nous pensons que cette mort, en nous contenue, est la mort de l’ame ailleurs. nous pensons à part nous que cette mort contenue en ous est mort d’une Chose rude. nous pensons cette chose comme quoi la mort, en nous contenue, porte un nom précis à chaque fois (soit pour chacun et chacune de nous) renouvelé
, et que c e nom a fortement à voir avec la bete en nous ici contenue, cette bete ou bete-mot de rage est peut être (akllez savoir) la bete-mort en nous contenue par la bande. Nous nous disons ensemble cette chose comme quoi, la betye-mot d’étoupe, de remplissage, de sauvetage temporo-spatial ( = le temps d’une vie terrestre) est cette chose ici que nous nommons ailleurs par ces dits mots de «mort de l’ame», ou de «mort de soi», ou de «mort du soi», ou de «mort d’une anima» (du souffle de vie et de mort). Nous pensons que cette chose est ici à observer et à étudier avec attention. Qui connait l’astuce ? qui sait de quoi il en retourne ? qui sait s’y prendre ? qui sait comprendrte ? qui a appris les rudiments d’une méthode, d’un savoir, d’une parole, etc, qui sachent ou sauraient nous aider sur notre propre chemin et dans nos recherches, recherches assidues ? Nous voulons aller très loin dans les connaissancec s et pour cela nous devons chercher à cerner ensemble un certain nombdbre de données en particulier, comme celles concernant la mort-bête en soi contenue,, cette mort de la ... bete-mot de rage qui, mort, est logée en nous par la bande passante du temps ... de la vie qui est la nôttree. je suis cet hjomme ici qui regarde fixement la Chose ici présentée comme une offrande. Qui est qui qui sait qui est qui ? qui connait l’astuce pour savoir parler un langage des p^rofondeurs ? qui connait l’astuce ici pour savoir parler ce langage en soi, de la profondeur des choses du monde ? qui est cette pezrsonne qui sait ? nous cherchons (on le voit) des personnes = des gens sur qui s’appuyer = des gens de bon aloi = des gens de bonne contenance = des gens savants = des gens de peu mzais savants. car, il est important ici de comprendre cette chose d’une connaissance lié à une vie de peu, temporo-spatiazle( localisée et
fixée dans un temps donné) pour comprendre un certain nombre de données liées aux savoirs les plus ancrés (reculés) et d’importance. Le llieu, le temps (kla date) ont leur importance, et plus encore les données liées à une personne de confiance en particulier. une personne qui sait sait beaucoup mais cache beaucoup. une personne qui sait peu sait peu mais montre beaucoup. toujours un même schéma de base retrouvé partout. Nous pensons que la vie en nous, en nous contenue, est logée en n ous dans un sein qui contient la mort = la bete , ou cette bete-mot dite «de la mort» ou comment ? la mort-bete ? «la mort-bete» en toutes lettres ? nous chercghons à deux = en nous (accolés serrés) des notions à explorer incidemment et si possible dans la justesse, à explorer de fond en combkle incidemment, à fouiller cvomme une poche, comme un sac, comme une outre.Je regarde en moi la chose lovée : s’agit-il d’un animal meurtri ? une bete des abris ? une bete des prairies de type aurochs ou bisons ou cheval ou boeuf ou antilope ?. s’agit-il d’une bete de rage, en soi, comme l’animal qui sera furieux de ne pouvoir sortir de nous à sa guise ? s’agit il d’une bete fauve ? un serpent ? le mot «serpent» ? un mot ? le MOt, le mot «mort» ? où est cette bete en soi ? où en soi est la bete cachée ? où est cachée en soi la bete ? quelle est elle ? qui le sait ? nous voulons essayer de comprendre pas à pas les données qui ici président à cette observation de base comme quoi, en nous, est ou serait contenue une bete de rage qui serait nommée. Et dès lors qu’elle serait
nommée elle ne pourrait plus sortir à sa guise comme autrefois il semblerait qu’elle pouvait. Nous sommes à réfléchir à cette chose , d’un mot, en nous (contenu dans notre sein = ancré) qui est
le mot ... de la rage à être. Ce mot quel est il ? that is the question. Nous nous diso,ns que ce mot est d’une importance capitale, un cap. Nous nous disons cette chose ici , comme quoi icelui (ce mot de vie) est d’une importance capitale = liée à un cap de vie en cours. Nous pensons que le mot, ou ce mot ennous présidant la chose de la vie à vivre, est un mot de rage (c’est entendu) mais aussi un mot d’importance vitale. Nous cherchons à comprendre ce mot (ce mot de la mort) et pour ce faire nous allons fissa pour ainsi dire nous jeter (allègre) dans la feria, dans pareille cavalcade endiablée, la feria, cette fete colorée, etc, qui nous absorbe ou nous absorbera icvi en son train. Nous devons prendre ici le taureau par les cornes et chercher mordicus les données de base présidant l’élaboration en soi d’un sein de contenance. Nouys avons cette chose à explorer ensemble finement (si possible finement) et à relater ici ou là pour la postérité?. la postérité ici est cette chose (aussi !) recherchée dans la mesure ou les écrits des faits peuveznt être consultés et peuvent dès lors faire accélerer les processus de prise en compte des connaissances. Les mots déposés sous forme d’offrande participent tous du présent de la vie à vivre noncxhalamment (= dans l’espace-temps) et ne sont pas à ignorer. Nouys devons sans faute poser nos choses = lkes poserr pour une opffrande à faire à une déité. Les mots sortant de notre bouche forment ensemble ce présent de vie donnée par la bande (animale) en nous, trépignant du sabot en n ous, renâclant en nous de toute sa haine contenue en nous. La mort loge en ous depuis longtemps (toujours ?) sous forme de mots accumulés en bouche. La mort est cette chose en nous contenue sous forme de mot, de mot de rage, de mot
d’apprêt, mot de rage sourd aux cris de vie de l’autre bete des embruns qui nbous appelle depuis loin ou sinon comment ? pas sourd ? comment est en nous cette bete contenue en nous ? comment est en nous la bete de la rage à être ? vive ? vivante ? morte ? parlée ? nous cherchons des vérités en permanence, nous sommes deux en nous à chercher en permanence des vérités qui puissent peser et nous apporter eau à notre mooulin intérieur. Nous voulons savoir des choses fortes, des choses de poids, des choses qui pèsent et ne soient pas des choses de peu en termes de vérité. Nous sommes des etres de peu car nous contenons, nous sommes etres de peu pour pouvoir contenir, nous nous faisons petit pour pouvoir absorber, receuillir, cerner en soi, concerner etc, des choses de grande importance. nous voulons comprenddre les données de based’une sorte en nous de bête de joie hurlant à tout va sa colère, son ire fauve ou folle, son trépas à venir, sa sortie de route, sa chute finale, sa mort. Nous voulons comprendre ces donnés qui toutes ont à voir avec une raison de base bousculée. Nous voulons comprendre cette chose d’une voix en nou qui dirait ce qui est en vérité et qui serait cette chose d’une sortye de parole ancré e,n nous dans les profondeurs de notre psyché. Le mal est contenu dans la psyché, accolé au verbe de poids. Le verbe de poids est le verbe lourd de foi. Il ‘s’agit ici d’un Verbe des prés, Verbe des prairies dite «fourragères». Herbe folle, de la mise en bière ailleurs. Nous pansons nos plaies ... en parlant, et la mort (en n ous : bete-mot) le sait, qui se rit de nous. Nous sommes deux en ous à comp^rendre cette chose en nous d’une bete de poids qui porte le nom de la rage à être, à être vivant / vivante de base. La mort trépifgne, renacle comme l’animùazl en nous qu’elle est . vie-morte enchevertreé . nous voulons aller dans la profondeur de la psyché de base = le langage. nous voulons creuser ensemble toutes ces données qui ont toutes à voir avec la mort telle que le mot de «mort» nous l’enseigne ou nous en parle = cette chose soi disant promise, promise à jamaios, cette éterb-nité or rien n’est moinbs
sûr ! La mort dit «l»’éternité» mais de quoi s’agit-il ? nous voulons comprendre ensemble ici cette chose d’une sorte de do,nnée de base, de donnée votive de base, cette chose ici d’une éternité promise dans la mort. car la mort est une chose et l’éternité en est une autre . notre but est de trouver des choses ... à l’intérieur d’une cavité, nous savons cette chose. nous cherchons ensemble (à deux) cette chose d’un savoir de base ,, à l’intérieur d’une cavité. Nous xherchons une chose de base comme une pensée à l’»intérieur d’une cavité comme la psyché. La psyché est une cavité, est un forage, est une outre, est un anttre = un sein = un sein des seins, et à l’intérieur de celui-ci il y a le mot qui trone, l’entité majeure, le jaguar, la bete, le bison, la bete fauve, l’éternelle bete vorace, la bete des prés ou bien des bois, la bete la plus dévorante, la bete la plus présdatrice si tant est. Nous pensons que cette chose d’’une betye, ici contenue (sein des seins) est importante à comprendre en mots. Les mots en n ous sont ancrés comme etres de rage venus ensemble coloniser les données de base psychiques. Nous devons essayer de comprendre ces données aumieux. les données du temps sont celles qui nous semblent les plus salutaires. notre but est de les accoler (de les rapprocher) à celles concernant l’espace. nous voulons savoir ce qui ici existe en nous en tant que raison , ancré par la bande , censée pouvoir nous donner nommément (?) un nombre conséquent d’informations majeures concernant la vie, la mort, les données rudes, la bete en soi ou la bete de joie des embruns. Nous vcoulons aller ainsi clopin clopant nottre petit bonhomme de chemin. Nous en avançons pas mal à force. Notre temps est un temps déroulé comme un devant de soi (p)ariéytal ) du temps des hommes et des femmes des cavernes. La chjose est entendue. Nous parlons ensemblke de cela
que nous comprenon,s le plus ensemble à savoir de cela qui nous regarde dans la profondeur de cette chose en nous appelée âme et qui est cette chose en nous ailleurs appelée sein ou antre ou outre de contenance. et quoi donc contient cette outre ou cet antre sinon le mot «mort» on l’a compris = intégré à notre gouverne de raison terresterre. Nouysvoulons comprendre cette chose d’une sorte de mot-bete en nous intégré par la bande (temporelle) langagière d’une vie octroyée, fissa, par qui de droit : déité des profondeurs ? cache-misère ? déité des amplitudes temporelles ? qui ? par qui la chose est elle co:mprise ? Nous soommes et je suis à chercher = je suis et nous sommes à nous pencher sur la question sempiternnellement dé»plié e ou déposée sur roche des temps. Nouys voulons aller en cette roche dure du temps ici à vivre ensemble, c’est à dire que nous sommes deux ensemble à vouloir comprendre cette chose d’une vol:onté commune à panser les plaies soit nos plaies de bouche et ce par la parole (ancrée) prononcée comme en continu et comme par défaut. Lemal est fait de longue date. en nous existe la bete des prés de sa rage à etre : c’est vu. en nous existe une bete-mot qui dit sa vérité de base rageuse liée aux choses de lma mort à l’oeuvre. Nous savons cette chose ici comme quoi la mort est la mort ... des chants de base en soi, musique de variété pour une entité à décvelopper (fissa) dans un chant quel qu’il soit pourvu qu’il soit, car ici on voit cette chose comme quoi la musique a partie liée avec la mort (mot-bete) à l’oeuvre.
La musique des profondeurs est une qui a , ici, partie finement liée à une chose dite «des profondeurs» quand bien même elle serait située, en vérité, en surface, comme une sorte de donnée de base déployée à même nos yeux ou à même notre ententendement sensible. Nous avons cettye chjose ici (musique variée ou pas, musiqaue lancinante ou pas) à comprendre = à prendre en soi, comme maintien en soi d’un savoir de base, ou comme en(souligné) maintien en soi d’un savoir ancré dans les profondeurs d’une bete en soi , sein des seins animaliers, cavalierrs de tenue franche, territoire de l’âme (peut-être ?) ou des données de base inspirées. Notre envie est grande de savoir ++. Notre envie est logée dans la vie d’un antre de donnéess vives. Nous parlons à deux ici de tout cela qui nous occupe et nous donne élan pour un savoir à compléter. nous voulons découvrir ensembvle des xdonnées brutes, des données qui soient fiables, sur lesquelles pouvoir s’appuyer sans mesure et que l’on puisse ensemble développer incidemment au cas par cas et aussi au hasard des rencontres, des moments, des situations rencontrées dans la vie, des occasions, etc. le but est de comprendre ensemble (souligner) cette chose d’une rage à être cet homme ou cette femme qui pourrait entendre le savoir profond d’une rage à être en vie cou^te que coûte. Nous ne cherchons pas à nous défiler de pareilles recherches à mener ici ensemble = de concert comme des musiciens de bande ou peutêtre de contrbande ou sinon de contrebande. ou sinon de rien : musicien ... de l’ame sans foi ? musicien ... privés de musique ? charlatan hospitzlier ? cueilleur-briseur de données . amputeur ? nous sommes deux qui ici nous accordons pour chercher ensemble la musique qui préside aux données du monde vivant. Quelle est elle ? qui veut comprendre ? qui veut dire cette chose d’une sorte de donnée
du monde rageur ? qui veut dire cette chose ici, d’une donnée riche, pl;eine, contenant mille et un savoirs de poids ? Je suis un homme de peu de chose en soi sinon la bande. mon nom est rien ou personne. je guette en moi l’animal ventru. Je sais qu’en moi réside une bête de rage , bête de rage ancrée qui sommeille à pei ne car elle parle sans discontinuer de sa voix de vie chevrotante lancinante. Il s’agit en moi d’une bpête de poids lourde de données de base. Je suis un homme fol
de vie vive à vivre fissa par icelle bande, langagière animazlière, ancrée dans un wsein qui est le sein des seinsq. revenez-y, dit on , et que fais-je d’autre ? je reviens de fait sempiternellement sur le métier et cherche ici la faille là l’anfractuosité qui fasse e,ntrée, porte ou passage de destinée. Je cherche à vif des données vives concernant la mort soit la mort en soi (on le croit) contenue par la bande. Il x’agit ici d’une sortye de rage à vouloir être (ensemble) logés comme deux qui se congratulent d’etre en vie soudés.Nous voulons ainsi agir pour ainsi en avancer sur le chemin tout escarpé des connaéissances primaires de la vie et de la mort ou sur pareils sujets concernant vie et mort accolés voire accouplées comme dans une tresse les fils de lin ou liane de vie déployée (à même la terre) sur sol de destinée rupestre, etc?. je suis homme -femme à égalité, partant l’animal. Je suis cet homme ici qui comprend de fait les choses rudes, les perçoit en flèche, fonce dans le tas d’une sorte de donnée géante fzaite ici de vivres, de denrées à en soi ingurgiter fissa en son antre de vie et de mort à être. Je fonce fissa. Je tape dans le tas. Je cherche ma misère en cette roche dure devant moi, à savoir ce temps pour ainsi dire déployé de base = temps de roche des tourments (divers) à être et autres vilénies coutumières. mon moi perd sa faconde au fur et à mesure, comme (en quelque sorte) ce bidon percé, outre qui se vide au fil du temps et du cheminement à deux sur un chemin de sable ou une terre des données de base rupestre. Je veux ainsi dire ici ceci comme quoi je suis ... cet homme des paroles ancrées de rage. Je suis homme en dires, homme du dire et homme du mal dire ici sa rage ancré et cependant je suis l’homme ici qui cherche vaillamment son être dépléacé, celui-là quil se doit (pour dire) de chercher fissa. Je veucx comprendre des données de base concernant de fait une vie à vivre par la bande, un moment de passage, cette chose d’une vie terrestre ou rupestre d’envergure toute menue, de court déploiement peut-être et cependant. Car, la vie en soi est une sorte d’entité votive ancré en chacun / chacune comme peut-être
un organe plein, un organe de chair vive, un morceau du corps.Je suis un homme des tribus dites «de l’ame perdue», ou alors celui-ci qui chante son envie de vie vive alloué à un être de destiné. Je chante à tue -tête le chant de la roche. je ne suis certe pas le cdernier à faire cette choe de chjanter, j’aime cette chose et je la fais, j’aime cette chose ici, ce chant mélodieux, ce cri de bête, cet impact, ce morceau de vie riche, cxe gras, ce vent, ce souffle, cette chzir vite débordée, cet élan en soi vers une sorte de contrée détachée de soi. mon coeur frappe à l’envi ce qu’il a à dire, il nettoie», pour ainsi dire ... quoi ? la place vide, ce chant à rechercher en soi comme peut-être une outre ailleurs, un antre de vie, une poche minérale, etc. je suis homme des paroles fortes, je creuse ici ma voie sur cette terre aux destinées avides de savoirs. je tombe ici ou là mais je me relève car ma volonté est de poursyuivre sur ma lancée une recherche de vie rude, comprise par x, déployée à façon et riche de données toutes consacrées, considérées. Je veux dire ici cette chose d’une sorte de tenue à même la base . Je suis cet homme qui, muni d’un drôle de bec de percée, va fissa à l’encontre d’une déité ici promise (la mort en c e chantier) pour la trouer comme une bulle. je veux faire ainsi cette chose. c’est ainsi ici que je cherche à faire cela , cette donc percée de bulle qui est bulle de la mort promise à toute vie humaine ou autre . la mort ne meurt pas dit-on mais qu’en savons-nous ? la mort est cette chose en n ous qui (dit-on) ne meurt pas mais cela est faux car je le vois, je vois cette chose parfaitement, comme quoi la mort n’est pas tout à fait la mort que l’on croit (= morte) mais la mort vivante ô combien, du fait de sa «promptitude» à être. je suis cette chose moi-même d’une sorte d’outre à contenance. Je contiens vie et mort en moi enchevetrées comme une tresse. Je comprends cela ici comme étant cette sorte, en moi, d’ADN de vie tressée, de vie-mort soudé dans un brin de vie vive (en soi) comme une fibre, fibre des apprêts de buve ou même celle)-ci appelée «donnant», ou bien ... «donna» ? Je cherche. Je suis déposé moi-même. je peuple . je cherche ici et là une raison qui dise (puisse dire) pour le coup la chose déplacée, la chose rude, le pouvoir central, la parole animalière donnée. Je cherche à comprendre cette chose en moi d’une sorte d’entité de foi en cette chjose d’une vie liée, de force (et rage), à la mort offerte par la bande.
je veux creuser ici une sorte de percée à même les choses du monde, ces choses rudes, rugueuses, dures pa rfois, dures comme roc, etc, qui sont ces données de base tterrestre : dureté d’une vie à vivre ici bas, quand la parole en soi cherche à comprendre cela, ce sens des choses compactes. Nous disons que nous cherchons à ensemble percer mille mystères, mille choses rudimentaires ou primzaires = premières = natives = physiques = naïves = vives comme la pluie. notre envie est de celles que l’on remarque, du fait sans doute de cette géné»rosité dans uune recherche à partager ou bien de cette sorte en soi de générosité à partagher les chgoses du monde ancré. Je fonce et file. HJE pousse et meuble. Je comble et perce. je trou la tenture, la fibre, le tissu des choses rageuses
par la bande active d’un semblant de pic vernaculaire,; à savoir ma voix (fluette) d’enfant, d'enfant de quelques ans, homme-femme-enfant rassemblés ici sous le (haut ?) patronage d’un saint ... animalier de préférence il semblerzait. je pousse devant, je secou, je file, je meuble, je cherche, j’affirme, je trouble, je concède, j’évolue, je sacre, je sens, je comprends, je guéris, je vais, je sable, je saigne, je pisse, je conduis, je mouche, je vibre, je tremble, je monte, je monte, je monte, je monte ici ou là à meme la paroi du monde. Ici ou là = sur le tas = dans la vie = sur la terre ferme = dans un sas. Car la vie est sas qui contient ;l’être. L’etre est ainsi ici être de contenance allouée à une gouverne, princière, coutumière des pensées
de rage, des pênsées tourneboulées comme icelles de la confrérie (ici). Je vois qu’ici les choses se rassemblent et forment ou font bloc. Les choses ici sont celles-ci que nous connaissons depuis (
toujours = depuis l’instant précis où nous sommes nées au monde par la bande (pour ainsi dire) d’une mère en couches. Nous sommes (en quelque sorte) nés ensemnble au monde, nés à une sorte de vie vive pour l’éternité du chant choral (parole parlée à même le sang, ou comment s’exprimer sur cette chose d’une voix ancrée dans un corps donné ?). nous voulons comprendre ce qui est ici d’une voix comme poussée à son eccxtrémité langagière-animalière de paroi. Npotre envie est ainsi formulée ici : en toutes lettres, noir sur blanc, fissa, tapé que tu tzaperas, à la cravache = mordicus. Nous avons cette envie en nous de cvomprendre ce qui donc préside aux différentes étapes d’une vie à vivre tout du long:= les âges, les moments faisant succession ... et ligne de voie pariétale comme autrefois des betes sur roche, chevaucx et autres , faisaient calavalcade sous l’oeil averti et vif d’un être desz cavernes, homme ou femme des temps antérieurs à notre vie de rage à nous, et cependant si proches de nous via la bande langagière-animalière qui nous constitue un temps (un temps seulement ? ). Nous devons pousser les dires loin. NBous avons à comprendre loin en soi (ou où ?) ces dires de vie-mort tout enl&acées, entrelacées, enchevetreés, etc, qui sont tresse de vie de rage folle on dirait, ou, sinon de rage, d’envie. L’envie de faire ainsi que des choses de pôids fussent dites ici. car telle est celle ci (envie) qui en nous fait rage, de donc dire dire dire à foison, ce qui est qui est, ces choses «vraies» de contrebande : à côté des données natives ces données de rage votives ou bien lkesquelles ? Car, nous devons comprendre (et donc fouiller) dans la profondeur d’une langue dès lors déroulé comme un cheminaement vocal à faire naitre = à déployer sur lande. Je suis homme ici d’un rapport bete /mort à devoir co:mprendre : quel est-il ? estil ce rapport qui compte pour de faux et fait ou ferait illusion comme mirage dans les sables, ou non : est ill vie de poids comme aurochs de roche ?
cherchons ! Nous cherchons. Nous devons chercher ensemble,
nbous donner la main et ne pas nous éloigner les uns et les unes des autres ou l’un ou l'une de l’autre si on est deux. Car, je suis cet homme
qui compreznd ici qu’une chose de poids est en train de naitre incidemment, cela me parait une évidence, et c’est pourquoi je fouille avec autant de passion ces choses rustiques pour ainsi dire(je suis de la campagne) qui me constituent et semblent présider. Je veux être cetteChose-Homme tombant le masque et révélant sa face animale (ici : un merdum «de sainteté» pour la bande, ou bien : un merdum de plus à déchiffrer pour qui souhaite s’y coller). Je veux ici (ici même, lien,, côté, roche, pli) comprendre ce qui est au fond concxernant la mort. Est elle mort-vie accouplées ? est elle cette vie-mort décuplée ? Je cherche. Je cherche avec avidité et voracité. Je suis l’animal en moi vorace et de combat. je ne m’en laisse pas conter et ... n’ai peur de rien en vérité. Je file fissa à la recherche des données de base concernant cela en soi qui est la bete-mot de base, mot de bete virale, ou comment ? mot de soi en cet antre des données de base ? kje cherche une vérité. Je suis qui va devant à la recherche d’un «xwemblant de vie vive » à prendre en compte (fissa) sans p;lus tarder, pour aller plus loin toujours sur le chemin (dessiné) des connaissances les plus ancrées, profondes, déployées en soi cvomme une bande, déplacées car autrefois ... elles n’étaeint pas, ou si, ? etc. Je cherche à aller loin en cette sorte de donnée qui pour moi est cette chose d’une sorte d’échancrure dans un sas de vie murale, de vie à l’étroiit entre des parois. Je suiis à la recherche
d’une vérité qui soit tangibkle et puiisse nous donner ici de quoi déplacer icelle Chose en soi, la placer ailleurs afin de mieux la visualiser (devcqant soi ?) et la comprendre = prendre poour ce qu’elle est : Bete ? bete primaire ? charge ? charge de poids ? montant ? montant i:llustre, ou quoi d’autre qui soit éclairant?Je cherche une chose de poids. Je cherche une chose rude, chose de poids et rude et dure et même rugueuse comme une peau de bete forte. Je cherche cette peau de bête en moi ! voilà ce qui est ! je cherche en moi cette peau de bête, où est elle ? où donc en moi est cette peau de bete de poiids qui me chevauche ou est-ce moi qui la chevauche ? qui chevauche qui ? je veux prendre ce qui est ici pour moi en termes de données et de fait les déposer sur un devant de moi hospitalier comme tapis rouge, voie d’abord veineux, parois d’homme ou femme des cavernes, socle ou cimaise, ou dans le corps de l’autre en sainteté. En ... odeur de sainteté ? peut être ! car l’oint initial permet bien des choses d’un ordre parfait qui est l’ordre parfait d’un adoubement séculier. je vois l’ointt de base couvrir les chairs molles d’un être de vie de rage ici, ici en cet anttre de vie = cette chose au monde = cette vie entre quatre murs, cette vie condamnée comme une maison ou comme une demeure ou comme une tombe, etc. Je suis celui-là qui cherche et qui chercheras demain encore et qui encore au loin cherchera et encore plus loin si tant est : jusqu’où ? Car la vie n’est pas sans fin dit-on ! Qui le dit ? qui dit cette anerie ? car la vie en soi n’a pas de fin quui n’a pas commencé en vérité ! car la vie est vie-mort enchevetreées et par conséquent ne peut finir car ne peut mourir (de fait) puisque ... contenant la mort en son wein. je suis cet homme d’une vibration continue qui comprend = prend les choses au passaghe et en fait son fil de soie ou de roche, fil à soi pour ainsi dire, fil-fibre de paroi, fil-fibre de bon aloi : aurochs ? je suis homme au fil de soie, je tra ce à main levée sur un ciel opaque des mots de rage.Je vais en ce ciel comme un volatrile , je m’élève, je me meux, je respire, je connais, je chante, je vire, je tombe = je tombe à pic, je tombe à pic = je m’enfuis, je suis ombre d’une ombre d’une ombre d’une ombre sur la prairie. volatile ? je vais loin au sein du sein des connaissances acquises car je suis dedans, je suis entré, j’ai traversé, je suis passé de l’autre côté et ici le dis par la bande, à coups de mots martelés, de points d’ancrage animaliers tambourinés, ertc. Je suis un qui file, deux qui vont, etc , car nous sommes deux qui filons notre pelote, nos fils de rage entrelacés comme les fils d’une pelote, comme fils de chanvre, comme fils de bure. nous tentons moultes expéreiences à même la terre agenouillés, nous cernons les choses qui nous font face en les dévisageant au mieux, en tentant de comprendre au mieux ce qui se trame ici e,n matière de don, de don allloué, de présent déposé, de temps déposé comme est le présent princier sur un tapis lui-même déposé à même le sol en guise de paix. Nous parlons une langue qyui est langue des anciens à soi c’esst une certitude. Les anciens parlaient langue de poids qui a changé au fil des temps, des années, mais pour autant elle reste ce que de tout temps elle a été à savoir cette chose en soi déposée comme un présent à accepter, à prendre pour soi de gré ou cde force (un présent ne se refuse pas) et à déployer par la bande?. Nous sommes pour le coup deux en nous (en chacun de nous) à vouloir comprendre les données profondes, à la lumière du présent ... déposeé sur roche. -le sauveur arrive ? attise ? admet ? quel est il ? le saut dans le temps est possible en soi par l’action conjuguée de la vie et de la mort entrelacées. La mort s’entrelace à la vie et les deux ensemble forment la Fibre, soit
ce Fil de soie qui file sa pelote dans le temps et nous traine ainsi, comme un fil de rage entraine dans sa tourmente et pousse à être. Je comprends cette chose là d’une voie d’abord de rage, chant d’azur dans un temps déployé de paroles saines (ou pas saines ?) qui en imposent et se posent là comme une misère. Je suis homme des entours brumeux, je marche sur mon propre chemin de vie, je vais à la rencontre des damnés, je vire et vais à la rencontre des passants / passantes d’une foi en l’homme / femme ou comment ? des passants / passantes de vie ? des passants / passantes qui vivent la vie dans le sang ? des passants / passantes de la foi ou comment dire cette chose d’une foi incluse (intégrée) en soicomme un sang royal coulant dans des veines royales, ducales, primaires, anciennes, etc. Je suis celui-là qui viens voir à comprendrec là
(parade)
les données les plus compactes à devoir déployer urgemment dans un temps ici donné qui est temps des données à prendre en compte (un calcul de tous les instants). mon nom s’inscrit comme par la bande = à part moi et n’a pas d’importance en soi. il s’agit x’un nom d’emprunt, car mon nom est un nom d’emprunt, il sera restitué un jour prochain, on sait cela. car cela que nous «rendons» à notre «mort» est cette chose du nom porté durant la vie sinon quoi d’autre ? le nom porté (comme un passé) est à restituer mais pas seulement : tout ! Une vie complète = coeur de vie compris. nous nous inquiétons de cette chose, nous voulonbs connaitre cette chose, nous voulons découvrir des choses, nous sommes plusieurs à vouloir découvrir des choses, nous sommes nombreux et nombreuses à vouloir découvrir des choses, nous sommes toute une chié à vouloir découvrir des choses c’est parfaiot. on se doit d’être plein. plus on est plus on sait. Plus on est plus on échange de données et plus on voit ce qui est qui au loin se fomente/ La vie est liée à la mort par le verbe. la mort existe en nous sous une forme animalière. la vérité est celle du seinb. le bonheur est cette chose d’un devant de soi ici présenté comme un dépot de soi rajouté. Je vois ce qui est sur ce devant et comprends le sens de cette chose qui est cette chjose (donc) d’un vouloir, d’une volonté ancrée, d’une volonté tenace. le coeur est le siège du sang des rois, reines, valets et aussi du Verbe. je suis connu pour cette
cette chose des parois du monde : incorporée (la chose) , prisonnier comme un bandit dit des quatre chemins qui va à vivre son (sa sorte de) emprisonnement sur terre et le (ou la) conçoit ainsi qu’il se doit de le faire. Je vais sur roche comme l’hiomme des cavernes tracer un nom qui est ce nom dont on m’a affublé lorsque je suis né. je suis né à une vie de rage terrestre et je porte un nom qui est effigie rupestre. Nom donné = nom «courant» comme un sanglier, un phacochère, une jument, une poule naine, un bison busqué. l’homme des parois est le père de la foi. L’ame des morts s’est envolé dans les limbes d’un ciel écartelé par du verbe. le sang en soi est la chose rudimentaire à devoir apprécier en tant que telle. la mort est une entité incorporé qu’on ne s’y méprenne , elle loge en notre sein comme l’organe de la foi à faire naittre. Je cherche à même le dxsqang, à même la peau, les viscères, le cervelet en moi des mots. Je cherche
les mots contenus dans ma chair fraiche de vivant vivant la parole des morts à même la roche du temps. mon vcoeur est cette offre, ce don, ce don apporté, ce présent de soi sur roche-plage-temps d’une vie alloué à une pzersonhne, un animal, une p;lante, et même un objet. le temps est ce don. ce don est une chose riche, vive. la vie en soi comporte les données de base présidant cette chose «autre» (dit-on) j’ai nommé la mort. que sait-on de ce qu’est la mort sinon pas grand-
chose. en moi la mort est contenue et renacle comme une b ete, que veut -elle ? la mort est ... une sorte de bete en moi .... contenu comme le verbe = indéboulonable ou sinon comment qu’on m’explique; Car, un e fois ancrés les mots ne bougent plus qui restyent tapis et parlent pour moi (à la vie à la mort !). Les mots en moi sont tapis comme la bete, comme bete fauve sur roche, au soleil, prete à vous sauter dessus cfomme fait tout félin qui sait la chose en lui d’un élan divin. Je cherche, je fonce, je vibre, je foule, je vaix,, je chjevauche ou pas, je divise, je jette, j’enrage, je connais, je creuse une voie d’abord pour une sorte de saillie.Je veuc connaitre la vérité toute la vérité et pour ce faire je décide ici et solennellement à quoi je vaios me consacrer à présent. mon coeur est coeur de bete. Mon sang est sang de bete. mon sang est du sang de bete vif, filant vbif en sa veine. le sang est porteur de la foi e
,n
l’être. il n’y a pas à chipoter, le sang ne chipote pas, qui file fissa sa pêlote dans (en) les veines et ce au train altier qui est le sien comme par magie, car , comment fait-il ? le sang est cette chjose ... en circulation et sans queue ni tête c’est frappant ! Le sang est une chose riche d’e denrées diverses, un liquide nourrissant. Le sang est cet onguent de vie pissant dans les veines son savoir (de base) à comprendre et à méditer. je suis monté et aussi je vois cette chose au loin qui semble nous appeler, et nous d’y aller fissa par la bande langagière d’un tracé de choix à même la terre. Je vois cette chose au loin, cette chose dite «sempiternelle», et me voilà qui cherche en moi des donné&es fiables sur lesquelles s’appuyer du coup sans tomber, sans chuter plus bas que terre si tant est, car, plus bas que terre : qu’est-ce ? qui sait cela ? qui le sait ? qui pour éclairer notre lanterne. nous voulons comprendre les données qui sont nôtres en cela qu’elles sont en ous logées, lovées comme des betes. ces données sont des présents en vrai déposés, sont des choses à manger, sont vibrantes de vie perlée ... parfois, et d’autres fois juste calcinées. l’homme ou la femme des parois conna iossait la Chose des temps déployé et se mettait à l’unisson du chant scandé, des badaboums
et autres coups sur peau de bete, sur
tzambour de roche, sur paroi forte. nous devons cerner pour ainsi dire les données rocheuses en cettye chose ici d’une sorte d’abri pour des compréhensions à faire ou acquerir ensemble par la bande langagière à dérouler fissa sur un devant de soi approprié. nous pensons que les données cde roche sont de celles qui (en vrai) nous regardent, qui nous tiennent à coeur, qui pour nous sont capitales et peuvent noius aider à nous guider sur ce chemin, un chemin situé qui (de fait) est ce chaemin d’une «vie xparticulière», celle de tout un chacun mais chacun la sienne. je regarde devant moi, je vois des choses déposées, ce sont des présents, ce sont des données de base, il s’agit de le comprendre. nous dsommes en vérité plusioeurs à devoir comprendre pareilles données et à devoir les soupeser enswemble afin de pour le coup les mieux juger et d’en tirer parti au mieux possible. Nous tenons à nos dsavoirs. Nous voulons les étoffer des mille données de la bande. Nous voulonbs creuser loin pareilles données et ne pas se perdre en route. Nous voulons cerner dans la profondeur de la psyché, du sein capital, les données les plus ancrées, les bases du soi , les parties charnues et autres composants d’un corps alloué à une vie terrestre. le mal contient le bien. la bete est l’ennemi du bien. Le chant est choral et vient de loin. le sang porte le chant. le sang est une donnée, est cette sorte de donnée à faire circuler de main en main ... par la bande langagière ici spécifiée. le temps est une donnée , le tempds est déploiement de vie-mort réunies et va de l’ avant à qui mieux mieux afin en quelque sorte de tromper son monde et de blouser l’ensermble des parties. les parties ici décrites concernent la vie de la vie et la mort de la mort, mais aussi la vie de la mort et la mort de la vie. je suis hommre rude , homme rugueux, homme vif (et dur cde ka feeuille) par la bande. Je connais et rapine. JHe cours et j’affirme comme il faut cette chose comme quoi le sang est à la base des données du monde, raison incluse. Le sa ng circule, le sang va ici et là;, méninges comprises. le sang est fractal, il est cvette chose en complète révolution permanente et aussi cela qui parle en notre sein comme étant cette «bete-mot de première» fi gurant la vie pour la mort. je suis dès lors le messager. Je dis ce qui est qui tombe sur le ta s. Je suis homme du parler de rage vif à même ce tas de petites
brisures, de petites choses toutes disposées à même
la roche. Tambourinons ! tambourinons ! tambourinons ! tazmbourinons ! tambourinons ! tambourinons ! tambourinons ! tambourinons ! tzambourinons ! tambourinons ! rtamboriunons ! tambourinons sabns discontin uer ! tambourinons notre joie à être des betes des prés ! tambourinons de plus belkle ! chevauchons la bête des prés ! allonbs de conserve dans lkes prés ! je suis la mort personnifié et aussswi la vie personnifiée car je suis l’entrelacs, l’entrelacs de la paroi de roche ! Je suis un homme entrelacé, homme)-femme des apprêtes, chanteur, chanteuse, coureur, coureuse, femme-enfant de roche, homme enfant de roche, mon sort est lié au temps déployé. Je suis Temps de roche incluse, temps et Temps. Je file vif fidssa par la bande oup ! je vais loin en la demeure car je creuse que tu creuseras mon dire de vie vital. Je suis celuici qui cherche à pour le coup creuser sa vooie de passdage sanguin, voie d’abord pour une vie d’(abord; Voie ou vie d’abord pour une vie ou voie d’abord . entrelacements, entrezlacs, aenchevetrements vie-voie et vie de la voie , etc, pour une main mise sur une gouverne = une tête = la mienne = dans le sas ... une sorte de donnée de base à bien considérer comme il se doit et à ne pas s'il-vous-plaît perdre de vue une seule seconde en vérité car, la
voix s»époumone, qui dit ce qu’elle a à dire et à ne jamais perdre . Je dis ce qui est qui tombe. Je vais en cette roche à la recherche des donnézs (de poids) qui comptent, qui sont fortes de sacvoirs anciens, grosses de ces diverses connaissances antédiluviennes qui nous intéressent au p;lus hzaut chef. Nous devons creuser une voie pour une traversée. pour cela, nbous sommes équipés d’un pic de pezrcée. Ce pic de percée a pour
nom «langage» car, en effet, tout langage est un pic de pêrcée. le langage en soi, permet une entrée(en force) dans la matière ... des choses du monde. Je vois ce quii est quii s’ajuste et j’en tiens co:mpte (j’en prends note). je vois ce qui se joue, je co:mprenbds ce qui se dit, je note ce squi advient, je m’élève ainsi et comprends ce qui est de cette élévation. je monte sur roche des Temps et cerne les données frontales. Le Temps est ainsi dép;oyé qy’il nous permet pour ainsi dire de creuser au loin et dxans les profondeurs des données de base premières, princières tout autant, et chapeautées (elles mêmes ) par d’autres données qui, du coup, en font ici des choses de poids, choses rudes ainsi consacrées. Je vois cette consécration comme une sorte de chapeau chinois, un toit, une toiture de données toutes surajoutées formant capsule, formant monture, bete complétées ainsi sacrées. Je suis du regard pareille monture. Je vais, je file sur roche, je colle, je vais auprès des parois pour m’y accoler et hj’essaie de comprendre ce qui est qui semble me regarder. Je suis cet homme des parois du monde, enfin à découvertt pour ainsi dire. Les données du monde sont (comme qui dirait) rassemblées sous chape ou chapeau de bure, il s’agit d’une tunique du labeur, un chandail fait de fibbre comme rapiécées, veston, chapeau de roche, ornement, pour un consacrement ou pour un sacrement etc à) même le Temps. viive pareille Chose sacrée deux fois ! vive cette cxhose d’une sorte de vie-mort adoubées. Vie mort adoubé au singulier = entité ; Vie-mort adoubées au pluriel = tresse de fibres nouées entre elles. Nous avons à choisir des choses à penser , ces choses nous adviennent toutes au fil de la roche, nous passons. nous devons comprendre ensemble ce qui est du monde adjacent à une vie terrezstre, et il y a passage. un passage existe qui bnous regarde. Un passage est une chose qui existe devant soi et qui nous regarde. nous devons comprendre ce pasxage à l’aune de la Destinée, soit de la notion de Destinée. Il s’agit d’un fil de soi, fil de rage, fil étiré comme un temps donné par mla bande (contrebande) , et ce fil est à considérer pour ce qu’il est = une chose rude, fine, forte, en co;ère pour ainsi dire, chose des temps, chose des tourments.
Nous avons cette cghose à devoir comprendre ici , cette chose est une chose des temps déployés sur une roche comme dans le temps, car le temps et la roche se confondent dans le Verbe ancré d’une bête en soi parlant (incidemment ?) la langue de base, la langue de la base dfe la vie à vivre. La langue de la base de la vie à vivre est déploiement = vive aile dure dans le sanG. Je veux comprendre dès lorsq. QSui avec moi veuxt dès lors aller à comprendre icelle aile ? est ce dans le vent ? dan,s le sang ? est ce la même chose présente ? vent est il égal à sang ? Je cherche en creusant la roche du temps accordé de fait à un dire mené. je trie les donnés. Je cherche à cerner les divers contours d’une bvérité allouée (peut-être) à une langue, à une langue en particulier qui serait celle que chacun ou chacune en soi connait ou connaitrait par lma bande, à savoir du fait d’un apprentisqage immersif comme mis par en soi une main qiui pose , main posée qui dépose en soi (au fond de soi) pareille donnée d’une langue élaborée. Je cherche à comprendre des données de rage qui sezrzaient de fait celles-ci qui diraient ce qui est de ce qsui se trame. Je vais et viens en roche ainsi cherchant. Les données szont à) co:mprtendre dans le sang.Le sang est une chose rude. la mùort est collée au sang. le ciel est prégnant. je vois icelle roche devant moi, qui semble me faire des signes et m’appeler incidemmentt, et moi de courir (fissqa) vers elle car elle m’attire fort, elle me fait du charme , elle me charme, elle me jette un charme, elle m’attire à elle comme jamais?; j(‘essaie de me porter ainsi (rapidement) jusqu’à elle . J’essaie de co:mprndre ce qui est en elle qui setrame (roche) et wse doit de m’éclairer. Je suis prêt pour une découverte. je suis fin prêt et me propose (à pareille roche) pour ce faire (découvrir) et aussi pour entrer afin de pouvoir dire et graver à l’envi le résutlat ou le butin de mes recherches. mon temps est temps donné déposé. Le temps est un temps de rage. montemps est celui là même que je vois se déployer dans le langage =
le temps de la foi = le temps de lma paroi.
Je suis ici cet homme qui file fissa à travers la lande )à la poursuite d’une déité toute nacré e sans savoir à ce jour ce qu’il en est en vrai de pareille déité. Je file à tout va à travers les champs, à travers les forêts, à travers les déserts, à travers les prés, à travers les sous-bois, à travers les prairies et les champs de blés. Je cours comme un dératé, je cours à vive allure, je m’avance nonchalmamennnt sur des sentiers, sur des chemins tracés par des pas, par divers passages d’animaux ou d’hommes et femmes. Je m’avance à pas co:mptés en allant fissa. je ne traine pas. je ne veux pas être considéré co:mme (disons) le trainard de la bande, comme le tire au flanc. Je veux êtyre bien considéré. je veux que mon nom résonne bien et présente bien et soit bien vu de tout le monde. je suis un être qui avance ici de son pas vif et ne traine pas, je file mon train tout comme une bête lancée et folle. Je veux être vu ainsi et pas autrement. Mon nom est à prendre en compte. Mon nom est à prendre pour ce qu’il est , c’est à dire pour un nom de bête, à la fois nom-bête( = bete mot) et nom de bete, à savoir : le nom d’une bête. je porte (c’est sûr et je le sais depuis longtemps) le nom d’une bête. je sais cette chose.Cette chose , que je porte un nom de bête, je la sais depuis mlongtemps. je sais cette chose depuis très longtemps. je sais cette chose depûis la niiut des temps.
comme quoi mon nom est un nom de bête. mon nom de famille ? non ! mon nom en vrai, le nom que je pôrte en moi, le nom qui circule en moi, le nom qui en moi circule dans mon sang. Le nom que je porte en moi est différent de mon nom de famille. Il s’agit d’un autre nom. jhe ne porte pas le même nom que mon nom de famille?.. Je porte un autre nom que mùon nom de famille. Je suis doté d’un auttre nom que c elui que vous pouvez connaitre à travers eh bien mon nom de famille. mon nom est très différent. Il s’agit d’un nom (un mot) qui est en moi logé, c’est à dire lové, lové comme un serpent, il s’agit d’un nom très différent de mon nom de famille ou de mon prénom. Mon nom est mlogé lové dans mon wsein/ il est cachécomme le loup dans la foret. Mon nom n’est pas mon nom de famille. mon vrai nom est caché en moi : où ça ? dans mon sein! Mon nom est dans mon sein. mon nom est contenu. mon nom est contenu dans un sein qui est mon sein. mon nom est toujours et à jamaios contenu dans mon sein. le sein est l’endroit parfait de contenance. Le sein est lié à la mort par le temps, et mon nom est aucentre, au coeur du coeur, est enfoui
au coeur du coeur du verbe contenu ici, dans ce sein du sein. Le coeur eswt dans le sein. le sein est du verbe. le verbe est la voix. La voix est cette chose en moi qui parle (pour de vrai) continument ... avec ma voix. Ma voix parle pour la voix . ma voix parle au nom de la voix/ . Mon nom est le nom de la voix en moi. Mon nom est ce nom de la voix en moi à quoi lma voix donne voix. Ma voix donne voix . mon nom est caché dans la voixw que ma voix rellaie. Mon nom est un nom de rage, pris dans les tourments, menacé, mis à mal. je suis un ^$etre qui contient en lui une voix de rage, vociférante, qui hurle à
tout crin et à tout va, qui bne cesse de hurler sa haine = la vie , en notre organisme. Cette voix est en soi une voix perlée. Je porte en vrai le nom de cette voix. cette voix est en moi voix de l'éternité ancrée, qui est l’éternité du langage. seul lui ne meurt pas qui nous traverse comme une sorte de donnée filante dans un ciel nacré. La voix en moi n’est pas la voix que j’entends de moi. mon nom n’est pas le nom de moi que je connais, car il est celui qsui m’a été donné soit transmis. le nom que je porte est une sorte de donnée de base à bien considérer. le nom que hje porte en moi (dans le sang en moi circulant) est le nom d’une rage à être. il vitupère, il est mot d’insulte, il est mot grossierr, il est le mal incar né. mon nom est le mal incarné, il circule dans mes veines et fait continument son train de vie pour ainsi dire révolutionnaire. Je suis l’etre ainsi au nom perlé. je porte (qui sait ?) perle en moi qui suis cet être au sang de rage. Je comprends des choses et d’autres non. je cherche grave à m’y retrouver parmi toutes ces betees qui, autour de moi, m’accompagnent en paroi de roche. le temps est meuble. la douleur centrale, en cette vie de rudoiements. je cherche
crument le nom qui m’incombve: quel est il ? je veux savoir ! je veux qu’on dise ce qsui est
de ce qui est ! je veux savoir long ! je veux savoir large ! je veux que tout cela qui est autour de moi (et qui me regarde) dise enfin le nom quel il est ! quel il est ce nom que je porte ! quoi est il ! que est ce nom ! quoi est ! quoi est il ! quoi il ! ce nom qui est en moi cette Chose qui est, et qui me constitue de base comme une donnée : quoi est ça ? quoi c’est ? quoi est ? quoi est ce nom ? ce nom est-il ... »non» ?
11/2/2022
La pierre d’offrande, devant soi, est véhicule de données diverses : on va voir lesquelles. Il s’agit en vérité d’une pierre d’apport et aussi d’une pierre de support. Nous posons (déposons) nos choses diverses (on va voir lesquelles) sur elle et, ce faisant, nous posons ou déposons un peu de nous, soit ... un peu de cela que nous sommes en nous. nous avons pour nous , à travers elle, un lieu particulier, délimité (on va voir comment) pour du dépôt de soi, pour (soi) déposer de son être, pour dépot de soi en tant qu(‘être, nous verrons en quoi.
Je regarde la pierre d’offrande et je sais que celle-ci , à son tours
, me regarde. Qui est elle et que veut-elle ou que nous veut-elle ? voilà aussi une chose ici (déjà) qui reste à comprendre et à explorer. La «pierre d’offrande» est devant soi cette chose comme appartenant au Temps qui se déplie au fur et à mesure de notre avancvée dans une vie de bure comme est celle -ci que nous avons à vivre ensemble au sein d’une communauté. Nous sommes ensemble, à avoir à vivre une vie dite «de bure» et cette vie estcelle ci, qu’en partie ( = le temps, le temps brûlé) nous déposons sur pareille pierre devant soi. Une pierre est une table en quelque sorte./ Elle a donc un pied comme toute table. Il s’agit de voir ici cette table comme une sorte de réceptacle et aussi comme un «véhicule de l’âme». il s’agit pour nous ici de comprendre cette chose à voir, d’une sorte de pierre (taillée) pour un transport et ce transport concerne cela-même que nous déposons au fil du temps, à savoir le temps (déjà consumé) de sa propre vie à soi, chacun et chacune la sienne.
Et c’est ainsi que ... pareille pierre absout, prend, concède, cherche en vous, etc, à même sa matière froide ... ou chaude si à tout hasard la voilà réchauffée par nos petits soins. Car nous sommes ensemble qui brûlons sur pierre (pour ainsi dire) nos passés de Temps, de Temps impartis sur pierre d’offrande, à la une et à la deux, au fil des avancées de nottre vie. Nous avons cette chose à faire ensemble et cette chose ici est une chose rude, dure à développer, pas évidente, et cependant ... qui reste à faire (incessamment) à nos yeux. Nous devons comprendre les donnéez les plus natives des chose du monde. Nous avons à comprendre ensemble un certain nombre de choses natives et, parmi elles, ces données concernant telle ou telle pierre d’offrande, de recueil, et de support. Nous cherchons dès lors dans un Soi, qyui est comme surdéposé sur pareille pierre, et c’eest ainsi que nous nous arrivons à faire naitre ou mettre à jour des choses diverses contenues en nous, que nous sortons de nous illico presto et déposons sur pierre du devant. cette pierre du devant est la pierre du levant. Nous la regardons devant nous régner et troner. il s’agit ici d’une pierre déposé sur sol, à même la terre battue, sur sol de terre dure, contenante. Nous avons cette chose à comprendre (ensemble) d’une sorte de soubassement à du passé mort , calciné, brûlé, passé à déposer comme s’il s’agissait en vrai de vraie vie de soi, cardiaquement, physiquement, concrètement avérée o
r bien sûr que non. Le passé n’est pas la vie vive. Le passé est de la vie morte en vérité. Nous essayons dès lors de comprendre ce passé. nous voulons essayer de comprendre ensemble ce passé ce qu’il est et, de ce passé, ce qu’il en ressort en termes d’offrande à poser (déposer) sur table ou pierre de table. Le passé que nous avons vécu (encore tout dernièrement) est du passé à présent brûlé, il a subi la chose. Le passé de temps passé, ce passé mort, cette chose appelée passé qyui est du temps mort, du temps de derrière = de derrière soi, tout ce temps est cela même (sous quelle forme ? on va le voir) que nous sommes , e,n tant que vivants, à devoir (?) déposer sur pierre. Ou à avoir à déposer sur pierre. Nous sommes des êtres vivants parlants , qui avons cette chose à faire d’un dépot de choses passées, de choses mortes, mortes mais on le voit qui ressemblent fortement à de la vie en vrai, soit sortant du coeur, ou élaborée par un coeur en vrai. Nous abvons ce passé en nous (mais où ? voilà la question !) et ce passé en nous doit être exploré d’une manière telle que nous serions ou serons en mesure de le déposer un jour comme un paquet, comme une outre, comme une bête sur une pierre. Cette chose est à hautement considérer. La pierre d’offrande reçoit, et recevant elle absout. Il peut s’agir d’un paquet de linge, d’une outre gonflée, d’une chrême ou auttre huile ou graisse, d’une bete sanguinolente. tout cela a fort à voir avec nottre passé et c’est cela que nous vou;lons comprendre ensemble, c’est une évidence. Comment ? en étant vivant, on va le voir. Nous avons à une chose ici dire à vif, cette chose est chose qui a une importance considérable au sein de notre débat et c’est la rzaison pour laquelle nous nous asseyons et nous notons toutes ce s choses, cvoncernant la vie de la vie, la vie de la mort, la mort de la mort, la mort de la vie, etc. La mort de la mort a son importance. La vie de la vie a son importance. La vie de la mort a son importance, et donc la mort de la vie aussi qui est ce quatrième (dès lors) volet abattu, abattu contre un mur ... qui est le mur d’un savoir profond,, qui est ce mur des dires profonds, des vérités hautes et autres données de base. La mort de la mort est d’une importance capitale, sur cette quyestion d’une offrande, et nous allons ici essayer d’y comprendre au mieux, de comprendre au plus juste ce qu’il en est et de quoi nous parlons, quand nous parlons d’un passé brûlé, d’une offrande de soi vif, déposée, etc. La chose ici est celle-ci : comme quoi le passé, le nôtre, est une Chose. Déjà cela. Cette Chose est une chose vive, de par son aspect (c’est une certitude) mais non pas vivante, et voilà cela qui est ou cela qui reste à explorer pour nous. Voilà pour nous cela ici qui reste à explorer et à mieux cerner ensemble. Le passé n’est pas du vivant, le passé est chose morte mais qui loge en soi comme une bête en soiqui, trépignant et renâclant,;, «demande» (via les mots, c’est à dire l’udsage des mots) à sortir. Comprenez à filer. Car la bête est morte en soi ou comment ? car cette bête qui est contenue en chacun et chacune de nous est une bête qu’il est important pour nous de considérer à sa juste mesure, car elle renâcle , elle trépigne fortemebnt, elle veuut de l’air frais, elle veut sortir de nous fissa, etc, autrement dit «elle veut voir du pays». Or, voilà la chose : la bete en nous est vie vive, vie vive du vivant, et sorti de nous (on va voir comment) elle n’est plus vie vive mais vie morte (oh encore chaude de sa vie passée , passée soul;igné) mais enfin voilà : elle ne vit plus de la même manière (manière , souligné aussi). Comprenons : la bete est morte qui sort. Comprenons bien cette chose d’une bête morte à la sortie de notre bouche à verbe. La bete se voit déposée (du Verbe) sur la pierre , elle est posée par nos propres soins d’êtres en vie, d’êtres déambulant dans une vie vive. ou déambulant avec en soi une vie encore brûlante, flamme vive, car la flamme est vive jusqu’à notre mort. nous devons comprendre, ensemble, des choses rudes. Nous devons ensemble comprendre des choses rudes. Nous devons ensemble comprendre un grand nombre de choses rudes et ces choses rudes sont à déposer sur pierre aux offrandes, et autres tables construites, élaborées à cet effet. La pierre est un devant de soi monacal ... et / ou pariétal. Il s’agit d’une zone de (franc) dépôt de soi, où aller à déposer un certaoins nombres de choses de notre vivant . C’est à dire : du temps de notre vivant, mais pas seuleme,nt.
du temps de notre vivant, on le voit, mais aussi de notre propre vivant à nous,;, déposer de nous, depuis nous, à partir de nous, etc, ces choses qui sont contenues en nous, ou qui étaient contenues en nous. Nous devons comprendre cette chose ici, d’un dépot continu de soi sur pierre d’offrande . Nous offrons de nous un passé passé. Le passé passé est cette chose que nous sommes ensemble à devoir, si l’on peut dire, déposer sur table. La table d’offrande est un objet de confection dure, avec piétement changeant selon les lieux , les époques, les lmatériaux, les techniques etc. La table aux offrandes est une table qui contient, en même temps qu’elle soupèse c’est à dire en même
temps qu’elle jauge et juge, qu’elle mesure et accrédite ou pas. une table ou pierre aux offrandes eswt cette table devant soi qui s’offre à nous en tant qu’ouverture-échancrure de bon aloi. nous déposons cela que nous avons à déposer, et déposant nous comprenons qu’il s’agit d’u ne chose de poids en la matière = du passé. Le passé est ce qui en nous a surnagé un temps, s’effiloche tout du long, fait mine, passe pour, fait la roue et contient la mort (un temps qui est le Temps) à bonne distance de nous. Nous devons ensemble comprendre une chose, cette chose est chose rude, il s’agit de choses liées à la mort d’une chose liée (de fait) à cette mort dont nous parlons. La mort est une chose rude, la mort est une chose brute, la mort est une chose à déplorer. Et comment agir afin de la contourner ? Comment agir afin de trouver à bien la contourner ensemble ? la question est méritoire et appelle un certains nombres sinon de réponses factuelles et crues, du moins d’éclaircissements concentrés et concertés. Notre envie ici d’éclaircir domine et doit êttre reconnue pour ce qu’elle est, à savoir une volonté grandissante au fil du temps, soit la volonté des Volontés. Nous devons co:mprendre ensemble des données (de base) importantes ici, pour une réflexion à mener de front sur ces questions de vie et de mort, et notamment de vie vive et de mort assoupie. Nous comprenons que le passé , ici déposé sur table aux offrandes, a un poids certain ... mais fait il le poids ? that is the question. Le passé fait il le poids devant la mort ? le passé passé fait il son peztit effet ? peut-êtyre que oui en vérité , peutêtre ! mais peut-être pas ! car le passé est calciné, il s’agit de bois brûlé, de bâton de bois brûlé, il s’agit de ce peu qui est brûlé qui vient de soi-même, soit des profondeurs de sa vie. Car, la profondeur est, ici, dans le passé. La profondeur n’est pas en soi comme un clignement de paupière ou l’’ouverture d’un sphincxter. La vie est cette chose ici contenant du soi dans le temps. La chose à comprendre est ici logée. le passé est cela même que nous déposons, au cours de nos vies, sur table d’offrandres, pour rester en vie bel et bien. la mort absorbe le passé. Le passé est absorbé au fur et à mesure par la mlort. Le passé de soi se l;oge direct dans la mort des temps
. le Temps est l’absorbeur des choses de soi passées, qui sont dès lors comme déposées au fur et à mesure sur telle ou telle pierre ou table aux offrandes. Car, ce que nous donnons de nous porte un nom. Ce nom est un nom donné. Ce nom est le nom dionné par la bande temporelle, à quelque chose qui vivait en nous, avant, soit avant déposition sur table aux offrandesq. nous devons comprendre cette chose d’une sorte de donnée brutale et brute d’une foi en nouys déposée comme un présent de temps = le présent des temps. Ce présent meurt à foison ou comment exprimer cette chose d’un temps qui (ici sur table) brûle sa pépite (sa palpitation ?).? Comment donc déployer sur table cette chose d’un passé de soi ... vif , mais en vrai mort et devenu la mort pour la mort ? nous avons une chose à comprendre ici ! concentrons nos énergies. Nous devons ici comprendre et creuser. Nous devons comprendre ici et creuser, dans les profondeurs du Temps, cette chose d’un passé de soi
déposé sur roche = sur table = à p;lat = sur p;lan dur = sur la terre dite terre-mère. nous devons co:mprendre ici ensemble cette chose pour le coup si grave, ou si prégnante, ou si importante, etc, d’une vol:onté, en nous (cette foi dont on parlait), qui cherche en continu à de fait alimenter la flamme devant nous d’une bête à brûler, d’un mot à vite déposer vif, d’un langage des parois (voir l’art des paroi) etc. Nous avons à comprendre ensemble cette chose d’une sorte de langage «fol» de la roche du temps. La roche du temps est ce bloc-temps qui nous constitue, en tant qu’être vivant sur terre, debout, parlant, donnant de ses mains victuailles et autress p^résents devant soi = dans le temps vécu de son monde et de sa vie d’homme ou de femmes des prés. Nous devons aller dans la profonduer peut être oui de la psyché mais en vérité bien au delà = dansd le temps de soi déployé. Cette chose est à comprendre ici comme une chose considéralble ou considérablerment importante à devoir cerner cde concertt (§l’usage du monde devenant l’usage de kla parole) et ce faisant, comprenant, nous trouvons la cklé. Nous devons comprtendre loin ces choses de choix. Nous devons ensemble loin comprendre en vrai, ces choses d’une foi en soi qui est celle là concernant le Temps, soit le Temps existant comme une sorte d'entité ou de déité centrale et permanente ; nous croyons en bveaucoup de choses permanemment et c’est ainsi que nous restons en vie et ne mourons pas : parce que nous croyons, parce que nous portons en nous des choses rudes, choses rudes et choses
rugueuses , que nous déposons sur
pierre, devant soi. Nous sommes des êtres «fous» ou «fols» , qui posons. Notre raison suit ici sa pente qui est pente contenue. La raison est une gouttière, et pareille gouttière nous permet de conserver pour nous (dans la vie) un xemblant de joie avérée. La peine s’uni à la vie pour nous troubler mais le passé fait feu de tous bois. Nous essayons ainsi ensemble de comprendre et de situer pareille pierre ou pareille table, devant soi, dans le temps. on dit cette chose, comme quoi kla table est mise, la table est dressée. nous voulons déposer sur elle ensemble tout notre barda comprenant des choses de poids. Cette chose ici est une chose qui porte un nom, cette chose ici est chose qui porte un nom en particulier, et ce nom est nom de base, nom donné par la bande, fort de café ou non, nom de rage ou pas, alcool ou non-alcool, etc, il s’agit tout de même d’un nom à bien considérer
comme étant celui là qui (ici ?) va l’emporter dans une sorte de combat avec le temps. La chose est à considérer longuement et à ne pas lâcher tro tot ou de sitot, question comprenance, comprenure, préhension primaire. Nous devons creuser kle temps dans kle temps d’un déroulé formel. notre devoir, vivant, ou étant vivant, est de creuser le Temps à vivre ... dans un déroulé formel, de type linéarité concentrique, tracé de vie, tracé vif d’un dire de choix (ou de pôids) etc. «Je pense donc je suis « est une gageure on le sait. le Temps est le Temps d’un déoploiement sur place. je regarde devant moi et mon regard seposesur la table, car, la table est devant soi l’espace-temps d’une vie imparti.Il s’agit ici de «piger» pareille donnée à même la pierre rude. La pierre est une encklave, un sas de vie à vivre (rudesse) et s’ouvre ... pour nous contenir. nous sommes pris et prises dans la matière toute charnelle (pierreuse tout aussi bien) du TEmps. nous sommes pris et prises ensemble (à tous et toutes et nous tenant
la main) dsans cette matière d’un Temps
déployé sur table. Nous sommes pris et prises soit prisonniers prisonnières de la matière. La matière est sans borne : à toi à moi, qyui nous re-garde, depuis l’intérieur d’elle-même, et nous absorbe. Je suis cette main qui pose. Je suis cette main qui absout. je regarde devant moi et que vois je, que vois je devant moi qui brame ? la bpête de joie (= la Bête) qui brame que tu brameras sur pierre d’offrande = pierr de taille = pierre aux dons divers de choses mortes ou mourantes comme le passé. Car, xde nous meurt en conti nu des choses de choix et de poids et de joie et de foi. Il s’agit ici de voir au mieux ce qui est en pareille bête ... qui swemble nous xsauver un temps d’un trépas brutal et surtout non-salutaire. nOus déposons pareille bête, nous posons pareille bête, nous posons le sang de la bête en déposant la bête, nous sommes attentifs et attentives. Nouys ne voulons pas g^cher le temps d’une vie à vivre tout du long. Notre vie à vivre tout du long est une vie vive, de rage et de tourments divers à devoir encaisser, ici ou là, et d’une manière ou d’une auttre, tous et toutes autant que nous sommes. La vie en soi ne sort pas de soi. Le passé tient au temps par la matière. Il ya ce lien entre d'un côté le temps présent des
tourments et autres peines de toute sorte, et de l'autre cette chose en dur de la matière corporelle (charnelle) de tout du tout de terre-mère. le lien (terre-temps) est à entrevoir par le verbe, en tant qu’il serait à la base de la mort rageuse, soit de son étant de vie à vivre à nos côtés et vioolemment. La mort cherche faille en nous, ouverture au cadratin, ouverture mineure du iota, chose de la brèche, petite entrée de vie à voir venir, etc. Nous voulons aller ensemble à tous et toutes (l’humanité) dans la roche dure de la xchose, ici temporelle, sous nos yeux. nous sommes qui voulons comprendre un Tout, en ses parties fines. notre but est clair, il est stipulé, il porte un nom, il est mourant mais il tient le coup (le choc) et ne s’en laisse pas conter outre mesure. Choc des parois les unes contre les autres ou sinon de quel choc s’agit-il ? Nous devons creuser la question du temps de la roche (terre-mère) et ce faisant comprendre les données de base. le temps est attenant à la matière. Le temps est une donnée fixe quoique fluide. la mort est prise entre deux feux et se laisse envahir par les données, verbales, de base : voir ici l’aurochs (ou le bouquetin) dessiné par l’homme ou par la femme des cavernes. je suis aussi un homme des cavernes , qui, bon an mal an, y va de son petit schéma venu de derrière, de son mot de rage tout autant. je suis l’homme qui, un temps, brûle sa cha ndelle et tente une approche sensée des choses du monde. Vais-)je mieux comprendre avec des mots de bêtes , avec ces mots-bêtes de parade ? y a )-til une façon plus fine qu’une autre pour comprendre les données du monde ? vais je trouver ? vais je comprendre ? vais je pouvoir arriver à comprendre et à trouver ? vais je pouvoir associer mon nom aux noms de ceuux-là ou de celles-là qui ont eux ou elles compris des choses et sont dès lors du bon côté, ou plutôt ... aux noms de ceux-là ou de celles-là qui sont passées fissa (ou pas) de l’auttre côté, du côté de ceux et de celles qui «comprennent», car y a til une chose («en soi» ?) à comprendre ici ? nous voulons passer du co^té de la compréhension des choses, de l’intelligence de vue, de la clarté sur ombre, etc. nous voulons cerner le bien (le bien dire ici, correspondant à du dire de choix) pour nous loger (enfin) du bon côté du monde soit ici même, du côté de ceux et de celles qui comptent aux yeux de certains / certaines autres qui eux et elles savent déceler en x ou en y la flamme de la foi en l’ombre. je vois cette chose ici, je vois ce Temps pour ainsi dire «lié par la patte» à la matière ici des choses jonchant terre-mère et de terre-mère elle-même. La table aux offrandes est ce devant (permanent) dee soi dans le monde, il s’agit du pl;ancher des vaches. j’essaie de comprendre x et y données terrestres ici et pour ce faire je tente une sorte d’abordage, 1, da ns la matière des choses du monde (ce foyer de base), 2 , dans le Verbe dit «déployé» qui est le Verbe de la foi «intinsèque» (en la vie et en la mort on l’a compris). je veux cerner loin les données humaines du temps. Voilà donc (en résumé ?) ce que nous faisons «en vivant» ou «en étant vivant» sur la terre : nous so:mme, nous sommes qui déposons. Nous sommes des hommes et des femmes qui ensemble déposons des choses sur le sol de terre-mère = des cendres = du passé = des choses swemblant la vraie vie dans sa flamme vive mais rien du tout ! il s’agit de soi mort = le passé de soi, il s’agit d’un soi passé qui est ce soi , de fait, déployé dans le temps ... attaché à la matière = une sorte de boue (boue de soi) permanente : calculs, boue, matièrerupestre, onguent, chreme christique, chrème de vie, christianité. Nous devons nous rapprocher de la matière de la foi. Nous devons nous isoler en cette matière (d’une foi dans la matière) et comprendre kles données de base humaines, données douces ou dures, qui sont celles qui, en vrai, nbous représentent à tout moment et nous maintiennent, en tant qu’homme ou femme debout, dép;loyé dans le temps ... et marchant sur roche (sol) à m^$eme le temps. nous sommes devant une roche. cette roche est la matière même (en dur) du Temps. Ce temps est une filature. nous devons comprendre cette filature à la lumière de telle ou telle autre recherche à mener de concert dans kle temps : oeuvre de chair, oeuvre de Verbe, oeuvre (dure ou douce) de charité, oeuvre de parade. nous sommes à devoir comprendre ... et que faire d’auttre dès lors que cette chose ? Nous sommes ensemblke, nous cherchons les données de base, nous cherchons à comprendre des données de base royales, nous voulons cerner les données de base ensemble au mieux et voir devant nous les offrandes et autres présents dans leur finesse la plus grande, etc. nous voulons comprendre les données des
chosesq = ces offrandes déposées qui semblen,t devoir toutes nous en apprendre, et nous donner foi en quelque chose en nous qui pour le coup ressortirait ici d’un domaine en particulier ... comme celui -là , qui régit aux lois de la foi dans le Verbe, dans les mots sortant de bouche ou mots-bêtes de la Vérité chapeautant le monde. nous voulons comprendre un ensemble de données de base. ces données concernent une table. La table est le monde tel qu’il nous apparait «de conserve» ou «de concert».
Nous devons cerner à vif le monde. Nous devons le monde le cerner en ces retrancjhements langagiers de base. Voyons de quoi ici le monde langagier est il constitué ? Qui nous donne le droit ici de parler une langue ... déposée en nous comme une offrande, ou le présent du Temps global : qui est là pour cette chose ? nous devons comprendre un bon nombre de données , de base rupestre (on le voit), et poser-déposer sur roche nos bêtes de poids liées à un passé de soi qui est passé vif. le passé de soi est lié à la matière (charnelle) des choses du monde. il s’agit d’une chair de roche. La paroi du monde est le monde dans son intégralité. Le Verbe est une accoutumance de façade, un don de s rois de la bande, une sorte d’accomplissemennt du soi etc, à même la matière du temps. La beauté est une chose dure comme la pierre, car ici la pierre est logée dans le temps d’une fiction rocambolesque. Je cherche à m’immiscer dans une sorte de savoir des temps à même la matière me constituant. La matière ici est une chose rude, et dure à la fois, etc. nous donnons de nous un passé vif mais non vivant. le passé vif porte un auttre nom = :mémoire. nous sommes qui devons comprendre ce passé de nous enfin libéré par un don de soi en nature (on verra lequel) et ce passé est passé de soi maintenu, passé maintenu d’un soi glissant dans le temps de sa dispparition (en propre) matérielle, lieu de la mémoire et des restes attribués. nous voulons comprtendre ce passé lieu de mémoire, nous voulons le déposer sur roche (= terre-mère) et du coup se sauver par la même et par la ban,de pour ainsi dire.
Nous devons comprendre cette chose d’une sorte de dépot de choix = de roi = de foi = de poids sur pareille terre de son etre à vi
vre ici. Nous devons comprendre ici cette chose, d’une sorte d’«être de choix», à poser sur roche (table) dans le temps. car, le temps est d’une importance capitale sur la questionb. l’etre est né du temps tout entier déployé parla bande (langagière) des tourments à vivre = pla intes, pleurs, cris, etc. cces mots (mots de bêtes) sont ici à poser (déposer) fissa sur pareiille terre des pârois, des zones alentour, des sortes de niches (ou enclaves) de vies terrestres. notre vie à nous = une vie de rage langagière. Pourquoi ? parce que voilà : nous sommes des êztres de voix, de paroles proférées, de Verbe déposé, de cris de rage animaliers à même la terre. Qui nous croit ? nous allons ensemble à déposer sur table nos tourments divers, nos vivres et nos victuailles langagières et liées au temps par la matière, d’où le choix du roi, la belle princesse des temps impartyis, le valet cavalier, le cavalier valet de la roche, etc. je regarde devant moi la roche du temps et tente une pezrcée dans un langage déployé à même le temps. la chose ici est celle-ci qui reste à cerner, comme quoi la mort est mourante. kla mort peut mourir. la mort est chose qui peut être atteinte et touchée. comment ? par ... le verbe déployé à même le temps. Nous devons comprendre ici,
les données rudimentaires, les données riches, les données de bnase. Nous devons cerner ensemble ici, le plus possible de données de baxse concernant la vie, ici sur roche à dépenser, à brûler, à calcciner, à ca rboniser, à pisser de rage. nous devons comprendre ensemble des données de base rudes, rudes et rugueuses, et kles regarder comme des termes (termes de choix) pouvant ouvrir des portes ou bien les «portes de la connaissance» des choses du monde. Nous sommes postés sur un devant qui en vrai est ce devant d’un verbe alloué à une vie riche. le temps dépensé est du temps déplo yé ... comme un linge , comme un linge ou linceul sur un corps allongé et nu , à même la terre, linceul ou drap blanc -sur un corps v erbal prioritaire. je cherche devant moi où se trouve ou trouverait la clé des entrées rupestres : où est-elle ? que devient-elle ? QSu’est-elle en termes de vérité ? Je cherche ici cette chose d’une foi dans l’homme- ou femme-trépas. qu’est-il ? qsuel est son nom véridique et reconnu ? Nous avons devant nous cette chose, d’une table posée ou aménagée ici, devant soi, posée devant soi aménagée afin de pouvoir de fait recevoir des vivres = vies de pacotille, vies fausses
, faux-semblants de vie rageuse ou rien du tout rageuese, etc. Nous voulons comptrendre les données rageuses et les cerner au mieux, comprendre ce à quoi elles se rapportent, ce à quoi elles sont kliées en vrai. Une table est devant nous qui absorbe, prend pour elle, etc, les données de base langagière sortant de nous.
Les mots sortent (de nous) par la bande. Les mots sont chance et cghute, sont onguents de type christique, déployé, placé, glissé, etc, sur outre de parade, sur paroi, sur face de peine et tourments, sur visage de saintezté. Je regarde devant moi cette plzace à être, qu’est-elle ? Les mots viennent qui s’agglutinnent et x’amoncellent et chargent que tu chargcheras le char de ta rage à dire l’être. je veux comprendre au mieux les données royzales du temps à cerner ou à devoir cerner kles choses du monde. un mot est du Verbe et l’animal contenu en soi. L’animal contenu en soi est du mot-bete-de-rage une fois déplacé et sorti de nous (trou-bouche) par la bande. cette bete est le pzassé carbonisé, encore tout chaud de sa vive et haute combustion en nous.la bete en nous est Verbe dehors?. nous devons cerner la cghose et nous laisser porter (griser) par la bande animalière des tourments et autres mmé&faits rterrestres. je vgois la roche, je vois devant moi la roche. je suis l’homme des pârois de choix, des dures données brutes de la matière. La matière en soi est du tourment car elle est meurtrière : la matière est meurtrière, et comment ! or, la matière est liée (par la bande langagière) au temps ... d’une vie à vivre. la vie est cette chose d’un temps imparti lié à la mort par la bande (langagière) des tourments liés à la matière. Vie et mort d’un côté, temps et matière
de l’autre, pour une chevauchée menée de concert, sur roche, à même la bande treaçante du temps.. le temps se dépl;oie devant soi (nous) qui suis ou sommes, etres(s) qui est (ou sont) homme(s) et femme(s) de la rage. homme-femme s’entend. De la rage à être sur terre l’etre de lma voix qui parle (haut) son tourment de bure, de façade, de présence en des lieux charnels distincts. je chevauche les temps de parade. je chevauche au fil des ans les temps divers d’une vie à vivre en matièrre. Je veux être homme de la bande à ... celui-là, ou à celle-là qui nous donne une sorte de poids à être. La déesse des embruns. nous voulons cerner ensemble les données rudimentaires et puissantes de la foi à être. Nous devons comprendre ces données à l’aune d’une tourmente )à même la matière. Nous devons comprendre un dieu de vie et d’eau à même la matière environnante. nous avons à comprendre cette chose , cette chose d’une tourmente, à même la matière animalière en nous. cvar, nous sommes envahi de vies (diverses) de bêtes en nous, qui renâclent et qui trépignent, à tout va, en v eux tu en voilà, de leur rage (voilà) à être (ici-bas),. voici la bête-présent à présent déposé sur pierre : elle saigne tout du long, c’est à dire tout du long son nom (à proononcer incidemment et dans le temps). la Bête est bête-mot de rage à ^-etre soi, ici bas, comme un ou une qui se doit d’aller devant et de l’avant permannement dans le sang d’une vie à être. Les données sont simples, les données sont déployées, les données sont déplissés. il est bon de comprendre ces données à la lumière pour le coup du jour des reines et rois, dames et princes, etc, d’un royaume
aux données de base. je lm’avance près de la roche ou pierre aux offrandes et, les bras chargés, j’implore le Temps brûlé, de bien vouloir m’aiderr à cdéposer (en du temps ou dans du temps ou dans le temps ou dans le Temps majuscule) les données qui sont les miennes. je regarde cette chose d’une
table recouverte de denrées soit de données soit de dons divers liés aux victuailles, aux betes de chgoix, aux fruits défendus, aux mots de la tribu. mon nom est accroché , à pareille sorte de mets mélangés pour la bonne cause, celle qui nous vcoit chercher à s’échapper ou nous échapper des griffes de la moert à l’ euvre. le temps se déploie depuis la naissance. un homme ou une femme nzait, qui va de l’avant à l’intérieur du sas. je vois cet homme ou cette femme se lover (ou loger) dans un temps pierral de table aux offrandes salutaires un temps. la roche du temps comprend la parade. les mots de bouche sont... des animaux de rage lié au passé calciné, carbonisé,, carbo. Je suis homme-carbo de base, calciné par la bande, déplacé sur roche (donc d(ici à là) et je cherche à ici comprendreces données qui sont dons de soi par la bande = mots de la tribu évoquant la biche, la biche ou le chevreuil, le cerf ou le méga-cerf, etc. je vois roche-pierre aux offrandes saintes (sanctifiées) et je m’avance ainsi vers pareille fête, vers pareil fracas de bruits divers, onguents sur roche meuble, huiles saintes sur paroi, graisse d’animal sur roche. Je veux être homme squi saurait des choses, et femme qui saurait des choses, et betes qui saurait des choswes, et aussi l’enfant de l’homme et de la femme et de la Bête
qui sauraient des choses. je suis homme des vivres et vi-ctuailles toutes déposées sur tabkle d’offrande. La terre entière est table d’offrande et se plie ou plie sous les données. nous avons à comprtendre choses et autres à la lumière des données de cchoix déposées de fait sur pierre d’apparat. les données sont dons (dons de verbe) riches, pleins, assurés sur leurs trépieds ou autre piétements central
de maintenance , de maintien de pose. nous cernons les choses dépposées comme étant de cellkes qui (donc) nous (main)tiennent à la vie et repoussent vla mort. la mort est une cghose rude en cela qu’elle frappe sans compter. elle n’a pas pour elle de voix langagière et pourtant si : à travers la bête en nous. nous sommes deux qui cherchons à découvrir des choses ici et là à même la plaine. chosesconcernant la Chose. Nous pistons les bêtes de poids à même la plaine et courrons comme des affa més sur pareille roche, roche de terre (terre aux vérités de la roche dure des appuis). Nous voulons en savoir long et cherchons (vif) les données à déceler sur roche, soit : dans un champ de rage ou sur paroi ou même dans un trou terrestre et autres anfractuosités. j’(entre dans la matière du temps = la chair , d’un Verbe souverain pissant sa verve, son verbe dru comme vache qui pisse sur pré ... et donc herbe sacrée. je veux cezrner, et roche dure et roche meuble des temps impartis. Je veux cerner kles choses du temps et ces choses les poser szur table et kles offrir à qui de droit. Le temps est cette enclave d’une vie à vivree matérielle. Les mots sont des animaux. Le temps aussi est animal et aussi cette enclave à vivre une vie matériellement klangagière, car, les mots ne nous quittent plus, les mots chargent (aurochs, bisons) en, continu l$e temps de ta rage à être. Les mots sont des appuis (étais, pilotis) qui nous portent en vie jusque dans la mort qui n’est pas de ce monde. Car, en v»érité, la mort meurt en vie ou dans lka vie, mais au fond ne meurt pas, c’est à dire dans la mort ne meurt pas
mais au contraire est bel et bien en vie, qui ne nous lachhe pas d’une semelle, semelle guerrière.
la mort meurt dans la vie (la vie la nôtre) mais la mo rt ne meurt pas dans la mort. La mort est en vie dans la mort et guette. La mort est cette chose d’une sorte en soi de roche. La mort est chose de roche rude. KLa mort se voit comme touchée par la bande langagière temporelle. La mort de la mort (et non la mort de la vie) se voit comme « touchée («la toucher la toucher») par en nous (vie) ;la langue vive d’une bande en soi de rage. La
mort (celle de la mort) se voit par nous touchée par en nous un passage de langue vive. Par en nou!s la bête-mot de la rage à être, ici et maintenant, des êtres en vie et non en mort. nous posons des mots sur un devant de soi vivant, nous posons des mots de rage sur la pierrre, nous posons des mots sur un devant de soi vivant, pariétal, organique = matériel, et ce faisant que faisons nous ? nous touchons la mort dans sqon être ! La mort est devant bnous qyui guette notre advenue ... de déposition. elle n’e’st jamais loin qui nous espionhe presque, nous rel;uque incidemment et cherche (du regard) la chute. Car, elle voit. elle est l’oeil qui voit beaucoup et loin de nous et en bnous et cezla par la bande, par (ici) cette sorte en nous de bande de joie qui nous incite à davantage de prudence, car en nous la voix est bestiale et hors de nous le monde est danger, est mort à venir, incluse, insérée, entrainée. je vois le monde comme monde des dangers de mort, dangers permanents , planétaires, insidieux, cachés. le monde est pierre de taille et pierre d’offrande. Vivants et vivantes (vivant) nous offrons nos temps dits «de bienvenu» en pareiille roche des temps déployés. nous voulons comprendre des données mais la fluidité des avancées, des pezrforations, des glissements langagiers nous oblige à devoir composer. Nous ne sommes pas encore tout à fait sorties d’affaire, nous devons comprtendre ensemble des données de charge lourde, qui sont :
dons de vie, dons de soi, dons de vie brûlée en vérité, charges langagières d’apparat (de parade) afin de faire accroire au dieu de la mort, de la mort de la mort (et non au dieu ... de la mort de la vie) que notre etre est là toutentier qui brûle de hjoie, alors que non ! notre être est en nous contenu comme bete de chance à l’abri d’x tourments liés à la matière. la matière est faux derche , merde ! on sait ! on voit la matière troubler le v ivant ... de sa race grise, saleté qui nous peine, nous trompe, nous induit en erreur, nous blouse, etc. La matière (auussi bien ... le sexe ? aussi bien l’auttre en matière) etc, soit le monde des entours à soi, des cercles de vie (prés carrés divins) qui nous prennent (partout) à partie et nous entrainent vite fait bien fait dans des méandres et autres replis dangeereux ou potentiellement dangereux. Car l’Auttre (quel qu’il soi) est (potentiellement) un danger de choix. Il contient en lui ce qu’il ne connait pas qui peut être nocif ou néfaste, et «moi itou» contiens en moi ce que j’ignore et qui peut attenter (sans gêne ?) à mes «jours de vie sur terre». Cela est une certitude (ici et là), on le voit. je tombe à lma renverse incidemment et cependant je vois la chose ici, comme quoi «la matière de la vie» contient partout, en elle, le germe (les) de la mort en brancjhe, etc. La ma tière est cghose riche de mésaventures, méfaits et autres médits. je croise les doigts que pareillle cghose de la moort à l’oeuvre ne pas (de sitôt) s’en vienne que tu viendras à
me faire chuter ici de tout mon long (long nominal) dans un temps brûlé (sorte de temps brûlé) sans perspezctive, c’est à dire sans possible ou possibilité de salut, sans possible échappatoire oou autre possibilité de typpe «salut terrestre». je vois devant moi ces choses de rage, temporelles à la diable , une chose une autre, une chose un e autre, une chose un e autre, une chose une autre, comblement, briquettes, une chose une autre et pas tout (le tout) à la fois, d’où notre misè!re, et d’où cette notion d’offrande soit de parties fines pour un tout de rage. Nous voulons ainsi cette chose ici, cette chose d’une offrande particulière ayant valeur de «tout divin» par la bande . Pourquoi ? parce que le t emps est un écoulement, éboulis de roche. Le temps ne permùet pas un don global. LMe temps ne permet pas un ébou;lis total, une chute raide du tout par la bande en son foyer central mais seulement des bouts, un bout puis un bout puis un bout puis un bout etc, litanie qui ne peut en aucun cas «figurer» le Tout de la Chose. La musique implique. le temps érode. Le temps mesure les cadxences,
cerne que tu cerneras les effets de chance. La musique est partie liée. la chance est la chute dans un temps béni qui comprend peut-être les choses du monde afin de les sauver ... à jamais. le temps est musique du temps. Je vais vers kla pierre et dépose mon Verbe (crue) des parties fines et de la rage à être de concert. Je suis cet homme des parades (langagières) déployées, des parazdes de temps, des données de poids divers, etc, qui, ici, porte en luuiui la bhonne parole du tourment de l’^utre . je suis homme qui va dans le sas du monde, il est dans le sas, il rega rde danns le sas, il veut comprendre. je regarde dans kle sas du monde les données (rugueuses) des temps. Je regarde ici et là et comprend, ces choses du temps,
comme ici celles-là qui restent à cerner ... par la bande langagière animalière déposée. je veux être ici celui-là et celle^-là : ce»lui là qui pénètre les données et celle là qui les reçoit de grâce. je tombe comme à la renverse dans le temps, voilà cette chose à noter et à retenir. les betes en moi me poussent à dire x et x et x et x et x choses de poids (meute, troupe, troupeau) et ces choses une fois dites vont à se loger dans ce Temps de la terre dure (matérielle = pouvant, à tout moment, provoquer le pire) et, se logeant, trouvent habitat (zone de repli) et pour le coup lieu pour une réflexcion à pouvoir mener ... dans un certain cal:me plutôt propîce aux découvertes et autres trouvailles «qui puissent le faierre» à nos yeux de betes et autres vivants et vivantes sur terre. Je suis cet hyomme-femme aux données induites (en soi = là) et qui cherchent partout l’entrée : ou se trouve t-elle ?
Je veux être ici rage et serviteur / serviteuse. rage à vivre et serviteur / serviteuse de céans (bouquetin ? chevreuille ?) servant la roche. je suis cet homme-femme des parois meubles, incorporant. incorporant quoi incorporant son verbe. Son verbe «assidu» et acidulé . son verbe assidu adulé ? ou seulement acidulé ? Je tombe à la renverse dans le temps du v erbe, et ce faisant cherche à comprendre les données du monde : vie -mort de pacotille (douloureusement matérielles) quand la vie ailleurs (par le VErbe) et la mort ailleurs (par le sang) peubbvent ensemble être entraperçu par le dire fol de la rage à être, nous, vivant et vivante sur terre, ghravissant, escaladant les mots, se servant d’un pic de traverseée la roche, etc. nous pleurons et nous nous montrons sous un jour peu ragoutant voire peu attractif voire maladroitement dépl;oyé. Nous ne savons pas parler le lan,gage déplissé à bon escient,. notre verbe fait chou blanc. Notre Verbe eswt pleutre, piètre, pisseux, paradant sans verve, etc, et ne mérite pas que nul ou nulle ne s’y atta rde ou attardât plus longtemps que ça. Les choses ici sont dites. Le malheur est induit dans la matière. La matière est intrinséquement dangereuse. Les mots paradent qsui disent en vrai du mzal du temps et da,ns le temps. Les mots sont méchants, hurlent avec les loups. Les mots sont betes et méchants qui hurlent avec les loups. Les mots hurlent avec les loups qui sont betes et méchants avec les loups tout autant. Je veux é»chapper = m’échapper = sortir = cxhanger = aller = etre. Nous disons que nous devons sortir du sas du monde tel qu’il nous apparait ou apparaitrait. Nous disons que nous devons sortir du monde rude (rugueux, nerfveux) et changer de monture, hop ailleurs ! charger mulet, innocemment, ... dans le verbe ! Il s’agit pour soi d’aller vers du Verbe cendré, prise d’un dire, etc, et de crever l’abcès monacal-pariéytal du temps passé sur terre-mère. NJOus devons charger la Chose ... à même le Temps. nous devons cerner les donnéez (rageuses) du temps afin de mieux les intégrer à notre propre entendement pour ainsi dire d’homme matériel, souffrant les dangers divcers et variés de la matière, l’autre inclus en elle, etc. Nous devons toucher la table via le temps (déroulé) d’une élocution pariétale = en transe ... ou quelque chose d’approchant. Nous devons (ensemble ici) toucher à cette table d’une roche de la CVhose. Nouys avons table ... devant soi = la matière des parois du monde, du monde adjacent, qui estce monde de la voie et de la mort cerclées. Nous avons à entrer ensemble, via la matière temporelle, dans un sas de destinée autre, sas des sas du temps de terre-mère et de ses tourments nombreux et variés. Notre but est donné de rage, car il est prégnant, il s’impose à nous comme un nom est imposé à la naissance d’un ou d'une individu/. Nous sommes tous et toutes êtres qui allons et avons à ) déposer nos mots de bêtes et autrees mots-bêtes sur table des temps alloués à une (sorte de) vie matétérielle. nos mots sont déposés à même la matière dure d’une vie des temps. Notre mMot de grâce est vif mais fuyant car «il tombe en arrière», il chute dans le temps de son élocution sommaire. Les mots (déposés) sont... onguent ? graisse de bête ? huile essentielle ? gras de porc ou de truie saignées à blanc ? Que sont les mots de la tribu champêtre ? que sont donc les mots d’une rage à ... être vivant / vivante coûte quec coûte ? que sont donc ces mots d’une rage à être nues, pris et prise dans une sorte de nasse verbale, consignées comme en résidence, dépourvue en soi, en vrai, d’attraits dignes de ce nom, charmeurs / charmeuses sans charme, plaideurs et plaideuses, calfeutrées comme en quarante : qui suis-je ? quyi je suiis qui vais vers la roche (ou pierre des embruns) pour y déposer (il semblerait) mon verbe de bure (oh si mal fagotté je le jure ! oui ! ainsi est!) et qui tremble à l’idée de se voir «touché» par dame ou sieur «de la mort des Graves», «de la Mort sur Esp;lanade» ou autre «Mort des temps» affrontée. Qui je suis que je ne suis pas. qui je suis que je ne sais pas. qui je suis que je contiens en moi. qui je suis qui contient en soi le mal permanent, le mal «de la rage d’être» ou « ... à être ». Car, le moi (le je : l’être) est menaçant. le je (le moi : l’être) est comme contenant le mal xde rage à être le méchant ... des temps alloués. Enn soi (= matière) est le mal c’est une évidence. Nous sommes le mal (matériel) incarné de base : tous et toutes. Mal d’une rage en n ous matérielle ... pris dans la matière = pris
dans cette sorte de matière du monde adjacent. Nous solmmes êtres qui en nous contenons le mal que nous faisons de fait (et même au mieux par devers nous si tant est) en étant vivant et vivante sur terre-mère. Nous pissons nos larmes. Nous sommes défaits. nous faisons main basse en permanencve sur un temps (alloué divin) qu’il nous incombe de» «mener» comme une danse dans un sas de roche aurignacien. Le mal est inclus. Le mal est inclus dans la matière. la matière est la roche des temps. Le temps est le présent à déposer de soi (don surnuméraire) sur paroi ou table ou pierre d’offrande ... pour ne pas mourir de préférence. et deès lors faire accroire : que, 1, mon nom est mon nom, 2, que la vie est odfferte dans pareil paquet (paquet décoré), 3, que la vie sur terre n’est pas l’opposé dee la mort en tant que couperet, 4 , que je suis du monde des songes animaliers et autres fables des temps passés. Je veux (= je voudrais) servir (pour ainsi dire) le monde divin , en faisant offrande de mon nom donné comme par la bande. Le nom déposé est le nom d’une rage .... à advenir coûte que coûte. Nous avons pour nous de quoi pour le coup allonger nos phrases sur paroi des temps. les phrases sont phrases des temps. Nous voulons ensemble touchezr une roche dure, qui serait une roche donnant accès (privilégié) à une sorte d’entité rocheuse devant soi, accès à notre vie vive, à notre oplus de vie vive contenue en nous, pour permettre à celui-ci, à cet être des parois, de mieux nous connaitre et de ce fait de mieux pouvoir juger notre Soi en propre = notree être vrai, si tant est. Nous voulons comprendre et toucher. Nous voulons comprendre et toucher la mort. nous voulons comprendre et toucher cette Chose dite «de la mort des étants de base». Nous sommes ensemble dans un pli de roche. Nous voulons comprendre loin, profond, les données rugueuses, les dons à pourvoir, les offres diversesq, les dons du ciel, les prises, les ajouts, les colères divines, les prises = les données des temps impartis. Nous voulons co:mprendre ce qui est ici qui nous voit aller (sur roche) dans le temps. qui je suis que je ne suis pas. Qui je suis que je ne suis pas. qui je suis qui en moi contiens une cha rge . Qui suis je au fond de moi en tant que tel ? le mort à venir ? la (belle) morte aux allures divines racées ? qui je suis qui tremble ? qui ne suis je pas qui tremble tout autant ? qui suis je dans un déroulé de temps alourdi d’un verbe prégnant ? qui je suis «qui casque» ? qui e^tre ? qui voir ? qui comprendre ? qui deviner et quoi déposer ? Je pose sur table (des devants à soi) la Chose ... des roches endiablées (mesure pour mesure) et m’en retournne = reviens, vers... moi qui reste là = en vie, dans un monde ouvert et fermé : ouvert aux aguets et fermé aux apprêts. Je veux être l’être .... des temps dépl;acés depuis un intérieur(?),
intérieur à soi comme ici déployé (p âr la bande) vers la roche meuble d’une pierre où pouvoir deposer choses et autres en guise de présents au monde. Je cherche issue sur table d’offrande, calfe»utré on le sait, caché dans ma cabane aux charges. Je veux dépôser sur table icelle temporalité qui donnerait crédit à) pareille cxharge, en moi (en soi), contenue. La charge est de celles ... que l’on voit courir dans les prés. les prés sont les prés des temps i:mpa rtis. Il s’agit dx’un pré de chargements animaliers, de courses endiablées parmis les herbes hautes autres et autres arbustes dessinés, etc. Nous voulons toucher la mort à travers la roche langagière des apprets. Que faire pour ce faire abrupt ? comment déloger la roche ? comment déplacer la Chose des temps matériels ? que dire ici pour un faire vif ? comment dire ici ce faire adjacent ? nous vouylons creuser loin en pareille entité verbale qui nous vient nonchalamment comme une épave (?) en bvouche (ouverte ou fermée) = en nous comme condamnés, et voilà ce qui eswt : nous tombons à la re nverse dans le temps = en parlant (en disant) nous tombons à la renverse. dire = tomber. dire = tomber. dire =
tomber dans le temps d’un tracé de rage. Dire = toucher. dire = toucher
. Dire = toucher à la roche dure des temps alloués à une vie humaine. dire = donner sur pierre : offrandes diverzwes, vivres déployés commme un dire long. Je vais voir ce qui est . Je dis que je me vauttre. jE regarde les données brusques. Je veux être l’ombre des données de base, et de rage ; la douceur incarnée dans le sang donné du verbe dépoosé sur pierre d’offrande. je szuis je l’homme-femme enfant animal d’une rage à être envahi par la bande (langagière) d’une vraie vérité native. Je compose avec l'ensemble des données natives-hâtives naïves. Je veux (en vrai) déplacer les donné»ées rudes, vers du doux peut-être bancal mais soyeux et comme énoncé pour du dire ou un dire vif amoureux. Je veux toucher la mort de près = la comprendre sans l’éprouver, mais comment cela ? comment puis-je faire de la sorte : et toucher et ne pas y toucher ? il s’agit d’une gageure (on l’a vu plus haut) et cette gageure nécessite un exeamen approfondi de ses parties, afin de bien la comprendre et en cerner précisément les tenants et autres
aboutissants <wqui font d’elle une donnée de base, donnée avérée, donnée sur laquelle pouvoir s’appuyer pour mieux l’aappréhender . Il s’agit pour nous d’avoir à toucher icelle gageure dans un sens particulier qui fera d’elle, à nos yeux, une sorte de donnée de base pour l’éternité
des temps i
:mpartis à des vies d’hommes et de femmes et de betes particuliers et particulieres. JNotre but est de trouver ici à co:mprendre loin pareille gageure : comment faire pour toucher et ne pas
toucher?. Comment s’y prendre pour toucher la mort de face et ne pas toucher la mort de face. QZuestion épineuse s’il en est, et qui nous occupe +++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++/+/++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ depuis lo ngtmps. Et la réponse est : en dichotomisant, e,nn séparant, en coupant, en sectionnant icelle mort en deux : un jeu d’enfant ?
4/2/2022
Le vrai nom de la mort . le vrainom de la mort.
quel est le «vrai» nom de la mort. Quel est-il ? De quoi s’agit-il ? de quoi il s’agit ? Il semblerait que le «vrai» nom d’icelle soit un nom «connu» = répertorié. il semblerait que le «vrai « nom d’icelle soit le nom répertorié dans des annales spécifiquement créées à cet effet. Il semblerait en effet que le nom «propre» de la mort soit un nom connu, affiché parfois, reconnu, nommé dans des instances appropriées qui sont instances de conservation. LE «vrai» nom de la mort est un nom qui existe ici et là en tant que nom gravé, gravé à même la pierre : aurochs ? Aurochs de céans ? Bleu de Prusse ? aménite ? nous ne sommes pâs seuls et seules à chercher icelui ici et là . nous sommes nombreux et nombreuses , et notre recherche de noms ou du nom est recherche tenue dans les temps, est recherche largement développée, menée aussi bien tambour battant une vie durant = la vie. Car (on le voit, on le sait) la vie = recherche du nom. Ou plutot : la vie dans le temps est recherche du Nom. Nous diso,ns la Vie car la vie est une gageure, est ce développpement pariétal de l’homme et de la femme des cavernes : Aurochs ? peu^etre bien que oui. Il se pourrait bien que ce fût ainsi que cela est : rien n’est sîur mais enfin la chose est possibl, ç a se peut ou se pourrait. nous cherchons à plusieurs (quelques uns et quelques unes = peutêtre quelques millions) des choses ici ou là eb-n rapport avec un nom propre à trouver. Ce nom est porté de l’i,nntérieur par soi, comme une bete-mot qui en impose «grave» de par soi. JE vois la chose qui se dessine sur la paroi et je comprends les ramifications internes liant la chose à l’être, ici l’Aurochs, à cette vie de soi qui va battante et frappe que tu frapperas au son des pipeaux. je crois comprendre, du moins je suis (je vais) sur cette pente. Qui est qui en cette zone des abris ? qui me parle ? un animal de race/rage, qui veut savoir «pour moi» ? qui cgherche à sortir sa tête de moi, qui cherche à dire qui il est en fait de bête, quel est le nom qu’il porte, etc. Il est animzl de rage et il est animal de race, et à ce titre , à ce double titre, il mérite tout le respect dû à pareilles créatures saturnales. Je vois que des choses doucement (oh doucement !) se mettent en place incidemment et c’est parfait, c’est une bonne chose. Nous devons panser les plaies et aussi nous devons penser à notre bonne étoile qui veille sur nous, qui nous accompagne, y penser comme à une amie très chère, à l’amie qu’il nous fallait pour vivre en confiance, à cette amie qui nous insuffle le souffle divin, cette voix d’or, ce chant d’azur, et aussi en nous un peu de cette chose d’une rebéllion, d’une insurrection, d’un refus d’en découdre incidemment au premier tournant. Nous sommes êtres qui pleurons de compassion. Nous sommes êtres qui chantons et ^pleurons de compassion de temps à autres et sommes ainsi touchés par en soi (en nous) une flèche qui nous transperce et nous met à mal et cela est. Nous sommes êtres qui sommes par moments (toujours ?) touchés patr une flèche. NOus sommes tous et toutes touchées par une flèche, nous sommes tous et toutes tout le temps touchés par une flèche
. Nous sommes en continu (vivant) touché par une flèche, nous sommes touchés. Npous sommes meurtris, nous sommes touchées. Notre coeur est touché et transpercé par une flèche et cette flèche est flèche ... d’un dieu de la rage et de la race des (qui savent) qui touchent. JE vois la flèche, je vois cette flèche transperçant mon coeur, je vois cette flèche me faisant saigner. Je suis un homme qui est touché par une flèche qui le fait saigner. Je suis cet homme touché par devers lui pzar une flèche (incidemment) qui le fait saigner «grave» c’est un fait. Et d’^où vient cette flèche ? qui pour l’avoir tirée ? qui est à l’origine ? quelle est l’origine ? est-elle animalière ? est-elle animale ? d’où vient-elle ? d’où vient cette flèche de vie en nous, de type ... cardiaque ! c’est dit ; d’où ?EH bien on dira... de par là-bas, plus loin, bout de phrase (vérité) et ce là-bas, en question (ce bout de phrase) , est une somme. NOus pensons ensemble. Nous sommes toute une tribu. Nous avons une pensée commune, nous sommes clanés. Nous avons pour nous (notre vision des chgoses) une pensée commune, qui est que le mort, ici bas, n’est pas la mort, là bas. Nous pensons que cette mort dont on pzarle (nom commun) n’est pas cette mort qui semble (semblerait) devoir nous attendre sur le pied de guerre. La mort porte le nom que la vie (pour nouds) génère, c’est dit. La mort n’est pas n’importe quoi qui serait commun. LLa mort est une chose en relation avec la vie que nous avobs (dans le temps de son inscription murale) d»éveloppée tout du long, déroulé et mis à plat ou tout comme. Lza mort est chose précieuse en cela qu’elle est (ici) individualisée et à chaque fois différente dès lors. NOus voulons comprendre bien des choses , et ces choses nous regardent dans le blanc des yeux. Nous avons en nous cette chose d’un vouloir qui est (il semblerait) vouloir avéré, vouloir ancré comme il se doit, vouloir qui cherche à se montrer , à jou-er des coudes, à faire du gringue, etc. Là,
nous savons. Nous avons compris. La mort est individuelle mais aussi individualisée en cela qu’elle a à voir avec un déroulé de vie. La mort est une chose .... qui est de celles-là que nous devons comprendre de visu, mais comment ? vas-y comprendre ou y comprendre quelque chodse de profond ! où est d’abord la profondeur en cette chose, et en toutes choses déjà ? qui a dit que ... la profondeur n’existe pas ? qui a dit cela ? un sqcientifique ? peuchère non pas ! Un savant fou ? il se pourrait ! une sommité ? à tous les coups ! un chanteur de charme ! allez ! qui d’autrte alors ? nous cherchons l’auteur ou l'autrice de la parabole ! nous ne sommes pas arrivées à nos fins car l’auteur ou l'autrice est cachéee et bien caché sous un amoncellement de tirades et autres «paroles d’évangile», c’est sûr. Alors qui ? je vous le donne en mille : l’Autre, l’Enfant, cette personne brute, douce et compréhensive. Je me demande qui ça peut être. Qui est-ce ? il s’agit d’unêtre fin, plutot ra cé, qui a du chien, qui croit en des choses comlme tout le monde mais en plus d’y croire , lui ou elle, colmme d’autres d’ailleurs, les couche noir sur blanc et les propose (de fait) à la vindicte populaire. quel courage ! pas tant que ça car, en vérité, il balance : il jette son nom sur la paille, il est de ce genre, qui, une fois inscrits, ou inscrites, jeyttent ... mots cul par dessus tête ! il est de ce genre de personnes-là qui, ayant notifié et dit (évangile) jette tout ... cvul par desssus tête, et s’en fiche comme d’une guigne. Voyez le style ! Alors que faire? croire. OUi on peut croire, on peut se soulager ainsi. on peut essayer du moins et tenter de s’y tenir. ON peut essayer de croire ici et là, en sa bonne étoile incidemment ou bien au paradis, ou bien à une sorte d'entité porteuse, etc, mais commùent y croire ? en marchant ? en portant un nom ? en pleurant ? en vivant ? c’est à dire quoio , en vivant entièrement ? en étant vivant ? car, la croyance en quelque chose de fatal est la croyance en quelque chose ... d’écrit , est la croyance en quelque chose de ditt, est cette ctroyance en quleque choses d’important dans le fait de ou du dire. c’est-à-dire de sérieux, de fort, d’important , dans le sens centtral du terme. noussommes en vie, et de ce fait nous «parlons» «pa riole d’évangile». et cette parole, portée par nos vies numaines, vient contrecarrer l’accès vers nous à cette mort cvommune qui (pour le coup) cherche en continu à porter notre nom, ce nom dit «de famille». La famille a un sens précis. La famille est cette chose ouverte, et vfermée à la fois (replioement sur soi ?) ? qui aide à la constitution du Verbe. Le Verbe est chose rude et chose rugueuse (à incorporer) qui est cette sorte de chose posée, ou déposée,, sous une forme ou sous une autre (ce peut être un bouclier) qui nous regarde, qui est là qui nous regarde avec ses yeux perçants, avec ses yeux insquyisiteurs? Nous voulons comprendre ce squi se passe en ces lieux de vie, et pour ce faire nous devons parler = dire la vérité =chanter = vivre une vie d’allant qyui colle au vErbe, voilà la gageure sus dite. Ouu susmentionnée dans du dire. car ici la mort est une chose et la vie une auttre, et les deux (bizarrement) s’entrelace dans du Verbe. On voit que les choses sont étranges ,; et ne se laissent pas appréhender aussi facilement en fait qu’on s’y attendrait. La mort est liée à la vie dans une tresse. ou plutôt, la mort est liée à la vie et la vie à la mort comme dans une tresse qui serait formée par deux gfibres ou fils qui s’entremêlent ou s'entremêleraient pour former quoio, pour former «parole d’évangile» on, l’a compris. Les mots de la tribu sonjt les mots d’une tribu pe nchée sur une idole qui a un nom. Nouds ne pouvons pas l’ignorer. Nous ne pouvons pas faire fi de
cette chose. Les mots de la rage ont à voir depuis longtemps avec les mots de la tribu. JHe veux penser cela comme à une sorte de chance octroyé qui nous tombe ou tomberait dessus cfomme la misère (peut-etre) en d’autres contrées ou d’autres endroit dits «de proximité» ou pas, etc. Nous sommes des qui allons, ainsi, à la rechgerche d’une Véroité, Vérité de base, de type évangélique. On voit que les choses petit à petit se recentrent, qui nous donnent un la musical de bon (de très bon ) augure. On va y voir clair dans pas longtemps. On est là pour ça. On ne demande que ça , d’y voir (si possible) le plus cklair possible. On veut cette chose, on veut cela, on veut comprendre, on veut prendre, on veut savoir. Il y a de ça. Or comment faire pour savoir ? comment faire pour comprendre ? comment faire pour percer le voile masquant kles choses les plus importantes de la vie et de la mort ? nous devons essayer ensemble de comprendre ce qui est mais pour cela comment s’y prendre ? comment réagir surtout , à pareille entité devant soi qui cherche à nous truquer etc, comment ? nous avons peut-être ici une réponse . Nous avons peut-être ici matière à nous tirer d’affaire . Voilà comment : en parlant . c’’est-à-dire : en ne s’arrêtant pas de parler . C’est-à-dire en parlant continuellement. il y a toujours ... quelque chose à dire, oui, car le dire est là (de fait dans la vie) qui nous accompag,ne tout du long. Le dire est du sang. Le dire est un sang e,n nous qui ne cesse et fonce et va et file et fiche et court et meuble et colporte et sonne et cache et doute et rit et va loin et porte et sombre. il est celui-là que nous portons en ous comme le nom de l’animal en nous qui est le nom en nous de cette bête de type «évangile de saint-machin». On voit la chose. IL s’agiyt ici de comprendre un fait et de s’y tenir au mieux et le plus possible dzns la durée. Nous avons Chose en nous (un nom à trouver) qui parle en nous (le sang) sa parole dite «d’évangile selon Saint_-Machin» ou «dsaint-Chose», etc. cette paro:le en ous est donc portée par une bete (effigie pariéto-frontale) et cette bête est en bnous comme un mot est dans la bouche du parleur de rue . nous sommes deux (bete en moi et moi) à comprendre cette chose. Nous sommes ici deux (en nous) à comprendre cette chose ici, et ce n’est pas rien. Nous sommes deux en soi à tenter une approche ici et ce n’est pas rie,n. Nous sommes deux qui ensemble essayons de comprendre au plus possible ce qui est en ette chose d’une bete en soi animalière -donc et sauteuse : hop, de là à là, elle a sauté, elle est bete des sauts, va loin dans son élan, cherche que tu chercheras, etc. Une bête animalière est une bête qui «défend» son dire. au contraire d’une bête non animalière, qui elle se tient (le plus fréquemment) en-dessous de son dire , comme éteinte, on y reviendra. La bete est la bete rude en soi qyui cherche à trouer la Chose = ici la bouche , et sortir. il y a chose et chose. ou plutot : il y a Chose et chose, etc. nous nous retrouvons pour mùieux comprendre les données du monde, ce qui est au monde qui exisqte et qui semble nous parler. nous voulons comprendre ensembke des choses et ces choses les reporter, sur paroi, cvomme un homme ou une femme du temps des cavernes, et dès lors tracer nos noms indélébilement si l’on peut dire. HJe suis un parmi x squi cherche. Je cherche à comprendre ce squi est. Je cherche à savoir ce squi en moi reflue, ce qui est en moi quyi surnage, etc? La profondeur des choses décentes ? peut-^être ! mais en vérité mon souci premier est de me plonger dans un dire fol qui puissee dire et former des dires
d’importance. Il s’agit pour moi de cracher des dires cvomme d’autres crachent du venin ou bien, leur gourme ou encore la haine. Je suis un homme sain (je crois) qui cherche ... à toucher de ses doigts (peut-être) la bête en moi, etc (c’’st à dire les bêtes, car elles sont plusieurs : ça change, ou même elles sont plusieurs «en même temps», etc) . je vais loin dans la démesure rupestre tribale et pour cela je suis accompâgnzé, on le voit : un animal me seconde. Il s’agit en moi d’une bête qui est, en vrai, bête de charge. Il s’agit de ce genre de bêtes qui toutes chargent dur et portent costaud. ces bêtes sont toutes massives. On les appelle »les bêtes de poids» car elles pèsent lourd vraiment dans la balance (poids public) et ne s’en laissent pas conter (du tout) sur cette question. Notre ambition est de les nommer. Nous devons nommer ces bêtes = les dessiner = les faire et les montrer au mieux ressemblantes, car il en va de notre sainteté. Nous sommes des enfants qui tentons de creuser ensemble la terre et y loger des choses qui toutes nous concernent au premier chef : dires de peu mzais pas seulement, effets divers de type votif, etc. des choses de pacotille, des choses qui brillent, de l’»or en barre, des pierres précieuses, du chiendent, des herbes diverses, des choses de prix comme tissus, vetements, et zautres tentures. nous nous prosternons comme de coutume et nous pleurons.Les larmes ont à voir grandement avec le présent posé en offrande et avec (aussi) le présent (ici) des temps impartis. nous sommes à la recherche d’une dent en or, d’un dire de grâce, d’un cercle de pierre précieuses, de mots divins, de parole d’évangile. Nous voulons comprendre et donner. nous voulons comprendre et doser noss dires.Car, nos dires pèsent (trop ?) dans la balance. Nos dires dsont dires de joie et de poids. Ils sont dires de peu et de joie mêlés. ils en imposent parfoios mais de temps à autre et encore. Ils ne sont pas tout à fait à même de nous aider lorqsu’ils ne disent rien de plus que la faconde, mais enfin nous
les aimons, nous les regardons avec bienveillance, nous croyons en eux, nous voulons les voir se loger de préférence en des loges idoines de type temps d’acceuil. notre but est ainsi ici de faire en sorte que la vie s’écoule le pluys simplement du monde et dise son dire ici de vie de base, son dire découlant de soi ... comme un corps saigne (menstrues ?) ou comme un corps peut-être évacue le trop-plein d’énergie vitale (selles ?).nous voulons savoir dans la p^rofondeur ce qui se trame autour de nous. Nous voulons co:mprendre les choses au son du pipeau. Le son du pipeau est le son qui nous interpelle le plus (le plus souvent) à bon escient car il «dit» des choses qui sont capitales en de nombreux domaines. Il s’agit pour nous d’écouter ce son (qui est du dire) et, dès lors, de retranscrire, tout simplement, tout bonnement, ce dire natif. les choses sont dites carré, sdont dites clairement, sont carrées, etc. C’est-à-dire que les choses du monde fractal (du monde de derrière soi ou de derrière les fagots) sont ainsi qu’elles se montrent sous des jours divers (par exemple : aurochs) mais, toujours accompagnées par un son de base (le son d’un pipêau) qui font d’elles des êtres lunaires, échevelées, vibrants, etc. Nous avons à comprendre encore des choses mais enfin, nous avançons (pas à pas) sur un chemin de connaissance ou de ces connaisqances dites «de la bande» c’est-à-dire de la bande langagière d’accompagnement (pipeau). Les mots pour nous ont une raison d’être c’est sûr, et pas xseulement «tétière» on le voit. Les mots disent par devers eux, voilà les données. Les mots ont des choses à dire concernant la voie mais aussi concernant la mort, et pas seulemen,t «la mort pendant la vie» mais aussi »la mort pendant la mort» ou alors ... à quoi servent-ils ? les mots sont à nous qui avons à dire des chosesq. Les mots nous appartiennent en tant qu’ils sont pour nous des données toutes de base cruciales, ou comment exprimer cette chose d’une profondeur des profondeurs dans l’adversité ? Car,
vooici que les mots bataillent, entrent en guerre, combatttent l’ennemi inscrit en eux-mêmes. Que sont les mots sinon des bêtes de combat ! que sont d’autre les mots que betes cde combat : d’azur et d’ancrage, quoi d’autre ? nous avvons à nous poser ainsi (par devers nous) ici ou là, et dire ce qui est. Les mots nous regardent. Les mots nous portent. Les mots nous disent des choses. Les mots nous aident. les mots nous accompagnzn,t une
vie durant ... dans le sang , comme des betes de labours qui tracent ou traceraient sillon sur terre meuble. notre sang ne fait qu’un tour : de la vie à la mort. c’est à dire : de la naissance à la la mort. C’est à dire : de la naissance effective (la venue au monde réel) au jour de la mort soit de l’xtinction. La naissance est la sortie d’un ventre, et elle arrive après un temps de conception.La mort de la même façon est la sortie d’un anttre (ventre-dieu
? ventre d’un dieu ?) et se poursuit pour ainsi dire par «un temps de déception» etc. nous pensons que les cghoses (cvomme toutes choses visibles (ou la plupart) sont de type syméétriques ! nous disons que la mort contient un temps qui correspônd au temps «ventral» en quelque sorte de la conception. la mort est une enclave de type utérin , qui est cette outre, pour le coup, de bonne foi et de bonne maison et des certitudes. La Chose est svelte comme la parole. Un coeur assidu s’y révèle. Nous en tentons l’approche ensemble ici :même. NOus essayons ensemble cde comptrendre des données (de bazse certaines) sur lesquelles s’appuyer . notre dire est vif. Notre dire est un dire vif. Notre dire
est ce dire vif qui est du dire fol qui est du dire échevélé on le sait?. Quand nous parlons, les mots butent contre la misère d’un regard obtus, creux par endroits, etc, et c’est ainsi que nous nous retrouveons (ensemble) à verser des larmes : commisérationb. dévception on le sait. on connait la chose. o,n vezut
croire en sa bonne étoile mais la chose est rude et demande à êtrez vue, et explorée. notre but est logé à pareille enseigne . notre but est ckair, va dans un sens qui en fait le charme, ne se cache pas ou n’est pas caché, se montre sous un jhour dit «de clarté complète», ne va pas se planquer ou masquer son dire quelque part. Notre but est là : ici = dire. Je veux que le dire dise ! je veux que le dire en dise long de grâce ! je veux que le dire dise et redise ce qui est et vous l’enfonce (me l’enfonce) à jamais soit pour l’éternité. Les mots ont ils quelque chose à dire ? les mots ont ils quelque chose à dire ? les mots ontils qielque chose à dire ? les mots ontils quelque chose à dire ? les lmots ont ils quelque cjose -à dire ? les mots ont ils quelque chose à dire ? les mots ont ils quelqzue chose à dire ? nous le peznsons . Nous espérons que oui. Nous pensons que oui. Nous le subodorons. nous aimerions que oui. nous aimerions beaicoup que oui mais rien n’est moins sûr. Nouys voulons savoir, comprendre, aller loin dans la mesure d’une démesure, ou mieux : aller en mesure dans la démesure mais la démesures ... quelle est-elle ? où est-elle ? que peut-elle nous apprendre si tant est que nous l’attei gnissions ? Je cherche. Je veux penser. Mon souci est la pensée, la p ênsé»e à travers le verbe, le Verbe en musique = dans le temps (pour ainsi dire) de son déroulé, etc. la pensé&e magique est la pensée de bout de phrase = la vérité. la dite «vérité» sur les choses du monde = pzensée magique, en cela qu’elle se loge (icelle vérité) au bout du bout de la phrase construite c’està dire temporellement située.
car, pour dire, il faut du temps = le temps du dire. et le temps du dire implique la recherche d’un dire cde poids, qui pèse, qui a de l’impact commpe une bête. Nous avons à cerner choses et autres au mieux , et pour ce faire nous collectionnons les dires, nous accumulons les dires, nous mettons nos volontés à plat et pouss-ons dans un sens précis qui est celui d’un vouloir)-dire ici brusqué sinon brutal , qui cherche à cerner = coincer la bête d’un dire dit «vrai». notree but est affiché. nous espérons pouvoir trouver des chose, des choses diverses, des dires de pôids, du vrai qsui en jette (quioi ? des rayons de lune ?). notre envie est une envie complète, en ce senns qu’il s’agit d’un corps (corpus) en entier. le corps du dire ici est plein de lui, d’un magma de base (de ba ve ?) qui est lourd de conséquence rupestre on kl’a vu. Le magma de base (langagier animalier) cherche à faire apparaittre une dite «vérité de bon aloi» qui est Vérité des Vérités. La chose a ici une importance première, capitale, importante en cela que ;:a chose est lourde, pesante, elle pèse son poids et ne s’en laisse pqas conter facielement. Car elle en veut ! elle cfonce (elle eswt fonceuse) , elle ne s’arrête pas en chemin. elle vibre de troute sa gourme animalière à même le temps d’un phr&asé colporté ici ou là sur une grève. je salue la grève ! il s’agit de voir en elle (la Chose de soi: l’âme des défuunts ?) une chose de poids comme une bete de paroi : le bison ? l’ours des cvavernes ? le mensonge et la vérité nee s’opposent plus, quand tout est langage. Il s’agit de cette chose là d’un dire déployé comme dans une phrase une vérité. Nous sommes deux ensemble qui cherchons à dire des choses rudes. notre volonté s’exprime par la bande et ne souffre plus. La peine est allégée de fait, elle n’est plus que l’ombtre d’elle même. nous ne voulons pas peiner quiconque et blesser outre mesure, nous savons à quyoi nous en tenir. Nous voulons trouver des mots de rage dans la lande, en nous promenant ou en chassant ou en courant après des chodses peu reocommandables ou autres. notre envie de bvivre est i ntacte puisque le coeur bat qui dit sa Chose animalière de concert et de base de vie. Nous nous saluons : à toi à moi. Nous sommes deux pour un e Entente, l’Amicale des amis du sang. nous voulons en savoir lourd et, du coup, que faisons-nous ? nous nous abvançons de concert à même la roche (ou roc des dieux) et pleurons (toutee) notre peine déplacée ! nous pleurons ensemmble = main dans la main : la bêtye et moi. Nous ne voul:ons pas perdre le nord ni même l’habitude de nous retrouver ensemble à une même table. Noius voulons aller sur un chemin qui nbous conduise vers la vérité des véerité = celle-là qui nous regarde dans le blanc des yeux et nous donne le la à suivre dans notre périple. Qui est cette chose, ou : que est cette chose, ou : quoi est cette chose, ou : qu’est cette chose ? Nous ne savons pas mais nous chertcbhons ! nous cherchons dans la profondeur d’une voix énoncée. nous cherchgons dans la profondeur d’un tracé de base. nous cherchons dans la foulée xd’un traçage frais, vite mené et (en vrai) consacré par l’usage, etc./ Nous sommes tous deux de la paretie fine qui nous voit nous remuer et chercher peut-être à enfanter du dire vif, cklair, outtré mais le bienvenu concernant le dire dit «de vérité « ou «de la vérité». nous ne sommes pas trop de deux pour ce faire. nous voulons «coiincider» et nous «coincidons», car , noius sommes vifs, douybles, prêts à nous adjoindre, à nous emmelezr, à nous mêler comme de coutume, à nous inserrer l’un ;l’autre lm’un dans lk’autre. Le but est cklair. il est affiché aux portes du palais et chacun, chacune, peut en prendre connaissance. Il s’agit d’un dire de foi qui en dit l:ong. il s’agit
d’un dire doux, qui parle de sa voix sucrée, etc , pour dire une chose de grande importance, comme quyoi la mort est une chose
du temps de son vivant, mais tout autrte chose
du temps de la mort ou de sa propre mort, ou du temps qui nous voit mort. la mort a deux visages : l’un est cvelui-ci (nacré) que nous lui connaissons, l’autre ewst celuyi-là (lequel ?) dont nous ignorons tout sinon cette chose commùe quoi il est un temps après la mort qui correspond EXACTEMENT à celui précédant notre arrivée de fait dsur terre le jour précisément de l’accouchement de Mère. Nous savons à peine, nous subodorons, nous pensons, voilà ce qui est. la pensée en soi est la pensée qui mène au bout, est la pensée dite «de bout de phrase», ou «du bout de la phrase» ou « des bouts», etc. penser = comprtendre, ici (du vivant) , le fait que la mort eswt une sorte de prolongement en tous points symétriques au temps de conception. il s’agit de cerner ici une chose comme quoi kla mort est égale à un temps (neuf mois ?) de déception. Et de quoi s’agit il ? du temps nécessaire à une sorte (sous terre ?) de décrépitude ! combien de temps un corps met-il à ... disparaitre en poussière ? il s’agit de cette chose ici d’un temps de déception qui est ce temps dee la vermine et de la putrification des parties charnelles . Notre but est adffiché : colère ! colère sur toute la ligne ! colère devant soi ! colère de base ! colère menaçante ! colère vive et, basta : que les choses soient ! nous ne pouvons pas supporter l’idée, comme quoi nottre ^$etre sera dévoré (un jour) par le feu de l’enfer ou la vermine ou le chacal. Nous voulons comprendre cela. Nous avons à penser rude et nous pensons rude. Le temps est animal = dépot, et le Verbe est vif quii se déploie (incidemment) tout le long d’une vie allouée à une gouverne en partie tétière. la peine s’allège au fur et à mesure où nous sommes ensemble à entrer en âge de la destinée. c’est à dire ici cette chose, cet aval. Nous minimisons. Nous sommes qui peu à peu nous liquidifions. Nous sommes qui peu à) peu nous réduisons nous mêmes
, etc. la peine est donc à cerner ainsi, comme d’une sorte d’étant qui, ici, se désagrège au fil du temps. La peine = le tourment. Le tourment = le ciel d’azur. Le ciel = cette chose donnée en dépôt comme une bête encore chaude de son temps de vie. nous nous abritons, nous nous plaçons de telle sorte que la vie pour soi devienhe auttre, une autre vertu, une tout autre mise, autre valeur, auttre présen
c e, etc. nous essayons de nous poster ensemble au devant cde nous pour comprendre, là, ici, à cet endroit tout près de soi qui est cet espace de mise directe, d’emplacement pour des présents à cdéposer conjointement en type d’offrandee. nous voulons comprendre ensemble ce dépot à faire, en vrai, fisza, c’st à dire sans tarder, car la mort rôde qui, pour le coup, nous surveille d’un oeil et en permanence et ne nous lache pâs d’une semelle. La mort est lza présenc e en continue de l’histoire, c’est sîiur. La mort guette de son piédestal (sa hutte) et ne bnous lache pas de vue. nous voulons comprtendre, nous voulons cerner la mort ce qu’elle est et ce qu’elle n’est pas. nous voulons comprendre entre nous la mort, ce qu’elle représente et ce qu’elle induit, en termes de fi nalité langagière. nous voulons ensemble ici comprendre ce qui est, ce qui advient, ce qui arrive vif, ce qui se trame, ce qui se loge en cet espace devant soi qui est espace de proximité?; «Je pense donc je suis» est une chose rude à prononcer pour nous qui pensons-vivons de conserve. Nous nous diso,ns que nous sommes ensemble à devoir chercher ici et là des solutions qui sont solutions, 1, de repli et, 2, de réserve. le mmot prononcé
est le mot donné, il est ainsi. Le mot prononcé à haute ou basse voix est le mot donné par «la bande animalière» à une sorte d'entité de rage (la mort =déité) qui nous interpellke continument à traversz le mouvement pendulaire de kla vie et de la mort en nous (fibre de vie chargée, rageuse, colère, vive, allumée, etc) . nous ne voulons pas mourir c’est un fait, et ce fait a à voir avec la mort à l’oeuvtre en nous, qui dicte sa loi menaçante, squi dicte ses lois, qui nous cherche noise (la maladie et ses petits). alors comment faire pour trouver des choses qui nous en apprennent ? hummmm, difficile , dur dur. Avec des mots c’e’st dur. Avec ......
le Verbe peut-être ? oui. lke Verbe est aidant car le Verbe contient sa propre misè§re et en fait cas. le Verbe est Verbe d’un dieu de réserve (pacotille ?) qui dit loin et fort son envie de vivre une vie «entière» = vie-mort tout entrelacées. Voilà ce qu’il en est de cette chose ici appelée Verbe, ici VErbe, ailleurs autrement (Vivre, Vouivre, Vipère, etc .). Je et nous cherchons, je cherche ensembvle, nous cherchons seul, dans cettte sorte d’entrelacement des dires singulier-pluriel. Nous ne sommes pas sortis de l’auberge ! Nous avons fort à faire (foultitude d’actions à mener et à mener de front). Je suis l’homme au chandail gris qui marche dans la plaine. Il se promène nonchalamment. Il promène sa misère. il est tout ouïe et qu’entend -t-il au juste ici, en ce lieu des outrages et autres parades guerrières, qu’entend-il à par t lui ? il ente nd du bruit. Il entend le bruyit cde l’eau. Il entend cette chose d’un bruit qui semble lui donner des ailes. Je vais dans les airs m’envolant comme l’oiseau du chant des rêves. je suis oiseau plein de grâce et changeant sous la lumière. Je veux comprendre, je veux aller loin, je veux dire, je veux ^pousser plus loin les recherches, je veux cerner serré, je veux comblker, je veux être un homme comblé soit rempli. Le souci ici est de dire ensemble. Il s’agit d’un dire de feu. Le feu est cette chose contenue en soi (inflamation de la chair vive) et qui va de son allant ici de vie animale (ou animalière) jusqu’au bout dxu bout d’une cvie à vivre. Le feu est inflammation terrestree charnelle : sulpicienne. Je croise les doigts, en espérant que les choses ici iront de soi et ne buteront pas méchamment contre la misére des temps de céans. je croiose les doigts et espère fort?. jhe prie que les choses viennent comme elles se doivent de le faire . je suis cet homme qui pousse loin et fort son envie et poursuit fissa à travers les landes son chemin des découvertes. Je veux savoir ce qui est qui parle à travers moi. je veux dire ici ce qui est pour moi et répond de moi?. je suis homme des battues. Je suis cet homme des recherches en vrai avérées. Je suis cet homme des recherches menées pour une juste cause. Je cherche en moi des raisons de croire en une étoile (cette étoile) qui saura me diire ce qui est et ce qui n’est pas. cette étoile ai-je dit = l’2toile, celle-ci qui nous accompagne : suivez mon regard. Je suis homme qui chante-cherche son allant de vie ici (dans lke sang) et qui va loin, dans des directions de vie votive, allons-y! Nous parlons pour ne rien dire dit-on mais cela est faux sur toutes la ligne , oui ! pourquoiu ? parce que kle dire vain ou dit «vain» est du dire Verbe, soit du dire plein de son dire, du dire rempli de dires, et ce dire rempli de dires, plein à ras bord, est ce dire de la joie à être (ni plus ni moins) et par conséquent exige le respecrt (de grâce ! ) car il en impose ... de par son allant, sa vitessee, son rendeme nt, l’accumulation, le recueil. je tombe ici car je suis frragile, je suis sous empridse. Je tombe ici car mobn corps chancelle vite. Il est corps émis./ IL est ce corps de la foi en l’être du dire de joie contenu en soi comme une bête?; J’avance donc je suis. J’avance dans le dire donc je suis, je suis celui-là qui vais là-bas loin en bout de phrase = tout au bout cdes choses à comprendre, incessameent. jhe ne suis pas chiche de quoi que ce soit. Je suis enclin à me placer ici pour comprtendre = en ce lieu monacal, prêtral pour ainsi dire, ou prairial ? pour le dire autrement ! JE pense donc je syuis cet homme ici qui tire le rideau. je suis homme des bois et des landesz, chevreuil de ma rage, animal monté à l’occasion, bison des prés à houpelande ou comment ou squoi d’autre ? une biche venue tout
exprès des bouts du mondee pour nous parler ? un chien eznragé ? une douceur de biche racée qsui s’en vient vers nous nous parler en son langage de fée ? qui est-elle qui nous regarde ? je veux (voudrais) le savoir, nom d’une pipe ! je ne partirai pas d’ici (logis) sans le savoir ! car, il en va de mon salut, de la reconnaissance à moi offerte, ou de reconnaissance. il en va d-’une possible reconnaisszance à mon endroit, voilà. il en va pour moi d’une sorte de reconnaissance. il est pour moi ici chose d’un dire vif, qui est ce dire commpe quoi le nom de la biche importe beaucoup et pèse dans l’esvcarcelle. comment s’appelle-t)-elle ? quel est le petit nom de cette bête ? comme,nt se nomme-t-elle dans sa vie ? je suis cet homme re-ncontrant biche et cgherchant à connazittre son nom de pasdsahge. je veux comprendre la raison qui préside à pareille venue jusqu’à moi et ne partirai pas tant que la chose ne soit pas réellement poszée,; c’est à dire à plat. je veux que les choses soient dites et bien dites soit en toutes lettres. je veuxc cette chose d’un dsépot de soi dans le sang; qui sezrait dz»pôt de soi à même le temps du dépôt. Je creuse la terre. fautil creuser loin ? qui est icvi l’êztre du chant choral ? suis je cet être ? comment faire pour savoir ? qui a parlé de misère ? qui va me répondre ? puis-je entendre cette personne cde mon vivant ? que vais je devenir ? que suis je en vérité qui vais dans la roche m’immiscer ? que serais-je après ma mort ? qsue sezrais je apreès moi»»»» ? que vais-je ^etre «après moi» ? suis je sensible ? la mort m’intéresse t-elle tan,t que ça ? la mort en soi a t elle un intéret de roi ? squi est qui dans pareille demeure de choix ? je sais plein et c ependant quoi ? Je cherche à comprenxdre ce qui est danns ce qui se voit, mais ce qui se voit intéresse peu qui dit peu et dit fou. je ne suis pas à la recherche d’un dit fou pour un dit fou. Je suis à la recherche c’un dit fol ce qui n’’st pas la même chose on en conviendrea. Le dit fol, face au dit fou, a cela de particulier qu’il n’est pas de rage, qu’il n’est pas ce dit fou «de rage». Le dit fol n’a pas la ra ge, il a la hargne mais pas la rage. Il porte en lui hargne et volonté, hargne et vivacité, hargne et ténacité, mais pas obligatoireme,nt la raghe . Ou SI ? Aussi ? ah oui ? Peut-être. Les mots sont coquins. les mots ont vite fait d’induire en erreur. Les mots parlent à tracvers nous et disent bien xdes choses qui ne manquent pas de nous tropmper et de nous échapper. Les mots font fureur. Les mots ensemble font fureur et chassent les betes, celles de rage dure ... ou les autrezs bpêtes, de rage moins dure;
tout mot qui se respecte cherche une voie. tout mot cherche voie de base où se déposer pour une offrande. un mot est un dire qui file, vitesse maximale, et cherche à comptendre le dû, ce qu’il est pour soi, ce qu’il signifie, et la hauteur pour ainsi dire de son être en tant que tel, soit le montant de cette chose à être. Je chante. Il se peut que ce chant soit ici ce dû dont il est question. Il se peut à) présent squ’icelui ait quelque chose à voir avec ce dire d’un dû dépôsé, déposé sur roche comme l’a nimal . l’animal enragé ou pas mais dessiné par x homme des cavernes ou femme des cavernes, c’est compris. je pè!se les termesq. je cherche une sorte en moi de «gouvernance parallèle». je suis en moi (ici bas) à la recherche d’une «gouvernance pa rallèle», à la recherche d’une sorte en soi de gouverne auttre que celle-là qui est , pour moi(tétière) celle qui me voit me vautrer souvent, sur roche et aillleurs, comme un chenapan trébuchant, or non ! Je ne suis pas ce chenapan. je suis en tout bien tout honneur un êttre respectable, au pire, et ... vivant le pl;us, au mieux.mon coeur bat,; misère ! entendez-le qui dit sa cxhose coutumière d’un éla,n vital dans le sein des seins monacal. Suis je en vérité ? un être des temps déployé . incinéré ? pas encore, mais en moi au juste il y a ce feu diurne, cette inflammation brute et brutale, qui fait ou qui font cde moi c et être de joie (joie brusquée) qui fonce fissa dans la masse . vivement que la cghose soit et qu’on comprtenne ! vivement que soit icelle et qu’enfin on sache ! vivement que la chose ici advienne et qu’on puisse aller vers icelle, sans dommages de quelque sorte qUE ce soit, car, nous voulons vivre vif =
vivant tout du long et même après le mort s’entzaend. pour nous qui sommes vivants, en vrai la mort «en soi» n’a pas de sens, car, la mort est un lieu-dit ou tout comme, et de ce fait (tombeau des peaux) est à pensezrccomme une chose qui est volatile comme un oiseau. je veux cerner l’oiseau mais va cerner l’oiseau. Je veux cerner le chant, mais va cerner le cxghant, je veux cezrner le coeur mais va cezrner le coeur. Je veux cerner la trinité mais va donc la cerner, ou va à (soulign»é) la cerner ! . Car, la trinité est une chose difficile à concevoir et donc àà cerner. car, la trinité est cette chose d’un devant de soi (devant d’apparat) et n»écessite une étude profonde (approfondie) et un szouci majeur, une sorte de souci majheur à bien comprendre ce que c’est qu’une cghose «tri». Je veux comprtendre x chosesz, mais la tribnité... je veux bien (de fait) comprendre x choses, mais la trinité... ce n’est pas donné. Je suis homme quyi veux aller loin, et cerner loin et m’investir à fond dans des recherches «qui le font» (c’est dit) mais en cvérité, la mort, en soi, n’est pas la queswtion. car la mort est du dit vain, est du dit qui la ramène mais cache son dû. Je suis celui-là qui cgherche loin des données profondes et s’en vante fort ou à tout va on le voit, et cependant voilà autre chgose, cette chose comme quyoi mon coeur b at «sans moi» pour ainsi dire, et de ce fait ce «moi» tant déposé, tant dit, tant prononcé, est une cxhose comme secondaire à un état de fait ou de siège
. le est le comme la est la, et le moi tout con, au bout du co:mpte, qui compte peu dans une allure ou un train générale (ou général). Je syuis homme qui, en lui lmême, contkient très certainement des données de base à mettre en lumière, ou sinon quyoi ? le Verbe divinn est ce Verbe en soi ... qui cherche à aller loin .... dans la connaissance du dicvin ... qui est ce divin de la mort à l’oeuvre; car ici ce qui est qui compte est cette chose, comme qyuoi ... le dire divin et le dire de la mort sont (en quelque sorte) unis (comme main dans la main) en cette cxhose d’une sorte de «fibre de foi». nous avons à penser c-ela. KLa foi = la peine, ramenée à une sorte de fibre souterraine en soi. La foi est cette chose d’un ancrabge quasi magique. La foi est inhérente à la nature humaine et, aussi, ne se discute pas, car,
elle est la discussion pour ainsi dire à son sujet, elle eswt ... toout le dire en entier ! elle est cette complexité du dire ... en entier = vie et mort mélées dans un dire fol (fou ?) qui dit (dirait) sa Chose crûment comme dans la nuit des mots contrechastes. je pose mes conditions, je dépose un dire appuyé, je valide, c’est fait. je connais toute l’astuce car je suis pas né dhier et je vois de près (depuis un long moment à présent) ce qui se trame. je suis homme au cerceau, et au flutiau. je jhoue de la musique. Je jhoue de la musique des attraitsq. je file fissa vers un endroit où pouvoir jhouer la musique des attraits. je cherche pareil endroit par exemple dans les prés. Je cherche endroit où me poser et jouer de mon instrument de colère. qui m’écoute ou m’écoutera comprendra. Je m’avance à pas co:mptés, je chemine, je vais de l’avant, je suis celui-ci qui charge son devant de soi animalier comme une musette et v
as-y qu’il chante ou chantera sa romance doucereuse, cha rmeuse, d’homme qui induit des dires, colporte et cherche à (de fait) entrainer après lui. mon corps est ce corps de base racé. je colporte des dires soit ici sur roche soit là bas dans la mort dite «du verbe ancré». je ne suis pas en reste de colportezr que tu colporteras des dires de joie et c’est exactement ce que je fais depuis le dé but : je colporte, j’entérine, j’avalises, j’adoube, je prends dans ma gourde, je pose la chose à sa place de choix qui est place xd’un devant de soi dit «pariétal» (homme je suis qui dessine l’aurochs et le bison des plaines).HJe cherche au loin les données de base ici censées pouvoir toutes guider ma gouverne. Ces données ont à voir zavec une fibre, une des fibres qui sort de ma bouche, de mon «trou percé» ou commênt le nomme-t-on ? Je vais et je viens à même la lande et voit ce qu’y s’y trame incidemme,nt. Le coeur de la bete en moi fait rage (tic-tac) à même le xsang déposé. Je fonce corps et âme. Le corps (comme le temps) au singulier comporte un s qui en fait l(attrait ou comment dire, cette chose d’un plus, de signification commune, affiché. je tombe sur un os. je suis tombé. je vais dans la roche et ml’y loge un temps donné, le temps donné est don de soi mort. Je suis homme des parades, des cavalcades, des sorties diurnes. Je file vif vers une chose qui, chose, me regarde $longuement, posément, pertinemment, nonchalmamment de ses yeux clairs, de ses yeux profo nds. Je voiis cettye bvete , cettye bete qui me regfa
rde, je vois cette bête. Elle me regarde longuement. Elle me connait? elle connait mon nom. Elle sait qui je suisq, elle sait parfaitement bien qui je suis et comment je m’appelle. Elle sait quelle personne je suis, ce qu’est mon être. elle sait ce que je suis. Elle sait ce que je suis en vérrité. la bete me connait de fond en comble. La bête me connzait parfaitement = de fond en comble. la bête en moi xsait pertinement que je porte un nom et que ce nom est d’une importance capitale dans l’affaire (de la vie et de la mort) qui nous occupe présentzement. la vie est une chose, la mort une autre, le nom porté encore une autre qui semble chapeauter le tout. Je regarde au loin les données de rage. je suis homme qui, au loin, regarde les données de rage et se dépose , ici, sur pierre tombale, lui même, comme un être assoupi (tombant de fatigue) trouve sa litière ou sa coucxhe où il se trouve (trou de base). Je collecte. La main qui me pousse a des ramifications (nerveuses ?) dans kle sas des sas du monde adjacent et cela est à considérer cde cprès. La main des origines est btrès-liée (pour l’écrire ainsi) à la vie de base rugueuse du monde vécu. il faut voir cette cxhose ici comme quoi, la Chose du temps est an,crée. La Chose du Temps a des ancrages dans le sas des sas de la réalité du monde vivant. Le =monde vivant est le monde des tourments et des peines de tout ordre , et la vie cd’(avant comme la vie cd’après est ancrée, les deux sont ancrées. La viee d’avant dans le BVerbe des présents, la vie d’apres dans le verbe des avenants. Nous trouvons en passant des choses à noter et ce sont choses de la ra ge indyuite en son sein en propre. ces choses
ont à voir avec la vie vécue. la vie vécue est une chose rosse on sait cela, à vivre de conserve, à ne pas méconnaittre, etc. une chose ici est de penswezr, une auttre chose est de passer du gtemps. Les deeux choses s’entremêlent bpour former ficelle, jeu d’enfant, caricature cde cie vive tourmentée, colère intrinsèque. je suis l’homme fonceur donneur de leçons, ou bien quel homme cherchant sa chaise . son lit ? son habit ? son toit ? qsui irait au loin trouver pitance, chargement et nom de base. je v eux être l’homme des paroles glissées en lui comme pâr la bande, et qui se borne à relever les dires (les uns après les autrrees) comme ils vienneznt. Je suis homme et femme tourmentée dans une sorte d’enclave à être. Mon nom est Personne . Mon n,om est-il Personne ? je suis cet homme des passagves renouvelées comme fait la vague. Qui a cru que je m’arrrêterai en si bon (long) chemin ? qui croit en ma bonne étoi;e (sur moi, comme une lampe d’appoint) : qui est celui-ci ? Je vais devant moi et regarde de plus près les données de base (déposées par qui de droit = le cheval ? l’aurocxhs ?) , et je me rapproche délicatementb, pour humer. Le cxheval sent le cheval. L’aurochs sent l’aurochs. lkes deux sentent fort leur animalité en propre et les deux me parlent concomittatament. les deux me disent de voir à penser la chose du temps comme à quelque chose de tourmenté et c’e’st ce que je fais depuis le début donc acte (on dira cela) . on dira cela (acte) comme quoi je suis et je ne syuis pazs. je suis l’animal en moi et ne suis pas moi en tant que tel. et aussi : je suis moi en tant que tel, Et ne suis pas cet animal en moi. Je suis, et je ne suis pas. Jke suis cet homme de la foi , et ne suis pas la b^ete de rage en moi. ou bien je suis pareille bete, en moi, de la rage à être, et bne suis pas ce moi de pacotille («bling bling» et racoleur ?) que j’ai cru (un temps ?) être... ou pas ? car, l’etre en moi va fissa et ne s’embarassee pas cde choses de trop , comme : museau, cornes, sabots, etc. JE cherche à être au plus près l’être. je regarde les devants et ne vais plus trop en arrière car j’ai à faire. Les données du mo nde m’incombent. ou disons que lkes données du monde sont à explorer par en moi cette bête cachée qui renâcle tant et plus, que j’ouvre la bouche en grand et la voilà qui sort de moi et va fissa donner son dû et dire ce qu’elle a à dire crûment = vif = sec = rapide = à volonté. Je suis sur un monticule, je suis monté, je suis assis ou debout mais fier. je regarde au loin le paysage offert
par les alentours : landes à perte de cvue. Je vois
dans kles prés aller et venirv grand nombre de :mes congénères. je suis dans la vallée l’être en surplomb (pas peu fier le monstre !) squi mate que tu materas partou (droite et gauche) et vois ce qui advient de pareiile contrée habitée par des bêtes. Je surplombve et décline mon identité. Je suiis ... M le Monstre, chenapan de ma colère dite, chenapan ou garnement de ma colère dite = prononcée à haute et ddistinguable voix. je m’appelle ... de ce nom de rage frappé = Aurochs «de la roche du coeur». Mon nom s’écrit de la sorte : Au Roc, ou bien Aurochs, selon votre propre degré d’excellence ou de compétence en matière d’otrthographe (les deux sont possibles) . je mate au loin, je renifle, je sens ce wqui est à mes na rines. Je suis cet homme au nez fin. je veux être un homme qui comprends les choses dfans la profondeur des tracés. Je regarde les pârois du monde et tente incidemment de cdéchiffeerr ce qui est inscrit, et semble avoir à nbous dire des choses sur ... la vérité des temps, des êtres du temps, de la vie et de la mort des temps, de ces temps qui sont temps reculés. Je suis en quyête d’une vérité ... de poids et de charge. Je ne veux en aucun cas tomber à la renverse or, :me voilà qui à nouveau tombe à la renverse, que faire ? je suis l’homme des désirs (peut-être ?) rezfoulés et qui cherche et chercbhe encore à les amener sur un devant de soi (... monacalk ?) qui , pour ainsi dire, les prenne en main et les prennent bien et les chouchouttent et les ... quoi de plus ? je regarde ce qui est de ce refoulé (ou sorte de refoulé) posé / déposé devant soi comme prsésent offert par la bande, et ce refoulé (anc-ien refoulé dès lors) , est comme pris en charge diligemment par devant soi l’être de garde qui conçoit la chose comme ici à devoir être prise en compte = oui, chouchouttée un tant soit peu, c’est à dire (ausssi) un tant soit peu considérée. Car, le refoulé de branche est un refoulé qui a à être cajolé un temps, avant d’être (pour le coup) replacé dans son propre environnement.. Nous devons veiller à comprendre ce qui est ici d’un refoulé, ou sorte de refoulé, qui serait déposé vdevant soi comme une charge. Il faut
y veiller. Il est nécessaire de veiller sur lui et de ne pas le bousculer de trop, de veiller à lui, à ne pas le déplacer ou le bouger de trop. Il est bon de veiller à le poser docilement, doucement, et gentiement. nous devons veiller à déposer ici pareil refoulé avec les précauytions dx’usage nécessaire à un vrai développement d’icelui sur roche (aurochs = au roc) en bonne et due forme car le refoul:é est un animal, il peut mordre, -il peut tenter decv s’échapper, il peut faire du mal, ilm peut ne pas voulopir jouer le jeu du je en l’occurrence et filer dru sa haine contre soi, contre celui-là que nous sommes en vrai en nousd-mêmes. nous posons le refoulé, lm’écarté à même la roche du temps. Le refoulé en tant que tel est tel l’écarté : une chose de peu, plutot fragile, limite débile au sens médical du terme. v eillons ensemble à ne pas l’effrayer et veillons sur sa gouverne animalière. Il s’agit ici de comprendre cette chose, comme quoi
le refoulé ou l»’’écarté de soi, est aniumalier, est une voix, est une voix animale, une voix déposée, est une voix qui (de fait) est déposée... comme un animal est cdeposé ! c’est une voix, c’est la voix de l’animal en soi, c’est cette voix en soi d’une bête de poids. Le refoulé ou l’écarté de soi un temps, revient sous une forme qui est animalkle. verbe haut de l’animal de choix. le Verbe est haut qui singe l’animal de choix. le verbe en soi de l’animal de choix est là devant soi comme le dû qui est ou serait celui-là que nous avions ensemble à devoir (depuis longtemps) transmettre de visu. je suis l’homme qui transmet un dû qui est le dû de la rage à être. je suis redevenu. Je suis revenu transmettre. Je suis revenu <—> redevenu transmettre. je suis revenu tantot pour transmettree icelui (dû dû) et déposer pareille charge ... sur une plaque, table, devanture, où meettre son nom adjacent , où donc mettre avec (le dû de la charge) le nom adjacent à une vie, à une vie sur terre, en tant que ... vivant la chose réelle. Je suis homme des bois, chevreuil, bison,; bete sur terre, quatre pattes pour un fond de course, une bete des avants et des arrières,; qui va et qui vient ramener son groin, ses cornes princières, son sabot de traine, sa crinière ou sees ergots, bete des rêves ... ancrées dans la chair de la chair fraiche ! bete outragée, bête des bois jolis pour de douces promenades et des parcours-santé «de premièere». La bete est en moi comme bete des bois de la rage à)à être. Je suis je le fils des rois. Je commande à pareille fête, je suis roi moi même dans un cercle. je tombe à la renverse.
3/2/2022
Je suis homme des bois qui va cherchant au coeur de la forêt la vérité des vérités. je suis cerné, des bêtes me matent. je suis un homme maté. Je suis cet homme des bois maté qui cherche que tu chercheras un semblant de vérité. je m’avance nonchalamment. Je vais loin en pareille contrée. je suis homme-cerf , homme-bête aux allures fières, homme de la lande et des forêts. je vais et je viens en pareille contrée à la recherche de la vérité sur les choses du monde. Je suis parmi les miens. je suis homme au milieu des miens et je cararacole, je file fissa parmi toutes ces bêtes (bêtes de bon poids) qui sont mes soeurs de sang et qui me regardent. Je suishomme-bete qui s’avance et meugle et beugle parmi x bêtes autour dee moi, qui sont soeurs de colère et aussi d’effrooi. je suis cet homme au sang chaud, qui file fissa au milieu du troupeau et caracole et fonce et tourneboule et y va de son allant rustre, meuglant et beuglant d’aventure. Je regarde autour de moi et que vois-je ? des betes rustres et rosses, soeur de paroi, des amies fidèles
, des betes de dieu, des amis de tous les jours, des betes qui foncent fissa à même la pierre . qui je suis pour être parmi ellles sinon comme elles ! je suis cet homme aux allures fières = fières comme tout = (une sorte de) malotru de lza bande, chenapan, sacripant, un coquin de sort sur ma propre figure d’homme-bête de céans. Je veux comprendre dans les profondeurs et pour cela je me dois de fouiller fissa la langue (ce patois de base ?) qui me constitue de grâce. je suis à fouiller ainsi une langue, langue d’aboiement, de japissement, de glougloutement et autres cris de bêtes. Je suis homme-bête du sérail et vais sur roche ainsi, comme une effigie : je regarde, j’observe, j’ai les yeux tout écarquillés, je n’en loupe pas une, je suis ce dit «voyant docile», cet entre deux, cet homme entre deux feux , entree deux betes de poids, entre deux parois, entre deux volontés de choix à faire,, etc. Je suis cet homme entre deux volontés et je vois devant moi
la chose des bois, qui semble vouloir me parler, elle me regarde, elle est dressées, elle est devant moi comme aux aguets et cherche à me parler . Il s’agit d’une «belle bête» comme il est dit. Je suis son valet de roche, elle est là pour me parler, elle cherche l’instant, elle me regarde. il s’agit d’une bête de poids, d’une bête lourde, d’une bête comme il en existe sur les parois, il s’agit semble-t-il d’un cerf de céa,ns, hautain, royal ou princier, au port altier, au port digne, au port majestueux. Il s’agit d’une «belle bête» du sérail, cerf de la plaine et des sou-bois. -IL s’agit d’un cerf de prestige, et je vais pour ainsi dire à ses devants pour toucher sa pelisse . Qui est-il pour moi ? un père digne ? colère ? homme des parois du monde ? qui est il devant moi pour me regarder comme il le fait incide mment.. Estil dans une colère sombre ? est il heureux du sort jeté à sa race brune ? estil de ceux qui rêvent à jamais d’un meilleur sort pour une vie sur terre ? qui est il qui me mate de près et semble vouloir me parler par la bande . Il est grand voire géant et en impose grandement (méchamment ?). Je regarde ses bois, son port, son allure. Il est pour moi ce cerf de la base et du sommet des choses de la vie. Il en impose cvomme jamais. Son allure est magique ou tout comme. Il est vif et droit dans ses sabots, ou sur ses sabots qui tintent sur la pierre dure des rochers. Il est le cerf-homme des attraits. Il est comme un seigneur de race. Ou de rage aussi bien : seigneur de sa rage folle, aux aguets, me matant comme jamais et cherchant en moi l’interlocuteur de choix (qui sait ?). Je m’approche d’icelui quyi ne recule pas . Qui est il au juste ? réincarnation
de qUel être antérieur à lui ? peut-être est il homme des bois comme moi et cherche t il ma compagnie pour cela, comme un qui trouverait enn quelqu’un d’autre un frère de sang, un frère des temps passés, un qui fut pour lui à son image ou bien lui, était à mon image un temps passé, qui sait ! car je suis pour lui l’eêtre du sang abordé, qui va vers lui vitesse grand v à la revoyure ou quelque chose d’approchant. Je veux comprendre chez lui ce qui est qui bout. De quel sang se chaudffe t il ? de quel bois va til fissa ? de quels muscles est il constitué au deumeurant ? Je cherche à savoir. Je tant voudrais ici savoir sur pareille bete des bois et des forêts . Qui saura me dire toute la vérité rien que la vérité ? qui pourrame donner les choses à savoir ? qui est pour moi la bienveillance même ? qui est là pour moi ? et qui n’est pas là pour moi ? Qui est là pour moi, qui cherche à me dire des choses, à me parler à voix posée, à s’approcher de moi par la bande, à me comprendre et à m’écouter volontairement : qui ? ici je ne sais. Je cherche assidument et assurément. Je veux ou je voudrais comprendre et savoir. Je suis parmi ceux et celles qui cherchent un savoir, un savoir profond. Je suis parmi ceux et celles qui ensemble (de concert) cherchent à comprendre ici bas les tenants et les aboutissants des choses du monde. Quoi est il ? que est le monde en vérité ? est)il lisible « = compréhensible = dicible ou rien du tout ? la science est là pour dire sa chose et faire entendre le son de sa cloche. ici je suis parmi mes congénères (aurochsrassemblés) et je vois la chose d’un certain eeil qui veut ou voudrait y voir de visu dans la profondeur, c’est un fait. Je
veux = je voudrais : comprendre, c’est à dire prendre à pleines mains et m’en pourlécher les babines à satiété et de contentemen,t . je suis homme des bois à la recherche d’iune vérité «profonde», et voilà dès lors la chose que je veux compre ndre, qui à moi est à comprendre ou comment dire : qui se doit pour moi d’être comprise . nous tournons autour (musicalement parlant) de la vérité des choses, car nous sommes musicaux / musicales de base. En nous gravite le chant des oiseaux, des biches, des serpents, des betes diverses. Nous disons chantons permanemment = nous tournons la terre glaise, nous tournons comme des affamés de première, nouschantons-tournons comme affamés du bois joli, qui cherchent incidemment, continuellement, en virevoltant, à comprendre et attrapper , qui une sentence, qui un phrasé de vérité.Je suiiis homme des prés à la recherche de la vérité des choses adjacentes à un corps de chair et de sang (le mien en l’occurrence) et je vais et je viens (je virevolte) comme un animal des roches, ici et là au même instant (quasiment) tant mon allure est vive, ma parole dru, mon port princier, la vitesse acquise avec la marche, droite et debout, comme un ours en furie, comme un yéti, comme un singe du paradis etc. Je suis cet homme-là qui ici caracole de fait car en lui le feu règne qui le pousse à dire, virevolt de première = temporel = fatal = fatalement temporel = vif comme l’éclair. je veux dès lors (tournant que tu tourneras) toucher à cette chose de la vérité fuyante dans les entrechats et les entrelacs, essayer d’y voir un petit quelque chose de vital, de sûr de chez sûr mais rien n’est moins sqûr ! Car quoi ? car, je suis celui qui dans le temps développe pour le coup son phrasé de base sanguine, il est là pour ça. Je suis l’homme-chien, ou bien l’homme-cheval, ou bien l’homme- buffle, ou bien l’homme-bison, ou bien l’homme-aureochs des bois et des plaines. Je cherche à qui mieuxmieux à me rea pprocher d’une base fiable, pleine, compacte, certaine, assurée, dure de chez dure, dans la langue que je porte en moi indécrottable et qui constitue le fond de mes pensées. Je veux savoir vite et bien ce qui est ici, en cette zone aux bêtes de poids, qui y a til à voir de si important ? je veux comprendre dur et pouvoir retranscrire fissa toutes les donnhées, données récoltées par la bande par moi. Je suis homme des recherches pleines, des recherches menées à vif tambour battant. je suis hommes des recherches menées à l’emporte-pièce
ou autrement mais toujours dans la joie de me pencher fissa sur pareil sujet de contrebande. Je colle à la chose. j’essaie bon
an mal an de comprendre. hj’essaie de me rapprocher d’une ou d’une autre de ces vérités qui comptent, ce qu’elles sont pour moi, ce qu’elles sont pour moi m’intéresse, ce qu’elles recèlent est du pain béni. je veux creuser dans la roche du temps = dans les profondeurs des choses de la vie et toucher (à ma façon) la chose vraie qui semble ou semblerait être une chose rude mais avérée. Je ne veucx pas laisser tomber de sitôt , car mon but est toujours (ou encore et toujours) de toucher (soit de toucher à vif) le coeur d’icelle «vérité musicale». Ou sino n musicale quoi ? car, il se peut ici que la chose à dfevoir comprendre (via le temps et donc la musique) soit chose «sans musique» justementt ! soit bloquée ! ou comment ? bloc de vérité sans temporalité ! autre mesure ! et nous de tournebouler que tu tournebouleras comme un musicien de campagne , au flutiau du bois joli, chantant par moments sa romance, oh le gueux ! Je tourne autour ici d’une chose rude = compacte : de l’autre côté»»», qui me regarde ou me regarderait comme le fait l’animal meuglant, mâchant son herbe, ou tapant du pied. Je suis cet homme tournant autour, comme un forcené de sa race belle, il cherche à comprendre au mieux les données du temps, il cherche vif à mieucx cerner les tenants et les aboutissants des choses du monde. QSui estil pour essayer pareille chose ? SQue veut-il nous dire ? que veut l’homme des bois ? qui suis-je que je ne suis pas ? qui et quoi suis je en vérité ? le temps est un déroulé pariétal (et paroissial) qui en impose musicalement et dit sa cghose rude , qui est : cette chose ici, comme quyoi la vie = un déroulé, mais la vérité est une et hors du temps ! je tente l’approche : un aurochs ! oui pourquoi pas ou alors quoi d’autre ? je chezrche continuement à comprendre lkes données de base et cela qui serait pour nous comme de l’ordre de lka vérité des choses du monde = hors la musique des profondeurs ? hors ou en dehors d’un temps déroulé comme une fibre ? hors d’un éventuel déroulé fibreux pariétal ? hors la paroi et ses émoluments ? que sais -je ? je cherche à comprendre à ma façon peutêtre malvenue, voire mal menée et cependant je cherche, je ne cesse de chercher à même le temps, à percer la roche = traverser , et mieux y voir de près , ou à mieux cvomptrendre de près ce qsui est et ce qui semble ne pas être. Je suis cet homme homme-animal chargeant la roche. je suis cet hommefou ou fol, qui fonce fissa tout devant pour une approche des choses du monde dans la vérité de leurs évolutions et autres circonvolutions. qui pourra m’aider à comprendre ? qsui pourra me dire ce qui est en vérité ? la mort est elle au bout du bout du monde ou seulement «à moiti-é» ou comment ? La
mort est elle une entité personnifiée ou rien du tout ? quoi nous attend de plus ? les mots ont ils raison d’être ? très certainement ! Les mots ontils raison d’être pour nous, hommes des contrées humides, vivables, etc? très certainement ! Les mots ont ils raison d’être, pour les hommes des parois et autres roches et rochers rupestres ? assurément ! car le mot est là qui bloque écoutilles ! il est là pour ça ! il ne s’en laisse pas conter(à savoir : par la mort à l ‘euvre) c’est un fait ! Les mots sont cette cghose en contre-bloc, qui sert à ça, à contrecarrer l’adversaire, cette chose rude des devannts à soi, ce monument de lka mer morte, cette charge contree soi qui plombe etc. je veux dire ce qui est. Je tourne autour, dans ma farandol;e. que faire d’autre en vérité quyi puisse nous aller ? nous sommes ainsi motivés, nous nous motivons de même, nous nous motivons par là même ou nous nous motivons de biais ensembkle ou comment nous motivons -nous ?Nous sommes tous et toutes, toutes et tous, de la partie fine. Nous sommes toutes et tous, tous et toutes , de la partie fine. Nous sommes ensemble pour une partie. nous sommes aimant, nous sommes qui aimons aimer. Nous voulons nous rapprocher d’une vérité de base, vérité des vérités de base. Nous zavons pour nbous cette chose en nous d’un vouloir qui est vouloir d’approche, d’approche de la v érité des choses du monde ! NoUs voulons savoir ce qui se trame au sein du monde et pour ce faire rien de mieux en vérité qyue de crever l’abcès, et musicalement de préférence, munis de sa clé, etc. Nous savons, nous comprtenons, nous savons que la chose est rude. Nous savons que telle ou telle chose est rude et dure à cerner ou piger à la dérobée. comment s’y prendre pour bien aller, ce n’est pas facile de trouver !dès lors que faire ? où aller ? en quel lieu nporter ses guetres , ses mitaines ? Nous cherchons assidument et à plusieurs, c’est à dire à tous et toutes et à toutes et tous autant que nous sommes. Nous voulons comprendre loin, et aller loin dans les profondeurs des données existentielkles. Qui va pouvoir dire à nous la vérité vraie des choses du monde = ce que c’est que la mort en vrai etc. Je suis l’homme cherchant pitance. je veux savoir. Je veux qu’on me dise. Je veux apprendre
des chose, je veux en apprendre, je veux aussi en avancer. Je suis homme ici
qui cherche à comprendre et à savoir les choses du monde : ce qu’elles sont pour moi, pour tout un chacun quui va dans la vie à la recherche de données fiables et sur quoi pouvoir compter sans plus de trouble. je regarde près de moi. Je suis là près de la bete à presque latoucher. Je suis à ses côtés, elle est vive = vivante. Je suis près d’elle comme jamais je n’ai été : qui est-elle pour moi ? que dit-elle ? que dit la bête pour un être comme moi parmi d’autres bêtes de poids ? qsue veut-elle dire en vrai ? sait)-elle parler ? squi est lza bêtye pour moi ? qui est cetyte bpête en particulier ? qui est cette bête pour moi en particulier ? qui pour moi est cette bête en particulier ? qui est en particulier cette bete des bois pour moi qui suis à ses côtés ? qui est pareille bête debout devant moi à me regarder ? qui est pareille bête devant moi qui chercjhe ou chercherait àà me parler ? sui-je un homme pour elle ? suis-je l’enfant ? suis je dieu vivant comme une gageure ? un monstre de céans, roi -reine ?
qui je suis ici pour pareille bête des temps refoulés ? Je veux comprendre le refoulement ce qsu’il est pour moi, et aussi ce qu’il, représente en termes de données de base lié à une véerité ancré&e. Qui je suis que je ne suis pas en définitive. Car, qui dit «je» dit «me» dit «meuh» dit la vache et consoeurs, c’est sûr ! et pour quoi cela ? Parce que je suis vache et veau (taureau ? boeuf charolais ?) : quoi suis je au fond de mes entrailles (ventredieu) ? suis-je un être des przairies de la prairie ? suis je hommechenapan chargeant sur paroi à la recherche d’une effigie, effigie de contre-abord ? qui je veux être aussi ? qui je suis que je veux être ? qui ici je suis que je veux être ? qui ici suis je que je voudrais être au juste et longtemps, c’est à dire jusdqu’à temps que c’en soit fini (de comprendre et de savoir) : qui ? JKe suis homme de la foi en cette chose appelée du doux nom de «mort en branche», etc. Mon coeur est coeur de jar. Il s’agit d’un coeur animal. Mon coeur est coeur de porc, il s’agit d’un coeur animal. Mon coeur est coeur de mulet, de porcin, de verrat, de bête à groin , il s’en faut de peu. Je cherche une parmi d’autres
vérités de poids, qui puisse en démontrer, en dire long, se positionner, montrer sa chose pconvenablement. Je suis homme au groin, bete-bisque, chargeant sa mule princière à tout va. qui suis je ? l’être fol ! qui je suis ? je suis lk’homme au corps dép^loyé dans un temps donné par qui on ne sait . Je veux aller loin en pareille roche du temps et toucher la v»érité comme d'un corps plaisant devant soi tout à caresser et à aimer pour ce qu’il est. je cherche une donnée franche. Je suis qui va de l’avant, cherchant tout azimuth les choses avérées sur lesquelles pouvoir s’appuyer. je suis homme au sang bouillant, qui fonce, va vif, touche, creuse, commence ici et continue là, va droit devant et comprends les choses crûment lorsqu’elles se manifestent lentement. je suis cet homme aux recherches assidues, cherchant ici et là où poser ses guetres et autres attributs de roche. Qui
sera pour moi la personne idoine ? que vais-je comprendre à tout ce tralala(à tout ce charabia ?) des choses du monde ? qui me nargue ? où sont mes bottes ? qui a rangé mes culottes ? etc ! je suis là qui cherche ! et ce que je cherche ou recherche a une importyance à mes yeux considérable il s»en va de peu ! je suis homme des apprets et des décharges, qui (dans le sang) comprend (hum, comprendrait) des choses. A savoir : comme quoi
la mort est au rendez-vous bien e,n place pour nous. La mort est au rendez-vous fixé et nous attend, de fait, de pied ferme et la bouche poouverte. La mort est là qui nous attend pour ainsi dire de pied ferme, la bouche oueverte, au rendez-vous fixé (préalablemùent fixé) par qui de quoi que sais-je ! Il est ainsi que oui la mort est là au rendez-vous fixé par quyi de quoi que sais-je et elle nous y atte nd de pied ferme et bien attablée. Je suis homme qui(d’un bond d’un seul, voire de deux) va au rendez-vous fixé par la mort. la mort fixe un rendez-vous et nous regarde ici ou là, chargeant, donnant pitance, relevant sa bure grège, montrant ses attraits. Je ne suis pas cet homme-bête là qui cherche à toucher à) tout va ! je file (phil) comme celui-là qui craint l’eau froide des rus de campagne. qui me verra ? qui saura me voir ? qui va en vrai savoir dire à moi la vérité toute nonchalante
? Je voudrais en avancer le plus ppossible et crever l’abcès. Je voudrais percer et fortune et la chance, et le mal , et la cloque des parois dures, et passer. Qui peut m’aider ? qsui est là ? qyi parle ? qui parle avec mpoi ? Car je sais qu’avec moi quelqu’un parle pour moi ! qui parle pour mpoi et me dit des choses de poids ? qui parle pour moi quand je parle ? le phrasé ? la langue ? le patois ? la phrase elle-même ? le temps ? le temps musical ? la musique princièere ? une chevauchée ? une dulcinée ? une promise ? une promesse ? un chant de la plus haute branche ? une brancjhe ? un écureuil ? un chien ? une betye rosse ? un cerceuil ? un tiens vaut mieux que deux tu l'auras ? etc! car ici la chose est certaine comme quoi en moi (me) parle x, ou y, peut-être, et pas qu’un peu ! Qui dit quoi en moi ? qui me voit et prend parole ? quyi de moi est la chose assise, ou comment ? en moi ou sur moi, assise ou pas, qui est là ? je cherche une raison parmi toutes celles qui (dès lors) me sont comme propposées par la bande allègre du temps. Je ne suis pas au bout de mes peines. Je sais pertinnement qsue la
chose est rude , que lke mal est profond, que la vérité est incertaine, les blés sont coupés. Je sais ce qui est de front. Je sais que ce qui est est de front obligatoirement. Je sais pertinement que ce qui est est véritablement positionné comme chose de fond à devoir creuser, explorer par la bande, si possible par la bande. cette chose est sue de moi qui chercxhe vaillamment et ne s’enn laissees pas (jhamais) conter en vrai plus que ça. Je touche au but , je ne suis pas loin de l’arrivée. je me rapproche posément. Je suis à deux pas cxd’y arriver. Je ne suis pas loin d’arriver à bon port et cela parce que je suis là qui creuse tout du lmong comme mon nom l(‘indique et aussi comme il se doit en pareil c as. je suis home qui cherche fissa à tracverszla lande une chose de poids qui puiissee en imposer et pas qu’un peu devant l’auditoire, à savoir devant icelle mort de bonne compagnie dit-on. ou pas de bonne compagnie, c’e’st idem. C’est chose pzareille. Il s’agit de soi. Il s’agit ici de voir à comprendre pourquoi ici la mort, etc. La mort ici est chose pareille = idem = la même = la chgose en tous points ressemblante à une «bonne compagnie» pour soi, en soi ou avec soi. Je cherche et tourne que tu tournezras, on le voit. Je suis pour ainsi dire celui-là qui cherche ici à comprendre, une chose et l(auttre concomitament, et pour cela : une écriture-manifeste, dure d’oreille, colère, fissa-vite vite déroulée comme une temporalité princière, tapis sur lke quai, etc. Je tate des chosescrument et cherche à déployer toute ma mis!ère. je suis homme des temps reculés. JHe fonce à la dératé comme un qui serait lancé par une main assermentée et assurée et sûure d’elle, de son trait, de son élan, de sa justesse, de son savoir, de ses compétences, de son bon vouloir, etc. La main qui m’a ou m'aura lancé en premier est ceklle-ci : main de base. La première main est la main d’un temps révolu. La main première (primaire) est la main du sang (aussi étrange que ça puisse paraitre
il se fait). Je comprends les choses depuis là = cet endroit de ma misè§re déployée. Jez suis là à comprendre cette
chose cd’une main
portant l’êttre, l’être de départ, comme étant celui qui est (serait) né d’une
volonté. La main prime. Au début il y a la main. la première cghose = la main ; Mais qu’en est-il en véritéé de cette main ? que dit la main ou quoi est-elle dès les origines ? que est la main dont nous parlons comme chose des origines = point de base et des départs multiples, et concomitants: qu’est-elle au juste dans la vérité ? eh bien, la main, vcette main dont nous parlons, cettemain dont hje parle ici, cette main des origines, cette main originelle, cette main première et primaire, etc, cette main n’était pas une main à proprement parler, ni même un bras, ni m^me deux bras, ni même un membre,;, ni même deux membres, ni même de la chair humaine, ni même de la corne ou de la peau ou de la défense, ou de la crinière, etc, cette main était Volonté Divine , Volonté de Rage, Volonté Naerquoise, Volonté Affichée, était Volonté d’un être de Rage, Volonté d’un eêtre de parole crue, de parole drue, de parole forte comme alccol de même ordre, etc. La main dont nous parlons est la main qui préside, est la volonté première, ce «je veux» tant énoncé, ce vouloir de bonne parole et «d’a gréable compagnie» si tant est. la main ici est chose de base, dure et rude, peut-etre rugueuse. Elle pousse à être un temps. Elle débloque les compteurs du temps. Elle lance le mouvement?. car il va de soi qu’un mouvement a autrefois été lancé par on ne sait qui ou quoi en vérité mais c’est un fait. et il est évident que ce fait est capital. Ce fait est très important pour le genre humain. Les choses sont dites ici en toutes lettres. Il n’y a pas à tergiverser ou à faire la moue ou la tête ou à se montrer commme dubitatif outre mesure car lka chose est vraie, la chose est certaine : les mots le disent ! Les mots disent cette chose de «la mort à l’oeuvre», de la mort commandant le petit peuple des hommes et des femmes des Temps. Je cherche que tru chercheras, je cherche assidument;, je cherche à comprendre. il se fait ici que c’est (en vrai) un fait avéré, cvomme quyoi la mort est
cette chose qui de fait cfommande de base, trie, commence, débloque les compteurs du temps et tout de suite (dans la foulée) s’en repend et nous le fait payer monnaie trébuchante et clinquante. La mort brille de tous ses feux. elle n’est pas de la gnognotte : elle est vive et brûlante-brillante. Il faut dire ici cette chose concernant la mort. Il fauut dire ici cette chose comme quoi la mort est la motrt de dieu, la mort ici décrite est celle concernant un dieu, un dieu vivant, une déité contenue dans les faits, une sorte de déité que les faits en soi contiendraient et conserveraient pour eux et en eux jalousement et bien contre eux comme enfants de rage. je sais cette chose comme quoi la mort est morte à la base. Elle s’en veut d’avoir perdue (via nous) beaucoup. elle est morte
pour la mort, mais pas morte pour la vie, voilà ce qui est au juste. La mort a changé de camp. la mort à la naissance (à nottre naissance) a changé de camp. La mort est une chose qui à la naissance nôttre, etc, etc. ... et pourquoi cela ? Parce que voilà : la mort est double ! La mort nous mate doublement. La mort ... accouche dee nous, et, dans un :même temps, nous cherche des noises c’est étrange ! Il se fait ici que pour nous, qui sommes cdeux, nous devons comprendre (l’animal et moi) le pourquoi du comment la mort en est arrivéev là à nous adreesser la parole, une parole de dieu, ou du feu de dieu. Car, c’est ainqsi que sont les choses. Les mots en bouche appa retiennent à une déité-divinité pascale, il s’agit de le comprendre. Les mots de ma bouche perlent. Ils sont mots de rage tenue = contenue = maitrisée comme la bête conduite à la mort. Je cherche une parade langagière et vais-je la trouver, et si oui ou ça ? je cgherche à comprendre les données de base ici présentes, ce présent déposé à même la table d’offrande d’une vie entière à éprouver. qui me dira ce qu’il en est en vérité de pareille gageure ? QSui sait ce qui est ? qui comprend les choses dans la profondeur ? je cherche à percer le mystère de la profondeur mais où est elle ? il y a le déployé du temps comme tapis de charretier, il y a ce temps des choses déroulées, mais la profondeur ? ce qui n’’st pas vu va l’être, de fait ! puisque la vie de base eswt déroulé de bawse ! alors la profondeur ? ou donc est la profondeur ? qui connait l’endroit des profondeurs ? non point des profondeurs «de la rage et du temps» mais celles des choses cruciales , qui ? je suis à la recherche d’une vérité ancrée. Je suis à la recherche d(une vérité des
profondeurs mais en vérité je n’y croois guère, ou disons que je me dis que de la profondeur en vérité je n’en verrais pas la couleur, ou plutot que de la vérité de mon vivant je n’en verrai pas la couleur, parce que la vérité n’est pas de ce monde c’est un fait avéré. La vérité n’est pas de cemonde, ou disons la verité dews»petits faits» oui, qui peuvent s’explkiquer, a + b, mais la vérité concernant la mort (par exemple la mort) soit «les grands faits» de société, eh bien vas-y à comprendre et savoir! va donc hé du petit malin ! va à comprendre long, va à savoir large, c’est dur et malcommode, c’est pas dit et pas facile, c’est un truc et l’autre, etc.! je sais (pertinement) pareille chose et en parle là ! jesais bien que les choses de la vie et xe la mort ne sont pas simples à aborder avec les mopts de la tribu c’est-à-dire en vrai avec les mots de la rage, je le sais ! Je sais parfaitement que ces choses-là sont coton à appréhender avec justesse et avec toute la justice requise. Je comprends très bien cette chose commpe quoi les mots glissent sur les choses comme des canetons sur un lac de base?. je comprtends. Je ne suis pas fou. Je ne manque pas d’air. je suis lm’homme non assoupi. Je cherche avec des mots comme les copains / coppines. je ne suis pas vraiment à part. j’appartiens à une clique. mon nom est nom de peu. à lm’envers il se lit Loopings. on peut croire en moi on peut ne pas y crooire./ On dit bien des choses en moi, on dit des chosesc à part moi, ondira des choses, il s’en dira ou ne s’en dira pas
. Moi = dires. Je conçois. il va sans dire que je le conçois. une bête en moi est une bête en moi qui dit ce qu’elle à dire, et ce qu’elle a à dire est cela : je suis en toi l’etre de feu qui croit en toi et actionne le foyer de ta rage à être . je suis toi tout autant que toi tu es toi car je suis en toi. Je suis cet être ezn toi quyi te chevauche, obtempère, te guide, va vif et vite, fouille en toi dans la profondeur d’une mémoire ... peu véloce au demeurant , du moins on pourrait le croire. je suis, en toi, cette bpête dees apprets, des attraits, qui cherche à sortyir de toi (fissa, fils, fille)) et meubler le temps de la paroi? Je = me = noeud = cri = christ = char = va nu pied et de la tete au pied= va nu pied = nu de la tête aux pieds = vif l’éclair = le cxharmant des temps des
reines et des chateaux= l’ami sensible = le tombeur = la vie en ses retranchements. Je cherche une solution fiable, digne, responqsable, avérée, qui puisse de fait déccliner son identité ou du moins nous dire qui elle est en fait de vérité, etc./ Je suis à lka rechercxhe (coutumière) d’une vérité de bon aloi concernant des Faits de Gra nde Vie Allouée= FGVA et c’’st ainsi que je dis cela comme quoi les FGVA sont là qui demandent à être explorés fissa, et voilà pourquoi je m’y emploie. Je cherche à trouver ici passage, ici = dans le Verbe de l’Au-Delà à soi. Je cherche à comprendre le plus loin possible et le plus possible ce qui est , c’rest à dire ce qui ici même se construit à même le temps. Et ici cette chgose (construite, élaborée) est du temps de RAge comme il en exisqte en vrai ailleurs. temps rageur (enragé) de ma rage à êtrte ici bas celui et celle -là (les deux je veux) qui savent (sauront) à qsuoi s’en tenir : coque humide. Je suis être au chant choral ici déoployée (le revenant) qui dit ce qui est et qui s’impose de la sorte au sein d’une meute . Je veux être vif. C’est dit. Je veux être coriace, voilà qui est dit. Je veux être ici celui -là qui charge à tout va et cherche sa voie dans cette rage à être présent, soit le présent, le temps présent, et le présent soit l’offrande déposée au pied de la roche. Je suis l’être mouvant = meuble . A toi à moi ! voilà de quoio dire ! et moi itou y vais chargeant la mule ou le mulet pour une aventure «de poids» soit icelle aventure à même la pa roi des morts, des morts-nés, des morts-vivants, des morts de ta rage à être le malodorant, malmis, malfichu, malconnu, malembouti, malêtre. Je commande : kje commence. Ici nous sommes deux, c’est à dire qu’icvi il y a moi qui suis cet homme des parois toutes menaçantes, et ensuite lui (ou elle) qui est pour le coup cet être de foi (en la mort pour soi) qui est cet animal de bonne compagnie (ou pas : selon) qui obtempère en moi, dit sa cghose via la chose d’un tic tac de base et s’en excusepresque. qui connait tout ça ? qui sait ce qui est ? qui connait les choses du mal ? qui peut m’aider à m’y retrouver sans trop de soucis et sans trop de peurs ou d’effroi ? qui est qui pour moi ? Je cherche à dire des choses de poids mais ces choses ne s’imposent pas qui glissent sur :la base meuble des dires divers. Je comprends mille chose. Je suis à m^$eme de co:mprendre mille et une cghoses c’est un fait mais bon, pourquoi se passer ... d’une petite sieste, et relacher tout? ou plutot : pourquoi ne pas relaxcher un tout dsans une sorte de ... sieste de base, ici et là, yeux fermés pour la gouvernance, et on laisse à soi venir les paroles de poids si tant est. HJe croiqse les doigts pour cela, car j’aimerais. Je serais fou de joie de pouvoir tracer que tu traceras sans trop être là en tant que moi qui plombe, écrase, obstrue le passage . Fi de moi et gaiement filons à même la la,nde ! une bonne sieste au pied des tourments, nacrés, étoilés, etc. je veux être l’être hors de moi, et cet être (l’animal) lui «tendre la perche» et lui donner voix au chapitre et que l’être parle ou parlât à ma place , ouiiiiiiii ! oh oui je veux ça ! que ça ou cela que ! en vérité ! car oui, jhe suis celui-là qui cherche, qui tourne que rtu tourneras, qui fouille, qui comprends, qui veut, qui va, qui tourneboule dans son pré carré et de prédilection. Qui est avec moi pour l’occasion ? qui me suit qui m’aime ? hum, peu = pas grand-monde, on voit ça.Et pourquoi cela ? car, mon parler déraille grave, ou : poarce que mon phrasé , musicalement, incidemment, n’a pas de charme et tombe à plkat à tout va ? parce que je suis je ? parce que que ma voix est celle d’uyn rat ? d’un mulet ? qsui veut de moi à la vbonne heure ? on voit que ;les choses sont là que donc cette xchose , comme quoi personne etc ne veut de moi quelle tristesse (pour moi : rien que pour moi, dès lors....). Car, qui dit «soi» dit «roi» de même. Il s’agit xd’une sortye d’échancrure à même la paroi du temps. reprenons nos esprits, essayons d’éclaircir les données sommaires, soyons concentrés. nous voyons ici que des choses sont qui nous rezgardent. Nous voyons icvi que des choses de poids (ici et là) sont qui nous regardent. Nous pensons à une chose et une autre advient dans un déroulé temporel qui conditionne et à chaque fois éloigne. Les propos sont caracolants comme des roues toutes motrices, c’ewst ainsi et cela nous sied qui nous en accommodons par la ban,de. Nous sommes nantis d’une langue svelte. Notre ombre nous suit, et c ette ombre est la parole de guingois dans notre bouche (une saleté d’étoupe à moudre) .Je sais comme quoi les chosex (de la vie et de la mort) vont bon train. Je comprends cette chose d’un parler urbain, posément gagné, dépourvu de vérités ancrées mais cependant la ramenant, la ramenant à tout va et à tout bout de champ comme des muletiers.. hje sais cette xchose d’un dire de tête, fort, fort en thème excessivement et volontiers, etcx. Ces dires sont ceux qui se passent (on dirait) de rage, à première vue et sans creuser? or non ! tout dire est nanti (à la base) de rage !tout est dire de sa rage vive, ou plutot : tout dire est dire de sa rage drue et dure et vive colmmme la couleur. je tombe sur des mots de moi rapidesq. je comprends ce qui se trame vite fait. je déboîte au débotté et concède les données qui sont les miennes. je suis un homme des parois dures. Une femme douce à toucher. Un homme rude à co:mprendre de fait. une femme rugueuse
, une arme, une drôle de paroisienne, chevaline, un cheval, une ombre. Je suis ombre-homme et femme juste. Je caresse des espoirs ou comment autrement ? je dis que je suis ceci, je dis icvi que je suis celui-là qui cherche.
Je tombe à la renverse, en arrrière =. Je dis que je tombe ici :même co=mme à la renverse = comme en arrière et vois défiler le Verbe. Le Verbe est donnée de rage, est donnée de base, est cette donnée en soi (don par la bande) d’un quelqconque ou d’un quelqu’un en soi ou de qui en soi ou quoi en soi-meme qui sait et que sait-il ? dieu de face. que sait il ? qui est il qui sait ? je ne sais qui est qui ici en c ette chose d’une sorte d’abri. Je cherche à comprendre depuis le début mais quel est-il ? où est cette chose d’un début de quelque chose en soi ? qsui pour dire cette cjhose ici ? qui va dire ici cette chgose d’(un début pour des données franches ? squi pour dire cette chose ici d’une sorte de commùencements (lesquels ?) qui seraient du Verbe, qui seraient Verbe, qui d’icci ? je vois près de moi une chose ramenée. Il s’agit d’une chose perklière. Je vois ici la chose déposée. déposée par la ma rée. je vois ici pareille chose ramenée par une vague oblongue. il s’agit d’une coque perlière. Je syuis homme des parois du monde passagher. Mon corps va p âsser. le corps passe. tout passe et trépasse. Tout va qui passe et trépasse. qui de quoi dit la chose en vrac ? je suis cette personne à mon tour oblongue. Je tombe des nues à la renverse;, poussé pzar la mort e,n personne. Je veux savoir quoi , quoi est qui m’atteznd?. JHe suis homme des parois rudes, dures de la chose en soi, parois du dur de la chose rude, qui est chose
des tourments qui sont choses des dires du monde. Je veux déposer à mon tour : ici paroi, comme une sorte de pierre d’offrande à , de fait, formaliser. Je vois loin les choses du monde. Ici sont lointaines, les choses du monde. ici lointzaines sont les choses. Ici bas sont lointaines les chosesq. Ici sont b asses et bas les chopses du monde. les choses du monde ici sont bien basses qui se laissent «penser», hourra ! Ici basses sont qsui se laissent
«penser» les choses euréka ? jhe suis ombre-homme devenu cheval. Mon cri est l’ébrouement et ... le cri dit «de hjoie». le cheval hennit, la pôule caquète, l’homme pense tout haut et volète. je suis l’ombre de mpoi même, je trafique dans la matière. je veux être menaçant, colère entière, un qui vaut deux dans le genre (c’est dit). Je veux être ici l’homme)-chercheur de base, celui-là qui depuis lui (son coeur-antre) cherche phrasé à la hauteur cdes vérités ancrées mais ce n’erst pas simmple, et le dire ment continuelklement qui est temporel et se doit de fait de pour le coup se dépl:oyer cvomme u,ne vérité étirée qui dirait son être comme à la cxdérobée mais vas-y. La vérité dite «étirée» n’est pas la vérité mais «l’étirée» de rage, rien de plus. La penséedéployée fait rire au)-delà de là. la pensée (aussi bien le dire) fait bien rire au-delà de l’au delà, c’est dire ! à gorge déployée fait rire c’est dire ! une belle tranche de rire ! une de ces tranches que je te dis pas ! etc, c’est dire ! une belle tranche comme quoi... etc ! c’est dire ! je ris ! je ris de plus belkle ! m’esclaffe tardi c’est un fait ! La pensée déployée c’’st du rire en soi ! c’ewst dire la cxgose ! Penser -= s’étaler de tout son long sur terre-mère ! Penser ou dire (dans le temps dès lors) = s’étaler comme une sombre merde sur le sol d’une sorte de parade à être vivant. je vois la chose ainsi qui s’étale (de tout son long) sur un sol de grève, c’est un fait indubitablement avéré. Je pose sur moi la
parade. je pose sur moi (mental case) la parade = en moi, en mon sein. je cherche. je m’esclaffe idéalement de même. Je veux m’assoupir et laisser venir diablotin. cfomment faire ici pour aller plus loin et essayer d’y comprendre plus et plus encore dans ce sas de la rage à êttre ou de la rage d’être cet hommme de feu, de peu, de meu, etc. cela est qui me concerne : mon ton son nos voleurs. je sui s cet homme là qui cherche une voie par le langage ou plutôt dans le langage = un accès vers un, semblant de dire non hautaibn. Je voudrtais co:mptendre àfond les choses de cela ici qui coince ou coinceraitUne voie dans le langage, non pas ma voix mais une voie d’abord = un abord veineux. perfusion. prise de sang. je veux cette chose (dabord) d’une sorte d’accès de type abord veineux pour une perfusion (ou prise de xsang ?°. Je suis l’infirmier de céans qui chercjhe, et squi cherche assidument ... dans le xsang, le xang des autres incidemment. A prése,nt dans son propre sang. Je chgerche vdans mon propre sang une chose. Je cherche une chose à présent dans mon propre sang. à présent je suis l:’homlme)-bête de joie qui (je) cxherche ici présentement (suite logique) une chose de rage sanglklante (l(infirmier) à même sa rage./ je chercheche le présent (l’offrande) de ma propre rage présente dans un sang bestial. je suis c et infirmier qui prélève sang de rage et sang de bete en soi, comme l’écume, l’onguent, la graisse, le vil écoulement ou non-vil écoulement de soi à typpe de quoi , de selle ? de’urine vive ? je t âche de co:mpfrendre au mieux. j’ai été cet infirmier qui préle vait le sang ... à
l’hôpital, et même au domicile (un temps ) des patients / patientes, petits / petites ou grands / grandes. Le sang est cvette chose qui contient le Verbe vivant, le VErbe des bêtes de rage contenues en nous qui sommes v ivant et aussi des vivants ou vivantes sur terre. Je sais que la bete pour le coup m’habite dans le sang qui, en moi, vit sa vit de vERbe. je veux dès lors ici dire ceci : comme quoi le xang = la bête des prés qui me suit paretout puisqu’elle cvit en moi qui suis le réceptacle de sa vie vive. Je suis co;:lère à partir d’elle. Mon cri est son cri. Je suis pour elle contenant. je veux la co:mprendre c’est à dire que je veux coûte que coûte comprendre la b ête en cela qu’elle est ou szrait pour moi une voie d’abord. un accès possible pour une aprrochje possibv;e. je cgherche à comprendre en moi ce que cette bête est. Je cveux au mieux , au plus, au plus vite, comprendre, savoir, etre, dire ici ce qui est de cette bêzte rosse ou pas , en moi, qui sent sa p^résencxe. cette bpête en moi esrt bete de jhoie dure, rude etv rugueuse, qui en moi toujoures sr’époumone, est colère, ire de joie, ire vive, ire prononcée, ire velue, ire commandant, ire disant la bonne aventure d’une vie-mort à dépl;oyer, incidemment, dans le temps. Le temps est hors. le temps (vraiment) est hors? il est or, et hors. le temps est hors, et nous de dépl;oyer nos choses du ,monde, cdans un déroulé qui mime le temps de par sa cxhose douceureuse ou pas, de par ses attributs de rage à dire, de par son velouté de base animal, de par sa faconde coutumière. ici bassse, ici bas. La roue tourne. Le soleil se lève à l’est. on voit la parole lointaine qui menace. On voit la rage monter. les mots caracolent de première. on sent venir le mal de la douleur à naitre. Il est cette cghose ici à comprendre fissa par la bande, et cette chose est rude comme la justrice, fine
fleur de la manche, des branches votives, etc. IL s’agit toujours de la parole meuble, toujours essentiellement déplacée, toujours essentieelement reportée, prolongée, étirée
, dépl;issée comme une fibre. je cherche en mpi-même à bien cernezr ce qui est qui se présente sous mes yzeux mùais ce n’est pas simple, cela n’est pas simple du tout ccar je suis mourant et dès lors je risque gros qui peux défaillir d’un moment à l’autre. Je sais cettye chose pertinemment. je sais que mon compte est bon et bien rempli sur cette question d’un dire hautain de naissance, dire de langue autoritairement présxente dans le sas (sas des sas), et voilà pourquoi je tends toujours à vouloir m’excuser de dire, de parler, d’ouvrir la boite aux dires divers. jE suis autre que je bbveux être hélas. je voudrais tant être différent et parler malin = parler bien = parler reconnu = parler adoubé par la bande paysagère (les malins de rage : ceux / celles qui savent percevoir idoine). je sens cette chose approcher mais pas encore là pour moi, hélas, car mon mérite est grand qui se vautre. Je voudrais co=mprendre ce qui est ici, dee grâce, et comment cela sinon en parlant (ici) à mon tour, des choses qui comptent. D’où .... mon envie de tzenir continument le jhournal de ma féerie, journal
(journaaux) de type un tantinet (oui-da ?) ésotérico-placide, qui puisse (et puissent) me donbner du grain à moudtre. je cherche un temps de bataille. mon souci prégnant est de chercher ici (le temps) l’enxdroit pour déployer (et où d»ééployer) toute cette chose amoncelée en termes de betes à rega rder, à toucher dyuu regard, etc. La bete a en mpoi sa place à présent consacxrée mais qui reste à situer. je cherchje en mpoi (de moi) où donc la bùete est logée et cezla (cette recherche) est à mener avec sériuex et tact. je ne veux pas déranger la bête. Je veux lui parler calmement et sans l’effrayer. je veux qu’elle sache de mpoi toute la bvienveillance qui est en mpoi à son égard, qui m’habite comme elle (la bête) m’habite. Je regarde deva<nt moi, et je vois la chose se présenter, soit la Chose qui, vue de près, c’est sûr, en impose, c’est frappant. Je sais que cette Chose sort de moi qui la contenait malgré moi. La Chose porte un nom qui reste à décghiffrer , d’où mes écritures. ça viendra. La Chose est vive, elle vit, on sait cela comme quoi la Chose est vibvante, n’est pas morte malghré les apparences. C’est-à-dire que la Chose (la :mort en vérité) n’est pas (elle, pour le coup) morte comme on pourrait (parfois) le penser ou s’y attendre. La mort porte un nom en p^lus de «la mort» on l’a compris. donc , on peut dire ici que la mort a (ou porte) deux noms en quelque sorte. La mort a pour nom : la mort. mais la mort porte un autre nom. la mort porte ce nom commun dit «la mort» ou «de la mort», mais la mort porte un autrte nom. ce nom eswt à venir. c’est à dire que le nom de la mort , ou l’autre nom de la mort, n’est pas encore là, il est à venir, il est là-bas pour ainsi dire, au bout de la phrase. le nom de la mort est logé à la fin de la phrase, vient en bout de phrase. L’auttre nom que porte la mort, en plus de ce nom (commun) qui la’identifie, est ce nom de bout de phrase, de bout du bout de la parole dite. La mort porte un nom commun (la mort) et un nom propre, qui est celui -là précisement qui se love en bout de phrase comme le point qui ferme ou fermera un dire sur une page. mais pour le coup ici le point serait (sera) définiitif. Le point ici serait l’image de la mort . un point égalerait la mort, et dirait son autre patronyme ou son vrai patronyme, ou son vrai nom, ou le nom vrai qui est le sien, et pas seulement ces mots communs qui disent «la mort» à la place. Je comprends des choses en disant mais eznfin pas tant. car l’essentiel se lloge en bout . L’essentiel des dires d’intéret commmun et crucial, est logé en bout de phrase. On voit ça. Disons qu’on voit ça de loin. les choses justes et vraies à propos de la vie et de la mort ne se laissent pas, de fait, cdéployer si vite, elles nécessitent bien le dép;loiement c’est un fait, mais elles cherchent toujours à se p^lacer en bout de course, elles vont toujours à trouver place au fin fond des fins fonds du fin fond des fins fonds du fin fond des fins fonds du fin fond des fin fond du fin fond des fins fonds des choses, c’’rst à dire
des pensées parlées. La chose est à comprtendre ainsi. La mort porte un nom commmun (celui là notifié dan s le dictionnaire, au coeur de la langue = la langue) et un nom qui n’est pas commun, qui est propre (en propre) et ce nom propre ... n’’st pas dans le dictionnaire. Ce nom, qui n’est pas dans le dictioonnaire, se place toujours, iincidemment, en, bout de course. il n’apparait pas tout à trac. Il est fuyant, il file à l’anglaise ou sinon quoi ? il va au plus lointain des lointains des bouts de pbhrase. On peut ainsi dire ou affirmer cette cghose, comme quoi la vérité sans temps pour la formukler n’esxiste pas (1) et (2) que la vérité arrive toujours «au bout de la phrase» soit en fin de course. or l;a phrase n’est jamais finie qui se perpétue continuellement et ne cxède pas. la pbhrase est infinie. aiinsi, on peut agffirmer, aussi, cette chose, cvomme quoi le (vrai .?) nom donnée à la mort (par qui ?????????????) n’est pas pour demain. à savoir. n’est pas pour nous pour demain à savoir. le vrai nom de la mort : c’est pas pour demain qu’on saura. c’est pas demain la veille qu’on saura ce que c’est que le dit «vrai nom» donné, on sait pas par qui, de la mort. C’est pas encore pour demain qu’on va savoir en vrai ce qu’est le vrai nom de la mort en plus de son nom commun. on aimerait savoir ce que c’est en vérité que le (vrai?) nom donné (par qui ?) de la mort : quel est-il ? eswt)-il (déjà ) connu de nous ? saurions-nous le prononcer (de quelle langue vient-il ou provient-il ?) etc: alors ? Nous pensons que la chose eswt d’importance, oui. Nous pensons en effet que la queswtion est une question d’importance, c’est indubitable. Nous sommes plusieurs à penser que en effet la chose est de poidfs . Le vrai (?) nom donné à la mort. parce que l:a mort aurait son petit nom. le nom de famille en vérité. un nom de famille, quoi. ou commùent ? il s’agirait de trouver un nom qui lui serait donné ou lui aurait été donné en propre, comme un nom (ailleurs) de famille. Oui. Il se pourraiot que ça soit ça. oui en vérité, fort à parier. On pourrait en effet penser cette chose. il se pourrait en effet que ce soit ça en vérité que nous devons penser. il se
peut grandement qu’en effet, la chose à penser, indubitablement, soit cette chose-lkà, comme quoi la mort est appelée commmunément la mort, mais qu’elle porte (en fait :
portera) un autre nom à un moment donné, et ce nom sera celui porté par qui, par qui ici, par qui vous savez . par qui la mort, par qui ici ? qui porte ici le nom que portera la mort un jour ? qui ici porte nom, que demain portera la mort ? qsui ici porte nom que demain portera ? qui porte ici que portera demain ? qui porte que portera ? porte que portera : porte que portera : on se le demande. on est nomb reux / nombreuses à se le de=mander. on est loin d’être seul et seule à se le deamander. nous sommes une tripottée, toute une chiée, à nous le cdemander. Nous sommes une chiée à nous le demander ici et là.
2/2/2022
Je suis celui-là qui voit, au loin, une ombre sur une paroi . Je suis celui-là qui voit au loin. Qui regarde ce qui est qui se présente. Je suis l’homme-bête de céans. Je vais et je viens nonchalamment et regarde au loin ce qui s’y trame de notoire et que vois-je ? une chose perlé ? une sorte de bonnet de dame ? catafalque ? une donnée de base et si oui lzaquelle ? je suis homme-animal de rage et en avance ainsi de mon pas lourd sur terre meuble. De quoi s’agit-il ? d’une sorte de donnée qui serait déposée à même mlza pierre tombale ou pierre d’offrande. On sait les choses qui se substituent et cependant que sait-on au juste ? Nous parlons d’une pierre d’offrande, nous disons la bonne aventure, nous fouilllons dans les profondeurs de la mémoire, nous voulons gravir des échelons comme dans la transe. Ce que je vois est ce que je crois. Ce que je crois est ce que je vois. Je suis l’animal de ce ces lieux, je vais et je viens comme transi de froid. Je suis la bete en moi contenue et je vais ainsi, bon an mal an à travers la lande (il s’agit d’une vie) à kla recherche d’une cl. Cette clé est celle qui ouvre les portes d’un domaine oparticulier. Je vois devant moi des ombres danser et ces ombres ont des noms, des noms déposés. JKe suis l’homme des parois de roche (de néanderthal»?) mais pas seulement , je suis celui-ci qui de fait comprend et de ce fait prend, à lui, ou avec lui, ou en lui, ou contre lui, ou par lui, etc, des choses de lza roche dure (ce temps imparti) qui sont choses d’un monde ici adjacent au notre. je regarde dans les lointains . je suis l’homme au regard appuyé qui fonce et va au loin cerner ou pour cerner des choses de base et autres données premières, c’est-à-dire de la vie et de la mort . Je suis l’hommbête (bi) chargeant de toute sa faconde un chenal, un sentier, un passage, chargeant passage, chargeant vivement ce passage effilé pour une entrée dans la matière vive de ce Verbe pourchassé. Je file à l’anglaise(comme toujours). Je vais vif sur roche à la recherche d’une clé qui ouvrira «la porte du Verbe». Je vois devant moi des «effluves» ou qu’est-ce ? Je sais ce qui est, il s’agit de choses brumeuses, de choses un tout petit peu floues et cependant réelles comme (on dirait) la nuit, le jour ou autres méfaits. Je suis homme tombé. Je suis cet homme-bête cherchant clé dans l’herbe (cheval) ou bien ... dans les branches de l’arbre, ou de l’arbuste (antilope?), et me voilà qui fonce droit devant (effilé) vers un azur, une roche, un trait, un passage, un mot de ta rage, une vibration, un cri, un christ (?) etc, qui seront pour moi matière à penser, à penser mes plaies, ou bien matière à) comprendre le pourquoi du comment j’ai pu, un jour, tomber si bas et y rester en vrai un temps long tout compte fait. Je cherche dans ma mémoire. Je suis celui qui cherche dans sa mémoire des données de base, données rudes, données dures, données rugueuses et rageuses (?) on dirait. Je cherche au plus profond de moi même», cette choseici d’une sorte de donnée vive, qui est donnée de base de la vie sur terre. Une clé ? oui ! musicale ? peut-être bien en vérité. Dès lors on voit ici que la recherche est loin (bien loin) d’être vaine. Il s’agit d’une recherche de tous les instants (bloc de rage) qui se pose là comme une offrande ou sorte d'offrande au dieu (oui ?) de la mort ... à l’oeuvre en ces bases. Je pense = je suis = je vais = je vois = je sens = je pue = je meurs = je tombe = j’entre = je monte = je suis. Mon coeur est le coeur d’une ombre portée, une ombre soulevée. j’avance ainsi comme soupesé et quoi je vaux de plus ? je suis l’ombre d’un devant de soi qui demande à être jaugé (jugé) par la bande ici langagière d’une confrérie experte. De quoi je me mê$
le ? là est la question ! De quoi mon nom est-il l’attribut ? là est l’autre question ici salutaire . Je veux comprendre ce qui est et pour ce faire je m’avance à cru, vif comme un éclair, doux comme une bête à laine, chargé comme un mulet des basses oeuvres, donneur de choses et autres comme à la dérobée, etc. Je tombe nez à nez avec icelle clé qui m’attendait . De quoi s’agit-il ? Il s’agit d’une sorte de donnée de base, une sorte de donnée
de base rude, une sorte de donnée de base changeante, peut-être (=fluide ?), qyui se donne ainsi à mon regard. Je vois le clé dans sa brillance illuminatrice. Il s’agit d’une clé des champs, d’une clé de basse maneuvre, d’une clé acidulée dans ses couleurs, etc. Je veux savoir : qui parle en mon nom , et de quoi la clé est-elle le fait ? Je veux comprendre ici plus plus qu’aillezurs car l’endroit s’y prête. Je suis homme qui va direct vers un verbe de voix, de voix dure, je vois ce qui est devant moi, il s’agit d’une ommbre portée sur un devant de soi en forme de clé. Je veux ! je ne suis pas en reste de vouloir ! je veux de cette clé de base. Je veux toucher ! Je veux croire en elle. Je veux que cette clé m’ouvrât des portes de base, m’ouvrât grand les portes d’une entrée vers l’au-delà de la base rude, je veux de cette ouverture . Il s’agit pour moi d’une entrée dans la matière de la vie venue pour me consolider pour ainsi dire dans le Verbe. Je tombe sur elle (clé) à la renverse et je vois en elle les pouvoirs (nombreux) octroyés par (de fait) la bande langagière. Je vois ces pouvoirs de près, je suis à côté, je me loge tout p^rès d’elle, je suis l’ombre d’elle ou comment ? un double dessiné par ... un homme ou une femme des cavernes ? clé de rage comme de coutume ? cheval valant val ? qui suis-je ? un cheval valant pour deux ? une cantinière ? je file à tout va vers ma destinée, destinée de rage (rage de ma ragee) et ainsi faisant je cours à ma ruine, ou alors : je cours à mon succès de base ? Je cours vers une destinée qui est celle de la base, ou alors : je cours fissa vers une clé d’ouverture prompte, ou sinon commment ? Je cherchje à comprendre ici et là au plus juste ce qui est qui se «développe» à façon devant moi et se montrte ainsi (sculpture ?) comme une effigie grandeur nature . Clé de base = clé de sol = clé musicale = cxlé d’ouverture prompte = clé d’ouverture facile = clé d’ouverture vive et facilitée. je veux savoir le plus d’une chose que je vois, je veux savoir le plus-plus de cette chose, devant moi, que je vois, et ce que je vois, c’est cela : une clé d’ouverture vive (vivante) = une oeuvre de chair : cheval ? cheval valant pour val ? paysage des confréries ? saturnales ? Je cherchje à comprendre au mieux ce qui qui devant moi parade de guingois mais cependant se prête il semblerait à une étude (une étude sérieuse) de cas. Je veux comprendre les données de base, les données franches = la Vérité sous toutes ses formes, de la plus informe à la plus structurée peu importe, toute la vérité. jesuis l’homme-bete des Temps reculés, cet aurignacien qui monte, ce magdalénien de force, ce solutréen de bas-âge, etc. LMon corps est donné devant, est la donnée, la donne et le don. Mon corps se donne devant. Mon corps sort de soi et se donne devant comme la donne de bas-âge. MOn corps est cette donne d’un devant de soi en âges divers. Mon corps à tout âge se donne devant comme une offrande ici vouée à êttre acceptée. Mon corps est le corps donné devant soi à une rage bue. Mon corps est une offrande déposée à même la pierre tombale marquée. Mon corps est ce corps en vrai donné de base à une sorte d'entité dénommée x ou dénommée f ou dénommée y. jE cherche à comprendre ce qui est de ce corps de rage (et de base) déposé )à même la pierre d’eoffrande : qui est-il ? Je veux savoir et que l’on me dise, que les choses soient connues, que la Chose en elle-même soit connue de moi, que la Chose en elle-même soit connue au plus de ce que ça puisse être pour la compagnie (la nottre , l’évangélisée). JE cherche ! Je veux ça ! Je veux savoir ! Je veux savoir vif ! je ne veux pas être en reste de savoirr ! Je veux comprendre au plus juste ce qui est qui est, et aussi ce qui n’est pas qui n’’st pas ou qui n’est jamais, car je suis ce chercheur cheval de ma rage aboutie, de pareille rage corporéifiée de base à la naissance. mon coeur est mis à nu par mon corps tombé. ma voix est celle d’une sorte de donnée de base. il s’agit de savoir et de comprendre : qui est là (devant soi) qui nous «tend des bras» , qui ? le savons-nous ? le saurons-nous ? saurons-nous qui ? qsui est là qui nous regarde et file fissa, dans un sas de contrbande ... ou de quoi ? je cherche assidument, muni d’un verbe de rage, celui-là qu’il m’a été donné à la naissance, verbe des prairies, des prés d»herbe, des champs récoltés, des natures vertes, tendres, jeunes, afiliées à une confrérie bienveillante, etc. Je veux comprendre ce qui est au mieux . De quoi est-il question en cette lande ? Qui saura me donner des choses de poids à mâcher ? qui saura m’indiquer la voie à suivre sans se tromper ? je veux savoir ce qui est ! je veux savoir ce qui est ! je veux savoir au plus de ce qui est ce qui est ! je veux en savoir long et large et ne pas succomber ! je v eux comprtendre long et large et toucher à la vérité ... des choses du mùonde ! qui suisje en ce b as monde sinon ceelui làqui, s’ébrouant (chevalin ?) dit la vérité de sa rage-race! Je regarde près de moi et je vois se profiler des ombres qui toutes dessinent sur les pareois du monde des choses à comprendre pour le coup fissa. Je vois sur ces parois x choses qui sembleznt quoi , des rois et des reines ? Je vois des chose dessinées qui semblent des reines, des rois, vazlets de coeur, charge animalière, verbe hautain. Je tombve. Je suis tombé. Je vois x et x choses dessinées sur roche devant moi et je comprends (vite fait) qu’il s’agit d’ombres portées, de traces votives, cris d’incantation primaire, de chaleur de rut, de montée en flèche dans les cheminées, etc. Je vois devant moi l’ouverture tant recherchée. Je sais que la clé est clé d’ouverture prompte, c’est déjà ça ! je sais que cette clé est la clé des ombres, des cavalcades et autres fêtes de joie. Je veux aller loin dans la parade, je veux loin aller dans la parade, je veux dans la parade aller loin. Qui pourra me donner sa main et m’aider à traverser la roche du temps ? qui voudra me donner sa mzain et m’aider à traverser la roche des temps ? qui saura me donner sa main et m’aider tantôt à traverser la roche des temps ? qui m’aidera tantôt à traverser la roche du TEmps ? qui saura me donner sa main et m’aider à traverser la roche des temps alloués à une sorte de gouverne comme la mienne ? Qui voudra bien m’aider à toucher lka roche des temps ? qui voudrza-pourra bien me donner
à pouvoir toucher, à) pouvoir toucher la roche du temps ? QUi ? je cherchje désespéremment et qui vient ? nul au loin ne montre de visage bienveillant, pourqyuoi? La chose est rude, la chose est cvomme un coup du sort. Je veux comprendre et toucher à la chose crûment , le plus possible si tant est, et ce faisant courir au loin dans les allées du temps, soit du temps imparti à une vie comme est la mienne (comme toute vie). Je vois une chose se profiler : il s’agit d’un homme . Il est plutot grand, fin (effilé) comme un passdage ou comme une entrée (étroite) dans une demeure de grâce. Je vois cet homme devant moi se profiler. Je vois devant moi un homme aller, se pointer, montrer le bout de son nez, dire et montrer, dire et pointer du doigt, dire avec sa voix de rage ce qsui est et ce qui n’est pas (de la vie et de la mort de base = ici-bas) . Cet homme porte un nom de rage,, nom donné pa r la bande ... d’une confrérie animzalière. Il s’agit d’un nom de tribu. Il s’agit d’un nom rare. Il s’agit d’un nom acté comme une barre. Il s’agit d’un nom de paroi. Il s’agit d’un nom octroyé par la bande-barre animale d’un passage en biais dans (à l’intérieur de) la lande. QUi donc est cet homme des bois . qui est donc cet homme des effluves ? qui donc est cet homme des voix toutes perçues à la gzaillarde ? qui chante en lui le «chant musical des sphères» ? squi chante en lui la bête primaire ? quelle bête en lui en fait le siège ? qui est cet homme animalier ? ce cheval, ce cheval de soi ? ce cheval, ce chevazl d’un passage étroit ? ce chien ? ce chien des tribus lointaines (da,ns le temps et dans l’espace) ? qsui est-il ? je cherche son nom à même la paroi du temps, car son nom est incrusté en elle commùe dessin d’aurochs ou de bison sur la paroi cachée d’une grotte des temps derniers. Nous devons comprendre, nous devons comprendre au plus loin des tempsq. Notre but est de cerner au mieux les différentes parades. QSue sont-elles pour soi et pour un ensemble de personnes regroupées dans une sorte de tribu de charge ? Que sont elles ? Nous cherchons au débotté. Nous cherchons attablés, nous cherchons à table, nous cherchons des noms. Le saint suaire est peutêtre ... l’un des leurs. La peine est bue tout entière à même la coupe et ne se laisse en rien distraire . JE
veux savoir vif car je suuis vif ! Je veux savoir loin car je suis lointain ou comùment ? Mon corps se prête à des commentaires ou à subir des commentaires injurieux, peut-être. Qui va là, dans le sens des voix salutaires ? qui veut ma mort ? qui donc veut ma mort ? qui veut ma mort ? qui donc veut ma mort ? qui veut ma mort en ce chemin de joie ?. Qui donc veut ma mort en c e chemin de joie, de joie monacale ? Je l’ignore ! mon coeur suit
sqa chamade irisée c’est un fait, mais le coeur seul ne suffit pas à combler de joie ma gouverne, il y faut du temps, de l’allure vive dans le temps ici d’un débotté ou d’un débraillé de première. Je suis homme vif cherchant sa peine intègre sur piste temporelle, son nom (mon nom) est celui-là même que vous ignorez. Je veux comprendre au loin les données sommaires, les données encagées, les données qui sont liées à des noms donnés. QSue sont ces données et que sont ces noms ? nous devons comprendre dans la profondeur ce qui est qui nous observe. Nous devons dans la profondeur comprendre au mieux ce qui est qui nous observe, et ce qui est qui nous observe porte un nom, ce nom est le nom que nous donnons, aux choses du monde, pazr la bande , à savoir : a, b, c, d, e, f ... choses d’un monde à percer en son mystère. Je vois loin car mes yeux (de voeu) portent loin. Je vois loin car mes yeux sont ceux qui portent loin en la matière : voeu pieu. Je suis homme d’un courage extrème quoiqu’insuffisant! cazr quoi ? car je suis meurtri (par la bande) en ma chair d’homme bi : mi-cheval de course (ou canasson planplan) mi homme en herbe (ou monsieur de rage) : qui ? je sais ce qui est en cette chose ici d’une donn»ée de rage, et cependant ... que dire d’autre que le nom donnée à pareille entité, de ma rage douce), et quel ? qui est qui ? qui sait ? qui veut dire ce qu’il sait ? je cherche l’endroit où pouvoir me poser un temps et souffler. Je respire profondéme,nt, je suis l’homme des respirations profondes. Je suis l’homme des données rageuses, quyi file fissadans la lande comme cheval lancé à bride abbaatue. Je veux comprtendre les données présidant l’épopeé d’une course dans les prés. Je suis un homme en herbe : luzerne ? peut-être. Sinon comment ? corps , corps de dieu, corps, corps déposé, corps, corps mort, corps mort déposé. Je suis l’ombre de moi-même, un cheval lancé comme à bride abattue à travers la lande et qui dfile vitesse grand v comme un dé raté de ta race princière. Cher Tout, qui est tu ? qsui es tu pour moi cher Tout ? peux tu me dire qui tu es ? peux tu révéler cela ? peux tu être pour moi un être de ... révélation directe ? comment t’appelles-tu ? quel est toon nom misère ? quelle est cette chose ? qui sait ? comment te nommes-tu petit sacripan ? comment es-tu venu jusqu’à nbous, c’est-à-dire par (ou à travers) quel passage dans la
roche du devant de soi (temps intégral) ? commùênt as-tu fait pour traverser le temps et arriver de fait jusqu’à notre demeure des joies et peines ? qui es-tu anilmal ? qui estu chacal ou cheval ou comment ? qui es-tu pour nous qui t’attendions de pied ferme ? Notre volonté ici est de comprendre ce qui est de cette chose d’une entrée dans la matière. NOus voulons comprendre ensemble (= toi et moi) ce qui est ici en cette chgose d’une entrée dans la matière ... du Verbe fol, de ce verbe octroyé (fissa) par la bande et s’écoulant comme de juste, en ce réduit , en ce récipient, en ce conduit, en cette buse, en ce puits déployé, en ce trou de base terrestre. Nous pensons qsue Dieu est ZAmour de base rustre, malcommode et incommo
dé car gêné. qui est ce dieu de la rage meuble ? qui estil ? Nous avons à nous (avec nous) l’aide d’une mère, d’un père, d’une soeur, d’un frère, et le tout forme tribu (tribunal ?) qui est celle qui est , à nos yeux, celle qui plombe et pèse, porte et soupèse, conduit ett s’encolère après nos dires ou faits divers. je cherche une voie parmi celles qui s’offrent à moi. Je veux savoir loin car mon nom prête à savoir loin. Je veux comprendre à vif, comprendre vidf, cvomprtendre le plus qu’il m’est possible de comprendre en ce chemin de terre qui, chemin de vie, porte et contient. Je suishomme-animal de base. JE vais et je viens sur un chemin pentu qui est ce chemin vif des choses rudes à devoir déposer. Je ne cherche pas à me défiler, je chgerche à me présenter commùe il se doit. CVomme il est de coutume et cvomme je me dois. Non que je ne puisse pas car il est tentant de s’extraire, mais non ! restons accroché ! collons au palier, collons sur terre ! soyons scotchés ! je suis homme de la terree et des prés. Je suis homme chien oou chienne, cheval ou jument, homme-bête des temps reculés ... d’où je viens. Je ne veux plus connaittre kles anciennes choses des temps menaçants mais seulement les toutes nouvelles et plutot seyantes, les qui m’iront bien pour ainsi dire, etc. Mon corps est ici déposé comme un canasson tombé à la guerre. Je tombe à mon tour, où ça ? dans le verbe, et, comment s’en relever ? par la grâce du temps imparti, celui-là mêlme qui dit ce qui est, sans faux-sembvlant (ou du moins si oui , ici minimisés par la bande du dire) . je ne pe,nse pas de fait à la mort comme à une ouverture langagière mais je pense à la mort comme à une fermeture (fermeture à l’iris) du parcours de rage verbal, etc. Les mots sont en force là qsui font barrage à quoi, )à la mort de ta race brute, à pareille entité sacrée. Les mots chargent qui repoussent l’assaillant . Les mots sont en masse qui poussent = repoussent l’être malfaisant dont le nom est Mort ... comme un mort. Je veux repousser les assauts par du verbe ! Je veux repousser des assauts ! kles assauts ! par du verbe fol, comme enguirlandé, vif l’éclair, cheval dessiné, aurochs aussi, toute une confrèrie de bêtes rameutés comme à foison par l’homme (que je suis ou serais) des temps reculés. Mon nom se prête à mille interprétations, ici même ou bien plus loin, sur la lande. Je suis homme des plis, hommes des abris, homme-chien ou cheval de kla magie, etc. Qui suiis je que je ne sais pas ? qui me dira le pôt aux roses ? qui saura m’indiquer la voie du passage béat ? Je trembkle ! je veux savoir ! Jze veux comprendre ! je veux toucher ! je veux toucher et comprendre le ciel et ses diverses entités divines ! qui est qui dans un ciel de guerre ? qui parle pour qui ? qui dit le nom et se fait connaittre ? déclinez vos identités ! dites-nous tout ! dites -nous ce qui est ! dites-nous ce qui est ici qui nous regarde et qui se place de la sorte (face à nous) à bien pour le coup nous mater sous toutes nos coutures lâches , qui ? Je cherche à comprendre vif des données rugueuses. Hje sais cette cghose. Je sais pertinnement cettye chose ici, comme quoio la vie est misère d’un bout à l’autrte (oui) et va vers du pire nacré, et ensyuite ? ensyuite rien, le vide parfait, calmme pklat, calme et vérité. Je tombe, je suis tombé : voilà la vérité, ou sinon quoi ? Je vais et viens brutal dans la lande comme un cheval, je m’ébroue. Je cxherche à comprendre pareil ébrouement, qu’est-ce ? QSui me dira le fin mot de ma rage, de mes tourments ? qsui saura me dire ce qui est ici qui pèse sur moi et me regarde ? qui saura m’indiquer un chemin monacal de réserve où pouvoir aller ? qui pourra me donner du lest et faire en sorte que mon corpps sinon s’envole vif (oiseau des ciels) du moins s’élève comme une effigie, qui ? qui est qui pour dire «je» ? qui saura me dire ce qui est en moi qui surnage lorsque l’on me voit de pied en cap ? car, je ne suis pas moi (pas moimême c’est un fait, maisdavantage : pas moi tout court) . Je ne suis pas moi en cette lande. Je suis l’autre du chenal . je suis l’autre qui va et qui vient en pareille contrée. Je suis cet autre ici vivant sa bonne (belle) aventure vivace et comment sinon, piuuisque «je suis là». Puisque ma vie se déploie à même la lande des parois du termps, comment être autrement ? Je file à vitesse vive pour un dire monacal à déposer au pied de qyui de droit m’y encourage par la bande (un verbe de soi). Je ne pense plus à perdre le temps. Le ciel est sous mon ombre, sous moi comme une coupole, un trait de marque céleste couché. je veux savoir vif kles données premières, ce qu’elles sont pour moi qui file vif aussi, qui file à vif aussi et va loin en moi. Du moins espère. Je veux co:mprendre les données primaires et fouiller profond ma misère ... de paroi dure (celle du temps imparti à une vie comme est la mienne : n’importe laquelle). Je suis homme-bête de céans, je vais et je viens à travers la lande. Je m’appelle «sentiment» ou «tourment» ou «méchanceté de base» ou comment ? quel est le nom donné à la parole en herbe ? qui le sait ? je veux savoir ce qui est, je veux savoir ce qui se trame en pareille lande et en pareils prés à brouter par la bande. QSui suiis je que je ne sais ? qui je suis en dehors d’un nom donné , d’un minois de gouverne, d’une sorte de misère d’incantation quotidienne réelle», etc, qui ? l’ombre de moi-même ? le cheval d’arçon ? le piéton ? la poutre ? la corde à noeud ? la balustre ? le tablier ? le cri de joie de la bête en moi ? une sorte d’épopée votive incantatoire ? qui suis-je que jke ne sais pas au fond de moi ? que je ne sais pas au fond de moi, et qui je suis au fond de mloi : les deux ! car, la vie va vite, va fissa -de son train arrière qui, bon vent, va loin et pousse que tu poussezras le mobile, pousse au cul fissa et vous envoie comme valdinguer de grâce, vif et vive ! vous envoie vif et vive en votre destinée, vos pas d’allant sur lande, cheval lancé, course à traverts kles prés
, rondes emberlificotés ou tout comme ! je suis homme des parois de rage, qui file fisza à traversz la lande comme un animal en cage c’est un fait. Mon coeur est encagé tout pareillement, le corps en son monde de peu et mon coeur en sa cage corporéifiée par la bande. Je suis homme vif des attraits, au coeur encagé on le sait, toutes voiles ouvertes et prenant le vent. mon coeur est pris d’assaut par un verbe animalier : trace dure d’une frange de bêtes assoiffées. Qui sont ces betes ? des betes qui ont soif de verbe ! Je tombe de moi-même , ou = je tombe de là = de moi-même ! vif ! pif ! comme une andouillette ! comme X, dit «l’andouille de ces lieux discrets» . je veux aller loin et combattre : repousser le
chenapan de la mort à l’oeuvcre, car il est là (toujours) qui nous surveille ! qui est il ? il est celui-ci qui cherche à nous faire chuter, à nous faire taire, à n ous frapper, à nous placer lke nez à terre, à nous faire tomber par terre, à nous mettre à sac ou à mal, à nous écraser de sa patte folle, à nous coucher comme une merdxe, à nous ficeler vite bien fait et , zou, ouste, à la mer d’écumes ni une ni deux ! comme un fait exprès ! je suis l’andouikllette, misère ! voyez comme je porte mal ! je ne vaux que dalle ! une merde à braire, rien de bien pharamineux pour vous plaire ! laissez-moi poursyui vre ma misère hautaine, mon verbe de gueux, mes paroles saintes, mon voeu de chasteté troubklée, ma victoire sur herbe, mon temps de passage, ma vitesse de grâce, mes émoluments pariétaux (aurochs et chevaux) : de grâce ! ne me tuez pas comme une merde molle ! je suis mal : mal dit, mal dégrossi, mal venu, mal charpenté, mal dégauchi, mal ficelé, mal poncé, mal bâti, mal monté, mal verni, mal débité, mal serré, mal conduit, mal montré, mal désigné, etc ! jee ne suis pas celui que vous croyez , voyez ! Dès lors que dire ? il s’a git ici de comprendre un fait, ce qui est est . Ce qui n’est pas n’est pas (combien de fois ?) et pourtant : la chose est à comprendre «au fil dfu temps» et nulle part ailleurs . Nous devons comprendre au fil dfu temps et nulle part ailleurs . Nous devons cerner au fil du temps les données de base, les données qui s’offrent à nous au fur et à mesure que nous avan,çons sur pareille voie de halage. Qui pourra nous donner le change ? qui connazit la cklé desz entrées romanes ? qui sait ce qui est en ce dit lieu de perdxition ? ouvrons et regardons et que voit-on ? Nous voyons cette chjose ici d’une sorte de ... paradis ? ou comment, herbe folle ici qui pousse à foison. Nous sommes entrés et que voyons-nous ? le paradis des prés de’une lande herbacée de fait.Nous disons que bnous sommes entrés, entrés en ce «paradis» qui est champs d’herbes hautes à tout va. je vois ici l’herbe des prés. Je vois ici l’herbe des prés pousser. je suis homme-cheval de gré,
allant sur roche à la recherchje d’une clé d’entrée, pour un passage à l’intérieur d’une rocxhe percée. je vais en elle et pousse ce qui est en moi d’une sqorte d’animalité narquoise. JHe veuc comprtendre les données du monde facial pariétal. Je veux comprendrre ici ce qui est au loin qui pousse et tend à me donner un change de destinée. Qui me dira la conduite à tenir ? qui saura m’in-diquer le chemin de grève ? qui est la personne attitrée à pareilles données langagières, à pareilles données de base langagière , qui ? qui va loin ici ? le temps est le temps donné rageur, le temps est temps donné rageur comme une vol:onté venant d’en haut quisaurait nous parler «
comme il faut» sans nous troubler. Je veux savoir ces mots ce qu’ils contiennent. Que contient lke mot «misère» ? que contient le mot «if» ? que contient kle mot «trait» ? que contiennnent les mots «traits de joie» .? que contienent lesq mots «va de branle « ? que contiennent les =mots «chargements directsq « ? que contiennent les mots «m’as-tu vu l’ami fidèle ?» ? etc ., car, je veux y trouver mon miel de connaissances, y trouver matière à penser kla terre, le ciel et autres tourments paysagers, je veux toucher la mise et m’en aller. Je veux me sauver. Je veux filer loin dans les remblais et comprendre ce quyi est en cette chose d’une vie (allouée) sur terre et dans le ciel. je suis dans une sorte de demeure entouré de bêtes. je suis comme veillé. Je veux aller debout marcher et rencontrer des âmes bien nées. Je ne veux pas tomber de cul sur les passdages des données votives ou autres mais charger bon pied bon oeil mes données xde rage à même le VErbe de céans. Je suis l’homme
qui va, qui foule, qui comprend, qui pousse, qui contient. Je veuxx contenir le plus possible, comme une outtre . Je veuxx être cet homme de la foi dans ce tourment (de soi) dépl
acé. je suis homme qui veut aller et comprtendre dans la profondeur d’une voix , voix placée sur roche comme une donnée de grande importyance en vue de se sauver. je vais et je viens et vois ce qui est autour de moi en termes de bêtyes de poids. JE suis homme de la base, rustiquement mal déployé. Je vais et je viens dans les champs d’herbe hautes fouurragères. Je veux toucher la timbale , l’atteindre fisqsa de mes bras, comme un hochet. Je suis rustre, ambivalent, calfeutré chez lui un temps, obnu-bilé par un savoir de ra ge en lui, qui le pousse à) tracer fissa les mots de la lande sur roche des Temps. Il soupèse (pèse) et cherche à comprendre, et cerner le poids des choses, ce qu’elles sont ou réprésentent, ce que pareil poids masque, recèle, contient, désigne, donne en fait de vrais savoirs à déployer etc. Je suis l’homme soupesant sa peine (légère) d’être (vivant) dans les confins. Qui me dira le mot de la fin ? qui saura m’indiquer le chemin de la voie du sentier des grâces ici bas ? qui est kl’Empereur ? qui est le charmeur docile : moi ? Qui pleure à tout crin son émoi de base motrice ? Je veux savoir ici ce qui se trame en termes de données de base rageuse (ici rageuse, ailleurs rugueuse comme un pied de nez). mon corps n’est plus mon corps mais le corps d’un autre. Mon corps m’échappe incidemment et se montre coriace pour x raisons qui lui incombent ou sinon comment, et coriace pour qui ? pour la personne ici qui tremble, qui mate en tremblant. Je veux pousser loin les recherchhes lancées, les recherches de fond qui sont recherches de données fiables. je suis homme des tribus sacrées, cherchant cheval à ma portée et voulant courir, sur la plaine, à grande enjambées. mon cheval a le nom qu’il porte continuement : Cheval de Joie de sa RAce Dure. je suis homme-cheval des dires déposés. Je vais en cette roche dure déceler (ou dénicher). Je veux comptrenbdre au mieux ce qui est qui tente ma gouverne et attire l’oeil (l’oeil du dire) de ma foi en l’au-delà. Je vais vif sur roche? Je veux savoir. je veux comprendre. Je cherche un trait de rage à lmême le temps. ICi est la chaine ou le chainon manquant. la terre est justicière. le sommeil du juste est mien ou est le mien dès lors que je comprends. Je tombe nez à nez sur terre ferme, le nez dans l’herbe. Qui mesurera ma parole échancrée ? quyi jugera icelle de près ? qui lira mes paroles sacrées ? qui saura ce qui est dit à travers une misère de paroles échangées comme une monnaie ? car, la vérité se loge là, dans la monnaie, plus la peine cde cxhercher. QSui saura dire ce qui est de ce qui n’est pas et inversement sans s’emberlificoter et y perdre le nord plus qu’il n’en faudrait en vérité, qui ?Je me
loge ici même (verbal case) pour une recherche de tous les moments de grâce. Je me pose
enjoué, je vais vivant à l’intérieur, car le but affiché se situe là, dans c ette volonté d’y» entrer vif = vivant comme un «échancré de ta race dite», pareil ou pas si loin au juste, et pourquoi cela ? Parce que je suis là homme des bois = homme aux bois = chevereuil ou cerf de céans, bete de ta
rage au ventre, colère des fées, sentiment exacerbé de misère interne, double voix qui parle en ses noms dupliqués, échos de voix de bure, chantournements à la dérobée, courbettes, façons, loopings dans les prés à la manière de l’aviateur renommé. Je suis l’homme au bras d’or. Amphibie. colère personnifié comme jamais. KLa colère en moi ne faiblit pas, qui gouverne ma gouverne. La colère est en moi qui jamais ne cède et qui toujours pointe, cxherche à percer le mystère, le voile des réalités, le tyissu tissé de mots du Verbe Nacré. je vois lka chose depuis moi, qui m’incombe ou qu’il m’incombe de mener à bien , à savoir : l’écriture du passage, le tracé nboir sur blanc d’une phrase, le trait courbe, les traits d’incise, les riches heures d’incise verbales, etc. Je veux dépoter. Je veux que kle sang gicle en ces contrées et tâche (souille) la lande comme un sang versé d’une bete rosse. Je cherche ce sang en ma voix, en c ette voix de freluquet cherchant pitance ici et là comme le mendiant de la fable : à l’arnaque, au débotté, faux -fuyant, mal encouragé depuis l’intérieur, etc. je suis homme au sang chaud de son antre. Il se peut que mon sort soit déjà tracé. Il se peut que ma voix soit morte cde fait et ne puisse jamaisq exp^rimer son dire en entier. Il se peut que mon corps lâche et tombe, lâchat et tombât le nez à terre et mourut. QZui pourra le dire ici .? LKA voix ne dit rien de plus que son timbre alloué, et lmes mots de parole sainte sont vifs peutêtyre mais creux d’aspect rupestre. Les mots de ma voix sont titres , sont paroles perdues quoique déposées. Il n’y a rien qui puisse être plus à même d’être ce cxhemin, cette voie d’accès. Rien de tangible ici qui puiiissee être chemin d’accès pour une entrée (princière) dans le sas des sas de la destinée. Le monde est clos comme une outre vide (à vide) . Il s’agit de le comp^rendre et de l’intégrer à sa propre gouverne ddde dde /
à sa propre gouverne interne. JeE suis un homme, qui va sur herbe, fonce, va loin, fouille, cxherche ici et là. Où est logée la vérité ? qu’est-elle au juste ? quoi est ce sentiment que nous avons de pouvoir en découdre sa ns frais ? comment pouvons nous comprendre cette chose ? qui saura placer le mot qui convient
dans sa case ? qui va savoir parler au tout-venant sans embarras ? qui est la personne idoine, responsable, motivé, qui saura parler d’un ton approprié ? Je ne suis pas vcette personne hélas. Mon verbe est court, maparole rustre (et rude), mon corps frêle qui faiblit. M%a voix est celle du freluquet, du gamin de base, l’aspirant, kl’homme en herbe. Je veux pisser dru mais que tchi de premièere, ça veut pas. Les mots qui sortent de ma bouche sortent à la queue leu leu comme tresse de hjoie. Je voudrais que les choses perçassent d’elles-mêmes la paroi du temps et me permissent de me dép^loyer de tout mon long de base nominal. Moi suis moi, pour ainsi dire ! Mais... non ! pas tout à fait ! ca r, mon nom fait les frais de cette opération de désenvoutement. ou comment sinon . je voudraois comprendre les données ;les plus ancrées et m’offrir ainsi comme en partage de données mooi-même?.Je suis celui qui cherche à comp^tendre loin ce qui se trame en lui en fait de destinée. Qui je suis dont j’ignore le nom. Qui je suis dont j’ignore tout. Qui hje suis dont le nom m’échappe. Qui je suis, qui pleure son nom de rage et le pousse fort au-devant comme l’inscription-incursion, ou comment ? d’effigie votive . Je vais vif en roche inscrire mon nom, incision-inscription pour une obstruction. je suis celui-là qui comprend (au loin) les données natives, les dfonnées frêles, ou du moins qui pense les, sinon comprtendre de fait, mais les toucher du doigt. Le doigt ici est ma ... gouverne de tete. Ou sinon de tete : de joie (joie ici signifie je). Quand je chante je sais. celuyi qui cxhante sait. quand hje chante je vois . quand je chante je conçois un échaffaudage, une structure, des données de base architecturale, toute une construction-inscription qui fait office d’obstruction , d’empêcheme,nt de pôids à un passage délivré. Je sais cette chose xde l’empêchement de nature verbale déplacée, et je vois ce qui est qui vca loin en cette xchose d’un savoir dit «de mémoire» , soit basé sur des reliques déposées au fur et à mesure des avancées . reliques folles,; on sait la chose. complètes, pleines, creuses, pleines et creuses, objets. je subodore les données ancrées à même
lka roche comme étant de celles qui contiennennent (en leur sein) moults trésors de provzenance diverses , qui sont de ceux qui peuvent nous aider à nous y retrouver incxessamment ici ou là ensemble pour des découvertes à mener de front en bonne intelligence. ici la tête. et pourquoi pas? nous sommes nanties, nous
avons de quoi. Nous so:mmes «de la misère en toutes choses « comme les descendants et descendantes, et cependant , nous pensons pouvoir trouver ici ou là clé à notre mesure. La mesure ici fait foi. La chance est (sera ?) au rendez-vous . La peine tout comme (tout contre). et aussi les sentiments concomittants, ceux des régions centrales à nos tourments d’homme et de femme vivant dans la lande. Je crois en dieu manifeste, tombé sur terre, déployé et comme relancé par du Verbe des prés. Car l’herbe est de celle que bnous aimons (nous autres, phacochères ? antilopes ? mammouths ? brouter. nous aimons manger de l’herbe, bnous aimons manger l’herbe verte des prés de destinée, nbous mangeons continument l’herbe verte de sous nous (nos pas) qui allons fissqa dans la lande à la recherche de la vérité, soit (on le voit) de l’herbe de la v érité. SQui l’eût cru ? qui pensaiyt pouvoir ? qui savait cela ? qui pensait pouvoir ? qui eut pensqé cette cxhose ? qui croyait en cette cghose ? quyi avait des vues sur cette chose ? sinon qui d’autre que ce dieu de ta ra ge rude, celui-ci : l’aurochs ! peine perdue ! le mot est dans la case ! la chaleur du sein maternel est une cxhose bonne ... pour qui veut ou voudra aller, szoit filer, à même la lande, à larecherche de la vérité. Car la vérité est une chose rare, ou peut êtyre (sinon rare) à dénicher «comme une chose rare». Le nid de laportée, etc. Mon coeur est coeur qui veut chanter la gloire céleste, je le sens. Il ya à chanter (en soi) des cghoses c’est une évidence. NOus sommes
contenant le chant, du chant, un chant permanent, acté, vrai, ficelé en soi comme une liane. en nous il y a du chant. il y a du chant en nous. ficelé comme une liane c’est une évidence ! nous savons cela , depuyis touy,ours. Nous sommes avertis et aguerris et savons cette chose ici depuis longtemps, depuis des milliers d’années en arrière, nous savons cette chose du chant intrégré (fissa) à nottre gouverne et ce depuis la nuit des temps ou dit autrement : depuyis kla naissance et plusq avant, etc. Je suis homme qui sait en lui lke chant animal des prés; lk’aspirant écrivaillzeur dxe rage
embringué» et mis à mal dans une sorte de tourmente animalière langagière de première. Je suis cet animal des prés de ta race, ami ! Je suis celui-ci et ne m’en vante pas car je suis meurtri. Je suis homme qui va dans la lande à la recherche (en quelque sorte) de lka vérité des temps et il me semble que je m’en rapprocjhe, assurément, cvontinuement, fractalement, fatalement, incidemment, vo:lontairezment, gentiment un peu plus tous lkes jours, en matinée. Car je suis lancé comme un,animal sur pattes. Je suis homme de la lande aux pôuvoirs divers et variés, sacxhant chasser et davantage, pouvant déceler ici ou là une vérité nichée, ou même sachant parler à haute voix les mots d’une rage intégrée et digérée comme une denrée. le fruit de mes paroles incantatoires est à lire pa ge 24, il se fait. je sais comment : à tue t^tete en «rentrant dedans», et c’est fait. je veux dire ici cette cghose du tourment (de base) menant , de fait, le monde comme il va. ce tourment (sacré) est intégré à la gouverne (tétière) humaine (cervelet ?) et panse les plaies (intériorisées) d’une volonté en nous ma rquée de «ne pas y aller». Nous avons (portons) en nbous misère = cette volonté de «ne pas y aller» et dès lors (disant la chose) de faire, ainsi ... la chose = ne pas y aller ! je pense donc je suis ... celui qui reste, qui est car il reste. je pense (ou parle, mets des mots) et donc je reste = comme une donnée. Je pense donc je reste= j’y suis j’y reste et c’e’st ainsi que personnellement je fais, 1, pour ma gouverne (tétière), 2, pour mon salut de contre-bande (etc) ... à chevakl. mon envie d’en découdre ainsi s’inscrit ici ! Je suis homme-ombre-hombre etc qui file à toute enjambée sur la lande et ne s’en laisse pas conter plus qu’il n’en faut pour sa gouverne ! je suis hjomme vif des paroles vives. Je suis ce
»lui-là qui pôusse à cran les données rageuses et cherche dans le vent, dans l’air, dans lkes embruns, dans la brume ce qui est qui puisse l’aider à pour le coup cerner une vérité (tangible) de près. me voici cheval = transformé ! je suis celui qui est = je suis
celui-là qui reste à quai et ne meurs pas : je pense donc je ne meurs pas ! tant que je pense je ne meurs pas. Penser = conserver son «étant» en vie, etc, et voilà pourquoi la chose s’incruste et jamais n’en vient à s’en déloger. Nous nous voyons ainsi nanti d’un appareil de dires c élestes, dires fols qui tendent à monter, à grimper comme la p^lante non r»écoltée qui va monter en graines, etc. Le dire devient vite fol qui monte en graine religieusement et atteint, pour ainsi dire, des sommeets de rage. je suis ombre de moi-même en cet étau de vie. mon
êytre est aillleurs (animal xdes prés) qui court (à bride abattue ?) sur la lande. Mon corps sera mort et sezra jeté. Il se peut que cela soit un jhour. il se peut que la chose un jour soit. il se peut que cette cxhose un jour advint et que mon corps fût jeté vif en un trou de passe. Qui dira laz chjose ? il se peut que (un jour) une personne vint à moi (vers moi) pour me pousser et me fzaire chuter et me tuer et me cacher. je suis cet homme dit «de la mort par poussée» , par peutêtte poussée interne : chacal de soi qui pousse à faiblir et faillir. on ne sait. Les choses sont peut-être écrites, à part soi, et nous en recueillons bon an mal an les dividendes .... pour soi ! nous avons pour nous ce Verbe de la foi en c ette chose de la mort, comme de quelque cxhose qui en vrai est et n’existe que pour soi. Je pense donc jh’y suis hj’y reste ? Je vois devant moi une chose belle» = certaine = sûre = avérée = tenue = physique = charnelle = vraie comme une déité de dires dits «de la réaklité».Mon corps en subit les effets. Je suis homme-hombre à la gaillarde du train d’avant. vivement dimanche (le jour du seigneur) ! je branle oh misère : de tout mon poids ! je suis homme des parfums ancréqs et des couturières ! vive la vie
qui va vive ! chaleurs ! obligations ! mes obligations cxharnelles : envies de vie dure, envie de vit dur, etc ? Je tente l’approche, me rapproche d’elle et lui dit le mot du passage. qui est l:à pôur moi ? je vais en roche dure dur. Je suis cvelui qui va en roche dur. Je cvommunique avec l’au-delà. Je veux commmuniquer avec l’au delà = commu(niquer ou comment ? je syuis ombre d’homme sur page des temps, sur paroi mobile : Verbe haut capitaux. Je veux comprtendre ce qui est en cette chose d’un dire haut (haut venu) qui serait, dès lors, la monnaie d’échange. Je cherche à comprendre ici ce qui est qui, de fait, file à vive allure dans le sens d’une pesée liée à des questions (toutes) de capital. je tombe à la renverse. Ici je suis qui cherche à bien comprendre cette chose (bien venue) d’un dire alloué, à du capital, à de la monnaie, à pareille donnée de base à échanger = le prix ... de la peine à être ! nous allons ensemble (la bête et moi) à larecherche d’une vérité dite «d’emprunt» (on voit laquelle). BNous allons ensemble, soit la bête en moi et moi, à la recherche d’une «vérité d’emprunt» = empruntée) avec intérets
à la clé ! et voilà la clké laquelle ! Nous essayons ensemble de percer grand nombre de mystères z_enchâssés, et pour ce faire nous devons creuser le verbe (animalier) à même la venue princière, venue ou survenue princière. Nous devons comptrendre ensembvkle ceszcdonnées et, les ayant comprises, voir ensemble toujours, à bien les déposer cde rage sur paroi (pour l’homme ou pour la femme d’autrefois) ou ailleurs (au demeurant) pour soi ... ou pour nous qui frayons (ici et là) avec le présent «du =monde adjacent». Nous devons comprendre. BNous devons aller ensemble. Nous devons filer doux ensemble et comptrendre ainsi, ainsi accol;ées. Nouds devons rester soudés et accolés comme deux moitiés d’un même fruit, ou comme deux moitiés d’un même êztre à deux côtés qui se ressemblent, comme pour nous. Nous devons coller à cette chose d’une vérité ici inscrite dans le temps, vérité-monnaie qui dira la CXhose crûment et nous donnera des ai:les (innocemment ?) . nous devons poursuivre sur notre lancée et ne surtout pas abandonner trop vite ! nous devons poursyuivre (fissa) sur notre lancée toute animalière et y aller (de la sorte) à crann, à cru, ou cul nu ou comment à même terre-mère des tourments. Je suis homme d’épopée salutaire. Je pense donc je ris. la parole est misère qui ne perce pas (ou ne cherchera à ). mon ambition. mon souci. Ma chance ? ici est la chance ?
ma cxhance ou pas s’inscrit ... de visu in situ. je tombe à la renverse, encore une fois, pour mieux me relever de pareille misère ... allouée à une vie de règne, de règne ducal, ici même, en ce lieu des paroles (drues) débordées. je veux coomprendre les données les plus secrètes de la vie et de la mort. Je veux comprendre ce qui est (de la vie et de la mort) au plus juste des tracés de roche, et pour ce faire : j’y vais, je ne lésine pas, je file fissa, je m’engage dans la voie d’une parole toute assumée, je craque les coutures d’un corset (ou sorte de corset) langagier trop ressérré, je vais en pareille lande oou pareil
pré à bride abattue comme un forcené, je file fou mon allure étrange, cavalcade, vive embardée, je fonce en v eux-tu en voilà à même les herbes des prés. HJe suis parti. je ne suis déjà pluds là. Je suis passé. Je ne suis plus de cemonde calfeutré. je tombe sur les fesses à vif. Je suis tombé et retombé et pourtant, me voilà vibrant comme jamais, renouvelé comme une sorte d'entité de roche, remis en selllle par en moi une gouverne animalière perpétuelle, etc, le coeur parle pour moi son lan,gage animalo-sanglant, ou comment dire cette chose d’une sorte de soutien de vie de type animalier comme il se doit pour coeur transi. Je tombe des nues à perpetuité
, voilà ce qui est ! la chose ici est celle-ci. je tombe à perpétuité des nues. Je tombe des nues à perpétuité . Je suis tombvé et je tomberai à perpétuité des nues ... de l’enfance de la joie d’être. je comble. je trace. Je traque la vérité sous tous ses aspects par la bande et pour cela, j’ouvre grand mon antre-coeur de passage, et incorpore tant et tant xde ce Verbe fol (animalier en diable) faisant obstruction à la mort (du temps) à son heure, ... ou comment ? à qyui d’autre ? Car, la mort est entrée dans la demeure, la faute à qui la faute au petit animal des prés ou alors au petit ver dans une pomme ou sinon qui ? Je cxherche ce qui est qui est. La voix qui parle est une sorte de donnée de rage motrice. Quand je parle je ne suids pas là. Je veux comprendre les données de base dans leur profondeur de parole drues, échangées, instruites, dirigées. QSuand je chante je ne suis pas là. Quand je pense je ne suis pas là. je suyis l’être aux doux pouvoirs de bure, enchassé dans l’herbe comme un animal, je broute ma vive denrée, je cxhevauche des données, j’avance à pas cadencés. Je suis bete de rage au front haut boisé. Chevreuil de destinée ? caroubier ? quelle est en moi la bete ou l’arbre de tête ? je suis homme des temps reculés qui cherche à comprendre les données du monde ce qu’elles sont pour moi qui cherche à comprendre. Je veux soigner tel ou tel dire en particulier pour le présenter devant moi en tant que tel : pierre tombale. je suis homme des temps reculés, à barbe ou sans, charmeur ou non, nu de sa race intègre : peuplier ? je cherche ! je ne suis pas ça . Je ne suyis pas ça. Je ne suyis pas ça non plus. je suis ça ou ça. Je suis homme ombre hombre étoilé par en moi la voix des prés et des champs de blé. je suis étoilé par en moi la voix qui chante que tu chanteras de ta race boisée. Je veux être. Ne suis quoi d’autre que ? que quoi suis-je d'autre ? suis je autre que queue ? qsui a dit que oui ? je cherche à me rapprocher de telle ou telle vérité de base, qui pour moi sera ... vérité d’appui,
car, je me fais vieux au fur et à mesure de mes avancées et je me dois pour ainsi dire d’en découdre (de la vérité) avant de trépasser. vais-je pouvoir? vais-je pouvoir acquérir vraiment des savoirs de branche ? qui a pôur moi une réponse qui fasse le poids ? je suis homme des prés (oui) et cependant, aussi, la bête en soi , qui, renaclant, trépigne d’en savoir aussi, un bout ou un autre, comme nous. NOus disons que nous sommes xdeux à vouloir, nous disons dès lors que nous sommes deux à vouloir dès lorsq. Nous disons dès lors que nous sommesdeux à vouloir savoir = de concert. Savoir de quoi il en retourne dans les champs de blé concomittant. Savoir ce qui est pour nous qui bnous attend et tend à parler
, à dire (=signifier) ce qui est en cette chose d’une vérité des limbes cachée. Je cherche = nous cherchons. Car nous sommes deux (en moi-
même) à cxhercher que tu cghercheras. Nous cherchons à deux = à toi à moi, bras dessus bras dessous ou sinon ... un pied l’autre, etc. Démarche pour une foi en la mort pour soi.
1/2/2022
jre cherche aub mieux les raisons en moi qui me font espérer en une découverte majeure, s»rieuse, déposée, mise en place sur pareil (ici) devant d’éternité. Je veuc x (de fait) comprendre au mieux, les ressorts qui sont, afin d’aller profond et de trouver en moi «l’animal de base», quel il est ou quel est-il ? car, est il celui ci qui charge de toute sa force son allant en moi, ou bien celui là qui regarde en moi et cherche à en trouver l’issue ? je veux comprendre au plus juste et au plus près les choses de ce monde partagé, ici la bête qui renacle en moi, là mon etre déplacé, mon corps de bure déposé sur ce devant hospitalier. Je suis l’homme bi des certitudes = cette chose doublée, cette chose double, etc., mi homme des attraits mi-cheval des commùunes . j’aspire
à trouver ici et là un grand nombre
de données qui feront de moi cette bete, mi-rosse mi-douce, des abris. je vais sur ce terrain-là enfourché, je cherche issue et demande à droite et à gauche qui pourrait m’aider et me glisser le mot qui convient ou convienfrait à pareille recherche vive, à l’oreille, pour me guider. Je vais en cette chose d’un devant de soi, je suis ce cheval des bois, je trépigne de joie, je suis je l’animal à la belle robe. Mon cvorps est musclé, lissé, je brille . jre suis cheval des prés qui va sur ce dfevant d’un soi de parade (cavalcade) et s’ébroue. mon cvoeur est coeur de joie . Je veux comprendre au mieux les données du monde : qui suis-je que je ne suis pas ? qui ne suis-je pas que je suis ? est-ce possible ? je vais et je viens en cette zone neuve des abris de toutes sortes, je m’avance nonchalamment, je veux trouver , dès lors je cherche. Je suis cet homme qui, assidu, motivé, pris par en lui la voix de la Chose, cherche vivement à comprendre au mieux les données prése,ntes d’un monde d’alentour à soi, celui-ci, qui est cet espace-temps pariétal. Je suis cette personne aux abois. Je veux savoir + car je suis mi bete mi-homme et en tant que tel j’aspire = je suis aspirant. Je guette autour de moi les diverses données qui viennent toutes (les unes après les autres) à se présenter et me concerrnent = me mirent. Je vois ces choses devant moi et comprend que celles ci comptent plus qu’il n’en parait : ce qui est et qui se montre = une et autres choses dures, des tourments c’est une évidence : malmadies diverses, souffrances diverses, douleur incommensurables, pas qu’un peu. je veux savoir. Ce qui est ici est cette chose d’une sorte de massif de joie mais déplacé. Le massif de joie est cette montagne sacrée déplacée = devant soi et non plus accolé, car fut un temps où ce massif était en effet accolé à soi et n’était pas cet espace-temps de rosse donnée, comme à ce jour . Le massif de la joie ou massif de joie avait pour lui d’être accolé et pouvait dès lors nous permettre de nous protéger. je vois les choses comme elles sont, je suis celui-là qui veut et cherche à voir, qui veut voir et cherche à voir les données les plus naïves-natives premières-primaires car, me voilà qui vient vers vous, quyi approche de la «vérité en toutezs choses» à grandes enjambées mi-humaines mi-chevaline. Je suis le cheval des landes, je vais et je viens comme à la carmagnole, je veux comprendre au mieux toutes ces données concernant un monde qui serait ce monde des «vivant la mort de près», qui sont ils ? Mon coeur demande à savoir métronomiquement. Mon coeur cherche à comprendre chevalinement, car en moi résude (résidu) le cheval de la rage ... à dire sa voix, sa voix de coche. Je veux savoir au plus ce qui arrive, ici, dsans le sas = espace temps des courtes vues, etc. Qui va là sans lumière ? qui est qui ? qui est qui devant soi ? qui est cette personne devant moi qui me reluque de la tête aux pieds (de pied en cap) et ne cesse de m’aguicher : la mort ? oh certainement, on la connait, on sait pertinneme nt de quoio elle est capable obstinément. je sais cette chose ici d’une mort qui mate. Cela est connu de tous et toutes, cela est une certitude. Cela est même la
plus grande des certitudes : la mort mate, oublie. Elle n’est pas là pour du semblant de joie et ne s’en lzaisse nullement conter par qui que ce soit, elle est fière, dure, rude, brute et charge en veux-tu en voilà sans regarder qui de quoi ni à la dépense ! Elle est moche ! elle ne ressemble à rien ! elle n’a pas de la beauté du monde adjacent et ses formes peuvent revêtir des alluures étrandgement fades ou mêmes maussades. je comprends ce qui est (du monde adjacent) à la mesure de la Chose ici qui mate. qui est elle ? qui est cette Chose ? eh bien voilà : nous avons affaire à une sorte de petite (?) bete des prés, une biche ou un chevreuil, une petite biche, ou bien une chèvre, ou bien la brebis galeuse, ou bien la brebis tout court. cette bête est une bete de la joie du monde et, aussi, la bete des attraits. nous cherchons dès lors pareille bête autour de nous, nous espionnons ou plutôt inspectons tout autour de nous et que voyons-nous ? cette petite (?) bête des attraits, nous la regardons dans le blanc des yeux, nous comprenons que cette bête est là (et bien là) pour nous, pour nous parler, pour nous dire des choses, pour nous guider, pour nous donner le change, pour nous indiquer le chemin de base, pour nbous indiquer la voie la plus courte, vers cet au delà de soi, cet espace de la joie votive, ce coin des durées, ce ventre mou. Je regarde icelle bête devant moi, elle est celle-là qui connait un grand nombre de données de base
concernant pareille entité votive. Qu’a t elle àà nous dire ? elle a à nous dire ceci : comme quoi, la vie est cettye chose des attraits, des beautés nacrées, des couleurs vives, des douceurs mais aussi cette échancrure dans la toile, dans le lin de la roche des temps déplacés à notre gra,ndétonnement ou comment ? Je vais vers la bête, je m’approche d’elle. La bete connait bien mes volontés car elle lit dans ma pensée. La bete est autre, c’est à dire l’Autre. Cette bête est pour moi celke-là qui sait pourquoi en vrai je m’apprioche d’elle et quelleq sont les intentions qui m’habitent car elle voit loin et longtemps, elle fouille les êtres, elle
comprend à demi-mot ou sans mot en vérité, elle a vite fait de vous cerner. La bête est cette Chose devant soi en interposition d’avec la mort. Elle obstue le paysage (la beauté) et ce faisant sert de bouclier. il y a la bête-mot (ou bete tout court) d’un en-soi de vie pariétale, et la mort «de l’autre côté» de la bête-mot. on voit cela tresq bien, on comprend les données ici, on s’en approche du moins . je vois la Chose ici en tant qu’elle est : celle-ci qui me regarde, me concerne, m’épie, me soupèse du regard en se disant «mais qui est donc icelui qui va ainsi devant à mon approche ?», et moi de rétorquer : « je suis celui- là qui vient à ton encontre ou à ta rencontre dans le but avoué (affiché) d’en connaittree fort, d’en connaittre le plus, d’en savoir un max, etc, sur les choses du monde : peux tu m’aider ?», et la bête de répondre : « oui je peux car je sais des chgoses, je suis fine et gracile, fringante, je cours vite, je suis lancée et charmaeuse et charmante, etc, je peux te donner le change, je peux t’offrir le change, je peux être de bon conseil pour toi et pour ta gouverne, jhe peux t’aider sans
arrière-pensées, je suis biche et brebis, mi biche mi-mot, mi brebis mi antre, etc, je suis hybride, je suis la bete qu’il te faut«», et moi de me dire comme quoi j’ai bien fait, cette chose d’aller, de gravir la pente, de monter tout haut, transe, transe, et toucher, la toucher la toucher, transe, montée ardue, monte que tu monteras, me voilà en haut . je suis tout en haut c’’st à dire en lévitation. je suis à présent cet être de peu en lévitation. je suis monté. Je suis monté sur pareil monticule de base. je suis tout à moi sur pareil monticule de base, je suis arrivé à bon port: de quoi s’agit-il ? il s’agit de cet endroit de la joie d’être, cet espace quasi mental, ce trou de fosse, cettte sorte d’excavation qui serait celle d’une sorte d’appétance pour la joie de figurer ici en tant que quoi, en tant qu’homme-biche, ou homme-cheveruil, cheval ? en tant qu’homme-cheval, brebis ? ou homme-brebis ! je vais en ce mont et mate. Je suis monté, je vois loin, il y a loin à voir, l’horizon de nacre, les fumées, la veine bleutée etc. Je comprends que l’enderoit est propice (plutôt) à rêveries, il y a cette chgose
pour moi à comprendre, cette chose d’une «rêverie de base», une sorte de romancero intérieur, une sorte de danse macabre (?) ou commùent ? sarde ? je vais et je viens tourneboulant, je fais des tours et des retours, je tourne que tu tourneras, je suis le danseur des bois, je suis dans la transe sarde, je comprends . je suis monté ! je suis tout en haut du monticule et de là je vois loin ce qui est qui me regarde et m’appelle de son chant d’azur, etc. je suis homme-biche nacrée, je suis homme-cheval bleuté, je vais de monticule en monticule, je vois alentour, je suis hy = hybride, je suis bi = bi-être, je suis mi = chanteur ! je vais loin car je connais les lieux et je me laisse ainsi guider par kles effluves, je suis l’être du mont de ... la joie d’en être ! Mon corps entier est passé ! hourra et gloire à toi, le cheval ! gloire au cheval ! gloire à toi le canasson ! gloire au cvanasson ! gloire à toi l’animal ! gloire à toi animal des prés ! car je suis en toi et tu es en moi, et à nous deux nous faisons la paire et aussi la Chose (comme quoi !) qui pourrait nous en dire long, si seulement la Chose voulait bien (via nous) et pouvait se poser (quelques secondes) pour nous évoquer toutes ces choses qui sont choses de première main, choses rudes mais premièeres, choses des temps naissants . nous espérons beauycoiup qu’un jour, un jour prochain, la Chose, la Chose voudra, etc. Voudra-t-elle ? rien ne le garantit ! Elle vit sa vie de Chose hybride, détachée de nous, lointaine si elle le désire, etc. mon souci premier en toputes choses est de comprendre ce qui est, ce qui se trame aux alentours de nous = dans le sas des sas, dans ce sas (ici) des atours, des entours, etc, c’est à dire tout autour de nous. J’aspire fort à en savoir long soit le plus possible . je veux espérer = j’ose espérer. je dios cette chose comme quoi la vie des entours est celle-ci que nous qua;lifionds (en petit comité) dee borgne, quelquepart, et pourquoi borgne ? comme d’une porte, ou d’un mur plutot ! voilà les don,nées, nous disons les choses telles qu’elles nouis adviennent, c’’st à dire telles qu’elles arrivent (ensemble) à nottre intellect. Je charge = j’avance. Je suis mi- mi-, et cela étant jre grimpe
comme l’animal (en lévitation) de la fable (l’âne d’or ?). je veux comprendre plus plus plus de ce que je sais de ce qui est, et que sais-je ? Je sais par exemple une cghose, cette chose d’un savoir ... ancestral et premier , même premier, etc. cette chose est celle-ci : comme quoi la vie des atours (entours, alentours) à soi = une (sorte de) zone franche, mortifère comme pas deux, ultra-dangereuse de base et casse-pipe de première. cela est une chose des plus sûres . Et donc c’est déjà pas mal . Il y a bien sûr mille et une chose de plus à comprendre icicbas incessamment, on est d’accord, or il est bon de rappeler la Chose commùe quoi, la vie est souffrance (depuis la naiossance) et n’est pas une partie de jambe en l’air ou commùent dire , ou seulement partie de jambes en l’air, ou comment dire, ou, seulement, des choses de joie, mi chair mi poisson, etc. Je veux comprendre . La vie est parties de jambes en l’air mais pas seulement. La vioe est joie d’être mais pas seulement . La vie finit mal mais pas seulement . je suis l’animal choyé par la lande, je m’ébroue comme jamais , j’avance sur les platesbandes, je veux du savoir, des connaissances, des compréhensions, je veux des donn,ées concernant mla mort, je veux creuser à même le Vzerbe dit «de destinée» les choses essentielles à ma démarche, etc . et pour cela que fais -je ? je creuse ! J’y vais franco de port, j’y vais gaiement, sans regarcder à la dépense plus qu’il n’en faut : rotation, derviche, je file, looopings dit «de ma race» j’obtempère ! je suis l’homme des attraits, comme il y a la biche des attraits, tout sensiblement pareil . je monte ! je suis monté ! je regartde et que vois-je ? je vois loin les données de base : le Verbe est un bouclier, il laramène comme jamais mais il a fort à faire, et les choses sont qu’il ne peut faillir sans qsombrer, d’où telle attitude de ramenage, etcc . LE verbe est là (à sa manière printanière, usurpée, racoleuse, etc) pour comblker et faire barrage à la mort de ta rage concrète . La mort voudrait passer par tel chas d’aiguille rupestre mais tintin car les mots sont là qui (de bouche) obstruent le passage (à la bonne heure des sentiments !) et voilà pourquoi la mort est cet oeil de razge, cette sorte de tourment qui mate, cet olibrius de premièrere à nous chercher des noises, etc . Je vois bien que les choses se présentent de la sorte et se placent de part et d’autre du cheval . Je comprends )à présent l’importance de la musique, du fluide, de l’eau, des choses advenant selon leur propre rythme d’appel, selon le rythme d’emplacement qui sied à Nature rustique, à pareille musique de déroulé . Les mots viennent musicalement prendre place dans un déroulé pensif déterminé par des canons de rage placés. je comprends ces attraits sus-mentionnés comme étant ces cases dans les quelles musicalement la pensée de bure vient à se loger incidemment à son ryhtme
de partage . Je comprends la cghose d’une sortye de mélopée qui laisse passer = filtre au fur et à mesure des choses d’advenance vive = de la vie . Je voios que tout setrame en soi selon le schéma que ce tout adopte et non point selon ma volonté d’aller . je ne pense pas donc je suis . jer crois que la chose est rude qui veut que nous fussions mortels ! Je ne veux pas de la mort de base, qui veut ? nous pleurons ensemble sur un parapet, nous sommes assis et assises ou pour certains et certaines agenouillées et nous prions : de quoi s’agit il ? nous parlons dans un vide (ou creux) de la rage d’être, nbous nous emberlificortons les pinceaux , nous nous mélangeons nos données, mi-homme ou mi-femme / mi bête, nopus sommes parés : fibrilles ! tresse de la joie d’etre, ici, cette chose hybride = hy, ou bi, ou mi, comme de coutume . Nous voulons creuser le plus loin possible la donne, nous sommes deux qui voulons creuser au plus loin possible la donne telle que nous (ensemble) nous l’évoquons et telle que nous (ensemble) la subodorons, car la donne = la chose des temps= cette chose d’une sorte d’appendice (?) à la mort de base . Oui ainsi. car la mort a son appendice caudal, et la vie a son appendice caudal, et les deux savzent mélanger, de base (de rage) pareil, ici, leurs appen,dices, ils ou plutôt elles, savent, les deux savent mélanger leurs (le leur) appendices (chacune) c’est une certitude . cela est . Nous savons . La mort et la vie = main dans la main ! nous cherchons à comprendre loin ces choses des données de base, nous ne voulons pas ne pas nous approcher. Nous voulons co:mprendre ce qui est (de la vie et de ma moprt) et pour cela, nous nous unissons dans la joie et dans la bonne humeur et nous accolons nos pensqées natives, . nous voulons comprendre loin = creuser, dans la profondeur des données qui nous sont offertes (de fait) par la bande . La bande est nacrée (on sait) et se prête volontiers à être exploré part telle goyuverrne mienne ou tellle autre gouverne nôtre . nous avons envie ensemble de mêler nos dires pour un «creusement temporel» ou «temporo-spatiazl», ou «spatio-temporel» etc, ici même, au sein de la (cette) vie de base qui est vgie de rage pour tous et toutes, et, qui plus est, à mesure de nos prpopres avancées en âge. Nous devons comprendre cettye chose d’une sorte de donnée comme quoi, la mort et la vie sont ... en ménage, etc. ! fibres de vie-mort emberlificotée comme jamais, tourbillon nacré, chaleurs du rut ensablée ! nous sommes deux (homme/femme et bete conjointe) à le subodorer, mais est-ce vrai, et si cela est vrai est-ce dicible (avéré et dit ?) ? Nous pensons des choses, nous pensons que nous devopns co:mprendre des choses, nous pensons que nous devons nous associer pour comprendsre des choses . Nous voulons comprendre des choses. Nous sommes ensemble (mi-homme / mi-femme, mi-bête) pour comprendre la chose, ici, comme quoi la vie a partie pleine, ou partie prenante, a vec la mort . -La mort est liée à la vie, dans cette sorte de déroulé temporel, qui fait qu’elle est comme prise
dans un piège à son tour mortel . La mort est une sorte de fibre à vif (un nerf) pris dans les rets d’une vie tout aussi vive et nervurée . Je cherche à comprendre ce qui est, je ne suis pas chiche en la matière. Mon corps partira mais ma voix reste qui sonne mâtines et crie sa gouaille animalière ! JE vais sur le parvis . je regarde les alentours, je croise des reagardsq de bêtes ici et là (betes des bois ?), je
cherche à cerner les données tenaces de la vérité, je ne lâche pas la grappe. Qui est là decvant moi ? qui se pointe en face)àface ? qui me cherche des noises ? qsui est là qui me regarde ? qui me regarde ? qui est là qui me regarde ? qui me regarde insidieusement ? Qui veut me voir sous toutes mes coutures sinon Dieu on l’a compris ! mais qui est Dieu ? dieu est l’ami simple, l’ami fidèle, l’oiseau de bonne compagnie, l’etre de la chance d’être, la joie au monde, le bel innocent de la fable ancienne, l’ombre sans ombre, la belle meunière des abruzzes, etc . Nous cgherchons à cerner au mieux les différentes données apportées (de grâce- par la bande . nousv ne lambinons pas, nous sommes tout à notre tâche . nous checherchons avec sérieux,, nous sommes /
nous sommes assidus. Nous ne voulons pas lacher la bride. Nous voulons comprendre le plus de toutes ces données de base déposées ici à nos pieds, déposées tout près pour reconnaissance et étiquetage . notre but est de cerner (bien cerner) les données du monde ... au plus juste du plus juste des chgoses pour le coup vraies, nous pouvons comprendre ce qui est ici en tant que ce qui est est cette chose d’un monde fermé, obturé, pris au piège de la réalité en vrai des tracas et autres tourments dits «de destinée» . nous savons que les choses sont telles car la vie est torsadée. Nous voulons comprendre ce qui est au mieux et pour ce faire nous devons chanter à notrte tour ce qui est de ce qui advient, etc, et ne pas lâcher la bride jamais mais bien la maintenir contre l’en-soi qui est le nôttre un temps, soit celui de nottre temps à vivre une vie avérée sur terre. Nous devons ainsi nous faiore à cette idée, comme quoi kla vie est rage, et la mort aussi , cette chose liée, comme embrouillée, comme prise dans les rets de pareille rage, etc . je vois depuis les monts cette chose làbas d’une sorte d’horizon de nacre. je vois au loin cette chose d’une sorte d’horizon qui nous regarde, il nous fait face = il fzait que nous avons (ainsi) face à arborer ; laquelle ? celle ci : vie-mort emberlificotée comme qui dirait de la tresse ou natte d’un être de rage ! Je comprends les choses ici à) la lumière de la rage à être, et c’est ainsi. il se peut que la compréhension ailleurs aille ailleurs et se posât sur d’autres territoires de pensée. Nous nous disons des choses mais la vérité excède (de loin !) les dires humains, voire les dires matinés (homme ou felmme / bête) on le sait et ... on le souligne ici. nous voulons toucher les cghoses du monde et (pour cela) nous devons creuser ... dans la profondeur des données (de base) déposée . Nous avons à toucher la Chose en vrai = en dur. Est elle de la partyie(vie-mort accouplés) ?Est elle cette chose qui cherche passage à tyravers nous (bouche ouverte) et cela pour la bonne cause (causerie) ? nous pen,chons pour le oui . nous avons à nous positionner et c’est exactezment ce que nous faisons ... en priant , agenouillé, espérant en la venue un jour d’un être de salut . nous voulons combler le trou de notre bouche par des mots d’attraits (garnements) qui seront étoupe faisant barrrage. Notre but est affiché. Nous voulobns combler d’étoupe le trou de la bouche et faire barrage à lea
mort de rage . nOus nbe voulobns pas mourir . Nous ne voulons pas de la mort . nous voulons conserver par devers nous les données vives de la joie à être et à vivre une vie d’emprunt. notre vie est ainsi délimitée, cernée, dessinée. je regarde lers données du monde et je vois que ce qui est est une xhose rude de chez rude pour tous et toutes (pour beaucoup sinon pour tousq et toutes). nous voulons être etres de rage comme est la mort, et rétorquer du tac au tac ... et pourquoi pas ? Car, nous sqommes remontés, nous sommes à bloc, nous sommes deux qui sommes remontés et forts de notre envie de bousculer la donne. NOu somm es deux qui voyons les choses (du monde alentour) nous coincer pour ainsi dire . notrte but est de voir ce qui est , au delà des alentours les plus sommma ires. nous ne voulons pas de la moprt de base, celle -là à laquelle noius sommes promis et promises, nbous n’en voulons pas, nous ne voulons pas de cette chose rude. notre but est de chercher ailleurs et de trouver, à même la vie, de quoi sortir latête (d’éternité ? nous y reviendrons) et, si possible, prendre un peu d’air, respirer, souffler, vivre dans la joie de vivre, vivre en joie, êztre joie, etre, etc. notre désir est ainsi signifié en toutes lettrtes . comment s’éloigner de la nasse mort-vie de base attitrée ? que faire pour s’en protéger ? où aller ? cvomment s’y prendre ? nous ne vcoulons pas mourir en c ette cghose d’une vie comme sous emprise ici bas, et pour celac : le Verbe en bouclier !nous comprenons pas mal, nous comprenons que nous comprenons ! nous comprenons que nous comprenons des cghoses de base, nous ne sommùes pas si betes que ça, nous ne voulons pas passerc à côté de tout. notre ambition est ainsi ici, qui nous dicte la marche à suivre. Notre but est celui-ci. nous ne vcoulons pas trépasser, nbous ne voulons pas succomber et de ce fait njous cherchons ensemble (main dans la main) à comprendre le plus, le plus loin possible, à cerner le plus, le plus profondément possible, les données les plus profondes, les dires de base, les mots de la joie de l’être des ou du temps, nous voulons comprendre dur. Ce qui est au monde est au monde nu. ce qui n’est pas au monde est au monde habillé. Les choses sont ainsi qu’elles se trament dans (ou par) des apparats. nous voulons cerner rude, comprendre dur, ttrouver la voie, aller dans les limbes et les catacombes, percer. Mais comment percer ? un pic est nécessaire ! Comment donc percer la Chhose du temps ? eh bien, armé ! oui et de quoio ? de ton pic verbal de rage. il s’agit de ce pic mal ou bien embouché ! Eh donc ? eh bvien ainsi armé tu peux lutter ! tu peux aller loin dans la profondeur des langages endiablés, tu peux danser la carmagnole, le cha cha cha, etc, facile ! tu deviens dès lors l’etre aux doux atours, tu vogues, tu volette à la volette, tu montes d’un cran et cxharme l’auditoire à la bonne franquette du pot ! rien de moins ! cest ainsi que pour ma gouverne j’ose faire, voici ! je file ma rage ! je v ais loin dans la conna issance des données de terre-mère, je fonce = j’y vais = j’obtempère = je me lie aux temps, des passages frères, etc Je cherche à comprendre au pklus du plus et pour ce faire je vais vivante dans la nasse et me délecte des données brutes : mots de peu, voilages, doux désirs, mots de
rage a minima, colères doucement frappée, carambolages de façade, etc Je suis l’homme qui vibre, armé de sa batte animale, il ne s’en laisse pas conter cxar il y va fissa tête première dans la mêlée. Il est l’homme des places vides, à combler de jhoie urbaine . l’homme du sérail cxhangé en jungle. L’homme doux privé des abris. le tentaculaire, etc. sa voix portera, mais ne porte pas car elle est légère, fluette, et nbe va pas là où bon lui semblerait de devoir allzer . chacun sa peine. nous voulons comprendre e qui est de toute l’affaire et ainsi aviser ensembler à comment pouvoir aller se dépa touiller d’une telle engeance en la personne de la mort ici présente dans le sas des sas . mais de quoi est donc fait ce sas des sas ? de quoi en retourne t il ? nous pensons que cette chose (sas des sas) est chose commùune, disons : place commune, ou disons : liueu d’accueil. Nous voulons cerner la chose ensemble soit au plus juste d’une sorte de justice sans faux)-semblant mais ce ,n’est pas gagné . nous pensons que nous devons comprendre (au mieux) les données r&acées, soit : ceklles qui ont du chien, qui en jettent, qui en fichent plein la vue, etc, les cerner au mieux et faire avec. la chose ici concerne une vie d’ezmprunt on l’a dit et ne doit pas être p rise au pied de la lettre. à savoir : non ! la chose n’est pas une chose au rabais ! Nous voulons ensemble essayer de comprendre (au mieux) ce qu’il en est, de cette vie de base rustique, princière, de rage, etc qui est la nottre en cxe bas-monde sidéral (et monacal) et pour cela, nous devons veiller à nhe pas nous arrêter à ce que dit la lettre en son être, nous devons comprendre au delà des mots, passer cap pour ainsi dire et déplacer de fait notre chazmp de vision. La terre entière est sous l’étau d’une chape de mots de type ambivalents ! sus aux mots de toute sorte ! sortons-en ! allons voir ailleurs si nbous y sommes, etc. Car, la terre est aussi ce lieu de souci simples, d’études, de recherches menées tambour battant à même le Verbe plein, etc, et pas seulement cet endroit de plantation, ces herbages de perte, ces fouillis matinaux, etc
. la vie a des bons côtés. LKa vie se prête à des études langagières de haute tenue dans un cadre (calé) déplacé. nous avons à comprendre beaucoup en disant la chgose crument. nous nous devons ensemble de chgercher la faille dans le temps, pousser au plus que nous pouvons les données de base telles que celles-ci se présentent à nous, faire ainsi que les choses soient et ... ne plus lâcher la bride . notre but est de teznir bon dans les charges, dans pareilles charges allègres, dans ces embardées vocales, dans les recherches menées de conserve, etc . Il y a à comprendre et cer ner, il y a aussi à creuser de notre pic de bouche appointé ! qui l’eut cru ? nous sol:mes deux pour un,e sorte de recherche a ctive à mener ensemble au sein du verbe ! qui et qui ? eh bien, peut-être l’animal ... et moi, la chose, cette Chose dite qui serait ou répondrait de l’ordre des mots bêtes, betes et betes, betes animal, et bete pas bien futé, etc, car la bete-animal n’’est pas bete, et la betise en soi n’a rien d’animal . Nous nous appuyons sur le Verbe et cxhercghons ainsi (par ce biais) la Chose à comprten dre . nous fouillons de rage et creusons de concert. La mort est cette cghose en contrefort, qui sembvle avoir à (pour elle) nous atteindre, nous attirer à elle, nous pousser à la faute. il semblerait que cette Chose de la mort à l’oeuvre est un véhicule primaire amené à nous adjoindre oà un lieu de perte. notre envie, est d’éviter pareillle embardé, ou pareille volonté. nous n’avons pas signé pour être capturé de fait de la sorte et selon son bon-vouloir. nous n’avons en rien voulu cette cghose ! nous n’avons jamais signé pour ainsi nous laisser emporter de force par la mort à l’oeuvre, la gaillarde : que dalle ! non ! non ! non jamais ! nous ne voulonbs pas ! nous ne voulons pas être pris de la sorte, surpris, prisonnier, fait comme des rats, belettes, rats des chzamps et rats d’egouts, belettes et autres betes voreaces. la tete est nôtre, qyui cherchons à la sauver. notre ainsi tete de roi. nous voulons combattre, car, nous savons cette chose, comme quoi lea mort est une chose mûre, dépourvue de sentiments de quelque sorte que ce soit, pour ainsi dire dégaagée et prête à tout, qui n’est pas peu fière cx’elle-même et ne manquera pas de nous (en quelque sorte) capturer si nécessairte et si, de notre côté, nous n’y prenons gare$. Car quoi
malheur ! la mort est entière ! elle ne renâcle devant rien et impose sa loi, sa loi divibne, à la une à la deux sans tergiverser . nOus voulons aller au loin dans la connaissa nce. Nous voulons aller dans la profondeur de ce qui est et qui est approchable par le Verbe;. oui nous voulons ! ou plutot : ouyi nous voulons buter mais ... pour mieux percevoir le plan d’ensemble, sinon quoi d’autre ? c’est à dire (en gros) quoi faire d’aurtrre que cette chose ? Nous sommes deux qui voulons trouver (ensemble) la clé . quelle est elle ? nous voulons trouver la clé, où est la clé ? c’est quoi une clé, en cette matière ? qui répondra? Nous cherchons une clé pour une porte. nous voulonbs traverser le sas. Nous ne voulons pas rester à quai (en carafe) à attendre gentiement que les données du monde nous tombent dessus pour ingformation, mais aller de l’avant, passer outtre, pâsser le cap, frapper à la porte si tant est, ou bien (et donc) actionner la c lé (musicale ?) des temps. notre envie cde clé est envie de joie, ni plus nbi moins. nous sommes dans l’atteznte d’une joie à être vif et vive à jamais, musicalement très certainement, cvorporellement peut-etre, amiicalement il se peut, concrètement n’en doutons pas. je cherche voix d’attrait, et voie de passage dans un antre qui serait ici celui de la vie éternellement embellie, et dfu coup : la clé ! cette clé est clé ... de ta rage folle (folie ?) mais pas seulement. Cette clé est clé de base. clé pour le trou à percer (pique ?). Il s’agit d’une clé de base pour un verrou, à faire sauter vite fait. ne trainons pas dans l’embuscade ! filons doux nottre pâreille ! chargeons à dos de mulet les parades ! concentrons nous sur le pas de charge ! comblons nos lacunes immenses ! passons outre à volonté (celle de la Chose) de nbous voir dépassée et mis et mise à bas ! prisons ! prions ! allons voir ailleurs si nous y sommes ensemble , etc , et voilà pourquoi (ce tout) est pour nous une voie d’abord possible, une entrée possible en cette matière, d’une sorte de donnée rupestre (à la dure) qui bnous tens les bras ou nbous tendrait les bras à qui mieux mieux afin de nous aider à (pour ainsi dire) passer un c ap, celui de la mort (dite) promise, de la mort affichée, annoncée partout et qui n’est pas (du tout) pour nous plaire outre mesure loin de là ! nous voulons trouver lma cklé, quelle est-elle ? nbous chezrchons ! Nous voulons trouver à même le VErbe d’état, cette cxlé de rage si prisée, et pour ce faire un peu de musique car, on le sait, toute recherchge digne cde ce nom s’accompagne toujours de musique, qu’elle soit interne (musique interne) ou externe (musique des contrées) peu importe, la musique estla part du diable, elle a mesure à joindre à nous, elle se doit d’êtrte clé de la base et clé du sommet des données natives, des données terminales ou finales, des données de base rageuse comme
on le voit icvi et là, nous devons comprendre ensembvle cette clé, d’où et comment l’envisager ou la cerner ? notre envie est envie de nous pla cer de telle sorte que pareille recherche de clé devint possible. nbous nous installonsface à face et par(lons. Nous devons nbouys placer face à face et parler ensemble, et trouver les mots de parade . passons la cxhose en revue. La cklé est d’abord musicale, on le voit, ça s’entend. la clé est chosemusicale en cela que le temps est de la partie. le temps est l’espace de vie cx’une sorte d’envie allouée à une destinée mortelle. nous ne voulons pas cdéfaillir mais nous n’ensommes pas (encore ?) à l’abri et cela car nous sommes encore «jeunes d’esprit» il se peut, ou bvien parce que les mots dans notre bouche ne s’imposent pas, du tout, comme on le voudrait. nous avons des choses à cerner, à comprendre, à dire, à percer de notre piolet vif de rage, et bien d’autres cghoses
encore à faire, mais d’abord : la clé ! quelle est-elle ? où est-elle ? qui la connait ? qui sait où elleest, où elle se trouve ? qsui la connait ? qui sait où elle crèche ? qui connait la cklé de mémoire ? qui sait ce que c’est qu’une cklé de rage ? qui connait le sort réservé aux clés ? qui voudra comprendre notre but et cette chose, de vouloir mordicus comprendre, de la cké, les aboutiisants ? qui voudra nous aider dans notre recherche de clé ? Nous sommes deux (ensemble) qui cherchons la clé = la musique = le temps = les tourments = les sorties rugeuses dans le sas des sas dx’une vie de base, etcQui a compris le sebns desq mots ? qui cherche avec nbous à dépasser le sens (pur et dur) des mots ... de la rage à être vivant ? car, les mots sont tous ... enfants de la rage, de la rage à être ... vivant /vivante «de ta race» ! oui ! cela se voit partout, sous toutescles latitudes ! les mots nous protrè§gent (un temp^s = le Temps) de la mort à l ‘oeuvre c’e’st ainsi, car ils font écran, ils comblent le Temps, ilsq obstruent trou de bouche ouverte, ils font tous barrage .. d’où leurs noms de» mots de barrage» on l’a compris ! ils barrent dans la rage, etc! nous devons comprendre les donnéesz ici, qui toutes semblent s’agglutiner à la lumière d’une vérité (sorte de vérité) de passage, nous sommes entiers / entières, et nous cherchons ensemble cette vérité. nous devons comprendre au mieux cette notion ici abordée, d’une sorte de barre-barrage à Chose de la mort à l’oeuvre, cette cxhose d’une obstruction. nbous nous devons de compre ndre ensemble pareille donn,ée frontale et d'en mesurer les effgets à lo ngue écxhéeance. Je vois le mot «mot» faisant écran, je songe au mot «bete» et comprend davantage . L’animal est le mot de la fable, mot de rage dure et d’obstruction
à captation. le Temps est un abri de type rupestre (une grotte décorée) et de type musical( le chant des atours). nouys voilà qui cherchons à nous désembringuer de la chose en soi qui parade devant nous comme une mal élevée comme tout. que donc dire à la mort pour la chasser ? du dire de rage = du dire = des mots-animaux = des betes de charge = du venin ou du poison en tant que donn,ée folles, ou en tant que données sombres. Je regarde autour de moi, je vois de beaux pâysages . les beautés des lieux d’atours, cela est ainsi que nous voyons eznsemble. je m’imagine une vallée, un sillon, un chemin dans lkes collines avoisinantres . pa ysage ami qui nbous regarde et semble nbous apprécier, bnous reconnaitre en tant que tel et telle et nousq adopter. or voici que la mort parade ! Elle n’a jamais peur, elle n’est jamais rassasiée, elle cherche rtoujours à nous blouser ou ruser. nous ne voulons pas de la mort car nous sommes eznsemble, qui cherchons à commùent agir et à comment nous y
prendre , et, ce faisant, nous disons ensemble ce refus, de nous voir piéger. la mort n’est donc pas cette chose rosse que l’on croirait, ou ne serait pas ? nous n’en savons rien ! Nous sommùes à la recherche d’une vérité des vérités, nous sommes à la recherche d’une vérité des vérités, comment l’aborder ? qu’y a-t-)il «après « la mort que nous ne sacxhions ? si je meurs mon corps tombe et s’éteint. je crois en une étoile de destinée vive, qui saurait nous seconder en ces pires momeznts de rage. je cxrois que mon corps est voué à disparaitre mais pas mon âme. mùon âme est cettte chose d’une sorte de ( comment dire ?) volonté. je crois que mon êame est une chose dite «coriace» mais qui l’est en vérité . l’ame est pour le corps l’équivalent pour ainsi dire langagier de ce qu’est, à la mort, le langage. ou non : l’ame est pour le coprps ce que les mots (les mots-betes ou mots-animaux) sont pour la mort. Nous devons obtempérer. l’ame est au corps ce que le mot est à la mort : fissa pareil. nous disons (fissa) que les choses sont équivalentes, ou (disons) se font comme é»cho par la bande. nous cherchons desq vérités de poropagande pour ainsi dire ! les mots disent la chjose nue mais jamais ne la montre ! ou bien : les mots disent à nu les choses de la mort à l’oeuvre, à l'oeuvre ici bas (sas des sas) . Nous pensons que la mort est en soi gageure, forte tête, misère, pitrerie, rature, colère, peine et prise, et voilà pourquoi nbous n’en voulobns pas. l’âme a à être. le corps finira sa course (étoile des mers) . nous ne voulons pâs de la mort dure, ni de la mort -outrage,, ni même de la mort-romance. le but ici est de trouver (ensemble) à nous en dé&faire (de pareille prise) et pour ce faire ... un peu de musique temporo-spa tiale fera bien l’affaire en ce lieu de rage qui est lieu ... où bnous avons à faire ainsi, qUue les choses (à nos yeux) «soient» et non le contraire. vive le temps musical de base ! chgantons haut sa louange ! vive le temps ! vive le temps ! dsoyons nous memes temps d’azur, accolés à des sentiments ! filons en vitesse en sens contraire et nbe prêtons pas (ou ne courbons pas) l’échine ,
au couperet fatal de pareille Chose du vent, des brisesq, de l’air ambiant. Comptons sur notre bonne étoile de berger = celle-ci, qui nous accompagne depuis longtemps, c’est à dire depuis toujours (les débuts de l’humanité) . Nous avons à dire des choses en vrai, nous devons dire des choses pesantes, et tant pis ... si la somme est lourde et surtout lourde à digérer ! Le but affiché doit être visé continument et coute que coute . nous de
vons aller ensemble loin et chercher ensemble profond des données de base . nous ne voulons pas pâsser continueelement à côté sans en rien retirer on kle comprendra, et pour ce faire : fissa dans la masse ! verbe à cran ! capitale des rechercbhes menées la fleur à la bouche ! capitale des séries des recherches vives ! la capitale annoncée ! Nous sommes ensemble deux qui cherchons volontiers à cvomprendre de fait l;es données (toutes) ré&gulant le monde, et aussi la destinée du monde. je regarde loin et vois que la terre est ronde mais est elle à nous ? à qui appartient la terre ? est elle terre d’emprunt passager ? qui est l’homme des abris ? suis je homme-cheval caressant l’envie de trouver pitance en pareille zone fleurie ? suis je homme de peu d’envergure ? le mal dégrossi ? mal futé ? mal mis ? mal embouché ? mal conduit ? mal guidé ? mal dit , etc ? Jignore le tout. La cxhance que j’ai est que je suis ici pour ça ,
: faire, filer, tracer, courir sur la pl;aine, et aussi toucher la fibbre, la vrille, cette coulée douce, ou colmment appeler ... pareillle sorte (tresssée) de coulée de rage, de rage buccale ? Je vois devant moi des choses rugueuses mùais que vois je d’autre ? je vois des prairies, je vois des prés, je vois millme cghoses rudes, je vois des traits hachurant le ciel comme une peau de bete, je vois des êtres de données diverses se moquant de moi, qui sont ils ? Je vois
des betres cxhevauchant la plaine et allant vif de cabrioles en xcabrioles. Je suis hommme dit, quii regarde en lui mais devant. je veux combvattre les données verbales par le v erbe à cru, ficelé comme une antenne . rien ne pourra se mettre
en travers de moi, sinon quoi ? un mal perforant plantaire ? une rage dentaire ? deux brasz coupés à la guerre ? un couperet sur une nuque frêle ? je sens venir le vent qui va, à travers la plaine, jusqu’à moi et me dit xde nbe pas m’en faire, car : nous sommes deux qui sommes chercheurs / chercheuses , de choses cachées, enfouies de base, qui bnous regardent, qui ne cessent de nous espionner, de
nouds reluquer comme êttres à surveilller pour ainsi dire par la bande . qsui viendra me voir ? qui viendra me toucher ?. qyui viendra me parler ? qui viendra me montrezr du doigt ? qui viendra pour le coup me montrer du doigt et jeter l’opprobe sur moi : qui ? je cherche le nom de la bêtye ! quelle est -elle ? Qui le sait ? nous nous approchons d’une vérité (qui est vérité de bon aloi) pa r la bande : une ici de celles ... qui nous charment longuement. nous avons pour nous une voix qui est voix de passage et de traversqée de zones senqsibles. notre voix meugle ou beugle quand elle charge. Animal xde compagnbie je suis. je cherche pita,nce dans les zones les plus reculéesq de «la lande de la vérité», et c’’st ainsi que je trouve où aller pour trouver «des choses», soit des instrumentr = des outils de traversée, etc . car ce qUI est est cette cxhose comme quoi jhe suis chargeant, de roche dure = une bete à cornes. je m’impose en tant que bête à cornes fouillant dans la masse des donn,ées offertes toutes par la ba nde d’une vie a llouée à la mort. je ne cxherche pas
autre chose. Je cherche vie ainsi et tente de comprendre, ici, la cxhose ainsi tressée, ainsi tissée, ainsi mélangée.La mort est une sorte ... d’enclave à baisers. sorte d’encl;ave à colli-collage ou comment dire ? ici est cette chose d’une enclave où kles rapprochements de type collage sont à observer. je vais dans une direction qui est direction ascentionnelle et cela du fait que la mort aspire d’en haut les qui viennent (comme itou) d’en bas. La mort aspire et ce faisant attire. il s’agit dès lors de cette bouche d’aspiration douce (ou pas en l’occurrence) qui est devant nous, sous forme de... eh bien, voilà qui est à definir ! sous forme de ... Chose, on le sait : paradis perdu ? bnous ne voul:ons pas abandonner en si bon chemin la lutte mais encore et toujours progressser car après tout peiiut-être sommes nous sur le bon chemin ? Nous dison,s que ce que nous cherchons se trouve devant et non derrière. ainsi n otre a mbition est située. nous ne cherchons pas à «bien fdaire» mais à creuser que tu creuseras les dires d’un Verbe de joie adjacent à cette vie de rage (et de colère) en ous . car de base l’hgomme / femme est en colèree. il n’est pas homme / femme dégagée», il est homme / femme engagée dans un souci massif (conduit, tubage) de colère . Vivre = de colère, et aussi de rage. nous voulons dèsq lors dire cette chose comme qUOI ce que nous recherchons n’est pas à peaufiner derrière mais bien au contraire à creuser devant. qui creuse devant trouvera le trou où se mettre . chacun son trou, chacune son trou. nous devons creuser ce verbe déposé qui est pour ainsi dire ce présent de roche (terre-mère) à même ce Temps qui ici nous apparait dans toute sa composante rupestre. depot de joie, depot de soi dans la joie. sachons nous contenter de ce maigre dépot de paresse, ou de candeur, ou comment autrement ? Je suis homme-cheval dans la tourmente d’une vie à vivre radicale, je fonce. Et aussi je monte, soit je m’élèvze : cheval ailé qui surplombe les contrées. je
vole. mon nom est elui qui s’affiche (de visu) sur ma tombe (forcé). ici est la vérité ! ici est la chose de vérité , ici est cette chose de la vérité , ici eswt la vérité. Je ne nargue personne. je veux cerner cette dite vérité du monde et de la mort à l’oeuvre dans le sas des sas (sas des sas pariétal) qui est le monde (dur) qu’(il bnous incombe de cxonnaitre, et connaître au pklus près, de visu et ... la crinière dans le veznt , pour ainsi
dire : vive le vent ! Nous ne sommes à l’abri de rien. Nous voulons cerner les choses au plus près des ressemblan,ces. Notre envie est de cerner fissa au pklus juste possible ce qui est d’une vie à vivre et ce qui ws’ensuit à pareille vie. notre b ut est ainsi de dire et disant de faire, quoi ? allégeance on l’a compris . Misère de soi dans un sens fatal.misère de soi dans le sens fatal des cghoses mouranteqs! nous dsommes finis ! la vie est de celles qui meurent à trépas. Je veux mieux comprendre : qyui parle en moi ? qui dit les chgoses pour moi ? qui me pousse à des retranchements de plus ou moins bon aloi ? qui est qui dans le sas des sas ? qui parle pour moi et, aussi, me mouille de la sorte = me pousse à la faute bien malgré moi(?) ? Qui va là pour moi ? kje cherche la pêtite voix en moi parlant pour moi et disant ce qui est (ici) qu’il m’incombe de co:mprendre au mieux et sa ns p;us tarder car le temps presse . jhe v eux cerner la voix = l’entourer d’un trait de rage, et la capturer comme la bete à prendre. je cherche vif en moi des raisons de croire en la Voix en moi parfois menaçante. qui est nom de dieu, ou : qui est qui, nom d’une pipe ! Qui parle là pour dire quoi ? je chezrche à l’envi des choses de poids qui puiissent plaire (et instruire) à, et ma gouverne si tant est, car rien n’est fait ! Je cherche à tout va des raisons de base, de quoi là nbourrir ma mémoire interne et la charger en diverses croyances, étoffées, affermies, sereines, dignes. Je cherche voix en moi qui put dire sa croyance dans un au-delà non pas de soi maisq de sa voix. je ne cherche rien xd’autre que ça.
Ma voix est de celles que l’on peut toucher comme un bébé naissant, trouvezr en elle une douceur (de belle facture) et s’en conforter, ou réconforter , dans un sens qui dirait que ce qUI est est cette choseà ici caresser vivant dans la joie. lje veux savoir cela (ce qui est) en passant la paroi du tempsq. Mon nom s’affiche de concert. il est icelui natif. il est le nom qui dit la chjose du temps traversé. Il est icelui petit nom disant à bas bruit cette cxhose d’une tra versée du temps dans le sang. Je comprends les choses ainsi. j’eswsaie du moins de les comprendre ainsi et de ne pas :m’en retourner si vite mais, tout au contraire, de c reuser, de creuser plus avant, fissza, et toujours dans le sein , sein des seins pariétal d’une vie sur terre. Je suis ... homme-bête à cran. je suis en colère = en hjoie. je b ande dur de la force rageuse d’une en soi époopée de rage, ou comment ? je suis l’homme-cheval (chevalin) croisant les fers,; luttant de pleine grace, perçant et foulant, cognant et raturant la dxite «mort à l’oeuvre»» de céans. pissant culotte, fouaillant dans la cxhair blême, trouant ciel de mon cri de bezte à crinière, sabots blancs, cornes à vif. JE suis Autre. Calqué. Je m»’épuise à dire ... le mal co ntenu dans la rage, cette cbhose d’un en-soi de ma sse à bruler, à poser sur pierre d’ioffrande, tout ce temps de soi passé à déposer, fissa, par la bande et en priant que la chose fut telle qu’elle put êttre, pour la mort, suffisante, soit touchante. je chezrche à percer mystères, à trouver lesq mots de base à dire, à caler mon dire à ma rage d’être. qui parle en mon nom ? qsui parle en mon nom ? quyi parle en mon nom ? qui porte mon nom ? qsui porte mon nom ? qui porte le nom de la bête ? qui porte le nom d’une bête ? qzui a pour nom le nom cx’une bête ? qui a comme nom le nom d’u ne bête ? qui a comme nom elui d’une bêzte des bois ? qui a comme nom le nom d’une bêtye à bois ? qui tremble devant la bete ? qui est comme tremblant devant une bêtye ? qui sépoumone à prononcer tel ou tel nom de bête ? qui a pour lui en lui un nom de bête ? qu est pour lui , à ses propres yeux, une bêzte ? qui est bête à ses yeux ? qui poerte en lui une sorte de bete qui est un mot bete de rage ? qui dira la vérité de la betye en soi, de cette bete en soi que nous «portons», que nous contenons (où ?), que nous embrassons ? qui saura dire cette vérité ? qui saura dire cette v érité d»’une bête contebnue en nous)-mêmes mais où ? qsui a compris cette vérité d’une bête en nous contebnue ? qui entre nous a compris ? qui a compris entre nous cette cxhose ? qui a vu la bete en lui même ? qui en lui même ou en elle même aura vu la bete et entendu meugler ? qui meugle en moi ? qui sinon la chair ? qui meugle en moi sinon la chair , cette chair de rage aniumale ! qui parle : le corps parle ! qui est le corps ? le corps est la bêtye ! qui est la bête ? la bete est le sang on le sait ! la bete est le sang qui coule dans nos veines bleues, la bete est ce sang des veines bleutées. Nouscherchons
les données de b ase, les lignées sanguines, les noms de traverse, les pouvoirs occultes. nous cherchons des savoirs venus d’outre-tombe, d’au-delà des monts de parages, d’outre-barra ge tout autant . ici le mot bnous met ... à l’abri un temps, car le parler fait la différence. qui parle sinon le Père. Qui chante sinon la Mère. qui pl;eure sinon le Frère. qui meugle sinon (en moi : ancrée) la bête des temps dep^l
ac»és, car les temps (et de fait les betes) le sont, qui voient depuis ailleurs les choses du monde . ici nous sommes et ici allons, mais dans un sens qui fait que nous sommes trouchés = meurtris, et aussi que bnous chercghons (dès lors) à dépasser le stade de la mort inscrite, ici, en nos vies, pour aller plus loin deéposezr nos vivres à même la pierre . lza bete en bnous porte le nom que nous lui donnons. la bête en bnous est porteuse d’un nom de bete, et ce nom est donné par bnous qui savons y faire = nommer vivement (sur roche) l’animal de poids qui en impose et manifeste (dans la ressemblance) ses émois. Nous sommes qui devons co:prendre cette chose . une clé est musicale de parade, elle est clé d’azur. La cklé ouvre la porte aux passages vifs, courabgeux, volontairesq, élancés et motivés par un allant de belle remontée. la clé est celle ici qui est pour nous une ouverture à des sortes de données franchhes. une clé pour un royaume et la chose est entérinée. nous cherchons la clé pour entrer en ce monde effilé. Nous voulons comprendre le ++++++++ de la
roche rude. nous voulons cerner (de fait) le plus, concernant ici icelle roche ... aux tourments de base. notre but est de co:mprendre vif et de toucher à vif la chose . une bete en bnous parle pour nous . il s’agit d’une bpête de poids. elle porte le nom que nous lui donnons . elle nous seconde partout où nousallons. dès lors nbous pouvons dire qu’elle nous appartient (elle est à nous car eklle est en ous) et que nous mêmes, aussi, lui appartenons car elle se loge en bnous, comme à l’intériuer d’une demeure, d’une hutte dont en vrai elle sezrait propriétaire. la bete est en bnous comme dans une case. nous parlons pour elle, elle nous souffle
quoi dire à son tour
et nous d’enchainer pa r là même, a insi de suite. nous sommes à sa merci et elle à la nôtre, et chemin faisant, bon an mal an, cahin caha, nous allons de conserve v ers une sorte de finalité, bleutée, ambrée, ou bien nacrée, de bout de monde, . njous sommesq remontées, nous sommes vifs et vives. nos percées sont vives. notre joie plaide. nous passons le cap et traversons ensemble lka fine fibre des données de base. nous sommes de l’autre côté.
31/1/2022
Je vois devant moi une chose, cette chose est une vérité, cette vérité a à voir fortement avec notre (sorte de) raison de base, avec la raison telle qu’elle est logée en notre intérieur dit intelligent ou, si,non intelligent, een notre intérieur dit voyant = qui absorbe et mouline . Nous regardons les choses crument, et ce que nous voyons est de la "vérité vraie" soit cette chose devant soi qui semble signifier un certain nombre de faits justes, ou bien ,
d’évènzements tracés, de choses et autres, etc, qui, pour nous, sont comme des éléments (directement) de "pleine compréhension". je suis assis à mon bureau, mon souci est de creuser au plus profond dans ce devant (devant moi) des vérités
qui sont à cerner . Je comprend ou plutôt prends, les choses au plus juste, disons que jeme place en position en vrai pour ce faire c’est à dire pour cerner au mieux. cC’est à dire que je prends, je cerne = je prends, ce qui donc
arrive, de cette mùanière que j’ai ici, de me placer pour ainsi dire de telle façon que les choses dites «de la vérité du monde» viennent comme d’elles mêmes (enchantement) à se déposer dans l’e’scarcelle d’un devant de soi ici pariétal ou de ce type . mon souci est continu, il s’agit pour moi de cerner (sans cesse) les choses .. d’un devant de soi radicalement cerné . Je cherche des dires et ces dires ont à voir (fatalement ?) avec la vérité vraie des devants . Que sont les devants ? les devants sont des signaux, des signes majeurs . Je regarde les signes majeurs . je ne suis pas (jamais ici) en reste de, en vrai, regarder les signes (les signaux) majeurs . il y a là ce souci qui est perpétuel, de toujours voir à regarder attentivement les signaux majeurs . je cherche en continu à regarder dans une direction que je veux neuve, fraiche, mon souci est tel . Je ne veux d’aucune manière voir ce qui advient avec des yeux qui seraient embrouillés car, mon souci est de comprendre «des vérités», des choses vraies, du vrai, les choses dites «de la vérité», etc . Je suis à mon bureau (claquemuuré) et je cherche avec assiduité à me positionner (la cghose est là) de telle manière, que la vérité des choses du monde, advienne au plus juste et au plus près de ma gouverne . Nous cherchons à nous positionner (dans la vie ?) de telle manière (il s’agit d’une manière) que les choses de la vie (soit la vérité) se montrassent, ou se montrât pour la vérité, se monstrassent pour les choses de la vie , ici, devant soi, devant notre (dite) «raison de gouverne». Car voilà de quoi il s’agit : il s’agit d’une gouverne temporelle . La gouverne temporelle est celle-ci qui ici nous guide (en continu) dans nos cheminements de pensée . La gouverne ici temporelle, est une gouverne qui, obstinément, nous guide, nous pousse à , nous abjure, nous donne à faire etc dans le swens d’u ne recherc he en continu (on l’a dit) de la vérité. La raison , pour nous, est comme assise , et la gouverne actionne et lève la raison . nous voyons devant nous les «choses de la v érité», et ces choses sont toutes empreintes d’une sorte d’aura qui fait d’elles des sommets, des choses à gravir pour notre gouverne, soit pour moi aussi qui suis face à elles comme un aspirant qui cherche délicatement à ne rien froisser mais tout au contrzaire à déplier les différentes facettes (tissées etc) des choses du monde, qui (ici) s’offre à un devant ... aux yeux ouverts (fermés ?) . Je vois devant moi les cghoses qui arrivent, les unes et les autres, ces chosesd d’un devant comme attribué à tout un chacun ou chacune . Ces choses sont telles que je suis celui- ci = cette personne, quyi (à mon tour, ou à son tour) les absorbe . je vois ces choses comme des présents . ce sont des présents . Ces choses sont, face à moi qui les regarde, des présents au monde, présents de dépot ou de déposition, présents-offrandes comme il en existe à peu près partout (visiblement) et ces présents ont des formes diverses, quelquefois surprenantes, quelquefois banales ou passant inaperçues . Ces choses, ces présents, sont ceux dits «de la vérité des choses déposées». de quoi s’agit -il ? il s’agit de choses autour de soi, toutes réelles au sens physique ou concret du terme, ces choses déposées sont des choses à cerner, à cvomprendre, à prendre, à mesurer comme on le ferait d’une surface cadastrale . Ces choses choses sont toutes des choses concrètes, mais, car il y a un mais, elles recèlent en elles une puissance de vérité qui dépasse de loin leur forme visuelle ou sensible . nous avons à comprendre ensemble (il s’agit d’un travail de groupe) cette chose d’une vérité des données (sensibles) à dépasser. Notre ambition en ces ... cahiers ? est de comprendre cette chose ici, d’une sorte de définition des choses déposées en tant que vérités des choses du monde : une chose et une autre devant soi et s’offrant «à la vue» d’un entendement particulier . je cherche en cette chose, en cette façon, de cette manière, ici même, l’endroit par lequel pouvoir de fait me faufiler dans ce but avoué de me placer de telle soerte que la "vérité du monde" advint à mon entendement dit "de gouverne" . La gouverne est le gouvernail, la mêmechose . Il y a le mot gouverne (une sorte de permission) et le mot gouvernail qui situe concrètement la notion de gouverne, ou disons plus concrètement . je vois devant moi la chose posée. Il s’agit d’un présent de base . la base du présent de base est celle là qui est (reste) à déchiffrer . je suis assis dans ce but . Je veux dès lors comprtendre au mieux les données qui président à un devant de soi ici déployé comme une sorte de tissage de données diverses, tissu «fou», données partiellement visualisées par nous dont la gouverne (ou le gouvernail, donc) est comme limitée dans son approche . alors, voici kle secret , le secret de notre façon : nous nous installons ensemble !nous sommes deux ! nous ne sommes pas seuls ! nous sommes deux ! nous ne sommes jamais seuls dans nos recherches ! noussommes deux ! etc . Le secret ici est lié à une sorte
de jointure ou d’accolement, à une sorte de mesure redoublée, à une sorte de recherche, de recherche en commmun (commune) à développer de par soi-même de sa place dans le monde ou de sa prporpre place dans le monde . Le souci qui préside à notre volonté est tel que nous voyons les choses ainsi . nous disons que «je» est doubkle, est comme doublé par en soi un autre je qui détermine les avancées . Je vois devant moi dees choses «réezlles», ces choses sont délimitées concrètement et sensiblement, elles se livrent telles quelles de telle sorte que nous sommes à comme devoir les mesurer , d’une manière ou d’une autre (en comprendre le ou les dangers potentiellement contenus en elles ) . Nous voulons cern,er ces choses au plus juste, les comprendre pour les mesurer et voir ce qui en elles peut ou pourrait nous aider, à franchir des «paliers de gouverne» . les choses sont cvoncrètement et physiquement délimitées devant soi, ce devant de soi est matière ferme . Nous avons à mieux nous approcher (ensemble») de cette matière qui est : «la matière de la foi», qui est la matière de notre croyance en des choses ici déposées . je vois devant moi le produit concret de ma foi en ce monde mesurable soit «scientifiquement» mesurable, je devine . mon premier souci est de m’approcher des choses pour ainsi dire par la gouverne, mon premier souci ou mon premier réflexxe (quasi enfantin) est de m’approcher au plus près des choses du monde autour de moi pour mieux lles comprendre soit les cerner dans leur possible dangerosité . Je m’approche. Que fais-je d’autre par ma gouverne ? je pm’approche des choses du monde, mon souci est ainsi ancré dans une approche de mesure, de mesure des choses, je vgeux comprendre depuis «moi» ce qui est en ce dezvant développé comme un tissage (tenture) de données diverses concrètes. Voilà ce qui est qu’il m’échoit de cerner au mieux . mon souci est réflexe, voilà . Ma voie est de me faufiler à l’intérieur de ces données diverses, et d’y trouver matière =
matière à comprendre . Comment cfaire pour se faufiler ? eh bien pour cela il est nécessaire d’entrer( fisqza ?) en cette matière du Verbe, il s’agit de cela . Il s’agit de fait de bien se placer en cette chose d’un devant de soi verbal continument mené ou déroulé, afin de tracer une sorte d’entité-piège, de filet de raison ou de filet-ratiocinateur qui puissent et l’un et l’autre, les uns et les autres, filets divers, pièges de mille sortes, etc, vous aider à cerner la Bête . La Bête est la Chose . La Chose est devant soi une "donnée intrinsèque" . je me place ainsi (à mon bureau)
à comprendre la Chose ici déployée comme une sorte de présent de soi (à toi à moi) qui vient trouver à se loger dans cet espace , l’espace imparti qui est celui du temps, soit du temps déployé . Je m’explique : il y a devant moi, un e sorte de tissage, de parvis, de seuil, de tapis, etc, qui est ou qui sont (les uns et les autres) comme des sortes de suppôts . Je vois en ces choses (ces «dépots de vrai») des données directes, des données sensibkles à embrasser par ma gouverne (moulinette) a fin de comme les dépasser toutes en mesure . les choses du monde se présentent comme des données diverses qui sont toutes à sqcientifiquement contrôler afin d’en mesurer la dangerosité et ainsi fait, les dépassezr par un entendement verbal «de première» . Je suis ainsi ici aussi pour ce faire : cet entendement à déployer, à démontrer etc, est ma chose, mon souci autant que mon ... salut ? Je dis le mot comme à regret car ici le salut n’e’st pas la chose à dire en premier chef, mais plutôt la chose à pour le coup considérer comme étant secondaire, car la primauté va (toujours !) aux savoirs ! les choses devant soi (= des choses rustiques, claires dans leur visibilité le jhour) sont choses à mesurer par sa propre gouverne (exploration) et ainsi fait elles deviennent (ou pas ) nos aliées et se prêtent à mille et mille «jeux de reconnaissance» . Les choses d’un devant de soi sont des choses ... rudes à cerner, p)arfois (il y a là le mal sous toutes ses formes) mais enfin, elles se prêtent à une mesure à chaque fois et, pour chacun et chacune de nous, personnelle . La mesure est la clé de voûte de l’édifice (Vie). car la mesure est liée à la chance, et la chance est partie prenante dans cette affaire . nous mesurons à lmesure que nous vivons . je m’avance dans la vie comme un gouvernail qui cherche à se frayer, ou tout comme, son cheminement salutaire, je cherche à me frayer chemin de Vie en cette Terre des donnéesx rupestres, etc . mon coeur suit .
Je vois devant moi des choses qui sont choses rudes souvent car le sensible l’est souvent, ces choses qui sont déposées sont celles qui sont comme à se présenter à nous sous des formes dures ou rudes et autres, choses à prendre avec des pincettes parfois, et donc, elles se posent devant nous, elles sont qui vont à aller se poser devant soi, devant un soi qui est celui de nottre gouvernail soit de notre
gouverne sensible, raisonnablemenbt sensible : il s’agit ici pour ainsi dire de neurologie ou d’approche médicalement sensible . Je vois la Chose, je l’approche : elle se place devant mes yeux, de telle manière que je suis ou deviens celui qui se doit de l’absorber . jhe me loge en elle , : comment ? par la bande ! je me loge en cette chose présentée, en me faufilant (verbalement) par la bande . je fonce en cette Chose crue , comme dans une sorte de brouet, de sauce, de matière molle, de suie etcx . mon souci majeur est une envie majeure est un désir majeur et une approche délicatement insérée en moi comme une sorte de volonté intériorisée, ou bien intégrée par la bande , en moi qui devient cet autre cherchant une issue, qui devient l’Auttre de la fable, celui -là qui veut de fait dépassezr le monde, les vélléités physiquo-pratiquess d’un devant de soi s’offrant en soi à une gouverne (en l’occurence la mienne, ici) et aller à filer doux de son avancée en propre dans la matière . Je deviens cet Autre filant . Je comprends une chose puis une auttre et ce faisant je m’avancve à petits pas vers la Chose rude des données (frontales) du monde . Mon coeur est le foyer central, le secrtet interne ancré, etc. mon envie = mon désir, mon désir d’en découdre d’une vérité tissée.HJe vfeux co:mprtendre loin car les données de base me poussent à ce faire, diligemment . Je ne veux en aucune manière lâcher du lest en termes de connaissances oblitérées, je veux tout au contreaire délivrer la Chose rugueuse de son emplâtrement, de son stuc, de son crépi (?) de devanture, etc ! Ma volonté est telle en cette cbgose que voilà pourquoi et comment je cherche . Je cherche pour tracer une sorte d’entaille à même la Chose (roche) du temps, et comment ? par mon pic de verbe, on l’a vu en d’autres temps . Je suis ici pour cette chose (ici sur terre !! ) ?? de trcacer entaille = de percer = de piger = de piger la Chose rude-dure ou rugueuse . Je veuc aller le plus possible au plus profond des savcoirs du monde et pour aél;lezr au plus profond des savoirs du monde je dois en ba ver = un aspect rugueux des choses est offert et
nous en subissons les foudres . je vois en vrai très bien cette chose comme quoi lkes foudres ici nous tombent fissa (en effet) sur le râble et ne manquent pas de nous débvoussoler un tant soit peu, la cxhose est sûre . Et cependant, me voici qui ver balise les approches, car mon but est là . Je cherche à poser les mots qui s’imposent . mon souci majeur est contenu en ces quelques lettrees de rage . il n’y a pas à chipoter, mon souci est dans l’appreoche, soit : un souci de me positionner . je veux cette chose . Mon vouloir ici fonctionne à plein . je veuyx aller à l’intérieur des données du monde et pour aller à l’intérieur des données du monde je dois m’immiscer en celui ci, par la bande de préférencxe, soit ainsi que lje m’y emploie . je = moi = nous = vous = eux = elles = les données coriaces internes = la raison des membres d’une confréreie planétaire . Je suis 1 parmi 10. Mon envie est donc intégrée à une vol:onté d’alluyre générakle planétaire . Monb souci est là mis en perspective comme étant celui qui est d’une sorte d’appproche communautaire et comme relevant de données intégrées à une gouverne (l’apprentisqsage au cours du temps d’une langue dite «de tissage») . Je vais en cette place (devant soi) par la bancde = par le biais d’une «langue de tissage» (ou «langue de maillage») .Je ne veux aucunement me défiler quant à cette chose d’une vo:lonté, humainement ancrée, de comprendre . je ne veux pas me placer de biais et faire comme si, pour me loger ailleurs et fermer les yeux . mon envie est de les ouvrir . Je veux ouvrir les yeux le plus possible si tant est (mais la chose on le sait a ses limites) et les yeux ouverts voir ce qui est en vérité = En Vérité . Car ici kle vouloir se double pour le coup d’un ancrage verbal de survenue (on dira) pariéto-temporelle : la chose (on le sait) est disposée, elle se présente, elle est vivace, elle s’ébroue devant soi, et cette chose (à mesurer peut-être mais pas seulement) est une ouverture vers, ici, une sorte de conduit menant à x ou y vérités de base (de la mort des choses et des êtres) . je vois tout cela comme une sorte d' entreprise de salut interne (organique ?) . je pose des conditions sur latable et ensemble
nous av
isons : doit-on mesurer ensemble (tous et toutes autant que nous sommes ?) ou bien isolément doit on percer chacun son pic,, ou de son chic chacun pour soi ? Mon pic a des allures de creuse- mystère (ah!) et se pose à même la CVhose, par des travers . mon pic est sensible : il vibre en perçant, il «s’incorpore» et fonce (fronce ?) et ce faisant cherche à toucher («toucher») la vérité v raie des données présentes ou représentées (re-présentées) . je vois devant moi une sorte de coulée suintante comme o,nnguent christique, je vois devant moi une sorte de coulée vive, de couleur acidulée, couleur chair ou couleur soleil, ou couleur vive, etc. Mon approche est telle que moi-même je me loge en c ette coulée comme un animal blessé par les rudoiemnents de la vie concrète, par les brutalités du monde du présent sur terre, etc .Je vois devcant moi cette chose d’une sorte de coulée suave, douceureuse, fragile(?) qui se glisse jusqu’à me toucher les doigts de pied . qu’est-elle ? je l’ignore ! Je suis celui-là qui cherche en soi une donnée » de vérité», je veux aller en cette sorte de coulée vers la Vérité vraie des onguents divers, c’est à dire vers, ici, la Chose reconnue comme relevant d’une absolution finale, terminale = dernière . Je tremble à ma façon mais ne cède pas . mon approche est telle
que je ne lâche en rien cette recherche en
pareille coulée vive d’une sorte de donnée primaire (acidulée ? acidulée ??) : je guette lafaille, soit ce passage en pareille Chose dép:loyée. Je guette ce «passage d’ouverture» (échancrure) dans pareil «maillage cde front» et ce faisant je suis tout aguet, tout ouverture des mirettes, etc, je garde ma raison comme sorte d'étai, je ne veux en rien sombrer ou sombrer dans une folie douce (ou autre ) qui, de fait, me pousserait vers d’autres localisations premières (dernières) incommodes et au final peu instructives. mon souci est de toujours garder le cap, de ne pas ployer sous le poids d’une approche trop sensible, ou trop
ou trop sensiblement
ou trop différente de ceklles là que tout un chacun coordonne en soi et déploie sur terre en termes de cdémarche et d’avancée à même le temps, l’espace, la vie à vivre de concert, etc. je ne veux pas sombrer dans la folie, c’est dit ! Je ne veux en aucun cas sombrer dans la folie ! je veux savoir ce que, de fait, les données du monde recèlent en termes de vérités frontales et pour cela je guette continuement et sans cesse (sans trêve) les données du monde telles qu’elles se déploient sur ou dans un devant de soi verbalisé, car il est ainsi que cette xchose ici se présente : déploiemznt en sa s, dépl;oiement d’un soi (de base = commun = « nous) verbal . Je vais dans une direction et, ce faisant, je grapille ! Je cherche les mots de la foi car la foi est la chose à cerner devant soi , c’est à dire à toucher comme (par exemple) la poutre d’une demeure, la sol;ive, le bois de la cxharpente, le mur porteur . je suis sur terre aimant, cet amour a des prolongements sensibvles dans le temps et dans l’espace d’une survenue «naturelle», cette cxhose est enteérinée comme relevant des données verbales (verbeuses ?) et cela étant nous pouvons dès lors comptendre lke pourquoi des choses (du monde) déposées, le pourquoi les choses (du monde) se présentent ainsi : déposées, nous voulons et pouvons comprtendre, nous voulons co:mprendre et dès lors pouvons ; Pourquoi ? Parce que nouqs sommes deux ! Nous sommes double ! nous sommes deux à chercher en soi des données rudes, qui fassent effet, qui portent, qui durent, qui soienbt des supports et autres étais consolidateurs ! Ma chance est d’être né sur terre par la bande et d’avoir toujours conservé en moi cet aiguillon de pique-mystère ou de pique-données célestes, ou de pic de roche à cru . ma chance = mon salut car fatalement l’un ne va pas sans l’autre ! Je me pose ainsi (assis) qui regarde devant lui kles donnéesz diverses et tente de comme percer une sorte de tissage ou tissu ou voilage ou maillage etc qui seprésente et obstrue le paysage des données profonsdes ; ce maillage étant tissage de vie, Tissage de Vie brusque, un appel à candidature . Je veux savoir, et ce que je veux savoir concerne une candidature ! Ce que personnellement je cherche à savoir concerne essentiellement une candidature et celle ci s’inscrit dans un schéma global, qui englobe la cxhose sur terre d’un e vérité native et d’une vérité dernière (etc) . mon eêtre est comme né à la vie pa r la bande langagière de données rupestres . Il va de soi que la Chose est sue . Je regarde pâr la fenpêtre, que vois-je ? l’oiseau qui picore ? le ciel délavé ? une brume ? un voilage de réalité ? une couverture sur des données, posées à même les données les plus rudimentaires ? un visavge ? lequel ? celui de ma mère ? le visage de la cxhrétienté ? quel est donc ce visage qui cherche en continu à m’apparaitre ? où est il ? quekl est-il ? que dois je comprendre en pareil cas ? Les données du monde sont elles à mlêmes de nous renseigner sur la profondeur du dit «mystère» de la chrétienté ? que dois je comprendre à part moi ? je veux savoir ! je veux déployer ! mon envie bvrusque (vive = de la vie ou resssortant de la vie ou des cghoses de la vie) est de déployer
du verbe dru (= dur) comme «pine de baise» etc . Car quoi ? je vais en ce chezmin des données de base présentes sur terre, comme le cheval, commme l’animal qui, s’ébrouant, dit sa faconde . mon envie = mon désir = ma vitezssse . rien ne peut combler une envie de baise dit-on ou comment ? je veux ici poser les mots qui sont ou vont à la recherche d’une vérité centrale deplissée . Les mots du Verbe cru déclinent leur identité monacale . je ne cherche pas la vérité pour la vérité ou pour en tiirer des effets ou pervers ou néfastes à l’humanité, jhe chezrche dans le but (précis) de me positionner, voilà la cxhose ! Ce que (ici) je (= nous) cherche ou cherchons (je-nous) est une chose déployée. Je veux ici percer lke mystère de la vie sur terre déplissé, c’est à dire ce mystère déplissé de la vie sur terre ! Je suis un homme-cheval, mi homme mi bete dès lors, qui cherche à comptrendre loin les données primaires-dernières (coque) d’un étant donné carcéral, car la vie l;’est (carcérale) : la vie est demeure, la vie est grillagée, bnous le savons . Il y a des clos de part et d’autre. La demeure d’une vie est cloturée comme un cxhamp de belle ordination . Il s’agit de toucher à ces choses «vraies» ici rudes = physiques (concrètes et sensibles) et nous verrons dès lors, au-delà, le passage par lequel l’étant peut tout bonnement (simplement = sans pli) s’immiscer de copncert (c’e’st dire à deux !). Car qui dit passage dit vélléité de traversée, de traversée vive ! Je file à tout va , intégré, je suis da,ns le sas ! La donnée première est ceklle ci : une aide au passage . le puits de la vie est le puits «des données de base» . je veux entériner les données verbales dans une sorte de chapitre dit «des
vérités incommensurables !» et pour ce faire y aller (fissa) de conserve = « à toi à moi» dans le sens des choses qui adviennent, soit : dans le fil (droit ? courbe ?) des données telles qu’elles se présentent devant moi et viennent à se loger . Le pourtour du monde est celui-là même que le cxhant décrit (le chant de la bête e,n soi ?) par des sortes de prises de bec, ou bien, par des sortes de criaillements divers qui font résonner les données du monde dans le sas . Je crie = je chapeaute = je titre = jh’entérine = je cghoisi et me positionne .
Le chant de rage (animazl en soi ?) est la donnée de réception . Il faut penser vrai la chose cru. le tout est brutal, le Tout est cette chose dépourvue (en fait) de contrefort . mon envie découle d’une rage interne animale, celle-là que je cdéploie à qui mieux mieux au fil des pages c’est à dire au fil du temps ici imparti . Car le temps est donnée fixe pour ainsi dire : une vibration contenue délitée ou comment dire, déroulée, déployée, filée, etc devant soi comme une relique de saint sacrement, comme chose à conserver religieusement, etc. je tombe sur le cul, me voici en transe ! je ne veux pas perdre le fil mais je veux le conserver à portée ! je suis l’homme au chant animal de base, rageant et rageur, qui cherche à comptrendre ce qui est ou ce qu’il en est d’un monde dit (prétendument) «de clarté» . Je veux toucher la vérité (musicale) des sphères ... d’une destinée ! souci premier et de base rageuse, comme icelui des temps anciens, antériuers, d’hommes divers et de femmes diverses à travers le monde et kles époques dites «de survenue». ma cxhance ici est de pouvoir me dé^ployer de fait par la bande comme une sorte de donnée raidi pleine de grâce : cettye cxhevauchée acoustique, verbale, considérable dans le sens où cette approche est à considérer (à commencer par moi) commùe celle)-là qui cherche à longer au plus près la paroi du monde des données primaires . «je pense donc je suis» est une sortye d’entrée en matière : à dire et à penser , peutêtre, or : «je pense donc je suis « est chose rustique, appartenant à la tezrre et à ses agents (pourriture noble) mais insuffisamment déployé, ou comment dire ? chose insuffisante ! chose d’un trop peu de raison dite , ou comment ? Le premier pas est le pas dfe base . Le premier pas est ce pas qui erst pas cde base . Le pas qui lk’emporte est lme premier pas et ce pas est un pas de b ase . Le pas premier est pas qui l’emporte . le pas en premier, le pas posé, le pas d’un
premier déploiement, le pas qui vcient en premier, est le pas qui dicte la pe nsée . Donc : je pense donc je suis = je pose donc je suis . Je pose un premier tiret, je pose le présent de soi, je pose multitudes de données brutes, je pose un avant et un après, je pose voix de chant;, je pose l’animal en moi contenu depuis la nuit des temps, je suis l’animal, je suis cet animal en soi ou en moi qui dicte sa loi et dit son dire de joie . je ne suis pas une forte tête mais celui là qui cherche à percer la vie des vérités natives dépl:oyées . QZui sommes nous qui chantons et crions de nos voix de fausset
? que disons nous d’autre que des choses dites malen,contreuses ? Je plie mùais ne rompt pas. Ma voix s’allège à mesure de mes avancées . je crois en ma bonne étoile : l’avenir dira le cxhemin , de la destinée pariétale ... ou quoi d’autre .? mon tout est mon sa s . je plonge dans la verité des données présentes (de ^parade) et ce faisant, jh’envisage le présent sous telle ou telle forme de déplissement ou de défroissage ou de dépliement ou de déploiement cfrontal . ma vie vaut la peine d’être vécue si tant est que pareil déploiement vient à se loger, par la bande, en cette sorte de dezmeure temporo-spatiale échancrée : l’échancrure est là commer un tilt de coursage, comme ce tilt qui est cette chose, à devoir toucher, à kla savoyarde, à la catalane, à la bretonne, à la régionale pour le xdire ainsi ; chacun xde son côté et la chose sera avérée. je vais sur pareille paroi cherchant pitance : savoyarde, occitane, régionale ainsi, à la recherche des données de b ase les plus estimables. Je veux entrer . je ne veux pas rester à quai, je veux traverser les données verbales et pousser (loin) tout cela qui cherche à advenir sous moi qui suis celui-là qui se prête au jeu des dires brusqués. je vais dans un sens qui est sens de fuite. je tombe à même des données de roche. je vais en cette roche ou roche du dur à la recherche d’un sxavoir ancré, ancré par la ban,de et que je serais, dès lors, à même de co:mprendre c’est-à-dire d’incorporer, d’incorporer à ma gouverne, ou à cette gouverne (princière ?) qui me constitue de pied en cap . car en soi le corps entier est de la partie . rien ne manque à ;’appel de la mort à l’oeuvre : tout est bon dans le cochgon pour ainsi dire , ou pas? comment co:mptendre kles données les plus ici ancrées dans un sas de contre-mystère ? qui bnous dira la vérité des choses «adjacentes» ? qui connait la v érité vraie» de ce tout-Mystère de base ? y a til myqstère ?. est il présence, est il absence ? le coeur a t il son mot à dire, ici, dans la continuité ? qui est le premier à s’implantern, de la bete en soi, ou de soi en tant que «etre humain de référence» ? que dire dans la foulée ? qui a dit que laraison l’emportait ? qui a dit que la raison eétait cheminement et traversée (tourmentée) d’une contrée ? je ne veuxc pas passer inaperçu comme de coutume mais me montrer voyant comme une sorte de ... paon ? .... des contrées lointaines, des zones de région terrestres, des champs ou champs d’azur des peuplades oubliés, etc . Mon corps vibre l’ai-je dit ? mon corps n’a pas de paire d’yeux pour de fait contrer ! je veux charger et percer kla fibre ! Vivement les temps offerts par une déité qui saura nous placer (dès lors) au bon endroit et à bon escient car je veux vivre ce moment, ne pas le gâcher bêtement, cerner les données vives de la mort à l’oeuvre le moment venu, et contrer ! contre que tu contre eras ! vif ! cher ! collé ! clair! perclus de vilainetés peutêtrte mais tout à son souci d’ouvrir et d’écarter ces dites «mirettes» d’homme déployé ! je cherche un semblant de vérité à :même kles données offertes pâr le temps, cdes données sont celles liées au tourment
dx’être né on le sait, et cependant elles sont à travezrser comme une forêt , en quête de données autres à déceler ou à discerner ou à prélever ou à toucher ou à tirer , pour soi, vers soi, par la bande, et pour un temps long qui sera celui d’une cvie ici pleine et complète . mon envie de vie est tel que la mort m’effraie, qui me fait de l’oeil on dierait . Je suis un homme mi : mi-homme (humain) mi chèvre(caprin) . la volonté qui préside à toute destinée est celle-là, qui est bvérité d’un combat à mener (de front) par la bande verbale d’une destinée toute déployée à même la terre (terre glaise), = le saut du cheval, la rusticité localiszée, les fougères, les abords forestiers, les replis arb orés etc. Les lieux de cghute sont tant que peu importe en vérité klesquekls, puisque l’emporrte ici la chose comme quoi nous nous devons d’ancrer nos dires dans le xsable, les cendres, kles débris de vie, la poussière des abords de base, rudes, rugueux et porteurs. je chante à :même la roche divine pour ainsi dire ! Mon coeur bat à l’unisson du chant choral ! la bete en mpoi est cette bete des forets de brocéliande ou dx’a illeurs : divinités saturées ! je cherche une vie meilleure dans le sas des sas des vérités offertes par la bande déplissée d’un verbe de joie nouvelle . Mon corps = une tombe.. Mon être = un saut /. Mon envie = une vie de rage . Mon amour des cxhoses présentes = une donnée ancrée comme un organe . je vgeux savoir loin car je
veux comprendre le pourquoi des choses qui se lo gent en soi permannement, et n’en démordent pas jusqu’à temps . Jusqu’à temps que le mort l’emporte, or quoi ? Que dire qui se puisse entendre de soi et par soi ? qui suis je ici qui parle ... e,n mon nom ? suis je l’animal intègre ? suis je un ami des limbes ? suis je une hommefemme déniaisée, une femme allègre, une femme forte ? que suis je en ce sas fou des temps impartis ? suis je une envie première encore en usage et pointée du doigt par la bande ? suis je puceau de materre ? le pôu de la rage vive ? un carnet xd’adresse ? un mot de trop ? le nom quipointe son museau et se loge sur la roche des données de base ? suis je fol ? corps et âme déployé dans un verbe de données rudes ? dsuis je corps ezt âme ? suis corps et aussi âme ou seulament l’un et si l’un lequel ? je tombe des nues sur le cul et gratte la terre : en effet, elle est bel et bien réelle, j’en conviens, je vois cela de mes propres yeux, je ne suis pas en reste de m’en rendre compte, j’obtempère, je conçcois, je dis oui, je ne dis pas non, je dis que la chose est vraie c’est à dire réellement placée, je ne dis pas le contraire . J e suis homme qui dit, et disant j’affirme, affirmant je clos, cloturant je vferme écoutilles et bloque l’accès à toutes vérités meneuses
et dures ?$.Ce faisant que fais-)je d’autre ? eh bien je ferme les vannes, cela est ainsi . La vérité a pour elle besoin d’écoutilles et cela toujours, et depuis toujours . pour se déployer incidemment , il semble que la vérité a de tout temps eu besoin d’écoutilles avérées, profuses, offertes diligemment, etc, un ancrage potentiel et performatif, un ancrage à même la cxhair du verbe natif, etc, la vérité n’est rien sans pareil ancrage . Nous avons ensemble à copmprendre à comment nous y prendre pour ainsi déployer ce verbe d’ancrage natif, par où commencer, comment nous y prtendre c’est à dire comment en soi permettre une sorte d'entrée pour des dires vifs de v érité vraie, etc . nous devons aller ensemble à rechgerche, à la recherche, nous mettre ainsi en pareille position, aller à recherche = aller ensemble à chercher icelle (vérité dure) sur roche des temps . Notrte but , à nous qui cherchons, est de pour le coup déplisser kles volets dfivers du monde sensible et de mettre en lumière (au jour naissant) les données rudes, brutes, naisqsantes , natives, des savoirs de base , soit ceux là qui sont , pour tout un chacun et chacune, les savoirs porteurs . Je suis celui-là qui est l’en gouement. Je suis cet autre qui est le plaisir, etc. rien n’affecte la joie tant que celle ci s’incorpore à une donnée franche, donnée de savoir déplissszé et déposé sur un devant de soi temporel . si la vérité est nu, le savoir est su . Je vais vers un semblant qui est le swembvlant des données frontales, physiques et concrètes en diable c’est un fait, et cependant, «allant», je m’infiltre . Où ça ? eh bien : dans le sas des sas de la
bande ! Je peux en parlerr : je suis inclus car je suis invité ou tout comme à me déplloyer dans le temps d’une survenue pariéto-verbale. Invité par qui ? par celui ci qui me voit incidemment comme étant celuyi qyui cherche avec acharnement à comprendre . Qui est il ? il est l:’être des donbnées de base, le Summun ou disons : le Suprême . C’est-à-dire ? c’est-à-dire que cet être ici a de quoi porter et soulever . C’est-à-dire ? c’est-à-dire que je suis portyé et soulevé par le v erbe c’est une évidence . Ah bon ! Oui , car mon coeur bat à l’unisson, car mon bras est actionné par laraison instrumentale, car les yeux s’ouvrent sur un devant éclairé, car les mots caraacolent de conserve dans le but dx’une chevauchée, d’un défroissement intégral (éloge éligible) d’un soi de paroi contenue. je porte , je me meus, j’avance, je file fissa versq là-bas= cet endroit de repli majeur . Je suis homme des Calabres, des régions suaves, de Ligornie, d’Ambroisie, des épopées sardes, du creux de l’enfer ou de la vague, des zones de frontières etdes appuis, etc. je veux aller en Lombardie Lomagne, au Pérou, au loin , ailleurs, vers des lendemains qui direont ce qui se trame en des épopées de première ampleur, je veux voyager ! Mon coeur est ce voyageur de l’au-delà à des contrées vives, etc. Il me suffit de poser l e pied, et l’ai-je fait ? je Crois ! je suis cet homme au savoir déployé sur bande = une mesure pour toute mesure . Quand la vie vibre alors le cviel s’assombrit et l’orage gronde, et le ciel est ou devient antre, il enferme en lui des données de base qui sont celles que nous recherchons ici de concertt . Où aller sans ombre ? que donner de soi par la bande verbale ? qui puise ? que donner de soi en termes de destinée ? J sais ce qui tombe ici = une vibration soudaine, souterraine, suppliciée. je n’entérine rien qui ne me fasse mal ou du mal
?. Je cherche non pas l’hécatoùmbe (la tombe) mais l’entrée de cette tombe ou hécatombe, soit ici ce passage (vibrant) d’un au-delà de toute envergure ou de grande enver-gure : un animal . Je suis moi-même animal de rage en moi, je porte en moi cet animal de rage, il y a en nous (en chacun et chacune de nous ) un animal . comprenez cela: en cxhacun de soi il y a un animal . Il y a e,n chacun et chacune de nous un animal . Il y a en ous tous et toutes une pensée, une vibration, un corps, un corpuscule, un étai, un brin, une fibbre, un mot, un cri ou du verbe animal . Nous avons qui est logé en nous l’animal . Lequel ? chacun le sien ! qui est il ? il est l’animal vibrant, coeur de terre, ombre et portée planétaire, charge, char, chute. Je veuc comprendre le plus que je peux ! je veux comprendre le plus possibvle que je peux de cette cghose qyui serait un dire qui serait le dire animalier par excellence ou sinon quoi d’autre ? car le dire dit «animalier» l’emporte haut la :main sur toute parade mortifère venant d’un en-soi raisonneur, mentalement étriqué, conservateur, scientifiquement cloisonné etc . Le dire de la bête est mot de rage déployé dans un temps donné fra ppé . Je ne cesse de l’affirmer. Or wqui m‘entend ? qui m’écoute ? qui a une oreille pour moiu ? pour ma misérable bete chercheuse ? qui ? je n’en vois pas ! Je veux croire en un auditoirec majeur, sensible, à l’écoute, permis, etc, or que tchi dit-on, qui est là pour pareille salade ? qui chante avec moi ? le preneur d’otage ? je veux chercher dans la profondeur du dire animal en moi, laraison qui pousse et a des vues sur l’audelà d’un soi étriquéeé. Mon corps est entier conservé et à déposer, on sait . Je vais sur des chemins pentus, ardus. rien ne m’effraie ? il semblerait en effet cvette chose comme quoio cela ici est . Nous devons pousser au plus que nous pouvons , pour nous déposer nous mêmes . Nous avons à vcomprendre beaucoup de données diverses et ces données nous devons les déployer sur pareille roche (dure) du temps, et ainsi faisanbt les présenter à qui de droit qui nous surveille, qui jette sur nous son oeil malicieux, celui là qu’il a pour lui incessamment et ne cesse d’ouvrir au hjour de la roche . je suis l’homme au temps brûlé d»éposé o,n le sait. Je m’avance en pays conquis ? oui et non ! Je m’avance dans la durée et cherche à comprendre vif, c’est un fait, et ce pendant ce que je sais est mùaigre, ne se laisse pas aborder si facilement par ma gouverne et a tendaznce à aller se loger dans des replis qui ne sobnt pas salutaires . Ce que je veucx est si:mple à décrire : une vie de rage déplisszée ! Ce que je veux est une parole xde vérité qui dise son aval ! Je
veux aller en roche dure, je veux creuser vif, je veux cerner-entourer, je veux vibrer avcec la vibration en moi animùale . Qui a compris ? que celui qui sait se prése,nte ! Je veux déplissqer la cxharge frontale, déplisser
le verbe emberlificoté en lui-même, et sonner parade ! rien de plus ! je suis homme des vives embrassades, des embrassa des vives verbeuses ou verbales ! coltinons-nous l’épopée ! prenons en de la graine ! Filons à confesse fissqa ! ne trainons pas ! Ne lambbinons pas en chemin, allons sur la place et décryptons tourtes lkes données offertes devant nbous . Je vois devant moi des chgoses qui sembvlent être des choses rudes des temps mais pas seulement : quelles sonbt-elles ? il semblerait cette chose ici , comme quoi ce qui est qui seprésente face à nous, soit la réalité des choses du monde, soit cela qui nous regarde à son tour et voit en nous quoi donc sinon cet animal en nous qui sommes bi . Je tombe ! Je sais cela ! La chgose devant soi du monde sait cela : voit en moi la bete de rage, qui est paretie prenante, qui est assortiment de mots divers agglutinés en une sorte de piolet prêt à décghirer tel voile de la mariée ou tel maillage déployé comme un étendard . je pe,nse ombre et je devine l’ombre . Je suis homme des contrées de base royale ezt à ce titre je chezrche violemment (vivement disons)
à m(‘introduyire, en pareille roche des temps déplisszés, en cette zone d’azur, en ce ciel des vérités ancrées, etc . je veux comprezndre toutes les données . J suis celui qui veut comprendre toutes les données . Je suis cet homme ou animal,, mi-homme mi-animal, qui s’avance dans le temps d’un présent déployé sur paroi, et va à combler ainsi l’anfractuosité, qui secprésente vive sous nos yeux et prête ou prêterait «sa voix» comme un animal xde réserve, un collègue charmant, un ami de longue date bienvaeillant et aidant . Je veux creuser cette cxgose devabnt moi et pour cela je dois trouver le biais qui me permette d’agir sans contrzainte . Qui peut m’aider ? je pense à aller ainsi creuser la cxhose des temps par la bande mais est ce fin ? est ce =malin ? dois je me montrer malin ? la victoire ici est elle ou va t elle au malin ou au plus malin ? le plus malin gagne ? qui est le malin ? qui est le plus malin ? qui est ce malin ? qui est icelui m:a lin ? comment semontrer malin ? commùent faire pour êtremalin ? commment faire pour toucher en termes de malin ? suis je moi-même malin, un malin qui trouve le biais et hop, sauvé ? qui suis je ? comment faire pour sauver la mise, c’est à dire une pa rt de soi (mi bête, mi homme) qui serait à mettrec à l’abri et si possible pour l’éternité = la vie maintenue pour les autres = pour ceux et celles qui restent en vie ici et là ! Je hne veux certes pas porter poissee à qui que ce soit, mais eznfin il y a des choses ici (devant soi) qui embarrasse et gêne le paqssage, d’où le Verbe en soi, dép^loyé dans le temps, pour une entrée vive dans le sas des sas intégral, sas des sas qui se veut royal, premier, princier, pariétal, animalier. Je vois devant moi une chose, cette cxhose a des ramifications diverses ici et là et va loin porter. Or quoi ? qui suis je pour tenter pareille approche «dangereuse» ? suis je l’animal contenu ? sduis je un paradigme ? suis je le plaisir ? suis je une envie pressante ? suis je vivant ? suis je à quelqu’un zet si oui à qui ? suis je un vrai animùal des prés en moi ? quelle la ngue est elle «pour moi» ? qui veut m’aider
? l’avenir est il plein de soi ou vide ? Je suis l’ombre et la proie, je suis la chair et l’âme, le vert et le gris, l’ombre et la lumière, le cheval . Je suis un cheval, hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Je suis animal = ombre . je suis la bete rosse = ombre . Quand irai-je trouver à ... comprtendre la plaie buccale ? ce verbe est il à placer sur place , en termes de petit soin à dire et à poser ? qui a cru que je m’en sortirai inde;mne ? Je vois devant moi un gra nd nombre de données diverses déposées, il s’agit d’un réel de pacotille en cela que ce réel tourne ezn rond, ne sort pas du sas, reste à demeure concerné, se mord la queue, vibre dans son coin, commme un serpent à sonnettte, etc. Rien de fractal . or comment faire , car nous devons faire ? pisser son dire induement tracé ? trouer la fibre ? comment s’y prendre ? commùent faire pour s’y prendre ? Je devine à part moi des choses, comme quoi oui nous devons aller (ensemvble : l’animal et moi) loin le plus pour toucher cette vérité des temps impartis soit à une vie ou soit (ici) à un programme matinal de recherche verbale ou sinon verbale verbeuse . Un petit mazlin s’approche, saura-t-il me convertir ? saura-t-il toucher du doigt ma gouverne ? saura-t-il me dire ce qui est en des termes qui seront (espérons) compréhensibles ? que dois-je comprendre de la vie et da lma mort ? Je deviens le mort de lka fable, je suis comme celui qui, dans la vie, rencontre la mort et s’en offusque , alors même qu’il savait déjà que la mort est là alentour qui espionne, trrépigne, cherche à se placer comme une malottrue et malélevée de première . Notre but est de toujours à deux toucher la Chose : la toucher, la toucher. notre but n’est pas de nous cacher et de nous tenir loin des données, de base rustique
ou autre, non ! Restons groupé en campagne ! Chargeons fissa sur cet eznnemi de base, a ppelé de ce nom baerbare de «Vélléité «, car la mort a des noms barbares. Elle sait s’y pre ndre. Elle sait y faire . Elle sait se placer . elle comprend loin en nbous et sait toucher en bnous la fibre animalo-humano-sensible c’est un fait. Dès lors comment faire pour s’en prémunir et se sauver (si tant est ) d’affaire ? Nous pensons que le mieux est encore de dépôser les présents sur place, soit devant soi. Nous pensons que le mieux est ainsi : de voir à déposer ensemble les données sensibles, les vivres etc, ces offrandes de bon aloi . Nous devoons a ller en roche ainsi, bnous devons faire ainsi que les choses soient, nbous ne devons pas nous mettre de côté et louper l’affaire, non . nous devons déposer ce que nbous avons en nous qui mérite de l’êttre ou se doit de l’être = de l’Être. Car voi;là ce que nous sommes : nous sommes des êtres de peu, nous sommes des êttres qui (de fait) devons voir à déposer les choses , les choses du temps (calcxiné pardevers nous) , sur pareille place devant soi, qui est place des présents et des offrandes . notre but est affiché . Nous sommes deux (en nous ) qui nous devons ou qui devons ainsi déposer les choses du temps car nous le devons incessamment ! nous devons inceessamment et urgemment déposer au fil du temps cet ensemble en nous de choses acquises : le verbe sidéral, eh oui ! Ce verbe est en nousq l’ancre de miséricorde ! Il influe sur nos gestes de parade, il est porteur comme une âme, il vibre animalement son étant de rage ! Il n’est
pas sans ramifications diverses (on verra plus loin lesqauelles) ?. On sait faire fa ce et creuser devant soi dans l;a roche (perlière ?) des données dites «de destinée», et voilà pourquoi on tient bon, on s’accroche, oin ne débande pas, on poursuit vaille que vaille ce tracé de bure, ces vives entrées en cxhemin, ces volontés de se voir adoubés, etc. Notre avancée est cellle d’hommes-bêtes de céans , et à ce titre mérite le respect, ou peut-être davantage . Nous avons ensemble à tenir bon coute que coute . Nous devons ensemblke tenir bon coute que coute . BNous devons ensemble nous serrer les coudes : l’animal
en moi et moi . quel est cet animal en moi qui, en vrai, renacle ? Que sais je de lui ? comment puyis je faire pour le recvonnaitte, le toucher, l’approcher, le reconnaitre oui et savoir commment lui parler ? que vais je lui dire , et lui qu’a t il à me dire ? est il un animal des prés comme (par exemple) un cheval . est ce que je suis pour lui un animal ? est il pour moi un animal ? est il humainb ? est il fait de verbe ? est il un cvopain de ra ge ? est il pour moi mon alter ego ? alterEgo le Sage ? QUi est il pour moi qui chezrche à (le) comprtendre et àsavoir plus loin toujours ? Disons qu’il est celyui là qui co:mprend en moi ma recherche de données de base, cet allant de vie en moi qui me pousse à toujhours toujourscreuser plus loin , à toujours creuser au plus possible dans la profondeur . Je cherche une voie, je cherche à toucher la Chose d’une rage noble, donnée de base sur un devant, doublure d’un quelquechose qui serait cela même que je chgercherai . Je vois devant moi, il y a cette cxhose du temps octroyé, cette ouverture, ce temps déposé pour , ce temps déposé pour , ce temps d»éposé . Je vais dezvant moi et me pose à mon tour comme du^pliqué . qui en moi est cet animal de réserve ? que fait-il en moi ? que dit -il ? Que veut il me dire ? que chercbhe t il à me dire ? que cherche t il à dire d’emblée et / ou pa r la bande ? est il en moi l’animal malin qui sait y faire en toutes cghoses ? est il en moi un animal vivant ? est il en moi un animal mort ? est il en moi un animal-temps imparti , est il de l:a bande ou du rocher ? appartient il à la confrérie des betess passées, des betes mortes, des betes données en offrande ? qui est il pour ma gouverne : pour ma raison ? dois je tenir co:mpte de sa voix en moi ? parle-t-il à travezrs moi ? qui est-il en termes d’espèce, de classe, etc ? ai je en moi une vipère ? un alligator ? une vivre ? un chien, ou même plusieurs chiens ? que dois je dire et que dois je penser ? la pensée en moi (le verbe ici) prend ses aises et déploie son allant comme l’animal du pré sur son herbe: je suis ... la bete mouvante, je parle pour dire la cxghose d’une sorte en moi de
rugosité toute a nimalière de base . En soi, il y a cette cxhose d’une bete meuglante, sidérante, et cette bête en soi est celle contenue pour ainsi dire dsans le coeur du Verbe tracé par la bande, le Verbe est vif comme bete vive, il cingle, il ceinture, il vibre, il obstrue, il fzait la roue devant la mort à l’oeuvre, il n’est pas peu fier. Le Verbe est fier comme une enclume, etc. il est fier comme artaban et ne s’en laisse pas démordre si facilement. -Le verbe parade, fait son fin, et de sa finesse tente de tirer parti . Il
n’est pas dit qu’il ne soit pas fier . il n’est ^pas dit qu’il ne soit pas vif . Il avance à reculons mais cherche sciemment la v érité des cghoses du monde, on le voit . son allure est celle d’une bete fzauve, ou d’un paon des régions rustiques, ou de tout autre betes d’effigie . Je suis la bete auxc aguets, je suisq cette bete des prés, je suis une bvete charnue, je parle à tout cva et à tout crin. ma crinière au vent, le sang chaug, l’allure vive, je vais, je caracole, je trace, je suis sur la voie d’un tracé rageur, je fonce à tout va dans la démesure, je trace des traits de réserve, je tombe vif et colporte des données. Mon nom est Saint- Léger-des-Cendres-d’étrennes. je suis là pour un dire fol, commme cavalcade.
4/9/2021
je suis l'homme au ventre vide,
je suis homme des embruns,
je suis homme des embruns,
je suis l'homme au ventre vide,
je vais et je viens en roche, je vais en roche et je viens (reviens) au milieu des bêtes, je suis homme au ventre vide au milieu des betes, je chasse les betes alentour, je suis cet homme au ventre vide, sachant chasser alentour les bêtes de rage, jentre en religion, je suis soumis à des effets de rage animalier, je suis porteur d’effets de rage, je suis pris en otage, je suis pris, je suis soumis à des effets de rage, je suis pris, je suis homme des cavernes, je suis cet homme des cavernes au ventre vide et soumis à des effets de rage animaliers, je vais et je viens en roche comme neen religion, j’entre en roche indépendant, j’entre dans oa roche dure seul ou accompagné, je suis cet homme au ventre vide entrant en roche dure et qui va et vient en icelle à la recherche d(‘une vérité de bon aloi, je suis l’homme dans le creux du temps à la recherche d(‘une vérité ou vérité des vérités, je cherche à comprendre, je me meus à l’intérieur de la paroi, je cherche des raisons d’y croire, je me meus à l’intérieur d’icelle paroi et essaie de comprendre ce qui est qui me regarde : des biches ? des biches fines ? des fauves ? des fauves félins ? des aurochs ? des aurochs de compagnie ? des buffles ? des buffles naturels ? des antilopes ? des antilopes rudes ? des ours ? des ours des campagnes ? je cherche à savoir ! je ne suis pas fini ainsi de le comprendre, je rehgarde de mes yeux d’homme non fini qui chgerche à comprendre, et que vois je ? je cherche à comprendre ce qui est et ce qui est est devant moi comme une sorte de présent, déposé à bon droit et qui m’attend = qui me tend les bras ! je cherche à comprendre ce qui est ici en cette roche
des donn»ées de base rupeestre : ce qui est qui me tend les bras , quoio est ce ? est ce de la vie ? est ce de la mort ? quoi est ce ici ? qui peut le savoir ? qyui sait ce qui est en vérité de cette roche des embruns ? qui nous dira la vérité ? je cherche une voie d’accès à même cette roche
des embruns de bord de mer, je cherche à comprendre ce qui est ici, ce qui se trame, ce qui m’attend, je regarde autour de moi les betes de rage massives, costaudes, fières ou pas mais pesant lourd de tout leur poids pariétal, je regarde près de moi ces betes quyi paisssent et gambadent, se couchent et filent, je suis parmi elles un homme des cavernes, l’in-fini de la roche des temps, cet homme au ventre hurlant , je vais dans la roche duure du temps à la recherche de’une vérité de poids qui puisseassouvir mes attentes et me donner le la (musical du diable) des airs de de la roche, son image, sa texture, son élan, etc, je suis homme au sang chaud, je vais en roche dands le vent, je suis cet homme doux des roches dures, je suis cet homme doux qui va son chemin (de roche des temps) à la recherche de la vérité, ambrée, douceureuse, mangeable pour le dire ainsi, qui se poste près, qui tend ses bras sous le soleil à l’ombre des parois, etc, je suis homme des carosses, je cherche à comprendre les données de base déployées, je suis celui là qui va dans le vent à la recherche de la vérité des temps allongés, je me couche en roche, je suis nu, je suis cet homme des embruns qui, en roche, cherche à comprendre kles données kles plus lointzaines, les effets de terre, les données vives, les trous de la roche, les envies en soi de mangeaille, etc, car mon corps a faim de viande, de choses plus que nourrissantes, etc, je suis homme au corps masqué par une peau de bête et j(‘entre en roche comme en religion : muni de mon passé d’homme de la roche rude, muni de cette envie en moi de comprendre et de cerner au mieux les enjeux de tzaille : le buffle, le cheval, la bete de poids qui charge , le tuer d’une flèche ou au coutelas etc car la faim me tenaille, je n’en démords pas, je suis enseveli sous des envies accumulées qui me tenaillent et me pousse,nt à tuer l’animal de tzaille à manger ! je suis homme rosse tueur ! je suis cet homme des tueries de b etes ! ah oui ! je suis celui-ci ! je ne suis pas cet homme non tueur des temps étirés par la bande mais tout le contraire, un homme des bases donnnées, des effets de terre, des effetds vifs de terre vive, etc, je regarde autour de moi ces betes aller et venir, je suis l’homme des attentes pariétales , qui, seul ou accompagné, va son chemin de ronde rupestre, va dedans, entre en religion, cherche la fortune, cherche à manger, part à la rencontre de la bête fière, dure de chez dure, donnée, vive, qui se fache ou pas, qui gambade, qui cherche à son tour pitance etc, je suis homme des prairies et des sous bois, homme-femme rude aux envies vives (à vif) de manger du corps de la bete, je suis cet homme aux envies acérées, je cherche à comprendre ce qui est des vérités de base neutre et pourquoi cela ? pourquoi cette chose , ce sang coulé ? qui fait cela ? qui dépose ? qui place sur table ? qui va saignant la bête rosse ? qui le neutralise et la pose sur pierre des temps ? qui cherche à donner ? qui donne et file ? qui se meut en cette roche des apprêts des bords de mer de roche , je cherche à xsavoir ce qui est de cette roche dure des apprets, je suis là sur elle ! je me pose en elle ! je suis en cette roche des embruns l’homme des parois naissantes, celui-là qui sort satête et qui comprend ce qui setrame ici en termes de parade et de cavalcade, je me meus en cette roche du temps déployé, je suids homme frais,, chargeant, tuant, ramenant la viande à soi, mangeant cette image, nourrrissant son appétit d’homme des cavernes in-fini, etc, car, la viandfe participe de la finitude, etc, je suis l’homme doux des temps déposés par la bande sur pierre tombale etc, je sais cette chose, je m’avance à pas comptés, je m’avance vif et je regarde (près de moi) les choses du temps se déployer fissa comme un étendard de fortune car, mon nom est noté sur roche à l’encre dure, mon nom est le nom de ta race des prés alloués et voilà ce qui me tend les bras : la mort en face, ce chenal, cette voie d’accès, cette chose rude des prés et desbois, cette vive clarté de face, ce temps dép:;oyé comme une bande , je file à jamais en cette roche des pazssages et autresx embardées natives, je suis né pour manger et de ce fait tuer, et que fzais je ? je m’en vais en roche comme en religion à la recherche de la bete grosse à devoir tuer pour manger et dès lors me sustenter, je suis l’homme des apprets de bord de mer, je vais en roche dure à la recherche des temps rudes, des temps communs, je m’allonge, je suis homme-femme rude et je pose nu sur roche mes attraits de bure , et file fissa tout au fond à la recherche de la vérité concernant la mort : ce qu’elle est, ce qu’elle nous offre en matière de vérité etc, je suis cet homme aux failles ouvertes en grand, laissant passer cohorte en soi de bêtes de rage allant piquer dame la roche de son pic d’allant coriace, chasse et tuerie pour un passage , enn lévitation, sous l’influence con juguée des larmes et des cris poussés, cherchant vérités de carosse, etc, je cherche ! je suis homme à la recherche de la vérité ! je suis cet homme des embruns à la recherche de la vérité ! je suis cet homme des embruns à la recherche de la vérité ! la connaitrais-je ? je cherche finement, tendrement, coriacement, continuelement, avec ardeur, avec joie, je cherche continuement, je cherche à savoir, avec en moi une faim de loup, je cherche vivement, je cherche l’endroit où aller en roche afin de piger au mieux les enjeux qyui (ici ou là) me tendent des bras ou comment ? pas cela ? je cherche avec l’envie d’en découdre le plus que je peux ! je ne suis pas l’homme des marées ! je suis l’homme des enjeux de vie ! mon nom est un nom à coucher sur roche fissa , il s’agit d’un nom de paroi, nom d’emprunt à poser sur roche gravé, dessiné, exploré ainsi, nom de caverne et de prairie, etc ! je me meus en roche, je suis l’homme entré par lma bande en cette sorte de carosse d’or = l’antre, le sas, cetyte outre, cette voie de rage etc, je suis en cette zone des parois l’homme ou la femme des temps assoupis, je me meus en cette roche comme homme de peu qui trace sa voie (nonchalamment) à même la roche des prés ! je suis vif de rage couplé ! mon nom est le nom de ma rage éperdue ! suis je né à pareille envie de viande saignante ? il s’agit de savoir ce qui, en roche, me regarde et me tend les bras ! mais de qulels bras dès lors s’agit-l en vérité ? qui dit ce qui est ? qyui me donne de la voix
? qui parle pour moi ? qui est qui en cette chose ici d’une sorte de paroi du monde ? je cherche avec assiduyité , je cherche vivement ce qui est qui me regarde et me tend des bras de rage, qui ? ou quoi ? je cherche fort ! je cherche vif ! je cherche accouplé ! je cherche au plus loin des roches des temps, là bas est cet endroit de convenance et c’est là bas que je vois à toucher cette chose rude des apprets de fin de roche, je m’en vais vers elle, je syuis cette chose qui, vive, va ! je tombe ! je suis tomb»é ! je tombe ! je suis tombé ! je tombe ! je suis tombé ! je tombe ! je suis tomùbé ! je tombe ! je suis tomùbé ! je tombe ! je suis tombé ! je tombe ! je suis tombé ! je tomùbe ! je suis tombé ! je tombe ! je suis tombé ! je tombe ! je suis tombé ! je tomùbe ! je suis tombé ! je tombe ! je suis tombé ! je tombe ! je suis tombé ! je tombe ! je suis tomùbé ! je tombe ! je suis tombvé ! je tombe ! je suis tombé ! je tombe ! je suis tombé ! jhe tombe ! je suis tombé ! je tombe ! je suis tombé ! je tombe ! je suis tombé ! je tombe ! je syis tombé à la renverse devant moi ! devant moi à la renverse suis tombé ?
suis tombé à la renverse devant moi ?
devant moi à la renverse suis tombé ?
je ne peux le croire ! je suis homme chu mais comment et où ? je suis chu ! je suis cet homme chu de rage vive, je me meus en cage pour le dire ainsi ! je suis l’homme de la b ête des données rupestres, je suis cet homme des données de rage vive , qui suis je ? homme ou bête ? bete ou vivre ? je regarde ! je me meus , je suis homme des paroles déployées en cette roche des temps consacrés et c’est ainsi que je comprends le monde des attraits de bord de parois, je vais dans la roche rude des apports de rage et je regvarde autour de moi kes choses du monde, ce qui est qui se dessine abvec pertinence etc, cela est cette chose vive d’une vie de base allouée à mon intention, je vois la bête de joie ! je voie la chose crue ! je sais ce qui est ici en cette roche dure du temps menacé et étendu, car mon nom eswt une figure de la xainteté, je comprends les choses déployés, je suis fier comme une buse et m’envole fissa dans le vent (le sang ?) qui est celui-là des roches pentues, je me meus à même la paroidu monde, aurignavcien ou magdalénien, je suis homme aux parois gravées, homme des cavernes au nom gravé gravé sur la roche : aurochs d’éternité, buffkle des temps déroulés, bisons des catacombes, antilope vive, chien de garde etc, ma vie se déplie comme une carte et pas facile à replier ! jhe vais en cette roche des temps fous à la recherche d’une somme, à allouer, à cet individu des roches tremblantes, à ce quidam de société, filant dfoux à travers la lande :; : une biche dorée ? un chevreuil de qualité ? une bete forte , fauve, folle ? je veux comprendre ! je sais que le chemin est long pour comprendre, toute une voie tracée, un chemin de campement, une voie meuble, trou de vie dans roche dure ! ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii! cela est ainsi ! cela est ! ça est ! c’est ! c’est ainsi que cela est ! cela est ainsi que cela se trame dans le vif de la roche des temps : je suis entreé en transe, c’est-à-dire que mon corps en entier est entré dans le wein des seins pariétal, j’ai vu la bete près de moi, j’ai pu la toucher, je l’ai prise en moi (mangé crue ) et là, je me suis couché sur roche afin de digérer, digérer mon méfait et me disculper de la chose, à force de cris, cris de joie proférés etc, comme s’il en était dès lors, en moi, de cris de betes ou autres gloussements ou meuglements de betes rosses, en mon sein des seins personnels : à toi à moi ! et voilà ce qui dès lors se joue par la bande, en cette roche des enduits de base : onguents et autres chrêmes de vie allongée ! je marche à travers la lande, je marche dans le vent, je suis dans une sorte de paroi du monde, allouée à vie d’homme étonné comme un ouveau-né ! je veux comprendre les donbnées du monde : quoi est-ce à comprendre fissa ? qyui peut cvomprendre vif ce qui est ici qui se trame ? qui va là ? qui cherche ? car, la vie de roche est vie vive des parois du temps ici déployé à même la paroi des mondes menacés , or : voilà ce qyui est : le temps est donnée de rage, il s’agit de le comprendre ! le temps est une sommité des parois du monde, ouvert comme des mains ! je vois cette chose des lointains qui a nom d’emprunt et cette chose est une sorte d’échancrure dans le temps, ou dan s le sas du temps, ou comment ? cherchgons en vitesse ! allons de ce pas vif à la recherche de la vérité (cachée) des attreaits ... de rage pariétazux ! car, l;a vie va vite qui ensevelit fissa les etres de joie comme moi , ou tout autre betes des embruns de base, je suis homme de la rcoche dure, allant de son pas chassé, chasseur ?)))))à même la roche , je m’avance ! je suis en avance ! je frappe à la porte de la mort de dieuu ! je cvomprends les données déposées sur roche du temps commun, et c’est ainsi
que (pour le coup) je fuis (fissa) à travers la lande et les prés des parois du monde couché, je comp^rends les enjeux ce qu’ils sont pour nous, je me pôse en roche du temps allongé et vois passer les bêtes dessin,és pâr l’homme des cavernes, je suis comme déboussolé ! je cherche à vif ! je suis troubklé ! je cherche vif ! je cherche à comprendre les données de base, ce que sont ces données de rage ici bas = dans le sas de la paroi, en elle comme des lumières, etc, je cherche avidement, je cherche à savoir ce qui se trame , je veux comprendre toujours davantage ce qui est en roche des temps fous , ce qui en roche nous attend à toutes et tous, autant que nous so:mmes ! je vais dedans ! j’entre ! je suis entré ! j’entre ! je suis entré ! j’entre ! je suis entré ! j’entre ! je suis entré ! j’entre ! jhe suis entré ! j’entre ! je suiis entré ! j’entre ! je syuis entré ! j’entre ! je suis entré ! j’entre ! je suius entré ! j’entre ! je suis entré ! j’entre ! je suis entré ! j’entre ! je suis entré ! j’entre ! je suis entré ! j’entre ! je suis entré ! j’entre ! je suis entreév ! j’entre ! je suis entré ! j’entre ! je suis entré ! j’entre ! jhe suis entré ! j’entre ! je syis entré dans la paroi du temps ! j’entre ! je suis donc entré dans kla paroi du temps ! j’entre ! je suis donc entré dans la paroi du temps de la roche vive, je regarde au loin les données rupestres, je suis vif comme l’éclair, je me vois aller et venir ! je me vois entrer ! je me vois aller et venir dans le sas des sas ! je me v ois aller et venir en cette rocghe des temps alloués et je me pose en elle un temps qui est temps de vie, jhe vois et me vois aller , je vzois aller pour ainsi dire ce travail (de soi) en roche et m:e vois tomber sur la roche dure du temps imparti à un e vie ! hje suis l’homme des données de rage vive, je regarde au loin les embruns, j’essaie de trier les données et de com^rendre les enjeux qui sont ou szeraient ceux des parois de roche et autres murs de joie votive ! qui l’eut cru ? qui co=mprend ? qui sait ? qui connait les mots adéqua ts ? qui parle en son nom ? qyui réellement parle ou parlerait en son nom ? qui parle ou parlerait en son nom de roche ? le tribun ? l’homme politique ? le poète des damnés ? la chanteuse des prés des roches ? le quoi ? le défunt ? je cherche à vivre vif la donnée brutale des parois, et à la com^rendre fissa fissa comme sorte de charade à dé à déployer, à découvrir, à dépoussiérer ? eà quoi ? car le ventre crie famine incidemment ! il s’agit d’une charade des temps durs, des temps vifs des parois du monde ! nous disons vifs car ces temps sont ardus ! il s’agit ici de comp^rendre en soi ce qui est qui file fissa à travers la lande, homme aux aguetzs, chzair de joie des temps corrompus, ou sinon quoi ? je cher che ! je cherche à) savoir ! le temps est un allié de première main, il s’agit de le comp^rendre ! je suis homme des cavernes au sang vif en mes veines de jhoie, je vais en roche à la recherche des c
hoses du monde animal telles qu’elles se présenteznt au fur et à mesure de mes avancées, je vezux savoir la vérité du monde ! je ne veux plus passer à côté ! je cherche à savoir la vérité du monde ou sur le monde et ne veut en aucune manière passer à côté et ne rien en,te,dre, je cherche le la musical , où ça ? eh bien là, comme il se doit, soit ainsi fait sur roche, dessiné /gravé par la bande, sous emprise, ou sous hypnose, ou sous l’influen ce d’une bête rosse en soi même, je veux croire en elle = c ette bête en soi qui renacle (trépigne) et cherche de soi à sortir sa tete et dxavantage, et, fissa, piquer une tete dans l’eau de la roche dure ou comment ? travaillant la roche au pic ... de sa joie verbale, etc : pic de fièvre, pic de joie rudement colorée, etc, je cherche une sortie de route afin de comprendre, enfin (en se posant), les enjeux de la roche du temps alloué de fait à une vie dite mortelle (on le sait
: on sait cela) et comment ? comment trancher ? comment couper? comment s’arreter sans pour autant sombrer ? nous ne savons pas , nous subodorons, nbous cgherchons le fin du fin, nous voulons comprendre, nous voulons savoir, bnous voulons comprendre etv savoir les choses du monde ce qu’eslles sont pour soi et ce qu’elles contiennent en termes de connaissance rupestres, etc, je rega rde les chevaux qui caracolent, je regarde les bisons des prés, je regarde les hommes aller, je me vois chuter ! je me vois chuter dans le vent ! je me vois chuter ! je me vois chuter dans le vent ! je me vois aller et sombrer et donner du la musical au diable !
ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii! cela est ainsi ! oui de chez oui ! cela est ainsi que cela se trame : je suis l’homme des cavernes aux parois ornées, je regarde le tracé des betes sur la roche dure, je vois mon image au débotté, je me vois cerné de toutes parts par des b etes de joie surnuméraires, je suis traversé par des envies de rage, je me meus à leur côté, je suis emporté par la vague (cela est) et emporté je me vois
entrer dans la nasse, passage doré, «éch-ancrure sur le côté, tentation avortée ? ou sinon comment ou qyoi ? je cherchje la réponse à la question des temps ... déployés sur la lande, vie de chance, joie d’être, courage & passion, la colère telle que voilà, je suis emporté à mon tour par la vague des betes poussant fort ensembke vers la chute finale ou prétendue finale ! me voilà contraint d’y a ller à mon tour ! on voit cela ! je charge au milieu des betes ! voilà ce qui est ! je suis pris dans la meute ! dans la troupe, au milieu! dans troupe de roche en son milieu ! au beau milieu d’u,n troupeau d’aurochs ou autres bovidés ou de cervidés ou autre betes (à sang chaud) ventripotentes ! je suis emporté par la vague ! je suis emporté par la vague ! cela est ! je suis comme emporté par la vague ! je suis emporté ! je suis comme emporté par la vague des betes entre ellles et me voilà contraint «d’obtempérer» de conserve ou cvommùent dire ? un laisser aller, un laisser filer, un laiisser croire, un laisser faire en soi ou pour soi, une chose pl;us une chose plus une chose plus une chose plus une chose et toutes cumulées m’emportant dès lors avec elles vers ce lieu de destinée finale (fatale) qui commaznde ! oups ! le trou ! le trou du cul d’une vie du monde ! jhe vois le travail ! je connais l’astuce : emporté parmi , déporté ! je suis ! oh comme nous sommes ! nous sommes ! oh comme je suis ! cela est ainsi que la chose wsembke se ttramer ou s’être tramé par la bande ! on voit ce qui est à l’aune de la parodie (de toute manière) et me voici qui tombe à la renverse parmi toutes ces betes de choix, belles bêtes s’il en est, troupeau de betes fauves rosses rudes, etc, chazleur des betes entre elles, me voici porté ! je suis emporté porté, je suis a;longé sur le dos d’icelles au complet, qui me font bouger = me mouvoir sur elles à l’emporte-pièce pour le dire ainsi et vite ! car, ça file ! les betes m’emporte et me font passer de gré ou de force le passdage du temps comme poussé, du temps comme accoutré ou comment ? chaleur des bêtes en tre elles, accoutrement ! je file ! jhe suis pris ainsi part la bande traçante des bêtes entre elles , elles me font passer le sas d’entrée et me propulse dans le sein des seins pariétal de la mort à l’oeuvre ici bas (là-bas) à même laroche gravée , je suis pris d’assaut ! les betes me prenneznt qui me poussent (à toutes) dans le sein des seins de la mort à l’oeuvre ... il va de soi ! je vois ! je suis voyant ! je suis un voyant ! voyance ! etc, car, le temps aidant, je m’approche de la bete fauve et lui parle à
demi voix ou comment : mezza voce, etc,
lui demander ce que je dois penser de cette sorte d’ embardée prenante , et que me répond-elle ? elle me répond que je suis «fait» et file aux quatre vent de son échappée verte ! je m’accroche ! je suis l’homme du temps qui cherche une accroche ! je suis cet homme des tourments des roches, cherchant le Temps à même la paroi du monde (une gageure ? une folie ? ) et ce faisant que pense-t-il ? il (je) pense que (ouiiiiiiiiiiii!) lza vie va fisza à même la roche comme ... une donnée graphique de prezmière ! exactement ! je vois kle tralala se dessiner sous moi : aurochs du passé, aurochs du passé, aurochs du opassé, aurochs du présent donné par la bande, mort à l’oeuvre, sentiments désordonnés mais rassemblés sur roche pour la bonne cause, sentiments généralement désordobnnés mais ivci rassemblés sur roche pour la bonne cause : et pariétalo-frontale et animalière ! je sais ce qui est , je travaille pour la vérité du monde des embruns, je suis homme des charges votives, trainant sa belle (ou pas ) carcasse d’homme frontalier, passant de ta race, chargement de denrées, donnée rustique, pesage ambigu ou sinon comment ? car un jour je file devant et le lendemain je recule à toute blinde comme un qui s’effraie devant le spectacle déployé de la misère, alors quoi ? veux-je ou ne veux-je pas ? sais-je ce que je voudraois au vrai ? le sais je véritablement et en toutes lettres ? que sqais-je ? je sais ce qui est de la roche des temps alloués : une sorte de tribune ! or, me voilà porté bien malgré moi par un troupeau de bovidés traçant sur roche, dans la direction de la porte rosse, alors comment faire ? mon nom est gravé au dos du mulet, de la bete rosse, du veau de carosse , etc, que faire ? je chjerche à comprendre les données de base des vies allouées à roche des temps, et pour cela le mieux est de tomber sur roche, fissa, et de ne pas se relever, feindre la foulure du poignet ou de la guibole, etc, il est cette chose comme quoi je suis comme porté par des betes de somme (une so:mme) jusqu’au point d’azur où donc une main, une autre, me capte et me tirentt à elles, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiikiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! cela est ainsi ! il s’agit de deux mainsq, voyez-vous les mains ? il s’agit des mains ... de dieu ? des mains d’un dieu, des mains de quelqqu’un, des mains d’une personne de type humain caucasien, il s’agit de mains ouvertes, bras oouverts, enveloppement de type chaleureux, etc, je me vois pris par des mains sortant de la brume ! je me vois ainsi ! je me vois ainsi soumis ! je me vois ainsi comme soumis à des sortes d’emprises de b ase raciale ou comment ? pris en étau ? p^ris de force et soumis aux effests de betes rassemblées entre elles et me pousqsa nt au plus lointain possible, vers la roche des fonds baptisma ux d’un antre de roche c oriace : mort dans l’oeuf = cette mort, qui est là à nous attendre, se loge dans l’oeuf ou comment ou où sinon ? la mort est une ambivalence : ouverte et vfermée, selon lkes moments de la journée ! je cherche à comp^rendre , je suis l’homme au pas rapide cherchgant à compfrendre (dans le vif du sujet) ce qui se trame et ce quy’il advient d’une embardée vive dans les prés, je cherche en moi ce qui est, je cherchje en moi l’être des parois rudes, qyui suis je ? le troupeau file à grandes enjambéesq
, jhe suis pris à la renverse, je tombe sur des betes rosses qui m’emporten,t dans l’élan de leur foulée (lourde) à travers les prés, je suis soulevé, emporté, je lévite ! voi;là ce qui est ! je suis porté par des betes de cgharge, une cavalcade, et ainsi passe lkes années, les temps déroulés par la bande (la troupe des passants de rage) etc, cekla est ainsi c ette chose crue, chose rude et crue qui me pousse à me laisser aller , on sait cela ! je charge avec elles ! je suis l’homme des apprêts, l’homme au v erbe haut (trop) qui pique la roche et traverse ainsi kla (belle) paroi des hjommes et fvemmes des cavernes, hommes et femmes des cavernes dont je fais pa rtie depuis ma naissance poour le dire ainsi, je suis un homme pris en tant que je serais ivci, pour des betes, une raison (de plus) «d’y a;ler», etc, les betes me poussent à aller, par elles, à me laisser faire sur elles, porté soupesé, choyé soulevé, etc, et me voilà qsui trace le chemin (mien) de randonnée ou d’embardée vive à travers ici un paysage pariétal de vie terresstre, je rz$egarde au loin et je comprtends ce qui m’attend : des mains ! des mains tendues ! mille et une mains tendues , ouvertes, qui m’attendent on l’a dit, on le voit, elles sont grande ouvertes, eklles sont des mains de roche, mains sortant de quoiuui nous l’ignorons mais mains, pour le coup, en v rai, pour ainsi dire ! je passe sur l:e choix des betes (elles sont nombreuses et diffèrent fortement enttre ellersx: bisons mais buffkes, chevaux mais antilopes, ours mais lions;, etc) et tout de suite, me voilà allant fissa vers l’échancrure ! ou la la ! ouh me voilà devant la porte ««««« de la mort à l’oeuvre ! que voiis je ? voyons : des mains de passdage, oui, de la brume nimbant les mains ? oui ! quoi d’autre ? des mai,ns -manucure ? hum, peut-être ! rezgardons ces mains, comme,nt sont elles ? humaines ? oui ! vioolettes ? non ! roses fuschia ? non ! rose bonbon ?. non ! rose clair de type incarnat ? très certainement ! les ongles bien mis ? très sûrement ! c’est à dire non rongés ? ouiiii ! quoi x’autre ? à toi de deviner ! je ne vois plus rien et ne co:mprend plus rien ! jke suis aveuglé par (en elle , en cette échancrure) une lumière des apprets de roche ! lumière solaire on l’a vu ! et moi de pleurer et doucement gémir comme un nouveau-né infecté ! je suis homme des roches rudes ! je sauve le nom de la misère ! qui peut m:’aider ? je voudrtais toucher la timbale du temps et comprendre loin et profond les données de base rupestre, je voudrais comprendre ce qui est qui me fait de l’effet au point de me faire ici aller (sur le dos des betes) vers un trou de basse-fossse on dirzait, ou pas ? trou borgne des parois du monde ? trou, plein de son vide matériel ! je cherche à comprendre le ++++++++++++ du monde pariétal = ce qu’il donne ezn plus à l’homme des cavernes, ce qu’il donne en plus à l’homme des cavernes est : viscéral, troublant,, coriace, vertueux ou vicieux mais fortement vmarqué dans un sens ou dans un autrte, je cherche à savoir ! je veux savoir ! je veux pouvoir ! je voudrais pouvoir savoir ! je cgherche à vouloir savoir ce qui est ici d’un troupeau de bêtes sorti des entrailles de la terree ou d’où ? m’emportant fissa à travers les champs vers des bandes de.... vers (peut-etre) bandage de .... vers une sorte de ....
qui le sait ? nous cgherchgons de toutes nos forces à savoir la chose (la Chose = la Moort) ce qu’elle est : qsu’est-elkle ? quoi elle est la mort ? la :mort elle est quoi au juste ? que ou quoi la mort elle serait là ? là la mort quoi elle serait ? qui sait quoi ? je cherche et pousse vif le Verbe pour lui faire xdire ce qu’il (???????????????????????????????????????????????????????? ????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????)a à dire, ici ! je veux comprendre les données de base rupestre, cet aurochs qu’est-il ? est il le nom de la chgose , de la Chose Majuscule ? est il n om déposé sur rochge des temps passés ? que vois-je au déb otté de telles paroles ? je suis sur roche à tenter des approches de chgoix à même la pierre, gravant en veux tu en voilà des betes de joie de première chance ! qui suis je ? je suis homme doux dépoitrenaillé ! ok, qui suis je ? je suis chevreuiuil de roche maeuble ! ok, qui suis je ? je suis pomme d’api et ver dans la pomme accouplé , ah ok, qui suisq jke ? je ne sais pas, mais je vois que je souffre (parfois) lorqu’on me déforme (la déformation minérale) etc, je vois cela ! je sais cela ! je me vois touchant la bete d’un xdoigt et celle ci de me
pousser à terre, me poussant d$dans le fossé et cherc hant à :me pîétiner (dans un rêve ?) etc, je suis une bête de poids moi-même, je suis homme des parois soudaines, homme du temps doucement déployé sur roche rude aux abords mauvais (escarpées) et, je me vois de ce fait mp’éloigner des abords pentus dangereux et me tenir loin des risques de chute, si possible, en tous les cas me voilà tombant dans la roche rude, à même la pierree si froide, y allant de mon pleur d’enfant et couinant en veux tu en voilà sur la lande , pleurant cette chose comme quoi : «je veux pas mourir ! non non non ! je veux pascmourir je ne veux pas !» et moi d’écouter ce chant sorti de moi ! oulala ! je chante par devers moi ! je chante ainsi cvomme si , comme si j’étais, moi même, ... le c hant des sqphè§res ou à peu près ! or «que non !», on le sait, le chant des sphères ou chant céleste sort d’un trou de terre mzuble (pour le coup) et non point t trop dure, il s’agit d’une sorte de chant guttural ! je suis homme de roche pentue mais se tenant coi et cherchant pita,nce à l’intérieur de la paroi ! je cherche une voie pour mieux m’enfoncer dans ce trou de roche «parlée», voie d’a ccèes monacale ou pas mais permettant une embardée sur beêtes de premièeere ! je suis l’homme des cavernes, je suis l’homme desz cavernes emporté, je suis l’homme emporté emporté des cavernes, oui :: doublement emporté, emporté par des bêtes (sur le cdos d’icelles regroupées) et emporté, du gen,re «en colère», etc, vif l’éclair, chercheur de vérités, etc, à même la pierre tombale ! le nom que je porte est nom de piètre renommée en cela que «rien ne l»arrete» pour ainsi dire (genre : éceuils sur un fleuve temporo-spatial, de type branche coincée, caillassse mal placée, etc) , je suis l’homme cherchant (rude) une voie de passage à travers le temps, mais comment ? nous cherchons ensemble ce qui est, nous = tous ceux et toutes c elles qui sont associées en tant q’usagers et usagères d’une langue précise (en particulier), je vois sur roche aller et venir des betes de poids, je sais qu’il s’a git de bete massives agencées, regroupées pour une traversée, celle-là qui saura de fait me faire passer (de guingois ou pas) pas ce passage découvert ou creusé par, ici, icelles bêtes des attra&its, des apprets, des appeaux, des turpitudes ou autres joies de l’existen ce si tant est ! je cherche ) à comprendre les données de base, ce qu’elles sqont pour ma gouverne ! je veux savoir , je cherc je à savoir ! , je voudrais savoir ! je cherche ++++++++ à savoir ! je voudrais savoir +++++++++++++ et pour cela jje vais en roche dure devançant la mort ! n on, pas d’elle, de grace SVP ! car je suis un homme doublé d’une bête alors fissa filez, etc, me voilà nommé , je suis affublé désormais d’un nom de ta race qui me donne vif de quoi me soulever et ne plus tomber, sur ;la tete ou sur les pieds peu impôrte, cce quicompte ici est de ne plus tomber, sur le bout cdu n ez ou le cul importe peu mais acte ! car, on voit ! on voit cela ! je suis l’homme des cavernes ... au vin ou au vent mauvais ou non ? qui ? je file ! je suis filé ? je suis l’homme des temps alloués, je file sur roche à vitesse grand V car mon nom est nom de roche déployée comme une donnée
de vie dépl;oyé dans un temps donné,, donné par la bande on l’a compris ! je traverse la roche de part en pârt et sort de kl’a utre côté avec, au passage, avancée massive des bêtes de choix (de l’homme des cavernes), donc, ok pour cette traversée de part en part, mais ... qu’y a til de «l’autre côté « ?la même chose qu’ici même, car la roche est :
boule de feu pariétal,
et deriière laboule il y a partout la même chose, poupées russes au débotté sanglant,; douleurs terrestres xde type tourments et encore derrière : l’e nvol d’un air radian,t, du vide de joie, espace temps globbal, chant des sphères azuréees, je vois la roche s’ouivrir devant moi ! je vois la roche s’ouvrir devant moi ! je vois devant moi la roche s’ouvrir ! je vois devant moi la roche s’ouvrir ! je vois la roche devant moi s’ouvrir ! je vois la roche devant moi s’ouvrir ! je vois devant moi la roche s’ouvr(ir ! je vois devant moi la roche s’ouvrir ! je vois la roche devan,t moi s’ouvrir ! je vois la roche devant moi qui s’ouvre au débotté de la paroi ornementée ! je sais cette chose ici cd’une roche des temp^s alloués et je m’en félicite ! je regarde oppportu-nément les voies qui sont ceklles d’unaccès possible vers des destin éesq lointaines et vives, je regharde devant moi ce qyui est qui me semble ok e,n matière de destinée, etc, je suis homme des cavernes recouvert de peaux de betes, de betes tuées, je suis le chasseur de la lande,; je porte en moi la ou les betes chassées par moi voire
mangées pâr moi et me voilà qzui tombe à la renverse, chandail déplacé, je tombe ! je me couche... sur les betes mouvantes ! je suis homme rude ! je cherche issue par tous les moyens car, mes conna issa,nces étant sommaireezs, je me dois d’explorer finement les temps impartis à la recherche d’une denrée ou sorte de denrée quuii ferait mon afffaire, je veux ou voudrais
aller loin et profond en cette rocghe des temps alloués, alloués à une ca use, cette cause est celle qui me voit cvhercher fissa fissa à treavers la lande de quoi me nourrir un temps qui sera le temps
de la Chose rude ! ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii je suis cet homme ... de la gorge et des poumons ! je suis homme des attreaits velus,; ou comment ? pas xtant que ça ? je veux savoir ! je veux savoir ! je veux savoir ! jhe veuxw x dsavoir ! je le veux savoir fisza de grâ ce ! pas à pas mais vite on le voit ! dites moi ce qui est qui turlupine et empêche ou empêcherait l’avancée frontale ou faciale ! c(est facile : le sang coule de la plaie et gêne aux entournures, ce sa ng chaud humain coulant d’un e bouche de tra it ! je suis l’homme «des parois meubles», d’autres le sont «des parois dures», je suis homme des cavernes «des parois non dures», je traverse à lo’échaudé, à l’écha uffé, au cordeau, comment dit on ? je traverse’ ! et, passé (une fois passé) de l’autre côté, je m’étire, j’ouvre mes mirettes (grand) et là atteznds et que voiwje ? une puis une autre puis en,core une autre et encore, bete de poids ! des massifs, des il:ots de viande fauves ouhlala ! je vois cela ! je ne suis pas n,é de la dernière pluie ! je ne suis pas néé du cdernier convoi ou du dernier envoi ! je pleure sur roche , je suis né ! me voici au monde ! je suis né ! je suis enfant né ! je suiis né comme il se doit ! je suis enfin né ! je suisq passé ! je suis né ! je suisq eznfin passé ! je suis né ! je suis een fin né à la vie de roche ! je suis né à cvette vie de roche dure, e,nfin né je suiis, à pareikll:e rochge des données, je suis homme vif, chant d’azur, hommê et femme de le et la caverne pour le dire ainsi, fou des temps, chaleur viscérale, onguent, christ devant ! oula ! le christ est devant ! qui est devant ? le christe est devant ! qsui çàa ? le christ ! je ne comprends pas car kje n’entends pâs ! le CHRIST !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! qui ça ? aiïe ! j’ai dit : LE CHGRIST !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! as tu entendu à présent ? je cherche à savoir les données (avoir) et ces données les employer à bon escient de préféren,ce, je suis l’homme des données frontales, je cherche à me glisser comme par la fente d’un temps décontenancé, déboussolé, dépoitrenaillé etc, mon nom est le nom que m’ont donné anciens et anciennes etc, je ne suis pas plus que ça carnivore mais eznfin ... oui, je le suis ! je mange de la viande... de betes de belle prestance, de préférence ! je suis enfin né !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! et cela ewt un fait vrai (oui ou non ?) :
je suis né à la vie des roches, je me pose en elles, je suis infiltré ou l’infiltré de la roche des temps, je vois e,n roche les données kes plus basiques (peut-etre) du monde , je vois cette chose d’une roche des apprets , d’une roche dure des voies célestes, j’entzn,ds le coucou de la plèbe , qyi monte, quyi vrombit, qui semble vouloir acceuillir (dès lors musicalement) mon entrée dans lka vie ... des roches des temps d’un devant de soi ! la mort est la vie,, la vie est la mort, la mort est peut-être :a vie et la vie est peut-être la mort, sont ou seraient interchangealbles, ou non ? ou comment vous dire cette chose ici, entre deux parois lisses d’une destinée ? je cherche à comprendre ! je cherche vif ! je chercbhe à plusieurs à comprendre à vif ! je suis l’homme des embruns massifs et ondoyants, qui cherche à compren dre à vif, les données les plus lointaines qyui seraient logées ... à même la pierre du temps, dsans le sas des sas temporo-facio-pariétal, on sait cela ! je file à l’a nglaise, car, mon nom est phil et mon nom de famille «ambidextre «, ou comment ? je cherche à savoir ! quel est mon nom ? mon nom est le nom d’une bete connue de par un grand
nombre de personnes ! mon nom est un nom connu ! hje suis homme de la joie d’etre enfin au monde né ! je suis cet homme né d’une joie partagée ! je + je fait ce je né de roche ten,dre ! je et je font je par la bandxe ! hje suis l’homme cde la femme née, et la femme est la femme de l’homme né, ou comment xsinon ? mon cvorps est donné sur roche à tout ja=ais comme une impression 3D de première loge, il sw’agit de le comprendre vite (v ite fait) et de le dire quelque part qui se puisse être pzerçu au mieux : entendu au mieux et compris de part en part ! j’aime, j’aime de folie cette chose de me voir en vie c’’st à dire enfin né au monde ! j’aime la vie ! oh j-’aime cette vie de roche grave ! je suis homme des embruns des roches du temps, je me meus dans le sas des sas, je suis l’homme de la vie de roche , je suis cet homme au ventre vide, je cherche pitance à vide ainsi à travers les l:andes ! je veux donc aller tuer, chgercher ce qui compte, man ger, je v eux remplir (de fait) mon estomac d’hommme des cavernes, manger et chier, manger et chier, etc, boire et pisser, boire +++ (= m’abreuver à la source du temps) et pisser ! je suis homme vide , homme avide, trou de bouche à devoir n ourrir ! je veux manger ! je veux ma,n ger ! je veux mùanger ! hje veux déposer, ces victuailles, ce manger de roche, ces bêtes mortes, tout ce sang royal, sur la roche du temps = nourrir le temps, le gonfler de mille
choses nourrisdsa ntes = nourrir la mort des pa roles des temps, etc, je veux la toucher ! = l’émouvoir ? ou comment toucher ou dire, ou comment ? je suis homme des temps cde cxarême, qui, soulagé d’être enfin né, voit sa vie défil:ezr vitesse grand v sur la terre, or le voilà qui cherche à s’en ecxtraire ! il va traverser les barrages septentrionaux de la roche rude et voir (enfin) de l’(autre côté et que voit-il ? il voit la prairie, lesw prés oùu paiossent les bêtes, il voit la prairie calcinée ? il voit la prairie en feu ? il voit la prairie aux bêtes fines, élancées et racées, comme biches des parois solides ou cerfs de ta race belle, etc, je suis l’homme qui va sur la roche et quyi cherche que tu chercheras une ombre (un nom) où se mettre à l’abri des piétinements ! je suishomme du temps qui passe nonchalamme,nt, je suis un homme des cavernes, je suis l’homme des cavernes au ventre vide, je suis une femme des cavernes, je suis un nous des cav ernes, nous-je sommes deux des cavernes à pousser la chansonnette gutturale des parois du monde, bnous voulons comprendre +++++++ ce qui est en roche pour nous , nbous voulons ensembke comprtendre ce qui est pour nouys depuis nous en nous, et ce qui est est, ainsi de suite ! nous cherchons la Chose rude ! nous voulons comprendre le TEmps ! nous sommes morts à une vie vide ! nous allons loin en cette roche des tourments nacrés ! nous sommes deux pour une causqe enfin dép^lacée ! les mots nous incombent et nous savons lkes déposer à même laroche pour le coup ornementée, nous sommes entrés dans la grotte , main dans la main, deux enfants en bord de :mer, nous nous étions baignés et à présent, nous explorons lx’antre nu, l’intérieur sombre, la voie de passage, les boyaux, les places, les parois, les endroits humides du temps imparti, les trouées de bout, etc, nous sommes des êtres de feu enrichi par la bande et nous n ous faufilons (sous le regard divin ?) à travers la roche rude ! nous tombons des nues pour ce faire ! pamoison ! nous tombons en pamoison ! nous sommes etres qui tombons en p^$amoison ! nous sommes êtres qui tombons v ite fait bien fait en pamoison ! nous sommes nus comme des petits vers de terre perdus ! nous voulons comprendre ce qui est et qui se trame sous nos yeux d’enfants ! nous sommes cdeux qui entrons de concert dsans la pierre, nous nous sommees serrrés, pour ce faire, l(‘un l’autre = lm’un contre l’autre, et nous voilà , à présent, qiui nous approchons de cette biche de paroi ornée, et allons la toucgher délicatement afin de ne pas l’effrayer, nous voulons creuser profond au wsein des connaissances, nous voulons creuser p^rofondément et sérieusement, consciencieusement et fin ement, volontairement et concrètement les connaiossances des parois du monde ou contenues dans les parois duu monde et pour cela, une seule chose à faire : tourniquet ! eh oui ! ainsi fait ! comme un fait exprès ou comment dire ? car le temps est pour nous une chose de poids ! nous savons cela, comme quoi le temps pèse lourd da ns la bala nce d’une vie sur terre, nous devons nous avancer fissa, nous nous avançons fissa, bnous devons fissa nous avanc er, nous
devons nous avancer fissa, nouqs devons nous avancer fissa, nbous dezvons nous avancer plus que fissa : vitesse grand (méga-grand) V de préférence car, le temps pressse pour la vérité ! nous parlons par devers nous et pensonbs de même ! méfiance ! nous disons dees choses de rage et cependant méfiance envers tout = aussi envers nous, premier de cordée ! nous devons nous méfier de nous ! tel est la donnée de base radicale ! ouiiiiiiiii ! méfies toi de toi wap dou wap, car c’et cela que nous sqommes à même de voir de près ! nous devons tous et toutes (e,nn roche) nous attendre à tout de la part de nous (de nous m^$emes) ,, cela est assuré ! nous devo,ns nous attendre à bien des trourments ! nous cdevons comp^rendre les donnéezbasiques de la rage du temps déployé , je suis homme premier de cordée ... de moi même;,, nanti de pouvoirs dont je préfèrerai me méfier : je suis l’homme a u parler «sincère» = «vrai» = «d»pl;oyé comme une tenture sur un mur acciçdenté, je veux croire en moi mais ... «c’est compliqué» car, le moi est envahi d’un brouhaha pariéto-cordial de première, censé améliorer les relations (pour ainsi dire) du tout sur le tout mais en vérité pl;uytôt le contraire : méfies toi de toi wap dou wap, car, je pense que c’est préférable !
je cherche à comp^rendre le plus de cette roche des embruns, je cherche à toucher le fond ce qu’il est ! je cherche à toucher le fond des problèmes, à toucherr le fond tout court, à touchezr le fond donné d’un e langue comme «déplacée», ici, par la ba nde, jhe suis homme des attraits de fond de roche, je vais loin le plus, je cherche le plus (là) en cette roche des lointains, les mots caracolent, ils nbous wsont donnés et impossible de cs’(en séparer, ils’agit dès lors d’une sorte en soi, de ... cadeau (de roi ?) empoisonné (le cadeau et peutêtre le roi p)ar la :même) : je cherche à comprendre le plus, d’une sorte d’embardée de force,et pour cela, je me vois dans l’obligation de toucher le fond, car toucher le fond = tenter de troucher le fond,car le fond n’est pas neutre ou n’existe pàas neutre (au contraire) : il s’agit de savoir ça ! je cherche pitance dans le sang, je suis l’homme plein xde cette joie de rage et (aussi) de cette foi en soi en tannt qu’etre de rage, jhe veux une sortie de route ! je veux aller loin ! je veux comp^ren dre loin les choses du temps , je veux chercher loin les choses rudes, je veux rudement savoir ce qui est, je veux savoir rudement ce qui est sur roche qui me tend les bras ! je suis n»é (enfin) à la vie ! je suis né d’un homme et d’une femme ! je suis né d’une vfemme meuble ! je suis né de par la fente d’une femme meuble, je touche le fond, je voudrais toucher le fond, est ce qUE je touche le fond ? hélas non ! jamais ! jamais de la vie ! je suis comme soulevé par des betes de poids qui me portent ainsi, ainsi regroupées, qui me soulèvent permanemment et m’empêchent de wsombrer ou de chuter dans le degré zéro de l’inanité vitale, je sais cette chose : sous moi il y a des bêtes, elles me portent comme une soupière, ou comment me portent-elles ? elles me portent ainsi faisant : regroupées, un troupeau sous moi me porte vif ! elles sont fortes, elles sont racées, elles sopnt vives ! elles sont masssives ! elles me portent vives ! elles sont vives qui me portent , etc ! je suis porté et sous moi il y a des bêtes ! nje suisq homme des parois du monde, porté soulevé par des bêtes de masse sous moi, j’essaie de compren dre ce qui est et qui me regarde et qu’est-ce ? s’agit-il de vies de ra ge ? non ! une vie de rage sous moi ? non ! quoio alors ? que saisq -je ! et me voilà comme contrefait par la bande , je cherche à comprendre, j’essaie de savoir, je veux pouvoir compter sur moi, j’avance soulevé, je suis emporté par des mots de roche dure, sous moi, caca, et me voilà rude , rudement bouleverswé ! que dire ? mon nom est un nom de roche, il préside à mon aventure ... sur roche rude, mon nom est le noom de rocghe (attitré) qui m’a été donné à la naissa nce et s’épèle ainsi : s virgule p virgule i virgule, etc, je ne sache pas que ce nom soit riche, l’est il ? je cherche à compfrendre ce qui est en roche, pour moi, ce qui est en bout de course, qui m’attend impatiemment : qu’est-ce ? alors voilà : la mort est l’instru:ment de dieu, la mort esdt une gageure, la mort est une plaie ouverte, la mort est tendue comme un arc, la mort est une échancrure dans ... l’etoffe de la vie, la mort est un calfgeutrage oppôrtun (?), la mort est une denrée etc, je suis l’homme au temps déployé (devant lui) comme un tapis de dates, il s’agit pour soi dde comp^rendre cela comme quoi la vie est une (sorte de) gageure infinie, je pense donc je rougis oui, et pourquoi suiis je ici dès lors ? pour quoi faire en vérité ? pour piger et cerner au plus près les données fron
tales de la vie et de la mort au débotté sur terre ! je rega rde au loin les lointzains rocheux et nua geux ! la mort fume ! je reg arde au loin ce qui mù’attend et me regarde de son oeil de vitre fol ! je suis homme des enduits de peau ! christ des marivaudages , je pleure ! je pleure sévère ! je pleure de toutes mes la rmes ! je pleure de toutes mes larmes du ciel ! je pleure encore et encore ! mon oeil ne cesse de pleurer toutes les larmes de laterre et toutes les larmes du ciel ! toutes les larmes de laterre et toutes les larmes du ciel !
toutes les larmes delaterre et toutees les larmes du ciel ,
toutes les kla rmes de laterre ezt rtoutes les larmes du ciel ! mon oeil pleure ainsi (ici) toutes les larmes de laterre et toutes l;es larmes du ciel , mon oeil pleure (un saule pleureur ou même : Le Sauule Pl:eureur) : toutes les larmes dee laterree et toutes les larmes du ciel ! je suis celui qui pleure ici (roche) toutes les larmes de la terre et toutes les larmes du ciel ... car je suis puni ! hje pleure vif : toutes les larmes de laterre et toutes les larmes du ciel
car je suis puni car j(ai mal agi : j’ai pêché ? et du coup je pleure ! je pleure ++, je pleure ici (paroi) ++, je pleure ici -m^eme (paroi de la vie) +++ , je suiis celui qui pleure ++++++++++++++ ici même, en cette roche des abois, car je suis puni, je suis l’enfqant de la roche puni, ou l’enfant ici puni de la roche du temps, l’enfant xde roche qui se voit puni, je me vois puni, je suis l’etre de roche puni, mot beau de ta race mère : puni ! je suis homme-enfant de rage rebelle ! je me vois puni par ma mère, je suis l’homme des données rapides, vite délivrées, je suis l’homme dur des données rapides, et je suis celui , par la même, qui tombe des nues ... sur du sable, je vais et je viens en roche des temps : incxantations, délivrance , incantations et déklivrance, jhe tombe des nues et pl;eure ma jhoie , je tombe des nues et pleure que tu pleureras, je suis l’homme des cavernes ... quyi pleure
sa joie d’etre au monde, tombé des n ues, né à échéance, choyé par la bande animalière langagière,; mon nom est donné d’emblée, mon nom est
looopings
des grâces, versus chenapan des prés, je veux croire en ma bonne étoile, je suis homme dépourvu de rage, chanteur de ces dames, enfannts des salons des fées, je vzais en roche à la recherche de la vérité ainsi né ! je surfe, je surfe (de fait) sur la vague des mots (pariétaux) de fortune : animaux-mots de rage belle, tendresses au débotté, mots d’usure, je trempe mes doigts de pied dans l’eau froide d’une mer de rage, jhe suis homme troublé, dépensier : je mets les mots de force en cette sorte de ravine et je pleure ainsi les larmes accvumulées par tant et tant et tant et tant de passages obligés par un silence ancré dans un sang défait, je cherche une vérité de passdage, mon n om est le nom de ma rage, je cherche à savoir ce qui est dans ce qui est, je suis homme des contrées de base intrapariétales, aurochs des fourrés, bisons des entrées, chevaux menacés, confréries diverses,et j’avance ainsi, bon an mal an, qsous une pluie de mots acidulés
3/9/2021
je cherche : je suis le chercheur de la roche, je tombe : je suis le tombeur de la roche, je grave : je suis le graveur de la roche, j’essuie la roche d’un revers de main, je place mes doigts à dessein à même la paroi meuble et laisse l’empreinte d’iceux, je suis cet homme des trempages et autres alunissage, je vais vif en cette sorte de paroi lunaire, je suis ombre portée sur la face cachée d’une roche tentaculaire, je suis homme au sang qui bout dans les veines, je m’approche de la bête, je suis moii-même cette bête aux accents vifs, je suis cette bete causeuse, ttrempânt son aile dans l’eau de la roche, je vais sur roche à la recherche d’une donnée vive de première bourre si tant est, je suis homme au sang chaud, je suis cet homme chaud de rage à vivre la roche, je suis cet homme-femme au sang bouillant en cette roche des embruns de fond de mer, sous terre est le chemin, je m’insinue, j’entre en cette roche comme une ombre, je suis l’homme entrea nt en roche comme une ombre sur la roche dure des temps soumis , me voilà qui me pose sur paroi comme dessin de buffle, de renne fuyard, etc, je suis le cheval et l’ours des ca ernes, je suis cet homme au sein de la roche d'une grotte ici cachée sous un monticule de betes, de pierres, de végétations diverses, etc, mon nom se trace ainsi à la sauvette comme une sorte d’effigie de bete de grotte, je regarde près de moi le sein rocheux, l’antre monacal rupestre, cette roche aux attraits certains, aux fines lames pierreuses, je suis fin de rage folle, je tombe comme à la renverse en roche dure et de ce fait me voici passé, je suis l’homme dur du temps révolu, je me meus en cette sorte de paroi comme se meut l’homme caverneux pierreux ... deven u chaman ... ou ogre ..., je suis ombre sur roche (roche déployée) par ici une sorte d’entrain à entrer en cette pierre dure de la vie à -vivre ainsi, sous un vent de buve vif, comme une sorte d’apprenti des roches et rochers, amateur éclairé, etc, homme au sang chaud qui va sur la roche et entre à l’unisson d’un cri, cri dur , vocalises diverses = époumonnements dans le sas, je me place e,n roche comme en une sorte d’antre où pouvoir mourir de sa belle vie souterraine, je regarde près de moi les betes mugir , rugir, beugler, meugler, etc, et me voici bête comme elles, bête à mon tour en cette roche ornementée, gravée par la bande ! cette roche est mienne roche, et donc, me voici entré en elle comme en religion (pour le dire vite) : comme une sorte d’oisillon tombé du nid qui se voit abimé sur la dalle de la terre dure d’un sol pierreux, je suis cet oisillon, je suis homme des atours de roche souterraine et me voici en cette rochge comme l’oisillon tombé du nid et qui, de ce fait, se voit contraint d’aller ... sa vie de bete à ailes, bete vive et gracile, etc, bete de rage en soi (le sang) comme une sorte de moteur de vie (de soi) en son sein, ou comment ? je file vif, je suis oisillon, je squis oiseau, je suis l’oiseau du terrain, je suis cet oiseau de la roche des prés et je vais et viens en elle, nmon nom est gravé sur roche comme une effigie, je suis homme des temps de parade à même les embruns des roches, des roches des temps, je veuc comprendre ce qyi est ici, me donner vif à pareille roche aux vives clartés lointaines, je suis l’homme des parolesc vaines, homme des pièces rajoutées : buffles à volonté, bisons laqués, rennes au chapeau, cornemuses, pipeaux, sonorités des profgondeurs, sourdes, vives, colorées, je suis entré en cette roche «des peines sûres», «de la mort des vents», etc, je tombe, je suis né à la roche du temps pour y laisser pour ainsi dire des plumes au passage : entrée par le sas puis continuatioon par la bande vers des fonds marins de rage, d’attrait certain, de vacance de limonade, jhe tombe ! vif! je suis vif tombé ! je vais vif sur roche dure ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombre ! je tombe ! je tombre ! je tombe ! je tombe! je tombe! je tombe comme à la renverse , dans le sein des seins pariétal, je suis entré -tombé dans ce sein de roche dure = la vie , et me meut de la sorte (vif) au milieu (ici) des betes de poids qui een imposent, qui sont belles rages, qui broutent, qui ont desz yeux pour voir et ne manquyent pas de me lorgner (placidement) d’un air de deux airs ou du coin de l’oeil comme il se pourrait, oon les voit, on voit cette chose rude, on sait cela, on voit cela, on sait cette chose et que voit-on
? cela ! cette chose des attraits de roche ! cette volonté d’en découdre pariétalement cvomme en u,ne sorte d’entré»e fautive, d'entrée à rebours : buffles au quintuple et bisons velus, etc, je veuc croire en moi ! je veux savoir quoi et qui en moi me soulève et me pousse dans le sas de la roche tremblante ! qui ? je le veux tantôt savoir vif ! car : je suis homme des cavernes au tracé de bois, mon nom est ins crit sur la pierre tombale et me voilà qui tommbe , tombe, ttombe dans le sas , en cette roche rude d’une vie toute allouée à un homme-femme commùe moi qui vais dans la roche à la recherche de la vérité à creuser fissa par lma bande si possibkle, je veux croire en cette sorte de roche des temps alloués à vie d’homme ! je suis homme des prés charmés par des betes de bois et sous bois, bambinette et auttres bambinnous charmeurs comme il se doit ! les voilkà qui viennent près de moi et me pourlèche doucement les doigts de pieds, je vois la roche se lever, s’ouvrir, m’emporter, me prendre entre ses bras, ses bras déployés, etc, et moi d’enttrer en elle (merci qui ? mercib bambi, on dirait) et en elle me loger en son sein royal comme un cerf de race-rage, fou de rage, éperdu de grâce, vif de sa race dure, tendre et calin, misérabkle bete (à mon tour) parmi les betes, je vais en ce sein rocheux qui s’ouvre à vif comme une plaie de joue (la bouche) en soi, qui vient à s’ouvrir et me prend (en son sein) dfe rage, je suis une ombre déployée sur roche, ma vie est cette voix, ce son des entrailles souterraines, je viens d’ici pour a ller là-bas au passage, mon coeur est corps d’azur, corbeau, bete rude, chandail, allure-vêture, chapeau, etc, je suis cet homme au chant poussé comme effluves des prés soulevés, j’entre en roche, je me vois enttrer en roche, je me vois soudain entrer en roche, je me vois soudainement entrer dans la roche , me voilà là pour deux (pour le dire vite) et soulagé, pris en main, pris entree les mains d’une sorte en soi de déité dépourvu d’attrait ou comment ? par qui et par quoi ? je cherche lentement autour de moi, je cherche à vif, je cherche sorte de donnée centrale expliquant le tout de la roche rude devant soi : le présent du monde, cette chose des apports vifs, des prises de bec, des engueulades votives natives, etc, qui dit quoi dans le sein des sweins ? la mort est la donnée de base rupestre, on voit sur cettye roche un tracé fin, qui rappelle un tracé lointain en cette même roche : les embruns, les traits appuyés signifiant l’appret sur un corps de roche, je suis homme dépourvu, homme nu dépourvu de verbe, l’homme nu qui est l’homme comme dépourvu d’un attirail (mécanique) de verbe ou de mots de rage, je suis le = suis l’homme , lequel ? celui -là qui va en roche à la recherche de sa voix pierreuse ou comment dire ? il prie de toute son âme ou comment? car, sa voix se mue à l’entrée de laroche et devient pariéto-animale, voix d’ours des cavernes, voix de lion, voix de renne, voix de renne des prés, voix douce de l’oiseau monté sur roche à tire d’ailes, etc, me voilà grimpant de la sorte, je mon,te à vif car je suis l’homme vif des aires anciennes, je me veux dedans, je suis en la roche dép;loyé comme l’homme aux apprets rudes, dur de chez dur comme un qui ici se donnearit direct à dame rocghe, à sieur pierrreux de la côte rude ! mercveille des temps ! chant d’oiseau ! fifrelins ! pipeaux des années de rage ! il se peut que cela soit pour moi cette chose, d’une sorte de paroi dite «des mesures», homme rude, à l’entrée des sas de la roche, me voici regardant à travers et volant, dedans l’air doux d’un intérieur, jhe suis l’homme des cavernes au sang chaud, il est pour moi cette chose sûre comme quoi nous avons cette voix (en nous) qui dit cette cghose, d’une sorte d’entrée à même la matière = la terre , pour y retrouver une mère, un chant de principe, un belle chance, un tombeau, etc, je cherche à trouver ! je vois la chose aller sur roche sous mes yeux ! je dsuis homme aurignacien : je grave, je dessine à vif la plaie de ma race = mon nom, chapêautée par une sorte d’entité de droit, vive allure sous les vents, qui ressembkle à quoi à une bete rude, massive attaque, charge lourde, etc, je vois la scène en son entier comme un film déroulé, je cherche cette vérité des roches de poids = des chevreuils massifs s’il en est, des betes solides, bien campées sur leurs assises, etc, afin de faire accroire encore une fois ! car, il est cette chose ici d’une vérité à débusquer , d’une sorte de vérité vraie à chercher ici ou là au sein de la paroi, et, une fois trouvée, vite aller la rapporter et la montrer à qui de droit qui saura en faire le meilleur usage qui soit, à savoir : la mort ! car la mort absorbe et nous absorbons la mort, la mort nous absorbe et nous mêmes absorbons la mort, si la mort est le présent donné, ce don devant soi à absorber, alors ... c’est la mort en ses attraits et atours que nous absorbons ! nous sommes deux en soi, en nous-mêmes, comment dire ? je suis deux en roche (voilà !) quand je suis seul ailleurs ! en rocghe je suis deux ! je suis deux en roche à la traversée ! je suis deux une fois passé& , est-ce cela ? je ssuis ou sezrais deux en cette roche dure aux temps impartis, je suis cet homme des temps impartis à roche rude ! je vais et je viens ! je suis l’homme au taquet ! je vais vite ! j’entre vite ! je file ! hje soulève le voile ici de cette roche aux attraits certains ! je vois ce qui est qui me tend les bras ! je suis homme aux tentacules , homme aux tentacules ? je suis homme au dur de la roche rude et je m’enfonce en elle comme en religion, je cherche, la musique des mots porte et empêche, filtre et détourne, fait glisser, fait glisser sur l’aire de kla vérité, chante que tu chanteras oisillon, qui vibre et glisse comme une sorte d'aéro-glisseur des roches, etc, je suis entré en roche des parois du monde, je v eux être rude ! je veux être l’homme des temps fous ! je suis fou des roches des temps! je suis cet homme de la rocxhe au temps, au temps déplacé, qui cherche pitance et finit ou finira par la trouver ici ou là, planquée, posée, déposée, riche, où ça ? je cherche et vois pour ainsi dire cette chose d’une vérité des roches au détour des bois , quoi est elle ? qsui de quoi est elkle ? où la voir ? où la dénicher ? où donc dénicher la Vérité des Vérités ? je suis homme du temps octroyé , je veux croire en cette roche des embruns et des désirs placés ou situés dans la rocghe, le trou devant soi est trou des temps déployés, il s’agit de cela qui nou!s tend les bras, cette cghose rude et belle comme fleur des prés, je vais en cette roche aux dures ouvertures pariétales et cherche à me loger en elle, icvi ou là, en ce sas de belle montrance, calfeutré, logé lové, mis à l’abfri des ruades, etc, mon nom est donné par la ban,de , mon nom est ce nom donné par la bande ! je suis homme au sang qui chauffe en moi ! je suis cet homme au sang qui chauffe, comme sang de Rome, ou comment ? je suis homme des parties rudes, des morceaux de choix comme déposés sur table d’offrande ! je veux ! je veux ! je veux l’ etre ! je veux ! je v eux ! je veux être cette chose vive déposée sur roche et, à jamais, consezrver la vie ! je veux ! je suis cet homme desz attraits ! je veux ! je veux garder roche, garder roche à :moi ! je ne veux pas sombrer corps et âme, je ne veux pour rien au monde sombrer corps et âme ! pour rien au monde je ne veux ! je suis l’homme aux traits fins, doux de rage, perdu éperdu en ce sas de roche tendre ici, ou dure plus bas, mon corps volette, mon image s’implante en ce sein nacré royal de roche des prés, mon nom est le nom de la roche, il suffit de lire et le tour est joué ! savez-vous lire les noms gravés ? connaisdsez vous le verbe des tombes ? je vois, en la roche, le sein = l’antre = le sa s = le sein de la roche des temps = le temps = la vie en son déroulé pariétal de fortune = une chance = une cghute (ici : de la proximité des mots «chance» et «chute»), etc, me voilà qyi va loin en elle (roche) pour la bonne cause solidaire, je cherche (= je-nous) à comptrendre (ici) les raisons qui font de «moi» ce «nous» de ravinage, d’estroiemen,t, etc, je veux aller loin ! je veux troubver ce qui est dans ce qui se dit ! que voir ? qsue dire ? que toucher ? quoi toucher à) vif ? une plaie huzmaine ? une humiidité native ? un semblant de peau rude ? quoi faire en ce sein xdéposé ? je suis l’homme aux multiples chants de la roche, je cherche à com^prendre ce qui est en elle pour soi et pour notte gouverne pariéto-frontale de fortune ! voilà kles données ! elles sont à portée de main, elles ne sont pas loin,; kle temps est une gageure, la mort eswt donnée , est don, la mort est le présent posé en offrande par dieu sait qui que nous ne voyons pas pour ainsi dire de nos yeux vitreux ... comme ceux d’une carpe ! hje suis homme femme des apprêts ! l’art ici est une chance = chute ! on sait bien ce qui est dans le swein car ... on en vient ! mais que sait-on ?
je suis ouvert , je suis fin, je suis posé, jhe suis vide ou vidé ! mon nom s’écrit à l’encre sympathique ! me voici ouvert à même une rocghe de grotte de Fra,nce ! la chance ! la voilà pour moi qui me fait rêver ! je suis homme-ombre donneur de mots sur roche tendre ici, et plus ou moins dure aillezurs, selon les endroits ! l’art d’un cfaire est un art divin, , quand l’art du dire est un pis-aller de la roche accolée à une vie du vide ! me voici changeant comme le temps ! lje suis homme renaclant !
chargeons vite notre monture
et filons avant la pluie !
je suis l’homme aux allures de
bete à coucher sur lapaillle ! mon nom s’écrit certainemeznt (pourqoiu pas ?) à l’encre sympathique , me voil:à ! je regarde autour de moi les bêtes placides, je vois les betes au débotté, qui se montent, se pénétrentc=copule,nt sous mes yeux de roche rude ! jhe suis homme des parois gravées, au burin, )à la pointe sèche, ou dessinée par des chgemins de charme, par des mains comme multipliées ! je suis cet homme aux accents graves des parois du monde menacé ! l’art est l’engeance ! kl’art d’un dire fol est placé sur roche et to nitrue ! l’art est une faille ! je sens la chosese placer de biais ou de guingois dans le sang des betes touchées comme par un pic de verbe, me voilà chargeant ! je tombe à la renverse ! je suis homme qui, dans le sang des betes, voit sa mère, la chaude parole,; le parler rural, l’antienne tentaculaire, le pot aux roses, la chance d’une vie, le ventail, l’époumonnement salutaire, le vent dans les voiles, le sang vif qui bout fissa en son sein des seins pariétal, etc, je suis cet homme-là des parois ! je suis cet homme femme rude au swang chaud ! aloons y à deux ! tôt le plus possible ! je vois ce qui est sous mes yeux et je comprends la chose des roches ployée, soit la cghose ployée des roches : le sa,ng està moi ! ce sang de bete déposé sur roche, est mien, car, la bete et :moi sommes soudés de toute éternité , ainsi soit il ! et moi de le chanter ici et là à tout bout dxe champ , car je suis ce bnous de ta
rage )-race on le sait ! je suis ce nous de ou du passage ! ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii! oui lui ! je suis ce oui du passage au temps ! je suis ce nous oui ! je suis oui ce nous d’un passage au temps, etc, mon corps est doublé d’un corps de rage (dépourvu de failles) , je vais en la roche ainsi accoutré ! je veux penser la chose à vif ! je suis homme femme des passdages (rudes) de paroi ! noyus nous retrouverons ! nous serons amenés à aller sur roche dans le sang ! la bete en moi est l’animal qui me seconde et me donne le la (musical) de la rocxhe ! musique ! je tombe ! musique ! la roche est ma défaillance on dirait ! je suis tombé de haut, mon corps a chuté, je suis devenu maussade, je tombe haut de haut à même la roche des temps impartis, je cherche à pousser loin , le domaine des connaissanxces , et pour ce faire que faire sinon cette chose, qui serait d’aller chercbher ici ou là la vérité du sang dans la rage d’un aller en roche , ou comment sinon ? je vois en ette bête des parois (le buffke ou l’antilope, le bison ou l’ours des cavernes) mon allié centra l, mon seconsd à la barre, mon ami certain et dévolu, mon cher compatripote, etc, il me suit à la trace, au cxharbon, en lévitation, il est la bete ezn moi me chevauchant et m’entraînant ! je cherche à vif -aller ainsi en roche dure ! et pour ce faire y aller à cdeux c’est bien mieux on sait cetgte chbose ! on peut aller loin en, besogne (à deux) et filer fissa son train de paroi à la une à la cdeux à même les temps octroyés par une sorte en soi de déité, des roches des p^rés, fleur de couronne, tendres données, poséidon ! nous voici munis ! je veux parler en ce nom de la roche donnée ,; pour la confrérie , et dire à celle ci, eh bien... ce qui bnous attend au tournant, ce qui à tous et toutes nous attend sur roche au sortir du temps, à sa voir la mort, car, lma mort est prise à partie, elle est soulevée par des fluides, elle vit sa vie vive de morte saison )à même la roxche c’est un fait, il suffgit de le savoir et la chose est classée pour soi (en soi) comme une sorte d’organe rentré, ou enkysté, qui existe mais, en vrai, ne répond plus de rien en termes de machinerie ou d’efficacité notable quant au fait de vivre,
nous pensons que nous devons aller en cettye roche des temps fous, à larencontre d’une déité pariéto-vcoriace ou comment dire ? dieu des faits de roche, dieu fin des rocghes gravées ! nous solmmes «montés» commùe des chevaux de parade ezt nous allons vite en besogne la paroi aidant qui se prête au jeu , au nôtre, etc, car, l‘homme est hjoueur de nature et file que tu fil:eras sa bobine vive, en cette rochge rude, au sein de la roche tendue, au fin fonds des ouvertures, etc, l’homme est une bete de parade, l’art est un pis-aller de prezmière, la mort est une vie rentrée, le sang est un moyen de vive connaisszance, l’oiseau est une bete humaine, on cherche ainsi troutes les vérités du monde vif et, de fait, on les aligne sur le sa s, ou sur table aux offran,des, etc, je veux croire en ma bonne étoile! mon sang est un sang de tours, je suis homme des ezmbruns de pacotille ! je regarde autour de moi les bêtes fi:ler et je file après elles à mon tour ! je vois cette chose rude, ce swemblant tourmen,té, ce vil aentourage tombé sur la roche et p^l;eura nt la chgose : betes pauvres ! je compatie ! je suis l’homme des voies d’abord à mêmùe la paroi du monde, par où donc passer pour comprendre ? où aller en roche ? quoi penser de cet ordre fin ? qui est l’ordre en soi ? qui vceut penser doux ? commênt dire et faire à la fois ? dire est vfaire dans le temps rocheux d’une vie passée à comp^rendre, à chercher, à tirer des plans sur la comète ! je chezche voie d’abord en cette rocghe des atours et des attraits et des apprêts et des joies déposées sur table d’offrande , je cherche volontairzment , sciemment, avidemùent, complètelmment, à comprenbdre les choses xdes roches ! je veux savoir ! je veux vite savoir ! ce que je veux est dit ici : vite savoir ! je suis kl’homme-femme , rudement soudéec par la bande , je suis homme-femme au sang chaud bouillant dans les vaisseaux, et me voici qui m’avance sur roche des prés: je suis entré en c ette roche, j’e,ntre en elle, je suis entré en elle et je regarde aux alentours ces b etes des prés, ces chevreuil;s, ces biches, ces buffkes, ces auroichs, etc, je vois ces betes fauves, ces betes rudes, ces betes racées , nacrées, ces betes accolées, etc, je suis une bete moi même, déployée, ouverte, échancrée, etc, je suis la bête des embruns, je suis bete aux dires morts-nés qui s’avance en roche et s’en vient toucher la timbale ! vive le temps deezx parois de roche ! vive cela en ce sein royal ! je suis homme rude, homme rugueux, homme des vies tenta culaires, homme vif comme oisillon, homme charmeur de serpents de roche, je suis l’homme au papillon, l’homme au caillou posé sur un caillou, homme du temps, homme des temps déroulés ... en ce sein des seins pariétal, betes dessinées par (ici) une main seco ndé, etc, mon nom est écrit en lettres ca pitales, je suis le nom que je porte cfomme par inadvertance, mon nom est nom déposé par la bande, je suyis ce nom porté par une sorte d’aide m:enaçzante animalière, je cherche à comprendre ! hje cherche le mot de la fin, (toujours) «§t plus que jamais je cherche , car la vie de ro
-che est vie de dureté, de rudesse, de vive clartés par endroits mais aussi cde coups du sort, etc, je cherche à comp^rendre les données les plus ancrées en roche des temps, quye sonjt-elles etqu’ont-eles à nous apprendre en véerité ? je tombe sur roche du temps tete la première , je suis né aux tourments torrentiels du monde, je suis l’homme vif de ma peine rageuse déployée sur roche, mon om est une entité à part entière et vole bas (ou hzut) selon les données ici enregistrées ce qu’elle apooortent ou pas en termes dfe rareté, d’exclusivité, de don alloué, etc, je suis un homme des parois du monde = néandertalien (par la bnande) ou aurignacien tout aussi bienn, je cherche une voie sécure ici ou là en roche du monde, , cette cvoie est la voie du sang, je cherche à comprendre kles données les plus ancrées, dans le san g de l;a roche offerte, mon nom s’écrit de la sorte : MON NOM, comme gravé sur piezrre tomb a le ou sur le marbre d’une sorte d’entrée de passage, passdage-entrée pour une gouverne certaine, droit d’entrée en terre dure ou meuble avec acquisition d’un espavce de sustentation, je cherche à comprendre kle sang , le sang royal comme la gelée, cette chose au fin fond de la roche, déposée, cet onguent tout autant, cette (ce ?) chrême acidulée, christ de générosité, etc, je veux savoir ce qui en roche nous atteznd et nous fait rêver, cela serait quoi ? ce serait la chose à comprendre ! et moi d’y aller de mon propre cxhapelet de notes en bas de page :
auirochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aureoxhs ! aurocxhes ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! ayurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurodchs ! aurochs ! aurochs ! auroxchs ! aurochs ! aurtochs ! aurochs ! aurochs ! a&urochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurocxhs ! aurochs ! aurodchs ! aurochs ! aurochs ! aurtochs ! aurochs ! auriochs ! ayrochs ! aurochs ! aurochs ! auriochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! ainsi de suite ! une so:mme ! u ne sorte d’entité à part entière : somme d’aurochs accvumulés pour une approche
déployée et tentaculaire = entité rochgeuse consacrée ! je vais en cette roche des temps assurés,, je cgherche à comp^rendre les données vives, je suis homme au sang de ma race donnée et soulevée , hje veux tout comprendre sans rien payer et me déposer sur roche (fleur) comme en une sorte de paroi-antre, cachette aux cinq sacrezments, qui me verrait me mettre en quatre et creuser icelle jusqu’au bout du bout mona cal à la recherche (expresse) de la Vérité acvec un grand V, car je veux savoir ! je veux comprendre ! je veux connaitre ! je veux trouer ! je veux passer ! je veux passer la tete et le reste mais passer ! je veux déposer mes mains salies sur la paroi nue et appreteée ! je pose mes mains tachées ! j’appose, comme sur le corps d’une misérabkle ou d’un miséra ble ! hje fouille oà même l’anfractruoisté et me comporte ainsi que dieu le fît ou comment ? actualisation coutumière des données de base par la bande ! défenestration coupable ? hje chante ! je chante le chant de kla roche du temps ! je chante à gorge déployée, à tue tete, les choses du monde, les choses rudement tracées sur roche par cet homme de néandertal que je sezra is parfois au décours du temps, je sezrais cet homme des caverners, , j’irais loin au fond des parties, je m’enfoncerais dans la roche et toucherai le fond des parties, hje file et filerai, jhe «ferai» le temps, le soulèverai comme une bete morte montrée, adulée, soulevée comme l’offrande déposée, vcommê offreande à dépôser sur table aux présents de la roche du temps ! je suis homme -temps, caresse buccale, baiser à vif sur une plaie ouverte (bouche percé) qui serait cette zone (administrée) du passage v ers un audelà de la paroi du monde (à côté ?) qui saurait nous receuillir et nous bercer, nous bercer pour l’éternité (espérances) et pour cela , une chose rude : le baiser sur cette plaie encore chaude et toute sanguinolente, purulente etc = le temps partagés des effluves maritimo-terrestres, etc, le coeur est en moi le serment, l’art est une sorte d’entrée en matière = dans la matière, l’art a des antennes
dans le sein des seins parioétal, l’art est effigie rupestrze, va avcec le vent, est art de figurer le temps de la roche, est dfon de soi pour une échancrure coupable (ou pas ?) à même la roche, la mort eswt comme une entité deéifié&e défibnitive, ‘art a à voir avec, de soi (ici), le sang à l’épreuve du temps, l’ame est morte depuis longtemps, reste l’effigie (en soi) animalière : cette voix en soi tonitruante bousculant les codes et gravant d’elle même qui des aurochs, qui des sangliers, qui des marcassins, qui des quartaniers, qyui des betes à cornes diverses et variées, etc, je suis bete de joie profonde et vais sur la roche du temps ca lfeutré dans un sas pierreux de fortune = mon image , mon nom rajouté, la chose accolée de base := la donnée du temps par la bande ! je suis chercheur de choses rudes, j’affronte le temps ! je foule à même la dalle, je corrige peu, je corrige à l’allure des temps, je tombe ! je suis homme des années de roche allouée, je commande aux turpitudes ! je veux combattre ! trouer la paroi ! percer vif ! percer rude ! pezrcer coriacve ! percer fol ! percer (à même la roche) au pic verbal sorti de ma bouchhe, blessée de l’intérieuer par pique-ma-pique des prés, tournicotas de betes enlacées , tournebroche ou brocheztte de betes de poids (toutes) pour la bonne cause = l’entrée da ns la matière (inconfortable a priori) de la roche des temps impartis, je creuse ma tombe ! je creuse la tombe «artistiquemen,» = don de soi à dieu viva,n,t (la mort) afin de faire «durer le p;laisir» d’une vie de roche tourme,ntée ou fatalemenrt tourmentée ! je syuis homme felmmle des cavernes, je suis à la recherche d’un e voie d’accvès ... à dénichger, je ne désespère pas de latrouver, je suis à même de panser la plaie du temps à force d’animaux représe,ntés, du moins je l’espère, jhe me place ainsi en roche de telle ou telle façon q<ue rien ne puyisse me contrariezr dans mon approche et dans ma décision d’en découdre (une fois pour toutees) avcec la tribu, cette meute de betes enragées, ce troupeau mauvais (dans la turpitude, etc), je suis hoomme des parol:es vaines ... déposées, je cherche vérité aux accents de la bete de roche, je la cherche vigoureusement, à la force du jarret etc, ou du poignet, et cela en fanfare, comme il se doit ! je veux être l’homme des paroles vaines ... déposées sur roche pour la bande, compter sur des données de belle contenance ! je voudrais ! je suis homme au sang, qui bout dans les veines, animal à sang chaud, homme-bete-mot coriace et vif, je suis k’homme des défis de roche, pariétaux, qui file vif , vite, dans le se ns donn,é par la bête des prés (la biche ? le chevreuil ?) vers la pôrte ouverte aux insanités, aux turpittudes violontiersq, aux écarts dorés etc, je me vois tomber bien bas ! je me vois sombrer corps et âme, je me vois mourir ici bas ! je me vcois aller sur rochge et creuser ma voie = tombe de parade ! je suis un homme des temps passés, je veux savoir la vérité à propôs du monde et des choses peuplant ce monde, hje chezrche à vif ce qui est ici (ronde ) qyui serait fiable à cent pour cent en termes de données deb ase pour l’éternité , je suis homme au cxhandail, homme atiffé, homme colporteur, hommùe soumis , homme ici des paroles b risées comme verre de paroi rocheuse, homme des tombeaux ...
ouverts au public, chaleur
en son sein brûlzaant, je veux connaitre le tourment de b ase et de le déposer sur la pierre aux dons, je veux sa voir , comprendre loin ce que c’est ici qyue de vivre ensermbkle accolé dans un «sein des seins» pâriétaux, et pour cela : aller en roche tendre, coller à laroche des temps alloués et ne plus s’en aller ! roche des rochers des roches , aller en elle tendrement et y demeurer le temps nécessaire, peut-etre, à une approche sensée ! je suis homme rude , homme rude de cherz rude, je suis homme fou, homme fou de chjez fou, je suis l’homme aux douces approches sensibles de roche, je me vois comme aller et venir et pronon cer à même laroche se ntence à mon égard : meurs sur place ! tombe ! tombe là ! tombe vif ! ici même tombe ! ici le trou ! ici même le trou ! là le trou ! là le trou pour un enterremeznt, là même le trou pour ensevelissement ! le trou est ici où je tombe, mourir = tomber et tomber implique latombe à l’endroit même où je serais tombé ou bien (a illeurs) serais déposé ... par qui saura offrir son aide à ce faire ! car, on meurt seul ou pas, mais d’autres que soi prendront soin de moi, de ce corps de rage vive, corps et âme au cdébotté d’une roche dure, caillasse, dureté des duretés, douleurs incommensura bles, partout, tete à pieds, etc, je veux aller de fait en roche du temps et tomber sur la place des données vivantes et du coup sauver (qui sait ?) ma mise à tout jamais ce sezrzait parfait ! je suis homme des cavernes aux allures vives, jhe feinte la mise et espère ainsi m’en sortir à bon co:mpte = gagnant ! et pourc cela , une seule parade : l’envie ! le désir ! l’atrait partagé ! le toucher buccal et autres turpitudes installées, etc, je veux etre l;’homme des parois rosses comme déployé (pour ainsi dire) en un sein de beautés furieuses, je le veux patiemment ou impatiemment peu impôrte : je veux xcette chose, je suis homme des cavernes ... au sang dxépôsé, je syuis l’homme des cavernes ... au sa,ng frais déposé, je suis l’homme des c a vezrnes ... au vrai sang déposé sur roche, je suis et serais cet homme des cavernes ... au sang frais dépôswé sur une roche rude de parois de monde (etc) à même la froideur
d’une pierre meuble (ou pas) qui «tombe» là !
je suis homme à toucgher par la bande , vivement ! je serais cet homme de la roche aux tourments divers, je sezrais cet homme des tourments divers ici déployés à même une sorte de roche des temps, roche des temps donnész pazr une sorte en soi de déité corporéifée ou comment ? rendue visible, sensible ? ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, exactement ! et qu’est ce alors que cette déité rendue sensible = tangible ? c’est facile, il s’agit xd’une sorte de bete de chasse ! d’une bete de forêt ! d’une bete tout court (visible à l’oeil nu) ! voil;à ce qui est et ce que, donc, la vie de la roche propose en fin de co:mpte ! nous savons cela , nous ne voulonbs pas passer à côté , nous voulons comprendre cette cghose là et aller plus loin, toujours plus loin, en roche des temps alloués, car bnous sommes a vides de xsavoirs, avons fzaim de loup pour ce qui est des connaisqsances à acquérir fissa, )ar la bande de paroi, nous cvoulons aller loin dans pareilles connaissances, nbouys glisserprofond en elles, cherc her loin ce que cette xhose d’une biche des prés, pêrdue»»»»» dans le temps, représente, est-elle perdue ou si perdue que ça, en vrai ? nous ne savons pas ! nous cherchons à savoiircezla ! nous cherchons à comprendre toutesles données du monde et à trouer la roche pour entrer , pour nous immiscer frontal en elle et crever la toile nous masquant (à perpétuité) les choses du sang , ce qui est bien dommage en soi... on le voit, car qui croire dès lorsq ? à quoi se raccrocher ? qui louer ? qui ou quoi suivre en termes de pensée ?
je veux comprendre ce qui est de la vie et de la =moprt mais pour cela sans (de grâce) devoir mourir ! je suis celui là qui voudrait mourir coute que coute ou pas ? je suis l’homme de la mort certaine ? suis je l’homme de la mort certaine ? qui suis je en termes d’identité et d’aspect personnifié ? suis je l’homme des embruns ? suis je l’homme des parois humides? sduis je l’homme aux destinées contrariées ? suis je la voix de la Voix ? suiws je mùort ou bien bien vivant ? suis je le mort xde la place ? suis je un mort ? lmort vivant sur roche ? suis je un mort de belle extraction ? suis je vif et brûklant ? qui suis je que je ne sais pas vu de l’intériuerr ? suis je un vouloir ? une assise ? un tronc ? une voilonté fortyite ? un homme ? un hummo-femme ? une femme-mec ? un crabe ? tentacule ? un chevreuil ? un poinçon ? une brise ? un bonnet d’âne ? un bel hommage ? un point de côté ? une rougeur ? un bubon ? une maladxie expônentielle ,? un coup sur le cailllou ? une oreille cassée ? un chien de baskerville ? u ne maison de poupée ? un gilet rouge ? un point de beauté ou un grain de beauté ? point de croix ? une croix ? la croix ? le vent dans les voiles ? petit chanteur à la croix potencée ? etc, je ne sais pas ce que je suis mais je souffre quand on me déforme, je ne sais pas ce que je suis mais je souffre quand on me déforme , je ne sais pas ce que je suis mais je souffre qUA Nd on me déforme, je ne sais pas ce que je suis mais je souffre quand on me déforme», etc,
je ne sais pas ce quye je syuis (x ou y) mais je souufrree quand on me déforme, je ne sa is pas qui est qui, je ne sais pads quoi ou qui
est qui ou quoi (entrelacs) mais je souufre le mal de ma race, quand on (qui ? qui de droit ? ) me déforme = me tourmente, me tord, me couche, me cingle, me taraude, vitupère après moi, etc, je veux savoir ! je suis l’homme au sang chaud qui, en lévitation, arrive à tracer des bêtes de poids sur une paroi,
qui des aurochs, quyi des aurochs, qui des aurochs, bêtes rudes, vives, qui imposent leur superb e à tout l'auditoire, etc, qui des buffl;es, qui des bvuffles, qui des bvuffles, etc, betes ra vageuses , qui des bisons, qui des bisons, etc, je suis entré dans une roche «par la grande porte» pour ainsi dire = tout devabnt = chaud devant = on file en vitesse et on s’introduit, conjhointement, pour une entrée complète ! il s’a git pour moi de comprtendre juste et de toucher fort, car kla roche est dure, et dure à percer et dure à piger ! je sais tout cela ! je sais ce qui est en cette roche des données fiables, je le sais , je sais cette cghose, jhe vois cette cxhose en soi, cette rudesssee, ce travail de sape à :ême la paroi, par des hommes et par des fezmmes des caver nes, car moi-même je suiqs homme et femme des cavernes, je suisq femme et homme des cavernes, homme-femme accolés , collés pour une bonne cause commune : la recherche de la v érité concernant la vie et la mmort, la recherche vive (assidue) de la Vérité grave, du seuil fatal en termes de connaissance, des outils lles plus aboutis de contre-propagande ! mourir existe t il ? savons nous si mla mort existe ? le mot «mort» a t il du sens ? le mot «sens « a til du chien ? la mort a telle en elle xdu pouvoir ? qui est elle en termes de domaine ? je sais ce qui est, je sais que la mort est pleine, co:mplè§te, non point vide ou vidée ma is au taquet de ce qu’elle peut donner ! je xchezrche à comprendre ce qui est, et c e qui est est emporté au fur et à mesure par un flux de verbe qui va ,, cxaracolant, à même la roche ! nous voulons savoir ce qui eswt en cette roche des apports de bzase, concernant kla cvie de la vie et aussi concernant la vie de lla mort ! nouys voulonqs aller en, roche rude , charger nos effluves, comment dire ? emmagasiner du concentré de roche , de roche aux pouvoirs ! et pour ce faire nous devonsq entrer, fissa, dans une roche ... de paroi de grotte, tete fcrontale, deda ns la pareille, au fond du bistrot, salle comble, carnagge, etc, ou où ? car nous nne savons pas tout ! nbous ne con,n,aissons pas tous les itinéraires, où pouvons nousaller ensemble sans dommages et sans contrariétés sur le passda ge ? qui le sa&it ? qui sait ce qui est en vérité ou en termes de vérité ? qui pourrait nous renseigner sérieusement et compl ètemen,t ? je veux aller en roche des temps vifs ! je ne veux pluys lzambiner maé&is vite m’enfoncer ... dans la plaie du temps saignant ! je veux aller loin et profond en cette plaie, car j’ai beaucoup ici à trouver , cher cher et trouver, car je suisq follmement intéressé par lkes données pour ainsi dire les plus fines et basiques du monde des parois du monde, je m’appelle ... hum, nologips, je vis à l’envezrs du temps, je ren,tre en roche et je m’y love vite et bien, je tomb e ! je tombe fissqa par la bande, je tombe à la renverse des données de base, je suis fou-lié ou comment ? perdu ? plein ? plein de soi ? fou ? cher ? cvolérique ? ex-communié ? tenté ? pauvre ? je suis pauvre en cela qUE je suis fauché ? je me pose aux prezmières loges, je m’impose tete avant, à tout va de l’allure ! je perce et me voilà qui rentre , qui xse pklace peu à peu, qsui entre en cette rocxhe du mon de, je rentre tete la première puis de tout mon corps en suivant, et derrière moi la plaie (plaioe ?) se referme illico presto , je suis passé par cette biche ouverte qui est une plaie ouverte, par conséquent qui saigne et tache, et donc me voilà taché à jamais (au passage) d’où cette cghose, d’une sorte de tachage au passage etc, je suis un homme d’entrées vives en la matière, du fzait que j’ai (en moi) ce pouvoir (incantatoire) de pouvoir entrer dsa ns unee roche dure, rochge des prés ou des blés, etc, je suis homme du pouvoir des rocghes, je vais en roche ilki!co presto à ma guise ou presque, car je wsuis en vérité muni d’une (sorte de) «torche-pique» d’entrée en matière = le vzerbe ! le verbe est ma «torche-pique» d’entrée en matière , je sqais m’en wservir, je ne peux m’en séparer sans devoir mourir (on le sait) et dès lors, je fais cette cxhose (là) d’une sorte de voeu comme quoi un jour (une fois) je pourrais non pas mourir pour ne plus revenir mais tout le contraire : mourir pour revenir, mourir «et» revenir, c’est à dire en vérité mourir oui mais sans mourir ! mais peut-on mourir sans mourir ? ou plutot mourir sur terre ma is pas ai;leurs (où ailleurs ?) , peut-on mourir ici, sur la terre ferme, mais en revenir ? nous ne savons pas au juste, nous ne sav ons pas ce qu’il en retourne, noys sommes éduqués partiellement, nos savoirs sont ridicules, nos savoirs sont pauvres, sont petits, sont comme des b ébés-savoirs et cela ne manq<ue pa s de nous fragiliser bien évidemment car bnous (en vérité) ne sommes pas dupestout à fait de cette chose, de cela qui donc nous voit comme infériorisés, intimidés, etc, je sais ce quii est en vérité et ce qui est ne manque pas jamais de me chagriner vous le comprendrez ! je suis un homme des cavernes en moi, je porte en moi l’homme des cavezrbes qui lui m^me porte en lui un hom:me des cavernes qui lui :=ême pôrte en lui un homme des cavernes qui lui même pôrte en lui un homme des cavernes qui lui m^me porte en lui un homme des cav ernes qui lui-même porte en, lui un homme des cavernes qui :lui
même porte en lui un animal qui lui même portye en luiun anima l qui lui même porte en lui un animal, qui lui même poeerrte en lui un an imal qui lui même porte en lui un animal de roche dure = aurochs, ou bisons, ou renne, ou cheval , etc, je suis le cheval de la fable, je tombe nez à nrz avec une sorte de pa roi de roche, qu’en bien (même) je la perce et latraverse ... et me voici dès lors passéc fissa de l’autre côté ! je szuis l’homme des parois de roche en grotte, et à ce titre je me pl;ace sur (ici) une sorte de crête, interne à la roche, une sorte de butte haute, et de là je vois le straatagème, ou disons les parties d’un tout p)ariétal, d’un tout rupestre : les tenants et les abvoutissantsq, les betes en parade et autres cavalcades vives et brûlantes , l’homme des cavernes figurant la vie ... à la Mort et tirant a insi les piques du feu ! marronier ! il est fin joueur ! pas folle, la guêpe au sarment ! il se débrouille, il vit sa vie de roche aux quatre vents, et cela, continunament éploré ou comment ? larmes de la joie du monde + larmes de ... l’antijoie du monde ? il faut savoir ! je cherche ! j’essaie de tant et plus me rapprocher de cette verité qui est ce devant = ce devant mortel tendant ses deux bnras , car la mort (on le sait maintenant) a deux bras ! la mort a deux bras devant soi, et à vous du coup de savoir feinter si envie ou besoin la chose ! deux bras pour mieux vous encercler et vous emprisonner ! or, cela n’est pas à faire tantot illico et sans reflexion ! non !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!u!u!u!!uu!uuuu!!u!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! sûr que non ! vous pouvez encore ruser ! vous devez ruser et meubler ! MEUBLER KLE TEMPS DE LMA ROCHE ! MEUBLER LE SAS ! MEUBLER FISSA LE TEMPS ! eh oui ! voi:là le fin mot à comprezndre ici ! il est bon dx’urgemment
comp^rendre cette chose et de n’en plus démordre et de pousser à fond le «la,ngage de vie» en ses retran,chements monacaux salutazires ! et pour cela : in ! dans ! en ! deda,ns ! pas d’autre solution que ça ! vous devez agir de cette sorte et ne pas ou plus reculer (jamais) ! forcément ! vous êtes né à une vie d’homme ou de fezmme, et un jour vous vous retrouverezz à toucher la paroi des mondes des grottes, il sera alors temps pour vous de comprendre les eznjeux de base, les enjeux divers et variés, ceux qui président couramment la chose du temps, ce noeud, ce coeur, ce plexus etcx, il s’agit de voir ce qui est dans ce qui va ! il s’agit toujours de cette chose en définitive, c’est à dire de comprtendre, pour soi, ce qui eswt sur roche (la vie ?) dans ce qui va (le temps ?) , etc, et pour cela : une armature, une structure, un échaffaudage, une architecture, des étais, des pieds droits,, des pontons de stab ilité, des échasses, des pieds de table etc, ou des jambes, on sait tout cela ! nous marchons sur la roche du temps et bnous devons parler en notre nom pour exister (= continuer à vivre) et du coup, nous disons ces choses (au charbon de bois, au manganèse) : aurochs des prés , aurochs des prairies, bambinous nacrés, chevaux de bois, renne précaires, mammouth de ta force, bouquetins fins, ah les bouquetins, chevreaux, chevreuilx
s, chèvre de monsieur seguuin, bichedécorée, biche -attrait , biche-apprêt, biche-biche, ornementation de biche, etc, nous pensons que nbous devons fouiller ensemble (nous sommes deux) dans la profondeur ... des pierrres solides ! nous devons ensemble nous coucher sur roche (pierre de taille tombale) et voir venir à nous les betes de poids, qui font leur effet certain sur leur auditoire, à savoir : la mort ! la mort est l’auditoire de la vie feinte ! je connais cela ! je chevauchge ! je suisq homme fin des parois de roche, je cherche pitance à même la roche et je trouve quoi je trouve des betes ! pourquoi ? pârce que la bpête en soi est contenue dans moi , elle y prospère avant d’en sortir, de s’en échapper par la ban,de = par la fourche = lala,ngue = kla queue dite «du verbe» sortant de ma bvouche comme un entrelac (une tressse) fait (faite) avec soin ou métier, une sorte de pique tressée qui perce la roche comme d’un,e plaie qui saigne, et nous voilà «incorporés» à pareill:le pierre, à pareils rochers, cailllasses, antre et gosier, je suis ho:mme des cavernes au vent de buffe, ici mêm, je suis dans le sas, je suis pris entre deux feux, je chevauche il semblerait les données animales du temp^s et me tient pantois, devant (en vrai) pareilles betes alléchantes (on en mangzerait) et vives comme des éclairs, je cgherche à entrer en roche vite, si possible, même très vite, jhe suis homme vif qui entre à vif dsans la roche du temps , je m’immisce, je zuis dedans, je suis dans le temps rochgeux d’une sorte d’incorporation par la bande d’un verbe nerv eux fait de betes nouées entre elles, et vive le pic ! vive et vivement ! car, le pic se fait attendre, ça glisse vivement plutôt ! mon pic est il ... contondant ? le pic xdu verbe (le langa ge articulé ) est il réellement ... contondant ? peut il dire ce qui derrière se trame ou se treamerait ? que voit il ? etc, je pense que cette chose, je pense que cette
cxtte chose de paroi, nous concerne tous à plus d’un chef, etc, je suis homme des cavernes à soubassement cellulaire, mon nom est comme introduit dans la roche m^$eme par contiguité, ou peut-être capillarité, je chgerche à co:mprendre ce qui est, ce qui se hjoue en termes de données brutes puis moins brutes soit déjà un p )eu «travaillées «, etc, je suis l’homme -fgemme)-animal desz cvavernes, mon nom est un nom d’emprunt, mon nom s’écrit en toutesxclettrres, il s’agit du nom que mon père avait , a toujours, il s’agit du nom que je porte en moi comme une sorte d’organe de vie, nouys poussons loin les dires mauvais de nos races rudes et les incorporons à la pierre dure, puis nous nous allongeons sur terre, sur terre friable (ou pas) et regardons passer les betes-mots ainsi (par nous) générés, nous sommes prêts et prêtes pour (il semblerait) la compréhension native (ici) des phénomènes, nous devons interaagir (betes et hommpmes et femmes) et nous entraider au niveau de la compréhension native (ici) des phénomènes ... de vie et de mort, je suis bete-roche, bete- mot, bete-effluves etc, je charge la parooi de tout mon sang ! je charge ! je charge vital! je chatrge avec vigueur ! je suis vif ! je vais et je viens en cette roche des attraits de type bambinesque etc car je suisq chevreuil et en tant que tel je me vois sen sible pour ainsi dire permanemment à la gente dite bambinesque ou bambesque, j’aimme les bambis de roche, je me reconnais en elles, je suisq attiré par elle (efflucves) considérablement voire éperduement voire sans le rechercher sciemment voire contre mon gré ? je cherche les données fiables, les données reproductibles à co:lporter, à montrrer à qui de droit, le temps est la raison du monde, l’art son corollaire floral, je pense donc je rougis, je suis l’enfant de la roche dure, je me poste aux p^remièresx loges et regarde aller ... les betes massives, leur manège, leurs écarts, je me faufile, je suis l’homme au ventre vide, j’ai ... fzaim de vie ! je cherche pitance, je me couche sur le tertre ou terre plain et reste à l’affut, armé de mon arc de chasse, de ma corne et de mes chiens, je suis raide.
2/9/2021
je suis l’homme-femme des cavernes, je suis homme des temps passés, mon nom est le nom gravé à même la pierre : aurochs et autres noms de bêtes fortes, renne, bison, buffle, cheval, ours, mammouth, chevreuil ou biche, etc, je suids homme des temps passés qui va et qui vient à même la roche (dure) des temps impartis à une vie terrestre, je regarde autour de moi, je vois des bêtes de joie qui sont quiètes et paissent : il s’agit de betes fortes, massives, tenant sur pattes sur herbe fraiche des parois de grotte (en) et moi, de les approcher et d’aller toucher leur pelisse : elles sont en vrai, elles vivzent au sein de la grotte, elles ne sont pas que des sortes d’images fautives, etc, elles existent, elles broutent, elles se montent, elles chevauchent la prairie, elles vont et viennent, elles existent pour de vrai en cette roche dure des parois de grotte, elles sont mes amies de rage, elles me montrent ««««« le cghemin à suivre, elles ne sont pas en reste de me dire et de me montrer, elles me montrent et me désignent le chemin à suivre, ce chemin tracé à mêmùe la roche : ce qu’il est pour moi, à quoi il ressemble, à quoi il mène ou cette chose et moi de suivre cette chose sur roche dure, je m’avance, je suis en, je suis pris à l’intérieur, je suis en c ette roche celui-là qui va vers loin, horizon nacré, trou de balle, ou comment ? je suis homme de la voie tracée menant à trou, je suis cet homme des tracés de roche : où vais je ? qui suis je ? que vois je ? où sont ils ? qui ça ? les betes de rage aux embruns ! les bestiaux, les betes fauves , ou sont elles ? qui va là vers une sorte de paroi percée ? je suis homme des temps reculés, mon nom est aurignacien, je suis entré dans une roche dure par la force des incantations, mon corps en entier est passé sous l’égide en moi (en soi ?) d’un animal de rage, aurochs ou lion des cavernes, bison de la rage ou antilope au pas vif et élancé, je suis entré muni, je monte, je vais sur roche vers l’entrée prochaine (le cer ceuil ?) : je suis fol vibrant qui file vers un trou de bure, ceztte chose des lointains au son sourd, je vais accompagné, je suis ombre portée sur roche (dure) du temps imparti à vie d’homme (ni plus ni moins) et je m’approche de la porte, de l’entrée, ouverture à l’iris, chaloupe ! je veux ! je voudrais ! je vois cette Chose rude, ce travail au corps, ce passage sous mes yeux, cette ouverture-échancrure, ce tracé de foi en cette roche «des embruns de bord de mer», je vais loin dans la paroi, je suis homme vif de ma race allant sur roche puis dans,; creusant l’effigie animale sous hypnose, ainsi fait beuglant et pleurant, etc, lmon nom est le nom d’emprunt à déposer tel quel sur pierre de taille (tombale) etc, et, cela fait, nous pazssons, trouons, découvrons le pot aux roses : je suis homme des cavernes, je suis cet homme, cette femme des cavernes, je suis animal des cavernes, je suis bete-moot des cavernes enfouies dans kla terre, je suis un homme des cavernes, je suis l’homme des cavernes, je suis homme et l’homme des cavernes, je vais et je viens en ces contrées de type pariétales, du genre rupestre, genre en soi pour un homme-femme tout-toute commùe moi, qui va se poser sur la roche, nom d’emprunt sur stèle mortuaire, don du ciel, ouvrage ciselé au burin de pierre, je suis homme au tracé votif, vive soi pour une éternité de roche ! allons sur la pierre ! jetons nous ! couchons nous sur elle ! je cherche une voie à même la roche du temps, je cherche une voie profonde, un trou vif, une armature, un chenal, une ouverture belle, je vais et je viens en roche rude, je suis homme du temps qui file fisza sur roche des temps alloués, je suis cet homme au sang chaud, vif l’éclair, homme femme détaché, qui va sur roche chercher sa pitance, vive la roche pour cette cause ! et ainsi faisant (entrant) je m’insinue, je m(‘infiltre, je m’enchaîne au pas des aurochs, je vzais mon chemin de bure, je cjherche à passer, je traverse, je suis dans le temps de la roche pleine, je vais mon chemin d’accès vers une sorte d’échancrure à même la paroi, fssure, trou comme on voudrait etc, je suis n u, homme betes qui, en lévitation, entrte et traverse, je suis cezt homme-bête de la roche dure, j’entre en roche comme en religion, les mots ont sur moi l’attrait de la rage et c’est ainsi que je me vois entrer fissa en cette roche dure d’une voie d’homme, je suis homme au pas mesuré, j’entre en roche vivant, mon sang est l’ombre portée sur la roche des temps alloués, je suyis cet homme doux au chant nuptial en,trant en religion aurignacienne : aurochs, et ce faisant (entrant) je m’allonge et vois autour de moi (qui me frolent) betes de joie, massives, tonitruantes, impactant la dalle, etc, je suis cet homme au chant de la terre , qui va son chemin brutal, cherche l’aumone, trouve une voie, se meut en bete de joie ou de rage, va fissa vers ses lendemains, nourrit sa voix d’un chant lointain sortant de lui comme une queue de rat, je cherche une voix qui porte et troue la paroi, je suis homme des temps révolus ou dépourvus de cette mesure qui nous pèse et nous retient à roche dure , je veux tracer ! je suis cet homme au chant de la terre, découvert, qui file vif sur roche des p^rés, vois la bete brouter de contiguuité qui va, qui vous regarde d’un air de deux airs, je suis cet homme au chant pour ainsi dire ddépposé sur roche, comme un don de soi à dame ou sieur «de la Mort en Branche» (etc) et me voilà qui feint d’etre bete, qui me montre couard, qui fait l’idiot, qui pue, etc, mon corps est azinsi offert par la bande passante, à telle paroi de grotte de france, etc, et ce faisant (ou cela fait) je vois sur roche aller ces betes fortes
près de moi, qui me voient toucher la timbale et chyanter en veux tu en voilà (là) des chants d’azur, je syuis homme fol de ma race rosse, je veux croire en moi, jhe veux toucher kle fonds, je veux faire en vrai comme une sorte d’allégeance à la paroi noble des temps alloués à ma vie d’homme-femme de roche dure, je suis cet homme rude au tracé vocal , je vais et je viens à même la roche des temps, je veux passer comme à travers une «chance de rage» et tomber sur pierree , et tomber sur pierre tomba le, etc, je suis un homme des abris, des parois du monde : deda ns, à l’écart, dsans la roche dure, au fin fond d’une sorte d’abri anti atomique, etc : grotte ! va loin voir où donc je me loge ! viens voir kle caillou ! cherche-moi dsans la paroi ! vois la bete-moi qui broute : animal ! je suis (devenu) bete de rage dodue qui broute en veux-tu en voilà à qui mieux mieux la plaine herbeuse des parois de roche, je vais en cette roche sous le vent vers des embruns lointains, trou d’ombre, ouverture au carré, chant sortant de laterre meuble, caillasse, trou de balle d’une sorte d’ouverture-fermeture, je suis cet homme au trou devant lui, qui le suit, don d’un homme des praiories, don d’un homme fol, va nu pied, qui vous aide à trouver lma voie menant à cette chose ouverte lumineuse qui vous tend les bras : la mort est voie d’accvès, de fait, à une parade,; je vois cette chose devant moi, je suis cet homme au cou allongé qui cherche vif et coute que coûte à voir le plus et à comprendre au maximum ce qui donc se trame en cette rochge rude et dure d’un cheval de troie du coup pariétal pour le dire ainsi, je suis armé d’un courage d’acier ! je chezrche à comp^rendre ! quoi donc est la mort ? que est donc la mort en ces parages ? qui peut dire à me ? qui saura dire à me ce qui est ? qui sait dire à me ce qyui est de la mort en branche ? je veux comprendre et découvrir ! je veux découvrir et comprendre ! je veux comprendre et découvrir ! je veux découvrir et comprendre ! je veux comprendre et découvrir ! je veus découvrir et comprendre le plus et le moins de la roche dure ! je suis homme-dur de la roche vive ! va nu pied sur champ et pré de la paroi riche, richement ornée par x ou y, hommes des cavernes, femmes des cavernes, et autres etres des cavernes, je m’enfonce en roche (la tete la p^remière comme un nouveau né) : je suis homme né à pareille fete praioriale ... en intrapariétal ! je suis cet homme au sang de veau, qui fonce en roche à la recherche de la Vérité donnée des joies rupestres, fgonce que tu fonceras à) la recherche de la vérité ! je veux comprendre ce qui est , je veux le comprendre, je veux savoir ! je veux qu’on me dise, je vois voir, je veux savoir où aller , je veux comprendre ce qui est, je veux voir les choses de visu, je veux savoir ce que la mort est et recèle en termes de données terrestres de base, qui est qui en l’occurence, etc, je veux comprendre le pourquoi des choses, les choses de rage, le commun, la voix de l’homme ensablé, les paroles crues par la bande, les paroles crues de l’invective, de l’insulte à son supérieur (!), etc, ma chance : la trouver ou bien ... la trouer ? qui troue quoi en définitive ? qui troue ? qui trouve ? squi cherc he ? squi cherche en cette roche du temps le passage savant ? je veux savoir (une fois n’est pas coutume) ce qui est de pareille roche des temps: dedans ! je suis passé en quelque sorte sous hypnose (pour le dire vite) et vois là-bas (roche)
les embruns de bord de mer,
où vais je si vite ? où je vais qui me tend les bras ? qui me tend les bras ? que sont ces bras ? bras de mer ? bras de quoi ? bra des chants des roches dures ? hum ! ou bien quoi ? car qui ? qui sait quoi ? je cherche à comprendre le pot aux roses, le comprendre vif ou bien lke soulever et, du coup, comme le découvrir ou bien comment car lke pot est en vrai cet objet de la roche aux attraits, il semblerait qu’un pot pareil ait (ait en lui) mille attraoits à faire valoir par la bande : oui ! or , vboici par ailleurs ce qui est : je vais sur roche dans le sang
, je suis moi m^eme découvert, je suis hooome des temps découvert en roche : sang filant comme fleuve d’eau vive, je cherche courant, je cherche le savoir vital, je veux entrer dans la roche du temps (déployé) pour l’éternité et ne plus sombrer ou capituler ! nommons la chose rude
de son n om de bure = mon nom ! car, le nom est percé comme un panier, il s’agit d’une sorte de chance à trouver-trouer par la bande pour soi et pourr en soi la bete montante, je veux croire en ma bonne étoile, je suis cet homme au chant menaçant, qui cher che une issue dans cette rochge ...
aux attraits de robe, au fins sacrements, aux
entrés multiples et variées, au chant des prairies et des prés dormants, car, je suis l’homme des pârois de grotte, je traverse la paroi du monde, je m’immisqce nonchalamment à travers elle par mon nom, mon nom est cette chose de la roche dure à devoir comprendre en tant que dire pour une immixtion : écarteur de rage, etc, je ne veux et ne sais vouloir, je veux et ne sais de quoio, je le veux de quoi ne le sais vraiment en cette paroi = je suyis ! or voilà ce qui est : je suis ombre-homme de la roche des tourments du monde (il y en a) et cela est ainsi nque je vis sur roche mes affaires d’homme... tourmenté et fatigué, las des choses rosses, etc, la vie est une gageure ou sorte de gageure tourmentante on le sait : une plaie ! la vie = plaie ! la vie est rosse pour quiconque on sait cela ! je suis homme au chant sortant de moi comme une bête en rut , et cela est ainsi sur roche, cxe chant plein comme une en,vie pressante ! je ne veux ne suis ne vais ne va ne chante ici pour qsui pour rien ! car : MON NOM est gravé ainsi, avec en son milieu la fente, la fissure, cet écartement dentaire, ce choix de rude monture etc, je vais et je viens dans la roche du temps à la recherche d’une voie d’accèes pour un passage «fol» de riches aventures ... ou comment sinon ? car me voici là qui cherche ouverture ! je la cherche ! je veux passszr ! je veux pouvoir passer ! je veux trépasser ou sinon passer ! je veux faire cette chose, d’une sorte de passage-traversée à travers la bande pariéto-frontale, comme un nouveau n é que je serais ! je veux traverser cette chose et passer le fil ! je (moi) suis là, ce mùonsioeur de robe, ah la voilà, qui passe la tete première entre deux piliers et cherche l’air de toutes ses forces ! vif ! car, me voicii là comme au premier jour , qui passe tete et corps par une faille membraneuse, me voici donc lové dans la roche (enfin vif) qui me donne à voir tant cxde betes alentour qui paissent placidement et me lorgnent de leur oeil vitrreux et intrigué, car, mon nom gravé dit sa chose sur rocghe du monde, il s’agit d’une (sorte de) effigie-vérité , vérité des vérités, gravée sur paroi par homme (femme) des cavernes (on sait tout
cela) : l’art d’^tre son propre père puis grand père etc! je suis homme des prés qui chante à tue tete (ici même) son chant cghoral, frontal,
qui va sur roche le chantezr sous des vivats fortuits,
je suis homme de la roche rude du temps dépensé, mon nom est le nom que mes parents (ensemble ?) m’ont donné comme un don de roche, il s’agit de comp^rendre la vie à l’aune de ce nom donné comme pour l’éternité, il s’agit d’un om de roche : vive la vie et ses tourments tracés à même la paroi du mobnde , car , le monde est rond (tout rond) de son infortune, il s’agit d’une boule de feu, ça gratte aux entournures, cela est vivant comme une plaie ouverte grouillant, etc, je suis sur la terre mon nom dép^lacé l’homme de la roche rude, je veux ... toucgher le sang ! car : je (= me) suis cet homme (le) qui va sur la roche (lent) son pas chaloupé (ici même) vers des directions qui demandent encore à être précisées , etc, car, mon nom gravé sur rocxhe est un nom donné comme par la bande (de chaque côté) et n’explique rien ou bien peu de ce qui se trame en cette roche des attraits de bure ! il s’agit de sexe ? d’accouplzament monacal ? de quoi ? nous cherchons ensemble une vérité, nous voulons savoir ce qui est en cette zone rude des attreaits de roche corporelle , ce qui est = ce qui se voit mais pas que ! je veux toucher le corps en dur de la parole douce ! je veux toucher ombre ici d’une femme de vie c,ourageuse, vive et simple! je veux chercher cette parole dans le sang ! je suis cet homme aux plaisirs marqués ! je v eux toucher la roche du temps et percer ou comme percer l’hymen d’icelui en guise d’entrée en matière ! je suis homme des temps couverts ! je suis cet homme en transe ouvrant en quelque sorte la paroi, et entrant ! je syuis en cette roche dans le sang ... d’une rage de vie-courage, mon corps est coeur de rage et file à tout va en cette roche toute animale ! je cherche une vie à louer et à monter ! je regarde ce qui eswt en cette roche des temps dépensés et que vois je ? l’ombre d’une fe:mme, l’ombre d’un homme, une sorte (cannibale) de paroi géante quyi me mord ou cherche à cela faire , à faire cette chose d’une sorte à mon encontre de morsure dsans le vif de ma chair tendre ! je suis l’homme et la femme des prés, je veux pas sombrer ! ne veux pâs somb rer ! ne le veux jamais ! ne veux pas sombrer dans paroi des prés ! je ne le ! car, mon nom est à présent gravé dans la roche, je sais cette chose, cette cxhose est avérée, existe bel et bien et me voilà ainsi qui voit la chose dans le temps soit dans le temps qui m’est donné, en vrai, pour entrer , pour traverser et toucher les choses, rudes (dures), des temps tourmentés en icelle, je veux toucher en elle (paroi) le sang de laplaie, de la plaie des choses ! joue percée vois tu ! car il s’agit (toujours et encore) xde cette même chose, d’une sorte de «queue d’homme» sortant de la bouche et per çant la roche en veux tu en voilà comme une feuille de papier ! je suis l’homme des temps passés, je serais cet homme : l’aurignacien, qui, en lévitation, sur roche, tracerait son nom à) m^$eme la paroi, tracerait que tu traceras icelle roche dure, au cgharbon de bois ou autrement mais véritablement et non point dans son rêve ou dans des songes menaçants, etc, je serais cet homme traçant nom (bete) sur la roche, mots de roche au carré, multipliant les formes vives pouvant faire accroire à de la vraie vie de fortune ! je (moi) suis (homme) le (chant) chant de vie dans ! ou pas ? je serais ? car me voixci mort ? je cherche ! je cherche à savoir qui suis je : le cheval ? le bison ? le chameau ? la chamelle ? la bisonne ? la chevale ? l’antilope ? l’antilop ? le comment le mùammouth ? le quoi d’autre en la matière ? car, je suis surr terre qui trace le nom de la bete vive, pis aller au champ de blé, etc, je cherche vers elle (paroi) et trouve l’entrée où passer (par latranse) et une fois entré en elle je compreznds les choses, crument, véritablement, ces choses comme quoi la vie sur terre est cette sorte d'épopée de rage à supporter, nous voulons comprendre les sens et aller plus loin dans les connaissqances de base, nbous ne sommes pas seuls ni seules à vouloir savoir, nous essayons de savoir, bnousessayons ensemble de co=mprendre les données du monde ce qu’elles sont pour nous et ce qu’elles recèlent en termes de vérités à signaler et à donner à qyui de droit ici parl a bande ou pas mais géné reusement et volontairement, afin de plkaire ! car le mal est fait (la douleur de latra nchée) et c’est ainsi que nous devons comprtendre à présent ce qui est en cette roche (la roche des temps) qui nous regarde, quyi nous montre la voie à swyuivre par où passer, je comprends les choses du monde, je suis l’homme des attraits de bure et file fissa à travers la lande en tant que chevreuil («bambi») qui va là à la recherche de son âme-soeur, je suis hombre-ombre, homme des pareois gravées (art) pour la bonne cause (je) en tant que telle : ce moi-je de rage rude (à comprendre ... au son du pipeau de la roche) !je veux toucher ici la roche dure , je la veux pour moi et seulement, ou comment sinon ? dans le paertage ? certainement ! je suis celui là qui va, en roche, tracer son tourment de bure animalière = cette cghose sur soi xdéposée comme une peau de bete, je découvre avec vous le pot aux roses, je ne suis pas là , je suis là et pas là, je ne suis pas là, je suis ombre portée pâr la ba,nde (pariétale) à toi à moi, et dans cet entre-xdeux je vais, m’immisçant à la va vite, trouvant (en chemin) de quoi me sustenter, et ce faisant gagnant du terrain , je suis aurignacien de race-rage, néandertalien de souche, vivant à même la tezrre meuble, sous le wsoleil exactement, chassant le buffle, l’aurochs, l’ours, le tigre et lma panthère, le lapin de gharenne, je m’ap^pelle de mon n om d’emprunt ... comme une betee ! je suis homme dur de la roche dure des temps durs d’une vie du dur ... au passage, des dures contraintes ! je ne suis que ça ! nhe suis pas autre chose que ça ! je veux aller ainsi en cette roche rude découvrir (de fait) les membnranes des passabges à vif, et pour cela ... je m’offrre tel quel, nu comme un ver, assoupi pour ainsi dire (en vérité : sous emprise)) et me voilà qui apparait dès lors comme dans la manche ! je me vois toucher le sol et décoller ! je me vois décoller du sol ! je me vois toucher la timbale des parois de roche ! je me vois traverser la roche ! je me vois traverser la paroi la tête la preremière ! je me vois traverser vivement la roche des embruns de nacre ! ces contrées fugaces etc! je suis l’homme traversant la roche rude ! je suis cet homme aux envies de rage rude ! je suiis cet hommme, ce (hommùe) qui, etc, je suis lui le , je suis celui -là qui va, dans la roche, à la recherche d’une voix, d’un chant de bure, etc, je vais ainsi (en roche des temps) à la recherche d’un chant ... sourdant de telle ou telle entrée dans la matière, je veuc comprendre le pourquoi des choses rosses de la terre dure ! qui saura ? qui dira le fin mot de ta rage ? qui pourra me renseigner cvonvenablement et corrrrectement et vivement et avec les mots qui s’imposebnt (fissa) par la bande , qui ? je cherche assidument cette personne, et ce chant des ombres ! car ici la voie (pariétale en diable) est mienne par le sang qui va en mes veinews (de rage !) de passage, etc, et je suis ainsi, à vouloir savoir de quoi ce sang est-il l’objjet, que doit on penser de ce san,g coulé, de cette offrra,nde sur les prés d’une paroi dure temporelle , que ? quoi ? ou comment ? ou qui ? qui dit quoi en cette voix ? dans ?
je cherche !
je cherche les mots de la joie d’être qui pussent me donner de quoi nourrir mza gouverne à bon escient et à bon droit , car je suis cvet homme aux tracés pariétaux (animaliers) cherchant à traverser la roche , à se mettre à l’abri du temps, etc, je suis cet homme des embruns cherchant pitance dans la roche dé»couverte, je veux croire en ma bonne étoile dans le firmament et touchger latimbale ! je suis hom mme au coeur d’azur (!) dépourvu de rage ... un temps, mais pas longtemps (systole/ diastole) , et voilà le pot aux roses : je vais et je viens ... dans ce tourment d’une voix double, etc, je suis cettte b ete de rage dépourvue de sang (parfois) et d’autres fois cet homme déposant la bete saigna nte sur la table des données de base, je suis homme-bête de la foi dans l’ombre, je cherche à me passezr pour ainsi dire de la cxhose rude, commùebnt faire ? je suis celui là qui veut, ou qui voudrait savoir, qui de quoi en luyi se trame en tant que tel, ou comment, ou quoi de quyi, car je suis l’homme ici de la rochge perdue au fin fond d’une grotte perdue au fin fond d’un pa ys perdu, etc, je cherche vérité traçante naissante, je veux comprtendre les données qui sezraient ceklles ô combien qui expliqueraient pourquyoi je est précisément cette personne donnant le la ou ce la musical à une sphère ! je cherche à comprtendre le pourquoi des choses musicales, je voudrais comprendre et toucher, et du même coup savoir, et sachant aller, et allant filer, et filant brûul:er, et brûlant coucher, sur lma roche, le nom véritable de ma destinéec, destinée par(iétale, et non point dès lors ce nom d’emprunt dont je suis ou serais accoutré depuis ma naisqance (bure de pa roi) pour ma misère ou comment sinon: pour la joie de me savoir viva nt ? ou comment ? pour mon malhezur ? je cherche ! je suisq ici cet ho:mme des prés qui , avec ardeur et une volonté quyi est là affichée,, va, chaerchant sur roche le tracé,
le tracé adéquat, la bonne chose,
le vif du sujet, etc, je dessine la bete ainsi soit à main levée (hypnose) et cette chose dessinée est le n,om que l’on m’a, en vrai, donné d’emblée (à ma naissance) par la b ande, ce nom «de la bnande» à dire vrai, ce raccroc, non : ce raccrochement à la bande, ou commezn,t ? attacghement ? fortitude ? je cherchje devant, je vois devant moi le présent donné, je le prends au fur et à mesure de mon avancée sur roche dans le temps (une nourriture : donnée-denrée) et prenant la chose (engloutissemeng) je me loge ainsi dans une marche vive dép^loyée, je file, j’(avance, je prends au fur et à mesure les données données, je me noiurris d’elles et trace, sur paroi, le dessin de cette ava,ncée animale : aurochs busqués ! sorte de cheval sur pied de cavalcade, etc, je suis celui là quyi (a rtistiquemùen,t = volontairement = fidèlement) dit le nom des choses à même la roche : le cheval, le renne, le bison, le buffle, etc, et cela à foison, moultes et moultes fois, pour la bonne cause (la survie du genre) etc, je vais sur roche à la recherche de la vérité, je veux comprenxdre ce qui est qui ici se tramerait sous mes yeux hagards, qui dit quoi dans cette habit de bure ? je vois la
chose ici se dessiner sous mes yeux hagardsz, je la vois qui se dessine seule pour ain si dire, je vois cette chose se dessiner seule sous mes yeux, à travers mon corps, moi, ma main, mes mains, etc, à travers mpoi se dessine le corps de la bête rosse, ce cheval de cava lcade (par exemple) ou cettt oiseau de pied, ce petit volatile agile, etc, je suis l’homme aux traits de roche, qui chante à tout va, qui pelote la roche vif, cherche faille etc, et donne son om par la bande pour (vraiment ?) l’eternité, soit l’éternité pariétale des roches ou sinon pour un temps = un temps particulier qui est lme temps de la survie des roches (etc) : cela est ainsi , et c’est ainsi que nous (nous deux : toi et moi, elle et moi) nous l’envisageons, elle et moi = elle, la belle, et moi, le sang, kle san,g sur la table, le sang sanguinolant dégoulinant etc sur tyable, cette chose rouge -rosse, qui est cette cxghose en soi qui te,nd à vouloir être en vrai, sur paroi, comme une vérité ta ngible et fiable,; je veux croire en cette chose d’une sorte de paroi de roche rude, qui serait, pour ainsi dire, celle... des zmbruns de bord de mer ... mais pas que, qyui seraitt aussi une sorte de paroi mobile, qu’on peut déplacer, qyui est la paroi de la chose rude, qui est pzaroi du monde, l’effigie du moins, la
pari-ole déposée à meme le monde, cette v érité»»»»» de la réalité des choses, je voois cette chose devant moi, j’absorbe, je prends, je prends continuement
, j’absorbe au fur et à mesure = je gobe, j’absorbe et gobe en continue = je traverse, j’entre dans le vif du vmonde adjacent, je suis «bouche» ouverte grand , je suis la vbouche qui absorbe en grand le monde devant soi qui s’offre comme un présent, je suis le preneur des choses pour mon sang de rochje, je suis celui qui prend continuellement l’air et les choses du temps présent, de ce présent déposé à mes pieds, etcx, je veux comp^rendre cette xchose d’une sorte d’absorption du monde continuement, cette chose ici d’une sorte d’ezngloutissement (ourp) du monde présent, du don (à soi) fait par déité de rocghe xdure menaçante (ou pas) mais bien présente «devant» soi qui va , qui allons, sur roche son ou nos chemins de ronde terrestre, il est ainsi que nous le savons ! nous savons cette chose ici d’une sorte d’embardée vive, pleine, trempée, qui fouille dans la roche un wsemblant de vérité votive, si possible, et tente d’en extraire une sorte de «quintesse,nce nativ e», voilà le hic ! et voilà pourquoi je m’»incline deva nt la roche !
je suis homme des embruns, homme du peu de foi dans la roche ou com:ment , suiis-je croyant en cette roche ... des abois sourd ? non ! ou oui ? non ! ... ou si ? ou peut-être oui à l’occasion ! car quoi, je suis un homme «dépensé «, je suis l’homme traversé dépensé ! je suis traversé ! nous sommes traversé ! je suis travezrsé ! tu es traversé ! nous sommes traversés ! par des milliers et des milliers de choses en suspension dsans l’air, l'air de la grootte, auusi des choses de type virus etc, mais de tant d’autres, mots de rage au débotté, colères sourdes, vzent astral, colères des intimidés, chants des plaines, soupirs, vivacités sexuellkes tangibles dépourvues de genrre, etc, nbouys voulopns comprendre ces passages-là à travers la lande et aussi ces passages à travers notre corps, corps de base, bnous voulons comprenxdre ce qui est ici ainsi qui va en quelque sorte setramant dxans la roche toute ornementée, nous vcoulons toucher la chose pour soi,; pour sqon effiçgie et sa gouverne, car je suis (ici) cet homme , aux printemps donnés par une bande rouge, je veux croire en ma bonne é&toile, en moi la foi est incxluse comme il se doit cvar je dis des choses «motivées» et comme de plain pied, et voilà de quoi il en retourne, nous sommes soumis à des envies de rage pressantes, nous voulons comp^rendre les données qui vont comme à creuser la roche , qui sont en roche comme logées ou comment ? je veux pousser loin le ... ou plutôt la, recgherche, ou même les recherches, car , je suis friand ! je suis lo’hommùe -femme des parois, qui cherche le et la, c’est-à-dire : le pot aux roses et la vérité, c’est ébgal, et cependant c’est différent, car si le est le, la est la, or voilà : le = la en certaines occases on le voit ! on sait cela ! on le voit ! on veut toucher en vérité ! on veut se toucher ! on veut toucher la plaie de la roche en sang (tourmenbts) à même la roche frooiide , nouys sommes deux pour faire ainsi que ce passage en soi soit effectif et puiisse nous tenir en vie, nous absorbons des choses de poids, nous sommes qui absorbons mille et une choses de poids moléculairews bas, de poids bas de molécules, de bas poids moléculaire etc, nous preznons ! le sang se nourrit en ous de mille effluves , diversement réparties à m^$eme laterre, etc, que veut-on absorber où nous ayons la main ? nous prenons les cghoses à la va vite tout le temps, nous prenons de force (c’est la vie) tant et tant de choses à la va vite c’est ainsi! engloutissement et poursuite sur paroi du temps (pariétal forcément !) ainsi de suite ! jhe-nous cherchons ensembvle le, or pas facile ! pot aux roses des vérités, il va de soi que cela est tout sauf facile ! je chgercbhe assidument l’entrée dans la matière,je n’arrive pas à me détacher, je voudraios tant pouvoir me détacher, comment pourrais je enfin me détacher de ce pouvoir de rage en soi parolier ou langagier ? en créeant la mesure agraire des données du monde ? en comptant les denrées déposées pour soi dans une sorte de paroi des temps envahis ? en faisant quoi ? je vceux penser la chose à l’aune des tourments de bure existentiels, mais comment ? nous cxherchons
enwemble dans le temps, temps de la roche ici ornementée pour l’occasion, et faisant cela nbous gravitons, bnous bnous approcghons du «mot de la fin» qyi serait le fin mot qui dirait ce vcqui est, ce qui est vraiment, en des tezrmes autres
que ceux que bnous avonjs pour nous pour ainsi dire en magasin (mémoire d’un apprentissage), etc, mais comment savoir ou connaitte (apprendxre) ces mots (neufs) qui nous diraient finalement ce qui, en vérité vraie, se trame «depuis le début» ? notre envie est pleine, forte, envahissante ! je-nous voulons, merdum ! pas qu’un peu ! je-nous voulons à mort ! c’est à dire à la vie à la mort = dans un mouvement pendulaire, je veux ! et, voilà pourquoi nous sommes ensemvbkle sur ce chemin là de la roche (dure) des temps, nous gravons des betes de poids (qui pèsent, qyui en imposent, qui font office) et voilà pourquyoi nous cherchons ensembvle à savoir ce qui, en cette occasion d’une sorte d'entrée dans la matière sourdxe, swe trame ou se tramerait en termes d’oraison funèbre, de recueil de donnéesq, de tourments dénoncés, d’avalisation temporelle etc, nous vou:lons comprendre ensemble ce qui est et ce qui n’est pas, bnous voulons aller dans le wsa ng (le nôtre) à la rechgerche du tourment (pour le coup) de ba se, quel est il au juste , et cela bien sûr (encore une fois) ensemnbble , main xans la main, enlacés comme jamais, pris dans latourmente d’un accouplzement furieux, etc, je cherche le je ... de la chose rude ! quoi est-il ? je est le chantre , ok, mais quoi d’autre ? en soi : je est chantre on le voit, il pérore de toute son autorité langagière (intrinséquement déposée) et voilà pôurquoi je est l’ombre d’une chance aévalée, avalée = mangée, je le sais, je sais cette cghose, nous savons cettye cxhose comme quoi le je de’ l’homme (pérorant) est sous l’influence majeure d’une langue intrinséquement autoritaire et mal goupillée, on sait cela, bnous voyons cela, nous voyons cette chose comme quyoi le monde est la paroi, et comme quoi la paroi est le tempsq, et le temps est kle tourment qyui sera déroulé ou déployé comme présent donné par la bande, et à (coute que coute et par dxevers soi) absorber ou emmagasinner, continuement, tout le temps !je suis homme de bure, je cgherche la fortune dans le sang, je m’accroche au temps de laroche,
hje suis fourbu, je souffre les pierres un temps, je suis homme des tourmùents rageurs, des betes en soi (en, moi) qui gravitent, qui sont betes de roche des prés, caillassant mon anttre de leurs pics acéréeé s et cgherchant issue par la bannde, etc, que suis je ? où vais je ? en quelle contrée dois je figurer et la ramener ? car, je la ramène par devers moi, je suis ... qui parle d’autorité l;e langa ge, narquois, de laroche des temps déroulés comme une nappe ou un tapis volant, un chemin tracé, une vcoie lactée etxc, je suis cet homme à larechezrche de la vérité, sur paroi de rocghe dure, traçant au burin les données de base x’une vie terrestre, je veux comprendre la chose nue, je n e veux pazs d’une chose affublée par quoi que ce soit ! mon nom ! ah le nom ! je suis dépléacé ! je vois ... les mots-betes ga mbader sur la roche des prés d’une grotte de france alllouée à une vie d’ho:mme ou de fzemme , je m’incline deva nt loa paroi, je sais que je triche ! je ne donne pas cde moi ce que Mort (la ...) ... attenxdrait xde moi .... comme de qui que ce soit ! nous savons cela (peut-être) : l’art de la fugue ! l’art de la fuyite ... sans fuir ! de la fugue ... san s réellement fuguer ! etc , ou comment le dire ? nous devons traverser les temps donnés donnés par une bande, et, ces tempstravezrsés, aller de consqerve vers cet avenir de bras donnés et tendus, tendus fdonnés, etc, qui sont ou seraieznt c eux là que nous esp^érions au sein d’une langue, nous pensons que nous devons co:=p^rendre les données de base avec ce langage vo cal, oral, ces mots et cette grammaire etc, alors m^$eme que lesmots nousd trompênt, dès lors : comment faire ? jouer le jeu du mot, qui advient de force, et à treavers lui toucxher à vif la roche du temps, et là esdsayer de comp^rtendre, tirer soon épingle du jeu etc ? chercher à travers son prop^re lzangage une voie d’accès souterraine (entrée de grotte) qyi sezrait comme de juste une sorte d’in-quelque chose, excavation , trou de roche temporelle, etc ? trouver dans le verbe non pas sa
pênsée en propre (bah !) mais plutot cette sorte de pen sée «de roche», dite «de roche», quyi serait la voix d’un au-delà ou d’un en-deça de la roche rude, voix ou voie on l’a comp^ris , voix-voie qui dirait le pourquoi du comment ce cheminement ! or commen,t s’y prendre ? comment faire pour trouver la voix (la sienne ?) et la voie ( la sienne de même ) ? commùent ?. en touchant la plaie on le sait ! en touchant vite fait la plaie dans le temp)s , ou laplaie du temps, lke temps de la plaie, etc, la plaie du temps est plaie des tourments ... sur roche dure, bnous vcoulons comprendre ensemble les données rageuses des temps déroulés, des temps possédés, nous voulopns comp^rendre ensemble les données de base, les choses rudes, les vives couleurs des envois de base ... pariétaux , soit les b etes pour ainsib dire, betes de poids soupesant kla vie ou comment ? betesq de poids ... sur base de vie pleine, betes rosses sous la chose ? je cherche ! je veux dire ce qui est mais ce n’est pas vfacile ! ca r, les mots ont leur propres chemins qui m»’emportent dans un sac de jute vide ! que dire , ? la vie de la roche est la vie rude des emprunts , la vie est cette (rude) paroi devant soi qui semble nous tendre les bras voire nous appeler (de notre nom ?) et nous interpeller, nous interpeller vivement, mais pourqyuoi ? les bras dev nt soi sont là, ils sont ouverts, nous a bsorbons ce que la vie en continu bnous donne en fait de denrées à prendre (fissa) par la bande (de gré ou de fgorce, pour le coup) à même la paroi du temps (aurignacienne, magdalénienne, erythréenne, etc) , nous voulonsq sqavoir kle fin mot d’une aventure mais comment savoir ? nous vpulons toucher les choses du mùonde en vrai (paroi céleste) et pour cela tenter le diable en osant le V erbe (troublé) dans nos b ouches enfin ouvertes sur kl’adversité ! les mots sont des ép^ées et des étais : xdes choses d'un pic dans une rochge rude ! nous voyons sous nos yeux s’ouvrir une roche (pic du verbe alacre) et nous nous infiltrons en cette alacrité dite pariéto-frontale ! pleurons ! à présenbt pleurons , ou crions ! le temps nous sourit ! il erst temps pour nous de toucher la cghose, et de traverser x et x de ces données vives déposées sur pied au dxevant de nous, de notre gouverne ! nous voulons qzavoir ! nous voulons comprendre ! nous vouylons aller loin sur roche ! nous ne voulons pas etre dépossédé d’un savoir de base profond et tendu comme un arc, qui serait encore (et toujours) tendu comme l’arc de la vie, de la vie sur terre (donnée brute et vive à la racine dela vie terrestre): nous voulons ensembvle conserver la vie (vive) des temps alloués, rester soudés dans une sorte de chose rude, de donnée rapide mais précise, -un conglomérat ? une antienne ? un choeur ? une réunificatio copulaire ? nous voulons chercher ensemble, nous ne voulons pas nous désunir ! nous voulons ensemble cher cher les données qui seraient premières et nous octrooieraient le pouvoir partagé de pouvoir alller pour ainsi dire dans les p^rofo,ndeurs de terre-mère sans flancher ni succomber ! nous voulons aller en cette roche des prés à la recherche d’une vérité qui put nous donner la hjoie attendue par en bnous la bete vive (une armée de betes en vérité) et voilà ce qui est sur roche et en , voilà donc ce qui est en roche, et sur , c’est àdire cette cxjose d’une sortye de retombée sur le carreau d’une paroi du monde ensevelie, cachée sous des monceazux de débris de toutes sortes, de cailloux dépôsés par tels p;lissements géollogiques des temps ou comment, car voilà : nous sommes hommes, noyus sommes femmes, nousq avons pour nous le pouvoir d’entrer ensemble (seulement ensembvle) dedans la matière du temps, et là : naviguer, naviguer à volonté, «e la nave va», comme deux qui seraient chahutés par la vague mais ne cèderaient en rien sur ce qu’ils / elles auraient en elles / eux comme volontés pures, désirs ancrés, etc, nous vcoulons toucher au sang de la plaie du monde, toucher le vif du sujet, toucher le vif, toucher au pklus vif, nous voulons toucher le vif du sujet, toucher au plus du vif du sujet vif, nous bvoulons toucher le vif de la cxhose rude, nous vopulons toucher et nous infiltrer mais toucher vle vif de la chose rude ou dure, nous voulons toucher au plus vif de la chose rude des temps déroulés, nous avons le temps devant soi comme le déroulé à absorber fissza, et xsans avoir le cghoix, d’une vie de base etc, et là, à travers cela, toucxger ! toucxher le vif ! toucher le vif du sujet , etc! nous vou;lons comptendre c ette cxhjose en soi
d’une roche de paroi ouverte comme une sorte de, peut-etre, bouche-plaie,; de bouche de rage, etc, nous nous infiltrons dans lafaille ! nous voulons nous infiltrer dans cette faille rude (dure) dxes temp)s alloués et toucgher cette humidité, cette eau de buve, ce coin donné par la b an,de : ouverture centralisée, caroosse d’ore, nous perlons ! nous pleurons ! bnous pissons de toutes parts nos eaux de chance, nous ne voulons pas céder à la mort étendue sur roche ! nous voulons tenir à la faille , nous acoquyiner à icelle et doubler nos voix de c elles qui sur roche poussent leurs accords de paroles vives, de chants nuptiaux, de pépiements divezrs et auttrescxgrognements de moments de ruts, nous voulons toucher au fond de la roche l’ouverture humide (bord de mer) d’un e sorte d’entrée en matière (poreuse)ou d’entrée dans la matière ! car, nous sqommes deux, nous sommes à deux pour
ce faire, nbous sommes deux qui voulons , nous sommes deux qui chercho,ns ensembvle à toucher du doigt les donn,ées les plus radicales, ou les plus primùaires, ou les plus anciennes, les données natives sur roche, beautés lunaires, ombres portées sur roche rude, ombres dépôsées, etc, nous sommes eznsemble en c ette roche rude deux oiseaux (oiseaux de fortune) qui pépientb leurs tourments «nidico:les», qui vont (de fait) sur roche nicher et se nicher, qui sont ombres sur la roche rude,
des temps dépl;oyés par la bande, n
ous voulons aller dans la roche rude, nous ne voulons pazs nous défiler, bnous avons à tracer des noms à main levée à même la roche, nous sommesz deux quyi devons aller, en ette roche des apprêts, tracer des noms de betes de poids , de betes massives et lourdes «qui pûissent le faire» fortement, granxdement , sur la place pour a insi dire soit aux yeux de qui xde droit , nous voul;ons i:mposer bnotre présence vive sur la place, la donner en guise d’écha nge (xde libre échange) envers cette chose déposée wsur ce cdevant de soi, donner de sa voix ! je veux dire ce qui est ! je veux dire haut ce qui est ici ! je veux pouvoir donner, ici, de ma voix ! je veux pouvoir de ma ma voix, ici, donner ! de la voix donner, en termes d’échange et de tributs ! je suis homme de lafaille (
pariégtale), femme ouv ezrte aux sang de la roche, je m’applique ! je crie ette chance x’etre ! je crie la chance ds’etre en roche dure l’enfant xde la voix qui sourd d’on ne sait où aller ! je crache rude ! je tombe fleur ! j’essuie mes larmes ! je suisz dans la transe du temps pariétal ! ombre portée ou jetée ! fleur du pavé ! je lm’infiltre, je m’immisce, je v ais dans la roche ! je vais en cette roche des temps alloués et hje rega rde près de moi ce qui est qui va et vient nonchalamùeznt : sont-ce des betes rosses de bon poids bon oeil ? que vois je aller et venir près de moi ? que sont ces betes dessinées ? que sont donc ces betes gravées ? ou suis je ? la grotte est elle pour moi l’antre de la foi dans l’autre langagierrr ? les motsq caracolent et vont se loger sur la rocghe des temps a;lloués ! jke sais voir deva nt ! je vois depuis moi le sang de la plaie, sur roche, qui coule fissza et tache ! je suisq cet homme des parois du monde, paroios saignantes, tourmùentéewq, blessées, troués par le pic de la bande ici an imalière le cas échéant ! je chezrtche à comprendre les données de base qui sont ceklles de la roche meuble, humide, ouverte, quasi gluante, etc, je cherche en cela cette chose de pois, qui saurait me donner des ailes et me porter , car je veuxw voler , je le souhaite, je voudrais, je cherche et j’aspire, je suis l’homme au désir doublé cde volontés vives de vouloir voler, outrer le trait etc, je veux comprendre loin dans la roche, je veuxx tra vezrser la roche, jhe veux entrer da&ns la roche, je veux percer laroche , je veux m(‘immiscer en elle et passser de l’autre côté, je eux aller de l’autre côté, je v eux traverser le dur de la rocghe et ce nb’est pasc simple, mon envie
la plus a ncrée en moi- même est xde travezrser le rocxhge de bout en bout, la matière, le pavé etc, il s’agit pour moi d’une volonté primaire, fortement ancrée ezn moi et c e depuis toujours, je suis l’homme de la roche rude des temps déployés, qui surfe ou comment sur la roche des temps alloués et chezrche à passer à traversq le temps de ce dit déploiement p)ar la bande mais comment cela ? eh bhien a insi : en fichant son pic de verbe saturé à lmême la roche et forçant le trait = poussant ! pousse que je vais pmoussser, a insi fait! nous pousssons la roche au pic frontalier ! nous nous infiltrons dans la durée ! bnous épousons le temps au dit «pic de verbe» accoutumé à pareille roche, traçant sa gageure, etc, nous voul:ons comprendre au plus possible les données de laparoi du tezmps, ces données -racines des temps alloués allouées au tout départ, nbous sommes nbeaucoup, nous sommes nombreux, je ne suis pas seuls, nouys sommes des millions, je me fais petit, nous sommes des millionset des millions qui poussons nos pics de parole rude, acéré, pouvant percer la roche du temps et creuser la tombe des temps impartis à une vie de femme et xd’holmme (sur le tas) : nous cherchons, ensqemble (à touus et toutes), ce qui est, ce qu’il en est, ce qui est sur roche trezmblante, et au delà, au fin fond de la paroi : l’échancrure, car nous sommes tous (des millions) à vouloir déposer nos oeufs,
à même la roche du temps, oiseaux de passage, nous avons pour nous en nous cette cxhance d’eztre des etres en vrai de rage vive, vifs passagers de ce temps ... de roche mobile (elle nous suyit) et voil;à les choses du temps, qui (pour nous) offre sa mainmise sur la roche dure, etc, nousq so:mmes deux (a u moins deux ?) qui fouillons ! nous fouillons laroche des prés à la recherche de la v érité (sur tout et rien) de par le mon de , nous cherchons à comprendre les données les plus lointaibnes, ou profondément cachées, nous cherchons à co:mp^rendre les données les plus profondément cachées, les plus vivement cachées à même la paroi des rocxhes, nous voulons traverser le sas, aller loin en cette roche du monde donné,,, aller loin vers ces b ra s du mon de ouverts à la postérité, etc, nous chercghons à nous ancrer dans la roche, nousq cherchons à épouser le temps naissant de laroche rude, nous ne voulons pas trépassser ! bnous ne voulons pas trépassser ! nbous ne voulons certes pas treépâssser ! nous ne voulons pas treépâssser ! nous ne vou:opns pas trépasser du tout ! nous ne sommes pas à vouloir passer ou trépa sser ! bous voulons vivre la vie des choses rupesqtres à jamais ! oeufs de soi dans le sas de lma roche des temps ! oeufs de son soi n aissant à la roche rude ! notre b ut est ainsi formé qu’il s’affiche et qu’il affiche ses dfonnéesw à même la pa roi du monde souterrain ! je suis l’homme cdes avernes au sang versé, je donne mon nom et ma voix à la bete en moi sura hjouté ! je contiens des chosex et j’en absorbe d’a utres : je suis tuyau ou boyau de travezrsée rude , je suis à treaverser de part en part, je veux de cette traversée de part en part, je veux être tracversé de part en part, je veux être travezrsé dep art en part cvomme un instrument de musiqhe, je vezux deveznir cet instrument, je v eux être tra versé de part en part comme un instrument cde musiquie vocale, je suis cet homme aurignaciezn qui tyraverse la paroi du monde et trace sa voie (sa voix) dans le sas pariétal de la roche des temps, temps offertts (les bras ouverttsq) par la mort (la grande) déployée de tout son long à) même la roche, rude (très) et dure (trop), je vais ainsi en elle (roche ou paroi) à la recherche d’une vérité pour le coup pfrofonde (si tant est) qui (hors les mots) donnerait à mon élan de vie les ailes de ... l’oiseau du paradis, ou celles
d’un cxhardonneret
, ou d’une mésange ou cekles xd’un piivert ou d(une colombe ou bien celle d’un rapacve, d’une buse ou d’un a igle royal, etc, je eux etre l’ombvre sur lma roche dure, ce tracé de bete v ive, ce tracé faisant a ccroire, je v eux cette chose et c eette cxhose je la veux vivace, je veux etre cettte bete-mot sur rocghe du temp^s et ... «pas mourir «,, « veux pas mourir», «v eux pas de lma mort», «je veux pas de la mort pour moi», «je veux pas pour moi de la :mort, je le chante à travers la roche», « 1: je chante mais pas seulement»,
«1 : je chante mais , »
« 2, je repousse en trompant le monde !», je suis l’homme repoussant la :mort ! comment ? pâr l’empreinte ! je pousse la mort au p;lus
lointain possivble de la roche, je la pousse vif afin de l’étourdir : étourdissement facial ! je cherche profond à faire cette chose d’une sorte de repoussement ou comment dire ? je vais en roccche dans le tempsq et pousse que tu pousseras la chose ! je veux faire ainsi que la chose soit ! je veux que la roche saxche ce que la mort eswt ! car la mort eswt l:a parole dite de la mort ! je pousse à qui mieux mieux les choses du temps ! jue poussse vivezment la roche des temps da ns ses reztranchements et chercbhe par la m^$eme à comp^rendre ce qsui est xde tous ces tourments de roche dure, nous voulons savoir ce qui est, ce qui setra me au fin fond de la roche xdu temp)s, nous voul:ons savoir ce qui en vérité xse tra me au plus profond de la roche des temps allouéesq, et pour cela bnous chantons le v ezrbe nacré,, dépôsé sur rocxhe = nous pleurons ! nouqs cvoulonbs co:mprendre le monde, le pourquyoi du monde ! nous voulons cxo=mprtendre ce que c’eswt que la :mort en roche qUI nous tends les bras : que sont-ils ? que sont ces bras en vvérité ? que sont-ils ? que sont ces bras, ces mains ouvertes ?. que sont donc cesq mains ouvezrtes, ces deux mains tendues et offertes ? que sont donc ces deux mains offertes ? que sont ces d’»ux mains ouvertes ? sont-ce des =mainsq ? que sont-elles en termes de vérité vraie ? que sont donc ces deux mains ouvertes : un passage vers un au delà ? un,e sorte de pesage ? une sorte de portage :des mains porteuses ? que sont ces dxeux mains offertes ? que sont elles a u juste ? que sont ces mains données à soi par devers soi ou dezvant soi ou devant soi même ? qui est derrière ? qui y a til derrière ces deux mains ouvertes de va nt soi ? qui se cache derrière ces deux mains ouvezrtes ? qui est derrière ces mains ? à qui ces deux mains offertes (ouvbertes) sont elles ? qui est caché (,?) derrière ces deux mains offertes ? qui se caxche derrière cesz deux mains offertes ? qui xherhe ainsi à se faufiler ? qui se cache en vérité derrière ces deux mains deeva nt soi ouvertes et ofeertes et qui sont celles du présent soit du temps présent ?
et si le temps présent (le temps) étaeit ainsi offezrt ... par des mains d’on ne sait qui, mais qui existezrait bel et bien au sein du monde (il serayt le monde !) !
et si le temps était deux mains offertesq ... par la bande «au-devant» de soi ! et si le temps était deux mains ! et si ces deux mains du présent ... portait le présent du temps ! et si le présent était porté ou comme porté par deux mains ! et si le temps présent était porté ou comme porté par demain ? et si le temp)s du présent au monde était comme porté par ces deux mains du temp)s à venir ? je cherche dans la roche dure, nous cxherchons à deux dans la roche dure , nous sommes à cghercher vaillamment (à deux) dsans la roche dure du temps ! nous sommes deux qui (ensemble) recgherchons des vérités de b ase, des onglets, des vivres, de la nourriture à penser ou macher, etc et cela continuyement , soit au fur et à mesure que nous avançons ensemble dans le temps de nos vies couplées, bnous voulons comprendre ce qui est, ce qui se trame en cette roche des embruns, des paroles votives, des betes tracées, nbous sommes
homme-femmme des cavernes, bnous montons , nous sommes montés, nous montons, nous nous hissons, nous sqommes tout en haut de la grotte enfouie souterraine, bnous sommes en haut à l’intérieur ! nous sommes en lévitation ! nos corps sont hissés en hgabits de betes ! nous sommes comme sous le charme d’une bete de poids en nous qui nous chevauche ou bien qui nous pousse à faire ou bien qui nous venge ! je cherche la voix commode ! je regarde les alentours et que vois-je ? des données de base, rudiments, je touche latimbale, mon corps est nommé, enfin nommé, je suis devenu le dernier, je deviens la roche, je sombre, mon nom eswt mon nom, mon nom eswt mon nom, mon nom est mon nom, mon nom est mùo,n nom, mon nom est enfin mon nom : loopings de roche farfelus, choses de peu en un sein pierreux, choses rudes xde par la texture, déboulonnem,nts ! changements ! montures ! je me hisse haut en lévitation et me voilà qui entre en roche comme en religion : fissure, excavation, pénétration, et au loin les lumières vives des fond de parois
1/9/2021
nous filons ! nous sommes deux (main dans la main) qui filons fissa (dru) vers cette Chose ici (les lointains) qui nous regarde et semble nous interpeller, quoi est-ce ? qu’est-ce ? de quoi s’agit-il ? qui est là derrière qui nous interpezlle ( nous épie ?) ? nous l’ignorons ! nous ne savons pas qui de quoi est là qui semblerait nous «mater» de folie alors même que nous sommes ceux et celles qui vont (tranquillement) leur chemin, sans rien demander sinon cette (donc) tranquillité de base nécessaire à notre bien-être ! alors que dire et que penser ? nous sommes sur lma lande, nous marchons sezrré l’un l’autrte, nous ne nous lâchons pas d’un iota, nous ne voulons pas nous perdre l’un l’autre, nous voulons aller loin en cette lande aux vérités nacrées ou comment ? car, nous sommes deux qui ici nous avançons dans le but (avoué) de nous informer (complètement) sur ce que c’est que cette chose (Chose) des embruns de bord de mer ! nous voulons savoir ! nous voulons mordicus savoir le pot aux roses, ce que c’est que cette affaire d’horizon nacré (perlé ?) qui semble nous «tendre des bras», ou «ses bras» comme de juste : de quoi s’agit-il ? qui est derrière ? qui parle et nous fait paerler ? qui parle ici qui ne cesse d’aller et venir dans la lande en nous ou comment ? on voit bien qu’une chose pense, voire raisonne, parle haut, dit mille et unes choses les unes après les autres, va à se déposer sur table aux dons, etcx, on voit cezla, et pour autant on ne peut se soustraire des apparences, des choses données comme par devers elles, etc, nous sommes pris et prises comme dans une tourmente qyui pousse chacun et chacune à parler (selon son point de vue) à tout un chacun ou chacune de la lande : aurochs prioritairement, avec bisons, rennes, chevaux, ours, etc, nous disons que nous parlons comme une langue de survol, cette langue sortie de nos ventres par le trou de notre bouche (ou jhoue trouée) et voilà ce que cela est à nos yeux : un flux de gare, une touche pique, un fil à la patte, une sorte d’emprise etc, nous voulons comprendre très loin, le plus possible, les données qui sont ou seraient celles qui président ou présideraient à la Chose, cette Chose lointaine (là) qui est cet «espace de logement» pour deux corps enlacés mouvants, je suis l’homme au coeur offrert sur table, comme bete de pasdage, comme celui -là qui cherche à comprendre , à travers le don, je suis cet homme doux des temps avoués, je cherche Vérité de bonne chère ou comment ? victuailles à déposer sur table ? charité ? je suis homme des embruns, homme des passages dans la roche dure, je cherche à comprendre ce qui est en cette roche des temps déployés, je cherche fissa à me colleter à cette vérité native (votive) sous le bras etc, je suis l’homme des cavernes des sous bois, je suis homme-femme des cavernes cachées (enfouies) au sein des sous bois, je suis cet homm-femme au sein des parois, je file à vitesse grand v, je marche auprès des betes rassemblées qui broutent, g ambadent et nous regardent, nbous allons fissa àtravers la lande , dans la direction des lumières embrumées des fonds de roche, nous voulons comprendre cette vérité des choses lointaines : la mort !!!!!!!!!!!! quoi est-ce ? nous ne savons pas ! nous voulons savoir ! nous cherchons fissa des réponses ! nous voulons comprendre loin ce qui est de cette chose qui nous tend les bras ! nous voulons comprendre ce que
c’est ! quoi estce ? quoi la mort est ? nous voulons comprendre, et toucher du doigt la vérité des vérités concernant la mort ce qu’elle eswt ! quoi est elle ? qu’est-elle au juste ? deux bras qui se tendent ? deux bras ouverts ? deux bras offerts ? nous cherchons ensemble (à deux) à comprendre ce que cela (ici : roche) pourrait être au juste en la matière , nous ne savons pas ! nous voulons savoir ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ car nous sommes en vie, nous sommes deux vies qui
chevauchent les plaines rocheuses, qui (ensemble) chevauchons les plaines (ici) de la roche (en intra !) et qui allons ainsi, bon an mal an, à la recherche (sidérale) d’une vérité, vérité de poids à) pouvoir déposer (à plat) dans lma bnalance des choses données-déposées, nous voulons savoir le «fin mot» = le mot de la fin, de la fin des temps, ou sinon ? car quoi ? nous sommes deux ! mille vies en deux ou comment ? nous avons (portons) en nous cette vie «de roche dure», cette vie d’homme des cavernes,; cette vie de rage pariétale , etc, nous cherchons ensemble une compréhension finale = le mot de la fin = la vérité en toutes choses = le pot aux roses = ce qui se doit d’etre dit enfin ! car la vie file sa course, course pa riétale, à travezrs le temps et nous sommes deux qui voulons fissa comprendre +++++++ les raisons qui incombent à, ou comment
? qui sont celles qui président à , ou comment sinon ? nous vou:lons aller loin en cette roche des parois de grotte car, ici «git» la vérité des vérités, nous le subodorons, nous voul;ons comp^rendre +++++++ les données qui seraient premières = primaires = natives = vraies, si tant est ! car, qui sait ? nous ne sommes pas ensemble pour rien, n ous sommes ensemble pour tout ! nous sommes cet ensemble de vie s enlacées qui se permet ainsi en roche une perforation spiralée qui permet l’entrée dans la matière fine des parois de roche embrumée ! nous voulons ! et ce que nous voul;ons est devant nous = ce devant de rage folle = cette insulte déployée comme (sur) une banderole : pissez donc vottre vérité, monsieur du Tonneau pour ainsi dire ! dites-nous ce qu’il en est de la chose dite «Mort», car qui sait quoi de cette chose ? nous sommes qui disons et ce faisant ... nous éloign on,s la mort à bon escient ? nous parlons pour conjurer le sort ? nous parlons par devers nous (=foi) et ce faisant nous a ffrontons la mort à bonne distan,ce ? nous parlons pour combler le trou qui est ce trou de roche dure de la mort à l ‘oeuvre ? qui sait ce qu’il en est ? les mots ont pour finalité de tenir la mort à bonne distance un tempsq ? non ? ou peut-être oui ? ou comment ? les mots ont une fonction par rapport à la mort ? pas sûr de ça à 100 pour 100, mais cherchons ! njous sommes ainsi nous deux à l’intérieur de cette roche, à la recherche d’une vérité, vérité de poids, qui put nous donner de quoi nous retourn er sur notre chgemin et rester en vie mais oublie ! vas-y ! cherche ! essaie donc de compren,dre un chouia de tout ça ! c’r’st balèze ! c’est comme on veut pas ! c’est dingho pour le dire ainsi ! c’est coton cardé ! vas-y ! cça craint du boudin , etc, et voilà pourquoi nous sommes ici sur cette piste (nous deux) qui chertchons à comprendre ensemble le fin mot (le mot fin et le mot de la fin) de cette affaire de mots inculqués, et parmi ces mots celui de «mort» qui semble correspondre à un quelque chose de réel, passage obligé etc, et cependant nous sommes tous deux, toutes deux, comme dubitatifs dubitatives un tant soit peu car cette chose dite est une chose de la roche
dure, de l’homme ou de la femme néanderthalie,n néandertalienne ou aurignacien aurignacienne ou p;us proche de nous et jusqu’à nous, et de ce faiyt nous laisse (cette chose) quelque peu pantois pantoise devant elle ! car enfin, si la mort existe, si elle est, si lmza mort (contenue dans le langage articulé) est une vérité de type entité à part entière a lors pour quoi s’inqyuiéter ? car, nous sommes deux (ici : roche) pour l’affronter ! nous nous teno,ns par la main , nous sommes serrés l’un ou l'une dans l’autre, nous sommes liés par ce lien d’une sorte de pénétration l’un ou l'une l’autre de nos moi secrets ou comment sinon ? nous sommes e,nlacés à bon escient, nbous nous collons serré comme des limaces, nous sommes soudés comme deux «collés de la roche» ! nous voulons comprendre loin =beaucoup = plzein = tout , et pour cela nous nous colloons l’un ou l'une l’autre afin de former cette pique-perce de première, enfin capable de trouer les choses frontales, de la vérité et de la Chose comme quoi nous serions mortels et mrtelles, ou comment dire ici cette chose d’une volonté tenace de perça ge des embruns ? nous vopulons comprendre au plus profond ce qui se trame ! nous voulons au plus profond comprendre ici les choses qui sont et qui nous regardent , nous voulons ensemble (deux !!!!!!!!!!!) comprendre , mille dieux dit-on ! car, nous sommes deux ! car, nous sommes deux ! car, nous sommes deux ! l’aton bien compris ? car, nous sommes deux et dès lors (à deux) nous pouvons cerner un tant soit peu les enjeux qui sont ceux d’une roche dure ouverte sur quoi en définitive sinon sur ce qui est qui nous regarde là, au plus lointain de pareille roche de paroi du monde : aurochs ? ou quel autre bete des apprêts ? nous cherc hons ensemble )à comprendre les données xdu monde à la lumière dela roche transversale, nous voulons comprendre les données du monde du devant : ces mots, qui sont ceux d’une sortie de bouche pâr la bande, sont aussi devant, qui filent ! nous disons = assénons, des faussetés accumulées, strates de paroles vaines ? nous disons et ce faisant nous éloignons la vérité ou (disons) la tenons lointaine, car les mots comblent
Trou de bouche, mzais quoi d’autre à part ? nous voulons savoir ce quyi est, nous voulons comprendre ce qui est, nous voulons cerner ce qui nous attend, nous voulons cerner et piger profond ce qui nous attend, nous voulons comprendre +++++++ ce qui est de ce qui nous attend qui nous tend les bras ! car quelque chose en paroi (aurignacien !) nous tend des bras, qu’on swe le dise ici bas, ou pas ? car, quelque chose icvi bas semble nous tendre deux bras ! semblkerait nous tendre deux bras ! semblerait nous offrir ses bras ou ouvrir ! et quoi ? la mort a des bras ? deux ? la mort a deux bras ? la mort aurait deux bra s qu’elle ouvre devant soi permanemment ? la mort ouvre ses bras devant moi ? lza mort a deux bras ouverts devant moi, ou devant soi, ou a u devant de soi, ou au devant de nous, ou devant nous , est ce cela qui est ou serait ? la mort = cette chose rude des lointains, cette lumière acidulée, ce cri de la roche (guttural et minéeral), ce cri sort des tréfonds de la roche ornementée, la moprt sort (sourd) de roche, elle est contenue da ns la roche des temps déployés (magdaléniens, aurignaciens, etc) et c’est ainsi que nous nous co:mprenons dès lorsq ce que c’est que cette cgose, cette Chose rude des percées de roche rude, etc, nous voulons comprendre les données de base présidant les choses du monde : la mort est une porte, la mort est une vérité, la mort est une ouverture, la mort est une échancrure dans un vêtement de fortune, la mort est embruns (embrumée ?), la mort est une paire de bras ouvertsq , la mort a deux bras ouverts, la mort a des
bras,une bouche, un habit de bure ! la mort est un nom (=un mot);, la mort porte majuscule = la Mort, la mort a sa majuscule qui la suit partout, la mort est là bas, loa mort est là, et pas là , c’est à dire que la mort est là (bas) et pas là (haut ) etc, je cherche = nous chercghons ! je suis nous qui est jhe qui est nous qui est je qui est nous qui est je , etc ! homme femme acharnées dans leurs recherc hes actives, à travvers l’immixtion de roche et l’inscription dans la paroi de leur mobiles (accvouplés) respectifs : corps nus dépployés, dans le temps de la roche dure, nous voul:ons comprendre le plus que nous pouvons et pour ce faire nous gardons la tete froide, nous ne voulons pas nous emballer, nous voulons comp^rtendre ensembvle ce plus de la roche rude, nous nre voulons pas nous défiler mais bien au contrzaire nous colleter aux effluves et autrtes attraits de la vérité vraie = cette chose en soi déposée au xdevant de nous, = cette chose rude comme la mort et qui est la mort ! cette chose dite ! car, la mort est dite avant toute chose , ou pas ? la mort erst cette chose déposée sur roche, voil;à ce que c’est ! un dépôôt sur paroi qyui confine à quoi on ne sait pas ! on cherche ! on veut savoir ! on cherche à comprendre ! la mort est une chose déposée sur roche (hé, plan cadastral ?) et voilà pour quoi nhous entrons en roche (à deux) comme des morts de faim ! car nous sommes curieux de savoir +++, nous n,e voulons pas passer à côté de la vérité ! nous voulons comp^rtendre au plus lointain des profondeurs les données les plus primaires de la vie et de la mort, nous disons des mots mais ces mots nous troublent grandement, nous n’avons pas une confiance absolue dans le sens des mots, nbous ne pensons pas que les mots soient fiables à cent pour cent, nous pensons tout au contraire que les mots ne sont pas fiables à cent pour cent, nous pensons que les mots de rage d’une langue bne sont pas fiables à cent pour cent, et kles autres mots de cette même langue guère davantage ! nous pensons que cette cxhose ici est une chose, ou cette chose, à comprtendre permanemment, comme qyuoi nous disons (avec convictiobn) notrte profonde interrogation quant aux convictions qui seraient ceklles contenues au sein d’une langue de paroi du monde, etc, nous ne voul:ons pas penser autrement ! nous voulons camper sur nos positions ! nous disons avec conviction (!!!!!) notre manque de convictiopn !!!!!! or cela se peut il en vérité ? les mots employés sont des mots ina ttaquables ! car, les mots caracolent de conserve en nbous qui les accueillons commùe des bienfaits lunaires or quoi penser au juste concezrnant l’efficacité du langage ou d’une langue articulé dans l’»édification (ou non) d’une construction sensée et sur laquelle pouvoir tabler ad vitam aeternam! nous pensons que les mots ne sont pas fiables et disant ce
la nous nous contredisons, or la contradiction a nnule le raisonnement, donc : ou raisonnement ou pas raisonnement , et si raisonnement alors ... du balai les contradictions .... dans l’oeuf ! car, nous savons que cela est ainsi que nous avons pour nous en nous une foi ancrée qu’on le veuyille ou non , et cela tant qu’en nous les mots caracolent au sein de phrases échafaudées par notre gouverne ! nous savons cela comme quoi les mots ... caracolent de conserve en nous, qui kles faisons sourdre fissa par cette bouche ou trou en nous qui nous permet de sortir pique et de percer paroi, à la manière magdalienne ou aurignacienne ou toute magdalénienne ou toute aurignacienne qui est ou était celle de cet homme ou de cette femme des cavernes contenu en nous, car nous szommes encore et toujours des hommes et femmes des ca vernes ! en moi j’ai! j’ai en moi cet homme / femme des cav ernes intégré ou inséré comme branche d’un moi à moi profond, ou comme branche xd’une sorte de lignée sanguine etc ! je suis homme (l’homme) des ca vernes en moi ! je suis un homme des cavernes, je suis cet homme des cavernes qui dessine à main levée et sous incatation , lévitation, emprise, etc, des betes royales, je suis homme des cavernes ! je suis un homme des cavernes ! je suis l’homme des caver nes ! je suis l’homme-femme des cavernes, je suis femme des ca vernezs, je suis la femme des cavernes, je suiis femme des cavernes, je suis une femme des cavernes, je suis femme (la femme) des cavernes homme, je suis femme homme des cavernes, je suis hommùe femme des cavernes, je suis femme hommùe des cavernes du sud de la fra,nce, je suis hommùe femme femme hommùe des cavernes (profondes) du sud de la france ou d’ailleurs dans un autrte monde , je suis hommùe et femme des cavernes, je suis en moi qui porte : l’hommùe et la femmùe, je suis (une langue) porteuse d’un homme et d’une femme, de fait, accouplées, je suis langue porteuse de cet homme dit «aurignacien» et de cette femme dite «aurignacienne», je suis une la,
ngue à travers la roche, la roche est le temps de ce dit «déploiement séculaire» (aurignacvien, maghdalénien, etc) de l’homme et de la femme accouplés ensemble, cet ensembkle (conjonctif) de roche et de base, je sui hi, qui dit ha! je cherche
je en soi, comme la v érité en roche des temps : je cherche ! je suis hi, l’homme ho, qui dit ha à qui veut l’entendre ! je cherche en moi la vérité des choses des parois : l’aurochs est il l’animal des rois ? la belette et le chacal, l’a louette et le bélier sont ils ou elles betes de chgoix ? je veux comprendre les données de base liées à ce langage pariétal de rocghe des temps : qui est qui et qui fait quoi en définitive ? peut on pazrler à toute enjambée ? qui cherche avec moi ? les mots sont sensés pouvoir dire le xwsavoir ! etc ! je cherche à comp^rendre ce qui est dans ce que je vois, je vois l’animal gravé et je com^prends que celui ci (ce dernier) est l’effigie votive d’une entité diuyrne, je vois le cheval et e,n ce cheval je vois des données de base radicales, je vois cet ours des cavernes et en cet ours je vois l’allure générale de la vérité , je suis l’homme doux des temps (rocheux) impartis, je cherche à comprendre ce qui est dans ce que je vois, je cherche à savoir le plus, et pour cela je regarde dsroit devant, je vois les choses rudes des parois du temps, je cxomprends ce domaine de cette parole d»éposée sur roche, je comprends la chose crument en tant que telle, je suis hommùe des tributs, des dettes, des amendes, des paroles lachées à l’ermporte-pièce ! je suis hommùe femme de la base ou branche radicale des gens tourmentées par la chose rude des temps, bnous allons ensemble dans le sens du vent et crions ensemble nos tourments de bure rase ! je = nous = je = nous xà l’intérieur du mlan,gage, cxar, qui dit je dit nous, dit le je de l’autre et de l’autre et de l’autre etc qui ensemble formen,t ou formeront (d§ès lors) ce nous basique et premier (princier) de la la ngue royale ou dite royale ! je dis nous pour dire bnous (en majesté) etc, et cela est, cela est ainsi a u coeur de la langue genrée pour la cause commune et le bien (?) commun il semblerait, ou du moins voilà ce qui, à nos yeux, nous parait etre ou exisqter en roche, sur la roche des parois du monde, nous pensons cela ainsi, comme quoi kles mots sont contenus dans une roche rude, roche des tourments d’une vie humaine terrestre, tous les mopts de toutes les langues sont égaux en cette chose d’une sorte de rassemblement sidéral minéral à même la paroi du monde ornementée, en tant qu’ils sont ou sezraient (ces mots) des outils de transition, des modèles du genre, des outils de rage déposé par soi sur la lande = la pierre tombale = la pierre aux offran des, chaque mot contenu dans une langue renvoie à ce don de soi intran,sigeant, il s’agit de comprendre cette chose comme quoi le mot, déposé sur roche = la vie conservée, il s’agit de comprendre ici cette chose comme quoi tel mot d’un langage précis (en particulier) = celui qui permet une approche distancée (temporelle) de la mort en elle même (= en son sein), nous devons compren dre cette chose ici comme quoi le mot dit = le mal xdit =
la mort dite = la vie conswervée un temps qui est celui de la diction, nous disons que nou!s savons, nbous ne disons que ça , nous diso,ns permanemment que nous savons, bnous sommes bien incapables de dire que nous ne savons pas, nbous disons en, permanence que nous savons = nous assénons en permanence des xdires divers qui disent le pouvoir du dire sur autrui, sa raison qui a raison, etc, nous tous et toutes nous disons que nous savons, bnous disons que nous savons ce que nou!s disons et ce permanemment comme s’il en était, de ça, une condition qui soit telle que nous le devons dire de la sorte à l’autree et asséner ! nous disons et disant nous assénons permanemmeznt nos dires de raison , et cela nous ezncombre «follement» = fortement car, nous savons que ce que nous disons est une sorte ... d’appui sur autrui, qui nous semble mal venu de base ! nous ne voulons pas assénezr quoi que ce soit or nous assénons dès que bouche ouverte pour parler, c’est ainsi ! nous disons nos raison,s qui ont raison <quoi qu’il en soit ici à nos yeux et à notre mcompéhensio nature»lle ! mer... credi ! que nous sommes ! car, nous sommes mercredi ! nous sommes soumis ! nbous sommes pris en étau en cette nasse pâriétale des parois de rocxhe ! nous sommes pris ! nous ne pouvons pas nous défaire de cette chose d’un parler de poids qui impose son entendement raisonné et raisonnable ! il y a quelque cbhose qui nbe convient pas à notre entendement ! bnous ne voulons pas mourir, voilà kle dire ! n,otree but ici (raisonnant comme nous le faisons) est avant tout de conserver la vie sur terre et audelà : permanemmùent, or comment ?. nous voul;onbs conserver kla vie sur terre , nous n,e voulons pas mourir c’est entendu ! notre but ultime est de nbe pas mourir, de repousser lkes éché&ances dirait-on, mais comment cezla ? en gravant sur roche nos noms d’emprunt ? en gravant sur roche des noms adoptés ? en gravant sur roche ces noms qui (en vérité) ne riment à rien ? en grava nt (aurochs, bisons) nos propres patronymes qui en vérrité sont des étiquettes au même titre que tant d’auttes étisquettes, fil à la patte, noms surnumérairews, rajouts de parade, raillerie ! quoi d’autre ? nouys pissons de rire ! nouys n,e vou:lons pas passer pour ceux et celles qui en savent ;long or nous parlons (à notre façon mais tout de même) et ce faisant nous imposons nos dires (de rage ou autre, peu importe) à autrui qui n’en perd pas une et colporte, ainsi de suite ! nous sommes dès lors plusieurs en nbous qui pissons de rire , ouh la , et comment ! car les mots en nous caracolent (chevaux sur paroi) qui disenbt leurs raisons de base raisonneuses et s’imposent ainsi comme autant de dires-dictatures, ou comment ? car, qui dicte dxit son dire-diktat, ou comment ? bnous disons (nous sommes contraints et contraintes) nos dires-diktrats, comment autrement ? et dès lors, nous sommes à l’étroit à l’intérieur de ce champ des dires donnés, bnous sommes deux qui disons en bnous la bonne parole de l’évangile selon saint machin ou saint truc de la roche des temps de l’nhomme des cavernes, je suis cet homme ici qui dit sa chose rude sur roche, et ce faisant assène ! crie ! chante! crie (fortement) ! découvre ! supplie ! prie ! plie ! etc, nous savons cela, nous ne sommes pass si niais niaises, nous voulons savoir ce qui est mais nantis de nos savoirs co:mplets de type langagiers et dès lors que faire ? notre but §(affiché, avoué) est de percer ... kle mystère de la pyramide ! notre but
ultime (avoué et affiché) est de percer fissa le mur du son ! notre but ultime et final ou comment, est de percer-trouer la roche du temps par la bande, et de nous infiltrer comme des taupes espionnant la roche , nous voulons ! nous ne voulons pas (en revanche) mourir ! non non non ! nous voulons cvomme espionner la roche des prés, ce que pareille roche des anciens anciennes contient en elle en termes de vérités vraies, cela n ous kle voulons mais en reva nche , de mourir, nous n’y tebnons pas, mourir n’est pas notre objectif prioritaire (de vie) et cependant, la mort un hjour, etc, sera a u rendez vous dominical (?) de nos vies rewspectives, il est ainsi que les choses sont et seront, nouys savons cela : kla mort est une porte ouverte sur demain = sur deux mains ! nous swavons cela follement ! la fo:lie nous gagne fortement, et nous savons cela ! nous voulons comprendsre ce que c’est que cette mort de rage dure , ce que c’est que cette mort de rage, cette mort en soi de rage mobile, ce que c’est : c’est quoi ? nous ne savons pas ! nous cherchons à comprendre kes données , données présidant la question (centrale) de la mort de soi dans la roche (le rocher) du temps, nous voulons comprendre ++ les donn,ées ditezs radicales, princières, primaires, royakles, naissantes, princesses ou comment ?
car la vie en nbous est comme accompagnée par un vezrbe dru qyui pisse wson élan de vie sanguine effectivement mais pas seulement : la vie est pour ainsi dire prise en étau entre deux parois de roche (murs d’enceinte) et vas-y t’en sortir tout xseul ! vas ! la vie est «gageure articulée», comme une langue inculquée etc, nbous voulobns cerner au plus prêt ce qui est ici (roche) en termes de «vérités acquises», bnotre parole, nhos mots, sont pris et prise en étau,
notre parole (de bouche ouverte, per cée) est prise en,tre deux fers, entre deuxx parois qui l’étouffent, la paroi du sens et la paroi du son, ni pl;us ni :moins : la betise grande d’un côté (incommensura bment humaine et incontournable) et de l’autre côté kles tourments du son des voix de faussets ou autres voix
gzamines mal léchées ou mal placées, ou mal abouties ou mal posées, ou mal déposées, ou pas encore ici suffisammen,t déposée à bon escient, ou à) bon ordre ou comment ? sens bafoué et voix bafouée ! aïe ! car, ça, ça pèse fort! ça compte pour b eaucoup, ça compte pour beaucoup dans la balance ... desq :mots déposés sur la roche , nbous savons (assénons) cela : nos mots sont mots massue (tous) et dès lors nous sommes tenus, contenus, nous gravitons ! les mots sont tous des mots massue , tous ! nous disons pour nous que les mots (tous) sont des qui sont massue, ou comment le dire avec des mots justes ? mot = massue de l’homme ou de la femme des cavernes = piquet = bout de bois ! c’(est une cbhose qui semble a vérée , nous y croyons fort, nous savon,s cela , comme quyoi le mot = la mort, d’une chose dite, nbous disons que les mots sont massues déposées sur table et offertes au dieu de roche dure = à la mort, ni plus ni moinsq, c’est ainsi que la chose swe trame : un :mot (massue) déposé sur table et donc, vu pa r qui de droit qui en pren,d note et le tient pour co:mpte, nous disons que nous co:mprenons cette chose, ici, comme quoi le mot, le mot déposé (quel qu’il soit) = un mot massue , qui en impose grave et pèse son bon poids dans la balance, nous dxisons ... que nous co:mprenons cette chose, nous disons ... que nous sommes toute compréhension pour cette cghose, cela est certain, nous disons ... que nous comprenons cette cbgose là comme quoi le mot assène, impacte mais assène,,, se pose en mot de roche dur ... qui sait, le mot déposé est mot de savoir = qui impose son imposition, etc, son sens assuré , etc, nous voulons comprendre pourqyoi ! nous voulons comprendre pourquoi ! nous voulons comprendre c e quil en est au juste ! nous voulons comprendre au juste ce que c’est que cette chose d’un savoir de base inclus au sein d’un langage quel qu’il soit mais articulé, etc, nous voulons comp^rendre les données de base radicakles, les étais, les soubassements à cette raison que les mots contienneznt,car , les mots contiennent des raisons et la raison qui a raiswon, etc, et cela passablement nous gene ++ aux entournures pour le dire ainsi, nbous ne voulons pas asséner quoique ce soit, notre but ici est de graver la bete rocheuse, point finhal, pour faire accroire très certainement mais pas seuleme,nt, nottre but est de faire accroire à un dépot de vie dans les règles mais pas seuylement : notre but est de graver «le nom de ta race» blanc bec ! voilà ce qui est ! nous voulons graver nos noms sur paroi du monde temporel ! nous voulonbs graver
nos noms sur la pierre tombale du temps affiché, ni plus ni =moins, dire cette chose, nommer cet endroit (lieu dit, pour le coup) où nous sommes placés dans le monde (entérrés un tempsq, etc) , nous vou:lons nommer ce lieu de laroche comme étant le lieu de notre corps mort, ou comment ? nous voul:ons savoir ce qui est de cette chose appezlée la mort, et voilà ce qui est en définitive : nous traçons nos noms sur la pierre du temps dép^loyé , ... en éventail, nos noms sont notés et datés, etc, je veux croire en cette chose d’une mort acqUIse et sûre ! je le veux pour moi ! je veux croire en cette chose d’une mort de rage ... en paroi (mùeuble) du temps des c a vernes ! les mots caracolent
sur paroi, comme xdes chevaux de type caucasiens magdaléniens, je cherche la voie du sang ... dans la roche dure, je cherche le sang dans la voix, je cherche à comp)rendre les données, recvulées, des mondes pâriétaux de la roche du temps, je veux comprtendre «lourd» la pêine, les tourments renouvelés, la souffrance primaires, les douleurs écheloné&esq, le mal princier ! voilà la tache qui m’incombe ou qu’il m’incombe de mener à bien ! je suis et nous sommes hommùes et femmes des cavernes débridés, nouys chezrtrchons à signifier la vérité des vérités à même la roche des temps, nous voulons savoir ce qui est en cette sorte de parole écervelée de la roche dure des temps : son élan, son pouvoir, sa structure première, son vouloir, son sang , car, la chose est telle que la roche dit c e que son etre, de sa ng royazl, contient , en tant que vocables gravés, n ous savons cela comme quoi le prince, le prince des temps, est entier contenu en elle, dans la roche dure des parois de grotte ou des grottes du monde, nous voul:ons savoir les choses ce qu’elles sont du monde, nous voulons comprendre dans la profondeur de la langue, pariétale (rocheuse), ce qui est au juste contenu, en termes de «mal», de mal donne, de douleur, d’échancrure, d’ouverture sur le blanc du mo nde passé, etc, nous sommes deux qui cherchons ensemble à comp^rendre qui de quoi et pourquoi ce monde aux paroles assénées ! qui assène ? qui assène ? qui assène ? qui assène ? qui assène ? qui assène ? qui assène tant et tant de vérités écervelés échelonnées etc, qui ? nous sommes deux (= nous) qui voulons comprendre les données de base radicales ce qu’elles sont, contiennent, réservent, et offrent comme perspectives ! nous sommes deux qui voulons comprendre cette chose cd’un e sorte de donnée cde base au sein du langage (articulé) qui est(donnée) cette chose d’une sorte de pouvoir du verbe à assé ner son dire piquant, perçant,, etc, nous nous disons à nous cette chose comme quoi notre sentiment est le suivant : comme quoi ... il nouys semble à nous, que le langage articvulé (celui d’une langue bâtie) est un instrument
xde pouvoir, ou du pouvoir , car :
car voil:à ce qui est : ce qui est est cette chose, comme quoi, comme quoi la mort ! ah la mort ! comme quoi la mort est l’instrument caché au sein du langage-pouvoir ! je m’esxplique : les motsq assènent volontaikrement ««« leur pouvoir élocutif, et ce pouvoir contient la mort (tenue dès lors à bonne distance), ou en x’autres termes (dit autrement) la mort est, dans le langage, l’élément-clé xde laraison, les mots glissennt xsur la vérité (jamais réellement ne l’atteignent) et pour cause : ils contiennent en leur sein la =mort, la mort de l’etre pour ainsi dire, qu’ils tiennent piégée ! les motsq sojnt un piège où la mort vient s’attrapper comme dans un filet une ablette ! les mots sont les filets de piègement ! la mort les mots : la mort le mot, le mot la mort : la mot le mort, etc, il y a au sein d’une lan gue parlée, une sorte de contenant (un fil:et de p^êche) où la mort vient se déposer, malencontreusemeznt pour ainszi dire : le mot est ... le piège de la mort , voilà ! le mot est ce piège où la mort vient à se loger ! le mot est un piège pour la mort! la mort est piégée car elle est saisie dans un sens outran,cier <qui la fige pour l’éternité comme une effigie de bête sur roche : cheval, renhe, bison, etc, les mots sont des instyantanés, qui figent la mort dans ses fil:ets, nous dès lors essayons de comprendre ce tout d’une langue vive (virevoltante) contenant en son sein la mort en tant que donnée de vie radicale (finale, terminale, cloturante, etc) , nous ne voulons pâs mourir et c’erst ainsi toute la langue en nous (compacte) qui dit cette chose lorsque nous parlons : si je parle alors ma parole dit la foi en la pârol:e qui dit son désir de rester en vie et de ne pas mourir, voilà le fait tel
quil nous apparait à n ous (yeuxc) à l’intérieur de la roche, nous voulons comprendre gra ndement les données de base, nous voulons grandement comprendre les données de base rupestres, nous sommes deux qui voulonbs volontairement granxdement comprendxre les données de base rupêstres : ce qu»’elles sont au juste, ce qu’elles peuvent nouys offrir en termes de réponses à des questions ou interrogations que nous nous posons, nous voulons savoir ce qui est du :monde, ce que la vie est, et la mort par consé&quent, etc, notre but est de creuser l:a roche du temps, les yeux ouvertts, passer à travers la rocghe, passer de l’autre côté à travers la roche du monde pariétal, ce monde de la roche dure des te:mps alloués, noys pouvons passer car nous sommes munies ( armés) d’un pic de destinée qui nous aurorise ou permet ce passage radial à travezrsq la roche, pic de verbe fou, dfonnée radicale, époumonnement, tendre traversée, évitement et lévitation, etc, la tra,nse aidant (incantations votives) permettant le paqssage en toute dou ceur de la rocghe du temps animal, je suis cette bezte des parois de roche, jhe vais en roche en cette bete des mondes cachés etc, je traverse habillé en bêtye, etc, est ce cela ?je suis l’homme à l’habit de bure, homme des données dures, radicales, fermes, soudaines, brutes, fermées, jhe deviens cette bête
«des parois des grottes du mùonde»,
je passe, je suis pâssé, nous passons, nous sommes passé, nbous voulons traverser longtemps cette roche meuble et aller au loin à la recher che des données les plus reculées, nous devons comp rtendrdre à travers la rochje ce qyui est et qui relève de la venaison (ou pas) et ce qui est et qui relève de la frondaison (ou pas), et pour cela : un mot : fissa ! ca r ici, l’allure (le train) prime ! la vitesse pour ainsi dire a son mot à dire ! la vitesse conditionne grandement, considéravblement l’é»locution et les données , la vitesse est vcomme point dx’achoppemeznt central à la base des données de roche, des dons saturés etc, nous disons que nous devons aller et cet allant se doit d’ettre en tous points (moments) soutenus p)ar la bande traçante , etc, nous penso,ns que nous devons donner à notre élan de vie (= allant) le train que la vie impose à la vie (ou à la mort ?) et qui va bon train pour ainsi dire, et ce faisa nt recueillir les «perles de p;luie» qui s’en viennent à s’échouer dans l’escarcelle , ou commeznt dire ? ce quyi est est, ce qui n’est pas n’est pas, je conditionne, le temps pousse à la faute, conditionne, etc, les buts (nôtresw) sont ainsi que nous voulons et rezcherc hons à (toujours plus) faire en sorte (via le train adopté dans nos déplacements) que donc, adviennent sur roche des données de base, bousculées, forcées, etc, des donnéesq foulées, des données ragheusement forcées à montreer le bout de leur nez or pâs sûr que la chose soit de la sorte en vérité : peut-on secouer le cocotier en vérité ? peut on presser le train de l’allure vitale et creuser le verbe : le faire saillir ? peut on pressurer le tout verbal et lui faire sinon rendre gr^
$ace du moins faire éclore des perles ou quoi d’autre qui pussent nous donner de quoi ra sssasier notre soif ou nottre faim de savoirs de base (vérités des verités) ? bnous voulonbs comprendre un tout à la lumière de la mort, donnée comme étant, nous voul:ons comprendre un tout votif à l’aune (drue) d’une lumière permanente des lointains, etc, cela est ainsdi, nous ne voulons pas (jamais !!!!!!!!!!!!!!ç!ç!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!ç!!!!!!!!!!!!!!!) faiblir, nous persistons pezrpétuellement dans nos démarches, nous devons pezrpétuellement persisqter dans nos démarches,, nous vouy;lons perpétuellemùent persister dans nos dém rches, nous voulons persister de but en blanc, et graver sur roche auroichs et rennes des prés pour la bonne cause liée à kla mort , mort à refoul:er, etc, la mort est (très) liée au verbe (on le sait ?) et dès lors quye faire ? que rewste til à faire dès lors, sinon cette chose ... d’un trait sur roche : chevakl ! njous voulons comprendre les lointains rageurs, nous sommes à l’intérieur d’un monde de rocghe brutal, lke monde est dur, le monde est pierreux, le monde est la dureté rocheuse même, nous gravitons (bon an mal an) au sein d’un monde dur comme pierre dure, nous voulons comprendxre les données de base, la roche devant soi est dure à percer, le temps est le temps donné par la b ande rocheuse des abris ; pour soi; pour autrui ; au sein de la roche; nbous cherchons à com^prendre (déplacer ?) les données du monde terrestre (la réalité des apprets) et pour cela nous nous immisçons tête première au sein de la roche à deux, à la une à la deux, etc, nous nous immisçons en c ette rocghe des temps donnéés, donnés pâr la ba,nde et v oil;:à ce qui est ici, en cette sorte de paroi aux betes gravées, ici sont ... ces betes-mots de rage rude ! ici sont ... des mots de betes rudes qui sont des mots-betes, ou mots-bêtes de rage et de colère à l’(égartd de la mort (en lutte) dans la vie ! nous ne vouylons pas d’(elle ! nous ne vpoulons pas mourir ! sus àla mort ! «fous le camp la mort ! fiche-moi kle camp, de grâce ! ne reswte pas là au sein de la roche, sois ailleurs, va loin, fiche moi le camp fissa », etc, nous ne voulons pas d’elle, bnous la voulons qui fiche le camp, les mots sont un piège, où la mort vient se perdxre un temps ! les mmots sont ce filet de pêche piégeant la mort dans ce qu’(elle a peut-etre de plus accessible à notre entendement , etc ! nous cherchons à comprendre les données de base du monde vivant : pourquoi nous
parlons en assé&nant obligatoirezme nt ce que nous disons a ux oreilles de notre auditoire etc, pourquoi nous disons des choses rudes et toutes déposées ainsi rude»ment ? nous ne voulons pas asséner et voil;à que nous assénons ! nous disons des choses qui sont comme paternelles, qyi sont comme paternalistes, ou patriarcales, = de l’autorité, l’autorité branchiale etc, nous savons cela ! dire = faire autorité mais d’où cezla ? parler =
faire son autoritaire ! parler = se donner de l’importance et faire son autoritaire et c ela est ainsi que cela est ! parler = infa ntiliser l’auditoire ! parler = se montrer et faire son intéressant patriarcalement ou commùent ? parler = autorité comme il wse doit ! je = cette chose d’une sorte de : autorrité mal p;lacée : ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! oui car cela (cette chose rude) est incluse da&ns le contrat ! cela nous semble une évidence ! nouys pârlons et parlant nous assénons des choses qyui ressortent d’une autorité de base néfaste ! notree but est de chasser la cxhose contenue en nbous hélas ! notre but est de nous secouer nous mêmes et de creuser à lo’intérieur de nous cela quyi en vrai nhous semvble devoir l’etre enn roche, et pour ce faire : le pic ! pic des pics de pert!çage fou ! car, le pic en nous a de beaux hjours en perspective , nous devons piquer, creuserr, piquer roche xu temp)s, piquer roche vive nous devons ! nous le devons, nous le cdevons car nous devons ... travezrswer la roche (buffles, chevaux) et passer du côté des ombres, des lumières douces, feutrées, des embruns, etc, nous nous tenons par la main,nous sommes accouplés, nous sommes comme sertis, bnous sommes un e,nsemble sezrti, nbous sommes deux qui bnous tenons devout en rocxhe prêts prêtes à bondir ! biches des prés éblouis ! nous sommes biche
-chevreuil doux des roches dures ! si la ro che est dure la biche et le chevreuils sont doux et douce ! nouys sommes betes de paroiç du monde, notre but est de co:mprendre ensemble l’animal représenté de fait sur roche du tempsq, bnous pênsons animalier, bnous parlons un langahge de b êtes, bnous nous infiltrons dans ;a roche (loin), nous cherchons, nous recher chons, nous chercghons une ouverture à même la roche, nous cherchons le trou, un trou, un pâssage vers un au-delàç radical qui nous laissât (de préfére nce ) aussi inta ct intacte que possible, nous cxherchons passage de roche, traversée des apparre,nces pariétyales, bond danss l’au-delà ! nous voulons aller comme biche des prés par delà la butte àç la rencontre d’une dame ou d’un monsieur qui saurait nous dire ce que la mort est au juste, nous voulons savoir beaucoup longtemp)s, loin à fond etc, ce que est la mort, ce que mort est, ce que la mort elle est, ce que est en vrai la mort, ce que Mort est pour soi, etc, nous voulons savoir ce que la mort elle est au juste, cxe qu’elle est en définitive, quoi en elle ? incubateur ? bnous voulons comprezndre kle plus et entrer dans la roche ainsi attifé (ainsi outillé») et creuser ! creuser ! creuser ! creuser ! creuserr la terre ! creuser la question ! creuser la terre ! creuser, creuser la terre et la ou les questions ! je creuse que tu creusezra s ! creusons le trou de notre tombe ! creusons tombereau,; tombe, tombage, tombée et retombée, etc ! nous voulons entrezr dans la matière dure des temps éblouis, bnous voulons entrer dans le dur de la matière dure, en lévitation : incantations ! betes de rage ! beauté anim& les etc ! l’art
de se faire petit et d’entrer ainsi rabougri (rapetissement) dans la roche ! faisons nous peti petite = art ! l’art ainsi est cette a pproche de la roche, visant à faire en sorte que : nous ne la ramenions pas plus que ça ! cela est cette chose, d’une sortye d’art (l’art) qui consiste, dès lors que nous sommes entrés dans kla roche, à se faire petit petite le plus possible r(ramener sa fraise le moins possible) afin de passer «««, de préswenter bien, de se faire adoubezr, etc, car la vraie vérité est d’ordre pariétale, oui !!!!!!!!!!!ç!!!!!!!!!!!!!!!!!!!u!uuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!!!!!!!!!!!!!!!!!!!u!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! faisons nous petits et petites : art, l’art ! l’art dès lors est la chose ici qui permet cette chose !oui !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! l’art ou l’art de se faire petit et petite et d’entrer plus volontiers dans la .....
matière de la roche dure ? matière des mots déployés ? matière du temps alloué à une vie d’homme ou de femme ? etc ! nous tenons le fil, nous sommes sûrs et sûres de nous, les mots imposent leur certitudes ! nous cherchons à nous infiltrer dans cette rocxhe ou roche des prés, nous nous infiltrons en cettte roche des prés jolis aux milles betes toutes aux aguets, aux biches élancées, aux cerfs géa ntissimes, aux bisons racés, aux buffkles vigoureux, aux troupeaux de vaches ou de chevaux , nous marchons m âin dans la ma in, nous voulons saisir ce qyi est et aussi c e qui est au xwein du langage, ce qui est dans cette roche ici habitée, et ce qui se trame au sein du langage , nous voulons comprendre ensembvle (le coït) ce qui est en roche
en termes de finitude, nous avons bon espoir d’un hjour pouvoir comprendre kles données finales, le plus du moins, et dès lors d’en avavncer dans nos connzaissances, bnous sommes mus pour cette cause (en nous) par un troupeau de bêtes fortes, massives, pretes à chevaucher la lande et nous guider vers cet audelà printanier, agraire, prairial, ensoleiullé, qui est celui de la roche du temps imparti à une vie terrexstre, d’homme ou de femme mues, etc, nous cherchons ainsi à aller le plus possible loin en besogne, nous voulons aller loin au sein de la roche, de la roche dure (printanière) , et creuser le sillon pour ainsi dire de nos destinées reswpectives vers cet au delà, au delà monacal (dominical) contenu en roche (seulement ?) et dont le nom (le petit nom ?) est : Mort Grande la Bête du temp)s ... ou autrement ?
nous cherchons à nous approcher le plus possible de la vérité, nbous sommes deux qui ici cherchons
à nbous approcher lke plus possible de la vérité, bnous sommes deux qui cherchons ensembkle, à nous rapprocher le plus pôssible de la vérité ... des faits pa riétaux, nous sommes homme-femme des cavernes , nbou traçons sur roche des traits , caricaturaux , de betesq , de betes de poids, etc, plus ou moins caricaturaux, etc, ce sont les noms que nous portons en tant que tels, je suisq aurochs le chevelu, etc, et mon mon (MON NOM) s’inscrit de la sorte sur roche , par ou via des traits à main levée, tracés comme en état de ... renoncement ? ou comment dire ? dans un état (peut-etre) d’emprise etc, ou sous emprise etc, renonçant à (en moi) écouter la voix pour(en moi) écouter la voix (bestiale) de mon guide en traversée, etc, je suis homme-bete de rage agraire, je veux rentrer dans la roche, je suis à même de pouvoir le faire, je suis homme bete, hommùe qui pousse dans la roche et finit par s’y loger comme ... da ns un nid douillet, enfin protégé,,
hje parle ici au nom de la bete et son nom est dès lors celui qui me revient et que je trace, sur pa roi, au charbon de bois, je m’appelle ... nologips (par exemple) ... ou autrement, MON NOM s’inscrit par la bande par devers moi, jhe n’y suis pour rien,; je suis hjomme des parois de roche dure, je suis dans le temps comme (plus ou moins !) dans un nid, nid d’oiseau nidicole, pour sûr ! je vais da ns la roche du temps, je cherche une issue langagière à xdes questionnements d’orxdre sanitaires , ou comment, sinon ? je cherche une vue d’ensemble, des réponses banales, un viçsage, une silhouette , un animal, voil:à je cherche un animal, une bete des prés, un animal savant, une bete ici de rage folle qui saura me dire sans contrfaaçons ce qu’elle est au juste et son rôl:e précis dans toute cette a ffaire de vie et de mort de type pa riéto-temporo-facial, ce q’uil en est et ce qu’il en découle , je suis homme des embruns cherchant bete fa uve pour échange de bons procédés et de connaissances primaires, car la b ete sait peut-être ce que la mort est, très certainement, la bête côtoie quyotidiennezment, régulièrezment la mort, en chair et en os pour ainsi dire, et par conséqueznt est très à même de pouvoir nous renseigner et nous guider sur ces queswtions existentielles qui sont de celles qui , souvent, nous taraudent, nous pèsent, viennent à se loger en nous et en notre gouverne :
nous voulons lever le voil:e sur la vérité ! nous voulons comprendre les données de base ! nous voulons savoir ce qui eswt ! nous voulons a ller loin dansq les connaissanxces ! nous voulobns trouver notre miel ! nous voulons savoir profond ! nous voulons nous grimer en bête de somme !nous voulons nous la isser envahir par en nous la bete de roche ! nous voulons tracer sur roche un (trait de) chemin de ronde, et le parcourir jusqu'à destination ! nous sommes deux qui a;llons profond en cette roche des embruns et qui donc essa yons de comprendre sur roche les données princières, nous vouylons comp^rendre les donnéesq du monde = cxe qui est donné, ce qui se présente = le don, le présent, les brassées etc, et ne pas mourir de sitôt ! ca r le mon de est don et aussi présences, bnous cherchons à creuser la tombe des noms en présence, en présence en nous : mais ... lesquezls ? nous sommes hommes et femmes à destinée de roche, nous sommes et des hommes et des femmes dont les destinées sont de type : ou rocheuses, ou infrarocheuses, et voilà pourquoi nous sommes qui nous immisçonbs (de préférence à deux) au sein de la roche (dure) des parois de grotte, magdaléniennnes , aurignacieennes, néa ndertaléiennes, etc, nous creusons, et ce faisant nous nous immergeons ou immisçons au sein d’un langage perlé, de roche et de pré, qui contient lkes données princières de la mort à l’oeuvre ... sur roche, sur paroi, sur pierre, etc, une mort gravée par la bande du temps sur pierre tombale (granite), sur pierre nue, sur paroi de grotte, etc, je suis l’homme au port de tete déployé, mon cou s’allonge, mes bras s’ouvrent, je nais ! je suis l(homme naissant à une vie ... d’hommùe terrestre, je nais dans le san,g et les glaires : me voici imberbe, nus comme un ver, souriant de toute son âme quooique révolté et foulé aux pieds, je vais sur roche graver mon nom, mon nom est le nom de la bete qui, en moi, me co:mplète et me donhe le la (musical) des sphères ... pour ma gouverne, etc, mon nom est chié! je suis rouge ! mon coeur bat ! kle mal est fait ! la chance me sourit ! je suis né à la vie tezrrezstyre ! je vois dieu dans l’ombre de la mort ! dieu est cette chose langagière tapie dans la mort ! je foule ! je vais fissa par les grands chemins pariétaux,; hj’essaie de co:mprendre cela même qui m’arrive en cette roche ornemezntée par l’homme des cavernes, par la femme des cavernes, je sors de la femme des cavernes, j’entre en cette roche dure par telle fissure (fine) due à l’entremise, pour le coup, d’un pic «de percée» rural, jhe vais dans la roche tete prezmière comme un nouveau né, ou comme le bé bé (le nouveau né) que je suis sur roche, je vais en roche comme un nouveau né qui pointe ou pointerait son crane sailla nt, je suis comme le nouveau né de la roche dure, je passe entre les faisceaux, j’entre, je passe, je foule, je fais la traversée humide, hje suis iinséré, je suis mis en orbite, je suis entré, mon nom est MON NOM gravé sur roche ou pîerre tombale, me voilà né à une vie de roche dure, je suis mis sur terre aux qUatre vents d’une rochje meuble, nous sommes entrés dans la roche, nous sommes entrés dans la roche dure, «MON NOM» sont les mots gravés ... par la bande (pariétale) des embruns, je suis né à la vie terrestre», MON NOM est ce nom que je vois sourdre à mes côtés et qu’il m’incombe d’adopter fissa , me voilà nommé ! je suis l’etre au nom déposé sur la bande, je suis homme au nom déposé, treaçant l’ombre
de sa visibilité
31/8/2021
nous sommes passés de l’autre côté, nous avons franchi le rubicon, nous sommes passés, nous sommes entrés ensemble dans la roche, nous avons franchgi le pas de la roche, nous voulons passer des caps de roche dure, nous sommes ensemble, ici même (roche), à vouloir passer des caps ... de roche de temps : nous nous infiltrons par des failles temporelles et nous nous glissons en ces roches rudes, dures, de temps alloués, qui sont roches des temps impartis à une vie d’homme, d'homme ou de femme, nous sommes deux qui cherchons fortune, en pareille roche des temps, npus nous ofrrons ainsi de la sorte (l’un ou l'une à l’autre) en cette roche des embruns, à la rechercheb d’une bete rosse, d’une bete des prés, d’un animal de compagnie rocheuse, etc,nous sommes deux et à deux nous cherchons la voie qui mène à la bête, nous voulons trouver en cette roche du temps alloué la bête qui se meut en elle, cette biche des embruns, ce cerf écervelé, cette roche animale ou animalière, ce cerf volant, cette bhrebis des champs etc, notre but est clair, nous sommes deux pour une bonne cause et nous entrons ainsi en roche pour ce faire , pour (de fait) une recherche vive, pour trouver la voie menant incidemment à pareille bête des embruns, nous ne voulons pas céder, nous voulons poursuivre sur notre lancée nos recherches,n, nous sommes dans une recherche vive de roche, nous nre voulons pas céder et c’est ainsi que nous cherchgons encore, encore et toujours, nous voulons trouver ensemble dans la roche dure des betes de voix, des cris gutturaux,,, des meuglements, des sonorités calcaires, des bruyits de toujours insérés, des beuglements de charge, etc, notre but est ainsi gravé que nous nous afficghons, en tant que chercheur et chercheuse de rage, en cette roche du temps alloué à une vie de roche, nous cherchons en elle des betes de choix, des betes graves, dures, fortes, lucides, qui puissent nous donner le la, le la musical, d’une bande en vrai à dérouler (temps alloué) à ou pour une vie d'homme ou de femme, etc, notre but ici est comme gravé sur roche du temps, nous voulons cela, nous voulons graver cette roche des temps impartis à même la pierre ou cette pierre froide, nouys ne sommes pas dépourvus de tout, nous sommes munis d’une envie et cette envie est celle de graver (ici) la roche dure, le temps menaçant-menacé, la pierre de roche calcaire, le sommet, la butte, cette cghose devant nous qui s’offre à une sorte d’immixcion totale de nos corps soudés, alanguis, vifs, traçant sur roche le trait d’une entrée en matière, nous aimons entrer dans la roche (dure) des temps et nous entrons ainsi (deux par deux ?) en elle, nous sommes deux qui entrons ainsi, nous sommes deux qui, en vrai, nous immiscons èen cette roche des attraits, des betes dessinés ... parx des hommes et par des femmes descav ernes, nous entrons ainsi ensemble en roche des temps durs , et nous nous blottissons l’un ou l'une l’autre l’un ou l'une dans l’autre l’un ou l'une pour l’autre en icelle, fous de rage rosse, amoureux amoureuse des roches, amoureux amoureuse transis, cherchant pitance dans la rochge (dure) dessinée, grav»ée, etc, par un homme ou une femme cdes cavernes nue, homme ou femme des bois et des cavernes antédiluviennes, homme-femme des embruns, hommùe-femme des temps rudes, des temps alloués à Vie d’homme-femme, etc, nous sommes de la partie, nous cherchons ensemble une voie d’abord, une voie de race rude, un attrait, une entrée vers la roche rude ou vers Roche Rude, Bete rosse ou vers la bete rosse du temps gravé, etc,notre but est de trouver ensemble (main dans la main et pour la vie) une voie d’accès à une bete pour le coup de roche dure , à cette bete du temps dur, à pareille baete des temps rudes, à vbete du temps de paroi, à bete de grotte, à betye debout, rude et dure, bete immonde ou point mais chargeant de toute sa force, son allant bestial intemporel, nous nous asseyons un temps en ceztte roche (gravée) des temps alloués, nous regardons passer les betes de pâroi, nous les aimons fortement, notre amour est affiché sur roche commùe une ezffigie trzemblante, comme trait de vie vive disant son allant, ses tatraits, ses goûts , ses désirs de rudesse et de beauté rocheuse pariétale, nous regardons, nous vou;lons connaitre les enhjeux de cdette roche (rude) du temps offert (un don) à l’emporte-vie, nous nous asseyons ainsi face à cela qui nous tend des bras = la mort, la mort est notre alibi, nous nous donnons ainsi (corps et âmes) à pareille entité «de roche rude», le temps est notre alibi, la mort est notre alibi, nous gravons des betes de beau poids sur roche rude, et nous disons, ici, cette chose ensemble, comme quoi ... nous aimons la roche plus que tout ! le temps bestial de pareille roche, nouds l’aimons d’un amour fou ! nous nous donnons ainsi en cette rocghe, à même le trait, la gravure, le dessin des betes rudes qui menacent et tapênt du sabot, etc, nous sommes gens de rage forte, cherchant fortune en roche vers la mort ou en la direction d’une mort (une mort gravée) à ne pas charger, à ne pas «ennuyer» par des mouvements déplacés etc, nottre envie est celle de voul:oir comprtendre ce que la mort est, ce que Mort de rage est au juste en pareille roche aux bêtes gravées,; qui nbous sommes (nous deux) qui cherchons vérité dans la roche du temps, dans lka roche des p)arois du temps, etc, qui on est au juste, face à elle (paroi) qui nous tend ses bras (la moprt) comme dans un sas (musical) de belle advenue, de belle descendan,ce, etc, notre envie est de comp^rendre ce qui est en roche qui se trame et nous donhe ce pourquoi nous sommes là à essayer, bon an mal an, de comprendre les enjeux de roche pariétaux, ce qui se trame en ette roche rude de la vie ... offerte par la ban,de, et pour cela par un accouplement, vif et pénétrant, de nos deux mobiles, nous nous so:=mes introduits / introduites ainsi accouplées en cette roche des temps donnés, donnés par une déité «de roche dure», par (de fait) la Mort aboutie, par cette sorte d'entité dite «de la Mort à l’oeuvreen pareille roche de grotte» ! nous sommes sur la place rosse, nous voulons comprendre les enjeux ! nous voulons comprendre !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! les enjeux qui ici président à cette entrée dans la matière de la foi dans l’ombre de la roche !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! nous ne voulmons pâs pâsser à côté et lâcher prise, nous voulons co=p^rendre cette joie de rage allouée, cette tentation, ce sermon, cette voie d’abord sur roche, ces gravures à lm’emporte-vie, ces betes de somme, ces chevreuils , essentielleme,nt ces chevreuils,; ces vies vives aux attraits sourds, aux élans rageurs, etc, nous les voulons vivre, nbous vou;lons les vivre, nous les voulons vivre pour nous, ces élans rageurs de roche, ces moments nacrés tracés à même la paroi d’une grotte cachée de fait dans les vallées, etc, notre envie est celle-là qui nous voit nous donner ainsi sur roche (par la bande) à même la paroi, à graver-dessiner vif ! nous nous donnons ! nous sommes deux (elle et moi) qui nous donnons ! nous donnons de nous, à m^$eme la roche des temps ! nous ne voulons pas aller à l’encontre d’une vie de rage, nous voulons comprendre les données (rupestres) de base et pour ce faire nous donnons de nous corps et âmes à pareille paroi de rochge dure (grotte) des fins fonds de terre -mère, etc, cela est ! cela est un,e vérité de bon aloi et de bon ressenti ! cela est une chose avérée, cela est une chose vraie , indubitablemen,t marquée à même la paroi du monde, et nous voyons cela en,semble = main dans la main, nous ne sommes pas nés de la dernière pluyie, nous sommes affutées, aiguisés, vifs et vives comme des éclairs dans un ciel menaçant de toute sa gourme, nous sommes viçfs et vives et lucides, genrés (?), raisonneurs/raisonneuses, donneurs /donneuses de leçons permanemmùe,nt inopportunes, etc, nbous avons des yeux pour voir, des oreilles pour entendre,; etc, et cela nous pousse à décreter, à tout bout de champs et à l’emporte-pièce, des dires qui sont dires de, pour le coup, peu de poids voire sans poids du tout (en leurs charges), nous nous enfermons en cette sorte de roche du mùonde maios cela pour mieux «passer à travers» et comme en ressoprtir «de l’autre côté» ou quelque chose de cet ordre : nous sommes motivés !!!!!ç!!!!!ç!!!!!!!! = munis d’une sorte en nous d’élan moteur ou quelque chose d’approchant, etc, npotre but est tel que nous nous affichons ! nous disons ce qui nous pèse sur le coeur, nous voulons savoir ce qui nous attend, nous cherchons à co:p^rendre ce qui est réellement en cette roche dure des embrunbs qui nous tend ou tendrzait les bras et pour cela nous nous asseyons un temps (Vie) sur roche du Temps et contemplons le paysage menaçant, les emberuns de bord de mer, lers ravines, les parois rudes, les piques, les piquants, les endroits de charge, kles possibilités de charge, etc, nous ne sommes pas des êtres fous de rage, npous sommes la rage incarnée dans une roche rude (gravée) qui est roche du temps des cavernes, un e sorte d’entité rocheuse à même la Chose ou comment dire ? notre but a une visée, notre but est de charger la roche du temps de betes de poids et d’entrer ainsi dans
cette dimen,sion pariéto-menaçante cde la vie de roche à donner (fissa) en offrande à un dieu de la paroi meuble, notre but est celui ci ! nous voulons savoir ce squi nbous attend dans le temps de la roche enfouie sous terre, notre ambition se loge ici, en cette excavation, en, ce creux de temps rocheux, dans la roche du temps déployé le temps d’une vie d’homme ou d'une vie de femme, nous voulons comprendre ensemble (accoulpement = coït
) les raisons qui poussent à fzaire ainsi allégeance sur roche,
à un dxieu de roche dure, au dieu des rochess de peine, etc,cela pour nous est une sorte de fanal qui, devant nous, guide notre voie, nos pas, etc, nous cherchons, et chertchant nous trouvons des bornes-balises qui sont bornes-balises de temps impartis, bornes de joie aussi car la chose ici découle d’une sorte d’élan de vie vive qui est une joie de vivre» vive, etc, nous voul:ons comprendre les données les plus reculées dans l’ordre des savoirs de base et pour c e faire nous sommes dezux (cote à cote) qui cherchons à bousculer les hié»rarchies, à tomber les masques pariétaux les un$s après lkes autres etc, bnotre envie de roche rude est vive (intacte) et nous pousse à cher cher, ensemble, les données de b asxe;, nousne voulons pas céder, nousq vou:ons pousser loin (le plus loin possible) nos rechertches vives, nos envies de connaissan ce etc, nous ssommes deux qui cherchons de concezrt à même la paroi du tezmps, nous sommes deux main dans la main, qui cherchons de concert «des choses», soit des choses rudes, des poids, des poids de charge, nous cherchons charges sur paroi, des charges de bon poids moléculaires, des sommes, des sommes de rage = un,e belle v érité de joie, une belle de ces «vérités enjouées» qui donnent le la musical par la bande à une vie d’homme ou de femme déployée incidemment ! incidemment car les temps sont longs ! car les vivres sont sur place déployés, ou déposés ! nous voulons comprendre ce qui est de ceztte roche des temps donnés, nous voulonbs co:=mprendre ensemble kles données brutes, kes savoirs de base, les vivacités, les
choses du nacre, les p
;longées, les meznus désirs, les poids déposés sur table d’offrandes, le sang en toutes ses composantes, etc, notre en,vie pour nous est infinie, nous aimons les cvonnaissances a n cestrales, nous voulons savoir ce qui préside ! nous cherchons à vif ! nous creusons la roche du temps pariétal comme des hommes-femmes des cavernes : je suis un hommev des cavernes ! je suis une homme-femme des cavernes de la roche dure, nous et je sommes suis femme homme de (des cavernes et caverne ) car cela est ! car cette chose ici est ! car je = nous qui = vif ! et cela ainsi est, que nous sommes deux (par deux ?) qui chezrchgons ensemble (cet ensemble) les données les plus avancées , reculées, ou comment dire ? qui président ! nous = je = vif ! et : feemme de paroi = homme du monde = vif éclair de rage = accouplement rocheux = transe ! car la chose ici est radicalement meurtrie ! nous sommes touchés par une grâce des embruns = meurtris par la bande = terreswtres = soumis ou soumise à des attaques vives de choses des temps, etc, nous sommes chairs qui nous soumettobns ! notre roi et notre reine ici sont de ceux celles qui sont roches de parois mobiles ! sus à la rocghe rude ! déployons nos vies sauvages ! sachons graver la pierre à) la manière de, de ces hommes et de ces femmesz des cavernes, et trouons le temps comme une toile, une toile de jute, toile-é»cran, vive chaloupe ! nous voulons comprendre les données les plus reculées = nartives, à même la roche du temps déployé, et pour cela nous devons nous rapprocher, nous réunir, nous accouyp^ler, nous pénétrer, nous szerrer l’un l’autre : corps à cortps = éléctricité , et ce faisant nous traversons la roche rude, rude à creuser, nous sommes deux betes de rage, notre souhait ainsi formulé comprend lesq données recherchées : qu’on se le dise ! le secret est dès lors contenus dans le pot de base, il s’agit de se pencher sur roche de paroi et de regarder, bien attentivement, et vous trouverez la ou les réponses à vos interrogations primaires (enfantines) telles que vous les comme trimbalez depuis longtemps, depuis quelques milliers d’années, cherchez bien et vous allez trouver : le pot aux roses ! le secret des données de roche, les données les plus reculées, le vif, le natif, etc, nous voulons savoir, nous avons cette vol:onté ancrée de vcouloir savoir ce qui est = la vérité ! et pour cvela ... nous entrons en roche comme en religion : munis en nous d’une «pique cde joie « (je) quyi nous guide dans nos déambulations pariéto-terrestres de mortel ou mortelle de base, nous voul:ons comprendre et pour ce faire nous nous entichons l’un l(autre ou l’un de l’auttre sur paroi, nous nous accol:ons, nous nous coloons les uns les unes les autresq, nous touchons ce qui nbous approche : nous sommes collés = dans la glu des temps alloués, comme betes dans roche des prés, aurochs de prairies, mammouths sidérés, antilopes en folie, jun gle ! toute la jungle ! la jungle en entier ! lka jungle affiichée etc ! notre (le notre !) but sur roche, est de nous enticher les uns et les unes les autres «pour comprendre « , c’est à dire pour savoir c e qui dan,s la roche (rude) du temps vient à se tramer comme soubassements , et pour cela nous nous accolons à roche de la roche dure, nous entrons en elle en lévitation, nous sommes etres ^pris à partie, nous sommes accolés et pris à partie et voilà ce qui est sur roche ici qui nous dit « à sa manière» ses dires de joie (je) dsans le sang : nous sommes rudes comme la paroi ! nous sommes de rudes hommes-femmes de parois de grotte ancestrales ! vive la vie ! la joie de roche est prise dans le sas pour ainsi dire du temps pariétal ! notre joie (ce je du jeu) est celle d’une sorte x’embardée native (votive ?) qui est celle d’un élan de vie alloué , nous ne voulons âs mourir ! bnous ne voulons pas mourir ! nous ne voulons pas mourir ! nous ne voulons pas mourir ! nous ne voulons pas mourir ! nous ne voulons pas mourir ! nous et je ne voulons pas mourir! nous = je, ne veut pas mourir ! je = cette chose de roche du temps, ne veux (je) pâs (du tout) aller là bas loin da,ns les bartasss ! nonnnnnnnnnnnnnnnnnn n n nn nnnnnnnnnnnnnnnnnnnn, non de non ! ou comment ? car : de deux choses l’un e, ou je meurs ou je ne meurs pas ! point final ! l:a chose semble claire ! ou bien ou bien ! et cela est ainsi, depuis «la nuit des temps», cette chose de roche (rude) ancrée ! car vivre = savoir = dire = faire = aller = mourir ! le vivre contient le mourir quand le contraire n’(est
pas vrai, pas vrai ? et pour comprendre cette cghose il est bon de se poser un tant soit peu en roche, et de regarder les betes (dessinées ou gravées par des hommes et des fe:=mes des cavernes) alentour, ces quooi ces aurochs ? ces betes «fortes fauves» ? ces quoi en tant que bêtes ? ces chevreuils ? ces biches desz prés ? ces cerfs de contrebande ? contrepoids ? nous pen,sons (nous !) que la vie est une chose rude à traversezr comme la roche (dure) d’une sorte de paroi de grotte enfouie, bnous pensons que nous devon,s comprtendre loin loin loin loin loin lion loin lion loin, tres loin dans la rocxhe, les données brutes, ce qu’elles sont pour nous et ce qu’elles seraient à même de nous amener en termes de données de base rupestres, nous voulons comprendre vif car nous sommes vifs (vivants) sur roche ! ne pas lambiner , forcer les traits, graver en transe = en lévitation ! creuser (dans la roche) des mains de charge ! poudrer ! faire ces chgoses au son des pipeaiux, creuser ;la paroi pour des sommes ici à déposer, de victuaille et autrtes betes mortes encore toutessanguinolentes ! bnous voulons comp^rezndre vif et le plus profond possible, les données qui sont les données qui président aux destinées des uns et des unes et des auttres ! notrte chance ! la voi;là quyi sort des bois, elle porte un nom et ce nom est «Bambi» la douce créature des sous bois , nous voulons comprezndre loin +++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ ca r nous en ressentons le besoin, nous nous tenons par la main, nous sommes deux, nous sommes à deux, nous sommes une somme de deux, nous voulons comprendre à deux les lointains attraits de roche rude, ces pourquoi, ces choses déployées sur table ou mur aux offrandes : main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, etc, nous vcoulons comprendre les eznjeux, les données brutes, les racines prises
dans la roche où vont-elles , jusqu’où vont cexs choses , etc ! car cela est cette cxhose, devant soi, qui nous tend les bras ! les mots pêuvent ils ? ou... les cris gutturaux de la b ete ? qui en nous p^réside pour nous ? qyui parle en mon nom ? suis je cette betise, incommensurable et mal embouchée ? syuis je trompette , suis je cette voix , suis je cette corne de brume , ce piston ? ce cornet d’enflure ? suis je cette vcoix de mauvaise joie , suis je ce trompé de la manche , qui suis je pour parler ainsi par la bande >, suis je une envie , une sorte d’en-vivre de la joie dite «des temps alloués» ? qsui je suis qui va sur roche à la recherche des données brutes ? je suis homme-femme-embruns des venaisons ! mon corps est une entité votive ! je porte le nom de ma rage de vivre ! ma casaque est ainsi déployée qu’elle me recouvre de pied en cap comme une peau de bete ! malheur à celle-celui , celui-cellle, quyi viendra ainsi me toucher ! ainsi = avec ses pattes de devant, ces patttes de bete debout ! bete de ta roche , de ta roche de meu qui me parle bas et dit son nom à qui ve’ut l’entendre = la mort ! la mort ... dit son nom, dans et à travers le langage, le langa ge articulé sinon comment , le langage articulé est une entité rude qui parle en notre nom et dit «la mort» en tant que telle = cette roche, creusée, par, de fait, lma bnande musicale d’un temps déployé , nous voulons comprezndre c e qyui est et pour cela nous nous affichons de concert sur roche, e,n transe, main dsans la main, la menotte d’un ou d'une dans celle de l’a utre etc, cela est une vérité à prendre en compte
, nous solmmes ensemble soudés c’est à dire un ensemble soudé, nous sommes deux accolés, nous sommes soudés par la bbande musicale des embruns du temps, nb ous somlmes deux êtres qui sommes soudés accolés par ce fait cde roche, d’une sortye d’embardée votive à même la pierre = à travers elle ! notre nom = celui là, qui nous «tend les bras» au devant se soi (de nous deux) comme une sorte d’entité rocheuse déifiée ! nous voulons ensemble dans l’accouplement comprendre ! le coït aidant ! car la vie (temporo-pa riétale) est une roche rude , et kl’accouplement est cette incursion (immixtion) votive qui sonde la roche et la perce de son pic de verbe acéré ! vive la vie ! nous cherchons à comprendre vif ce qui nbous azttend (attendrait) par la bande, et pour cela nous sommes deux (deux accolés) qyui gravons grave la paroi du temps , eureka ! cette sorte de paroi du monde, cette vive chose rude pierreuse ! nous voulons
savoir et comprendre et faire cette chose ensemvble icimême sur roche = crevaison ? immixtion-crevaison ? passage à deux dans la sphère meuble ? quoi dire sur ce ? nous posons nos victuailles (noms, prénoms, âges et qualités) à même la roche du temps et croisons les doigts ! nous sommes deux qui voulons comprendre ce qui est dans ce qu’»on voit , et pour cela : la transe gutturale ! le mot rude grav»éé sur la roche , comme aurochs de co:=pagnie ! nous sommes nous deux qui cherchons à comprtendre les données les plus frontales (effigies) afin dec comprendre les données les plus natives, radicales, enracinées, etc de la roche des temps, nous voulonsaller dedans ! loin ! passer muscade ! poiindre ! saillir! creusqer ... madame la roche et monsieur du rocher ! le toucher comme on toucherait la banquise ! filons doux ! per!çons la roche à la manière des aurignaciens/ aurignaciennes ! nous sommes deux qui sommes ceux qui veuleznt sa voir ! qui et quoi nous atteznd devant ? quelle est donc cette musique ditec «des embruns» ? je veux savoir ! je le veux savoir, ou la ! je ne suis pas né de la dernière pluie ! je suis un homme aurignacien en transe et qui lévite, face à la pâroi du monde ! je suis un homme et une femme, un tourment et son contraire édulcoré, je suis femme de roche, homme des ezmbruns, homme-femme des temps incertains, je suis : la femme graveuse ! l’homme riche de sseees cris ... d’homme touché par la bande ! femme au racloir, au pic de grave, au sarment, à la belle arracheuse, etc ! mon nom (mon ?) est égal à la somme des parties présentes ! = troupe ma troupe ! je suis l’homme des parties soudées ,mon nom est MON NOM, et cela : pour une éternité, ou pas loin de cela qui est cela (en vrai) de roche allouée ! je cherche avec elle , je cherche avec «elle-femme» en moi-même, la vérité, la vérité sur les prés , quelle est elle ? je suis homme de laprairie des roches, je vais et je viens en elle, MON NOM s’écrit en lettres majuscules, je suis ombre, hombre, homme, home, heaume, l’homme-femme aux accents de rage brute, cette somme des envies rocheuses pariétales cdéployées à même latable aux offrandes : vive moi nacré, cette somme de données rageuses, e,nveloppement et déploiement de cxhoses et autres (bric à brac) à dééposer incidemment (négligemment ?) sur la pierre de taille des offrandes (à faire) à déité ! je = nous = vous = moi = toi = quand je cherche = quand je suis = nous sommes, nous sommes cela que nous déposons sur roche des temps : pis aller par une bande et pour une ba nde langagière ! le temps = cette sorte «en soi» de déploiement-déroulement pariéto-temporel, ce la de contrebande, cet élan vif (tic et ta c) qui sonne la charge sur roche : aurochs ! encore aurochs ! toujours ! cette brebis, ou autres betes de prairiesq : nos freres et nos soeurss d’infortune pariéto-frontales, nous voulons comprendre dans les profondeurs, nbous voulons sonner le tocsin, la cxgharge, ébouillanter ! brulons nos cartouches ! sachons ! sauvons la mise : vivons tardi ! kla vie ici est pariéto-animalo-frontalo-pariétalo-rustique , on le sait ! nous voulons savcoir ce qui est, ce qu’est la mort, ce qui nous attend devant, devant ou derrière, ce (cette sorte de) déroulé musical des sphères, où va t il ? qui est il ? qui nous voit ? sommes nousq vus ? voilà : sommes nous vus ? qui nous voit ? qui nbous voit si nous sommes vus ? qui pour nous voir si nous sommes vus ? qui peut ou pourrait ? qui a des yeux pour voir ? qui nbous voit avec ses yeux ? qui sans roche nous visionne ? où ? nous visionne nous approche nous condamne ? nous quoi ? nous voulons savoir ce qui est en roche des temps alloués à vie d’homme ? je suis homme de rage, je suis homme et femme de rage frontale et c’est ainsi que, en, lévitation, sous influence, je trace les traits (vifs) de la bete à
cornes (pâr exemple) sur la roche car je suis un homme-femme des cavernes, je suis cette homme-feemme des roches (alloués) de grotte et je vais et viens ezn cette roche des embruns à la recherche de la v érité, ce qu’elle est pour «moi» (= nous) qui sommes (qui est) somme de choses rudes, à devoir endurer une vie durant ! je = nous = vous = me = noir, ce noir de la roche profonde, etc , cela est ainsi et cela nous parle, je = cette chose dans un noir de jais de grotte (de fait) antédiluvienne, homme des cavernes je traverse ainsi les donnéeszc rupestres et me retrouve «de kl’auttre côté», côté «chandail» à chercher pitance musicalement, ainsi est, car la vie tempiorelle est (en vrai) musicale comme un dxéroulé de sonorités fluctuantes, un fleuve de mots, une cha rge vive dépl;oyée comme un tapis de bzain
au sortir de la toilette , nous maerrchons vers des biches des prés, nous solmmes soumis, nous nous entichons l’un ou l'une à l’a uttre, nous creusons la roche, nous voulons akller loin en cettye roche dure des attraits et des apprets, nous creusons à deux la roche rude, dure-rude, rude-dure, «rudure» etc, car la roche est telle qu’elle se voit pour bnous comme creusée de l’intérieur (ici) par la bande : une sorte d'érosion temporo-massive, etc: charge animalière, sortie brève mais vorace, puissante, complète, tonituante, etc, nous voulons toucher latimba le ... du temps musical ! et comp^rendre les données de base et pour cela nous y allons, de notre immixtion brutale : à la une, à la dfeux ! et c’’rst ainsi que nous nous affichons ensemble en roche , nus comme des vers des prés, prêts à nous laisser guider comme par lma ban,de muusicale animalière des betes de roche (aurochs, bisons, chevreuils, rennes ou ours des cavernes) et ainsi touchés, nous nous laissons guider sur roche vers des sortes de finalités brumeuses de type anfractousités fumeuses, trous de boue, trous de terre ouverte, etc, volcanités ? volcanités ou autres embouchures ! car, la vie va (musicale) qyi nous emporte en sqa paroi cde roche ! nous sommes deux pour un faire vif, nous traçons des b etes sur roche, nous dessinons à deux (deux en nous mêmes) ces betes, betes de roche dure, betes de poids présentiel, creusan,t la roche de nos pics de verbe, de ce pic de verbe en nous intégré comme par la bande, pic de rochhe rude, pic des pics, sortant des bouches nôtres comme sortes d’invectives : nous hurlons ensemble notrte vol:onté vivace de rester en vie sur roche meuble ! nous crions à l’emporteée ! nous ne voulons pas DCD ! voilà le pot aux roses déployé ou déposé ! car ... car la vie en nous est telle (animalière) qu’elle s’ébroue à part nous sur roche du temps = dép;:
oiement rocheux de première ! les mots sont du xsang ! le sang est l’instrument de mainte»nance et de ma intien ! la vie est rude comme une galette ! je cherche avec elle, Elle, et elle même égaleme,nt cherche que tu chercheras des vérités certaines, avec moi qui suis la bete, ici, de rochge ancrée = gravée ! et ce, sur le champ des batailles (rixes) de prairies, de prés allouées, etc, nous sommes des donneurs / donneuses de victuailles, nous donnons le sang de nos propres ambardées rocheuses, nous voulons VIVRE ! vif la vie vive le ou la ! nous cherchons à creuser le temps ensemble dans ce sang de roche du temps ! vive la qui est le ! vive le qui est la ! nous ne voulons pas mourir ! nous-je ne voulons p)as mourir ! je-nous ne voulons pas mourir ! je-nous ne le voulons pas ! je suis nous qui est ce je qui ne veut pas passer .... l’arme à gauche du tout ! je suis homme rude (dur) qui pose sa main (main, main, main,; mzain, main , main, main, main, main, main, main, main, main, main) sur la roche et cela vivement (comme il se doit) pour scander une (sorte de) immixtion soudaine et la graver ! je suis celui ou celle là qui grave sur roche une sorte de portrait de cghoses, sorte de portraitdes choses du temps, je cherche à comprendre les données de base, naissqantes, à m^$eme la roche, native, du temps : où sont donc les brebis gâleuses ? qui porte un noim ? combien portons nous en nous de betes de
roche ? qui en moi s’ébroue de la sorte (criant ou vociférant) ? que dois je dire à l’emporte-pièce ? qui va là en moi ? qui est lk’homme des embruns ? suis je l’homme des cavernes sus mentionné ? que vois je ? qu’entends je ? suis je l’homme rude rudoyant ? je chercxhe un savoir animalier qYUIi expliquearit le pourquoi du comment nous nous sommes retrouvés comme intégrés à la roche (dure) du temp^s imparti ! qsui ? qsuand ? qsuoi ? où ? pourqyuoi ? à partir de quand ? jusqu’où ? qui de quoi ? quoi de quand ? pourquoi et comment kl’homme des cavernes en moi qsurnage-t-il dans le temps présent ? je suis homme de rage pariéto-calcaire, fait (de fait) de la roche du temps = kles mots «de ta race pute» ! ou comment ? «de ta race pute», vraiment ??? ou comment ? invectives avons-nous dit ! je suis moi-je une invective an,crée de verbes acérés ? est-ce ? je suis «hombre-acéré-invectives» ! ou quoi d’autre ? je suis l’homme-hombre-ombre- heaume-home-femme-fame de la paroi dure du temps menaçant ! mon nom (MON NOM) est personne, je vais et je viens en roche rude comme enfant sur terrain de hjoie (jeu) ! je (joie) suis l’homme de roche, la femme des roches sanglantes, l’enfant fol des temps de jeux récréatrifs, la monnaie du pâpe ! je regarde au loin la bete des bois et des sous bois, la biche gracile et le cerf géant qui file à toute vitesse , je suis homme-biche du TEMps fol, ou fou, je (joie) cherche (cerceuil) la vraie vérité des temps alloués, cette charade ! suisq-je daltonien ! je mire ! j’ouvre les mirettes en grand pour y voir du mieux possible ! de mes yeux je suiis ! je veux de mes yeux faire ainsi : la chose :
la voir (de visu) comme une e,ntitév (sorte d'entité) matérielle, etc , je cherche à co:mprtendre où donc «la vie pariétale» me mène ici bas, qyui me pousse à tenter des appreoches (sauvageonnes) à même la roche, du genre : l’aurochs répétées, renouvelszeé, ou bien du genre : le cheval e,n bande, etc : des sortes cde frises ! et cela pourquoi pour la bonne cause ! je suis l’homme desx temps alloués
à roche rude ! je suis homme des temps alloués
à vie de temps perdus, ou comment ? le temps est lm’écoulement (musical) des pareties dures d’une roche de paroi rupestre ou comment ? je (joie) suis (son) celui ou celle (les) qui fais ou faisons allégeance à toutes les pareties, et crions (lévitation) nos hzaines p^remièresq (§rancoeurs initiales) sur la roche dure ,
nous pleurons ... nos larmmes de jute ! vive le roi de roche rude : le chevreuil , la biche, le cerf, le cheval, le bison, le renne, l’ours, le mammouth, le singe, le lion, l’antilope, etc, je regarde autour de moi et qsue vois -je sinon quoi ? des betes de poids qui en imposent (de) par leur présence, pesent lourd sur roche des temps et font forte impression ! et cela : à visée de sauvetage ! bnous savons cela ! nous le savons depuis le premier hjour, depuis le jour de l’immixtion, de notre immixwtion ! depuis lors ! je sui homme-enfant-femme de paroi, MON NOM s’écrit (ainsi fait) en majuscuyles , je cherche à comprendtre ce qui (dans les mots de ce langage articulé qyui en fait nous colle au corps) nous doonne ou donnerait de ces indications nous permettant de «fracturer» (ensemble) la roche du temps, et (dès lors) de perdurer, par le sang en nbous contenu, etc, je cherchje dans la profondeur des parois musicales, cette hjoi!e du hje asssoupi, de ce je qui (assoupi) laisse aller de lui kles données ( physiques) de base, nécessaires à la pour ainsi dire boonne adaptation de son être fou (= noommé ) à une sorte d’au-delà de soi pariétal,; au delà pariétal de soi, comme une sorte de verrue, d’excroissance, de surplus, de main ou de doigt (qui sait ?) surnuméraire : qui je suis en vérité ? une somme de cxghoses en surpl;us , bete de rage ? collage ? transistor ? je veux co:mprtendre puisamment ce qsui est en moi qui dit ... ce qui est en moi ! et pour cela, je dois m’immis cer
en cette sorte de paroi d’une grotte perdue dans une sorte de vallée de roche, je veux = je suisq = je vais = je sais ! je suis je vais ainsi en roche dessiner l’aurochsq, le renne, le renne, le cheval, l’auroch, le renne, le renne, le cheval, l’ours etc, je suis soumis, malléable, meuble,, mou de chgez le mou des temps, homme des cavernes traversé ou comme traversé de pied en cap par la ...
déité du lzangage vif (musical) des sp^hères divinesz, des sphères de roche, etc !
je suis homme des embruns et des roches perlées, MON NOM (majuscule) est celyui ici de l’homme du temps , à savoir : SPIG le pig, ou bien ... NOlogips ? ou e,ncore : le SPIG, ou SPIGOU, ou même : SPI, etc, à toute vitesse ! je ne cherche p)as je trouve ? hum, je suis cet homme de roche coriace (TEMPS impartis) qui cherche ou chercherait une sorte de vérité-déité dans un lan,gage de destibnée, ou à destinée, essentiellemen,t votive ! je vais de mon mieux sur rocghe vive des attraits , je regarde paitre une bête, je veux la cerner cd’un trait vif, au cxharbon de bois, à l’arbalette ! je me meurs ainsi désignant , et ce»la est une somme de tourments surnuméraires, ou pas ? je suis homme des temps déposés, cet homme aux dons divers, cet homme du temps fol alloué à une roche rude et dure, faite des ami.es du temps ... sous formes de betes de poids et de charge, je suis l’homme dit «de la roche endurée», je suis l’homme et la femme jhoints, je suis homme joint à femme jointe, je suis l’accolé accolée, je suis l’accolée accolé, je cherche en elle (roche) une fortune qui fut pour ainsi dire celle là qui me maintînt en vie pour une éternité «pariéto-pariétale», je vais danc cette roche du temps donné avec en moi une sorte de chose de poids (parioles drues) qui put « faire la différence» et s’imposer ezn tant que pis-aller, ici, de fortune (donnant-donnant : je donne la vie, je conserve la vie
= je donne une vie à la mort = je donne à la mort une vie «morte» et ce faisant je conserve à part moi la vie) , je suisz homme du trouble (^pariétal ) des genres déssinés à même la roche des tempsq et, dessinant, je v ais sur roche détail;ler les mots du nom, du nom qui m’incombe, je suis homme de paroi, je vais loin en elle, je cherche vérité de bon aloi, je suis une bête moi-même et en tant que bête je vais droit, je file vrai, je charge follement et :mon nom est celui là que mon corps trace de toute sa charge sur la pierre des embruns «matutinaux» , cette sorte de donnée (rupestre) primaire, ce cri de base inaugural et ce dessin vif d’une sorte de bete ... revancharde, je mesure ce qui est (de la vie et de la mort) à l’aune de la v érité gravée par ici un homme et /ou une femme des cavernes et ce faisa nt je deviens moi même et bete de charge et homme ou femme des cvavernes ! je veux ettre l’homme naissant ... à une mort douce, feutrée, te,ndrte, assoupie, etc ! car MON NOM est ce tracé de roche, cette voie
d’accvès, cette félure entre quelques traits qui , peut-être, se ressemblen,t, etc, je veux comprendre (loin) les donhnées du temps, du temps alloongé, quelles sont elles et pour’qyuoi douter des choses rudes ? je =
je = je = je = je = je = je = je = je = je = je = je = je = je v= jev = je = je = je = je = jeu =jeu = jeu= jeu= jeu = jeu = jeu = jeu =
joue = joue = joue = joue = joue = joue percée par en soi une
pique animazlière faite de verbes crus, de vivacités verbales, de.... de ces mots de roche drus (les mots) comme piolets de cre v aison vive, etyc,; les mots en moi sourdent comme un horizon ! je suis l’homme percé, troué de lm’intérieur par une sorte de cohorte (vive) de betes à cornes (pour la plupaert) et c’eestbainsi que je me vois tracé sur roche, par un homme des cvavernes ou même par un homme «fou» des cavernes ( ?) ou bien pâr un hommùe transi (?) des cavernes ou même par un homme sous emprise ! sous l’emprise en lui x’une bete de roche, bete forte-fauve sortant de sa bouche (trou de joue percée) et allant pour se loger fisqsa dans la roche du temps ! je regarde loin les embruns
: où sont kles vérités de base ? qui peut dire où sont les vérités drues ? qyi croire ? je cherche une somme de choses tracées, de type vérités de bon aloi ! je vais de chose de traits à chose de traits ! je veucx comprendre les données (toutes) du verbe natif, ce que, de fait, le verbe sur roche charrie et peut nous appren,dre, en termes ici de vérité de bon (de bon
?) aloi , et, pour cela :
piqueton ! pique roche de première ! la roche est piquée ! Roche-Piquay la belle des belles ? qui suis je pour ainsi ... «tenter le diable « ? qui je suis pour aller pareillmezment fort dans ? qui ? qui pour vrombir en ici cognant pour une traversée à la rude rude ? je cherche une donnée qui fut donnée de base, forte, rude, traçante, on l’a vu , et pour cela, je me jette tête première dans la roche meubkle et m’immisce au vif ou tente cette cghose, cette vive incursion ici d’un soi animùalier dans une sorte de poche de vie secondée (il semblerait) par une emprise, etc, je file droit fissa dans la roche des données rupestres (sur le temps) et pour cela, je me sers de c ette chose en moi, dont le nom est ... «piqueton» ? sorte en moi d’organe de vie», de penne sur roche, double donnée, denrée ? donnée cde vie vive : vit ? chargeur ? coupeur ? pic de rochge ? je suisq l’homme des embruns votifs, mon om est le nom qui dit sa cghose (pariéto frontale) de première = native , et pour cella il doit passer par une sorte d’immixwion (souterraine) d’incantation, ou commeznt dire , d’incandescente incantation, etc, je suis l’homme qui revient de fait vers le temps déposé, déposé sur roche par ... cette sorte de ... bete (de poids) déifieé ? et approchant la bete je m’incline debvant elle et lui donne c e que j’ai, en termes
de vocables ou auttres savcoirs gutturaux, etc, je donne (sors) de moi les mots de ma race-rage, etc, je suisq un animal ! j’acte ! j’agis ! je suisq lm’animal de la prairie ! je suis cet animal de joie, de joie pure ou dite pure pâr la bande et par la joie, je cherche une voie la plus directe qui soit pour allezr fissa vers ces lieux de vérités de base (naissantes) qui pussent me donner de quyoi comp^rendre loin, et profond, «ce qui est», je suis un homme-femme rongé, je suis l’homme (la femme) rongé
(rongée) qiu vibre de tout son élan sur la roche, et trace desq betes comme à main levée : main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, mùain, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main , main, maion, main ma in mains et pieds liés pour ainsi dire, je suis animal, je suis un animal, je suisq cet animal que je dessine, jhe suis l’animal que je dessine, jhe suis cet animal que je dessine, je suis un animal, je suis une animal, je suis animale, je suis l’animale, je suis cet an imale qui trace sur roche desbetes de poids et de forte présence votive, je suis Aniumal le charmant, je suis Animal le Fol, Animal des Rois de Perce,; je perce la roche ru$de armé de mon pic de perceé votive, je suis Animal le Geznré perlé, je vibre à même la roche gr aniteuse, je trace les données de base = les véritész, ce troupêau de betes fortes;,, pesantes, lourdes, vives de chez vives, etc, je ne suis pas la belle meunière mais je suis le traceur de ces roches de rage, je veux ! je v eux comprezndre ce qui est ! jhe suis ! je suis celui qui veut ici cette cghose , je vais ! je vais dans le sas de la roche du temps ! je crainbs, je crains les effetss délètéres d’un apprentissage bloqué et bloquant , je file dru vers des horizonsq de parade agraires, etc, je file rondement, je suis l’homme aux quatre ven,ts des roches du temps , je vbeux pour ainsi dire, aller dans le san g, dans le ventre du temps royal, l’habiter fissa, m’y loger vivant et y demeujrer, je veux comprtendre l;ongtemps et loin et souvent, je veux pôuvoir savoir et compter les donn,ées (les données de base) en termes de den rées à déposer (de fait) sur table d’offrandes : et, si les mots ... étaient des offrandes ? je veux essayer ou tenter des approches, qui fussent celles qui pussent ici m’(offrir des sortes (en elles m^$emes) de vérités vraies, ou comment sinon ? et si le verbe acéré (l(insuylte, l’invective, la méchanceté, l’ordure prononcée, etc) étaient cette chose, ou représentait, d’une sorte de
«Vérité grand V», qui fut
«Vérité des Vérités» ;
si ... ? car quoi ? nous ne sommes pas sezuls dans la meute ! les mots sont ils nigauds ? doit on chanter la pa rade nuptiale ? le cordial ? le coeur à l’unisson ? je suyis l’homme ici «de lka caverne cachée dans lles prés», jev suis l’homme aux pouvoirs fous qui tombe, qui va, qui entre, quyi bouge, qui s’étire, qui marche, qui boit, qui mange, qui chie, qui pisse, qui hurle, qui brandit son baton de p;uie, son a rbalète, son pic de percvée, son museau dde tanche, son élan ! le voilà) qui brandit sa bête de ra ge en son sein, dson coeur de vie vive ! érection ! le voilà qui souille ! il entre en floraison à même la roche, oup la houp le voici ... entré commùe une fleur ! je veux comprendre s'il vous plaît les données les plus fines et vraies, d’une sorte de monde (pariétal) de roche, ce que celuyi ci contient en lui en termes de données vives, riches, vibrantes, qui eussent pu nous donner «du mou» dans cette charge de vie à vivre et à vivre fissa , nous sommes deux (elle et moi) qui cxhargeons sur roche, artistiquement, nottre «mal de vivre» ou comment ? cette doulopureuse frondaison ? cette doulopureuse immixtion dans la roche ? cette entrée furieuseet furieusement douloureuse dans la pierre des temps alloués ? je cherche à savoir : qui et pourquoi ! qui préside et pourquoio cettevallée de larmes ! ces données ! ces dons ‘ ces vibrations ! cette chose à bnous déployée devant nous comme une sorte de découverture ! je suis ou serais l’homme des cavernes, je serais perdu dans la roche du temp)s, je dessinerais des betes de masse sur roche, et cela comme sousz ezmprise ou sous l’emprise de tellle ou telle bête de pa rois, de type aurochs, ou ours des cavernes, etc, je dessinerai à m âi n levée des betes de hjoie rude, des mots de parois, le mal intrinsèque, l’insuylte vive, etc, je sezrais cet homme des temps reculés,
armé de son ba ton de joie, pic à) tracer, qui dessine ou dessinerai kles mots de sa rage = de sa race = de son mal de ragge = de sa vie vive dép:loyée, je vais sur paroi ainsi armé et grave à l’e’nvi les données primaires , à savoir : ces mots, qui sont mots de rage, mots de rage vive, déployée sur roche dure des temps impartis, je ne souhqaite pas tant que cela passer l’arme à gauche dis-je, «je ne veux pas passer l’arme à gauche», je ne veux certes pas», «je ne souhaite certes pas», «je ne suis pas de ceux ni de cellmes qui souhaitent là, présentement, incidemment, b rusquement ou autrement passer l’arme à gauchjze, ’» je ne suis pas de ceux et de celles qui incidemment brusqUement souhaitentt passerl’a rme à gauche», «je ne suis pas de vceux qUI souhaiotenyt vivement pàassefr l’arme à gauche», « je = nous ne voulons pas (passer
l’arme à gauche)»’, «je pas vouloir passser arme à gauche» = «je ne pas vouloir mourir», «je moi jamaéis vouloir mourir» = «moi je jamùais vouloir mourir» = je (moi) pas vouloirv mourirsur roche», etc, l’(homme est à la bête, ce que, en vrai, la peau est au chandail, l’homme est cette sorte d’entité de roche temporelle, qui fonce fissa tête première dans le tas = la roche (en grotte) commev un forcené ! son en,vie est folle ! son désir est fol ! sa voix est folle ! son engouement est fol ! son envie de vie est folle ! sa perc ée est folle ! sa hjoie est folle ! sa vaillance est folle ! son trait est vfol !sa p)ariole est folle ! son cri d’élan, est fol ! son ordonneme,nt est fol ! son chandail est fol ! sa viçtesse est folle ! son aisance est fol ! son cri guttural est fol ! sa peine à tracer, est folle !
il avance dans la roche comme l’animal, de race et de rage vibrant, comme animaél vibrant de race et de rage, fou de roche immiszxcé, intégré comme une donnée, il cherche en elle la beauté racée des vérités vraies « (?) ou bien la chose quyi dure .... il est vif comme l’éclair, il est l’homme des cavernes au pouvoir donné de pôuvoir aller
dsans kles profondeurs nacrées de la roche du temp^s imparti à une vie d’hommme, je suis l’homme des cav ernes a ux pouvoirs entiers: de pouvoir entrer dans la roche armé
d’un baton ou d’une sorte de baton de jhoie : hourra ! vive les fiançailles ! chercghons dee quoi trouver la vérité vraie ! allons de ce p)as à la recherche de la vbérité (vraie) des vérités vraies ! où sont elles l;ogées ? qui les connait ? qui peut parler sans gêne, sans honte, sans honte bue ? qui est l’homme-femme des situatuionhs (fortes) àç développer ? qui comp^rend la vérité des vérités ? qui est homme entier ou femme entière vive ou vif qui peut savoir tout, tout de tout, à la manière des sc iezntifiques ? qui ? quel homme sait manier l’»épée, l'épée de percée du langage acquuis ? qui comprend les mots comme personne ? qui pêut comprendre commùe
pezrsonne kles mots de roche et ceux qui gravitent autour de la roche, par exemple : qui, pour comp^rendre les mots de l’insulte à p)aroi ? ou bien : qui, p ôur comprtendre les mots de la hjoie raide ? je nous suuis ici pour le comprendre ensembvkle, nous no!s immisçons ensezmble pour je le le comprendre, nous, et en faire jhoie, je nous voulons ensembvle comprendsre les choses (pa riétales de fin droit) pour savoir ce qui de quoi nous interpeelle fissqa longuement au bout du bout d’une voie octroyée, etc, je suis vcet homme qui parle à la mort ! je suis de ces hommes de foi qui parlent à la mort ! je suis un hommme femme enfant et bete de rage , qui pârle (en MON NOM) à kla mort, et ce comment eh bé ainsi : par cette sorte d'échancrure dsans le temps, en passant la tête, pas szeulement la tête mais aussi le sexe, et plus encore : le corps en entier, fissa ! hourrah! vive le roi de la roche dure, l’enfant courronné, le manant des temps bénis par l’animal de roche (aurochs ?) qui no!us regarde de son air de rien tout en broutant kl’herbe du pré vert, je suisz cet homme aux pouvoirs divers, en transe ou pas loin, qui trace des betes de rage sur paroi de grotte , le voil:à qui se porte là sur l;a belle murette de roche, et trace! grave ! grave grave à l’envi ! ne s’en laisse pâsx compter, nb’oublie pas de dessiner des «betes de vie» qui font croire à de la vraie vie, dieu est un ensembvle de donbhé&es de base qui com^preznd des vérité»s sensibles mais aussi lesz mots de la tribu, et de ce fait : nous nous «comprenons», == nous nous colloons les uns / les unes contre les autresz, nous sommùes collées ! nous sommes sous le joug d’une
volonté divine d’encollage minéral (et sidéral) de première, incommensurable et indécrottable, nous = je, l’homme décollé ou tenta nt de l’être ou comment ? je suis, sur roche du temp)s, à la recherche d’une vérité (sorte de vérité) de bhon aloi, je veux savoir ce qui esdt, je veux comprendre les données les plus anciennes, je veuc comp^rendfre les données du monde les plus ancie,nn,nes et les plus ancrées dans ceztte roche des temps vifs, des temp)s des hommes, vifs, des cvavernes, ett des temps des femmes, vives, des cavernes, des hommes et des femmes et des betes vives, etc, vivantes sur roche, en lévitation (ce petit monde) et sous l’emprise, en eux et en elles, d’une force tellurique incantatoire de première main, je gratte la roche, je suis cet homme outillé, je pénètre en elle, je suis l’homme au membre
sailla nt poussant sa misère, dans la roche du temp^s déroulé, je m’immisce : nous nous immisçons,; nous solmmes deux à nous immiscer ! nous nous immisçons, nous nous immisçons, nous sommes deux qui nous immisçons, nous entrons dans cette roche de paroi, nous sommes entrés dans cette roche de parois meuble, nous soommes à présent immiscés , nou!s sommes tous deux / toutes deux à présent int&égr&ées à la roche dure de la roche meuble de la roche rude des temps ou commênt ? nous sommes deux :
nous sommes deux qui allons dedans :
nous sommes deux qui ensemble = main dans la main, allons à l’intérieur de cette rochge aux embruns dits «matutinaux» et ce faisant, nous nous logeons pàa rmi les betes de prairie, biches des sous bois, cerfs géants de Roche des Prés, ours, ourses, chevaux des effluves, re nnes cxhargeant, ours des cavernes, des lions, des brezbis, des betes tout azimuth, betes de pârois des hommes = effigies et trompê-couillons, trompe la mort de prezmière, art en tant que telk, etc, nous cherchons ensembvle à comprendre le fin mot de cette chose desq parois du monde contenant les « betes... de la vérité du monde», et pour cela nbous nous conditionnons, nous parlons à haute voix, nous hurlons lma douleur ici d’une déchirrure-échancrure de bouche-roche par où passeront des mots, vocables quyi piquent -percent et poussent à une traversée dees a&pparences rupestresx, inchallah ! nous aimons traverser la roche, le temps est l’enfant du mal (mal-douleur et mal-mal!) et c’e’st ainsi que cette chose advient : la vie terrestre, à travers, de fait, l’événement d’une bouche percée (pas moins !), et voilà dès lors c e qu’il en resssort en termes de vives données : je suis homme des cavernes, au titre de... femme des cavernes, au titre de .... homme des cavernes, ainsi de suyite, je suis lk’être du bois joli(biche ou cerf) qui gambade à même la paroi du temp)s, mMON nOM est inscrit sur la roche , il signifie l’amant, l’amoureux du temps, l’amant ou l’amoureux du temps ici imparti à une vie d’homme ou de femme enlacée, nous allons sur roche à lma recherche d’une vérité qui fît poids dans la balance =
nous allons ensemble (enlacées) à la recherche d’une vérité, vérité de taille, vérité des Vérités de poids et de taille qui pût faire effet et pesezr
16/7/2021
je cherche (vivement !) un sembkant de vérité, je cherche à vif et vif , je cherche vif cette chose d’un semblant, et qui pour m’aider ? qui saura me guider ? me prendre par la main qui ? qui va savoir ? qui est là en roche pour ce faire et dès lors m’aider à mieux m’introduire, à entrer profond en cette roche des tourments, qui va savoir ? qui est là pour m’aider gentiment , pour me seconder et me guider vers les embruns ? qui sait cette vérité des embruns ? qui connait les lois ? qui connaôit les charges pariétales ? qui sait distinguer le bon grain de l’ivraie rupestre ? qui charge et fonce et connait les temps ? qui est le grand ceci de la manche ? je cherche à qui mieux mieux comme homme de la préhistoire, je suis homme ancien au bagou guttural, au verbe acéré comme une lzame, je pique rude, j’entre par la bande, je me glisse par le verbe dur, je cherche fortune en cette roche «des vraies bvérités», je charge : fissa ! j’entre ainsi en pareille rocghe, roche dure, des embruns de bord de mer et je me glisse ainsi pour ainsi dire dans les profondeurs, ainsi comme attifé de mon habit de bure monacal, je suis homme à vif de la roche rude, homme des temps gris, maussade et pluvieux, charmeutr de serpents ou dompteurs de félins, homme de la manche et des tourments, je fais l’aumone , je suis ... nhomme rare ? cheargeur grisou ? dompteur à la manque ? prince déchu ? coureur de jupons ? chercheur d’or ? NON ! qui suis je ? je vais en cette roche chercher des serments, serments adoptés / phrases acquises, je vais en roche des temps brefs comme à la revoyure, je cherche les mots de la phrase donnée, le ou les sentiments avérés, paroles d-’évangile, aussi la courtoiseii, je suis homme de la roche dure des temps impartis à cette vie de rage, je suis cet homme-femme des temps alloués à telle vie de ragee rupestre, je m’amuse ainsi de cette rage, je mords dans la roche du temps, je suis homme-hombre des temps fous et découverts à vif comme une plaie, ouverture dans kla chair blessée, joue percée pour une sorte d'échappée de bêtes de rage, je suis homme ouvert comme une plaie de bouche , laissant dès lors (de lui) passer (incidemment) ces bêtes de poids, ces bêtes de grosse présence, les laisser filer par ce trou de soi et aller ainsi, bon an mal an, se ficher direct, sur paroi de la roche des temps, s’incruster (gravures) et se loger ainsi se chevauchant à même la roche,
je regarde le spectackle des embruns, je suis bouche bée, je vois la bête (sur roche) aller pour ainsi dire de son pas princier, je suis homme des embruns de roche, je suis cet homme aux allures de peu, habillé-ar-ttifé à la six quzatre deux, je suis entré comme secondé par, en moi, la bête des rois de la roche, je suis soupesé, soulevé, mû, je suis entraîné par une force en moi animalière, ilm s’agit d’un appui forcé, une main de rage, un souffle épique divin, une accolade etc, qui me prend la main ou quoi d’autre de moi, qui file, qui fonce, qui de rage fonce ainsi secondé, je fonce à même la roche du temps et je me glisse au beau milieu des betes de rage, je suis homme des parois, je vois ce qui est de la roche des temps, je m’en approche, je file doux, je suis gris, vert, bkleu, homme de peu , charmeur de serpênts, homme des sables, des tourments ici de ta race mère, donneur d’envie de rage ou soulageant la bete en moi de son envie de rage, je tombe ainsi, je suis en une sorte de lévitaztion porteuse, ou comment dire cette retombée, cette chute, en elle (paroi) Donnatelle, ou comment ? je tombe ! je tombe vif ! je tombe de tout mon poids dans la roche ! je tombe vif de tout mon poids dabs la roche ! je suis cet homme qui (de tout son poids de bete massive) tombe dans kla roche ... du temps alloué à Vie de base ! je vais en roche ainsi projeté par en moi la bete des temps, bete rosse et comme tourmentée par son envie d’en (de moi) découdre fissa , plus vite que ça ! je vais ainsi $sur roche à la recherche de la vériité sur les choses du monde , je suis permanemment à la recherche de la vérité, à proppos des choses (ici) du monde pariétal, des betes de voix, betes rosses et trappues, bouquetins ! je vais syur roche et trouve (pour le coup) ... LE ...
bouquetrin de la roche : homme-bete des p^remières loges, il se plaoit à gambader, sautiller, grimper, paitre ou manger des baiees, je suis (ici) l’homme-bouquetin = son frère, amitiés précidpitées, je vais (de ce pas) en son fief = roche, à la recherche de la vérité ici logée, je suis homme des embruns diurnes, des mauvaises passes, des troubles dans le genre, des leçons de flottaison, des cris de rage, je suis homme du temps «des embruns nacrés» et je m’approche de lazbete, la bête des prés et des bois, je suis près d’elle swon dompteur, son ami de roche, son étai-charmeur, son correspondant, sa douce amicale attentive soeur ... ou cvoimment ? car sa voix est gutturale et retentit fort dans les champs ,
il s’agit d’une bete de roche rude,
homme-bete de paroi des temps, des temps dxonnés, je vais sur elle pour la chevaucher, et filer ! je file ! je file à l’anglaidse, ici, parmi les autre s bêtes de la roche rude ! je suis cet homme des cavernes au baton brûlé, dessinant ces traits, ces cornes, ces points, ces yeux, ces silhouettes, ces mains, ces combats, ces cornes, ces bois, ces vbulves et aiutres efgfigies de roche, hjje dessine à l’envi des portaiits du monde pariétall, je suis fin guerrier sur la roche rude, je grave kles traits qui s’imposent, je suis pris au collier, soulevé comme une jupe ), détroussé (comme un riche rentier) par la bande , je suis homme et troussé et détroussé, pillé de l’intérieur par une force-rage en moi qui vous lamine vite fait, qui vous prend d’assaut, qui vous fiche à plat sur la lande, nez dans les fougères, je suis pris pzar en moi une bete des rois, bete fauve de paroi du monde, une betye en moi me soulève,;, charge son baudet, me couche littéralement sur roche à graver et me pousse, me condamne etc, je suis homme pris comme un sang pris qui serait à percer , à tailler pour une vidange, etc,
je suis cet homme des embruns montant sur roche,
je vais et je viens sur roche dure, je suis soulevé par une bete en moi (de rage folle) qui va sur la roche et me poussee à : me caler à elle, à roche belle, me caler sur elle fissa et graver, qui l’aurochs, qui le bouquetin, qui le renne, qui le bison, qui le cheval, etc, l’ours des cavernes menaçan,t, le lion rugissant, le rhimnoczéeros, ke buffle et le sanglier, l’antilope de prés, Bambi, je suyis homme ... de la roche des bambis ! des chevreuils comme Bambi, des biches douces, je suis homme dur de la roche douce, homme du Temps, charmeur de serpents , enfant de la balle, donneur de leçons rupestres etc, je lm’infiltre comme (en tant que ?) bete de charge,
en cette roche des embruns de bord cde mer, j’entre par la bande, je suis fier, donné, colère, homme des prés, chasseur estivalier, etc, je charge squr roche de toute ma superbe boisé, chevreuil ou faon de terre-mère je m’infiltre et montre mes bois, je suis fier comme un seigneur des prés, je vais sur roche à la recherche de la vérité, des temps incertains, des parois du monde =
cet espace -temps des embruns, des effluves, des virées de rage, des nuages et des traits de rage sur la roche : points surnuméraires, tracés au bâtonb, cercles de l’enfer, mains à la toque, nous sommes deux qui ici gravons (en moi) = elle et moi, c’est à dire ... Donnatelle et moi, je charge !
je suis cet homme soulevé ,par une force incandescente en moi , qui a un nom, ce nom est un nom de rocghe, un nom de belle prestance (romance) et ce nom est vif, vif de rage, nom de base pour paroi de rochge, nom de nom qui va son chemin, nom des noms de la bande etc, jean de branche dure etc, je file ! je suis Hombre des chevaux, des bisons des toits, je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe ! je tombe sur lke champ, je suis homme tombant sur un champ de roche, je suis l’homme des tombées et des retombées sur roche des temps, je suis homme-aznimal des oparois du monde, je cherche à savoir ce qsyui est ici, de cette rocbhe des embruns, de pareille paroi de roche du temps, ce que signifie ... cette chose forte, cette force de paroi, des temps durs, des temps endurcis, nommés, caillassés, etc, nous sommes deux pour faire ainsi quye le nom perdure ! je cvherche à comprendre ! je suis fier comme un serpent ! redresse mon cadavre ! retour des enfers ? perduraison, perduration , perdurement, perdurance ?? je veux etre et comp^rendre l’etre , savoir long pour aller loin ... en pareille roche ! je suis homme des prairies et des bois et sous-bois d’alcove! je chercjhe ! je suis en cette rocghe des apprêts du monde, ... dieu (pariétal) de la force rude ! dieu du sang envahi ! dieu rivé à une chose déployée sur roche ! dieu meurtri comme par la bande ! ceet etre, de la rochge rzaide, tombé à ka rebnverse, dépoitrenaillé, qui se laisse approcher, qui parle en mon nom et dit ses tourments (tous emmagasinés), il dit : «je suis le dieu (vivant) de la roche, je parle une langue fauve, mon nom est un nom d’smprunt, je cherche pitance , je suis le moins-que-rien de cette roche des apprêts, je m’en veux d’etrte, je ne suis rien qui vaille, laissez moi pleurer toute ma misère de taille «, etc, je suis hommùe du temps des batailles sur paroi du temps, je cherche à comprendre qui est qui : qui est moi , qui est toi, qui est lui, qui est elle, qui est nous , qui est vous, qui est ils, qui sont ils, qui sont elles, qui sont elles, qui sont ils, qui dsont eux, qui sont donc les dieux des rochers posés sur la lande, qui sont -ils ? qui sont les dieux et les déesses des parois, qui sont les choses rudes, les tourments? qui sont les tourments ? quyi sont les choses rudes ? qui pleure sur roche ? qui est qui ? la mort est elle au rendez-vous ? a-t-elle du chien ? doit-elle nous voir, nous voir etre ? est-elle une chose vide ? un caillou ? nous pleurons à notre tour, nous sommes deux sur roche à chercher de quoio en vrai nous sustenter cvonvenacblement (= à notre faim) et pour ce faire , nous grimpons sur les hauteurs à la recherche d’une vérité, vérité de poids, vérité de rage dure, vérité des vérités, nous cherchons cette chose ensemble (= de concert) dans la lande, une denrée qui puisse pour le coup nous contenter un tant soit peu et nous nourrir un peu, nous sommes deux pour faire cette chose, chercher et trouver la chose de poids qui puisse faire ainsi que nous soyons (nous deux) sinon rassasiés du moins contenté un tant soit peu, nous voulons comprendre les données de base, les tourments du firmament, lkes parois ornés, les mots de ta rage (folle) de paroi, homme des cavernes : qui es tu pour nous qui sommes tes frères ? est tu l’homme des bois de la roche rude ? vas -tu chasser la bete au piquet ? es tu l’homme des chasses vaines ? chantes tu kle chant de la guerree ? as tu du chien en ton ^me et conscience ? es tu fier ? as tu raison ? es tu de la partie des chances ? es tu vif comme un damné ? es tu charmeur de betes rac»ées ? vas tu loin dans la foret ? es tu une entité pleine d’elle même ? je suis l’homme des cavernes soulevé en moi par une force surhuma ine (surnuméraire ? ) «qui me pousse au cul» et me force à (fissa) entrer dans la parooi, dessiner des betes ! je dessine des aurochs ! des betes de poids conséquent, je suis homm des tourments de roche rude, jke suis homme des tourments de la roche du temps, je suis homme du (des) tourment(s) menaçant(s), je suis l’homme des embruns, des vérités nacrées, des dangers de roche, des trouées et des percées de bouche, des cohortes animalières sortant de ma bouche, de ma bouche ouverte, trou de bouche hurlant sa peine à l’occasion ou pour l’occasion : je suis traversé, je suis piétiné comme quyi dirait, je suis pris d’assaut au taquet par des betes de charge sauvages, rudes, grasses, qui me chevauchgent, qui me prennent, qui me hantent, qui me soulèvent, qui me font cghuter de toute ma hauteur en roche, déclinaison vive ! je suis à la renverse en roche des prés, je chute de tout mon soûl, je suis ivre de la chute rosse, je suis cet homme de la chute rosse, je tombe sque tu ttomberas fissa, je suis l’homme des embruns des roches meubles , des parois de vérité, des tempsalloués à des vérités de roche dure, je tombe ! je suis là sur roche qui tombe et se lazisse emporter oar une fgorce en moi (considérable) forte comme tout , qui m’emporte vif, qui :me fout à plat, qui m’exaspère, ,me met plus nbas que terre , etc! je suis homme qui (considérablement) va sur terre à la ramasse, va, va sur terre à la ramasse, va, va cvomme sur terre à la ramasse, soulevé et projeté par cette force en xsoi «qui pousse au cul» et vous fiche à terre plus vite que ça ! une sorte de bete en soi ! une ou des betes, betes rudes s’il en est ! des betes en moi me chargent, me mettent à plat, me mettent à mal, me font du tort, me font mal, me blessent, me trouent;, trouent ma joue, trou ma figure et forment de ce fait ma bouche ... d’homme qui rit ! je suis cet homme des beautés , de rage rupestre, je syuis le Grand Dessinateur de roche de paroi, je m’appelle en capitale,
je suis Cerf de Roche des TEmps du Passage,
Passage aux Tourments de la Roche Dure des présents Donnés par la Bande Nacrée d’une Joie de Roche / joie profonde, je suis dépourvu de données de base, mon nom est l’antépénultième ! je ne suis rien ! je suyis que dalle : poinçon ! je ne suis rien de plus que le poinçon de charge humaine ! je pleure misère, ma joie de vivre en roche les temps octroyés, et rien de plus que cette chose, donnée par (en moi) une bete ditec «de paroi», je suis aurochs le sage des prés, Antilope la belle gourmande, sommité des prés de la lande, un homme-somme, troupeau figuré, une somme de données maussades, etc, mon coeur est coeur des temps octroyés, je cherche vérité par la bande traçante sur paroi des betes de la roche rude, je m’appelle ... Poinçon le cerf ! ... ou cvomment ? charmeur ? charme ? arme ? ame ? art ? je tombe ! oh me voilà qui vais droit fissqa sous mmoi ! sous mon être mien qsui se tient dans les airs de la roche rude ! je tombe à la renverse, je suis pris de force et tombe
vif ! je suis homme de la roche rude et belle, bellement ornée poar un homme ou une femme des cvavernes, mon sang bout en mes veines et artères, des vaisseaux de nuit, je suis celui qui tombe bvif, à même la roche et de tout son poids sur pareille paroi bellement ornée ! je tombe comme ... disons ... une meu, comme une sorte de... je tombe sur le bec ! je tombe ! je suis l’etre fou de laroche des temps alloués, qyui va de son élan , ou qui y va de son élan, brusque ou brusqué, à même le rocher des prés,
se loger ainsi attifé : robe ce bure ! chandail tricoté main ! sandales de pénitent, de chanteur à la croix potencée, ceinture de chasteté ! je suis l’homme des attrreaits de rage, sombrant sur la plage (?) du termps donné, homme découragé, miserable, tombeau de son allant de roche, tombeau de la roche naissan,te, ce tombeau fait homme, etc, je deviens dès lors le chantre maussade d’une destinée (de rage) allouée, je cherche pitance ! donnez moi de quoi me reswtaurer de graâce ! je suis affamé ! mon corps réclame ! j’ai la dfalle ! merdxum de chez merde en branche ! de quoi me restaurer = baffrer, de grâce ! jai la dalle grave !une faim de loup pour ma place ! je suis homme ... aux fringales vives, aux espoirs récompensés parfois, aus ambitions cdémzesurées, au chant d’azur, aux sauts de carpe pariétaux, au souterrai,ns et autres ravins, aux effluves etc, je vais et je viens en roche à la recherche (vive) de la Vérité (Vraie) des données du monde, cette vérité du bout du boud du bout du bouts du bout du biout du monde, là, à cette place
des doonnées de rage, en ce lieu des présents déposés (offrandes) pour complaire à qui on sait, on regarde : il y a de la meu, ça cocotte ! la mort n’est pas loin il faut croire et nous le croyobns ! croire ici est synonime de parler ! je parle = je crois ! je suis homme du sang dans les veines allant vaillamment son chemin de rage ! je regarde (par dessus) la Chose devant moi (embruns) et que vois je ? une déité de façade ! un chenapant ? une déité troublée par la bande du temps, cette bande rosse, les tourments, les effractyions, griffures et autres pendaisons etc, la mort en a marre ! elle v eut du sang frais, non des victuailles au rabais ! ce qu’elle veut ce n’est pas MON NOM ! ce que la mort veut est autre chose que MON NNOM ! elle veut.... elle veut .... erlle veut .... elle veut de mon moi vivant tout cru ! elle veut «attenter» à ma vie, elle veut de mon ryhtme cvardiaque des profondds, de cette en moi profondeur de champ, etc ! elle me veut vivant et pas mort = des p^zarties ! elle me veut en tant que tout , elle ne vzeut pas de mes parties de rage : temps passé brûlé, nom d’emprunt, aéchandges, dépositions de race petiote, dépots maigres, faux filets, entrecote, rapines à la dérobbée, doucveurs (fines) des retombées sommaires, la mort veut la vie ! point barre ! une sorte d’envie follement ancrée en elle : incrussté comme la perle sur sa châsse ! je suis homme au sang chaud , je cherche à comprendre bien ce qui est qui est, et voilà ce qui est : la mort veut la v ie pour elle ! la mort veut la vie pour elle ! la mort veut pour elle kla vie ! la mort pour elle veut la vie ! la mort veut la vie pour elle ! la lmort pour elle veut la vie ! la mort veut la vie poour elle ! la mort veut pour elle seule cette vie de moi surnuméraire : ce chemin de plage, cette voie d’accès vers la mer ! elle veut ça ! la mort veut de ça de rage dure, , la colère en moi, les mots les plus crus, la vive charge des embruns des temps brûlés, toute l»’énergie en moi rugissante, etc, sous sa forme la plus directe , native, juste, pleinement naturelle (pour le dire ainsi ) = la vie ! la mort veut la vie ! la mort veut elle la vie morte ? non !!!!!!!!! la mort veut la vie vive ! mais dès lors comment ? that is the question ? comment être ou ne pas ^tre en vie ? je cherche à savoir ici la chose d’une vie offerte ... en vie : colmment faire ? si la vie meurt, la vie n’est plus la vie mais la mort, et si la mort attend de nous un don de vie vive, comment faire alors ? je cherche rude ! je cherche raide ! je cherche dur ! je cherche de bois et de ramure ! debout et direct ! hombre de la nación ! je veux croire en toi la mort cvomme en quelque chose de surnaturel, c’est à dire comme en quelque chose qui serait en plus, de ce qui est et qui gravite ! or quoi ? la mort est entité réelle (on voit mourir autour de nous des êtres) mais voilà le hic : la mort n’est pas entrée de roche ! elle n’est pas ouverte comme une porte ! elle se tient close, bouche bée, porte close bouche bée ? ou comment ? porte close ou bouche bée ? je cherche ! je tombe ! je tombe de tout mon poidfs pariétal ! je suis dans les tourments ! je tombe vif à même
la roche des temps
des vies de rage !
je suis dépassé par en moi la rage des b etes ancrées , je suis pris par en moi des betes de rage rude : elles hurlent de faim ! elles sont affamés comme des bébés ! donnez leur à manger ! mais qyuoi ? de la rocxhe de temps ? des tourments ? du charbon de bois ? de la pierre meuble ? des baies ? des embruns de mer ? de la clarté ? du noir de jais ? qsue donner à des betes en soi qui toutes trépignent d’impatience de sortir de moi, et quyi meurent de faim et le font savoir en hurlmant sur roche leur misère de betes en demande ! nous sommes ensembvkle (main dan,s ma main) des etres à la
faoiim prégnante , nous cherchons pitance sur les chemins, nous voulons comprendre le cmon,de et ses tenants de base et zautres aboutissants de rage, notre but est affiché sur les chemins, ici ou là, en lettres capitales : MANGER, car le manger est la chose de base avec COURIR, avec DONNER et avec PLAIRE, voilà le carré secret, les choses cruciales, les données (de rage) perso, le temps déployé, voilà ce qui est en roche qui compte, ces données de rage rude sous le vent et dans le sang, il ne fzaut pas confondre les données mùais les apprivoiser (se les apprivoiser) pour bien les cerner et les comprendre à leur h-juste prix, nous donnond nos noms sur la bande, nous donnons des noms, nous donnons des mots de rage bestiale, animaux-mots de compagniev ici pariétale, ces mots sont des betes fortes on le sait et ne comblent en rien le dieu de la roche des temps mais voilà , nouys n’avons pas tout à faitvle choix, nous sommes mus ! nous sommes entraînées à de nous donner comme des pis-aller qui puisse le faire un moment donné, et «à voir» pour la suite des choses, nous verrons, nous devons aller en roche et comprendre les choses du monde, nous ne devons pas défaillir mzais tenir, tenir bien droit et debout autant que possible, ous devons nous montrer vifs et vives, nous devons peser sur le chemin, de tout notre pas, nous devons poser le pas de roche sur le val de la paroi rude, nous marchons, nouys sommes hommes et femmes des marches forcées, desz poussées rudes, des appuis outrés, des outrages vifs, des volontés à satisfaire par le sang, notre nom à tous et toutes est an,imalier, je
me prénomme Bouquetin le grand, (ou le mince ?) et vais de mon pas de géant à travers vals et plateaux du coin, je m’appelle Bison le géant (le minuscule ?) et je vais de mon pas lent à travers les prés et les champs, je m’appelle Aurochs l’imposant (ou le récalcitrant ? ) et je vais à déposer mon pas sur ladite paroi cvomme d’une gerbe sur une pierre, je m’appelle Antilope grande gigue (petite voix) et je cours (fissa) vers la roche et ses embruns de joie, je suis homme de laroche vive, des sortes d'ornementations dépourvues de joie, des peines de coeur, des ressentiments, des tristesses, des pleurs, etc, je veux changer le temps des paroles rudes et parler la voix de la joie, dees roches du sang, des roches rudes et vives du sang, etc, mon nom est le nnom donné par la ba,nde en soi, qui est bande (rude) des tourments de charge passée, je veux pour ainsi dire dépâsser ces charges et tomber sur roche comme un nouveau né ... pour une relevaille de roche ancrée, je veux d’une re(con) naissance imagée : roche rude, vive toi ! vivement la loi nouvelle ! la pleine mesure ici pariétale, le plein de la joie rurale ou comment ? je dis la joie en ce jeu de (grave) allongement des temps, je veux dire cette joie du sang, ce roule-barricot de l’âme sur roche, cette cxhevauchée de betes au couteau, au baton de bois brulé , je suis l’homme des cavernes enfant, je joue la mise, je joue au marchand de perles, je joue au caillasseur, je joue au merdeux, je joue à la princesse, au chercheur de poux, je joue au valet de ferme, à l’écrivain, au dingue de la partie, au dingo du teonneau, je joue à cache-sexe, aux remparts, au dieu du sang (ici) de la bande, à l’inclusion, je joue au pendu, à la roulette russe, aumorveux, au kilo de merde, au chien errant, je joue au facteur et à l’usager, au chanteur de charme, à car$eme, au dieu de la roche, à l’homme
des cavernes, je joue (mal) au petit soldat, à pisse menu, à la belle terre, au ventree mou, au trou de balle, au chant doux, à la carmagnole, je suis un homme des embruns natifs, je veux vivre vie de roche rude au milieu des bêtes, je bveux cette chose pour moi et les miens, mes congénères, gens proches de roche, ma propre tribu, concert, cercle, musique des parois du monde et feu de joie, nouys faisons sur roche ce que nous faison,s : dessins de bisons comme à l’arraché, de bouquetins vifs, de rennes des prés, etc, et cela , d’un seul élan, qui est celui, incidemment, de l’ombre portée dans le sang : nous sommes envahies, remplis, nous sommes prises, tenu, nous sommes soulevées, soupesés, nous sommes bousculés, pôussée, nous sommes meurtris, blessé, nouys sommes vues, mirés, nbous sommes secondé, doublées, nous sommes mus, actionnés, nous sommes revetus, attifés, nous sommes dénudée, changés, etc, nbous voulons entrer dans la roche des temps et voir de fgace ce quik nous atten,d, à quoi çaressembke, ce que c’est, ce qui est qui nous attend, ce que c’est qui nous attend devant et ne nous fera pas la grâce de nous «oublier», hélas ! car nous szommes vifs et vives de rage et nous sommes ensembkle (pris ensemble) comme deucx qyui (de tout temps, en eux) ne veulent pas mourir, céder et tomber, nous voulons aller d&ns la danse du tempsqn, entrer en elle fissa par la bande et n’en plus sortir à jamais ! responsabilité ! choix de vie ! prise de consciebnce ! décision mesurée, pensée, pesée, affirmée et affichée,; notre but est clair et net, et tient en quelques mots d’usage, en quelques phrases : je suis je l’homme des cavernes (à jamais), les mots sur moi m’attifent comme je ne sais quoi qui , chaque jour, rajoute comme du ridicule de façade, je suis homme des parois du monde, je suis enveloppé d’une sorte de textile rêche qui me gene aux entournures, je suis je l’hommev «des embruns nbacrées», je cherche une voie d’acvès à même la roche : cupule ? je ne trouve pas, je cherche ! je suis l’homme des doutes avérées, des sentiments passagers, des dessi,ns de roche, des paroles exemplaiores, des beautés de rage, des temp
^s alloués, des pistes de chants, des voix d’outre tombe, des passages de charge, des betes-mots de belle tenue, des amitiée animales, des nudités, jke suis homme des passages (rudes) à travers la roche naissante, comment faire pour s’y retrouver et comprendre ce qui est en cette rocghe dure de la vie humùaine élaborée ? je cherche ! nou!s cherchon,s ensemble ! je suis homme des parois rudes ! je ne trouve pas je cherche ! je suis «fin d’azur», «fin des données vives» ! je m’affine en progressant, j’e,ntre en lévitation, je tombe des nues, je m’interpose ici, sous l’oeil de cette Chose rude des devants, à même la paroi touchée, et me glisse entier (en entier) dans la roche locative , je suis l’homme femme des tours et des tours de rage, je cherc he issue en pareille pa roi, je tombe sur la roche dure, je suis l’homme d’une chgute raide en pareille roche, ... ça me va ! je tombe ! je suis tombe , je suis une trombe, je tombe !
je vais sur roche, je suis l’homme qui va squr roche, je suis l’homme (ici) de la roche allouée et je vais, en elle, fissa ! je cherche une voie de passage comme en contrebande , je cherche voie d’accèes pour la contrbande ou par la contrebande et cela pour me lmoger (fissa) vcomme le roitelet, dans le trou d’une roche dure, son nid ultra-douillet faisant, etc, moi itou : nid d’emprunt, pour une installation de fortune, ma fortune, cette chose rude /dure de la roche à explorer, un nid pour sa peine, etc, je veux ! je dis que je veux ! je veux quoi , je veux vivre vif et faire accroire ! aller loin en soi ! chercher la rage en soi, chercher à comprendre en soi la rage qui bout et fait son chemin de paroi ! je cherche ! je cherche raide ! nous chercvhbons !bnous cherchons raide ! nous vouylons comprendre loin ce qui est en vrai en roche des temps : la mort notamment, l’ouverture des sentimùeznts soit des sentiments menaçants, etc, la mort est une entité, une entité à part entière, elle se loge près de soi comme une tombe de son moi de rage, il s’agit de cetteb chosec commùe quoi eh bien je suis fait de telle sorte, que je vais (un beau matin) passer l’arme à gauche, et moi de m’offusquer (rage) de toute mon âme, car je ne veux pas ! je ne veux pas cde cette cxhose ! je dis non ! je dis et redis non ! je dis : merde ! je dis merdum, je dis mille fois merdum, je dis mille et une fois lmerdum , merfde !car, je suis un homme des cavernes et mon coeur bat fort, sur ce tas de roches dures, petit tas terrestre dx’une sorte de lieu précis ou d’une cavité précise, je cherche à comprendre lesz données les plus subtilesz, les ressorts des ^profondeurs, les arcanes majeurs, les raisons et les motifs ! je suis un homme dit «des cavernes», je cherchev à com^prtendre les données données, de ce monde des parois, ce quye pour le coup pareilkles parois peuvent bien receler en leurs seins, ce que pareilles parois comportent en termes de données, vives et riches données «de vérité», je syuis cettte personne de la roche , qyuin (de fait) veut com^rendre, chgerche en profiondeur à pour le coup trouver des pistes de compréhension subtile, je suis en qu ête d’une chose vraie, d’une cghose de poids dans le domaine de la vérité ... la plusq ancrée, je grave des betes soit betesmots sur roche, m’immisce ainsibpour ce faire, je suis une personne, de la roche des temps , qyui pousse le bouchon plus loin un peu plus chaque jour, pour comprendre , ou sinon le bouchon la Chose, ou comment ?, je chezrche (vif !) à comp^rendre le pourquoi des choses, le pourquoi des choses ainsi, le vpourquoi les choses se passent-elles ainsi, ici, sous nos yeux ! qui est derrière qui, ou quoi est derreière qui ?. qui comma,nde ? qui commande le chantier ? quyi dirige ? qui est à la barre de soi ? qui parle en moi ? quii marche ? quyi veut en moi ? qui s’énerve en moi ? qui s’emporte en moi ? qui pleure en moi ? qui pleure en telle ou tele personne ? qui vibre en moi ? qui sepose un peu là en moi en tant que chercheur ou chercheuse à la ramasse ou comment ? apprenti , apprenti)chercheur et apprentie-chercheuse? je veux savoir la chose ce qu’elle est ou serait au juste pour moi quyi me tiens ici sur la roche, qui fonce, qyui est l’homme de la roche dure à cdevoir graver le plus vite possible, la vie (la mort ? ) n’attend pas ! je me glisse en cette rochge de la groptte, je suis entré en elle, je suis bien calé en elle, je veux toucher kl’extrémité du monde mais cela sans devoir succombezr aux charmes d’une déité quelle qu’elle soit ! je veux traverwser la rocghe sous le vent, l’oeil vif, alerte, les cheveux au vent, l’esprit libre de ses mouvemenrts, etc, je veux trouver le pot aux roses d’une affaire de parois et de tourments dits meurtriers mais co;mment faire ? je cherche subséquelment, confraternellemùent, innocemment, subséquemment, principalement, idiotement,
volontairezment, nuitamment, diurnement, quotidieenement, crucialement, à comprendre ces données données du mùonde pariétal, ces betes qui ornent lza roche, significations, conception, etc, ce que c’est qye ça ! qu’est-ce ? de quoi s’agit-il ? squi est derrière ? qui donc est derrière ce dessin d’aurochs ? qui donc est derrière l’homme ou la femme des cavernes ? qsui donc est deriikèrev la bete ? qui donc est derroière unev pôssible déité surnumérairev(de rajout, raccroc et au rabais ) : qui ? la femme de l’homme ? l’homme de la femme ?, qui ? jre suis incapable de le dire ! j’ignore ! je ne sais pas ! je ne sais rien xdetout cezla ! je cherche à comprendre de puis tant et tant de temps eh bien malgré tout jhe n’en avance pas des masssees, je suis souvent sur le carreeau à chercher pitance, ici, en cette matière, je suis un homme frais (fou) qui chante à tue tete (sur roche) sa compla inte animalière, sa peur d’avoir à) en découdre pour le coup fissa , je cherche une chose rude, je cher che en moi (sang) ce qYUI est qui me gouverne volontairtement incifdemment, et ce vqui me gouverne le pourquyoi il me gouverne etc, l’homme est l’animal cde la fable, la fable est la voie de rage, La Fontaine aufirmament, son image planetaire comme La (la chose) qui parle plus, ou plus plus, du fait de son rapport aux betes de paroi ! je vais et je viens en elle doucement, sur un pied puid l’autre, je cherche à me ménager car je veux durer, je ne veux pas mourir trépané ou va savoir , pris à partie : assassiné ? ou sous le coup d’une rafale de mortier, ou comment ? je suis homme-en,fant de rage folle , je colle à la roche du temps , je colle à la roche dure, je colle au temps de la roche des temps, je colle ma face aux parois froides, , à même la paroi glaçante etc, je suis le nouveau né pour ainsi dire «de ces dames et de ces messieurs», je suis un drôle d’être menaçant la paix de roche rude, du fait de sa venue brusque, un temps, un temps menaçant, menaçant et troublant la paix, la paix de la place, car bientot je ne sezrai plus là, je serai parti,je serai ailleurs en d’autres lieux de rage, autrtes zones sde déteznte, autres parois à orner fissza, etc, je suis hommùe des cavernes, je porte une robe, mon coeur bat de sa vie claudicante, je m’apprete à graver sur roche l’aurochs dela fable, je syuis le graveur émérite, je suis l’homme dur des parois mobiles des temps a lloués, et je vais et viens fissa sur roche comme un nouveau né de sa mère, de son père, de ses frères et soeurs, de sa confrérie tribale, je veux ! je veux croire en ma bonne étoile ! je veux passer le cap de la rochge ! je veux vivre vif ce cap ! je veux plonger (fissa) en rocghe du temps et ne pas succomber aux cvharmes déca pants de la roche dicvine, soit de cette chose rude des devants : dieu du ciel vibrant dee sa belle musique, je ne veux ! ce que je veux c’est ça (vivre) et ce que je veux pas c’est ça (mourir) car la mort en moi n’est pas une amie, la mort en mpi eswt mon ennemi, la mort en moi est e lle une amie ? la mort en moi est elle une ennemie ? lma mort est elle notre alliée-amie ou quoi d’autre ? je veux vivre pleinement ma vie de roche : aurignacienne,, magdalénienne, etc, mon nom est : spigolon
, je porte ce nom de la bande : spigolon, il s’agit d’un nom d’un emprunt pazssager, je ne suis ni ne veux etre spigolon le sage, ni mêmev «au rab ais, « ni mêzme «l;’enraghé», je suis ... spigolon, lm’enfan,t de sa rage;, seuleme,nt l’enfant : l’aventurier du bois joli, le faon des terres meubles, l-’enfant- faon de ses dames et de ses messieurs , furet, carmagnole, le pont d’Avignon à qui mieux mieux passez muscade ! je suis de laroche du temps ! je suis homme dingue des tourmentds
du bout (du bout ?) du monde pa riétal, je cherchje une issue , je chgerche avidement ! mon corps est pris dans lkes filets d’une paroi du monde, car, mon cvorps est entré par la bande, de biais, sur le pouce, comme une limande, pris )-à part, comme soupesé puis déposé comme un nouveau né, écrin de sa mère, chaleur et moiteur, :le sein à portée etc, mon coeur est ouvragé comme une déité de roche, comme un objet de vente, comme une sorte de beauté» du genre, etc, mon nom est MON NOM ! il s’agit d’une donnée de poids, cette symétrie d’approche des parties, cette faille en leur milieu$, ce miroir, ces trois élaborations de part et d’autre d’une faille-couloir de principe , etc,; je cxhertche vailla mmeznt ce qui est sur roche, ce qui s’y élaborefissa par la bande : qui est qui = qui est derrière qui ?ou : qyui est derrière x ou qui est derrière y ? car nouys ne savons pas ! qui est derrière moi ? qui est derrière machin ? qui est derrière le vilain ?. qui estv derrière le sempiternel sentimental ? qui est derrière cette voix de charghe ? qui estv derrière le cheval, l’alouette, le chacal, la beleztte, le chandail et l’amulette ? qui ? nous ne savons pas mais nous savons que cette chose existe, ... la question du «qui derrière ?» ! forcément ! nous ne sommesc pas seules ! nous ne sommes pas seuls en nous, nous sommes plusieuirs, nous sommes plein, nous so:mmes un nombre conséquent de betes de foi en nous, bnous sommesen nous toute un,e syuite, une cghiée, une c onfrérie, une tripottée, une quantité non négligeable de pêrsonnes ou de betes ou de voix ou d’etres ou de dieux ou de quoi e,n nous, cela est indéniable et nous le savons ou le suubodorons, nous sommes plusieurs en nous, nouys sommes plus qu’un , c’est à dire plus que moi tout seul ! je suisq l’homme-bete des attraitqs, je me documente fissa par la bande, j’essaie de comp^rendre,
pourquoi mon nom, celui que je porte et pourquoi pas un autre, un nom neuf, nouveau , le nom de quelqu’»un d’autre, etc, je suis un hommecdes cavernes, je dessineà main levée des betes de poids sur une roche affectée à cela par moi, je suis outillé, j’ai de quoi tracer ou graver des bvouts de choses adaptées )àà faire dezs choses sur roche, mon nom n’exisqte plus, il a disparu du champ lexical de la terre, mon nom s’est perdu en chemin et ce qui reste , n’est rien d(autre que cela, ces dessins de rocghe(et autres gravures : au même titre) et aussi kle reste, objetscdu quotidien peut -êttee, quelques peccaddilles, etc,
je suis un homme cdes temps reculés, mon nom est perdu à tout jamais, je ne suis plus rien d'autre que mes dessins, mes deesins sur roche son t des mots de roche, la rocxhe parle et dit son mot de rage dure, comme un dieu xdes temps impartis parlerait pour cdire sess tourments, les afficher, dire ses complexes, anncrés en son sein etc, jeb vezux croire en ma bonne étoile ! je suis u,n homme des cr
oyances, je suiis un homme aux croyances affirmées: les mots (chcun) signent une croyance (= la foi) alors même que l’idée d’un dieu, supranaturel et logé dsans le ciel, m’incommode, or voilà la chose , ici : dieu peut-etre pas, mais les mots en bouche ? car, je vois df’ici (roche
) ce qui est (vals et plateaux) qui tend ou tendrait à dire, que oui, la vérité est de ce mon de, les mots suffisentv à notre bonheur (à notre destiné) et pourquoi alors les remmettre en jeu et en qauestion ? le mot-bete est sur roche comme cavalant icelle c’est un fait, un mopt est une bête, une bête est un mot, je cherche issue dans une roche afin de m’immisqcer fisza et d’aller de ce fait à larechezrche de la vérité qui est « de paroi», c’est unevéviçdence , je suis comme un chercheur de vérités de poids, de celle dont on peut peut-être se nourrir à bon escient, de celles qui nouys plaisent fortement et dont nous voulons ou voudrions afficher les tenants et less aboutyissants sur rocghe : qui est qui deerrière ? qui présidze ? qui y a t il derrière l’hommùe ou la femme des cva ve»rnes ? qui y a t il derrière x ou y ? je chezrhe à copmp)rendre lesq enjeux (vitaux) de la bande, qu’eswt ce que c’est que cette bande de la paroi noble ? nous voulons comp^rendree vif, nous voulons co:mprendre vif vif le plus, car bnous sommes des enfantsz, et en tant que tels nous voulo,ns ou nous voudrions découvrir les se crets les plus cachés de ctte aventure, nous ne voulons pas mourir ! notre but est de comp^rezndre ce qui est en roche qui plombe ... ou tombe : moi ? soit en moi ce moi de roche des betes ? qu’ai-je en moi en fait de bêtye ? laquelle ? loutre ? non ! chien ? non ! chat ? non ! vache ? peutêtre ! le cheval ? peut êtyre aussi ? un chevereuil ? hé ! Bambi ? je me le demande ! j’ignore, mais je sais qU»’en moi existe, une bete de roche dure, elle est en moi comme le nez a u milieu de la figure, ou comme des entrailles en moi, etc, je veux savoir ce qui est en roche qui m’attend, je veux dsacoir ce qui est en rocvhe qui m’attend le plus, je vzuwx swa voir ce qui est ezn roche qui le pluqs m’atteznd, ;je veux savoir ce qui m’atteznd le plus enn cette roche des tourrments et des se ntiments, qu’ewt-ce ? je ne szais à ce hjour qui pourra me répondre et comme entrer sa voix (son nom) dans le chapitre : est ce possible ? je suis homme du temps, mon corpsd est corpsd du temps mais pas seulement on le voit : je déambule, je fi:le,; je cours, je me jette tête la première, etc, mon nom est comme un c orpds qui serait séparé de la roche, je tremble sous lui, jke suis l’homme dur de roche meu ble, mon cprps est le nom de la roche aux passdages donnés, je suis cet hommev de la rocxhe dure ! je suis homme dur de rochge ! roche rude où es-tu ? où vas- tu la roche ? je suis homme du temps de la roche, je suus un homme du tem^s de la roche, je suis homme des temps de la roche, je suis un homme du temps de la ro che, hje suis homme du temps natif, des premiers instants, du trouble, des données faciales, des colères rentrées et absorbéeqs, des paroless viles, des parois meubkles, du printemps et de l’été, fdes champs lexicaux menacés, des virées et autres embardéees en roche des temps, je suis l’homme cde la roche desz ^parois du monde : ouvriers ouvrières de passage venez m’aider ! cha,nteurs chanteueses à kla croix poten cée venez ! chanteurs aux vêtures de bure (pasteurs , pâroiisiens, imposteurs ? ) venez ! venez voir comme qui dirait mes «chances de rage» à :même laterre ! je suis hommes des raves de rage, plantées, replantées, jardinées etc ! ma voix est voisx de peu de voix ! mon nom est rupestre ! imagerie : MON NOM ! effet miroir ! cailloux choux genousx , etc ! je suis homme-emprun,t du fonds monétaire, je cgherche une voie d’accès comme par la bande, je suis un homme ici dezs possib ilités parieto-frontales, je regarde autour de moi et vois ce que je vois, je vois ... la roche qui treezmble, les parties de cav a lcade, les essais avortés, les tracés monumezntaux : qui est quoi en cette sarabande, ou quoi est quoi , ou qui est qui , nous chertchons , nous ne sommes pas en, reste de toujours cher cher que tu cher hzeras ce qui est , ce qui est la trame, le substrat, le miel, etc, toute une gamme de données de base , je suis un homme des embruns, je suis à la recherche d’une vérité dite «de roche rude», mon nom est écrit sur un bout de papier et c’est marre (littérature ... de gare ! ) et voilà pourquoi je lm’enfonce fissqa et plus que ça : volete ! fiche mon aile , va ou vais devant à la volettte, etc ! carmagnole ! je file mon coton de carde ! je suis doux comme un duvet de charme ! douce voix de passage, chant d’azur au cordeau, pâssade, pont de charme au dessus des eaux, je suis un homme doux, pont dee charme de rocghe pezrlée, ma voix se pose sur la roche dure et grave son chjant mélodieux, la mort eswt mon ... ennemie radicale (dit-on) mais est ce si sûr ? qui le sait ? je cherche à savoir ! mon nom pourrait m’aider mais il ne m’aide pas ! MON NOM est à l;’a ffiche, ... au taquet ! et pourqoi cela ? car, je suuis homme de larage au coeur, infil;trée, mon nom est la rage même, tracée, au couteau des benets, hé, je veux ! cherche donc l’image tienne ! où se loge t elle en vrai ?. xsoit l’image véritable : où ? où se loge te lle ? qui ou quoi est-elle ? cherchons donc dfa,ns les fourrés, au creux des anfractuosités de roche, dans les trous de laparole, cdans les fosses co:mmunes de rage, dan,s le sang ! jze cherche le tourment du sang, le tourment dans le sang, le tourment grand du sang ! je wsuis l’homme dit «radical» de lma chance rupestre, mon nom craint dans les donnéesw, il force la chose, il dévie ou dévoie ou dit ce que la roche a ou aurait à dire : que dit elle ? elle dit sa rancoeur ? dit elle sa rancoeur ? que dit elle ? que veut elle dire ? où est elle ? qsue cherche telle à dire ici pour nous autres ses betes de somme ? que bnous dit elle de si rageur ? nous ne savons pas ! nous sommes benêts ! bnous avons au total peu de profondeur en nous mêmec! noçtre fo,nd de roche est fin et ne va pas loin ! njous dsommes «sezrrés», nous sommes des benets xde ta rage grave, et de c e fait nous pensons «court», oh court nous pensons hélas ! nos savoirs s’(arretent tout près, ne vont pas bien loin et se perdent vite dans le pré
de la roche des tem^ps alloués, nos savoirs sont menu fretin, sont petite don,née de la roche rude, instants de vie de voie, de vie douce de voie douce, etc, mon coeur bat en roche son trépignement frontal : croix de bois, croix de roche, mon coeur est à l’unisson d’un e sorte d’emportyement quasi claudiquant, je vais illico sur la roche dure et cherche à comptrendre les dommées fron,trales,; mùais vas y les comprtendre bien ! ce n’e’st pasfacile ! c’est coton ! c’est dur ! cv’ewst méga-dur ! ça va chezrcher loin , niveau niveau ! ça cher che à haut niveau ! ça cxherche loin qsuestion niveau ! surtout pour moi qui ne vais pâs bien loin queswtion niveau ! qui ne sais aller loin quewtion niveau de base, et question échapppées pariétales, etc, je suis (pour ainsi dire) limité comme un jouvenceau, je m’avance à pas de rage doucement, doucettement, MON nom est (voilà) à l’affgiche du Temps, je cherche à ... creuser la plage, mais vas-y ! vas creuserr la plage, ou la page pare’il, ça suit son chjemin, son chemin de buffe (buffle)^sagement mais ce n’est pas xdonné x’emblée et ça pèse lourd ! c’est ... u,ne chose ! c’est fol ! c ‘ewst pre»nant ! ça passe miseère ! çarend son allant ... de cxharme au taquet, ou pas ! c’est perce-oreille tenxdrement, ou pas ! ça pousse sa co;lère ou pas : vassavoir ! le temps est une amulette, la mort est un chant xde jhoie, la roche est une fredaine, la bete eswt un mot de peine rageur, la mort est une voie d’accèes vers des lendemains de fortune, la pêine est ancrée, le ciel est un pis aller, la chance est prin cière, la voix du cviel est la même «ezntrée en matière» que la v oix du temps,; le roman des temps est le vent fou, la haine eswt la cxhaine desq temps, la cxhaine des vents est la chaine des temps, je vois sur la terre les vents comme se jeter (on dirait) kles uns sur les autres, je suis un hommùe asttral muni d’un baton, homme aurignacien de la balle ... et de la ba nde, je v ais et je viens a rmé de mon baton de bois, je deswsine en veux-tu en voilà des figures de ra ge animalière,,; onguent, je trembkle, je cdessine sous le joug, je suis =monté comme un animal de trait, je suis l’homme des parois gravées, ornementées comme par la bande, MON NOM est de type rupestre : voyez le sur roche figurer ! ma voix est rageuse,, et hurle sa facconde de misère, je vais sur roche au déboté, à la vive escouade, charmeur-chargeur, ou chargeant ma pleine mesure, je suis emberlificotée dans les rets de rochge dure, je dessine aurochs des roches de tempsq, bouquetins, bisons de la foi dans les mots ... des parois dures, je vais au sein des seins, je me glisse ici vite fait, je suis a insi comme déposé comme le présent de la fab le, ce temps donné (pour ainsi dire) par la bande vive, vite fait bien fait, mon coeur chevauche ici les traits cde la roche, vivats au pl;us haut des cieux ! les beters xse cxhevaucgent entre elles, s’époumounent, et moi de pour le coup crier de tout mon soûl ma haine de misère, mon coeur comme adoubé par un ciel de rage, ma peine est celle qui se voit gravée : bison,s de ta peur, renne de ta haine, bouquetin de ttes tourments, buffle de ta misère, a ntilopes racées de tes douleurs cdiverses : poinçons ! poinçlons du cru ! poinçons ! piquetages ! pique , pique-rage , etc! points d’acupuncture sur la peau blessée d’une bete-mot de ta race ! je suis charmé ! je chante à l’unisson des piquetages ! je m’envole dans les prés, sur roche, au fon des for^ets, je suis emporté par un vent fou de rage forte, par le vent des fous, par une rage en moi qui me pousse ici à dire ma chaleur, mon rire, mùa joie de date à date, mes rancoeurs, mes élans de bete-mots, mon aerdeur à la charge, mon sang, je suis l’homme de la pré)-histoire, chargeant de sa ng la roche mùeuble, je suiuis Jean de Bure le sauveur du temps, je parle... en son nom de jade, iil parle en mon nom de pluie, de court circuit, en mon nom de pluie de rage, de larmes chues, de court circuyitage à) la vue des betes de rage, etc, je suiis l’hgomme des parois couvertes, des pasdsages an imaliers, des présentations finales, lma mort n’est pas mon méttier, mon coeur ruisselle, mon corps est mouillés desx embruns de roche, je suiis mort de ragge dure ... ou comment ? mi-^mort ? à la vie à la mort ? mort dur de rage dite ? qui dit quoi ? qui est qui ? qui veut quoi ? je vbeux ! je veux ! je veucx ! je veux ! je veux ! je veux ! je veiux ! je veuix ! je veuix ! je veux ! je
le veucx ! je veux cela ! je v eux dire ! je veucx dire cela ! je veux dire cela ! je veux dire cela ! je veux dire cela comme quoi ! je veuxdire cela comme quoi ! je veux dire cela comme quoi ... je suis ! je veux xdire cela comme quoi je suis ! je vbejux xdikre cela commùe quoi je sius !ç je veux dire cela comme quoi je siuis ç! je veux dire cezl;a comme quku je suis ... qui ? je veusx diore cela comme quoi je suis qui ... e,n vérité ? je veux dire cela comme quoi je suis celui qui est cvelui qui dit cela = cette vérité de la roche des te:mp^s, soit des temps i:mpartis, je suis cvelui qui dit la érité a nimale du temps ! suis je celui là ? suis je cvelui qyui dit cvela, la v érité des temps de roche dure, suis je celui là ? suis je homme du te=mps menacé ? suis je un homme des ca vernes ? suis je l’homme des caver nes mena ceé ? suis je l’homme menacé ? suis je l’homme des cavernes vigoureux, charmeur, rusé, trompeur ? suis je un homme des cavernes volontaire, raccoleur, dessinateur, graveur par la bande ? ai je en moi deq quoi dire le mot (de la fin) rageur ? ai je en moi de quoi poser sur roche le présent donné ? je file ! mon coeur bat avec la roche , je cherchje une voie dx’abord dans la roche, je v eux m’immiscer , je voudrais, je veux et voudrais m(‘immis cer ! je suis l’homme des cavernes , au pouvoir vital, chertchant immixtion vitale, parole vitale, chjant vital,; feu vital, aide vitale, secousse vitale, une entrée vitale dans le sein dxes sein s pariétal, une entrée vitale dans le sas, cdans le sanctuaire, je suis homme xdes vcavernes , au sang chaud, mon nom est affiché sur roche comme suit, effet garanti :
MOn NOM,
de bure affilié, nom de roche au taquet, chant de bete de roche dure, berceuse
15/7/2021
je ne suis pas l’être de la mort, je ne suis pas un cheval blessé, je ne suis pas une grue, je ne suis pas une amande, je ne suyis pas un renard, je suis l’homme des cavernes au sang chaud-bouillant qui fonce dans la roche vif et n’en démord pas, son souci est toujours le même , je (il) cherche une vérité de fortrtune et de bon aloi et de de bonne fame, et qui le fasse face à quoi face à elle, cette Chose de roche dure, La Mort en personne, dieu du ciel et de lma terre, chamanisme, outrage, colère, vivacité, tendresse dans le sang, rancoeur, etc, je suis Homme Vif , qui cherche à comprendre La Mort, La Mort est une personne, La Mort serait une personne, elle me regarderait fixement depuis la roche des tourments de vie, elle serait ici cette Chose vive (peersonnifiée) qui me regarderaiyt pour ainsi dire de ses 1000 yeux tournés vers ma figure, je suis un homme qui va (ou irait) enn roche pour me promener, et sur quoi je tombe eh bé sur La Mort, la belle de Roche, cette Chose des embruns, cette ouverture dans la pierre dure, ce sabot de temps, et moi de vcomprendre une chose = cette chose, comme squoi je dois aller ... dans la profondeur de la paroi dure, je me dois d’aller dans lza profondeur de ka paroi dure et là, je dois regarder précisément et sérieusement ce qui s’élabore en fait de vérité, je me dois de regarder précisément ce qui est ici,
de moi, ou de la roche = ce qui est de moi ou de la roche = faire un tri ? faire un pas ? comprendre avec soi ? charger la bete ? comment savoir ? je vais ou irais ici et regarderai (je regharde) une roche dure comme les temps, comme les temps impartis -alloués à une vie rude, je suis l’homme de la roche dure ! je suis homme vif de roche dure ! je suis homme du vif de roche vive ! je suis et serais cet hommùe qui vient et va en roche dans le sang ou comment ? je m’immisce ! me voilà qui rentre en roche et comprends les choses des tourments d’une vie d’homme : rancoeurs, blessures diverses, saignements, humeurs et colères diverses, je suis dans le sas déplacé et cherche vérité : qui suis je ? où vais je ? quel est mon nom ? est il le nom de la roche dure, le nom icvi gravé par un homme ancien (des cavernes) et qui me fixe ? ou bien suis je celui là squi n’a pas de nom ? je regarde les embruns, la faille dans ce fond de roche, cette cavité centrale, ce bloc, de roche aux apprets, cvette vive anfractuosité monacale, qui suis je ? c’est à dire : qui je suis qui porte un nom , je l’ignore ! je ne suis plus celui là que je fus enfant, ou même avant, dans le ventre de ma maman, etc, je vois la roche des embruns et me pose 1000 questions relatives au temps, je suis un homme des temps reculés, je porte en moi la roche des temps, je suis bete rosse, bete-rage, betee vive, bete endiablée, bete remontée, bete coriavce, bete lméchante, mordante, etc, et mon nom est celui de cette bete que je suis !!!!!!! car voilà la chose : je vais et je viens, en roche des Temps, comme la bete en cavalcade sur paroi de grotte, je suis cette bete de roche gravée, je vais en roche dure et me glisse ici, dans un interstice de paroi, et me loge ainsi, dans l’attente d’une vérité,
je suis homme des embruns de roche, mon nom est le nom donné à la paroi du monde, mon coeur bat à l’unisson de pareille anfractuosité rupestre, mon nom est un nom de rage et de charge : bete rossee, coriace et vive, qui charge que tu chargeras de toute sa force sur paroi du temps, je serais l’homme des parois meubles , prêtes à se voir gravées, au stylet, à la plume, au silex, au pic de verbe acéré et affuté, je serais cet homme des embruns, ce chenapan,
courant à travers lalande, je suis homme de peu, chargeant comme une bete de roche en paroi du temps, je vais sur la roche
et vois cette chose , d’une sorte de paroi meuble, presque molle = de la gomme,, une sorte de paroi de gomme
à graver l’effigie directe, une sorte de «gomme de roche» ou quoi d’autre ? prête pour être, pour le coup, gravée, à l’envi, par qui de quoi en v érité sinon par elle, cette Chose «des embruns de roche dure», La (dite) Mort (sûre) de roche des temps, cette Mort de base, sure d’elle, pleine d’elle, une sorte de belle donnée, un oeuf ? je regarde ce quyi est et ce que je vois est cette chose devant mmoi qui porte le nom de sa roche porteuse, je suis Homme des embruns de roche, je veux savoir ! tout mon être veut savoir ! je ne veux pas rester sur le tas à chercher pitance ! ce que je veux ici c’est cette chose d’un savoir profond, dur, plein, rigide, conséquent, pariétal, de belle tenue voire éternel, «qui le fasse grave «, qui soit le Savoir majuscule, un savoir de tous les savoirs, et pour cela je vais et je viens en roche, je m’immisce, je m’i,nfiltre, je me glisse, je me loge, j’entre fissa, je m’introduis, je me mets en telle roche des passages du temps imparti, jke suis cet homme quuii va et rentre et rentré regarde et que voit il ? la bete de roche, près de lui : biche des temps de rage, ours des a$mitiés de roche, cerf au débotté, peuplades a,nimales diverses, chants des pzarois , or voilà ce que je suis : cette même bete de la roche temporelle que je vois = une biche- cerf, un cerf-biche de rage, cervidé à charge, point de roche surligné par des mains au soufflet, pointds , points, points, poibnts, etc, une sorte de cohorte punctiforme animalière, cettye charge dure de l’incantation, ces réitération vivantes, ces appuis de roche, ces mains de passage,, cet auvent, ce chenal, cette voie, ce toit, etc, je suis l’homme des caverness au sang bouillant car je porte en moi la bete du rut, le chant millénaire de la roche dure, la voie lactée, la princesse des 1000 entrées, kle chant de ma miosère crasse aux deuils de rage, mon coeur est sur roche déposé comme une offra,nde en priorité, ma chaleur ou mes chaleurs, mon sang bouillant, lmes envies de vie, mon tout, ma rage première, etc, je dépose sur paroi (art) la chose d’une sorte de tourment votif, je suis homme des dépots sur roche, je vais en roche ainsi remonté pour cette chose à fzaire à vif , et, de fait, qui est de déposer pour ainsi dire de quoi satisfaire une sorte de "déité pariétale temporelle" , qui est elle ? Mort de rage folle de me voir ainsi (vivant) déposan,t ! elle ne comprend pas ! elle cherche à comprendre ! elle ne comprend pas ! elle cherche à comprendre ! elle ne comprend pas la chose ! elle cherche à comprendfre la chose ! elle ne me comprend pas, elle m’observe, elle ne
me lache pas du regard, elle ne mze lâche pas d’une xsemelle, elle ne me qsuitte pas, elle me suit partout, elle cherche à me capter ou capturer, elle est celle qui me cherche continument et jamais ne me lache vraiment car elle veut de moi car elle m’aime fort, car elle m’adore , elle aime ma personne, elle me veut mort comme ellle ou comment dire ? comme elle devenu La Mort, ou comment dire ? confondu ? gfondu ? pris ? capté ? capturé ? absorbé ? avalé ? ingurgité comme un met déposé sur roche ou sur une table ? je ne saurais préciser la chose à ce jour car je suis le pauvre des esprits du monde, fine fleur de la roche bete, bete comme chou d’une roche dure, pauvre en tout y compris en esprit malin, fin de peu de rien en somme, une larve d’intelleigence en bagage, rien ou pas loin à montrer, en termes de perspicacité, etc, je suis pauvre d’esprit, chant de peu, court-circuit, etc, car kje suis court, je ne vais pas loin ou pas bien loin, je ne vais pas loin en image, en rien, je suis pauvre en termes d’esprit des choses à comprendre, je ne suis pas fort ! je ne suis pas bien futé ! je ne suis pas bien malin ! je ne suis pas bien doué ! je ne suis pas bien doté ! je ne suis pas bien muni ! je ne suis rien qui puisse vous emballer en termes d’intelligence profonde, large, envahissante, globallisatrice, etc, je suis un petit etre de roche dure (bouquetin) qui file sur roche son temps de passage et regarde à brouter son herbe, essentiellement, au passage, je suis homme de peu de foi en quyoi , en son etre de vie vive ? en quoi d’autre ? mon nom est bouquetin l’Ancien, je suis chantre, je vais et je viens en roche comme une bete rosse de paroi, mon nom est Bouquetin le Chantre de ces lieux de roche, je suis homme bete de céans le bouquetin mâle, et aussi femme-enfant d’une roche des prés, bete femme, bete homme, bete enfant des rochersss, bete des rocghers de rage , femme des prés, homm des sous bois, enfantillage, homme-enfant de rage folle,
hurlant la mainmise sur lui et pleurant sa rage première : ne me touchez pas sacripan ç! ne venez pas troubler mon pas ! je suis et veux rester en vie car je suis vivant et compte le rester longtemps ! la mort gare-toi et gare à toi ! va ton chemin, Mort «de mes deux «, merde ! merde ! merde ! merde! merde ! merde ! merde ! merde ! merde à cette... qui me casse le... et me fait grave chi ... etc ! car «merde à la mort « est le minimum, en vrai, que je puisse dire = le dire ! le dire ici est du «merdum», adressé à quui de droit = devant soi, ce qui est à dire ici est cette chjose de paroi, comme quoi le langage, le langage articulé de l’homme-femme des cavernes (le sempiternel), est tout entier inhjures à déité de roche ! en intégralitécou dans son intégralité ! kla rocghe est belle dame ou bel homme d’aspect et la mort est le ver dans la pomme (misérabkle) d’une roche antédiluvienne ! je suis homme des cavernes menacé par la bande langagière de céans , je ne suyis pas l’etre qui file sous roche et se tait mais tout au contraire la voix tonitruante d’une adversité à la mort de roche ! je cherche à comprendre le sang ! je suis homme
de ce peu de foi en son wein, car il ne comprend pas la mesure vitale des apprêts de roche, que suis je en vérité sinon l’adversité ? je tremble devant la roche mzais je n,e romlpts pas ! je suis ombre-homme, homme-ombre ! je suis rage des pouvoirs célestes ! rage au coeur d’une faille antrapariétale, antédiluvienhne et intrapariétale, je file doux mais ne rompts pas avec la paroi : je dessine des aurochs, des mammouths, des chevaux, des ours, des rennes, des bisons, des bouquetrins à couille etc, je ne lache pas le morceau, je suis homme-hombre des cavernes du sud de la france et du nord de l’espagne et mon coeur bat à l’unisson de laz paroi ! homme vif , chaleureux, vivant, aimant, vibrant, amourzux, le sang en lui est une rivière etc ! mon coeur est à l’unisson du chant de laroche ! je veux tout savoir de la roche du temps ! tout pour me plaire en elle ! vivats ! viva la vida ,
etc ! mon coeur est vif argent, va dedans, rentre, s’immisce fissa et charge et cherche à comprendre le pourquoi de cette chose temporelle d’un déroulmement langagier de soi dans le temps d’une roche dure aux tourments divers, pourquoi ?
nous voulons comprendre kle sang , et le sens , et pour cela : fissa dans laroche ! trouble dans le vent ! je file ! je suis homme des défauts de roche et autres fissures d’arret, je veux l’ombre et la Chose, l’homme et cette chose en soi qui me regarde dangeureusemùent;, La mort est rageuse et m’en veut grave ! ! merdum ! je suis un homme qui irait
à graver des betes sur une roche, je szerais cet homme-là, qui graverait des betes de bon poids,
sur une roche, dans une grotte, je veux être cet homme là, qsui dessine et grave des betes toutes de bon poids, sur la rocghe du temps langagier = musical = déplissé = déployé = dével;oppé = déplié = déroulé colmme tapis de sol, ou bien ruban de mercerie, je suis cet holmme des temps reculés (aurignaciens ?) qsui va en roche à la recherche d’une vérité, je syuis armé de mon baton brulé, et, que fais je ? je dessine des betes de roche, pretes à en imposer et à influer et à convaincre (vaincre) en vrai kla dite déité des dires de roche (rocche vive) : je veux troubler ! je veux faire accroire ! mon coeur est l’organe de ma foi dans le langage appris, je ne suis pas etre de rien mais je suis etre de ce tout verbal inculqué acquis, qui erst verbe de rage de ka vie sur terre, enveloppement viscéral de base, la colère ici incarné, ou bien les chatiments à donc déplier ou déplisser sur la rocghe dure du temp^s alloué à une vie (terrestre) par qui on ne sait mais par x ou y de roche dure, je suis homme de ce x ou de cet y, qui file fissa sa pelote (fil de soi) sur roche = dans le temps, soit le temps imparti ici à sa vie rude, je veux et trouve ! je veux savoir et trouve des savoirs ... à même la roche ! je suis ombre et homme dévolu! je file fissa, dans la rocxhe des temps adoubés et, de ce fazit, comprends la chose en train de se dessiner ici sous mes doigts : cet aurochs des déités de rocghe, ce dit «bouquetrin viscéral», ce renne des données de rage, ce bison de pleine mesure, cet ours au taquet, ce lion à emporter etc, je regarde sous mres doigts se dessiner ... la rocghe du temps, les tourments, les saillies, les chants rudes, les efforts de rage, etc, je devine ! je devine le
pot aux roses : la mort est une entité de passage, elle nouis regarde car elle a des yeux, elle voit tout comme un dieu vivant, elle ne lache rien tant qu’à faire et nouscespionne jour et nuit de pied en cap, la mort est une bete de paroi, elle mesure un bonn m!ètre de vie vive , ou même davantage
= elle en jette grave, cvomme une sorte de bete géante, animal de poids comme une sorte de massif de rage rude, je vois en elle une sortye de vive incartade, ou bien de vivat, une sorte de chose dure, qui vibre, qui nous chzante ou chanterait sa mélopeé de bure, applaudissements carcéral, mural ou paréiétal etc, la mort esrt cette chose rossse de paroi : aurochs ? ou quoi d’autre ? je suis homme des sentiers battus et je vais, à l’intérieur de cette roche de paroi, poour dessiner des betes de fort poids qui sont des betes-mots, betes-mots de fortune, insultes, gens de rue, crachats, va nu pieds comme mendiants, rien de race, perduraison d’un rien qui se plie mais qui ne rompt pas et c’est la chose à retenir : vive la vie vive et ne cédons ps aux appels de pied de cette bouche des apprêts de roche, bouche -trou de roche, bouche-baise, saligaude, cette Chose en soi de roche dure, ouverture à l’iris, conséquence, tentative, appel, survivance etc, je ne suis pas l(homme des appr^ets, je ne suis pas ton homme de la mort ! je suis l’homme cde la vie de roche vive ! je tiens bon la barre de l’embarcation ici rupestre et ne m’en lmaisse pas conter (non de non ! ) car je veux vivre = je suis l’homme qui veut vgivre ! je suis l’homme qui cherche à tout prix (incantations) à tenir bon face à l’adversité d’un appel de pied, merdum» dis je , et je réitère ! je dis mille fois «merdum», mille et une fois merdum « , les voilà : merdum , merdum, merdum, merdum, merdum, merdum, merdum, merdum, merdum, merdum;
, merdum, merdum, merdum, merdum, merdum, merdum, merdum, merdum, merdum merdum, merdum, merdum, merdum, etc (1000 fois) à la mort en roche, à Mort de la Rocghe des Prés, à Dame MOrt des roches Dures, à Mort de roche la dure (monsieur ?), à qui de droit, la mort, Insulte ... ou comment ? je dis La mort , pensant LA vie ? je dis La
quand je dis Le, et je dis Le quand je dis LA ? que dis je ? cazr quoi ? la mort est une entité à part entière, la mort est une chose ruge et rugueuse, la
mort est un appel du pied, la mort est une échancrure, la mort est 1000 yeux de sa race, la mort est une forme cdrôle dans la roche : trou borgne ? fistule ? claudication ? cambrure ? catafalque ? cache-misère ? je cherche en quelque sorte abvec cette chose, d’un la,ngage animalier , je cherche vif à partir de moi et jusqu’à la roche, ce que donc icelle (la mort) pourrait bien être pour moi (nouys) qsui syuis (sommes) cet etre (ces) démuni (s), en termes de .... profondeurs de l’etre, en termes de .... choses d’une intelligence (allouée) humaine : grave ! grave démuni(s) ! l’ai-je dit ? ou l’ai-je assez dit ? je veux comprendre, et dès lors, je cherche à tout va, et conséquuemment, la chose ! je veux comprendre et par conséquent me voilà, qyui cherche vif le sens de la chose ici en roche, car,
la mort est une déité, cela oui (tablons !) et aussi : des yeux, on le voit, et aussi un trou : lequel encore on ne sait pas, on cgherche vaillamment, on ne lâche pas le morceau, on dit : le morceau et du coup on pense à une mort qyui en vrai serait matière, étoffe qui sait, tissu d’insanités vivement proféreées à son encontre, ramassis de mots («merde !») jetées sur elle par des hommes et par des femmes des cavernes et bien au xdelà, on dirait cela, comme quoi
la mort est souillée ou souillure, dxu fait qu’elle s’en ramasse (à longueur de temps) plein la gueule, d’insultes, d’invectives et autres saletés verbales ou même insanités de toutes sortes et de toutes origines ou acabit, nous pensons dès lors que la mort «ramasse» grave, s’en entend des verrtes et des pas mûres, de tout, qui fait d’elle une souillarde, souillarde ambulante ; ambulante, car, elle nous suit ou suivrait à la trace (de nos injures proférées ? de nos saletés projetées , dé^poseées, en guise d’offrandes ?) et voilà ce qui en est ici, qui s’ensuit, à savoir cette chose, comme quoi la mort est sale ! sale de chez sale ! elle pue le fenec, sans rire ! elle coccotte dur ! elle pue lma merdxe ! elle empeste , et pourquoi cela? car, elle subit les assauts multirépétés de tout un chacun chacune qui l’invective et l’injurieb à longueur de temps = la longueur du temps ! voilà ce qui est : le Temps dé»roulé de la vie terresrttre= l’invective, l’injure, la chose, dite crue = le «gros mot» de l’enfance interdite ! ce «merdum mille fois « en d’autres termes, ce «mille fois merdxum», cette chose , je vois cela, je comprends, c’estc à dire que je commence (enfin) à comprendre les données ou disopns à m’apprrocher d’une sorte de vérité quyi sezrait attenante à une sorte de paroi de roche, à l’intérieur d’une grotte,
le Temps déroulé (pléonasme ?) est insulte déposée comme une sorte de ... don (de vie) royal, commùe sorte d’offrande ici à déité, etc, mais de quoi s’agit il ? d’une saleté vive ! d’une turpitude ! d’un trop-plein de vie toute débordante etc, ce «trop « qui est le «trop» qui est à déposer fissa, afin de complaire, et le tour (de passe-passe) est joué sous les yeux hagards d’une Chose, postée devant soi, $qui serait la Chose ! et voilà ce qui est ici en vérité ou en matière de vérités , nous avons compris (enfin) le lien qui unit ici ce depot sur roche (on dira ... l’art) au temps déroulé qui est ... une insulte à agent ! c’swt à dire une sorte d’invective proférée brutalement et vilainement envers la mort ici présente en tant que réceptacle des dires intégraux d’un homme ou dune femme (remonté) des cavernes, «je» est «je», comme «je» est «je suis» ;
«je» est ce «je» du «je suis», mais aussi «je» tout court = ccette chose rude d’une vie à vivre pariétalement, «nous» = «nous sommes», «je» = «je suis», mais «nous» = «nous» avant tout et «je» = «je» avant toutes choses ! je suis «je» l’homme de la roche, je suis «nous» l’homme double ou doublé de roche dure, mon coeur est double comme une méprise, je trembkle en vérité de tout mon corps devant la mort une vie durant mais je ne cède pas de sitot , je résiste grave ! je suis sur roche des embruns (de bord de mer) , je me loge, me love, je suis Amour fou, rage bete, caresse mais rude ! je ne veux pas de la mort en moi ! je en moi nhe veux pas de mort de rochje ! je en moi de mort de roche ne veux pas ! je ne pas veux mort en moi roche de ! merdum de chez merdum à Mort de laroche du gtemps ! je dis (je redis ) «merdum», car ce «merxdum» est ici la vérité (pour ainsi dire) de la langue (une) déposée sur roche (table d’offrande) par un homme ou une femme des cavernes : soit «m:erdum» en guise d’offrande, on l’a compris = le langage (de a à z) rien de plus ! et ce qui est ici est dit, ce qyui est de ce «merdum» de rage est dit à même la paroi sous une forme animakllière : aurochs , renne, bison, antilope, mouton, ours, brebis, chien,, chat, etc, nous cherchons ensemble (tous et toutes) u,ne vérité de joie, qui puisse nous donner du coeur à l’ouvrage ou nous redonner du coeur à l’ouvrage ou nous redonner de quoi y aller fissa à même la roche indéfiniment , sempiterneellement, le temps d’une vie à maiontenir vive pour soi, noys vivons et ce faisant cherchons dans la roche le depot de soi a minima, etc, à faire, et ce que nous disons là vaut pour nous c-omme pour la bete en nous, qui desespère presque de pouvoir sortir ou (plutôt) de ne pas pouvoir , de nous, qui sommes des hommes ou des femmes de foi, sortir fissa ! car nous sommes des hommes et femmes à la foi intègre ! nous cherchons en ous les mots «de ta rage vive» = la vie profonde, l’influx moteur = le cardial, ou le cordial ; le mot du coeur à vif, ce tic ici et ce tac (de rage) sur roche,
cette chose intrinséque est le mot de l’inhjure vive , adresseé vilainement, jetée à la face, etc, d’une sorte de... déité de roche ? déité de la roche ? déité de laroche dxu temps ? déité de la roche des temps ? déité de la parole comme avalée ? bouche d’avalabge de couleuvres ? bouche d’avalaghe cde mots de merde ? bouche d’avalages de couleuvres et autres insanités à son encontre ? la moprt avale grave l’insulte et l’invective, et du coup, depuis ttoujours, la mort est une bouche à merde , etc, nous savons cezla, nous le comprenons, nbous comprenons cela de toute nottre comprenure vive de vivants/vivantes vivant vie sur terre et dans la roche dure (même chose en vérité) et voi;là ce que dès lors nous disons de toute l’affaire, nous disons qye nous sommes deux qui cherchons à panser la plaie de notre bouche toute brûlée par la fine lame d’une sorte de percée à même la chair tendre , nous sommes deux (en nous ?) qui voulons pa,nser la plaie de notre bouche, comme saignée à blanc, à vif, par en bnous une sorte d’épée ou delame fine faite de betes-rages vives cherchant sortie à tout prix, et voilà ces betes (en nous) qui nouys perc ent de l’intérieur, squi nous transpercent et nous font mal (et du mal)
et nous font hurler (gueuler) et maudire et injurier et parler mal = parler gras, grossierr, plus quecgrossier ! voilà la chose ! et du coup nous hurlons toute notre misère d’homme ou femme à vif, traçant sur roche des betes de poids, surnuméraires, betes ++++ , qui sont betes de forte cxhevauchée ou vive chevauchée, elles sont fortes, elles vibrent comme des messages, elles se cambrent vite fait à la moindre remontrance à leur égard, elles ne s’en klaissent pas conter, elles sont betes de rage et de bisque, et de bisqUE-rage des apprets de roche, elles fusent à même laparoi, elles foncent sur leur proie, elles sont costaudes et forcent la note et se présentent temporelleme,nt comme des invectives de opremièresn adressées de fait à une déité qui est celle delaroche mère, à savoir : la mort ! car la mort est une déité, la mort est un dieu de roche, la mort est une drole de chose rude, la mort est la parole rude, laz mort est caméléon, la mort absorbe et prend allure, vite fait bien fait, de k’invective ou de l’injure à elle adressée, je suis je l’homme de la pampa ! je suis je = je suis vif, je suis je = je suis homme des temps vifs , je suis je = je suis cet hommme-hombre des temps reculés = la pampa
! je veux vivre pour le coup ma vie de rocghe des tourments sanglants, je veux et jke vais, je viens et je vais, je serais cet homme rude aux allures de «chantre» (de chaman ?) et je m(immisce en roche sur le pouce,
direct, chargeant de tout mon poids et de tout mon être la roche des temps ! je (je) suis (syi) cette (cette) chose (chose) quer (que) je (je ) veux (veux) etre (etre) pour (pour) belle (bbele) la (la) déesse (déessse) de (de) la (la ) mort(mort) des (des ) embruns (embruns) , ainsi de suite : doublage ou doublement des choses dites (nous) comme une sorte de redite liée à une vision liée à une vibration liée à un sentiment lié à des effluves liées à des mots ... de roche des temps= un déroulé pour une insulte et une insulte pour un déroulèé , tapis ! et voilà ce qui est ici, cette chose en soi (en moi) qui dit ce qui est qui s’impose à soi (doublure !) tout comme kles tourments ici qui viennent se placer pour soi sur roche, et vous faire trembler et trembler, je vois roche sous kle sang, je vois lza roche et le scxang, trembler et trembler, je vois trembler la roche sous le sang qui bout, je vois trembler la roche sous le sang (jeté) quyi bout, je vois, qui tremble, cette roche des parois, sous l’effet de la chaleur du sang bouillant, je vois tout ce sang, ces effluves, cette chaleur montante, ce sang de la roche, sur roche, ce depot de sang sur roche, je suis vbif comme une peau d’homme ou de bete, je suis (disons) vif comme une vie de bete ou cd’homme vivan,ts, je regarde la paroi, je suis homùe vif, je rehgarde dfevant moi cette paroi du monde, et, j’essaie de comprendre les enjeux gs’y attelant, ou attenant, que sont ils ? je suis homme de la roche dure, je suis homme des embruns de bord de mer, je suis homme des embruns de roche, je suis vif l’éclair aux 1000 tourments, je suis un homme des cavernes, je suis cet homme des cvavernes ici tenu, je suis homme de roche dure, je suis cet homme des rocghes dures, je suis hombre de la roche dure, je suis homme des tourments,; je suis ombre et hombre et homme et femme des tourments, et aussi bete, bete de rage des tourments, je suis homme vif de roche dure et bete de rage des temps impâretis (à une vie ou deux) terrestres en diable, mon coeur frappe et bat et tape car il est vivant et ne s’en laisse pas conter, de fait, par la bande, à la une à la deux, le voilà qui frappe ! cogne la paroi du monde, et grave à l’en-vie des betes de choix, qui en imposent et se posent là, il s’agi-t pour le coup de betes de charge (captures), il s’agit de grooses betes de charge lourde, des aurochs pour ainsi dire, ou des buffkles de donnée rapide, je file ainsi sur roche mon (propre) fil de vie, je dessine l’insulte grosse et grasse en termes d’offrande, je suis l’homme au baton de bois, au charbon, qui trace un visage de bete rude
et insulte la mort au passage, et ce trait est du temp^s de vie en barre, rien d’autre que ce temps vif, de vie vive de baton br ûlé d’une vie de rage, car vivre = souffrir et parfois non, ou moins, la vie = le passage, sur soi, d’une bete d’invective à l’egard de «mort la belle b ete», nous disons que nous devons mourir, nous disons que nouis devons mourir, nouys disons que nous alloons mourir, nous diso,ns que nous allons un jou mourir, nous diso,s que nous sommes tous et toutes
qui allons mourir, n ous disonsque rtous et toutes nous sommes qui un jour serons morts et mortes, nous disons que nous sommes deux (ou plus) qsui alloobns mourir ! nous allons mourir ! nous allons mourir !nnous disons que nous allon s mourir un jour ! le jour viendra ou nousseron,s morty ! ce jour est le jour J de la paroi ! je suis homme des ezmbruns (de roche) et je vais mourir ! je dis que je vais mourir ! je suis ou serais celui là ou celle là qui va mourir ! je suis celui ou celle qui va mourir !
le langage est le parler du jeu, et non point de la
«vérité des rochges du temps»,
le langage du jeu est le langage vrai, le jeu impulse et gagne la mise, le parler dit «articulé» est le jeu en soi, le verbe est le parler dfu jeu et non des savoirs tranchés, le parler est jeu, est le je d’un soi dédoublé, je suis cvelui là qui joue
sa joue (trouée) sur roche (saignzante ) du temps, je ne tremble pas ou pas plus que ça, je suis homme de la roche dure, le parler est le $parler du hjeu de roche dure, et non point d’un savoir tranché (découpé) à l’emporte-pièce sectaire, je dis (je) que le jeu est dit, je dis = jeu dit, =jeudi, car la vie ici ( 15 juiillet 2021) est chose de rage et aussi de race et aussi chose de beauté ancrée pour ainsi dire dans la nasse x’un temps pariétal, je dis ce que je dis qui est du jeu dit de rage vive comme le temps, le sang, les tourments, le vent dans les branches, etc,
je suis homme d’un temps découvert (ici) sur roche, il s’agit de betes vives (racées) qui vbont à kla roche se désaltérer et poursuivre de leurs avancées de parioi dure, nouys devons comprendre ce qui est ici en roche pour nous, en tant que : données de base, rudiments, ancrage, saignements, etc pour une sorte de compréhension «de rage», etc, noudevons comprendxre ensemble ce qui est, qui nous tend les bras , nous devons ensemble comprendre les donnbées de base intra-pariétales, et les soupeser par la bande, et n,ous figurer (dès lors) leur teneur, en termes de vérités liées (toutes) à une paroi ou sorte de paroi de grotte ou roche souterraine, etc, nous savons cette chose colmme quoi nous avons à comprendre les données du monde, nous savons cette chose ici comme quoi nous devons creuser (profond) laterree du monde, les choses rudes, le vif du dur etc, car la vie est rude volée, chose crue, rageurs, turpitudes à devoir déposer sur une butte,, ou table , ou roche, cvomme autant de betes de poids allouées à une paroi
d’ornementation rupestre,
nous passons sur la paroi, notre charme sous influence, volée ou volette, nous poussons à travers, passons et poussons à travers = gravons (ou dessinons) des betes de rage, ce sont betes de poids lourds, ou comment dire ? choses crues ? rudesses ? nouys disons les mots de latribu et ce faisant nous rudoyons (fort) la mort, mort de la roche ! nous l’invectivons ! nous n’y allons pas avec le dos de la cuillère ! nous voulonbs savoir ce qui est et qui nous gouverne (pariétal), et ce qui est (pariétal) qui nous gouverne est cette chose comme quoi la vie en ous est une donnée brute, rude, qui file sa misère brute sur roche du temps, et de fait, les mots-betes (§art ?) sont, pour ainsi dire, ce langage ou alors kle représentent en tant qu’il serait dekl’invective pure, adressée, à visée précise, etc, comme une flèche (une flèche cde temps) jetée (filante) vers une sorte de "cible-déité" ancrée da,$
ns la roche , ce que nbous nous disons ici, est cette chose (donc) cvomme quoi le mot, est jeu de roche dure, ne sort pas du jeu de roche dure, il s’agit d’une sorte de jeu enfantin des roches du temps, un jeu pour un autre, une sorte de succédané de parole vive, un langage perlé, princier, rupestre, modeste, louvoyeant, etc, qui mène sa barque fissa à m:ême une roche (ornée dès lors) du temps et c’est ainsi que l’homme -femme des cavernes (que je suis , que nous sommes ) s-’y retrouve, faisant absratction de sa gouverne pour toper en lui la bete et, dès lors, la présenter sur son devant de vie qui est sa vie (de rage) alentour, espace temps circulaire, rond de gite, carême, chou à la crème, etc
, nous disons : ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiikikikiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii à lka vie en nous ! nous voulons dire, ce oui ensemble = main + main, car nous sommes deux en noys-mêmes ! qui + qui ? nous cherchons ! nous voulons comprendre les données de base quyi présideraient à une vie humaine, à vie d’homme _femm des cavernes, à vie d’homme-femme de céans, nous vopulons comprendre ensemble cette chose, et pour cela nous nous glissons en cette roche des tourments, nous disons cela ensemble, comme qyoi nous sommes tourments nous -mêmes, nouys voulons comprendre, bnous cherchons ! nous sommes de la partie fine, nbous nous exécutons sur roche et traçons la bete à main libre (libre ?) comme des enfants,
notre coeur est le coeur de ce tourment de roche, je vais sur roche commùe l’enfant ici en bvord de mer va à la mer, je suis homme des roches ornées, de la roche du temps ornementée, je cherche pitance dans kes trait sd’une roche rude, mon nom s’inscrit à l’emportée, il s’agit d’une effigie de rage, tracé monstrueux, caillasse, rage-bisque de ta race et autres mots d»’’emprunt, je suis homme des temps furibonds , je suis homme vif de rage vive, la vie en moi est ce parler (total) de l’invictive ornementale ou d’ornementation : je crie , ma haine primaire = ma douleur, en termes gras qui sont ceux de l’injure grossière, de la pleine mesure injurieuse, du trop plein et ce trop plein est injurieux, est inhgjure, est grossièreté de type aurochs de roche, ou buffle-sanglier de terre-mère, il s’agit s’une bete de poids, pesante forcémen,t dans la bnalance, chaude bete rude rugissante, elle pue, elle force la mise, elle est enragée, elle hurle à la vie à la mort et son parler est d’i nvective car elle souffree sa mort en mil;le, et ne veut cela ! elle ne veut pas cela bougre de non, elle ne le veut pas ! elle veut vivre ! elle dit dès lors cela = ce trop plein lié à la douleur du vivre terrestre, elle crie sa douleur de r age, elle hurle à tout va sa vive douleur du vivre terrestre, elle crie-hurle son lmalmheur de bete en misère, elle cherche issue et voilà l’ornementation salutaire, dépot sur roche de cette invective de paroi, dure mère, caillassse, caillassage de roche xdure, ce depot de betes, cette voix, cette voix qui vocifère et dit sa haine comme ça :
« purée !!!! pure purée de meu !!!!», etc,
elle dit peu mais vif ! elle en dit long sans dire plus ! elle chie sa gourme, et sa haine et sa vive beauté par la même ! elle pue ++ son ressentiment en roche, le pue, le dit puant, ou comment ? elle est :
cette bete rugissangte qui hurle sa peine mortelle, et vce trop ploein est «vie» donnée sur une roche (à la mport en attente) et se veut vie tout court, or vie-verbe n’est pas vie tout court, le mot ici ( de «vie») n’estc pas la chose , hé! et, c’est ainsi que la mort encaisse ! écoonomie ! salut ! échange et partage ! don de soi pour une rentrée ! «je taime» et autres tourments forestiers de cervidés ! je chante à tue tete et je crie ma haine ! mon parler est ainsi celui du charretier, de la charretière, mon parler vrai, le seul qui se tienne, etc, je ne crois pas aux mots de tete à froid, je suis homme /femme de la ragee ou rage des temps car le temps qui passe est fait dxe sa rage, des tourments tous accumulés comme en une nasse, etvc, je cherche une voix qui porte ou porterait , je regarde azutour de moi, je veux statuer ! je suis ombre ! je veux croire ! je dis que le mot et la chose ne s’égale pas sur la roche, et que la mort a qu’à ! a qu’-à se tenir ou se bien tenir ou bien se tenir et ne pas chercher à bnous enfumer ou nous anéantir ou bnous saloper ou nous enchâsser ou bnous ensevelir ou nous encadrer ou nous saborder ou nous prendre par la peau du cul etc, nbous ne voulons pas mourir ! nous ne voulons pas céder du terrain sur la vie qui est la nôtre ! nous ne voulons pas mourir ! nous ne voulons pzas lâcher prise ! nous ne voulons pas laisser le temps ainsi sans soin, nous voulons donner de nous du temps soigné ! et non point notre feu central, la roche brûlante, ou commùent ,
je suis l’homme dxe la roche dure, je suis homme des embruns de bord de mer, je suis homme des rochers tremblants mais qui ne cèdent pas, je suis homme vif, je suis chien, je suis animal de race, je suis nommé, je suis frappé, je suis couché sur la paroi des temps alloués, je m’appelee jean, je suis rageur, je suis ombre sur paroi des tempsc anvciens, je suis chaleur en jet, je me pose sur roche du temps aux tourments, je pleure mes larmes de sang,, je suis homme des cxavernes aux sentiments exacerbés du fait qu’ils sont vivants, je dis ce qui est d’une sorte de déité, déité majeure, celle là qui est postée là sur roche près de soi eyt vous regarde fixement sans ne jamais baissser la garde (étrangement ? ) ,
son regard est fixe-vif, ne trembkle pas, cherche complaisa nce, vous recouvre, il s’agit d’un regard de rage, uune mort de bete sur paroi, une remontrance mais ne cédons pas à son appel, soyons sur nos gardes à nous, ne nous donnons pas trop vite ! je cherche une voix et une voie (en roche) pour moi, ma gouverne, mon allant direct,, ma chance etc, je suis un homme des temps reculés par apport aux miens ou comment dire ? lointains ? je cherche la vérité , la vérité n’est pas de ce monde ! je cherche la vérité et me dis qye la vérité n’est pas de ce monde ;,, autrement dit: la vérité n’est pas dans les mots qui sont les nôtres, ou dit autrement (en vérité) : les mots ne peuvent circonscrire (de fait) une vérité qu’elle qu’eelle soit, or, ce dire (précisément) s’annonce ou se présente ... en tant que vérité !!!!!!!!!!! d’où la misère !!!!!!!!!!!! et la tres tres grande contradiction inséré à même le langage, le langage est jeu et en tant que tel contient sa propre contradiction, et de ce fait, et pour ainsi dire, la vérité du langage est la vérité du lan gage, la vérité du :monde est cette vérité, comme quoi ... il n’y a pas de vérité qui soit (= possible) via un emploi quel qu’il soit du verbe, or ce dire ... s’affiche comme une vérité, alors voilà ! la contradiction primùaire, le feu sou$s roche, la chose en recel, le jeu, le je , le je du jeu, le «je dis cette chose », ce « je dis » de la chose, et ce jeudi= ce temps monnayé, etc,
je suis sur terre en tant que je qui dis une chose, c’est à)àà dire une affirmation positive, mzais celle ci est comme négativée d’elle même intribnséquement, et le tout constitue dès lors la contradiction primaire, priincière, royazle, conséquente, dure comme la roche, le noyau putain ! ce noyau de meu qwui nbous encombre et que nous dépôsons comme une bete morte sur table d’(offrande : cette exclazmation inhjurieuse , ce mot grossier , ce «putain de meu» jeté balanczé et démerde t en ! et voilà ! car, la mort est là, devant nousw, qsui s’interpose, comme une sorte de réceptacle (bouche) dx’avalage ! on voit cela ! on sait cela ! on comprend cela ! on le subodore ! on est deux pour ça en soi : yin / yang de basx étage ? comme quoi ?
nous cherchons, nous cherchons cette chose de ce dire double, ou comment ? nous chercxhons cettye chose d’(une sorte de dire en soi, qui est double, qui est particulier, qui tire à hue et à dia, qui va ici et qui va là ! je cherche ! je cherche de rage ! je cherche une voie de rage et de paix associées : qui suis je ici (je) qui contient ou contiendrait en moi la «contradiction « du langage parlé ? qui je suis, en moi même, qui comprtend( = contien) la contradiction inhérente à tout idiome articulé par une bouche d’homme / femme ? qui je suis qui contient en lui /elle, cette contradiction inhérente à sa langue, quelle que soit la langue, touteszx , sur ce point, sont égales : qui ? je chertche ! je suis
je, l’homme de la manche , ou du machin qui serait glissé dans la manche ? un double terrestre (terrien ? ) ? je cherche : je suis homme , au langage parlé de la roche, mots = injures, = dépots sur parois = vivacités = chants dazur, = chants de betes de poids rageuses, je veux comprendre les données du monde et ce qui est ici en termes de choix, de choix à faire entre deux assertions qui en vrai se contredisen t, etc, je dis que la vie est riche de vies (diverses) en elle même (animalières) et voilà pourquoi ... cette e=mpreinte de soi sur roche : mazin, mùain , main, main,; main, main, main, amain, main, main, main, mzain, main, mzain, main, main, main, main, mazin, mazin, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, mazin, main, mzain, main, main, main, main main, etc, mains ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
sur roche du temps , mains en plus, plus plus de mains sur roche, etc, nous sommes homme / femme sur parois, qui vont /viennent dessinant, nous traçons x figures de betes, traits sur rochz au bois brûlé, nous parlons le langage (inné ?) de la roche dure : cris primùal ? chant de couvée ? chant d’azur ? cris de guerre ? mots-betes de rage ? cris de douleur au pazssage ? rugissements incantatoires ? que suiis je sur roche que je ne sais pas ? que sais je de moi ? suis je blanc comme neige ? suis je noir comme tout ? dois je rire de moi ? suis je bete-mot de ta rage folle, débridée ? dois je p;leurer sur moi de moi ? suius je indemne de reporoche ou pas ? suis je l’animal blessé, criant sa douleur maussade ? dois je crier avec la bete en moi qui semble trépigner ? suis je un animal ? phoque ? otarie ? je cherche ! je suis moi-je la bete de la roche rude, je crie mon tourment à même mon sang ! je cherche la Chose de pôids , je regarde (autour de moi) ce qui pèse ou pèserait et que vois je ? le bison racé, le buffle fort, le bouquetin trapu, le mammùouth géant, le chevreuil aux bois haut, la biche gracile, l’ours debout, le lion couché, l’antilope, je veuxw etre bete moi-même (très) pour la saillie, je veux corresponxdre, que mon mùoi aille à plein avec la bete et qu’ensemble nous ne fassions qu’un ! je suis homme des roches et rocherrrs, je mange la chair de la bete, je suis ambré, je suis homme de la terre meuble, je veux filer droit en icelle et comp^rendre les données les plus subtiles qui soient en la matière, ou en cette matière d’un dedans de soi animalier qui serait la bvérité vraie de roche dure, je chercbhe une sorte de clé permettant l’accèsd à une vérité de poids, je cherchev volontairement, sciemmen,t, vivement, les yeux ouverts, je cherche vivement la chose, je veux savoir , je veux comprendre, je fouille, je veux aller loin en roche, je veux creuser loin en roche, je veux creuser dans les profondeurs de la roche, je veux creuser profond en cette roche des embruns, je veux creuser profond la roche du temps, je veux creuser profond la roche dure des temps alloués à une vie terrestreanimalière et humaine ou humaine et animalière , je veux comprendre le tourment lié à une vie de roche dure, kje suis hommùe vif du tourment racial, je creuse : je suis une bete, c’est à dire une sorte de bete, c’est à dire , une sorte de mot-bête de roche allouée pour un dire fou, à dires fols, ou alors comment ? je suis homme des embruns des rocs et des rochers de bord de mer, je cherche une voix / voie de halage ou de passage, je suis homme sur la grève, je marche vers les embruns, je chercbhe vérité de poids «qui puisse le faire, le faire grave» et comme me sweconder dans ma tâche qui est celle de troujours en avancer (fissa) sur la voie ici d’une sorte de recherche double :
vers la vérité des choses du monde,
vers la vérité des choses du monde ... de la mort,
double = vers les choses du monde alentour, et, aussi, vers, ici ... la vérité des choses cde la mort,
je vois ce qui est et je comprends la chose dédoublée, je vois la vie qui est déposée et je comprends cela qui est pour nous cette chosecomme quoi nous sommes «appelées» à mourir un jhour ! mille misères ! je vois cette dualité , avec d’un côté la vie (alentour) vive et de l’autre l’appel sur soi, la chose dressées, ce chapeau cde paillle xd’italie, ce quoi ? cette débandade ? ce relent ? cette musaraigne de parade ? la mort a des aspects divers, elle charge de partout sa peine, elle ne lâche rien, elle est souterraine, surterraine, de plain pied, elle s’(accroche et mange à tous lkes rateliers : musaraigne de première ! elle charge ! la mort est égale, ne sombre pas, rameute, chie sa gaine etc, je cherche ! je suis homme des cavernes armé de mon bâton de bois, je vais de mon pas assuré dans la lande, je suis homme chassseur de contrebande, je dis le mot de la bete rossse sur roche, le grave, je dis le mot de la bete vive sur roche , et le grave aussi (ainsi de suite) en lévitation (transe) en une sorte de pazrade spectacu:lzaire qui en jette (je, je , je , plein) afin de convaincre , capter une attention et laz tenir serrée, celle de la mort, la bloquer, la tenir au bout du baton, lui faire garder ses distances, je suis homme de roche des temps, je suis l’hommùe en roche duu temps inséré et cherche à comprendre (dans le vezrbe de la roche dure) le tourmen,t ins»éré, le mal de base, le mot grav»éé, la parole fine des tempsq ancrés etc, je suis hommùe des parois du monde et je vais /viens à même la roche : incantations massives, solidarité pariétale, jeux de dupes, chants choral, double détente, jeux d’enfa,nce, colère, transe parodique, tombola ! je suis un homme fou (de roche dure) inséré ! je suis homme des cavernes au sang vif , qui donnhe de lui une chose, une chose seule, et non pas le tout de son etre, et cette chose ici donnée (en roche) est gouverne animalière, temps passé lourd de son poids surnuméraire déployé, je suis homme de rang, je m’avance, je parle à tout va à pareille entité pariétale, l’invective fissa (paroles de poissonier ou de charretier) et ainsi fait, je me sens tout léger ... un temps, comme peut-etre soulaghé par en moi ou de moi la chute brutale d’une bete dure, rude, forte, massive, sortie enfin de mon antrte, et qui sur roche va ainsi, gambadant à qui mieux mieux, soulager (elle) sa gouverne,
et voilà ce qui se trame dè!s lors, sous mes yeux d’enfant échaudé, ce qui se trame est cette chose rude,; ce tombé-jeté de betes-mots sur la roche du temps, ces sezrments, ces cavalcades ensdiablées on le sait, tout ce tralala de première, cette musique primùaire, ce chjant d’azur, nous voulons aller vers la bete reine, sortie (il y a peu) de nous, nouys voulons cher cher les betes- mots de roche dure sur le tas, nous sommes vifs et vives = vivants / vivantes et non morts et mortes comme la roche rude, nous voulons connaitre les enjeux primaires, les données justes, les parties complètes (toutes) , et autres articulzations p^remièresq entre elles (entre les parties ) , nous sommes vifs et vives et tombons des betes, de nous (bouche), sur paroi du monde à graver, l’homme / femme des cavernes est la bete-mot de la roche, son nom est ghravé au stylet, à la pierre aiguisé, il/elle parle langhage rustique (rupestre) de charretier, tous ses mots vont direct à l’invective salutzaire , vivre = conspuuer ! vivre = touyjours et encore et en tous lieux et en toutes occasions et quelle que soit l’époque : conspuer la mort = conspuer , vivre ou conspuerr c’est la même chose , le coeur bat = conspuer ! nous disons = conspuons, nous vivon,s , nous sommes en vie = nous sommes une iunjure à la mort, etc ! cela est, de source sûre ! cela est, la vérité vraie !
la vérité vra ie est logée en ce fait que la vie en wsoi (en bnous) est une injure (incantation) envers dame ou sieur de la mort en branche (oiseau ?) qui nbous «regarde» sans faioblir et jamais ne nous lache la grappe ! car la mort est là (toujours) qyui surveille et cherche à nous adjoindre à elle, forcémeznt ! elle nous veut car elle nous aime ! elle veut /aime nous ! elle est cette Chose de rage affolée, qui semble la passion ! nous ne voulons pastomberdans ses filets ! nous voulons (mordicus) croire en nottre étoile de salut rupestre, tracer la bete-mot de roche hospîtalière, l’aurochs des tribus, nous voulons comprendre loin, comp^rendre longtemps, vif, vif nous voulons ! nous voulons comprendre loin et longtempsq les données du monde (royal) de la vie et de la mort, ce que l’homme/femme est ... ,
avec des mots de rage c’est coton, mùais essayons ! nous disons que c’eswt coton car nous sommes sûrs et sûres que cela est , car nous avons des convictions (foi) ancrées, car en nous les mots , le verbe, des locutions, sont ancrées qui nous portent vcomme bleszés sur leurs civières, etc, les mots nous portent comme portent des civières, eureka ! et nous de nous laisser pôrterr(une chance ?) par la bande ! car nous sommes deux, qui sommes, n ous memes, ce je «de roche des temps», je = nous, en termes de tourments rocheux et de mains surnuméraires ! je suis je l’homme du nous grégaire, etc, MON NOM est affiché comme à la porte du salon, je chante mélopée acide, je rugis comme un animal, je crie guttural à toute blinde, je chevauche les données, je cherchje issue , je suis homme «de la roche des embru,ns», je suis homme au verbe imagé, violent, cabossé,, qui veut comprtendre les soubassements
du monde de la roche dure
des temps impartis : qui je suis en termes de vie, qui je suis en termes de tourments ? suis je un animùal ? une chose borgne ? un trou ? une perle ? une pouussière, poussière d’étoile ? un hommùe ? un homme-enfant- femme ? une parole d’évangile ? un serment ? un salut ? un jeu ? le jeu ? le jeu de base ? le jeu ancré dans la roche, le jeu = le vide entre les éléments ? y a t il du vide entre les éléments ?
je suis homme des roches et des rochers d’une terre-mère .. allouée à une vie terrestre, je regarde autour de moi les betes paitre, je suis homme du jeu (enfantin) de la parole écartelée,; je suiis homme d'un jeu, dxe rage folle, détendue, offert, qui voit pour ainsi dire dans la roche l’image d’une déité, déité à tenir, bon pied bon oeil, à bonne distance, cxar, la mort grignote et cherche à vous happer à la une à la deux comme qui rigole !
14/7/2021
nous aimons la bête, nous l’aimons passionnément, nous voyons la bete aller et venir en cette roche des embrunds et nous l’aimons passionément, nous aimons la bête plus que tout, cette bete en nous, belle bete au bois dormant, elle nous intrigue et nous séduit, nous en sommes baba, nous lm’aimons plus qu’il n’en faut ou comment dire : plus que de coutume ? nous l’aimons tant et plus et plus encore, nous aimons sa grâce, son allantr et ses chevauchées dans la lande, nous aimons la bête rosse,, la bete des embruns de rage, nous nous infiltrons près d’elle, elle est cambrée, elle nous suit des yeux, ses bois vont haut, nous l’aimons pour sa majesté, son allure fine et musclé, son aura et sa superbe, nous en sommes fous, nous sommes fous d’elle, nous aimonds cette bête de paroi de roche : vive elle ! vive la bête ! vive bête la ! que le seigneur soit avec elle ! vive bête-la ! nous aimons celle ci en son champ d’azur, au milieu de ses congénères, qui va et qui vient, qui broute, qui chevauche la prairie, qui monte et escalade et file et revient et nous regarde, nous aimons ce cerf, ce chevreuil aux bois de race, cette belle biche des parois, ce sanglier aussi, et le bison des prés et l’autre, le bison des bois, et ce chevreuil en majesté géant, cerf de la reine, nous voulons comprendre de ces animaux leur présence soit le pourquoi, nous ne voulons pas rester en rade de savoirs, nous voulons aller très loin dans les connaissances et pour ce faire cheveaucher la roche avec cet animal = le monter comme monture oou comment ? grimper ? sauter sur lma bete et l’enfoucrcher comme une mobylette ? nous sommes baba, nous sommes fous de pareille bete des embruns, nous sommes sonnés devant tant de beauté de rage, nous voulons comprendre ce qui est en elles, le pouvoir induit, ce pouvoir des betes contenu en elles, cette chose en elle vibbrante, ce que c’est, ce qu’est cette chose contenue en elles, = ce pouvoir de la bete de rage, ce pouvoir contenus (en elles) qui est : le pouvoir de la rage, etc, nous voulons comprendre et prendre = absorber, comprendre = absorber, nous voulons comprendre /absorber le pouvoir animal et nous en faire un quelque chose de vital, pour notre gouverne, pour nous qui allons en roche, faire ainsi que ce pouvoir de l’animal en nous fasse son chemin et nous entraine loin, et nous donne des ailes et de quoi comprendre les effets de Mort la Bouche sur nous autres humains, qui ne sommes pas des betes, etc, nous essayons de comprendre ensemble les données de base animales ou animalières, quielles sont elles ? qui connait ces données de base ? qui sait de quoi il s’agit ? qui sait ce qu’il en est de ces donneées de bas e animalières ou animales ? nous voulons comprendre entre nous (petit comité), ces données de base, les ingurgiter, les digérer, etc, afin de mieux appréhender le jour, le jour de la mort, xcar le jour (la clarté) de lka mort est animalière, nous le comprenons, nous comprenons cette cghose, nous voyons pour nous que cette chgose de la mort-(lumière est une chose qui nous pend au nez, qui nous attend comme de pied ferme = animzalier ! c’est -à dire : cette chose est comme l’animal, ou : cette chose ici est cvomme l’animal, ou : cette chose, on voit ici que cette chose, etc, = un animal , ou cvomment dire juste et vrai la chose ? la chose du divin ? la chose douce d’une mort de bete ? nous pensons que nous devons aller en roche ensembkle, et trouver, du coup, la bete pour la déloger et prendre sa place, tel est le chemin que l’on s»’est tracé, à tous les deux : nous allons en roche déloger la b ete , nous cherchons ensemble cette chose, nous voulons comp^rendre endsemble les données de base, les données vives animales, les données de la bete de rage, etc, nous ne voulons pas rester en carafe de savoirs, nous voulons acquérir les savoirs de la bête, acquérir ensemble une foultitude de savoirs de base, savoirs fous et vrzais, ceux là qui nous incombent, ou nous regardent ou comment ? nous ,ne vvoulons pas perdre
la mesure du temps, nbous voulons ensemble raviver la flammze , des savoirs (animaux) en nous = déloger la bete de paroi, en nous ou hors de nous que sais-je mais la déloger et prendre sa place, épouser son ombre comme qui dirait ou commùent s’exprimer sur cette cghose d’une bete rosse à déplacer, de toute sa masse, ou comment dire ? car nous sommes deux, nous sommes deux à vouloir ! nous sommes deux qui voulons déloger cette bete en soi ou où ? qui est là dans toute sa splendeur de bete à cornes ou à ramure, nous voulobs ensemble déloger la bete, la déplacer, la bousculer un tant soit peu pour prendre sa place, la bouger, la pousser, icelle pèse ! elle vaut son pesant ! elle en impose ! elle est vive et racée ! elle est belle et fine et élancée et gracieuse et remontée comme une pendule ou pas remontée mais elle nous plait énormément ! elmlle a du sex appeal ! elle est devant nous qui plombe, qui pèse, qui est une masse, qui est un «morceau», qui en impose grave , et nous d’aller vers elle et de lui demander de bien vouloir se déplacer un peu , et si possible aussi ou par la même, de bien vouloir nous donner (laisser) sa place en rocje (etc) car nous voulons, ici même (à la place de la bete) nous «caser», notre but ici (ultime) est en vrai de nous «caser» à la place exacte où était telle ou telle bête dite «des apprêts» devant soi, nous ne voulons pazs y couper , nous voulons coute que coute déloger, nous ,ne vou:ons pas abandonner la chose, bnous vopulons (mordicus) de la place de la bête rosse, nouds voulons prendre sa place ... dans le firmament, et c’est marre, ou comment dire ? car nous sommes deux ! car nous sommes deux ! car nous sommes deux
! car nous sommes
deux ! car nous sommes deux ! nous sommes deux à vouloir cette chose pour nous, cette chose des embruns, des bords maritimes, des vagues dressées, des parois mobiles, des dessins de roche, des dessins eyt autres gravures d’hommes et de femmes préhistoriques, nouds volulons ensemble (à deux !!!!!!!!!) déloger la BETE ! voilà ! voilà l’histoire ! nous sommes 2 pour déloger la bete ! nous nous mettons à 2 pour déloger la bete devant soi, et quelle est cette bete ? nous nous mettons à deux et ce n’est pas de trop, pour déloger icelle bête des embruns, cette masse de poids lourd, cette masse rude devant soi, ce donb, ce prédsent ou cette offrande du présent de temps, nous nous amenons, nous nous approchons, nous nous fgaufilons près d’elle, nous sommes deux pour ce faire, déloger la bete et prendrecle pouvoir, déloger la bete-présent du devant, ce temps pesant odffert en offrande (temps passé par la bnande : cette bete) et prendre, dès lors, le pouvoir de la bete ici déplacée = ce pouvoir d’elle laissé ou comment dire ? le pouvoir de la bete fauve l(‘attraper ou comment ? nous voulons comprendrec ensemble cette chose, d’une bete de paroi, ce qu’elle est pour nous en termes de pouvoir (efflucves ?) et pour ce faire noius avons à nous approcher d’elle, puis : la déplacer à cdeux = la bouger de là, de ce daevant de soi temporo-spatiazl (lieu de l’offrande à déité -) et cekla fait : prendre le pouvoir , c’est à dire aller, vibrer, checvaucher la plain,e etc à la manière dela bête ici delogée ! ou comment sinon ? nous voulons comprendre et savoir, bnous avons une ambition démesurée, nous sommes deux qui cherchons ici la bete à d»éloger agfin de prendre d’elle toute cette chose d’une sorte de pouvoir en elle (intrinsèque) allant vers des fins ou comment ? nous voulons comprendre de la bete ce qu’elle est et cvontient ! nous voulons comprendre cette chose ensemble ! nous voulons savoir de la bete ce qu’elle est au juste : quyi est elle ? comment cfaire pour la délogerr ? comment faire en nous ou de nous ou comment pour cette bete arriver à fissa la déloger sans trop fatiguer , etc, car cela a pour nous une importance considérable, cette chose, cette chose à faire à cdeux, cette chose à faire à qui mieux mieux ensemble ! nous avons à faire cela et faire cela est notre affaire de toujours ! nous devons déloger la bete ! nous avons à délo ger la bete en ous ! nous devons déloger la bete en n ous ! nous avons à déloger la bete de poids en nous ! nouys devons ensemble (à deux !!!!!!!!!) dé»loger la b ête en nous ! nous devons à deux déloger de nous ou en nous ou comment cette bête grosse et forte, ce poids lourd, ces mots betes de p^remière, etc, ces mots !!!!!!!!!!!!! ces lmots -bêtes déloger !!!!!!!!!!! car ces mpts sont lourds de leur paresse , de leur présence temporo-spatizale, de leur masse et puissance, etc, et à nous de faire en sorte que cela soit comme déplacé de nous afin de pouvoir enfin nous sentir libéré de cette chose en soi d’une sorte de poids qui serait de trop ! nous voulons nous libérer de lma bete en ous pesante ! nous voulons nous libérer de cette bete de paroi de roche, bete gravée par l’homme ou gfemme des cavernes, enfin la laisser de côté et aller fissa à même la roche gambader l’esprit léger comme une biche des apprêts, mais pour ce fgaire comment cfaire ? poussser ? pouysser ? pousser ? pousser ? pousser la bete ? à deux ? à combienn ? nous cxherchons à pousser la bete, à la déloger, à la déplacer et à prendre sa place sur la place : le pouvoir ! le pouvoir est cette chose ici de l’animal de rage, le pouvoir est cette chose d’un dit animal de rage, il s’agit xd’une sorte de saveur ou cvomment dire, un gout, une inclinaison, ou une pente, etc, nous voulons enesemble, comprendre les questions, les voir devant nous et les intégrer à notre conversation ou comment dire ? les questions s’imposent à notre vision, elles sont devant nous comme des bêtes, nous vboulons comprendre les données natives = les questions de base = les betes de roche = les betes meubles = les beautés nacrées de la lande = les douces vérités des zonez de la vie mortelle, etc, nous ne sommes pas en reste de vouloir cvomprendre les données, ce qu’elles sont pour nous, à quoi elles ressemblent, leurs traits de base, leurs tracés etc, ou les tracés etc de ce qu’elles sont, ou comment ? car nous sommes deux ! car nous sommes deux ! et à deux c’est mieux : pour enfin déloger la bete ! nous voulons savoir ce qui est, de toutes ces betes de poidfs devant soi : qui sontr elles ? nous ne savons pas le quart du tiers de la moitié du centième de la véerité les concernant , nous voulons savoir beaucoup, nous voulons comp^rendrec loin, nous voulons trouver des choses sur notre chemin de halage, nous ne voul:ons pas rentrer bredouille de notre promenade, nous voulons comprendre les données de base concernant kla mort (notammeznt) et son corollaire : la bete de sang devant soi ! nous ne voul:ons pas (d’aucune manière)
transiger, mais tout au contraire tenir bon sur nos positions , tenir ferme et ne pas marchander ou se laisser aller ou mener par le bout du nez, eztc,; point de marchandage sur la question etc, nous voulons comprendrecloin et faire une chose ici qui est de déplacer la betye du temps, cette grosse et vilaine (?) bete la bouger de grace ! la bouger ! car zut et mèfle ! nous devons ! nous devons faire à deux cette chose devant soi ! c’est une certitude ! nous devons bouger la bête ! la bête du temps devant soi (cette masse) la bouger = la déplacer = la bouger devant = la faire circuler , etc ! cet etc signe le déplacement de ce temps bestial du devant : etc ! voilà ce qui est ici ! voilà donc ce que nous devons, ensemble, découvrir : un déplacement des données terrestres, des données de vbase ! notre but ici ensemble est d’agir dans l’idée de dép^lacer subséquemment le poids du temps du devant = ce temps à venir, ce temps deevant soi = la masse, ce temps à venir en déplacer la masse etc, nous devons comprendre ensemblke cette chose ici d’une sorte de déplacement des parties de vie, de vie à venir, nous voulons co:mprendre ensemble ici cette chose , qui est celle ci :comme qioio le temps à venir = la bete en soi, ou disons les mots-betes en soi, cette sorte d'appareil de charge, cette drole de chose lourde, appareil menaçant, cet impactomètre, ce chant de la roche, nous devons aller en rochje à la recherche de lma bete-mot qui est ce temps massif de la rose des vents, ou des temps, etc, nous nous devons de le comprendre, nous devons comprendre cette chose ici , d’une sorte de massif spatio-temporel qui (devant nous) nous oblige oà voir de nos
quqtre yeux cette chose déplacée,, devant nous, qui est cette bete de poids surnuméraire, nous devons comprendre ensemble ces données, de base naissantes, liées à la bete des temps, bnous nous devons ensemble de comprendre ! quoi est ? qui va ? quand dans ? etc, car la bete devant soi ou devant nous est une bete de belle racée, de belle couvée, de belle nichée, etc, nous ne voulons pas le méconnaitre ou l’ignorer,
nous vopulons compere,ndre les données complètes, les données de base complètes, nous voulons savoir ce qui est en cette roche vxd’un devant de soi animalioer ! car voi;là la chose : le devant de soi est animalier ! enfin comprise ! la chjose est enfin comprise ! la chose icvi est presque enfin comprise ! la chose ici est quasi comprise ! on comprend quasi enfin cette chgose d’un devant de soi animùalier ! ah la la ! enfin on comprendf ) on comprend enfin cette chose ! ah la la ! car enfin on voit (4 yeux pour ça! ) ce qu’on voit ! ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii! on voit ce qu’on voit = on voit ce convoi, on l’a compris ! on a dit la chose ! on voit ce convoi ! on voit devant soi ce convoi (de temps) animal, et ce convoi (de temps) animal est un espace temps alloué à une vie humaine , terrestre, qui nous «tend les bras « ou commùent ? l’animal est devant soi la bete de temps monstrueux, temps de roche dure monstrueux ou non ? ou comment ? nous avons devant nous le temps cdéplo yé comme le présent de l’épopée animmalière, nbous voulons savoir de ce temps quoi en tirer en termes de donn,ées de base, et pour ce fzire nous ouvrons nos yeux en grand ! nos mirettes ! nous bvoulons enfin savoir le fin mot = le mùot dela fin ! nous ne voulons pas rester en rade sur le quai m$ais prendre le train lancé des données de base vivantes, nous voulons acquérir, nous -ne voul;ons pas rester betes, nous voulons nous enrichir d’x ou x données de poids, nouys voulons pousser la bete du devant de soi et comprendre le plus plus que nous pouvons comprendre et cekla ensemble c’est-à-dire main dans la main : une main dans une main ! et pour ce faire : fissa à la banque ! à la banque des données ! une économie de denrées ! vivement ! allons-y gaiement à <quatre yeux ! ne fazisqons pas wsemblant d’y toucher mais au contraire touchons au vif ! alons y touchons ! touchons de la bete poil;ue ! touchons à) pareille bete temporelle ! le temps à venir (devantt soi ?)
est une bete de poids, elle porte un nom (le nôtre ?) et va fissa filant doux de sa meute, elle est cette bete de poids attitrée à une roche de lza préhistoire, nous voyons
la bete devant = sous nos yeux d’enfants ébaubis - baba, nbous ne sommes pas en reste de comprendre ce qui est, ce qui est ici sur roche, tout ce savoir de base velu, de base poilu, etc, ce plumazge ou quoi ? nous ne voulons pas «passer à côté « ! nous voulons comprendre les données cde la base dure, la roche est une donnée brute à bien considérer et nous, nous agissons de concert pour le comprendre ensemble, au plus loin que nous pouvons c’est à dire au plus profond des profondeurs, nous ne voulons pas passer à côté, bnous voulons savoir pour
nous et pour la bande etc, nous ne voulons pas ig norer, nous voulons faire partie de ceux et celles qui en savent lourd, nous voul:ons nous associer à ceux et celles qui en savent et lourd et long, nbous voulons comprendxre au plus des vérités, nous ne voulons pas rester en amont, de ces vérités de base mais bien au contraire chevzaucher la rocjjhe et apprendre plus, apprendre plus plus plus de toutes ces affaires de parois aux betes et autres embruns subliminaux, bnous ne sommes pas des bétassous, nous avons comprenure humaine, une langue -^patois de belle acqyuisition, une intelligen,ce correcte, des mlots en bagage, des mots/betes de rzage en soute, etc, nous
ne voulons pas défaillir maios tout au contraire gravir dans l’échelle de la connaissance des données rupestres : kl’art de la ban,de, l’art des dieux de laroche (dure) des temps, l’art des aumônes, l’art de la roche, l’art du temps, l’art = l’art du temps, l’(art = l’art du temps fleuri, l’art = l’art des temps fleuris de la roche des temps, nous voulons comprendre vif et long, long et vif de ce qui se trame en cette matière d’une sorte cde donnée de base rupestre liée à un envo;l sur roche de betes ailées, nous ne voulons pas passer à côté ,;, nbous voulonsw les voir décoller et s’en aller de toutes leurs plumes élancées, etc, et nous dès lors de prezndre leur place en paroi ? ou cvomment ? le temps est une donné brute, il s’agit de fait d’une bete du devant, nous voyonsd la bete wsous nos yeux, nous sommes quatre yeux pour ce faire, ce que nous voyons de la vie est la bete, lma bete de mots, nous voyons de la vie la bete en ellme contenue et ce avec nos quatre yeux de rage (race) ou quoi ? nous disons que oui nous voyons ! nous disons que nos
(4) yeux voient parfaitement devant soi les betes dressées, chargeant, fortes, la puissance, etc, et cela pour nous a une im:portance con,sidéralble, ancrée et cvomment, fine ? nous dison,s que nous voulons savoir, savoir les savoioirs : nous ne voulons pas ne pas savoir mais le contraire : savoir ! car nous sommes deux ! car nous sommes main dans la main ! car nous sommes assoc iés sur ce chjemin des connaissances ou des connaissances de baswe à devoir acquérir fissa pa r la bnande, nous déployons, quoi donc ? le temps de la rage, de la rage-race, de ta race -rage etc, nous sommes motivés = mus, carnous sommes touchée ! nous avons un coeur à montrrer ! nous ne voulons pas rester comme bouche bée à ne rien savoir de ce quyi est mais au contraire rassembler un maximum de données, de donnnées de roche (aurochs, bouq uetins, rennes, bisons, chevaux de parade etc) et ces données de roche bien les regarder ensembvle, posément, à part de la foule ou de la cohue du monde, et apprendre à déchiffrer,
nous avons ce travail ensemble à mener, ce travazil de sape à développer ou commùent à d»ployer ? ce travail de sape est notre labeur , il s’agit d’une chjose à faire ensemble , à mener ensemble main dans la main n, nous devons aller loin dans cette chose dev ant soi pariétale, entrer en elle (c’est vu et acquis) et en elle déloger la bete soit prendre la place , ou sinon la pkace le pouvoir , ou comment sinon ? nous ne savons pas tout , nous cherchons, nbous sommes sur une piste, nous sommes ensembkle sur une sorte cde piste folle , piste des pistes, qui nous voit aller et venir à la recherche d’une denrée, d'une denrée rare ou donnée rare ou donnée de base, fine, première ou primaire, le mot de la fin qui serait le mot du déb ut etc, le mopt mpour nous d’une sortye de fin (de vie terrezstre) qui serait en vérité le premier mot des choses de la création, ou alors commùent ? car la vie devant a du poids on le voit, la vie devant dsoi est un bouquetin (tout le monde voit ça !) et nous ensemble de vouloir creuser plus avant la roche, et graver la bete de poids, la bete qui en impoose, la bete au pouvoir de roche, l’altière ? l’altesse ? qsui en elle ? nous voulons découvrir le plus possiblre de choses à ce jour encore cachées, nous voulons découvrir ensemble des choses qui nous sont en,core à ce jour cachées, nous
voulons découvrir des choses (§^plein si possible) qui (choses de poids) nous sont plus ou moins encore à ce jour cachées et non évidentes, nous sommes ici sur une piste liée à des savoirs cachés, pistes aux :mots-betes de paroiis, aux animaux-mots de première instance, etc, notre volonté sur tertre est de voir ce qui est et vibre dezvant nous, la betye cde roche = le temps imparti donné, etc = le temps (celui-là) qu’il nous reste à vivre ! nous savons cela ! nous voulonsq comprendre beaucoup encore ! nous avons cette ambition en nouys de vouloir comprendre encore beaucoup, encore pl;ein de choses
concernaznt la mort, nbous voulons comprendre les données en vrai les plus souterraines, ce qu’elles sont pour nous, ce en quoi elles se .. commênt dire ? ce en quoi nous pouvons, d’elles... etc, nous vouylons comprendre ! nous voulons savoir ce que ces donhnées(, voilà !!)recelent en elles en termes de savoirs anciens, des profondeurs, plus qu’ancviens, etc, nous vopulons comprendre loin et plus loin que loin ces données : creuser creuser creuser ! car nous sommes friands et friandes de don,nées, qu’ont-elles en elles de si secret ? nous voulons aller très loin en ces données cde rochev dure, les fouiller de fond en comble et comprendre plus plus un ensemble de choses de poids, des betes pszut-être, ou sinon des betes des mots ? ou sinon des mots ou des betes, des mots-betes ? mots de roche dure, gravures sur paroi de roche ? nous cherchons ensemble à comprendre ce qui est sur roche devant soi = ce temps dévolu à une vie humaine toute déployée comme un ruban de soie qui irait dans le vent de la roche du temps, nous ne voulobns pas rester en carafe mzais trouver la clé des chants, etc, nous voulons comprendre plus plus plus = ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ ce qui ewst devant qui nous attend, qui nous regfarde, qui nous voit venir ensemble (main + main) dans son champ de vision, nous parlons à l’emporte pièce à son endroit, avons presque envie de l’insultyer, nous voulons nous poster en roche ;:a tete redressée, le front haut et comme fier, nous ne voulons pas nous montrer blessé ou meurtris, doux de trop , ou trop gentil mignon, ou gentille mignonne, non ! nous voulons en jeter grave ... dans l’ignominie verbale ? nous ne voulons pas passer pour des benets de roche tendrte , nous voulons en imposer fissa et grave, envers qui envers la mort ! voilà la chose ! car la mort nous attend au tournant, et nous de l’éviter le plus longtemps possible ou d’éviter de la croiser kle plus possible etc, nous voulons savoir les choses du monde, ce qu’elles son,t pour nous qui avons pour nous petite comprenure, etc, nous ne vopulons pas sombrer vaillament mais vaillmament relever la tete, noys voulobns aller en roche comme en religion à la recherche de données
rupestres foncières ou comment ? les fondamentaux ? nous sommes unis, nouys sommes deux, nous sommes unis par la vie, nous sommes deux, noius voulons com^prendre les données de bnase, nous sommes deix, ous sommes un
couple de gens en nous mêmes,; bnous sommes unis, nous sommes deux, nous sommes ce couple de gens so;:idaires, soudés c’est à dire cvollmés, collés entre eux, un côté droit et un côté gauche, nous sommes binaire, nous sommes double = doublé = à doublure d'un habit de bure pour l’éternité (d’une vie de roche), nous nous asseyons dans la grotte, nous sopmmes assis dans la grotte, nous voulons comprendrec les données de base de la vie dev roche et pour ce faire, aller loin le plus possible, à l’intérieur de pareiklle roche , creuser creuser creuserr la pierre, entrer en cette maztière, s’y nicher un temps et regarder, les yeux bien ouverts, ce squi ici setrame de folie, c ette conversion à vif, ce spectacle de la prairie, ces feux de roche fuulmina,nte, cette cavalcade animalière, ces incantations grossières, mots-betes enchantés, ces ignominies proférées, ces chants d’outre mesure, ces parioles fautives natives, ces bryuits, ces xsecousses, ces écarts, ces choses de peu déployées sur table, et tout ce sang ! nous ne voulons pas passer à c^$oté ! nous vopulons comprendre les données de base, les soupeser ou les soulever et les montrer en les portant haut au-dessus de nos têtes ! nous imploronsle dieu de la fête ! nous ne voulons pas mourir ! nous ne voulons pazs mourir ! nous ,ne voulons pas mourir ! merdum de merdum ! car nous sommes deux (en nous) qui voyons les choses autour de nous, et deux est le bon chiffre pour ne pas mourir ! hé nous sommes deux, la mort ! le vois tu ? vois tu que «je» est deux, ou «suis» deux, le vois tru ? et dès lors tu n’as pas le vdroit de m’écrabouiller ! je suis deux, le chiffree deux, je suis deux de rage, bisque rage au firmament alors voilà : tu ne dois pas attenter à mes jours, tu dois me laisser en vie , tu ne dois pas me toucher à vif,;, tu dois me laisser i,ntact et sur la roche des embruns, etc, MON NOM est à l’affiche, oup la ! me voilà célèbre = reconnu par la bande ! je suis l’homme des aveux de bure, homme-chevazl, canasson des bois, tranquille, cxhevauchant laz plaine à l’envi, et me faufilant parmi les betes de ma confrérie animalière, ce troupeau de betes de roche bien ou mal dessinées peu importe, cette meute (?) ou cvomment en cavalcade,; vive le cheval du roi ! du roi de la meute ! ou sinon la meute la quoi ? car la meute ici m’appartient, elle fait partie de mon imaginaire pariétal , car, je suis l’homme des cavernes au doux chant de la roche, au chant doux de roche dure, jke suis homme et femme des cavernes, une meute cavalière sous mes yeux haghatrds, je vais et je viens sur roche, mon nom est le nom de la mùeute etc, je cherche la chose sur roche, il s’agit d’une sorte de beauté plastique primaire = des contours, des formes, des tracés à l»’emporte pièrce, pour donner de quoi à la roche (
la nourrir) et la contenter, nouys didsons que nous voulons comprendre les temps, ici, du devant de soi, ce quils sont pour nous : présents = offrandes ? animaux -mots de rage ? tombola ? nous ne xsavons pas ! nous voulons comprendre ensemble ces données de base déployées sur roche par des hommes et femmes anciennes des cavernes, ces données les soupeser et dès lors les soulever et les affgicher de conserve («à toi à moi») de manière à être bien entendu et revconn,u des hommes et femmes, nous ne vcoulons pazs passer pour des nigauds / nigaudes qui, pour le coup, ne comprennjent rien à rien, nous avbons chacun / chacune notre gouverne existenciellme, nous sommes munis chacun et chacune d’une sorte d’appareilk;de jhoie sommaire mais charmeur, appareil de roche dure, qui (de fait) sert à graver-dire
nos tourments de vie sur la roche, nous voulons graver le plus que nous pouvons, nous avons cette envie très ancrée et forte en nous de vouloir cela, graver cette roche des p^rés à la manière ancienne (ancestrale) de nos précepteurs et préceptrices aurignaciens aurignaciennes ou magdaléniens magdaléniennes, nous voulons graver (vite) les données du monde à vbenir , ces betres-mots sont à déloger «comme il faut» ! à savoir à la souflette, au souffle divin, au souffle des temps reculés, en-bouche doré, en-bouche doré de la roche, etc,; nous ne voulons pas perdxre le wsens des choses, nous avons pour ambition d’aller tres loin en cette roche
des données du monde, nous vopulons comprten,dre ce qui est, ce qui setrame devant nous, ces allers-retours (de conserve) en roche : qui va là ducon ? qsui est là quyi parle ? qui s’adresse à nous dans le noir ? qui nou!s parle dans le noir ? qsui est devant nous que nous ne savons voir ? car quyi voir ? et qui voit ? nous n,e savons pas comment dire ! nous sommes deux etres de peu qui cherchons la chose à ici comprendre dans le noir ! nous savons cela : que ... «nous ne savons pas» ! or, ce savoir eswt un savoir comme un auttre savoir ! or : ce savoir là, ce savoir du non-savoir , est aussi savoir ! et dès lors nous nous trompons ! nous savons ! et que savons-nous ? que nous ne savons pas ? oh misère ! que savoir ? que donc savoir nous deux dans le noir ? noussommes dans le noir de la roche brute et cherchons à nous y retrouver, qu’y a t il dans le noir de la roche brute ? il y a des animaux de taille ! il y a des mots-betes de rage (de race et de rage) et ces motrs sont là pour nous aider à nous y retrouver , nous voyons les chgoses du devant de soi, les betes-mots qui nous gouvernent, qui sont «nous» ou alors ce «nous» de la procuration, nous sommes deux pour cela le xdire, cette chose comme quoi nous sommes deux (en roche) à recherchjer des données de poidfs qui puissent faire de la sorte qu’enfin, nous puissions nous sentir aimé et reconnu pour cela que nouys sommes ensemble, un couple de gens de fortune, peut etre mal dégauchi mais bien présents cvolmme dons de soi à la bnande, par la bande ou à la bnande, à la bande nous pensons, nous pensons cela comme quoi nous so:mmes comme des présents, déposés (de soi) à la bande, ou sur la bande, ou dans la bande = présents, de rage et de sang, présents-dons qui sont autant pour ainsi dire de données de base déposéesq sur roche : aurochs de laz prairie et bouquetins des monts de la roche, nbous so:mmes deux ainsi à chercher (ensemble) ce qui est, nous sommes deux qui ensembvle chertchgons ce qui est et qsui nous regharde de pied, nous voulons savoir ce qui est, nous voulons savoir ce qui est qui est devant nous et nous regarde, et pour cela nous devons l’approcher, voire le toucher, le sentir, le regarder, etc, lui parler peut être, devant soi il y a la mort = le temps devant dsoi, il y a la mort qui est du temps, qui en vrai eswt ce temps d’un devqant de soi pariétazl animalier, nous savons cela comùe quoi le cdevant d’un soi est anuimalier en termes de constitution premioère, nous voyonds la bêtye caracoler sous nos yeux, nous la savons plzeine d’elle-m-ême et dure à déloger fisqa, et voil;à pourquoi nous solmmes deux à être, car à deux c’estv mieux, à deux on y arrivev mieux,à deux on a plus de chance, à deux on doit pouvoir arriver à nos fins plus facilement, à nos fins qui sont celkles ci : de pouvoir déloger la bete-mots , de sa loge pariéto-frontale, nous voulons déplacer la bete (= le temps) de sa loge temporo frontale ou pariéto frontrale ou temporo pariétale etc, et cela fait, prendre sa place = son pouvoir de chance, son allant de rage, son élan de peu, sa mzainmise sur les prés, etc,; , nous voulons cela, nouys voulons aller au plus profond des données du monde, nous ne voulons pas rester en deça, notrte but ultime est d’aller tres loin dans la roche à la recher che d’une vérité costaude, nous ne voulons pas mourir ! nous ne vcoulons pas mourir ! nous ne voulons pas mourir !nous ne vou:lons pas passerr l’arme à gauche ! nous ne voulons pas p^mourir ! nous ne voulons pas décéder ! nous ne voul;ons pas déceder ! nous ne voul:ons pas trépassser ! nouys ne voulons pas dispatraitre ! c’est à d xire qu’en nous exciste cette chose dcx’une gouverne, qui dit qu’elle renackle à devoir succomber sous les coups du sort d’une sorte... d’entité de roche prête à nous tuer , nous disons cela, comme quoi la roche, ici bas ,; est le pré qui nous voit rena kler, regimber, nous cabrer, refuser la mort, nous sommes deux en nous à refuser (refuser ? comment ? ) la mport à l’euvre (de la recevoir) et voilà pourquoi nous sommes reconnu de tout un chacun ! nous sommes reconnu car nous saignons ! nous pissons le sang de ta mère ! nous sommres tout pissant cde san,g ! nous pissons un sang cde roche dure, nous pissons le sang de la vie à l;’ oeuvre, car en bnous pisse que tu pîsseras le sang de la vie vive, fine, secondée, doubl»ée par la bande , etc ! nous pissons le sa,ng par la bnande et ce faisant nous recvulons les éc héances et nous nous sauvons, nous ne devons pâs mourir ! non non non ! nbous tenons à rester en vie, à pisser le sang de laroche, à tenir ! nous sommes deux enfants, nous nous promenons dans laroche, nous sommes deux enfants du temps, nous sommes en,fants des temps de la roche des temps, nous nous promenon,s dans la roche, nous sommes deux enfants de roche, nous
sommes des et deux (enfants de roche) qyui allon s en roche fissa, à la recherche de la vérité a ncrée, et pour ce faire : l’animal ! car l’animal-mot sait les choses, il en conna it un rayon, il sait le tout dans sa gouverne temporelle, il n’est pas en manqque de saavoir, il connait le monde, il sait ce qsui est qui nous attend,; il sait plein de cghoses et à nous d’axcquérir à présent ce m^$eme savoir, qu’est-il ? que sait l’animal du temps de la vie que nous ignorons ? nous nous immisçons à ses côtés, il est beau nacrée de ba se,; l’animal est beau, est charme, est cette forme d’un devant de soi soigné, il est «formé», il est bel et bien formé par la bande («en formes») etc, il est l’animal formé par excvellence (toutes les parties présentes) etc, et nous, de le reconnaitre en tant que tel, et nous, de le (presque) jalouseer pour ses formes, etc, nous voulons comptrendre les données de base les plus fines, nbous voul:ons savoir et comprendre au mieux ce qui est, vce qui se trame devant soi en maztière de deonnée du monde ici adjacent, quioi est là pour qui ? sommes-nous attendu ? sommes nous reconnus pour ce que («réellement») nous sommes au plus p^rofonsdd de nous ? sommes nous recvonhu pour cela que nous serions «vraimùent» ? qui nous voit en toutes nos partie («à plein») ? qui sait de bnous tout ? qui sait tout de nous ? qui de nous sqait tout ? qyi pour nous juger en toute honn^$zeteté ? qui nous voit en intégralité ,
c’est à dire : 1, de pied en cap et de partou, et 2 : dans le temps déployé complet, le temps qui court, soit du mommernt p^récis qui bnous a vu sortir d’un ventree, à ce moment précis qui nous verra passer pour ainsi dire l’arme à gauche, etc, nous voulons être vu et revconnu et validé (ou pas) pour ce que nous sommes ou en regard de ce que nous sommes «vraiment», or que sommes nous «vraimennt» ? le savons nous ? savons nous ce que nous sommes ? dsavons nous ce que n ous serons ? savons nous ce que demain apres demain nous allons devenir ? et ce que demain ou apres demain nous serons, est «nous», tout autant que ce que hier ou aujourdhui nous sommes ou avons été, nous ne savons pas qui nous sommes, et cependant n ous voulons etre recvonnu pour ce que nous sommes au juste, nous voulons être reconnus pour ce que nous sommes et pas pour auttre chose, or que sommes nous ? ou qui sommes nous ? nous l’ignorons ! nous ne savons pas <qui nous sommes, nouys ne savons pas qui nous sommes au juste ! il s’agit ici
d’une qustion précise de justivcve et d’honn^êteté , nous vopulons savoir, saurons nous un jour ? qui saura nous dire qui nous sommes ? qui saura nous dire quoi ? quoi en soi est ? qui en nnous eciste ? qui existe en ous, etc, nous ne savons pas,, nous sommes ensemble en roche pour ce faire ;: cette tentative d’en savoir long, ou pl;us long, mais comênt ? en creusant la roche ? en creusant ou traçant sur roche des betyes de roche, dits mots-betes de premièeze», nous voulons comprendre ce qui est qui nous atten,d : qui je suis sur roche que j’ignore , ce qui est est peutetre, très certaineme,nt mais qui voit au plus juste ce qui est ? qui sait voir vraiment les quatre vérités , qui sait recvonnaitre (trier) le bon hgrain de l’ivraie ? qui sait s’y retrouver en toute honneteté ? qui sait voir au plus prrès et au plus juste kles choses du monde ? y a t il des sa ges ? y a t il sur terre des sages, des savants de ta race, des forts en thème sur pareille roche des connaissances, etc . qui le sait ? nous vcoulons tomber sur le juge suprême, calé,
cvonnaisseur émérite, la tête ! or où est elle
? qui en sait plus lourd que la moyenne ? parmi nous qsui pour n ous jugezr «hintelligemment» ? personne ? qui aura l’intellige,nce
asseez dévelop^pée pour nous juger à bon escient et «parfaitement» ? personnne sur terre, impossible, trop limité tout le monde ? tous et toutes ? alors comment ? par lma bande ? un espoir ? pas d’espoir ? point d’espoir ? nul de chez nul espoir d’être reconnu ou possiblement reconnu en entier , pour ce que en entier nous sqommes et ne sommes pas , calcul complmet, le bon chiffre !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! et pas le mùauvais on le voit ! nous vopulons comprendre ce qsui est pour soi qui nous attend, et pour se fzairee : la bete ! devant soi sur roche ! tracée à main levée par l’homme des cavernes ou par la femme des cavernes, ce voyant / cette voyante aux yeux fermés ! etc, nous savons celac , nouys chertchgons dans le sang de la rage une réponse à nos questions posté»es, et comment savoir ici, entre nous, cette chose ? comment faire pour savoior, ce qui dan,s le dsang bouilloonne , comment faire pour comprendxre, pour trouver-dénicher la Chose , comment ? nous avons devant nous lke temps quil nous reste à vivre, ce temps est pariétzal , ààà sa voir que ce
temps est comme déployé sur une face, une roche = la paroi terrestre, nousq voyo,ns devant nous ces betes xde roche dessinées ou gravées et ces betes sont des :mots, sont du verbe travcé comme à) main levée,; nouys disons que ces mots sont ce temps décrit, celuyi qui nous reste à devoir traverser, ces mots de la roche (dure) sont les mots-bêtes du monde terrestre, les raisons de cap, les gouvernes, etc, nous ne voul:ons pas mourir, nous ne voulons pas trépasser ! nous voulons conserver notre quant-à- soi et tenir les yeux ouverts face à l’adversité pariétale ou pas mzais les hyeux ouverts comme un nouveau né (tout juste naissanrt) etc, le nouveazu né nait au monde (si tout va bien-) les yeux grands ouverts puis il les referme un temps (quelques heures) pour les reposer peut etre avant de kles rouvrir à J 2 ou J3 pour voir le monde menaçant et attendre le lait de sa faim naisssante etc, nouys voyons kles choses du monde, nousv avon,s les yeux ouvertezs sur le mo nde, nous voul:ons comprendre le monde et le voir tel qu’il est pour nous,; cette cbhose ouverte sjur le temps ou commùent ? nous sommes nous deux à la recherche cd’une vérité ou sorte de vérité de masse ! nouys voulons comp^rendre les don,,nées du monde ! n ous ne vou:lons pas mourir ! nous ne voul:ons pas trépasser tantot ! notre but eswt de reswter en, vie ! nouys voulons déloger la bete en nous ezt la faire dè!s lors figurer swur roche ! en nous il y a une bête et cette bete elle nous gène fort aux entournures ! nous ne voulons pas défaillir avant cx’(avoir vraiment réellement dé;logé la betye rosse de sa loge pariéto-temporelle frontale, nous voulons cela ! nous sommes acharnés ! nous voulons creuser la roche au pic de verbe et traverser la roche comme à dos de xheval et aller, au fin
fond d’icelle, découvrir ;kes données finales, etc, nous voulons compfrendre ce qui est en roche qui serait cela que nous devons avoir un jour à affronter pour ainsi dire par la bande, qui est qui en rocxhe ? la bete est elle la bete (ou la belle ?) ? la bete est elle la bete ? le ciel est il le ciel ? je est il je ? nous est il nous ? que est il que ? chant est il chant ? fleur est il fleur ? je est il je suis ?. je suiis est il je ? nous sommes est il nous ? nous est il nous sommes ? le vrai est il le vrai ? le beau nacré eswt il le beau nacré ? je suis est il je suis ? la vie est il la vie ? le sang est il le sang ? le vent est il le veznt ? le roi est il le roi ? la biche est il la biche ? le cerf eswt il le cerf ? ou : la biche est elle la biche ? le cerf est elle le c erf ? l’(animal est elle l’animal ? l’animal est il vrai ou un pis-aller de première ? faisons ac croire ! faisons croire au dieu de la roche des temp^s ,
que notre heure n’estpas venue, que la bete sur rocxhe est ... nous ! de
fond en comble , etc ,faisons croire à dieu que nous sommes morts !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! faisqons croire que nous sommes morts ! faisons croire (à deux) que nous
so:mes morts : sur la l:ande , sur roche du temps, dans le sas, dans la pierre, à dos de chevqal, près des embruns, entre deux mùers de roche;, sous le vent, dans le sxang, etcv, faisons croire comme cdes enfants, que nous sommes morts = jouons !!!!!!!!!!!!!!! jouons à faire les morts, à fzire le mort, à faire la mort, à faire le mort, à faire le mort de la mort, etc, nous devons jouer ainsi, en roche (bisons), à fazire (simul;er) le mort ou la mort, nous devons com^prtendre ensemb;le les données qui ici préside nt au jeu de la mortn ,, ous sommes en roche afin de simuler, et de simuler pour nous sauver ! nous avons à co:mprendre cette chose d’un salut, nous avons à ensemble comprendre ici cette cgose dx’un salut à opérer comme par lma bnande de paroi, pour nous et nottre gouverne etc, nous devons aller profond, nouds avons à simuler , à
faire le mort (c’eswt cela) et cela pour nous sauver (un temps) et nous permettre de rester encore un temps parmi les b etes de przairies , à paitre et nous monter, à courir et boire l’eau de la rivière, à brouter -qyue tu brouteras etc, nous sommes les betes de la roche dure, nous sommes les betes du rocher, nous sommes betes du rocher, bnous sommes betyes de rochge djure, betes rosses et fauves, nous avon,s acquis nos lettres de noblesse en roche, nous faisons partie du gratin, nous so:mmes betesq belles, belles betes xs’il en est sur roche, bouquetins des prés tracés, rennes d’envergure, chebvaux du roi, biso,ns de corinthe, amabalités pariétales, soup^lesse des données, tranquilités domainiales, tendres boutons, colères innées, chjaleurs du rut, comédies agraeires, touchettes, perles de pluie, caillebottis, chazmpifgnons de sous bois, beautés rocheuses de parois du =monde, nous voul:ons cxomp^rendre un ensemble en ses parties, ce monde de paroi de roche ornementée, par des ho:mmes ou par des femmes des caver nes, il y a un bail, et nous de nous coller à pareille roche desqmilliers d’années après, nous voulons comprendre ensemble les données de bazse, savoir lire (sur roche) les mots de la bete c’est à dire les mots-bêtes d’envergure pariétales,; sont ce des mots d’intelligence ? nous voulopns savoir , nous voulons comprendrte au p^lus juste ce qui est et ce qui n’est pas,; pour notre gouverne, et pour pourvoir nous situer sur l’échiquyier du monde , du monde adjacent : qui nous sommes et qui nous ne sommes , qui je suis et qui je ne suis pas, qui nous sommes et qsui je ne suis, qui je suis et qyui nous ne sommes
! qui je suis et qui en vérité je ne suis pas, qui saurait ou saura me le xdire de mon vivant ? personne je le crains ! car qui wsait au juste ? qui est juste ? qui est le juste ? qui est ce juste attendu ? qui est cette perdsonhe agttendue, dite «de la justesse du poiint de vue « ? qui est elle au juste ? que est elle au juste ? comment la trouver si tant est ? je veux me trouver prè!s d’ezlle, je veux et je vcoudrais la conn,aitte de près , je suis homme-femme de la roche des attreaits, je cher che à trouver la vérité de roche-dure, ce qu’elle est et ce qu’elle n’est pas, je cherche vaillamment de force, je m’échine, m’escrime, me plie en deux puis en quatre : qui est elle ? où est elle ? ou quoi es telle ? je veux savoir ! je ne vbeux pas passer à côté ! je cherche à compren dre le + ! je ne suis pas là pour me marrer mais pour comprendre les données de base, les comprendre pour les soupêser et les juger, lmes juger pour ;:es comprenxdre au mieujx : soupeser et élever au plus haut des cieux , je suis homme des ezmbruns de la roche rude et à ce tittre je me permets de dire ce qui est sur rocxhe en termes de billevesées, de fauuseté surtout etc, l’(animal montré n’est pâs ce moi de base trimballé par moi dans les prés et cependant ... l’a nimal montré (ce bouquetin, ce renne, ce bison, ce buffle) est un pêu moi en cela qu’il est le mot de l’homme que je suiis sur rocxhe, mot-bete de roche (dure) mienne (mon cervelet ?) et le mot-bete ici présenté (dlonné en offrande ou guise de ) est le mot de roche «parfait» , c’est à dire «plein», c’est à dire «complet», etc, nous cherchons oà nous y retrouver dans la roche = qui est qui , et pour cela nous devons nous projeter fissa et tête la première sans tergiverser, nous devons pl;onger fissa et vailmlament, nouys ne devons pâs lambiner et hésiter, nouys devons aller v ite en besogne, nous devons courir sur la lan,de, nouys devons aller vite le plus , nous devons vite aller le plus et tracer, tracer betes à main levée ! lévitation ! tra,nses dansez ! charmes dansez ! nous devons vite fqait bien fait tracer ! nbous
devons traczrcer vite fait les betes mopts de la roche dure , merde à la mort ! disons cette cghose vive ! nouys disons entre nous sur roche cette cghose vive s’il en est : merdum de chez merdum à la morgt de roche, à mort la roche dure,, à Mort Roche de la dure mère ! nous ne voulons pas succomber deux fois (ni trois ni quatre!), nous voulons trouver la parade nuptiale et tenir bon coute que coute au mùilieu des beters ici rep^rése ntées, qui
le sait ? nous voulons tenir bon, fissa , tete devant, forceant le passage, allonsq y gaiemen,t, et tenir, tenir bon la Chose, ne pas lâcher prise, aller de l’avant encore et troujours,; car la vérité est toujours devant, la vérité est cette cgose brandie cdevant soi pour un (pour ainsi dire) dépl;oiement (de type temporel) intrinsèque (hélas ?) et voilà pôurquoi dès lors, les mots de la raison (intrinsèque) en nous, car nous so:mmùes (nous) des etres de rage au fin fond, mais en surface ? etres de ;a pleine mesure pariétale étirée,; qui allons nous promener gentiement sur roche à la recherche (soi disant) de la vérité de façade, nous ne voulons pas d’une vérité de façade (quoique) mais d’une vérité de fond de cale (en,core que) , voilà ce que nbous disons et dessinons, bnous voulons savoir ce qui est de rage et non de race, ou sinon cde rage de col;ère ou sinon de colère de passion ? que ! que quoi ? que de rage ou que de passion ou que de co:;ère ou quoi ? nous vcoulons savoir en nous ce qui est qui vibre de sa vie de base , ce qui vit le pli de ta rage, nous voulons comp^renxdre, nous chercho,ns à qui mieux mieux, nbous sommes attendus au tournant,, nous sommes suivis par la bande dan,s nos tourtmentqs, souffran ces, atermoiements, chevauchements, bouscula desq, turpitudes ezt autres envahissements du moi par la ha rde, nous voulons savoir ce qui eswt en termes de vilenies de façade, entermes de sa:eté des saletés, etc, la mort est cette chose coriace, l:’apres mort est une misère, le sang est chant, la mort est le chant de la rage terrestre, lma mort est incluse e,n soi (sang) comme une sorte de donnée réelle (de base) pour une éternité de parade, nous voulons en nous la mort de rage ou de la mort de rage, qu’elle soit celle en nous à laquelle nous voulons un temp^s aspirer ou commùent dire en nous cet engouement lié à la grâce ? bnous alloons en roche enwembkle, bnous cherchgons UNE V2RITY, nous cherchons une vérité, nbous cherchons une ou une autre vérité, nous voul:onsq conn
itre la v érité sur les choses du mon de mais en vérité nous voulons sauver de nous ce qui peut l’être, voilà la vérité (ou pas ?) que nous adorons, nous ne voulons pas trépasser, nouys ne voulons pâs mourir , nous ne voulons pas défaillir, nous voulons durer dans le dur ou le moins dur mais durer, notre but est plein de l:ui qui s’affffiche sur roche du temps, la bete en nous est le mot de la fin, la bete de roche est ce mot de la fin et de lafaim, car nous sommes ainqsi des etres de ventre ,; à
nourrir, à remplir, etc, et l:a b ete comme nous a des bhesoins, etc, nous ne voulons pas mourir trop vite, notrte but est dxe cdurer longtemps et de ne pas flancher, bnous ne voul:ons pas partir car nous craig nons les choses du levant, or pas toujours , nous ne craignons pas toujours les c hoses du levant mais là oui, nous craignons là ces choses rudes, pourquoi ? nous sommes comme des enfants qui jouons à simuler la mort à l’oeuvre, cette mort de roche xdure, nous sommes enfqants de la roche dure et nous jouons à faire le mort,
au mort dee la roche, à pisse-canette, au turlurin, à la morte-belle, au galopin, au chihuahua, au prince des ténèbres, à la bouclette, au pincengrin, à mistigri, au parap;luie, à la bouillabaisse, au charmeur et à la c haremeuse, au sang dans les veines, au vent dans les voiles, au sécateur, au docteur et à l’infirmière, au docteur et à la princesse, au dieu des roches allouées, au ventre à terre, au beau du bel élan, à la riche héritière, au genda rme et au voleur, à la fguerre comme à la guerre, au principal, au sang noir, au sang blanc, à michette, aux gtrois cailloux, à labelette, au marcassin, au livre ouvert, à miche mange, aux douillets, au lit d’accveuil, au résistant, à la belle chausse, au tiens,prends-le-dans-le-sas, à caille belle, à ravinette, au chalumeau, au tombeau des dettes, etc,
nbous sommes les enfants des bois, nous allons gaiement dans la lande, nous nous amuson,s hgentiment, nbous voulons savoir c$e qui est en roche qui nous attend, bnous nous asseyons sur roche un court instant et reghardons autour de nous ce qui est qui sembkle swe tramer pour nous, ce qui nous attend par la bande, qui serons-nous, c’est à dire qui demain apres demain, serons nous et pour nous dèjà, soit à nos yeux, qui allons nous devenir sur roche : betes-mots de roche ? mots betes des )arois du monde ? squelettes ? qyui sommes nous ? dieux vivqants en charge dx’une dette ? que xdire à la volée sur roche à main levée : des mots de raison pure ? des serments ? saints sxacrements ? envol:ées lyriques ? dépl;oiements fa cial ? turpitudes ? notre but est de nous afficher sur roche «tel s que nous sommes» et pas autrement, or que sommes n ous ? qui sommes nous ? devons nous mourir ? la mort est e:lle ... une jhoie ? pôurquoi ne mourons-nous pas vite fait bien fqait dans la roche ? qui , du cerf ou du bison, de l’antilope,$
ou du cheval, est notre bel.le ami.e inclusif.ive ? nous ne sommes pas perdus, nouys sommes dans le sas, nous sommes pris insérés da,ns la roche, nous sommes beaux des belles données, bnous sommes en roche
des sous bois inclus et i,$$ncluses, nous voulo,ns comprendre le + de ce + de la roche rude, quoi est-ce ? nous voulons connaigtfre ++, la vérité des choses du =monde, ce qu’elles sont, ce qui nous attend, ce qui est,, ce que nous avons à comprendre e,nsemble, nous voulons savoir ce qui est en roche pour nous qui semble ou semblerait devoir nous attendre : je suis homme des cavernes au sang chaud bouillant, dressé, en joie, minéral, je veux la vérité sur ce qui est, en roche, adoubé, je ne veux pas mourir séance tenante, mon ciel est le chant dxe laroche meuble, mes tourments sont ceux des szerments de poids, ma vie eswt pleine de vie, jke ,ne veux pas de la mort en moi, mon coeur bat sa choswe rude, le temps est l’animal de la paroi,
le temps quil nous reste à vivre est un animal de grosse taille et de b elle prestance pariétale,
je suis un homme des cavernes rugissa,nt, en vgrotte, sous l’effet vivant d’une bete de roche en mon sa ng, je vais et je viens sur roche
comme l’(animal dans sa cage, ou comme
la bete des prés jol:is
sautillant à qui mieux mieux de roche en rochje, mon sang est ma gouverne, le dessin la voie lactée vers le =ystère de la déité,, je cherche col:ère, mon sang rugit sa haine princière : sus à cette «mort de mùerdxe», sus à cette chose à insulter fissa, les genoux en croix, sur roche , sur paroi du mon de, «:merdum des :merdums» à son encontre car en moi (homme-femme du temp)s ) la vie va qui chante sa colère vive, je chante et entre en roche fissa, mon chant est mon pic de roche, je suis la b ete fauve cl:audiquante entrant dans la roche, bnous sommes betes de joie vive, notre coeur est fou de roche dure , de roches rudes, de roches rugueuses, nous vivons, nous sommes en vie, nous en trons fissa tete première dans la roche des ezmbruns et nous parlons à haute voicxx, nous disons toutevnotre colère, nous hurlons en roche et insultons la mort qui nous hele, nous ne voulons opas mourir ! nous ne voul:ons pas mourir ! nous ne sommes pâs prêts de vouloir mourir, nous ne sommes pas près de vouloir défaillir et sombrer, bnotre vie nous garde, nbousq vcontient, nous épaule, nbous donne du large, bnous ne vopulons pas passer l’arme à gauche, n ous sommes enfqants de roche dure et jhouons à dire des choses de la vie rude, dure, pleine de tourments, nous jouons au papa et à la maman, à la belle hélène, au gracié, à la mort écartée, aux soubassements premiers, à la préhistoire, au miel, aux chaises évenntrées, à la courte paille, aux wserments xsanctifiés, aux pl:eureurs, au chant des terres meubles, à mil;le princesses, au gaerdien du phare, à l’(attrappé, au chenil, au peetit prince, à la marelle, au bénitier , au vent dans les paraghes, au charcutier, à la sauterelle,; au vbentretere vide et à cache poil
13/7/2021
nous disons que nous avons à faire ensemble (deux) ce chemin de voie directe : fissa dans la roche, oup la oup on y va, on saute, on franchit, on passe, on enttre, on s’introduit, on s’immerge, on plonge, on perfore, on trouble,; on troue, on rentre dans icelle roche orneme,ntée de betes de roche, animaux-mots antédiluviens, ces chevaux qui sont à la parade, ces bisons de grotte et autres ours des cavernes, ces félins, ces animaux de belle prestance et de bon poids, nous sommes deux : deux ! deux nous sommes ! nous sommes deux ! deux ! deux nous sommes, et main dans la main, pour la bonne cause ! nous y sommes, en vrai, dans la roche, et nous nous avbançons de ces fonds pariétaux de cette roche ici aux embruns ambrés, nous nous tenons par lma main , nos mains sont ainsi collées entrte elles, nous ne nous lâchons pzas d’une semelle car nous nous aimons et donc, nous nous tenons proche (très) et avançons clopin clopan ainsi sur cette roche des embruns de rage, proche de la fin, proche du fond, proche des visions lointaines, ainsi nous allons, proches ici de cette chose, en fin fond, qui semble nous ouvrir son anttre, sa bouche, ses bras, une ouverture dans la paroi = une faille = un défect qui nous trouble à peine ... ou oui ? car, qui sommes nous ? que devons nous penser ? que devons nous dire dev ant cette ouveture béante ? co=mment se comporter ? que dire à cette ouverture ? comment parler (à deux !) à une ouverture de roche , que dire à une ouverture de roche dure ? que penser devant cette ouverture de roche ? que se dire à soi devant pareille ouverture de roche ? que se dire en soi devant (face) à cette ouverture, devant pareille ouverture et face ou face à pareille ouverture, etc ? nous ne savons pas cvar nous sommes jeunes ou mal éclairés ou mal voyants, ou mal tout court ! car nous sommes mal ! nous ne voyons pas et nous ne savons pas à quoi nous en tenir car nous sommes mal, nous sommes souffrants, nous sommes de chair, et ,de ce fait, amenés à souffrir la pierre si tant est, etc, du fait de notre vulnérabilité constitutionnelle, etc, et que dire dès lors devant, face, devant soi, face, cette chose, devant une ouverture, cette chose, ce trou de face, en face, que dire avec en face de soi cette chose d’une sorte d’ouverture de roche, roche de paroi ? que dire ? que dire à un trou ? que dire à un défaut de paroi dure ? à cz ette sorte d'échancrure, que dire qui le soit ou le fasse ? qui soit fiable , non friable, qui tienne, qui se tienne, qui tienne droit, qui en impose par satenue, qui le fasse grave, qui puisse le faire grave, qui puisse aller grave et le faire grave idem etc , quoi ? que ? quoi ou que dire avec devant soi une échancrure de paroi, un trou ! que dire ? nous disons à deux uniformément,, unilaatéralement, que nous sommes deux pour entrer en roche et poursuyivre l’aventure ou cette aventure (intra-paréietale) de fortune, nous disons que nous sommus deux (en nous ?) dans cette sorte d'embardée rocheuse, etc, nous sommes deux = deux nous sommes, nous sommes à deux = à deux nous sommes, nbous disons à deux, à deux nous disons, nous chargeons à cdeux, à deux nous chargeons, nous entrons dans la rochje meuble, dans la roche meuble nous entrons, nous sommes deux pour ce faire, pour ce faire nous sommes deux, nous nous aimons comme des frères, comme soeurs de rage, comme soeurs de rage ou comme des frères , nous nous aimons, nous sommes deux ! nous deux ensemble, ensemble nous deux , et ainsi faisant (pied droit, pied ghauche) nous progressons, nous entrons en roche, nbous nous faufilons, nous voulons savoir et comprendre ensemble la Vérité ! nous la voulons connaîttre de près ! nous vopulons comprendre ce qui est qui nous regarde, ou qu’il nous incombe de connaittre , en tant que nous sommes munis (alloués), d’une comprenure de base magique, de pareille comprenure assise, de pareille machine à co:mprendre, en soi (trou), qui puisse nous donner de quoi ensemble nous y retrouver en cette roche de roche des temps etc, nous sommes deux ! nous nous donnons la main ! nous sommes armés d’une comprenure ! nous avons en nous un appareil de détection magique, ancré, installé dans nos méninges, et il s’agit d’une sorte (en soi) d’intellige,nce native, directe, diurne, etc, qui nous permet peut-etre de comprendre (un peu) ce qui njous entoure et du coup de pouvoir (un tant soit peu) nous faufiler ici ou là sur le sol de terre-mère (l’attraction terrestre) à deux et main dans la main , nous sommesx enszemble sur un chemin, nous marchons côte à côte, nous sommes dans une roche de grotte, nous sommes entrés ensemble main dans la main, nous sommes deux pour la bonne cause pariétale, au lmilieu des betes qui paissent ou broutent tranquillement, nous nous tenons par une main, notre mùain xdroite dans une main gauche ou bien la gauche dans la droite, etc, nous nous tenons par la main, nous sommes deux qui nous tenons par la main, nous sommes d’un temps alllouéé à une vie sur terre (= pariétale ?) , nous cherchons ! nous voulons comprendre les données de base les plus fiables, nbous ne voulons pas passer à côté des données les plus marquantes, et dès lors, nous vou;lons comprendre au plus juste ce qui est qui semble s’avérer fiable de visu mais pas seulement : de visu et tactilement, incidemment ! et voilà pourquoi nous entrons de face, ensemble, concomittament, fissa, d’un saut d’un seul , car la vie terrezstre est vie d’emprunt pour ainsi dire pariétal , elle se loge là (à cdet endroit précisément de laroche dure) et vise à s’extraire de là, incidemmùent, maids comment ? en se mettant au (comme) garde-à-vous devant l’échancrure finale ? ou comment ? nouds pensons que nous avons peut -etre à comprendre une chose de poids en cette roche de la roche dure, et, cette chose de poids, est aurochs ! ou bison ! ou buffle ! cette chose de poids est lourde de soi ! nous sommes ensemble ici à chercher que tu chercheras les raisons qui poussent hommes et femmes de la roche à trouver ensemble l’issue fatale ou finale ou terminale etc, qui pôurra ou pourrait nous éclairer sur ce que c’est que cette chose (aventure) d’une vie dsur terre (vie endiablée) : nous cherchons la chose = vérité (en quelque sorte) de bon acabit, nous cherchons cette chose (rude) ici (paroi dure) d’une Vérité de poids (buffle) qui «puisse le faire vif», qui «puisse le faire grave « = gravure ? dessin sur roche ? ornementation pariétale ? bison de grâce ? forfaitures dessinées de main de maitre ? chzaleurs du rut ? incantations votives ? trouble dans la masse ? besoins d’azur ? ... trouble dans le genre ?? etc, car nous voilà là, enfin, ensemble et main dans la main unis, pour pareille cause que tu causeras, etc, nous sommes UNIS ! nous sommes SOUD2éS ! nous sommes ensemble réunis pour une traversée des choses des temps, en comprendre le mouvement général (déjà) et, en particulier, le sens de la marche vers une échancrure ! nous disons ainsi que nous devons toucher ensemble cette timbale (à deux) du ytyemps alloué à une vie d’homme, nous devons ensemble (homme et femme) toucher ! toucher quoi ? ytoucher la timbale ! la timbale de quoi ? la timbale du temps alloué à cette vie de charge pariétale, qui nous voit aller et venir en roche , ou sur roche, pzarmi tant et tant de betes tout autour de nous, et nous glisser fissa incidemment à même la roche du temps : mains surnuméraires ! = main + main + main + main + main + main + main +mùain, etc, ... ce nombre ! nous entrons en cette roche des tourments, nbous sommes zunis pour la vie terrestre (accolés) , nous nous immisqçons gentiment parmi un nombre conséquent de betes de taille (aurochs et autrees bisons) et nous recherchons où bien la vérité (la vérité) pourrait etrte située, où est elle ? où la Vérité pourrait elle bien etre située ? où la Vérité pourrait bien avoir trouvé à se loger en cette roche des embruns de bord de mer , etc: où ? car la vie treeerestre ne nouys le dit pas, qui se maintient entre ses 4 murs et n’en sort pas (on ne sort pas !) et voilà pourquoi je m’avance, à deux, en roche, dans le vent, etc, voilà ce qui est : je m’avance à deux, je nous nous, nous nous avançons, je nous avance, ou comment ? je nous place ainsi qui nous mettons de face ! droit ! i ! comme de juste ! comme deux justes ! face à elle (ou il ?) : la mort (le ?) et là, face à face, nous disons ce sque nous savons , des mots-betes de fortune, des bisons rageurs ou paisibles, des buffles au souffle profonsd, des bouquetins qui vont fissa à se loger sur rochecap, nous nous épaulons, nous sommes deux ! nous sommes ce deux de la rage du temps impartyi ! nous voulons comprendre (à deux) les données primaires , les fortes rives, les embruns dotés, les trous de roche, les feux alloués, etc, nous voulons trouver en roche les dites «vérités de bel aspect et de bon aloi», nous cherchons, et ce faisant nous poursuivons ensemble ce chemin de roche temporo-spatiale, nous n’en démordons pas, nous y restons accolés, nbous poursuivons sur notre lancée et allons ensemvbvle, nbous trouvons de petites choses (de ci de là) qui nous paraissent etre ici dignes, d’un interêt du coup conséquent (pour notre gouverne) en ce qui est ou concerne cette (donc) vérité de ces choses du temps à rechercher conséquemment, ces petites choses de ci de là sont pécadilles certainement (au regard du tout) et cependant en disent un peu, peut-etre, sur ce tout majeur d’une vie terrestre, ou alors que penser ? les mots peuvent-ils dire la Vérité ? les mots ont ils le pouvoir ou pouvoir de dire icelle ? les mots humains ont ils la capacité intégrée, allouée (par qui ? ), de dire la Vérité, ce qui est vraiment de cette vie ici aux tourments ? les motsque j’emploie à dessein ont ils capavité de toucher la timbale du temps ? ou que dalle ? pis-aller, chose par défaut,; prise de b ecs unilatérale, besoin de ... cabinet ? etc, est-ce cela ? je vais en roche buter la paroi et coller au verbe : le voyez vous ? mon nom est nom de rien, s’a:menuise en se disant pour finir juste par disparaitre, j’épuise, j’épuise mon nom pour le rendre liquide arroser laterre, ou comment ? pour que ainsi liquidifié il se laisse aller, à tomber et à entrer en cextte terre ... des embruns de bord de mer : sable ! sable mouvant ! chants de la terre meuble ! oup la oup ! une prise rapide, une envolée ou un envol rapide, deux battements d’aile, je ne suis plus là ! je file à toute vitesse, je vais en roche pour savoir quelque cghose d’une chjose dite «de vérité» ou cvoncernant la vérité des choses du monde , je suis appareillé , je suis muni, je suis équipé d’un corps de rage (la souffrance) qui, lui seul (ou elle seule : la souffrançe), peut me donner en vrai le peps d’y aller , c’est à dire de sauter, de passer, de franchir, de passer «de l’autre côté» du fleuve, l’autre rive etc, nous voulons aller ainsi au loin de la roche des temps, nous voulons aller profond = loin, loin = profond, profond = à deux, à deux = loin etc, nbous sommes pa rés ! munis ! pris dans le sens de la marche vive (= en vie) qui nous pousse à dire et redire en continu cette chose d’un trac»éé de buffe (= de souffle) dans le sang , ou sinon comment ? le sang en nous est le vecteur ! noyus cherchons ensemble dans la roche, ce qui pourrait bien peut-etre nous donner de quoi comprendre ce qui est, de’une temporalité allouée à des hommes et femmes de la roche dure, aurignaciens, aurignaciennes, magdaléniens et magdaléniennes, nous nous affichons de concert main dans la main : car, c’est nous qui venons vers vous, La Mort ! La Mort, nous voyez-vous ? nous venons à vos devants, nous venosns devant vous , nous venons face à vous, nous nous plaçons devant vous ou en face de vous, nous sommes venus tous deux jusqu’à vous , nous sommes ensemble devant vous ou face à vous! nous nous tenons par la main, nous nous tenons par lamain la mort !, la mort, nous nous tenons par la main ! La Mort, ... nbous nous tenons par la main ! nous nous tenons La Mort, par la mùain ! nous nous tenons par la main, La Mort ! nous voyez vous ? pouvrz-vous le comprendre ? La Mort, peux tu le comprendre ?
La mort, comprends tu ? cvomprends tu quelque chose, ou rien ? que comprends tu de bnous, La Mort ? est ce que tu comprends, La Mort, que nous sommes deux quand j’arrive seul ? vois-tu mon double jovial ? mon alter ego pariétal ? ce buffle de foi ? ce bison de rage ? ce dit bouquetin des temps reculés ? cette antilope ambrée, ou cambrée ? ce bison des roches dures, cet ours de la vallée, cette antilopê antédiluvienne, ce cheval ? vois tu les raisons (les causes) qui président ? qui sont les bases de nos tourments : les vois tu ? es tu de la partie fine ou juste le regardant ? la , laregardante , ou comment ? es tu (La Mort) la vilaine, l’exécrable, saleté des saletés, la
cochonne, la rageuse-
chieuse (oups) couille ... ou pas ?
autre ? qui estu ? qsui pour nous es tu ? une biche ? une bambinou ? qui donc es tu pour nous devant nous ? échancrure de paroi, bisque-rage «de ta mère pute» ! ou pas ? quoi ? qui es tu lza mort ? que puis je dire sur toi «qui le soit» ? je ne connais pas ton petit nom, ni rien ! tu n’es pas pour moi une fame ! tu n’es pas pour moi une dame , ni même un homme ou quoi ? tu es qui pour moi ? qui tu es pour moi ? qui es tu pour moi ? pour moi qui es tu ? pour moi qui tu es ? pour moi qui tu es et n’es pas ? qui pour moi tu es et n’es pas ? qui tu es pour moi et n’es pas ? qui tu es pour moi et qsui tu n’es opas ? qui tu n’es pas pour moi et qui pour moi tu es ? qui pour moi ou contre moi es tu ? qui n’es tu pas pour moi ou vcontre moi ? qui contre moi pour moi tu es ? qui pour moi ou contre moi («et » contree moi ?) tu es ou tu n’es pas ? qui La Mort tu es pour moi ? qui es tu La mort pour moi ? qui La Mort pour moi es tu et n’es tu pas ? qui La MOrt n’esw tu pas pour moi ? etc, La Mort me regharde de ses yeux de feu, elle cherche à brûler mes ailes, je suis l’animal peureux de base, je suis sur une branche, je vais et je viens de branche en bran,che, Ka Mort est ce regard de feu, le dieu de la roche, La /Mort ou Dieu , c’est la même chose ! on le sait ! on wsait cela depuis la nuit des temps ! on sait cela tresbien depiuis longtemps ! on connait toute l’histoire, et si dieu est mort au 19e siècle, pas La Mort ! pourquoi ? car ... nous sommes deux ! ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! car, nous sommes deux embarqués ! car, en moi le 2 domine, qui me voit danser sur la roche, aller d’une branche à l’autre, d’un endroit cde roche l’autre : le soleil ! lka plaine ! le vent ! les arbres ! les ruisseaux! l’herbe ! les fleurs ! et nos amis chevreuils, de belle tenue, droiit, riches, raides et musclées, boisés, mis sur roche cvomme des seigneurs de belle race, etc, nous voulons copmp^rendre les choses du monde du temps, ces données racées, ces betesq de poids, ces cervidés, ces betes des bois et sous bois , des plaines herbeuses, des borsds maritimes, etc, nbous cherchons des données de poids, de belles et ro-ndes vérités de roche, pleines d’elles mêmes, pleines à ras etc, nous chertchons des choses dures = qyi tienneznt ! nous ne vou;:ons pas «rentrer» bredouille de notre périple in,tra- pariétal, nous voulons «rentrer» pour ainsi dire pleins aux as ou comment dire ? en cette matière, de la ou des , vérité des vérités etc, nous voulons comprendre ensemble : deux !!!!!!!!!!! cette chose ici, d’une vérité de poids de type aurochs et autres bovidés ma jeurs, nous voulons (nous sommes deux) savoir , et savoir = comprendre , et comp^rendre =
prendre avec soi = emporter = porter = porter en soi = tenir = prendre = avoir = etre = vivre = mourir = aller , où ? eh bien là ! où ça ? là ici bas ! à demeure ! où ça ? eh bien ici, en ce lieu de rage, sorte de trou barre, ce trait ! ah ! quel trait, quelle barre ? ne la vois tu pazs ? ne le vois tu pas ?. non ! alors ouvre lkes yeux et rzegharde bien : il s’agit xd’un ... trait de joie, sur roche, tracé comme à la dérobée, par x ou y (homme ou femme des c avernes) sur paroi du monde ! tu le vois ? je ne vois que dalle, je suis miraud , je suis comme miraud , ou alors quoi ? je vais sur roche découvrir des choses , il s’agit de traits de roche, de hachures, de tracés quasi (?) infinis, de troubles, je vois ce qui est en roche qui «me parle» , et ce qui «me parle» parle en moi à cette bete ro
sse qui trépigne, qui renacle ou comment ? elle est en moi la bete de charge ! elle charge en moi et me trouble grave ! elle est bete en moi racée rageuse ! elle est furie ! elle est rage ! elle est entrain ! elle est vie ! elle est vire ! elle est cette chose, en moi, qui vibre fissa et laramène grave sur la roche et, dès lors, trace, comme à l’envi, des betes de poids sur la roche oui ! et ce faisant dit son envie de (pour le coup) rester en vie ... à La mort qui gravite et n’en perd pas une ! elle est là ! elle ne nous quitte pas d’une semelle ou d’un oeil , elle est toujours là qyi nous inspecte et nbous cherche noise ! la vilaine ! la garce ! la vilaine bgarce ! ou le vilain ! le saligaud, l’enflure, le mécghant, l’indécrottable tourment, etc, nous cherchons des vérités de poids l:ivresque, et ce n(‘est pas simple, nous voulons essayer de c omp^frendre les choses du monde à la lumière de ce qui est, et pour ce faire, nous nous promenons sur les b erges et regardons autour de nous ce qui se trame, soit les betes-poids qui sont là ou pas en vadrouille, et nous cherc hon,s
à comprendre ensemble ce qui donc se passe autour de nous, ce qui est et ce qui n’est pas, et pour cela : des mots de farce, des morts-farce à offrir sur roxche : bouquetins ! nous l’avons cvomp^ris ! qu’avons nous comp
^ris ? qui sommes nous pour comprtendre ici les raisons du monde ? des savants / savantes de la roche dure ? amateurs / amatrices de sensations fortes ? chercheurs / chercheuses de buffe ? qui sommes nous ? cherchons nous un souffle, le souffle, souffle ? que cherchons nous ou que recherchons nous ? nous cherchons des choses, ces choses ont un nom, ce nom nous incombe, à nous de le donner ou de le déposer sur roche (offrande et don de grâce) : à nous de poser la chose (le Nom) sur pareillle roche à orner, etc, c’est à dire qu’il est pour nous ici cette chose à faire, fissa , de poser ! de poser le Nom, le Nom précis (juste) sur la chose, et ce n’est pas si:mple ! origine du nom sur la chose ? le cri est-il à l’origi,ne ? le quoi ? quoi a présidé ? l’origine du nom , quelle est ellle ? ou bien : où la trouver ? quoi a présidé à quoi que ce soit comme nom ? nous cherchgons des origines a-vec des mots non originels, il y a maldonne ou presque ou squoi ? nous voulons comprendre les données de base, soit le cri primal, l’alouette des temps anciezns, qUI chantait le chant des sphères := o=ù est elle ? ou est elle allée ? nous abvon,s à percer la roche première, tete en avant (nôtre) et traverser = passer , et passer = se reytrouver de l’autre côté, dans ce vide (autre) de derrière , cette zone aux cervidés et autre s bovidés etc, nous y sommes = nous sommes passés = nous sommes unis en cette (autre) rochge des embruns où débnicher le nid des vérités ouvertes, fines, dures ou douces mzais réelles, pleines d’elles -mêmes, etc, nous nous asseyeons sur pareille roche et rrregardons les betes alentour, nous sommes dezux , nous sommes à cdeux, nous sommes deux , deux nous sommes, nous sommes dezux !!!!!!!!!!!!! nous sommes deux qui nous épaulmons : oh, le maitre mot !!!!!!!!!!!!!!! nous sommes deux ici (roche, paroi) qui nous épaulons pour trouver, pour dénicher, pour creuser une vooie, pour soulever kles pierres à la recherche d»’une sorte d’échancrure de paroi ! le monde est plein comme un,e courge, une citrouille, une pastèque ! butternut ! il s’agit de voir (pour nous ( ce qui est , et ce qui est est cette cghose ici d(‘un monde plein = sans faille ! car où est-elle swi tant est ? où se loge t elle (cette fzaille = ce trou) eh bien ici ! c’est à dire l:à ! c’est à dire à l’(endroit précis (sur terre) qyui saura me voir ... passer l’arme à gauche ! ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, exactement , c’(est à dire au millimètre : là parfaitement lafaille, trou de basse fosse pour le coup nominatif, et voilà la chose ! voilà où donc la faille du monde saura se montrer que nous ne verrons pas car bnous serons mort : est ce ça ? est
ce xela ? quii le sait ? qui va dire ? moi ? moi je peuxw ? vraiment je pêux ? puis je ? et si oui comment ? ai je assez de quoi pour dire (vraiment ) ? ai je assez de quoi (moi !) pour dire vraimùen,t ? et cela pour tout : ai je assez de quoi en moi (!) pour dire le vrai en quoi que ce soit ou ... « pas res » ? a i je assez de quoi en moi pour dire vraiment une chose ce qu’elle est ou PAS, ou RIEN ? etc !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!car, qui suis je ? homme-femme-enfant-bete des cavernes, qui va et qui vient en roche des temps alloués (alouett ? ) ? je ne sais pas ! je suis l’homme de ma race folle, homme aux mots «des vraies vérités», ou comment ? je cherche ! je ne suis pas fou moi même ou si oui par où ? par quell c^$oté de moi le suis je ? suis je fou intégralement ou seule une partie de moi ? peut on ? je cherche en roche une (ou sorte de) vérité de base rayonnantee, pâs simple ! je suis sur cette roche des embruns et je cherc he une (pour ainsi dire) vérité de poidfs , qyui « puisse le faire» intégral ! mais ce n’est pas simple, pas simple du tout, c’est complexe, c’est un processus complexe, un drôle de travail à ensemble devoir mener, à pousser loin, etc, car notre volonté est forte (intacte, à ce jour) de vouloir savoir, savoir quoi eh bien tout ! forcément ! puisque le langage est ce tout , est plein à ras bord de lui même, ne contient nul manque, est à l’image dela stratosphère à nos yueux : monde plein pareil ! monde plein de lui (sans faille, sans trou autres que borgnes) et le langage articulé (une langue prise au nhasard) est pareillement un monde clos, un monde fermé sur lui même,; contenant le tout de son etre-langage, etc, nous savons que cela est cette chose et que les mots sont ce qu’ils sont, à savoir ce pis-aller à déposer sur roche coute que coute et par devers soi pour ainsi dire, ou bon gré mal gré, puisque nous sommes pris (=piégés) par icelui (la ngue) ou icvelle (ce langage) ou in verwsement ! enfin voilà la chose rosse, ce besoin d’orage , voilà ce souffle ! cette bouffée d’air, cette trouée (sorte de trouée) dans la roche, ce chant dxes attraits, ici gravés ! ces bouquetins !
nous tombons des nues ou pas loin, car ce qui est ici (temps nbr ûlé) déposé, est cette chose comme doublée par un ensemble langagierr frontal, dur delafeuille pour azinsi dire car, replié sur lui même, en portefeuille, ou comment ? homme m’entends tu ? car, je suiis ici pour comprendere ce doublement ou peut-etre doublage de paroi, je suis ici même à larecherche d’un,e solutuion à un problème de cop:mpréhension : qui suis je et dans quel état j’erre pour ain,si dire ! qui je suis que je ne saurai voir ? qui je suis en roche ? le temps brûlé est il du verbe et si oui lequel ? je cherche à savoir, je ne la^che pas la rercherche, je ne lzache pas la main, je ne lâche rien, je cherche «follement» dans la méprise le summun ! c’est à dire la lumière, le feu central = le jour = la fzaille = l’éclaircie =mais vas y ! ce n’est pas facile , ce n’est pas simple du tout, on doit fortement s’armer de courage, on se doit de chercher vif, vigoureux, on se doit de chercher, dans les profondeurs de la roche, parmi toutes ces betes, laquelle est pour soi : transe ! trans-humanité du genre ! etc, et voilà ce qui est, ce qui nous regarde, ce qui vient vers nous par la bande, cxette humanité trans-genre de l’aprrè!s- passage de roche : homme-femme des attraits de roche = de la roche ornementée : bouquetin, chevreuil, ours, cheval ou buffle, etc, nous chrercghons une raison (musivcvale en diable) d’y croire, c ‘‘est à dire de croire au lan,gage, c’est à dire de croire à sa langue propre, etc, nous voulons essayer d’y croire fort, nous voulons ensemble essayer dxe pe nser lza :mort comme une entiteé cde passdage, or que dalle ? ou quoi d’auttre ? une venaison ? pendaison ,; prise d
‘otaghe ? suspension temporo-spatiale ? fin des temps pour tout le monde ? intemporalité n ative retrouvée ? temps de roche dure, reprisé comme une chaussetre ou commùent ? trou ? trou du cul de la roche meuble ? trou de quoi qui nous voit plonger ? je cherche avec assidiuté, je ne lâche rien au pasdsage, mon élan est tel qyue rien ne m’arrete (à ce jour) et me voil;à nqui fouille les données du monde lan gagier de base, à la va comme je te pousse mais justement, tel est le deal ici qui me voit naissant perpétuellement ou du moins voulant cela, de cette renaissance au monde brutal de la roche, à perpétuité, commùe un condamné de basse roche, ou commùent dénommer icelui qui ira fiszaa (tete plongente) en cette sorte de roche des temps offerts par la bande (= la paroi) au fil du temps, qui saura nous dire le pourquoio de cette chose ? nous sommes dfeux qui alloobns en roche chercher que tu chercheras une vérité de poids de type buffle = buffe = souffle = soufflrerie = soufflerie d’un dieu sur une cote, etc ! et cela nous incombe , c’est à dire qUE cela (cette recherche) nous rehgarde, il s’agit d’une recherche pour le coup de bon aloi, d’un présent de base à déposer ici devant soi (l’endroit du trou) etc, et ce présent temporo-spatyal est ce don de soi alloué à une roche meuble,; et donnépa r la bande aux dieux de la paroi de l’homme ou de la femme des cavernes et autres avens, nous voulons compfrendre cette cxhose en soi = ce présent de vie brûlée et déposée à l’endroit précis , ici, du trou (chacun le sien) de la fin, nous voulons comprendre ensemble les données frontales/ pariétales ce qu’elles sont, et ce qu’elles sont nous regarde fort, en cela que nous sommes deux à vouloir de fait kles approcher au plus près et concomittament de préférence, elle et moi, moi et elle , etc, car je suis l’elle ... de la joie du monde tracé, et elle est l’il ... de la roche dure des temps, et ensemble nous allons, de branche en branche, et touchons (ou visons à toucher) la timbale du temps imparti, de ce temps dit «humain» de la roche : naissance et départ de rage, etc, nous voulons comprendre (menu) ce qui est, et cette chose (cette Vérrité) la graver sur roche ou alors la dessiner (art) cde telle manière qu’elle puisse r(cette cghose) en imposer grave et frapper les imagi,nations ! celle de la mort à l’ oeuvtre notamment, car la mort nbous guette, nous swuit depuis toujkours du coin de l’oeil, tous et toutes, nous tous et toutes, nous so:mmes toutes et tous ainsi suivies par ... un oeil de roche ! et cet eil de roche est oeil d’un dieu des roches, et ce dieu des roches est ce dieu touché (bzambi ?) par la grace , ou sinon qui ? nous voulons toucher à ce dieu de la grace meuble ensemble, et nous avancer ainsi sur ce chemin de roche dure, vers ce trou de roche qui saura nous contenir, zau mieux, le moment venu, nous voulons comprtendre les données de base les plus fines , les plus justes, et aller ensemble dans la profondeur ders choses, cde la Vérité ancrée, celle là wque nous voulons compfrendre, etc, nous sommes deux qui recherchons
LE POT AUX ROSES,
cette chose, et ce
POT AUX ROSES
nous regarde , en cela que nous nous sentons «concerbnés « par lui, par son effigie pa riétalzae, nous sommes de la bande, nous voulons toucher la plaie de roche dure, l’entaille disons entre deux mains soufflées sur roche, deux pochoirs antédiluviens, etc, nbous sommes de la roche dure les enfants ou quelqjue cxhose d’approchant ! nous sommes enfants de roche dure, nous cherchons la cause première, le summum du monde, le genre des temps, la parole de poids, la pleine mesure des temps, le vent dsans les feuilles, les tourments des mots de grâce, les bouquetins et les bouquetines, les enduyits (onguents et autres chrémes religiuesement déposées), nous voulons aller loin , en la demeure pariétale des serments, bnous ne voulons pas rester en carafe et choir : oh que non ! mais poursyuivre sur notre lancée la recherche active,la recherche active des vérités, nous sommes deux pour agir ainsi, pour toucher ainsi à une vérité de roche : bouquetin et bouquetine ? nous voulons co:mprendre ensemble (mot à mot) les données frontales du mon,de (en somme) du trop p;lein, ou du trop-plein dxe soi (ras bord) etc, car le monde est plein de partout, se contient lui même sans faille (archivage) et dès lors ... cvomment bifurquer ? où trouver sa voie (et son chant ) ? car ici la roche est l’endroit des fuites peut être mais comment ? homme aurignacien ou magdfalénien ou même néa ndertalien , sauraais tu nous renseigner ? comment tu asfait ? lévitation ? transe ? transe-lévitation ? drogues ? cvomment ? la «religion» des roches des temps ? l’in cubation ? la parole manquante ou comment ? les mots faussent-ils la donne des temps ? qUuoi faussze la donne ? nous cherchons la vérité sur roche (aurochs gravés ou dessinés) comme des morts cde faim pariétaux, ou comme mort de faim de vie en la roche, ou comment ? nous voulons aller en c ette belle roche ici dxes temps donnés nous «congratuler» = nous donner dxu (hum) «je t’aime, je te veux» à même la roche, et cela, pour passer ou dépenser le temps,
à la charge, au poids de la roche, sur le poids donnéé, ou comment dire ? à charge ? à volonté ? commùent ? nous disons les mots de telle ou telle roche : ces «je t’aime», «te quiero», etc, sont mots de roche allouée, ces mots nous viennent en bouche par la ban,de et vonjt xsur roche se graver (pour ainsi dire) comme à la volette par des hommes ou femmes des cavernes, ou via des hommes ou femmes des cavernes, nous voulons graver nos noms qwui sont ici comme des amen et des j»e t’aime» de haute volée, nous disons la roche, nbous diso,ns la paroi, nous avons dezws mots pour dire, et ces mots sont ce qui ici se pose ou poserait par nous en depot de soi sur la roche : nous faiso,ns = nous vivons-faison,s = déposons le temps en offran,de : «te quiero mùucho mi ammor la mùort «, etc, ce que nous disons, ce que nous disons est ce temps de roche attitré, ce temps attitré à roche attitrée ou sur roche attitrée à cet effet , mots surnuméraires comme des mains (ou doigts) qui vont comme à se graver illico presto à mla une à lma deux, via l’entremise (en treanse) d’un homme ou d'une femme (des cavernes) remonté comme une pendule , un sorcier ! une sorcière ! et moi de parler une langue comme ce sorcier ou cette sorcière (la même ?) pour la bande ! je cherche en amont et en avakl, devant et derrière, mais en vérité il n’ya pas de derrière qui soit mais que du devant , ou même : s’il n’y a pâs de derrière qui soit, il n’ya pas nonn ^plus de devant, mais un pourtour temporo spatial cde première, une «zone de rage» donnée, un temps de roche dure , une zone franche, canal, chenal, passage des oies, tombeau pour des enfants rois, passage à niveaux, nous cheminons, nous voulons voir, nous voulons savoir et voir, voir et savoir, tanguer, aller dans cette roche temporelle ... d’un monde clos sur lui même = sa n s la mort vécue ou comment ? nous sommes ... dans le ventre mou de la roche ! nous sommes comme insérés dans un ventre mou dx’une (sorte de) ... Charité, nous sommes pris ou comme pris dans une nasse de la charité et des bienséances (au mieux) et nous avançons de concert .... vers la mort ? celle là qui ici njous tend (vraimenbt ?) les bras ? qui suis je pour dire cela ? les mots quye j’emploie d(‘où sortent ils ? qui donc m’a inculqué ce langage des grossièretés et des insultes de saillie ? qui je suis pour parler tout court ? qui donc je suis pour ... l’louvrir ? qui etes vous x ou y pour vous zautoriser l’ouverture, en grand, de votre gueule , et du coup parler , et dire, asséner, tro:mper, réduire, cramer (pour ainsi dire) le temps d’une offrande à venir, etc ? je suis roche moi même un temps, qui est celui d(‘une déposition (art ?) de temps brûlé sur table df(‘offrande, et je vais et viens , je vais et je viens en roche, à la recherche de la vérité liée ici aux données dde ba se, roc et gravillons, roche dures, parois naissantes, etc, gravons nos noms ! faisons de la sorte que nos noms, ainsi, fussent gravés ou dessinés par une main xd’homme ou de femme , nbous voulons savoir ce quyi est, en cette roche des
v érités des temps, bnous pensons que nous pouvons trouver-dénicher mais rien n’est moins sûr ! car la roche est pleine à ras bord de sa rochéité pour ainsi dire, elle n’a pazs de trou à proprtement parler, ou si oui, anfractuositész, il s’agit de trous qui m;ènent à des non -trous = des butées, or, voilà ce qui nous intrigue, nous retient, à savoir cette chose en butée, ce non trou au fond du trou, ce fond plein de l:ui (fonds) en vérité : qui l’eut cru ? le monde (le langage idem) est plein de lui, à ras bord pour ainsi dire, et n ‘offre pas en quelque sorte de «sortie» possible, et nous de naviguer en lui à la recherche (motivée, on l’a vu !) d’une sorte de vérité (vérité de poids) « qui le fasse» et il y arrive ! l’homme y arrive, oui ! l’homme (l'humain) arrive à ses fins, qui sont (ici) d’asséner des charges pariétales , oups ! voilà qui est dit ! l’homme a le chic pour assén er que tu assèneras des charges de pôids sur paroi du temps, «et que ça le fasse , moussaillon !», hum ... ce ge nre de phrases, etc, l’homme est parti prenante, il parle à tout va, dit sa recherche inébralnkablz$e inénarable, etc, il dit ce qui est (pour lui) «verité» de roche et ne s’en laisse pas conter, il est fin rageur, tombe sa veste et crache le morceau, conwxéquemment, il est vaillant, il pzarle-assène et charge-pl;ombe etc, il n’est pas en retrait pour ce faire, il est vif comme l’éclair dans son verbe de foi, il file à tout va sa pelote vive, il est vif (fou ?) qsui charge, la mule du temps imparti, de sqon verbe «cuit», etc, nous voulons comprendre ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ et
même davan tage, notre ambition est facile à cerner pour qui que ce soit, nbous sommes (disons) comme les auttres, bnous sommes pareils , nbous ne sommes pas différents, nous cherchons toutes et tous la vérité au quotidien, sur quoi s’appuyer en vrai, comprtendre les données de base voire plus si affinités avec les savoirs, etc, et voilà pourquoi nous sommes en quête (nous memes, à notre façon rupeswtre) de vérités vraies, de celles que l’on peut graver sur une roche, au galet, etc, ou dessiner au bout de bois brûlé, c’est exprès, et nous nous savons graver et dessiner, on sait, car, un temps, on nous a appris par l’exemple etc, nous voul:ons comprendre ce qui est pour nous, nous voulons comprendre ce qui est pour nous = pour notre gouverne, nous sommes deuxxxxxxxxxxxxxxxxx, ou bien deuuuuuuuuuuuuuuuuuuux, ou encore deeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeedeeux, ou comment étiré ? encore + ? et quand ? car , nous voulons , c’est un fait ! que voulon nous ? eh bien : étirer le deux, ce deux de cette roche des embrun,s, ce cdeux surnuméraire, ou comment ? nous voulons en quelque sorte étirer ce deux de charge, et en faire un deux monacal, pariétal, de roche raide, etc, nous voul;ons cela, nous cherrchons cette chose pour nous, cette chose d’un étirement du tout dans sa ligne, etc, et cela peut très bien être rendu possivble ici si une volonté de vérité, ou de recherche de la vérité, préside du coup à ce mouvement, il suffit ou suffirait (peut-etre) de vouloir pour faire, de vouloir savoir le mot de la fin, ce qu’il est et dès lors : faire cette chose, cet étirement par la roche de ce mot de «deux», petit mot de rage, «deux « ou «de» (a minima) ou même «2», écrit comme ça, tout marche, etc, nous sommes convaincus, nous sommes homme-femme ici de larage verbale des temps, nous sommes à cdeux l’homme et la fgemmùe xtourmentés des sables, des apprets sur roche, des gra-vures au vin mauvais, des troubles sur roche tracés, etc, troublkes tracés sur roche du temps mezn,açant, nous fouillons ensemble dansles profobncdeurs, que voir en icelles ? nous fouillons grave dans les profo,deurs et nous nous demandons, quoi donc pouvoir voir (de fait) en icelles , quand (comme nous) nous sommes ou vous êtes comme appareillés par une co:mprenure ou d’une comprenure en bon n eet due forme, que comp^rendre, à cette affaire de roche à graver «par la ban,de « ? de quelle bande s’agit il ? bande» de b andaison ? bande de bandage ? une bande comme une langue ? bande de terre,, bande de paroi ? peut-être ! nous tombons sur roche simultanément, à la une à la deux, conjointds, soudés co:mme les dix doigts de la=main : l’amour au centre de la roche = l’immixtion frontale (parioétale) cd’un couple de betes de choix et de poids, ovins ? bovins ? ... vins ? nous ne savoons pas ! notre but ici est de chercher cdes vérités de poids qui toutes sauraient nous donner de quoi nous retourner c’est à dire survivre c’est à dire poursuivre, ce chemin de vie attitré ou alloué à notre gouverne (ou pour), car, nous voulons poursuivre ce chezmin de vie , ne pas trépasser (certes pas), etc;, nouys voulons continuer à vivre,; nous ne voulons pas «passer» = mourir, nous voulons «‘à tout prix» (au prix de la douleur ou de la souffrance) continuer notre chemin de vie ou de la vie, nous voulons continuer ! nous voulons conti nuer ! nous voulons poursuivre ! nous voulons aller ! nous voulons vivre ! nous ne voulons pas mourir ! nous voulons poursuivre sur notre lancée et ne pas succomber ou sombrer, nous sommes ensemble unis sur une même voie de rage, qsui est celle cde la voix comme posée sur roche (engouements a nimaliers) et notre but est de, toujours plus, annoter la rocghe = graver, dessiner, afin de faire ainsi accroire à quyi de droit (ou quoi ?) que la chose est vraie, que l’animal représen té est un vrai animal et non faux animal ou représen tation fautive, etc, notre but est clair comme de l’eau de source, il s’agit d’une tro:mpêrie, d’un tour de passa-passe, betise, etc, nous voulons comprendre ensqemble ce qui est ici (sur roche) représenté, cet art de la ruse, de la ruse traitre etc, qui est qui ou quoi ? que quoi est ici ? qui quoi est que ? qui que quoi est qui ou quoi ou qu’est ce ? nous avons une am bition (démesurée) qui est celle ci : de trouver le quoi du qui , ou le qui du quoi ? l’animal, représenté avec (le plus possible) art de la ressemblance, avec cet art pour ainsi dire de la reessemblance ici recherchée, poussé (l’art) à son paroxysme, cet art est il tro:mperie ? est il fzaux xsemblant ? pour faire accroire qsue ? eest il art d’une ruse de joie ? pour rester soi en vie tout plein ? est ce cvela ? est ce cette cghose ? qui sait répondre à pareille interrogation fortement existentielle ? je voudrais savoir la vérité et comprendre les données qui sont ou wseront cellles (j’imagine) qui devront m’attendrte le jour J où ma vie sera à l’arrêt : quyi pourrait me rensezig ner ? les mots de la roche sont des pis-aller qui servent à tenir à distance (via l:’emploi du temps) la mort (xde roche) à l’oeuvre, car, les mots sont de fait un organe de satiété, les mots sont organiques, sont en place en nous autrtes comme en nouys un os, un estomac, une nervure, un poil, un foie, nbous savons et comprenons cela ! les mots ne bougent pas, et comnblent , quoi ? eh bien voilà ce quil ous reste à définir ensemble , ce que lesw mots comblen,t , ce que les mots en nous font, en termes de fonction, ce n’est pas tant ce qu’ils disent en soi (vérités toujours les mêmes et assénées malgré leur fausseté consttitutionnelles) mais ce quuils sont en termes de fonction à etre, de fonction d’etre etc, ce que les mots pour nbous représentent, à quoi ils servent au juste dans la bande, ou dans la paroi ... ce quyi revient au même, etc, les mots viennent à xse loger sur roche, et cette action des mots en dit ici long sur leur fonction toute pariétale , nous voulons dès lors comprtendre cette opération dite «xd’immixtion», ces «je taime» et autres mots doux, insérés par la bande et le passage en soi des temps sur un organisme parlant, nbous voulons compfrendre les donnéesx, brutes (b rutales ?) du temps, ce que le temps en vrai est en roche, ce qUe lke te:mp^s permet à l’homme-femme d’être, etc, nous sommes ici nous deux qui pour le coup voulons comprendxre, nbous sommes deux qyui ici voulons comp^frendre, nous nbous joignons ici pour une cause qui, de fait, esqt commune , (
Cause Commune) et qui est celle de voul;oir comp rendre, ENSEMBLE, cette chose d’une sorte «en soi» de ... V2rité Majuscule, V2rité des vérités, chose rage , rage du temps, rage folle, folle rage du temps, ravins ! nous voulons comp^frenxdre coute que coute, ces ravins ! ravines ? nous voulons comprendre au plus profond (de l’age des temps, parois folles, etc) nos espoirs dans ce domaine, bnous voulons comprendre main dansq la main, soudés comme des amants / amantes pris / prises en otage,etc, nous voulons savoir loin ce qui est qui n ous attend (demain ?) dans le sang , au plus lointain pour ainsi dire de pareille roche (dure) aux tourments donnés, offerts, ou chus, etc, nous ne voulons pas DCD !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! , nous ne voul:o,s pas DCD !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!, nous ne voulons pas DCD !
nous ne voulons pas DCD !
nous ne voulons pas DCD, ou comment dire ? car qui suis-je pour dire cela et, comment dire cela, et de quel droit, et par quel biais, et de quoio dire cela ou comment de quoi , etc ! nous avons pour nous en nous des mots de rage, ces mots sont des mots-animaux (tous) de provenance, et dès lors, nous pouvons nous en wservir à l’occasion, nouys devons agir, nous dezvons agir de concertt car nous sommes deux et à deux nous en avançons, nous avons en n ous tout un langage acquis qui est, en vrai, voix d’autorité massive, ou bien aurochs pour le dire vite, notre voix porte un temps, va, tra ine sa galère toute de ciconstance, se pose là, va droit à dire ett porte mal (essentiellemen t imma,quablement) mais pour autant ne peut en dévcoudre, le fil est cousu à notre b ouche, il s’agit d’un quant à soi monumental parioétal incontournavblement cousu à notre propre gouverne d’enfant ici perdu comme faon de roche dans la lande, loin de sa tribu ou meute (harde ?),
et voilà pourquoi les mots en notre bouche ont ce mal xde chien à s’extraire vraiment, à aller fissa sur roche se loger et du coup rezprésenter ce qui dev rait, ou ce pourquoi ces mots seraient à devoir etre (peut-etre) d’eux mêmes, nous dison,s ce que bouche veut à travers des canaux rocheux, notre but ws’ins crit de la sorte (sur roche) avec des mots creux, creux comme des gourdes ! nous poussons le tout sur roche , à son paroxysme pariétal, betes-mots de fort impact, mais ces mopts de roche sont sans consistance autre, q<u»’en ttermes de données de roche représen tatives, nous voulons aller dans la roche du temps : nous deux ! nous deux nous disons cvela, comme qyuoi , nous voul;ons aller dans la roche du temps, nous voulons crezver l’abcès decette roche = la percer ! nous voulons percer la roche ! nous voulons pêrcer le rocher ! nous voulons perc er le roc ! bnous voulons per cer les termes, le sa ng pariétal, le sang-pris pariétal, percer l’abcès = merdum ! merdum à l’abcès ! nous sommesq ici les infirmiers et les infirmières, de cette sorte de roche du temps, infirmiers et infirmières qui venons ici, percer cette roche du temps ... pour la bande ou pour co:mment dire ici ? nous sommes les soignqants / soignantes ou l’infirmier qui vient paercer, je suiis cet infirmier qui viens perc er l’abcès et perce que tu per ceras, infirmier, cet abcès ! v as y , infirmier, ne traine pas ! et n’hésite pasx ! perces ! perce que tu perc eras l’abcès de la roche ! pâs d’embrouille ! pas d’hesitation ! perce fort ! traverse ! vide l’abces ! ce sang coagulé, ce sang noir, ce sang-pris par lm’infection localisée, sur roche du temps, sur paroi dure des tourmentsq, dans le temps imparti à une vie de roche = terreswtre, vidons donc l’abcès de son sang noir, prenons donc cette xcghosex pour soi , de voir à ici vider , etc, nous devons de fait vider les abcès, nous devons soigner l:a chose ronde, la crever fissa comme pâr lma bande et soigner / purifier / arran,ger la chose (roche) de ce temps ici offert comme sur un plateau , nous devons jouer (de concert) à vider tout le sang de la roche, nous ensemble (= deux) avons à,
et voil:à cela, ce que nous faiso,ns, nous vidons car nous sommes cdeux, deux qui avons à,
et nous faiso,ns cela sur roche (en roche) ensemble, à toi à :moi, toi et moi, bnous faisons la chose, nous faisons cela, nous donnons cde nous pour ce faire, pour vider l’abcès de la roche dutemps, le sangh pris est du sang noir = vieux, coagulé, mort pour ainsi dire, car, le sang sde couleur noire est du sang mort, quand le sang vivant (vif) est rouge incarnat, vive vie de la roche dure, entrain, vif train de vie vive allant de son élan rocheux à :m^$eme le temps attitré, je suis homme de la roche rude, je veux aller loin, je veux aller au plus loin des connaissances verbales ou octroyées par l’emploi assidu et concerné-concentré du verbe pariétal, du vocabulaire pariétal , fait de betes de rage et autres animaux-mots de belle prestance, je veux swa voir, je veux compfrendre les données, poussser (dans le temps) la force d’un élan ou de la force d’un élan, d’un renne, comment dire ? mon coeur bat à l’unisson de ma voix , de ma voix comme déposée, sur la table aux offra ndes vives, je touche du bois, je veucx vivre longtemps ... mon temps de vie vive, et dès lors, offre, sur roche, ce (cette espèce de) pis-aller animalier, mots de rocghe dure, pis-aller de roche dure, sang versé coagulé, percée, etc, et, ce faisant, parviens à me sauver un temps qui pour le coup n’est pas le temps donné maids le Tezmps vécu, maintenu vcomme le sang de vie (rouge vif) d’une sorte de parole du coup «engen,drée», nous poussons la chgose ensemble dans ses lointains et ce faisant restons en vie sur roche, nous restons en vie et non pas mort, nous ne restons pas mort, comment diire ? nouys voulons rester en vie ! nous ne voulons pas défai;llir ! notre but est de crever l:’abcès sur roche (le dessin comme à la volée) et de nous en tirer, du coup, de la sorte !
soins ! soins sur toute la ligne ! ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ju’ai trouvé ! le soin princier, le soin primordial, le soin offert, le soin de base, la ^percée , ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! cezla est ! ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii! évidence !car, le sang-pris de roche se devait en vrai d’etre ;:libéré , oh que oui !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! il devait l’être, il se devait de l’être ! le san,g noir est du sang pris, dessins sur la roche, et nous, nous so:mmes les soignants, nous venons en nomùbre (à deux ?), nous devons co:mpfrendre ensemble les données du monde , et aller en roche ainsiéquipés de nos pics «de percée de roche», droit sur l’abcès ! voici la faille dans le roc ! oh on a trouvé ! je j’ai je ! oh ! voici je j’ai ! ohhhhhh ! je j’ai je ai ! ohhhhhhhh! je suis je , jhe j’ai trouvé, je !!!!!!!!!! je suiis je j’ai, ohhhhhhhh j’ai ! je suis ici celui celle, qui est cet homme femme, ce enfant -faon, il-elle a trouvé la faille = la pl:aie = le sang pris = l-’abcès ? = quoi ? cette chose ici d’une sorte de sang enfermé dans la roche, et le «pic de verbe» est là (du coup) pour cvrever, pour crever ce sang-pris d’une bulle d’abcès pariétal, et voilà (dès lors) la roche (enfin) ornementée, à la mode soin, soignemùen,t;,, etc, nous voulons comprendre ce qui est en roche et qui répond à l’odrdre des tourments, nous pensons le Temps, nous pensons a u temps comme à quelque chose de sanglant, et peut être, en vérité, quyi sait ? le sang versé, ... est le sang de la roche des temps, le sang versé ... est ce sang de rocghe dure, c’est ! or : nous ne so:mmes sûrs de rien en vérité ! notre gouverne pour le coup nous porte (ici ou là) sur roche, nous treaçons des betes à la vo:lée , nous sommes montés haut sur pareille roche, en lévitzation on le sait, etc, et, ici, nous dessinonsq des betes, betes de poids qui sont betes de charge qui sont betes d’impact, car notre but ici est xd’impa cter la mort au maximum et de lui en mettre en vrai plein les mirettes pour ainsi dire, bnotre but est de la surpendre et, dès lors, de l’écarter un tant soit peu, car, nous ne sommes pas près de vouloir décéder, nous ,ne vpoulons pas décéder, nous voulonstenir en vie encore un tem^ps que nbous n,e voulons pas écourter etc, voilà le credo nôtre, ce que nous «penson s» dans le xsang, etc,; notre vie l’emporte et emporte avec elle les mots de ta rage, etc, nous voulons tenir et toucher la timbale du temps, nous voulons survivre aux coups fourrés (comme qui dirait) de la =mort à l’ oeuvre, nous sommes deux ici pour ce faire et à deux c’est ainsi, à deux nous poussons, nous poussons la chose, nous poussons la chose rude, lourde, pesante, la pouusons loin ou la repoussons, nouys poussons cette chose (à deux) d’une bete de poids, âne bâté, chevfreuil centripète, biche aux abois, bison des grisons, ours en peluche, dindon de la farrce, nous poussons sur roche l’animal ... de la gra ce des temps, grassouiillet comme il se doit, à deux nous sommes qui pousdsons cet animal de choix à même la lande, le faisons se mouvoir de toute sa charge, bouge toi de là bete rosse, nous sommes ensemble pour te déloger, nous voulons ta place, nous voulons de ta place, nous voulons nous deux prendre ta pl;ace, notre but ultime est de prendre la place de pareille bete, bete de poids (un massif) ornant telle roche ou paroi de grotte,
nous sommes unis et so;:idaires pour ce faire et donc pousser ou repousser la bete (à deux c’est mieux)
12/7/2021
main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main, main main, main, main, main, main, main, nous traçons des mains à même la roche du temps, nouss traçons des mains à même la roche des temps impartis, nous sommes deux de la bande, nous traçons des mains en veux-tu en voilà car nous sommres de la bande et nous avançons en icelle, deux par deux, comme enfants entrant en classe, nous sommes des betes de rage et nous entronss en icelle paroi
xcomme dans une nasse, nous entrons en paroi ensemble, le front hzaut, la tete fière, nous sommes unis dans une rage (folle) de paroi, nous allons gaiement en icelle et nous nous aimons en icelle, nous nous lovons, nous sommes deux de la partie, deux pârr deux, nous tombons des nues en icelle paroi et nous nous immisçons en elle, subséquemment, nous sommes en elle comme chenapans de ta race mère, nous longeons la rive, nous sommes en roche comme deux amants qui se congratuleent et s’autoravinent et s’autoravinent, nous sommes deux qui allons en roche ainsi accoutrés : pieds de poule, chapeau, ambrassades, nous aimons la roche, nous aimons la roche dure, nous nous allongeons en icelle et nous regardons passer les betes près de nous, nous sommes deux qui allons en elle, gaiement, et qui s’autocongratulent ou se congratulent de conserve, nous aimons la roche bpour nous, pour ce qu’elle nous reçoit ici en son sein temporo-spatial et nous donne le la de la roche dure, son allant dicté, sa muse première, son chant d’azur, nous aimons cette roche dure des embruns, nous noius asseyons, nous voyons devant nous rugir les lions, les lions et les pumas, les tigres et les panthères, nous voulons comprendre le la de cette roche des temps musicale, qui elle est, quoi elle est pour nous qui nous avançons en icelle commùe deux amants de réserve, chantournés, pris à partie, prise dans le sac (la main), munis pour ainsi dire de nos becs «de percée première»,, pris dans la nasse, chochotés, etc, nous sommes deux qui ensemble nous infiltrons, nous noius immisçons conséquemment en cette roche des tourments
de rage temporaux, (temporels ?) et nous nous avançons ainsi, bruyamment, en pareille paroi rocheuse, main dansla main comme de coutume, nous sommes unis pour la vie, nous aimons cette roche meuble à graver fissa par la bande, à toi à moi, au bec, au piquet, à la serpette, au tracé vif, etc, nous dessinons des bêtes-mots de rage ensemble, bnous aimons ces betes mots pour ainsi dire «de première instance»,, cette charge (animalière) sur paroi du temps, cette frise, ce rajout, ce sempiternel salut de rage en boite, cette venaison etc, nous aimons ces betes de paroi de grotte hospitalière, nous cherchons à comprendre, ensemble, ici, ce qui se trame et nous tend les bras : la mort, qui es tu , qui es-tu que nous ne savons pas ? car les mots ne disent pas tout , les mots ne disent opas tout, les mots haélas ne disent pas tout, pourquoi (c’est une question) les mots (les mots !) ne disent pas tout ? pourquoi donc , pourquoi donc les mots, nos mots, les motd «de ta race princière de meu» ne disent pas tout , pourquoi ? pourqyoi les mots de rage ne disen,t pas tout ? faut il (dans les mots, au milieu des mots , ou avec les mots) chercher à tout dire , quand les mots ne disent pas tout , ou comment ? nous cherchons issue de secours, plaie à vif par où pa sser, ou bien une faille cde roche, ou bien une échancrure dans l’encolure, ou bien un V de ta rage vive (ViVe) qui eut pu nous satisfaire, ou quoi d’autre ? nous cherchgons , des solutions de première, des vérités natives, des espoirs et autres déveleopppements de rage, en icelle rocghe des temps alloués, nous chercgons à nous introduire ensemblke (2) vers là-bas ! cette zone auxcx clartés ! cette zone franche de fin fond des temps, cette douce ouverture vocale , bruyante (?), qui nous interpelle , que dit -elle hormis le sempiternel essai de captation , que nous raconte-t-elle que nnbous entendons ? elle (la mort indicible) nous dit : va
venir ! va à moi venir , toi ! va toi à venir moi ! dans une sorte là de charabia venu de la rooche, nous sommes qui l’entendons, nous entendons ici cette roche dure, ce sens de la marche en elle, cette voix de rude rochge des temps alloués, ce sens précis d’une voix disant, cette invitation nominale, cette chose en roche vocale, roche et choses vgocales, etc, nous écoutons, nous sommes tout ouïe, nous aimons cette zone franche des embruns, nous so:mmes au fin fond du fond du fond du fond du fond du fond du fond du fond du fond du fond du fond de la roche du temps, en cette zone franche de lza voix céleste d’outre-roche, cette zone aux paroles sensées, nominalement adressées, qui va et qui vient en cette roche des embruns, cette chose rude, ce tra vail de voix de roche, etc, nous sommes en cette roche rude comme en une nasse de toute première extraction, pareille paroi a pour nous ce sens, ce sens inné : il est pour nous cette chgose ici d’une sorte de paroi de roche rude (dure) qui nous «tend les bras» comme de juste, sage-femme à la naissance ? rudoiement mortel ? colère ? corsage ? nous ne xsavons pas ! nous cherchgons issue de concert, à même cette rocghe ici de paroi, à m^$eme les betes de rage gravées par x ou y, homme des cavernes, chenapan-chasseur, homme de lma roche dure première, homme du temps calciné, baton de bois, nous cherchgons ensembkle des issues à même la roche, nous voulons comp^rendre enwsembkle les données du temps, les soubresauts, les époques temporelles, les circuyits, les vents de face et autres intemppéries etcx, nous sommes deux qui chercgons à comprendre, en profondeur, les données cde base qui ici président à cette sorte d'envolée de roche dure, aux betes de voix, aux betes-force de paroi, ces betes de rage xdure, ce serment, nous disons que nous aimons la roche dure, nous aimons la roche dure, bnous disons que nous aimons la roche dure, nous aimopns la belle roche dure, rude, rugueuse, nous aimo,ns en cette roche la bete gravée, l’ornement fatal, le mot de lma fin (eyt de la faim ?), cette en,geance frontale, déploiement du bout des temps, enfermement intrarocheux, déplissement, ornement, danger, prise de parole ingrate, etc, nouys disons que nous voulons savoir la chose, ce qu’elle est pour nous, ce ravin, cette chose ouvertte, ce pâssage, ce torreznt, cet enclavement, cette oraison de roche rude, ce passdé, ceyte voix de la chose, ce passé révolu en soi etc, ce qui est en nous qui perdure est comme déposé sur rochge du temps en, guise de présent, présent alloué à pareille roche, qui (du coup) est ce présent dit « de la roche du temps», etc, nous nous tenons prêtes, nous sommes deux,nous nous tenons par lma main, nous nous enlaçon,s, nouis copulons, nbous faisons des choses, nous sommes unis en ette rocghe des embruns votifs, nous aimons la roche dure, son allant de roche rude, etc, nous sommes deux qui nbous aimons en cette roche des embruns natifs, nous aimons cette drôle de roche dure, nous l’aimons comme une sorte de soeur d’infortune etc, nous sommes en elle comme deux amants
de roche aux tourments, nous nous introduidsons de conserve etfilons en elle fissa , au fin fond du sein des seins de la roche meuble (à graver) des temps impartis : hommes des cavernes (nous sommes) qui vont et qui viennent en cette rochge meuble, prêtes à bo,ndir, ou saillir, etc, nous cherchons une chose, nous cherchgons la chose, la Chose rude, nous cherchons la Chose des choses (rude et dure), etc, nous sommes deux : 2 ! à chercher la chose : deux !
deux ! deux ! deux !
deux + deux = quatre, à chercher ou qui cherchons ! oup nous voilà ! nous cherchons de cvoncert = musicalement, cette chose rude que v oilà devant = ce présent de la roche meuble (ici) pour une sorte de gravure à l’emporte-pièce ! stylet ! nous gravons des betes-mots qyui sont betes de rage -mot ou comment dire ? nous gravons à l’envi des betes de rage qui sont des betes mots (de rage) au complet : zaurochs de paroi, mammouths surnuméraires, ours des cavernes, bouquetins, nouys traçons ces betes de voix de roche, ces paroles d’outre roche de pârois, etc, à main levée, à la rapide, sur place ferme, etc, nous cherchons, nous sommes deux qui cherchons la Chose, nous subissons les embruns mais la chose est là, qu'ensemble noius recherchons ou comment dire ? nous cherchons la voie pour une entrée xde face, vive et primaire, dans le sein des sezins, fissa oup là, etc, nous voulons franchir le rubicon , le saillir ou comment dire ? nous devons comprendre ! nous sommes là qui cherchons à comprendre ce qui est de cette affaire de paroi du monde primal etc, quoi est ce ? nous cherchons la voie d’entrée, d'entrée en matière, la voie d’une entrée à cdeux en matière ! nous voulons comprendre ce qui est en roche, cette face, ce visage pour ainsui dire, cette face à voix de roche, cet appel buccal (lèvres) et pour ce faire noius nous uimmisçons en cette reoche dure comme deux enfants ou deux amants ou deux brigands ou deux chenapans ou deux faons ou deux lascars de roche primaire : dedans ! hop là ! pour la chose d’une sorte de mainmise toute compréhensive ou comment dire ici cvettye chose d’un savoir à acquérir enfant, ou sinon engfant adolezescent ou sinon adolescent adultre ou sinon adulte vieilla rd impotent ou sinon vieilard impotent vieillard mourant voire mort ! nous sommes deux à faire le chemin de roche ensemble, main unies, main en main, main + main sur roche du temps = mains surnuméraires de première, nbous entrons en roche comme en religion, munis, attifés, pris à paertie, chipés ou comment ? car la roche nous encercle et nbous tient prisonniers d’icelle la chienne ! nous ne voulons pas rester prisonnier saleté ! nous parlons comme des charretiers à son adresse ! nous utilisons des mots gras cde première car nous sommes munis d’un langage ggras de première, ni plus ni moins, et ainsi nbous allons en roche vociférant, ou bien nous entrons en roche hurlant, ou criant l’infamie ! nous ne voul;ons pas de cette roche des apprets de roche ! nous cherchons une embardée votive, embardée native votive de première voix, ou comment ? nouxw hurlons n otre misère ! nous ne voulons pas mourir ni passer des caps douloureux de morts successives ! nous sommes ensemble en roche pour ce faire, qui est (de fait) de rester vivant, on l’a dit, nouys ne voulons pas mourir ! nous voulons rester en vie ! nous voulons rester en roche ceux et celles qui comptent (égrenent ?) les betes gravées ! nous ne voulonbs pas lâcher le déco:mpte (le perdre) mais tebnir la cghose crument (véritablement) à m^eme la roche, nous avons à compter (décompter) le (les) temps de paroi de roche dure, on le sait, le temps est un décompte nominal musical, basé sur larépétition (maintenue) des vocables, chatoiement de beauutés racées nominales égrénées sur roche comme des attraits et autres appezaux et autres apprêts figuratifs, nbous zommes en roche pris ainsi comme par la bande, nous sommes insérés ensemble en cette rocghe des attraits de roche, animaux-mots de parois des temps, attrappe-nigauds etc, nous sommùes pris ainsi dans la roche, pris-admis en cette sorte de pâroi du temps qui passe, nous égrenons le chapelet de la roche rude du temps donné (brûlé pour partie) qui est celui de la rocghe du temps (ou des temps) qyui nous sont donnés ou qui nous est donné(le temps) comme une faveur ... des prés parioétaux ? ou comment sinon ? nous avons à dire les choses crument, maids comment ? car les mots nre disent pas tout, nous voulons agir ainsi comme si les mots pouvaient tout dire etc, mais non ... ou oui ? ou quoi ? car nous «voyons» vla roche dezvant nous, embarcation de roche dure, cette emba rcation, cette barque aux amants natifs et autres faons de la première heure, nous voyons cette rocge du temps et nous comprenons la méprise : oui nous donnons à Mort de rage folle ... en elle (paroi), et non nous ne donnons pas , et cela en un même mouvement vital ! nous donnons de nous ce qui meurt ezn vie (en temps de vie) et nous ne donnons pas cde nous ce qui vit encore en ce meme temps (alloué à une vie terrestre) , nous donnons une partie de nous et ce don est le fait pour ainsi dire dxe la vie terrstre allouée par qui on ne sait mais voilà ce qui est ici qui nous est imparti ou quil nous incombe ou nous incomberait de vivre ! nous so:mmes deezux qui cherchons à cvomprendre la Chose, ce travail de roche, cette embardée, cette envolée lyrique (oui ?) qui est roche gravée etc ! nous c herc hons cette chose en rut, ce cri primal, cette secousse, cettte vive envolée de rage pariétale, cette frise, ces betes de voix, ces betes-mots «de ta race de meu» qui nous «tend ses bras» ou tout comme ou quoi d’autre ou comment ? qsui donc nous tend ou tendrait les bras ? qyui pour nous dire ce qui est devant qui nous attend ? qui sait réelmlement cce qui nous attend ? qui sait cetrte chose qui (devant nous) serait postée comme animal volant sur sa branche de buis, etc, nouys ne sa vons pas ! nous voulons savoir la mort ce qu’elle est pour nous , envolée lyrique ? hum ! peut-être pas ! ou si oui qui ou comment ? c’est à dire : si oui , qui est elle ? = qui est elle pour nous : lien de pare,nté , quyi ? nous l’ignorons ! nous ne savons pas quekl est le lien de parenté qui unit la mort (le devant) à cet être de rage en n ous qui renacle et piétine en nbous , etc, cette bete de choix principal, cette bete principale en soi de choix de rage, ou comment dénommer icelle ? la principale ? la chieuse ? la belle romaine ? chandail ? heaume ? grive faute de ? etc, nous ignorons le nom (vrai) de la bete en nous unie à la mort ... mais par quekl lien de parenté unie ? bnous ne savons pas ! nous cherchons
! nous ne lâchons pas le morceau, nous voulons essayer de comprendre, au p^lus ^récis et au plus juste et profond la chose mais ce -,n’est pas simple du tout , c’est même coton à piger ! une dro^le de sinécure que cette sorte d'envolée en ce sein des seins dit «royal» (= pariétal) de roche primùaire (grotte) , nous voulons dès lors comprendre loin en elle, bnous vouylons aller loin en, cette roche des attraits de rochge, oui !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! et ne pas lâcher le morceau ! nous vopulons comprendre les mots entre eux, les raisons, les motifs de roche, les moteurs, les volontés naztives, les vouloirs, les prises de rage parolières (de parole) etc, nous cherchons ensemble ( deux !) à creuser profond les savoirs ! ce que le mot peut ! ce que le mot de roche peut nous révéler si tant est ! mais peut il ? car le mot de roche est un pis-aller (ornemental langagier) qui est ce machin-chgose, d’une roche des parois, qui est ce présent offert ici à la volette ou comment ? oiseau ? priison doré ? pigeon vole ? découverte de première? circuit fermé ? nbous voulons comprendre en ce circuit ce qui est compréhensible, mùais pour ce faire comment faire autrement qu’avec loes mots de ta race mère, mots de rage oprimaire (la rage
) qui vont sur paroi noter leur misère ou quyoi ? nous cherchons à comprendreles don,nées de base de ra ge ou de la rage : qu’est ce que la rage ? qu’est ce que ça que cette rage de paroi ? qui est derrière elle en nous ? la bete ? cette bete en particulier en nous ? et qui donc est la bete «de ta ... rage-mère de meu» ? ou quoi d’autrte ? nous cherchons ici (solenn,ellement) le lien de pare,nté qyui ici unit, en nous, la bete, en nous contenue, à la mort des devants (présents déposés par la bande) de roche du temps , quel est ce lien ? nous chezrchons )àà comprtendre, ou ... faire le liezn alors ? ou comment ? comprendre cette chose, comprendre, ensemble, ce lien (le faire ?)- qui unit la bete en soi (rage-bisque) à la mort des attraits de roche, c’est à dire à la mort aux attraits (de roche dure) c’est à dire à la mort gouleyeuse, rude, qui rudoit, qui ne s’en laisse pas conter outre mesure et cherche en vrai comme à vous extirper coute que coute de pareille vie aux embruns, aéux vagues, aux effluves etc (poltergeist !) car nous sommes deux à penser en nous, à la possibilité ancrée (en nbous mêmes) d’une volonté tenace divine, dee vouloir ++ faire en sorte qu’un lien, pour le coup, puisse etre, qui lie ou lierait l’animùal en nous (celui de la roche : gravé ou dessiné) à elle (icelle beauté comme rudimentaire, de la roche finale : excavation, troud e roche rude) , noys voulons cela comprendre ensemble ici, en roche des temps, nbous le voulons ensemble cxo:mprendre vite fait , c’est à dire à bride abattue et à main levée, comme il se doit en poareille contrée habitée par des cerfsq, chev reuils, etc, cezrvidés des bois et autres sous bois, etc, nous cherchons à nous y retrouver ensemble en roche, parmi tout cet ensemble, de betes rosses (ou pas) qui paissent et ga mbadent paisiblement (ou pas) etc, bnous sommes dee’ux (en nous ?) qyui ardemment cherchons les occurences (les comprendre) et aller en roche ou à aller en roche ainsi attifés (chandails de bure) pour une chasse (intense) aux vérités natives (aux données primaires), aux raisons premières et auttres causes de première instance ! qui fait quoi à l’origine ? qui le sait ? les mots peuvgent
ils nous dire (a pprendre) qyuelque chose qui szerait le
Primordial ? nous voulons co:mprendre loin de ce qui nous anim$e en nous mêmes en tant que tell = le cordial, c’est à dire le cardial (le coeur et son ou ses battements) etc , qui suiis je ? qui je suis ? ou plutot qui on est ? ou qui solmmes nous ? nous ne sqavons pas qui nous sommes ! nbous sommes deux pour une causerie ! nous sommùes deux pour une sorte de parole de roche endiablée (endiableé la roche ou bien la parole , endiablée ? ) , nous voulons comprendre ! endiablée mla roche ? endiablée la parole ? paroi-pariole ? parole-paroi ? qui l’eut cru ? qui dira ? la parole est elle la paroi ? la paroi est elle la parole ? qui parle en paroi ? ? qui est qui ? qui fait quoi en elle (paroi du temps) ? nou vopulopns comprendre ce qyui ici en roche du temps swe trame sous nos yeux, nous ne sommes pas nés de la dezrnière pluie et nous considérons,
à part nous et pour nous , que nous avons le droit d’avoir voix au chapître en tant que tel, nous voulons bnous inscrire dans le temps, et en lui aller loin parmi l'ensemble des betes de somme ou autres betes représentées à même la roche, creuser loin dans le domaine du savoir, des connaissances de vie rupestres, c’est à dire des savoirs premiezrs (ce qui compte»), etc), et pour cela nous nous afficjhons dee concert, main dans la main, sûrs (ou pas ) de nous peu importe car, ce qui comp^te est cette franchise de vcoix c’est à dire plutot cette volonté (native ?) de franchise «à tout crin», cette volonté-engouement de se montreer sous ce jour vif et éclairant etc, comlme quoi nous recherchons coute que coute et pas à pas la Vérité de paroi du temps, cette Vérité grand V, cette enVergure, enVolé, Voilure, Vitesse, cette Vitesse des données naissantes, houp la oup et nous voici sur le carreau, la plaine, terre-mère des embruns, rives de la cxhance (ou pas) d’être secouru à la volette à la naissance dans les bras («de rage») d’icelle sage-femme des parois ! nous cherchons des solutions à même la roche : qui est qui ? qui est uni à qui ? lma bete en soi (en nbous) est elle unie (lié et si oui comment ? ) à ce dieu de la roche rude = la Mort belle (trace) des parois , est ce ain si ? nous cherchons dans tous les sens, nous avons pour nous l’emploi d’une langue allouée qui est l’instrument par lequel bnous tentons l’app^roche, cette chose rude d’une approche ici piquante, pic de roche aux ealentours, etc,
nous vpoulons savoir cette cxhose qui sezrait un lien,; qui serait cette chose-lien, unissant la roche et les mots-bêtes, à ccette Mort de rage sus -nommée, cette Rage grave, cette Rage des attreaits, des traits sur roche meuble (ornementartion) qui est cette Chose rugueuse, ridée, cette chgose rude, etc quyi se pointe là, devant soi, comme un cheval fou
destiné à peut-etre nous emporter au delà de l’audela ou va t en swavoir ! nous voulons essayer de comprendre les données du monde : ce qu’»il est et ce qu’il n’est pas ! nous sommes deux, noys sommes en rage ou cpomment dire ensemble ce que nous serions, ce qu’ensemble nous cserions : une entité ici éduquée ? une sorte d’entité votive de belle tenue toute droite ? chapiteaux ? nous essayons de comprendre , nous ne savons pas ce que nous sommùes, nous voulons compren,dre ce que nous sommes, nous voulons savoir qui est je et qui est nousq ! nous voulons savoir enswemble ezn roche ce qui est, de ce je ici de base rocheuse et (incidemment) de ce nbous, mles tenants et les aboutissants d’iceux , etc, nous voulons comprendre loin car nous avonbs ensemble à comprendre loin car nous sommes de fait ensemble sur une lancée car les mots enn nous (malgré nous pour ainsi dire ) caracolent comme à l’emporté, etc,
nous sommes comme emportyés nous mêmes par le flux
d’une vie cordiale en nous, flux de rage moteur, ou de rage motrice etc, nous sommes «sur des rails» qui ici nous voient aller sur rochge dure, graver des betes-mots unis à la mort (à la vie ? ) , c’est à dire «adressés», c’est à dire «versé»s, ou «tournés» vers la mort, icelle «mùort de meu» etc, car la mort est à insulter on l’a vu ! la mort est oà couvrir d’injures et autres vilenies (autres grossièretés) langagières ! vive la v ie disons nous eh bien disant cela nous
... «touchons» la mort , hé ! car la mort entend très bien la rage vitale et vibrantec en ous qui a llons sur roche (fissa) graver nos mots , et ces motrs disent notte engeance ! notre volon,té de ne pas en découdre et notrte a ttachement à la vie de rage (animalière) en soi , nous ne voulons pas mourir =
«en d’autres termes, nous ne voulons pas mourir «,
etc, car nous ne voulons pas mourir ! nous sommes attachés (pieux, piquets) à la vie ici terresteezre (l’attraction pour le coup nous cloue au piloris) etc, nous ne voulons pas mourir car nous sqommes (ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii) atta chés ( et comment !) à la vie d’attraction terrestre (kles pieds) et voil;à ce qui est, cette chose, d’une sorte... d’«enclouage sur roche», sur piquet, sur paroi, dx’un homme de peu ... de ra ge folle, ou comment ? de peu et de rage ? nous chertchgons ! nous voulons compre,ndre mles données les plus anciennes, les plus élémentaires, les plus natives, etc, nous voulons comprendre kes données de base, ce qui est sur roche qui préside à un ensemble langagier de roche, etc, notre but ultime est de comprendre ici ce lien qui unit cette bete de mots, en soi, oà cette chose hors de soi, présents de ta race primaire, dodécaphonique, qui préside aux destinées du temps, ou présiderait , qsuel est il ? nous cxhgerchon,s des choses de poids = qui pèsent ++ dans la bnalance xdes coinnaissances, les mots peuvent ils nous etres secourables ? ont ils en eux le opouvoir de «dire», ou sinon ... quel pouvoir ? car n ous sommes avidesq de savoirs ! nous voulons savoir ce qUI i est, devant, qui nous attend, ce que cela pourrait bien etre : une chose ? un mot ? une rage ? un cri ? une plainte ? un rut ? c’est à dire cri de rut? une sorte d’embardée vocale princière ? = royauté, qui s’afficherait dans le sang ? comment savoir ? qui est qyui en c ette roche des saavoirs de roche ? nous voulons creuser icelle roche en ses profondeurs ici les plus premières ou sinon où ? nous avons à comprendre ensemvcble un grand nombre de cxghoses rudes concernant la vie, la mort et (pour ainsi dire) ses confluents : où donc pouvoir aller ensemble nous donner la main et comp^rtendre ? quoi faire denos temps de vie alloués ? que dire sur roche «qui le fasse» a ux yeux de cette déité nacrée des embruns ? où aller pour comprendre-pfrendre et emporter-porter la vie en szoi, cette vie de roche temporellme,; ? etc,
nouys voulons essayer de toucher, la Chose du sang dans le ventre, nous voulons essayer en soi de toucher, la chgose d’une sorte de »paroi du monde» ... ventrale ? ou comment ? nous sommes femmes de roche rude, nous portons la mort anoblie, notre but est de toucher le san,g de cettye rocghe des embruns, ces mots de rage nous attirent fort, et nbous font passer, nous font nous placer, etc, nbous sommes femmes-hommes des parois (du monde temporel), nous voulons aller ezn roche rude ainsi outillé de tout cet a rtsenal de mots de ta rage, nbous voulons entrer en roche ensemble : hommùe et femme eznsembnble, en nbous mêmes, un corps premier, une sorte d’entité (bicéphale?) d’entrée en matière, etc, on dira cela ! ou alors on dira ette chose que ou comme quoi nous sommes deux qui ensemble p^
rêchons (sur roche) la parole des tourments, des volontés terrestres ancrées etc, des avancées dans lke domaine des savoirs liés à des données terrestres, etc, nous voulons savoir = nous cherchons = nous creusons = nous prions = nbous parlons sur roche = nous hurlons comme des bêtes de paroi en rut, brame que tu brameras, etc, nous vooulons comp^rendre ensemble les données de base unissant la bete, en soi, à cettre déité, hors de soi (?) , qui serait elle même liée au présent donné sur roche , c’est à dire aucx betes telles que représentés par un ensembvle d’hommes ou femmes ou enfants des cavernes, nous voulons comprendre ces données à l’aune d’une sorte d’ezntité de roche, entité nacrée, qui sezrait de fait cette chose rude d’une sorte de donnée de bnase, grise, forte, chzaleureuse, brusque mais dure, ou comment ? qyui nousq attendrait de pied ferme au devant de nous ! qui est elle ? qui est donc pour nous cette chose ? quoi donc est la mort (en d’autres termes) ? egh bien... la mort est ... la mort est cette chose que .... la mort est une entité : une entité, qui (entité) va sur roche nous trouver : terrain xde rencontrte ! est -ce cela ? hum ! on dira que oui ! on dira que la mort , est une entité native, une sorte de je-hjoie direct, un je direct de hjoie de roche, une sorte de je crois (amen) sur roche du temps = mot-bete de roche première
, on dira ainsi que la mort , est un «je crois» de roche rude (la Vie terrestre») qui njous regarde ou comment ? qui nous interpelle ? on dira cette chose, on xdira que kla mort est voix (Voix lmajuscule) qui hurle son envie de vies, etc, et ce : sur cette roche poréhistoruique d’une sorte d’avant-scène primordiale, on dira que la mort est cet avant sqcène , ou bien cette chose devant soi qyui hurle sa vive colère d’en vouloir à notre vie, ou d’en vouloir attenter , ou comment ? mort de rage, bisque rude, chalezurs !!!!!!ç!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! et pourquoi , pârce que ! car nous sommes neufs ! nous venons de naitre ! un + un + un + un + un + un etc, nous sqommes nombreux, nous ne sqommes pas (rien du tout !) seuls au monde eh non ! nous sommes nombreux, nous devons aller en roche de la sorte : outrant la
mesure ! nous devons forcer barrage, crever les abcès parioétaux d’une sorte de roche den taire, buccale, etc, comment nous exprimer ? car nous souffrons les pierres de la vie terrestre, nous souffrons à qui mieux mieux les douleurs du monde ( «mon dieu !»), et ainsi souffrant nous nous poso,ns en tant qu’abjurateurs et abjuratrices ou purificateurs purificatrices de nous mêmes (dès lors) ou pas cela ? comment alors ? nous s ouffrons les pierrezs de la roche terrestre des temps br^lés, bnous avons à subir ces effets, ses dires, nouys devons ramasser ««««, nous nous devons de «ramasser» ce qui est sur terre en tant que
«désagréments» éventuels etc, cela est , cela ne fait pas de doute; , cela est une vérité de roche tendre et une vérité de roche dure ou brusque ou brutale (à d’autres moments) vcar l a vie terrestre est une sinécure, ou pas (on dit comment ?), qsu’il nous incombe de de voir «passer» c’est un fait, etc, nous sommes deux quiu pour le coup cherchons à nous poser sur roche un temps et là, ensemblke, trouver ou découvrir des vérités de poids qui eussent pu fzaire leur petit effet sur pareille paroi «aux ornements animaliers», nous voulons aller
(en ette roche des temps) au plus loin possible et essayer ensemble de crever l’abcès ou toucher latimbale ou toucher au sang de ta rage, ou toucher la mort de près , etc ! car la vie terrestre est une chose (les embruns) et la vie apres la vie en est une a utre : éclaircie ? donnée vive ? lumières ? éclaircissemùents ? données de base ? persoinnifications ? etc, nous voulons savoir 1 de la mort du temps et 2 de la mort tout court, bnous voulons savoir de la mort, nous en voulons savoir ...
long !
nous voulons savoir long à propos de la mort et ce swavoir ici passe par une sorte d'ornementation lan gagière animalière d’homme ou femme ders cavernes, nous voulons comprendre ce que c’est que cet art de roche , ce qu’il est qu’il représente, ce q’uil dit en termes de don,nées de bnase, etc: la mort est elle une entité ? la mort parle t elle ? la mort parle t elle à travers nous ? la mort nous manbge t elle cde l(‘«’int»ériuer ? la mort a t elle faim ? la mort est elle liée (très liée) à la faim ? loa mort est elle a vide ? la :mo rt est elle un ventre à nourrir ? un ventre ? la mort est elle une pân,se d’animal des prés ? la mort est ellme un antre ? une roche incurvée ? la mort est elle une outre ? la mort est elle une grotte-ventre avide affamée voire assoiffée ? la moprt a t elle faim ? souvent ,? toujours ? jamais ? quand ? lma moprt est ellme affamée de naissa nce ? qui a faim en ous : la mort ? quyi va là ? qui va là surveille sa monture ou pas ? ou comment ? nous voulons comp^rendre loin et beaucoup : la mort est une chose, ou serait, ou comment ? nous voulons comprendre loin et beaucoup à propos de cette mort de roche rude, nous voulons comprendre ensemvble, un grand nombre de données de base concernant la mort, ce qu’elle est, son souhait, ses richesses de paroi,; etc, ce que c’est que ceztte mort dont «on « (qui ?) nous parle incessammment (le tic et le tac de nos coeurs de roche) etc, quoi est qui ou qui est quoi ! car voilà ce qui est ici en roche, ces tracés de betes de poids sont des mots (adressés à des sortes de dieux) incantatoires ou encha,ntés ou enchanteurs ou chanteurs ou à chanter, etc, la chose à ce jour n’eest pas claire à 100 pour cent pour nouqs, nous voulo ns comprndre ensemble ces donné»es de roche animal:ières, ce qu’elle sont tres exactement à c ent pour cent, pour nous, en cette roche dure d’une vie terrestre, etc, nbous voulons creusezr dans le ventre mou, ou coment ? nous avons pour nous cette chzance de pouvoir aller, en roche, incidemment, à deux (main danslma main) et cela aide beaucoup, et l’insertion et l’acclimatation et l’immixtiuon et les effets de roche , etc, nous devons comprendre ici que nous avons à pour le coup nous insérer pour recevoir x (ou y) données vives, nous devons enttrer en roche, ouvrir les yeux en grand, percevoir = écouter finement par l’ensemble de nos attributs, etc, et de cette chose faire une sorte de «condensé langagier», et dessiner dès lors le bouquetin, le bison de lafable, ou bien l’aurochs, l’ours des cavernes, la jumaent, le puma ou la belette, etc, nous voulons co:mprendre ensemble, dans la profo,ndeur de la roche, ce qu’elle est pour nous (à nos yeux et au delà) et pour ce faire il est immportant de nous pzarfaitement positionner en elle (vie de roche), tout bien (au niveau de nos fonctionnements divers corporels) et chercher, chercher à comp^rendre, nous positionner au mieux en santé et cghercher en santé lkes données de roche, celles là qui nous concernent au premier chef, données de roche liées à lma mort, à la mort sur roche, etc, nous cherchons des donn,ées brutes (rudes ?) qui puisse,nt nous mezner au plus lointain possible dans les connaissances, nous fouil:lons tant et plus et ne voulons, en aucune manière, l^$acher prise dansq nos recherches, car nous sa vons (!) quune sorte de semblant de vérité vraie pourraiot nousattendre, ce sezrait parfait ! nous subodorons la c hose ! ou disons que nous espérons , ou comment dire : ...
le langage i,nculqué (en son entier), ten,d à dire («dire» ) la vérité vraie des choses du monde car telle est sa pente, et pourqyoi cela ? pourquyoi donc lme langage humain articulé tend-il à dire (faire ? montrer ? déceler ? détailler ?) la vérité du mon,de : ce quyi est et ce qui n’est pas, etc ... or pas sûr que cette vérité-là (de roche dure) fusse la, c’est à dire la vraie, qu’en xsavons nous ? qui parle en nous ? qui dit quoi en nous qui eut pu nous donner de quoi nous contenter en matière de vérité , qui va pour nous dire ceztte chose ici, roche des attraits, roche musicale, temps adoucis, temps de vie de roche, gravures, nervures, chants et chansons, gravures de betes à l’unisson, nous voulons compre,ndre les données de b ase, cette chose en nous qui ressort, peut etre, de l’apprentissaghe d’june langue (cvhacun la siennn,e sezlon les tribus , leur différe,nce), nous p)enso,ns que ccete cgose de la mort en roche est une sorte d’entité «sacrée» ,
qui résiste, qui tient tous les chocs et ne s’en laisse pas conter au fond si facilement, ou ne se laisse pas intimider par n’importe qui ou quoi , nous pensons cette chose comme quoi «la mort nous regarde» (d’yeux !) et nous reluquent même ! soit de pied en cap = de la tete aux pieds ! nous pensons que d’’yeux = dieu, ou l’inverse : dieu = «d»yeux», car, nous savons cvette cghose en nous, ou sur nous, d’un regard intègre, intègre et total (qui voit tout objectivement), qui serait celui ... de la roche du temps, qyui serait cel:ui ... d’une sortye de roche des temps alloués, nouys voulons com^rendre ensemvlble le plus de données possible et aller en roche (fissa) xdan,s le sang (sas ?) dit ici «de la Rochedes Temps», nous fouillons (ensemble) dans les profondeurs de la roche, nous avons en n ous ce désir et cette volonté, de tomber sur une chose noble,; racée, intègre , vive, complète, qui serait la vérité vraie telle que nous nous en rêvons depuis toujours (les apprentisssages !) etc, noys espérons de mpouvoir un hjour , trouver ce qui est, en termesz de vérités de type la,ngagières animalières, et pour ce faire nous gravons à qui mieux mùieux ces betes de roche, ces betes-mots des roches dews temps, ces betes de paroi ornées, etc, nous pensons qUe les mots sont des instruments de connaissances primùaires, à savoir que’ils sont à mêmes de creuser la roche et de dessiner l’aurochs ou lze cxheval, le bison ou l’ours des cavernes mais qUOI d’autre ? peuvent ils dire ce qui est ? peuvent ils dire et nommer (la mort ?) ? peuvent ils nous informer sur roche ? ils caracolent (depûis toujours) dans le sens de la (pour ainsi dire) «vérité des chgoses», qu’elles que soient ces cdernières, etc, les mots =voie d’abord de la mort, on l’a compriws ! les mots sont vecteurs, les mots s’inter posent et montreent leur savoir rocheux, nous voulons comprendre, les choses du monde, ce qU’elles sont en vérité (§=en majesté») mais non point (de fait) comme des entités de roche, mais comme desq mots qui szeraient sen sés et diraie,nt sa chose crument ! comment faire ?
les mots-betes ont le pouvoir, d»’’endiguer la vague perlière princière, c’est un fait !
les mots de ta rage fde vivre, sont mots sensésc, mis en branle et qui caracol:ent sur reoche à la manière des petits chevaux de la plaine, des ezmbruns, des coteaux et des avancée de terre, nouys pouyvons a ller en roche loin en ménagheant un tant soit peu nos accabits livresques, nos savoirs de déposition, ou même nos savoirs induits comme par mla bande ici pariétale aux betyes de taille, ,nous voulons creuse r la roche dans kla profondeur et percer , un v$certain nombre de mystères , de secrets, etc, nous voulons comprendre ensemble, nous voulons creuser ensezmble les wse crets, nous voulons ensemble (qui ensembvle ?) creuser, qui ensemblke sommes nous ? qui est en nous ? qui parle au nom de nousq ? qui est nousq ? qui sommes nous ou qui est nous ? qui suis je dansq la vallée, ici, aux betes des prés ? qui va là sur rochge et grave grave ? qui pour nousexpliquer, nous comprendre, chapeauter et donner l’élan, , car nous sommes lancés commme des fusées ! nous sommes dans la vie comme lancés, et comment compfrendre en cours de routee les donn,ées de base (lancement) ou données de sourc e ? comment faire pour comp^rendre icelles ?avec desx mots-betes ? mots de roche rude ? mots de base natifs comme de juste : cri primal ? squi suis je ici qui pousse une plainte : un e bete ? je suis une bete ! je suis aurochs ! je suis cet aurochs ! je suis ho:mme-aurochs ! je suis homme)-femme de la roche, je porte et me déporte ! je suis hommùe des embruns de roche et je vais en roche à la recghezrche d’une vérioté qui eut pu comme plomber sur roche (balance) et nous placer en bonne position d’une sorte d’acquisition ou pour une sorte d’acquisition-mainmise (etc) de sacvoirs, ou xsur des sa voirs ! je suis un animal de roche , mon nom est antédiluvien,, je parle une langue animalière (je dessine et crie guttural), je suis homme de la hjoie du je de rochge rude et du nous animalier, nous = je + je , qui forment ezntité animaloière prénommée, bnous voul:ons comp^rendre en,semble les données du monde , nous voul:ons ensemble creuser dansla roche et dessi ner la b ete forte (fauve) qui impacte ou puisse impâcter grave la mort, etc,; nous ne faisons pas dans la cdentelle,; nous disons haut et fort nos choses,; nous parlons à tue tete, ou bien nous parlons haut (très) nos dires de roche = inca ntations à la mode aurignacienne, etc, cris de betes au fonds des bois, charges votives, tralala de roche musicale, temps offerts sur roche par la bande ! je = nous , nous = je, je = ce nous de contrechannce, ou de contrechien, ou de contrechant ? nous disons nous «musicalzment», heu, le comprenez vous ? une question de tempsq ! de temp)s imparti et de temps brûlé comme des calories;, etc ! nous voulons comprtendre ensemble les données de base, concernant
la vie en nous (les betes)
et
la mort devant soi
(prése,nnts déposés pour cela = comprendre)
qui est cette chose de roche du temps, chose rude et dure, qu’il nous est donnée d’avoir à tracer ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochjs ! aurochjs ! aurochs ! aurocxhjs ! aurochjs ! aurocxhs ! aurochjs ! aurochs ! aurochs ! nous traçons des betes de roche, je-nous sommes deshommes et femmes preéhistoriques , je nous allons en cette profondeur de la roche dure, nous devons comprrendre cela ainsi que nous le faisons = à la lumière d’un soleil cde plomb qui chapeaute les rives du tempsq, etc, nous tentons diverses approches, que est donc la mort en roche ? ou comment dire : «mort de rage» ? «mort dure», qui sait ?. comment est «habillée « la mort ? comment se tient elle en société ? qui est-elle en vérité ? la vérité est cela que le langage articulé trimballe à part lui pour des découvertes à faire, levées dxe lièvres, chants de roche avccompâgnateurs de pareille recgezrches, etc, les hommes et femmes des cavernes «savent» : ils et elles «savent» ce qu’est en vrai la mort en roche, c’est à dire qu’ils et elles ont cet accès direct (ou pas loin) à pareille entité sa creée , nous xcherchons pareille entité da,ns le langa ge articulé, nousq savo,ns cette chose comme quoi le langa ge xde l’homme et de la femme (la langue articulée) est le vecteur de passe, le train etc, nous disons que la ngahge = train de vie wsensée, etc, nous vou:lons essa yer de comp^rendre ce que c’est quye cette c hosqe d’une «langue de roche» (pa rlée ?) qui eut pu nous donnerr des nouvslles de poids, concernant ladite vérité de roche, nous creusons kla roche a u pic de verbe (buccal) ench assé ezn nous comme u,ne épine (sortant de trou-bouche de rage) et pour ce faire , nous donnons le nomm, ce nom de roche, c’est à dfire ... le mien ! car mon nom est un nom d’emprunt, fausseté allouée pour faire accroire, mot vif de roche = vivant,
vivats au nom ! ou pour le nom !
nous voulons comprendre les choses du monde !
nous voulons aller loin xdans le domaine des compréyhhensions, des comprehensions souterraines, ce qu’elles sqont au juste et que xdisent-elles du monde tel qu il nous apparait et tel qu’il s’offre à notre gouverne , nous ne savons pas, nous avons espoir en nous d’un jour pouvoir savoir, etc, nous sommes deux en nous , nous sommes cdeux en n otre entité c a valière, nous voulons creuser lma roche et figurer la bete en nous, cettye bete ici unie aux dires (mùonstrueux) de la mort à l ‘oeuvre, qui donc eswt la mort ? la mort = entité = monstruosité = monstre = richessse de roche = dessins = gravvures de betes de poids ou de masse, rhinocéros ; mammouths , et autres bovidés à la pâtte l;ourde ! nous sommes deux , nous snous avançons de concert, nous sommes deux qui cherchon s en roche, je ne suis pas seul , je ne suis pas seul en moi, je est un autre je, je est doub lé, je subiss des choses de rochge, des en,vois, des cris, des donnéews, je ne suis pas wseul en moi même ! jhe subis les affres d’un e bezte en moi, qui rugit, qui est rageuse, qui hurle ezt pousse son cri de douleur, je suis je + je ca r je suis doublmé pa r un autre je que le mien, et ce je apparetienjt à une sortye d’animal surnuméraire en moi, bete des cieux comme a:loués, des chants de roche rudes, betes en moi des parois ici préhistoriques, nous entrons en roche comme en religion, nous voulons comprtendre les données du monde terrestre , les données qui président à une embardée à la une à la cdeux en cette roche rude des gropttes des tempsq, animùaux de gravures et de dessins faits à mqain lev&ée, nbous aimons la roche du temps, la mort est une entité, l’animal sur rocbhe est un mot sensé, nous voulons cxo nserv er la vie,, la v ie nous est chère, nous ne voulons pas perdre la vie, n ous voulons con,server lavie et ne pâs sombrer, nous voulons rester dans le sa s, njous ne voulons pas sortyir du sas, nous voulons parler à lma mort et lui dire (montrer) notre col;ère et notre dégout et aussi notre peur et aussi en nous cette joie d’un xdire alloué à cette vie de bouche langagière, bouche aux betes de joie, bouyche dont des b etes sortent ou d’où sorteznt x betes de parois ,; qui (dès lors qu’elles «naissent») vont à se ficher illico presto sur cette rocghe des tourmentsq, des présents déposés, des offran des a llouées, des prix de beauté , etc, nousq voulons comprendxre ensemble ce qujk est en roche destemps pour notre gouverne = ce <qui nous attend de pied ferme et à bras ouvertqs (?) qui serait La Mort = cette Chose rude (rugeuse, rude) d’un endroit de roche alloué à une vie n ommée = désignée, nous creusons à même la roche une bete, cvette bete est un mot, ce mot est un mot de trop = chose par défaut, chose incontournab le, chose du devant (de soi ) rugueux, pa roi des mots de roche, tete dure, etc, nbous pa rlons cette langue de parois du mo nde et cettye langue = un patois local, localisé , etc, facile à compren,dre entre soi mais difficile pour des étrangersq, nous sqommes ,nés du feu de la roche, accoudés tous, et tous apprenant de nos parents de roche, lalangue co:mmune , en petit co=mité dèsq lors (tous et toutes) :
patois buccal guttural,
homme-femme des c avern es d’un apprentissage et dans appp^re,ntissage il y a tissage, enveloppemnent pariétal, couvade, couverture-enfilade, etc : fil ! le fil de la roche ! le fil du temps ! le fil du bois ! le fil de la roche filante ! etc ! nbous cgherchons ensemble (nous) à comprendre (vif) c e qui est en roche (dure) qui setrame (fort) pour une sorte de peuplade nôtre (gens) qui serait la peeuplade des parois du monde, nous tapons la tete contre la parloi ! nous voulons travezrsezr icelle (mots) dxe notre pic de rocxhe attitré, et c’est ainsi que nous piquons cettye roche des temps à l’aide d’un pic ... de vezrbe attitré ! mots de roche rude, engouement verbal, titre ! titrages ! nous perçon,s ! nous so:mmes passés de l’autre côté , nous avons franchi le cap du cap, bnous voulons travezrswer la roche vivement et nous retrouver sur paroi du monde, co:mme le nouveau-né de la crèche : qui es tu homme des bois ? jhe suis un chevreuil ! où vas tu homme des bois ? je vais à confesse me ressourcer ! qui as tu comme cxonfident ? jai l’homme en tant que confident ! homme des cav ernes connais tu les vents ? je conn,ais les vents ! es tu un homme ou u,e femme homme des cavern es ?. je suis un e faon,; je cherche à parler la langue des prés, je sautille sur mes pattes, dans le champ fleuri de la roche, je suiis une bete fauve, mot de tete,, trala la sur une roche, faite dx’harmonies, de séquences, de pa rades, de développêmentsq musicaux anc estraux, car ici (en roche) la musique est belle, est beauté animalière, est tracés de betes -cavalcades, est cet attirail de roche guerrier, attirail guerrier de roche dure (rude) pour la vie, nous sommes des ho:mmes et femmes des cavernes, je suis hommùe-)femmùe alloué à une roche, je suis l’hommùe de cette caverne et aussi la femme de cette même caverne aux chants patiétaux, je suis ho=mme vif, homme du temps déposé, je suis femme au sang versé, je pleure le sang, je suis homme des temps br^lés, je suis fgemme des tourments de ra ge, je suis ho=mme des mots de ra ge, je suis femme du versant nnacré de la roche := firmaments, je suis homme du pasdage et du repassage (point de plis wsur mon devbant de bure !), je suis femme chine, femme entropie, femme-femmelle;$, femme rudoiemen,t et même rudoiment de type cavalier (envers la mort à l’oeuvre et auutres tourments), je suis hjomme depeu de foi, je suiis femme des tributs, je suis homme du cheval de roche (c’est moi !), je suis lafemme aux septs couteaux, je sui s l’homme du chandail, je suis vfemme a ux belles envolées de roche : lévitation !!!!!!!!!!!!!!!!ç!ç!ç!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!è!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! et me voilà haut qui surplombe ! je suisq femme)-homme du surpl;omb, haut-haute qui parle ou crie ! haute femmùe dans le ciel de pareille grotte, haut homme pour une immixtion conjuguée ! qui est l’homme en l’homme ? qui est l’homme en elle -femme de paroi ? qui va là en roche en lui ? qui est qui ? je suiis bete de paroi, homme bete de rage dure,,;, femme betye en moi même, rudesse, trouble dans le genre ou califourchon ! je vais et ,je viens ezn cette roche des embruns nacrés (bleutés) qui va et vire ! je ne veux certes pas mourir ducon ! l’entends tu La Mort ! entends tu mon chaghrin scénique ? es tu au parfum ? je ne veux pas ! JE / NE / VEUX / PAD ! pas plus «con» que cça à dire vrai ! je suis l’homme de la femme = l’heaume! et la femme de l’homme = la fame ! pas mplus «con « que cça et le tour est joué , je suis homme-femme des embruns de roche , au p;lus profond d’icelle, et je pl;onge, tete première, dans le veznt ! je suis un homme de la préhistoire, mon nom ne vous dira rien qui d’ailleurs se perd (est perdxu) dans les limbes du temps pariétal, je vais et je viens sur roche (ou en roche) en lévitation et ce, afin des tracer des betyes-mots qui chacun (chacune) représentent tellle ou telle bete-effigie de base en particulier, pour moi = le cheval, ou bien le bovin, etc, je suis u,n homme feu, qui brû:le sarage mobile au fur et à :=mesure de son avancée en pareille roche du temps, il s’agit de choses fuga ces, non essentielles, non vitales pour ainsi dire, car le temps pazssé (brûlé comme des calories) n’eswt pas la chose vitale (en soi) c’rst à xdire l’influx direct, à la source, cardial, etc, non ! et voil:à pourquoi la mort «nous en veut « = veut contre nous, «njous en veut» = nous regarde cd’un,sale oeil , etc ! la mort = entité (buc cale) d’accès, qyui est devant soi comme une ouverture (borgne ?) de première : fissa, la donzelle ou le donzeau, vas-y voir à la comp^frendre sans mourir de base , impoosible ! nous c
herchons issue de secours, bnous cherchon,s issue rageuse, nous voulons comprtendre les données les plus subtiles co,nc ernant les choses du monde, et ici créer cette base de données à) pouvoir consulter incidemment les uns et les autres à notre guyise, bnous nous immisçons profonsd, nous cherchons profond, nous fouillons profonsd, nous v oulons profons aller loin, en cvette rocghe dezsq donné&ezsw du monde (rrepréswentations animalières pour la bonne cause ) : nous fouillons la roche menu ! nous voulons savoir les raisons, qui font que nous parlons (en chemin) un langage dit de vérité «, ou « V», qui est un la,nga ge perpétuellmement à la recgherche dela vérité, incluse, masquée ou cachée, qui reste (perpétuellement , à découvrir, à dénicher, etc : nous cherchons en permanence (‘?) à dénicher, ce qui fait que leverbe buccal est verbe dit «de vérité « c’est à dire dont la vérité est le souci majeur (non tout à fait entier mais majeur),etc, bnous voulons co:mprendre une chose, cette cxhose comme quoi, le langage articulé est betes-mots ou fait de betes mots qui tous (au nom de tous) sont recherc hes de vérités bvraiEs, etc, les motsq-betes sont des ezffigies-vérités, nbous voulons savoir le vrai du faux et ce vou;loir-savoir est cet usage pour le coup des :mots tel que l’avons, à notre naissance, intégré, et qu’il nous wserait à présent impossible de désapre,ndxre en nous, si tant est que nous eussions voulu nous en débarrasser de fond en co=mble, les mots sont perpétuellement sur ce penchant (infini) d’une recherche (in hérente) dxe la vérité des choses, avec à-côtés mensongersq qui eux sont le penda nt vital, et neséxssaire, ou nécessaire, de la vérité, car la vérité, pour bien s’affichzer véritzé, a besoin de l’à-peu-près lan gagier à ses côtés,
la bête-mot est une donnée de base,
la bête-mot est donnée de base, rudiment, les mots sont des animaux qui cherchent à p
ercer 1 la bouche (la joue nôtre) , puis , 2, la roche et ses sources de vies pariétal:es, sesq betes des champs, ses chants mélodieux (incantations rupestres facétieuswe ? ) , nous voulons comprendre, nbous voulons (ensemble) nous y retrouver en termes de vocables dits « de vérité»,; bnous cxherchons, honn^tement, sérieusement, fortement les mots qui seraient ceux-là qui sauraient nous dire la vraie vérité concernant de fait la Chose du temps, nous nous appliquons à comprfendre, nous voulons compre dre, nous voulons comprendre la Chose, nous voulons savoir et co:mprendre les données du monde : qui est qui en cvette roche ! qui suis je (moi-même) en cette rocxhe ? qui je suis en cette roche : bete ? qui suis je en pareille roche «aux embru,ns» : bete ? qui est qui en cette r(ocxhe pariétale : un amant ? suis je ... le vent dans les branches ? suis je un je du nous commun de latribu des hommes femmes dupliqués ? suis je un homme des cavernes caverneuses ? nous disons je et nous à l’emporte pièce de roche = gravures sur le tas meuble ! nous disons que nous voulons savoir et comprendre et toucher et trouver et percer des mondes : qui est qui sur roche , suis je l’animal dressé ? suis je une entité monacale ? suis je un je de roche allouée ? suis je l’oiseau qui va
wse nicher dans la roche (nidation-i
mixtion de roche) ? suiis je une bete de paroi ? cet aurochs gravé ? ou bien l’homme des cavernes surdimensionné , cet homme oiseau , homme oiseau d'envergure, se levant et s’envolant et entrant, la tete la première, dans la roche (dure) dxes temps impartis à une vie terrestre ? je regarde devant, la paroi est meuble, dès lors je m’immisce, je suis immiscé, je suis da ns la roche comme un coq en pate, a:loué à ceztte rocxhe des présents soit des offrandes, des dons offertts à des divinités frontales, bouches ouvertes, becs, becs de vie, becs, becs de rage surnuméraires, becs d’envie de vies, becs de belle raghe , chants d’oiseaux menus, fins, vifs, drôles, vigoureux, becs
2/7/2021
nous sommes touchés, nous sommes vuuss, nous nree sommes pas dupes de cette chose, nouys voyons loin au fin fond de la roche du temps : les embruns, les tourments, la peine, la mort qui nous attend pour ainsi dire de pied ferme la coquine, nous savons cela, nous ne l’oublions pas, nous savons cette chose dure au fin fond de la roche, nous la connaissons, son nom est un nom de roche dure, son nom est nom de roche allouée à une mesure ici de circonstance, celle de nouys voir meurtris, touchés, bientôt anéantis comme par la bande, alors que faire qui pour nous soit salutaire et puisse nous offrir de quoi nous en remmetre, et, du coup, nous échapper d’icelle, icelle «à nos basques», ou comment dire ? que donc dire ici «qui puisse le faire « ? car la vie est là, sur la lande (aurochs, bisons, chevauc$x, chevreuils) , nous le voyons, nous disons «la vie» pour le dire vite et c’est zainsi que nous devons nous excuser ensemble (soudés, main dans la main) afin de monttrer patte blanche, et nous tirer d’affaire au mieux, si tant est que ce fut possible, une fois (de plus) n’est pas coutume ou oui ? nous disons que nous devons bnous échapper (ensemble) de la roche au plus vite et aussi, sauver de nous ce quyi peut l’etre, quoi ? l’animal en nous endormi (endormi ?), cette bête de choix enfouie , cette bête rosse, grave, soudaine, forte, folle car affolée par la bande (pariétale) des temps remués, etc, nous portons en nous cette bete de circonstance, elle ne demande qu’ à sortir de nous, elle en impose fiichtrement à la parade et se montre dûment dessinée ;ou gravée sur roche comme à demeure, elle est «belle bête» de parade, oui , «belle bête» de cavalcade, aussi, elle meuble ! elle est belle ezt dure à l’effort, elle vibre, elle semble être en vie, c’est rare ! c’est notoire ! nous disons la vie pour dire ce semblant de vie et nous crions gare ! que dire ? nous disons «la vie» quaznd la vie en vrai est absente, oh la belle farce nous dirons ! que dire ? nous passons en roche le temps de ce dire, de ce dire fou, grave et tracé, nous disons que nous sommes ainsi, fous et folles comme à notre tour d’agir de la sorte, soit de nous prononcer de la sorte sur roche car la vie demandée, est tout autre en vérité, il s’agit de notree vie de coeur, celle là qui frappe la chamade en nous et ne s’en laisse pas conter = ce tic tac (de roche) appuyé, cette bizarreté corporéifiée, ou comlment signifier pareille allégrresses ? nous disons que nous sommes deux, à chercher la voie pour une entrée dans la matière des embruns célestes, où sont ils ? que veulent ils nous dire ? où sont les embruns ? nous cherchgons ensemble (à deux) de tous les côtés, ici et là en roche, aux quatre coins, sous le sable, près des côtes, en bord de mer, dans les coquilleages etc, et rien qui fasse l’affaire à nos yeux , nous voulons comprendre et découvrir le pot aux roses de la vie faussée, fausse vie plutot pour une offrande à déposer tantot, au pied de la roche = dans le temps, bnotre langage de charretier, les betes massives, les ++++ de roche dure, etc, nbous savons à présent nous y prendre, nous sommes rodés à pareille enge gence (enfance ?) , nous disons que nouis sommes rodés à pareille engeance ! nous disons que nous devinons, nous disons aussi que nous savons certaines choses de la vie et de la mort, le temps est là pour nous permettree une déposition en bonne et due forme, cette forme des embruns de bord de mer, cette chose rosse, ces aurochs de plage, ces mots tous attribués sur paroi dure, ces phrase prononcées comme à la cantonade, en lévitation, doucereuse, belle et donnée comme des sortes de bons points à frapper en rythme, ou au ryhtrme des incantations hurlées, etc, nouys offrons du plus de roche, ce plus de vie brute, augmentée, calcinée, en,core brûklante, nous voulons ensemble offrir une vie ... qui le fasse ... à Mort- de-Roche-la, etc... qui nous regharde, qui ne cesse de nous regarder , comprend elle le subterfuge ? voit elle vraiment les tenants et les aboutissants de la ma scarade ? voit elle ce qu il en retourne ? a t elle les yeux en face des trous ? les yeux bien en face, la mort ? car squoi ? eklle est où ? elle voit quoi ? quoi elle voit ? la mort elle voit quoi ? a t elle déjà assez d’yeux pour voir ? de quoi est-elle munie en la matière ? je ne sais pas , je ne wsais pas de quoi la mort est ou serait munie, j’ignore la chose, mon nom est caché sous la roche, je ne vois que dalle, je ne sais que dire, mon nom est un nom d’emprunt donné par la bande, quioi voit elle je l’ignore, de quoi est elle munie en matière d’yeux je l’ignore aussi, je ne sais que dire sur la chose et m’en repend ! mille fois pardons ! mille mesures de pardon toutes de mon côté ! car la vie donnée sur roche est une mise en scène de première ! je le sais ! je sais que la chose est, je sais pertinnement que cette chose de la mascarade aura un temps (le Temps) qyui ne fera (certes pas) l’affaire longtemps, je sais cette chose, je sais pertinnement que ce succédané de roche (dépôséeé) aura son temps, un temps donné, étroit
ou allongé mais non infini, et ce temps déposé ou comment, sera ce temps qui est le temps de roche dure pour la vie vécue, mais ici non point la vie dans ce qu’ellez a de plus intime en elle en matière (mécanique) de fonctionnement (on l’a vu) alors comment faire ? faire comme si nous ne savions pas ? faire comme si nous étions naïfs et naïves et ne savions pas ke fin mot de toute cette affaire ? faire comme si nous étions idiots et idoiotes (le sommes-nous ?) ? ou quoi d’autre en définitive ?
nous devons graver des bêtes, sur roche, à l’envi (en hurlant notre misère cvonstitutionnelle) et, ainsi fait, nous devons parler , le lmangage des pierres, des czilloux des plaines, des roches endurcies etc, nous devons »entrer dans la matière» de la roche rude, du dur de la roche de grotte, du plus en plus dur de la roche rude des temps alloués, car la vie est «brève», ne s’en laisse pas rzaconter des sornettes, aura son temps qui finira, sombrera dans les bartas, ne remontera pas la pente, nous souillera, nous enfoncera dans la nasse (les sables mouvants) de laquelle nous ne sortirons pas, car, nous sezrons piégés, pris d’assaut, emberlificotés comme des benêtzs, etc, nous savons que cette chose est (sera) qui nous attend (ici) de pied ferme on l’a dit, et comment donc dès lors se tirer d’affaire ? oublie ! pas possible ! ou comment ? en postant son nom sur roche du temps ? pis-aller de première on le sait ! en donnant du «gnou» par la bande , gnou ou autres bêtes rosse et forte ? que dire ? nous cherchons avidement, assurémment, sérieusement, confraterlellement, carrtément, soudainement, fraternellement, vivement à deux cette chose, eyt comment s’y prendre pour sauver les meuvbles, d’une vie de roche dure (et ce depuis le premier jhour ) ? nous avons nbotre petite idée mais il n’est pas sûr qu’elle soit opérante à cent pour cent, et cette idée (notre) est celle ci : comme quoi, nous pouvosns peut être nous tirer d’affaire ... en priant, ouh la oui, ou non, ou peutêtre, on voit cette chose sur roche qui se note ainsi en forme cde betes, betes à cornes, à bois, betes grosses etc, nous disons «peutetre la prière», nbous disons «peut être certains mots de roche «, etc, l’aurochs essentiellement ? nous dessinons des mots de betes sur paroi comme des hommes et femmes des cavernes,
ces mots ... nous regardent d’un air de deux airs ! ils sont mobiles, ils chargent leur pesant de vie ... de vie à la manque ! nous chargeaons ainsi (de misère ?) notre poids de rage et espérons pouvoir ainsi nous en tirer à moindre frais, nous verrons bien, nous nous agitons dans la roche, nous pleurons, nous implorons disons, nbous ne voulons pas passer l’arme à gauche, nous sommes touchgés par la bande, bnouds nous enfermons dans cette roche des tourments et comment faire pour nous en sortir, nous en délivrer ? nous disons que nous devons nous en sortir, nous disons que nous devons nous en délibvrer , nous disons que nous devons chasssercles mauvais esprits de la roche du temps, mais comment chasser ? chassons les esprits néfastes, chassons-les d’un revers de mùanche , chassons la mauvaisetyé pariétale , oublions ces données de race mortelle, ces rapines, ces regards de coin, ces ombres portées, ces mots de rage à notre encontre ! portons nousailleurs en cette lande co-existentieklle ! allons loin aillleurs nous porter fissqa et ne donnons pâs de notre vie vraie, gardons laz pour nous, essayons de résisqter aux appels du pied de Dame-la-Mort-la, etc... qui nousregartde ! ou sieur dit «de la Mort en Branche, etc. «, qui nous regarde tout autzant ! elle ou lui , ou bien :
elle ET lui ?
ah peut-être ! deux pour une entrée en roche de première ? la mort serait double ou comment ? nous disons la mort, nous disons LA, soit ce la musical d’une roche dure, bnous disons ce la en langue de papa, nous disons ce la de roche ancrée, nous disons un la pour lma mort de face et pourquoi ce la ? pour quelles raisons ? pour quoi la et pas le ? conventions ? que dire, de ce la qui tremble ? que penser, de ce la qui treemble devant soi et nous interpelle ? oh, mais pourquoi «la» et pas «le» , quand même ? nbous disons que nous devons comprendre ensembkle des données de roche dure, nous devons ensembkle comme, pour ainsi dire, aller à confesse, en roche des temps impartis , troubler les embruns et nous donner (corps entier ?) sur roche comme des benets de la lande aeréée ? comment donc faire ainsi que nbous puissions comprtendre les données ? la (le) mort de nous a en nous les clés pour un dire de moitié ! ce dire est dire mi ! ce dire mi est un dire ... mi cheval, mi âme ! nous voulons comprendrec (cette chose) et comment nous y prendre eh bien, on va dire que c’est enfantin = un jeu d’enfant : une sorte de don = don de soi, qui n’en est pas tout à fait un en vérité, d’où la confession (postérieure) à jamais (du temps où nous sommes en vie) et l’effeervescence associée (chants paiens de la roche rude) etc, nous essayons de clarifier ensemble les données de roche et de nous y retrouver si possible en entier, etc,
nbous diso,ns que nous sommes deux ici pour une gouverne (instrumentalisée) par la bande des temps alloués, nous ne so:mmes certes pas xseuls et seules au monde, nous prenons pour ainsi dire les à -coups comme les autres en pleine bouille la plupart du temps, de ce temps des choses du Temps, etc, et cela, pour nous, est une sinécure de première, charge pariétale (onguent christique ? ) nous le déplorons, nbous sommes 2, 2 pour la pârade ! ce 2, est le chiffre pair «de ma race» comme on dit « de ta race», etc, nous voulons savoir ! nous sommes pour le coup sur une sorte de qui -vive pariétal de roche dure, et ainsi, nous reghardons passer les betes, ou (ici) ce train de bêtes rosses (qui nous mate du coin de l’oeil), nous voulons comp^rendre les données de la roche du tempsallouée à notre vie de base non durable etc, comment comprendre , où se loger , où seposer, où seplacver, où se mettre ? où donc trouver à se loger en roche pour comprendre les données de base ? confession ! confessuion en catimini ! nous cherchons des solutuionsdans lma parole ici, ce flux sanguin de roche annoblie, cette épée dans la roche rude, ce tremblé perclus etc, nous cherchons des mots-betes sur paroi des temps et ces mots sont des animaux autant que des tourments ou commùent ? nous devons comprendre les données franches , creuser (de son nom) la roche (une peccadille !) et forcer le ton, force que tu forceras le ton d’un ensemble votif ! cherche à cran ! cherche fort ! crie ! catapulte tes données de bbase ! vas y mon petit , etc! nous savons ce qui est, nous savons ce que la vie est, en ous (cette chose batttante) et aussi, nous savons ce que nous offrons (ce que c’est) , nous savons des chgoses, nous ne savons pas rien, nous disons des choses , nous ne disons pas rien, nous ne savons pas nous taire , là où le bât blesse ! nous ne savons pas nous taire et c’est là très eactement où le b
ât blessse, nous ne savons pas (hélas) nous taire ensembvke , et c’est (pour ainsi dire) un problème de choix, ou comment ? car la vie nous pousse à devoir nous sauver de la mort cvontinuellement et pour ce faire nous pleurons nos larmes
d’enfance meurtrie par la bande,
nous disons cette chose ici , comme quoi nous pleurons, de concertt (tous et toutes les hiommes et les femmes du monde), nos larmes d’enfance, d'enfance touchée , touchée par la bande du temps pariétal, roche dure des tourments de base, pleur et rires dès lors associés pour une sorte de misère, nous pleurons-rions notre peine de coeur maussade, nbous devons prier pour noues reprendre, nous disons les mots de larage des mots, soitt : les mots du libertinage,, de la messe folle, des animaux-mots, d e la grande et belle parade nuptiale des embruns etc, nous disons les mots «de ta race dure» qui durent (le Temps) et ne s’en laissent pas compter outre mesure, et voilà ce qui est ici à signaler, comme quoi nous sommes deux, sur roche, à crever l’abcès d’une donnée rude, aboutie, finale, terminale, saleté des xsaletés de ta race rude, cette mort acquyise, cette méchanceté postée, ce rapace etc (rapines ?) qui nous voit aller et qui s’en réhjouit d’avan,ce ! oh la vile ! nous le savons : nous ne sommes pazs aussi naïfs - naïves, nous savons cette chose d’une mort de rochge qui nous interpelle, qui nous mate, qui nous pazrle, qui nous chasse, qui nous pourchasse veux-je dire et c’esst ainsi que nous voilà touchées comme par la bande du temps menaçant ! nous ne sommes pas indemnes dde toutes sortes de touchées ! nous sommes touchés ou comme touchées par la bande , nous sommes pris comme à rebrousse poil pour ainsi dire par la bande, et cela n’estpas juste au reghatrrd de ce que nous montrons (ici même) de nous mêmes, soit, de fait :
ces envolées de rage, ces incantations pariétales, ces colères monstres, ces ébats de jouissance rude, ces carambolages de penséesq, ces langues amassées, ces rudiments de pensées disons natives superposés, ces envolés de base percluses de choses acérées, etc,
ce tas de misère fait ici le tas de cette offrande par nousq déposée (l’art) comme une sorte de denrée à ingurgiter : mange ! vas-y mange-moi, saleyté des saletés ! mange ces tourments de base, mange de moi ce temps que je t’offree fissa, continuellement ! le vois-tu ? entend tu ce que je donne ici en termes musical ! cette litanie de parole perlées, cet echafaudage ! vois tu, saleté... ce que là je dépose , le vois tu, saleté ? saleté des saletés ! Saletés des Saletés ! saleté de Mort de rage ! vois tu c e qui est déposé, cet art de la jouissance , cet art de la partie noble, cet onguent princier, christ édulcoré, le vois tu ? vois tu l’art à la rue ? vois tu ce qui est qui tombe sur roche pour ta satiété ?
qui est là devant moi qui trembkle, est ce toi ? es tu la Mort majuscule (celle qu’on enc...) ? es tu celle là ? es tu pour ainsi dire cette mort de rage qui me prend le temps ? es tu rageuse de mémoire ? où veux tu ezn venir ? es tu la mort bete, celle qui croit comme avéré tout ce qu’on lui dit sans demi mesure ? es tu couille à ce point ? oups : connasse ? es tu de celkles quuii nous matenttnt et nous atte,ndent comme pis-aller ou comment ? qsui es tu ? qui veux tu prendre dans tes tentacules ? qui es tu qui nous regzarde méchamment ? es tu la misère de base, tombeau pour un cxheval de rage, tombeau peut-être pour des enfants nés ? qui veux tu pour commen,cer ? veux tu de ma vie en premier ou bien de ce temps déposé par la bande ? pour qui me prends tu , la Mort , qui crois tu rencontrer avec moi comme allié ? qsui crois tu rencontrer avec moi tout court ? une ... «merde ambulante» : chameau ? chevreuil ? bousquetin ? cri de guerreere incantatoire ? mains sur main ? chinoiseries pariétales ? onguent ? douceurs de parade ? vulve au kilomètre ? qui es tu la moprt pour espérer de moi un don de roche qui serait lmassif ? qui veux tu absorber entre tes dents pointues, sur ta langue, dans ta gorge, au fond du ventre, dans les entraillkes, sous le vent ? es tu de celles qui pètent à tout va sans s’en excuser ? as tu de la classe ? es tu de la rage ? es tu du tombeau ? es tu de la misère ? es tu des animaux ? es tu ce qui va vers nous et nous attrape et nous étire, nouys tire fort, encore et encore afin de, toujours plus nous ficher dans la nasse d’où ne plus pouvoir trouver à s’echapper (on sait cela) : est ce cela ? veux tu bien me crever comme une merde ? veucx tu me calciner ? ou bien m’au- réoler ? ou bien me sacrer ? ou bien m’emboutir ? ou bien, me meurtrir ? ou bien me chaudffer ? ou bien me tuyauter sur les bonnes mesures à adopter pour sauvber sa mise ? veux tu m’aider à m’en tirer ? veux tu me dire ce que je dois faire pour ne pas mourir ? veux tu m’expliquer par a + b ce que je dois faire et ne pasd faire ? es tu pour moi ou contre moi ? veux tu ma misère ou ma contre-misère ? veux tu me sauver à ton tour ou au cvontraire m’enfoncer comme une merde dans le caniveau soit dans son trou de chasse ? es tu mon amie ? ohé du conno, es tu mon ami ? ohé la fleur de rage, es tu mon amie ? veux tu attenter à ma vie ou bien non, me sauver des griffes de l’envie princière en toi m^eme ? squi estu la mort pour me dire ce que je dois faire ? qui es tu la mort pour me donner des ordres ? qui estu la mort pour comme me fracasser ? qui es tu la mort poour me faire la misère ? quy es tu la mort pour me foutre mal ? qui es tu la mort pour me ficher en l’air illico presto ? qui donc es tu la mort pour donc me pourchasser comme un voleur de grzand chemin ? qui es tu la mort pour voir en moi cette chose de peu des tourments ? qui veux tu en moi, quoi de moi vezux tu ? ma vie ? laquelle ? et voilà ou le bât blesse ! car la vie, c’est surtout celle du coeur quand il bat (l’eessence vitale humaine pour soi) mais aussi, ce monde que l’on traverse, ce passage de soi dand le temps, ou dans l’espace-temps de ce monde de soi, alors voilà ! nous disons la vie pour dire le temps, et nouys donnons le temps pour dire la vie ! ouille la méprise ! ouille la chose ! ouillue re-ouille ça va pas le faire ! ou si ? la mort est (serait) à c e point bête qui ne le voit pas ? qui ne comprend pas ou ne saisqit pas la méprise ? oh la bete en elle , oh comment ? car, qui ici dit la chose comme quyoi il sait ? qui sait ou saura dire (à nous) la chose vraie sur la question de ce mépris de base, ou méprise de roche, etc , qui ? nous voulons savoir ! nous ne voulons pas ne pâs xsavoir ! nous voulons connaitreles données (rugueuses) de bbase, et du coup savoir à quoi nous en tenir ! nous voulobns comprendre loin les choses du temp^s impartis à cette vie humaine offerte par la nbande ! nous sommes des merdeux, des petits humains de rage tristes, nous sommes tout aboutiffés ou commeznt dire : malotrus, ou comment ? des enfants (sauvafges) de la bnande , des petits morveux de passage vif ! nouds pleurons notre misère : voyez ! nous pleurons de loin et encore là, jusqu’au sommet ! nous ne sommes pas sortis de l’auberge ! nous voulons convaincre mais vbas-y ! vas donc eh du con ! vas comprendre les donnhées natives ! vas dsavoir ce qui setrame, en pareille roche des temps doublés , vas donc y piger quelque chose et tu reviendras m’en (ou nous en) donner des nouvelles : j’y tiens ! je veux ça (au moins) , et cette chose (ici) d’une sorte «d’attreappe nigaud» est donc déposée dans le temps d’une vie impartie, à même la roche, à même ce rocherrrr de base rugueux, nous disons le mot, le mot suivant, de «art», et ce mot de «art» est là pour résumer l’ensemble dééposseé (de nos tourmeznrts) sur la roche du temps : livraison en bonne et due forme de ce pis-aller dfe première censé en jeter ou cracher des litres, alors même qu’il s’agit de fausseté, fausses larmes, fausse joie, faux serments, fausse discrétion, faux rapports, fausse jonction, faux dires, fausse caerresses, faux jeus, fau$x jetons etc, nous ne disons pas tout d’un seul coup mais ce que nous donnnons-disons est cette chose d’une sorte de dépot de soi dans le temps imparti, en espérant que « ça le fasse grave pour longtemp^s» et voilà l’idée qui réguule et se place icii, idée-fixe de paroi de roche, fixation pour ainsi dire = emprise, prise, collage, prise de donnée collée etc, nous voulons comp^rendre ce qui vient et va, ce qui se balade, ainsi, dans ce sas de la roche du temps, les données mobiles etc, nous cherchons, que voyons nous ?
nous voyons la roche du temps calciné (le temps) près de nous, ce dépot d’argent (ou d’or) qui est celui que nous donnons de nous comme par la bnande à la mort cdevant , nbous offrons le temps d’une vie rosse, bnous donnons ce temp^s de «vie la nôtre» la béjaune ! que vouloir quand on est la mort ? la vie des autres ? que donc elle veut cette mort de meu ? la vie offerte ad vitam aeternam entière ! c’est à dire corps et âmes temps inclus ! la garde ! tout, quoi, de nous, on le voit ! elle ne manque poasd’air ! elle ne manque pas de toupet ! elle ne manque de rien ! elle veut tout, la p... , la ch....., la s...., la saleté ! elle ne manque pas d’air ! elle est coquine, elle rapine ou comment on dit grapille ou comment ? ekle veut de nous c’est facvile tout ! la ch..., la ...., la saleté des saletés, elle ne s’en laisse pas conter ou si ? couille à ce point , qui prend des vessiesv(le temps donné) pour des lanternes (le tic tac vital) ? elle n’est pas maline ! est elle maline ? est elle futé e ? est elle dégourdie ? est ellme folle ? est elle mentalement déra ngée ? est elle bete ? est elle belle ? est elle sensible ? est elle intelligente ? est elle bien mise ? estelle intéressante ? est elle plaiseante ? est elle sensuelle ? est elle attirante ? est elle .... ou non ? est elle une femme ? est elle un homme ? est elle un
femme ? est elle une homme ? est elle une sorte de mix entre d’un côté le femmme et de l’autree la homme ? qui sait cette chose wque la mort serait, ou est ? nous voulons en savoir long sur la quyestion et pour cela, nous interrogeons autour de nous l’ensembvkle des parties , bnous voulons comprtendre ++++++++++++++++++++++++++++++++++++ ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ +++++++++++ et pour cezla nouysq nousqagitons de concert en incantations massives, glorieuses ou glorifiantes, qui ont pour but toutes de toucher la roche du temps devant nous, et celle ci, une fois touchée, de la pénétrer le plus rtapidement possible et cela à deux, comme convenu entre nous, c’est à dire : elle (la bete en moi) et moi ,
etre de misère et de joie m^élée pour une vie
de base rugueuse peut êtyre, mais tournée tout entière, vers une sorte de finalité que j(‘espère (que nous espérons) heureuse, nous voulons essayer ensemble cde comprendre, un certain nombre de choses concernant lza mort, bnous avons cette ambition, nous voulons nous positionner en cette roche de cette mùanière que nous fzaisons c’est à dire en nous congratulant pour ainsi dire par la bande, en nous chevauchant comme chevaux en cavalcade, etc, afin d’en imposer le plus possi ble et, du coup, de faire croire qu’il s’agit ici de (vraie de vrzai) la vie de roche nôtre (à la mort) et non pas, d’une sorte de pis-aller de fortune, bricolé au pas de charge et à l’emporte pièce, non : une vraie de vrai vie battant son tic tac charmant cordial, cardial ou comment dire ? nous disons que nous sommes ici partie prenante et que dès lors la vie pour nous est cela m^zme que nous déposons (cet art, ici, de la chute) sur ces parois lisses (ou pas lisses) de la roche (grotte) du temps (du Temps) , nous disons ces choses devant nous, nbouys les apportons sur le devant de nous, nous disons qyue ces choses pour nous sont d’un intérêt crucial, qu il s’agiyt pour nous de choses considérablement importantes à nos yeux , et que notre but ici est de donner un peu de lest à une sorte de pensée déjà bien alourdie poar des données de base pesantes, ces donn»ées liées au temps passé, à l’enfance vécue et enkystée etc, nous devon,s comprendre pas mal cxde choses encore, concernant la vie des données rupestres, nous vouklons encore comprendre pas mal de choses c oncernant pareiklle vie de roche dure, telle que nous pouvons ensemble l’appréhender et l’expérimeznter au quotidien, car la vie pour soi est une sorte d’eznvie de vie, une sorte d’envie forte (fole ?) de rester en vie quoi qu’il en soit de nos misères, nous voulons durer et pour cela reien de tel que la roche princiere, le Rocher du prince comme dira l’autre, ou pas mais quoi d’autre ? que dire en soi qui puisse le faire et nbe pas raccourcir nos vies , ou les stopper net ? nous disons que l’art de la roche des temps (l’art préhistoriqye des paroiods) est un bon parti, une chose beklle, dans le sens où cette chose remp^lit de fait un certain nombre de données de base, les comble ou comment dire, «sait y faire», on pense cela, nous disons cela car nous penso,ns que cela est , que la cxhose ici d’une vie dxonnée est cette chose d’une sorte d’art de roche à vivre (un temps) sur le qui -vive , ... qui sait cela ? nous disons que nous nous avons à comprtendre en,core pas mal de choses (ici bas) co,ncerbnant les choses de la vie , nous disons que lea vie pour nous n’est pas seulmeme,t ce qui bat en nbous en termes d’allant de vie, mùais aussi l’accumulation des choses passées par nous en termes de souvenirs par exemple, ou bien de blessures physiques, ou physico-chimiques telles que ces blessures se sont imprimés en nos orga,nismes c’estv à dire en nous, bnous pensons que nous devons aller ainsi au p^lus profond de la roche du temps (du temps des cavernes), et trouver le mot qui dit tout, ce mot de la roche plénière, ce mot du Tezmps fatal, ce mot du D2sir de rage intéhgral, ce mot après lequel nous courons ensemble (elle et moi = la bete et moi ) depuis tant de temps, et ce mot est le suivant : la gr:^$ace,; cette chose des tourments lazrvés, des tourments rejetés de base etc, la gra^ce est le mot de la fin (qu(‘on se le dise !) qui ne souffre pas d’être contredit : qu’on se le dise aussi ! que la grâce soit et la grâce fut ! cela aussi qu’on se le dise ! car l;a grâce est le cheval d’attaque, le chainon manquannt, l’outil principal, la patente ou on dit comment ? l’amande honorable , ou commùent ? nous voulonssavoir ensemble ce qu’il en ressort cde cette grâce sus mentionnée en paroi de roche et pour cela, nous nous blottissons de concert et nous chantons à haute voix les «chants de ta race» = chants nuptiaux d’homme flanqués de femmes et chants nuptiaux de femmes flanqués d’hommes (ou doublés, ou doubles, de préfrérence !)-: nouys disons que nous sommes deux, que nous sommes double ou doublés (ou flanqués mais doublés est juste); ou fklanqués = sur le fla nc la prise etc, cela n’’st pas faux non p^lus ! nous disons que nous sommes (deux) sur le flanc est ce cela ? nous nous touchons ! nous sommes deux à nous toucher : ici le flanc ! nous sommes qui sommes une somme de cdeux qui ici nous touchons ! nous nous caressons, nous nou!s embrassons, nous nous donnons des biçsous, nbous nous enlaçons ! etc pour soi ! nous donnons de nous à la mort la Chose, laquellev? eh bien celle ci que nous comprenons (pour nous) comme étant celle (la seule?) qyui puiusse en imposer assez, pour la (la mort) satisfaire asserz, ou du moins un certain temps qui est le temps de ce répit que pour le coup nous recherchons poour nous, notre gouvernev (et pour notre xsanté) :
nous cherchons des choses de base,
nous cherchons à nous donner ici en termes d’amourettes passagères printanières finales, nbous sommes de la partie fine et nous batifolons comme ces betes de prairie ou des sous bois qui en vrai se cherchent follement et finissejt (immanquablement) par se trouver : nous nous enftilons comme des perles, nous nous embrassons follement, nous nous embrassons sauvagement, vie de roche vive, transitions, catapulte, echauffements, turpitudes, saletés assumées, caresses des trépasséas, courage, chaleurs animales, points des doigts sur la hanche, courses folles dans les bois, nuages, enfumage, touchage, caressage, treempage de biscuit dans la cxhaine, souléèvement agraire, tornade, pétrissage divers, alunissage poin,té, tournage à) 180 degrés, enfilage sous le nez etc, nous offrons de nous le temps passé d’une vie de roche tourmentée et entournoyée ou colmment la nommer ? loops ? nous tombons à la renverse dans nos amourettes et filons fissa vers les ghrèves ! nous sqommes touchés ! toc de roche à vivre ! toc toc de la roche vive ! toc toc toc du mot balancé : la grâce annoblit, nouys plonge da,ns l’être
de vie brusque ! nous donnons :
notre temps d’amour allonghé,
nous le cdéposons sur les prés et nous courons (nus) vers notre tracé ... de vie rude ! nouys pissons dans l’herbe des prés : nous sommes affranchis de toute sorte de raison de passaghe dur , nous nous affirmons par la bnande en tant vque cerf et biçche, bison, buffle, chevakl, jument, âne, bouquetin qui vontv et qui viennent «nues» sur la roche du temps, tracés de roche charbonneucx, nous faisons pipi comme eux, sans oplus de soucis d’aucune façon , dégourdis cde ça, libérés à) l’en,vi, charmeurs charmeuses, doucement déplacés, nous voulons la roche pour nous afin de gambader à notre guise ... et c’est tout ! nouds voulonbs connaitre les jhoies et autres joliesses des prés (comme l’aurochs ou la jumzent, l’antilope ou l’élan) , nous donnons le temps de nos passés de vie et l’effervescence de nos parties, nous offrons de nous ce qui bout ... hormis la chose en soi cruciale (le tic et tac dee la vie donnhée),
nous donnons : ce qui de nous n’attteznte pas à notre vie donnée de base, voilà tout = les données dites périphériques , effluves et autres dé chets, temps passé brûlé et autrees rejets, etc, cela fera t il l’affaire ? on peut en doueter... quoique ! car la mort ne semble pas toujours pressée ... de nous absorber ! elle a fort à faire mais enfin nous sommes les t»émoins du fait sque nous abvons pour nous une révolution permise ou comme trac»ée à devoir (ou plus ou moins devoir) observer , nous voyons la chose, nous sommes témoins du fait qque cette chose ici (de la roche dure) est comme une offrande adressée àç une sorte de «déité majeure», «prise vive», comment dire ? celle là qui cherche, mordicus, à prendre de nous, ce qui l’intéresse le plus = à etre cette prise, cette chose d’une prise, sur le râble et sur le vif, ou comment dire ? nous disons les mots de la fable (en permanence !) alors même que nouys penso,ns dire, en toute intelligence, des choses justes et sensées, or que dalle (ou tu parkles !) , pas du tout ! ce que nous disons ou rien c’est égal, or le hic ici , c’est que voilà : impossible de chez impossible de «réellemùent» se taire, car les mots en nous ont pris racine, car les mots sont ce présent de vie passée, à déposer, sur la roche du temps, comme autant de betes massives (ou incandescentes) chevzau chant la roche (intrapariétale) des cav ernes du temps alloué, nous diso,ns cela, cette chose, comme quoi les mots sont enracinés et ne peuvent plus être cdélogés, et cxes mots fort heureusement nous protègent, qui sont des boucliers de première, nous font patienter, ou plutot font ou feraieznt patienter, qui ? xdecvinez ! etc, car la mort est là qui cherche à nous happêr , et nous de déposer ces mots sur roche, d’y aller de notre sorte de dépot (longitudinal) de fortune, «à kla fortune du pot» ou «comme on peut «, etc, nous disons que nous sommes à deux, pour faire cette chose d’un dépot de soi en «bonne et due forme» ... si possible, bnous nous donnons de la sorte («en veux tu, la mort ? en voilà !») à quyi mieux mieux (= au bmieux = au plus vif possible) etc, nous sommes deux ainsi qui chevauchons de rage la paroi du temps : houp la ! et ce faisant, nous bnous infiltrons en cdes méandresq vertigineux qui nous fontb ou feeront bientôt toucher la timbale, nous n’en doutons pas («mon oeil» ?) et cela, nous le disons à quyi veut l’enten,dre («n’est-ce pas» ?) cvomme des trublioons de la blague (ou pas ?) : nous parlons un langage de dupes , nbous nous adressons des mopts doux (ou pas doux ?) et ce faisant «nous y croyons « , nou croyons à ce que nous nous xdisons (disons pl;us ou moins mais toujours un fond,) et voilà la chose qui se passe ici, cette chose des pârois ... la voilà, il s’agit d’effigies, de type votif (votives ? ), qui sont là pour faire accroire et repousser l’instant fatal, nbous voulonbs que les choses sqoient et les voilàqui sont, graâce (la grâce) au verbe chu de nos bouches ouvertes (ce trou d’une plaie) : nous crions le verbe innocent ! nous le hurlons sur roche par la bande ! nous dison,s merdum ad libitum ! nous répétons nos mesures hachées scandés ! avertissements ! applausdissements ! nous donnons le la de la mort en chambre, ce morceau musqical de choix, cette douce méloppée de buffe, commùent dire ? buffe pour bouffée ? bure comme la bure ? buve comme boisson de choix, soit nectar ? ou quoi ? nous cherchons de faait la bvérité pleine c’estv à dire pleine d’elle -même, nbous cherchons ensemble (une bete en moi et moi , la droite et la gauche, le yin et le yang que sais je ?) une vérité de choix, non : une vérité de poids, voilà ! qui en i:mpose, qui se pose là (disons «un peu là») et fasse le taf, et fasse pour nous le travail = le travail de sape, ou « ce» travail de sape, essentiel ici à nottre survie pour ainsi xdire ! nous voulons creuser profond la roche aux tourments ! nous voulons profond creuser cettez roche a ux dires fous des betes de race, musquéeqs, placides, campées, broutant, regardant nonchalmamment les pas de nos allers, etc, nous pistons sur roche les doux mouvements de la bete, nous pistons ses mouvements brusques, nbous sommes à l’affût de tout mouvement ou déplacement de la bezte-mot de laroche du temps, nous sommes affutés pour le dire vite, nbous ne sommes pas e,n reswte de surveiller ce qui donc se trame en pareille zone «aux embruns matutinaux» , nous pleurons, déversons des paquets de larmes sur le pont, nous sommes deux qui pleurons de tout notre corps tout cela qui en nous nous pèse fort = l’aurochs déplacé, la bete de roche, le bison masqué, la biche, le cerf, l’antilope, l’ours, l’ourse, le cheval et la jument, le renne et la renne, eetc, nbous sommes nous mêmes des betes de choix, nous posons nus sur les photographies, nous sommes betes-mots «de ta race vive» ! nous chions («eh oui !») à même le sol, comme betezs-mots «de ta race», pareil ! nous chions et nous pissons et cela sans honte ! nous sommpes (enfin) ultra-dégagés de toute honte, nous sommes enfin comme soulagés ou comment dire ? nous allonds fissa, au fin fond de la roche rude, et recherchons encore et toujours une once de vérité, nous allons fissa au fond du fond de la roche du temps et nous mettons (de la sorte) en quête d’une vérité, qyui eut pu le faire (vraiment) et puyisse nous donner des ailes, nousd voulons comprendre ce qui est en roche, ces mots de paroi, ce langage frêle, cette voix (de soi) assourdie ou pas mais qui se pose là comme le chant nuptial de la rocghe du temps, chant doux ou dur, dur ou doux, qyuui va d’un point a à un point b comme dans l’alphabet , nous chantons sur roche le chant de la roche, nous disons sur roche le dit de la roche, nouys sommes deuixx ! nous pleurons de concert ! nous sommes deux et nous offrons de nous les larmes cde la joie de nous voir annoblie par la bande du temps (passante, trzaçante) telle qu’elle nous appaarait, dans les embruns, parmi les betes toutes paissant de conserve etc, nous sommes au beau milieu du temps découvert, nous logeons eznsembvle e,n pareille roche comme deux amants, nous ssommes deux qui (pour le coup) nous mesurons à l’épreuve du temps imparti , en espérant des lendemains qui nous seraient donnés pour des durées qui seraient prolongées etc, nousd voulons savoir ce qui est ici (pour nous) qui nous attend au coin du bois : qui est là ? qui nousatteznd là ? qui veut bien de nous ou plutôt : qui nous regarde langoureusement depuis longtempqs ? est il icelui ou icelle sensible à la beauté des choses , du monde ? ou non ? à mon avis non ! nous pleurons et tout autour de nous le monde s’organise = s'organise en continu, va son treain de vie pariétal etc, ne wse soucie guère de nos vies de baswe à nouys (c’est à dire individuellemen,t) : le monde est (ainsi) découp^é,
en tranches de vies vivess, indénnombrables tellement leur nombre est grand, etc, et nous de nous positionner qsur «une branchje « (allons-y !) qui soit celle là qui puiisse nous porter sans se casser, nbous disons : oiselets ! nous disons : oiseaux ! nous disons que nous sommes «à bec» et nous rions sous cape en vrai du même élan, nous disons que nous rions du même élan sou cape, de nos sentriments, de nos tourmen,ts, de nos discours tracés, etc, nous rions ici de nos dires :
oiselets ou oisillons,
oiseaux de la branche haute (basse ? ) ,
nous rions, nous sommes des enfants hjoueurs ... sur roche des temps alloués, bnous jouons à qui mieux miuex (billevesées) à nos jeux qui sont jeux de dupe ou à quoi d’autre , à quioo d’autre jouons- nous ou pourrions-nous jouer ? nous voulons savoir du temps et de la vie, de la mort et des envies de vie etc, ce que cela est, ce tout ajouté ou accumulé ? quyoi est ce ? qui le sait ? qui connzait les choses ? squi sait nous parler ? les mots ont ilds de quoi en eux nous satisfaire haut la main ? les mots résonne,nt ils en cette roche des embruns de race ? sommes nou!s rageurs ? sommes nous dans une sorte d’embardée native ? depuis quand si oui ? devons nous courir sur la lan de avec les chevreuils ? sommes nous des chevreuils nous mêmes ? devons nous mourir sur la lande ou par la bande sur la lande ? avons n ous la mport en ous , comme muselée, mais qyui peut-etre parlera un jour quand nous seronsq «sages» ... ou pas ? qui sait de quoi il en retourne et en retourn era pour notre gouverne ? voyons nbous loin ? jusqu’où voyons nous ? voyons nouys au loin, les embruns de roche pezrlée, La ROche Perlée, les voyons nous distincteme,nt ? sommes nous assezvsa ges pour durer , ou l’inverse : sommes nous insuffsisalmment sages asserz pour durer , ou comment nous exprimer ? la $dsafgesse ici eswt-elle une donnée de poids, c’est à dire : pèse t elle expressément da,,ns notree destinée ? pese t elle un poids conswéquent «qyi puiise le faire» et alléger sinon nos tourments du moins cette chose (sur nous) quyi bnous attise et qui.... etc , chose de poids brute, pesante chose sur le râble : carrezment ! comme une épée rude, prete à pour le coup sectionner parr la bande ce fil (alloongé) qyui nous relie à la paroi des temps, nous voulons comprendre ce qui est ici en termes de poids et de prises, et de sentiments lourds, et d’amours de base (ou de passions échevelées) qui sont autant de choses qui, sur nous (râble ?) pèsent lezur pesant,, de cacahuètes
ou d’argent ! nous voulons savoir ! nous sommes proches de savoir peut être mais que savons nous , ou qui sait pour nous si nous sommes proches ? nous voulonds comprendre +++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++sur tout de tout, sur tout de nos vies vives, ce qu’elles sont au juste,
cxes passages de vie vives, sur le temps ou dans le temps, ou sur la paroi ou dans la paroi, ou sur le sable,
ces tourments et ces joies (aussi) de rage pariétales, nous voulons comprendre /+ de toute cette chose d’une sorte de parois de roche toute ornementée pour une connaissance anticipée des raisons qui président à notre sorte de disparition nacrée etc, nous esssayons ensemlble de comp^rendre cequi est (en roche) qui se trame devant nous, c’est àdire concernant ces betes de roche, ce qu’elles sont pour nous au juste, nous essayons ensemble de cerner par le menu ce qui, ici, en roche du temps, se trame sous nos yeux qui restent comme baba ou comment dire ? ouvertts en greand, tout du bmoins, devant pareil spectacle (grandiloquent et carnavalesque) de roche des temps, ce spectacle d’une rocxhe peinte , d’une roche gravée par des hommes et des femmes (nous ?) de la préhistoire : njous pensons que nous devons comprendre pas mal encore de choses sur la Chose, cette donhée brute (vive) de la roche des temps, nous voulons bnous approcher au plus près, de pareille roche, nous cherchons à nous approchezr au plus près, de cette roche des tourments et autres joies mêlées de la roche du temps, cette «roche)-paroi» de base, ce rocherrrr longfitudinal de la base, nommée vie terrestre ou vie sur terre pour les gra nds dadais, etc, nbous essayons ensemble de comprendre les donn,ées de base pariétales dessinées, et les messwages adressées à déités, et les scansions réitérées sur roche (pariétalismes ) à l’envi, etc, bnous cherchon,s à comme nous immiscer en cette roche du temps découvert (troué) par en nous des piques verbales (acérées) qyui permettent les entrées de roche, les pazssxages, les incursiuons, les enfilements etc, nous pensons que le v erbe natif (grossier de nature) est celui qui seul peut tenir à distance (un temps) les vélléités oh combien nocives (néfastes , «mé chantes») de la mort, ou sinon le verbe le sang dans le verbe, nous pensons que c e sang versé sur la roche (quoique neutre nôtre pour partie) est celui qsui pourra ou pourrait un temps nous sauvezr la mise et faire reculer la mort zqui gagne, nous pensons que si la mort gagne (gagne du terrain) le présent de soi déposé sur roche, ewst comme (disons) le tampon de la fete de hjoie , ce tazmpon de bure ou chandail de laine tout rafistolé, cette couverture, ce feutre de tamponnement, comment dire ? ce cale-misère etc, tenant à petite distance peur^etre mais à distance tout de même, cette mort promise, et voilà ce que nous faisons, ce que nous traçons : ces mots de la roche des temps et autres mots (hé, ce sont les mêmes !) -betes du temps, bnous disons : le Temps, or, le Temps (c’sst à dire le Temps majuscule) est ce temps minuscule annobli par la bete, en bnous, sortie de sa tute ! nous disons la bete mais la bete en bnous est la belle des champs, cette belle bete ou bete belle (etc) quyi, sur roche, trace et grave, à l’envi, les mots qui portent ! nous disons : «chions» ou «pissons» mais ... c e sont mots de roche porteuse , s’il en faut ! nous donnons de nous des mots de mpoids de roche qui sont mots de poids de betes qyui sont vmots de mpoids de belle qui sont mots de poidfs soudain, car l’âme de nous est comme allégée par ;le coprps défait ! nous voulons comprendre ! nous sommesc ensemble à vouloir co:mprtendxre, les données les plus fines qui soient, concerna,nt ces passages, de roche à roche, de roche à rocher, de rocher à roche, de roc à roc, de roche à roxc, de roc à rocghert, de rocherr à roc,de rocxher à rocher, de rocher à rochje, de roche à roc, etc, nous cherchgons partout à nous initier et à nous infiltrer comme par la bande, autant que possible comme par la bande, en pareille roche vdes temps, temps bénis, bénis ou meurtris ,; etc, nous voulons comp^rendre ce qui, ici, en roche, nous attend de pied en cap, nous voulons savoir ce que notre corps, notre ^$ame etc (la forme de nos téguments, la trace de notred passage) sont ici susceptibles d’avoir à subir, à en,caissezr, etc, cette menace, or évidemment sque la mort en soi n’esst pas cdangereuse, ce qui l’est, ce qui en cette mort ou en elle l’est, dangereux, c’est cette chose comme quoi ... elle aspire ! ezlle est force d’attraction terrestree,; c’est cela le hic ! la mort est l’attraction terrestyres on l’»’a comp^ris ! la mort bn’a pas d’autre nom (‘petit) que cellui d’attraction terrestre, elle est laz force qui domine, et préside ! elle nous adspire follement sans même qu’on s’en ren,de comp^te , c’est amusant ou presqu’amusant ou sinon amusant c’est é«tonnan,t ou sinon étonnant c’est dr^loee ! eetc, car, la mort est attraction : elle aspire à elle et maintient ! et ce main(main !!)tien est le rôle ! erst LE rôle ! c’est -à dire, celui là qui préside, qyui est principal = le principe ! la mort-attraction participe duv maintien de l’hommùe et de la femme sur la roche, car la mort attire à elle et ce faisant, déploie de nous le dire à tracer c’esst à dire, à déployer muisicalement (une ordonnance pour une ordonnée , en d’autrezs termes) et voil;à ce que la mort espère ou comment dire , ce que cette chosec dite «de la mort» espère pouvoir (en quelque sorte) dégager de nous, ou extraire de nou!s, cette chose en ous (animzalière) à déployer ou agencezr ou organiser, dans le temps fissa de la roche du temps, cette sorte de paroi aurignacienne ou autre, c’est à dire hors Histoire avec un gra,nd H, qui dit (elle) sa retransqcrition (de la roche du temps) la,ngagière (ce langage articulé), la mort nous fait «dire-faire» le faire xd’un diire «muet» qui sait se taire dan,s l’incantqation efdfervescente ou incandescente de sa survenue pariétzale, nous disons «le mal» et le mal est fait, car la roche est belle , belle roche ... «à prise rapide», nbous voulons comprendre
les données brutes telles qu’elles se présentent devant nous qui sommes des enfants aux yeux ghrand ouverts, bnous voulons comprendxre le plus, de toute l’a fffaire dxes tlourments et jhoies, en roche des temp^s et du délpoiement, par le menu (un déroulé), de la roche dure , du temps de roche dure, de roche aux tourments etc, bnous sommes ici deux pour comprendre ces données, bnous nous approchons desq betes de poids, nous sommes soumis comme elle aux puissances vives de c ette sorte d'attraction, de la- terre et des airs, sur nous qui alloons, et sur nous qui sommes,
car, ici, l’etre qui va est ce sang qui bout, bnous a llons sur roche, allégés d’un corps de (dure) matière, nous voul;ons comprendre cette cxhose d’une sorte dxe légèreté de la masse e,ntière découverte, soulagée, posée sur un seuil de paroi votive, comprendre le sens (ensemble) de la marche vive (la vie) et nous poser ainsi pour ainsi dire les bonnes questions parmi celles qui , depuis toujours, nous ta raudent ! qui sommes bnous, qui marchons ainsi attirés ? qui solmmes nous qui subissons ici l’attrait dela roche (amour collant) ? qui voit on venir devant ? où est le devant quand la CXhose est ronde ? qui sait quoi dire ici de plus et de probant ? squi a dit en vrai le vrai de la roche ? l’homê ou femme des c avernes ? il se pourrait bien ! il se pourrait que l(homme ou femme des cavernes ait su et vu un hjour la bete, arriver sur roche, et dire sa vision des cxjhhoses du monde ! laz mort (disons le) est attraction (terrestree) de donnée franche, laa mort est une sorte d'attraction, de la bnase vers le ciel, elle attire à elle (continumen,t) le vivant et s’en repait comme une mère, comme une terre mère se repâiit, peutetre, de fumier ou d’engrais pour sa gouverne et pour son bon vouloir, ou comment se repaitre quand on est la terre qyui attire à elle en vrai le vivant ? nous chercghons à comprendre la mort ce qu’ellme est ! eh bvien laz moprt est cette chose en soi, nommùée «;l’attraction», cette chose d’une sorte de «collage» au sol de terre-mère (des données en vie de roche), nous savons à présent que le mot de la cxhose est un pis-aller, dépopse$é ici, à même le sol, ou présent de soi pour un redoublement des hjours restant à v ivre pour soi même et pour lea bete en soi qui vous chevauche (double que tu doubleras) à même la roche, bnous voyons ici se dégager des zones de renvois, nous voyo,ns devant nous s(éclairer des zones d'une roche nbeuve, jamzais touchée, bnous voulons nous approcher ensemble de la vérité des choses, nous nous avançons de pair vers cette roche de paroi maeuble, afin de tracer, ou trouver à tracer, les betes fortes qui sauront jouer (ensemble) de tous leurs attraits pour en imposer, un temps (le TEmps) et faire illusion comme nous l’espérons,; n ous voulons tenir debout sur terre mère, le plus longtemps que nous pouvons, l’attractiion est là qui nous porte et nous soutient : nbous lachera t-elle ? qui dira pour nous cettre chose à tempqss ? deevons nbous nous tenir aux branches comme l’oisillon ? qui sait ce qui est , et celui qui sait comment sait -il , c’sest à dire avec quyoi sa it il , avec lesq mots de latribu = avec les mots ... de sa race (race ?), deson genre (genre ?), de son espèce (espèce ?), de ... etc.... est-ce cela ? nous voulons comprendre ! nous voulons comprenxdre ! nous (nous ?) voulons (voulons ?) compprendre ( comprendre ?) les choses du monde royal ! oh la bezlle affzaire ! car, les mots nous échappen,t au fil du temps perlier, comme autant de perles tombées ! aïe la roche ! sur le cul la cjhose ! nous donnons notre nom, sur roche du temps= la paroi du monde, la paroi du monde est paroi de la grotte cacghée, la pâroi est un bout de terre-mère = du grand tout qui nous porte sur elle , ou lui, si le tout est pris en considération : nous cherchons ! nouys cherchons qui du tout, ou de terree mère, est pris grammaticalement en considération ! lui ou elle ? la chose a son importyance ! il ou elle , lui ou elle, lui- elle, ou elle-lui ? qui elle , qui lui ? nous voulons comprendre dans la profondeur de l:a charge ! qui donc nous attire ainsi (attra ction terrestre) vers luyi (ou elle ? ) ,; qsui ? qui donc peut être elle, ou lui, indifferemment, et dès lors, il est pour nous difficile ici (avec les mots de charghe) de s’y retrouver (nous) et de se prononcer (pronom),
dè!s lors : vas-y voir à comprtendre un quelque chose cde patent ! pas simple ! mais la vie tezrersztre a cela de bon (aurait cela de bon) qu’elle nous donne (ou donnerait) l’espoir de comprendre , oh la belle affaire ! oh la honte savante ! la méprise de fait de a jusqu’àà z ! ça fait rire ! ça fait forcément rire, de ce rire (tranché) quui ne sait si rire ou pleurer est préféré ou préférable ! ça fait rire (et penser dsans le rire est penser ahuri ! mais est ce possible ? ) , bnous chercghons ensemble à cvomprtendre les mopts de la roche des temps, ce qu’uils ont dans le ventre, c’est ahurissant ! bnous essayons de nous y retrouver sur roche et dans le temps, c’est à dire ... sur tezrre- mère ? comme souleévés , dressées pâr le vent ou les airs ambiants qui nous maintiennent vivants couramment ! nous cherchons la vérité sur cette chose de la roche doubvle : roche des joies et roche des tourments,; ce rire de conjugaison ! cette chose ici grammaticalement induite par la bande (vaporeuse) dses embruns dee bords de mer ,
en roche des temps,
des temps impartis à une vie terrewtre,
nous chions , oups, nous sommes qui déféquons ici ou là sur notre passdage (transit) et pas que , nbous pissons , aïe, et pas que, nous allons mourir (déchet terminal) et donner d e nous (engrais) au sol de ta rage ! la partie ! le ciel assouupi ! la pa rtie belle ! l;e calme apres la tempête ! la belle meunière, sous le vent ! la cxhaude (première) vertu rocheuse : ce chandail de vie sur les épaules, oup la houp ! nous truquons à l’emporte -p ièce;, nous sommes chenapans qui faisons prendre des vesswies pour des lanternes et malheur à celle ou c elui qui tombera dans le panneau, car notree but est, sans contredit, celui de durer le plus, en pareille «praiorie aux animaux» : gare à toi la mort ! gare toi de là et laisse ouvert pour nous un passage décent, un passaghe décemment ouvert, qui nbous donne ou donnât le la, de la roche dure musicalement ! gare, la mort, gare à toi ! nousd savons comment tromper ton monde et te tenir un temps (encore) à disqtyance depuis mmmmma naissance ! tu esq belle et racée, tu as peutetre du cxhien et xde l’entrezgent, tu en jette grave, mais nous aussi on en jette grave : incantations sur roche meuble, mains surnumùéraires (= plus que deux, ou plus que quatre si on est deux ) vois : main, main , main , mzin , main , main , main, amain, main , main, main , main et encore main, pour la bande
1/7/2021
je suis homme des temps durs de chez lz$e dur, je suis homme des cavernes, je vais et je viens, je m’immisce, je m’introduit, je me glisse, j’entre en paroi comme en religion, je suis homme du peu de confiance en l’être et je file en roche à toute blinde, innocemment, la tete première, j’entre en roche édulcoré, je m’infiltre, je suis homme des prés et des prairies, bois et sous bois, je me flanque, à vif, en pareille zone aux embruns et je vois des betes de charge aller et venir autour de moi, je suis cet homme de la roche dure, je vais et je viens en elle, je m’infiltre innocemment, graduellement, je suis en rochre fdure dand le dur en somme des temps alloués et je regarde ici passer les betes qui m»’entourent, m’encerclents, me regardent à leur tour, se demandent qui je peux etre en cette roche ornementée , je suis homme de peu de foi en sa gouverne, en sa voix etc, je vais et je viens touché par ... qui donc, en moi, qui a pris les renes ? je l’ignore et cependant je sais et vois que pour le coup je suis touché (blessé ?) par (en moi) une bete de roche, l’animal des lieux pariétaux, ce chevreuil ou cette antilope, ce chevreuil ou cette antilope me chevauche, m’envahit, me trouble, me saisit, me gagne, me mesure, me charge, me prend, me voit, me rentre, m’entre, entre, et me fait dessiner, sur roche, comme des traits de fuite, des tracés de betes voyantes, de belles et fortes betes de paroi, qui en jettent à mort, qui en jettent un max, qui en jettent des louches, qui en jettent fort, fort miraculeusement, ou commen,t dire cette cghose d’une bete de roche dure, armée, chargeant, dessinée, qui crache ou cracherait sa vie pleine, forte et racée à la face du monde, comment dire cette chose d’un impact, à la lumière des torches mouvante, nous ne savons dire, nous sommes témoins, nous aimons la roche des temps, les tourments d’icelle nous blessent mais que faire d’autre que d’entrer en roche et pleurer notre misère, nous ne sommes pas plus forts que ça et nous voulons l’etree, nous chargeons sur roche nos bois et nos cornes, nous sommes betes-mots de lma paroi du temps, nous sommes pris dans la nasse, nous somms cernés par des betes de roche qui, autour de nous, batifolent en veuc tu en voilà et ne s’arretent pas en somme de nous observer czar nous sommes voyants comme qui dirait, nous sommes montés et cela se remarque alentour forcément ! nous sommes des
qui sommes montés, par des betes en nous qui nous chevauchent, nous sommes deux qui ici gagno,ns à etre ainsi téléportés en roche des temps, et là, ensemble, nous gagnons les terres lointaines : nous courons, nous nous projetons vers les horizons, nous courons à pertdre haleine, nous cvourons au loin verts des horizons de roche nacrés, bleutés, qui sont des lointains embrumés, qui noius appelent, qui nous font de l’oeil, qui nouys interpellent, qiu nous réclament et nous demandent, qui noud parlent la langue des fins, qui nous demandent de les approcher ou de nous rapprocher d’e pareilles betes ou comment dire ? des lointains abnimaliers (peut-être), des lointains de roche dure animalière, des amis de roche animaliers, des betes de roche célèbre, des données de roche, des cris, des cris stridents, des cris de roche stridents ou gutturaux, des cris d’animaux touchés, des cris de betes ... dans ces lointains de la roche ouverte, tout auu fond ce cri, cette chose gutturale en diable, au fond de la roche cette chose, gutturale et stridente, qui ressemble à s’y méprendre à un cri peut-etre de bete aux abois, une bete se meurt ou mourrait en roche ou comment dire cette chose d’une sorte de cri strident, provenant du ciel, de la roche dure étoilé, du fin fond nacré d’une roche, toile écru d’un fond de roche douceureux, ce cri , de la bete des fonds, ce cri musical, cette note de roche dure, cette partyition des fgonds (alloués) de la roche, une bete meurt dirait-on : une biche ? un chevreuil ? bambinou ? qui meurt en cette roche des fonds de paroi ? qui se meurt là ? nous ne savons pas ! nous cherchons à savoir : q<yui c’est ? nous voulons savoir qui c’est, nous ne savons pas qui c’est , qui ça peut-il etre nous lm’ignorons, nous voulons savoir qui c’est, nous voudrionds savoir qui ça pourrait être en fait de bete, qui ? qui tu es la bete qui xse meurt ? qui es tu la bete qui se meurt ? qyui est donc cette bete de roche dernière, de fond de ruisseau, de ciel étoilé, de rage forte, etc ? qui donc est cette bete, qiue nous entendonshuurler à la mort de la roche du temps ? qui c’est qui crie ainsi, quyi c’est qui pleure ainsi ? qui c’est qui gémit ainsi ? quyi c’est qui se meurt ainsi en roche au fin fond ? nous ne savons pas : nous cherchons ! nous cherchons colmme des dératés ! nous cherchons endiablés ! nous cherchons en veux tu en voilà ! nous ne cessons plus de chercher ! nous voulons savoir ce qui est ici qui nous regarde du coin de l’oeil et qui pour le coup nous appelle à dfonc aller comme nous joindre, à cette sorte d'échappée de son (guttural) de la roche dure, qui crie ? qui est cri ? qui est ce cri de roche princière ? qui va là au fond en criant ? qui nous saoule de son cri strident de bete à l’agonie ? nous ne savons pas ! chevreuil ? bouquetin ? bison ? budffle ? animal de compagnie ? oiselet ? oisillon nidicole ? un nid ? une perle ? ce rond de carême ? que dire ? la main chaude ? le passaghe il semblerait nousattend, et nous de nous rapp^rocher et de regarder et de nous dire que, en effet, le trou est patent d’où provient un cri strident qui nous envahit, nous trouyble, nouys émeut, nous met «en branle», nous chevauche, nous pince, nous crache dessus ou presque (postillons ? ) , nous prend à partie, nous ceinture, nous aggrippe, nous perle et nous parle (les deux) nous fait chanceler ou tanguer, nous fait nous introduire en roche puis, vers de ces fonds de roche de paroi, vers le cri (primal) de la roche des temps, nous sommes pris comme à la racine : éjecté comme un cri de bete, ici, à notre tour, nous nous retrouvons dans la roche à (du coup) écouter ce cri de la bete mourante,
nous ne sommes pas trop de deux à écouter pareille mélodie,
bnous ne sommes pas trop de deux, en nous, à écouter pareille vilenie sonore, soit ce cri de roche dure sortant des embruns,
nous sommes des betes à notre tour, nous nous transformons en bete, nous nous transformons fissa (illico presto) en des betes (de paroi de roche) au sang chaud et crions à notre tour cette chose (rude) qui nbous traverse, nous solmmes dehors puis dedans puis dehors puis decdans, voilà la chose, voire la Chose : nous entrons en roche comme en religion ... par ce cri de roche en nous qui nous traverse, et venu d’on ne sait où mais voilà, et de là nous entrons ensemble dans ou en ce cri de la roche xdure ou comment dire cette chose d’une sorte, ici, d'invasion en nous, de ce cri de bete furieux (le cri), fureiuse (la bete) qui nous prend au cou et nous étreint, nous pousse à dire la Chose, laquelle ? celle-là qyui nous regarde ! celle)-là qui est celle -là qui nous regarde ! vcette chose des embruns de bord de mer ! je suis sur roche (en) et je vais et viens en elle, je suis sur et en roche des temps et je vais et je viens en elle comme un animal ... des temps impartis, nous nous sommes rapprochés ! nous avons vu et entendu ! nous sommes deux qui nous avançons sur paroi des temps comme des betes de céans : comme des aurochs, des antilopes, des bisons, des buffles, des chevaux, etc, tout un almphabet d’animaux, de roche et de paroi, l’alphabet furieux de l’homme ou de la femme des cavernes et de ses pârents, etc, nous sommes nous deux qui pensons ici à la chose (rude) de céa ns, comme à une sorte d’embardée votive, native, qui nous sied un temps = le temps d’une vie terrestre , et nous nous approchons ensemble de l’endroit précis (semble-t-il) d’où provient (ou proviendrait) ce cri de bete à l’agonie, nous nous approchjons ensemble de ce cri de bete rosse (de roche perlière) et là, ici, à cet endroit précis, sur roche du temps, en ce lieu sonore, noys voyons la roche percée, le trou du cul de basse fosse, le trou où aller se coucher et passer , nous savons cela, nous savons l’infamie (de base) des temps parioétaux, nous ne sommes dupes de rien, en ce qui est de cette infamie , nous savons que le trou de roche = trou du cul de roche = trou borgne de roche = trou perlé de roche = trou mauvais de roche = trou «à la noix» de la roche dure des temps alloués à une vie d’emprunt ... delètere, etc, trou de basse fosse pour etre monacal ! trou dit «de basse condition» ! troou d’emprunt tout aussi bien ! trou du cul de terre , trou meuble où garer le temps, etc, je vois bien la chgose gutturale, ou plutôt l’entend, je vois bien le trou et j’entend le cri sortant de ce trou, le cri de la bete ... est celui là qui m’a poussé à etre ! et me voilà, reghardant ce trou, ce trou borgne dou provient ce cri de l’eytre à l’agonie (révolution pl;anétaire ? constellation révolutionnaire ? ) , nous savons et nous cherchons et pleurons aussi et marchons et allons en roche comme cdes betes (rossses) de pâroi, parois d’homme et femmes des cavernes, nbous sommes deux (qui donc ????????????????????????????????????????????????? ??????????????????????????????????????????????????????????? ??????????????????????) qui cherchons vaillamment, prudemment, volontazirement, avidement, nuitamment et diurnement, ensemble, forts, soudés, collés dans la roche, une VERITE de roche dure, ou : une VERITE DURE de roche, ou comment ?
nous voulons savoir qui nous sommes ici, en roche, dans ce sas de pzaroi mobile, nous cherchons ensemble (mais qui ?) à savoir , et pour cela , nous nous avançons vers les finds fonds de cette roche des embruns, nous écoutons les cris stridents de pareille roche éclairée, nouys voulons comprtendre les données du temps, nous voulons essayer de comprendre ce temps en nous qui est il ? un cri strident ? une avancée volontaire ? une embardée-poussette malheureuse ? un chapeau ? nous ne savons pas ! noius sommes ignares, nous ne savons pas ce qui est de la roche et du temps, ce qui est ici présent, qui nous crzegarde, qui nous appelle, qui nous fait des signes, qui s’agite, qui ? nous l’ignorons ! nous ne xsavons pas «qui je suis «, nous ne savons pas qui est qui et qui parle pour qui et qui s’avance près de nous ... en nous ten,dant les bras ! qyui est
qui ? qui est quoi ? quoi est qui ? quoi est quoi ? eh bien : ignorance totale ... sur toute la ligne de front ! complète ignorance crasse ! vieux sabots de l’ignorance , ignorance de classe ! perdition sociale ! défaite ! chargement de rage ! colère en soi dès lors naissante ! roule tambour et roule tazmbourin et roulement de rage en nos veines et vaisseaux ! nous ne voulons pzas de cette sorte d'engeance plénière devant nous, soit de la mort de caniveau, ou bien de cette mort ... de caniveau-là ! nous ne voulons pas mourir ! nous ne voulons pas mourir merdum ! nous ne voulons pas mourir mredum deux fois ! nous ne voulons certtes pas mourir ... mais surtou pas là , de rage, en cette roche de paroi des temps donnés, car il s’agit d’un pis-aller, défaite, billevesées, arnaque à la mort etc : trou borgne de la roche dure, trou du cul de terre meuble un temps, et les vers à l’avenant (les vers et aussi les betes charognardes, etc) : nous ne voulons pas de cette mort en cette roche du temps imparti malheureux, mais plustot de celle , lointaine, qui nous tend les bras et nous interpelle, nous ne voulons pas de la mort-charogne, nous ne voulons pas de la mort «pleine terre» (cul de basse fosse) mais plutot de celle (légère, lointaine, acidulée, douce et nacrée, douceureuse heureuse) des beautés du geste ancré, des beautés racés de la belle meunière ou comment ? nous voulons mourir pertinemment, sur roche des temps devancés etc, notre but est affiché ! nous savons la chose, nous savons le pourquoi du comment, la chose est dite comme un dit (de roche) magdalénien ou auttre dit (aurignacien ?) : nous touchons le feu ! nous sommes de race de charge ! nous touchons le feu de la roche du temps soit du temps donné ! nous voulons de la roche pour nous, en nous, avalée ! nous ne sommes pas des en,fantts de choeur, nous sommes faits de rage et de tourments, nous voulons (tantôt) nous débarraser (ensemble) de la rage, du tourment de bure , et aller nus (dénudés) en pareiklle «zone aux bienfaits», nous voulons ne pas, nous ne voulons pas, nous ne voulons pas de la mort en roche, bnous ne voulons pas de cette mortsure, nous ne voulons pas de cette morsure (ou morsure du temps) à l’endroit de notre coeur ! non de nom ! non de notre nom de roche ! merdum à l’infini des temps de nacre ! nouspleurons ! nous sommes des petits garçons de race blanche, éblouis, tancés, corrigés, dressés par la roche , nous nous tenons là à carreau, nous ne bronchons pas, nous sommes tenus (!), nous sommes couvés et tenus, , nous sommes tenus et couvés, nous ne sommes pas peu fiers de vivre, et cependant nous sommes dirigéés, nous sommes observés, nous sommes comme diligentés par une vie en nous qui ici préside à notre destinée, nous sommes pris ainsi en roche par la bande (brutale) des pârois mobiles, nous ne savons pas que faire pour en réchapper, que fairze ? que dire pour sortir du sas ? comment s’y prendre ? qui croire ? comment croire ? que penser ? où aller ? cvomment donc se sortir d’un pareil traquenard de roche endiablée ? qui donc pourraiyt nous renseigner voire nous aider à dériver inoccemment vers d’autres rivages s’il vous plaît ! nous n,e sommes pas ... de «l’engeance démoniaque «, nous ne sommes pas ... du «caniveau-toto», nbous ne sommes pas de ces lieux de basse fosse, lieux douteux, trous-borgnes mauvais, sang de rage, nous ne sommes pas de la «pleine page» des temps alloués, nous sommes d’un ailleurs racé, couvé mais aimé etc, nous cherchons la faille dans le sas, ou dans le sang ? ou où ? car nous ne savons pas (voilà le hic) où chercher ! nous ne savons pas sur terre où chercher la chose, où dfonc cjhercher la chose ? où peut oon chercjher la Chose, où va t on pouvoir chercher la chose ? où on pourrait bien aller à voir à trouver la Chose fissa ? qui peut nous renseigner ? qui sait où pouvoir pour nous trouver la Cghose = le trou non borgne, le passage adéquat, la zone printanière, l’ambiance ddes fées, le chenal, l’embacle etc , qui ? nous disons le mot : qui ? car qui sait ? qui dit ? qsui parle ? qui donne ? qui soutient ? qui va ? qui donne le la de la roche ? qui soupèse ? qui tombe la veste ? qui charge le mulet ? qui ventile ? qui vibre ? qui vrille ? qui se tient à nos côtés ? qui veut de notre sang ? qui veut de notree voix ? qui veut de nos poumons (et de notre souffle) ? qui veut l’anilmal en nouys grondant, s’en repaitre ? qyui veut de nous ? qui veut de l’animal en ous ? qui de nous veut l’animzal ? qui cherche voix de bure en nous ? chandail ? chant de la roche perlée ? chant du sang de la roche perlée ? chant cde la roche aux embruns bnacrés ? chants doux des passages perlés de roche du temps ? chant des temps doux de rocghe princière ? chants doux des temps perlés de la roche princière ? chants des doux efforts ? chants du carême ? chant heureux des tambours de l’ordre ? chants cazlamitzeux ? chants (tout au contreaire) prestigieux , Chants cde roche allouée à une misère , ou tout au contraire : chants ... de l’ordre des prix adulés ? qui pense ? qui bouge ? qui en nous se meut ? qui pour nous dire ce qui est de la rocghe des temps et de ses ornements bestiaux ? nous voulons entrer en roche pour savcoir : nous entrons, nous entrons et voyons ces betes de roche gravées (les betes) sur la roche dure (dure de chez dure) xdes temps octroyés à une vie trerrestre calcinée, nous devons comprendre cette chose, ce sens de la marche, cette sorte d’immixtion-inversion , oui, nous avons cette cghose à devoir comprendre, ce rebours, cette marche à reculons pour ainsi dire, dans le sens du sang pour ainsi dire, comment ? eh bien ainsi : marche que tu marcheras à reculons homme ou femme des cavernes ! ta voix ici entre dans le sang, se coagule en perle princière, et, des vaisseaux, naisseent des betes ! betes-mots de roche azllouée ! implorons la grace des limbes ! nous savons ce qui est qui est , et ce qui est qui est est cette CXhose en soi de la grâce belle, d’un passé blessé enterré pêzut être mais qui est là qui reste ... le présent de soi en offrande (passé dit «xde rage» pour une gouverne) dépassé, nous pleurons ! nous avons des larmes en pagaille, nous sommes des enfants, nous sommes enfants des roches dures et nous voilà posés = déposées sur roche comme des présents ... de temps en offrande ! cela ira-t-il ? cela sera -t-il suffisant ? aurons nous le temps pour nous ? serons nous touchés pâr la grâce des parois mobiles ? serons noys adulés à notred tour et du coup posé-déposées sur roche ? qui aloons nous être alors ? qui de bnous sauverons nous ? qui en nous sera sauvé ? qui de nous aura ... son salut de rage ? qui xde rage en nous aura salut ? qui de nous la rage aura sauvée ? qui de la rage en nous verra son salut ? qui de salut en nous saura-veerrra sa rage ? qui de rage saura ? qui de rage verra ? qui de rage touchera la grâce du tempps éclairé ? qui touche-touchera ? qui touchera-aura ? qui aura-verra ? qui verra-manquera ? qui mange qui ? quel est l’animal qui en moi me mange ? qui mange en moi qui ? qui mange qui ? nous nous approchons de la mort, nous nous approchons de c ette cdéité, gracile, qui est déité de roche des embruns : une biche ? la bambi de belle venue ? la douce bete des apprêts ? nous nous approchons de la «mort de rage»,
nous- nous approchons d’une «mort de rage» belle, nous savons, nous savons le temps qui en nous fait rage, etc, nouys pleurons des larmmes chaudes, sur le temps perdu de ta race, nous aimonsq les choses des temps dévolus ... à des pensées de race etc = classieuses, ou commùent ? notre but est ici de naitre au mondec édulcorés, nous voulons de cette chose ici pour soi, de cette sorte d'édulcoration native, de cette sorte d'avancée vive dansc le sas du temps, sans ombres ni vetures ni même nom d’emprunt ni non plus cheval, nous voulons aller en roche ... nus, dépoitrenaillés et fiers comme des nouveaux-nés, et là : pipi ! ou comment ? le temps est l’allié de l’homme des cavernes, l’homme des cavernes a du temps = temps de soi (= passé) à déposer sur roche (paroi) comme autant d’offrandes offertes à une déité nacrée, l’homme des cavernes fait la sourde oreille car quoi ? car le cri est strident qui l’interpezlle et l’appelle «virilezment», ou «virullamment» (avec virulence) sans trainer ! il ( l’homme des cavernes) comprend (comprenure de roche) et obtempère : il dessinnne des betes, des betes cde rocghe dure, betes fzauves etc, il dépose ses tourments de force, il voit, il décrit et décripte, il donne xde lui sa parole fauve, il offre sa vie langagière à lui, animalité conjugale, cette denrée ou cette donnée, ou ces données, etc, il dépose grave, il pleure, , crie à son tour, il est pris d’assaut, il est enseveli pour ainsi dire et les cris sur lui le font comme se cabrer sur roche comme un animal de folie rare, il chante ! il chante sa complainte dépoitrebnaillée ! il est vif et vivant ! il est pour ainsi dire l’homme destourments de roche donnée, il tombe sur roche aux embruns, sur roche diurne, sur roche couverte, sur la roche dure du temps ici offert à une vie de base, le nom quil porte est nom donné comme la rage, etc, son corps est moitié bete moitiéc homme, il va et vien t en roche et ne s’en laisse pas conter, car, il croit en l’homme des temps déplacés, soit des temps déplacés de roche dure de chez dure, etc, il est l’homme des tempsalloués qui pense «temps de rive», «temps de rives et de percées», etc, son nom à lui, est le nom quil porte (urgemment) dans sa transe, nom d’emprunt animùalier, nomade, dépourvu d’attraits : aurochs , oou bien bison, ou bvien antilopee ! il est l’homme au nom dépl;acé etc, je vais en roche à larecherche de cet homme là de la roche dure, je suis l’homme cherchant l’homme de la roche dure, l’homme de feu l’homme, l’homme de feu l’homme-betye, l’homme de feu l’homme-animal de ta race jeune, etc, je cherche en roche l’animal de race, cet enduit, ce chandail, ce christ de la nuit, cette ombre, cette bete-mot de première, cette bete, en roche du temps déplacée (la bete) et déplacé (le temps) : nous allons (à deux) vers les embruns, nbous savons comment y aller et quel chemin , emprunter sur roche (celui de la biche et du cxhevreuil déjà renco,ntrés) , nous nous faufilons entre deux bras de mer, nousarrivons , nous voyons la chose = la Chose, cette chose d’un tracé de roche (bouquetin ?) et, nous l’approchons à poas comptés, mesurés, nous nous appmrochons délicatement, nous nous approcjpons d’icelle roche des embruns : où sommes nous qui regardons, les yeux grand ouverts ? qui sommes nous qui gravons des betes de roche ? nous traversons la roche et traversant la roche nous solmmes happés et appelés et nous voilà debout, qui ici nous présentons à Dame de roche la Dure, celle là (ou sieur : celui là) qui sait nous reconnaiotre et nous nommer : tu es l’homme des cvavernes ! tu es l’homme de deux moitiés, tu es l’homme des moitiés , tu es l’homme mi ange mi bete, ou mi homme mi bete, ou mi ange mi démon, ou mi quoi ? tu es homme des temps offerts comme par la bande innocemment (je le swais) et qui s’en repend, qui xse repend de cette chose d’une sorte ici d’offrande tronquée et cependant (si réellement bien tronquée) innocemment tronquée car, qui l’eut cru ? qui pouvait savoir ? qui savait ? qui était là aux origines de la paroi ? tu ne savais pas ! tu ignorais le pot aux roses, l’arnaque initiale, la fauussee monnaie dépposée sur table, sur roche des roches, etc, tu ne savais pasd ! comment aurais- tu pu ? tu ne pouvzais pas deviner , , tu ne pouvais pas trouver de toi même ou comment ? tu es l’enfant de laroche trompeuse et à ce titrectu es innocent de latete aux pieds (cordialement) et tu peux passer, dès lors, ou tu (ddès lors) peux pzasser, tu peux dès lors passer, tu peux à ton tour passer , repasser dès lors, ou comment ? viens que je te couve ! tu es l’homme de tous les attraits, l’homme-bete de céans, rois de Mandchourie — ou quoi ? CChine principale ? californie ? oklahoma capitale ? tombouctou ? correze ? nous ne sqavons pas doù vient la rage en soi ! nous voulons comp^rendre les données primaires premières des temps alloués mais comment savoir cette chose seul, car nous sommes seuls, nous sommes chacun comme seul en soi, nous ne pouvons échanger nos peines, nos douleurs dentaires, nos méfaits, nos noms de roche, nhous sommes des betes de roche allouée, nbous voulons ici graver, des betes de roche sur roche et tomber dans les bras de morphée pour ainsi dire, ou sinon comment surnager, comment se refaire ? vive la vie vive, on l’a dit ! offrons de nous ce qui meurt en roche et gardons l’influx principal (ce principe de base) sans l’eédulcorer, ou comment ? nouds touchons vérité de la rage , ou commùent ? nous touchons «à» ... icelle vérité de ta rage dure, voilà le truc, voilà ce qui est ici, voilà cette chose rude : ce tombeau ? nous sommezs des etres de rage doonnée, etres fous de rage dure, nous avons pour nous, en nous, de la rage, nous avons en nous et pour nous de cette rage des embruns, nous sommes des etres de rage en,diablée, endiablés la rage, endiablés nbos etres de ce fait, nous donnons sur roche ce que nous savons : mots de rage du temps, animùaux-mots sanguinolents, cris de guerre, incantations surnumétraires, monnaies clinqueantes, chaleurs, nous offrons ce qui vibre le plus et le plus longtemps, ce qui pèse son poids de misères hautaines, etc, nous sommes des enfants qui aloons, sur roche, jouer à la marelle ou au chenapan, à brûle- coursive ou au petis pans de mur jaune, au caillou boiteux et à la misère des deux, au perclus et au chandail, au bonnet et au béret, aux données de bnase et à rage-bete, au tombeau nominal et à la belle bete cde céans, au chameau et au dromadaire, aux chaises muisicales, au tambour-major, à calirfourchon, à la chambre claire, au mimosas, au chien andalou, au carrosse d’or, au sang de paroi, à mesure agraire, au donneur et au receveur, au médecin et à la la bergère, au berger et à la docteressee, au titre de rage, au caillou-moteur, à tombe-gifle, à la douce ré, au carreau d’eau, au belge et au timbre, aux taxis, au denier du culte, à la grande messe, au doux de la feuillle, aux lmille misères, à dieu du ciel , au pendant du ventre, à caresse, à tatane, à la pisse-mouille, au mot de la fin, au cher disparu, à battue, à batte paresse, à carnaval, à chant de prairie, au bilboquet, à la patte-mouuille, au dieu de la fa rce, aux milles écrans, à «certitude», à la bise de rage, à caca mou, à caca dur, à caca mi mou, à caca mi dur, à paltoquet, aux sentiments défaits, au lit de Jaccuste, à mime la bière, au tribunal, au baba au rhm, au pirate et aux contrbandiers, au vieux cheval de cirque, à la boite aux lettrres, à «cours-y vite il va flancher», à cherche lunette, à la mamlheureuse, au bonnet d’ane, aux carcasses des temps, à mi-temps, au temps partagés, au vieux dires, au chant d’azur, aux limonades, au conductions, au limonadier et à la brouette, à la bise passe, au poil du cul, aux cartes anciennes, aux tribus, aux terres brûlées, au sang qui bout dans les veines, au charmant et à la charmante, aux charmes égarés, à la soupière, au soupe-tard, )à carême, à tendre cousin, aux tentacules, à «qui veut de l’âme ?», aux pompon, au dires de colle, à chat hurlant, à pot des pots, aus tombes ouvertes, à chine des bruits, à chine écrite, à chine tracée, à petite chine, au vent dans les voiles,
et ainsi jouant nous nous amusons, nous passons, nous traversons, nous dsommes pris d’une envie de rage enfin déposée sur la roche tendre, nous voulons comprendre le jeu de la farce, bnous ne sommes pas en reste de vouloir cela qui consiste à enfin pouvoir ensemble, y comprendre un tant soit peu de cette chose d’une sorte de jeu initial (primùaire) ayant présidé aux données terrestres (?) de base, à savoir :
- la roche, ce qu’elle est, ce qu’elle offre en tant que surface d’apprêt, etc,
- les betes ou betes-mots pouvant s’y coller, s’y inscrire (fissa) par la bande, d’une sorte (en soi) de «mainmise incantatoire», emprise animale s’il en est, qui a pris les renes soit les choses en main (de soi) et trace que tu traceras, pour nous qui sommes des témoins ... de force et de rage rentrée... ou comment ? car la bezte (en nous) sait tracer ce jeu de roche alloué,e, soit ce je de roche = ce treacé de bure, cet écart, ce voeu, cette volonté princière etc, il s’agit (pour le coup) d’un jeu royal, le jeu du roi et de la reine et de ses valets etcx, nouys voyons le roi se dessiner sur roche sous nos doigts : aurochs sur ligne de rage ! bouquetins suspendue à la roche ! re-nnes des app^rets ! bisons de toute incartyade ! cavalcade vibrante ! vies des vies défaillantes ou comment ? vies de vies ? nous tombons dans le paneau nous mêmes ou presque, c’est dire ! car : nous n’y croyons qu’à peine ! nous cherchons comme à donner le la et faire impression ! nouys voulons trouver de quoi en imposer, par notre vibration magique, ou quoi ? nous sommes (ici) deux qui voulons ainsi imposer des vues, vues de rage endiabklée nat(ive ! et voilà pourquoi ... nous :lévitobns ! nous sommes (ici) qui nous offrons, sur paroi de grotte, hommes et femmes préhistoriques, hommes et femmes des temp^s reculés, dxes guerres anciennes, des travzaux des chzamps ... gutturaux, ou comment ? nous voulons savoir ! nous ne sommes pas chiches de vouloir savoir ce qui est et qui est gravé, de fait, dsans les mémoiresq, nbous voulons comprendre le sens de la rage, de la marche rondement menée et de la rage au ventre, de la rage au ventre décelée ou commênt ? rage- vivre, rage de vivre ? vivres de rage ? vivres-rage déposés comme autant d’offrandes adoubées ? nbous voulons sacvoir ce qui est pour nous en cette roche des apprêts, ce qui est qui reste, qui vibre, qui tombe sur roche, qui s’incrusqte ainsi (une fois tombé) et vit sa vie (vie pariétale) endiablée native ! nous voulons co:mprendre les données cde base , ce qu’elles sont pour nous qui voyons la bete (en nous ? sous nous ? sur nous ? ) dessiner de belle grâce des données de rage, ou comment ? dessiner par nous (en nous ? à travezrs nous ?) des données, de belle venue, seyantes, tracées au cordeau, ficelées toutes pertinemment, ou comment ? l’animal en moi trace, ou : par moi, l’animal trzace,
l’animal trace à travers moi etc, nous devons comprendre c e qui est ici à l’aune d’une sorte de tremblé, de tremblé de roche : incantations réitérées ! chaleurs ! chaleurs ! temps des cxhaleurs ! chaleurs car temps des chaleurs ! le printemps des chaleurs ! le printemps du rut ! la saison des amours ! la parade, la roue de bete sur paroi ! chandail ! carnaval ! l’homme ou la femme trace ,
des betes de rage, qui sont betes de belle parade-prestance = qui en jette, qyui font impression, roule-barricot ! nous hjouons à rooule barricot, bnous hjouons tous à roule-barricot, bnous sommes tous qui jouons à roule barricot, tous et toutes nbous jouons à roule-barricot, nous sommes ensemble et eznsembkle (innocemment) nbous jouyons à roule barricopt, l’innocence est lm’ oeil hagard de l’enfance rude, le temps est déposeé sur roche comme une enclume, ça pèse que ça pèsera ! le temps passé est une enclume sur paroi de roche , ça pèse son poids de ta race balnche (pour toi) etc, je vais et je viens, je suis l’homme ou la femme des passages, des passages travaillés, des jeux examinés, des regards appuyés sur la roche : dessins de betes ressemblan,tes, gravures à l’unisson, je grave le cheval d’attaque, le bison busqué, l’aurochs de la plaine, l’ours des cavernes, la jument belle, le vautour , le cormoran, le beau de la belle etc, ou pas de cormoran mais des betes de rage à la place, cvommê ces mùammouths, pumas, lions, ou buffkles, etc,; pas de vautour, pas d’oiseau ou peu, mais buffles des données de rage, buffles buffant sa race dure, trépigna nte, hurlante ou même gueularde, etcx, nous aimons les betes de poids qui en nous imposent leur superbe, et voilà pourquoi ce sont elles que nous dessinons en première instance et principalement, bnous sommes deux (????????????????????????????????????????????????????? ??????????????????????????????????????????????????????) (!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!) qui ici dessinons ces betes de poids, nous sommes deux , et nous dessinons des betes de poids, bnous disons que nous , nous des- sinons des betes de poids, nous parlons de poids et nous dessinons des betes de roche, nbous aimons dessiner ces betes de roche dure sur paroi de grotte, sur parois nues, nous les dessinons à) main levée, nbous dessinons ces betes avec des bâtons de bois brûlé, nous dessiinons des betes fortes, des betes que nous voulons fortes et massives afin de plus, toujours, impressionner, afin d’en jeter à rabord ! nous voulons intimider peut-être pas mais impressionner et que l’auditoire en reste baba ! dieu baba pour ainsi dire, ou dieu-mort baba ! ou La Mort baba , etc! cela est ! cela est ainsi que celka est ! il en est ainsi que cela se trame ou se passe ! trame-passe, de rage, ici bas, pour un passage dans ... l’au-delà de ta rage ! de ta rage ou de ta tace (pareil ?) ou comment ? nous nous affolmons le b aton en mzain et traçons dès lors ! nous sompmes en lévitation ! nous voulons comprendre les données du monde et pour cela a ller à charge dure, travailler (au corps) les données, prendree par le bout la chose rude et la ficher sur roche vprojetée, comme une terree glaise porte à dessiner ces betes, ces données bestiales, mots de rochje a nimzliers dès lors et couvant sou roche leur vitalité ou leur virulence, qui sqait ? nous disons : leur virulence = leur vitalité ! nous voulons comprtendre les données de base, eyt ne rien louper de la parade , nous avons (pour nouds) le sang qui bout et bat en nous, nous savons des choses : nous savons que nous ne savon,s rien, voilà la Chose, nous savons ... cette chose, comme quoi (hé hé, pas vrai ?) nous ne swavons rien ! foutaise ? nous savons ? nous savons une cghose ? nous savons que nous ne savons ... qu’une chose ! et cette chose est quoi, cette chose est celle ci : comme qyuoi (hé hé) ... nous ne savons rien ! mais ... cela est faux ! on le voit bien ! alors, que dire et comment s’en sortir ? comment se dégager de cette cxhose cclose ? nous ne savons pas ! nous voulons savoir ! nous voulons comprendre les données, les plus enfouies dans la roche : l’aurochjs est il de compagnie ? le renne est il renne ? l’antilopê a telle de quoi nous donner du sang ? qui est qui ? qui veut ma voix ? quel est cet hommùe ou femm des cavernes, accrochée à la roche des temps ? quel est son petit nom ? a t il, a telle un petit nom et si oui quel est il ? bnous cherchons ici une vérité quyi puiise azller c’est à dire co nveniçr à notre gouverrne animalière en nous, cette chose (rude) des données de base, quoi est donc ici en ce lieu rocheux la donnée de b ase, le summumn, le «bas de casse initial», la paretie débutante, le pilpoil de la rage, le tombeau ? quel est ce tombeau ? nous chercghons ensemble à dénichger , nbous cherchons à dénicher, ensemble, les données brutes, noyus voulons eznsemblke trouver , bnous voulons ensemble débnicher les données brutes, oiselets de l’ame, ou quyoi d’autre ? poussins ? nous voulons savoir , nouys voulons comp^rtendre, nous voulons percer la roche, nous voulonstraverser la roche, bnous voulons toucher le coté impair de la roche,
nous voulons allef de l’autre côté de la roche,
nbous voulons de l’autre côté de laroche aller,
nous voulons de l’autre côté aller cde la roche,
de la roche allezr de l’autre côté et dès lors toucher la bete gueularde (pour la faire taire ? qui sait ?) et cela fait nous déposer ? nous poser ? bnous reposer ? poser de soi ce temps passé qui est notre présent (offrande) donné,; ? nous cherchons par où passserr, nous ne savons pas par où passer au juste et c’set cela même que nbous recherchons ensembvle, nous voulons comprendre et toucher aux sens (pour ainsi dire) de lma marche rude e,n paroi de rocghe, les toucher = les comprendre = les prendre = les maitriser = les tenir fortement contre soi et ne plus les lachezr, les sens = les données, les raison,s= (ici) ce qui préside et initie, etc, les mots de rage des départs, les mots premiers, les pilotes, les tombveaux (?) ou tombreaux de base , ou quoi ? car, qui sait ce qui est qui est du début de larage ? qui connait lkes tracés de base ? qui sait ce qui préside à un enfantement ? qui a vu le loup dans la bergerie ? qui a cru au loup dans la bergerie ? qui pense à ce loup en termes de donnée primaire ou première ? le salut par le feu ? le chenal menant aux catacombes ? le passdage étroit de la roche des temps soit des temps anciens ? l’aboutissement poa riétal ? l’aurochs ? le cheval ? le cheval sur roche ? nous passons ces betes en rezvue, ce cheval coursant, cette antilope, ce cheval de poids, ce bison -fauve, l’attribut, nous vooulons comp^rendre ce qui est et qui semble nous regarder , ce que c’est qYUE ça ! ce que c’sst que cette bete des attraéits, cette bete forte, rude et dure, ce chenal-passage à l’envi pour une tracversée des destinées communes, nouys voulons comp^rendre au mieux les données des cieux, des cieux étoilés de la roche endiablée (incantatoire) ,
nous voul:ons aller en roche ainsi que nous disons : à la bavarde comme de juste, ce besoin,
noyus disons que nous voulons toucher la roche dure et ne plus pleurer n os larmes d’enfant mais rire de la hjoie (ouvertte) de l’homme de céans ,, l’olibrius aux doigtdss de fée, l’homme au teint halé , traçant sur laroche, betes fauves, ou traçant sur roche de ces beztes fauves des temps reculés, nous voulons savoir (de cet homme) les données cde base : nom et qualités, ses mesures (poids, taille) et, sa pensée, ce qu’elle est :
à quoi pense t il ? qu’a til sdans la tetecqui le turlupine ? à qui pense til ? que se dit il et que dit il à haute voix ? sait il le nom des b êtes qu’il dessine ? a t il un nom en lui pour chacxune des bestes qu’il représente ? qui est cet homme ? que mange til ? que chante t il ? que jou e til comme morceaux dans son pipeau ? est il un musicien de l’âme ? a til la foi ? sa foi est elle princière ? a t il en lui un,e foi ancrée et si oui quelle est- elle ? est il hommùe de la destinée tragique, ou au contreaire comique, ou tragico-comique ou comment ? est il un homme de princedsse ? ewst il couverts d’ors et d’argent ? a til une recette pour vivre longtempsq ? que chezrtche t il dans sa musette ? esyt il un enfant ? est il perdu dans sesq tourments d’enfant ? a t il une raison primaire ? cherchevt il )à toucher le sang en lui de sa colère ? que vezut il ? qsui erst il ? qsue nouys dit il à travers lkes âges ?
nbous cher chons à d»écouvrir — des choses ancrées dans la roche du temps, nous voulons aller loin dsans la roche, le plus loin possible, nous voulonsaller le plus loin possible dans la roche des temps impartis par la bnande, nous voulons ensemble aller, creuser et toucher , nous voulons creuser kle temps et toucher à cette «vérité des tourments», les dépasser, trouver la faille et nous immiscer ... par le chant ! nouys devons comprendre ce quiiest qui nouscregarde avec insistance tout du long de notre arrivée ici en roche, et cette chose qui nous- cregartde, porte un nom : avidité ! oui avidité ! cette cxhose devant soi , qui se porte là ou se pose là, devant nnous, qyi devant nous sepose là et bien là, cette cghose porte un nom sur elle (pour elle, en elle (?) ou commentv ?), et ce nom est c elui ci : avide avidité ! avidité ! avide avidité de roche dure ou : de la roche dure , oui ! nous savons cette cxhjose , nous connaissons, nouys avons dees connaissa,nces, bnous ne sommes pas à ce point inculte pour ne pas connaitre le nom (ou petit nom) de la Chose en soi qui nous gouverne et nous tient à bonne distaznce tout du long =
tout du long de notre vie,
elle nous regarde, elle nous a à l’ oeil, elle ne nous l^-ache pas, elle est «quelqu’un», et cette Chose , dès lors, porte un nbom précis ,, pas n’importe lequel : avidité, ou Avidité avec un A majuscule, forcément ! nous l’avons trouvé ! nous avcons co:mp^ris ! ce nom c’est nous autrezs qui l’avons trouvé et nous n’en sommes pas peu fiers, car , il fallaiot le trouver ! ce n’était pas donné ! ce nbom était bvien ca ché et il fallait y aller pour le trouver c’est à dire le dé-nicher ! Avidité est le nom de la mort, la mort porte un njom qui est «Avidité», il y a conseécration, il ya conception, il y a adoration, il ya adulation, il y a tout un tas de nom du même genre mais le bnom (le vrai) de la mort est ce nomlà, d’avidité avide, etc, nous l’avons trouvé de nous mêmes (en cherchant un peu) et nous sommes fiers de notrectrouvaille (oui) car il fallait y allezr (sûr) , la chose en soi était loin d’être donnée, il fallait la chercher, avoir de l’idée, aller au turbin, ne pas faignanter mais creuser la roche au stylet etc, dessiner dxes betes de treaits ou d’attraits etc, et cela sur roche, à la lumière des §torches, du vif et du vivant flammesque, etc, il fallait trouver ! ce n’était pas donné d’emblée ou de soi ! avidité est le nom de la mort = avide + ité , ou comment ?
car dans avide il y a (qui s’entend) « à vide « et quoi de plus ?
dans avide il y a «vie de» , etc, je cherche à comp^rendre, je suis l’homme du dessin dxe roche, MON NOM est perdu )à tout jamais, mais a t il nécessairement exisqté un jhour ?
MON NOM est nom dxe trivbu... de rochge ! je dessi,ne à) main levée des betes de xrage, la mort est comme avide d’en manger, la mort avide est prête à dévorer de rage ... la rage! nous pouvons co:mprendre : elle a cfaim de fin ! nous pouvopns savoir et pîger, trouver et toucher, collezr et pleurer , que la mort restera (quoi qu'il en soit) avide devant soi : ce vide de paroi à décorer ! ce creux à graver ! cette roche meuble à ornementer par la bande temporelle d’une vie de gvrâce allouée ! nous ne pleurons plus mais chantons à l’unisson nos cheants de betes tracées, nous chanto,ns nos chantsq stellaires, nous sommes hommes et femmes élevées dans les airs de la rage du sang, nbous ne voulons pas trépassser incidemment, nouys n,e voulons pas mourir et glisser, nous ne voulonsq pas trépasser et dispâraitre dans le firmamùent, nous voulons demeurer vivant et tenir, ne pas tomber , ne pass reculer, venir, bnous voulons venir, je veux venir, je suis celui qui veux venir , je veux venir ! moi je bveux! moi je le veux ! je veux venir ! je veux venir ! tel est ici mon cri xde base : je le veux ! je veux veznir ! je veux venir ! je veux venir ! je veux venir ! je veux venir ! je veux venir ! je veux venir ! ke veux venire ! mon envie la plus grande estr de venir ! mon envie la pl;us grande = venir ... avec vous ! je veuxc +++ venir avec vous ! je veux mordicus venir avec vous ! je v eux ! je veuxs ! je veiux ! veznir avec vous ! je ne veux pas rester ici mais je vbeux venir ! OH JE VEUX VENIR ! JE VEUX VENIR ! JE VEUX VEZNIR ! JE VEUX VENIR ! JE VEUX VENIR ! je ne veux pas rester ici en roche des temps impartis mais venir avec vous, avec vous là bas, avec vous ici = avec vous ! je ne veux pas du tout sombrer dans le sombbre et tomber dans la tombe mais vbenir ! vebnir = aller en roche dans la profondeur, venir = dire = aller dans le dire ici formulé ! je du dire-aller en roche, je du dire d’aller en roche, je de ce dire d’un allezr en roche = voeu, ce voeu, cettye cxhose du vouloir a ller coute que coute et pourquoi ce»la ? car je ne veux pas (jkamais) rester sweul en roche, ou plutotv: votre envcie me fait trop envie, en moi l’envie est :
massive, grande de cxhez grande, considérabmpement marquée ou imprimée ou placée ou mise, cette envie en moi est prégnante, est énorme, est lza plus grande des choses,; est en moi la plus grande des choses = l’en vie ou le faitr xdêteze en vie = cette volonté massive en moi que l’enfann,t (en moi) tyraduit de la sorte en disant «je veux» , c’est à dire «moi aussi je veuux,
venir avec vous «, voilà la phrasxe, et je répète
je répète celle cxi :
«moi aussi je veux , venir avec vous «, l’ensemble de la phrase est ici comme ultra-codé si on y prend garde; etc, «je veux moi a u s s i venir avec vous», «moiaussi je veux venir avec vous, entre vous» , etc, cette phrase a une i:mportance considéravble dans la vcie de l’homme ou de la femme des caver nes et aussi da&ns la nôttre obligatoirement, cette phrase de l’enfant qui dit que lyui aussi il vzeuut venir etc, ce n’est pas une petite affaire, il s’agit d’un e affaire de poids, de taille, imposante, lourcde de sens on l’a compris, il sq’agit d’une affaire de grande taille et x’un poids conséquent on le voit : quiui est qui ? qui dit quoi ? qui est qui qui veut de quoi ? etc, l’enfant pèse en nous son poids , de passé révolu , à devoir (de fait) déposer sur roche (incantations, tracés, betes en veucxx-tu en voilà au charbon de bois) et ce qui est sur roche (visible) est donc le résultat de cette envie ici dxe l’homme naissant, de la femme naissante, cette envie en lui ou elle, de venir au monde parmi nous,; etc, il est cette chose ici comme une évidence, l’homme ou la femmecdes cavernes, est l’homme ou la femme du sang dans les veines, de ce sang princier qui orne les roches des grottes cachéesq, nous disons princier pmour dire la hauteur des cxhoses, nous voulons cxom^prendre ce qui est , et pour cela, bnous cherchons de conserve (communément) des choses de poids = qui pèsent, ici, dans la balance des tourments, et ce que nous trouvons ... parfois vaut le coup cest une évidence, car, parfoios, bnous trouvons de quoi (bnous remmettre, nous repaitre, nous reswtaurer, nous susqtenter, nous conso;:ler , etc) : vivres cde joie commune, phrasé lancinants donnant le tempo à la roche, treacés clés en main à portée de paroi, douceurs et autres clameurs, etc, nous cvou:lons venir avec vous ! nouys voulons nous aussi venir ! nous ne voulons pas reswter, nous voulons venir ! nous ne voulons pas rewster mais venir a cvec vous ! je veux moi aussi venir avec vous ! moi aussi ! moi aussi ! moi itou ! moi aussi je veux venir ! moi aussi je v eux venir ! moi aussi je veux venir avec vous deux, avec vous autres, avec vous qui pârtez, qui allez ailleurs, quyi allrz voir du pays, qui vous déplacezr, etc ! moi aussi je vezucx venir vous accompagnezr ! je vezux venir , je veux aller, je veux suivre, vous suivre, moi aussi je veux vous suivre, moi aussi hje veux venir, moi aussi je veux venir, moi aussi je veux vous accompâgnezr et du coup ne pâs rester, je ne veux pas rester ici à m’i ncruqster dans le paysage, je ne bveux pqas de cette cbhose, ce que je veux ce nb’est pas cette chose, ce que moi je veux c’est cette chose = cette cxhose de venir, mùoi je veux venir, moi aussi jne veux venir, moi aussi je veux cette chose, je veux pas reswter, je ne veux pas cette cxhose : rester, ne veux pas de cette chose : rester, ne veux pas de cezla qui est que je serais de fait à devoir rester, moi ce que je veux c’est pas cette chose mais le contraire car ce que je veux c’est cette chose de venir me joindre à vous , c’ssxt mon envie, c’est l’envie en mùoi la plus grossee, la plus i:mpôsante : aurochs massif, dire massif, une langue de boeuf complète, poidfs massif, du massif costaufd bien lourdaud, pas de la gnog note, du massif bien lourd bien costaud, qui tienne le choc, qui le fasse ,une encvie de ouf, une nvie massive soit l’ENVIE MASSIVE s’il en est, l’envie bien lourde, biezn en chair, cette envie de mpoids qui en jette grave, qui montre ses den ts, «qui le fait» à mort, qui en jette des tonnes (ouh le poids de la- tonne tu le vois !) et moi d’écrire ainsi cette chose, comme quoi la mùort a à bien se tenir, car, l’envie de l’enfant est massive et va de l’avant (e,n pleine roche),
comme un tourment ronge sa chjair,;
ou comme le xsang v a, qui circule (gaillarcdement) xans les v eines et artères d’un corps , d’homme cdes ca vernes ou d’une femme des cavezrnes, je cher che et trouve des donhnées de baswe, des données tracée et ça le fait grave, ou ça le fera grave n’(aies crainte, n’aies crainte que ça va le fzaire, car :
je trace (à l’envi) mon envie de rage, cette cbhose en vie tracçante ou commen t dire ceztte cxhose, d’une en vie en soi qui est ou serait cette envie de rester envie en venant au monde ! en naissant ! parmi nous ! nous toutes et tous = NOUS ! nous qUYI sommes une somme d’envies en vie et pas en mort ! nbous ne vcoulons pas de la mort , nous ne voulons pas de lma mort, nous ne voulons pas de la mort ! nous ne voulons pas cde laz mort ! voilà notre envie ! noius ne voulons pas de la mort ! nous voulons reswter en vie ! nous ne voulons pas de lma mort ! nous voulons reswterv env ie ! nous ne copulons pas de la mprt ! nous voulons rester en vie ! nbousne vou:lons pas de la mort ! nous voulons rester en vie ! nous ne voulons pqas de la mort ! nous vopulons rezster en vie ! nous ne voulons pqas de lmaz mort ! nous voulons rester en vie ! nous ne cvouyl;opns pas de lma mort ! nous voulons rester en, vie ! nous ne vopulons pas cde la mort ! nous voulopns reswter en vie ! nous ne voulons pâs de la mort, nous vopulonsrewter en vie ! voilà notre envie la plus ghra nde, lma plus massive, la plus bestiale, la pluqs vivrante, la pl;us fine et forte, la plus ressemblante à une vie en vraie trébuchante, etc,; nbous voul:onsa ller loin ici dsans la démesure afin de faire accroire au dieu de la mort, qsue bnous sommes ainsi qui offrons de nous nbotre vie en vrai (sur la rochje) or que non, bien entendsu, il n’en est pas quesqtuion : nous ne vopulons pas mourir, bnous voulons reswter en vie et nous le disons, à notre façon, d’hommùe ou de fezmme des cavernes, nous ne lésinons pas sur les moyens pour dire lma cxhose, nous devons cette chose faire = dire, dire = faire, faire un dire ainsi sur roche : bouquetins, car, le bvouquetin dressé est notre dire vif (à cran) qui peut peut être en imposer géant au die u de la mort dure, de la mort sure, de la roche dure, de la mort en roche ou comment ? nous faisons de ce fait ce deswsin de roche ... pour dire la Chopse, cette chopse comme quoi ... la vie en nous est conservée par devezrs nous ( bien malgré nous) et que dès lors, ce qui de fait est cdéposéé, da ns la roche desx temps imp)aertis, est un succédané de vie = un dire-faire de première, langage articulé, fleuri, brûlé ou nacré mais qUI, quooi q’u il en soit, n’est pas de la vraie vie d’envie de base, pas du tout, seulement le temps ou son tempsdétaché, etc, nous savons que nous avons à dès lors ici nous excuser de cette chose, nous en excuser en haut lieu, voilà le hzaut lieu de la vgrootte, a lors excusons nous : main sur roche ! les mains sur la roche et plus vite que ça ! mains squr la roche, allez ! allez les mains ! haut les mains ! les mùains sur la roche, sur la roche de la grotte ! allez lezs mains ! hqaut les menottes ! allerz ! et nous (commùe de bien entendu) d’obtemperer à cette adjuration ! que faire xd’autre ? que faire dee plus ou de moins que d’obtemperer à cette ... adjuration parioétale p^rincière ! rien que ça ! aller ezn roche et a pposer la main ! dire amen à la pâroi ! dire nos envies de vie, qui l’emportent, etc, nous cherchons à nous in filtrer, nous voulons nous placer ainsi et trouver de quoi bnous rassasier, en termes de connaissances primaires,etc, nousq voulons comp^rendre p^lus plus plus plus ce qui est, en cette sorte de paroio d’homme des cavernes, c’eswt à dire : en cette zone de repli, pour un homme envahi par la bande, l’homme des c avernes est un hommùe envahi (de pied en cap) pa r (en lui) cette bete des parois dite surnuméraire, parfois : un doigt de pl:us à une (sa) main de roche,; qui l’eut cru ? nous touchons du doigt (de ce même doigt ?) la bosse dxe la roche, tatons la Chose, nous rions sous cape les dires nacrés, et ce faisant ... nous poursuivons nogtre c hezmin de sape, de xapeur-pompier, de grosq trtravai;leur de l’asphalte (= le chemin) :
sur roche, sur paroi, au co:mpte-visage eetc : nous savons co:mptezr : une main, deux mains, trois mains et des lendezmains, bnous disons maintenant la chose , sur roche gravée, une somme, tout un arsenal, nous pleuron,s de hjoie, nous sommes etres de harde (folle) sur roche, bouquetins des termes, mots-betes de joie , jeu de rochje au calciné, au bois brûlé, à l’arraché, etc, nous disons nbotre envie de roche, bnotre envie cde demeurer vivant coute que coute (goutte à goutte ?) et de ne p^zas mourir, car ... bnous ne vopulons pas nmourir, merdum ! notre envie
est l:ogée à l’abri ,
des temp^s menaçants, notree envie est une envie lovée, bnotre envie est de rester en vie, sur roche ou au-dxelà, aileeurs pourquoi pas, notre envie se borne ainsi, ezn x-ces contrées, d’un dire tra&cé (sur roche) au bois brulé, comme : bouquetin de roche, ours desq cavernes, chevreuil boisé, biche élancée, aurochs de rage, bison futé
30/6/2021
nous sommes deux en cette roche des temps alloués, nous nous avançons, nous allons profond, nous voyons près de nous des betes de roche et ce sont bouquetins, aurochs, rennes, chevaux, antilopes, mammouths et lions des cavernes, nous allons en roche comme en religion pour des festivités de type
«pariétales» , et nous nous infiltrons en pareille paroi au bplus profond d’icelle si possible, à la recherche d’une vérité ... qui fasse le poids, le bobn poids de sa bete-mot, bete-mot de rage, acculée sur roche, bete rage des parois du temps, nous nous immisçons dans les entrailles, nous sommes vivants bel et bien et regardonds passer les betes devant nous, près de nous, autour de nous ou derrière nous, ce sont de «belles betes» de roche du temps, aurochs surnuméraires, chevreuils adoubés, cerfs de première portée, chaleurs, nous nous enfonçons en des méandres pariéteuax de bord de mer, nous allons profond;, nous fouillons la roche à qui mieux mieux à deux, nous aimons la roche et aussi nous l’embrassons de concert en nous introduisant en elle, fissa, comme un dératé, comme des dératés de roche première, à la gaillarde, genre foutrage etc, sur roche des temps assoupis ou comment ?
nous nous infiltrons en cette roche des parois, des parois meubles ici ou là , et entrons plus avant (de concert) en elle ... vers la vérité du temps, en cette direction votive de la verité, des temps de vérité, etc, soit vers ce V des vérités natives, à l’arrache-pied ou comment dire cette chose d’une chose vive, brusque, à kla racine ? nous allons gaiemen,t en cette roche du temps imparti à une vie rupestre, nous gagnons du large, nous filons tout doux vers les embruns de ce fin fond de roche à l’horizon, nous sommes amis, nous sommes les amis d’une roche de vie, roche dure pour la vie etc, nous nous avançons, nous sommes rugueux, nous sommes associés dans une même action pour ainsi dire de recherche active d’une vérité de bon aloi, nous aimons la roche d’amour et nous l’écrivons , à même la paroi du monde ou comment dire cette chose d’un amour humain de pleine mesure ? qui pour nous aider dabs cette tache ? nous cherchons vérité des temps alloués, nous voulons savoir, comprendre, percuter, charger sur roche, traverser vles embruns lointains, aller fissa vers cette fin de roche tendue, cette image de fin fond de grotte , cette roche rude percée, cetrou de destinée native, cette rage, et c’est ainsi que nous nous infiltronds à deux, main dans la main, au plus lointain de pareille percée ici dans une roche, via la roche dure puis meuble, en des épousailles pariétales raallongées, nous nous épaulons, nous nous aidons lmuytuellement, nous sommes deux qui ensemble nous avançons vers ce moment de fin de roche pleine, vers le trou du fond, ce trou «de roche lointaine», «des embruns», une percée vers des embruns de rochev lointaine, nous voyons la mort approcher, qui est elle ou quoi est elle ? elle ? il ? ou qui ? qui peut légitimement dire ? qui a le droit de dire «la mort « ? «la» ou «le» d’abord ? ou bien ni «la» ni «le» ? qui pourra nous dire une chose DE POIDS surr elle ou il ? il la mort ? elle ? qui donc nous dira une chose DE POIDS «mille dieux» ! qui ? qui pour dire une chose de poids sur la ou le mort, le / la mort ! qui ? qui peut parler dûment, qui pour parler décemment , qui pour parler vraiment, qui peut parler intelligemment à propos de la mort, de ce mort de vie le , de ce mort de vie la , etc , qui peut ? nous cherchons ensemble des choses «à voir», choses concernant la mort soit la mort à l’oeuvre en pareille roche, où se situe-t-elle ? où est mort la belle en pareille roche ? qui donc nous dira où cette chose rosse de la mort à l’oeuvre est ici bas ? qui sait cela ? qui sait cette chose ? qui sait ce qui est, en pareille roche des temps, à ce propos ici de la mort à l’oeuvtre, et d’abord ... pourquoi «la» et pas «le» par exemple ou tout autre article défini (indéfini ? ) , oui pourquoi ? pourquoi « la mort», et pas autrement ? pourquoi on dit «la moprt», pourquoi on ne dit pas «le mort» pour dire «la mort», par exempl ? ou «les morts» pour dire «la mort» , etc, pourquoi ? nous disons «la mort en roche» (ici bas) et cette mort est devant soi (sous nos deux yeux ou quatre yeux) et se pavane ! qui est elle (disons «elle» ) ? qui est devant nous qui se pavbane «oubvertement» ? nous pensons ici à la mort comme à une ouverture dans la roche pleine, un trou de passdage, or ce trou est borgne comme un coquillage on le sait, le trou de la mort est ... un faux trou, en cela qu(‘il ne traverse pas les apparences et reste en deça, pour ainsi dire : petit trou de basse fossse en notre terre mère ... et basta cosi pour ainsi dire ! or bien évidemment cette chose pour nous est loin d’e^trte dsatisfaisante en termes de connaissances, de savoirs sur un sujet du coup comme celui ci, nous voulons savoir des choses ensemble dans la profondeur du temps et non pas quelques bricoles de pas grand-chose, nous sommes friands de savoirs profonds, qui vont loin, qui cherchent loin, qui vont à chercher loin, qui ne s’arretent pas en chemin, qui ont pour ambition d’aller fort loin en ce paysage de la roche dure de grotte rupestre, etc, nous savons cette chose , nous en parlonsautour de nous, nous sommes deux, main dans lma main, à chercvher de fait des vérités de roche concernant la mort ... à l’oeuvre sur terre : où se situe-t-elle ? ou vit-elle ? où se loge-t-elle ? comment vit elle = cde quoi , etx,c, nous cherchons ! nous ne sommes pas en reste de chercher ! nous cherchons enveux tu en voilà à qui mieux mmieux de conserve à deux, en cette roche des abois de roche, en pareille roche aux cris gutturaux, aux musiques de fond genre atmosphériques etc, nous nous donnons la main à cette fin , qui est celle d’en connaitre un bout sur pareille question de trous et autres percées, et autres échancrures de parois, et autres fissures dans le pli du temps, et autre excavation finale, nous avons ce souci ppour nous de chercher (profond) à deux, mains jointes, mains soudées, ou accolées, nous allons de ce fait en recherche active solidaire, nous nous blotissons en pareille paroi vers ce chemin d’ouverture princière ... qui est ce chemin (pour ainsi dire) de la Voie Royale vers la destinée (?) de la fin des temps ici impartis, nous nous avançons de concert : écoutons le bruit des embruns sur roche, nous voyons la Chose (?) se dessiner dans le ciel, elle nou!s apparaît, elle arrive, elle est là pour nous sous nos yeux d’enfants ébaubis ! vive la vie disons-nous, pour mieux l’effrayer ! mais elle ne s’effraie pas ! vive la vie vive! vive la vie brusque , la vie folle, la vie rude, la vie incandescente, la vie gueularde, la vie d’une injure (toute) proférée, la vie du cri de la bete en chaleur, la vie du cri de la bete mourante, la vie du cri de la bete efarée ! nous gueulons mais la moprt ne bronche pas , elle ne bouge pas, elle ne se déloge pas, elle ne se décèle pas, elle reste sur ces positions de roche, elle reste en place bien campée et nous regarde fixement et sans tremblerr devant nos cris de bete-mot ou d'homme- mot, bête-mot ou homme-mot de que dalle, en cvrai ,
elle est toute bien positionnée sur ses guibolles de roche dure, elle est cette mort qui, devant nous (devant !) apparaiot pour nous (gouverne) en son apparence de trou borgne, de bouche de vie, d’échancrure à un habit, de chandail nacré-bleuté etc ! nous voyons la mort devant nous , elle nou!s observe, elle ne nous quitte pas des yeux, la ... «coquine» ou ... comment on peut dire ? elle nous regharde sans cesse, elle est cet oeil qui ne cesse de nous observer, elle est l’ oeil de roche pleine, cette chose rude devant soi = une ouverture de paroi (boyau ?) qui donc est là, sous nos yeux hagards, qui se loge (ici bas) sur roche, passage à trépas, oh malheur ! certe pas ! disons-nous, , car nous ne voulons pas mourir si vite ! nous tenons par trop à la vie de roche (même rude !), nous ne sommes p)as prêt et prêtes à passer à charge de la sorte = à mourir de notre belle fin de vie de roche , non ! nono ! non! non ! non et non ! car lma vie pour nous = des attraits de roche dure,
= des attraits de vie racée,
bisque de la rage toute acidulée, pour nouys, en pareille roche, et du coup non et non ! nous ne sommes pas d’accoàrd pour devoir mourir si vite fait, merdum ! nous ne sommes pâs d’accord pour si vite fait merdum devoir mourir, nous ne sommes pas pour, si vite fait, allaer )à lma mort merdum , nous ne sommes pas deux, à vouloir si vite passer à trépas, nous ne sommes pas deux ou trop de deux à vouloir si vite passer à trépas, nous ne sommes pas à vouloir si vite, aller à trépas, à deux, la mort dure, nous si si vite allons à trépas la mort ne voulons pas, nous si vite la mort et trépas si vite, de la mort la dure ne voulons pas, nous la mort si vite trépas ne voulons à deux l’aborder, que non = que non = que non = que non ! la mort soit la mort de roche, ne la voulons pas aborfder (tantot) ici bas si vite ! nous ,ne voulons pas de la mort ! nous ne voulons pas de cette chopse termineuse, nous voulons de la vie affreuse peut être , il se peut, et cependant ! car voilà, pour nous, la vie = quelque chjose ... et non pas rien ! merdum sur toute la ligne ! nous cherchons la vérité, nous solmmes en quête d’une vérité sur roche dure des ap^p^rêts, nous cherchons une vérité vraie de roche dure, une de ces belles vérités nacrées, bleiutées, acidulées, rapides, élancées, vives et racées etc, qui a du chien et aussi peut-être de l’entregent, qui sait y faire calmement, non du tout excitée du bulbe mais posée et reposante : une merveille ? nous l’aimons ! nous cherchons icelle vérité d’une roche pleureuse ou sinon comment ? cette roche des temps rupestres, des temps des cavernes, des temps répartis aux hommes et femmes des cavernes de l’histoire ancienne , nous chercghons à) qui mieux mieux pâreille ouverture, ici, de roche dure,
nous cherchons à comprendre la mort en ces grandes lignes pariétales, ou même frontales, nous cherchons à savoir ce qui est sur roche pour nous, nous cherchons pour nous à savoir ce qui est en roche qui szerait de l’ordre ... de la vérité du monde , des choses du mùonde, la mort par exemple, ou bien la vie brusque et vive etc, vie de roche brûlée, etc, nous pensons que nous devons comme prioriser les notions cernées en types d’importance etc, noyus voulons savoir par degrés, et, ce sur quoi que nous cherchons ou recherchons le plus, en effet, concerne principalement et prioritairement ... la mort ici bas, cette mort de rochge, de roche échancrée, ouverte comme un coquillage, etc, que savons- nous ? de ce coquilage, que savons nous ? nous savons que la mort est borgne comme un trou ... sans grande profondeur ! ou plutot : comme un trou qui «ne traverse pas», voilà le hic ! car ce qui estv ici à dire est cette chose, commùe quoi
si le trou ne traverse pas, ne traverse pas la roche, nous oui : nous avons traversé la roche, nous sommes passés, nous avons troué la paroi à l’aide de nos pics de roche respectifs (= des mots, principalement) mais la mort tintin ! la mport = trou borgne (en vrai ?) de première ! une tombe, une sorte d’excavation à échelle humaine, quelques pelletées et c’est la fin , misère ! aloprs que dire ici qui puisse, pour le coup, nous apprendre ... quelque chose de surnuméraire ? nous disons «la mort» quand nous pourrions en vrai dire autrement, et cependant , nous disonsq «la mort» et c’est là oùu le bêat blesse ! car la mort n’est pas « la mort», la chose n’est pas ce que le mot induit en le disant, etc, nous pensons à cette chose de la mort, comme à quelque chose d’ouvert devant soi : « ouverture de vie devant soi», or il n’en est rien ! la mort est une ouverture ... vite refermée ! il s’agit d’une « fausse ouverture de vie vive », une ouverture fausse de vie morte oui ! , ou cvomment décrire ce ca&veau ? nous cherchons à comprendre ce quyi est en roche pour nous, nous cherchons à comprendre ce qui (pour nous) est ainsi ici en roche qui nous mate et nous reluque et nous espionne et ne nous quitte pas des yeux, nous regarde dans le détail à nous mettree presque mal à l’aise ! nous voulons essayer de comp^rendre les choses du monde, ce qu’elles sont pour nous qui allons en roche à la recherche d’une vérité valable = qui se tienne, qui ait du chien, qyui sache se tenir en société , en chose des temps, en milieu décent, etc, nous sommes deux en ous qyui voulons ainsi cette chose d’une vérité dex temps soutenus, qui voulons pour nbous cette chose vraie qui sache nbous guider, nous cherchons, nous voulons pour nous cette chose d’une vérité qui aille, qui puisse aller, qui puisse convenir, qui puisse nous donner le change etc, nous bvoulons comprendre et sauver de nous ce quyi pezut l’être, nous essayons de nous y retrouver mais ce n’est pas simp^le, car la mort est une entité pleine d’ellez m^emùe et il n’est pas simple de lma détailler et de la décrire sur roche, de la visionner déjà et plus encore de la décrire avec des mots, cela n’est pas si:mple , il fzaut y tater,, il n’est pas facile de comprendre avec des mots derage une chose aussi fuyante que la mort ! certtes non ! et voilà pourqyuoi nous nous attelons à cette tache, de vouloir savoir, de vouloir comp^rezndre , et de voiuloir aller au plus profond de la roche du temps, nbous sommes motivéés grandement, bnous voulons tenir dans la place debout et vivre, noius ne voulons pas mourir, nous voulons tenir sur place dans la place et poursyivre l’aventure de notre vie d’(homme et de femme (simultanément) des cavernes, à pic de percée de roche, à harpons, à flèches, à baton brulé, etc, nous voulons encore et toujours dessiner des betes sur roche, ensemble, en des sortes d’incartades qui sont incantations en lévitations, etc, nbous montons la garde et nous nous élevons ensemble dans la hiérarchgie pariétale, nos dessins se gravent à l’envi, nbous sommpes aurochs de prairie et chiens de garde pariétaux, nous sommes auroches des prés et des bois et aussi cheval de cavalcade, marsupilami pour la blaguie etc, nbous sommes deux en soi qui cheminons comme de conserve sur paroi, nous sommpes deiuux en nouys (en soi) qyui parlons ce langage des spghères, un la la la la comme une sorte de musique des confins, une sorte de chant d’azur, etc, nous pleurons nods larmes chzaudes, nous sompmes émus jusqu’aux larmes chaudes, bnous nous blotissons à même la roche, nbous cherchons la vérité des faits mesurés, quels sont ils ? ou qui sont ils ? que sont-ce là qui nous attend en roche, ou qui ? qui sont -ce ? ou comment ? quyi sommes nous ? nous disons «nous» mais qui sommes nous ? «nous» est il seul en majesté , ou bien plusieurs en minorités ? nous = nous du plus ? ou bien nous = nous du moins ? nous disons que nous sommpes nous, ceux qui disent «je» et se présentent m utuellement personnellement à tour de rôle : je suis je l’homme de la carte ... dans la manche, ici pour truquer, pour faire accroire par du temps de vie que ma vie est offertye pleine, or que tchi bien sûr (on l’a dit) , tintin et milou, rien de tout cela on kle sait bien, on sait cela parfaitement, on n’en est pas dupe, on sait que la vie odfferte dans la vie n’est pas la Vie en soi mais son pendant ou succéedané temporel, et c’est là le hic de l’affaire, ce hic se situe là précisément , c’est ici et pas ailleurs que ce hic se trouve dans toute l’affaire, pas de doute ! je suis je l’homme de la manche, l’homme de la carte dans la manche , hé ! et voilà pourquyoi la mprt est cettye mort de grâce votive, cette mort de pleine confiance, de plainne assurance commùe quoi nous serions fiables et sûrs et sûres etc, or que non ! mais la mort est dupe, non ? on dirait cela ! on dirait que la mort y croit ! que lma mort gobe ! que Mort gobe ! que Mort absorbe et se met grave le doigt dans l’oeil , on pourrait le croire ! car i;l swembkleraoit que ce soit le cas, or nbous autres bnous savons la chose et nou!s ne dison,s rien, ou si nou!s diçsons nbous disons pardon , etc! nous sommes hommes et femmes des cavernes, nous disons pardon de bonnhe grâce, nhous l’avons amère, nbous en avons plein , nous avons en nous plein, nous en nous nous avons ou en avons plein, plein la chose : le baba ! car, m = merdum après tout ! nous ne voulons pas mourir ! nous ne voulons oas mpourir de sitoôt ! nous voulons vivre longtemps = à ljamais ! nous dison,s que nous voulons d’une vie prolongée à l’infini des infinis géographiques, pâs moins ! nous voulons savoir, nous voulons comprendre, nous voulons en savoir long sur la terre comme au ciel, nous voul;ons savoir des choses, nous voulons tout savoir, nous voulons savoir des choses de la vie sur terre, nbous voulons savoir ce que la vie dit de son propre chef et la mort à l’avbenant, nbous voulons comprendre dans les détzails ce que la mort est pour nous en définitive, qu’est ce que c’esst que cette chose -là ? cette mort de roche dure : qui est elle ? notre but est de connaitree le fiin mot de toute l’affaire : tenants et aboutissants notoires, tout du tout, et pour cela nous nous échangeons (« à toi à moi») des mots de roche de type rupestres comme «auriochs», comme «biouquetins»,, comme «étalons-or», etc, bnous ne sommes pas enm â, nque ou en reste de nous échanger des termes de type «mots-bêtes» et autrecmots de bêtes, et autres mots de roche etc, nous sommes ensemble en nous m^remes des etres de peu (ou de peu de foi) qui chgerchons non point misère mais La HHJoie attenante à cette rochge des plaisirs de roche, à pareille paroi ornée par des hommes et femmes des cavernes, hommes et fezmmes dégourdies, fins de la chose, durs à l’épreuve, traceurs et traceuses émérites, grands seigneurs et seigneuries grandes, etcx , nous pensons que nous sommes dès lors en mesure ensemble de comprtendre un tant soit peu ce qui en roche (en mattrière d’arrt) serait à setramer devant nos yeux, nous parlons de cette chjose devant nous (la bete rossse) mais nous ne sommpes paxs incultes au point ensemble d’ignorer que cette bete est un mot-bete datant de temps fotrt reculés qui étairnt les temps de la roche endiablée, roche des incantations rupestres, et des lévitations fabuleuses, nous savons par le menu des choses concernant la grotte , nous sommes savants, nous en connaissons un rayon, nous connaissons beaucoup de choses concernant la roche, cette grotte des apprêts, nous savons un ombre incalculable de choses la concernant et nous ne sommes pas encote prêts et prêtes à lacher du lest ou la bride sur cette question d’une connaissance majeure, d’une connaissance vive etc, nous voulons savoir en nous ce qui est qui voit et dit «nous « , qui va là ? ou qui est là plutot ?ou qui y a t il là ? ou qui est là en soi = en nbous , etc, nbous voulons sqavoir qui parle en otre nom : que nouss ? mais qui, «nous» , heein ? nous voulons savoir des choses, nou!s voulons savoir des choses profondes, nous voulons en savoir long, et large aussi, et profond éhgalement, nous avons des ambitions ! qui sommes nou!s = qui va mourir = qui est là devant soi = que ou quoi est la mort = qui suis je = cette chose d’un e sorte de mesure des embruns, cette chose d’une sorte d’embartdée dand le sas des sas de la roche (aurochs de but en blmanc) et nous voilà touchés comme par la bnande (touché é ou touchés é)-s ?): npous sommes touché (s) : nous nous envolons en séance plènière pour uune sorte d'embardée à même la roche, et sa teraversée de but en blanc (aurochs) pour ainsi dire : aurochs ou rennes, ou chevauix ou bouquetiins, soit des a nimaux de roche primaire (princière») bcomme en vrai bnous les aimons ou comme bnou!sa imons en vrai loes regarder, ici, devant nous, nous sommes deux en nous : nous = deux, deux est le chiffrze, nous sommes = je suis je qui suis je qui suis je qYUI suis je etc, ou commùennt ? nous = je qui est je qui est je qui est je, etc ? nous = cette somme d’yeux en nous (qui matent matent, qui ne cessent de matter matter, ou pas ? ) , nou!s cherchon,s cette vérité
de ce nous de roche , de roche en,diablée, nbous cherchons une vérité dans la roche du tempds, nbous cherchons un,e (peut-etre) de ces vérités de poids qui pèsent lourd dans la balance de notre jugeote ou comment ? nous cherchons une vérité, vérité de roche, assez costaude v(la vérité) pour nou!s soulager dans nos recherches (prononcées) de connaissance : arguments-massue, choc des mots et poids des images ou l’inverse, choc des images et poids loursd dxes mots de la roche= mots-bêtes de paroi du monde, homme-mots de roche dure, etc, nous pensons que nous devons connaitrte comme il faut des paroles d’incantation à devoir chanter, bnous pensons qu’il serait mioeux b(ou préférarable) de (pour le coup) bien connaitre desq par(ioles de chansons de gare, de garde, etc, nous pensons que les mots en bouche sont des mlots de peu vis à vis de la mort et quye par conséquent nous devons chanter nos paeroles de garde, lesz chanter de front, à même la roche pariétyale, en lévitation, comme l’homme ou la femme des cavernes le faiosait sur roche, à brûle-pourpoint et muni ou munie de son bâton de roche pour ici graver, graver à l’envi, des béêtes de treaits (etc) etv monter dans les sphères
des temps alloués , alloués pour sa gouverne,
l’homme ou femme desw cavernes est l’homme ou femme du feu découvert, des pêintures sur paroi de grottes, des incantations votives,
des odffrandes sanglantes, des cris giutturaux,
des incantations armées de mains
appuyées sur roche, etc, un homme ou une femme des cavernes en soi est une bete qui s’est enkystée en notre sein des seins royaux, et nous devons comprendre loin pour combattre la mort qui ici se profile, nous devons loin aller en roche et trouver ... le pot aux roses, où exactemen,t ? là-vbas, dans les confins, au fond du trou de roche borgne, dans le sas, et, ainsi faisant (gambadant) nous nous retrouvons, à chanter de bonnbe grâce les chants pariétaux de roche ou de la roche orneme,ntée, de cette roche des confins à une vie de roche humaine, etc, nous sommes nacrés nous mêmes, le sang est nacré, le sang blanc (le sperme ? ) est nacré, notre joie (surnuméraire) est aussi comme nacrée = rutila,nte de beauté etc, nous sommes «en hjoie» en nous mêmes = je (je suis) en tant que no!us sommes, d’une sorte de partie plurielle en soi (le temps qui passe + la joie + la vie tic taquante + la peine, joie et peine en sorte de chien / contrechien, etc) , nbous ne voulobns pas mourir ! nous ne voulopns pas mourir ! nous ne voulons pas mourir ! nous ne voulons pas mouyrir ! merde non ! nous ne voulons pas ! nbous ne voulons pas mourir tantôt caer, no!us sqommes comme «jeunes de vie», bnous sommes comme «verts et vertes de vie», nous sommes des V de Vie de rage et, hors de questionsz à nos yeux de nous offrir ainsib, en patûre ou en héritage ou en holocauste ou en offrande sur roche àqui que ce soit, nbous avons cette chose en nous, peu-etrte(ce souci du temps, car nous sommes humains et humaines) mais la chose ici n’a pas à peser en l’occurrence, nous ne sommes p)as (que ?) des animaux, diable ! nous ne sommes pas que ça : betes-mots chargeant sur roche vleur misère, non ! nous sommes autree chose, bnous sommes ... des sommes ! c’est dit ! merdum de ta race mère , nous le disons et le redisons, car, mùerdum de ta race mère, il s’a git (pourt nou!s) de comprendre des données, nous solmmes une somme de choses et voilà pôurquoi nous dison,s «nous» à la place de «je» , «je» est une sommité, «nousc»est une somme = ... une somme de blé ? nous dison,s pour nous que nous sommes deuxd, à dire «je» en nous, deuxc = nous = nous autres = nous de même = nous la Cghose = nous la déité en ous = cette chose gravée en nous, qui grave à l’envi sur la roche des temps des b$etes d’apport :
aurochs à monétiser ou rennes des remblais, etc,
nous voulons savoir ... beaucoup de choses concernant la moprt, nou!s voulons savcoir ... le plus possible concernant en vrai, cette chose de la mort à lm’ oeuvre, ce qu’elle est pour nous, où donc se dirige-t-elle , qui est là en elle ? qui est-elle au hjuste ou au dxemeurant ? nous vcoulons savoir cette chose ce qu’elle est au juste ? une amie pour nous ? une amie très chère ? une sorte d’ennemi tout au contraire ? ami ou ennemie jurée ? qui est -elle pour nous ? une panacée ? une lumiè!ere ? une vibration ? une étincelle ? un courzant cde vie ? une cxhaudière ? un amour ? une livraison ? un repos ? une gouvernance ? un chapeau ? une balance ? un quoi qui saura ou saurait nous dire une vbérité de roche en bonne et due forme :
un quoi ? nous cherchons la vérité dans cette roche des attraits de la vie brève ou comment la vie, comment pour nous est cettye vie de roi et reine réunids en roche , comment va t elle ? qui va en elle ? qui est qui sur terre ? qui dit la vérité ? où est la vérité ? qui chante le mieux ? qui comprend» le plus ? qui est le plus fin, le plus radical, le plus malin, le plus chenapan, le plus intelligent parmi ceux et celles qui sont gouvernances de tete terrestre ? qui donc nhous dira ce qui est au juste en cette roche des embruns et des attraits royaux, qui saura nous éclairer de sa lumière ou de sa gfouverne ? nouds ne qsommes pas bien intelligents ni intelligentes, nous ne sommes pas bien éclairées, nous cherchons la vérité pour ainsi dire dans les coins qUand, peut-êtete, est- elle située ailleurs, ailleurs dans le temps : ... la musique ? nous pensons, et du coup nos pensées fluctuent, qui «se chercbent», et qui ont pour nous dees allures de succédanés sur table d’offrande !
hnous cherchons ensemble à comprendre ce qui est en roche, ce qui donc se trame sur roche, ce qui ici surnage, ce qui ici se présente à nos yeux : l’homme ou la femme des cavernes est donc un animal de choix (= racé), l’homme ou la femme des cavernes parle b as un lmangage de bete, et haut un langage de tete, l’homme ou la femme des cavernes a sa faconde, son envie de vivre, et cumule ! lo’bhomme ou la femme des cavernes chante (dru) son chyant guttural de roche percée (direction : la mort !), l’homme des cavernes est homme-femme de destiné&e, l’hommùe des cavernes ... est la femme ouvezrte, l’homme des cavernes est homme-femme , de joie de rage, sur paroi (et en lévitation) , l’homme des cavernes enteznd des voiox, l’hommùe des cavernes a un coeur de rave, l’hommùe des cavernes «est» 3 raves à son chemin ... ou comment dire : « a «? l’homme des cavernes est fille de hjoie drue , l’homme des cxavernes absorbe le temps dans sqon anttre (ventre) et sait le recracher fissa sur roche, au pôchoir pour ainsi dire, et voilà la main, dessinée sur roche ! l’homme des cavernes est un animal à sang chaud mais pas sezulemen,t , l’homme des cavernes
est un orang-outan, une gazelle, un cheval, un phacochère incidemment, un renne des prés, une chouette chouette etc, l’homme des cavertnes entend mal de près, l’homme dfes cavernes ets l’homme à la t^tete brûlée par la ba,nde, l’homme des cavernes a mal à sa gangue, l’homme des cavernes est (lui aussi) acidyulée (ou alors aigre doux ? amer ?) , l’homme des cvabverners est l’homme d’un trait (trait de pique feu ?) sur rochge de grotte,
l’homme ou la femme des cavernes, aime son procheain (prochain ou prochaine), comme lui ou elle-même dit , l’hommevdes cavernes a une sorte de blessure (blessure de bouche) à devoir traiter, l’homme des cav ernes a une langue dite «de feu» en bvouche, l’homme des cavernes parle peu mais parle sa langue de rage, l’homme des cavernes en,tre dans la roche et s’y loge fissa tete la premùière, l’homme des cavernes aime la vie de roche dure , l’homme dez cavernes est (tout autant) animal à sang blanc égalemen,t, l’homme des cavernes est aussi la femme des ca v e r n e s est aussi l’enfant des cavernes est aussi la bete des cabvzrnes, etc, je sui s un homme des vcavernes comme flamboyant à la lumière des embruns nacrés, je m’a vance en pays de hjoie, MON NOM s’afficxhe ici à l’entour, l’art est la chgose en accompagnemùent d’une embardée votive de paroi, hje vais et je viens en roche tourmenté par en moi la plainte de la bete-mot, nous(bete et moi) disons ce qui est : le langage et moi, nous (le langage et moi = ma langue et mooi- même)nousnousa llongeons dans la reoche et nous rtegardxons toutrezxs cesq betess devant nous aller et venir, musicalement, et trépigner en ryhtme ! nou!s sommes armés en bnous de mots de rocghe traversant, , de mots traversants de roche, nbous sommes équipés (pour la peine !) de mots-betes de paroi capables de perc er la roche et d’aller se ficher(pour ainsi dire dans un m-eme élan)
à même le sang de pareille roche ... ou comment ? le sang de la roche, vraiment ? ou sas ? ce qyui est qui vit et frémit = quoi, en cette roche des tourments humains, des tourments de bord de mer ? etc,
nous sommes sommes dx’êtres vivants vivant sous bannière ou sorte de bannière d'un soi pariétal : l’homme ou femme des cavernes, en action (en représentation), se blottit en roche comme l’ooisillon (l'oisillon de lma couvée) en son nid de roche (anfractuositéà)), nous cherchons une vérité qui pèse (pèserait) comme pèse , ici, l(aurochs ou le chevreuil, en termes de poids mais aussi de présence (matériellme) a u mopnde, nous chgerchon,s vérité qyui puisse nous offrir de quoi nous sustenter pour ainsi renflouer notre gfouverne animalière, ezt pour ce faire : à qui sw’adresser ? quel bureau sur la page saura nous parler ? sur la page blanche et sur la plage des embruns de roche : nous p)ar(lons ce langage innné (?) qui nous offre de quoi sustenter (un temps) la bete (la mort ) devant nous : le langage (1, de charretier, 2, de tribun) qui est le nôtre, est ce p)résent surnuméraire que nbous déposons, à l’envi (chronologiquement), sur la pierre de rocghe de groote = cette vie de rude dureté, ou de dure rudessse, etc,
qui est cvette vie -seuil pour ainsi dire d’un devant de soi ici délimité (le temps et l’espace) par un soi(le notre) absorbé, et bnous savons ce qui l’en est ici de cette sorte d'absorption (en définitive) dans le temp)s et dans l’espace clos de’une roche déifiée par un homme ou une femme aurignacien ou -cienne, ou maghadalénien ou -nienne, etc,, nous chercxhons (tranqyuillement ?) vérités, dues à la roche, ou données par la roche ! nouys voulons trouver ensemble des cghoses de poids en cette matière, nbous voulons trouver du «lourd menaçant» et pàas autre chose, nous voulons pour nous trouver cette cxghose, de ce poids de roche, etc, notre but ici est de trouver sur rochge de la hjoie quyi duure dur, no-tre but ici est cette cgose, de trouver sur roche un peu de laroche, nbous voulons comprendre dans le dur, nous sommes dans le dur, et nous vou!lons comprendre dans le dur, nous sommes ^e»tres des cavernesz, homme-femùe des cvavernes, nous gravons des betes, gravons à l’envi des chevaux, par paquets de huit ou même plus que huit pârfois, nous parlons une langue d’(offrande = cette chose liée à la roche, cette cghose de roche des temps, cette chose allouée à la roche des temps, nous voulons comp)rendre, ensembvle, les données de base de ces temps de roche ici impartis et pour ce faire : fissa sur la roche ! sur ou sousq, sur et sous , ou dans ! la roche ... est notre amie chère, nous l’aimons d’un amour entier, nous aimons la roche comme bnous-mêmes nous nous aimons, ce n’est pas peu dire ! notre langue est un présent d’offrande pariétal, nous la déposons ou comme déposons par cdevers nous sur cette roche ou sur ce coin de roche du temps alloué à une vie d’homme ou femme des cavernes, nous cherchonds à nous y retrouver comme poar la bande ezn cette roche, de destinée rupestre, princioère (royauté) à memev la roche, nouys cherchons dees choses de poidsq, la langue est l’une d’entre elles, car, uyne langue en sooi (en nous) est poids de base indécrottable (= éternel, pour ainsi dire, en notre encklave) et c’e poids, est comme à déposer au pied de la roche du temps (où donc loge la mort, pas vrai ?) et c’est cette chose exactement que nbou!s faioson,s (de concert) dès lors, répondant à cette invcitation princière,
nous voulons aller en,roche le plus loin (avancé) possdible , et pour ce faire comment faire ? eh bien , .... de cette façon ! qui consiste ici, à se laisser porter par cette sorte de misère dee rage primaire, en soi m^$eme, et le reste suit de lui m^$zme , comme une pelisse (échancrée) que l’on retire (que l’on déchiquètee) du dos de la bete,
nouysq cherchons des choses sur reoche dure, ces choses ont un nom = « le ciel», ou bien ... « le miel «, ? ou bien ... quoi d’autre ?, nous voulons comp)rendre loin le plus possible en soi, nous voulons en soi (en nous) en com^prendre lourd = bouquetin, buffle, bison qui p!èsent, etc, la lzangue parlée, et parlée par nous, pèse dan,s le sas, la lan,gue ici parlée par nous, ou par nous pârlée, est langue pesan,te et à ce titr justifie, ceztte sorte en soi d’embardeé votive déployée tantot par la m anche, nbous voulons compren dre ce qui est, ici, en termes de vérités, que sexpasse)t-il ? qyi a enfin compris ce qui se déroule ?, qui est le roi de la roche ? qui est le roi du monde ? qui cxhante à tue-tete sa chanson de fond de roche ? la mort est elle singulière, unique, person,nalisée, en attente d’un partiçculier? fait elle da ns la dentelle ? ou tout au contraire : mopert de masse, mort rouleau compresseur quiu sur son passage rafle, sans autre ou plus de distinction que ça , vive la mort ? tu parles !!! une «saleté, merde, pute, connasse de mort, ou putain, merdouille !» etc, ou un, «salopard, con nard, merdeux», «merde ou merdeux», etc, nouds nous prononçons de vceztte sorte ici sur roche (gros mots) et nous a valisons pareil idiome par la bande, bnous disons : l’imprimatur ! et nous poursuivons ensemble, sur la lancée qui, en vrai, est cvelle là que nous voulons ou voudrions afficher, ou dont nous voulons pour ainsi dire nous targuer ensemble pzar la bna,nde, nbous grattons la roche et nous traçons nos bas-reliezfsz, bnous sommes hommes et femmes de la préhistoire rupestre, nos envies vont à la roche se placer et se montrer à qui veut ou vcoudra, nbous sommes des betes de hjoie, hommes-bêtes de paroi de roche, hommes-betes bete»s de la roche dure comme tete dure, le passé estv dépôsé sur ce ... seuil de porte ? que est ici cet espace- temps du monde du vivant, nbous donnons de nous notre temps (= passé) tel qu’il sest incrusté (sur terre mère) à nottrecpa ssage, nousv voulons comprendre beaucoup (beaucoup de choses) en cemonde (tout ? ) en tant qu’homme ou femme,et, pour quoi cela ? pour remplir (= meubler) l’espace du tem^ps «proposé» = présenté par force etc, ici la science mais pas seulement, le langage dans son entier, est cette chgose déposée dans cet espace-temps de roche dure (les trourments) et nous d’y regarder de près, afin, si possible, de n’en rienn louper, etc,
nous voulons donner de bnou!s cette chose en soi d’une sorte de tribut votif (incarné) sur roche du temp)s, à charge (plénière) d’un jour pour nous pouvoir en réchapper comme par la bande à tous et toutes autant que nou!s sqommes, nouys pleurons de concert, bnous sommes tout ennpleurs car nous sommes tristeqw, car nous sommes touchés par (en ous) des mots de betes, ou mots-beters incarnés qui chercheznt issue à pouvoir emprunter : laquelle ? trou de bouche ici parait devoir aller , quoi d’autre ? trou de balle ? rien n’est moins sûr ! nousvvoulons savoir, lkes choses du monde ce qU’elles sont, pour nous, dfans les mots, nous voulons combattre dans le sang, nou!s voulons aller sur roche du temps combattre le sang en son fief de bure, ... oui ? ou pas ? nous sommes engagés dans une lutte à kla vie à la mort avec la mort , et ceztte lutte se prolongera jusqu’à temps qyue nousseronsq vivants, bnous devons colmprendre cette chose d’une sorte d’engouemen,t votif, en nbous, pour la roche et pour ses ornements préhistopriques, nnous sommes «devant», bnous sommes entourés mais ce devant, pour nous, a grande valeur pariétale, nous devons comp^rendre plein de cxhoses concernant la roche, nous devons allerr tres loin (le plus possible) dfans lkes conn,a issa&nces concerna,nt la rochje ... mais comment ? et là... voici (qui entre dans le paysage) ... bambi ! la perle ! le perlou ! la belle ! la princesse ! cette chance = ce nacre ! cette toute belle lumière des embruns de roche (elle ?) ! et nous de la bader comme des mortz de faim dits «sentimentaux» ! nous voyons notre guide devant nous, elle est là «pour ça», ell est sur roche devant soi «pour ça», la chose est connue,; ,; n ousz l’adorons et nousq la regardons ensemble attentiveme,nt ! nous aimons Bambi la rocxkheuse pour le dire ainsi = l’animal rocheux de référaence = l’animal pariétal de référeznce (avec le chevazl et aussi le cerf voire le bouquetin) et nous d’y aller pour ainsi dire de notre couplet (couplet traditionnezl) comme quoi Bambi est «notre (une) chance» , pour nous autres hommes et f»mmes dersz czavernes, mais pas seuylme’ment, et donc voilà ce qui à nous nous concerne, nous regarde, ce qui nous attend, comment dire ? bambi nette, ou bambinaïre ! car, nbous l’aimons plus qu’il n’en faut et nous la connaisson,s suffisamment pour savoir cela comme quoi nous sommes, pour elle, des amants et amantes de choix ou, comment dire : des ami rugueux ? nous tombons des nues à même la roche et gravons, sou s emprise (rugueuse tout auutzant) , des betes -effifgies de pre mière importance à nbos yeux : l’aurochs pèse, le cheval pèse, lm’animal balourd pèse, ppèse de son poids de charge (= du pèze ?) , nous voulons, de nous mêmes, déposer la chose, sur roche, faire ensemble forte i:mpression, impression mùassive, grave, du poids lourds, de la c aillasse tout autant, du pèze et que ça cra che dru et en fasse des louches et en foute fissa plein la vue : notre programme pour le dire viçte,, et du coup o,n s’intéresse, on s’intéresse à mille choses retombées sur roche (retombvé&es massives) , c’esqt à dire : à la vie des bêtes ... de poids imposant, pas plus , ou (ici) ni plus ni plus mpoins en vérité , bnous avons ensemble à chercher longte»mps et cre»user, et nous cherchons assidumen,t et creusons de fait, qsans sourciller et sans ratés pour a insi dire,; nous aimo,ns cette roche (dure) aux tourments, la vie de la roche du temps est pleine de tourments (voire pire) de toutes sortes, et nous d’y penser (avec nos mots ancrées) à même la roche : gravure au stylet, dessins de bois brûlé,
nous pensons à cette chose dure de la voix des limbes, tout à l’heure, saprésence à nos côtés, vif-argent de roche tracée, nous chzrechgon,s notre tracé à nbous, sur roche ou autre lieu d’abord, ou ... où sinon ? où ça aller chercher la solution à des problèmes d’(instabilité sensuelle ou comment, sensique ? notree but est de stabiliser les termes, et dès lors de nous ,
de nous placer ainsi que nous pouvons ,sur cette échelle de la roche temporelle, nous placer de telle sorte que pour ainsi dire nous soyons (dès lors) nous-mêmes, en réelle capacité de compre ndsre loin et beaucoup, de nous placer en roche ici de telle sorte que cette chose, l’instabilité des vérités, xdevienne caduc, devienne fautive, ou comment : tomb ât vite fait bien fait à l’eau ? nouys voulons, la vériyté, la tenir debout, nouys cherchons à faire de vla sorte qUE la vérité pût tenir le choc face à l’adversité, bnous voulons comprtendre beaucoup et parler sur roche un lzangage, pour le coup, opératif : que le gnou s’impose ! qUe l’aurochs en imposqe ! que le cheval repose et charge sur roche son élan votif pôsitif ! nous considérons la roche en tant que supoort de chose à dire ! nous disons que nous savons ce qui est ici (en roche du temp)s concernant la pluie et le beau temps des savoirs de l’homme et de la femme, bnous crions (à pl;eine voix) notre misère coutuumière ! ho la la comme dit vl’autre : nbous pleurons-chantons- parlons- pleurons etc sur roche, d’un seul et même élan, nous crions-chantons- parlons- pleuro,ns ensemvle, sur rochge, par, ici, le fait, d’un dire de percée, qui est dire)-faon de la roche du tempsq = cette cxhose, offerte sur rocghe (la langue du soi), qui vient à se loger comme à l’emporte- pièce, et à nous dès lors de bien fixetr toute la chose (les règles de l’art) et de la (cette cxhose) rendre présentable ici le plus que nous pouvons , et ce : par la bande, en lévitation, fisza , par des incantations et par des scansions, sur rochev (pas de deux), qui font que la roche s’anime et ... «le fasse» vu de loin, comme de juste ! je regarde, à travers ce temps de roche (dure) déployécv(le temps) , et je comprends en quelque sorte les données de base, c’est à dire que je les soupèse et les soupesant, je «comprends ma douleur» , dans le sens où la roche est dure, qui nous voit porter des charges, princières peut-êterc pas mais de fort poids swurnu:méraire c’est un fait, nous avons (sur nous) des charges de vie, de mulet, d’(âne baté, etc, nhous en avons gros sur kla patate, poour ainsi dire, une charge de déménageur, des armoires basques, des charges de poids de rage, des massifs et des tonneaux, desz barriques et des paquebots, etc, ça pèse son poids de taille XXL , etc, notre but ici est d’allèéger au plus les chargesq, notre but (intention) est cettte chose (à cdevoir mettre en place vite) : nous devons allèger ... les charges de blé ! bnous devons comme minimiser ... un tout radical ! nous devons faire avec peu beaucoup, et baisser les dépenses ou voir à baisser les dépenses, et ce le plus vite possibvle, c’est à dire sans plus ta rder, car ça urge ! ça va viite ! les dépênses ont t^$ot fait de ga loper sur roche, sur paroi du temps, vive la roche mais ... sans tourment, ce searit parfait ! nous nous blotissons l’un l’autre (l’un dans lk’autre), nous nbous adulons mutuellement ou simplemen t de l’adoration ? la passion ? la rage ? l’engouement ? le ciel ? le plaisir ? la chance ? notre but sur terre est tres ancreé pour ainsi dire dans la chair dse cette roche dure des temps impartis à tout un chacun et chacune, nous devons comprendre ensembvle à nous entraider, à nous filer des coups de main de type rupestre, pâriétaux, frontaux, «de caverne», etc, l’hommes des cavernes est un homme an,cré dans la roche, sa voix est le présent de l’univers, son parler frustre est un pâzrler de roche ou dit «de roche» et bnous, nous le connaiossons mal, ou alors bien peu en vérité, bnous ne connaissons de son parler que son aspect, sa «carte de visite», pour ainsi dire, soit ce qui de son parler impacte d’emblée : sesq betes atta c h é e s , ses aurochs liés à) ce p)arler qui est parler dit «de basse extractionb», nous cherchons, nous so:mmes avides de chercher longtemps ... et de trouv er ! surtout cela, avides de découvertes , de trouvailles à faire etc, nouis aimons ensemble cette roche des embruns, pour cela comme quoi, ensemble nous aimons la roche, nous aimons chercher (rechercher) des choses sur roche, et graver-dessiner des betes de joie (aurochs de vie pleine, cheval frappant, chargeurs de buve !) : nous nous attendrissons contree elle ( la roche) ou comment ? nous sommes ouïe toute , toute ouïe pour elle , la roche, la roche musicale, la céleste, etc, nous voulons comprendre cette cxhose ici d’un attendrissement de roche dure, d’un p)assage en particukllier, d’unev ezntrée de roche à faire, à per cer, etc, nous voul:ons comprendre ensezmbvkle cette cxhose, d’un travail à opérer, à même laroche du temps, ce travail d’érosion perlière, ce phrasé de rotondité, ce travail de’ perle et d e boule rac»éée, etc, cette chjose ronde ... est un oeuf, une boul:e de feu votive, cette perle ... est une biche (bel:le) de roche à tracer , etc, nous dessinon,s (de fait) cet attendrissement (attendrissement pariétal) en termes choisis, en traits de roche attendrisz (les traits) ou comment dire ?
les mots sont des betes, les betes gravées sont des mots, les mots sont des mots gutturaux, les betes gravées sont des treaits de fortune, les mots sont des roches grav ées, les mots sont gravures de roche perlières, la vie fuse mais ne rentre pas, la cvie est comme fuselée en roche, vibrante, tres certainement, mais n’entre en rien dans la combiine de fabricvation, les mots sont b etes mots dits «de première instance», les mmots de roche sont desz betes-mots de rage tracée, sont betes- lmots dits «de première vue », sont rages de belle embardée,
nous traçons sur roche les données de base, nous sommes hommes et femmes des cavernes , nous donnons, nous offrons, ce que nous donnnons est du parler de roche, du parler brutal : oraisons de la roche perlière, nous donnons ensemnlbe les donnéesz de base sur la roche, nous donnons ensemble un ensemble (perlier) de roche dure = ce tracé, nhous sommes qui voulons donner un ensembvle princier, perlier, dit «de première instance», cette chose xd’une sorte d’embardée native à même la roche, nous donnons de nous ce qsui vient à nous pour ainsi dire par la bande, et c’est ainsi que nous nous incrustons, à même la roche perlière, nous pleurons, bnous sommes qui pleurons, nous pleurons en roche ces betes de hjoie, bhous gravons-dessinons des b etes sur paroi et ce faisan,t pleurons de joie nos chagrins de roche (dure) temporelle, nouds pleurons ce que nous savons et que swavons nbous ? nous sxavons de la roche du temps ce qui’icelle (en elle) transbahute, à savoir le sang, bnous parlons depuis elle en elle, ce qu’elle bnous entraine à devoir formuler (nonchalammaeznt) sous l’effet en bnous de la bete princière, qui nous montec et qui nhous guide, méchamment (ou pazs), de son pas pesant, nous parlons ! et qui pazrle en nous sinon la bete rossse ... qui nous monte ! nous parlons et en nous qui parle ? sinon «bete rosse de première», celle là, qui pointe de sa voix sa rage perlière, et nous pousse à graver, à l’envi, sur roche, son minois ou sa silhouette : effigies, tro:mpettes de la renommùée, fame d’abord, etc, nouys parlons ce langage ,
des betes de roche, nous parlons = dépôsons, sur roche du temps, ce préswent de vie, rameuté ou comment dire ? ces betes en raffut, ces tirades ou tripotées, ces paquets de douze ou de huit ! nous savons de quoi il en retourne, nous parlons à bhon escient :
le temps d’un dire est le présent, l’offrande susnommée,
ce présent est ce que nous offrons à cette déité (de roche) transparente,
cette viive, vive déité, incolore et inodore, cette déité est une transpârence = une invisibilité notoire, et cependa nt ... qui paérle sur roche, qui nous tend les b ras ? ou pas vraiment des bras ? qui va là pour nbous parler en notre nom ? qui parle sur la place ? qui cxherche qUI ? qui cherche à donner du sens à une vie de roche ? nous chercghons ensemble lers donnhees de base, nous voulons comprendre ensemble = main dans la main, ces donnéezzes de base pariétales, quelles sont elles ? nous cherchons des données fiables, rugueuses maiis fiables, ou comment sinon ? qsui puissent nous offrir de quyoi (peut-etre) sustenter l;a bezte, la bete de charge qui (de fait) opère à notre place sur roche du temps, bnous cxherchons à co:mprendre cezcquyi est en roche qui nous tend les bras ... ou tout comme, quoi est ? peut-être s’agit il ... d’une vie cd’emprunt ? économie chiche ? qui croire ? bnous cxherchons à comprendre le plus , à comprtendre plus, à xsavoir le plus, à chercher ce plus de laroche dure, ce qu’il est et où il se loge , bnousq chercghons à comprendre ce que ce plus de roche dure signifie pour nous, nbous voulons savcoir, nous cherchons ensemble, nous sommes deux à chercher ensemble cette cxhose d’une sorte de donnée frontale concernant un plus de roche dure, nous voulons comp^rtendxre ensemvlble, cce que, cette donnée d’un plus de roche dure, pourrait etre et signifier pour nous qui cxhercxhons desz choses, qui sommes à l’affut de mille données brutes, de données de base brutes, etc, bnous sommes chercheurs chercheuses, découvreurs découvreuses à l’affut, et nous cherchgons ensemble des données de roche, qui pussent nous offrir de quoi, en nous, sustenter la bete, la bete cde joie, celle là qui cherche sans cesse à poussesr du bec (pour ainsi dire) en nous, son envie de voir du paysage et de sortir son bec de roche picotaznt, etc, nous voulons comprendre ce qui est ou ce qu(‘il ezn est dee ce lan gage perforant déposé sur roche, comme «présent de la bande», nous chezrchons ensemble à comprendre, nous voulons ensembvle co:mpren,dre cette chose ici d’un présent offertt (par la bnan,de) à une déité de roche dure, et ce présent est langagier (animalier) et se présente ici comme succédané, un succédané de vie vive, c’est àdire pis-aller,; c’est à dire pis-aller de roche percée, etc, une offrande au rabais (pour le dire vite) et pour la mort ... ça fait chier ! mais le voit elle ? a telle conscience que pour elle l’offra,nde est ... minable ou minimale ou comment ? a t elle (la mort) conscience que pour elle il ne s’agvit pas à proprement parler de la bonne offrande ? a tellme conscience (la mort) que c e qui ici est offetrt sur roche (effigies) n’est pas à la hautezur (pas du tout) de ses espeéran ces, ou comment ? a t elle (la mort) la conscience (en elkle) de ce fait, comme quoi l’offrande déposée par nous (en gros : le langage) est un pis-aller de première et n’a pas la teneur de la vie en vrai ? la mort co:mprend elle cettye cghose de ce fait de roche ? eswt elle mazligne ? est elle malignité ? a t elle quelque chose en elle en tant que don de comprenurec ? est elle de la comprenure, ou ... pas vraiment ? est elle fine lame ? a telle de quoi en elle piper chose ? a telle en elle de quoi y piper grand chose ? a telle en elle (pour eklle) de quoi piper (une chose de poids) et comprendre loin la petite arnaque terrestre rupestre ? que voit elle, de nos stratagèmes forcés ? que sait elle, cde nos strataagèmes pariétaux ? qui lui parle ? à qui par(le t elle ? à qui la mort s’adresse t elle ? qui parle à qui ? qui me parle ? qui ws’adtresse oà moi ? qui suis je pour parlerr à wqui ? qui parle en moi que je ne suis pas ? suis je moi en totealité ou bien de moi ne suis je que partie minime, ou comment ? la mort parle telle en moi ? la moprt est elle en moi qui parle pour moi et de quel droiit ? qui chante en moi quand je chante ? qui en moi chjeante quand je chante ? qsui perle en moi ? qsui perle, qui parle ? qui va là dan,s la soupente et cherche sa voie dans le sang ? je ne suiis pas un animal de race blan,che, je ne suisz pas un animaml velu, je ne suis pas un aniumùal parlant, je ne suyis pas un etre social, je ne suis pas un homme de base, je ne siius pas pas une cxharge de poidsq, je ne suis pas un lan,gage doré, je ne suis pas pas une brute épaisse, ni même une fée du logis, ni même femme à barbe, ni même une sorte du genre «dépoitreenaillé», je suis l’homme des cavernes de céans, MON NOM s’affiche vsur roche, comme suit : MON NOM, car je suisq l’homme renversé, dup;liqué, effet miroir sur roche perlière, mon nom est ainsi montré, comme une entité doublonnée et c’est ainsi ici que je vois la chose : vive la vie ! nous disons ... que nous parlons un lmangage de roche, alors disons ... vive la vie ! car la vie de roche est la belle ! la qui bnous plait de longue date principalement, et ce, nous le disons sur rocxhe et le disons ha ut, bnous dison,s cette chose haut : mon nom de réserve, ce nom de roche (de roche à la dure) nacré, cette parole enchanteresse (,?) ou sinon racée ? ou comment ? que dire du nom dsont on est affublé ? pas grand-chose en vérité ?. beaucoup, tout au contraire ? qui suis je pour me présenter et m’offrir à l’ogre ? squi va là vers les embruuns des fins cde roche , de roche princière ? «je» est «je» qui dit «je» dans l’ombre d’un «nous» déployé pour une gouverne ! je dis «je» qui est ce «je», de la roche dure des temps ,ici, d’une vie humaine, «je» est un «je» d’emprunt, le «je» d’une roche allouée, je est «je» de roche dure, un «je» de roche dite, un «je» dit de roche dure, le «je» de la roche des temps ici impartis à une vie (terrestre) de pasdsage, nous tombons des nues, nous sommes de laroche et du cervelet, nous tombons des nues sur le cul, nous sommesq roche, rocher, roc, roc et gravillons, bnous tombons des nues sur la roche dure des tempsalloués à une vcie (humaine) terrestres, nous parlons à tort et à travers un la,ngage de peu,qui est ce langage de ... «feu la roche princière» = notre vie, nbous parlons langue de paroi de grotte : animaux-mots qui caracolent, épousent la roche, trompent ou cherchent à tromper ici l’ennemi qui a pour nom (incidemment, en notre lazngue ) «Mort» : la mort, c’est à dire la «gouverne pariétale», ce cxhargeur de rage, etc,
la mort a le nom que la langue lui donne ,
bnous passons de la rocghe à la roche, nbous voulons co:mprendre des données de base, et pour cela, nous bnous incrustons dans la roche,
«nous tombons des nues» ... dit c ette cxhose d’une incrustation, et voilà c e qui nous attend : un «je» de roche turbulent, une virée de groote, un appetit grandisza nt, une vie d’emprunt, un soulagement de se voir ... encore vivant ou vivante, un temps dévcousu mais présent comme étant le présent de l’offrande, une charge entière, poids de faits, un drôle ds’oiseau sur sa branche que cette sorte ... d'asticot (?) qui nous mate, qui est il ? Mort la Blanche ? qui d’autree ce serait sinon ? je parle d’une voix de rage à même la roche, homme des cavernes, fezmmes des cavernes, enfant des caverne, animal de poids des cavernes, homme-femme fdes caverne, homme-ffeemme -enfant des cavernes, hommùe-femme- enfant-animzal des cavezrnes : qui je suis pour parler ainsi ? mon nom nre vous dira rien, il eswt sans importance, MON NOM est ce nom de la roche gravée de façon sommaire, effigie de base ra cée,je cherche ici comme ma destinée dans la roche, il en va de ma gouverne, je suis laminé, je suis touché de plein fouet, MON NOM est le treacé de cette sorte d'immixtion da,ns une roche dure, et, aussi, le résultat tangible de cette embardée,
je vois la chose qui se dessine, je suis dessiné, je vois de près la chose qui se dessine, je suis envahi de treaits de toutes sortes qui, pour ainsi dire, saillent de mon moi xd’emprunt, d'emprunt pariétal, car, de mon corps sortent xdes traits de rage, l’animal en moi est le sang qui passe, je donne de la voix, je suis lancée
29/6/2021
nous cherchons à percevoir ou à mieux percevoir ce qui est en roche pour nou!s comme offert par la bande dite parioétale = le temps, et pour cela : le la ! là le la = ici même, le la offert = cette chose, d’une clé (musicale) d’emprunt, pour une éternité toute dévoilé (dépoitreenaillée ?) et qsui serait pour nous l’éternité courante des embruns, cette ouverture ou sorte d'ouverture en grand d’une sorte de bouche des fées, etc, car les fées président , ... oui ou non ? nous ne savons pas ! que sais je ? nous ne savons pas, nous ne saviiiiiions pas, nous ignorons, nous ignoriiiiiions, nous devons cvomprendre ensemble ces données de base qui nous sont offertes, offertes sur roche , et nous d’y a ller d’une sorte (de fait) de cadeau (don ou présent) en retour, comme (peut-etre) la monnaie rendue de la pièce ou quelque chose de cet ordre, nous poussons ensemble «la porte» et que voit on ? que voyons nous derrière la porte du temps « ? que voyons nous derrière cette porte «des temps dévolus» ? de la meu ? de la meumeu ? de quoi ou qsuoi ? une sorte de lumière blanche : du nacré ? coquilmlage-monde borgne ? quoi voyons nous ? que voir ? que voir de nos qauatre yeux cumulés ? une charge ? chatte ? châle (un ) ? quoi d’auttre ou quoi de plus ? de la ... meu de rage ? du meu- meu de rage dur ? du qsuoi ? nous sommes comme à l’affut d’une réponse (pour le dire ainsi), nous sommes affutés et à l’affût pour ainsi dire de savoir ce qui de quoi se trame (existe) en ce sas pariétal de laz roche percée, nous savons des choses concernant la mort, ces choses les voici :
la mort est une entité, dévolue à des temps passés,
la mort est une sorte de donnée de rage,
la mort est vive comme l’éclair etc,
nous savons ces choses, et cependant, nous cherchons (encore) une clé, cette clé est «musicale en diable» nous dit l’énoncéc et nous nous le croyons car nous sommes porteurs et porteuses (ensemble) de cette croyance qui nous est comm
e soudée, ou bien qui nous soude (à toi à moi) , dans un même élan de traversée de roche, nous cherchons une issue vibrante, une solution à des problèmes (récurrents) d’entrée de roche, etc, nous sommes ensemble cette chose immonde, ou pas ? je veux dire : meumeu ! je ne sais pas ! je suis homme des cavernes au sang de bure, je suis cet homme des cavernes religieux, qui cherche une réponse (corporelle) dans le sas de telle ou telle roche ornementée, je suis un homme des caveernes oplein (en lui) d’une puissance (puissance de feu) animalière (l’aurochs ?) qui (de fait) le pousse à franchir des obstacles (la roche), traverser icelle et tomber (de rage) sur ce sas de roche dure-dure, , cet ouvrage, ce trembklant, cette piste, cette zone, cette Chose découvertte, ce dessin sur roche du temps, cette cavalcade ou parade nuptiale ou dé»faut de cuirasse, etc, il (l’homme des cavernes, le magdalénien par exemple ou autre) cherche assidument de quoi comprendre au mieux ce qui ici, en roche, se trame = la vie et la mort = la Chose, cette chose des rapports de roche, des rencontres amusées frontales, des regroupements,
nous cherchons ainsi à deux
par lma voie des airs de la lévitation (dite p)ariétale), nous creusons (piquons) la roche et entrons et une fois dedans nbous regardons autour de nous et que voit on qui se promène pour le coup placidement sur roche , que voit on ? des buffles ! dexw bisons ! des chevreuils par zone, des biches à l’envi, du gibier pour la chasse, du bel ornement comme en cavalcade etc ! nous sommes et restons transis ! nous sommes ici deux, pour penser la chose ou cette chose ensembvle :
ce qui est est,
ce qui est est notre tribut,
ce qui est est déposé sur roche,
l’art est cette chose déposée sur roche, ce tremblant, cette vie de base contenue;, non offerte de visu ; et aussi cette chose comme quoi ... nous sommes en vie , nous cherchons une chose de choix dans ce sas de roche (un présent de soi) qui pour le coup ne nous engage pas à la vie à la mort mais ... «qui puisse le faire» assurément un temps, ... ou ... pas ça ? autre chose ? nous cherchons une définition à ce mot de «art» qui nous occupe depuis le cdébut, nous cherchons à cvomprendre ce dépot sur roche
ensemble, cette cxhose de rage posée sur un seuil (temporel) lié à la roche (dure) des temps impartyis, ici, à une vie, nbous comprenons quye quelque chose a (de fait)à voir avec nos mains «porteuses», cela nous parazit logique, évident, voire certain : nous sommes assurés, nous comprenons, nous sommes munis d’une sorte (en nous) de comprenure vive, verbeuse, qui (ici) donne le la (musical) d’une roche dure du temps, nous comprenons cette chose comme quoi nous offrons pour ainsi dire le temps passé au temps de la roche, nous donnons de nous le temps sur un devant de szcène, etc, et faisa nt cela, nous crions notre rage vive (plaie de bouche), vive à gueuler ! nous sommes transis , nous sommes muunis, nous déposonsq, et du coup l’artiste ... est celui qui tient le baton (pour se faire battre ?) : l’artist e est ici cette personne de confiance munie d’une batte ou baton à dessiner sur roche, il ou elle dessine à main levée, il ou elle est cvelui ci ou celle ci muni de ce baton tendu comme un arc, il ou elle dessine à main levée sous l'emprise d'une déité animalière, un trait de majesté, une sorte de scansion toute faite de données de rage (incantation) d»éployées, etc, l’homme neéandertalien ou plus encore la magdalénien, ou l’aurignacien, zaime la roche, l’épouse tendrement, s’agite près d’elle, se fiche contre (tout contre) et la pénètre fichtre men,t, par le sang, la bave, les tourments (les peines) qui «pleurent» en lui ou elle, etc, car, les peines ou les tourments «pleurent», en cet homme, leur misère, il est cette chose en cet homme dur, et qui va pleurant toute sa misère, et cette chose = de la peine, du tourment, et aussi de la rage, du tourment de rage ! nous cherchons des vérités ancrées «qui puiisent le fgaire» pour nous , sur roche et sur paroi ou sur paroi de roche etc, nous voulons savoir ce qui est en pareille roche qui se trame et pour cela nous hurlons à la vie à la mort toute notre gouverne ! la mort erst une entité pariétyale, une sorte de sas , ... «d» de mes de»ux» (hum ! ... pour le dire crûment !) commùe ... le sort (?) l’appexlle, etc, nous esswayons (ensemble) de comprendre, des données de rage forte, comprendre ce qui est en roche qui nous plaît et nous retient, etc, et pour cela : charger = charger la paroi ... de toutes ces betes alignées se chevauicxhant en veux-tu en voilà comme des hommes-betes de roche dure, ou comme b etes-mots de roche dure, rude, rugueuse, froide, pierreuse etc, nous cfherchons ensemble à comprendre des données (brutes) de rage (folle ou forte) déplopyée sur roche, et pour ce faire nous nous immisçons dans le temps (offert) de la grotte, entrons en osmose, entrons en ezlle osmotiquement pour ainsi dire, et pleurons sur place,
des larmesz de bure, dec misère, des méfaits, etc, nouys cherchons des solutions à des problèmes pa riétaux existentiels, nous ne sommes pas au bout de nos recherches, nbous troublons le jus de la roche pour ainsi dire en faisant ainsi , ces desqsins à lmain levée, ces tracés juxtaposés, se chevauchant comme de conserve, voie d’abord surnuméraire pour une sorte d’entrée en matière, et voix de rocxghe musicale pour notre gouverne : nouys parlons à tort et à travers de choses et autres et ce chant s’inscrit, sur roche du temps, commee la (possible) clé (de rage) d’ouverture de paroi, nous cherchons à mieux comprendre vles données de base, ce qui est qui nous ouvre ses bras, c’est quyoi ? c’(est quoi au juste ou en vérité ? qui dit et quoi lorsqu’on dit je ? qui saura nou!s renseigner ? nous voulons savoir = toucher , la «déité de roche dure» = caresser
«ses reins, sa pelisse, son manteau de jais»
disait-on ! nous voulons touycher la pelisse ou peau (dousce ? dure ?) du temps, et pour ce faire nous nous immisçons (présent, offrande) dans le sas des sas temporels de pareille roche de grotte (homme et femme des cavernes) et là, dedans, nous cherchons la voie (et la voix) pour nous guider jusqyu’’à elle , cette peau de race, ce paquet, ce paquet de muscles racés, cette chose fine, tendue comme un arc , comme l’archer , comme le ... quoi ? nous voulons ou aimerions savoir ce que dès lors se tramerait en roche sous nos yeux, une fois nous deux entrés, déposés, poszés, voire couchés sur roche, quoi pour nous donner le la d’une entrée de roche ? le temps est ce la de roche dure ! nous voulons comprendre quoi donc est ici, qui nous scrute cvomme la misère ( ou comme la merde ?) , quoi ? nous ne savons pas ! nous creusons laz roche à la recherche dela Vérité, la roche est dure de chez dure en tant qsue tellle, nous voulons savoir pourquoi la roche est dure de chez dure, nhous voulons comprendre pourquoi , nous voulons creuser au plus profond de cet eznsemble des savoirs de roche offert par la band, car ici la bandfe est cette sorte d’accumulation de « choses de jhoie», cette sorte d’accumulation (centripète) de choses rudes quioque vives, etc, dites « de joie» = de la joie d’etre sur roche ou d’etre tout court, nous voulons comprendre les données pour ainsi dire les plus fines et subtiles du monde, nous voulons comprendre dans les profondeurs de lma roche vdure, nous voulons cerner au plus lointain lesv opro fondeurs de pareille roche v(dure) des temps alloués (à l’homme femme des cavernes) pour sa gouverne = déambulations rterrestres, etc, nous sommes deux (ici) à chercher, ou à vouloir chercher :
elle (la bien nommeée, la belle) et moi (le mal venu, le soc, la peine) , et donc voilà pourquoi nous sommes qui nous affichons de concert, car nous deux ensemble, nous formons «lma base», ici, de la roche tremblante, nous sommes deux, ici (en jhoie) ‘(en je ?) , qui formons «la base», d’une sorte de tribun cde rage, d’une sorte d’entité royale etc, qui «puisse le faire lonfggtemps» , et nous en,chanter par la bande, etc,
deux... pour cette sorte d'embardée de race dure,, ou dec roche dure, ou de quoi de dur ? nous cherchons ! nous ne voulons pas passer à côté (de la chose rude), nbous vouylons déccouvrir ensemble les données (révélées) de ce pot aux roses pariétal
temporel, bnous voulons savoir , ce tout, ce qu’il est : donnée brute ? brutale ? vive ? vivats de fortune : acclamations ? ou bien ... une sorte de creuset , de bain, de cupule, etc ? quoi donc ? nous voulons allezr... au fin fond de cettye roche des données calées,, nous voulons ensemble aller au loin en pareille pierre, et creuser (à même la roche) «la q<uestiopn»,, nous sommes deeux, en roche, vmain dans la main = entente cordia le = déploiement, déploiement souterrain, et nous no!sz avançons ensemble (ainsi soudés) comme des malfrats, nous avançons en roche : nous perlons, nous donnons nos vivres, nos denrées, nous donnons nos perles prtremiè§res, princières, etc, nous donnons ce qUE nous pouvons (cde concert et comme par la bande) de précieux, ou de plus précieux, nous donnons le plus que nous pouvons donner «qyui puisse le faire» , de concert, de conserve, illico presto, acheminé, comme ici le colis (vivant) de nos... frasques pariétales, frasques-frusques, habits--habitus, offrandes vives du soleil, chzargement de mûle ou de muulet, trombonees, cors, musqique acoustiques et chants des sphères ! nous donnons du plus = du + ou même ce + de la roche dure
+,
+,
+,
sooit ces + de roche du temps :
+++++++++++++++++ +++++++++++++++++++++
à perpette ! cette chose des parois du monde ! donnons tout et plus encore sauf la vie! oui... nosfrasques (frusques ?), nos habits ! nous nous mettons ensemble nu le +! et cependant nous restrons en vie ! nous ne donnons pas la vie ! nous ne donnons pas la vie en ce qu’elle a de plus précieux = la vie vive d’une vie qui reste en vie ! nous donnons tout le reswte si nécessaire, tout sauf ça, la vie de base ! car, le ça, ici, est cette vie cardio-basique de la vie, ce ça (décrit et nommé ici) est pour nous cette chose (racée) de base vive, ce ... «trac» ? cette chose de rage ou chose-rage à savoir ce tic, ce tic et ce tac, ce tic et ce tac, ce tic et ce trac d’un organe vital et voilà donc ce qui nous occupe en peznsée ici ! nous essayons de ne pas y pertdre le nord ! nous essayons de comp^rendre au mieyux les donn,ées vives sur roche d’apprêt, sur la roche vive dees données offertes : njous sommpes deux = nous sommes ensemble = nous sommes unis = nous sommes soudés = nnous sommes colllész =nous sommes «à la colle» =nous sommes cdeux pour la forme ou une forme =nous sommes accolés ensemble comme cdeux moitiés = nous no!us aimons = nous baisons = nous sommes vi fs collés de rage = nous sommes ce nombre entier, nbous sommes des moitiés de rage , nous sommes des eznvies nacrées de rage de paroi ! nous voulons comprendre au plus que nous pouvons et au plus profond ! nous essayons de voir loin le plus (la roche) afin de deviner ce qui nous pend au nez à tous et toutes ! quoi ? la mort ...
«du petit cheval» ? lza mort sûre ? la mort de base ? la mort des tribus des camps ? des chants ? la mort comme sinécure ? la mort rappel ? le chant de la plainte sauvage ? le chant dominical parioéteal ? le chant de force dure ? le chant des embruns et des poussées marines ? le chant chaotique des vivres donnés ? le chant de la vigne ? nous ne savons pas ! nouys voulons comprendre mais ... pas simple en vérité, de comprendre ensemble une destinée particulière ou en particulier, n ous voulons ensemble nous posituionner de telle manière que la chose ici du tezmps puisse nou!s apparaitre dans tous sses habitus ou comment dire : apprets ? ou comment ? visages de près ? nousc chezrchons une réponse fiable, nous chercghons une réponse qui puiise de fait «tenir dans le temps», nous cherchons des données de base «qui puiisent le faire» et tenir un tempsq (donné) pour la base, ou quoi ? donnée rude pour base rude ? qauoi ? nous avons en nous cette envie communev (partagée) d’aller dans la roche (ornemez,ntée) à la recherche de données (données brutes) qui puissent afficher des choses concernant la vie, nbous diçso,ns que nous savons des choses de la vie mais ces choses ... nous les divulgons à peine, voire à personne, nous ne les divulgons quasi jamais, et pourquyoi cela ? car nous solmmes des etres nocifs ? car nous sommes dees êtres viçfs ? ou des êtres de peu de gouverne ? qyue savons nous ? nous savons quelques petites choses (en intra) que nou!s nous refusons à divulguer trop vite, ou quoi ? que savons nous ? nous savons dees choses et ces choses nous les conservons (par-devers nou) tout simplemùent, car nous cdevons rester en vie, car nous voulons rester en vie, et divulguer égalerait (pour ainsi dire) le fait de mourir ou équivaudrait au fait de mourir = de donner sqa vie, car ce que nou!s savons mais, pour le coup, ne donno,ns pas, concerne cette vie qsui (en nous) bat son allant charnel et dès lors nous tient (mine de rien) deboutv : ainsi soit-il ? d’où notrte hésitation (coupable !- à aller plus loin, en nos offrandes, forcément ! pas fou pifou ! on le sait ! il est des nôtres et il tient bien le verre comme nous autres ou alors quoi d’autre ? nous nous refusons à : 1, divulguer = donner = donner les données de base, 2 : déployer = déployer ce savcoir cordial, ce tic trac titanesque (une vie de temps) par la bande (ou sur la bande ?) ! voilà ce qui est, nbous ne voulons pas divulguer = donner et terminé, cettye chose en soi d’une vie cordiale tic-taquante , nous noius réservons la chose de pouvoir ... ne pas donner = ne pas, cette chose, déposer mais (plutôt) : des succédanés, des faisant- fonction, des reprédsentations qui en imposent, qui ici flashent, qui le fassent, qui en jettent, qui impactent etc : ART DE LA ROCHE DU TEMPS ... pour votre gouverne, forcément ! et quoi de plus ? l’art est ce dévoiement, ce changement, cette direction modifiée, ce détournement, cette offrande en moins, cette offrande vive (frasques et sqaint-frusquin perliers) mais qui n’est pas La Vie telle qu’on loa porte en soi au fin fond de nos organismes,; nbous ne sommes pas donnezurs de ça ! de «ça» qui est en nous «le çàa du sac cordial», etc, nous nous gardons bien de trop donner ! nous conservons pour nous la vie de rocghe dure, nbous nous gardons bien de toucher, à notre vie de base en nous , qui fait de nous des etres vivants, parlantsq, sautilla n t s comme des cabris et pleurant des trombes , etc, nous a imons la vie de base en nous en,sembvle, car nous sqommes deux de b ase en nbous : oreillette gauche / oreillette droite ? ventricule gauchye / ventricule droit ? etc, nous ewssayons ensembke de bien cerner ou délimiter cet ensemble de données de rahge, a fin de bien comprendre les enjeux vitzaux qui sont les nôtres en cette sorte de paroi de roche à orner ou ornemen,ter, nbous voulonqs au mieux cerner les données liées aux offrandes à déposer sur roche (terre mère) ensemvble (main droite /main gauche) et, ce faisant, consezrver la vie (la vraie) par devers nous et ne vsurtout pas la donner à cette bouche (dejoie !) devant soi, cette bouche poerlée, cette bouche ouvertye en grand comme un bec dans le nid d'une roche, nousvpensons cela, no!us en sommes là dans nos pen,sées (ou j’en suis là dans mes pensées) : je cherche : nous cherchons, nous voulons comprendre plyus pourv aller pluys loin en pareille roche, aller profonsd = creusement ... comme train de vie, etc, nous voulons savoir ce qui est ici en roche à nous attezndtre, en termes de finitude , de finissage, de finalité, de fin, etc, quoi nous attendsrait ou squoi nous attendra ? nous voulons savoir, nous cherchons à co:mprendre, nous parlons en roche nos mots (de parois) collés à pareille roche, nous parlons une langue «dee paroi» = ce patois de roche, suspect, limité, contredit, ou ... non ? car ce qui est , en roche, est cette chose ... de’une langue surajoutée, effigies de betes «en tant que», etc, n’est il pas ? nouys dison,s cela, comme quoi, notre parler patois de roche = betes-mots,
du sacre, de la plaine, de la roche plaine, etcv, n’eswt-il pas ou plutôt : n’est ce pas ? nous cherchons ensemblevdes réponses à des questio ns qui (en vrai) fusent sur roche , nousc cherchons ensembkle des réponses de poidfs qui purent le faire , ou pussent kle faire, ou puissèrent le faire ou pourrurent le faire, ou prussent le fazire ou comment grammaticalement parlant ( rires sous cape !.... ) ? nous cherchons des mots dans la roche : mots de tous les jours dit on , mais les mots sont tous des mots de tous les jours ou presque , c’est à dire en fonction de qui ça concerne, car tel mot pour moi ne sera pas «de tous les jours» quansd pour quelqun n / quelqu'une d’autre ce szera le cas , voilà la chose, et voilà pour nous ce qui est, sur roche, des mots qui sont «mots-anima ux (des temp)scvreculés) :
des betes grosses dessionées (
nous pensons que nous sommes deux ici à comprendre, nous donnons de nous (de fait) par la bande, nous sdommes ici deux à vouyloir ce je de la bande rude, nous posons sur roche les données de base : qui sommes bnous ? que disons nous ? que voulons nous ? que crions nous ? nous avons en nous peut-etre cette chose d’une voix de base ... offerte par qui ? nous l’ignorons, nous ne savons pas, nous voulons savoir, nous sommes enselmblev , pour un jeu de base nuptial, nous sommes ensemble offerts sur roche comme tribuns dee la bande treaçante : qui sommes nous ? nous avons dees perles, des pezrles et des mots, des mots et des choses de peu , à) poser qsur roche = déposer (tazntot) sur (il semblerait) un fil, nous pazssons le temps sur la bande, ou comment ? nous sommes ensemble, deux, pour une p)artition de roche musicale, un heureux évè,ezment, une parade, une chose rude, un trait de venin, un tracé de roche, une représentzation coutumièree d’homme et femmes des cavernes, nous voulons aller loin le plus en cette roche des embruns nacrées, nous voulons ensemble
allert loin e,n eelle,
toucher latimbale comme qui dirait,
creuser la roche dure,
toucher à laz porte du sang ou comment ? nous cherchgons ensemble des choses de rage,, xdes données de base qui purent ou pussentv ou pururent ou ou npuississent ou comment le faire et pour qui, car, pour quoi le faire ? qui de quoi nous rtzgrde ? qui est là qui dit la chose, chose de rage ou comment ? qui peut pour nous nous donner le sens de la marche en vie ? nbous donnons des choses mais pas tout ! nous donnons foultitudesz de choses mais hé hé pas tout du tout de nous , vcar nous ne sommes pas encore fous ou folles ! nous ne sommes pas fous ou folles ! nous ne sommpes pas vraiment fous ou folles ! nous ne sommes pas tout à fzait fous ou folles ! nous ne sommes pas fous ou folles du tout ! nous ne sommes pas encore vraiment de ces fous ou folles de roche perdues qui cherchent misère on dirait, nbous cherchons des choses ok rudes de vérité mais non point misère pour misère, nous chercghons ensemble ces choses de rage dure, ces choses de roche des temps des cavernes, cette vooie d’accès frontale, cette perle, cette chose entière, cette voix, ce chant des pârois, etc, nou!s sommes deux pour ce faire, deux = la vie princière = la vie riche = lza vie commplète = la vie des humeurs mélangées = la vie des pârois douces= vies douce de parois meubles ou comment ? nous cherchons ensemble à comprendre, ce qui est de toute cette affaire (rude) des parois de roche ornée,
avec bouquetins, avec aurochs ou rennes des prés, nou!s voulons comprendre ce qui est ici en roche de ce temps de parois déployé, temps dur de roche dure (etc) et pour cela nous gravitons, nous montons, nous poussons les choses rudes ensemble, nous mettons le coeur à l’ouvrage, nous cherchons issue de conserve afin de pour le coup comp^rendre au mieux les enjeux (pâriétaux) qui comptent, qui font de la roche une tombe ou comment ? nous cherchons vif cette chose à deux car nous sommes deux pour la chose, pour comprendre et prendre etc ce qui peut l’etre ensembvle, «toi et moi» pour un chant de roche, nou!s deux cons&-acrées pour une éterbnité de paroi dure, etc, nous voulons comprendre eznsemble cette chose d’une roche dure comme déplpoyée , cette chose en soi d’une sorte de paroi de roche (dure) déplisszée comme du tissu, du tissu de roche, comme tissu d’être etc, et pour cela , nous nous invitons-immisçons de concert en cette roche des apprêts, des figures, des tracés, des crinières et des sabots, nous chercghons des vérités de roche à déployyer, figures légendaiores, tracés historiques ou trans-historiques, etc, «qui puissent vle faire», ou pussent, ou purent, ou comment ? nous sommes deux qui jouons le jeu, bnous nous affichons de consezrve, et cherchgons la roche de conserve et nous nous immisçons pâreillemùent, e,nsemble pour l’éternité ou comùment dire cette chose d’uyne sorte de «soudure existentielle» ? à toi à moi pour des temps prolongés ? chine ! chaleur ! nous dison,s la chose dument prolongée, nous cherchons ici les mots soit les mots-betes de la roche et nous les consacrons par notre gouverne : deux est lma v érité, deux est lma chose en soi d’une vérité de nbon aloi, nous disons que « nous» dit deux = jeu des dires princiers, d’une roche des tempsallouée à une vie sur terre, deux = la Chose ... ou sinon comment ? de»ux = cette Chose en soi, d’un rire-tourment consacré par la bnande ! deux est Vérité de roche dure ! deux est cette Vérité de la roche des temps alloués, nbous cherchons la vérité et nous la trouvons au décour d’un pré (de roche dure) : deux ! car deux est la xchose du temp^s à toucher ensemble, cette peau (pelisse) de betes de roche, nous touchons la peau, nous nouys approchons de la bete rude, nbous nous app^rocjhons d’une bete rude, nue, fine, gagnée de roche dfure, rude, perlée, et nous la touchons, nous le frôleons, nbous touchons un peu d’elle (peauou pelisse) et ainsi faisant nous touchons lma timbale du temps, ou comùent ? nous devons comp^rtendre ce qui est, ce qsui ici est qui se joue pour nouds, nous sommes deux en rage des temps octroyés à chercher pelisse (douce ? dure ?) à toucher pour gagner, pour gagn,er la place : s’installer à la droite du pere et pleurer de joie notree misère etc, ou pas ? nbous touchons ! nous sommpes touchés ! njous touchons et nous sommpes touchés ! toucher = être touché ! nous sommes deux :
deux est la vérité vraie des temp^s reculés de l’homme et de la femme des cavernes, deux est cette vérité , en vrai, des temp^sreculés, deux = cette vérité des temps recvulés des hommes et femmes des cavernes comme en lévitation,
ancrés, adoubés par lma bande (pariétale) de la roche dure ornementée, nbous cherchons des dires de jhoie sacréez, nous cherchgons les dires de ces je de roche dure , nous cherchgons dires de joie (je) dans le dur du dur ! nous voulons comprendre ces je à la lumière dees parois ornées, ces jke de roche perlée, cette choàse rude d’une buve, d’un bison, d’une bure, d’un mouflon, d’une buffe, d’un frelon de rochev endiablé , qui est qui ? quel est le nom dont nous sommes affublés tantôt ? nous cherchons ensemble vdes définitions qui pussent le faire pour une gouverne , et voilà ici ce quii nous occupe grandement le vplus souvent, cette chose ensemble (à mener) qui consiste àç devoir chercher ou à rechercher desz sortes de définitions racées pour des notions perlées de roche donnée, n ous nous immiçsçons en roche dans ce but, njous creusons profond cela qui devan,t dsoi montre le bout de son «soi de roche», nous voulons comprendre et trouver des solutions à des données de roche dure devant soi et pour cela , nousv ezntron,s fissa, nous nous immisçons fissa,, nous nous introduisons fissa par la bande à deux, deux est La CVhose, deux est vrai, deux = le V ...
du vrai de la chose (dure) devant soi = le temps, car voilà ce qui est ici :
le temps est une sorte de donnée de roche, le temps est une sorte de don ou d’offrande déposé par soi sur la roche, la roche est le tourment, la peine, la souffrance, l’écueil, le temps est par soi d»éposé sur roche, la peine est ainsib affublé d’un nom dxe pâroi qui est le nom que nous portons lorsque nous lévitons, nous cherchons la vérité vraie et ceklkle-ci porte son nom (un nom) de roche céleste (célèbre ? ) , nous pensons à ce nom pour l’appréhen,der et le trouver tracé sur roche, qsuel est il ? nous cherchons ce nom de roche dure, cette chose e’un devant de soi déployé, quel est ce nom ? le nom est le nom donné à la roche du temps : tourment ? passage ? corridor ? coeur ? coeur peut etre , coeur ? coeur ? coeur ? coeur ? coeur ? coeurv ? coeur ? qui le sait ? qui saiot le nom de ce tourmen,t rocheux, qui donc le sait ? qui connait ce nom d’un tourmùen,t pariétal induit ? qui veut nous dire cette chose entre quatre yeux ? car deux est le titre de la roche dure ! deux pour une chose à dire ici ! et cette chose est un dire de joie = de feu, dire dur d’un jour de joie racée nacrée, nous pensons la chose de conserve et la déployons devant nos yeux, le monde devbant soi est le présent que nous donnons (à deuxd) au dieu de la mort, de la mort avide ! nous donnons de nous ce présent du monde déployé de soi, nous donnons de nous deux (roche) cette chjose d’un tourment de mots et de mots-betes qui plus est, nous sommes deux qui ensemble cherchons une vérité de poids dfans la roche = soi ! sous nos yeuxv enfantins ! soous la lumiètre crue des embruns matinauxs, sous le jour du jhour des prairies, des prés, et des champs royaux aux cerfs et autres cervidés princiers, etc, nous sommes deux qui recherchons la vérité de roche ou de la roche nue telle qu’elle nous apparait à nous, de concert, sous nos yeux ouverts (grand ouverts) comme ceux des nouveazux nés à la naissance à la maternité, nous pensons que nous sommes assez de deux pour trouver en soi une vérité de bon aloi, en la roche du temps alloué, pour notre gouverne, aussi pour nos envies,les satisfaire etc, nous cherchons (ensemvle) cette vérité de roche rude, ce tourment du temps déposzé etc, et qsui dépose ? qui a déposé ? je ? ce je de la fable ? ce je du temps déployé ? ces je des temps déployés à squi mieux mùieuxd ? ces je successifs de roche = nous ? tous ces je formant ce nous de la roche des temps ? nbous nous amusons de la chose, car nbous sommes joueurs, nous jouons comme des enfants qui sont amusés, nbous nous amusons ou nous amuserions comme enfants joueurs dans le sang , etc, nous sommpes enfants des roches du temps et à ce titre que faisons nous ? sinon cette chose (entre nous) qui consiste à toucher ... kl’oiseau dans son nid, bec ouvertt en grand commpour une offra,ndeà pouvoir recebvoir etc, nous cherchons cette chose ensembvle, nous ne vcoulons pas défaillir mais tenir, conserver pour soi cette vie, donnéec par la bande, cette vie d’emprunt monétaire etc, en soi (tic et tac charmant, qui bat de son allant cordial) et ce
faisan,t alkler profond , en icelle rochev du temps, creuser sa tombe, toucher la paroi comme timbale de bonne fame, ou de bon aloi, ou de beauté , ou bien de quoi ? nous sommes soumis à une rude éprueve de roche princière perlière, rude et rugueuse, hnous sommes soumis à une épreuve temporaire, notre but est de finir en joie en cette roche animalière des tracés et pour cela : aller ensemble (main, mzain, main , main) jusqu’aiu bout du bout de cette chjose en joie en n ous qui signe ce nous conjugué et conjugal : je + je = jeux, = cette chose d’une sorte de denrée de vie à donner sur roche à une déité, nous cherchons une réponse vive et vifs, la chercvhons vifs, nous autres et vive la réponse, car , nous sommes deux à faire cette chose, deux = la Chose, = cette Chose d’une sorte d’emploi, de déploieement, de délpissement, etc, qui ferait de nous des etres entiers (enfin dép^lissés) qui pourraioent du coup donner d’eux mêmes l’image absolue de leur intégrité, mais comùent déplisser ? et où ? sur roche ? dans la vie tourmentée des je multipliés se chevauchan,t ? où donc deployer les temp)s ? nous ne pouvons pas de notre vivant = sur terre, mais peutêtre ailleurs, qui le sait ? n ous voulons compre,ndre loin, aller loin dsans la comp^réhension des choses de base : qui est qui pour notre gouverne ? qui sait squi est qui ? qsui sait qsui sait qsui est qui pour notre gouverne ? nous voulons savoir et trouver des savoirs de roche animaliers pour notre gouverne, et ceux là les excposer (sur roche) comme autant peut-etre d’effigies donnant de nous l’image déployée d’une déité-vérité en nous contenbue par la nbande, et, aindsi déployée, nous placer en roche (à deux) de telle mzanière que, ici, le dieu des parois nous vit et nous compri^t et bnous absouît, etc, nous chjerchons cela ensemble = cette absolution, ce travail sur soi cvonsidérable et vif, et ce jeté de roche si tant est ou qui plus est ! cazr, nous sommes deux à cherchjer ! nous cherchons à deux ! nous cherchons à deux cette vérité de la roche du temps ! qui sommles nous ? qui cherche ? qui suiius je ici qui cherche disant nou!s ? pourquoi ce nous de roche dure ? qui dit nous ? cvombien sont ils à dire nous ? qui dit cette chose, ce nous de pârade, ce volet, cette rudesse ? qui dit «nous» dit rude ? qui dit «nous» dit vif ? qui dit «no!s» dit volontaire ? qui dit «nous» dit quoi, que nous ne savons ou sachions pas ? et que nous recherchons ! car, nous recherchobns : nous sommes en quête de la vérité des vtourmernts de roche , nous sommes tous deux (?) en quête, d’une vérité solide (une Vérité) «qui puisse le fairee «, et cette vérité nouscxembleb bien cachée, et cette vérité semble cvachée sous roche, ou cvomment sinon, ou où sinon ? sous la roche du temps déployé ! dsous cette roche dez$vant soi d’un temps de parade nuptiale, voyez la parade ! nous captons, nous recevons en nous des choses et autres qui font cette chjose de nous que nous sommes , nous sommes captifs, et capteurs de choses et autres , nbous essayons ensemble de piger des choses (rudes) de paroi, pas si facile ! nous voulonbs comp^rtendre ensemble, trouver ensemble, des choses de roche, pazrois dures contre parois meubles, ensemble nous voulons comprendre, nous sommes ensezmble à vouloir comprendre , nous voulons ensezmble (à deux) comprendre dans la profondeur, nous avons pour nous à comprendre dans les profo,ndeurs, nbous devons comprendre ensembvlke, dans la profondeur, choses et autres, choses vives, vérités racées, etc, nous voulons comprendre ensemble, ces choses de roche dure, ces données de base, ce temp^s menacé déployé sur roche, ce train-train dela base rocheusec, pour nous, quyi gravons des betes (betes-mots) sur la roche des temps ainsi déployés, nous voulons comprezndre ensembvle les donhnées rupestres dela vie des temps ainsi déployésq, nous voulons ensemble comprendre les temps cde la roche des temps, les déposer sur roche des tourments, des cris, de la haine consumée, des feux de joie et du tremblé de buve, tout cela ! nous donnons de nous cette chose, debvanrt nbous, qui est cette chose ici d’une sorte de rudeesse, rudoiueme,nt-tournoiement de roche, comment dire ? cette volonté (en nous ancrée) de vouloir toucher ! toucher la roche ! vif ! vif comme il se doit, et ne plus lambiner mais y aller franco de port sans plus tarder :
un tracé sous emprise , un dessin de bête = mots de roche, une bete en nbous tyraçant de fait, à m^$eme laroche, notre nous de base monetaire, échan,ge de bons procédés, économie toute paroiétale des embruns, chants de terre mère, données X pour un retour ! et, ainsi faisant nousalloons au plus profond, bnous nous immisçons dans le profond, dans le trou profond d’une roche meuble, suintante, enfin échancrée pour un passage nôtre de nos betes rosses, nous aalons en rochje fissa, nous passons par ainsi cette roche des embruns de lma mort en attente, elle est là qui veille, qui est elle ? qui donc est cette mort qui fait le pied de grue ? qui est elle ? qui donc est la mort , de pareille roche enclavée en grotte ? nous pensons que la mort est une bete, nous pensons que la mort est un trou, un trou (ou le trou) qui nbous suit, nous pensons que la mort est (en vrai) une entrée dan,s la terre de feu, bnous pe,nsons que la mort est pour nous salutaire ... à bien des égards ! nous pensons qUEe la mort est une double entyrée, salutaire ... à bien des égardsq , bnou!s pensons que la mort est ce trou dans la paroii bdu temps, c’est à dire cette cxhose rude, ce pasdsage étroit, ce boyau dans la cabvberne, etc, nous pensons cette chose ensemble (à deux) comme quoi la mort ... est une entité princière de première, fiduciaire pour ainsi dire, comment dire ? la richesse ! merdxum ! cette, là, richesse d’apparaât tu vois ? vois tu cette richesse d’apparât ? ou de l’apparrition , etc, la vois tu ? nous disons que nouys voyons ici (devant nous) le temps déposé, déposé un peu comme une marque déposée (au bureau des choses inventées), bnous disons que nous voulons savoir ce qui est au monde, qui, dans chaque recoin, se déroule, etc, nbous voulons comprezndre un tout et pas des bouts, bnous voulons essayer de com^rendre un,, tout et pas du tout des bouts ou choses éparses , séparées, perdus, disséminées, chues ici ou là, nbous non ! nous voulons comprendre ensemble ce qui est pour nous qui parait ici nous regarder, regarder vivement, nous voulons esssayer de comprendre ce qui ici semble vivement nous regarder pour ainsi dire dans le ,blanc des yeux, nous voulons essayer de comp^rendre ensembvle ici ce qsui est qui nous regarde vivement, ce qui en nbous nous sembvle attirer les regards, qu’est ce ? nous voulons comprendre ensemble les pourquoi et les commênt ! qsui dit quoi à la cantonade de la paroi ? qui grimpe aux rideaux de laroche ? qui pzarle pour moi en mloi = en nous = en nous cdeux = pour nous deux = nous deux = nous = je + je =je=je=je=e=je+cettechoseenmoique«nous»avons la jhoie d’appeler de nos veux sur roche, bete fauve sur paroi de grotte (le tourment) et cette bete-je est bete de joie formant pour le coup ce nous des cumuls, nous voulons edssayer de comprendre ce qui est ici en roche qui nous sied, quyi nous accompâgne, quoi ici est qui dit cette chose rude de la mort-passage ? quyi peut dire ce qui est ici, pour nous , de la chose déployée,
cette chose déployée, qu’est elle ? quoi est
elle ici qui dit ce qui est et nous regarde ou semble nous rezgarder ? nous voulons comprendre beaucoup et encore, et ne rien lâcher de sitoôt et creuser dans les profo,ndeurs de la terre meuble, en cette roche du tourment des temps et des envies de mort et autres finitudes insérées, nous disons «non !», car notre envie ici est de rester envie, nous (je multiplié) avons pour ainsi dire cette envie en nous de conserver pour nous en ous la vie octroyée, bnous ne voulons pâs DCD, bnous ne voulons en aucune manière trépassserr mais tout le contreaire durer dan,s le dur de la roche ... dure ^peu-être ? eh bien tant pis : nous en,caisserons la monnaie, nous en e,ncaisserons le prix financier, nous hjouerons au jeu de celui qyui compte les billets ou de celle, pâreillemùen,t qui jhoue la comptable du temps (pour soi ..) dan,s les avant- temps, nous cherchgonscdees données de base, nous voulons comprendre ce qsui est en roche en termes (ici) de dép;loiement ... frontal parioétal (occipital ?) qsui ewst (ledit déploiement) la chose à comprendre ,
à comprendre le plus en pareilkle roche, cette chose en déroulé de soi : cette mascarade ? cette cavalcade ? cet attroupement ? ce quoi ? nous nous avançons, à pas de charge, en roche du temps (= des tourments) , et ce faisant, nou!s cherchgons l’issue : quelle est elle ? nous cxherchons ainsi ensembvle des voies d’acfcès, où sont elles sur terre mère ? nulle part ? trou de bouche près de soi ? entreé des artistesq ? trou de basse-fosse ? hé ! qui sait ? pas nous ! que savons -nous ? notre parole est parole d’homme et femme des cavernes = treaits sur une roche , nous hgra-vons sur roche des treaits qui sont des mots qui sont des cris qui sont cris qyi sont le cri qui sont cri qui sont la Chose de survenue, nbous disons que nous sommes deux, nous disons que nous sompmes deux et que deux est la vérité, nous avons la faiblesse de dire que deux est la vérité, nous diso,ns que nous sommes deuxs (deux yeux ?) et voilà ce qui est ! nou!s disons que no!us sommes deux feux, deux yeux, deux voeux, deux dieux qui allons sur cette roche de paroi des temp^s, nous sommes qui entrons, en cette sorte de paroi, fisza, latete la première, nous nous introduiosons de concert, nous alloons en roche de concert, bnous nous introduisons enswembleb de concert en roche, et nous tentons de repérer ce qui ici (sous nos yeux) se trame de miraculezux en termes de betes de hjoie redoublée, etc, nottre voeu sera exaucé si la peine est jugée légère etc, notre but ici est affiché et concerne (au principal) nos voeux de.... substitution ? de compréhension par la bande ? d’échange de bons procédés ? de mobnnaie ? etc, nous voulons comp^ren,dre en roche cette économie, de transfert ou de transport : cette fummée de roche incantatoire, ces chants guutturaux qui ornent la roche, ces lévitations pariétales vivesq, ces soupirs, ces cris des profondeursq, hurlements de rage, ces rapines, ces offran,des, ces larcins, ces crises etc, nous voulons esxwayer de trouver en roche une verité de poids conséqUent afin de comprendrte la marcghe du monde , qui fait quoi ? qui commùande les destinées, qui cherche ? qui commande aux destinées du monde de la roche dure ? qui dessine sous mes yeux des betesq de roche ? qui dessine ou grave à ma place ? qiui erst l’homme et qui est la fezmme ? qui parle en nos noms respectifs ? qui porte mon nom ? ou plutot : en moi, qui porte mon nom ? est ce que mon nom est une entité ? est ce que mon nom est un passé ? un passév déposé , un passé brûlé, consumé, l’est-il ? qui sait de quoi , question noms, il en retyourne sur la roche ? nous bvoulons savoir ce qui erst , nous voulons comprendre beaucoup, nous voulons chercher des +, nous voulons chercher le plus que nous pouvons trouver, en roche et dans les cieux, ou bien comment ? nous voulons comp^rendre en vif ce qui est qui ici (vie de rage) se conçoit, s’élabore, se trame, se déploie, se déroule, s’organise, se met sur la place des temps, s’ébroue, nous voulons sqzavoir ce qui de cette vérité de roche nous parait ok, qu’est ce ? qsuoi donc nous parait aller ? qu’est ce qui ici nous semble convenir ? qu’est ce qui ici nous parait aller, con,cernant ctte chose d’une vérité ancrée dans la roche ? le temps est par nous de»pôsé sur la roche = sur la vie ou comment dire ? sur cela, qui vibre de hjoie devant soi, cette chose incrustée de la roche, etc, nous sommes ensemble (ce chiffre : deux) pour trouver , nous cherchons une entrée, nous recherchons une entrée fiable, nous cherchons entrée de roche, nous sommes deux qui ensemble recherchons une entrée dans la roche consumée du temps ou comment ? nbous sommes dezux et nous cherchons ensemble cette entrée pour nous, qui allons ensemble à la recherche d’une entrée de roche, fiable = sensée, or pas évident ! nous cherchons dans le langage ensemble une entreé de roche où pouvoir se loger et comprendre, mais vas y, cherche que tu chercheras, la chose n’est pas du tout-cuit lloin de là ! que faire ? que dire ? que dire ? que faire ? quyoi dire et quoi faire qui eut pu nous donner du mou et nous laissser le temps (à notre gouverne) de piger = rassembler les élémaents éparpillés et du coup comprtendre le tout d’une vie (figure) enfin déployée, c’est àdire de notre naissance à la mort devant,, ce tout déployé , sans plis, repâssé pour aoinsi dire, etc, nous essayons de comp^rendre cette chose ici d’une sorte de déploiement centré qui eut pu nous donner de quoi nous renseigner sur qui on est = qui je suis = qui suis je en ce nous de roche décrit, quyi je suis qui dit nbous comme de juste ? qui en nous suis je, qui de nous siius je le pen,dant ou l’un (?)des composants ?
je regarde loin devant, je suis homme des entrées de roche , je suis l’homme des cavernes entrant dans la roche, je suis homme d’une entrée à petite foulée, en roche du temps (une éternité) pour un faire , et ce fzaire est un dessin sur rochje, une bete-mots disant la vérité des choses du monde, ce mot dessiné est le mot (le nom) dont l’homme (ici présent) est affuvblé, il est affublé = encasqué, d’un nom de roche = bete mot de roche des tempsq, par exemp^le aurochs mais plein d’autree, l’homme des cavernnes est l’homme du tourment sur roche, l’homme nu du tourmen,t à vif de la roche du temps, car, il y a le temps (le présent en offrande) et l’endroit de dépot (la corbeille) qsui est cette chose d’une roche dure, très dure, méga-méga-dure en vérité, zone alpestreev (rupêstre) des tourments et autres vilenies et autres souffran,ces et autres douleurs liées à ma race etc, eh merde ! eh zut ou mèfle plutôt ! car je suis ainsi comme affublé (cxhandail de bure de misère) de ce nom, ici, de rage en moi, qui donc me fait aller sur roche (illllico presto) tracer à demeure des betes (mots) de poids performants (perforants ?) , ainsi de suite en une litanie, et voilà ce qui s’ensuit , de toute l’affaire, ce qui s’ensuit est cette chose ci, cvommme quoi la mort, est cette porte close du monde, ou ... le monde clos, comment dire ? la mort est chose borgne pour nous = close, fermùée, pâs de passage, pas d’issue ou de trouée quyi du coup nous permezttrait de pouvoir nous faufiler et d’entrer en elle par la bnande (vif : pour savoir) , rien de reien, la mort est borgn e = chose borgne, ou pas ? et aussi : la vie est une chose tourme,ntée comme la roche dessinée par lo’homme des cavernesz, je dis jke quand je parle en mon ,nom, or mon nom n’est pas mon nom en soi, mon nom est MON NOM, c’est à dire ici cettee chose en miroir ou ezffet de miroir qui fait cette chose, comme quoio MON NOM est une sorte d'effigiev animalière, une figure d’animal de poiods etc, je dis je pour dire je comme quoi je suis, et je dis nous pour dire nou!s comme quoi nous sqommes ... toute une tribu, nous sommes pl;usieurs qui alloons sur roche (= au moin,s deux, et, d’apres moi : deux) et c’est à deux (la droite et la gauche, dans la symetrie du nous) que nous trouvons ensemble cette chose d’une voix donnée comme par la bande, nou!s trouvons ensemble (nous = NOUS) cette chose d’une «symétrie de parole» («ah oui ?
où ça ?»), danc ce «ça» de la roche aux tourments, «ça» est la vérité vraie, d’un tourment animaliezr qui en impose (qui se pose là) il semblerait, il semblerait que «ça» soit ce trourme,n,t animalier de roche, qui serait debout c’est à dire devant nous, qui serait deéposé devant nous, debout, droit, qui serait ce «droit dépot sur roche» d’un temps calciné, formùan,t cette roche rugueuse d’un temps déployé,
npus cherchons ensemble
vérité de bonne renommée, nous cherchons bvérité de belle renommùée ensemblec : la trouverons-nous dans la roche ? nous voulons savoir ce qui enj roche nous attend , nous ne savons pas ce qui en roche nous attend, bnous ignorons pour ainsi dire par le bout ce qui donc nous attend en pareiklle roche, qu’est-ce qui nous attend en cette ropche des tour=ments, des peines et des souffrances an,crées ? nous ignorons ce qui en roche nous tendrait les bras, ce qsui est en roche pour ce nous de nous déployé, nous ne savons pas ce qu’il est ou ce qu’il en est , qui est il ? qu’est ce nous déployé sur roche ? qu’est ce nous sur roche dépliszé comme vetemùen,t de sacre ? que est cette chose sacrée ? quoi est ce sacre nouvellement né ? que est ce nouveau-né de roche ? qu’est il ? que est ce roi neuf , nouveau, sortant desz limbes ? nous ,ne savons pas, et nous (du coup) nous rechercghons ensemble comme par lma bande, une sorte dfe définition qui pour nous eut pu le faire grave (si possible) et pour cela nous nou!s sommes fissa (direct) placé «à la droite du père (tu vois un peu !) et là nouds prions , c’est à dire que nous dessinons , qui des bouquetins, qui des rennes, qui des cdertfsq, qui des ours, qui des chev aux, qui des mammouths, qui des élans, qui des biches, qui des cerfs royaux oubméga cerf des lieux sacrés, etc, nous «marquons» notre passage en ce lieu des rois par une représentaztion «qui eut pu le faire sérieux» mais ... à voir ! pas s^$ur que chose fussse ainsi si fgacile à faire , rien de moins sûr en vérité ! personne ne sait ! qui le sait ? qui peut dire qu’il le sait ? qui saura dire cette chgose comme quoi la vie ici est cette chose rude et dure de paroi de roche, et le temps offert (ou serait) par nous en guise de donnée de poids qui satisfgasse qui on sait dorénavant = qui de droit (si vous préférez) ?
nous disons lesq mots
-animaux de parois, et ce sont nos noms dee roche dure = ces noms, du tourment passdager, de cette vie de roche brute en tant que vie ici de souffrances (douleurs) à encaissser pour ainsi dire cde conserve, nous pensons que nous devons aller en roche ensemble longtemps et pleurer les la rmes (toutes) , de notre organisme pleinier (cette chose «bicéphale» à marquer sur roche),; nous pensons que noptre but est de pouvoir enfin trouver en roche cette vérité des te:mpsalloués, ce que est en vrai cette vérité des temps impartis, etc, nous donnons le temps nôtre de notre côté, et de l’autre, le temp^s déployé est un tempsrocheux de représentations disons frauduleueses, ou tout comme, bnous pleurons des larmes fauvesz, nousv pleurons nos larmes échues, nous pleurons larmes chues de bonne grâce, nous avons un cortps ambivalent, nbous avons pour nous un corps «de pâroi de roche» et au delà de nous un corps de senti=ments allégoriques, nébuleux pour ainsi dire, fait de mots soit de mots creux comme des perles à en,filer sur fil de roche de ce temps de la pâroi de l’homme, de cet homme à cran, à crinière, homme-faon, hommùe chevalier ou bien cheval, homme rupestre, hommùe ancien des temps menacés, homme de la préhistoire et des tracés sur paroi de grootte, homme du nom dit comme dans un cri de bete la mort
28/6/2021
nous sommes des êtres de feu, nousc entrons en roche comme en religion, notre corps s’immisce = s’introduit, nous nous avançons de concert, nous nous introduisons main dans la main et passons ainsi le cap de la roche, nous sommes ensemble cet ensemble vif, nous entrons de concert en cette roche dure des abris, du temps menacé, des paris, etc, nous sommes ensemble dans la roche dure, nous nous avançons de concert,
le temps de roche est temps menacé,
nous allons en roche profond,; nous sommes deux pour ce faire, nous sommes deux pour ainsi aller en cette roche des abris, nous sommes insérés, nous sommes dans, nous sommes immisçés, nous sommes pris ainsi en cette roche des temps fou, comme insérés-blottis en elle, immiscés-intyéghrés, nous nous enlaçons, nous somes en cette roche comme en religion : pris-immiscés-insérés-blottis- comme-condamnéss à ainsi devoir se loger en elle, lovés, mis en elle ainsi à deux enlacés, etc, nous sommes en roche intégrés, nous nous avançons dans le temps meurtri de pareille roche des temps, nous portons des noms d’emprunt, notre nom est un nom d’emprunt, nous sommes dans la roche comme deux, pour ainsi dire, qui nouus insérons par devers nous, pris à mal ou pris à partie, nous nous insérons (de concert) au plus profond de pareille roche, roche du temps, nous nous introduidsons fissa en cette roche des embruns, des embruns de bord de mer, nous y sommes dedans deux êtres de feu qui allons gaie- ment, amenant la bonne pariole (de fait) d’un dieu vertueux, nous nous immisçons en cette roche dure ornementée, nous sommes homme-femme des cevaernes, l’homme et la femme, nbous nous intégrons ici fissa en cette roche des temps qui passent, nous sommes dedans comme deux qui s’insèrent en se lovant-logeant pour la bonne cause, nous nous insérons en pareille roche du temps ;,, nous sommes en elle, deux, qyui szommes fous lovés, amoureux transis, oiselets dans leur nid, nous avbançons en roche et nous nous intégrons , main dans la main, à pareille roche «des temps menacés», etc, nous sommes deux bambis des bois et sous bois, nous sommes chevreuils, betes des bois de la lande, amoureux transis lovés en roche poour la bonne cause ou causerie, nous nous avançons en cette roche des temps impartis menacés, nous savons la roche son envie, son envie de rage (ou l’envie de sa rage) ou son envie racée de nous voir ici comme lovés en elle : nous sommes ses bébés, ses faons de dernière mi- nute etc, nous nous intégrons en pareille roche (des temps impartis) alloués à notrte gouverne de bete des bois, nous sommes deux ainsi, nous nous intégrons à la roche, nous sommes deux dedeans à nous intégrer-immiscer fissa en cette roche des paris de rage, des temps fiers, des orages temporels, des hommes et des femmes des cavernes, des aboutissements frontzaux etc, nous nous sommes logés en pareille paroi par la bande et nous y demeurons un temps (alloué) jusqu’à nouvel ordre : nouds sommes faons de roche dure, nous sommes faons de la roche des temps et nous noius promenons en roche, en pareille lande, sur roche, sur pré de la lande par la bande, nous nous promenons ensemble, faons de roche dure, en ce lieu précis d’une sorte d’embardée votive, nous sommes accouplés, nous nous aimons, nous sommes deux en nous qui nous aimons, qui nous montons : lévitons ! entrons en roche ! immisçons-nous ! allons dans la roche du temps ainsi lévitant, nous devons comprendre cette cgose ici qyui est cette sorte en nous de désir appuyé pour une sorte d'immixtion du corps entier en cette roche dure des temps impartis,
nous devons comprendre cette chose et fissa nous intégrer, à pareille poaroi ornée , parmi les betes dessinées et gravées de la roche : aurochs et ours des plaines, bouquetin des parois escarpés, lions des plaines, armées de bisons ou de buffles, nous nous intégrons fissa en cette roche, nous sommes deux pour pareille cause temporelle, nbous nous immisçons ainsi en cette roche des embruns de bord de mer, nous sommes deux faons de ta race mère etc, nous avançons, nous gambadons, nous sommes entrés en lévitation, mi hommes mi betes comme il se doit, nous sommes deux pour ce faire, nous solmes deux à devoir ici nous immiscer en rioche, en roche des temps, et, fissa, s’intégrer aux profondeurs d’icelle : là où le bât blesse, là où ça fait mal peut-être, etc, nous sommes à présent avancés, nous avons tracé, nous sommes loin de l’entrée de roche, dans les embruns, nous voyons la fin:cetterochedure ouvertedevantsoi,cetteéchancrure de paroi meuble, cette sorte de chant langoureux (?) ou comment ? nous nous avançons ! nous sommes devant ! devant la chose qui est cette cghose d’une sorte d’échancrure (dans le temps) pour deux ! nous noius enlaçons, nous cvopulons, nous nous intégrons l’un l’autre fissa dans la roche en dur, nous sommes de la partie (= le jeu) de la roche des temps octroyés, nous sommes deux à nous insérer à Roche du Temps Imparti, ... cette personne ? cette chose ? cette voie ? ce chandail = veture pour une immixtion de bure = pauvre, menacée, sur un fil, tendance discrète etc ? nous nous sommes mis en danger ainsi et nous nous avançons, en roche des prés et des sous bois, ensemble main dans la main comme deux qui s’aiment (dirait-on) et qui sciemment vont en roche à larecherche d’une voix qui saura leur dire le chemin à suivre, les guider de toute éternité (si tant est) etc, nous sommes sur roche des temps et nous nous intégrons à icelle, pour un temps donné par elle,
alloons ainsi !
nous allons ainsi ,
nous sautons (sautillons) en prairie et gagnons la lande, nous nous immisçons dans les profondeurs, cherchant «Vérité de Roche» la bien nommée, nous la recherchons vaillamment : où donc est elle logée ? où va telle ? que fait elle ? où latrouver ? nbous nous consultons et nous pensons que pareille chose est située plus loin dans les embruns, au fin fond de pareille roche ornée par x hommes et femmes des cavernes, nous devons co:mprendre cette chose ici d’une sorte de paroi votive ornementée, décorée comme sous emprise (guerrière ?) en dsoi, par un homme des cavernes, mi-bête (c ghevreuil ?) mi-homme ou mi- femme, car, il est ainsi, que pareille bete faite homme ou faite femme, grave, dessine à main libre (levée) des sortes d’effigies rupestres, de belle tenue, ressemblantes avbec leurs modèles, finement tracés sur la roche, impressionnnante de vérité, etc, nous savons toute cette chose d’une sorte de «véracité de bon aloi» afin de faire croire = accroire que : que cela est vrai «mille dieux» ! que ! que cela est la vérité vraie de la roche dure ! etc, voilà ce qui est, ce qui ici en roche semble se tramer, etc, il semblerait du bmoins, il nous apparait cette chose, ici, comme quoi laroche, roche dure, est roche des temps alloués à une vie tzerrestre, à un pasdage, à des amourettes de betes, etc, et que donc, ici, est cette chose ouverte de paroi = échancrure, à traverser fissa par lma bande ou autrement (comment ?) à deux de préférence, car, à deux c’est mieux etc, nous pensons que nous devons encore ettoujours creuser cetyte roche (dure) des apprêts, nous nous devons ensemble de creuser la roche, de tracer, de graver et desinner des betes de poids, bnous devons creuser pareeille roche des bois et nous introduire en icelle concomittament = de conservce = ensemble un ensemble = conjointement = conjhoints = ainsi faisant à deux la chose, d’une sorte d’immersion (immixtion) brutale, face à face (roche et soi) en pareille grotte : lévitation ! changement d’optique ! transubstantation, transvasement, transfert et transpôrt, trnsbahutement etc , nous nous transbahutons de concert (main + main) et entrons, et là ... mirackle ! une biche des prés nous attend ! en roche ! au coeur de la roche ! une biche de bon aloi ! une sorte de consoeur, une sorte d’amie fidèle ! nous la suivons , nous allons après elle sur son chemin, nous nous blotissons ou nous unissons après elle sur pareil chemin qu’elle dessine (ici) au ciel de sa course, ou au ciel dans sa course, etc , nous sommes éblouis, ébahis, baba, transis, étonnés voire subjugués, etc, nous suivons la bambi des prés de la bande, nbous noous ionsérons à son pas de chasse ... ou comment ? sa parole ? sa voix ? son chant ? son tracé ? son embardée ? nousallonsaprès elle et nous ne la perdons plus de vue, nous ne voulons pluys la perdre de vue, nous voulons la garder pour nous du regard et ne pas l’égarer, nous sommes deux de ses fidèles etc, bambi est roche des prés ! nous passons apres elle , nous la suivons, nous la suivons de près, nous ne la quittons pas du regard, nous sommes faons de roche dure après bambi, nous aimons cette bambi des prés, des prés vertts et des bois et autres sous-bois de la roche des temps, nous aimons cette bambi de feu de roche, nous la suivons : où va-t-elle ? où nous mène-t-elle ? où veut-elle nous cxon- duire ? nous savons des choses au sujet d’icelle comme quoi ... elle aime la roche, gambade menu, va devant, va loin, etc, une sorte de bete de roche allouée (la roche) à une sorte de «temporalité votive» , et Bambi de se glisser en roche comme dans la vie de ... tout un chacuun sur terre-mère, etc, nous suivons bambi nous mener loin en cette roche des prairies offertres, dites «de parois de roche dure», etc, nous nous intégrons à la roche des tempsa lloués à une vie terrestre, il s’agit de sui vre Bambi dans les prés, nous devons la suivre des yeux puis courir après elle et ne plus la perdre : où nouys mène-t-elle ? que noius veut-elle ? quoi veut-elle dire (nous dire) ? nous ne savons pas, nous la suivons, nous sommes faons de roche dure et elle elle est bambi de roche dure , comme nbous, comme nous de roche dure, et nous de la suivre fissa sans la perdre de vue, car, nous ne dezvons pas la perdre de vue, car, nous sommes sou- mis ou comment dire (souymis ?) à elle ! à sa course brute, vive, r&acée, etc ! nous suivons Bambi en cette roche de paroi de grotte, bnous voulons comprendre cette biche en ses sortes de soubresautsq, nous voulons comprendre icelle bambinette en ses échappées pa riétales ! qui est elle pour filer (sautiller) ainsi ? nous ne savons pas ! «de la roche des temps alloués» ? certaineùment ! mais pas seulement : Bambi est une bete «de rochge du temps» mais ausssi : notre amie très chère de la roche dure, notrte invitée ? ou est-ce nousautres, les invités ? nhous devons aller en roche dure et nous coller aux basques d’icelle bambina des prés alloués ! nous ai:mons Bambi comme la roche, comme nous aimons la roche et aussi comme l’aime la roche (il faut croire) et voilà pourquoi, nous ne pouvons plus nous empêcher de suivre icelle du regard, bnous ne pouvons pls ne plus la suivre du regard car, nous sommes scotchés à elle et à sa course, pour ainsi dire ! où nous mène-t-elle ? qui sait ? nous ne savons pas, nous cherchgons parade, bnous cherchonsq ensemblke à comprendre le plus de ce que nous pouvons comprendre de pareille roche habitée par des créatures, nous sommes eznsemble en cette roche des embruns de bord de mer, bnous allons ensemble loin, nous gravitons et gravons, bnous chercghons la vérité du tempsallouée où se loge-t- telle, mais voilà : il n’est pas si simple de la dénichezr ! ou est- ekllle ? que fait -elle ? où se loge -t-elle en roche ? qui va là en roche etc ! car : nous aimons la roche, Bambi (la gouverne) et l’ornementation qui va avec = fresques, effigies, gravures, traits, etc, nous aimons la roche ornée par x ou y hommes des cabvaernes en transe, nous voulons comprendre les données les plus subtiles, nous voulons co:mprendre (dans la profondeur de la roche) les chodses du temps ce qu’elles sont pour nous quyi sommes faons, faons de pareille (icelle) roche meuble (à orner fissa pour la bonne cause) des temps impartis , etc, nous voulobns cerner, piger, prendre pour soi (avec soi) la chose rude ici d’une roche («des temps menacés») comme il se doit, etc, et nous introduire vite fait bien fait en cette rocghe de fait échancrée de la roche dure des temps, de pareille roche du temps averti ou sinon de quoi ? nous sommes des êtres dits «de rage en rocxhe», «Vif l’éclair» pour la bonne cause commune , nous devons faire ainsi cette chose rude d’une sorte d’embardée native dans le vif de pareille roche des tempsalloués pâr une déité de roche quelconque ! ... ou pas ? car Bambi nous entraine à elle = à nous glisser ensemble «dans la fente», et quoi est elle ? que est cette fente (échancrure en d’autres termmes,, ou fissure) ? quoi est elle ? qu’est-elle ? que est elle ? ou : qui est elle ? que / qui est cette chose ouvertte devant soi comme le temps , que ? qui ? quyoi ? quoi donc est cette chose devant soi qui s’ouvre fissa au fur et à mesure et semble nous cueillir (accueillir, receuillir) en cours de route après, en vrai, le passage de Bambi : qui ? quyoi ? que ? quand ? comment ? pourquoi, c’est à dire quelles sont donc les raisons qui président à ? nous l’ignorons ! nous ne savons pas ! nous cherchons avec beaucoup d’en- vie et de sérieux et ds’allant et de motivation (de tous les instants) ,nous cherchons des choses sur roche, nous cherchons sur roche des choses «qui puiissent lele faire» et de ce fait nous indiquer
le chemin à suivre, comment y aller , comment faire pour y aller, quel chemin suivre, comment se placer sur poareille route de destinée etc, nous ne voulons pas baisser klagarde : nous voulons savoir ! nous ne sommes pas venus pour rien ! nous voulons savoir, comprendre, emmagasiner des savoirs, repérer, conna^,itre, intégrer, ingurgityer des données commecd’a ucuns ou d'aucunes des vivres, nous sqommes ainsi placés sur la roche comme suit : les cornesc au devant qui percent, le regard porté sur la lande , vers des propfondeursq, le pas vif embrayé, et prêts à bondir et passer la roche : fissa ! colmme en quelque sorte d’une sorte «d’écran de joie» , etc, nous sommes deux pour cela et à deux en a vançons, bnous ne vou;lons pas perdre le fil de ce temps de roche ornée,, nbous nous promenons parmi des betes de parois de grotte (aurochs et bisons, rennes et chevaux) et nbous nous in,filtrons tantôt en pareille roche des temps alloués à une cause, cette cause est celle qui concerne les embruns de roche, les données de roche, etc, noussuivons bambi, nhous sommes ou plutôt nous ne sommes pas peu fiers ! nous suivons la bambine des prés de laroche : LA, et nous nous avançons (apresz elle) de la vérité deposée , nbous nouys avançons , de cette vérité déposée du temps, déposée sur roche (en roche) , et qui est donc ce présent du temps, du temps octroyé et devant octroyé (devant soi) comme une sortye de paroi à traverser ensemble pour la bonne cause, nous nous intégrons à pàareille roche, bnous nous intégrons à cette roche des abois, des temps vifs, des temps de grave, du pari fou d’entrerr en pareille paroi, etc, nous cherchons ensembkle ici même (roche) le de la =
le fin mot de la :
soit, de la vérité de la roche du temps, cette chose, et nous gardons l’espoir qu’un jour, en vrai, bnous sauronsq ! qui sait ! peut-etre un hjour, en swqaurons nous long sur pareille chose des embruns, qui le sait ? bambi ? certainement ! aussi : nous ne la quyittons plus du regard, nous avons compr’is le pot aux roses et kl’importance de Bambi (énorme !) sdans la narration, nous ne sommes pa s (plus) dupes de cette chose, c’est-à-dire d’une sorte de bete peut-être du bon dieu ou bien de qui d’autre ? qui se- rait dès lors pour ainsi dire son agent de liaisqon, une sorte d’envoyée spéciale, etc, sur roche, pour nous a utres, pour ici les etresq de peu (et de feu ?) de la roche = nouqs a u t r e s , des bambis ou des pseudo-bambi des temps, etc, des ressembla,nces ici tracées à main levcées, ezffigies du temps- qui passent, tracés sous emprise, dessins d’hommes et femmes des cavernes des temps pariétaux, etc, nous allons en roche ainsi = à la recherche d’une vérité ! laquelle ? eh bien ... celle qui touche aux données primaires, premières, primitives, natives, etc,
nous voulons comprendre le monde du temps imparti de la roche dure des embruns, qui sommes nous sur terre pour parler ainsi de bnos rezcherches ? des hurluberlus ? des paradsites ? des microbes ? des vieux ? des jeunes ? des absents au monde ? des etres de peu de foi dans la roche ? ou tout au contraire : des êtresq de beaucouop de foi dans la roche ? qui sommes nouq ? ... des paroles ? des cris ? des etrezs de feu et de rage en soi ? ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii iiiiiiiiiiiiiiii ! etres de feu (en nous-mêmes) et de rage folle (sûr !), et nous voilà, nous sommes là, nous sommes en effet entrés dans la roche parmi toutes ces betes près de nous qui paissent quiètement leur hzerbe de paroi verte, etc, nous nous avan!çons de fait sur cette roche du temps, nous regardons ce qui donc se treame autour de nouys, cesz betes qui paissent (etc), nous n’avons pas peur «d’y aller», de nous initier à laroche , nous nous intégrons à cette vbérité de bon aloi, dite «de bonne fame ou bonne renommée», bnous cxhezrchonsz, nous ne sommes pas en reste de chercher que tu chercheras toutes ces vérités, dures, de roche dure, bnous voulons cerner au plus près ce qui setrame sous nos yeux ezn cette rochge des temps alloués à une vie de roche rude, nous pleuronbs (ah bon «) et pleurant nous nous glissons dans lze sillage de bambi la bienommée, et la bien venue, cxar elle bnous aspire (entraine) de son p)a s d’allant (ou d’é&lan) vers une vérité ici de grave teznue qyui sera celle là que bnous avions voulu, que nous espérions, que nous attendions de connaitrte : qui est qui en roche ? qui va là, merde ! qui ? nous ne savons pzas, nous voulons nous glissezr a u fin fond de cette sorte de paroi faite de mots et autres de la lande (de la b ande) et qui est celleb là q!’autefois des hommes et femmes des cavernes ornaient puissament lors de belles nuitées incantatoires (etc) : les mêmes ! celles là que toutes et tous nous chérissons de par notre gouvezrne, parois de la loge du temps, etc, car lme temps se loge en roche comme (ailleurs) se logent des etres, en des nids de roche, etc, bnous savons cette chose comme quoi nous respirons toutes et tous par la bande et vivons deèsq lors en cette roche commùe l’animal (ou la plante) : les pieds sur terre ! nous savoons cela, nous ne sqommes pas ignares en toutes chosesq, car en vcrai il y a des choses que nous savons, nbous savons un nombre peut-eztre réduyit de choses mais enfin nous savons, nous savons un certain nombre de choses des temps, un p-etit nombtee vraisemblablemùent mais pas si infime en vérité , nous avons des mots en maga sin (en nous m^emes) pour dire cette chose cxomme quoi nous sqommes à la recherche d’une vérité (de fait) d’imporetance et de belle (nette) envergure, commenjt faire pour s’en approcher ? en piquant du bec sur la roche = une percée d’icelle au pic du bec, ... comment autremen,t ? nous voulons entrer, en vrai, «dans la vérité «, voilà le hic (hic ?) ! nous voulons entrer en cette rocghe des vérités qui seraient bonnes à dire, nous voulons com^prendre au plus profond les données du mondec, que faire en pa reille roche pour enfin sa voir de qUOI il en retourne de toute cette a ffaire de roche avertie et autres sortes de parois ornementée par la ban,de ici langagière de cet homme des cavernes ou femme des cavernes sus-décrite, nous voulons sa voir ce qui est ecxactemment, ce qu’il en retrourne de toute l’affaire, qui est qui en vérité ? qui de quoi est qui ? ou bien : quoi de qui est quoi ? ou quoi ?. bnous ne sqavons pas trout ! nous ne savons pàas tout ! nous ne savons pas tout loin de là ! nous ne sacvons pas touut hélas ! que savons nouqs ? nous en savons peu en vérité (en définitive !) : nous savons quelques bricoles, nous savopns quelques petites cghoses , mais ezn vérité ezn, définitive que savons-nous ? que savons nous que nous pouvons dire sur roche ? que savons nous que nous pouvons tracer, ou bien dont nous pouvons, ensembkle, tracer la figure , quoi ? bouquetin ? ours des parois ? cheval des champs de course ? bec ? brebis-ouailles ? quoi donc ? nous pensons que nous ne sqommes pas prêts cde savoir, nous sommes même loin de szavoir ce tout, de cette chose de la groote ici enfouie sdans une terre mère de paroles chues, etc, nbous devons comprendre ensembvle (des mots ?) pour aller plus loin en besogne, et pour ce faire :
du bec ! du bec sur la roche ! creuse que tu creuseras ! comment faire autrement ? notre but s’afficxhe en direct , il est inscrit en toutes lettres sur la roche : «recherche (assidument) une laisse», etc, ca&r, nous sommpes betes à joug, nous trimons sur tezrre, en chions grave grave on l’a vu ! etc!, nous devons comprendre fissa un nombre conséqueznt de choses rudesq, ici bas (terre mère), et aller ezn roche à la recherche d’une vérité = vérité de poids, de celles qui donc pèsent lourd dans la balance des données de roche, nous chervchons loin et longtemps et pas sûr que nous voulions de fait lacher la main sur pareille chose des embruns ! pas sûr du tout ! car nous cherchons ! nous sommes des cherchzurs et chercheueses de roche, ou de la roche dure, nous cherchons (en mots ! ) la vérité (la vraie) dans (en) la roche dure (= le temps) : voyez misère ! pauvres hères que nous sqommes ezn roche, qui chezrchons tant de vérités bonnes à dire et à graver sous forme de «bêtes de hjoie» pariétales, bnous voulonsessayer d’entrer en cette roche par la bande, ezt pour cela : eh bien, le dessin, la gravure, c’’est à dire en résumé- lareprésentation au plusq fidèle des traits de la bêtre, on le voit, nous bnousq essayons, nous ne sommezs sûrs de rien, nbous avons du cxhemein encore (beaucoup) à parcourir, nous -ne devons pâs baisser la garde, nous dehvons aller fissa le plus possible en cette roche à intégrer ense’mble (pour la bonne cause) jusqu’au bout ! ce bout qUel est-il ? eh bien ce bout est le bout du bout (comme il se doit) ! c’est-à-dire ? eh bien, il s’agit très exactement ... du mot de la fin ! et quel est donc le mot dela fin : ... «fin» ? pâs vraiment ou pas que ! quoi donc alors ? le mot de la fin est cvelui ci : «avide» ! c’est à dire ?
avide (= à vide) = qui a faim et soif !
nous cherchons , nous ne sqommes pas en reste de cghercher des vérités, nous voulons chercher ensezmbvle (main, main, main ,main) desq sortes de belles vérités de choix ! de premier choix si possible ! nou!s cherchons , nhous cherchons à même la roche du temps ce qui donc pourrait se tramer en elle en ma tières de données de base fiable, qui est qui ? quyi est le frère de qui ? qui est le parent de qui ? qui veut savoir ? quyi veut toucher latimbale du temps ? « moiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii » dit la bete et à moi de le comp^rendre;, car je suiis moi même mi bete mi homme/femme, je pezux donc essayer de comp^rendre, la bete de poids (de roche) près de moi : son pôids imposant, sa placidité, son engouemen,t renouve»lé pour l’herbe desq preész, sa paresse (?), son allant de petits pas de base, je suis homme et femme des cavernes de céans, je suis cezt homme et cette fmme des ca&vernes de fait attendue sur ce chemin qUI mène ou mènezrait loin, et si oui où donc ? où ça ? car, en tant que tel ou telle (= homme ou femme des cavezrnes) jhe me dois de pouvoir savoir ce qUII est ici setramant de la sorte , je cherche vérités de roche, je suis homme des cavernes à la recherche d’une vérité animalière, je suis homme des cavernes, je m’avance en rocxhe», je m’immisce en elle sous lm’emprise x’une bete (e,n moi) de rage forte (folle) et qui va (fissaa) en roche s’immiscer, via ce pic de moi acéré, soit le moi du pic, soit le pic du moi, etc, je vais sur roche .. de la sorte muni, je vais en ceztte sorte de roche du temps comme muni, «en moi», d’un pic dit «de percée de roche» = une vrille ! une sorte d’échancreur etc, pour immixtion complète et passage en entier de l’autre côté xde la roche,
je veux ceztte chose d’une vérité de roche,
et pôur ce faire je m’incruste ! et là, je fais le gué ... ou comment ? le pied de grue ? je m’impla,nte et guette ! je ne lache pas le morceau ! je suis là et bien là (bel et bien) afin de faire cette chosex:
ne plus s’en aller, et attendre l’arrivée (massive) d»un troupeau de «vérités de roche», etc,
je veux cette chose, savoir et pouvoir ! sa voir de quoi il en retourne (l’envers du décor ) et pouvoir = cette chose, cette chose d’yune sorte en soi de savoir a&gissant, de savoir vif qui pousse à agir et à décider : qui et quoi, quoi et qui ? ou plutôt : qui croire ? et quoi pen,ser ? car voilà ce qu’il en est ici (en roche du temps) qui nous enquiquin e fortement, cette chose d’un vouloir-savoir pas bvraiment rassasié, pas vraiment contentév etc, le savoir en bnous reste sur sa faim et en redemande ! nous cherchonsqa upluslointa in (des choses) et peut-etre n’’st -on pas a sserz vigilants / vigilantes et voyants / voyantes voire lucides ou même extralucides, non ? nous n,ous avançons en roche, nous nous tenons par la main, nous voulons essayer de comp^rendreles eznjeux vitzaux de cette chose d’une sorte de paroi à graver par la bande pour sa gouverne (la tenir en vie) , nous sommes deux à penser cette chose, d’une sorte de drôle (ou pas ?) de «vérité nacrée», ou sinon nacrée bleutée ? ou comment autreement ? nous voulons des choses connaiotre en icelle roche ! nous ne voulons pas (pklus) passer à côté : comment s’y prendre ? plonger da ns la roche, s’»immiscer, passer 1 la tête, puis le reste, ne pas reculer, fr(apper de son poing sur table d’offran,de, etc, nous xcherchons la vérité ! ... qui est donc (ou serait) attenante à la roche = déité pour ainsi dire = une sorte de collage de croyance par les mots de la bande ? ou comment cette cxhose ? nous pensons que oui en vérité la vérité est accolée à roche-mot (comme la pierre au sol du fond ma rin) qyui la porte pour des tempsz lointainsq ou pour des temps immémoriaux, nousq guettons (nous faisons le guet) et ce faisant nous persisqtons = nous restons en vie sur terre-mère (etc) , nous voulons compr endre beaucoup de toute cette affgaire, nbous pensons que nous savons des chgoses, nous pensons que nou!s ne sommes pas en reste de savoir un ... peetit (peut-être ?) nommbre cde choses mais enfin,; même s'il est petit il n’en existe pas moins et nous pezrmet une première approche des dsonnées de base des choses du temps, les moçts sont accolés à la paroi du temps, les mots de la croyance dure (inébralablme) sont des mots de peu mais qui s’incrustent et gênent aux entournures celle ci qui, devant nous, nous guette de son oeil «de rage folle» (= la mort, forcément) et nous de bnous glisser dans le sillage (donc) de notrte (belle et douce) bam bi des prés, elle nous entraine, elle nous montre le chemin
,elle nou!s guide
sur pareil v-chemin de vie (de destinée)quiest tera cé de roche = animaux de pierre, chantsqc d’oiseauix, parafdesq nuptiales (ou tout pareil !) , et voilà pourquoi nous en sommes là et seulement là dans nosc recherches (et non plus loin) : car, nous sommes meurtries, touchés au vif, génés aux entournuresq , par en nous un verbe vde peu de foi, et cependant foi (de l’homme ou de la femme) entière, entière foi , de l(hgomme ou de la femme ... de rage et du sang ! son entière foi pâr la bande etc, nous voulons comp^rendre (et creuser la roche) pour cela, et de fait c’est juste ce qUE nou!s faisons : creuse que tu creuesras ! nous creusons a ssidument , nous voulons aller dans les profondeurs, nous voulons savoir -dans les grandes largeurs, nous ne voulonbs pas lâcher la bete des prés mais tout au contraire la suivre de près, ne plus du tout la ^perdre du regart, courir aprèes elles (qui l’eut cru ?) et se laissezr dès lors comme embarquer vers un ezndroit de bord de roche terminale : cettye chose d’une finitude, etc ! nous savons cela ! nous n’en sommes pas dupes , nous sa&vons qu’une échéanvce nous attend, nous savons ceettte chose xd’une sorte d’échéance au loin (horiozntale) qui sans le moindre doute nous atteznd (nous attendrait) dans la nuit des temps, et aussi voilà la chose que nous penso,ns, nous pensons cette cghosecomme quoi nous sommes cuits et cuites, ko, pas d’attaque, pas faits ni faites pour cettye chgose ici d’une traversée -enjambée vivants et vivantes cde la roche des temps finale, ou desz temps finaux s'il s'agit des temps, etc, nou!s cherchons à comprendre ce qu’il en retourne de pareille vérité de roche si tant est ! nous voulons cxomprendsre ainsi armés mais allez donc comprendr’e quelque chose ainsi a rmés ! les mots ne peuvent rien dire de la roche dure, ou si, la seule chose, ils peuvent ou pourraient dire = figurer la roche, ou comment ? dire leur dire d’un dire de roche, ma&is pa s davantage, non ! car quoi ? car les mots sont des « acco;lész de rochge dure», des rajouts blottis, pris dans le vent, etc, nous gravons des betes squr la roche, nous sommeszv ensemblev à graver sur roche des a urochs de belle prestance et autres buffles de compâgnie, bnous nous dezvons de faire cette chose, c’’st à dire de graver encore et toujours ! nous gravons : betes de la roche dure = des auroichs , des bisons, des buffles, des bouquetins, des ours, desq lions, des chgevaux et des rezbnnes, nous sommes hommes et femmes de lapréhistoire, nhous sommes deeux en roche (introduits / introduites) pour ce faire (la gravure, le dessin) et en imposer de la sorte = en cracher (cra cher) = en ficher (foutre) ^plzin la vue, faire imp^ressionb, faire son impression, impacter comme un mort cde faim impacte l’auditoire avec son cri, son cri de famine lancé à la cantonade, etc, nous chezrchons u,ne vérité de bon aloi à se mettre sous la dent, du genre «vérité de la roche des temp)s «, nous voulons aller lkoin en roche et ensemble trouver des rzaisons d’y croire = des raisons primâires = premièresq = de base = du temps des naissances etc, nou!s ne voulons pas rester en raxde : qui est qui ezn p)areille roche ? le cheval eswt§-il cheval , c’erst à dire en vrai ? trépignant en ca va l c a de ? nou!s ne sacvons pas , nous pen,sons que oui, que en ezffet, l’image ici de la bete est ou sezrait la bete ! peut etre ! no!us ne savons pas, nous espérons d’un jour pouvoir savoir mais à c e jou!r que dalle, ou presque, car, des ... quoi, savons-nous ? sinon des «clopinettes» de pa roi du tem)s : l’homme des cavernes est un homme vif, l’homme des cavernes a ime sa tribu, l’hommùe dees cavernes chante sur roche, l’ghomme des ca&vernes enduit son prochain, l’homme des ca vernes pose sa voix (sur quoi ? sur roche !), l’homme des cavernes est a ssi du, ne lache rien, l(‘homme des cavernes est profond, l’homme des cavernes entre en roche par la bande incantatoire , et là, e, n pareille roche dees temp)sq , il grave grave, il pa rle sévère, il part en des incantations sévères, etc, il est pris piégépar en lui la voix de la bete des roches, cette bete en lui surnumùéraire comme un doigt de plkus à sa propre main, etc, je suis homme des cavernes, je suisc un homme des cavernes des temps anciens, je gravce à l’envi sur roche «mes effigies»;, je ne cè§de pa s, je ne vlâche p as, je suis concentré à ma tache, jke fais des figures, des betes dxe race», je figure et treace fissa sious emp^rise: qui suis je ? une bete en moi, c’est à dire ... la bete en moi ? qui squuisz-je ? un e voix de fausse roche en moi ? q<ui suis-je ? une voix de fausset ? qui szuis -je ? une bete des prés ? qui suis je ? une sorte d’otarie ? qyui suisq-je ? un ben êt ? qui suis- je ? triple-buse ? qui suis-je ? con massif ? une biche élancée... et lancée, quoiqu’effrayée ? qui suisq-e ? une sorte de chien de rue ? un,e sorte de bete à cornes ... mais laqUEZlle ? kje ne sais, je ne sqais pas en vrai qyui je suis, je ne sais pas qui je suis du tout, qui suis-je ou serais-je ici qui cherche une chose rude (ou chercherait) ? qui suisz je en roche et qui suis je hors de la roche ? suis je cet enfant de roche dure ?l’enfant «de la roche dure des temps» ? suis je cet eznfant ? suis je resté un enfant ? suis je l’enfant en soi qui demeure ezn roche ? qui parle (perle?) en moi ?qui va là ? qui vient comme nous importuner da&ns le san,g ? je suis l’homme des cavezrnes intégré, je suis un homme-né des cavernes de la roche dure, de et à (roche ou tête dure) ou sinon quoi ? femme des cavernes ? je vais et je viens en roche du temp)s, je cherche une voie d’acces, où vais je ? je suis cette femme-homme dxes temps reculés (temps des bures) et, à ce tiçtre, je m’immisce, je fonce en pareille roche percée, je suis homme-femme cdes cavernes, fezmmes hommes des cavernes, je brise le temps d’un coup de piolet, je rentrte, je suis entré, je suis celui là qui est cellme là qYUI est :
cette bete aux abois de roche des temps, l’aurochs fuyant, la ga zelle, l’antuilope, le cheval et ses parents , ou ceux là de sa parenté, l’ane ? je suis homme de la roche dure des temps impartis menacés, je vais et je viens en roche du temps, MON NOM est un nom d’emprunt, la roche est du tem)ps impa rtis, le buffle ou le cheval ou le bison,; etc, sont des maitrezs-motsc de la roche, et pèsent lourd dans la balance, je vais et je viens en cette roche , des temps alloués par la bande, je suis homme des cavernes menacé, je vais et je viens en roche du temps, je suis homme femme des cavernes, je suis en roche dans le sas, je suis cet homme-femme (des cavernes) au sang de bure, qui va et qui vient, qui cherche vérité de roche dure, je suis homme des embruns, je cherche dansc la roche cette vérité de poids qyui en impose, bete-mot de roche dure, maitre-mot qsui va (de tout son poids) dans la roche, soit : qui pèse lourd et en fiche des tonnes ... dans la vue de qui on ne sait, ou alors sait on ? qui est qui en cette roche des parois ? qui parle pour qui ? qui suis je que je ne cobnnais pasd ou ne connaitrait pas ? nous nous ressemblons ! nous sommes pâreils ou pas loin ! nous nous trompôns si nbous pensons que nous ne sommes pas pareils ! nous sommes pareils, armés d’intentions pariétales, nous cherchons l’entrée, et l'entrée nous la cherchon,s avec, en roche, des mots-betes figurés comme des ezffigies ici de première, nbous sommes hommes- betes des prés et des sous bois, des bois et des bords de mezr, nous sommes hommùes anciens des temp)s reculés de l’aurignacien : à nous de comprendre, cve qui se hjoue, ce qui se trame, ce qui se dessqine, ce qui advient, ce qui transparait, ce qui surnage, ce qui revient de loin, ce qui se montre etc, à nous de le comprtendre ! à nous de nous positionner(en roche) pour le comprtendre ! les mots sont accolés, les mots de roche dure collent à la paroi, les mots décrivent une situation de roche et ce faisant percutent dur (creusent tombeau) et de fait s’incrustent en ta,nt que vérités de poids comme gravés à l’envi, nous sqommes sûrs de cette chose, nou!s voulo,ns trouver profond et comp^rendre du coup dans les profondeurs de laterre, c’est à dire savoir peut-etre ce quil en est de toute cette affaire - d’identité,
- de qui est qui jusqu’à nouvel ordre,
- de parois de roche gravée aux noms des villageois, etc, nous n e voulons pas mourir , nous ne voulonsq pas DCD, nous ne vopulons certes pas (o jamais !) mourir ! mercdum ! car la vie nous capte, nous obnubile encore un temps, nhous tenons à elle, nous voulons durer sur roche, nous tenir en elle pour la vie et ne pas varier jamais de nbotree programme (parioé&tal) de roche dure, nous tenons à restezr en vie car nous chercghons un nombre conséquent cde connaisqzances à intégrer ici à notre gouverne, nous cherchonscencore et toujours un nombre con,séquent de connaiszsa,nces à acquérir pour ainsi dire par la bande langagière d’une roche meuble de pârois de grotte : effigies de bon aloi, représentation à l’identique de betes de poids, défaites de la pensée ou comment ? endormissement du moi ? transe ? faillite de la volonté ancrée et prise (emprise) en soi de son en-soi «guidant la menotte» ? enfantillage mesuré ? enfantillage dégradant ? enfantillage troublant ? enfantillage prenant ? nou!s nous avançons en cette rocxhe (aux embruns de bord de mer) et nou!s nous immisçons le plus avant que nous puissio,ns , le plus que nous puyissions savoir ou comment dire ? en pareille roche des te’mps brûlés , nous donnons le temps de pareille brûlure sur table d’offrande, et dès lors nous espérons, qu’espérons nous ? nhousq espérons avoir en sqoi pour sqoi de quoi teznir en vie encore et toujhours, et ce ici bas, tertre mère des à -plats de roche, temps déposqés : préseznts sur paroi du monde, pnous sommes enfants-faons de la roche dure, enfants de roche sommes-nous, nous sommes des enfants dits «de roche dure» ou «de tete dure «, ou « à loa tete dure « , ou comment ? notre but est à l’a ffiche : nbous ezntrons ! notre vol;onté sur terre cxomme au ciel est de durer et de tenir, de tenir dans la durée de la roche dure : e,nfantsq -faonsq de la roche des prés, qui va et qui vient sur roche, gamba de que tu gambadezras, follemeznt s’incruste en pareille paroi, effigie de bord de mer, aurochs dispa ru, chevreuils de meute ... canasson ? nous pensons que bnous devons comprencdre cette chose (ici) de mots qui s’incrustent et fissa colonisent et vous mezttent à ba s, et donc à nous dès lors d’en tenir comp^te et d(a agir en copnséquence ! nou!s devconsq agir a u reg& r d des mots de la roche : bouquztrins de vie, aurochs de roc, cheval de prairie, buffle et rebuffle pour la confrérie etc, nous devons comprendre une chose rude , quyi est celle là que nou!s nommons ainsi duu nom de «bambi la douce mignonne», etc, nous le devons :
rudesse
(de roche)
pour une douceur
(de pelisse),
le com^prenons nous ? les mots sont betes de poids, qui p^èse,nt leur pesant d’inanité sensique sinon sonore, un chant de toute beauté (un ma ssiff langa gier) à déposer ici sur paeroi de grotte ou table d’ioffrrande, comme ça : en bloc ! comme un vrac quelconque, dépositions, rachats, misesà plat, cxartes sur tavble etc, nous pensqons qUE cet ensemble langagier de roche (bisons et buffles etc) szort du trou de nou!s (bouche) béant, cette belle bouche d’ouverture ou de grande ouverturelaisqsa nt donc passer des betes qui, vite fait, trouve»nt à se fiçcher en roche, beele bezte au demezurant car «grosses» de leursq vérités , de betes qui pèsent, ce» sont des betes-mots, betes mots de roche dure, nous pensons la chose ici , comme quoi la roche est dure qui est faite de mots-betes agglutinés au fil des -ères, etc, nous pensqons que nous so:mmes des hères, meessieurs-dames de petite taille, nous chantons nos chants vaudoux, nous voulons comp^rezndre les données fina les (de la vie sur terre et de la mort incluse), nous ne voulons pas mourir, nous ne voulons pas mourir du tout, nouys cxherchons issue à notre volonté, que faire ? qui viendra à nous aider ? qui pourra venir ? qui saura nous dire ? qyui pour nous aider, qyui pour nous dire ? nous pensons qUE le langage est accolé à quelque chose quyi serait comme en du dur de roche, mais quoi ? la mémoire ? le sang ? la paroi du tempsq ? la femme ou l’homme ad djacente ou adjacent , qui ? notre but, ainsi défini, déveleloppé», affiché, et placardé, nous pouvons relâ cher ou nous relâcher, un temps, voir venir, ne pas nous donner «en pa ture» de sitot, nous promener dans la lande, etc, la mort «aspire à» , on le sait, la mort est une sorte d’aspi-quelque chose (un aspi-venin ?) ou qzuoi ? nous disons de nous qyue nous sommes deux car dezux est dèjà un nombre, etc, nous voulons comprendre ce qui est ici, en roche, capable (susceptible) de nous informer = nous donner de quoi nbous informer, nous apprendre ou nous former: je suis k’homme de la roche dure , je suis un homme de la préhistoire, le nom qui m’a été donné est du verbe a ccolé, les mots de paroi sont effigies cxar les mots sont des figures représentatives, nous pensons pouvoir «toucher» la ou à la vérioté vraie des temps impartis, or oublie ! le temps est i:mpartis ma i s les mots nous désespèrznt, qui ne savent pas hjouer le jeu en vrai de la vérité vraie, nbous restons unis sur roch e (meute, troupea u) mais l’envie est grande, en nous, de quiitter ici la meute ou le troupeau et zou, via la fe»nte, passer... à trépas ? à quoi , nou!s ne savons pas ! nbous sommes légers ! gros d’un poids de roche (... imposance ?) mais ... légers de base, car faits de fumée, d’envols gvracieuxw, de paroles dignes, etc), nous avons en nous de quoi nous donner en quelque sorte à pa reille roche, nous sommes des betes de roche, ou bien mi homme mi bete, betes hybrides, hybrides tout court, nous pleurons sur notre sort, haut et fort, nous crions par des cris stridents qui en imposent lourdement sur l’auditoire, bnous sommes (pour ainsi dire) «forts en gueule» si le désirons, cela est sûr, nous pouvons brusquer, brusquer un axe pariétal, la paroi, le sas, nous sommes en mesure de brusquer la roche au pic de gravure, nous pouvons encore comme toucher-coucher des betes sur roche, les graver genre indélébile ou pas loin, vif de chez vive, ou m^me vive de chez vif : croiseme,nt n&acrée pour une sorte de définytion définitive sur ce que c’est que l’art, l'art de la roche a ccésoirement mais pas seulement , nous ma ngeons kla rochye, avalons, pleurons, prenons, ingurgitons, depuis cette roche, nourriture pour notre acabit, nous vooulonssavoir ou disons longtemps et lourd ou lourdement savoir, quelles sont les choses ... à man,ger pour durer, à manger ou contenir ou cerner ou accepter en nous, etc, par notre (ce) trou de bouche de vie, bec ouvert àla mode lippesque, etc, nous avançons, nous ne vcoulons pasz mourir, nous voulons tebnir, nousq ne voulons pas mourir, les mots sont sur roche des trainées de feu, traînées pariétales, nous passons, nous voulons co:mp^rendre, nous voulonsq savoir, nous voulons percuter, nous voulons nous enrichir de pépettes ou comment ? de données brutes ? de szermentsq ? de mots vrais ? de pa roles animales ou animalières vraies ? nous voulons savoir ce qui est ezn roche qui nhous tend les bra s et implore apres nou!s pour notre venue (aarrivée) en elle, en elle gourmande, dévoreuse, mange-homme et mange-femme et mange-feu, restez où vou!s êtes !!!!!!!!!!! !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! et nhe venez pas comme nous «casser les c...» s’il vous pla it, ne nous cherchez pas, ne nous cherchez plus ! laissez nous aller e,n tant que tel (hommes-femmes des a pprêts), aller sur roche pour nou!s ba&lader, réfléchir aux données de base, aux embruns, aux vélléités de possible cheminement dans le sein des seinsq, à cette envcie de fait d’en découdre fissa à même BOUCHe de la «Vérité à LA CON» ou comùment ? qui sait ? qui sait pourquyoi nbous devons , «à un certain moment», passer par l’invective, l’insulte, la grossièreyté, les mots les plus gras , qui ? nous nous immisçons dans la roche du temps, en jurant, lévitant, pleurant, baisabnt, ainsi de suyite (une suyite cavalière) et ce faisant, nous cherchons à (comment dire ?) «temporiser » peut-etre ? nous voulons «temporiser» = ne pas s’(afficher trop tot ... comme ceux-celles, qui se donnent là, vite fait, aux p^remières, en (comme qui dirait) pâture ! non ! pa s de ça de suite ! attendre un temps conséquent si possible, d’où : incantations, cris à la volé, lévitation comme coupables, gutturales etc,; nous parlons fort , nous hurlons ! nous hurlons = nbous pleurons = nous sommes fichus de chez le fgichu, car la mort aura (de toutes façons) le fin mot (une évidence langagière, n’est-il pas ?) et du coup comment faire, c’esty à dire comment fa ire pour ... « sortir des mots» pour ain si xdire ? nous devons soretir ! nous devons «sortir des mots» et pour ce faire ... comment fgaire ?? dormir ? faiblir ? lacher prise ? offrir sa vie en pature, comme graines aux ^)etits oiseaux ? nous voulons comprendre c e qui est ici qui nous reste à faire, nous voulons savoir quoi faire pour savoir , pour comprendre ce qui est, les données dee bnase :
la vie et la mort, le chant et le verbe, la douceur et la rudessse, le chant inaugural et le chant final ou terminal, qui sommes nous sur terre qui aloons sur terre, et chantons ? qui chan,te ? qui pârle sur roche ? quii va là oh du tonneau ? je cherche ! je veux ou voudrais de»meurer, je ne veux pas mourir , je ,e veux surtout pas mourior, jee vais mourir , vais-je mourir ? qui ici peut dire , et certtifier cette chose , comme quoi un de ces jours je vais devoir mourir , qui sait ? car, nousz p)a rlons à tort et à travers mppour (de fait) coller au temps et du coup tenir, nos paroles sont tapissezries ... ou colle... ou colle à tapisserie ! nhous collons au temps par le verbe, no!us ne sommes pas chiches (nous-mêmes) d’ignorer cela, bnous savons cette chose et l’ecrivons sur roche, sur paroi du monde, cette chose et ce savoir, concernant la chose, nbous voulons savoir cette chose pour nou!s et, pour nous, la conserver, nous sommes des enfants de roche, nbous aimons ceete chose être, nous voulons cette chose être, pourquoi ? parce que nbous l’aimons ! nous vpoulons creuser la roche p^lus avant et plus avant nous immiscer en ez lle et pour le coup comprendre a u maximum les données du monde, bnous sommes deux : nouys sommes ensemble : nous sommes un ensemble : nous sommes soudés : nous sommes accolés : nhous sommes conbjoints : nous nous tenons (en roche du tem^s) par la main : nous sommes accolés par nos mains soudées, nous sou dons nos mains : nous ne nous lâchgons plus des mains; : nous sommes pris ainsi ensembkle par nos mains collées : nous aimons ces mains collées, bnous sommes fanas de ces mains accolées sur roche, chaque main sur roche est une effigie qui nous ressemble;, nous sommes deux pour une causerie, du coup pariétale, sur le thème de la mort à l’oeuvre (ici) en soi : ses façons, ses façons de faire, ses contrefaçons, etc, je suis l’homme des cavernes vif, qui, en roche (sur paroi) grave son affaire (personnelle) cde paroles, qui (affaire) s’était comme enkystée en lui pour nje plus reâparaitre au hjour, sinon de la grotte (vivat) et cela comment ? par le biais ... de fetes votives, de cris de pression,; d’incantation notoires et autre envies comme forcées, nous cvoulons aller en roche nous blottir à elle, lieu des vérités, et ce faisantt gagner quelques années ou sinon quoi d’autre en vérité ? les mots seraient (contiendraient ?) la vérité ? eswt ce que les mots auraient ou ont ezn magasin (par devers eux) la vérité ? doit on chercher la vérité ? qui chezrche cette véerité, vérité sus -nommée ? qui veut nous dire ou expliquer ? qui sur terree sait ? qui sur terre sait, c’est à dire sait vraiment , qui ? qyui sur terre sait ce qu’il en est de la vie et de loa mort pour ainsi dire pour tout un chacun et chacune ? qui connaît les arcanes, les dessousq de c aerte, les choses ancrées à :même la roche ? qui sait ? qsui connait ? qui saura nous parler et nous dire ce qui est ? peutr on avec des mots dire la vérité ? et si non ... que faire des mots, de ces mots de roche en nous inculqués? qu’en faire ? les jeter ? mais comment les jeter ? nous a vons des noms de famille, nous sommes envahis = imprégnés = pris à p)artie = han tés = suturés à la naissance et l’affa ire est entendue, etc, nbous sommùes hommùes et femmùes de la préhistoire, nhous voulons co:mprendre ce qui setrame, hnous ne sqavons pas grand chose hormis quezlques petites choses liées à la roche, pa r exemple :
comme quoi ... nous parlons à tort et à travezrs, comme quoi ... nous sommes deux en nous accolés (deux moitiées suturéees accolées ) ,
nou!s avons en nous un savoir de base, un, peu ancien mais peutêtre ezncore est il bienn utile, encore vif, e,ncore nécessaire , nous chervchons ou recherchons une vérité en cettte roche des temps et pour ce faire nous nous immiszçons à même la roche (dure) des a pparences, c’r’st à dire des betes de rage qui ,represéntées (toutes) avec la ressemblmance d’avec leurs modèlesq), en jetteznt pas mal et semblent pouvoir faire croire q’uil s’agi-t ( les concernant) de betes en vrai, nous sommes deux pour pareillles cause, nous sommes deux pour pareille chose à devoir compléter, ou comment ? nous sommes ensemble cet ensemble, commun, soudé, qui cherche ou chercherait la vérité (= une cause) à travers la roche, nous voulons savoir ce qui (ixi) tend à se former (sur roche) à notre contact, qUI est qui en pareille roche ? où est l»’échancrure ? par où pouvoir passer à la sortie ? où se trouve le trou ? le trou exisqte il une fois pour toutes en un endroi t précis ou bien y a t il des millions et xdes millions de trous pour ainsi dire sur la terre ferme ? nous cherchons des vérités rudes, nbous nousctenons par la main et nous rechercghons des vérités rudes, dures, compactes, vibrantes, qui puissent nous aider ou guider dans nos recherches, commec pa r exemple cette chose comme quoi le langage est ou serait, comme une colle de roche, etc, nhotre but en roche est celui -ci : de nousc faire toucher du doigt un certains nombres de vérités, vérités -assertions, logées dans la rochje, du type marthéma tique : ce qui est est, ce qui n’est pas n’est pas, etc, voilà ce qui est, voilà ce vers quoi nous tendonsq, nbous ne devons pas nous éloigner de cette chose et cette chose, nous devons la penser ensezmn ble, ma in dans la main, un temps qui est le Temps, et parler, entre nous (tribu), avec «nos mots» de roche dure = les nôtres, cveux là mêmes dont nous sqo:mmes de fait affublés etc, les mots sont des betes-mots, les betes=mots sont des choses qui sortent de nous (trou de notre bouche) : nous sommes enclins / enclines à vcouloir le dire haut et fort (c’e’st à dire ... dans dees livres en vérité ?) mais le faut il ? faut il dire haut ce qui est qyui est ?
nous disons : «pas forcément»
et nous poursuivons nos recherc hes sur roche, nous sommes à l’affut d’une découvertte, avons-nous découvert quelque chose vraiment d’importance ? sommes nous des savants et savantes qui trouvent, c’erst à dire, de ces sabvantsz / savantes qui en cherc hantv trouvent ? trouvons -nous et si oui ... quoi donc ? avons nous découvert pour le coup le pot aux roses ? qu’est ce queC’est donc que l’art en ce monde ? l’(art est il du lard ? l’art est-i l fiable en ta,nt que tel, c’est à dire : l’art participe t il de cette chose d’un dépot sur roche ... afin de faire accroire = un mensonge tout co:mp^te fait ! que penser ? nous sommes des etres de peu, nous grimpons (lévitation) et deessinnons ces betes reconnues sur roche : ici c’ewst un ours, facile, ici un cheval, facile, ici une antilope, facxile, ici un cheval blessé, facile, ici un ours en tyrain de n,ager (?) , moins facile, etc ? mais à chaque fois on voit à quel point larecherche de lma ressemblance est, en vrai, capitale, est d’importance, nbous pensons à cettye chose comme quoi nous sommes deux pour une sorte de recherche à mener ensemble au sein de la roche, au fin fond de la roche c’est à dire au plus profo,nds des p^rofondeurs, les mots collent entre eux (foi) et sont indécrotrtables, nous savons cela, comme quoi notre sort est lié au sort du langaghe, c’est une’ évidence» ! les mots sont mots-betes de choix = de rage = de race = de prix = de première bourre = d’importance = pis aller de première = chantsq de roche dure pour faire impression (c’est à dire : pour impacter!), nous nous avançons sur ce chemin de roche dure devant soi, nous nousavançons de cette sorte, nous aimons lma roche et l’embrassons, la chérissonsq,
le but qui est le nôtre, vient à s’afficher sur roche de la préhistoire, le voici :
il s’a git, pour nous, d’un vouloir-agir, qui est, de fait, celui là même que nousc espérions, ou esqpérons, ce vouloir-agir-de-conserve, ensemble ma&in da ns la main, sur roche du temps : main, main , main , main, main, main, etc, nous nous teno,ns ensemble par la main, nous sommes unis ainsi accolés, nous sommes jointés par en nous cette main de raccroc ou de retenue, bnous montons, bnous nous hissons haut sur la roche, le temps est un semblant peut-etre de vie vive par défgaut(excés ?) de vie vive, nous pleurons ou pleurnichons (pleurnicheries) les larmes du corps, les larmes du corps coulent à flot, inondation ! nous pleurons larmes sur larmesz = des trombes, nous pleurons des hzauteurs de larmes, nous sommes soulevés par nos larmes, nous sommes soulévés vif par nos larmes accumulées, nous pleurons (incantation) à n’en plus finir, nbous sommes prisc d’a ssaut en nbous même par des larmes en veux tu en voilà qui ne cèdent pas et nous voilà hissés ... à hauteur du temple, ou alors comment ? roche dees roches, sein des seins, unité centrea le = le cailllou ! la roche est dure ... comme ou tout comme les temps sont durs ! nous nou!s intégrons à la roche, nous entrons en elle vivement quoique placidement = posément, mais enfin ... dx’un trait vif, saut de carpe et hop : immixtion dans le sein des seins, nous aimons la roche (dure) des temps impartis, nous sommes deux à vouloir cette xchose , cette chose rude, cette entrée fissa da ns la rochge, cette sorte d’immixtion rupestre de deux corps soudés par la langue
18/6/2021
nous avons offert de nous cette chose de nous mais point nous ! et voilà où le bât blesse ! oh la betise inénarrable en vérité ! oh voilà la chose à ne pas faire et nouys l’avons faite, nbous sommes impardonnables, nous sommes malheureux dans l’histoire : nous allons mourir un jour mais ce n’est pas ça, nous sommes malheureux = malchanceux car nous ne savions pas, nous sommes nésd de la dernière pluie, nous sommes nés tout à lm’heure et nous voilà comme envahi en ous par une cohorte de type animalière qui charge (où ? en nous !) et cherche à «sortir sa tête», or, comment faire à notre place ? nous portons en nous le ver de la pomme (pomme de la discorde ? ) , nous devons agir mais quoi ? nous devons réagir à un train de vie antérieur à notre gouvern e, nous sommes comme pris dans le sens du vent par en nous une cohorte-rafale venteuse de ^remière, alors comment ? nous arrivons comme (pour ainsi dire) après coup et à nous de dire ce qui est, alors même que nous sommes comme sinon muselés du moins pris à la gorge par la bete en nous (les bêtes) qui renacle, trépigne, tape du pied, s’agace, se dandine, montre sa gêne et son mécontentement et du coup, cherche par tous les moyens à «sortir sa tête» de bete rèche, rude, pas commode, etc, nous devons agir = nous positionner et du coup décider pour une solution : comment faire ? nous avobns trahi la Chose, nous donnons du temps de vie terrestre quand en vrai «la vie intrinsèque» était (très visiblement) attendue ! comment agir ici ? que dire ou faire «qui puisse le faire et donner le change « ? comment faire en ce lieu de rage, ici même = rude paroi, grotte du temps, pierre séculaire, etc , comment ? nous avons notre petite idée mais pas sûr qu’elle soit vraiment adaptée à la situatioon mais enfin peut-être, essayons , déposons tout le saint-frusquin contenu dans nos valises, art de rue et art des embruns, art de vie vive et art du passé, du passé de l’homme-femme, nous nous agenouillons en roche (pause) et pleurons (larmes) notre corps vivaznt, notre corps est vivant et pleure = donne, il pleure ses larmes = donne, il pleure pleure = donne, il s’épuise en larmes = donne, donne au dieu de la roche dure des temps impartis, notre corps s’épuise, se vide, offre, offre tout (tout !) ce qu’il peut offrir en termes de données-denrées à pouvoir du coup se mettre sous la dent (pour Bouche de la mort à l’oeuvre) et voilà pour ainsi dire la supercherie initiale, nous disons que nous sommes en vie
et non mort et nous donnons ce dire et aussi ces larmes et tout ce qui s’ensuit mùais oups, erreeur d’aiguillage,
ou comment ? nous donnons de nous ce qui sort = le verbe + des larmes et auttres liquides (fiel ?) : nous donnons de nous sur roche (table) c e qui xde nous sort aisément et file et se déverse , mais en aucun cas nous ne donnons la vie dans ce qu’elle a intrinséquement de vital, car les larmes
,ne sont pas vitales ou oui mzais indirectement, et les mots non plus ou pareil ? nous devons donner ! nous sommes êtres de vie traversé par toutes sortes d'aliments qui entrent et qui sortent = qui doivent sortir sous peine en ce qui nous concerne d’éclater et de mourir, nous sommes en sursis, pêrpétuellement = le Sursis, et comment agir dès lors pour contenter dame ou sieur de lma mort en hErbe ? nous devons agir et décidezr de fait d’un e solution, nous devons agir promptement et décider promptement d’une chose à faire pour essayer de s’en sortir, si possible, etc, comment ? art de rue, art de bateleur,art du magicien, art du pianiste, art des éduqués,art primzaire, art princier, art de la chance, art des confins, art des pieds et des mains, art principe, art de ceux et celles qui peinent à marcher , à aller, à vivre, art des embruns de bords de mer, art maritime, art chagrin, art de la plongée, art des soubassements, art des litanies, art des enveloppements salutaires,art de la mise en route, art des che vaux lâchés dans les prés, art du buffle, du bouquetin, de l’antilopre, de l’aurochs dans laprairie, art des cavernes, art hospitalier, art de la clinique du quartier et de l’hopital général, art des peintures de paeroi, art pris à partie, art de la lande, etc, nous cdevons répondre de quelmque chose avec quelque chose, bnous devons soigner la Chose à notre façon, et ce promptement, nous ne devons pas lacher prise, nous devons poursuivre sur notre lancée nos recherches et toutes les afficher en tête de gondole ou à l’entrée des monastères, ou au dessus des pordches, ou sur le tronc des arbres : «chat perdu cherche mère» ou comment ? nous avons perdu quelque chose et ce quelque chose est (serait) perdu de cxhez pzeerdu il semblerait ou non ? comment nous y retrouver ? nous voulons dire «je» mais le «je» s’enfuit à bride abattue ! comment faire ? et dès lors nous disons «nous» : que nous sommers là, que nous sommes bien présents, que nous tenons à la vie, que nous voulons garder lkes chose en nous d’une tenue de vie (vive) consacrée, nouys voul;ons comprendre les données les plus profondes, les plus fines, données de la vie vive en vnous, qui bat son allant de vie à la racine, nouys voulons tenir en vie et (dès lors) nous offrons de nous en quelque sorte « ce qui tombe», et pas davantage, tout ce qui tombe = les mots-betes de première (effigies animalières rupestres) mais aussi des larmes, de l’eau, la sueur, l’ezau de nous = de l’eau, nous donnons notrte eau en vrai pour partie, pas toute mzais un peu , eau et matière, déchets, de l’eua et du Verbe, etc, nous posons déposons devant nous (le trou) ... pour la Chose qui se pointe ! nous donnons de l’eau et des matières, eau et verbe sur paroi, nous soufflons et crachons, nbous offrons donnons ce que nous pouvons = toute cette sorte de chose de nous, sortante à termes ou à échéance , choses de peu «qui puissent le faire» en vrai pour de bon ou pour de vrai ou tout comme, comme si en effet nous étions «mouru» , hé ! sausf qyuue non ! larmes d’eau donnée = une supercherie ... ou comment ? nous donnons de nouys bezaucoup mais ... non pôint l’essentiel ! et de cela la mort n’est pas dupe, qui nous mate, nous reluque, nous zyeute, ne nous perd pas de vue, nbous mire, nous regarde, nous épie :
oeil du mùo,nde céleste, oeil du ciel de terre meuble, oeil de velours ? oeil de crin ? oeil de bois ? oeil de fer ? oeil de nacre ? oeil d’or ? oeil de verre ? oeil de métal à faire fondre dans godet ? oeil de plomb ?
= oeil de plomb ? nous ignorons de qsuoi cet «oeil» est fait, nous nous prosternons et n’osons lever les yeux sur elle , nous nbous prosternons et n’osons lever les yeux sur Elle, nous ne savons p)as qyui elle est, à quoi ressemble-t-elle au juste, que fait elle dans la vie, où loge-t-elle ? que vit-elle ? etc, nous sommes pris au dépourvu, nous sommes pris d’assaut dès notre naissance et nous voilà parti alors même que nous venons ou venions juste de soprtir la tete ... et pas plus, oh misère ! nous voulons comprendre les ressorts secrets et aller loin dans les connaissances, nous voulons comprendre une chose de poids, aurochs-^vérité, et pour ce faire, une (seule ?) solution : la bière ! c’est àdire le cercueil ! c’est à dire le trou pres de dsoi (qui vous suit ou suivrait à la trace comme ... un toutout ?) : nous devons comprendre la chose crument c’est à dire par la voie du cru, nous devons comprendre les effets sur soi d’une chose à devoir éjecter de soi, nous sommles traversés et à échéances brèves avons à nouds vider = parler et caguer etc, nous devons comprendre cette chose , comme quoi la vie (en nous), pour ainsi dire, ne sort pas d'emblée et que le don de soi d’emblée (soi tout juste né) ne la concerne pas mais davantage pour le coup ce don que nous faisons sur roche ( =
animùaux dressés, animaux chargeant, animaux de poids) , nous sommes avec en ous une cohorte animalière, cette cohorte animalière, est un poids dont nous avons à pour le coup nous décharger à termes échus, nous ne devons pas y couper sous peine d’y passer, etc, nous dev ons donner de nous des choses liqyides essentiellement, des matières molles ou franchement liquides, soit, pour le plus, de l’eau, nous avons en nous beaucoup d’eau et cette eau doit sortir de nouys pour partie, et aussi de l’air, eau et air essentiellement, etc, nous donnons notre vie pâssée, nos passés sde roche, nous offrons nos divers passés de roche dure, bnous nous prosternons = nous donnons de nous nos passés de vie morte, etc, tout le tas bien mis, déposés avec soin, etc (art de la dépose) et voilà la chose ! notree vie restant au chaud dans sa «loge corporelle» un temps, c’est à dire un temps en sursis, etc, nous devons comptrendre cette cghose d’une vie à vivre seul en soi ou comme seul en soi, ne pas fzaire ainsi que nous soyons «passées» direct mais plutot en sursis, comme suspendiu etc, nous sommes deux en nous (en soi) pour la bonne cause, voilà ce qui est ici à dire, nous sommes deux en nous-mêmes pour la vcause que voilà et que nous exposons, d’un don de soi à faire sur roche oui mais ... quoi ? voilà le fait , la chose, la cause de nos tourments ! nous posons sur roche des betes de poids, des betes de race princière, nous donnons le mieux, le plus, des +, des + et toujours des +, voilà la chose, la croix sur le mont de lmaroche, les (les croix) sur mont de roche :: oui ! oui nous faisons cela ! oui ! oui nous le faisons, oui ! oui oui nous faisons cela ! oui ouio; oui oui ! oui et oui ! , nous faisons cette chosex= croix (des croix) sur paroi de rocghe, roche dure des temps alloués, nous faisons cela , nous disons cela, nous disons que nous faisons cela, nous devons déposer des choses ... ici bas, et où ?
où le coeur nous dit de faire ! voilà ! et le coeur nous dit de faire là ! c’est à dire tout près, pour ainsi dire près, pour ainsi dire : ... là où nouys sommes ! nous faisons sous nous le trou , nous avons à faire cette chgose sous nous trou de balkle, nous diçsons que sous nous nous avons à trouer la terre pour nous , ou comment ? nous sommes :
betes de rage sur paroi du monde ,
nous nous prosternons pour la bonne cause «surnuméraire» et battons des ailes crument ou incidemment = nous alloons ensemble vers des hjours hachés par des tourments qui seront dûs de fait à l’age avancé, etc, nous ne voulons pas mourir et cependant ... nousq allons mourir, nous n’avons point envie de mourir et cependant ... oui bnous mourrrrrrrons, nous ne voulons point et cependant oui, un jour, nous mourrrrrrrons, nous passerons de lm’autre côté de la roche des prés, nous irons nous joindre aux aeffigies a nimaélières, au troupeau de buffles -buve , etc,
notre envie de tenir en vie résiste encvore et tient le choc des appels de pied, nous ne voulons pas mourir, nous essayons de résister en vrai comme on peut, on essaye, on essaie de résiqster comme on le peut, on tente, nouys tentons : nous essayons, nous faisons nottre possible pour tenir le choc, le choc et le coup ... envers la mort qui devant nous trépig ne et renâcklle et en fait des tonnes pour nous plaire et comme nbous attirer dans ses filets, bnous voulons comprendre et aller (ainsi) au fond des choses de la vie : qui sommes nous, qui un jhour ou l’autre mourrrrrrrons ? qui sommes nous pour qu’un jour ou l’autrev ... , etc ? car, quoi , la mort est où ? elle se pose où ? elle se tient où et comment ? nous cherchons issue, nous cherchons trou, nous cherchons échancrure, nous cherchons fissure, bnous cherchons faille, où passer nos mains dx’enfants de laroche : applaudissements, applaudissements et autres vivats, car nous tenons +++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++à la vie, nous ne voulons pas mourir, nous tenons ++ à la vie, nouys n,e voulons pas mourir, nous tenons ++, nous tenons ++ à la vie, nous tenons à elle en nous,n, nous tenons mordicus et nous fazisons nbotre possible pour rester en vie, en roche, ici, parmi les betes dessinées par l’homme (en nous) dees cavernes ou par (en nous, dessinées, les betess) la femme des cavernes, etc, nous tenonns à demeurer, à ne pas chuter ni sombrer, à nous tenir toujours à bonne distance de l’adversité royale, nous voulons mordicus tenir bon, nbous voulons mordicus tenir ++ comme des morts de faim qui de fait s’accrochent, etc (applaudissements !) car, la vie pour nous est un tic tac central, qui pour le coup a démarré bien malgré nous ( nous en tant que gouverne) et dès lors nous sommes «eus», nous sommes piégés, nous sommes pris au piège de la chose en nous qui renacle en veucxx tu en voilà, le tic tac animalier de roche dure ? cette chose ? nous posons sur roche nos betes de poids, celles qui pèsent, bnous les déposons majestueusement = art ! oui ! car, nous voulons passer pour des gens racés, qyui jouent le jeu du je et non point du nous en nous memes (en soi) etc : applaudissemùents, et pour ce faire que faisons nous, eh bien nous faisons semblant = mine = des grimaces et autres simagrées )ariétales, o le vilain , oh la
vilaine ! ce n’est pas joli ! mais si ! regarde bien , la beauté du geste, le dépots sur roche, cette ressemblance avec «la vraie vie» , eh oui ! et ainsi disant bnous ezn avançons u,n bon peu sur la voiue quyi nbous mène au verdict de fin de vie, bnouys disons que nous savonbs des choses, nous disons que nous ne sommes pas tout à fait sansq instruction, nous avons du métier, nous avons des provisions en termes de pensées et vies à brûler (temps maudits) à déposer devant sur r paroi de grotte, bnous disons que nous connaissons pas mal de choses, nous savons des choses concernant la foi, la foi dans le verbe, cette foi intrinsèque et indécrottable, etcc , : si lma vbérité est grammaticale alors laisse moi rire et me tenir les côtes ! réellement, sérieusement, si par aventure cette vérité, des choses du monde (en gros : la vie et la moprt) , est d’ordre gramma ticale (un ordxre ) alors on a faux et sur toute la ligne ! grave! oublie ! va ! file ! chante ! crie! dit ! va et vient ! soulève ! pleure! offre ! donne de ta voix! ainsi de suite , car, en effet, si réellement , sérieusement, la vérité du monde tient à la grammaire d’une langue (celle ci ou celle là) alors on a de quoi fré mir et se poser bbon nombre de questions , car, la vie va en nous hors les mots grammaticaux, comment dire cette cxhose ?
en nbous va la vie qui bat, nous avons en nous ce métronome, etc,
la vie est une vie de rochge dure, les mpots sont des motsanimaux, nous pensons en termes rocheux animaliers et nous arretons là, nous sommes (je suis) hommes et femmes des cav ernes, je vis la vie qui est la mienne, sur rocxhe, comme en trannse, surélevé, mis par en haut, monté dru, etc,
je suis un homme de la reroche durre, je syuis homme des montées sur roche, je monte et m’accroche , je vais et je viens en elle, je suis l’homme de laroche des temps, je suis un homme secoué par des tourments en dsoi animaliers qui font de moi ... la risée des prés, je vais et je viens en roche, je suis honteux, je vais sur roche ainsi, hje traverse, je monte, je suis monté, je suis pris à partie, je suis envahi , hje suis monté par la bete en moi qui me pousse à faire des choix, et à travcer desz betes de poids sur paroi, je suis sous le joug d’une bete de poids qui me commande et moi d’obtempérer, dxe dire amen par force, sans sourciller, etc (applaudissements) car, la bete en moi me monte, me prend sous son aile», me pousse à dire-faire mon faire, etc (applaudsissemnts) et ce un temps qui dure, ce temps de roche à la dure, etc (applaudissementrs) et voilà la chose, nous avons à piger-cerner icelle vite fait, nous posituionner et dire hzaut et fort ce qui nous anime (de fait) dans la vie ... la vie ? ouiiiiii ! peut-être que oui, nous disons cette chose ici comme quoi nous sommes en vie, nous tenons à la vie, nous offrons de nous de petites choses ou expédients à Bouche de la mort à l’oeuvre, ainsi de suite, n otre v ie est précieuse, nous donnons le change (change) pour la bonne cause (cause) et nbous ne voulonbs pas nousc retourner, nbous offrons de nous cet art de la Chose, nous oofreons cet art de roche dure, cesz aurochs, ces bois de ramures, ces ors de biche, ces bouquetins lancés dans la plaine, ces betes de poids salutaires, etc (applaudissements = main + main + main, etc), nbous voulons cette chose ici , qui est cette chose , ici, comme quoi nous restons en vie ad vitam aeternam ou tout comme (art ?) et ainsi faisant nous nous prosternons et avouons nos méfaits, la tromperie, la supercherie, le pot aux roses, nous disons ce qui est qui est,
nbous disons ce qui est comme quoi
nous donnons de nous des choses de peu, ou disons : non pas nous pour le coup mzais de l’eau de nous, et quelques auttres petites choses, nous disons que nous donnons de nous de l’eau (pour partie) et quelques autres choses de ci de là, en passant (sur table d’offrande ou sur paroi), et, ce faisant, nous nous prosternons, faisons allégeance, avouons, bnous disons ce qui est que nous ne faisons pas ou que nous ne donnons pas, quand bien même nous donnons beaucoup, mais ... qUOI ? tout, de nous, hormis ce nous de vie de nous, hé ! et du coup, nous sommes poussés, harponnés, invités, etc, à donner de nous cette vie en nous calfeutrée, et nous de dire non,; que, loin de nous cette pensée de nous laissezr ainsi aller à donner de nous notre (pour le coup) vie en entier , non et non ! nous ne voulo,ns pas mourir, nous voulons rester en vie, nous ne voulons pas mourir, nous voulons rester en vie, nous ne voulons pas (pas encore, merdum !) mourir mùais plutot (bien au contraire) rester parmi les betes (ces betes !) de paroi, et meugler ou beugler avec elle, car, nous avbonbs pour nous en nous de quoi, et nous ne gfaisons pas, c’est une chose ! pourquoi ne meuglons ou ne beuglons-nous pas ? mystère ? nous parlons comme des chiffoniers, nous pârlons en veux tu en voilà à tort et à tra vers (vérités ici, dès lors, de la grammatique !) mais quoi ? nous devrions chanter ... comme l’oiseau fait ! nous devrions chanter ensemble de concert , homme et femme soudés pour une déité de choix princierr (et princière ? la déité ?) etc : nous devons comprendre ce qui estcpour nous, comme quoi nous devons, ( nous nous devons de) poursuivre fissa, sur cette voie de la parole échue, prise à mal, contenue ici en un sas de roche, etc : bouquetins tintin ou ce genre, de mots-betes de première , billevesées, relachements- applaudissements, prises de bec ! nous donnons de nbous ces chose qui, sortie de nous, meurent, ou pluttot : ces choses quyi, sortie xde nous, ne sont en aucun cas la vie de nousq, mais... des effluves, des relents, des soufflesz, des travers, des passages, du passé, du passé par nous et le passé (de nous) dans la roche, etc (applaudissements) , et ainsi faisant nous donnons le change ou tout comme (à nos yeux du moins) , et faisant de la sorte nous pensons (du coup) que nous fzisons bien, que ... «ça peut le faire», que possiblemùent ... «ça le fait», or, oublie ! pas du tout ! les larmes ne sont pas la vie arttendue ! jamais de la vie ! ni les larmes ni l’urine, ni la meu, ni les mots, ni le souffle expiré, ni les poils tombés, ni la sueur , ni... etc, car, voilà ce que nous faisons et ce que nous donnons (au compte goutte) de nous : des bricoles, sur roche, déposées cvomme des biens précieux (reliques) à consezrver sérieusement etc, applkaudsissemùents, nous offrons-déposons des choses de poids sur paroi dxe roche de la préhistoire et sur table de pierre aux offrandes, nous posons de nous «ce qui tombe «au fur et à mesure, nous posons sur table ou paroi, cela même qui de nous tombe ou tombât pendant le temps de vie nôtre, voilà tout, or, est ce asserz ? pour Bouche de la mort, est ce suffisant et
satisfaisant et suffisamment nourrissant ? sûr que non ? d’où son insistance au hjour le jour, d’où son insistance appuyée au quotidien , pour nous embobiner et nous tirer -attirer à elle (la vipère !) , c’est ainsi ! nous donnons de nbous le chjange (mue) mais voilà, la mort absorbe ce qui lui est donnée mais ne s’en repaît pas facielement, elle a toujours faim, elle est un estomac sur patte, une bouche, un ventre, un estomac, etc (ne cxhercxhez pas : ne cherchez plus ce qu’elle serait) : la mort est un estomac (une bouche) en pied, devant soi, trou de roche pour une absorption massive d’un mobile ou sorte de mobile de type foetal ( le notre) oup la oup, nous savons cela depuis des lustres : trou, trou borgne, trou dans la roche de terre mèree, la mort est un trou, trou de vie de la mooprt à l’oeuvre, elle nous suit des yeux et ne nous lache pas (jamais) cvar, elle ne dort pas (jamais) : elle est insomniaqUE ! elle nous suit avec acssiduité, jamais ne nous abandonne du re
gard, elle nous aime on peut le penser, nous l’intéressons ça le fait, etc, nous voulons comprtendre c e qui est en jeu ici en cette roche de la préhistoire, nbous sommes montés sur la roche, nous avons grimpé les échelons, nbous allons sur roche endssemble et regardons, nous voulons comprendre ce qui est ezn roche qui se joue en matière de paroi, de beauté de roche, d’art etc, nous cxherchons à nous y retrouver, nous voulons comprendre ensemble des choses de poids, nous cherchons la Vérité des choses du monde, ce qu’elle est, en quoi elle nous intéresse, etc, nous voulons comprendre u,n maximum, nous ne voulonspas ici en perdre une miette de tout ce savoir agglutiné sur roche par des hommes-femmes des cavernes, autrefois, et nous de regarder dès lors ces peintures anciennes (si vieilles), comme autant de mots de betes, dits à la volée par des hommes et femmes sous emprise, par des hommes et par des femmes pris dans un filet, nous savons cela, nous pleurons toutes nos larmes : eau de roche vive, tambour battant, pétara de, chaud devant nouys entrons en roche , cahin cahja, etc, nous solmmes en xroche sur paroi, nous sommes entrés, nous sommes dans la roche, nous sommes insérés, nous entrons en pareille roche du temps, nbous passons, nous entrons, nous nous blotissons, nous ,nbous logeons, nous entrons main da,ns la main cahin caha ou comment ? nous dezvons comprendre une foultitude de choses encore concernant la voix (cette voix en nous) qui nous porte (nous trompe ? et nous porte) etc : applaudissements, nous cherchons à trouver, nous chercbhons à dénicher, nous sommes des chercheurs de nids et (outre de nids) d’oisillonsq, d’oeuf de betes à ailes etc, nous avons à trouver des choses sur roche en ses interstices, mettons la mai n, puis l’autre, et encore l’autre, et encore, mille mains, etc, applaudsissements ! mettons lma main en cet interstice à la recherche pour le coup d’un nid évezntuel, d’un nid à bete nidicole, etc, nous voulons comprendre en vrai ce qyui est en cette roche du monde, nbous voulonbs savoir cette chose ici , d’une sorte de sa voir rocheux, proche de l’homme, son image pour ainsi dire, nouds voulons comprendre des données solides sur quoi nous baser, sur quoi tabler et sur quoi dépôser, nous disons que nous sommes deux pour ce faire, et cela étant dit, nous nous prosternons fissa à même la roche, nouys pleurons, nous demandons pardon, nous disons que nous sommes fautifs, que nous avons faux, que nous trompons, que nous sommes des faussaires, des hommes-femmes trompeursze, des faux-jetons voilà (c’est dit, et ça ne souffre pas d’être contredit!) : nouys sommes faux-jeton de premièere, qui donnons de nous tout sauf la vie (ouffa !) et donc on a la mort qui fait la gueule forcément et fait son petit chose (cinéma) dans son petit coin ou commez,nt ? non , la mort ne lâche rien , la mort ne lâche pas, ne lâchera pas le morceau, ne lâche jama is, tient toujours son cap (prérogatives) et toujours dès lors de nous mirer ici de latete aux pieds 24 heures squr 24, du 1er janvier au 31 décembre (c’est un fait) alors voilà, nous savons cela, nous savcons que la mort (une bouche à nourrir) est une drôle de petite chose, la mort est une drôle de chose, la mort est drôle, la mort est bien drôle quyi ouvre son bec, en grand, comme l’oisilloon, la mort est trou de bouchge à devoir «combler» comme trou de rocghhe, ou trou d’aisance, ou autrte, il y en a , la mort est bouche de choix, elle est pour ainsi dire grande ouverte devant nous et chyerche à nous happer, il est un fait czertain ici , que donc la mort cherche à nous hap^per-absorber c’est indubitable, on a pour nous la vie (suspension) mlais la mort rode (pres de nous) comme étant ce treou (à venir) près de nous, à portée de main dirons-nous, etc, nous savons cela, bnous volulons cxomp^rendre plus plus, +++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ et aller le plus loin possible, sur lma voie des connzaiossances s’enten,d, car nous avons soif, nbous sommes friands de connaissance, nbouys abvons dees mots en bouche à devoir user, à devoir faire fonctionner, à faire «marcher», etc, et du coup nous disons des choses, et ces choses (par défaut) nous trompent, qui disent ce qu’elles veulent (elles) dire et parlent à notre p^lace pour ainsi dire, car pour beauycoup les mots en nous (bouche) parlent à notre place, se prononcent pour nous, sont nos porte paroles , nos corresppondants et nos voix de roche (bouquetins) , c’est un fait, nous sommes parlés autant que nous parlons, nous portons en nous des betes-mots , des mots-betes, et aussi des mots betes, idiots, etc, qui tous vont à caracoler sur roche du tempq, les mots naissants (de concert
) caracolent et foncent que tu fonceras (sur roche) au milieu des prés,
nous disons que bnous connaissons la chjose, elle est cette chose de roche connue, chose connue de roche nue, de roche dure tout autant, nbous disons qUe nous sqommes «fous» et «folles» de faire cette cghose, de pleurer sur roche (allégeance) qUAnd la vie est là (en nous) qui trépigne (tic tac animalier) mais ne cède pas à la facilité de se déloger (elle m^$eme) de nous mêmes, ou de nous autres, car la vie en nous esqt logée, est motrice, est une chose de poids réel (qui pèse sa gourme) etc, la moprt est bouche de joie brûlante, il s’agit de c ette jhoie des joies brûlante comme pas deux, la hjoie b rûle sa xhandelle mauve, nous pleurons , nous sqommes en p^leurs, nous nous vidons, nbous pissons de partout, de tous les trous que nous avons, trou de roche dure dans le temps, nous avons des trous en nous, nous sommres pour un peu (beaucoup) des tubes avec,
une entrée d’un côté, une sortie cdec l’auttre
(comme tous les tubes !), nous sommes
des tubescde raghe sur roche des temps, a urocxhs-buffle (buve ? buffe ?) qui va, nous allons audssi, mon NOM est le nom de cette chose (sur roche) deesinée à main levée : animal, et moi... de penser pour moi cette chose depuis des lustres ! une pensée «close» mais non tout à fait passée en vérité, nous penso,ns que nous sommes deux (en roche) pour penser la chose : elle et moi, c’est à dire elle (la bete) et moi , qui suis cet homme des parois mouvantes, parois meubles à pouvoir (parfoiis et par endroits) treaverser de pied en cap , je deviens la bezte de roche, je me treansforme la roche passée, la roche traversée je me transforme en b ete de roche gravée pâr un homme de la préhistoire, je suis homme moi-même de la préhistoire, je suis un homme de lma préhistoire, je suis homme préhistorique, je suis un homme de la préhgistoire, je suis homme préhistorique, homme-homme et femme-femme de la préhistoire et je vais et viens en roche (en elle) comme un qui traverse fissa par la force des cghoses en lui, betes massue, betes poids qui chargent, butent, piquent, trouent et entrent en cohorte (une farandole d'une ribambelle de betes de roche, toutes agglutinées pour la bonne c ause princière ) : j’obtemp^ère, j’obtempère car je suis ainsi qui me doit ici de faire alklégeance, j’obtempère au pied , d’(icelle paroi, ou pl;us loin en ellez (inclus) pour des siécles, je crois en cette chose d’une roche dite éternelle, je veux y croire, je suis homme des temps passés donnés sur roche, je suis homme vif de la roche dure, je suis cet homme vif des roches temporelles, décorées comme par la bande , ornée par l’homme, mis en pièces de choix, etc, nous passons-jetons sur roche nottre gourme et nous mettons ainsi en position (pour ainsi dire) de comprtendre, ce qui donc se trame, nous ne voulons pas mourir ! nous ne voulons pas mourir , nous (certes non) ne voulons mourir , car à la vie nous tenons trop, nous tenons à la vie comme jamais, nbous sommes accros, nbouys ne voulons pas moiurir, nous voulons rester en vie,
nbous tenons très fort à la vie, nboys tenons à la vie très fort, nous tenons tr!ès fort à la vie, bnous tenon,s à la vie très fort, boys tenons très fort à la vie, noys tenons à la ie très fort, bnous tenons très fort à la vie, nous tenons à la vie très fort, noys tenons très fort à la cvie et nous ne voulons pa sd mourir, jouys tenons à la vie très fgort et nous ne vouloàns opas mourir, nous voulons rester en vie, nboysz voulons conserver lza vie pour nous (en nbous : logée) et ne pas la donner (offrande) de sitot sur roche (ou sur table, ou sur livre etc) : nous ne voulons pas nous débarrassser de sitot de cette vie en nous qui ici nous maintient pour le coup en vie comme un etre de paroi mobile, nous ne voulons pas trépasser, passer seulement, passer la roche pour le coup , et dès lors en cette roche nous positionner de telle sorte que (de fait) nous puissions encore durer, durer dans le dur de la roche du temps , durer dans le dur, durer dans ce dur de la roche xdure, nous voulons connaitre ce qui nous attend, pouvons-nous savoir, pouvons-nous avec des mots savoir ? nous voulons savoir ! nous voulonbs savoir ce qui est en roche, «qui nous tend les bras» ,
ce que cela =, quoi ? nous ne savons pas, nous cherchons,
nous savons peu, que savons nous ? nous savons que lma mort ... est une bouche, une bouche qui a faim, rarement rassasiée, nbous savons que la mort ... est une sorte de bouche c reuse, de trou, de récipient, de trou borgne, etcx, nous pensons que la moprt ... est un trou borgne fdans la terre, ce trou devant soi où se mettre, ou dans lequelk s’immisqcer en se fauxfilant, etc, la mort est celle là qui (de fait) se porte devant soi au jhour le jhour, nous devons comp^rendre incessamment cette cxhose (pour nous) d’une sorte de pâ roi votive, qui serait de type animalière, avec betes-mots représentant des sortes xde prières à chaque fois, x prières pour x animaux de représentation, nous essayons ici de comp^rendre (ici même = livres) ce qui est en roche, nous voulonsessayezr de comprendre, ou comment ? nous nous positionnons en roche comme betes de parois mobiles (à la lumière des torches brandies) , nbous voulons comprendre les données natives, le point de départ, le mot du début, clap de démarrrage etc, quel est le la ? qui va là ? qui est là ? quoi est là ?etc, nous disons que notre but en définitive est là, qui est tout à fait visible de beaucoup et de très loin si l’on y prend garde, je suis je qui dis ce qu’il dit de la paroi du monde, je suis ce je qui parle au nom de beaucoup (en moi même), je vais et je viens en roche, je suis cette chose d’une sorte de chaman de roche dure, nous allons en roche du temps à larecherche de la érité (langagière animaélière) des embruns, les mots varient squi disent des choses, mais ces choses varient-elles avec les mots des âges ? nous pensons que non... ou que oui plutôt, ou non ?. nous ne savons pas, nbous sommes ig nares,
nous ne savonsrien, nous disons (échangeons) entre nous des mots de roche dure,
à l’emporte pièce, avec plus ou moins de phrasé, de richesse de vocabulaire, etc,
nous voulons comprendre et cependant sque co:mprennons-nous sinon presque rien, ou sinon presque rien pasz grand chose, et ce pas grand chose prend toute la place, occupe le terrain comme un troupeau de buffles ou autres bovidés de masse, nous pensons cela, comme quoi les mots font, pour ainsi dire, leur chemin de croix dans le temps de leur déroulement, et syntaxiquye et grammatical, nous voulons comprendre ce qui est pour nous, en roche, en termes ici de vérité de bon aloi (grammaticale et syntaxique) et (aussi) de vérité dite «des profondeurs» qui, elle, va sans Verbe (ou comment alors ? ) à même la roche : bouquetin tintin !, nous cxherchons, nous cgherchons vzaillamment, nous ne nous arrêtons pas de chercher, nous essayons de déterrer des donnjées à même la terre, comment dire ? osesements ? os ? reliques d’un certain saint patriarcal ? où aller déterrer ? où ça pouvoir nous rendre en roche afin de cdéterrer des choses anciennes ? mots de roche dure entérrés , mots-betes enterrés de la roche dure des temps alloués, nous cherchons ensemble, armés, desz mots enterrés, qui f(mots entéerrés) sauraient nous instruire, nous donner le la , de la déreliction de roche, nous cherchons à comme nous implanter pour ainsi dire (racine) et demeurer ! nous voulons nous intégrer fissa pour quelques déc ennies et au delà (si possible au de;là, si possible pour toujours) , nous voulons savoir ce qui est en roche en termes de pouvoirs à acquérir (comme par la bande) du genre : savoirs secrets, pouvoirs magiques, capacités, compétences dite «eéternelles» etc, applaudissements, nous avons cette ambition affichée, c’est à dire que nous disons à qui veut lk’entendre que nous voulons aller, à travers la roche, à la découverte dx’une denrée, d’une sorte xd’ingrédient de poids «qui puiise le faire» en la bouche de lma mort à l’oeuvre, une denrée vive (la plus) comme par excemple : une infamie, une turpitude, une obsc énité, une virulence, un e colère, un cri lancé à la cantonade, une furie, un bec, et nous dès lors de nous align er et de chercher à satisfaire l’estomac sur pattttes
» que serait (est) la mort, car lma mort n’est jamais rassasié qui troujours plus, demande des «vivres» etc, nous le voyons bien, nous voyons mourir des etres autour cde nous, et ce sans ceesse, nous savons cela, nbous sommes accouplés : nous savons, accouplons-nous et nous saurons, accoulpez-vous et vous saurez, la chose est enfantine,
un bel dire de roi et la chose
est comme entériné, un dire du faire, une allégeance sur pa roi (aurochs) et le tour est joué (comme à l;a crapette, etc ) : nous savons cela, bnous voulons gagner (vaincre) la roche, nous le voulons comme jamais, nbous sommes parés et motivés en vrai comme quatre (nous sommes deux !) et nous nous enfonçons fissa en rochge du temp^s, et nous ouvrons nos yeux en grand afin (enfin) de co:mprendre ce qui est qui nous attend, ici, en roche du temps, nous voulons comp^rendre pour nous, ce qui est en roche qui serait à nous attendre pour l’éternité (ah) et nous voilà, nous nous présentons (déclinons les n oms dont nous sommes affublés) et alloons plkus avant sur ce pré, pré de zone aux chevreuils, biches, aurochs, bidsons, buffles et chevaux, la coupe est pleine il faut la boire, buvons ! nous sacvons que bnouys avons à faire cette chose d’une entrée massive en roche, nous savons que nous avons ensembke à faire cette chose, dune sorte (en soi) d’allégeance sur roche ... pour dire qyuoi ? implorer nbotre pardon ? dire «excusez-moi je ne voulais pas, c’est plus fort que moi, ça (ce ça) me dépasse, je n’y suis pour rien ou pour pa s grand-chose, je suis sous le joug de ma destinée, je fais ce que je peux avec ces données cde bnase ruypestre, avec ce bagage qui l m’incombe d’avoir à porter, etc», je xsais ette chose, nous le savonsq, nous pleurons comme pour en imposer et faire impression et tenter de se tirer peut-être, dès lors, de ce mauvais pas qui est le nôtre depuis toujours,; c’est à dire cdepuis ce jhour qsui nous a vu nzître ! que dire à la mort ? qu’on s’excuse, qu’une fois de plus pour ellle, ça ne sera pas pour tout de suite comme elle ne cesse d’esp^érer, nous sommes comme dépassés par en nous le flux, qui nous pousse à braire (sur roche) avec le cerf des bois et sous-bois, nous nous ecxvcusons mais il n’est pas dit que cela sud-ffise, il n’sst pas c ertain que M. de Mort soit ok, monsieur ou madame, pas dit que elle ou que lui (elle ou il) soit contente et content de la situation telle qu’ezlle secpmrésengte au temp^s présent desdits présents à déposer sur roche (trou de bure) ici ou là à nos c^$otés, nous cherchons à nous tirer d’affaire et ce n’est pas simple, nous devons si possible nous montrer malins comme des singes, que dire à la mort pour lui faire avaler la pilule ? que dire à monsieur /madame, à ce sieur / dame, afin de lui faire avaler la pilule , que ? ou quoi ? car dame / sir est un (une ?) drôle de coco !
je sais ! je vois ! j’imagine, etc (applaudiissdements) , je sais ô combien la chose est loin d’etre simple et aisée à mettre en euvre, je sais la difficulté, l’hommes de cav ernes est un enfant sur pied, l’homme des ca ver nes est l:’enfant sous influence, son verbe est nacrée comme un onguent, comme chr
^$eme, je cherche la voie du sang = son parcours-san té en moi même, je saisq ce qui est qui m’attend, cette chose rude à passer, à devoir passser, je vais en roche (dure) aux apprêts de bord de mer, mon coeur bat, il bat son ryhtme lancinant, métronomique, hautain, il bat de sa magie, je suis homme desz cavernes des prairies de roche, je suis un che v reuil, je suis une biche, je suis un vcerf, je suis un bousquetin, un renne, un cheval, je suis un aurochs, un bison, un buffle, un ours, un lion, un bec, une sorte de treacé (pariétzal) inqiuiétant, un homme cdebout, je suis cet hopmme de mlaroche des temps alloués, je vais et je vien, s en roche dure comme dans un monastère, un prieuré, une chapelle, une église de paroi, une chaloupe, une arche, un bateau de bois, je suis homme de laterre meuble,; homme-enfant de basse-fosse, hommùe mis dans le trou de la roche, trou des trous, je vais et je vie,ns à l’intérieur du trou de roche meuble, je m’avance, je vais, en ce sein, à la recherche d’une découverte à faire (enfantine) sur paroi et pourquoi pas ? je m’appelle de MON NOM de scène, je vais sur paroi ainsi attifé , de MON NOM de scène
et je vois la bete du temp^s ou des temps brouter, elle man ge de l’herbe, elle n’(est pas carnassière, etc, je vais en roche ainsi équyipé, attifé, armé, muni : affublé dx’un nom ! et ce nom est le nom de scène , de roche, le mien, il s’agit d’un nom dont on m’a affublé, nom d’emprunt pour a insi dire , j’avance masqué,
je suis homme à la voix rapide chevauchant la roche (cavalcade !) et hurlant ! à moi lza vie belle ! je le veux ! je veux de la vie belle ! c’est un voeu que je formùule, puis-je ? je voudsrais savoir, savoir et coomprendre, je veux et je voudraois savoir pourquyoi (la mort) et aussi, comprendre tout le mécanisme, du début de notre vie à la fin de cezllmze)-ci : pourquoi ? comment ? etc, savoir ce qu’il en est de toute l’affakire, je suis homme des cavernes affublé d’un nom ou nom -chandail, cela est et, comment dire (dès lors) que ... non, non et non, je ne suis pas ce chandail-là ! je nessuis pas cette personne, ne dites à personne que «je» est ce
chandail-là car il ne l’est pas, je ne suis pas ça, «je» n’est pas ça, nous ne sommes pas ça (pour rien au mon de) et ainsi disant, c’sst comme si ainsi je m’appîtoyai sur mon sort et faisais allégeance ou sorte d'allégeance en roche, au pied de la FChose de choix : je fais ainsi ici preuve de modestie, ainsi je fais (sur roche) preuve de ma bonne foi (hum, j’essaie !) ? fais-je ainsi ici preuve de modestie ? fais-je ainsi preuve de ma bonne foi ? car, que dire à une bouche ouverte en grand comme une gueule (une grande gueule ) ? que dire à la geueule ... du temps pa riétal = la mort ? que = quoi ! que ou quoi dire à la mort du cru ? que ou quoi dire à pareille engeance pleinière ? je ne veux etc, pas mourir on l’a compris, on a comp^ris que «je» (cette entité nacrée) ne voulait pas mourir, mais durer, dans le dur tant pis, mais durer, or,
pas dit que «nous», pour ainsi dire, dira de m^$zme, pas du tout sûr qu’un «nous» (dépopsé sur roche) tiendra le la ngage du «j,e», et fera son possible (ou ferait) pour durer, pour pâsser pour celui qui cgherche à durer, la mort est une bouche très (très) grande ouverte, elle mange (broute) ce qui lui passe sous le nez, nous savons czela , la mort est affamée(en permanence) : ventre(antre) surr patte = cavité = trou = gtrou borgne ? nbous vopulons comprendre c e qui est en ce monde de lma rocxhe meuble, fran chement oui ! nous voulons comprendre le + du + du + du + de cette chose nommée «La Roche», c e qu’elle est au juste pour nous, à nos yeux ey pas xeulement aux nôtres, aussi aux yeux des auttres, nous voulons savoir beaucoup (tout! ) et pour ce faire nous sommes entrés dans kla roche des vélléitée salutaires en termes d’embardée votive, nbous voulons le + de la vie, donner le + mais pas la vie (pas folle , la guêpe!) car merde;, bnous y tenons (à la vie) : elle bnous appartient ! la vie nous appartient, .... la vie nousappartienbt-elle ? et si non à qui appartient-elle ? à la mort ? merdum ! nooooooooooooooooooooooooooooooioooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooon ! nous nee le voulons pas , nous ne voulons pas
que ce soit le dit , mertdum ! noooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooo n ! mertdum ! non de nomm ! car merde merdum : mèfle, zut, trop bête ! nous ne voulons pas que cette cxhose soit le dit, bnous ne voulons pas que cette chose soit dite, passe pour le dit cde vérité ou de la vérité, genre parole d’évangiles, nooooooon , merdum ! nous ne voulons pas que ette chose soit le xdit !! la vie en nous n’appartient nullement à la mort dite «du levant» , nous pensons cettez cghose commùe quoi en nous la vie (ce tic et ce tac de roche) n’est pas (au sens d’appartenir) à M. de la Mort en b ran,che de céans, non ! nous ne voulons pas de ça, de ce dit de meu, car non ! la vie n’appartient pas à la mort, ou ... si ? vérité ? vrai
des vérités ? nous ne savons pas, nous vpulons savvoir, et aussi l’art en la matière, etc, que dire de la mort à l’oeuvre, que devons-nous dire d’elle, quoi est elle ? nous voulons sa voir, comprendre et dénicher ... l’oiseau dans son nid douillet, que faire ?, nbous voulons savoir, nbous voulons dénicher,; com^pre,dre, trouver UNE «V2RIT2 de poids» qui puisse»le faire» ad v itam aeternam , mais comment ? nous sommes deux (chargés-) , squi voulons savoir ce qui est en la matière : à qui appa rtient la vie ? lavie appartie,nt-elle à quelqu’un ou à quelque chose ? la vie appartient elle à qu!elqu’un ou à quelque chose ? nous voulons savoir, comprebndre, dessiner et graver, trouver, dsébusquer, dénicher le pot aux roses, détroussezr, comprendre vif, al:ler loin dans la compréhension-captation des choses du monde, trouver ! trouver ! trouver! trou-ver! trouver le trou ! trouver le trou ! trou v ! trou le v ! v le trou ! vé le trou ! vois le trou ! vois donc ce trou pour toi, trou des trous etc, nous voulons n ous approcher cde Dame V2riT2, de Sir vérité, ainsi de suite, nous voulons comprendre un + squi serait le + de toute l’affaire : une croix, la croix du bucher ?
bnous sommes deux qui vcoulon s comprendre, nous sommes nous deux qui voulons comprendre, nous sommes dezux qui cherchons à comprendre, bnous sommes deux qui voul;ons comp^rendxre, bnous sommes deux à vouloir comp^rendxre, nbous sommes deux qui voulons comprendre,; nous sommes deux quyi cgherchgons le nid (ou les nids) de la vérité emba rquée, nous sommes deuix (ellez et moi), qui cherc hons -ce nid de roche (où est il ?) qsui saurait nous dire (à sa façon) le pourqyuoi de la roche du temps, le pourquoi de la roche «des temp^s impartis», ce pourquoi des temps passés déposés sur rochee (table) , en guise d’offra,nde de poids (= «qui le fasse») , hum, pas sûr ! oiseau de la vérité de la roche où es tu ? nbous te recherchons, nous te voulons, bnous voulons de toi, nous voulons de ta présence en nous et au-delà de nous car nbnous tenons à toi , nous tenons à toi comme à la prunellle de nos yeux, nous tezn ons au bec de roche, nous tenons au bruit du bec sur la roche : percée du pic, nous voulons entrter xans la roche et nous y lover-loger pour la vie, et au delà (si tant ewst) et pour ce faire (fissa) aller à la roche du temps, prendre , saisir, toucher, faire ami ami avec qui avec elle : la paroi des temps = la chose rude = le temps d’une vie donnée, ensuite, un jhour, le moment venu, oui : nous doonerons davantage, peutêtre, certainbement, tout le monde meurt, mais en attezndant nous freinons des 4 fers, nous ne voulons pa sz passeerr l’arme à gzauche, nous tenons à nos abattis, nous tenons à bnotre san té, nous teno,ns à la vie, nous tenons à rester e n vie, nous voulons rester en vie sur terre ferme et voir encore et toujours les beztes de roche apparaitre ensemble sous ,nos mùains télépîlotées par des betes en nous qui nous gouvernent (transe ) insidieusement, et nous, nous dessinons dès lors ces betes (ici) de roche dure, ces aurochs de belle prestance, ces bisons musqués, ces antil:opes vi ves, ces chevreyils royaux, ces biches brillantes, ces ors, ces reflets, ces brulures, ces feux de paroi, bnous voulons comprendre ce qui est du monde à la lumière d’une sorte dx’échappée dans les sous-bois, lumière ra sante entre le tronc des arbres, entre les troncs des différe,ntes essaences,n, etc : applaudissementrsq, nous voulons savoir le plus que nous pouvons, nous voudrions savoir lev plus possible, tout, tout de la vie, un tout de vie ou d'une vie entière, ce que c’est que
tout, ce qu’est tout, ce que tout est, etc : appplaudissemnets bissés, et nous de croire en cette chose par la ba,nde, au pouvoir des mots (prononcés de fait sans même y penser) et du coup on sait cette chose ... d’aller loin en cette zone des zmbruns de roche, nous a imons la vie en nous, bnous ne souhaitons en rien devoir ou avoir à ... (mourir , etc), non ! nous voulons ! nou voulons ! nous volons, nbous voulons et nous volons ! nous voulons a ller loin , en cette roche du temps; qu’sst la mort ? quoi est-elle ? ou est ezlle (le trou près de vous, rappêlez-vous) etc : applaudissements, je connais cette chose du tempqs, imparti octroyé <
qUI un jour prend fin, je veux aller en roche vivre, je veucx vivre en roche parmi les betes, je veux vivre en cette roche (parioétal:e) de l’ours des cavernes, qsui donc ewst l’ours des cavernes ? qui donc est cet ours ? qui est l’ours de céans des cavernes du temps ? suis-je l’ours logé en moi ? ai-je un ours en moi ? ai-je en moi une bete des champsq ? libbellule ? orang-outan ? aurochs ? oiseaub du pzaradis ? buffle ? bison ? antilopê ? cheval ? cerf ? biche ? chamùeau ? chjien ? ours des cavezrnes ? ou lion des cavernesq ? qsu’ai-kje en moi qsui trépigne sévère ? qu’ai-je en mpoi qui cher che à de moi sortir par la b ande ? qu’ai-jhe en moi qui ne va pas de soi et chertche issue pariétale ? chertche à s’exprimer pour se dép^loyer et se dép^loyant avouer = dire ce qui est , qui ou quoi en moi ? je suis un homme des cavernes, je suis un homme fou, je suis homme fou des cvavernes =
je suis un homme virgule fou des cavernes,
ou bien je suis un homme fou (des cavernes)
un homme ou une femme des cavernes,
une bete des cavernes, un faon des cavernes, une vooiiox des cvaerrnes, un lion rugissant (le soir) des cavernes, un cheval des cavernesz, un enfant des cavernes, un jeu de caverne, une joie cdes cavernes, une lumière en moi des cavernes ou commùent ? je suis traversé (incidemment) de but en blanc, je suis à la croisée des chemins, je suis un homme des cvavezrnesz au sa ng royal, je suis cerf dxe roche aux bois dorés géants, je sautille à qui mieux mieux sur la lande, mon port et mon alluure sont majestueux, mon allure est ma&jeswtueuse, mes ports et allures sont majestueuses, sont majestueux et majestueuses,; mon port est majestueux et mon allure est majestrueuse, et du coup mes ports et allures sont majestueux majestueuses, soit majestueueses, sont des majesté, sont ceztte majesté de roche attribuée, je veux etre cette roche dure des apprets, je suisq cerf qui va sur roche et cherche des den,rées (données) pour s’alimenter, je suis homme des cavernes orneme,ntées, je m’avance en elle à la recherche de x et x vérités à dénicher, oh, si seule:ment ce pouvait etre vrai, si seulement la vie de roche était le réservoir des vérités de poids, des vérités qui pèsent lourd dans la balance et en imposent gran,dement, ah si je pouvais ! si seuylement j’é&tais à même de savoir et pouvoir dénicher UNE (une seule) vérité de bord de roche, UNE (une seule) vérité dite «des embruns», «des embruns dans les lointainsq», le trou borgne (on a compris) est celui qyui nous attend, toutes voies ouvertes pour nous, nous cherchons avec sériieux une belle et grande vérité (mes aïeux-aïeules !) «qui puiisse le faire et en jeter un maximùum «, ah si suelement c’était possible ! ah si seulement je pouvais ici trouver de quoi dénicher qui, en vrai, le fasse et donn,e le l:a et le change (les deux : le la dit «musical» du temps à vivre, et le change ... le change ... à ...
«Mort de mes 2» qui nous intime et nous intimide) , nous voulons comp)rtendre, bnous voulons savoir à tout prix, bnous voulons comp^rendre, nouds voulons à tout prix savoir et co:mprendre c
e qui est en c ette roche des savoirs nacrés : qui est quoi et quoi est qui ? ou bien : qui est qui et quoi est quoi , nous cherchons dans le roche u,ne sorte c -de vérité qui pourrait le faire, c’est à dire qui pourrait donner le change, en quelque sorte, à la mort,.. c’est si:mple, disons que c’est simple à comprendre sinon à réaliser, nous cherchons en roche , nidée, une vérité «qui puisse le faire», nidée = nich»éée, et pour cela ous nous imisçons en pareille roche,, et cher chons dan,s tous les coins où donc pouvoir trouver pâr’eiile vérité centrea le de poids, que nous pourrions valoriser dès lors , et du coup dépopser sur roche (etc = applaudissements) et voilà mpourquoi ,ous sommes entrés en cette roche, ce que nousw voulons ou désirons, ce qui nous tient à coeur de réaliser, ce qui nous occupe et grandement occupe nos pensées depuis longtemps : dénicher , dénicher, dénicher,; dénicher, dénicher, dénicher et trouver, trouver ,, trouver, trouvczer,
trouverr le hic = le trou,
vé ! ainsi de suite ! ce trou (dans la roche) à mes côtés, tout frais, est mon propre trou de vie vive, à combler un jour ... ou pas ? je cherche une voie d’accès, je suis dans une réflexion massive, rude, pleine, nous devons gravir le mont de v énus (?) et chercher la grotte, où est elle ? qui sait de quoi il en retourne ? nous cherchons cette chose d’une vérité de chose honteuse mais avéereé, mnous nous sommes in filtrés et nous guettons, nous cherchons dans tous les coins de laroche dure et que trouvons-nous, en termes ou en guise ou en fait de vérité ? des betes, de ces betes de roche de parois, des aurochs, des aurochs comme s’il en pleuvait, où sommes nous ? que faisons -nous ? que sommes -nous ? que disons nous ? que dénichons nous ? que désirons nous ? qU»’affichons nous de nous mêmes ? nos noms ? peu -êttre, et zussi : nos envies, nos betes de vie, etc, nos désirs, notre feu, notre foyer, notrte moteur vif, nos penchants preononcés, etc, nous sommes des etres de feu, nous sommes des etres qui sommes le feu, nous portons en ous des élans de feu, nous portons en otre sein des penchants vifs, fortement aiguisés, quyi obsèdent, nous avons en n ous de ces pencha,nts vifs et acérées qui nous obsèdent grandement et ce longtemps (une vie dur$-ant ? ) : nous cherchons à savoir pourquoi, ce que c’est que ce feu centreal, qui sommezs nous pour bruler de la sorte ? bouts de bois ? ramuresq ? bouts de quoi ? nous essayons de comp^rendre ce qui nous arrive en pareille roche, qui saura nous dire ce qui nous arrtive ? qui ? quiiiiii ? qui saura ? qui va là ? squi va savoir ? qui devant soi ? et d’abord pourquoi devant ? autour ! autour de nous en cercle, une sorte de paroi, une sorte d’attribut, une sorte d’enclos, une sorte de praiorie, une sorte d’habit, d’habitus, nous sommes entrés à deux dans la paroi du temps, nous nous sommes lovés, nous nous enlaçons, nous sommes nus, nous touchons la timbale du temps, nous sommes deux à toucher la timbale
17/6/2021
nous sommes moptivés, nous ne faiblioro,ns pas, nous irons loin ainsi armés de nos pique-paroi, etc, notre bouche est une plaie, nous sommes secondé (doublés) par en nous la bete de somme qui renâcle en nous, nous sommes comme sous emprise, sous l’emprise d’une bete forte et folle en nous, follement lancée et forte comme un boeuf, etc, qui en nous cherche l’issue afin de s’échapper de nous pour aller se ficher en pareille vparoi (dessins, gravures) et là, s’ébrouer (ou trouver à s’ébrouer) à qui mieux mieux, nous sommes sous l’emprise forte et folle d’une bete forte et fo;lle en nous, et nous voilà qui lévitons (en vrai) de concert, nous montons le long des diverses parois en lévitation, nous sommes main dans la main et lévitons, nous lévitons main dansd la main, nous sommes deux pour ce faire fou et fort, ou fol et fort etc, nous sommes main dans main, main / main comme deux tourtereraux de la première heure, main main, main main main, main et main, main main main main main main et main, nous grimpons dans les nuages des parois célestes ou quelque chose de cet ordre en grotte, furie et furia, des incantations, des folies, des cris, de tout qui en impose fichtre, etc, nous sommes qui allons ainsi sur roche à la recherche d’une vérité de bon aloi, vérité des vérités qui puisse le faire et nous donner du mou, un allongement de vie, une place où nous dorer, etc, nous sommes mi homme mi bete et nous entrons en roche comme en religion, sous ordre divin, etc, notre but ici n’est pas caché mâeme si tout, en vérité, en effet, est «comme» codé «de la tete aux pieds» ou quelque cvhose d’approchant, etc, nous nous approchons de bouche des prés, cette excavation, ce trou (borgne ?) et nous comprenons que nous avons, dès lors, cette chose (pour nous) à déchiffrer comme des hiéroglyphes ou comme des signes de kabbale etc, nottre but est de comprendre ce qyui est des choses, à travers un usage forcé, violenté des mots ou sinon n violenté bousculé des mots de ta race etc, nous voulons comprendre lles mots de ta race ce qu’ils ont à dire, cela est, cela est cette chose ici d’une vérité des vérités, cachée ou masquée sous des couches de propos sans sel, etc, nous disons cette chose ici comme quoi nous avons de fait à déchiffrer, sous des couches et des couches de propos sans sel, des sortes de douces, ou pas, douces ou pas douces vérités, sur la marche du monde : qui est qui, qui fait quoi, quoi est qui , qui est quoi, et surtout (avant toutes choses) à propos des divers sentimùents qui régulent la vie, sentimens de la fin et de la faim, etc, nous avons à comprendre le monde du temps, nous voulons comprendre le monde des temps impartis, etc, nous devons comprendre ensemble les teneurs, les arcanes, les soubassements, les piliers du temps, etc : que sont donc les piliers du temps ? où devons nous aller en roche pour comprendre ? squi est cet homme des cavernes ci-devant qui trace à main levée des images de betes célestes ? nous cherchons avecv conczentration et un grand sérieux etc, nous ne voulons pas passer à côté, nous voulons comprendre et toucher la vérité dans ses retranchements, nous solmmes deux pour ce faire et nous y allons, n’ayons crainte, allons-y, filons, allons vers pareille bouche des p^rés, cette excavation votive, cet autel de la mort appretée, cet autel de buve, etc, nous voulons comprendre ce que c’est, ce qu’est en vrai la mort «devant soi» etc, le présent du monde tracé déposé, nou voulons comprendre ensemble ce que c’est,
que ce monde de parois de grotte , grotte
décorée (ou ornée) par des hommes et par des femmes des cavernes, nbous voulons comprendre ensemble les secrets du monde pariétal et les enjeux qui y sont accrochés, nous ne voulons plus (ou pas) lâcher la garde mais poursuivre sur notrte lanvcée, à la recherche de la vér(ité, vérité de céans, soit de pareille vérité concernant la mort, bouche de la vérité, etc, nous savons des choses, déjà en vérité nous savons car nous avons en nous des betes qui savent et même qui en savent «lourd» , et comment ! car elles sont imposantes, elles sont massives et imposantes drôlement, elles forcent l’admiration, elles pousse,nt de toute leur masse et cherchent vif à s’extraire de nous par tous les moyens, elles sont «physiques», elles hjouent de leur musculature, elles ne chôment pas en nous, elles pousdsent en nous en direction d’une sortie de bouche et elles la trouvent : plaie, tranchée, etc, nous sommes des etres blessés par, en nous (intérieur de notre etre) une bete de poids qui, poussant sa cvarcasse, arrive à sortir de son trou (en nous) et se ficher hors, jusqu’au bord de roche, et s’immiscer en roche comme une sorte de gravure etc, ainsi de suite, car lorsqu’une bete,ou un conglomérat de betes enlacées , arive (arrivent : les betes) à sortir de nous, lorsqu’un conglomérat de betes parvient à s’extraire de nous par lma bouche, la nbotre, alors on peut dire ou vous pouvez dire qu’un autre (de conglomérat) ne tardera pas à vouloir sortir et ce ad vitam aeternam, d’où notre colère, etc, notre sentiment de grande colère, et notre douleur zau passage des betes, car la bouche (la notrte) est une plaie, saigne et fait mal au passage des betes du temps ! nous savons cette chose, nous savons cela très bien, nous ne sommes pas ignares tout à fait, nos paroles sont toutes codées devant nous (ouiiiiiii, nous le savons) et cependant nous imprimons notre «façon de voir» en elles, en ces mots de roche dure,en ces litanies de conserve, etc, nous sabvons que ce que nous disons est pour le coup codé, nous savons cela, nous ne sommes pas tout à fait dupes, nous ne sommes pas complètement idiots ou même à la ramasse ou comme à la ramasse des temps, nous savons des cghoses (etc = cet etc !) et cependant on voit (on sait) que ce qyi vient sur roche (paroles) est du codé en branche, est codé «de la tete aux pieds « pour ainsi dire, rien qui réellement ne nous (de nous) «signifie», rien qui puisse nous montrer nous mêmes à nous mêmes déjà, etc, les mots de roche sont cod»éés et renferment leurs codes secrets : que disent ils ? que disent les mopts de la lande ? que disent les mopts-betes dessinés à mêmùe la roche ? en quel nom ou au nom de qui, etc , c’est à dire en vrai : qui parle ? qui parle en roche ?qui s’exprime ici ? qui dit les choses du monde et de cemonde animalier de roche ? nous ne savons pas mais les mots que nous portons en nous le savent , nous ne savons pâs, nous ignorons, nous sommes betes de roche, betes comme choux, etc, mais les mots de roche (de parois) savent, eucx, ce qu’il en est et ce quil en coute d’être, etc (applaudissemùents !) : nous savons cela ou du moins le subodorons par la bande, nous essayons de nous approcher par la bande de la vérité du monde et bien évidemment que l’affaire est coton, n’est pas simple, se corse vite fait au contact de la roche à passer, etc, nous devons comprendre ABSOLUMENT les données primaires, premières etc,et pour cela nous nous tenons prêtes en permùanence, sur le qui-vive, debout les morts, é veillés comme pas deux ou si : à deux et même soutenu l’un l’autre par son ombre soeur, etc, nous voulobns comprendre le monde des r êves, des embruns de roche, des mots galvaudés secrets ou cvontenant secrets, des codes floutés ou comment ? embruns maritimes ? bouffée de joie sortant d’une bouche ? haleine fétide de la mort à l’oeuvre ? conjonctures finales ? nous voulons comp^rendre ensemble ce qui est ou ce qui l’en est du monde de la roche des temps alloués et de la mort qui est ou en est son corollaire flouté ou comment ? grisé ? nous cherchgons, nous voulons savoir, nous voulons comp^rendre le monde, nous voulons comp^rendre les choses du monde, nous voulons comprendre les ressorts cachés, les visavges de betes sur roche gravés ou dessinés (tantôt) à la pointe, hommes et femmes des cavernes dites nous ! dites nous tout ! qui etes vous ! que faites vous ! que pensez vous ! quelles sont vos pensées de base ,? que vouylez vous de nous en nous ? où vous logez vous en nous ? etes vous logées en nous ? où vous logez vous en nous-autres hommes et femmes de peu aux sentiments mêlés : qui ? quoi ? que ? comment ? car quoi ? nous sommes des etres en vrai de peu de foi, or ... que non ! nous sommes en vrai des etres qui voulons la chose connzaitre à travers des mots auxquyels nous croyons comme (ailleurs) des b etes croient, ou même des tribuds humaines croient tout comme , car, nous sommes une tribu et plus que ça, nous sommes betes de foi de rage, nous sommes b etes-mots de race et croyons, ... à quoi croyons nous ? au sens des mmots en nous comme en autant de betes qui renâvclent et cherchent à, de nous, sortir, ou à sortir de nous, et ce fissa ! nous sopmmes ici des qui cherchons dans la roche la vérité, nous en sommes, nbous sommes ici des qui voulons savoir ++ ce que c’est que cette affaire de vie et de mort ! car, la mort nous suit à la trace , ou comment ? on peut, on pourrait dire ainsi, comme quoi ... la mort ... nous suit à la trace, ne nous lache pas, la mort est un chien, la mort est un trou de roche on l’a vu, et ce trou est notre trou, etc, il n’y a donc pas (de fait) un endroit précis (Un) qsui serait situé ici et pas là dans le monde, genre Porte des Enfers , passage Choiseul, etc, non ! mais ... mille, mille milliard de trous possibles à meme la roche : trou d’aisance et trou de joie, trou de basse fosse et trou de connaissance de l’au-delà etc, est ce cela ? nous voulons comprendre ce qui est, nous dessinons des rondes et autres sarabandes et pour cela nous lévitons, bnous dessinons (à dessein) des betes de roche, nous voulons comprendre et tenir à distance la moprt, bnous voulons tenir la mort à bonne (suffisamment) distancede nous, nous cherchons à , la mort, tenir (suffisamment) à bonne distyance, nous cherchons à, la mort (suffisamment), bonne distance tenir, nous sommes ici deux qui chgerchons à) comme tenir, ensemble, cette mort de rage, nous voulons tenir ensemble la mort à bonne distance, à bonne et suffisante distance, à suffisamment bonne distance, à la (bonne) distance du potier, etc, nbous ne voulons pas nous faire harponner par elle en cinq sec, nous vpoulons tenir la mort de roche à la distance qui nbous plait = qui nous tient en vie encore, encoore un temps, encore un moment que nous cherchons (par la bande) à alloonger au plus que nous pouvons et ce par des incantations votives et autres pârades chevalines ou ovines sur roche, nous voulons comprendre les choses du temps, nous voulons comprendre les tenants et les aboutissants, nous voulons comprendre c e qui est, nous voulons comprendre ce qui est en roche qui szetrame, nbous sommes évéillés et comment ! nous voyons la roche à graver , nous voyons les flammes du bucher, nous sommes deux pour tracer des traits sur la paroi du temps, et aussi des mains surnuméraires : main ! mzain ! main ! main ! mazin ! mzain ! main ! main ! main ! main ! mzain ! main ! etc : appplaudissements ! nous créons de toute pièces une ... «pièce montée» en roche et cette pièce est là pour faire impression (mirage) à qui de droit,
nous sommes les enfants-faons de la roche des temps, nous nous sommes introduyits en icelle et nous allons ainsi en elle à la recherche (motivée) d’une vérité (de roche) qui se tienne = qui le fa sse = qui en jette = qui pûisse en jeter des tonnes = qui puisse en imposer comme aurochs de roche = mots, mots, mots, mots = mains, mains , mains = applaudissements incantatoires afin de rythmer ... le temps écoulé sauvé, etc ! nous savobns, nous voulons creuser la roche, nous savons des choses et, de ce fait, envisageons ensemble de creuser laroche profond, loin, jusqu’au bout du bout, etc, nous voulons loin creuser la roche dure, loin la voulons creuser ... et nous le faisons au piolet, au piquet, à la serpette, au javelot, à la manche courte, au fifrelin, au pic de rage, à la charge-tittre, au piloté, etc, nous sommes enfants du jeu de ta race ! nous aimons creuser (percer) et creusons (perçons) la roche meuble, nous voulons sdavoir ce que c’est que cette mort de bouche trouble devant soi, qui est elle ? qu’est-elle ? sque nous veut elle ? pourquoi nous suit elle ? etc !
le trou pour faire caca, le trou où nous seropns un jour enterré à jamais, etc, nous avbons pour nous (qui nous suit ou tout comme) cdeux trous , les trous sus nommés nous suivent, sont là, nous regardent pour ainsi dire etc, nous sommes de la bande,
et la paroi du monde est notre paroi, soit
notre paroi votive, nous cherchons à comprendre les données du monde animalier à travers cet emploi de mots-betes de roche et placés sur roche, nous voul;ons ainsi essayer ensemble (à deux) de comprendre les données de base, du monde dela vie et de la mort dsur terre, cette chose allouée à un temps nacré dérouulé : le temps de se taire ? nous voulons comprendre ce qui est du monde, de ces prés en roche, des embruns secrets, des dessins codés, des mots surnuméraires, des phrasés de destinée, des incantationsculcérées, des cris de guerre, des plaintes autoritaires, des poussées de joie salutzaire, des décghets,
nous voulons comprendre le maximum et toucher
la roche sur nouys, ou sous nous, près de nous etc, cette roche fraiche , qui nous touche, nous plait, nous intrigue, nous envahit ou comment ? nous prend «sous son aile « ? nous voulons comprendre au plus profond de la roche dure, bnous voulons ensemble comprendre au plus lointzin et au plus profond de la roche dure, nous voul;ons comprendre ensemble zau plus profgond et zussii au plus lointain de cette rochge dure des temps orné&s, nous sommes deux pour pareille mission d’envergure, et nous nous y tenons car nous sommes remplis de pareille mission qui nous pklait, nous intrigue, nouys donne des ailes, etc, nous aimons chercher les choses dans les choses, prés dans prés, biches dans biches etc, notre but s’affiche en toutes lettres gravées : aurochs des prés, aurochs des prés, aurochs des prés, aurochs des prés, etc, nbous cherchons ensemble à piger-comprendre)savoir -éclairer, nous voulons ensemble piger-comprendre-savoir-éclairer, nous avons ce but, nous voulons sa voir de la mort, ce que c’est que ça, ce que c’est que cette chose de la mort à l’oeuvre en des temps tracés sur paroi, qui est elle et que nous veut elle ? nous avons (toutes et tous ?) perdu le lien qui autrefois nous unissait à la rochge du temps, nous avons (toutes et tous ?) perdu le lien qui autrefois nous unissait à la roche (ou paroi) des temps alloués, pour (à ?) une vie de rochje céleste, nous sommes perdus (égarés) et nous cherchons (main dans la main) à nous y retrouver mais la cxhose n’est pas simple, il y faut du couerage, faire preuve de courage ou s’armer de (de courage) ainsi de suite, et y aller, fisza tete première, à la une à la deux, entrer en roche comme en religion ou comme en une sorte de lieu qui serait celui d’une naissance au monde, et pour le coup, nouys entrons dans la roche comme dans la vie, bnous sommes comme à présent nés (naissants) à une vie neuve, vibrante, fluorée ou comment ? nous cherchons à comprendre les arcanes les plus souterraines, ici (le langage de paroi) afin de nous y retrouver pour, plus tard (quand ?) dans la vie (?), nous positionner de bo,nne gr^$ace, quand ? eh bien un jour prochain, pas si loin en vérité, une date, là, un endroit de chute, lieu d’aisance pour la vie, etc, nous pensons que cette chose de vouloir sa mort est une chose drôle , nous pensons que cette chose, de vouloir connaitre (plutot) l’heure de sa mort, est une chose drôle = une drôle de chose ici bas, etc, nous pensons que (de fait) nous sommes deux en nbous-même (bete et moi meme) à guider nos pas (propres pas) sur la lande, où donc en vrai aller sinon dans les prés et passés les prés vers les lointains de roche dure,; parois limitrophes, aisances ! nous pensons que nous dezvons creuser le trou de notre destinée future, etc, nouys voulons creuser un trou de roche, nous blottir en lui, nous lover comme des sourisseaux, comme serpentins, etc, nous devons comprendre ce qui est du monde (de la roche des temps) et la moprt, ce que c’est que cette mort de roche des embruns, nous voulons essayer de comp^rendre ce que c’est que cette roche forte des embruns du monde, ce qu’elle estv en vrai pour des bouquetins dessinés, ce qu’elle est pour des rennes des bois, pour des antilopes naccrées, et sacrées, etc, nous essayons ici de nous approcher pour ainsi dire de la vérité des choses dites, dessinées à main levée, etc, et cela au pas de course comme il se doit, nous devons aller loin en roche et creuser ce monde de paroi dure , de paroi des temps qui sont temps de roche offezrte, etc, nous voulons toucher la timbale ! nous avons pour ambition de toucher ou d’arriver à ) toucher la timbale, nous voulons comprendre ce qui est, bnous voulons savoir ce qui est, nous voulons savoir ce qui est, nbous voulons comp^rendre ensemble ce qui est, nous voulons comprendre ensemble ce cqui est, nous voulons toucher ensemble la timbale et comprendre enfin ce qui est, nous voulons ensemble comprendre ce qui est, nous voulons comprendre ensemble ce qui est et toucher ensemble la timbale, nous ensemble voulons comp^rendre, nous ensemble cherchonsv à comprendre ce qui est pour soi, c’est à dire ce qui nous attend, ce qui devant soi est logé : trou de balle ! excavation ! cul de basse fosse ! trou perclus ! trou borgne ! ici le coquyillmage, ou alors le trou d’aisance (« trou du cul du mùonde», on le dit), et voilà pourquuoi nous nous immisçns en cette zone pariétale des abois, etc, nous voulons savoir et du coup nous nous projetons dans la vie du monde de la roche dure des temps impartis d’une vie terrezstre à tracer sur roche au charbon de bois ou au manganèse etxc : applaudissements incantatoires ! nous nous avançons sur roche, nous nous avançons dans la roche, à même la roche,, en roche, en elle, au coeur du coeur = au swein du sein, au fin fond tracé : chaleur, rougeur, tuméfaction, douyleur ! nous ne sommes pas chiches ! nous y allons ! nous plongeons à la recherche en elle (paroi) de la vérité des vérités concernant la mort (la vie et la mort) qui nous pend au nez ! nous sommles ainsi immisqcès pour ce faire (cause) et ensemble nous nous projetons, filonss doux, entrons dans la danse du verbe gravé sur la roche dure : rennes cdes bois, aurochs des p)rairies, sarabande, cavalerie ! nous sommes entrés dans la roche, nous sommes entrés dans la roche fissa , nous sqolmmes ezntrés en roche fissa, nous entrons : toc toc ! qui est là ? c’est vmoi ! entre ! et nous voilà en roche comme à l’unisson d’une parole, d’une parole ici ancestrale, anciennement cri de guerre frontzal, etc, nous nous avançons, nous savons que ce qsui est en roche = la vérité, or la vérité est une et indivisible (c’est mathéma tique) ou tend à l’etre (une et seulement une) or ... non ! la vérité de roche est dfivisée, elle est ici et là ... au même moment on dirait, ou où alors ou comment ? car nous sommes friands et friandes de découvertes à faire ! nous voulons etree des quyi découvrent ! nous voulons savoir cxe qui est ici, dans ce monde ci de la roche dure, ces prés ou prairies, que sont elles ? ces prairies ces prés que sont ils ? nous ne savons pas, nous cherchons le pourquyoi du monde adjacent, ce qu’il est et ce qu’il n’est pas, cette chose rosse, ce plaisir de paroi, cette lévitation dans les lim mbes, cet attirail de buve (buve ? bure ? buffe ? ... ou quoi ? ) car, la main trace des perles, la main est gagnante (la grande gagnante), la main est vive qui ici trace au débotté des images de beauté toute chevaline, il s’agit d’un monde né de paroles votives (incantatoires) chantées sur roche : le fil cdu temps sauvé ! or voilà ce que nous voulons , ici (nous deux ) : nous sauver de la sorte = plonger = aller =vivre et cela une éternité de temps alloué : cécité ? jnous cherchons ! nous sommes des chercheurs et des chercheuses en herbe, nous sommes ces petits enfants de la croix du monde, squi cgerchons ou recherchons le sens de la marche vraie, nous avons ambition (énoooooooooooooooooooooooooooooooooooooooorme) de chercher ou comment, de trouver, chercher etv trouver ou comment ? énooooooooooooooooooooooooooooooooooorme ambition native = de nazissance , de rester en vie, oh l’ambition ! = de ne pas mourir : vrai !, nous le disons, nous ne voulons pas mourir, nous ne voulons pas ou plus ?) mourirr, nous ne voulons pas mourir, nous ne voulons pas (de sitôt) mourir et du coup nous cherchons à vivre le plus longtemps que nous pouvons en roche, nous voulons comprendre les données du monde (rosse) de la roche des temps (durs) alloués, et pour cela nous nous immisçons de concert et cherchons le pot aux roses, ce qu’il est, et squ’est il en vérité en définitive ? nous voulons comp^rendre de la mort, ce que c’est sque çàa ? nous voulons comp^rendre à propos de la mort : ce que c’est que ça, et pour cela nous nous avançons (fissa) en roche perlière, dans le nacre de la mort en vie, coque vide borgne, attrappe-nigzaud, plein feu sur la coque a ttrappe-nigaud, qui (en quelque sorte) nous «tend les bras» (demain) comme à des betes-faons de roche des prés, enfants du temps alloué bernés (les enfants) et nous voilà qui ici nous chagrinons ainsi, qui sommes chagrin de cette chose ou à cause d’ellec : trou d’aisance borgne, un trou dans le sable, un trou dans la roche,; une excavation, pour se soulager et se vider et se libérer et.... etc, car la vidange est là nécessaire ô combien à la jhoie ne l’oublionbs poas ! nous devons (nous nous debvons de) comprendre ce qui est ici d’un trou de roche borgne, nous le devons, il s’agit pour ainsi dire de notre devoir à mener à bien, nous nous devons de, et cela = un devoir de première importance, une volonté ancrée, une gageure et un désir, etc, ce besoi n, aussi, de se porter loin et de déchiffrer : le besoin en nous de décghiffrer, de trouver, de dénicher, ce besoin enfantin ancré en nbous de dénicher, de trouver, de chercher des choses cachés dans le trou des arbres, derrière la cloture, dans les gouffrsxs et autres batisses laissées pour compte, etc, nous cherchons sur roche un sens de parole vraie ou comment ? ... des mots de rage, qui disent ou diraient par la bnande ce qu’ils ont à dire hors maitrise, dans une sorte d(‘un abandon forcé à une langue donnée ici dé roulée comme un tazpis volant volant sur la lande, nous voulonsessayer de comprendre ce qyui est,
de ce monde de roche dur ou de ce monde dur de roche, ou bien de ce monde de roche dure, etc,
nous voulons comp^rendre à tout prixd ! nous voulons à tout prix comprendre, les choses du mon,de dur, de cette parole de joie eznfouie dans la nasse du temps, etc, notre but (ambition) date de loin, nous ne sommes pas nés d’hier, nbous avons fait du chemin, nous avons dégusté, nous ne sommes pas nés de la cdernière averse, nous sommes gens de roche à graver : aurignaciens, aurignaciennes, mpagdaléniens, magdaléniennes ou plus lointainement néanderthaliens, néanderthaliennes ? nous craignons le froid et les fortes chaleurs torrides, nous aimons les grottes et les avens, nous voulons trouver la chose du monde en roche percée = la Chose (du monde) en cette roche des temps passés , nous voulons savoir ce qui ici setrame dans la vie d’une paroi de roche ornemùentée,= cavalcade et féerie , et voilà pourquyoi nous aimons de fait nous entourer de betes (betes de poids) sous roche (dans) ... parce que ... parce que la vie, cette vie de roche allouée (cette vie allouée de roche), est de celle que nous voulons, icimême, pour notre «gouverne animée», pour cette nôtre «gouverne animée» par en elle toute une co horte de betes de roche, qui trépignent du sabot et cherchent à trouver (en nous = à travers nous) à se sortir, pour ainsi dire, de ce «mauvais pas», ou de ce pas non désiré (au départ) ou de ce pas
non voulu non prémédité, etc, fausse joie, etc, nous sommes deux (en nous) quyi voulons la chose pour nous, cette chose rude d’une vie humaine prolongée en ses extrémités (?) etc, nous voulons aller en roche et en roche vdans les embruns, nbous voulons en roche et dans les embruns allezr loin, notre but (affiché = placardé) est cvlair et net, il s’agit de dire ce qyui est sur roche des temp^s, il s’agit pour nous de nous obliger, à dire ce qui est sur roche, notre but est de nous obl:iger -forcer (illico presto) à dire ce qui est sur roche (paroi meuble) de grotte des temps, et c’est ainsi que nous traçons figures animalières sur la roche dure (ou meuble selon les endroits) et voilà pourquoi nous traçons, pour quoi nous gravons à l’envi à squi mieux mieusx pareikl:les figures, nous voulons comprendre cette chose d’une voix traçante en bnous, tranchante, etc, voix de buve de choix, ou de buffe , etc, et cela, cette voix de bure(ou de buffe , ou de buve) est voix traçante = tranchante, zip ! une bouche est née quyi p)arlera cdemain sa langue commune, etc, nous cherchons la érité en rochev : aurochs ! nous voulonbs-voudrions d’ellepour nottre gouverne, car ,nous sommes faits et faites ainsi que nous avons à vivre ... une sorte de vie d’emprunts pareticuliers, etc = des mots, ou les mots, qui sont ces choses (rudes) à placer sur roche : animaux-mots de compagnie rupestre, etc,
nhous voulons savoir cette chose d’une voiix en nbous qui parlerait le langage de l’âme ou sinon de l’âme du sang, etc (applaudissements !) et pour cela nous nous projetons dans laroche, nous entrons fissa en elle, nbous entrons en roche fissa et nous projetons au pkus loin possible et là (lointains) cherchons (nous cherchons) le trou idoine = qyui sezrait le nôtre : quel est il ? nous voulons comp^renxdre les enjeux de bord de mer, les secrets bien cachés de la lan de, les mots-betes de paroi, les mots incrustés dans la lave, les betes de race brutes, les orgueils des betes et hommes cavaliers, des betes de monte, nous vpoulons comprendre
les in,stants de roche gravée,
les mots de la roche dure,
les paroles prononcées par des en,fants de la rage des temps,
qui sommes nous sur terre que nous ne sachions ? qui donc sur terre sommes nous qui ne savon,s pas ce que nous serions ? qui va sur terre à la recherche de la vérité ? qui va sur la terre à larecherche d’une vérité ou d’une vérité de roche = dure comme de la pierre = une et non divisible ! qui va là ? squi tzpe à la porte ddu tmps, qui vient là frapper à notre porte ? le cercueil ? la voix votive ? le chandail ? bure ? buve ? ... buffe ? qui va là ? qui, pour nousrenseigner à bon droit , car nous sommes deux à vouloir la chose, qui ? nous ne savcons pas : nous chercho,ns comme des dératés, nous avonsfaim et soif de découverttes rupestres ou auttes mais surtout de découvertes qui puissent vle faire (longtemps) aux yeux de cette déité de roche (dure) qui nous voit aller e,n roche gambadant, l’esprit léger ! qyui est cette Chose, cette personne ... cet oeil ? qui va là ? nous l(ignorons,; nous voulons comprendre ensemble le maximum possibkle de choses mais comment nous y prendre ? nous voudrions et même nou!s serions partant de cxoncert, mais comment faire ? squi pour nous dire ce qui est ici, en pareille roche représenté ? quoi ici sera ou est représenté en la matière ? animùaux ? mots ? animaux-mots ? paroles ima gées ? effigies ? temppête ? etc, nous ignorons mais quelque chose en nous aurait tendance à (qui sait ?) vouloir nous dire oui, ce qui est est, ce qui n’est pas n’est pas, et voilà pourquoi ... nous «savons « ! nhous «savons» des choses de poids : aurochs au pas de charge de la vie courante, nous voulons comp^rendre les donné»es du temps «me,n,açé», nous voulons savoir ce qui est (en roche) pour le temps de lapâroi dure , soit pour nous, hommes et fe»mmes des cavernes des temps lointzins;, nous sommes hommes et femmes des cavernes des temps très lointzains, des tempqs fous, des temps nacrés, nous cherchons issue en roche = ce savoir, cette définitioon, nou!s cherchons en roche savoirs de base et défi nition définitives comme il se doit, nous voulons pousser au loin la chose de nos connaissances en la ma tière;, nbous voulons pousser ensemble cette chgose d’une connaisza nce poussée sur la chose , et voilà le but affiché, volontairement, dit haut et fort, dit ou prononcé, écrit par la même, etc, nous disons : je qui signifie nous, et nous qui signifie je : entrela cezments, mélange, mixture, mixage, échange de bons procédeqs, etc, notre coeur est à l’ouvrage en sa mixité cardiaque = concomittance des afffects, des verbes délivrés, des paroles du sang, etc: applaudissements saccadés, ryhtmés, et donnés sur roche par la bandez des mains accolées, nous voulons nous approcher d’une (pour ainsi dire)
raison (vraéie) de la lande, ce que donc serait ... cette voix qui parle en moi, en nous, pour des temps sansq trêve, etc,
nous cherchons des choses de rocghe à trouver : nids ? oiseaux de pacotille ? chants d’oiseaux sur la plus haute branche ? chants vernis nidicoles ? nous voulons entrer ... dans la danse du chant des oiseaux ! nous voulons ensembvle danser ... au chant de rochje nidicole ! etc : bec s, becs de rage ! becs de rage enraghée ! bec de bec ! etc, car, la roche est dure à percer, il faut y aller fort ! il ne faut pas faire semblant ! il faut forcer vla roche !
percer roche est une aventure,
de percer la roche est une aventure frontale , sûr ! et nous voilà qui pour le coup cherchons passdage, ici, apr!ès notre pic, nous vouloàns passer ainsi sur nos devabnts et franchir le pas (nidicole) de ce chant de roche dure : oisillons du dernier printemps ou de déjà l’été , ou de l’été présent déjà en roche des temps, nou!s voulons comprendsre le suivi de roche des données (de verbe) perchées, nous cherchons sur roche nids ... de betes de somme, ou bie,nn comment sinon de somme ? de somme-sommeil ? no!us allons en cette roche des tourments pour nouys placer de telle sorte que peut-etre nous puissions ensemble voir les betes ou betes de roche de nos propres yeux d’enfants ahuris, ouveerture grande de nos yeux d’enfant, etc, et ce que nous voyons esrtt étonnan,t = des betes vives, comme des vrraeies, qui semblent charger pour de vrai, brouter pour de vrai, etres pour de vrai ce présent au monde, offert (en guise d’aliments) à une vie dfe mort = de ta race brute (dite «la vilaine, la chienne», etc) et ainsi fait = mis ou placé en orbite, nous bvoyons , et ce que nous voyons ne laisse pas de (quelque part) nousq intriguer et de dnous poser pas mal de quesrtions de type premières ou questions de vie ou de mort, ce que nous voyons est vif, va vite, sembkle vrai, bouge comme dans la vie , la vraie de vrai des prés, nous pensons que des betesq dessiné&esz par l’homme ou par la femme desq c avernes étaient là pour faire croire qu’elles étaient en vrai, et pas dessinées, ce genre de réflexions, or qu’en savopns nous ? que savons nous de ce qui est au monde des parois ? nous ne sommes pas (plus ?) homme ou femmes des cavernes ... ou oui ? encore ? nous le sommesc encore ? nous voulons savoir si encore nous sommes ... hommes et femmes des cavernbes ! d’après vous ? que savons nou!s ? que dire ? quoi dire ? notrte but est là qui e’st afffiché sur iune paroi et quyi dit (en ses grandes lignes) cette chose comme quoi, notre but sur roche des prés est de trouver des vérités de poids quiu pour le coup le fa sse et nous pezrmezttent d’avancer notre chemin de croix, ou sur notre chemùin, sur ce chemin de croix tracées à même laroche et à main levée (applaudisseemntsq), ainsi de suite, et du coup, pour nous, la vcie en paroi noussemble assez correspôndre à une cvie vraie de praieriev ou de sous-bois, et dès lors l’offra,ndee (dessinée) peutv «passer» et «nourrir», etre suffisante un temps donné, ce temps du ddon à) Bouche de la Mort de Roche, etc, je suis homme des cavernes fou, je vais et je viens en cette roche des temps abreuvés, je m’estompe sur roche, m’immisce m’estompant, je me loge (fissa) incognito ou presque (tout comme ? tout contre ? ) et incognito je m’avance et vais à me placer ... où ça ? à la droite de qui ? qui serait, de fait, cet hommùe-enfant de roche ancrée (nacrée) des temps alloués à une éternité dite «de paroi de roche» : eurejka ! ou alleluyah ! car, ici la vie de roche parait correspôndre (ronds de flan) à de la vraie vie de pl;aines vive, on dirait cela, mais qui dirait cela ? nouqs autre s, hommes et femmes des boisq, des prés et des c a v ernes ... de l’au-delà des temp^s enfouis, car l’au-delà est l’au-delà des temps enfouis, des temps enkysytés, enterrés, etc, je sa is cette chose, je sais cette chose en soi d’un au-delà fait de toutescpièces des temp^s morts offertts, etc, la moprt se nourrit de nos propres passés cumulés, formant cette chose d’un appret de bure, cet «onguent sentimentazl» : christ des destinées votives, etc, le temps passé offert (en guise de «vie») à nppotrte Chefg de rang , de rang pariétal,
ce passé est ce qui «fait»
le Chef qui s’en nourrit,
et qui du coup exciste du fait que voilà, ce passé lui est pour ainsi dire offert par nous qui sommes deux en nous, mi et mi, etc : mimi ! nous savons ! nous devons comprendre au plus, cet enkystement ... d’un passé de roche dure ! cette litanie ... absorbée par la roche gloutonne , nbous voulons nous imposezr pour ainsi dire de la sorte et franchir les paklliers les uns après les aiutres, le pourropns nous ? nous pensons qUE oui, nous pendsons que nous sezrons à même (un jour) de passer (ainsi) d’un lieu l’autre, par le Verbe bien placé, d’où nos recherches prononcées, nos recherches forcées disons, d’’où ce ren,tron en matière de Verbe bougé etc, nous tentons forçage, et ce n’est poas gagné ! car, lka bete du temps est coriace, rude et dure au contact = «durre sur l’homme» etc, nbous voulons entrer en la roche du temp^s et du coup comprendre les données et donc voilà, nous aurions affaire ici à une sorte de «déité de prezmière», chapeautée sur elle par un temps nacré, par une sorte en soi de temps accumulé, etc, comment dire ? nous voulons comprendre la chose : cette chose d’une déité qui serait faite (forme) de ce temps passé offert sur roche, tout ce passé ici enchevetré qui deviendrait dès lors le dieu «du levant» ! revoyons cela : le passé, le nôtrte, tout enchevétré, tout mélangé et compâcté, deviendrait une fois donné , eh bien cette Chose devant, ce poids de ta race (dure)= la Mort ... «de la paroi des temps», ou «des temps alloués»,
et nous voulons comprendxre ce qui est
de cettye roche des temps alloués, et pour cela, nous devons, vite fait bien fait, nous projeter (ici) en abavnt, et tracer ,; dessiner des betes ,
au cordeau, graver à l’envi des betes de taille, betes-mots de ta roche-mère, tu veux ! betes-mots de rage à ta mère , etc ! je vois de là, je sais ce que c’erst , je ne suis pas dupe : dieu est là ce temps aggloméré , oula ! dieiu ici est cette chose d’une sorte de durée votive enchâssée de fait sur roche de grotte (c'est précieux !) : nous voulons xcomp^rendre ce qui est en vrai ici cde cettye rochge de paroi votive, et pour cela nous sommes qui nous infiltronbs en pareille roche :
des abois,
des replis,
des saluts,
des lmots de ta race sauvée à la barbe (et au nez ?)d’une déité cmenaçante, vibrant couperet, etc, nous voulons comprendre les choses crument, nous voulons crument comp^rendre les choses et nous nous affoalons sur roche dans ce but, qui est but de vouloir des choses, pour soi = des motifs de joie et de qsatisfaction (jouissance) qui pour nous puissent nous aider à poursuiovre (de fait) lke chemin en,gagé, etcc, je sais des choses ! je sais mille choses ! je sais des milliers de choses ! je sais des millions de choses ! je sais dses milliers et des milliers de choses ! des millions et des millions de choses ! je sais des choses par millions ! je sais des foultitudes ! en moi la bete qsait xdes foultitudes, voilà la vérité ! la vérité vraie de céans, la belle et la bete en moi pour une sorte de savoir fou, je trace bete sur paroi de roche, je suis homme des cavernes au savoir animaliezr, je trace grave bete de roche, je suis animal moi même, je serais moi même un animal, je serazis un animal moi meme , je swezrais moi -même un animal, je wsezrais moi-même un animal ou je serais moi -même une sorte d’animal des prész, je sezraisc moi-même une sorte xd’animal des prés et je hjouirai de courir ezn v eucx tu en voilà sur lkes herbes hautes et sur les galets de bord de riusseau, ou bie,n sur les grèves, je serais la bete des prés, je serais cette bete des prés de la roche des temps et j’irai à jouir du présent comme pareillement xde la vie passée, je suis bete de rage forte, je vais et je viens en colère, mon nom est nom d’emprunt, je sa is cette chopse, je veux tracer = filer = foncer = aller vite vers la vérité énoncvée, je veux tracer chemin de destinée sur la lande aux betes de poids, je suis l’animal dela lande , MON NOM est gravé au fronton de la roche dure, je suis un animal, je suis bete-mot tracé sur roche, je suis l’homme cde la rocxhe dure aux betes treacées, je suis homme des temps vifs, homme de la préhistoire à histoire, homme vif des temps passés agglutinés formant cohorte d’animaux blessés, etc, les betes sont des mots de rochge , mots qui disent pour le coup kle vrai de cette rocghe des temps morts, nous voulons graver la roche dure, et nous nous appretons (dès lors) à faire la chose = cette chose d’un tracé de vie passé,= cohorte = aboutissements = mains de rage ! nous voulons passer ezn elle (roche) par lma tete, la tête en premier puis le reste, nous sommes amis de roche ou de la roche des temps fournisz, nous voulons passer et comprendxre (del’auytre côté) cxe que c’est que c ette chose déposée sur roche, nous aimons la pierre, nous voulons creuser profond, nous voulons creuser loin et profond, nbous voulons loin crezuser profond, nous voulons loin creuser lka chose de la roche dure et du coup savoir ... quoi ? ce que c’est que cette chose dite Chose, qui est elle ? où va t ellme sans lumière ? qaue veut elle ou cherche t elle à en vrai nous avouer ? que pouvons nous attezndre d’elle ? que nous dit elle avec ses mains, etc ? nous voulons savcoir, nous voulons savoir, nous voulons savoir des choses sur la chose, nous avons pour ambitiuon de pour le coup toujours vouloir savoir des choses sur la Chose du tempsa lloué, et c’est cela que nous disons sur roche, que même nous traçons comme sur une stèle, nous avons (de fait) pour ambition, de tracer des noms (sur roche) qui (noms) seraient les nôtres peut -etre pas mais du moins kles noms de celles qui pour nous nous importent, à savoir les betes, c’est à dire que nous dessinons, pour ainsi dire, « le nom des betrz, chaque représentation, chacune est le nom d’une bete précise = l’antilope par exemple, nous voulons comprendre dans la profondeur ce qui, ici, setrame en surface : effigies de roche pour une figure qui, enracinée, serait celle d’un semblant de dieu de reoche pariétale ou de sinon qui d’autre ? l’animalk lui même ? nous voulons nous approcher de cette ezxcavation-cavité meuble, où est ezllze ? eh bien ... à nos côtés, à nos côtés ... il y a cezt espace de vie brève, ce sas, on peut y aller, filer doux pour comprendre ce qui est, quoi est, nouys voulons comprendre ensemvble les données , nous voulons comprendre ensembvle les données de roche, les données brutes, les lire de près et ensuite nous consulter pour comprendre en vrai c e qui seterame au sein xde la roche des temp)s effacés, etc, ou des temps mêlées, nbous nbous infiltrons nonchalamment et tentons , tout aussi nonchalants, une approche des données de roche = des cxhevrzeuils, cdes beztes à ramure, à cornes, etc, crinière ma crinière, cette chose d’une bete à attributs frontaux, nous cherchonsq à nous approcher de la bete, nous cherchons incidemment à nous approcher d’elle et pour cela nous nous donnhons la mai, n, nous voulons allezr loin, creuser dans la durée, nous projeter loin au devant, etc, car nous sommes des chercheurs / chercheuses invétéreés, qui tentons la chose de front, cette chose d’une traversée des a ppa rences frontales pariétales : roche dure de greotte cachée, etc, nbousvoulons trouver la faille (fissure) en cette roche dure et, en c ette faille, ou par elle, nous lover en elle, nouys voulons comprendre les rzaisons et autres mùotifs qui présideraient les choses du monde, les pourquoi des comments le monde (etc) et pour ce faire nous filons à toute blinde vers les fonds de roche (bleuté et n&acré), nous ne restons plus en place, nous nous infiltrons tantôt,
nous filons dru ou commùe,nt ? allons par les prés
vers la v éerité des roches des temps, nous nous infiltrons concomittament , c’est-à-dire la main dans la :main, nous allons au plus lointain de la roche des temps, nous nous projetons direct vers les lointains, que donc la roche nous apprendra-t-elle sur nous, notre vie , nbotre sorte de destinée, nos lendezmains,, etc ? que pourra-t-eelle nous dsonner en vérité comme infdormations fiables ? la roche connait elle les choses de la vérité ? que sait la roche ? que sait elle que nous ignorons ? sa ura-t-on un hjour le pourquoi des choses, et si oui commeznt ? à l’aide du lmangage articulé ? grammaticvalement ? la vérité comme ça (dès lors) wserait gra mmaticale ? oups ! rire sous cape ! je m’ébroue, j’ai froid ctout d’un coup ! la vérité serzait grammaticale ? quoi ? je ne peux y penser ! je n’arrive pas à kle croire ! je n’arrive pas à me faire à l’idéee que cla vérité vraie (et sur quoi que ce soit) soit ou serait grammaticalze ! ça parait absurde, bete commpe chou!, bete-chou (de première !) et dingue ! ça pzarait idiot , et cepen,dantv, nous y croyons dur, car nous sommes les otages de la vérité» dite «lan,gagière» , vérité que pour le coup nous nous voyons comme contreaints d’avaliser, à laquelle nou!s devons incidemment nous conformer , etc, nous sommes en vrai des etresv d'une foi de type «grammaticale» et à ce titre nous croyons, nbous sommes reliogieux, nous sommùes des etres religieux comme par défaut, ou comme par la bande, du fait que bnous disons des choses qui imposent (toutes) leur pouvoir d’incantation rupestre, bnous savons ces choses en nous et les prononb çons comme à la ca ntona de ... pour qui veut,; ! nbous voulons comprendre des données de roche, nous voulons comp^rendre dur, les donnéews de cette sorte de paroi ornemùentée de betrs-mots qui caracolent et selmblent plus vrai que nature à lalumière des torches vives, nbous voulons aller au plus loin possible en roche et toucher ... la porte ? ... la timbale certainement, mais la porte ? nous voulons toucher kla paroi du temps et com^prendre ici, ce passé de soi déposéé, prése,nt en offrande , est-il ... le divin ? comme si, le présent déposév (ou l’offran,de) , était la Chose du devant ! commpe si, le présent ou donc l’offrande faite à dieu, était ... dieiu ! oula ! furie ! folie ! furia ! nouba ! calavalcade fleurie ! entrainement, écarts ! prise de parole, etc, nbous voulons ensembvle nous donner le temps, le temps de la réflecxion, et poour cela ... nous donnons de nous à la roche : temps mêlés de basse vie, choses de peu mais festives, etc, , nous sommùes deux pour une envie de roche dure à traverser, nous tombons d’accord, nous avons à tr cverswezr bel et bien une roche dure, nous auronsz à traverser une roche dure, njous avons pour nous cette roche dure à devoir travzerser, nbous avons pour nous cette cghose dure à devoir traverser, nous avons cette chose pour nous (dure de chez dure) à devoir percer et cfra nchir et de là aller au plus lointain des plus lointains de pareiille zone aux embruns nacrés : pôste de choix là-bas, opoporte ? nous voulons comp^rendre : ... porte ? nous voulons savoir : ... porte ? nous voulons êtrte éclairés : ... pôrte, vraiment ? ou quoi d’autre ? nous voulons savoir ce qui est au loin qui (en vrai) nous attend : une vérité ? une déité ? une saleté ? une puanteur ? une merde ? une douceur ? une blancheur ? une noirceur ? billevesées ? sommités = «Cadors» ? nous ne savons pas , nous nous avançons sur roche et traçons de ce fait le chemin de halage vers roche du fond , nous aimons cette chose d’une roche dure (bleutée) à devoir traverser par la bande, nous sommes fins prêtyes pour ce faire, nous nous avançons incidemment, prudemment, volontairezment, gentimen,t, concomittament, ten drement, vers cette sorte de lueur du fin fond de la roche, nbous nous avançons ensemble encette sorte de paroi aux betrs dessinées pâr l’homme ou par la femme des c avernes, nous voulons toucher la chose qui est ! allons-nous comprendre ou allons-nous rester ignares, betes comme chous, des crétins de l’alpe, etc, car , nous sommes limités, il bnous sezmble, en cette vérité grammaticale ! ouh ! comment dire ?
car, que la vbérité (des choses du monde) soit grammaticale, est la supercherie numéro Un de tout du tout de tout ce que nous savons qui est ! mais comment lke dire ? le montrer ? le montrrer serait le taire ? le dire sans dire ? là sezrait la CChose, d’un dire sans dire ? nous nous avançons, nonchalamment, de la Chose du dire sans dxire, le passé est comme agglutinés (preésent : offran,de) et sembkle pouvoir (qui sait ?) en jeter un peu (aux yeux de la Choçse devant) et aindsi, nous nbous sommes mis sur un côté, et nous regardons paitre, à présent, le troupeau de bovidés, nous sommes ensemble à essayer de comprendre des choses du monde et cette chose comme quoi nous sezrions n,antis d’un pouvoir de recherche avérée, d’un pouvoir tranchant de recherche dure, etc, pouvoir de l’homme dur, qui tranche et situe, com^mente et tranche pour sa vie,n, etc, nous voulons dsavoir ce que c’est que cette chose rude des devants de roche : dureté naturelle ? maison des prés ? chzpiteau ? nom bati à la volette ? le mien ? le nom de quui ? nbous penson,s que nous avons à devoir nous montrer ainsi sur l’herbe, et trancher : qui sait et qui ne sait pas ? nous voulons comprendre ce qui est en roche qui nous tend les bras, les mains et nous invite à délicatement nous joindre à lui, ou elle, mùais qui est il, ou qui est elle ? qui szait ce que cet homme ou cette femme des cavern es était, de sqon temps : chaman ? ours polaire ? débris de quoi ? débris de la roche ? bout de quoi ? bout mou de roche dure ? ou bien : bout dur de roche molle ? nous voulons connaitre le fin mot, et nous espérons que cette chose, un jour, pour nous, sera effective, nous voulons savoir ce qui erst ici en roche, le pouvoir centreal, les données de base, quelles sqont elles ? nous avons conclu un pâcte acvec la roche : donné notrte temps, donné ce ou ces temp)sq, donnévles temps de roche percée, nous avons ensemble (main dans la main) donné cet ensembvkle de temps affiliés à une cause langagière (animalière) commune : à toi à moi de poussser les choses, les chants, les paroles, etc, npous voulons savoir ce qui est dans ce qui se trame, l’épaisseur du temps est-elle ... un,e finitude ? l’épaisseur du temps éest-elle ... une poussée dentaire ? l’épaisseur du temp^s est-elle ... une fin en soi ? l’épaisseur du temps est elle ... une déité (un dieu vif et menaçant ? )? lo’épaisseur du temps est -elle pâriétale, frontale ? l’épa iosseur du temps a-t-elle des ailes, vole-t-elle ? l’épaisseur du temps est-elle printànière , est elle hivernale ,? estivale ? est elle rude ? est-ellme du temps achezvé ? est e lle cette chose du derrière de soi ( temps passé achevé archivé ou pas loin) ? avons nous à comp^rendre dans ce sens ? devons nous nous parer d’habits de f^ête ? devons nous entrer dans la «dansze des parois» ? devons nous entrer en transe et hurller avec les betes de parois ? devons nous hurler au fond des bois ou des sous-bois, avec notre ami le chevreuil ? avec «biche ma Biche», avec qui ? peut-être le brame du cerf , pour une féerie du mmeilleur tonneau, brame que tu brameras au fin fond des bois ... «de céans», roi-reine affichée ... nous y allons : eh bien voilà ce qui de fait nous enchaine à la roche du temps, cette foi liée à un vocable passager, voix d’outre -mesure dépassant vles bornes d’une roche borgne, le temps offert par nous soigne la mort (pour ainsi dire) en l’alimentant et la comble un temps (la mort comme une faim en vérité jamais tout à fait rassasiée puisque revenant, troujours, montrer sa figure) , nouss voulons comprendre le plus et le plus loin, nous voulons le plus possible comprendre la cvie, la Chjose, la mort et tout ce qui s’ensyuit, bnous voulons comp^rendre ensemvble l e plus de la roche dure, ce plus plus de la roche dure, ce p;lus plus plus de la roche dure = cette croix, sur un chemin de bure : Christ et son chemin de croix : +,+,+,+,+,+,+,+,, etc (appléudissements !réitéreé): nous avons pour nbous une pique, nous avons pour nous cette pique acérée , prete à l’emploi, et du coup nous nous en sezrvons, parfois, perforons la roche, possédons pour nous cette sorte de «passe-muraille » acéré, nous entrons ensemble, nous entrons dans le temps, bnous nous faufilons à l’intérieur du temps, du temps et de son paysage, nous nous promeznons gentiment dans kla lande, nous nous promenons négligemment ou incidemment, gentiment et incidemment,
en cette rocxhe dure de la vie de bure
sur terre, nous faisons profil bas, nous ne voulons cezrtes pas laramener mais tout au contraire rester discret mais commùent rester discret quand de partout des yeux vous regardent et vous détaille,nt ! pas simmple ! nous tentons quelques pezrcées mais vas-y, lk’artistte, chante ! va là bas et chja,nte ! vois là bas, vois la Chose ! que dit elle ? qsue signifie telle ? que veut elle ? qu’est ce qque quoi dit elle ? nous nous ava,nçons d’un pas sûr, nous marchons fermement campé, nous tenons des pieds sur sol plan et alons ainsi à la rencontre d’une dé&ité, déité de roche : la voici !
il s’agit d’un e bete de poids ici dessinée qui s’impose à nous , «quelle belle bete « dit la mort, «quelle belle bezte depoids», dit elle, «il sembvlerait qu’elle soit vraie », dit elle, ... c’(est donc qu’elle sait ! pas folle la guêzpe ! et nous de faire profil bas, de nous prosterner, de nous agenouiller, de pleurer -implorer le pardon, nous ne pouvons pas donner decemment réellement notre vie tantôt car nous y tenons, par force (de force), et ne pouyvons a gir pour ainsi dire «illico presto », etc, en nous la vie va, lke sang file sa chgose d’allant, le sang est un vent de roche, il va se faufilan,t en nous par mille canaux qui sont des tourments, nous avons pour nous le sang qui file en nous et nous alimente, nous devons alimenter la roche nue, lui donner de quoi, la satisfaire longuement, boucher son trou de roche ou bouche ouverte (le boucher ?) et longuement la satisfaire, lmui donner de quoi (de quoi s'alimenter) et la sartisfaire, lui donner ce oui de longue date , cet accord verbal musicazl temporel, qui est cve temps mêlé passé déposé par la bande et activé en roche des ezmb runs, nous offrons ce oui de roche dure, cettte chose rude, cette chose graveluese, cette moquerie (superchieri) incommensurable : notre vie passée par la bande, le poids d’une vie temporelle, un tracé, une chose alimentaire, une denrée, des vivrres
16/6/2021
nous avons à faire cette chose : insertion-immixtion pour une introduction en droite ligne dands le fil du temps, nous nous introduisons (ensemble) dans ce fil du temps imparti, nous sommes deux à faire ainsi cette chose de vpoids , immixtion pour une introduction ensemble dans un fil de temps alloué à une vie, et voilà comment : en nous sezrrant les coudes, nos cvorps, cote à cote (cote à cote) nous allons, nous nous serrons l’un l’autre l’un tout contre l’autre et fissa entrons , et nous nous blotissons à même la roche afin de nous unir en elle,
nous traaçons à main levée les images des parois, nous abvons à dessiner des betes de pooids »qui le fassent « et voilà ce que nous faisons,
elle et moi,
ensemble,
nous,
nous deux,
nous deux ensemble,
elle avec moi,
moi + elle,
ensemble nous traçons, nous tyraçons de concert et à mzain levée des aurochs de compagnie rupestre, elle et mpoi traçons, nous = elle + moi en pareille roche du temps, elle en moi, elle et moi en roche, elle + moi qui allons en roche, immixtion-insertion, dans un temps de roche dure ensemble, nous avons ensemble à faire cette chose vite, immixtion pour une introduction conjointe, elle + moi dans une roche de paroi, nous sommes «hommes» de la préjhistoire, nous avons à graver la roche, nous gravons la roche à qyui mieux mioeux à deux, nous avons à deux (elle et moi-) à graver la roche fissa, et de fait, nous faisons cette cghose ensemble, nous gravons que je ghraverai, nous gravons que tu graveras, nous gravonsd de concert des bêtes de forte puissance, vives et racées, qui tiennent bien sur leirs qiatre pattes et nous regardent, tournées comme à l’unisson, nous épient tantôt, nous regardent d’un air de deux airs, ce sont de «belles bêtes» de paroi, elles nous épient, elles nous regardent vif, elles ne nous lachent pas du regard, elles sont toutes tourn»ées vers nous qui sommes entreés en ce domaine de la joie du monde pariétal, nous sommes entrés fissa tete première, nous avons franchi l’obstacle du passaghe rude, nous avons traversé les sen,tiersn,, nous sommes deux accolés, nous sommes accolés nous deux pour pareille aventure des prés et des champs de paroi de roche, nous avons compris cette chose d’une introductuion accolée , nous avons compris cette chose à faire , cette chose douce, à deux, cette immersion ou insertion en roche de la préhistoire, parmi les betes, les embruns, les cotés de roche rugueux, les effluves, etc, nous nous tenons par lamain, elle et moi en moi, nbous deux ensemble pour la vie, pour la vie nous deux ensembkle, elle + moi en pareille roche parmi les betes de prairie qui paissent non chalamment et nous regardent du coin de l’» oeil, nous sommes accolés collés cote à cote pour l’éternité, nous sommes deux moitiés accolées, nous sommes deux qui sqommes accolés, qui sommes collés à) deux ou comment ? nous sommes deux en nous qui nous introduisons en cette roche de paroi du monde, les betes sont là qui nouds regardent, nous sommes nous deux betes de rage, de trait, de colère et d’embarras, nous sommes en nous mêmes deux qui avançons sur ce sentier de traversée rupestre, nous avons à comprendre cette cghose d’une traversée de but en blanvc en cette roche de la préhidstoire, et ce parmi dses betes de paroi : aurochs, rennes, bisons, chevaux, etc, nous avons à comprendre cette chose d’une traversée de paroi à deux = main dans la main en soi, main et main pour soi, main droite et main gauche à soi, cette chose d’une traversée de paroi pour une introduction fissa et tête première dans le film ou dandss le fil du temps, ici même en roche dure, nous en nous etc, nous devons percer la roche du verbe que nous secrétons, nous nous devons ensemble de percer icelle roche de ce verbe en nous ‘caudal ?) que nous secrétons par devers nous (... par défaut ?) comme une glu ... de roche à percer, ou comment ? nous devons percer la roche du temps , et pour ce faire nous utilisons cette chose en nous qui a un nom, le nom de «queue de verbe», queue ou cauda, ou unre «trompe-h»éélice», ou comment ? cette chose qui de nous (depuis nous) traverse la roche, cette chose en dur de chez dur, qui va, traversant la roche du temps, la pique que tu piqueras et du coup la traverse, fissa, oup, en elle, nous, nous avons passé la chose, le sentier, cette immersion ou sorte d'immersion ou insertion ou introduction ou immixtion est entérinée, nous sommes de kl’autre côté pour cette chose à devoir faire en pareille roche : efffigies ! représentatation de betes de vie, offrandes sur la place, don de soi vivant, cette chose est à faire tantôt mais comment, quand on est né à la vie rupestre et non point mort sur roche, animal déchgu, prince défroqué ... grenade ? comment ? nous avons à chercher encore et toujours un bon (grand) nombre de choses en nous et hors de nous, nous avons mille choses à pensezr, chercher, découvrir etc, car nous sommes en quelque sorte deux en nous pour pareille cause à défendre ici illicvo presto, à la vie à la mort pour ainsi dire = instantanément ! nous avons à deux à trouver les mots qui s’imposent et en imposent ! nous devons trouver à deux (en soi) les mopts «qui le font», qui font que «nous en sommes» etc, nous avons à deux à trouver les mots «de rocghe dure» ... et de latribu , nous avons à deux à comprendre encore un bon nombre de choses rudes, liées au temps ici impaerti à une vie d’homme et de femme, d’enfant et de bete etc, nous devons, nous le devons, nous ne devons paslâcher prise, nous devons trouvern, nous devons découvrir ensembke, ctrouver la parade, trouver l’allure ou la bonne allure pour soi, le train, le bon timing, etc, nous ne sommes pas en reste de chercher ici ce bon timing-là et nous nous immisçons toujours plus avant en cette roche-zone des embruns, nous devons ensemble (à toi à moi en soi) aller à la pêche des données rupestres, nous devons «gratter» la roche et tracer des représentations animalières «qui le fassent» merveilleusement, qui fassent ainsi que le dieu vivant de la roche, bouche au lointain ou d»des lointains», comprenne ce quil doit comprendre, sache cette chose comme quoi de base nous donnons (de nous) le temps de notre vie, déroulé musical verbal d’une vie ici de roche dure, nous ooffrons sur roche (effigies animalières) cette chose dure, cet impact, cette chose d’une danse cvomme endiablée, une danse votive, une incantation gutturale de roche, ces cris de morveux, ces «cochonneries» ou sortes de «cochonneries» dites, en veux tu en voiilà, tout cet attirail de choses vives (le plus) afin de faire accroire et faire «passer», cette chose d’un don de pâssage, d’une chose découverte et déposée sur roche, etc, nous offrons le temps du fur et de la mesure, du fur et à mesure» de nos vies de roche dure, nous dépodsons (art) cette chose sur roche (où, exactement ?) et cette chose est là peut-etre pour faire croire = pour faire semblant, quil s’agit du sang quand il n’en est rien (sang bklanc de roche dure) etc,
notre but ? le voici ! la roche, le temps, l’offre et la demande, une écomonomie de la vie ! une demande forte, une reponse dure, vivat sur paroi etc ! nottre but ? ici bas : la roche gravée, effigies de belle tenue, ressemblance accrue, faisant-fonction, etc, notre but n’est pas masqué, il s’agit encore et toujours d’un dire puissant de roche des temps, nous disons la bonne avbenture du temps déployé au pied de la roche du tempsq, nous disons la bonne aventure d’un te’mps déployé, aupres
de ... et là : mystère ! car qyui de quoi existe ici ? qui est là ? qui va là ? qui nous épie de son oeil louche ou pas louche mais qui ? qui nous voit ? qui voit ? est on vu ? est on vu ici ? est on vu réellement ? qui nous voit ? qui pour nous voir ? qui va là et nous regarde ou nous regarderait agir ? qui veut ou voudrait de nous pour la vie ? qui veut attenter à notre vie ? qui veut «de la vie» ? la mort ? qui est elle ? qui donc est la mort ? qui est la mort la bien nommée : celle qui mord , qui ? qui donc est monsieur ou madame «de la mort en branche « , qui ? nous ne savons pas ! nous subodorons ! nouis ne savons pas qui elle est, qui est là ou qui va là devant soi , et nous de donner nottre temps, temps de vie déroulé, déployé, mis ainsi sur la place couché ou commùent ? car nous devobns ALIMENTER pour ainsi dire la bouche à foison ! nous le devons, nous nous devons d’ALIMENTER pareille bouche du levant, bouche ouverte de la mort en grand, cette ouverture de oparoi rugueuse, cette bouche grande ouverte, cette «belle béance» de roche, ouverture en V de la roche des roches,
nous pensons ainsi, que nous devons alimenter, que nous avons à faire cette chose, cette chose d’alimùenter, nous pensons qyue nous avons à faire cette cghose ensembvle, en soi, ou sinon commebnt ? en soi main dans la main ? ou sinon comment ? nous pensons que nous avbons ensemble à faire cette chose ou sinon comment ? nous pensons qu’ensemble nous avons ici à faire cette chose , d’une sorte de don partiel piuusqyu’il s’agit non point de notre vie (l»’entière) mais du temps de vie passé, ce temps pour ainsi dire déployé sur roche (incantation votive , pientures de betes)) etc, notre but ? ici ? cette chose pour le coup d’un dépl;oiement de soi (en quelque sorte) dans le temps coupable, coupable le déploiement, déploiuement coupable de ne pas offrir davantage etc, nous le savons ! oh, la culpabilité ! cette culpabbilité des apprêts, des cris morveux, des incantations magiques, des lévitations à même la roche (frôlezments) etc, nous sommes (ou nous nous sentons) coupables de cette chose, de ne pas de fait rendre à césar ce qui appartient à cesar ou quelque chose d’approchant, car, nous ne rendons pas de sitot (= illico prewsto) ce que donc avons reçu à la naissance (conception) car nous sommes en vie, nous sommes en vie et avobns en vie ici de cette chose, cette chose d’une vie de déploiement (de la copnception à la mort entière) : nous pensons que nous avons à faire ainsi que nous nous maintenons bien accrochés, nous nousq accrochons à la roche du temps et ... offrons quoi ? le passé meurtri, cette meurtrissure de passé de vie, cette chose affolée, cet embrouillamini de choses «quyi pourraioent le faire et du coup passezr pour» , eh ... oui ! d’où notre (grande, majeure) culpabilité de façade ! car nous sommes nus, nous nous promenons sur la lande nus, nous sommes offerts et offerte nues au regard divin de la bouche de roche, ou de cette chose, cette chose ici d’un tracé ... de roche lointazine: bouche ? échancrure ? tailke ? fissure ? coquyilkllage ? quoi ? nous voulons savoir ce que c’est ! nous voulons savoir ce qui nous attend ! nous voulons savoir ce que c’est que cette chose ! nous voulons savoir ce que c’est que cette sorte d'ouVerture en grand d'une roche dure des temps alloués, que pareille fissure en ce tempsq de roche ...
où ? où est la fissure ? le langage ? ah le langage ? ah bon, le langage ? ou sinon quoi ? où ? qui ? quand ? et pourqyuoi ? avec qui aller ensemble ? nous solmmes deux : je + je sommes deux comme ici de bien entendu, je /+ je sommes deux, comlmùe de bien entendu et nous allons ensemble à la recherche d’une vérité dite «de bonaloi» , nous voulopns savoir cette chose pour nous d’une chose, rude, au-devant, chose d’une présence (au devant) d’ouverture ou bien passage étroit à travers (ici) la roche percée, nous devons ensembvle comprendre ce qui est, et pour cela (ensemble = le langage, ce langage du commun des hommes et femmes) ,
ensembkle aller, chercher ensemble, ensemble nous introduire en cette roche ornée ornée par des hommes et (ou) femmes de la préhistoire, creuser, dessiner des betes, creuser = graver, graver des betes, faire semblant, offrir du «semblant de sainteté», etc, nous voulons ou voudrions ici nous approcher, par le verbe (?), d’une vérité massive , mais laquelle ? celle -là qui concerne la mort qui (pour le coup) nous pend au nez ! nous voulons savoir cette chose, ce qu’elle est au juste, nous voulons savoir ce que cette chose de la mort (= bouche) nous dit, etc, nous voulons savoir ce que la mprt, la bouche, dit, nous voulons savoir ce que morty de bouche dit, dit pour nous, nous vopulons savoir ce que bouche de la mort nous dit à nous qui somlmes entrés en cette roche de la préhistoire soit des temps anciens, des temps piég&éés, nous voulons comprendre beaucoup, aller loin xdans les connaissances, creuser betes de roche ressemblantes et tenir ainsdi à distance la bouche vorace, cette bouche de la mort glloutonne, jamais rassasiée, toujours «hurlante», hurlant à la faim ! nouds voulons comprendre ... cette faim de loup fiinale ! cette faim-fin, cette chose rude et dure de la mort en bouche ou comment ? nous avons à comprendre à deux (qui sommes-nousq ? ) cette chose d’une bouche ouverte terminale, cet ultime, etc, qui «nous tend les bras» et nbous interpelle = nous hurle dessus ! oui monsiuer / madfame ! gueule fort ! geuele putois ! une saleté que la mort ! on l’écrabouillerait bien si l’on pouvait ‘- cette saleté xde larocghe ! cette saleyyté de la mort à l’oeuvre ! cette sorte de cochonnerie à comme vouer aux gémonies ? «p ute-borgne de première» ! nous la détestons ! nouys ne voulons pas de son allant de vie ! nouys ne voulons pas de sa présence en cette roche ! elle pue ! elle sent la charogne ! elle est saleté de fin de vie ... affamée ! oh garce ! oh alors ! saleté des saletés ! nous voulons essayer de comprendre cette chose ici de la mport à l’oeuvre en tant que ... «salope» : mais que donc signifgie ce mot de ... «salope» dans notre bouche ? eh bien ce mot signifie que ... nous la traitons, nous voulons l’atteindre et en même temps la tenir à distavnce, la distance ici est capitale, le gros mot (l’insulte ignominieuse en vérité) a pour vocation de tenir x ou y à disteance, en le rabrouant, en kl’intimidant etc, nouys essayons, de cette façon, de tenir la mort à bonne diçstance , et en même temps, nous offrons ce «trop plein » de vie ou de vitalité qyui, de fait, est ici le trop plein contenu dans cet effet de langue ou sorte d'effet de langue, dans pareille extrémités de langage dru, etc, nous offrons ce «pl;us» qyi pour nous est le plus que nous pouvons offrir en termes de «vitalité majeure», il s’agit de ça, nous voulons oofrir le plus en termes de vitalité, et ça passe (du coup) par l’usage des extrémes ou des extrémités langagières : insultes vives brûlantes, ignominies proférées, incantation,s débiles ou débilitées, etc, et par les effigies animalières fortes et (aussi) de forte ressembklance = comme vraie = les plus grosses betesq ( ce plus) etc, nous chercjhons dès lors à offrir le plus (ce plus) que nous pouvons = plus ! (plus) ! ... pour notre gouverne, ou disons : à nos yeux ! ce qui pour nbous semble être le plus dont nous soyons capable : nos déchets vifs, nos élongements de vie deployée , etc : temps passé ! temps passé avec présent inclusz ! = présent = présents = dons = donation ! njous sommes, en nous deux, qui donnons «nos choses» des temps déployész, déroulé d’inteillgence pezrdue, cette chosqeraisonnée de bout en bvout (bloquée) pour une sorte de tenue des choses dans ce temps de roche dure, nous offrons sur un plateau, en,n rocxhe, ou sur table d’oofran,de en pierre, ou par terre sur tapis, des choses rudes, exctrèmes, rugueesesq, etc, squi aient de la voix pour ainsi dire : cri (christ) en veux tu en voilà ! cette chose sur paroi clouée ! cette chose, montée sur roche (lévitation) et creusée gravée ! etc,
car nous sommes deeux ! nous sommes deux ! nous sommes deux !
car nous sommes deux ! nous sommes cdeux ! nous sommes deux pour la bonne cause (une causerie ?) ! nous sommes cdeux en nous pour faire (initier) cette cghose : langage en commun, fruits de collectivité, langage muri dans les sezrres ... cd’une ba,nde de gens accolés ? nous voulons comprendre ce qui est, cette chose ici d’un cri guttural sd’homme-bete allongée sur roche ? nous voulons, nous sommes deux qui voulons , nous sommes deux, nous sommes deux qui cgherchons à comprendre e qui donc se pâsse en, cette roche des temps offertds, nous sommes deux à chercher à comp^rendre, ce qui donc se passe en cette roche des temps alloués ... par la bande raide et traçante : quoi ? qui ? qua nd ? queue ? nous disons que nous voulons szavoir et ce savoir est icvi déployé sur roche : à toucher ! nous voulons comprendre les enjeux, les ressorts, les arcanes, les traverts, les incidents de paroi, les reliefs, les excavations, les fissures, les plis, les embruns, les logiques de roche, ce V de roche du monde, etc, nous ne sommes pas en reste de chercher que tu chercheras ! nous voulons comprendre le pklus et donner le plus, nous offrons ce plus sur roche en termes de déploiuement paréital temporel, nous ne nous cachons plus : nous donnons ! nous offrons ! nous découvrons ! nous déposons au pied ! nous dféroulons ce tapis de bure, ce chandail mal fichu, cette somme, ce tissu d’insanités, ces journées de roche dure et autres saletés (ces meu, etc) à qui veut ou voudra les cerner, ou sinon cerner saisir, ou sinon saisir toucher, ou sinon toucher sentir, ou sinon sentir voir, ou sinon voir avaler
cfomme le ferait peut-etre telle bouche c'est-à-dire la sus nommée, celle-là même «qui nous tend les bras» et «nous regaede « de son oeil de bouche divin, ... et comment ? eh bien ... «en ouvrant sa grande gueuyle» si l’en est ! car la mort est une grande gueule, une gueule de fol, grande gueule s’il en est, et face aux grandes gueules une seule solution : mimétisme, réponse comme à l’identique : gueule que tu gueuleras ! rien d’autre ! nous devons essayer de gueuler (si possible) plus fort qu’elle, et (du coup) offrir : nos insanités naturelles , nos mùerdesen bvranche, nos putasseries votives, nos incantations lascives, nos chieries ou nos chiéries de buve, etc, nous devons, pour ainsi dire, dire = donner, les mots gros de ces temps perdus (trépâssés) : nous devons pour ainsi dire déposer sur roche (où exacytement ?) les mots grossiers qui pour le coup nous constituent, du fait que nous sommes envahis par (en nous) la bete de trait, cette rinbambelle plutôt, de betes de trait et de charge, et du coup de nous sortyent à l’envi des betes immondes, cavalières, puissantes, vivantes ou tout comme , qui sont betes du pplus , bete-plus de roche dure,
nbous devons agir ainsi, nous devons renvoyer la pareille, gueuler de tout notre saoul vitazl, pisser à la ré de la mort de bouche, pisser au cul d’icelle soit la rembarrer de la sorte, avec les mots gras qui, de nous, sortent via pareille trouée de joue nôttre, ni plus ni moins : ce plus, ce plus plus, ce plus plus plus (ce + , ce ++, ce +++) etc, nous le devons, nous le devons car nous tenons (++) à la vie, art ! art de la roche dure des temps déployés ! art du dire de bure ici découvert ! artdes choses rudes, poussées en leur extrémités ! art d’un xéploiuement rugueux ! aert d’une dépose, sur roche (paroi) , d’une sorte de grand +, pour ainsi dire «de céans», ce plus de la roche, ce +, ce ++, ce grand + de la roche « des temps passés», de ces temps passés p^réhistoriques , bnous poussons lzes «choses de la vie» dans ou à incandescence, dsans l’incandes cence ou toute leur incandesvence, ou à incancadescence etc, car brûlante-vive, cvette chose ! nous poussons vital ! nous avons compris ensemble cette chose comme quoi nous avons ici à pousser cette sorte de «vitalité de roche» sur roche, ou commeznt ? où est «le lieu» ? nous essayons ensemble (nous tous et toutes ?) de comp^renndre ce qui est ici en cette chose d’une sorte de
«grand déploiement vital de roche»,
bnous essayons de «piger» ensembkle et cerner-saisir = toucher ... la roche dxu temps, et nous donner ainsi comme «par la bande», nous essayonsc ainsi ensemble de comprendre ce qyiu est pour nous qui sommes pour le coup des betes -hommes rabroués par (il semblerait) des voixc de bouche terminales , nous voulons essayer de répondre, de toucher du doigt et de répondre, de répondsre et de toucher du doigt, nous voulonsrépondre et toucher du doigt, nous voulons cette chose faire, ici, faire ainsi quev , ... la mort « pute» recul^at, ! il s’(agit pour nous (dans notre esprit) d’une incantation (sorte d'incantation) votive, nous disons «pute» et ce faisant, nous pensons pouvoir, de la sorte, tenir à distyance la mort , et du coup : nous y allons ! car, rien n’est assez vif pour elle sinon la vie, alors comment faire ? nous gueuylons comme des putois, nous touchons le fond, nous nous prosternons, nous pissons-chions, nous hurlons à la mort, nous pleurons toutes les larmes de notre corps, nous donnons le plus de nous (qui sort de nous ) que nous pouvons, car la chose à piger est là précisément, nous devons (ou nous nous devons de) donner, à «Mort la Grande Bouche que VOilà» ... quoi ? tout cela que nous pouvons donner de nous sans devoir mourir, et donc la liste la voici : en premiier, notre temps de vie passdé = notre passé, passé-présent puisque le présent est du temps appelé à, illico, s’ajouter au tas des choses pour le coup passées temporelles,
donc :
1, le temps (le nôtrte),
deux : tou ce qui sort xde nous, larmes, déchets divers, cris, regards appuyés, art, etc, les insuyltes , les insanités (accolées à une langue parlée), etc, nous voulons ofrrir le sang, le sa ng blanc, etc,n, nous diso,ns qyue nous voulons donner levplus de nous que nous pouvons, donner tout de nous ... sauf la vie vive = le tic tac du coeur enfoui, etc,
nous disons que nous donnons tout ce qui pour nous relève des possibkles,
et les larmes, et le sang (un peu), et le dsperme, et les cris, et le cri, et les poils, et la peau qui pèle, et la meu et le pipi, et la sueur, et les jérémiades, et les chants hurlés, et la saleté corporelle, et l’eau de n otre corps, la sueur, les cris de la bete en ous, le pipi de l’homme et de la femme, les onguents (et autres apprêts) de recouvrement macéré, les objets passés pâr nous et ayant «pris» un peu de nous, nos paroles proférées, nos paroles chantées- hurlées, nos paro:les d’incantation, nos cris de douleur, ces cris de la douleur, ce quelque chose ici de la douleur «intrinsèque» que nous tentons ou tenteriiions ou tenterons ou avons tenté d’exprimer-expurger, le pus, les relents, le vomi, la meu (on l'a dit), la peau qui mue, les poils de la bete, la fourrure, la toison, les ailes, les oeufs, les enfants, les bébés sur roche, etc, nous voulons de nous donner à la mort ce que nous pouvons si possible le plus qui provienne de nous, nous donnons nos cris appuyés, nos litanies, nos marchandages, nos mensonges, nbotre vulgarrité, tout de nous, notre imlmaturité, nos chandails, bnous voulons en vrai donner à la moprt ce qui sort de nous ou est passé par nous, et l’ensemble = ... art , ni plus ni moins, ce pklusq ! nous voulons donner ce plus (des choses de nous) comme trop^plein qui est ou serait cette chose (en nous) qui est ou serait vitale , car : qui ne pleure pas meurt ! ou plutot : qui ne chie pas meurt ! qui ne pisse pas, qui ne sue pas, qui ne parle pas ! qui ne parle pas meurt ! qsui ne pense pas ! qui ne brûle pas meurt ! qui ne brûle pas ses calories ! qu’est ce qu’une calorie ? nous voulons tenir en vie, nous voulons tenir en vie ... ou plutot lka bete, en nous, tient à la vie ou même EST la vie en nous , ou comment ? nouysv pensons, que la bete en nous (aurochs) est cette vie en bnous, cette vie à offrir ici au dieiu de la mort = bouche du levant, or la betye en nous est contenuez, tenue, comme close sur elle même, en partie ... ou ... autrement ? nous chercxghonsz à comp^rendre pour nous, ce qui est ici qui setrame en nous, nous cherchons pour nous à comprendre en n ous ce qyi ici serait à setramer par devers nou!s ou à rebours de nous (rebrousse-pooil ?) : nous voulons comprendre (nous deux) ce qyui est, ce qui se trame, ce qui existe,, ce qui se joue sous nos yeux en termes de relachemeznt, de mise à distance, de creusement, d’écart, de distance acquise, de renoncement, de mise à bonne distance etc, par en nbous un petit quelmque chose tenu à l’écart de Bouche de la Mort un temps= ce renoncement à mourir de suite , ou comment ? car nous ne voulons pas mourir de suite ! nous voulons tenir ! notrte but (affiché sur affichette) est de touyjours tenir le plus possible (longtemps possible) et ne pas somn$mbrer fissa, tenir à la vie ... de bete en nous, mots-betezs de roche, mots de roche betes, betise de la roche dure,, ensanglantement, turpitudes, tours de fou de roche, ... loopings !
notre but = cette chose , cette belle chose de paroi, ces betes de roche, ces chevaux qui foncent, ces bisons racés, ces belles beautés d’an tilopes rêches, ces bouc et ces bouquetins, ces becs, ces dires de bure, ces insanités, ces dires de peu, ces ratés, ces incorrections, ces malenten dus, etcx,
notre but ! il s’agit pour nous de déployer fissa des choses ici comme à la queue leu leu, choses des temps comme à la queue leu leu
sur roche, nous avons à faire cette cghose , d’une sorte (il semblerait) de déploiement rural (mural ?) , frugal (?) , pariétal, d’une sorte de parole («folle» ?) pleine d’ezlle, rude et dure ou comment ? ici même, lieu d’aisance, etc, il s’agit cde cela ! nous voulons comprendre cette chose ici pour nous, qui est cette chose comme quoi le Lieu final, trezmblant, salutiare, vital, et salvateur, est pour nous (homme-bete) ce lieu (ici) tantot décrit, soit celui-ci :
de la vie qui (mordicus) se maintient contre veznts et marées,
de la vie maintenue contre venbts et marées : white cube, encore une fois ? ou bien : lieu d’aisance, toujours là ?) ? car, nous devons comprezndre cette chose d’une sorte ici de «lieu d’aisance» où pouvoir déployer nos dires brutaux, notre temps d’offrande, ce temps «musical» des embruns de roche : aurochs puissance x (mille ?) etc, nous voulons déployer sur roche (lieu d’aisance) les chevaux de la cavalcade ! nous voulons en fin déployer sur roche ces chevaux vifsq , furieux (furia) de la cavalcade pariétale, et ceci ad vitam aeternam car nous sommes ainsi qui tenons mordicus à la vie de roche, nous y tenons tres fort et voulons mordicus perdurer ainsi, main dansla main, tete première, vivant sous les vivatsq des bnetes de parois en nbous, transe , transe, transe, transe, transe, transe, transe, transe, transe, treanse, ttra bnse, transe, transe, transe, treanse, treanse, transe, teranse, trea,nse, treanse, trean,se, treanse, teranse, transre, treanse pour la vie entière, ad vitam aeternam si possible (prions) et ainsi faisant (transe) nous gravons, nous dessinons, nous gravons les betes de laroche dure, ces oursq des cavernes, ces sangliers et autres betes des bois, nous ne sommes pas chiches de toujours graver nos choses de rage, nous sommes prêts, nous nous tenons prêtes, nous nous tenons le plus p^rêts possibles pour pouvoir graver et dessiner à main levée ces betes de la préhistoire, car nous sommes des aurignaciens / aurignaciennes en ous de la première heure, nous sommes des aurignaciens / aurignaciennes ou magdaléniens / magdaléniennes en ous , qui disons-hurlons sur roche nos méfaits, nos choses laides, nos beautés laides, notre plus de vie déployée comme à l’envi, nos déchets de roche dure, nos sentiments, etc, nous pleurons d'émotions
: rougeur, chaleur, tuméfaction , douleur : les signes (au nombre de 4) cardi,naux de toute inflamma tion ! eh bien, nous voilà ! nous sommes parés ) nous brûlons par les deux bouts ! nous sommes en feu ! nous brûlons vif ! nous brûlons du feu de laroche dure, nou!s brûlons de ce feu contenue en elle, paroi de feu de rage, nous brûlons ! nous avons à comprendre cette chose, pour nous, xd’une sorte de ... feu de rage ardu, ou comment ? le feu est en nous, qui nous gouverne, l’animzal de feu, ce voyou, cette chose en nous qui est tintammarree, qui est furie, nous la voulons pouvoir déployer ensemble sur roche du temps (déploiement ou déroulé) afin de la montrer,(présenter) à qui de droit : prséenter ou présentifier, etc, car, ce don de soi, ce feu de soi larvé ou comment, a droit de cité et est salvateur si tant est, nous l’espérons (ou «du moins» nous l’espérons) ! nous voulons ! nous sommes à vouloir ! nous vcoulons cette chose, faire ici sur roche, qui consisqte à déployer (de nbous = depuis nous) des choses du coeur = sentiments(douleur) etc, sur roche du temps (= déroulé moteur) , qui puissenrt (ces choses) nous donner du mou, du mou dans la marche c’est à dire du possiblezment vivable, ou du qui nbous tienne à la bonne distan,ce de la chute finale, soit : de cette bouche des embruns,, de pareille bouche grande ouverte (grande gueule) de la moprt à l’ oeuvre, alors donc (en réponse de nous) une vie à l’oeuvre ? cette xchjose ? nous pênsons que nbous devons poursuivre sur notre lancée et ne pas céder (jamais) aux injonctions mortifères (néfastes ô combien) de la mort à l’oeuvre ...
cette sa leté !
nous la détestons, nous devons nous prosterner et la chéerir mais nous la détestons, nous devons en vrai lui montrer de l’intéret, et comme un amour fou ou sorte d'amour fou, mais nousq kla détestons, nous n’en voulons pas car, quoi, de nous , ou bien en nous, et si en nous qui ? qui en nouys renackle, trépigne, bat de l’aile ou non : repousse les assauts, etc , qui sinon quoi ? la bete ou les betes, de concezrt, ces betes de voix, ces betes betes, ces lbetes-mots de rage, cette immense colère votive ancrée en nous mêmes, cette joie votive immense ancrée, cet ancrage votif immen,se déployé, puisqaue nous sommes dans le temps charmant, nous devons tenir encore et toujours et donc ne pas céder aux diverse injhonctions sortie de Bouche de la Moprt à l’Oeuvre cette pourriture, cette saleté, cette ignominie, cette méchanceté, cette turpitude incarnée ou comment ? la mort est dans le trou, dans ... le trou des cabinets ? la mort est au trou ,, au trou de laroche ? bnous voulons comprendre, nous nous échinons à vou;loir comprendre, n ous ne sommpes pas en manque ou en reste de vouloir comprendre, nous cherchons des vérités de rocxhe , qui puissent
tenir bon, demeurer, se tenir debout etc,;
mais il n’est pasd simple de trouver de pareilles choses en, celieu de perdition (?), ou ... oui ? fastoche ? nous parlons : nos mots sont des mopts-betes de paroi (bouqyuetins, aurochs, chevaux), ils cvaraacvolent sur elle, ils sont de bien belles betes xde roche , qui vont et viennent incidemment et à qui mieux mieux à même le relief de roche, nouys dessinons, nos mains se posent sur la roche, ce sont des mains du plus (+) sus-cité, nous posons des mains à plat sur la paroi, nous posons à plat nos mains multipliées, nous les déposo,ns comme du courrier, nous dépopsons nos mains à plat ou au plat ou sur le plat de la roche froide, nous sommes nombreux, nous déployons le temps dans ces incarnations (entrefilets) etc : main, main, main , méain, main, main, main , main , etc, à foison, jusqau’à satiété, nous disons nos méfaits de roche (interjections) et nous donnons de nous ... un peu, de quoio satisfaire un temps o minime nous le xavons ! nous donnons de nbous par devers nous, nous donnons bien malgré nous, nous courons apres les betes de la vie en ous, nous courons après nous memes, nos vies de rage déposées sont vie par défaut (= des défauts) copmme si besoin, ou comment ? nos vies déposées sont des bouts de nou!s déposés, pouvant faire accrooire si tant est, pouvant donner le change si tant est, etc, rien de moins sûr, et puis .. sur la longueur oublie ! la mort re»viendra à la charge ou revient toujours (= un continu) à la charge ! la mort jamais ne lache le morceau ! la mort jamais ne lache lma grappe ! la mort o grand jamùais ne lache la grappe ! la mort jamais o gra nd ne lache le mortceau ! nous sopmmes fichus , nous sommes foutus, nous sommes pris au piège de la mort à l’oeuvtre (petits pas), nous ne nous en tirerons pas de sitott, nbous avons à accepter le couperet final, ceztte chute vive, ce point de chute, etc, nouds devons poursuyivre vaillamment ensemble l’ensemble de nos recherches, nous ne devons pas faiblir mais creuser plus avant encore, les diverses investigations jusqu’alors menéeqs en ce lieu d’aisance p âriétal (ou «petit coin») carr tellle est notrte destinée ou tel notre chemin, telle notre voie, qui est (so nt) d’aller ainsi à la recherche d’une vérité toute de circonstance, ou d’une vérité au con tenu votif ou bien comment ? toute vérité est-elle bonne à dire, ou non ? toute la vérité, rien que la vérité ? ou comment ? turpitudes ? obscénités ? etc, nous y allons,
bnous devo,ns allezr en roche fissa / fissa a ller en roche nous devons !
nous devons pleurer toutes les la rmes de notre corps / tuoute lesq larmes de notre corps nous devons pleurer !
bnous devons jouir de la vie de roche / de la vie de roche jouir nbous devo,ns !
nous devons graver des betes de poids / des betes de poids bnous devons graver !
nousq devons dessiner des tribus de betes / des tribus de betes dessiner devons,
etc, soit pendulaire, etc, et c’sest ainsi que nous pouvons nbous approcher , à petits pas (pendulaires) de lma Vérité «de laroche du temps», ou de «Vérité de la roche du temps», vérité des roches dures, des parois préhist(oriques, lieu x’a isance, bnous swavons que nous devons nous approcher loe plus possible de la bete (de la roche) dessinée et la toucher et acqUéurir d’ezlle des pouvoirs sezcrets, nous peznsons qUe nous devons ainsi acquérir ici des pouvoirs secrets, des pouvoirs à déployer, etc, nous ne voulons pas mourir, nous ne voulons pas mourir, nous ne voulons pas mourir, nous ne voulons pas mourir, nbous ne vopulons pas mourir, nous ne voulons pas mourir de sitôt, nous de sitot ne voulons pas mourir, nous ne voulons mourir de sitot pas ! nous de szitot mourir ne voulons pas ! nous pas vouloir mourir de sitoyt ! nous pas vouloir de sitot mourir! de sitot nous pas vouloir mourir ! ainsi de syuite ! notree butt est a ffiché (affichette) : DE SITOT NOUS MOURIR PAS VOULOIR ! aindsi fait ou ainsqi dit : nous avons à nous positionner dans le courant des choses qui passent et nousq lke faisons ; nous de mourir pas vouloir trop tot, ou de sitot, mèfle ! nous tombons dans le panneau des dires de bure, nous le savons, nbousq sommes au jus, nbous sommes les captifs d’une langue commune, une langue de p... comme il se dit parfois ici ou là, cxar les mots ont leur incandescence sous roche (oui !) et dès lors cette incandecsence estr une chose capitale, centrale, le foyer, mais oublie que d’aucuns s’en targuent ou oui, peut-être, quelques isolés, etc, nousv avons à comprendre ce qui est, de ce foyer (central) du langa ge, eh bien c’erst facile : des g rossièretés, ni plu ni moins , des insanités, des mots gros ou gra s, des choses à ne pas prononcer sous peine de se voir puni s par le maitre ou par lamaitressee d’école, ce genre de choses, nous pren,sons que nous devons encore et toujours chercher à comp^rtendre, les choses du mo,nde, à l’aune delarturpitude native, fraichement éclose, comme sortie de l’oeuf, etc, les lmots du chapeau sont bien beaux, mais les mots natifs (cursifs) sont plus beaux encore, insa nités ! mots de l’énezrgie vcentrale, litanies de mots gras qui tachent, etc, cursi ves, coursives (?) ou quoi ? nous y allons ! le chemin est long, qsui nous voit ramer comme pas possible pour aller plus loin vers la vérité, des jhoies brutes, des données de roche solides, du genre «vérité ma vérité», ou quelque chose de cet ordre-là des choses, nous pensons que nous avons à encore, et toujours plus, nous positionner, en grotte (nous sommes homme et femme des cavernes) afin de toucher ici la timbale du temp)s,, heureuse présence ! notre but est là affiché sur affichette comme il se doit et tient en quelqques mots : nous avons pour ambitiuon de toucher la timbale du temps, ni plus ni moins, notre but est celui-là, il n’est pas si compliqé me sembvle-t-il à bçien comprendre, il est tout con : toucher latimbale, toucher la paroi ornée, toucher la bete votive, toucher la chaleur de bure, toucher de la voix et du sang perlé, toucher la crinière, les muscles, le museau ou le bec, touchezr l’animal de soi, le voir dépoitrenaillé pour soi sur roche du temps, voir la bete et mourir, aller de l’avant loin... loin de la roche du ressentimeznt, aller en roche de l’avant vers un moins de tourment, aller en roche ci-devant vers une joie de tous les instants : courir ! mourir ne pas mais toujours courir ! pas donc mourir mais courir toujours, sur la lande des embruns, le pré aux brebis, le pré joli aux cervidés, biche ma biche, etc, la chanson du temps, etc, nous sommes ensemble en nous tous et toutes en roche pour nous, nous avons pour nous cet ensemble, pariétal, du temps, pour nous «remetree» xde l’a ccvoucxhement, nous de»vons ense’mbvle pour nous (en nou!s) nous donner du coeur, du coeur à l’ouvrage intentionnellement les uns les autres, njous devons nous aimezr et nous aider les uns les autres, bnous nous devons de nous aimer concomitttament les uns les autres, vive le vivant des rocghes et son troupeau de betes dessinées par l’homme femme de la préhistoire : nous l’aimons, nous l’avons (le portons) en nous ! nous sompmes beaux ! nous sommpes vivants ! nous tenons bon ! nous réchappôns ! nou!s faiooisons notre possible pour en réchapper le plus longtemps possible, notre lieu ici (cet entre-deux du monde) est lieu d’aisance comme de coutumes, nous ne voulons pas lacher prise, nous voulons de fait durezr dans le temps et ne plus sortir de ce lieu d’aisance, du temps, nous ne voulons plus sortir de ce lieu d(aéisance des temps impartis , par la ban,de, pour soi, pour tous ceux-là qui sont en ous comme uune ribambelle, nous disons le mot de ribambelle, nous avons des larmes à devoir couler, etc, les mots sont en ous qui se chevauchent comme lar(mes-betes, betes-larmes de joie rude, etc, nous voulons toucher la timbale du temps et de ses agents, nous voulons toucher la timbale du temps et de l’ensembkle de son personnel , nous voulons toucher la timbale du temps et de l’ensemble de son personnel affilié à pareille czause des embrunds, et pour cela nous nouds prosternons ici bas : allmégeance, mise au tombeau, paroles votives, capitulation, rentrée, chaleur, etc, nous ne voulons pas mourir et nous le dison,s à notrte façon (un art de ligne) ! nous n,e voulons certe pas mourir et dès lors nous le disons «sur toute la ligne» (art), et ce faisant nnous espéron,s pouvoir nous en tirer, tantot, sanstrop de sé&quelles, etc, je suis l’homme des cavernes au ventre plein de victuailles (j’ai mangé») : je suis l’homme à la tete de bete, je suis mi hommùe mi chevreuil aux bois jolis, mon om est un nom de bete, je suisq mi, mi homme mi chevreuil, et le nom que je porte est aussi mi, mi homme mi chevreuil, nom de bure paer excellence il est aussi un nom composé, à deux tetes pour aibnsi dire, mi homme mi bete, etc, je suis l’homme des cavezrnes enfouies, des cavernes de la roche entière, roche du temps, carrière découverte à même le ciel (à ciel ouvert, etc : a.c.o.) : nous avons à comp^rendre ceztte chose ensemble, cette chose en nous et hors de nous, cette queue de verbe votif, il s’agit de cette chose de nous rapprocher cde Bouche de la Mort dure, qui est elle,, c’est à dire quoi , car la mort a ... une de ces geueules ! oh oui ! une de ces gueules ouverte, oui ! nous voulons savoir quoi est la mort , nous voulons savoir la mort quoi est, nous voulons ce savoir concernant ce quoi que la mort est, nous voulons en savoir long sur ce quoi que est la mort, nous voulons long savoir sur mort ce qu’est, nous voulons long sur mort savoir ce qu’est, nous long voulons savoir sur ce qu’est mort la, nhous la savoir qu’est-ce que mort est, nous savoir la, ce que mort est, nous le savoir voulons de mort ce qu’est pour nous qui sommes, quoi est pour nou!s la mort ce qu’est, ... en ce lieu d’aisance pariétal, bnous cxherchons une définition (à la vie, à l’art / à la mort, à l’art : entrelacement, lard), nous voulons comprendre ce qui est du monde, nbous voulons comp^rendre ce qui est du monde, nous voulons comprendre ce qui est de cemonde rocheux de la mort comme entrelacement notoire, entralardement ou comment stipuler ? nous voulons savoir ce que est la mort qui nous devanceou comment ? saleté des saletész ! pourriture noble ? nous cherchons la vérité dans le sein des seinsq, nous voulons de cette vérité sanctifiée par la ba nde (passante) du temps de la roche (roche ornementée) : tout ça ! nous ne voulons pas périr en la demeure mais contrer la mort de base (bouche) à sa façon : calquer nottre attaqgue sur l’attaque de la mort = art d’une sorte de contre-paroi, de contre-pression, soit de contre-attaque, etc, et de ce fait envisageons la mort (Bouche) cxomme choçse à devoir repousser, avec nos mains squrnuméraires déposées = art de la contre-marche ou du contrepoint pâriétal, main + main + main + main + main + main + main , etc, = (ceztte) contre-poussée de roche, ... «va là du pipeau et laisse nous paître» ! nous voulons tenir , chasser bouche, son impact, sa présence massive, son antre dépoitrenaillé ou comment est il ? son corsage de vie rabougrie ? sa parlote ? son sussurrement ? qui et commùent est elle ? une mùéchanceté de cghose rabougrie sur elle m^$eme ? nous voulons savoir , notre but n’a pas varié d’une once de rien, nous sommes encore et toujours sur cette même ligne qui nous voit nous tenir à bonne distance si possible de pareiille engeance mortifère, de pareille «bete- bouche»(?) « de cghoix, etc, qui est elle ? eh bien voilà : la mort est un e entité, la mort est comique, la mort est une boucheavec lèvres faites, la mort est une ouverture en grand : la lettre V en gran,d, etc, nous savons toutes ces choses, nous savons à présent (un ta s) beaucoup de choses sur tout cela qui ici nous occupe fortement , grandement, et de ce fait nous pouvons noter noir sur blan,c ces choses à retenir de tout cet ensemble de savoirs collectéscau fur et à mesure, nbous avons pas mal de choses en boutique, bnous sommes sérieux, nous tenons la route, nous ne flanchons pas et poursuyivons sur nottre chemin de halage notrecpromenade assidue, nbous voulons comprendre les choses du monde, les cerner vives et kles montrer à qui de droit dans toute leur plénitude princière mais sa ns les tuer, en toujours les maintenant vivantes comme autantt d’offrandes déposées sur une table dressée ici à cet effet, nous ne voulons pas mourir, nous ne voulons pas mourir, nous ne voulons pas mourir, nous ne voulons pas mourir, nbous ne voulons pâs mourir, noyus ne voulons pas mourir, bnous ne voulons poas mouyrir, nbous ne sommes pâs enclins à vouloir mourir, nous ne sommes pas du tout enclins à vouuloir mourir, nous ne sommes pas du tout du tout enclins à bien vouloir nous laisssrmourir, ou bien à nous donner de chic à Dame ou à Sieur de la mort à l’oeuvre, nbous ne voulonbs pas mourir, nbous ne voulons surtout pas mourir, nous ne voulons tant mal cette choses ou commentdit on ? nous ne voulons pas trépasser, nous ne voulaons rien moins que de trépasser, que de passer l’arme à gzuche, que de passser, nous voulons rien moins que cette cxhose, nous ne voulons pas mourir, nous ne voulons rien moins que de mourir, nous ne voulons pas de la mort, nous cherchgons la mort du regard afin de mieux pouvoir comme pour ainsi dire l’éloigner de notre champ d’action rupestre, bnous ne voulons pas cde la mort dans les parages, nous ne voulons pas de la mort près de nous, nbous ne voulo,ns pas de la mort à l’oeuvre près de nous, nous voulons la fuir,n nous voulons fuir icelle à grande enjambée, nous ne voulons pas d’elle du tout, nous ne voulons surtout pas d’elle, nous ne voulons pas vde ceztte mort de rocghe, annoncée tantôt, nouys la voulons loin c’est à dire loin de nous, nous sommes des betes (mots-betes) qui cxgherchons la vérité des roches du temps, et par con séquent sur ce que c’est que cette mort tanht et tant décriée : qsui est -elle ? qu’est-ce que la mort dont nous ne voulons pas ? je me le demande ! je ne sais pas, je ne sais pas la situer déjà : où est-elle ? où se situe-t-elle ? où erst la mort ,? où donc se situe la mort dans le paysage ? est elle dans le paysage ? où donc ? lieu d’a isance ? bure de vie, bure de hjoie ? où estc la mort en tel paysage deqs ezmbruns ? je ne sais ! je nbe sais que dire, car la mort n’a pas de lieu ou si : tous ? tous les lieux du monde pariétal (et au-delà ?) lui appartiennent, vrai ? nous poussons nos investigations le plus loin possible, bnous ne voulons pzas pqasser à côté d’une révélation éventuelle, bnous voulons cerner au plus p^rès et au plus juste, nous ne voulons pas défaillir et du même coup passer à côté d’une chose vraie, car la vérité nbous obsède, la vérité est notre grande affaire, nous voulons comprendre mille choses au gout de vérité, ou saveurn,, ou comment ? parfum ? notre but est affiché : au parfum ! voilà ce qui est pour nous en tant sque nous sommes des (ici) qui voulons cela, de cettye vérité de roche dure, vérité des vérités des la ngues, des paroles échangées à même la roche : bouquetins, mais comment s’y prendre ? eh bien ... par la bande, aller retour, à toi à moi, ding et dong, ping et pong, ainsi de suite (une suyite de vocables tous échevélés) : nousv avons à ainsi enfiler des perles sur un fil de crin (qui nhe casse pas) le plus que nous pouvons possible (dans le temps ) = le temps, car nous sommes dee’ux à vouloir combattre ensemble les assauts d’une sorte d’entité de roche , cachée (mais où ?) qui a pour nom (divers) : «Mort de Bouyche à cul» , «Saleté des Saletés de Meu», «Pute Borgne de la Mort sa&crée», «Saleté des Saleté Accrue», «Putre de mes Deux de la Mort Sure»,; «Mort-bouche de la dite Rangée du fond», «Mort de mes deux Colères», «Mort Bouchev Sensitive», etc, les noms d’oiseaux ne manquent pas, et '... qui sait ? la mort est oiseau ? ou bien « à bec « ? : nous voulons cxomprendre e qu’elle est, savoir son om et connaître sa geuele que nous savons grandxe voire méga-ghrande, nous vopulons comp^rtendre ce que est la mort car la mort est, ce que est la mort car la mort est, la mort est et du coup nous autres (hommes betes entrezlacées en une queuye de Verbe) nous voulons
savoir = piquer = traverser = trouer = percer,
de notre pic de roche acéré, rien de moins ! la mort est ... et là : un silence radio sur toutes les fréquences hormis celle des cris (des cris ?) des animaux ! de sorte que cette cghose, pour njous, a du prix (le cri cdes animaux) et du coup , à nous de nous démerder pour comprendre : il y a le cri des animaux et il y a le christ, et les deux choses se chevauchent pour former tirade et queue de perçage (une évidence) et du coup , à nous de nbous placer ainsi que njous le désirons, c’est à dire en cette roche des abois, des ccris de bu-se, , des cris a nimùaux, etc, la mort est une entrée de grotte c’est une é vidence, la mort telle que nous la disons, la mort telle que nous disons sur elle ou à propos d'elle, la mort telle que nous en parlons, etc, ezntrée de roche, roche-entrée de grotte de la préhistoire ! où ? eh bien pas loin , jamais (lieu d’aisance = trou = ce lieu ... de l’indispensable à la vie maintenu ! ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! czela est ainsi, nous l’avons compris tantot ! nous sommes sûrs de nous : le lieu nous suit ! ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, cela est ainsi, nous le savons pêrtinnement,
le lieu où donc lza mort se trouve, est un lieu qui nous suit, il s’agit en effet d’un trou mais d’un trou borgne comme un coquillage : ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, et ce trou ... est trou de vie vive , ouyi ! et du coup, nous sommes parés, nous pouvons durer, si tant est que nous sachions nous protéger pour ainsi dire des coups du sort etc etc, car la vie est une affaire qui roule sa bosse (ou boule) mais pas touyjours, il est bhon toujours de se protéger mùais comment et de quoi , car, les dangers affluent ! que ne range t-on pas en boite les dangezrs nombreux et variés qui nous pendent ou pendraient au nez ! nous sommes deux en nous : qui ? eh bien : lui et moi, qui lui ? eh bien : moi et lui ! ainsi de suyite ! nous devons essayer de comprendre ce qyui est ici en roche, à la lumière de cette chosqe (là) quyi se tramze sous nos yeux, cette cavalcade de chevaux de race, poulains y comp^ris , nous voulons touchezr la timbale du temps, nous voulons toucher la timbale, nous en,visageons cette chose, nous ne voulons pas en déroger mais toujours poursuivre sur notre lancée et aller fissa de l’avant, vers le V en vrai de la véritéc = l’ouverturte monstree d’une déité, ou sorte de déité déguenilloée ou commùent ? pauvre sur elle ? nous voulons nous approcher d’icelle rude, nous porter près d’elle et la toucher avec nos mains de rochge, main sur main, main multipliées etc,
car, l’etc des mains nous impose cette chose, d’un vouloir -savoir de paroi, etc,
chaque etc = des mains (accolées apposées) sur roche de grootte, à la manière des aurignaciens /aurignaciennes ou autres magdaléniens / magdaléniennes, ou qsui xd’autres ? nous voulons toucher la timbale ! nous voulons toucher la timbale ! nous voulons toucher la timbale ! nous voulons toucher la timbale ! nous voulons toucher la timbale ! nous voulons toucher la trimbale ! nous voulons toucher la timbale, etc :
des mùains se greffent en quelque sorte sur la roche et disent leur surplus de vie = de vie vivce ou de vitalité, à (de fait) la mort à l’oeuvre (La Méchante aux Traits d’Enfer) , nous so:mmmes ... deux qui cherchons, deux qui voulons, deux qui pressons, deux qui dressons ... le plan xd’une survie (ou sorte de survie) en roche pariétale des embruns , animaux-mots de roche fluide par endroits, incursion possible, chants «de la roche et des embruns», nous prenons la peine cde nous introduire et de nous informezr, qui est qui , et qui fait quoi ? notre but (affiché) est de nous présenter à dame ou sieur de la mùort dans une sorte d’appareil qui nous ressembvle (le plus ) : bouquetin si bouquetrin, cheval si cheval, renne si reznne, antilope si antilope, mammouth si mammouth, ours des cavernes si ours des cav ernes, lion des caverbes si lions des cavernes, autruche ? hibou ? hibou des cavernes ? grue ? grue des cavernes ? chacal ? chacal des cavernes ? cheval des cavernes ? bhison xdes cavernes ? buffle des cavernes ? rennes des cavernes ? grue des prés et des champs ? biche des cavernes et des champs ? grue des prés et des cavernes ? aurochs des préairies et des cavernes ? quel autre animal de compâgbnie ? bu ffle -sanglier ? bison-antiloipe ? cheval-ours des prés ? homme-bete des apprêts ? qui de quoi pôur quyi ou pour qyuoi ? nous devons comprendre ce qui est ici en cette roche de la paroi dure, qui est qui et qui fait quoi ? que est quyoi ? qui est que ? la mort est une bouche ouverte, elle susurre, la mort est grande ouverte, la mort pue la mmerde comme un trou d’aisance, la mort est une saleté de première, la mort est devant soi = à nos côtés = derrière = près de nous quand le besoin s’en fait sentir, car,
nous sommes traversés par des besoins vitaux qui pour le coup nous poussent à faire (agir) dans le sens pour ainsi dire d’une délivrance, et où faire cette cghose sinon là, ou là, ou là, ou là, ou là, ou zencore là, ou bien là, ou encore ici, c’est à dire là, à cet endroit précis, sur terre mère ! ici tout précisémentou là, ou bien là, ou encore là, ou bien, en ce lieu précis pres de soi, etc, chaque etc = mains sur roche (surnuméraires ) = appplzudissements et applaudiissements et applaudissement s ad vitam aeternam,nous avbons à comprendre la vie à l’aune de la mort et de son trou de bouche ouverte, oups, sorte de cuve à) merde, oups, etc, gloup ! nous savons cette chose ici comme quyoi nous avons à) (ensemble) tenir bhon sur roche du temps, inséré, et là, sous les yeux de nos soeurs les betes (pour celles forcément qui on,t des yeux, etc) tenir debout, cote à cote, couple de vie vive ici intégré à une rochhe ornementée par (qui sait ?) des hommes -femmes des cvavernes, hommes-femmes de la hjoie de vivre le temps d’une sorte d’embardeée votive, nous cvourons fissza dans (sur) la lan,de vers des betes à cornes ou vers des betes à bois, la biche est douce, le chevreuil est élancé, l’aurochs ne tarit pas déloges sur les cezrvidés des prész, nous sommes amis de roche déployée comme un temps nacré, vive l’aurochs de la roche dure, et ... des vivats , ici, par dizeaines ! applaudissements ! suite d’apppaludissements, mains surnuméraires déposées (pôsées) sur roche, soufflerie, tracés, pochoirs animaliers, conquêtes, nous alloons à déposer nos choses de roche (art) comme étron sur caillou de roche ou autres déchets ! où ? eh bien dans un trou : excavation ! nous avons à deposer -poser la main pour ainsi dire sur la roche froide, notre (propre) main d’homme mi (mi chevreuil mi homme) et cette main est une main donnée (don) comme applaudissement renouvelé, nous disons la bonne aventure
15/6/2021
$je suis l’homme-femme-enfant-animal de roche aux embruns et je vais et viens en pareillme roche à la recherche d’une «vérité-déité» qui puisse le faire, qui puisse convenir, qui puisse aller , entrer, se loger, s’introduire (fissa) en pareil antre de feu .. ou comment ? car, je suis touché et je touche : la bete en moi pèse, je suis cet homme qui a la bete, en lui , qui pèse, pèse lourd son poids de bure, il s’agit de bêtes de poids menaçantes, betes menaçantes de fort poids moléculaires, elles s’imposent à moi, elles sont en moi des betes rosses, qui cherchent à sortir, à de moi sortir fissa comme par la bande (bouche ?) et dès lors les voilà qui trépignent en moi, je vais et je viens en cette rochge dure des embruns, je suis homme de peu, va nu pied de la laznde, je tremble devant l’ours des bois, je chasse l’aurochs et autres bisons, je suis le graveur, je suis Occiput, je tremble devant l’ours des cavernes devant moi mais je le dessine, en transe et à main levée, je suis homme d’une sorte de train de hjoie en moi quyi me fait léviter et tracer des betes sur roche, je suis cet homme au présent nacré, je suis homme de roche dure , qui est homme de roche meuble, qyui est hommùe dur de roche meuble, et homme meuble de roche dure, homme dur et homme meuble, homme dur et parfois homme meuble, hommeuble paerfois dur de roche, j,je suis l’homme dur de la roche dure, je suis homme meuble de la roche meuble, je m’immisce, je vais en elle (roche) et je jouis pour ainsi dire d’etre homme ou femme des cavernes à main levée traçante, je dessine des aurochs, des bisons, des antilopes de roche, ours des cavernes, ourses des cavernes, ours et ourses des cavernes enfouies, je m’appelle Ours et je dessine l’ours, je m’appelle Bisoon et je dessinec le bison, je m’appelle Antilope et je dessine l’antilope, je m’appelle Aurochs et je dessine l’aurochs ! je suis tremblant ! je suis cet homme juste ou juste cet homme au tracé précis , qui va et vient en roche du temps et trace à main libre les données (rupestres) debase , qui suis -je ? une bete ! où vais je ? dans le ciel de la roche des temps ! que vais-jecdevenir ? une entité divine ! un ciel découvert! une aurore ! un ciel bleu azur, une belle et douce beaiuté douce ! je deviens la bete douce et belle ! je dfeviens cette douceur de biche, beauté d'une race caprine ou comment ? je suis homme des tourments de roche soit de roche dure, je suis cet homme aux allures de bure, en lévitation, sur roche puis dans roche, qui s’immisce et s’immisçant se loge et trouve son miel pour ainsi dire dans la roche aupres de toutes sortes de betes de pré (etc) qui paissent, qui sont quiètes , qui ne bougent pas, qui restent placides là où elles se tiennent, en troupeau de huit (ou plus) , elles sont cdes betes de roche du temps, ces betes de poids qui pâissent et me regardent d’un air de deux airs : qui suis je ? une bete comme vous ? quel est mon nom ? le votree , exactement! que suis je pour vous ? l’ennemi ? l’(ami ? ni l’un ni l’autre ! le semblable ! je suis homme de peu qui entre en roche et se loge en elle près des betes de pareoi (dessinées ou gravées) et là, je me faufile parmi vous (les betes) et me glisse dans les profondeurs, je cherche issue, pa ssage, trouée où pouvoir aller fissa me placer et comprendre , quyoi ? la Chose brute, la donnée de ba se, le soubassement, cette é chancrure narrée, cette trouée de bout de monde, ce travail de sape céleste, cette joie de roche, ce travail en des parties rocheueses de destinée, etc, qui va là ? la peine ! qui est là ? la peine ! qui veut dire pour moi le vrai nom de la joie pariétale ? qui ? la peine est celle là que je vois se ghraver sur roche, ilk s’agit d’une peine de joie, une peine dure de joie rude etc, je vais en pareille roche et trouve de qzuoi me sustenter un temps, je suis un homme de roche temporelle et mon om est un om à rallonge du genre : «homme des cavernes du sud de la france «, je deviens la bete, je deviens cet homme-bete aux mots-betes sortant de sa bouche, de sa bouche ouverte comme une plaoie, je suis un homme ... quyi va , en roche, à la rencontre de la déité de roche dure : traversons ! soyons cet homme des données ! fusionnons avec bete des prés et allloons donc brouter l’herbe fraiche ! je deviens cette bete des ^rés pôur ma gouverne, la mort est vaincue, le ciel est haut, les embruns me soulagent, la peine est légère, je suis haut allé pour parler la langue de bure, son nom (mon om) ne vous dira rien o combien et c’est un fait à remarquer et dont je dois me réjouir, il s’agit pour ainsi dire d’une «sommité de roche» : poum;, ! la bete (rosse) qui pose, en quelque sorte, tout son poids sur la balance «des temps impartis», il s’agit de cxette bezte - «sommité de roche», une bete dite de paroi ornemùentée, et, ... qui ornemente sinon la bete, elle meme, via cet homme des cavernes / pis-aller, ou qui ? je reviens vers elle (la bete) et m’apprete à la toucher du bout des doigts, je suis un homme traversé par des pensées «anciennes» qui se logent en moi comme un animal des prés dans la lande, je deviens à mon tour une bete (ou bete-mot ?) qui va et vient sur roche à la mùanière d’une bete des pres et des bois, je suis un homme-bete dur, dur de dur, razide dur, dur de la raideur des prés, de cette sorte de raideur des prés qui me rend joyeux disons comme l’herbe, je vais en roche, je suis sur, je suis dans et je m’immisce (de fait) en ses profondeurs, à la recherche d’une vérité saillante, d’une vérité-déité saillante, mon coeur parle pour moi , qui dit ma misère de bure et cependant ma joie d’etre vif en pareiulle roche, dureté des duretés, je suis homme au chandail troué, capeline, cape rêche, taillis, , treilles , etc, je vais en roche sur paroi des temps, je suis homme de paroi du temps, je suis un homme de la paroi, je suis cet homme de la paroi, je suis cet homme doux de lma paroi dure, j’aimme le temps dur des roches du temps et je m’immisce ici, en pareille zone, à la recherche d’une denrée (?) ou d’une donnée (?) ou d’une déité-vérité (?) ou de ... quoio, qui puisse me donner des ailes ? je suis homme cerf aux bois dorés, je suis en roche l’animal des champs, je suis cette biche, douce et belle, ce xchandail de bure tout autant, cette cavalcade, ce chant guttural sorti des entrailles de lma vie meuble, je suis holmme-attribut, la queue dressée comme celle d’un ours, mon temps est compté de fait par qui de droit, mon temps est le temps de la roche (nacrée ?) des borsdsq de mer, je regarde les :lointains et j’essaie du coup de voir au plus précis, au plus près, ce qui advient en pareille roche des lointazins = ce qui nous attend ! je suis cet homme vif de roche dure, et jhe vais, sur elle (dans), à la recherchje d’une vérité de bonne renommée, de belle attitude, dure nacrée, soutenue, quyi dure ou durâ t dans le tem^ps, MON NOm s’écrit sur roche ainsi :
par la bande, un tracé nacré de bord de roche, douceur-candeur, soulagement, turpitudes, délicatesse, envahissement, trouée de roche, vérité de poids,
je suisq cet homme doux de la roche dure puis cet homme dur de la roche douce, etc, je suis ce qui est préswent, je suis Temps de roche augmentée et vais et viens en cette roche de paroi comme un limonadier va sur la place, je cherche issue, parade, entrée en matière, je cherchje une voiioie d’abord où pouvoir m’immiscer fissa sans encombre et là, poursuivre sur ma lancée jusqu’au bout du bout des turpitudes (etc), je cherche vérité de roche, vérité dure, sensation, mon coeur est à l’unisson de mes recherches, un soulagement, une virée , une promenade dans lalande, une entrée en matière vive et pointue, je deviens cet animal de roche ornée, je suis bison, je suis cerf, je suis antilope, je suis ours et ourse, lion et lionne, je suisq aurochs, je suis renne, je suis cheval, je suis sanglier, je suis puma, je suis bouquetin et cerf, chevreuil et vache, je suis animal, je suis bete, je suis l’animal aux mots de paroi, je suis cet animal
de la paroi dure des tempsq
, je suis cette bete, en moi, <qui cherche à s’extraire (coûte que coûte) par la bande (queue de rat) et trépigne grave, et grave sur roche pour moi dxes betes de poids qui, en vrai, en imposent : qui va là ? la bete ! qui est là ? la bete ! qui trépigne ? la bete ,! qui jouit ? la bete ! qui parle à ma place (la place) ? la bete ! qyui veut sortir de moi ? la bete ! qui veut chanter pour :moi ? la bete ! qui pisse ? qla bete! etc, je cherche et voilà le résultat de mes recherches, je suis cet homme qyui cherche que tu chercheras des bvérités de poids, qui en jettent (poudre aux yeux ?) le plus possible : déjàet surtout (avant tout) pour moi ! car je veux savoir , je veux tout xsavoir, je veux savoir la véerité des choses, sur les choses, je voudrais savoir, je veux, je cherche à savoir, je veux savoir, je cherche à comprendre, je vaeux ou voudrais savoir, mais pour cezla il faut du temps, rien ne peut se savoir sans temps devant soi pour un déroulement de choses «à exposer» (art ?) or voilà ce qui est ici, voilà donc ici ce qui est, en cette matière : la chose, ici, à comprendre, eh bien la voici ! nous sommes mourants, nous sommes dxu temps de vie rude, kle temps à dérouler est l’intrus, la peine est pleine, nous allons sur des chemins ardus, nbous sommes deux pour une sorte de gouverne personnellme : elle (la b ete) et moi qui vcais et qui viens, en c ette roche, comme l’explorateur ou comme l’arpenteur plutôt assidu, je suis homme des cavernes «au sang chaud», mon nom est animalier, mon nom est écrit sur roche au manganèse ou au charbon dxe bois, je vais en roche et, m’immisqcant, je trouve ... qsuoi ? la ... véritéc-déité nacrée! car, pour autant que je m’ezn souvieznne, la paroi est rude, la paroi est dure, le sang vif dans les vaisseaux, la peine est légère, mon n om est écrit sur les fonds batptismaux, je cherche une issue à des problèmes de donnée rupestre, de donnée de base, je cherche à comp^rendre ce qui est qui nous attend à toutes et tous, qu’est ce que c’est ? je cherche issue en pareille roche du temps, mon n om est élevé comme au niveau du chapiteau, je cherchje : qui suis je ? une bete ? une bete-mot ? un prix ? une sorte de donnée brute ? un chandail ? je cherche ! dsuis-je l’homme des cavernes au xsang chaud-bouillant, qui arpente les contrées rupestres ? ou bien cet animal de chasse ? ce ours ? cet ours des prés ? je suis homme-faon de rocghe, homme-cerf de céans, je suis homme-biche des temps, homme-ours orangé, qui chante (le la) et donne de sa voix de roche (ici) aux embruns, je suis ours de rage, homme habité, homme des prés chantés, chant de rage et caressse, ohé du tonneau fais péter ! je cherche une sorte de donnée de base rupestree, de celle qui nous puisse faire faire peut-etre allégeance tantot et donner du la par lma bande , pouvons nous ? trouverons nousq ? saurons nous ? que saurons nous ? nous voulons comprendre ce qui est dans ce qui se trame, ici et là, et, pour cela, nous entrons (ensemblke : troupeau, agrégat) en lévitation, nous sommes entrés en lévitation, nous entrons en lévitation, nous sommes hommes de bure en lévitation, nous sommes des hommes de peu, qui entreznt ensemblev (cvonfrérie) en lévitation et dès lors s’immiscent profond, qui suis je pour vous pardonner ? quiq suis je pour aller fissa en ette roche dure ? qui suis je pour aller en elle et faire ainsi que nous soyons servi ? je tremblke face à l’ours méchant ! je suis homme de peu qui va sur roche et donne son ombre , je dessine, je grave l’animal en pied, nous donnons nos noms, ce sont les noms de la lande, des noms de roche dure,
nous donnons ces noms de roche
aux embruns de bord de mer,
nous voulons ici donner des noms de roche,
bnous dsonnons ces noms de roche dure
et passons, la mort est attribut, la mort est serpentine, va son train radial, la mort est une «ouverture -échancrure» , dans la roche du temps, mais où latrouvezr ? nous cherchons la faille dans le temps mais où est elle située ? où donc se situe la faille du temp^s ? où est cette cghose ? où erst donc cette chose ? où est et où se situe cette chose ? jke cherche !
mon nom est ici le dernier à devoir « monter»
car (peut-être) ma peine est légère, etc,
je dois comp^rendre cette chose d’une dféfaillance, je dois ici comp^rendre cette chose d’une sorte peut-être de défaillance de paroi, ou cvomment, défect ? défaut ? dé- quoi ? nous entrons en cette roche ou roche du temps comme dans un sas, qui nous voit attendre notre tour, etc, je suisq homme des caverbnes soulagé car je suis entré,
je suisq, en cette roche du temps, on dirait,
comme dans un antre abrité, mon om est comme gravé au fronton de pâreille roche et donne le la d’un ensemble ou sorte d'ensemble (pariétal) musical de roche = le temps, voilà le dire ! il s’agit de cette chose à pour le coup bien intégrer pour sa gouverne, le sang bout dans les veines, il y a dans les veines, qui bout, du sang chaud de ta race, et c’esdst ainsi que nous, nous culbutons (fissa) dans la roche du temps aloué, c’est de la sorte que (ensemble) nous allons au loin , en pareille roche, pour nous approcher pour ainsi dire de la fin du monde pariétal, de ce monde)-chose rude, trou de rochge ou trou de paroi ou trou de quoi ? nbous pensons que nous devons savoir , et que, pour ce faire, nouds devons (de fait) déployer du temps (le temps d’un dire) et c’est là (à cet endroit précis) que le bat blesse, car le temps ne fait rien à l’affaire ezn c ette matière, le temps est pour le coup ce déroulé trompêur faisant accroire :
au dieu de céans, que lma vie est offerte (la vraie),
et aux hommes et aux femmes, que la vbérité
peut dès lors voir le jour, ici même, en ce déroulé pariétal = temporel, ... or non ! non sur toute la l:igne ! car, le seul fait d’avoir à dérouler du temps pousse directement la cxhose aux oubliettes, aux oubliettes de la roche, et, par cvonséquent, la rend caduc !voilà ce qui est ! nous savons cela ! les oubliettes font que la raison ... sombre à chaqsue pas en roche , et du coup, nous devons comp^rezndre une chose, ici, qui sqerait cette chose, comme quoi bnou!s tenons «dansq la distance» un faisceau de données dures (rudes et brutes) capables un peu d’offrir à qui de droit un peu de vérité de roche (etc) = ... à nous auttres ! nous qui sommes : betes -rois, betes-reines, enfant-faon, cervidés, car voilà ce que nous sommes en ce (ba s - ?) monde des cerfs !nous sommes cervidés de roche dure, nous allons ensemble par les bois et par les prés, bnous gambadons, nous sqommes comme montés de bois (ramures) de premier choiçx, nos bois e’n imposent, pèsent leur poids de bois de ramure et en i:mposent dès lors lourd et fort ! nous sommes cerfs (de roche du temps) aux bois jolis (dorés) par la bande, nbous sommes qui allons sur roche, nous nous promenon,s, nous devenons homme et homme cervidé en cette sorte ici de va et vient, entre, d’un côté, un animal des prés campant sur ses quatre pattes, ert, d’un autre coté, un homme debout, queue dresseé, à bec de rapace ou tout comme ! ainsi est-ce ici la chose à vcomp^rendre = cet élan en,tre deux etres, qui se cxhevauchent» ou se chevaucheraient mentalement (?) ou co ncrètement c’’st à dire plutot physiquement, que sais je ! je reviens verts elle (la bete) pour toucher sa peau de bete, je m(appellerais Nologips (?) ou sino ncomment ? inversion totale ? ou comment dire les données de roche ? MON NOM est ouvert, est «entreé en matière» dans le temps : MON NOM possédant «l’ouverture centrale» où pouvoir aller à se loger fissa ! je cherche à comprendre ce qui est de cette roche des prés sages, sages et beaux comme tout, sentant bon, doux et calins ou comment (les prés) ? nous disons (ici) que nous comp^renons, bnous disons que nou!s voulons un certain nombre, pour nous, de savoirs de roche, nbous voulons pour nous un certain nombre de savoirs inclus en roche et pour cela nous sommes qui nous immisçons pour ainsi dire dans le temps de Roche Dure à la recherc he de la vérité ... vérité-déité concernant la roche (la mort ?) et nous voilà, du coup, qui caracolons ! nous courons à grande enjambées, nous sautons par dessus les ruisseaux de la lande et atteignons les boiis et sous-bois de Roche Dure, nous cherchons une vérité ou vérité de base : la mort , qu’est elle ? que savons nous de la mort ? et dèjà là , sur ces indications, nous comprenons l’écart consiçdérable qui existe entre, d’un côté les mots d'une tribu, et de l’aiutre ce que sezrait (hors les mots ?!) une réalité vraie de Roche des temps, on voit les enjeux pariétzaux (très bien) se dessiner à traversz lkes mots, nousq disons que nous sommes, de fait, deux en ous (= nous) à chercher cette chose, qui sezrait, enttre, d’une part, les mots (=mots-betes) et d’autre part, ce trou de la mort innommable ... ou commùent ? que dire hors les mots de la mort sans mot ? nous voulons essayer ici de nous approcher (art ?) d’une définition de bon aloi : la mort est une gageure, la mort est trouée blmanche, la mort est une ezntrée ... dans le vif de la roche du temps, la mort est cette sorte d'ouverture «travaillée» comme une naissance, loa mort est cette échappée belle (de toute beauté ?) ou commeznt ? bnous essayons, pous nous, de comp^rendre, ce qui erst ici en cette matière, laz question primaire, nous voulons savoir, nous voulons comp^rendre ezt voir ! qui saura nous indiquer la voie à suivre pour comp^rendre ? qui saura nous indiquer la voie à suivre pour savoir ? qui sait ce qui est qui nous attendrait ? comment faire avec les mots ? les faire taire dans leur jus ? les secouuer comme des cocotiers ? les foutrev à l’estanque ? les balancer pour ainsi dire pur et dur mais alors comment ? cvomment éliminer ? comment faire pour éliminer sérieusezment ? comment faire pour enfin décrochezr les mots de leur patère de surdité (face à déité- vérité de la mort à l’oeuvre), comment ? car nous ne sommes pas sweuls en ous-mêmes, nous sommes plusieurs, et le sang en nous est un courant vif de donné&ess primaierres =
des viçsées, desq désirs, des eznvies, des élans, des mises en route, etc, tout ce qui fait de nous des etres postés en avant,
nous voulons faire ainsi que ce qui est, de fait, le soit d»’emblée et non point comme déroulé tout vilainezment dansle temps , l’emblée dxes données nous ijntéresse ou intéresserait au plus haut chef, nous avons désir de cette chose d’un embvlée de roche, et non pas de cette (auttre) chose en déroulmé qui pour le coup nous minimise, nous infériorise, etc, nous voulons de l’emblée de roche, du direct)-live intégral, du consommé vif sur le pouce vif, nous voulons savoir illico npresto = instantané ! et non pas dans ce service d’une sorte ici cde dé&roulé fugace, aux oubliettes instantanées dès lors (pour reprendre les mêmes termes), etc,
nous voulons comprezndre ce que c’est que cettye chgose d’une voie terrrestre allouée, et pour cela, nous avons à creuser la roche ezn son swein, cvomme des graveurs de pierre, ou comme des dessinateurs maritimes, ou comment sinon ? ou sinon quoi ? car la vie en nous va son chemin de promenade , vers des bouts de rochge (points de vue) qui sont des endroits (termina ux) de fin fond marin, trou de roche borgne, issue close ou sinon comment ? nous voulons comprendre les données les plus enracinées (de fait) dans la roche et voir ce qui est , derrière par exemple, ou sinon derrière ... au delà de l’audelà ? non ! derrière la roche ! une autre roche ? derrière la roche est-il une autre roche ? y a t il derrière la roche ezncore de laroche ? que penser de tout cela ? nous cherchons ensemble en nous à comp^rendre incidemment les données brutes ce qu’elles seraient, ce qu’elles sont, ce qu’elles pourraient être, etc, et où logées ? nous cherchons à comp^rendre ensemble ce qui est, nous voulons comprendre ce que c’’st que cettye chose appelée «la mort» , qu’est ezlle ? ou va t on sa nsc lumière etc ? notre but s’affiche ici en toutes lettres pariétales : aurochs = affichette, ni plus ni moins ! notre but est à lire ainsi, comme celui qui ici concernela vie «dans ses retrancheements» : qu’est-elle une fois «poussée» (à fond de cale) dans lkes méandres de la paroi dure ? qu’est elle qu’il nous faille savoir ? ou quoi est elle ?nous ne savons pas ! notre but est fdonc de savoir : d’acquérir moultssavoirs en c ette quesrtion ! mais on voit déjà ici le côté risible du langage pris en son entier,
celui-ci rapporté à «l’idée»
(entre parenthèeses) de la mort , on voit l’écart entre d’un côté le langage articulé (la mort : le mot) et «la mort en v rai» si tant est que nous puyissions «nommer» cette cghose lointaine (embruns),
et, comment dès lors comprendre ce tout parioétal, commùent faire pour nous approcher de cette chose de la mort en roche des temp^s alloués ? nous ne savons pas ! qui ,sait ? comment faire pour savoir ? nous ne savbons pas ! qyui sait et comment savoir ? nous ignorons ce ou cela que nous voudrions connaitre, nous bne savons pas ce qui est, nous parlons à tort et à travers, nous parlons pour dire une chose et cette chose est une chose raide comme la justice, queue-cauda de verbe dru comme bete rude de prairie ! nous nous afolons ! nous voulons de force ! erreur ! il est p^référable (mille fois !) de pour le coup laiisser venir à soi la vbérité des vérités, ou sinon oui (peut-être) d’allert vers elle ... mais sans y toucher, ! point ainsi ! ma ins surnuméraires ! chapiteaux hauts ! nous ne vouylons pas bru!squer les choses, nous voulons les conserver intactes dans leur jus , affaire de doigté, de doigté dans la prise ou dans la bonne prise, nousca vons de fait envie de comp)rendre les données rupestres commùe autant peut-etre cde réponses àç des questrions edxistentielles anté diluviennes, les parois recèleznt tant et plus, nous savons que nous voulons savoir mais il nous semble ici (à ce stade de la recherche) que les mots obstruent plus qu’autrte chose, et dès lors comment s’y prendre (pour s'approcher de la bvérité) sinon en faisant comme suit : cris de bete et assimilés, ... sinon comment en vérité ? point x’issue à pareil problème , point de solutiondéfinitives et qui à tous coups feraient l’affaire, nous pensons (en nous) des mots de roche dure, mais la mort n’est pas touchable dans les mots, quels que soient ces mots, la mort au monde est intouchable avec des mots (surf), qui ne se laiosse pas décrire comme il faut hélas... ou pas, ou pas hélas, cazr nous ne savons pas !nous ne savonbs pas ce qui est exactement ! nous sommes éca rtés = écartelés , nous avons faim et soif de savoirs, nous vopulons comp^rendre ici la véreité (pour ainsi dire) des «sphères de roche», nous ne voulons pas passer à côté, et ainsi faisant (cherchant) nous sommes pa rés (un temps) pour faire «figure boonne» aux gens, ou sinon quoi d'autre ? nous voulons aller loin dans la roche, nottre but le plus affiché est celui d’aller très loin en roche des bois, nous voulons ensemble aller le plus loin possible dan,s la roche, nous cherchons ensemble à aller le plus loin possible dans la roche, nous cherchons à (tous les deux ... en nous) aller le plusq loin possible dansloa roche, nous voulons comp^rendre intanta,némeznt = hors du temps = hors des mots (car les mots so,nt des sections de temps rébarbatifs ) , nous voulons savoir ce qui est ici en cette roche des temps offerts et cela hors les mots qui sont desq choses qui (de fait) en imposent et intimident et minorisent etc, et cela à dire vrai nous n’en voulons pas, nous voulonsa ller frapper à la porte «des embruns «, ni pklus ni moins ! notre but est très largement affichyé aux quatre coins de la roche du temps : 1, 2, 3, et 4, en pareille contrée menaçante ! nouys voulonqs aller, en pareille roche du temps , à la recherche de la vérité concernant la mort , et voilà pourquoi nous nous agitons de la sorte , nous nous agitons pour nous immiscer , nous sommes en transe, le chemin est rude, la tete première bnous nous immisçon,s, nbous entrons en ce pays ambré, la lumière est de sous-bois, de bois jolis, cerfs et biches auttrres squi gambadent à qui mieux mieux, notrte volonté sur terre est de comp^rendre au plus ce qui est quii va, or, les mots induisent et comment induisent ? induisent de folie ,; voilà ! car, les mpots induisent leurs propres données rupestres, qui disent des choses mais ces choses nous semblent comme relezver d’une sorte de pis-a ller, offra,nde de seconde main ou de second choiçx ... ou pas ? les mots font écran , qui dise,nt des choses mais sont, on dirait, incapabvles de trouer» le monde (perçage) , et du coup de révéler le pot aux roses, les mots = deux pas en avant, et ... trois pas en arrière ? et cela peut-être avec cette morgue toute professorale liée au te»mps qui est nécessaiore pour, de fait, exposer un dire, quel qu’il soit, les mots sont trompeurs qui nous induisent ici ou là sur des chemins de ronde (de ronde rupestree ?) pas obligzatoirement fiablesq à cent pour cent ! nous cherchons solutions (fines) à des problèmes qui sont problèmes d’emplacemùeznt : où don,c la vie se loge t-elle ? où donc la mort se loge-t-elle ? nos questions sont ainsi formuléesq, bnous voulons com^prendre au plus près les choses du monde, nous entron,s ezn roche da,ns ce but : toucher ! car toucher est la solution à nos problèmes de paroles ici odffertes en guise d’onguent , toucher ! toucher la peau douce de la bete rosse, sa pelisse reche, sa peau douce ou reche, sa pelisse de bete ccomme en vie, ou presqaue ! notre parole ici est cette parole qui dit cette eznvie de touchezr la bete ... de roche (bete-mot) : est elle ici ... envie pôur cde vrai ? est ezlle ici ... en vie pour de vrai ? est elle en vie ? est elle vie offerte ou bien pis-aller , du genre présent (le temps) alloué ? les mots en bouche caracolent à qyui mieux mieux qui chjerchjent à dire vérité de poidfs, or, que penser en vrai des motsz du langage parlé, articulé ? sinon cette chose, comme quoi les mots, ne peuvent toucher la paroi (bhrute) des mots de la terre (mots sur mots ?), les mots , il semblerait, ne peuvent percer pour eux mêmes, ou ... si ? nous pensons ici que, pour le coup, les mots sont mots de roche dure, et que la roche (la paroi) est uy,ne douce chose à devoir percer comme par la bande, et que la bande ici a (aurait) des liens serréesz avec sa soeur de roche = mort la belle rude, etc, jnous penson,s que Mort la Belle Rude est celle ci que nbous nous voudrions pouvoir en vrai accoster sans se faire rabrouer ou accaparer , est ce possible ? Mort la belle est une sorte d’échancrure
(chancre ?) dans la marge, cette chose est
pour nous primaire, nous pensons que nbous devon,s aller le plus possible loin en roche, nous pensons que nous avons à aller loin, très loin en roche, nous pensons que nous avons à (en roche) allert très loin, le plus loin possible ! nous pen,sons que nous dezvons ezn roche aller très loin et toucher «latimbale» mais qu’est-elle ? latimballe est une chose rude et dure comme roche, eswt -elle ? nous pensons que latimballe est chose rude-dure comme laroche , vive la timbale ! vive cette timbale dite «du temp)s» ! vivats ! nous voulons savoir ce qui nous attend, nous ne savons pas et voudrions savoir, et le plus possible voudrions ! car, nous avons faim de savoirs complets, nous ne voulons pasd rester sans savoirs, nouys cherchons à acquérir le plus possible de savoirs , bnous voulons acqauérir le plus possible de savoirs con,cernant la vie après la cvie = la mort, cette mort «de rocghe dure», etc, bnous ne sommes pas en manque de questionnements, nous voulons savoir le monde, les embruns, la roche perlée, la beauté des temps, l’échancrure, laroche perlière, le vent dans les allées du temps, hautes sphères et bvasses sphèresq, etc, qu’est ce donc que tout cela ? cet attirail, qsu(‘est-ce ? nous bnous avançons de cette zone de fin fond de roche, chevreuils nous sommes, nos bois sont beaux, trônent, nous sommes nous tous et toutes comme en majesté dans ce»ttte roche, l’art est cettechose d’une tentative de restitution, l’(art est cette chose d’un essai pour une avancée, l’art a à voir avec la cxhose pariétale d’une sorte de donnée dxe base, l’art est art de bure, de roche dure, de paroi du temps, l’art est un semblanjt en quelque sorte
de vie rude, brute, directe,; comp)acte et impactante, (à, svp, «en ficher plein la vue», vue a u sens large : féerie) : nous pensons que l’art est une chose ghrave, en ce sqens ici que l’art est pis-aller, affiche ses prétentions, haut et fort, qui sopnt (il semble) de ruser, soit de trompêr «son monde» = la mort (sieur ? miss ?) etc, nottre ambition ici est donc celle xde (pour le coup) chercher à définir, ou qui consiqte ici dans la recherche d’une sorte de swemblant, de semblzant de (d'une) déf inition, ou comment ? nous cherchons définition, chose dure, raide, compâcte, brute, qui tienne laroute, le cghoc, etc, devant soi = une définition inébranllable ! voilà tout ! or que voyons-nous se faufiler à l’horizon ? une lueur d’espoir ? une lumière définitive ? même pas ! une sorte de capeline, cxhandail, habit de grippe-sou, bure monacale, une sorte de pis -ller de première, une sorte de dsonné&e rude, frustre, etc, et cela devra de fait faire l’affaire faute cde grives, etc ! nouys pensons que nous devons aionsi comprendre les donn,ées de roche: ces betes massives, ces féeries, ces furia , nous pensons que nous devons aller loin en pâreille roche desq ezmbruns et ne pazs nous arretezr en chemin mais tout le contraire , creuser et encore creuser la roche ! nous sommes en nous , deux, qui allons, qui marchons sur roche, deux pour cette cause d’un semblant d’offran de peut-être à offrir, etc, bnous = je, voulouns, ou veux, aller loin dans les coinnaisances, récapitulons : la mort est la donnée rude, la mort est (une) donnée, la mort est don et en teant que tel est à explorer à la loupe pour ainsi dire = à petits pas par le menu , la mort eswt une sorte de donnée de base, elle eswt agrippée au temps à vivre (attachée = ligotée) mais ne peut en etre déwtachée, et ne vpe ut en etre détachée car elle tient soudée, collée, accolée à la vie (ici de base parioétale), elle s’est pour ainsi dire comme enracinée dans la (ou cette) terre de la vie de base, alors comment s'y prendre ? hors les murs du monde ? oui mais où ? y a t il un hors du monde ? où ? où sezrait il ? le langage trompe, qui nbous fait accroire , le langage est trompêur qui semble vouloir
dire quelque chose (intelligence) plutot que rien mais au juste le lmangage dit ... son dire propre, dit «de patinagghe», qui percute peu (le roc ou la roche) ezn vérité
(§au sens «classique» du terme, c’est à dire : «en deçade la roche») :
le langage parlé ne peut pas aller bien loin et reste à faire du sur place parioétal de roche, cette chose d’une sorte de sur place «de roche dure», les pieds sur terre, etc, je vois la CXhose, la mort est Chose de poids, la mport est éve»ntrée deva nt moi ! rude dure ! mort de roche =cette cxhose rude devant soi ! nous et je disons, et disant nous actionno,ns pour ainsi dire des leviers de vérités comme intégrées , ou comment ? nous disons nos choses de roche à même la roche, nous sommes hommes et femmes des cavernes et c e que nous disons est uyne chose dure à écouter, car nous sommes durs et dures, nbous disons «fuck off» à cette Mort de roche agenouillée, ou (sinon agenouillée) disposée comment ? nous avondss (tous et toutes) foi en la mort, tous nos mots disent cette foi, cette foi en la mort, tous nos mots (qui sont pour ainsi dire comme verrouillés) disent en choeur cette foi (intégrée, intégrale) en cette cxhoçse, d’une mort qui serait (soi disant et dès lors, du coup) dans le langage articulé, etc,
foi = chose de pa roi,
foi = incontournabilité des choses rudes ! la foi est la foi dans les mots ! la foi est lma foi dans les mots immanquablement ! la foi est la foi dans les mots indubitablement ! la foi est kla foi dans les mots intentionn,ellement ou pa s mpais cvela est, cette foi outillée, accompagnée, vive, qui s’agrippe, etc, les mots charrient la foi ! les mots (un ensemble) disent (dit) cette foi, dans un e sorte de donnée xde base rude,, (donnée) rude de base, intégrée à la roche,
nous pe,nsons que nous devons creuser la rochje ici = là = ici-même = là exactement = ce chemin = cette voie = ce tracé = ce conduit =ce boyau =cette reo che et, dans cetgte rocxhe, ce passage étroit donnant sur une cavité (salle) remplie de poeintures murales , oh, une m:erveille ! nous voulons creuser plus avant dans le langage, aller loin en icelui à la recherche si possible de découvetrtes, pourrons-nousq ? le plus qui comp^te est de participer ! nous voulons savoir : déterrer, trouver, dételer, creuser pour trouver, dsécouvrir, etc, nous voulons cette chose rude, nous voulons comprendre ce qui est dans ce qui advient en roche du temps, où sommes nou-s ? sommes nous au monde ou hors du monde ? sommes nous dans ou hors ? sommes nous dans la roche en xdur , ou où sinobn ? je mù ‘appellme homme des cavernesz, je vis près des miens dans des sortes de casesq mais les cavernes en soi qson,t capitales qui nous offrent pôssibilité d’enttrer en elles et de feter ensemble noos butin,s de cxhasse, ou bien de faire des offrandes (réitirées) à des dieux donnés, etc, nou!s voulons aller en roche au fin fond et découvrir des choses de poids si possible, c’est-à-dire des aurochs ou des bisons, bnous devons comprendre les bnases et ensuite affiner les données, et pour cela nous devons entrer (ensemble) en cette roche dure du Temps, le temps nous sauve de la mort «un temps» mais il ne va pas loin en besogne, et lesmots pareils, qui sont comme cul et chemiseavec ce Temps donné sur roche (octroi ?) etc, les mopts sont des betes-motsz à donner sur roche un temps, mais pas sûr que cça puisse tenir dans le temps, nous cherchons à com^prendre les données les plus basiques, les données de rage (rage/colère) etc, et pour ce faire nbous nous immisçons («à la une, à la deux») au coeur d’icelle , sein des seins, nouqs le devonsz, nous devons agir ainsdi, nous decvons com^prendre ce qui est ainsi, nous devons ensemble aller dans ce sens, bnous devo,ns com^prendre à aller dans ce sens, nous devons nous prosterner, nous cdevons nous a genouiller et faire allégeance, dire notre :mot de honte, dire tout, dire tout ce que
sur le coeur avons, nous devons nous prosterner et avouer l’ensemvle de nos méfaits, nous devons nous a lléger de la sortte, nous devons avouer ce mal dxe rage en nous, notre colère, nos colèresq, les noter sur roche et, la chose faite : nous agenouiller et prier, nous dfevons agir de la sorte, nous devons agir dans ce sens et com^prendre, notre but est de tout comprendre, je suis cet homme des cavernes à larecherche , dans la roche dure, d’une vérité de poids, qyui puyisse impacter grave sur nous et pour longtemps, je sui et nous sommes homme et hommes des cavernes, je je suis homme homme des des caverbnes qui s’en va ainsi, à travezrs la l:ande , à chercher de fait des betes-mots de rage , qui sachent, etc, je m’appelle du nom de la bete qui (en moi) trépigne que tu trépign eras (peut-être) comme un fou de roche, en moi est donc logée la Bete, et cette bete me fait drôl:e qui me pousse à dire ! oh la ! et donc voilà en moi la bezte de taille, grosse chose massive poussante, elle est rude, grosse et grossière : invective, insanité, pourriture (?) etc, je suis à la rechercxhe d’une v érité de bon aloi, mon nom est le nom inscdrit sur roche (spi) sous mes yeuxc, et signifie ou signifierait quelque chose comme « qui castre le blé « ou bien ... l’épineur ? l’étêteur ? je suis homme de la caverne, mon sang bout au coeur, il s’agit de fait d’aller profo nd en roche, d’ouvbrir sans tarder ses mirettes, nous cherchons une voie d’accès pour la vérité vraie , cette voie nous ma nque, nous la recherchonscavec assiduité, nous vcherchons cde concert pareille voie où nous pourrions nous faufiler pour ainsi dire jusqu’au nirvana peut-être de la chose rude= fin fond de la cruche, nous voulons toucher la biche ou le chevreuil et du coup nous rendre comp^te ensemble du degré, pôur chacun (chacune des betes) , de réalité, qui en vrai sera le leur, nous touchons leurs bois, bois de majesté et de jhouissance, nous touchons leurs bois dressés :
sont ce des c-vrais ? sont ce de vrais bois de roche, de c erfs de roche, de cerfsq-volants, de cerfs de grande puissance ? j’imagine que oui !
je n’ose pas uimaginer le contrzaire !
un bois est un bois ! un bea u bois est un beau bois !
je cherche une parade ! je cherche à comme temporiser (art ?.) à travers la roche : aurochjs, aurochs, aurochs ici, ours, ours en majesté, peau d’ours là, biche et re-biche à cet en,droit, tete d’ours des ca&vezrnes, lions des cavbernes plus en contrebas, vulve lunaire, choix du roi, cavalcade, chevaux tout ventripoten,ts, antilopes, autres antilopes, encore des (d'autres) antilopes, cerfs en grace, bois d’abord, douce bete des embruns, etc, les betes sont pour nous les noms de nos gouvernes, les betes sont des mots de belle importance, la paroi du temps est paroi de vie, les betes sont représe,ntées com^me autant d’effgigies, d'effigies nacrées ... et ancrées dans la roche comme en tête martel ! il s’agfit de données de rage, mots-betes comme à l’unisson proclamés, etc, je vais et je viens en roche (patins) comme un eztre, peut-être, «de peu de foi en son langage» ... ou peut-être pas ! je cherche une voie cendrée, je chezrche un conduit, un logement, une percée fra nche : coudée ! je cherche le repos dans le sang qui bout, la tete première puis le corps entier, mon souci est de comp^rendre les donn,ées du monde, les données cdernières, le ciel est hzaut de roche, l’ours des cavernes se tient prêt à me déchiqueter si tant est, or que neznni ! je ne veux en aucun cas mourir déchiquqeté par pareille bezte monsqtrueuse, qui fonce ++ et a ou aura vite fait de vous écrabouillezr d’un coup de pâtte mal placé, je cherche le mot de lma roche du temps, dit «explicatif», qui sait ou qui saura nous indsqiquer notre chemin pour un plus de douceur, nous voulons savoir, etre, figurer, faire, aller, tenir, bouger, cxréer, contenir, cerner, vcomprendre, pousser les choses ,cdans le bon wsens de la marche du monde et du temps, mots pour mots, mots sur mots, nous essayons de co:mprendre les cghoses à la lumière, ici, de la destinée pariétale, et pour ce faire, nous envisageons une sorte de descente, en pareilllme roche dure, paroi singulière, entrelacs de betees gravées, échancrure de paroi dure, etc, je veux dire et toucher ensembkle, cela ! et ce dire, dès lors, serait du toucher ... de bure intégral ! ce dire nous poussezrait, donnezrait des ai;:les à nos projets !
nous vboulons comprenxdre par le menu, cette chose d’un renvoi de roche vdans les limbes, ou pas loin si tan,t est, le mal est inscrit dans la roche, l’homme des cavernes est un hommùe, disons, «fou», sa femme est un etre «fou», de même ! femme «folle» et homme «fou» pour une traversée des limbes de roche ! mon coeur bat la chose dure d’un allaer retour dans lme sang ! je suis cet homme des contrées rupestres, mi-homme mi -bete,
je me promène gentimùent
parmi les betes fauves de la roche dure
des temps alloués à pareille vie terrestre, mon corps ... tra verse les corps, il s’agit d’une sorte de bénédiction, les mots de la roche sont ici mots-betes de roche dure, rude à la traversée, compacte, etc, nouds poussons loin nos investigations rupestres car nbous sommes ensemble qui voulons savoir lke plus possible concernant la mort, qu’est ce qsue c’est ? les mots ... peuvent-ils en parler et si oui comment ? les mùots sont ils à même de pouvoir par(ler, c’est àdire dire en vérité , les mots sont ils à même de pouvoir parler le langage de la vérité des rochesq et rochers ? les mots sont-ilds capables de pousssr au l;oin les inveswtigations de fait pariétales ? les mots ont ils xde quoi charger, et percer, la paroi du monde ? et du cvoup, troubler les effluves, et cerner les teneurs ? les mots sont ils fiables, en ce qui, pour le coup, cvoncerne l’ordre de la Vérité, mais pas seulement : sont-ils fiables en vrai pour ce qui est de lma paroi du monde (authenticité) et la mort a djointe, accolée ? qui sait en vrai ce qu’est la mort ? et déjà : la question peut elle décemment, raisonnablement, intuitivement, intellectyeullement, intelligemment etre posée ? est ce faire preuve d’intelligeznce qUe de dire le mot «mort» quand on sait que la mort est la grande ijnconnue ? fait on preuve d’intellmigezn,ce en parlant d’inconnue ou de grande inconnue, ou même de mort tout court ? a t on pour nous une intellige,nce efficace ? qui sommes nous pour parler de la mort ? qsui sommes nous pour oser parler de la mort ? qui suis je pour oser parler de la mort ? qui je suis pour oser parler de la mort ? qui je suis en vrai pour oser parler de la mort ? qui je suis en vérité pour oser parler de la mort ? qui je suis en vrai ici (roche) pour parler, au nom xde tous et toutes, de la mort en cette roche sécularisée ? qui je suis qui parle ainsi comme un écervélé ? sommersz no!us
tous et toutes des écervelés ? ouiiiiiiiikiiiii,n, sans doute aucun ! car, nous sommes qui cdisons «à côté « un certain nombre de choses et non point en leur coeur, cvoilà le hicxc ! parlons du = depuyis, le coeur, et peut-etre nous y verrons mieux ... ou non, autrement ? qui donc peut ou pouurrait nous renseigner sérieusement et efficacement ? je suis homme dur de la roche dure des temps durs de lma parole dure des durs sentiments du ciel rude aux accents durs de bonté dure !
mon coeur à l’unissswon (systole et diastole) :
nous pensons qUe nbous devons aller (en roche des temps) sur le grave des parois dde roche , et, faisant cette chose, nous serons alors les rois (cerfs aux bois) du monde rupestre, des seigneurs, chevereuils adoubés, paroles princières, aussi des sommités, des élus (des huiles) aux accents pointus de lma roche, nous avons pour nous, rangée, cette vérité sous cape, nous ne voulons pas dispa raitre, bnous cherchons le salut en ceztte cghose d’une roche meuble (= à pouvoir graver) et cela est cvette chose d’un savoir ancré, et aussi d’un savoir contenu, nous vouylons cela, nous voulons graver nos propres noms-effigies sur roche , et ainsi donner de nous un sembvlant dfe vie (vive) identifiée, voilà ce que nous sommes en vérité, sur roche (paroi) découverte,
en nos paroles de sainteté, en nos mots doux, en nos images lacunaires, en nos hybridations, en nos manques et en nos trop-p leins, etc, tout à l’unisson comme dans une (sorte de) salade aux choses mélangées, etc, nous n,e voulons pas mourir, nortrree envie n’est pas de mourir, bnous ne voulons pàas mourir, nous ne voulons pas décéder, nbous voulons rester en vie sur roche de grotte,; nous avgons nos batons de bois pour tracer et voilà dès lors ce que nous faisons et cezla de chic, à main levée (libbre) et porté par le sang qui bout et dicte, et trace pour nous des contours de bete, betes de choix (premier cghoix) comme : aurochs dits «dees prairies de roche», antilopes aux trait juvéniles, bouquetins tintin, rennes deds embruns (comme de juste), bisons rois, biche de biche, cerf de cerf aux bois travaillés, cervidés divers, caprins divers, ovins divers, bovins divers, aussi des bovideés et des chevaux en veux tu en voilà comme en ca$valcade, nous pensons pouvoir comp^rendre, ... que comp^rendre ? la vérité ! car elle nous pend au nez , elle est toute proche du langage ! intimidante ? pour un peu, peut-être ! nous cherchons à comprendre ce qui est qui esqt, nous cherchons à comprtendre des données dxoubléesz ou redoublées, qui sommes nous ? que voulons nous ? que cherchon,s nous ? qui sommes nous ? que faisons nous l:orsque nous prions ? que disons nous lorsque nous crions et insultons sa wsezigneuirie des pierrres ? nous passons du temps sur la lande, notre pouvoir est affaibli pour ainsi dire par la ban,de, les mots sortent de notre bouche comme autant de troupeaux de betes-mots agglutinés, les uns les autres, pour une sorte de «for çage-pêrçage» de paroi de roche, mots-quezeue de rage en bouche percée (plaie) ... lors d’une rixe interne ou bien comment ? bnous sommes qui poussons les mopts ainsi sur la paroi du temps afin de la percer (une fois pour toutesx) mâis que dalle ! elle ne cvède pas si facilemeznt ! ça glisse dessusq ! rixe pour que dalle ? nous voulons comprendre les données du temps pour en cerner l’issue fatale mais comment ? nos mots se logent en roche comme en une sorte d’antre mortifère, ou ... pas ? qsui qsait ce qui eest ? qui peut dire la vérité ? y a t il dans les mots (à l'intérieur des mots) de la vérité ezn brancxhe ou rien du tout, glissement progrssif vers une estocade ? nous voulons savoir ! nous voulons savoir ! merdum ! nous avons cette ambition ! merdum ! nous avons ce désir ! merdxum ! nous ne voulons pas lacher la grape ! merdum dix foios ! notre but est de toujourds tenir (bon)) la grappe ! merdum ! merdum cent fois ! car, nous tenons à vivre longtemps / longuement, bnous ne voulons pas trépasser, rien de rien, mais durer, dur de dur dans la roche grise, belle, assouplie, meuble, mobile, douce et caline (?) oui ! nous voulons plus que jamais aller , en pareille roche des temps sourds, des temps durs, nous voulons comp^rendre ce squi est ici, en roche, qui nous tend les bras au loin : car, la mort est une oouverture de roche, la mort est toujours lointaine, mùême proche la mort est toujoiurs lointaine, la mort est un pâravaent, la mort épie, la mort guette, la :=ort voit ... de son trou «borgne bcomme tout», la moprt a une sorte de vista de bure, ezlle voit de’puis son trou ... borgne comme un coquillage, mort dite «de mes deux» (oups), mort «que dalle», etc, je cherchje le sens,; la mort est une douce chose rude, il s’agit ici de voir au plus lointain, les données de base alignées or que ou quelles sont elles ? je suis homme des cavernes,
je vais et je viens en cet antre vide, vers parois ornées etc, je suis un homme des cvavernes, je suis notifié, je suis hommùe nommé, mon nom est un pis-aller de première, je ne vais pas loin et mes
mots non plus ne vont pas loin, les mots ne vont pas l;oin, restent accolés pour ainsi dire, sont des :mots de peu, sont mots qui restent à l’étage du peu, les mots ne montentb pas, ne montentv pas haut = ne volent pas haut, les :mots restent en bas , au plus bas étage, au ras des pâqueretttes et ce, pour ainsi dire tout le temps ! car, les mots ne percent pas ! restent en carafe ! moulinent ! pauvres mots de bas étages ! les mots de bouchje sortent de mon trou de bouche (perçage, saignement) pour aller (fissa) se loger en roche, à mêzme la pierre à graver, et s’inscvrivent, dès lors (l;es mots), comme autant d’effigies pariétales, effigies de rage, figures terrestres, lacunaires (on l’a dit) qui en imposent un temps = le Tezmps, afin de faire accroire et «tromper son monde», il s’agit d’une sorte de «couillonade» mise en oeuvre, un chant inaugural, pour une tromperie-supercgherie, ici, de première : LA supercherie, Véritable Superc herie, LLa PLus Grande DEes supêrcheries, la supercherie ultime, pleine, rage de rage, comme une sorte d'a vancée sur la paroi du temps, un grignotage etc, et, qui saura le mieux parler cde la supercherie notoire ? l’aurochs de céans ? la bete de race ? l’ovin ? la petit caprin ? l’ovidé ? l’homonculus ? le singe vif ? le boeuf ? le taureau ? le renn,e des prés tout agenouillé ? la blanche colombe ? l’hommùe ou la femme cdes prés ? l’animal échevelé ? le blanc-bec ? la sauterelle ? l’organisme invertébré ? le microcéphale ? nous cherchons la vérité dans les embruns, les motifs sont nombreux de satisfaction, qui nous laissent songeurs / songeuses et béats / béates : la peine est donc légère (au bout du compte) qui nous pend au nez, ou pas vrai ?
nous voulons comprendre loin dans le sang,
nbous voulons aller loin en cette roche du preésent offert par l:a bande, notre cadeau suffirea-t-il et si oui combien de temps ? le temps est la grande affaire dépôsée , nous sommes ici accolés aux :mots comme des sortes de limaces entre elles, nous sommes collés et comme accolés, etc, nous solmmes accolés et comùme collés ou bien collés ou commùe accolés : aux mots de ta race première! mots d’insultes s’il en est ! élucubrations et insanités ! «gros mots « de l’enfance accouchée ! insultes à agent de trait ! mises au tombeau ! sinécures ! entrelacements morveux, chapitre clos !
14/6/2021
nbous parlons une langue commune alors nous nous devons d’aller ensembkle loin en cette roche, ici, des vérités dite «de pôids» , et ce, vers des lendemùains lumineux, vers des vérités de bonne fame, etc, notre nom est commun, nottre envie est douce de creuser la roche à plusieurs, en transe, à main levée, nous devons comprendre cette chose (pour nous) d’une destinée pariétale toute à partager, noptre envie est poartagée, nous sommes des qui allons de cvo ncert, je suis homme des parois brutezs, je monte et je descends, je vais ezn roche sous le jhoug, mon nom est un nom de roche dure, le temps est la maison, le temps est cette choserude dev ant soi comme un présent de bon aloi à découvrir fissa par la bande, nous sommes des etres de peu, ottre nom est nom d’emprunt, nous gravitons, nous sommes en roche ceux qui sont sur roche pour elle, nouys sommes dxoux en elle qui gravons nos noms d’emprunts comme par mla bande, les gravons dfe concert, nous disons le nom, nous disons ce qui arrive en nous en termes de vocables échus, nous sommes sous l’emprise vive d’une voix de roche dure, qui nous prend d’assaut à gouvernbe et ne nous lâche plus, nouys sommles des êtres de rocghe des temps et nous nous immisçons en ette roche du levant à la recherche d’une vérité des formes, nous voulons comprendre et savoir, nous ne sommes pas en reswte dez vouloir cela et nous y allons, je sui homme des cavezrnes, je porte un nom, mon nom est inscrit sur la roche, je suis l’homme au nom gra vé, je vais et je viens ezn roche, je suis l’homme au nom gravé par la bande et je vais et viens en roche à la recherche d’une vérité, je suis homme des temps alloués et je vais et viens en cette roche du présent de vie, je dépose, je suis à même de faire ainsi acte de dé&pose, sur rocghe, d’un présent de vie vive (morte) qui est (pour ainsi dire) du passé attribué, qYUi est(pour ainsi dire) ce passé de roche des temps, je suis homme ouvert, présent, à l’écoute, pris, envahi, submerghé , éca ertelé, et je vais et viens en ettye roche temporelle du présent de vie : je dépose, mon nom est un nom de dépose (de dépoôt) et se pronons ainsi : aurochs, a , u ,r, o, c h, s, car c’est ainsi que l’on me nomme, c’est ainsi que je suis ici , en roche, gravé par la bande (ou comme par la bande) traçante (en mpoi) qui dit ce qu’elle veut dire, qui est cette chose d’une voix d’emprunt, voix de roche dure, dureté vocale des paroiosq, etc, je vais et je viens e,n cette roche du temps, je suis l’homme des parois du temps, mon nom est inscrit à même la roche ,sous forme animale, je suis l’homme qui trace son nom animal à même la roche du temps imparti, il s’agit d’un nom d’emprunt, tracé coomme par la bande, en soi, ou commeznt ? nous disons par lma bande, nous disons que nous sommes ensembloe à chercher le sens de la paroi dutemps, nous disons que nous sommes ensembvle à creuser la roche, graver)-dessiner des betes de poids qui sont noms cd’emprunt, qui sont des noms de roche dure, nous voulons comprezndre cez qyui est qui ici se trame, en cette roche des temps alloués à une vie que nous dirons pleine et entière (de la naissance à la fin de vie), nous voulons comp^rendre ce qui est de pareille destinée, nous voulons comprendre les donné&es natives, les ressorts cachés, les attributs votifs, les pariolres df’incantation, les voeux, les poids nominaux, les cghoses ancrées dans la roche, les dessins de bêtes, les tracés géométriques, les paroles à la volée, les paroles de candeur, les voix d’outre mesure, les cris du christ, le détail de toute kl’affaire pariétale, le détail de tout, nous voulons comprendre ici ce qui est pour nous qui nous attend au coin du bois pour ainsi dire, nous voulobns comp^rtendre ici ce qui est (ou existe) pour nou!s en tant que nous sommes des eztres qui allons ezn roche à la recherche d’une vérité soit d'une vérité de bon aloi, nous almlons en roche à la recherc he d’une vérité : de bon aloi et de bonne mesure, bnous voulons creuser la roche ensemble (langue commune) et pour cela nous alloons de pair en pareille roche du temps, nous allonsainsi de pair à) creuser et creusons, nous voulons comprendre, nous sommes deux (ou plus) qui voulons comp^rendre et aller, qui cherchons à faire cette cxhose d’une crevaison, d’uncreusement de roche, d’une entaille dans la reoche etc, afin de «passer outre» et de nous retrouvezr «de l’autre côté», nous voulons ensemble agir et creuser ensemble la roche du temps, nous voulons ensemble (langue d’appoint vcommune) creuser la roche, creuse que tu creuseras la roche ensemble, dur de dur, et travezrser, passer de l’autrte côté, passer ainsi à charge du temps, comme des aurochs de roche, de l’(autre côté = dans le temps de la roche gravée (art de bure) et ainsi fait aller loin en icelle vers la vérité des embruns, des borsd de l’eau, des fetes votives illuminées, etc, une bouche s’ouvre devant nous, je le vois parfaitement bien car je suis évéveillé et bien présent, je vois fdevant moi une bouche qui s’ouvre, il s’agit bien entendu de la bouche dite «de la mort», il s’agit de cette bouche grande ouverte appêlée «bouche de la mort» et moi de laregarder attentivement afin de la décrire pour ma gouverne et pour celle des miens (langue commune ) et voici donc à quoi elle ressemble : il s’agit d’une bouche ouivertte, = toujours ouiverte, il s’agit d’une vraie bouche c’est à dire avec des lèvres, un antre, une obscurité, une cavité, etc, il s’agit d’une bouche géante, ouverte - en gfrand - devant soi, et qui «appelle» une en,trée de mobile, qui semble peut-être nous appeler ...»
par la bnande ? ...
comment ?
nous essayons de com^prendre les choses qui s’offrent à nottre vision, nous voulouns comprendre ce qui setrame sous nos yeux, nous voulons savoir cz qui est qui setrame sous nos yeux (langue commune) et pour ce faire nous creusons la roche (art) à la recherche de la perle (vérité) niichée, ni pklus ni moins, et cette perle porte un nom qui est (sera ? serait ?) le nôtre ou sinon comment ? nous voulons savoir, nous envisageons, nbous cherchons, nous sommes en quête etc, d’un savoir anvcien (antédiluvien) qyi saurait nous dire ce qui l’en est de pareille bouche grande ouverte devant soi : qui ou quoi est elle ? une ca vité sur «rien» (trou borgne) comme un coquillage ? ou quoi d’autre ? une plénitude sansfaille c’est à dire sans réel passage ? de quoi s’agit-il ? nous voyons (je vois) la bouche grande ouverte ! il s’agit cde cette bouche-cavité de roche = entaille de grave, il s’agit pour nous de comp^rendre cette entaille à la lumière de la vérité «révélée», nous edssayons de comprendxre ce qyui est ici qui se trame en cette rochge des temps impartisz à une vie ciblée, nous sommes (nous) langue (commune) attribuée (sur roche) pour la vie à vivre : cette langue de prairie, de bois et sous bois, langue des cerfs, des biches, des betes de prés, etc, nous parlons la langue de la voix (motrice) en nous : cette chose rude (colère) qui exprime sa plénitude, nous parlons une langue surajoutée, notre nom est noté sur paroi, il s’agit d’une figure de bete de roche, nous disons que bnous savons cela et nous le proclamons de vive voix, la mort est une bouche ouverte, la mort est une entrée, la mort est ouverture, la mort est obscurité, la mort est antre (antrale) et se p^rete à etre découvertte par la bbande langagière d’une langue attribuée, nous savons cette chosqe ici comme quoi nous sommes nanties d’une langue pour tous et pour toutes et qui est cette langue de la vie qui est à passer, à vivre conhjoint, etc, nous disons que nbous sommes dès lors soudeés à pareille langue et c’est ainsi que nous allons en rocghe, soudés à elle, comme en vrai deux betes de poids (de rang) qui labourent le chantier, le champ de la destinée, etc, noàtre vie a des a llures de tracé votif, nbous ne sommes pas chichesz de l’ignorer, notre but est affiché, nous sommes oà larecherche de la vérité allouée à paroi du temps, nous sommes plusieurs en nous memes car porteurs et porteuses d’une langue (de choix) commùune, langue-appeau, langue-apprêt, langue-oripeau, langue des embruns de bord de mer, langue pariétale o combien, langue de la vie sur roche des temps etc, nous voulons comprendre ce qui est ici , en cette roche des temps impartis, qui nous regartde, nousépie, nous «mate sévère», etc, nous voyons la mort en fa ce : cette bouche d’ouverture grande, cette excavation, ceztte entaéille, ceztte trouée, cette fissure, ce passage, cette grotte, cette cavité, ce trou de rochge, ce trou dans la roche, cette cavité interne à la roche, cette trouée dansd du dur, ceztte chose d’un trou borgne (?) ou sinon borgne comment ? comment est ce trou, ce trou de la moprt à l’oeuvre , commùent ? nousq cherchons à savoir à quoi ressembkle la mort la bien nommée (bien ?) qui serait cette avancvée de cghoix de roche, devant soi, entité pareiétale de bon ou de mauvais aloi, qui sait, qui serait pour nbous une main tendue, secourable, un appel du pied, un coup de main, une sortie possible vers des lendemains encjhanteurs, ou sinon enchanteurs, existants, ou sinon existants rassurants, etc, nous cherchons cette chose ici d’une sorte de compréhension de ce que c’est qsue cette mort de roche devant soi, qui sezrait La Mort de bon (ou de mauvais ?) aloi, et pour le coup nous creusons le temps du présent alloué , offert, nous offrons le temps que nouqs avons reçu en héritage, nous doonnons le temps à mada me, à ce monsieur, à cette bvouche ouverte, à ces lèvres de joie, etc, bnous eesayons de comp^rendre ici ce qyui est qui serait pour nous la vérité des choses du monde, en courant comme court la vie, en cours de route, avec le temps phrasé de la roche dure, qui va ainsi caracolant, sur cheval fier, sur cheval de roche, nous voulojns comprendre «en passant» ce qui est ainsi ici aussi de pareille roche ouverte comme bouche -mort de bon ou de ma uvais aloi : ce que c’est que la mort, ce que la mort est, pour nous, npour nous tous et toutes, pour nou!s qui sommes des eznfants pa rlants, pour nous qyi sommes enfa nts delatribu du monde, nous voulons comp^rendre ce qui est ici de cette roche des embruns, de cette roche «ouvezrte» à notre immixtion salutaire (?) et pour ce faire nousq creusons, nous creusons de concert cette roche des temps alloués, nous essa yons de comp^rendre en, passantv (course contre la montre) cette chose de lma mort à l oeuvre, ce qu’elle eswt pour nous à l’intérieur de notrte langage vcommun, ds’homme et de femmes ici d’un clan attribué, nous essayons de nous dépatouiller de cette chose d’une la ngue attribuée pour une gouverne ou à une gouverne de roche (dure) quui dure, nous voulons comp^rendre cette chose de la mort viçve, devant soi, qui «tend les bras» (les mains ?) et nous abjure de vouloir «la suivre» ou bien de suivre ce sentier de roche vers elle, ce»tte voie d’accès salutaire (?) ou sinon comment ? nous cherchonsz à mettre des mots, à déposer, nous cherchons mots à déposer sur roche (gravures, dessins, etc) et pour ce faire nous entrons en transe, rien cde plus facile : nous sommes portés en nous par une langue, une langue nous porte, noys sommes en nous portés par une langue, cettez languevest attribuée par la bande pâssdante, il s’agiçt d’un troupeau de buffles, etc, nous sommes porteurs-portés et nous avançons en cette roche des embruns à la recherc he d’une vérité de roche dure, qui «le fa sse», qui puisse «le faire», qui puisse nous donner cette chose d’une sorte d’élan votif ou comment ? qui serait pour nous ceztte cxha nce en nous de poursuivre encore et toujours sur la voie du temps de paroi, nous cherchons p)ar la bnande, à travezrs la bande, à travers cette érection de choses, de pârois, etc, sur roche, etc, cette chose d’une sorte de ^parole de vraie véritée, etc, nous ne voulons pas lâcher de sitot le grappin, nous sommes accrochés (art) à la roche du temps par (via) ce grappin là que nous voyons sortir de notre bouche pour allezr fissa traverser la roche et se loger en c ette autre bouche de roche destemps, qui est Bouche-LMortde la mort à l’oeuvre = celle là qui nous «tend les bras» comme en des épousailles célesqtes, nous ne voulons pas mourir, nous ne voulons pas mourir, bnous ne voulons pas mourir, nous ne sommes pas prêts, nbous ne wsommes pas encore prêtes, nous ne voulopns pas mourir, nous ne voulons poas passer ml’arme à gauche, ous ne voulons pasz ;mourir tantôt, nous ne voulons ^pas passer l’armev à gauche de sitôt, nous voulons savoir sans voir, nbous cherchons cette chose d’un savoir (la mort) sans la vivre (la voir) etc, nbous v oulons comp^rendre cette chose d’un savoir privé d’un voir ou sinon comment ? d’où le langaghe attribué comme un organe en soi, qui sort de soi, comme une sorte de queue de rat (pariétale), et va à se loger sur roche dire «sa» véreité de savoir tout cru, de savoir nu, etc (sans l’adjonctiopn pour ainsi dire d’un voir de visu) , nous voulons savoir la mort ce qu’elle est, nous voulons savoir ce que c’e’st que cette chose dont « on « (= nous) nous parle (= nous
pârlons) ,
nous voulons ce savoir associé à un voir ou à un voir de près mais sa ns ezffet sur notte gouverne autre que de connaissance, nous nous approchons d’icelle (La Mort) et nous essayons de voir à) quoi ellez ressemble, bnous voulons savoir à quoi elle ressemble, nous voulons savoir à quoi ressemble la mort, nous voulons savoir ce que c’r’st que
la mort,, ce qu’elle ezst, qu’est ce que c’est que cette chose? qu’est ce que c’’rst que cette chose de la mort incluse ? nous voulons comp^rendre et pouvoir décrire, nous voulons la voir sans la subir et du coup nous avons du mal à agir, à faire ainsi que nou!s puissiiiions mettre deezs mots ici sur icelle «qui nous tznd les bras» comme une amouruese,k ou comme une personne qui serait a venante, bienveillante, enrobante, etc, nbous voulons savoir à quoi ressemble la mort, et voilà ce qui à présent (!) nous occupe, cette cxhose d’une volonté fa rouche de com^rendre et de voir de près afin de pour le coup pouvoir décrire au sein du langage commùun les traits de pareille Chose du levant, cette chose du levant qui est cvette cghose du présent (de soi) déroulé, cette Chose d’un temps alloué, impa rti, déroulé sur roche cxomme ca valcade etc, la mort est une chose rude, elle est ouverture (jusqu’où ?) et cette ouverture est un levant, nous voyons cette bvouche toujours (toujours !) ouverte devant nous, il s’agit (donc)
de la boucxhe ouverte d’une chose
de type «entité de roche», nous essayons de co=mprendre cte chose, nous voulons aller loin dansq la compréhension de pareille entité rocheuse, nbous voulons aller loin en, elle, qui est elle ou quoi est elle ? la mort est une bouche ouverte ! la mort est une bouche bée ! la mort est une boucghe béante ! la mort est une bouche de vie ! la mort est la bouche (embouchure ?) de la vie ! la mort est grande ouverte et grande ouvberture ! la mort est anttre ! la moprt est un intérieur ! la mort est une pièce de vie ! la mort est ce devant de roche dure , ouvert pour la peine, qyui tend «des bras» de forrtunes diversess (selon les etres), la mort est une bouche perlée, la mort est un coquyillage perlier ! la mort est close sur elle m^$eme, la mort ne sort pas de la vie , c’est à dire du langage ! la mort est une entitév nacrée comme de juste ! la mort est une entité na crée comme de bien entendue, comme de juste,; et cxomme il se doit (?), la mort ne nouscregartde pâs (?) ou tout le contreaire ? la mort nous regarde, la mort nous épie, nous suit à la trace (a rt) depuis les débuts, la mort est une entité men,a&çante, la mort est un trou de roche où se lover pour la parade, nbous voulons essayer de comp^rendre en pârlant, ce que c’est que ette mort de soi, devant, sur ce seuil, ici même, nous cherchons : qu’est ce que c’est que cette chose ici dépôsée p^our soi en ce cxhemin de ronde pariétale , qsuoi donc ? nous voulons savoir ce que la mort est : nous sommeszs qui voulons savoir sans voir ou sinon en voyant mais sans mourir , ... ce qUI esqt proprezment imposqsible en vérité ! nous chzerchons à comp^rendre la vie pour nous ce qu’elle est et du couop la mort ce qu’elle est aussi de son côté (pendant) : nbous cherchons eznwsembvle dans kle langage (ce commun) ce que est la mort de roche pour soi, pour nous, pour nous autres qui sommes des cghevaux de bois, des buffles tracés à la voléez, des rennes ou des hippopotamùes, etcx, je suis l’homme des cavernesq en transe, l’hommev en transe des cavernes, je cherche une vérité vqui pèse ou pesât dans la balance, bnous voulons sa voir en voyant mais sans mourir etc, nous avons ezn nous cette envie de vouloir savoir, nous avons en nous cette envie de cvoul:oir comprtendre en vie ce que c’est que la mort ! nous voulons d’ici voir ce qui loin làbas se trame et nous attend mais comment ? la mort est entière, un rond,une bouche =une trouée (échancrure) dans la paroi : creusons ! creusons ! creusons ! creusons ! cxrezusons ! creusons ! creusons ! creuysons ! creusons ! creusons ! creusons ! creuso ns ! creusons ! creudsons ! creusons ! creusonsq ! creusons ! cdreusobns ! creusons ! creusons ! creusonds ! cr’uesobns ! cxreusobns ! cr’eusons ! creusons ! cfreuobqns ! creuso,ns ! cr’eusons ! creusons ! creusonsq ! creusons ! creusonqs ! creusqonbs ! crezusons et laissons agir, laisson,sfaire, abandonnons un temps, etc, nous sommes ensemble pour pa reille mission, à mener à bien,n, celle là qui con,siste à creusezr encore et toujours la roche du temps alloué (art de roche dure) afin de cette chose faire (mener) qui est celle ci que nous nommons du nom de «rezcherche en roche», de «recherche de paroi rude», etc, je suis un homme des cvavernes, et de ce fait je vais et je viens dans la roche car je suyis muni de pouvoirs étranges et surnaturels qui me font aller où je veux quand je veux ! je squis un homme desz c a vernes, et du coup j’ntre en transe à main levée et trace, je suis homme des cavernes du sud de la france, je suis cet homme des cav ernes traçant roche (betes de) et gra vant à l’envi ! mon nom est mon nom ! je suis l’homme qui va sur la roche du temps (à la naissance), gra ve que tu graveras, puis meurt (se meurt) à m^$eme la roche terrestre et oup la oup, sortes de loopîngs pour une incursion da&ns la stra tosp)hère parié&takle des embruns, bnous avons franchi le Rubicon et nous voilà nantis de pouvoirs secretsq, occultes, surna turzels (?) ou sinon surnaturezls n,a turels mais d’un genre un peu spécial , il s’agit pour nous de pouvoirs octroyés pa r des voies pa rticulières, etc, nous voulons cxomprtende ette cghose ici pour nou!s : loa mort, la mort est cette chose ici pour nous qui nous tend les bras, qyui nous regarde, qyui nous parle (susurre) et nous demande içnstammznt de bien vouloir nous aligner deux par deux et entrezr en elle, comme (exa ctemenht) des écoliezrs ezntrant en classe (rangs droits) , nous pensons cela , nous pensons que nous devon,s aller ainsi en roche , à la rechezrche d’une vérité de bon aloi, de bonne renommée, nousq devons cxomprtendre les données bruteezw, les données données pa&r la ba,nde rude des temps, je suis homme des cavezrnes,n, la véerité se loge en mon, venttre, je suis homme qui va de guingois en cette roche des temps impartis mais j’entre ! je suis cezt homme aux embruns matutinaux, qui va et vient en cette roche des temps rudes (durs) et va à se loger ainsi, dans un pli de roche, au beau milieu des bêtes de poids , betesq de roche pes a ntes, quyi toutes paissent à l’unisson comme de juste, nous sommes des qui = nous en sommes, nousq sommes des qui cherchons, nou!s faiso,ns partie de ceux et celles qui cherchent ensemble (lan,gue de tribu) et vont ensembvle à tra vers la rocxhe (tete prezmière comme un nouveau né,n la plupart du temps) en cette roche des parois du temps, nous chzerchons des vérités rudes (dures) sur le’squelles de fait pouvoir tabler et se poser tangiblemùent, tables ! n,ous-je voulons)-veux aller en roche «voir la mort» pour notre gouverne (la lan gage en son entier : cette échappée belle) et là (en ce lieu précis) choisir : ou je-nous va is-allons ici, ou je-nous veux-voulons aller là, etc, je-
nous veux-voulons aller ici ou bien je-nous veux-voulons eznsemble (le lman,gage des sqphères) aller là, nous voulons comp^rendre : 1, les arcanesq, 2, le sens exa ct desq mots, ... car tout n’est pas donné d’entrée de jeu... ou si ? et si tout eétait donné d’entrée de jeu ? et si tout à la naiossance était donné sans plus de recherche à mener dans le sens de
«recherches sur la Chose par les ou la voie de l’intelligence»,
et si tout était donnéà la naissance en termes de savoir et de connaissance !,; et si tout était donné et clair et net ? nous cxhercghons de nottre côté ce quii est disposé là sous nos yeux mais que les mots cachent , cachent obstinémen,t ! nous voulons comprezndre les arcanes et nbous pensons que la voie de la raison est peut-^$etre une très bonne chosecpour certaines cghoses mais gros doute sur la mort, sur sujet pa reil, gros gros doute ! nous essayons de comp^rendre la mort ce qu’elle est au juste = de visu, à quyoi elle ressemble et voilà pourquoi nous posons toutes ces qUestions à la cantonade et àbrule pourpoint ! la mort = l’entité = la Chose = la vérité sur les prés = la mesure du tempsq = la voix céleste et la voie céleste = le ttribut = la cxhose à vouloir par la bande (ou non ?) = le ciel = le ventre = la peine = le sang qui court dans nos veines (ou pas ?), nous voulons cxomprendre ensemble (langage commun) ce que c’est que La Mort majuscule, quoi est ce ou qu’est ce ? notre but est affiché sur un ponton, nous voulons voir et sacvoir et si possible sans devoir passer à travers elle et du coup mourir mais en sze tenant prompt à possiblement nous échapper de ses ghriffes, la mort = deux mains , tendues vers nous, il y a deux mains devant nous ! la mort cf’est deux mains, une droite et une gauche , en parfaite symétrie , comme il se doit ! la mort = deux mains ouverttes, tendues, prêtes à nous accrochezr, à bnous enlacer, à nous attra pper, à nous entourer, à nous prendre en ellez, vers elle eztc, la mort = deux main,s devant soi, ce temps de roche dure , ce temps qui est ce temps, dur, des parois de grottes, je suis l’homme des cavezrnesz de lma rochje dure, j’hbite le temps, j’habite l’intérieur du temps, mon langa ge est une issue, je suis l’homme qui pousse la chose au bout de la roche, son canif, et quyi gratte et gratte, à faire venir (advenir) le dessin d’une bete de choix! je suis un homme de la roche dure», mon savoir est le savoir commun à une langue, cette languec est une a rme (un outil) dec perçage deroche, une arme est un outil( ? ), etc, je suis homme de la roche du temps, je suis cet homme de roche des temps alloués, je suis cet homme des roches, je suis cet homme de la roche dure des temp)s impartis, je suis cet homme dela roche dure des temp^s impartis à une vie d’homme, je suis un homme des cavzernesz, je vbais et je viens en elles, je m’appelle ainsi que lk’on me nomme , noud s allons en roche à la recherche d’une vé&ité, nous voulons sqavoir le nom de la roche, quel est il ? «La Mort» ? nous l’ignorons ! quel est le peztit nom de la mort à l’oeuvre ? nhous voulons connaittre ledit petit nom de la mort à l’oeuvre !
nou!s ne savcons pas quel est il !
quel est le petit (petit ?) nom de la mort à l’ oeuvre, celle là qui nous atte nd «devant» , de pied ferme et les bras ouvertts en guise d’amabilité de façade ! qui est là ? qsui va là ? quoi es tu la mort ? que nbous veux tu ? qui es tu ? squi veut tu manger en premier ? nous ne voulons pas de toi ! nouys ne voulons pas te voir de près ou oui mais tu m’as comp^ris ‘ laisse moi tyranquille dans mon coin de roche ! ne me prends pas en ton wsein mais laisse moi aller en roche (dans le temps sauvé)n où bon me semble ! la mort est une sorte d'entité votive, une grande ouverrture de paroi,, ce V de roche allouée, cette fissure , ce V de crevaison, de creusement, etc, cette croix notifiée sur roche afin de signifier l’endroit précis où donc aller ensemble (langage) s’immiqscer ! la mort est une et indivisible ! la mort est mathématrique ! la mort est un V de roche des temps ! je suis cvelui qui est pour vous celle que je suis pour ezlles ! je ne veucx pasc mourir ! repousson,s la mort de toute nos forces ! repoussons cette chose qui nous tensd les bras ! je n’en veux pas, je ne veux pas d’elle ! la mort ne me plaît pas, ne me tente pas ! elle est mùoche , rugèeuse, saignante, ulcère des bois, varices, sa letés, etc : une meu ! la mort est une saleté ! la mort est comme prise dans la langue de l’injure traçante, par défaut ! la mort est ... et ici la langue est en relai en ses et ces extrémités ! voil;à le hic ou pot a ux roses ! l’injure, adressée à la mort (exemple : «pute borgne !»), est ici en relai de cette sorte de ... non-sa&voir intégral ! je sais cette chose ! je sais tout cela ! les mots de l’injure frappent la paroi (gravebnt) de nos noms d’oiseaux ! injures ! inhjures ! ici injures ! ici mùême : injures ! nous disons leqs «gros mots « (aurochs) que nous cxonna issons ! nousq en avons pour nous toute une liste ! nous avons pour nbous toute une liste de gros mots ! en nous ! antre ! entre nous ! tribu ! clan! famille ! ezntité communautaire , etc ! nou!s avons pour nous tout un ta s de mots grossiers quyi sont ceux là que nous donnonsv peut-être en guise de descriptifs détaillés (!) de ce qu’est la mort pour nous (qui ne la voyons pas) : les mots donc grossiers sont ce pis-a ller de première = vie incandesceznte = temps brûlés ! voilà ce qui est ! nous disons (je dis) cette chose ici, de ce non-savoir remplacé ! nous voulons savoir la mort ce qu’elle est , nous voulons comp^rendre la mort à qyuoi elle resssemble, de quoi s’agfit il ? où trouver des répmonses à pareilles questions ? à l’intérieur de la langue, sinon où ? à l’intérieur de la langue ? où sinon ? je suis un homme des ca&vezrnes, mon nom est nom de roche, la mort est inscrite quelque paert mais où (quelque part mais où ?) et voilà ce que nous serions à même de vouloir connaittre , nous avons pour nous cette chose, cette chose est ce vouloir, ce vouloir est une gageure, nous cherchons à mêmev la roche creusée, nbous voulons chercher à mùêùme la roche creuse, no!us fouillons , nous pensons que le lan gage humain , porté à inca ndes cence, est comme un descriptif de c e que ‘est que la mort à l ‘oeuvre , nous voulons essayer de comprenxdre ensemble soit ainsi : munis de notre pain de verbe, de verbe tendu ! nous voulons savoir, nous voulons savoir sans voir, $nous voulons sa voir maisq sans du tout pour le coup passer l’arme à gauche, nousz voulons savoir ma is sans passer, nous voulons sa voir -voir mais sa ns passer, nous voulopns savoir = voir mais pour cela sans trépasser ! voiulà la bonne formule ! nos ambitions sont claires et sont tracées à même la roche ! nous avons une a mbituion qui est celle cde cxonnaitre les tenants et les aboutissa nts du langage pariétal cde la roche du temps, bnous avons à co:mprendre cette cghose (pour nous) qui est cette cxhose comme quoi nous sqommes
(seriions ?) mourants, et pour cela nbous devons passer tete première dans la roche et bne plus reculer , et là regarder : les aurochs, les buffles, les rennes, lers cgheveuils, les biches, les boeufs, les chacals, les bisons, etcx, je suis homme des temps impartis, mon langaghe (imagé ! haut en couleur) est le descriptif «détaillé « cdee ce que c’est que la mort à venir (pour soi) et voilà ce qu’il est : il est cette chose d’une sorte de brouet sa lace, injurieux, macabrement injhurieux =
que des mots c»gros», «gros mots» de la roche des temps , je suis cet homme des temps impaertis et je viens en roche à lka recherche d’une effigie, ezffigie de la mort à l’oeuvre, je suis homme des ezmbruns nacrés de fonds de mer, je suis l’homme squi ne sort pas mais amplifie la cxhose rude, et la pousse à se montrer dans son attirail de fortune, sa pelisse, sa& peau dx’ombre, eztc, je suiis un homme dees temps donnés, ce tempsc est donné d’un côté et redonné de l’autre , ... et la vie dans tout ça alors ? eh bien ... la vie est logée (loge cardiaque) au cxhaud, et se tient à l’écart, si possible, des intemp éries, des épreuves dan,gerexusement mortelles etc, nous ne voulons pas dféfaillir et passezr l’arme à gauche ! nous ne voulons pâs mourir ! nous ne voulons pas mourir ! nous ne voulons pas mourir ! npousq ne voulons pas mourir ! nous ne voulons pas mourir ! ! nous ne voulons pas mourir ! nous voulons rester en vie ! nous voulons rezswter en vie ! nous voulons rester bien en vie ! nous voulons rester bien en vie ! nous voulons rester en, vie !nous ne voulons pas mourir ! nous voulons rester en vie ! nous ne voulons pas trépasser ! nous tenons à la vie , nous tenons mordicus à la vie ! bnous tenons à la vie mordicus ! nous tenons plus que tout à consezrvcer la vie pour nous ou à part nou!s c’est-à-dire en, nous , à part nous = en nous ! nous ne voulons pas etre a spiré par la boucxhe de lac mort, nous ne vopulons pas être accaparé par les bras ouverts de la mort à l ‘oeuvre , nous tenon,s à rester en vie et du coup nous hurlons à son adresse des insan ités qui sont, sur elle, les seuls mots que nous pouvons dire, faute de renseignements brûleants ! les mots sont ceux là que nous proférons;, et sont mots de peu mais à fort pouvoir iincandescvent d’incantation votive ! mots d’injuresq prinbcipalement : saleté des saleztés ! mochzeté des mochetés ! pourriture des pourritures ! putain des ^)utains ! etc (tout y passe forcément !), ainsi de suite, car la mort est in descri^)tible en vcérité, elle est (peut-être) logée (on pezn,se) et les seuls motsq que nou!s pou!vons «poser» sur elle szont ceux là que je viens de dire, des insa nités, saletés, méchancetéqs, etc, tout le mauvais dit du verbe exactement ! nous disons cette chose d’un lmangage humain
comme porté à incandes ence, en guise de
«savoir»octroyé par la bande ou commeznt ? le’s moçts ici sont mots d’injures (= de peu) censés pouvoir (du coup) dxécrire la mort,
la m:ort est à décrire mais comment ? bouche ? trou ? cavité ? grootte ? excaveation ? etc, on cherc heà com^)rendre, on veut cette chose !on veut comprendre ) on veut prendre sans «rendre» ! on ne veut pas «prendre» pour quelqauun que nous neserions pas mais qui sommes nous ? nous ne voulons pas «prendre» pour squi que ce soit d’auttre que nous a& priori , ou du moins : nous ne voulons pas ra masser» pour quezlqu’un d’auttree que nbou!s qui serions pour le coup innocent innocente en cette matière dxont nous pa rlerions, nous essayons de comp^rezndre un enswezmbvle ensemble et évidemment cela est ju!stement cela que nousq chgerchons à en vrai vouloir savoir ! nous voulons ensemble (langa ge) comprendre et savoir sans voir = prendre, mains, ... les yeux fermés prendre xdes mains, au risque d’y laisser des plumes, nous voulons cxomp prendre = prezndre, et non pas dérouiller ! ça non ! ça surtout pas ! pas mourir ! pas mourir ! pas mourir ! pas «prendre» poour quelqu’un d’autre ! nous ne voulons pas «prendre « pour qui sque ce soi t d’autre = nous voulons une justice ! nous voulons comprendre les enjeux qui sont des eznjeux p)ariétaux , nous cherchons à comprtendre les donnéews brutesz, ce qui est qui est, la véerité sur le monde de la mor à l’oeuvre , ce qu’ellme est et en qauoi elle «nouys regarde», quoi est ellme ? bouche ? trou ? lèvres ? sexe ? nous ne savons pas voir car nous nepouvons pas voir car pour voir il faut etre en,
or nous ne voulons pas etre en,
car pour etre en il faut mourir et si tu meurs, que vois-tu ou verras-tu etc ! la chose est coton ! du coton ! du coton de bure ! bure et chan,dail ne l’oublions pas ! ou n'oublions pas que cet habit de bure est (pour ainsi dire) la vérité (vérité de céans) et pour le reste (la mort) difficile de se prononcer car, qu’a-t-on vu de visu ? que dalle ! rien ! pâs ça = pas l’once d’une, etc ! je regarde écarq<uillé la vie qui va et je comp^rends (réalise) ce qui est ici qui me rega rde et semble me tendre les bras et me sermonner comme qui dirait ! or merdxum ! pas de toi ! nous n’en voulons pas ! les mots -injures sont des animaux sortis de notre bouche, les mots-animaux sont des inhjuresq ! les injhurss en bouche sont des animaux , je suis cxet homme des cavernes, je vais et je viens en roche, je suis en roche homme de peu (bure, vilénies) et vais ainsi à la recherche de la vérité sinon des prés celle des sous bois, et sinon des sous bois celle des bvois, etc, je suis un homme des cavernes, je suis cet homme des cavernes en pareille rochze, ... je veux la vérité ! je suis un homme des cavernes et je veux la véreité ! je demand à Mort de rOche la vérité, et Mort de Roche me répond et me dit (hum) : la lettre V, V majuscule ! ah bon dis -je ! oui : ce vV de Vérité est (sans conteste) la solution à tes problèmes langagioers, il suffit de le comprendre et le tour est joué ! et comment faire pour kle com^prendre ? pas compliqué : entre en roche ! lévite ! passe la tete et fissa pénètre ! pas plus dur que ça !
j’essaie de piger !
je suis sur un chemin de roche et j’essaie de comp^rendre les choses de la vie comment elles se trament, mon nom est un nom inscritt sur le regisqtre de l’état civil, ni pklu ni moins, je suis un homme des cavernes à lac recherche de ce V , saillant de Vérités, quel est il ? comment le trouver ? coomment faire pôur le dénicher ? est il un V de ra ge, genre «bisque bisque rage» , etc ? quel est il et où est il ? les mopts portés à leur incandescence sont des noms d!oiseaux pour ainsi dire ! il s’agit de bien vouloir se mettre cela en tete et d’a va ncer toujours ezt ezncore sur pareil chemin tracé, je regarde le plus possivble mais je ne vois rien de bien notable concernant la mort, elmle est bien ca chée «disent» les mots, elle ne s’ezn laisse pas comp^ter «disent» les mots k! les mots parleznt ils ou bien est ce les hommes et les femmes qui parlent ? qui parle ? that is the qustion toujours !!!! qui pa rle en nous ou en notre nom ? les :mots ? les mots-betes ? les hommùes et les femmes ? tous et toutes les hommùes ? un ensemble comme tribal ? qui est «derrière» ? qui parle pour nousq ? nous ? qui est aux commandes ? nous ne savons pas qui est aux commandes (origines du Tout sur terre) : quui ? nous voulons savoir (voir) sans voir (hé !)et pour cela, nous nous accrochons à la roche et dessinons à main levée des betes-mots censés représenter ce que nous sommes au plus preofond de nous , nous dessinonsq ici des beteqs préhistoriques car nouys sommes préhistoriques : en moi est loghé un homme de la préhistoire, qui est il ? je cherche à cvomprendre-savoir-voir-cerner-saisir la vérité sur l’homme des ca vernes, et sur la paroii ornemùentée, et sur le vlanga ge de la vérité, et sur la question de la vie et de la mort, sachant que je ne sais rien mais en vrai qui sait ? qui peut dé&cemment et modestemùent setarguer de sa cvoir et de comprendre, etc, nous sommes des enfants de roche, ezn,fantsq de la roche du temps, mo,n cxhant est celui là qui dit en quelque sorte son savoir déchu, son peu de savoir vrai, etc, nbous voulonbs dénicher l’oiseau vif da ns son nid de brindi!lles, de mousse, d’herbes diverses, jez suis homme de peu = de bure, qui vais en roche chercher pitance, quelle est zlle ? elle est pitan,ce de termes injurieux, je suis l’homme qui va, ainsi, au plkus profon,d de la roche des temps emmmelés, et là, regarde autour de lui et que voit il ? il voit des betesq-mots (noms de famillme) quisont dessinés ou gra vées et swe preséenteznt comme autant d’ooffrandes déposées sur roche : ce sont xdesq mots, ce sont deqs noms précis (ressemblance , etc) qui sont pour nous des effigies ! je suis l’animal natif, je suis un être de meu, mon langage est obstrué de l’intérieur, mon langage est comme clos dse l’intérieur, comment faire pour en réchapper, comme,nt se sortir de pareil guet-apens, je suis pris dans les filetsz d’une langue en particulier, déposée, en moi, par la bande, afin de me faire pârler = accvuser des c rimes dont je ne suis en aucun cas l’auteur ou l'autrice ezn vérité or voilà ce qui est en vérité : nous sommes pris et prises, nous sommes saisies, nous passons pour qui ? nous sommes hommes-femmes qui allons en roche et qui cherchons, qui cherchons de nous approcher mordicus de léa vérité et tout de suite nous voyons que nous sommes pîéghée ! nous sommes comme pris et prises à l’étau de kla rocghe dure des temps brefsq, nous y passerons comme tout un chacun et chacune, nous serons touchées comme le voisin et la voisine etcx, je veux savoir, je veux sa voir mais sans voir = me bruler les yeux, je voudrais savoir mais pour cela sanqs me bruler les yeux ! je veux etre en vie ! mon corps veut respirer ! je suis cet hgomme des ca bvezrnes qui tient à la vie et de ce fa it qsue fait il, pour Bouche de la mort, à ses yeux ? il la piège ! il offre sess tourments de roche temporelle et fait croire dès lors qu’il s’agit de sa vraie cvie ici offerte sur table d’offrande, tout comme l'animal de poids, or que nzenni (bien entendu), je vais sur la roche et me donne a insi (image) dans le sas, mon etre est un etre de peu, juste en vie, et cela est etc, mon etre est un etre de peu (de vie) car, je suis cet etre qui v a ou vais en roche se poser et donner de sa voix à des incantations, mon nom est «nom», mon nom est «mon nom», je suis un hommev préhistorique, les mots que j’emploie = invectives, des injhures, immondices verbals, grosse grosse salezté, je suis l’homme de la roche des gtemps alloués, je suis cet homme au verbe échu, donné pa r la bande, sorti de bouche-plaie et allant à se ficher sur roche, les mots que jh’emploie sont rudes, il s’agit de mots de peu, ces mots de peu sont des mots rudes, durs, grossiersq, rugueux, bruts de dé&coffrage etc, je suis l’homme l’enfant la fe:mme des cavernes et voit sur rochez &ller et venir les betes, qsui suis-je d’autre au juste que cet homme des cavezrnes encore et toujours quoiqu’édulcoré par ezn moi ce langa ge de main, de main forte ... je ne suis pâs fou ! je ne suis pas fou mais bete ! mon nom signe ma bêtise (et ma vilénie) ! je ne suis pas fou (hélas ?) mais bete (hélas ?) : je vais en roche, chercher la bonne parole = d’é&vangile : ce qui est est, et inverswzement, ce qui n’est pas n’est pâs, et rien de plus , mais quoi est, au juste ? qui peut dire ce qui est ... en moi par exemple ? entrailles ? hé ! car pour le reste comment savoir, l’importance de la pensée, etc, j’imagine et subodore, je cherchje et furète, etc, comment savoir ce qui donc m’atteznd en ceztte roche des tourments du temp^s, je cherche une phrase qui dirait la chose et m’éclairerait notablement, mai ette phrase n’advient jama is car zlle est phrase de peu en termes de vérité vraie (de conten
ant) et du coup vas-y à sa voir, va sa voir de qauoi il en retourne en soi(intérieur) , pêut-être rien ! on subodfore ! on essaie de batir des choses, énoncés divers : pa cotilles ? dure mère, élucubra&tions, vérités de poids ? nous ne savons pas car no!us ne voyons pas, et pour sa voir il est bon (ici du moins) de voir et du coup de se faire à l’idéee ou «une ideeé» de ce qui est ici et de ce qui n ‘‘st pa s, je suis l’homme des cavzernes immiscé, , la vérité se loge en roche du temps déroulé», le mal rejoint le bien et s’épousent, il n’y a pas de difféfrence entre ;la bete et moi en cette roche car, je suis la bête, et la bete est l’homme que je suis, la bete a son contant de mots en elle, elle est riche d’un vocabumlaire de rocghe dure, lm’animal en moi est bete rude qui se tord ezn moi pour sortir de moi (trompette de larenommée) et voilà la roche ornementée, je cherche mon domaine de vérité, la mort est elle un coquillage perlé (perlier) ? qui est qui ? suis je un animal ? est ce que je contiens au fond de moi (?) un anuimal et si oui lequel ? est ce que je suis rezmpli(a u fonde de moi) d’annimaux -mots de rage ? shuis je un charlatan ? un faiseur ? un forma lisqte ? un homme des parois peintes, l’a rchéologue de service» ? le spécialistye ? suisq je une femme ? suis je un enfan,t ? suis je une betez fauve ? suis je en vie ? suis je s&va nt et ce sans le savoir ? suis je un rapace ? une grue ? pute ? un mot plus gros que la moyenne ? suis je né ? suis je mort ? suis je né a vec handicap ? suis je tordu dans mes désirs, mes enviesq ? vais je aller loin ? qui me dira -donnera la voie à suivre, à emprunter ? mon nom ne dit rien à personne, dit ce rien votif de roche, il s’agit de chose et autres déposées à mù-ême le gris ou le blanc ou l’acajhou ou le jaune beurre dela pa roi, je suis un homme d’élans rocheucxx ou aux divers élans rocheux, et me lançant ainsi je me retrouve comme fixéé à jamais à pareille roche du temp)sq, je suisq lm’homme qui voudrait savoir ma is savoir quoi que les mots au fond ne contien,draient pa s ? les motsq sont de’s récipieents qui ne sont pas gros , les mots sont des bols à faible conte»nance, hje suis l’hommes des temp)s reculés qui chezrche sa voie, etc, comment faire ? que dire qyui soit novateur et neuf sur la qustion ? nous sommes hommes-femmes-enfants-animaux des cavernes soudés, nous sommes soudés feemmes-enfants -animaux hommes des cavezrne’s, nouqs voulons savoir = (sa)voir = comprendre = (com)prendre etc : le cri de l’oeuf ! notre eznvie est celle qui consiqste ici à vouloir savoir : qui est qui ? qyuoi est quoi ? que penser en mots de roche? que penser avec nos :mots de peu ? nou!s ne sommes pas sortis de la meu ! nous sommes encore en plein deda ns et comment s’en échapper , sé’échapper de pareille roche des temps durs ? je veux , je ne veux pas : je veux rester en vie, je ne veux pas mourir ! car ma vie est celle d’un hommefemmeenfantanimal de roche, comme un dire fou de paroi ornée qui serait (ce dire) sorti de bouche-plaie d’un homme de la préhistoire, ou d'une femme de la préhistoire, et moi de l’entoner «derrière» lui ou elle ! je suis un hommefemmeenfantanimal de roche dure (le Temps) qui cherche Une vérité (V) qui fut celle là espérée par lui ou elle (moi) depuis «la nuit des temps» en moi (= la préhistoire) , mon nom est décliné sdès lors sous toutes les coutures, etc, une affaire qui roule ! je suis homme de roche-temps, animal de compâgnie, sermon sur la butte, je vais et je viens car je parcours les lieuwx à la recherche d’une vérité, soit d'une vérité de poids (pesante = rassura nte) etc, mon corps est offert aux qauatre vents de l:a science (pour une autopsie si besoin) , ainsi va la vie !
je vais sur roche armé de mon sarment de vie (vive) calciné (temps donné) et (ainsi fait) écoute , quoi? la roche parler ! elle pa rle ici ou là, elle dit ce qu’elle veut dire (admonestation ?) et moi de tendre l’oreille et de teznter de déchiffer ses divers dires ouvragés ! je suis homme des c avernes, je suis des cavernes, homme-enfant, etc: mots de litanie rupestre ! mon nom est écrit sur roche sous forme animalière et c’est ainsi que je suis appa ru, ici, dans le Temps, car jusque là j’étais inexist ant (non point mort dès lors ou ... oui ?), je me tourne ezn roche, voit la mer au loin, les embrunqs, la roche pezrcée comme une sorte de poche damnée, je veux rester près des betes de somme, je veux rester près d’elles et m’immiscer en leur troupeau, je suis homme de rage pariétale (temporelle) pa rmi des betes ! les betes de roche sont de cezlles que nous aimons, dont nou!s raffolons ! pprions ! sauvons ce qui peut l’etre de l’etre ! ... mon nom ? la voix ? l’échancrure pa riétale ? un secours ? deux mains ? deux mains tendues ? qui so;mmes no!us pour dire cve qui est ? l’etre est dédoublé pour la forme mais ezn vérité, son étant est collé comme parois de roche elles-mêmes soudées forma,nt de fait le Temps imparti à une Vie d’homme, je vois au loin, mon oeil se porte au loin, je vois la roche, je vois cette roche, je vois une roche, il s’agit d’une roche tendre prête à se laisser gra ver, je suis ici le voyant des terres, monsieur de la voyance accrue , ou tintin ? j’avance en roche parmi des betes qui toutes pâ issent gentiment et se tienne,nt quiètes, j’essaie de comprendre un tout, mon nom est ce tout
21/5/2021
nous regardons ! nous avons pour nous cette chose à faire ici bas = en cette roche des apprets, nous disons que cette chose est là pour nous qui nous devons pour ainsi dire de la mettre en branle : regarder ! voir la mort en face = voir venir icelle sous nos yeux, comme ... deux mains tendus, qui nous interpellent ! et que faire ? renoncer à notre vie d’apprets , ? aller au contraire vers pareille mort pour la retrouver, la caliner ? nous ne voulons pas mettre un genou à terre, nouys voulons poursuivre, nous voulons aller plus loin sur le tracé de notre vie, nous ne voulons pas flancher au premier coup du sort, nous voulons cerner au mieux les tenants et les a boutissants de toute cette affaire de paroi du monde, de trou dans la roche, d’ecxcavation salutaire, de paroi mzuble, de trou à tangente, de clarté diurne, de fumée sans feu (?) ou sinon comment ? car la porte ici est ouverte sur une sorte de clarté vive, il s»agit d’une entrée de roche,
dans la roche une entrée claire,
il s’agit ici d’une sorte d’entrée, vers (plus loin) une sorte de sas qui irait on ne sait où nous mener en lui , nous ne savons pas mais nous écoutons, car de lui monte un son, ou bien descent, car un son provient de cette bouche des apprets ou comment dire , de pareille bouche, ouverte en grand comme une sorte de portail, ou de grande echancrure, de belle ouverture de ciel etc, nous entendons, nous savons cette chose ici, en pare-ille roche, d’une sorte de sonorité suave qui est ou serait donc ici pour nous charmer et nous attirer, nous savons que ce son est celui d’un arrière-ban, bnous savons que ce son est le son de l’arrière boutique toute printanière, et vient de loin, de profonsd, du ciel peut-etre ou de la tere ou d’où ? car, il sembleraoit (à première vue) qu’il eut traversé des monceaux de terre ou de comment ? nous ne savons pas et cependant, bnous sommes tous deux en recherche active, nous cherchons comme des malheureux et malheureuse que nous sommes, nous cherchons à savoir les choses, nous cherchons à comprendre ce qui est pour nous ici, en ce recoin de la roche dure, pres de cette porte ouverte des embruns, à écvouter pareille musique des fées, des embruns tout comme, des sphères lucides, des appeaux, nous avons pour nous cette chose en nous qui est la possibilté d’écoute attentive de pareille roche et de ses musqiques -interppariétales ou comment sont ellesx ? nous cherchons à comprendre cette chose d’une sorte de paroi ouverte sur des lendemains : deiux mains qui s’ouvrent pour nous accueillir, deux mains ouvertrtes devant soi, une main gauche et une main droite, on voit ici encore une fois que la symétrie est respectée, on voit cette chose d’une symeétrie devant soi parfaite et encore une fois respéctée, nous savons que nous avonbs affaire devant nous à un «objet de symétrie»,
calculé, respectée, qui est une sorte de chose à deux volets : un volet gauche et un volet droit,
comme une fenetre, comme des bras ouverts, un portail, un vantail ? une chose à deux pans, une chose double = doublé = séparée en deux par le milieu, deux mains qui se tendent et nous invitent à bie,nn vouloir nous glisser ici à leur suite , ou à bien vouloir nous déposer (nous) comme un oisioilloon nidicole, nous sommes des betes de roche (pour le coup) à notre tour, nous sommes devenus (hommes des cavernes) des betes cde roche, nous avons subi les assauts (vifs) du temps pariétal et nous voici devenus des betes à notre tour, sous l’emprise et l’influence en nous de cette bete de paroi massive (,la bete) qui en nous a chargé et nous a fait enttrer en roche comme en religion et nous voici frappant à) la porte du sas, et demander l’absolution pour ainsi
dire, voir venir, et que voit on ? nbous voyons cette chose double, ces volets x 2 qui nous regardent, qui sont devant nous comme une porte à deux vantaux qui sw’ouvre à nous, nous cherchons une vérité de roche contenue, nous cherchons en pareille roche une vérité de bon aloi et d’importance, nous voulons savoir ce qui est de cette roche des temps alloués, nous voulons comprendre long et beaucoup et encore plus sur tout ce qui ici nous regarde, nous lorgne, nous mate, nous espionne presque, ne cesse de nous surveiller ou tout comme, nous voulons savoir à quoi ressembke cette chose d’une ezntrée à sonorités, à quoi ressemble-t-elle ? nous voulons savoir ce qyu’il en retourne de pareilles sonorités ? chant de buffle ? chant de bison ? chant de bouquetrin ? brame du cerf ? brame du rut ? nous voulons comprendre ! nous voulons savoir ! ohé du tonneau ! nous vopulons comprendre et savoir la Chose ! quelle est-elle ? de quoi s’agit il ? où sommes nous ici qui regardons au devant de nous le spectacle
des embruns ? nous voulons savoir et comprendre au plus juste ce qui donc, ici m^me (paroi du temps), nous regarde à dson tour, car il s’agiit d’yeux de roche dure, il s’agit de regards déposés, d’un regard sur soi, un oeil nous regarde et c’est l’oeil d’une bete de roche, bete fauve ou bete de trait, ou bien ... la biche de céans, ou bien le chevreuil bambi qiu batifole en veux tu en voilà à même la roche, nue, escarpée, massive, tangible, du temps, nous disons que nous voulons savoir ce qu’il en est de toute cette chose ici d’une roche des temps impartis et pour ce faire nous courons à qui miuex mieux autour des betes, parmi elles c’est à dire comme elles, nous voulons savoir ce qui est, ce qui respire, ce qui «buffe», ce qui chante, ce qui trépigne, ce qui regarde, ce qui «sousque», ce qui tire à elle ou à lui, ce qui implore, ce qui nous aspire, ce qui nous implore, ce qui nous attire, ce qui nous surprend en plein ébats, etc, bnous sommes deux qui nous présentons devant elle (ou lui) et nous déclinons nottre identité : « je suis le cerf des bois», « je suis la biche des prés», « nous sommes les amants de la paroi nacrée, nous nous aimons d’un amour sans borne, notreeamour est un fleuve, une sorte d’embardée native, nous sommes deux qui nous aimons sans ombre, notre amour est embaerdée native et nous donne le temps de nous mettre au parfum ... de la roche dure, nous sommes ainsi qui venons près de vous pour nous informer et comprendree ce qui ici se joue en termes de volonté, volonté de vérité, ou comment dire cetrte chose d’une sorte ici de découverte ? nous poussons les choses ! noius voulons comprendre aub plus près des choses de la roche, nous ne voulons pas rester sur les bas côtés, nous voulons savoir et comprendre au mieux ce qui est, en cette roche, qui semble nous appeler, de quoi s’agit il ? nous voulons savoir ce qui donc ici se trame en termes de vérité, de volonté, de vouloir, de vraisemblance, de vérité nue, nous voulons comprendre cette entrée ce qu’elle est au juste pour nous, une entrée dans une roche ? une anfractuosité ? une porte ? un sas ? un trou borgne comme un coquillzage ? deux mains offertes grande ouvertes ? une vulve humide ? un caillou ? nous ne savobns pas ! nous ,ne savons pas ce quil en est de cette chose ! nous ne savons pas ce qu’il en est de cettye chose ouverte, de cette faille dans le temps de la roche perlière, nous ne savons pas ! nous cherchons ! nous vboulons comprendre ! nous voulons comprendre au mieux les enjeux et les réalité ! nous avons pour ambition de comprendre au mieux, les enjeux et les réalités de pareille entrée en cette roche dure des temps impartis à une vie de roche et ... de damné ... ou comment ? car, nous sommes deux ici, debout, accolés, qui regardons debvant nous, qui n’en loupons pas unev miette, nous suivons des yeux kles embruns qui sortent de la bouche ouverte, ça y va ! ça fume que tu fumeras ! ça n’arrete pas ! nous sommes témoins de cette chose ici (roche) que nous écoutons , et cette chjose vient de loin (en elle) : éructation ? chant de paroi ? trépignement de bete ? chant des sphères ? acoustique drue ? nous voulons comprendre le plus car nous sommes avides ici de savoir (de fait) ce qu’il en retrourne, et nous ne voulons pasc lacher la chose de sitot mais tout au contraire ne plus reculer et nous jeter en elle, en cette bouche des apprets, ou des appeaux, ou des appats , ous des quoi ? qui nous «nargue» ... ou non ? ... ou pas loin ? qui du moins nous regarde avec des yeux pour ainsi dire langourezux, qui semv$blent nous dire (du coup) de ne pluslazmbiner et de sauter le pas, d’y aller de notre élan, de franchir le paravent ou comment dire ? nous devons comprendre, ici : 1, que nouys sommes deux, 2, que nous sommes face à quelque chose qiu ressemble à une ouverture de quelque chose, 3, que nous sommes invités 4,, que nous sommês plus qu’invités, presque poussés voire carrémeznt bousculés ! 5, que la mort est cette chose d’un devant de soi pariétal, comme une oeuvre ! que l’art est une sorte de pis-aller de première, ce que l’on avance (dépose) devant soi à notre place, et voilà !, nous pensons que cette chose est une chose qui se doit d’etre révélée, et que dès lors, dès lors que cette chose serza révélée, alors nous serons soulagés, ou sinon soulagés nous gagnerons dès lors (vraisemblablement) en sérénité ou sinon comment? en joie ? en qsuoi ? car nous sommes deux à espérer ! nous regardons devant nous, nous sommes deux qui regardons devant nous cette chose, cette chose d’une sorte de paroi ouverte = sectionnée, fendue comme une huyittre, nous regartdons, nous pensons que cette chose est douce, nous pensons que nous devons comprendre (à deux) cette chose de peu, qui est ce mot-bete de peu, à savoir cette chose rase, qui est cette chose de peu (ou d’un peu) qui nous regarde, chose douce ou dure selon les moments, nous pensons que nous avons de fait à comprendre cette chose ici d’une sorte de paroi de roche (roche ornementée) qyui nous regarde, bouge avec nous, est betes de somme ou est couverte de bete de somme ou bien se voit couverte ou qui se voit comme couverte de betes de somme ou de charge (etc) qui sontr ... NOS betes ! soit NOs mots-betes de vie donnée ou octroyée par (en nous) la bande = cette chose tictaquant la vie, nbous voulons comprendre cette chose en ous qui résiste, ce qu’elle esst, ce qu’elle signifie, ce à quoi elle se rapporte, qui parle en ous ? qui s’exprime en nous ? qui dit ce qui est ? qui s’exprime et dit ce qui est de la vie et de la mort en bnous ? sommes nous mortels ? sommes nous des etres de faible pouvoir ? sommes nous des etres forts ? sommles nous des etres durs ? sommes nous des etres soyeucx ? sommes nous des etres attentifs ? sommes nous des etres éclairés ? sommes nous dees etres finis ? sommes nous des etres vifs ? sommes nous des etres langoureux ? sommes nous des etres amoureux ? sommes nous des etres hjustes ? sommes nous des etres intuitifs ? sommes nous des etres meurtris ? sommes nous des etres à paliers ? sommes nous des etres jeunes ? sommes nous des etres n,aissants ? sommes nous des betes de joie ? sommes nous des betes de peu ? sommes nous des betes de cran ? sommes nous des betes douceuureuses ? sommes nous des betes racées ? sommes nous des bêtes vives ? sommes nous des betes de fond ? sommùes nous des betes de l’au dela pariétal en fond ? sommes nous ces betes de roche, qui batifolent, vont et viennent et ne s’arretent plus de s’amuser ? sommes nous de ces betes de hhjoie qui, en roche, ne cessent de batifoler et de s’amuser ? sommes nous des qui nousamusons à batifoler sur roche pour percer icelle d’un coup bien placé? nous cherchons à nous immiscer dans la roche, nous sommes deux (en nous ?) qui cherchgons à (donc) nous immiscer au plusjuste en pareille roche du temps alloué, nous avons franchi des paliers (oui) et nous voulonq aller le plus loin possible, loin de chez loin, en pareille roche des temps, en cette roche (dure) du temps de la paroi ornementée par x hommes ou femmes des cavernes avant nous, x + 1 dirons nous, car nous sommes «homme des cavernes» = je suis cet hommùe des vcavernes ou cette femme des cavernes, venu ou venue, satistfaire en moi cette bete de poids
qui renâcle en moi et cher che une issue de ou depuis moi,
qui, bete-mot, bete de roche, cherche, e, n moi, à sortir de moi, soit à sauter le pas et franchir la paroi etc, nous disqons que nous avons à faire, ici même, cette chose(en roche) de toucher le fond de la grotte et, cela fait ... de remonter ? nous didsons que nous avons à faire en roche une chose, cette chose est dx’importance, ette chose est d’une importance capitale, cette chose est d’une importance considérable et ne doit pas être galvaudée, cette chose est d’une importance première, capitale, et en aucun cas ne doit etre maltraitée ou sousestimée, etc, nous disons que voilà ce qyui est ici : la mort est la chose rude des temps, la mort est cette chose rude dezvant soi, la mort est l’oubli de ta race, la mort est calfeutreée dans son réduit de bufe, la mort est une enculée de ta race vive, la mort est pute borgne de ta race vive, il semblerait que chose soiyt ici cette sorte de... salope !
il sembklerait ici,
que cette chose ici,
soit ici cette chose,
d’une pute borgne ! ... salope! oooheé du tonneau où es tu ? nous avons besoin de ton aide pour savoir la chose ! nous voulons connaitre les ressorts secrets qui président ! la mort est elle une enculée ? la mort est elle une enfoirée ? la mort est elle une pute borgne ? la mort est elle limpide ? nacrée ? aux couleurs vives et bien mise ? ou bien la moprt est elle mal fagotée, débraillée, mall fuichue, mal tenue, mal mise ? nous voulons comprendre les ressorts de ce qui se trame devant nous, qui nous attend, et cette chose peut on décemment l’espérer ? peut on espérer d’un jour savoir ce qu’il en retrourne ou bien macache nous ne saurons pas, peut on ? peut on savoir aujourdhui des choses ? peut on savoir déjà aujourd hui des choses sur pareille chgose d’une sorte de parois toute fissurée ? nous avons envie de sa voir ce qui se trame ! nouys voulons savoir ce qui setrame ! nous ne voulonbs paspasser à côté ! nous voulons connaitre les tenants et les abouttissants de pareille chose «aux embruns» : qui chante devant nouys ? de quoi s’agit il au juste ? d’un chant véritable ? d’un bruit ? du bruit dans la fente ? du bruit de roche vive ? de quoi s’agit il ? nous voulons savoir ce qui est en cette roche des attraits et poour cela nousaavons à nous rapprocher de la fente marquée, tracée dans pareille roche des temps assouvis ! nous nous approchons ensemble : homme et femme de laroche dure, nous sommes les hommes et les femmes de lla roche dure, nous nous tenonspar la main, nous sommes tous les hommes et toutes les femmes (et tous les hommes et toutes femmes en devenir) de laroche dure : tous et toutes, et nous tous et toutes, main dans la main, formant une ronde, un cercle de feu, nous nous approcheons de cette porte des enjeux, nous nousapprocjhons de cette porte «fole», nous pistons la Chose, nousd ne voulons pas nous arreter en si bon chemin car ,ous avonstrotté beaucoup, nous avons jusque là beaucoup trotté ensembvle, tous et toutes, tous les hommes de laterre et toutesles femmes de laterre, tous les hommùes et toutes les femmes, tous les etres humaine et peut être toute s les betes humaines aussi, etc, nous tous, tous et toutes avons trotté, avonsfait un chemin de fou : ce chemin tracé sur roche (sas des sas) est le chemin de tous les hommes et de toutes les femmes de la création depuis le premier jour du monde imparti, nous nous donnons la main, nous nous donnons la main ouverte, nous nous donnons la mùain droite et la main gaiuche, nous nous donnons les mains, nous nous donnons
1 un-e main, et 2 une autre
de part et d’autre, nous sommes binaires, nous sommes à deux volets de roche comme sorte de doublure en soi de part et d’autrte, nous sommes deux en nous qui donnons de fait nos mains pariétales, droite et gauche, à celui ou celle qui nous accompagne et elle ou lui idem: à tel ou telle qui l'accompagne, et ain si de suite une humanité entière, nous sommes l’humanité en roche, nous sommes en roche cette humanité plénière, tous et toutes en scène, nous allons de concert, tous les hommes et toutes les femmes, nous tous, nous allons nous tous en cette roche des embruns de bord de mer, nous nous tenons tous et toutes par la main, nos mains respecrtives sont ouvertes, bnous avons les mains ouvertes, nous ouvrons nos mains pour les offrir à tel ou telle congénère, bnous sommpes ensemble tous et toutes un ensemble de hjoie, bnous tous sommes ensembvle cet ensezmble musical de joie binaire, nous allons ensemble sur roche chanter, nous sommes ensemble qui allons sur roche chanter tous et toutes! nous ensemble sommes qui alloons chanter le chant de la roche des temps ! betes de joie ! betesracées de la joie de l’etre ! nous chantons ensembvle, le chant de la roche du temps : des insabnités proféreées ! nous disons ce qui nouys pèse sur le coeur , nous disons à hzaute voix (une humanité ! ) ce qui nous pèse sur le coeur, à tous et toutes ! nous ne lésinons pas sur les termes choisis en termes de grossiéretés et de vilénies, et de méchancetés gratiutes ou pas car le prix à payer est fort ! nous ne lésinons pas sur les infamies ! nous ne lésino, ns pas pas sur les saletés ! nous ne l»ésinon,s pas sur les puanteurs ! nous ne lésinons pas sur la méchanceté gratuite, fausses vérités, fausses dites, faux dits de la roche, noyus ne voulons pas nous passer des dires ! nous voulons poursuivre ! nous ne sommes pasrassasiées ! nous voulons continuer notree chemin de roche dure ! nous voulons continuer sur notrte voie tracée ! nous ne voulons pas nous arreter en si bon chemin de roche pârcourue! nous voulons savoir les choses du temps = ce qui nous attend, ce qui setrame, ce qui est qui nous regarde zau loin, ce qui est qui s’ouvre à nous comme une bouche, no§us voulons savoir ce qui est en ous qui cherche à sortir de nous via le verbe prononcé, car il est une chose ou cette chose pour nous qui (en vrai) nous parait, comme quoi quelque chose en nous cherche à sortir de nous, via l’action, renouvelée, continue, du verbe en nous : dans notre bouche mais passeulement ! des mopts cherchent à sortir de nous, via la bouche mais pas seuylement = des mots-betes ! on sait cette choes à présent, cette chose est à présent entérinée, est comprise, on sait cette chose en nous mêmes, de mots-betes de première, et ces mots-betes sont en nous logés (où ?) qui nous gouvernent et cherchent par tous kles moyens àb sortir de nous pour aller du coup se ficher sur roche, pour direct aller à trouver sa loge, etc, noussavons cela ! nous ne sommes pas tout à fait sans savoir certaines choses concernant la vie qyui brûle sa chandelle en ous, nous ne sommes pas compl,ètement brûlé de l’intérieur, nous savons des choses, nous savons la bete en soi qui trépigne et veut sortir coute que coute à tout moment, nous ne sommes pas complètement inculte, nous ne sommes pas complètement idiots, nouys ne sommes pas complètement cons, nouysq ne sommes pas complètement bouchés, nous ne sommes opas complètement abrutis, nous ne sommes pas complètement tarés, bnous ne sommes pas complètement crétins, nous n,e sommes pas complètement fous, nbous ne sommes pas complètement racés de la race, nous ne sommes pas complètement diingues ou dingos de ta race ! nous sommes éduqués et connaissons un grand nombre (déjà) de choses importantes, comme par exemple le fait (une évidence) comme quoi en bnous ecxiste un animal de poidfs, qui est (pour le coup) notrte double interne, celui qui nous gouverne, qui gouverne notre vie et nous pousse ici ou là dans nos retranchements dits «pariétaux» ou dans les directions qui lui conviennent en fait de directions de type pariétales, nous ne sommes pas complètement abrutis, nous savons dees choses : cette bete en moi qui me mène pâr le bout du nez , qui cherche Paroi du temps, qyui cherche Pitance (en roche dure), qui cherche uun savoir rupestre, une envolée grotesque (?) ou comment dire ;: sur la roche des temps durs , sur pareille roche des temps qui (en vrai) sont durs pour tout le monde y compris pour ceux et celles qui sont ceux et celles là qui se tiennent sur roche à l’écart du bruit, des sabots du temps, des piétinements, des embardées massives et autres coups du sort , nous savons certaines choses et ces choses noussommes tous et toutes à vouloir (devoir !) les chanter sur paroi rocheuse, bnous voulons (nous sommes à vouloir) chanter cette Chose ! nous ne voulons pas rester à part, nous voulons etre compris et comprises dans laronde ! nous voulons compter ! nous voulonsfaire partie du nombre ! nous bne voulons pas etre écaetés ! nous ne voulonsmpas etre mis et mises au ban de l’humanité ! nous voulons etre considérées ! nous ne voulobns pas etre mis ou mises au ban de la société des gens de lettres, ou des gens de l’ombre, ou des gens des parois de la roche dure ! nous ne voulons pazs etre mises au ban de la soci»été ! nous ne voulons pas etre mis et mises au ban de cette soci»éété des hommes de sang ! nous voulons etree considsérées ! nous voulons pour nous une considération de poids ! nous voulons pour bnous une sorte de consid»ération qui puisse le faire à nos yeux ! nous voulons etre pris et prise en compte , soit : compter ! compter non pas pour du beurre mais en vrai de chez vrai ! nous voulons faire partie du nombhre ! nouds voulons etre pris et prise en considération par la bande ou autrtement mais que ka chose soit ! nous voulons etre considéré comme faisant paertie d’une colllectivité d’»hommes et de fezmmes qui comptent ! qui font nombre ! qui font que le nombre erst ! nous voulons etre de ces hommes ou de ces femmes (enfants ou autres) qui comptent dans lae temps, qui sont incrustés dans le temps de la roche du temps ! nous voulons etre (du coup) incrustées dans le temps de la roche du temps ! nous voulons comprendre le temps et nous incruster dans le temps et nous déployer dans le temps ! nouys voulonsq que notre nom soit bu ! nous voulons que notre nom soit pris dans le nombre, que nom soit du nombre, que le nom que nous portons fasse partie du nombre, que nom soit du nombre, etc, nous voulons que cette chose soit et nous permette de comprendre les tenants et les aboutissants du mo-nde de la véritén,, nouys voulonsq czette chose ! nouys voulons que notre nom soit pris en compte et ne soit pas abandonné ou comme abandonné par la roche ornementée du temps mais au contraire qu’ il y figurat longtemps et sans treve, bnous voulons que bnotre nom figure ! que figure notre nom ! que figure nom! que figure soit ! que figure que figure, soit ! que cette figure (du nom) fasse nombre ! que la figure (de ce nom de roche) fa sse nombre, soit comptée ! que figure de bete de roche, fasse nombre ! que cette figure de bete de roche des bois et sous-bois, fasse nombre ! nous voulons que bete soit, sur roche, l’effigie du nom donné, le notrte, et que pareille (dès lors) bete-effigie, gravisse les paliers, montât, sautât et se retroouvat à la droite du père, nous voulons la chose, nous voulons nous asseoir à la droite du père, de pere ancestral, cette figure de paroi, cette chose dure, ce palais rocheux qui nous tend les bras, nous avonjs gravi les échelons et nous nous sommes assis à la droite du père et à présent nous onbservons (aller et venir) ces troupeaux de betes près de nous : ce sont des phacochères, des chevaux, des buffles, dezs bisons, des cerfs, cdes chevreuils, des ours, des mammouths, des rennes, des auroches, etc, et aussi ce sont des mots qui caracolent et à n’en plus finir sur la roche des temps alloués à une vie (dure de xchez dure) humainec en diable, nous cherchons la chose dabs le sang, nous ne voulons pas ne pas etre, nous voulons compter pour quelque chose et non pour rien, nous voulons etre considérées comme des «hommes ou fzmmes de volonté» qui chassent la chose (ctte Chose) dans kle sang, bnous voulons comprendre un tout qui se trame et qui est ce tout de la roche des temps impartis, nous voulons comprendre un tout mesuré, un tout qui est cette mesure, ici, des temps impaertis, en heures et secondes, jour et nuit, catafalques, et voilà ce qui est ici : une chose de grande importance, le sommeildu juste, etc, nous cherchons, nous ne voulons pas nous arreter de chercher ou rechercher la VChose, nous ne voulons pas stoppêr dans notre élan, nous ne voulons pas nous arreter en si bonne voie car, nous tenons le bout de la queue de la chose (dure) des temps alloués à une vie (terrestre) à la diable, à la quoi ? nous disons que nous voulons comprendre les enjeux qui sont ceux là qsui ici président à une destinée de choix, nous voulons comprendre ce qsui est ici, qui préside à une sorte de «vie de roche», à) pareille «vie de roche» alloué à une bete consaxcrée, nous voulons comprendre les enhjeux sur roche d’une telle edstinée votive, nous ne voulons pas nous laisser sezrmonner par une sorte d'entité qui serait la déité des déités, nous voulons tracer ! nous voulons en avancer ! nous voulons agir de telle sorte que voilà la chose : nous sommes nacrés nous memes, nous sommes bnous mêmes nacrés, nous sommes oints, bnous sommes endyuits, bnous sommes des etres de roche enduits par cette bande en nous quyi nous trtraverse, et nous pousse à dire «notre» vérité de roche gravée, nous devons comprendre les données du mal et les reporter (en voix) sur la roche des temps de l’histoire, nous ne voulons pas paraitre pour peu, mzais tout au contraire : nous voulons paraitre pour beaucoup ! nous sommes tous et toutes qui chantons, à gorge déployée, le xsang de la terre, le sang ou le chant ? nous poussons ! nous ne voulons pas etre pour le coup mal considérés par la Chose des temps pariétaux mais tout kle contraire ! nous voulons etre bien considérés par eklle ! nous voulons savoir ce qui est en roche qui va, qui fonce pour nous ; aurochs ? noudss avons poour nous cette chose (chance) de pouvoir voir, et ce que nous voyons nous donhe de kla jhoie au coeur, ette chose est princière, il s’agit d’une couronne (couronne de bois) de roche, sur la tete d’une biche de paroi, nou s disons que nous sommes «vernis», bnous disons que nous sommes heureux de cette cghose en dur, nous disons que nous sommes chanceux, nbous portons sur tete cette chose d’une sorte de couronne et cette sorte de couronne est l’ornement de la paroi des tempsq, nous savons cela, nous l’écrivons en toutes lettrres dsur la roche : bois, bois, bois, bois, bois, bois , ois et cela fait nous agissons, nous sautons, nous traversons le chjamp, nous alloonsq à la rencontre ee la voix qui nous pârle bas, qui nous dit les mots de la roche et nous invite à nous poster plus loin vers les confins et c’est ainsi que nous nous retrouvons, comme à devoir parler (dire) les mots de la roche, haut, fort, à voix scandée, comme litanie de belle roche, comme beautés dures ou racées, comme envolées, nous disons que nous sommes tous et toutes à devoir chanter le sang de la Chose, nous disons ici que toutes et tous sommes à devoir chantezr (vivre) le cxhant de la roche dexs temps impartis alloués octroyés à une vie «à la diable» , nous disons cela comme quoi nou!s avons à comprendre cette chose d’une sorte de paroi du monde pariétal, nousz disons que bnous avons pour nous à savoir (connaître) le pour et le contre d’une telle voie ou d'une telle voie d’abord = de pareille voie mena!çante ; le pour et le contre ... quel est il ? qui nous dira cela ? qui pour nous dire cela ? qui saura nous insdiquer la voie la meilleure à suivre ? qui va savoiir nous dire la voie kla meilleure ? qui va savoir nous dire (et nous indiquer) par où passer pour toucher la Chose ? qui est qui ? quyi sait les choses ? qui sait ce qui est ? qui connait le nom vrai ? quii a cvompris ce qui est ou était pour soi en cette roche des embruns ,? qui peut nous aider à aller de l’avab-nt sans encombre ? qsui peut nous soulager par le rire, le rire ou le dire, qui ? qui pourrzait ? qui sait ce qsui est ? qui sait ce qu’est, en vrai, le dire du temps? quyi peut nous éloigner des tourments du temps ? nous sommes deux (en n ous) qui voulons (de fait) agir sur la roche et nous lzaissezr porter pour ainsi dire par le sens des choses , nouds ommes deux en roche quivoulons aller en cette chjose, nous vopulons aller en cette chose d’une sorte de paroi votive, nous voulons ensemble aller en cette chose d’une sorte de paroi du temps, qui serait (pour bnous) la roche des temps alloués, nous voulons comprendre les resxorts cachés qui sont ceux de la paroi du temps, et, pour ce faire, nous allons, nous passons (ensemble) les chemins de croix et voyons les ames défiler, les ames des betes, nous ne voulons pâs passer pour niais, nous voulons passer pour ceux et celles qui en savent long, bnous ne voulons opaspâsser pour des etres de peu mais nous voulons passer pour des qui en savent long sur la question, qui savent beaucoup, qui savent plein, qui saventb lourd, qyui savent l’aurochs et le bison des roches, nouys sommes hommes-femmes des abois, nous sommes hommes et femmes des abords de roche ... aux abois, nouys voulons sqabvoir coute que coute et, pour ce faire, nous allonsgaiement à gouverne chanter notre joie de céans, bnotre pouvoir,, nos pouvoirs de roche, nos savoirs, nos savoirs incomplets, nos sentiments, nos drôles de sentiments, nos tourmensts, nos pires tourments, nos chants sacrés, nos tribunes, nos écarts, nos moralités lacunaires, nous voulons comprendre les te,nants et les aboutissants, qui sont ceux de roche dure, bnous voulons savoir et comprendre le plus de la roche du temps, aller loin en elle pour notre gouverne, aller jusqu'au fin fond des tourments des temps et emmagasiner ce qui peut l’ezttre en termes de joie à agir, à faire, à conjoncturer, etc, nous disons que nous devons aller en cette roche comme deux amaznts quyi peut-être se cherchent (noise ?) pour un faire, pour un faire à dire, nous disons que nous sommes deux = deux amants, nous disons que nous sommes deux qui sommes amzants qui allons en roche à la recherche d’une vérité qui fasse le poids et puisse en imposer et nous donner du baume au coeur, qyui puisse nous donner ici la joie d’etre sur roche amants d’icelle, nouys poussons plus loin,; nous voulons comprendre le plus de la roche et tout ce qui s’ensyuit en termes d’ornementation animalière, bnous ne sommes pas suffisamment encore informés et mis au jus de ce qui en ce lieu de roche dure se trame sous nos yeux qui sont grand ouverts pour ce faiire, bnouys ne voulons pas nous laisssrt comme envahir par l’abattement, nous voulons poursyuivre sur notre chemin et voir davantage, de près, les chodses du temps pariétal qui sont choses ghravées , dessinées,
marqués en creux ou en rond de bosse, par des hommes et femmes d’autrefois qui sont ces hommes et femmes de la préhistoire, dfe l’histoire d’avant l’histoire qui est racontée, nous savons cela, nouys ne vopulons pas passer pour des cr’étins de base, nous vopulons passer pour des non )-crétins, pour des qui savent long, qui per c utent dur, qui cherchent à qsui mieux mieux les notions de base, qui cherchent vif, qui ne s’arretent pas de chercher vif et qui dès lors se posent en bon chercheurs-chercheurses dénicheurszs- dénicheueses de choses devant l’2ternel, nous savons que nous avons à encore et toujours trouver à dénicher, nous ne sommes pas au bout de nos surprises, nous devons poursuivre ! nous devons creuser plus en avant encore la rocghe et graver que tu graves icelle, au plus loin de la grotte, au plus profond de la roche en elle, au plus loin possibvle de pareille paroi qui de fait nous tend les bras, nous voulons savoir et comp)rendre les enjeux et les dires notifiées (ici) sur roche, ce qu’ils désignent, à quoi se rapportent-ils, que signifient-ils que nous ne sachons, que comprendre à pareils signes gravés ou dessinés sur roche ? bnous voulons pour ainsi dire déchiffrer les hjiéroglyphes de la roche dure, significartions , significartions honteuses, significartions perklières, de quioi s’agit il ? notre coeur bat à l’unisson des significartions, voilà le hic ! nous voulons comprendre lesz arcanes ! nous ne voulons opas ne pas savoir ! mais tout au contraire nous voulons en savoir long sur ceztte cxhose des dessins de la roche enfouie, perlière et princière, etc, notrte envie est toujours là, qui brille de ses feux vifs, qui est nôtre en cela que nbous la conservons en n ous, à l’abri des aléas divers qui sont intempéries et autres méfaits de roche, bnous diso,ns que nous voulon cs comptrendre beaucoup pour savoir beaucoup et agir en conséquence, cvazr pour nous cette chose a de l’importancve, il s’agit pour nous de comprendre
le pourquyoi des choses en pareille grotte, qui gracve grave ? qui ne gravecpas grave ? qui grave l’aurochs ? qui grave le temps ? qui grave une jument et ses petits ? qui gr’ave le chezval bai de l’histoire ? qsui est qsui sur roche ? qui dessine à mzaioin levée ? qui dessine cette chose d’un ours des cavernes ? qui dessinec l’ourse des cavernes: l’ourse ? elle même ? qui le sait ? nous subodorons des états de treanse et cela à juste titre car la chose coule de source comme deux plus deux font quatre, nous szavons cela, la transe est native, elle commande de droit, elle est cette choes qui préside et se tient à la base du mobile, et qui se tient à la base de pareil mobile que nous tous et toutes formons à tous et toutes, car nous tous et toutes sommes ensemble à tous et toutes, nous sommes tous et toutes ici cet ensembvle de bure, bnous sommes tous et toutes ensembvle (main + main + main + main + main + main $+ main etc, ensemble, pour la chose à faire, nous faisons = bnous marquons, notre empreinte est celle que nous sommes, toutes et tous, à faire , nous faisons lza chose enswemble à tous et toutes, nbous sommes ainsi, nous faisons, ensemble, des mains de tribu, des mains sur la roche, nous les déposon,s, nous sommes soumis à une sorte en ous de manoeuvre, qui bnous fait aller ,
à graver sur roche, et à tracer des mainssurnuméraires en veucx tu en vcoilà à même la roche du temps, nous ai:mons les mains votives, mains catatoniques, nous voulons noter (inscrire) notre chant de joie , par la bande allouée
de larocxhe dure
des temps impartis à une vie de roche dure, nous donnons notre sa nfg de joie, bhous marquons la piezrre, mon nom est celui qui se voit, je vois en cette roche la lumière, prenons-en de la graine, mon corps est divin comme une prière et cepezndant, voilà ce qu’il advient de pareille prière: elle se meurt sur rocher de buve, nous ne sommes plus en meswure de la sauver : eeele mùeurt, ce qui meurt est cette joie, de soi, offertte sur roche, il s’agit d’une sorte de joie «native», comme une sorte de présent à déposer un temps mùais ce présent fera long feu et tombera un jour ou l'autre dans les oubliettes et voilà ce qui arrive, et du coup à nous de revoir le tout et de recommencer l(‘opezréation (encore et toujours) d’un sauvetage , cette opération dite «de paroi» qyui est pour ainsi dire cette cxjose qui (pour nous) a de l’importance, a de l'importance en cela que nousq axons ici le tout (de nos dites «vies de roche») sur l(image
«prononcée» (-grav»ée) censeé pour ainsi dire nous représentezr, nous ne sommes pas en reste d’agir de la sorte , c’est à dire : de peupler la roche de nos noms , espérant de la sorte sauver notre mise, la voir fructifier et tenir dans la durée comme un compte en banque qui sé’élèverait peu à peu au fil des mois, qui groosirait et nous réjouirait, nous voulons savoir les choses les plus simples les connaitre, connaitre sur roche, savoir loin, toucher au but, comprendre le mal, la douleur, la joie à etre, les embruns lointains, la bouche ouverte, etc, notre but est de creuser, dans la profondeur de laroche, les données, nous ne voulons pas passer à côté,, nous voulons sqavoir ce qui est, nous voulons savoir à quoi les choses ressemblent, nous voulons szavoir à quoi ressemùblent ces parois de roche des temp^s : sont elles orneme,ntées comme par la bande ? ont elles des ressorts secrets à fouiller ? doit on s’enquérir fissa de la chose ? devons nous nous porter loin en elle ? devons nous nous porter loin en cette roche des données primairesc ? devons nous nous déporter un poil et voir ce qui, de biais, semble nous parler ? devonds nous comp^rendre ensemble le nom des choses à l’aune de la voix qui les susurree et les porte au jour ? devons nous dire les mots, ceux que nous connzissons, à voix hzute , puis, devons nous les inscrire sous forme animale suur la roche ? incantations ? cantates ? chants de la roche et des soupirs ? distributions de présents xd’offrande? que devons-nous faire ? ou pleurer alors, chanter le pleur ? le pleur de la roche, de la roche dure, dure au contact : le choc ? le choc des pârois ? nous avons à dire cette chose d’une sortye d’incantzatiion ,d ‘incartade ,nbous dezvons dire une cxhose et cette chose est incartade et incantation ! nous avons à dire-graver une chose qui est cette chose d’une sorte d'incartade dans l’incantation ! bnous voulons percer de fait la voie d’abord vers un au delà pariéytal salutaire et pour ce faire : incartade et incantation, les choses allant cde pair ! nous voulons aller dans la profondeur longitudinale des choses, notre but est toujours le même, celui là qui nous fzait ici dire-graver les betes-mots que nous connaissonscmieux que personhe pour les contenir, pour les contenir en nous mêmes, les avoir en creux, en nbou-memes soit en cet antre, en nous, en cela en bnous qui est antre ou outre ou ettre ou étant ou ventre, nous voulons dessiner ces betes de roche et de ce fait avouer (à part nous) le pot aux roses qui est cette chose commùe quoi nous ne sommes pas seuls en ous, nbous ne sommes passeuls à fouailler, à chercher pitance dans larochje, nous sommes porteurs et porteuses de bete de roche, nous sommes porteurs et porteuses en nous d’une ou de plusioeurs betes de roche dure, nous sommes pour nous porteurs et porteuses de ces betes de roche dure qui vont et qui vgiennent , ornemantant la roche de leurs pas de charge, nous voulons qavoir cecqui est en cette roche des temps donnés,
des temps de roche dure comme de la pierre, ces temps sont nos alliés et cependant, nousq sommes (disons) «en souffrance» depuis les premiers jours (peut-être) de notre venue au monde et nous le disons, bnous sommes dans cette soufffrance de la v enue, nous sommes dfans cette souffrrance de cette venue qui est la notre au monde des rois, n ous sommes dans cette soufffrance qui nous voit graver la bete des rois, ici, sur roche, nous sommes des hommes et des femmes en souffrance, nous pleurons nottre souffrance, nous pleurons notre joie-souffrance de bure et allons par les chemins tracés de la voie du sang, bnous voulons comprendre ces chezmin s et les arpenter comme des animaux que nous sommes ou serions aussi, bnous ne voulons pas rester en rade, nous voulons marcher, nous voulons tracer chemin, nbous vopulons avancer, nous voulons etre mus de l’intériuer par uune voix en nous qui nous guide ou guiderait jusqu’aux confinds des temps de la roche, nous voulons connaitre les tourments du temps et les soulager par la bande votive, nous ne voulons pas paraitre cpour des riens de rien, nous voulons paraitre, tout au contraire, pour des etres de poids, qui importent, qui ont de l’allant, qui sont reconnus à leur juste mesure : taille, poidfs, mots induits, courage et volonté, sens des choses, opportunitesz, etc, nous disons que nous voulons sacvoir ce qui l’en est de toute l’affaire, cette cghose en creux qui se dessine au fil du temps, quellme est elle ? de quoi s’agit il ? a ton besoin d’(elle ? sommes nous assez polis ? abvons nous gagné des suffrages ? sommes nous soutenus ? avons nous pour nous un électorat ? avons nous toutes nos cxhances pour nous ? devons nous nous présenter sur roche d’allant comme des betes-mots de rage ? ou bien, devons nous poussser le cxhant guttural de cette meme bete en ous qui (peut-être) «pousse au cul» de la roche (pour ainsi dire) ? que faire ? nous disons : je sui, pour dire «j’aime» et voilà ce qui est sur roche ! ce «j’aime» est une sortie, une entrée dans laroche et une sorte de sortie ... «de l’autre côté», nous ne devons pas hésiter, nous devons foncer en pareiklle roche des temps à la travzrsée, et ce faisant trouver, qui sait ? à qui s’adresserv
»de l’autree côté», et ce qui est est cette chose susnommée :
la chose du sang,
cette chose en passe d’aller vers le fond, cettre cxhose est en passe d’aller vers un fond
qui est ce fond de la roche du temps, nous voulons aller en elle ainsi et souffler sur elle : parler notrec souffle buccal, nous donner ainsi en offrande : nous ! en tant que nous sommes vivants agissa nts, et que dès lors nous consumons nos vivres internes, nhos betes lascives fichées en nos antres, nous disons que nous avons à, pour le coup, donner de nous ces betes de poids qui sont des mots-betes tracés comme à la retombée, nous disons que ces betes en bnous se transforment, une fois de nous dégagées, et deviennen,t des mots ou des sortes de mots cde rage gravée pour, de fait, en imposer = choses de rudeur, chosee de roideur, choses dures comme roche, etc, nous disons que nous avons à faire cela ensembkle (main dans la main) en nombre, nous disons que nous avons encore à dire cette chose ici comme quoi nous sommes du nombre et comme quoio nous poussons les cghoses à leurs extrémitées, bnous ne changeons pas de registre, le temps est donné (présenté) sur la roche en tant que don de soi pour la gouverne dite «princ!-ère», nous ne voulons pas tergiverser : notre don est celui là que nous pouvons donner par deverts nous et nous nou!s excusons d’exister de la sorte = vivant, vivant da,ns le dsan,g, nous nous excusons dès lors de ne pouvoir offrir le sang total à cette deéité dite «de la roche nue», nous nous excusons par la bande (et par le centre) de cette cxhose ne pouvoir donner, qui est le sang total de destinée rupestre, nous disons notre lamentation, nous ne pouvons pas y couper, nous disons notre choix, nous disons quye nous sompmes deux à trouver la voie dans la roche et à chercher en elle un semblant (sang blanc) de vérité à lzaquelle ensembvle se raccrocher, bnous ne voulons pas périr dans la demeure du seigneur sans un don de soi qui le fasse , et voilà pourquoi nous allons en roche, tete première (kla raison) pour de fait nous donner ainsi, tete première (en roche) nous donner ainsi, soit donner de soi quelque chose ou ce quelque chose qui compte et fasse pôids dans la balance, du moins un temps : une bete de poids = un gros mot = une incantation, car l’incantation est gorgée d’insultes votiveqs, l’incantation de roche est ainsi perckluse, eelle est cette outre pleine de «gros mopts» qui en imposent fort et impactent dur, nous voulons comprendre ensemble loin et, dès lors, nous nous enchâssons deans la roche du temps à laz recherche d’une sorte de formule (qui sait ?) de piété, qui saura nous délivrer de laruse , de pareille ruse en nous (bestiale, méchamment bestiale) qui nous use à petit feu tout le long de la vie, car, nous ne voulons pas mourir ! nous ne vcoulons pas céder ! nous ne voulons pâs trembler ! nous ne voulons pazs rire de nous ! nous ne voulons pas toujours rire de bnous ! nouys ne voulons pas mourir cde rire de nous ! nous ne voulons pas aller à demeure sans clartés ! nous voulons connzaitre le mot de la fin ! quel est donc le mot de la fin ? nous ne voulons pas céder au premier coup du sort ou du vent qui serait venu à bnous par la bande ! nous voulons choisir en toute conscioen,ce ce que nous voulons pour nous et nottre vie ! nous voulons comprendre les données les plus p^rimaires, les premieres doonnées de roche, les comprendre à l’aune de la puberté, de l’évolution, de la chose en ma rcxhe des tempsq, nous vopulons toucher latimbale de ces temps de roche, et ce dans chose, et ce dans la hjoie de se sentir comme soutenue par la bande traçante du temps, nous voulons aller en roche à la recherche des tourments du temps afin de les comprendre et de les soulager (autant que popssible) et pour cela, n ous nous immisçons à toi à moi ensembvle dans le sang de cette CXhose sus nommée, qui est la vie de roche vive, nous voulons toucher la Chose, nous voulons nous en approcher, nous voulons l’entendre souffler, entendre son souffle à nos côtés, qui est elle ? qu’est elle ? qui est elle pour nous ? qu’est elle en vérité ? qsui est elle en vérité ? qu’est elle pour les cerfs et les biches des présq ? q’est elle pour nousd qui l’aimons par coeur ? qui est elle pour nous qui la regardons se placer pres de nous ? qui est elle pour nous qui la voulons pour nous ? qu’est elle en ce sas des choses du monde ? quyi est elle sous le vent ? qui est elle en nous qui la voulons pour nous ? que pense t elle ? que pense la mort ? que pe,nse la mort en nous ? en nous ou hors de nous ? que pense la mort hors de nous ? que pense la mort de nous ? commùent la mort voit elle les choses de kla vie ? que voit la mort ? que dit lma mort ? que veut la mort ? sque chante la moprt ? que renifle lza mort ? que pue la mort ? que travaille t-elle au corps ? que nous veut elle sur roche du temps ? que va t-elle faire de nos tourments ? que dit elle à la dérobée ? qye chante t-elle dans les allées du temps impaerti ? que v eut elle nous signifier ? ezxsite t-elle pour de vrai ? est elle un mensonge ? un mirage du bois joli ? une beauté nacrée ? un dessous de table ? une rancoeur ? une frayeur ? un chant inaugural ? une douceur ? une densité ? une monsqtruosité ? une relique ? un chandail ? qui est la mort pour nous ? est elle une donnée suûre sur laquelle pouvoir ta bler pour de vrai ? est elle une chose de peu : bure ? est elle un rien qui se pose là ? est elle ce rien qui se pose là ? est elle un rien qui en impose ? est elle du vide ? est elle un chant de paroi orné par un hommùe ou un e femme des cavernes ? sommes nous en nous des hommes et des femmes des cavberneqs ? a t on en nous le souvenir de cette époque de la vie humaine ? sommes nous des etres de peu comme hommes de peu ... de joiedéployée ? ou bien des etres pleins de cette joie massive de l’aurochs? bnous devons cfcomprendre une chose qui est cette chose comme quyoi nous sommes en nous des etres de peu, bnous devons comp^rendre cette chose commùe quoi nous sommes en nous des etrtes de .'.. peu de foi en nous en tant que tels, nous avons en nous cette chose d’une foi qui est une bete qui est un mot qui est une phrase de tete,, nous disons «de tete» ce que nous savons, voilà l(histoire ! nous disons «de tete» ce que nous savons de la Chose des temps, et cette chose est chose dure en cela que son corps est dur, sa voix est dure, ses habits, son allure, sa présence, tout en elle renvoie à de la dureté de roche : la mort a pour nous l’aspect de la roche, c’est dit ! nous disons ici que la messe est dite (ce faisant) ! nous disons cette chose ici, comme quyoi nous pensons que la messe est dite, ... alleluyah ! nous penso,ns ici que cette chose est une chose qui (de fait) en impose mais qui est fuyante, nous pensons que cette chose (Chose) est chose fuyante, est chose difficile à cerner, à d»éécrire, à évoquer par le menu, nous disons que nous devons aller , aller loin en elle pour comprendre ce qu’elle est, nous disons que nouys solmmes deux à savoir, nous disons que nous sommes deux à chercher la voie, bnous disons que nous sommes deux à vouloir comprendre les ressorts du temps, nous disons que nous sommes deux à vouloir aller loin en cette cxhose d’une vérité de roche à découvrir comme d’aucuns dénichent des betes, des oiseaux de belle augure, nous voulons savoir ce qui est ou ce qu'il en est, en cette roche ici des te:mp^s à nous alloués, et ce qu’il dès lors nous incombe de faire en retour, nous ne voulons pas mourir «de t^te», nous ne voulons pas subir les affres de la cxhevauchée pâriétale et nous faire écraser par les sabots lourds des betes de poids qui (vivement) chargent, nous voulons rester bien en vie, bnous savons cela «de tete», nbous voulons conserver nos droits, nous voulons conserver en ous ce qui peut l’etre et si possible ce qui fait de nous des etres dx’élan, et d’allant, ou d’allant, d’élan ou d’allant, car nous sommesdeux à vouloir cette chose ici dire , comme quoi nous sommes (nous deux ? tous et toutes ? toutes et tous ?) des être de poids qui sortent du nid et qui voletteznt à qui mieux mieux dans les embruns, nbous avons la chance de vivre, on est cette cxhose que nous dép^loyons, de fait, dans la roche, nous sommes cette chose ici de roche dure , que nbous affirmons ensemble par des betes-mots à meme la paroi, à coups de pierre tailklée, à coups de baton brulé, nbous voulons une effigie ou une sorte d'effigie de la chose interne, soit cette chose en nous qui nous gouverne et nous mène par le bout du nez, nous voulons savoir les donnéesq, les avoir et les savoir, les connzaitre de pieds en cap et qui plus est les dessiner sur rochje pour l’éternité, pour l’éternité les dessiner sur roche, et les regarder (qui plus est) pour l’éternité, pour l»éternité avoir dezvant soi la bete à regarder, la vie donnée, la présence offerte, cette joie-souffrance animalioère qyui va et qui vient sur roche, qui nous suit du rezgard, qui nous regarde dans le blanc des yeux,
nous sommes la Chose à elle donnée, nous sommes la Chose de la bete gravée sur la roche, nous sommes cette Chose d’une vérité prononcée de fait à la cantonade, cette chose offerte sur roche, sur paroi, au bois brulé , au manganèse, etc, nous voyons la chose s’élever et nous chantons son élévation : mort à la vie morte ! mort à cette vie morte ! nous chantons-crions nos élévations ! nousd sommes deux au monde, un sien et un tien, qui chantons la Chose ! hosannah au plus haut des cieux de la roche ! nous sommes deux (en nous ?) qui chantons-hissons ! nous chantons-hissons la chose ! en incantatations ! nous disons la CChose brutale, cette Cghose est la Chose brutale,
cvouperet, canif, qui vient sur la roche
trancher de but en blanc et nous verrouiller
cxomme des moins que rien, nous ne voulons pas de cette chose ! notre voix s’élève dans le cxiel , bnous sommes soumis à une cxhose dx’i:portance en nous, qui renâcle et cette chose est animalière on le sait : une bete de poids force en nous le verrou dxe la gorge, elle veut prendre l(‘air , déverouilklons-la pour la peine, ezlle est la belle bete de paroi, bientot bete-mot swurnuméraire, xchant choral rocheux, prise de bec (pour ainsi dire) avec déité (qui sait ?) en fa ce de crabe, nous voulons comprendre la chose de près, nous voulons chasser cette chose et la poussser loin en ses retran,cxhements, nous ne devons pas lambiner, nous devons pousser fort et loin la chose de roche, nous devons loin et longtemps poussser icelle en ses extrémités car, la mort est longue de vie, elle est cette longueur, ici, de vie raide, tenace, coriace, dure, qui impose sa gouverne à qui veut l’ezntendre et comment ne pas l’entendre quands on est comme nous munis d’oreilles'... d’écoute nerveuse, comment ne pas faire ? comment se fermer en soi à une écoute (on voit) obligée , comment ? nous ne savons pas, nous ne savons faire, nous ne pouvons pas, nous ne savons faire cette cghose, cette chose de se prémunir, cvomment donc agir poour en vrai se prémunir ? comment faire ainsi que la mùort en soi devienne inaudible ? comment donc agir en soi pour cette chose de se prémuunir de toute écoute malheureuse ? nous voulons comprendre le fin mot de la roche dure, ce que celle ci transbahute en elle en fait de vérités de bon aloi, c’est à dire fiables, sur lesquelles pouvoir tabler,
la roche est elle fiable en matière de vérité ? peut on luyi faire confiance ? est elle dure en tout ? est elle belle ? est elle ornementtée selon les canons qui sont d’actualité ? peut on tabler sur une roche du temps adoubée par la (une) gouverne ? sommes nous (nous-mêmes) qui tablons sur elle ? pouvons bnous tabler sur la roche en termes de fiabilité ? sommes nbous des etres nantis ? sommes nbous des etres nantis de choses de poids ? sommes nous des aurochs ? sommes nous des v ... ?
20/5/2021
nous cherchons une définition , nous sommes deux qui cherchons une définition pour un savoir à acquérir ensemble main dans la main,
nous devons comprendre etv trouver ensemble le fin mot de cette chose des confins, pendaison = raison ? qui croire ? nous disons que cette chose des confins est une sorte de donnée (brute, rude, dure) qui est là sur un devant de soi, qui nous tend les bras et nous appelle, que nous dit elle ? elle nous dit de bien vouloir nous avancer fissa, de venir à elle le plus tôt possible, elle nous dit qu’elle nous veut pour la vie, elle nous dit qu’elle veut nous chevaucher, qu’elle nous aime, qu’elle nous veut dedans elle ou comment car on sent en elle cette chose d’un vouloir de rage, une chose qui est là pour nous comme un tremplin pour une vie autre plus harmonieuse pêut-être ou alors plus douce ou comment ? nous disons que nous devons nous avancer et croire en nous, croire en cette chose comme quoi nous sommes ensemble disposées sur une sorte de piste de danse et aussi on danse et aussi on est deux (en soi) à pester contre la mort à l’oeuvre et comment cela ? en chantant ? en disant ? en pleureant ? en vitupérant ? en croyant ? nous posons nottre main sur elle, elle est devant nous qui nouscregarde, nous avons posé une main sur elle, sur du sang, sur elle en sang , et cette main est du coup cette chose de nous qui est cela que nous posons sur elle en sang, tandis qu’elle nous regarde, et que nous regardant elle nous intimide, et voilà ce que nous faisons : nous donnons une main que nous posons sur elle, et, elle, de nous prendre par la main, cette main, et de nous inviter à bien vouloir la suivre, nous suivons, nous disons que nous suivons, en vrai, cette chose, cet être de feu, cette chose douce (dure ?) qui nous entraine et où ça veut-elle nous mener ? où veut-elle aller avec nous à ses côtés ? nous suivons la mort dans son antre, elle nous conduit d’une main, nous avons donné nottre main, elle nous tire à elle avec une main, elle nous prend vers elle en nous tirant ainsi à elle avec sa main, elle est cette main tendu, ces bras donnéds, vcette accolade (?) ou sinon une embrassade (?) ou sinon un baiser (?) ou sinon ce baise-main distingué (?)) ou sinon quoi dont nous rêvions enfant ? nous devons comprendre cette chose comme quoi nous sommes il semblerait entrainé au jour le jour par une main qui est hors de soi, qui prend la main de nous donnée qui est le corps de nous donné, donné par la bande, nous voulons comprendre cette main donnée (la nôtrte) au côté de cette main donnée (la sienne) et cette jucxtaposition temporelle des mains forment le temps que nous avons à vivre de concert :
nous savons cette chose ici, comme quoi le temps est une chose qui se donne en tant que mains, mains rapprochées l’une de kl’autte,
nous avons compris cette chose comme quoi le temps est un rapprochement de mains de femme et d’homme pour l’éternité, une sorte d’accouplaement de mains entre elles, nous savons à présent cette chose comme quoi nous sommes deux en nous pour une sorte d’embrassade, de mise comme en relation, de rapprochement de parois entre elles, soit une chose ici que nous devons comprendre et du coup soumettre à notre gourverne, on avance dans un tunnel (ou tout comme) entre deux bras de mer, nous sommes ensemble main dans la main,nous sommes deux en nous, nous sommes ensemble main dans la main, nous sommes deux en nous et qui va là dès lors ? qui est squi en cette occurrence ? qui sommes nous qui disons nous et qui disons «main dans la main» en nous ? nous disons
- que nous sommes nous, que nous sommes deux, que deux est ce nombre juste, ici, pour soi, que soi = deux en vérité, que nous sommes pour soi : soi et l’ensembkle de l’humanité,
- cette chose ici comme quoi nous sommes deux en nous : nous sommes je et nous, nous comprend je et ... je comprend nous ? nous solmmes deux, qui marchons entre deux bras de mer et qui en avançons fissa vers des vconfins de destinée fatale, nous nous avançons ainsi (entre deux bras de mer) vers des confins de destinée et cela est ici cette chose que nous comprenons , comme quoi ... nous avançons fissa main dans la main avec la mort ! nous avançons main dans la main avec la mort ! est ce la vérité ? faut il penser à cette chose comme à une phrase qui en dit ou en dirait long ? que devons nous penser de cette phrase, que devons nous penser depareille pbhrase sur la mort ? nous disons que nous sommes ... deux en nouys : la vie et la mort ? ou quoi d’auttre ? nous disons que nous parlons au nom de beaucoup et que ne pouvons nous en empecher ! nous disons que la parole est 1 communautaire car commune et non personnelle (au tout départ) et cela a son importance dans la réflexion que nous menon,s sur la question de l’existence ou non (qui sait ?) de la mort à l’oeuvre , nous disons que cette chose (la parole) est d’abord communautaire soit le fait (l’attribut, l’organe) d’un groupe d’humains et humaines en particulioer : une confrérie, un groupuscule, une bande, un clan, une petit comité, une tribu, un groupe d’initiées, etc, cette parole échangée est le lot de tout un groupe en soi,
et nous de porter la parole du groupe ,
en notre nom, nous sommes dès lors des porte-parole d’un groupe quon le veuille ou non, nous ne pouvons en échapper, nous ne pouvons nous en échapper ou en réchapper, nous devons concéder cette chose, nous portons la parole de tout un panel (en quelque sorte) de gens, de gens qui seraient comme derrièrecxnous, et nous de parler en leur nom, nous pazrlons en tant que nous sommes ceux et celles là qui portons une parole sur une sorte de devant de soi qui est pour ainsi dire ce devant de l’entre-deux, entre soi et soi, entre la naissance et la morrt, ou sinon comment ? nous disons que nous devons comprendre cette chose ici d’une sorte de ... «communication i,nnterpersonnelle» entre soi et soi, de main à main ou comment ??
nous sommes en nous des qui
nous sommes en nous-mêmes des individus,
qui portons une parole ou sorte de parole interpersonnelle de communication spirituelle et voilà pourquoi nous allons sur pareille voie qui mène aux confins, nous voyoons cette chose au loin , cette chose d’une sorte de clarté brumeuse, les confins de destinée rude, nbous voyons ces choses au loin se dessiner et quelles sont elles ? nous voulons comprendre et aller, nous voulons avancer vers pareille clarté et nous loger en elle pour comprendre les tenants et les aboutissants de cette chose dite «loge» qui nous tend les bras, nous réclame à corps et à cris , qui est elle ? que nous veut elle ? nous parlons les mots de latribu et ce que nous disons est parole de beaucoup de monde, nous disons que nous devons comprendre ce qui est ici, en pareille zone aux embruns, qui est qui, où sommes nous, qu’allons nous voir, pourquoi nous déplacer fissa, quelle est la raison de cette sorte d'embardée rocheuse, qui va là en nous ? l’animal ? nous pensons qu’en nous réside une bete ey que cette bete est une bete de race, une sorte de bete guerrière rageuse, qui cherche en nous issue par la bande (la voix, la bouche) et cela depuis notre naissance, nous pensons que nous sommes muni ainsi d’une sorte de langue de bouche, en nous, qui est dure et pique-pénètre la roche, nous pensons que nous devons comprendre cette chose d’une sorte de paroi en dur à traverser et alors nous serons dans ce sas de l’avant-taire,
de cet avant de roche dure = cette chose d’une sorte de paroi qui (pour ainsi dire) nous regarde et nous tend les bras, où sommes -nous ? que voyons nous ? que chantons nousq ? qui sommes nous qui poarlons une langue étrangère ? nous parlonbs une langue étrangère et cette langue est juxtzaposition, nous recouvre comme un linge, nous enveloppe, nous fait petit, nous parait grande, plusgrande que nous qui nouis soumettons à sa gouvernecmonumentale, nous disons que nous sommes plusieurs en nous, que nous sommes plein, que nouys solmmes deux au moins ou combien ? car nous sommes envahi en nous par une bete de rage, de race et de rage, qui nous mène vpar le bout du nez, qui nous pousse à nos extrémités et nous fait parller sur laroche, nous pousse à parler sur cette roche des embruns de bord de mer, nous parlons et ce que nous disons (nous) est cette chose comme quoi nous sommes situés en cet entre-deux-mers de roche comme des nouveaux-nés dans leur couffins, nous devons comprendre cette chose ici et cela est cette chose comme quoi nous sommes comme des bébés de roche dure, nous sommes comme des bé bés, qui, de fait, voyons autour de nous s’agiter le monde, et nous (bébés) à nous échiner dès lors, à nous escrimer à tenter de décghiffrer cette cxhose offerte à notre vue, nous voulons comprendree le plus possible les enjeux de cette roche ou roche des temps, nous voulons ensemble comprendre le plus et le plus est cette chose offerte par la bande devant nous : une sorte de moitié, une sorte de moitié d’orange, une sorte d’ame-soeur, de double en pratique, etc, nous voulons essayer de comprendre latrame des choses du monde et notzamment ce qui donc se jouerait en pareille roche concernant la moprt : qu’est elle ,? où nous mène t elle ? que voir en elle ? où se loge t elle ? que fait elle pour nous ? est elle une alliée ? est elle un pis-aller ? que dit elle avec ses bras tendus et ses mains ouvertes ? sommes nous des mains oucvertes ? sommes nous des mains ? que sommes nous ? qui sommes nous qui parlons une langue communautaire , qui sommes nous qui parmlons au nom de tous et de toutes ? où alons nous sur pareil chemin d’un entre-deux-mers ? nous essayons de nous y retrouver en cet antre de roche , mais voilà, la chose n’est pas simple, il fzaut montrer pour soi du courage et de l’entrain, nous devons pour nous mêmes montrer tout un tas cde choses à pareillescmenottes tendue, offertes, ouvertes, vides, nous voulons déposer nos biens sur pareilles menottes de gosse ou comment ? qui est cette personne devant soi ? une enfance grise ? une voix ouverte ? une parole incarnée ? un chapitre d’un livre ouvert à jamais ? nous voulons comprendre et pour cela nous disons ce que nous disons, à savoir que la mort à nos yeux est une sorte d’ouverture dans la roche, cette ouverture est une trappe pour ainsi dire (un attrappe- mouche ? un attrappe quoi ? ) , nous pensons que nousq devons comprendre «des choses» , des choses de choix, squi pèsent, qui sontvlourdes, pour nous, pour notrte gouvernance, et ces choses de poids penser à les restituer à qui de droit un de ces jours, nous devons comprendre une chose ici qyi est que pour le coup nous sommes deux en nous pour ainsi dire à parler, mais qui est l’autre ? l’autre est la voix de la communauté, du cla,n, de la base clanique, de lma bande, nous parlons (je dis je) et, ce faisant, une communauté parle, parle en moi une communauté, une communauté parle en moi = une tribu, un clan de base parle et dit sa vérité moyen-ageuse, parle de loin, du fin fond d’une histoire de foi, etc, nouys disons ici que nous sommes mus et mues en nous par une foi quyi est comprise (incluse) dans la langue que nous déployons communautairement de force, nous disons qye cette langue en ous est (peut-etre) comme un organe, n’est pas neutree,; bn’est pas sans influence, n’est pas «n’importe quoi», il s’agit d’une sorte de bras, de main, de trompê, de bras ou de main ou de tro^mpe, soit cet organe en nous qui va vers dehors, vers un ecxtériuer du corps, sort, et nous voilà qui proférons (à la cantonade) nos insultes favorites, des mots grossiers, des saletés, etc, envers cette pezrsonne devant soi aux bras ouverts pour visiblement nous accueillir ou pour accueillir nos dons, car ici la chose à comprendre est celle ci ,; comme quoi ces bras qui se tendent et s’ouvrent deva nt nous sont des bras qsui réclameznt (de nous) beaucoup, et nous de leur donner le temps ... au lieu de nous (nous = nouveaux nés) :
nous donnons ce temps-ruban de dépliement ou de déploiement langagier animùalier, cette chose offerte est déposée sur ce palier, cette zone franche (affranchie) des mains de la Chjose, nous disons que nou!s déposons (nouveaux-nés)) cette parole déployée qui est du temps donné qyi est du verbe animalier qui est effigies, effigfies de bete-mots, betes-mots de première, nous disons que nous déployons pour nous le temps comme un ruban (sorte de ruban) dans le vent et offrons ce temps vécu (par nous) aux bras tendus, suffira t il ? aura t il l’impact voulu ? saura t il soulager les ardeurs de la mort impatiente ? qui est la mort ? où est elle située ? comment en parler avec des mots pareils ? cvomment parler avec des mots pareils qui sont communautaires et passent comme par un sifflet avant de sortir de nous ? commùent faire pour parler sans gêne et direct, directement de nous à vous sans passer par la case «communauté» ? nous disons que nous avons à faire cette chose d’une réflexion, nous disons que nous avons à mener cette chgose d’une réflexion ensembvle, à plusqieurs, en nbous, en notre sein, etc, concernant la mort à l’oeuvre, qu’est elle ? nous pensons que les mots glissent sur elle qui ne permet pas une approche directe livresque ou sinon livresqUe pa rolière, etc, nous dison,s que nous compreznons cettre chose de la morrt qui est ... ces deux bras, la mort est cette chose devant soi qui est deux bras de mer, la mort est cette sorte d’enveloppement binaire, cettte sorte d'enveloppe binaire, à deux branches, où se pendre, la mort est cette chose d’une sorte de «doublage» enveloppant, la mort est cette chose double, ces deux choses de droite et de gauche, ces deux bras que nous voyons tendus, ici, devant nous, et nous, au lieu «d’y aller» et de nous donner (à la naissance) nous sommes qui allons pour ainsi dire «dépl;oyant» nos temps de vies vécues, nous vivons, nous ne sommes pas offerts, nous vivons et dès lors nous offrons ... le Temps-ruban, à ces deux bras de Mort la Belle qui nous guette, bnous offrons de fait notre temps vécu de nouveau-né ... nouveau né ou nouvellement né à la vie, nous offrons de nous non point nous direct (en ces bras-là) mais cette chose d’une sorte de ruban de vie (passé, présent, futur) à
ces bras de roche, cette enveloppe, cette doublure, cette antre, cette outre, cette rondeur de bras enveloppant comme accolade, embrassade, prise en elle, ailes, etc, nous pensons que cette chose est réelle qui nous regarde pour ainsi dire et nous réclame, et nous de brzailler (nouveaux-nés) dans le giron de cette mort à l’oeuvre un tantinet «couillée» un temps par le temps que nous offrons en attendant ou dans l’attente d’offrir plus, il faut dès lors comprendre cette chose commùe quyoi la mùort est un giron, est cette chjose d’un giron ou giron d’ailes
ou ce genre ... d’enveloppement prairial, nous pensons :
que la mort est devant nous (derrière) qui est :
cette chose ouverte comme des b ras (borgne dès lors, cette chose) qui se pointe devant nous (yeux de nous) et nous réclame (voix de buve) et nous appelle avec sa voix de roche musicale,
et nous de plonger, dès lors, en pareil giron, à la naissance, ma is offrant de nous non point nos corps et ames mais le temps ! le temps ... que nous déployons sur la lande, syur la lande ici de terre mère, etc, nous sommes avec, dezvant nous, un giron qui nous attend impatiemment, il s’agit d’une paire d’ailes, et nous de ne pouvoir voir, car, la chose est masquée par l»espace-temps de destinée qui nous est imparti (droite et gzauche) par la bande langagière animùalière en n ous, nbous voulons comprendre cette chose d’une sorte de paroi double, elle est (devant nous) comme deux bras tendus (giron) qui est ou qui sont ou forment une accolade borgne, une fin de rocghe = butée , maids cette chose qui se loge devant nous, ou sepose ou se présente, est masqué pour ainsi dire par l’espace-temps animalier, etc, nous ne pouvons accéder dès la naissance à la moprt à l’oeuvre devant soi car nous sommes pris et prises dans les filets du temps-ruban déployé etc, et du coup nous ne savons pas comment fzaire pour comprendre, et cela d’autant plus que ces mopts que nous avons en bouche nous blessent, nous traversent contree nous-mêmes ou comment expliquer la chose , car la chose avec des mots est dure à expliquer, nous sommes obligés ou tout comme d’employer ces mots contre notre gré et ces mots sont à nous sans plus, ils étaient présents avant notre nzaissance, dons d’une sorte d’env-olée royale, guerrière, pléni ère, de betes, bnous penso,ns que cette chose ici d’un parler patois est une chose qui co:mpte, nous pensons que nous parlons avec des mots (de fait) ennemis à soi , et pour cela (cette raison) nous devons veiller à jouer serré et à ne pas tomber dans ce panneau de la roche du temps mais à nous en tenir le plus loin possible si possible, ou comment nou!s y prendre ? nous devons comprendre ensemble cette chose, comme quoi nous pazrlons cette sorte de langue étréangère , nous ne sommes plus présents en tant quee tel, nous parlons une langue qui est cette llangue (qui surnage) temporelle, et nous de la parler comme des enfants, nous parlons cette klangue apprise ezt inculquée par co eur et ne pouvons plus l’oublier, nous devons comprendre cette chose d’une langue à jamais inculqué en nous, pénétreée, comment dire ? nous avons en n ous une sorte de la ngue ou d’idiome (un patois) qui est donc le support communautaire du chant que les hommes et les femmes poussent en bravant la roche, la roche du temps, cela est sûr, ce patois est chose de poids commùe aurochs ou tribu de chevaux (troupeau) cela aussi est sûr ! et nous ainsi faisons allégeance , nous pzarlons à tort et à travers la langue de poids inculqué et ancrée en bnous comme un organe qui serait surnuméraire ! nous disons que nous avons en nous cette chose d’une sortye de langue acquise par la bande, venue (la bande ?) se loger en nous comme un organe, organe de -captation rupestrte,; organe-loi, parade, parade rupestre, parade pour paradis, parade de rage car les mots chez nous ont vite fait d’enfler et de s’offrir comme des insultes ou comme autant d'insultes prononcées à même la roche (rude et dure) du tempsalloué , nous pensons qyue cette chose (pour nous) est essentielle, capitale, première, comme quoio, voilà ce qui est , une sorte de mainmise sur une persoonne ou un orga nisme, et cette mainmise est surnuméraire, il s’agit d’un ap^
port, d’un conduit extériuer venant jusqu’à nous, et nous, dès lors, d’essayer de comp^trendre ce conduit de roche, cette zone franche devant soi, cet espace bouché, cette bouche borgne, ce trou clos, cette caverne ou grotte de temps ou comment ? devant nous (qui est masq<ué par de l’espace temps) il y a un giron, une sorte de double paroi, il y a cet espace double (droite et gzauche de symùétrie) qui est cet espace formé ici par la réunion de deux bras tendus, un giron, ce giron est celui de la mort d’accueil, ce giron est le giron de cette chose d’un devant de soi funèbre, nous savons que nouys avons à ici comprendre ce devant qui est cette attente, cette impatience depuis notre naissance, et nous de nous employer, dès lors, à offrir du temps en lieu et place de kla vie qui bat en nous, nous donnons l’espace temps d’un temps de vie vécu, et non point notre vie battante,n, soit le coeur de notre organisme, nous cvoulons faire ceztte chose de comprendre les ressorts et pour cela nous bousculons la donne langagière et la poussons dans ses retranchements communautaires le plus que l’on peut à son échelle, bnous tentons cette chose d’une vision, que voit on ? deux bras de rage ? que voyonsz nous ? nouys voyons dees choses devant nous et ces choses sont des bras,, soit un giron, soit un espace borgne, une enveloppe, et cette enveloppe est le chandail (peut-etrte) susmentionné, qi le sait ? nous sommes deux en nbous qui cherchons à trouver devant nous cet espace de rage funèbtre, ce giron animalier (antre, caverne, tranchée, etc) , nous disons que nous cher chons à faire cette chose, d’unec percée ! nousv cherchons à faire cette chose, d’une pezrcéé ou percée dans le tas pour ainsi dire de laroche dure du temps devant soi, c’st à dire de l’espace-temps devant soi, cette épaisseur latravercer pour y trouver («derrière») des bras (de ux) ;: droite et gauche, tendus, oucverts, donnés pour nous, giron de dame la roche, ou giron de sieur le rocher des embruns, nouds pensons que nous devons piquer pareille roche ici du temps donné offert, le traverser (espace -temps dit «pariétal», «rocheux») et, de l’autre côté, voir à s’offrir à ce giron donné ouvertn,, etc, nous devons comprendre cette chose, d’une sorte de giron «derrière» la roche, à percer par notre pic de verbe, quel est ce giron$ ? à qyi appartient il ? que faire dès lors ? nous voulons essayer de comprendreau mieux les données de base (royale) rupestre et cela acquis avancer ! mais commzent ? nous sommes offrandes nous mêmes en tant que tels , nous sommes nous mêmes les présents du temps offert, offert par la bande langa giè§re abnimalière, nous solmmes bnous mêmes les offrandes sur terre donnée, déployée, nous sommes offrandes déposées à la naissancec sur ce sol (de terre mère) du temps pariétal et, à ce titre, nous sommes en joie)-souffrance d’allure rageuse, etc, nous nous avançons ainsi, sur roche, sur paroi ornée (bouquetins, ayrochs, antilopes, juments) et, ce faisant, nous disons ce que bnous sommes : ... nous sommes des betes soit des betes-mots de rage (douleurs et du coup invectives ) , nous diso,ns ce que nous portons, ce que cela est que d’etre, etc, nousd posons la vie vécue (espace-temps communautaire) eh bien ... dans la balance aux deux plateaux, mais la balance est un giron et ce giron est invisible, il n’est pas visible car, l’espacve-temps du monde masque son aproche, son visage de giron double, de giron à deux cotés , comme balance de mesure, comme un visage en symétrie, etc,
nous voyons le monde comme étant l’enclave surajhoutée qui est enclave de bords de mer avec paroi de p^rt et d’autre qui, au total, délimitent pour nous le tracé du chemin, et du coup la voie à suivre coute que coute, nbous parlons une langue chargée, multi-codée, qui nbous échaoppe grandement, apreès laquelle on court désespérement qui sommes (nous autres) pris de court , qui parlons en chemin et ânonnons comme des betes mal débrouillés, etc, nous disons ce qui nous passe par la tête croyant bien dire or nous disons mal ! nous disons par la bande et ce que nous disons est du mal-venu de base, hélas pour nous ! nous pensons que nous devons comprendre cette chose, ici, d’une mort cachée en tant que giron à double co^té , bnous pênsons que nous dezvons voir comme à déposer notre butin de vie vive mais pas tout de syuite, alors quoi ? nous chantournons devant soi la rochge ! nous creusons le temps de la roche du temps, nou!s voyons à dire, nous disons à voir, nous ttraçons sur roche du temps un chantournement, une vrille ! nous sommes avec en nous cette vrille du temps imparti qui est cette chose d’un devant de soi donné par la bande et bnous allons ainsi à la recherche d’une solution à un problème, ce problème est celui ci : celui de la ba nde ! celui de lma rage ! celui de l’invective proférée ! celui là qui est cette chose comme qyuoi nous sommes placés (sur roche) au beau milieu de toute c ette chose comme déplacée, nbous essayons de voir ce qui est ici sur roche pour nousd qui eût pu nous aider, nous venir en aide, nbous cherchonsn, nous sommes deux en nous qui chercho,nds de fait une solituon, qyi tentons cette chose d’une sorte de percée de roche, ici, en direct, c ette chose est une chose rude, car la chose est dure (la paroi) et pas facile à percuter et travezrser, nous essayons de faire cette chose d’une sorte de percée )à même la roche du temps déployé mais cette chose est (plutôt) dure à mettre en pratique car il y faut entrain, entrainement, volonté de fer, soumission à une langue raide (laide ?) etc, il n’estvpas facile du coup de comprendre pour de vrai les arcanes majeurs de pareille roche du temp)s, etc, la mort est «derrière» l’espace-temps o ctroyé, la mort est cvachée et bnous enveloppe, «derrière», comme une sorte de pâroi qsui (de nous) ferait le tour , la grotte «derrioère» (borgne ?) etc, la gousse ou la housse ? nous pensonsz que nous devons gra tter de notre queue (piquante) de verbe cette chçse d’un espace-temps alloué à une vie terrestre, nous sommes dezux ainsui q<ui nous promenons sur la lande à la recherche d’une ouverture, quelque part, où pouvoir nous imml
!scer ensembloe et fouiller le centree de la terre, nous voulons essa yerrc cde comprendre ce qui se trame dezvant nous, c’est à dire autour de nous hors de nous ! nous essayons de comprendre ce qui est, de cet espèce de monde alezntour, quoi est ? q(estil ? que dire ? le monde est ce temps dép^loyé (ruban) pour nous un temps (une vie humaine) et ce monde est une paroi, et la paroi doit etre per cée, et pour cela nbous deevons employer de préférence notre pic de verbe, nous devons faire ainsi cette chose d’un emploi de pic sur roche, et percer l’icelle au pic déployé, au pic frappé , etc, ouvrir une brèche, entailler, et cela fait nous immis cezr en pareeille oparoi et comprendre (une fois là) les arcanes secrets, etc, nous devons entrer dans la roche etvpercer les mystères de l’humanité, nous voulons essayer de comp^rendre les donnéesx qui président à lexistence de ce monde de rochers, de roches dures, de parois, de bord de mer, d’embruns, de betes de joie, de bisons, de chevaux, de tetes de chevaux, de grossees tetes, etc, nous vouloçns essayer de comprendre cette chose ici pour nouys, d’une sorte de paroi du monde adjacent et commùent percer ladite , nous voulons essayer de comprendre cette chose pour nous d’une sorte de paroi du mondec adjacent (tout autour de nous) qui fut ou est une sorte d’encklave à parole (animalière) proférée comme de l’invective, etc, les mots sortent de notre bouche sous la forme d’un pivert, d’un bec d’entaille, pic de verbe, capable de percer la roche et graver des noms , les nôtres, pour l’éternité ou quelque chose d’approchant, nous pensons que nous devons percer la roche et (aussi sec) kla traverser, pour comprendre le giron qui nous attend ou attendrait «de l’autre côté», nous voyons la roche ornementée par des hommes ou femmes des cavernes, ces roches sont «belles à très belles» et nous enchantent, nous donnent de la joie, nous rendent heureux-heureuses et survoltées, c’est une évidence, nous transportenht, nous soulèveznt, nous font de l’effet et ce au plus haut point de la roche, nous lévitons, nous sqommes en lévitation, notre corps est soulevé, notre corps ne touche plus par
terre, et entre no!us et la terre mère il y a cet espace de ciel qui fait de nou!s des etres célestes, nous grimpons à même la roche et gravons n os noms (MON NOM° en majuscule, sur paroi ,
comme animaux de roche, mots-betes
de la première heure de naissance,
nous voulons comprendre les données primaires,
le chgant (choral) des premiers momezn,ts, où aller en pareille noce ? où se promener ? sur roche ? en roche ? dans un sas ? où se loger-lover sinon dans un sas ? et ce sas quekl est il ? il eswt le sas de la roche dure ! il est sas de roche des temps, il est ce sas de roche-parois , il est le sas d’un présent offert par la bande et comme déposé au pied de la roche céleste, chandail ! nous diso,ns cela que nous voulons pour nous, c'est-à-dire pour notre avenir : chandail ! gousse ! voilà cette chose ! nous l’avons trouvé ! nous avons compris cette chose, l’envelop^pement primaire, le giron comme tricoté, cette chose ici d’une sorte de giron d’apres la roche dure de l’espace-temps pariétal animalier à s-ymértrie , nous essayons ici cette chose de nous approcher de c ette roche et de comprendre pour le coup par où passser (de l’auttre côté) mais tintin ! la chose n’est pas donnée ! le chandail est loin derrière ... ou alors tout près ... à écouter derrière la porte ? mal élevé- ? nous essayons de comprendre ce qyui est de cette chose, ici, du monde de l’après-roche (temps espace de nous déployé cvomme une sorte de présent -offrande déposé sur terre-mère ) , nous voulons comprendre les données et pour cela nous per cutons la roche (pivert) comme des dératés d’icelle motivés, nous y allons, nbous ne lambinons
pas, nous poussons la cxhose à son plus haut deghré d’inteznsitécmajoré, etc, nous filons pelote, nous pissons comme vacxhe qui pisse nos p)aroles de roche dure,, nbous voulons cxomprendre le plus que nous pouvons et pour cela aller à ka roche du temps et creuser icelle (ici) de notre pic de verbe acéré, bnous voulons comprendre le plus et creuser la roche du temps à) même la pierre dure, nous coller à elle, l’épouser pour ainsi dire, enfoncer la roche, la poussezr, la pénétreer, etc, notre but est clair comme dxe l’eau dxe source, nous devons agir au mieux et trouver des réponses (si possible) à même la roche, nous voulons comp^rendre cette chose du giron de soi ou de comment la chose devant soi ? une sorte d’enveloppe symétrique
= deux= deux quelqUE
chose = des bras ? des mains ? deux mùazins ouvertes ? deux mùazins qui devant nous s’ouvrent ? quelles sont elles ? que sont ces mains qui s’ouvreznt devant nous que nous ne sachons voir ? que sont ces mains qyui s’ouvrent devant nous que nous ne savons voir ? que sont cves mains qui s’ouvrent devant nous que nous ne pouvons voir ? que sont ces mains qui s’ouvrentr devant nous que nous ne puissions voir ? que sont ces mains qui s’ouvrent devant nous que nous n’arrivons pas à) voir, du fait de cet espace-temps imparti qui obstrue le paysage ! qyue sont c es mains (2) qui s’ouvrent deva nt nous, que nous ne pouvons voir de nos yeux ? que sont ces main,s au nombre de 2 que nous ne pouvons voir «vraiment» par manque d’yeux ? que sont ces mains qui s’ouvrent devant nous que no!us ne pouvons voir par un manque dx’yeux ? que sont ces mains qyi s’ouvrent devant soi sque nous n’arrivons pqzs à voir par manque de jugeote et d’yeux «qui puiissent le faire» ?
que sont ces mots, que sont c es mots ?
que sont ces bras, que sont ces bras ?
que sont ces bras qui s’ouvrent devant nous tel un giron (peut-être) de la pire espè-cee et que nous sommes ici bien infoutus de voir de visu, par manque
1, de visibilité , et 2 : d’yeux pour y voir clair et disqtinguer leur forme afin de’ pouvoir l’évoquer (leur forme) en retour ? qui sont ou que sont ces mains, ces bvras ouvertsn, cettye chose d’un giron «de derrière les fagots» qui serait cette chose en attente, cette base (table) xd’offrande, cette chose offerttee à nous autres où pouvoir déposer (dès lors) nos choses diverses = présents de temps ... vécu par la bande ? nous voulons comprendre ce qui esrt qui nous arrive en pareille roche percée, que dessinonds nous lorsqaue n ous deessinons des betes de poidsq ? des ... betes de pôidfs ? des mots ? l’espace-temps d’une sorte d’entité royale ? des mots-betes de prezmière ? des mots de roche dure ? du bétail de rocxhe ? quoi ? un giron ou semblant de ? une corbeille ? une grotte ? deux mains d’approchje ou d’attente ? des mains de parois de roche ? du vent ? du ciel ? du vide ? du plein de chez plein comme dans la vie sur tezrre ? n ous voulons comprendre kles tenantes et les aboutissants de toute l’affaire, doi ton poursuivre sur notre lancée et découvrir le pot aux roses ? que doi ton faire ? que devons nous faire ? poursyuivre ou alors nous arreter ? chercher la voie du monde ailleurs que dans un verbe de parade, c-verbe haut ici pour l’estrade, mots de la roche royale, hautaine, dure-rude du fait de la pierre -support, que devons nous faire ? tracer ? pêrcer ? tenter cette chose temporelle musicale ? où donc aller en pareille roche ? au plus profond? aux confins de terre mère où la chose (Chose) bout à tout jamais ? le giron ! où donc se trouve le giron, soit les deyux côtés de la face , où ? nous voulons comprenxdre où donc se trouve ce giron de roche, nous avo,ns pour ambition de comprendre où ce giron-là de malheur se trouve , où est il au jusqte ? derrière mais derrière quoi ? ... le monde ? il n’y a pas de «derrière» au monde, celui ci s’étend (pour ainsi dire) à perte de vue, et cet infini en dit long sur ce qui est squi nous attend,
et aussi sur le fzait que la pensée est comme
«prise de court» et ne va pas loin qyui ne comprend pas les arcanes de vie majeurs et porte mal, et porte à faux sur les données du monde = portent faux! nous pensons que l’infini spatial et temporel dit cette chose (et la dit mieux que tous les mots-animaux de la roche) comme quoi le verbe est «pic de perce-mystère» peut-etre mais ne va pas loin en icelle (roche) car, il est court (un bec) et se tient en deça longuement de ce que nous serioons en droit d’attendre de pareille pique, bec ici = pique -verbe, il s’agit d’un pic de perçage de roche, pas facile de percer (la roche) sans lui, le pic-bec est cette chose amenée à comme traverser la roche du temps, pour comprendre ce qui est, et ce qui est est cette chose semble til d’une sorte d’apogée votive au sein de la roche (une église : un sas) et voilà pourquoi ce giron n’est pas visible hélas ! où donc aller dans l’infini du monde pour trouver où trouver la Chose (chandail ? gousse ? etc) , où donc aller trouver à se loger ? nous avons pour nous cette chose d’une vol:onté affichée (et comment !) mais ça ne suffit pâs ! nous voulons plus ! nous voulons gravir des échelons dans le domzaine de la vérité et comprendre loin et longtemps cequi sepasse , et voilà ce que nous récoltons, en matière de parade, de choses en cavalcade, d’arboreswence pariétale : une féerie (on l’a dit) qui ne va pas sans nous rappeler, peut-etre, des images du passé(enfance) où nous étions double, de ce passé de nous (petite enfance) où nous étions doubvle (doublé de bvure) etc,
nous essayons de co,nvoquer , ici, des images de ce passé , sur roche du temps, swur paroi de groote : des aurochs, et aussi des poulains, et aussi des canards (Saturnin ?) qui sont betes de joie de l’atteznte, il s’agit pour nous de comprendre une chose lointaine, dans les profondeurs de terre mère, ce qui est qui sezrait ou dépendrait de l’ordre des choses cachées, enfouies, te-nues secrètes : la science des trouvzailles, des recherches assidues, etc, nous voulons essayer de notre côté, et cela que nous cherchons est affiché, peut prêter à rire ou sourire, il n’empêche que la cxhose est là (l’objet) et l’effort louable o combien du fait de la tena cité ici démontré dans une sorte de recherche ici menée (tambour battant) en toute honneteté ou sinon comment (si non honnete) ? car la terre est celle (la paroi) qyui nous voit tracer nus,
qui nous voit tracer des betes de roche nus,
qui nous voit tracer nus des betes de roche = dess noms = des mots-animaux qui sont les noms que nous portons, dont nous sommes affubléspar la bande dans l’atteznte d’autre chose, peut-être, de plus enveloppant , ou comment ? nous essayons ensembvle (ici un ensemble, un e commun auté, une tribu, une race) de comprendre, de trouver lafiche, de comprendre ce qui est, de trouver parade, etc, nous voulons comprendxre cette chose d’une sorte de paroi «derrière» la paroi , d’une sorte de paroi doublée, de paroi du mondedoublée, nousnous appartenons, bnous sommes entre nous, nous appartenons à une race animalière, nous sommes d’une sorte d’espèce particulière de betes,n, nous voulons essayer de comp)renxdre ce qui est en pareille roche, et d’abord pourquoi la r age, soit la «rage de ta race» et pourquoi cette notion de «race» pour parler de nous ? espèce ? genre ? race, vraiment ? de quoi pazrlons-nous ? nous cherchons des solutions à des probvlèmes de paroi (doublée) du monde , et pour ce faire nous creusons la roche avec , dans la bouche, une pique)-bec tout au bout d’un bâton, nous voulons essayer de comprendre les données du monde et voir, voir le plus que nous pouvons voir , voir «derrière» si possible, au plus
loin ou lointain, mais où ? le monde est l’infini du monde, voilà ce qui est et que désormais nous avons compris : car, nous avons désorma is compris cette chose comme quoi sur terre il est peu problable que nous puyissions voir un jour un vrai au-delà, un azrrière-train, un paysage des lointains perdxus, la chose est à préseznt connue de tous et toutes, nous sommes des hommes et des femmes de la préhistoire quyi savons la chose comme quoi «le monde du monde» est infinité et n’a pas de bord, et que par conséquent l’au-delà n’eswt pas de ce monde si tant est qu il fut, et cette chose est énorme, est considérable c’est à dire à considérer, à comprendre sidéralement, etc, nous voulons comprendre sidéralement mais comment ? nous voudrions co:mprendre sidéralement les choses du monde mais comment ? nous sommes ensembleb squi cherchons ensemble et ce que nous cherchons ou recherchons est ce qui nous sidère, est cela ou ressort de cezla qui nous sidère, nous voulons comprendre ce qui nous sidère, et ce, hors les murs du monde, hors le monde enclavé finid’autrefois, mais le monde enclavé fini d’autrefois est mort avec dieu , et dès lors nous cherchons ailleurs, nous cherchons ailleurs que dans ce monde pariéto-facial (ici) xdes temps impartis, nous cherchons dans un monde autre, dans un nouveau monde, dans le monde nouveau dxe la vie de base, ce monde est le monde des mots-animaux de parade, des mots-betes de la préhistoire, il s’agit d’une chose neuve : unre
betye-mot se promène sur roche et nous donne le bon tempo pour e-une ma rche soutenue vers de s confins de vérité, nous voulons essayer de comprendre cette chose (pour nous) liée à des vocables, notre but est de comprendre ce qsui est ici en termes de vocables, de mots prononcés (à haute voix) en ce sein des seins pariétal : qui parle à travers nous ? le chevreuil ? qui est ce chevreuil ? un mot ? qui parle ces mots ? la haine ? ce soubassement ? le mal cxontenu hybride ? nous cherchons ensemble des réponses aux questio ns que nous nous posons, nous voulobns cxomprendre le plus pôssible, nous voulonqs aller le plus loin pôssible en p)areille roche et ne pas sombrer en chemin sur cette voie de la conn,aissance massive, non point surnaturelle mais tout au contraire naturezlle, nous voulons comprendre et graver nos noms su!r la roche, comme un homme des cvavernes, sous emprise animalière, et ce nom (le notrte, le mien) est celui ci : antenne? allure ? attitude ? prise ? connection ? medium ? chaleur ? quel est il ? quel est ce nom ? quoi est il ? quel est mon nom au juste et au naturel ? prise de terre ? cablage ? cable ? connection de rage ? nous cherchons la voie ! où se trouve la voie ? où donc est la voie ? qu’est elle ? nous voulons savoir ce qu il en découle , nous voulons savoir de tout cela ce qui en découlera et vers quoi les choses diverses nous mènent ? où vont se loger les petites betes ? et les grosses, où vont elles à leur tour ? nouys pensons que nous sommes deux et qu’à deux en soi la chose est plus légère à devoir porter, nous pensons que nous devons agir ensembvle pour nous soulager et que les choses (pour nous) ne pesent pas lourd, ou pas trop lourd, nous voulons que ces choses du monde des ombres ne nous soit pas de sitot cachées mais que nous puissions tout à l’inverse être en mesure de les approcher au plus près un de ces quatre, nbous voulons a pprocher par la bande la chose cachée de la lande, et comment ? par une sorte d’usage effrénée de la langue animale, ce brouet, de la langue pariétale, ces chevaux en cavalcade, etc, notre but est clair comme de l’eau de roche, il est énoncé en toutes lettres, il est afficxhé a&ux quatr coins de la cité, veuillez le consulter avqnt de p^rler mal de notre p^rojet, nhous ne disons pas amen à tout, nous sommes sélectifs et cependant ouverts aux chlamps divers et variés de l’exploration à tout crin et de l’expérimentation (pourquoi pas ?) en laboratoire, notre preétention est notoire, nous chercghons ou recherchons la lune et ses sattelites, nous e voulons pas rezster en carafe sur lkes bas côtés, nos ambitions sont considérables et sidérales, nous cherchons à découvrir un certain nombre de tenants de base et d’aboutissants du sommet, nous sommes pleins d’envie, énergie, volonté, coeur, etc pour mener à bien ce projet que nous souhaitons voir ici se maintenir longtemps car il bnous semble etre ou représenter un projet d’envergure louable, sérieux, capable de porter des fruits, capable de nous propulser sur des devants de scènes disons humzaines (pas sûr)) mais surtou de nous projeter sur des devants de roche dure, dans cet interface de la découverte, dans la zone intermédiaire entre, d’une part la roche d’introduction (cf. le pivert), et d’a utre part et dsans les lointains, la roche de resttitution du mobile feotal, nous pensons dès lors, que cet «entre-dezux p)ariéta l» est le lieu précis de dépot de roche, nous pensons dès lors, que cet entre-deux-mers est le lieu précis qui nous voit nous offrir (nous-memes) en offreande, les mains vides ou les mains pleines peu importe,
nous offrons nos mains, nous les montrons, nous montrons nos mains, nous sommes qui ne cessons de montrer nos mains de pureté (?) humaine, etc, nous sommes sans arret en train de montrer
nos mains d’homme et de femme des czva&ernes, sur la roche dure du temps, mains surnuméraires comme scandées à l’unisson accompagnées d’une lévitation, nous lévitons pendant que par ailleurs, sur roche ou rocher, des mains se voient (toutes) détourrées, nous entrons en lévitation : nous montons, nous voulons aller haut, haut le plus, nous voulons grimper, nous grimpo,ns,; nous voulons aller haut le plus et pour ce faire nous grimpons le plus et là nous gravons, nous gravons à même lza roche en dur, nous gravons l’effigie de la bete grossse ; une saleté de mot dur ! une saleté de mot ... qui fait impression, qui pousse , qui pousse à bas, qui traine la chose au ras du ras des choses du monde : uune insanité, une ocbscénité , la pire des obcxénités, etc , notre but est ainsi affiché sur roche : betes-mots comme autant d’insultes obscènes affichées ! nous disons les gros mots de l’enfance sidérée, nous disons les mots gros de notre enfance-enclave, et ces mots sont scandées et accompagnés, la mort est la chose ouverte d’un devant de soi sidéral lié (visiblement) à l’enfance, nbous voyons la chose à présent : la mort est ce devant dxe soi tel un giron, un giron déployé (qui est une ouverture borgne, comme une housse) et voilà la cxghose comme défalquée ou comment ? nous nous encha ntons mutuekllezment de nos découvertes, nous nous enchantons mutuellement de nos découvertes pariéto-frontalesq, de nos dévcouvettrs p^rintanières sidérales, nous hjouons le jeu, nous poursuivons, nous voulons comprendrexloin et longtemps
les ressorts, nous voulons comprendre au plus loin les ressorts et autres arcanes majeurs liés à une Vérité de roche dure, à Vérité de roche du temps,
la teneur en elle en termes de tourments, de difficultés, de douleurs etc; , otre but est de comprendre les données du :monde dans la profondeur d’une approche (de fait) pariétale, nous cxherchons les bras de la roche, nous cherchons les bras ouverts (ou ces bras ouverts) dans une roche de temp)s, nous chercghons dans une roche deux bras ouverts pour notre gouverne, nous chjerchons devant nous deux bras ouvertts, soit des mains ouvertes, nous cherchons devant nous des mainsz ouvertes en réception, nous chezrchons devant nous en réception deux mains qyi xzerai-nt ouvertes pour nous accueuillir comme un nouveau-né, bnous cherchons deva nt nous dsans le temps deux bras, ou deux main, nous cherchons deux mzains dans le temps qui jouxte le nottre, nbous chezrchons dans le temps du devant deux mains qUI eussent pû nous prendre et nous faire glissezr dans le giron (donné) de la mort (borgne) à l ‘oeuvre, nous voulons comprendre cette chose xd’une sorte de paroi (x 2) du monde adjacent , et nous de nous glisser ezntre les deux, et là de rêver à mieux, à un mieux-être pour l’etre, nouys voulons savoir le fin mot d’une histoire vraie, nbous avons cette chose en nous qui est un savoir comme quoi nous cherchons ou chercherions un pot aux roses ... «intersidéral» : est ce vrai ? nous cherchons une chose de poids: un aurochsdans le sas, nous avons cette envie en n
ous chevillée, qui est l’envie de dénicher la Vérité des choses dans le sas cde la grotte du temps, en cette zone des passions humaines, nouds voulons savoitr ce qui est, ce qui se trame, où aller, que faire de soi en c ette zone des embruns, où donc se porter pour comprendre les chosesc du monde adjacent infini, nous voulons essayer de voir ce qui se trame ici «derrière», «derrière le sas» de cette destinée (toute pariétale) du monde, nous cherchons une s olution à des problèmes peut-être (qui sait ?) millénaires et comment arriver (nous !) à nos fins, si tant avant nous se sont cassés les dents dessus une fois et une auttre ! ezt cepae,da nt voilà, nous gardons l’espoir pour nous, nouys pensons que rien n’est fait, et que le temp)s nn’apas livré tousq ses secrets et que par conséqueznt nous pouvons encore (pour nous) découvrir des cxhoses de taille et de poids, nous pensons que rien n’est fait et que touyjours à toute époque il y a moyen de débnicxher quelque divinité votive dans le creux (ici ou là) de la Vérité, touhjours c’est à dire pour tout le monde c’est à dire pour qui que ce soit, nous avons espoir de bien figurer dans le cjhampionnat, notre désir de Victoires est considérable, nous voulons gagner du terrain, sur nombre de terrainsq, mais pas n’importye comment mais en traçant comme à l’emporte-pièce et à toute berzingue et sans retour sur soi les mots-betes qui s’imposent, ces mots d’animaux de base, nbous ne sommes pas seuls au monde et à ple»in on y arrivera à condition que tout le monde veuille s’y coller, et chercher avec nous, dans le sens dee la marche active, à brûle-pourpoint, motivé comme jamais et allannt bon train sur le chemin des vérités, nous avons une ambition démesurée, bnous voulons dénicher des vérités, c’est à dire la vérité en toutes chosesq, bnous voulonbs cxerner au mieux (au plus juste) les tenants et les a boutissants du monde du temps, et comprezndre le chandail, la housse, tout le saint-frusquin de cette imagerie textile du monde des ombres et de l’audelà si tant est qu il soit, nous cherchons en roche du temps ce pour quoi nous sommes là entre deux mers, le pourquoi du comment s’immiscer dans la roche (le rocher) du temps, sur le monticule, etc, nous cherchons fortement et ne lachons rien, nous sommes remontés comme des pendules ! nous avons la rage au coeur ! nous sommes furieux ! bnous sommes ezn furie ! nous sommes rezmontés et injurieux, c’(est à dire que nous jurons, nous ne cessons plus de jurer, nous jurons à tout va et à haute voix, bnous enfilons les perles enttre elles des in jures (à qui mieux mieux) sur pareille roche, toutes les injures ici sont bhonnes à dire qui peubvent impacter et faire reculer leséchéa nces funestes, nous ,ne voulons pas de la mort pour nous (cette salle d’arrière bal) ; ,
nous ne voulons pas de cettye déchéance, de cette décrépitude,, cde cette fzaillitte, de cette envolée macabvre, de cette pezrte de re»père, de cette fissure dans la tezrre, bnous voulobns tenir,; bnous ne voulons pa s flancxher et diwsparaitre, nous voulons tenir dans kle temps de laroche impareti, dans ce temps de roche dure imparti, dans pareil temps impareti de rocxhe dure, nous voulons comprendre ce qui est en cette rocghe des temps, le toucher du doigt comme un présent, comme étant le présent porté en offrande et déposé au pied xde la paroi, l’art est cette cxhose d’un dépôt de roche, au pied d’icelle, dans le temps pour ainsi dire de la roche dure, etc, nous pensons que l’»art est cette chjose à ffaire pour sau-vezr les meubles, bnous pensons que l’art est cette chose qui fait foi et nombre, qyui s’impose sur la roche, bete-mot qui pousse à fuir, bete-mot qui cgharge et dégoute, bete-mot qui capte ? betye-mot qui agit par la bande ? a rt d’un peu en forme de cri guttural ? a rt d’une sorte de sortie princière ? nous poussons la chose et compreznons que l’(art eswt une chose comme sorte de dépot de roche, nous savons que l’homme des cvavernes est l’homme du dépot, nous savons cette cxhose, comme qsuoi , l’homme des cvavernes est cet homùme de peu qui trace sous emprise le nom quil se donne, et ce nom sera «aurochs», sera «bison», serta «phacochère», ou «cheval» etc, il s’offre, ainsi, à lui même, le nom qui lui convient ou qui pourrait lui convenir, il porte son nom sur lma roche (gravures) et ce nom e’st comme un non de pacotille ! il s’agit une fois de plus de voir en ce nom gravé l’effigie d’une bete sacrée, censée pouvoir agir sur l’éternité, nous regardons les betes près de nous, ces betes paissent gentime,,t, ce sont nos soeurs animales, betes de joie d’etre une betye, nous avons compris le pot aux roses concernant la mort et à présent nous voulons ou voudrions nous coltiner la question du ventre, de l’a ntre, xdu giron en soi, ce que c’est que ce giron,; nous vooulons tenter une nouvelle approche de ce terme de giron, c e quil contient en lui et en quoi ce mot en dit long sur notre condition d’ettres confrontés nécessairement (un jhour ou l’a utre) à la mort, lav mort est cette chose posée devant soi, il s’agit d’une chose borgne (sa ns arrière fond) qui nous regarde en face à face, symétrie parfaite, nous savons cela, n ous voulons aller sur rocxhe dans le temps, nous ne voulons pas perdre la mesure des choses, nous voulons comp^rendre ce qpour quoi nous sommes là, nous voulons comprendre cette chose , ce pourquyoi un «qyui va là ?» en nous en qUelque sorte, et ce «qui va là ?» s’impose d’autant plus que nous swentons que la chose approche, que la moprt est une donnée vive qui va vite et ne traine jamais outre mesure et où que ce soit, bnous pensons que nous dezvons gravir encore un grand nombre d’échelons avabnt de cvomprndre tout un ensemble, nous avons en nous cette pensée d’une approche à mener si possible eznsembvle, à deux, pour plus de visibilité et de lisib ilité, car à deux bien entendu on y voit mieux et on peut mieux en avancer en wse portant conseil, la chose est sûre, bnous en &vançon s fissa dans le domaine de la connaissa nce, bnous savons parfaitement cette cghose comme quoi nous sommes en mesure de savoir pourquoi lkes choses se trament, et commen,t celles ci wse trameznt : chandail de deuxième rideau ? ou comment ? et si la roche des confins était borgne ?
ah ... et si la roche des confins était borgne ? et si la roche dite des confins éteait bel et bien borgne ? et si cette roche dite des confins était bel et bien borgne comme on dit ? et si cette fameuse roche des confins étazit en vérité» borgne comme tout ? et si c ette soi disant roche des confins était en effet borgne comme tout ? et si cette roche dite des confins du monde était borgne et sans landemains ? et si la roche était sans lendemain,
et si la roche était sans landemain
et si la roche était borgn,e = sans eswpoir d’issue de quelque sorte que ce soit ? car onn ne sait pas, on subodore, on a vite fait de tirer des plans sur la comète, on p)arle à lemporte-pièce, on y va fissa de son chapezlet de perle princière, de perles de toutes sortesq, on affabule , on fabule, on rêve, on songe, on est plein d’imagination scientifiqsuement coupables et cependant on te,nte des approches, on fouille ici ou là à toute vitesse, on xw’appuie pour ainsi dire sur la vitesse pour déhjouer, dénouer, etc, on pense que vitesse = direction accélé&rée vers une vérité de base, on se dit que la vitesse est peutetre à mêmùe de nous aider pour au mieux repousser les bornes, il est cette chose pour nous qui nait d’une volonté, de faire faire reculer les chaînes (catènes), etc, notre but ici est inscrit sur roche comme il se doit, nous edssayons de faire faire cette chose, d’une sorte de reculade des données de roche dure, nous voulons essayer de comprendre ce que c’est que cette reculade où et comment, nous sommes en recherche active : peut on comprendre un hjour ce que c’est que : 1, la vie, 2, la mort, 3, l’envie, 4, l’enmort , peut on ? car nous, nous aimerions savoir, nbous sommes comme ces eznfants gourma,nds qyui cherchent à grignoter à tous moments quelque chose de sucré, nous avons besoin de notrte lot de vérité quotidien, nous avons en n ous ce besoin de vérité au quotidien, à un moment ou à un autre, n ous voulons savoir ce quil en est de cette mort programmée pour nous, où va ton sans lumière ? comment com^prendre la chose borgne ou dite borgne ? quel est le petit nom de la mort à l’oeuvre ? a t elle un om ? mon nom ? est ce que mon nom est le nom de la mort ? que peut on penser d’elle, du souci que la mort représente, de fait, pour beaucoup, pour nombre d’entre nous ? est on en mesure avec des mots (un e langue) d’y comprendre quelque chose ? doit on faire preuve d’intelligence ? a t on bon espoir de pouvoir un jour découvrir quelque chose en priorité ? sommes nous des dénicheurs dans l’ame ? l’hmme des caverrnes est il un dénicheur dans l’ame ? a t il en lui l’ame d’un dénicheur ? est il le dénicheur de ces dames ? est il le dénicheur de ces messieurs ? comment comprendre que la mort puisse etre ? et si la mort est où est elle nichée ? sur un arbre ? sur une paroi ? sur une faille ? sur un crâne de nouveau-né ? trou borgne de la mort à l’oeuvre pour chacun, nou!s cherchons le pêne
19/5/2021
bnous voulons aller le plus loin possible dans la vérité c’est à dire dans la zone de la vérité, nous voulonsaller le plus possible loin en cette zone de la vérité des choses et pour ce faire nous nous immisçons affublés d’un nom de parade (fiérot !) qui nous donne aval comme à la cantonasde, qyui donne aval (ou avalisation) à (ici) notre gouverne sentimantale, et nouys voilà qui chevauchons le temps, qui nous excitons, qui faisons offrande = dépo^ts, sur roche, de nos munitions langagières = jurons ! nos noms = jurons ! des saletés , des insanités, paroles grossioères, grossièretés, etc, sur paroi de roche de grotte, et du coup mon nom, ici gravé, est un juron de type animalier, une saleté de premioère, un mot de trop, ce gros mot de base , cette chose de soubassement, cette chose basse du soubassement de l’etre muni, nous parlons ce langage du charretier, nbous dison,s le mot (seul ?) qui nous plait, qui nous amuse, et ce mot (le nom) est juron de la pire espèce, un soubassement de l’etre, comme base d’un allant rocheux sur une sorte de paroi de grotte à orner par endroits de dessins furieux, nous disons que nous sommes deux à proférer ainsi ces (dites) insanités , et les deux que nous sommes sont (de fait) celle ci = cette chose, =parade ! nous sommes deux pour une sorte de parade en roche dure , nous déambulons fièrement la tete haute, nos bois en imposent, nous sommes deux pour une sorte (ici) de parade de peu ( de feu ?) qui est parade qui se doit pour le coup de marquer les esprits de laroche et calmer leurs ardeurs né-fastes, nous disons les mots de la bande et ces mots sont des insanités rocheuses, mauvaisetés langagières animales ou animalières, qui l’eut cru ? et cependant, telle est la vérité vraie, celle là qui nous importe , qui est celle là qu’il nous importe de connaitre de fond en comble, de la tete aux pieds etc, bnous sommes deux etres sur roche, accouplés,, , pour une entrée en roche dure et connaissance de la vérité, nous nous immisçons conjointement et entrons fissa nous y retrouver, nous vopulons commprendre les ressorts cachés de poareille roche d’entité et pour ce faire nous entrons conjhointement soit main dsans lamain comme dans la prière (?) et là, sur le plan dur de la terre de roche, nous allons, nous gravitons en direction de cette sorte ici de trou dit «de la vérité des choses», ou bouche dite «de la vérité du monde», vers ce que pareil trou a à nous dire, ou aurait à nous dire, vers cette chose d’u n propos de roche ou de roche du temps : qui suis je en vérité ? suis je un animal ? plusiuers en moi ? squi suis je que je ne saisq pas ? j’aimerais savoir, j’aimerais connaitre les fondements, je voudrais connaitre les soubassements de l’etrte, l’insanité native, le juron protecteur de base, ce juron-fusible, cette chose en soi animalière de première, cette chose ancrée au plus profond de l’eytre natif, qui suis je pour ma gouverne ? qui je suis pour elle ? je voudrais savoir ! je voudrais connaitre pour le coup la v érité vraie de la roche , quelle est -elle ? nous ne savons pazs, nous ne savons pas ce qu’elle est, quoi est elle , nous l’ignoronns, nous ne savons pas ce que est la vérité oprofonde des soubassements de l’ettre, ce qu’il y a en nous mêmes, ce qyui donc irait à se loger, nous l’ignorons, nbous voudrions en savoir long mais la poerte nous reste fermée devant nous : trou borgne du temps imparti, fausse joie, enclavve dorée, cette chose ici est une enclave, comme un coquyillage nacré est une enclave c(‘est à dire une fausseté, car, point, en pareille coquille, d’entrée pour une destinée native, il ne peut, en cette coque, y avoir de trou profond, qui puisse ici nous emporter en lui, nous absorber commùe une éponge, nbous sommes blousés, nous ne pouvons pas entrer dans la roche princière, cvar on voit cela, devant soi, d’une sorte de donnée, faussée par la bande, un trou calcciné, une sorte (qui sait ?) d’entré dxe lave, vulcano de destinée maussade, sorte de trou borgne de la desrtinée qui fait (de nous) des etrtes blessés, trahis ou comment ? suis je un homme mi homme mi-bête ? suis je double ? suis je doubvlé ? dois je pârler au nom de tous, au nom de tous les miens, au nom de latribu complète, de la confrérie étendue, dois je parler au nom de tous les hommes de la confrérie, et au nom de toutes les betes de la confrérie ? dois je parler au nom de tout un chacun et toujourzs dire nous , car je suis (serais) ce nous en question , dois-je ? car voilà la chose ! nous sommes habités en nous par une (plusieurs?) bete de soubassement, et celle là (ou celles là) sont (ou est) bete de poids de rage, nous pensons que ces betes, en nous, ou cette bete, en bnous, est ou sont, razgeuse(s), rage même, est ou sont etre(s) de furie rageuse, n ous pensons, nous voyons les choses ainsi, nous pensons que les choses sont aion,si et se donnent à comp^rendre ainsi, nousz pensons que lesz choses du monde s’articulent ain,si et se laissent comprendre ainsi de notre gouverne, ces choses sont telles que voilà la chose , comme quoi nous nous sentons comme habités de l’intérieur par ici des betes de bon poids (molléculaire) d’importance, nbous pensons qu’en nous habitent ou se logent de nombreuses betes de fort poids, qui sont :
betes-mots de rage, qui sont :
soubassement, qui sont :
sous nous commùe des fondations et nous portent, ici, sur ce devant, de la roche dure des temps (la passion du christ , etc) et voilà pourquoi :
ces insanités, cette furia dans l’intensité, cette chose déposée sur roche au fusain, au manganèse, etc : les noms que nous portons comme des gilets, don,t nous sommùes affublés (incidemment) depuis nottre arrivée ou naissance au monde, nous penso,ns que le nom est l’animal de roche, une infamie ou sorte d'infamie de propos malsain attitré, ou comment décrire la chose ? nous disons cela, comme quoio, le nom de l’homme des cavbernes est le dessin tracé à main levée , sous empriseou sous influe,nce, et ce dessin est cette chose dite à haute voix comme une incantation votive : «ne me tue pas ! ne me zigouille pas ! ne m’achève pas ! ne me trahis pas ! ne me crache pas dessus ! ne me truande opas ! laisse moi le temps de la vie basse ! laisse moi donc vivre vie basse de roche et point de tuerie ! «, etc, nous penson,s que nous devons comprendre cette chose, d’un art de la roche (dure) qyui est art du dire salvateur, temps vécu pour sagouvernance, pour sa propre gouvernance, allure et aspect, formes et auttres vilosités, etc, qui sont des sortes de dépots sur roche,;, mots de source, chants inauguraux qui sont chants de base native, qyi sont ces chants inzauguraux de base native,
nous parlons un langage de charretier à treavers des betes dessinées sur roche et ce langage, « imagé», est celui là qui sort (dès lors) en cascade, de nos trous de bouche saignantqs, nous disons que nous, nous voulons vivre, et gueulons la chose ... à la cantonade ! nous voulons comprendre ensemble une chose neuve, ici, qui serait la chose à pour le coup devoir comprendre mordicus, et cette chose ici est u ne chose «espéciale» car nous sommes deux à la porrter en nous, nouys voulons nous deux (ensemble accouplé) comprendre une chose (native) de la vérité bvraie des choses du monde, nous cherchons ensemble ‘accouplé) cette chose (native) des choses du monde dela Vérité, le comprenez vous ? me comprenez vous ? nous sommes deux à rechercher, à chercher-creuser ensemble une chose, cette chgose a grand à voir avec la Vérité, nbous cherchons à deux (ensembkle conhjoint) une sorte de vérité vraie, concernant le monde frontal = pariétal de laroche du temps imparti à une vie humaine et pour ce faire nous allonds (gaiement) par la lande, ensemble comme des enfants, nous courons, nous cherchons le pot aux roses, bnous ne sommes pas peu fiers de vivre, nbous disons ce que no!us penson,s, bnous disons ce qui est, bnous disons ce que nous voyons, nous disons des mots de betes fortes, nbous disons que nous sommes deux pour une sorte d'immersion en cette lande déroulée de la roche des temps, nous disons que nous devons poursuivre, encore et toujours, sur ce chzmin de destinée rageuse, vive, injurieuse envers ...
«Mort, de Bouche Trou de la Roche du Temps»,
ou quel est son nom ? nous voulons savoir pour nous kle fin mot en toutes choses, et cela ici, en roche dure, près des betes qui paissent placidement, près des aurochs poilus et chevelus (?), nous parado,ns, nous la ramenons de principe, nous sommes vivants et par conséquent nous laramenons de priincipe, nous disons des choses de roche, nous ne pouvons pas ne pas dire, nous sommes deux (en
ous) qui allons gaiement poar laroche et nous laramenons comme des ramenards qui doivent se montrer et passer pour, et nous voilà coincés dès lors dans un role qui est role de déité, qui est ce role offert par une déité de roche, nous voilà coincés en cette chose d’une chasuble, d’une robe, d’un habit de roche, d’une laine, d’un chandail et d’une sorte de gouverne malmlmenée, nous voici pris d’assaut par (en nous) cette chose en ous qui nous fait parler et dès lors «laramener» comme des malotrus qui veulent se montrer coute que couteet ne pas passer inaperçu et voilà où le bat blesse ! ca r, il est cette chose ici qui est qu’un bat bklesse hélas ! e-t cette chose est très lié au fair-t que nous la «ramenons» comme des goujats de la bande, de la lande, de la bande et de la lande, car, voilà la chose qui se passe : nous solmmes deux (en nbous mêmes ?) qyui n’hésitons plus à arborer notrte «frimousse de destinée», cette tezte altière, couronné, cet enchevetrement langagier animamlier de rage, ces injhures formelles, ces i nsanités du plus basétage, cette saleté vmerdique ou pire ; ce vomi pour un rendu , ou comment ? car , n,ous avons à donner notre nom sur roche, nbous devons décliner notre identité car la vie de roche maintenue l’exige ! il s’agit de cette chose comme quoi le monde est ron,d comme une pomme, et ce monde rond nous porte bizarrement, nous sommes sur ce mo,nde non à larenverse éttrreangement, nbous tenons debout, nous tenons sur nos deux jambes sans problème et ne lachons pas le contact terrestre, nous somùmes comùme scotchés à la roche du temps impaerti, nous déambulons sur latezrre, nous sommes deux qui déambulons sur terre, iic ou là, nous nous promenons main dsa nsla main pour ainsi dire ou peutretre est ce vrai de vrai, une figure vraie, une main donnée en vrai et déposée dans une main donnée en vrai, qui le sait ? nous voulons savoir ! nous sommes sortis de la grotte, nous sommes nés à la vie, nouys déambulonsdansles champs et dans kls prés, nous regardons paitre les betes cde poids tout autour de nous, nous sommes deux s ur tetrre qui nous regardons dans le blanc des yeux et essayons de comprendre les choses du monde adjacent et que voit on ? nous voyons des choses de poids qyui paissent, et aussi le ciel de la chose, nous disons que nous sommes ensemble pour pareiklle excursion de base, nous cherchons une vérité dans le’s embruns, nous voulons comprendre ce qui est qui se déroule autour de nous, ces hommes et ces femmes qui sont ils et qui sont elles ? nous voulons comprendre ce qui est autour de nou!s = le nom des choses , suis je un homme de tribu ? suis je ce chasseur de la lande ? suis je un individu à part entière ? suis je un animal ? je suis sorti de matanière pour aller cha sser la betes monstre (ou fauve) ert me voilà à présent qui me mets à courir car, une bete a fait iruption dans mon cjhamp de vision, il s’agit d’une groose bete velue, ours des cavernes vreaisembvlablement, je suisq seul dans ce champ fleuri, mon nom est le nom que je grave à meme les roches, il s’agit d’un mot-animal qui désigne un etyre de roche et de champ, à savcoir un homme à savoir moi même, je suis l’animakl représenté,n, mon nom est un nom de bete représe,ntée, le nom de la bete fauve, monstre, qui charge, qui impressionn,e, qui fait de l’effet, qui nous fait peur, que nous cherchons à zigouillezr si possible et sans pour le coup y laisser la peau (la notre) au passage, nous sommes dans les champs qui chassons les betes de charge, nous voulons comprendre ces données champêttres à la lumière (mordorée) du jour baissant, car la nui t est proche, le soleil se coucxhe au loi,ntain, nous sqommes habillés de peau de betes, bnous sommes des etres de la roche dure ,qui est cette roche de groote enfouie dans un monticule de terre , nous sommes des etrtes de chasse et de promenade, de peche et de ceuillette, bnotre langue est une langue véritablement «espéciale» en ce sens qyue ce que nou!s disons est troujours imagé et s’incruste (ou «tape l’incruste») sur paroi, sur une paroi (sorte de paroi) d’une grotte (la notre) pour l’occasionb, nous dessinons sous emp^rise, au fond des grottes, des betes de charge c’est à dire des betes depoidfs, des betes qui pèsent leur pesant de viçc tuailles ou d’odfffrandes, nous pensons que la bete et nous ne faisons qu’un en vérité quand nous sommes en transe,n quand ainsi no!us sommes soulevés nbous devenons la bete en ous contenue depuis toujours, ceztte bete prend notre mesure, nous infiltre comme (peut-etre) une bete espionne, nous infiltre et nous gouverne, et nous voilà pris (prisonnier) dans les rêts ou les filets d’une bete de poids qui, en nous, a pris les commandes (peu ou prou) de notre cap, il s’agit dès lors de comprtendre cette chose comme quoi nous sommes tous et toutes des etres soumis à des volontés en bnous animal:es ou animalières, nous parlons cette langue animale qui, nous traversant, va trouver à s’inscrire sur une paroi, sous forme de dessins ou de gravures animùalières, nous parlons une langue tribale, quelques phonèmes gutturaux qui sont comme des cris de bete, ou quelque chose d’approchant, notre parler est (de fait) un parler frustre, tribal, drol:e en cela que ce parler se laiisee ou laisserait comme envahir (de l’intérieur) par une emprise animalmière, qui ici le gauchit dès lors sensibvlement en direction, pour ainsi dire, d’un parler «de roche» ou dit « de roche», et ce parler «de roche « ou «dit de roche» est pazrler izmagé, est gracvure à main levée comme sous hypnose, et nous voilà pris à partie c’est à dire pris au sang, comment expl;iquer cette chose ? nousq sommes envahi en nous par des betes qui en nous se forment, pour donc construire une sorete de pique verbale, sorte de piquede verbe animale, une sortye de queue ou de trompê, etc, qui, sortant de notrte bouche, va direct en direction d’une paroi de grotte, et grave, grave ou trace une ezffigie animalmière, un aurochs, un bison, ujn cheval, etc, et cela on peut dire sans réellement notrte consenteme,nt, nous dison,s des choses à haute voix, ces choses sont comme des incantations car elles sont répétees et mille fois réitérées à haute voix parmi nos congénères, nous clamons et ce que nbous clamons ewst cette chose d’une insulte généralisée, d’une sorte de rancoeur de base, rageuse, vraiment sale, un mot qsui en dit long, une sorte de chose dite dans (pour ainsi dire) l’insanité d’une langue : nous disons les pires lmots qui soient et cela expres, à dessein, pour en imposqer peutetre, ou sinon pour se décharger d’un trop-plein en nous qui est animaliezr, cette cargaison-cohorte en nous de bete de toutes sortes, de betes de rage surtout, qui ne demandent qu’à crier leur race, etc! et nous pour le coup d’accorder ce cri (en nous) à nos vioolons c’est à dire à notrte voix de roche», c’est à dire à notre main, qui , à main levée, subitement et comme par enchantement, trace ce qu’elle doit tra cer, et c e qu’elle trace figure une betye,, figure la bete en ous contenue (comme par extraordinaire !) et cette bete est un mot, un mot de nottre tribu, ou fait partie des mots (imagés comme des hiéroglyphes) de notre tribu, de notre tribu humaine, de sorte que ce mot (imagé) repr»ésente la bete, en nbous contenue, qui, du mêmùe coup, est (représente) cette chose en nous d’une sorte ... d’identité primaire, voilà ce qui est ! nous gravons et ce faisant nous inscrivons sur roche notre nom qyui est le nom de la bete portée, de cette bete en nous, qui, de fait, se cabre et nous donne l’aval ou l’élan pour dessiner à main levée et incidemment ce que cette betye est pour elle,
qui un cheval qui une jument, etc,
nbous avons l’habitude à présent de faire cette chose (dessiner nos noms) et il est évident que cette chose, ici, a pour nous une importance considérable, nous sommesq habitués à présent à dessiner sur roche des b etes de grossse taille, ces betes nous les connaissons et savons les représenter comme desz cheffes ou comme des chefs, nous sommes betes -cheffes nous mêmes et pour nous il va sans dire que ces betes -mots, que nous portons (dont nous sommes porteurs), ont à nos yeux une imporetance vconsidérablke car elles en imposent beaucoup de par leur masse, elles sont grosses d’elless, pleines d’elles cvomme un mot de peu (un juron, une insulte) sera plein de lui et pourra en jeter, pourra de lui-même impacter grandement la personne, ou la
ou l’etre visé, nous pensons que les dessins de ces betes (ici) sur la roche sont
1, des mots,
2, nos noms,
3, des jurons, des obscénités, du parler gras commejamais, des «gros mots» jetés à la cantonade, etc, voilà ce qu’il nous semùble et voilà npourquoi les mots ont pris au fil du temps cette imporetance jusqu’hà sortir des parois rocheuses, sortir de la grotte et courir les champs pour ainsi dire, nous pensons que bnous devons comlprendre cette chosecxpour nous, c’e’st à d-ire cette chose d’un mot comme sorti de ses gonds, et ce mot, dès lors qu’il s’affranchit, se laiisse emporter par la bande et (pour ainsi dire) se cristallise, en une sorte d’insanité votive, de mot de peu qui en impose de par cette grande vulgarité (en lui) dont il est porteur, nous pensons que le mot dessiné sur roche est une obscénité de première, un blasphème, un juron tracé, une saleté qui en dit long sur ce que nous fzisons sur roche, homme et femmes des cavernes, nous traçons des choses fortes et folles sous emprise, bnous sommes sous le joug en nous d’une bete de poids qui prend la mesure de notre gouverne et dès lors nous fait agir par devers nous commùe des etres qsui sont muselés, qui ne peuvent plus se prononcer en quoi que ce soit en leur nom, et d’ailleuirs quel est ce nom ... puisque le nom arboré est cette chose, dessinée sur roche de grotte, cet aurochs ou ce bison, ce chebval de bois, ce renne, ce cerf de la lande etc, nous savons à présent que l’injure dessinée est le nom que nous portons pour nous, ce nom donné comme par la bande, ce nom d’identité animalière, qui donc est ce nom que nous arborons fièrement et que nous crachons comme des muletiers de premoière, nous avons pour nom une injure ! notre nom est une injure ! MON NOM est injure «de toute beauté « rupestre animalière, cela nous le savons, un nom est
1 : image ,
2 : injure ,
3, saleté lancée à la fa ce d’une déité, et cette déité est celle là qui veut (voudrait) nottre mort coûte que coûte et pourquoi cela ? pourequoi veut elle notre mortv coute que coute ? car : elle est avide de san,g frais, pour sa gouverne ! ezlle doit en permanence recharger ou comme recharger ses accus, elle ne peut pas s’en passer;, elle se doit de faire cette chose que d’ailleurs elle n,e contrôle pas, elle est (elle aussi) prise d’assautt en elle par cette cxhose, qui est un devoir , commùe quoi elle doit en permanence se re charger, se remplir de chjoses de vie, c’est à dire de vies, de vies vraies, c’est à dire de la mort des gens du monde, à chaque mort elle recupère vie de base, elle est ainsi qui récupère à chaque fois (pour chaque mort) la vie envolée, et voilà comment elle fait : elle atteznd au coin du bois, ellme mate, elle n’en perd pas une (miette) et le moment venu elle jaillit, elle mord, elle tue et prend du mort ce qui l’intéresse, elle a vite fait de faire sa besogne et ne s’en complait pas ou pas longtemps (ou repaît) car voici à nouveau un nouvel arrivant quiu lui aussi se prête à pareille manoeuvre mortifère, et voilà la mport à nouveau un temps assouvie mais pas pour longtezmùps, elle a vite fait de recommencer et de récidiver son petit manège, elle est facile ! elle a vite fait de comp^rendre ! elle avite fait de sauter sur les occa sions qui seprésentent ! et nous d’eesswayer le plus possible de ne pas larencontrer, de nousq en tenir loin si possible, etc,; nous écrivons sur la roche une insulte qui s’adressse à elle, cette insulte est censée en imposer et lui faire passer la pilule (amère) comme quoi nous reswttons vivants, nous ne voulons pas succomber à ses charmes ou plus simplement (ou bonnement) comme quoi nou!s ne voulons pas passer l’arme à gazuche, notrte but est très éloigné de cette chose, car pour nous ce qui comp^te c’est le temps, c’est à dire ce temps octroyé qui nous permezt ce déroulé frontal et pariétal d’une vie à l ‘oeuvre, nous rechignons à donner de nous plus que le temps vécu d’une vie qyui brûle sa chandelle rouge,, nous ne voulons pas donner plus que ce feu de hjoie en ous, c’est à dire ce vécu du quotidien, ces pas sur la lande, ce déroulé longitudinal, etc, nous déposon,s notre barda à mesure que nous avanç!ons-traçons (sur terre) nottre passage, et ce barda est le présent (= temporel) et le présent (ce don) que nous faisons (à notre insu et / ou de force pour ainsi dire) à mesure que nous avançons ezn âge, nous donnons de nous, au fur et à mesure (à la mort-déité) ,
mais non point notre vie, car nous ne voulons pas mourir encore, nous ne sommes pas pressész, bnous avons encore à nos yeux un gran,d bou t de chjemin à faire, bnous ne voulons pas céder au premier regard en quelque sorte de la mort envers notre gouvern e, nous portons en ous une bete-mot qui est bete de poids qyi, peut-etre, nous protège des assautss, nous voulons comprendre le plus possibvle de toute l’affaire, ce chamboulzezmeznt en nous d’une sorte d’incarta de animalière qsui force kla place et, sortant par noptte bouche comme une pique, va vite trouver à greaver , sur un rocher, un roc, son image, soit l’image d’une bete-monstre, grosse et bezlle bete de roche, nous sommes sousq son influence massive, nous ne pouvons faire guère plus (ou mieux) que d’obtempérer et ne rien dire à kl’encontre cde sa volonté, de la volonté cde cette bete en nous qui nous chevauche, qyui n’hésite pas à ici nous chevaucher et à nous faire tracezr sur paroi des corps de betes, de betes diverses quoique souvent les mêmes = nous ! c’set à dire eux ou elles en nous ! nous sommes porteurs sains en ous de betes de roche, de ces betes que ousdessinons sur roche et pour cause ! nous portons en nou!s ces betes que nou!s deessinons, dessiner ici = vibrer = faire accroire = donner notre nom, etc, car la mort veut la vie ET le nom, la garce ! la vie vive (le coeur) ne luyi suffit pâs, elle a besoin de plus, de beaucoup plus, et bnous de lui donner nottre nom inscrit sur la roche, en sera-t-elle satisdfaite ? saura t-elle saisir cette chose , la comprendre dans sa pr ofondeur de pis-aller ou bien va telle un temps s’en contenter , nous avançons ainsi sur terre mère à la recherche d’une vériyté de poids, une de celles que les philosophes de tout acabit recherchent dans leurs penséesq, nousvoulons connaittre bien sûr les tenants et les aboutissants d(‘une vie humaine et pour vcela nous essayons de voir les choses comme elles sont et de ne surtout pas extrapôlezr ! nous voulons comprendre ce qui est autour de nous, qui se trame, c’st àdire tout, en vérité, tout comprendre, et '.. comme,nt comprendre, ce tout, d’un bloc ? car là est la chose à nos yeux qui nous semble importer le plus, à savoir cette chose comme quoi comprezndre, pour nous, est affaire de bloc, bloc de base, bloc ultime, bloc de bloc entier à prezndre, etc, si la vérité du monde est déchiffrable alors pour nous elle le serait en bloc, elle ne serait que déchifrable en bloc, et non pôint defaçon hachée c’est à) dire détaillée ou parcellaire, bnous voulons comprendre les ressorts, les ar canes,, les voir comme autant de trésors à déchiffrer etc, notre but est ici gravé& noir sur blanc, il est si simple, il est facile à bien cerner, il n’est pas compliqué, il est limpide comme une eau de source etc, nous voulons comprendre ce qui est ou c e qu’il en est du monde autour de nous, et pour le vcomp^rtendre bnous devons utiliser les mopyens que nous avons pour nous en réserve = les moyens du bord , cela qui pour nous est notre attirail de conqUuête, nous devons comprendre avec ce qui en nous nous sert d’outils pour la compréhension des cvhoses, -c’est à dire : ces mots-betes, ces mots-animaux, ces noms gravés (les notreszx) = des injhures, des gros m:ots, saleté de verbe, des mots gras et gros au sens de grossiers, des mots «à ne pazs prononcer «d’ordinaire, des mots chosquants, des mots d’outrage à agent etc, nous savons que ces mots sont un alcooll fort et en imposent grande»ment à qui que ce soit, nous pensons qUE l’injure est à dieu ce que le mot tendre est à l’enfa nt, etc, nouys pensons qUE les choses ici sont à mettree en parralèle, peut-être, comme quoi ... le parler doux vers le bébé est vvccette chose à mettte il semblerait en parallèle avec ce parler dur de charretier à l’adreese de la déité de roche dure ! nous penso,ns que cvette chose est commùe une sorte d’acquis : le mot au bébé (édulcoré) est ou serait le pendant de ... l’injure salace, lancée comme à la cantonaade, qui s’(adresse à dieu c’est à dire à ka mort, c’est à dire à cette déité de la mort au travail (à tout instant), nous peznsons que le parler bébé (a reu) est le parler que nous devons placer sur ce pendant en parallele du juron de base proféré, nous pensons que ce parler bébé est le pendant ou comme le pendant du parler grossier, voilà cette chose (ici) que bnous avons le pklaisir xde penser, que nous sommes a menés à peznser de co ncert, d’un côté un doux parler bébé ou quelque chose d’approchant, et de l’autre l’ibnjure salace, une vilenie de première, la grossierété des groosiéretéesq deéposée de fait sur paroi de grotte en tant que telle : czette saleté adressées, et qui en tant qyue telle dit la chose, comme quoi ... nous ne voulons pas passser l’arme à gauche ! nous hurlons cela comme des enfants récalcitrants qui ne veulent pas d’un médicament, d’un soin quelconque censé les aider ou les soulagezr ou même (peut-être) les sauver ! nous sommes des eznfantqs qui ne voulons pas du médicament ... de la mort ! nous sommes des enfants qui refusons énergiquement ce médicament de la mort à l ‘oeuvre ! nous ne voulons pas de ce satané onguent (?) de roche , njous voulons communiquer cette chose en ous d’une haine féroce à l’encontre de la mprt à) l’ euvre ! nous ne voulons pas de c et onguentt royal censé pouvoir sauver nbotre gouverne à tout jamais et, pour cela, bnous nouqs débattons; nous regimbons, nous nous débattons comme des forcenés, nous ruons dans les brancards, nous hurlons à la vie à la mort, nous crachons, mordons, injurions, nous crions tout notre soûl ou de tout notre soûl, nous ,ne vou;:ons rien savcoir ! nous ne voulons rien savoir car pour nous tout savoir est comme frelaté et sent son envie de nous rouler dans la farine, nous ne voulons rien savoir de ce savoir censé soi-disant nous aider et nous donner du baume au coeur ou même nous soulager à tout jamais de toutes sortes de peine présente (passée ?) ou à venir , bnous ne voulons rien savoir de ce savoir de base qui , en l’occurreznce, pourrait nous induire non pôint en erreur mais en vérité, ou comment signifier pour nous ce refus sans chichi, direct, sans concession , qui nous habite, comme pour ces enfants cette volonté, en eux, de ne pas se laisser attrapper ou prezndre et soi-disant soigner ! nous sommes les enfants de laroche, nous ne voulons pas de l’onguent ou du pansement, bnous rechignons fortement , nous nous débattons comme des forcenés ou comme des damnés, nous voulons fuir pareille engeance ou ce qui à nos yeux d’enfant nous semble revetir les habvits de l’engeance pure, nous ne voulons pas de pareil onguent et nous l’exprimons haut et fort sur roche, nous ne voulonsq pas de cette chose, nous ne voulons pas de pareille chose de voix, nous ne voulons pas de cette voix animale en nbous ou comment dire ? nous voulons dire non ! nous voulons que ce qui sort de nous soit ce non radical (de base) à graver ! nous voulons que ce que nous disons sur roche égala^t le non radical xde l’enfant suspicieux et qui craint l’eau du bain ou le médicament à avaler soi-disant pour son bien, mais ce bien lui parait lointain et ce qu’il voit c’est ce qui s’approche = la prise de force, cette chose à avaler coute que coute etc, nous sommes comme des enfants que l’on condamne, que l’on force, que l’on oblige mordicus quand leur vol:onté n’est pas la nôtre, qui ne veulent pas se laissser faire et qui renaclent et regimbent à se laissser mener comme pâr le bout du nez, nous ne voulons pas mourir ! nous ne voulons pas donner notre vie à cette cghose, au-devant, qui est cette divinité ou déité d’un devant de porte ! merdum ! merdum et remerdum ! nous crachons notre gouverne animalière (salace !) sur roche ! merdum ! merdum et remerdum ! saleté des saletés ! pute borgne ! pute et re-pute ! pute borgne et re-pute borgne ! non et non ! non ! non de dieu de non de dieu ! non et non ! non et non et re-non ! non et non ! non et non ! non et non ! non et encore non ! et tous ces non forment une litanie qui est une série ou comme une série de betes de roche , prononcées -tracées ,
nous écrivons -traçons nos noms cde roche sur la roche, nous disons notre non enfantin (a nimalier) cde refus d’obéidssance ! nous ne voul:ons pas mourir , nous ne voulons pas mourir sur la croix ou autrement ! nous ne voulons pas concéder cette cghose d’une vie en vie ! bnous ne voulons pas mourir ! je ! je ! je ! je ! je ! je ! je ! je ! je ! je ! je je ! je ! je ! je ! je ! je ! je ! je ! je ! je ! je ! je ! je ! je! je je je je je je ne veux ! voilà ce que je dis ! je dis ceci que je ne veux, surtout pas, mourir, mourir dans les bras, de cette chose devant moi, qui est eh bien ...
cette chose -déité sur un pas de porte , je suis l’homme des cavernes situé, cet homme des cavernes ne veut pas de cette déité pas même l’écouter, il ne veut rien xsavoir, c’est à dire : il ne veut pazs même enten,xdre, et du coup il cherche à se fermer (on dit : «comme une huitre») et ne rien entendre, surtout pas, ne pas écouter : surtout ne pas écouter, se fermer à tout propos venant du devant, de ces b ras (tendus vers soi) censés vous aider, vous offrir la vie rêvée ou « je ne sais » qui serait de la hjoie, or ce n’est pas la hjoie, pour soi, cela n’est guère cette chose en vérité ici à nos yeux,nous ne voulons pas de cette cghose cdevant soi, nous tenons à rester en vie et dès lors nous cherchons à consezrver la vie et du coup bnous crachons à la gueule de la déité qui est la Vérité de roche nue, nous ne voulons rien savoir provenant d’elle ! nous lui pissons à la ré pour ainsi dire, ou voilà du moins le genre de propos que nou!s lui tenons, et cela à dxessein , c’eswt à dire exprès, car bnous voulons lafaire fuir, l’importuner, la troubler, l’incommoder, lui parlmer mal et gra s afin de lafaire s’en aller et ne pazs revzenir dse sitôt et il nous semmble dès lors que le coup eswt jouable, en agissant xde la sorte, nous pensons que le coup est parfa itement jhouab le, particuylièremeznt ou carrémeznt ou forcezment oupourquoi pashjouable à nos yeux !
ne pas tomber dsans le panneau, se tenir sur son quant-à-soi, ne pas tergiverser, se laisssr emporrtter en soi par cette vague animalière en soi de co:mpâgbnie, se laisser en soi emporter par cette va gue animùalière, cet acharnement animalier, ce tribun animùalier,n ce graveur, ce dessinateur animalier en soi, voilà ce que nous faisons, car, nous réa gissons comme des enfants qui n’ont squ’une confiance relative enversq leurs parents ou envers l’adulte (principalement) qui va cxhercher à le blouser, l’amadouer, pour lui faire avaler ... son breuvage sentimental, ou comment ? nous so:mmes des enfants face à la mort, et, de ce fait, nous crachons sur rocxhe nos gros mots qui signent (dès lors) notre refus d’obtempérer et cela en notre nom, c’est à dire que notre refus est signé ou comme signé par la =même occasion , et ici le non est le nom;, et cela en miroir pour ainsi dire : MON NOM est le nom que je porte sur moi comme une capeline de forme animale = une peau, de telle ou telle bêzte (qui sait ?) en partuiculier :
un auerocxhs ? un chamois ? une loutre ? une belette ? une pintade ? une ourse ? un ours ? un chevreuil ? une belette? un cverf ? un ours ? une grive ? un oiseau du paradis ? un mammouth ? un bouquetin ? un chien ?un cheval ? une salamandrez ? une raie manta ? un cghien? un chien de berger ? un ami des prés ? un pivert ? une loutre ? une pintade ? un chjat ? un aurochs ? un cerf de sous bois ? une biche ? un chevreuil ? un bison ? un buffle ? une vache ? un taureau ? un cheval ? un poney ? un oiseau rapace ? je suis lm’animal de ma race, mon nom est noté sur roche, je dis no à Mort de Bouche, mon nom est un non jeté à sa face comme un juron ! « je ne veu pas mourir de sitot, je ne veux certe pas mourir de sitot car je tiens à la vie mordicusq etc», je suis un hoomme des cavernes ou une femme des cav ernes ou un enfant des cav ernes ou un animal des cavernes qui tient mordicus à la vie et ne s’en laisse pas conter outre mesure, je veux aller loin en cette ro che du temp^s et ne pas perdre la face, je ne veux certe pâs perdre la face d-evant la paroi, devant la bouche, devant cette bouche ouverte de la mort ca r la mort est bouche, la mprt est une bouche, on voit bien combien est bouche cette :moprt, elle est bouche jusqu’au bout des ongles on dirait cettte chose, comme quyoi la mort est une bouche grande ouverte, on voit ses lèvres, on devin,e l’intérieur de cette bouche, on voit cette bouche devant soi qyui est bouxche d’un devant de soi et ce devant de soi estcette chose qui est là pour mieux vcous avaler, comme (de fait) bouche ouverte gobant ce qui se met à sa portée : mouches ou autres betes jouant, pour le coup dangereusement, à s’approcher,
nous sommes ainsi qsoumis à ce danger perpétuel d’une bouche capable à tout moment de nous gober et de une et de deux sa ns tergiverser, et ce sans notre asssentiment ou consentement (forcément !) et voilà ce que nous disons (du coup ) , nous disons : «vafanculopute» à la mort-bouche, ou à Mort de Bouche, nous disons des insanités car 1
nous voulons offrir du vif de chez vif, et l’insanité injurieuse vous réveille un mort , et 2,
car notre refus est inséré en nous, fait partie de nous : vivre est ce refus ici continu de rétrocéder, etc, nous disons cette chose (nous) comme quoi nous devons expressement tenir longtemps et ne pas céder ! nous deevons tenir dans le temps et du coup nous offrons ce temps, dans lequel nous tenonsq, car nbous tenons au temp^s et dans le temps, nous donnons ce temp^s dévolu, ce temps déroul:é, ce tapis de temps, voilà ce que bnous donnons à cette sorte d'entité déifiée qui est devant nous, nous injurions, nous disons des mots gras et gros et sales et piteux exprès, ce que nous voulons ici est clair comme de l’(eau de roche, il s’agit d’en foutre plein la vue et rien dxe tel qu’un propos grossier pour impacter et faire accroire à de la vie vive , à du vif de chez vif, et voilà comment de fait déjouer un tour qui s’ann,onçait funeswtement pour vous devant vous ! nous sommes dégourdi = nés ! naittre = déjhouer ! naitre = se tenir dans le creux du temps =doonner =donner du vécu = déjouer = blouser ou gruger la mort ! nous sommùes nés et ce» faisant notree nom s’est inscrit sur la roche du temps comme un refus d’obtempérer ! nous naissons et cette chose dit (décline) son nom de n,aissan ce, voilà la chose classée ! nous pensons que bnous devonsq co:mprendre cette chose d’u ne sorte pour le coup de vo:lonté en nous, peut-etre, de ... pousser bébé dans les orties, ce bébé devant, ce bébé de bouche, etc, nous pensons que cette cxhose a en vrai son importance et que nous sommes à présent à même de le comprendre , nous devons refuser la mort à venir et souffler touhjours, à plein poumon, le trop plein de vie animale enn ous, voilà la chose, et aussi pourqqoi nous crachons sur roche des betes, ou dessinés ou vgravées, la chose est facile à cerner désormais, il faut voir ainsi, il est bon de voir cette chose auhjourdhui, comme quoi nous avons à tracer
nos propres noms sur roche (animaliers) sous ezmprise,et ce afin de nous tenir, de la mort, à bonne disqtance, du moins un temps, nous devons comprendre cette chose à présent daevant nous, cette chose d’une bezte en nous, qui nous aide (en sortant de nous) pour tracer ou nous aide à tracer sa propre effigie de bete
de race, ovine, porcine, etc, nous pensons que cette chosed pour nous a de l’importyance, -et que l’image en ous de la betye est une image prégnante en ous-mêmes, elle est contenue en nous dans un sas qui est une outtre contenant la bete et l’être réunis, nous pensons qu’en nous existe une sorte d’antre ou d’outre (une poche) dans laquelle on retrouvev la bete et aussi nottre etre, ces choses jointees, cet accouplaement-enchevetrement qui, sorti de nous sous forme de pique, pourra s’en aller, traverser la roche du temps et graver son nom de bete rupestre, il nous semble dès lors que cette chose ici est à bien comprendre de visu : une bete dessinée représente une donnée de base, il s’agit ici de co:m^prendre cette chose, comme quoi : qui dit bete sur roche dit refus d’obtempérer et vol:onté a ncrée de nommer la chose, ce refus, afin de bien se faire repérer et comprenxdre en son nom propre, un homme des ca vernes porte un nom, celui de la bezte squi le chevauche, un homme des cavernes porte le nom préciseément de cette bete en lui quil contient ou contenait , et à présent alors ? ou sommesznous ? qui sommes nous ? que contenons nous en nous ? qu’avons nous en nous dans notre outre ? que conservons nous en ous (où ?) de cet âge lointain de lm’homme des ca vernes ? l’homme des cavernes est-il encore en nous et si oui où ça ? qui sait où donc se loge ou logerait en nous l’homme des cavernes ? et la bete des cavernes alors ? sommes nous envahis en n ous par une sorte d’entité bestiale qui saurait mieux que personnne quel est ou sezrait le nom qui serait le nôttre en vérité ? je veux savoir ! je voudrais savoir mon nom, quel est il ? je veux et voudrais ! je veux-voudrais savoir ! je veux et je voudrais savoir ! je suis homme des cavernes empli d’un savoir de bete de roche, mon nom est celui là qui de fait se lit sur laparoi en termes de gravure ou de dessin à main levée d’une bete des prés ou des bois , je suis l’homme qui marche la tete haute, la ramène assez mais comment ne pas ? je suis un homme de roche et mon corps ewst ainsii entré en icelle pour l’éternité ou non ? qui peut me dire la vérité ? qsui connait la vérité ? la vérité» est-elle de fait contenue dans les mots ? et si non comment s’(en sortir ? comment faire pour s’en sortir ? et que sign ifie «s’en sortir» ? «se tirer d’affaire», «se dégager» ou «se désengager» ? comment faire pour en effezt se tirer d’affaire quand les mots semblent nous tromper et nous induire grave en erreur , comment procéder ? nous voulons nous tirer d’affaire et pour cela nous réfleschissons à comment s’y prendre mais la queswtion reste entière à nos yeux, car il nous semble que les mots ne peuvent paes percer (pour ainsi dire) l’hymen de la vérité, comment le pourraient-)ils ? les mots ne sont pas des aiguilles , si ? comùent faire ? nous pensons que les motrs ne peuvent pâs (jama is) toucher la vérité dans son côté palpable sensible animal, cela nous parait impossible, à nous cette chose nous semble hjuste pas possible et la preuve en est que nous tournons en rond depuis la nuit des tempsq, sans progrès, nous sommews ainsi qui pensons que oui, mais en vérité la chose n’est pas gagnée, nbous pensons qe oui, parfois, et abusons de l’usage des :mots, mais ezn véreité nous savons que cette chose (xd’une percée) est chose impossible (impossible) à mener à bien, nous ne voulons pas mourir mais comment le dire ? la mort (comme les animaux)- comprend-elle le sens des mots ? quels mots employer pour ce diire ? en vérité la chose est ainsi : naitre = se positionner dansd la vie comme «ne donnant pazs» la vie à la naissance, le moment est reportéec , reculé, instamment repoussé par en nous la vie elle m^$me, et dès lors que nous vivons, un vécu va s’accumulant qui devient prégnant et se présente comme le présent que nous sommes enmn meswure alors exprésssement d’offrir en cadeau (offrande) à cette déité de la mort à venir, ou mort à l ‘oeuvre, nous devons comprendre
cette chose comme quoi le mot donné sur roche est un présent, ce présent est le présent = le temps vécu, et ce temps vécu est un juron, c’est à dire : un pied de nez enfantin, u ne sorte de blague, de jeu d’enfant faisant sembvlan,t, voilà ce qui est ! l’enfant naissant fait semblant d’etre un don (ou en don) pour la morrt avide or bien sur que non, il n’est pas, ou pas forcément ! l’enfant vivant, l’enfant vivzant = de naissance, est un pied de nez à la mort vorace, voilà la chose, et son nom est animalier et comme un propos grave (injures à agent) porté ou prononcé à la cvantonnade : furie ou furia, incantatations votives, bri nqueba lement des bras sur la roche avec marques assovcviée (empreintes de main) et musique concordan,te, etc, nous avons à aller en roche ainsi, hommes et femmes des cavernes, afin de tracer cette chose d’un nom alloué par la bande (injure à a gent) et ce nom est une image forte, celle d(une bete (bete-mot) qsui en impose par sa présence (masssive) et son rendu (fort ressemblant) faisant croire à une bete vive , vive donc vraie ! on reve ! on a cette chose, mon nom sur roche, rêvons ! la chose est consacrée , l’homme-femme des cavernes est l’homme-femme au nom consacré, au nom jeté sur roche comme une sorte d’effigie censée représenter telle personne en paerticulier , je portye le nom de la bete qui me seconde, la mort est à son affaire mais la bete en moi me surveille, m’aide, me soutieznt, car sans elle comment ferais-je ? je suius homme-femme de la roche dure des embruns, mon nom est Personne, auusi bien,n, ou tout autrte, mon nom estle nom d’une betye fauve, je suis l’homme à la queue de roche, piquante -traçante, qui va ainsi et vient ainsi à tracer la bete sur la roche nue ou déj-à barbouill»ée, je dessine à main levée, mon nom est une injure proférée, je sais cela, je vois cette chose comme quyoi ainsi parfois des noms de personne sont ou szeraient des insultes, proférées, balancées, jetées à la face de la mort à l’oeuvre, et cette face alors, à quoi ressemble t elle ? à quoi ou à qui ressemble la mort ? la mort ressemble à de la bouillie , la mort est intestinale, un magma, du pus, de la merde infame, une merde sans nom, une saleté crasse, une merde = une merdouille ou une merde ? plutot une merde, bien sale , bien puante, une sa leté de merde puante qui impa cte, qui nous troue le cul par sa pua nteur et sa misère, nous savonsq cezla, nous savons cette chose rude
18/5/2021
je suis l’homme cerf de la roche, je suis cet homme-cerf qui est
- cet homme de la roche dure, roche des temps,
- ce cerf des embruns et des clartés lointaines, tout au fond, deuxième rideau, passage vers un au-delà pariétal qui reste l’innconnu des grandes eaux, je cherche issue à pareille roche et pour ce faire je m’enfonc e en cette zone des embruns et du nacre de roche, où donc aller en pareille paroi ? où donc se faufiler ? qui suivre sinon soi ? qui croire sinon (peut-être) le cerf de céans, cerf de roche ? squi est qui en cette roche des apprets, appeau, appats, etc,? nous savons que cerf + homme = cette bete-mot qui caracole sur paroi, main levée dessine, chant perlé de la roche dure ! où sont les amis ? où sont les vivres ? où donc se faufiler en pareille roche des temps impartis ? qui pourra me donner la conduite à tenir ? qui saura me donner l’imprimatur , le oui qui s’impose, qui ? nous sommes deux en soi, l’homme et l’animal, ou sinon comment ? nous cherchons à comprendre une vérité de bon aloi qui put nous renseigner sérieusement et longuement sur la marche qui serait à suyivre ici bas : qui saurait nous donner une mazrche à suivre ? qui saurait nous expliquer ce qui est ici, en pareille roche des temps, pour un homme-cerf comme soi ? qui saurait nous dire ce qui est en cette roche des temps durs, des temps incertains, des aléas, des cxatastrophes, des micro-fissures, etc ? qui est qui pour soi ? qui va là ? qui donc est l’homme aux bois qui caracole en veux tu en voilà à meme la roche ? nous sommes deux qui
caracolons, je suis homme et cerf, je suis homme et sous fifre, ce rien qui va là en pareille paroi comme une sorte d'effigie, et de quoi ws’agit il ? il s’agit d’un nom, d’un nom de pâroi dure, gravé ou dessiné à main levé par lm’homme de bure, il s’agit de voir cet homme soulevé, pris à partie, chagrin sous cette envolé, qui hurle, qui criaille, qui dit son mal, qui chante sa plaie vive et trace sur roche son allant de bete chevaline, porcine, ovine ou caprine (etc) , il s’agit (ici) de cet homme-cerf de roche dure, il est beau comme une chose belle, son allant est beau, son tracé est beau, sa faconde est belle, son jeu de paroi et son gravé son beaux comme belles choses de roche, il s’agit de comprendre ici que son allant est (en quelque sorte) l’art de la fugue, sur roche ou sur paroi, peu importe ici le nom donné à ce support de choix, il est l’homme cerf de roche allouée, il est cet homme cerf de la roche offerte, comme par la bande, à un qui sait tracer la silhouette, gracieuse et gracile, d’une bete-mot de première, homme cerf
- dxes temps anciens,
- du passage du temps,
- de ce temps passé offrt ici sur roche divine,
on sait la passion, on voit cette chose (ici bas) d’un homme des tracés gravés , qui connait son monde et agit de front, à dessein et sans recukler,
son art est l’art de la roche dure, son art est très-lié à une roche dure, art de roche dure s’il en est, son art est une chose dure de parade, un paradis et une parade, une chose fière, arborescente, qui va de l’avant comme la roue d’un animal, il fait sa parade, il fait parade-paradis de roche et son nom s’inscrit de la sorte, en déambulations, circonlocutions, spires et spirales, comme le tracé d’une chose chue, ici, dans sa chute, on y voit la chose vriller, on sait cette chose d’une sorte de treacé de roche (de roche des temps) à) même la roche des parois de grotte, de cavernes, d’aven ou de gouffre, on sait le malêtre de l’homme crieur, trraçant effigie, traçant cghoses et autres sur roche dure, en lévitation, pris à partie ou comme secondé (?) par la bande, car la bande ici est cette chose dure du retour, ce retour sur soi, cet écueil, cette roche de parade comme accolée, ce mur des lamentations, ce corps dressé, cette vague debout, cette bezauté rude des temps durs, ces douleurs de choc, etc, on voit près de soi se dresser la vague, de part et d’autre, et le passage est fait, qui nous laisse nous enfoncer en cette mer ouverte, en cette échancrure de paroi de roche, on ava,nce a insi en pareille paroi et on se dirige (le port glabre) vers la fin du fond, fin fond des fins de roche, vers ce final, cette finitude de paroi, ce bord du lointain, cette clarté, cette roche ouverte du fond comme une porte, l’entrée (la sortie ?), le passage outré, la porte vive, la beauté assoupie, le chant choral, la belle envolée , le sommeil du juste, la peine des peines, le sentier, la roche tendre, la clarté lunaire, les embruns, le soir, la beauté oplastique, l’époumonement, le souffle vif, le sein donné, le lait, la caresse , le ciel, l’empreinte du ciel, le vif de la roche
ouverte comme une plaie et qui serait là pour nous laisser passer eznsemble (main dans la main ? ) comme deux amoureux (tourtereaux) de la première heure, nous cherchons issue à cette roche des temps fracassés sur parois des tempsn,, nousq cherchons «comme», soit issue qui soit, pour nous, «comme», soit : «comme la mort», mais qui ... qui serait autre que la moprt, qui serait tout autre, nous cherchons cet autrte à la mort dure, nous cherchonsautre que mort dure, -nous sommes qui autre cherchons que ce mort de dure-vie, nous cherchons autre que, et ce autre que, est ce autre que mort qui plombe,
nous cherchons à trouver auttre chose, en roche, que ce mort de bouche offerte, ce offert de mort qui est ce bouche de la mort de la paroi du temps, nous voulons aller loin , en pareille paroi, et comprendre le plus de la roche dure, et savoir ce qui est qui va en nous , qui file en nous, qui vibre en ous , en matière de vive animalité, etc, nous avons ce souci xd’aller toujours plus de l’avant en roche, nous avons pour nous toujours ce souci de faire ainsi que nous sommes ou soyons ceux et celles qui toujours vont vers ce devant de roche dure des temps impartis et qui dès lors ne se retournent pas, tracent, en avancent grave, sautillent ici ou là et foncent leur chemin de foi, on est de ceux et celles qui, ici, foncent leur tracé de foi,,
filent à toute vitesse et treacent à l’envi leurs repères, sur pareille roche du temps ...
qui saura nous dénicher ? qui verra la beauté du geste ? qui saura trouver en roche ce tracé de bure ? qui comprendra l’imprimatur accordé par une foi nacrée de la roche des temps alloués ? qui saura percer le mystère et trouver chaussure à son pied ? qui peut aller loin ménageant sa monture, qui ? car nous sommes deux, homme-femme accoulpé, pris à partie, mis en orbite, soulevés, pris ainsi par la bande d’une roche affolée, nous nous soulevons, nous l»évitons, nous montons sur paroi, contre paroi, nous montons comme deux envolés, nous sommes qui alons sur roche et qui traversons pareille densité, nous sommes deux en pleine action qui lé vitons à même la roche des temps et entrons en cette roche dure des passions de l’homme transformé en bete, nous cherchons cette chose en nous, qui serait peut-être une rancoeur, une attitude mièvre, mais voici la bete en nous qui vitupère, fulminee, hurle sa rage expressive, et nous poussse à pour le coup graver sur roche nos désirs de paix, notre envie de permùanence, etc, notre voeu est avoué, nous sommes ceux/celles qui voulons comprendre loin ce qui est sur roche qui se trame et qui nous attend et pour ce faire nous nous accolons à pareille roche et cgherchons a vec nos moyens (bure et pic) de passer à travers, d’entrer fissa, de pénétrrer pareille roche des temps durs, des temps alourdis, des temps de peine, des temps brûlés, nous xcherchons à traverser cette roche des temps durs, des temps passionn,és, des temps de rage aux dents et de douleurs diverses, nous cherchons à entrer en cette roche du temps offert soit offert par la bande à la naissance, qui est qui ? qui fait quoi ? nous naissons à la vie rude pariétale et temporelle, noius sommes enfants naissants naissant à la roche , qui vont et viennent, nonchalamment, en cette prairie vertte des abords de roche, nous passons ainsi entre deux mers, la mer nous est ouverte, la mer est une issue, il s’agit de voir cette choses en nbous d’une mezr ouverte, d’une mer quyi s’ouvre, d’une mer qui est une ouvertrure, un trou, un passage non entravé par quoi que ce soit, et point de rancoeur, point de recul, point d’hésitation coupable, laisso,ns aller, nous devons passer en cette roche des embruns tete et corps entier vers issue de roche temporelle : les passions, la rage de l’expression, le sommùeil du juste, le soin à l’enfant et à la mère, à la mère et à l’enfant, nous allons gaiement sur nos chemins de roche (de roche du temps) à la recherche d’une entrée de roche (une sortie ?) qui serait, pour nous, ce passage inoui de la roche des temps qui sont temps d’ouverture vers un au-delà pariétyal ancestral de roche meuble, tendtre, soyeuse, fine et élégante, douce et caline comme une bbiche, nous cherchons une chose de roche entre deux parois, nous cherchons l’ouverture, soit le trou, la chose échancrée, le passdage, la voie d’accès, le moment, et nous de nous congratuler pour nos recherches soutenues, ancrées, continues, aiméesq, soumises, nous voulons comprendre les tenantds et les aboutissants de pareille chose ici qui setrame , à savoir : cet entre-deux-mers pareiétal qyui est cette chose qui est cet endroit de haute lutte pariétale, ce mur des lamentations, des chevaux en cavalcadez, des ours dessionés à main levée, je suyis la femme des cavernes, mon nom est gravée à même la roche comme une bete-mot de première, je regarde passer les betes de roche, mon nom est ce nom dessinée par un e main levée levée sous emprise (sous le joug) et ce dessin de roche est pour le coup ce nom porté comme une sorte de chandail de race, lumière, chandail de lumière, habit vibrant sous les feux de larampe, je vais et je viens en roche ainsi accoutrée, je suis la femme des rochezrrrrrs de roche, je suis femme accoutrée, soutenue, allouée et contenue par ... une bete d’emprise en moi-même, bete de feu, bete folle, bete enragée, bete suicidaire ? nous poussons ainsi en roche ensemble main dan,sq la main ! et ayyant poussé nou!s entrons, nous sommes entrés, nbous sommes deux qui sommes entrés en cette roche qui est cet espace de destinée qui est espace-temps de roche dure, cette chose d’une roche dure des temps impartis entre deux vagues, dressées, qui se tiennent coites à nos côtés, nous passons, notre but est affiché, nous sommes entrés et à nous la sortie prochaaine oui mais où ? car nous ne savons pas qui nous sommes ! sommes nous des cerfs ? des boeufs ? des rongeurs ? des gallinacés ? des ostrogohs ? des hommes à barbe ? des femmes ouvertes ? des chiens ? des chats ? des betesmots de première ? du vent ? qui sommes nouys au justye et de quoi vivons nous ? d’herbe des champs ? de petit gibier ? de fleurs et de fruits ? de choses dures , de choses tendres ? d’amour et d’aeu fraiche ? de charivari ? nous avons cette chose pour nous qui est celle ci, comme quoi nous sommes accouplés en pareille roche et, cela dit, nous pouvons comprendre une chose concernant ceci, comme quoi nous sommes tous deux accouplés en roche et cette chose est cette chose comme quoi nous sommes deux, commùe main dans la main en soi , = entortillement ! nous sommes deux qui sommes comme entortillés en soi même, cvomme un qsui serait deux, lza droite et la gauche, ou bien la bemlle et la bete en soi, cette chose, une sorte d’entortillement vital, en soi, avec cette cghose pour soi , comme quoi nous sommes (tous deux) des etres accvouplés dans une sorte de lacis, d’entrelacs, qui font de nous des etres de choix, des etres choisis par la bande (voilà) qui vont sur roche chercher leur pitance (art de la roche) à même la paroi froide, nous cherchons cette chose et nous trouvons des mots, des betes-motsqui caracolent ,
sur pareille roche des temps,; nbous sommes deux en n ous (entortillés, entrelacés, emberlificotés) qui entrons ici en roche du temps (la passion) poour une sorte d'incursion-immixtion massive, en pareille roche, de nos corps soudés, nous entrons et voyons la plaine, les champs à pertte de vue, et au lointain ces lumières, ces clartés votives (natives ?), ces entrées de roche (sorties ?) qui nous font de l’oeil, nous pensons que nous sommes de fait insérés comme des betes-mots sur roche de grotte, notre choix est fait, qui est de se loger-lover ici, en pareille roche du temps, un temps, puis de chercher à comment faire pour aller trouver (ici ou là) l’issue de secours, nous cherchons une chose et cette chgose est une clé, nous cherchons une chose et cette chose xserait une clé, une clé de porte d’entrée, une clé musicale, la paroi est devant soi comme une roche dure des temps impartis, la paroi ewst la vague dressée, nous nous avançons torsadés et alons de l’avant dans le temps des façons (diverses) de faire, nous nous avançons et nous recgherchons (à même la pierre du temps) cette cghose pour nous capitale d’une lettre capitale, cette lettree V en capitale, cette lettre du V majuscule ici ou là, nous la recherchons, où est elle ? où pouvoir latrouver ? qui sait ou pareille lettre se trouve ou se loge, en quel recoin, en quel trou de roche, qui ? nous voulons savoir où pouvoir trouver ce V de la roche dure, où est le V de la roche dure des tempsq ? colmment faire pour le trouver ? nous cherchons avec assidyuité, courage, énergie, volonté, curiosité, vouloir-être, etc, nous cherchons avec en nous ce vouloir-être ici incarné comme une bete en soi, fzaite de rage et d’envies vives, voraces, agressives, etc, notre but est de trouver, en roche dyu temps (entre-deux-mers), cette belle ouverture (en V) de la roche = échancrure, encolure, ouverture, etc, qui fût (pour nous) le passage de vie vers trépas, qui (pour nous) fût ceci que nous recherchon,s, pour notre gouverne : une bouche de la vérité, une parole «sensée», une parole de poids comme aurochs des prés et des bois, etc, mais où trouver pareille sentence, dans quelle lzangue ? car il semblerait que toutes les langues soient égales (ezn nombre et en chiffre) et que dès lors les mots ne peuvent pas suivre, quelle que soit la langue parlée ... bnous pensons que de brutaliser peut-etre l’appareil du verbe (l’organe «fonctioonel») est une chose qui s’impose ici à bnotre gouverne, mais on voit la chose, cet écueil de roche devant soi, on connait son monde, on n’est pas complètement brûlé, on voit encore des petites choses et ce qzu’on voit est cette chose d’une sorte devant soi de paroi borgne, glissante, où va l ‘‘oeil sur roche aller et venir, etc, nous solmmes des qui voyons la chgose, l’oeil glisser sur roche et ainsi ne trouver nulle part d’endroit où s’accrocher vraiment pour entrer c’est à dire sortir ! car, ici, lme trou recherché est sortie de base, il s’agfit de comprendrec ici comme quoi ce trou, que nous recherchons ardemment, est un trou de sortie et non d’entrée ou bien nous trompîoons-nous ? nous
cherchons cette chose en miroir, nous voyons les choses en miroir, nous pensons que visuellement les choses s’imposent en miroir (toutes ?), nous cherchons de la sorte des chgoses qui seraient comme disposées perpétuellement en miroir, de la naissance à la fin d’une vie, etc, nous voulons comprendre ce qui est sur roche (terre) à la lumière de la symetrie des choses sur roche, nous voulons ensemble comprendre les choses du monde à l’aune de la symétrie, cette chose ici découverte, cette peau des choses etc, nous voulons comprendre cette chose ici et pour nous, d’une sorte de monde doublé, dédoublé pour ainsi dire : droite et gauche pour une gouvernez, et voilà ce qui se trame en ous (bouillie) qui est cette chose (anbimalière) qui cherche issue pour une excursion de première, en roche et sur terre, ou commùeznt ? car la bete en nous est une bete fauve, rageuse, enragée, qui foule au pied, qui remue des masses,; qui est bete-mot sur roche de grotte, influente, masse sur roche bougeant à la lumière des torches, nous sommes des betes-hommes de roche, notere nom est inscrit à main levée, nous aimons déambuler parmi les betes des prairies et des bois cachés,
notre nom est un nom animùalier,
nous voulons aller en roche des temps commùe en une sorte de prieuré, qui serait la maison des tourments soula gész, bnous ne voulons pas mourir de sitôt ! notrte but est afficjhé ! sus à la mort de roche ! merdum à icelle la «connn '»,! non et re-non
! nous n,e voulons pas connaitrte la mor! nous ne voulons pas de pareille «enflure» ! nous n’en voulons pas ! nou!s voulons nouis en tenir loin par la bande et tracer un tout autre chemin pariétal ! comment faire pour en réchapper ? comment ne pas tomber dans le pâneau ? qui pourra nous donner les sens des chosesq ? qui est qui ? nous voulons comp^rendrela mort à l’aune de cette échancrure susnommée, qui est elle ? qu’est-elle ? quoi est donc pareille échancrure des embruns ? nous ne voulons pas a ller loin en cette roche mortelle maisd longtemps tenir comme sauvés des bords !nous voulon,s a ller en roche dure pour un temps long et nous tenir ainsi en elle main dans la main —>> cet entrelacemùent, nous voulons tenir en roche —>> entrelacement, comme deux (ceux ?) qui voulons rester accvouplés, en parfaite synchronie, etc, et, comme la droite et la gauche s’accordent nous accorder, nous voulons tenir bon la roche et ne pas chuter ou tomber en pareille échancrure quyi devant nous se présenterait et nous engloutirait, nous ne voulons pas sombrer dans les (?) échancruresq mais rester debout et accolés (l’un l’autre) sur rocher, notre but ainsi est dit hzaut et fort, notre but est affirmé, il est le but, dès lors affirmé, «de la roche du temps», pour nous qui y sommes des etres (de peu) de passage, nous disons ce qui pour nous eswt important et ela est cette chose comme quoi nous sommes ensemble, ici, en cette roche de paroi du monde (ornementée) pour un temps mesuré, temps de vie de l’homme-cerf ou de la femme -cerf, et ce temps a des allures an,imalières tout autant car il s’agit de représentations rupestres, de betes de charge vocale musicale, qui, dans le temps justement, déploient tous leurs atours (en swymetrie) pour une parade, une salvation, une sorte de prière de rochge à l’adresse d’une déité qui serait cxonsacrée par
1, lzes embruns de bord de mer,
2, les parois du monde vivant,
nous essayons de comprendre ainsi les cghoses du monde en pareille roche et pour ce faire il est bonn de se placer eznsembvle en une sorte de place votive, cette placve aux voeux divers, qui est celle aussi de la prière ici lancvée à des dieux de roche cachés ou bien où sont ils, où sont elles, ces créaturesq ? nous cherchons issue doucve par le chant, nous cherchons une issue douce par la parole, par l’efficience langagière pariétazle , où se placer en pareille roche du temp^s pour sortir la tete et respîrer sans gêne ? où et comment ? car nou!s voulons savoir et poursuivre nos chemins de page, nous voulons comprendre les choses crument, sans chichis, sans tourneboulage intempestifs, directement, crument, chaudement sorties (les choses) de l’oeuf, comment faire ? nous voulons comprtendre ce qui est ici qui setrame, en cette section pariétale du temps déroulé, musicalement, comme une méloppée apprise par coeur, car le coezur ici a son mot à) dire continuellement et sourdement, ou sourdemen,t peut êztre pas mais en continu car il ne lache pas la mesure du temps qui ... qui toujours compte, tapê, vibre, renacle et va de son allant vers Roche aux embruns, va de son allant placide, etc,
le coeur est au coeur de l’évènement,
nou!s savon,s cette chose de roche comme quoi, la chose est dite ici (paroi) sous forme animùale, ce jet sur pierre = un crachat, un jet «brute», une sorte d’incarta de , un écart de morale, une sorte d’injure rupestre et voilà ce que nous szavons de toute cette affaire, nous creusons à mezme la roche et voulons trouver une chose dure, rude, qui puisse le faire pour l’étternité, une pàarole d’évangile en vérité (voilà le pot aux roses !): une parole d’évangile, une parole a ncrée, une gravureestampillée «à jamais», etc, nous voulons de cette permanen,ce, de cette imposture oui ! car la permanence est illusoire qui nous voit somnbrer corps et ame un de ces quatre immanquablement, car, la terre nourricière est tourment, est roche brulante et mobile, engloutissante commùe un trou de roche brulant, un volcan, la lave princière, le tourment fatal de la roche temporelle : rien ne peut y couper, rien ne peut ne pas sombrer en pareille lave, qui de quoi pourraiot en échapper ? tout est appelé à être englouti ! un jour ou un autre ! cela seul qui pourrait sortir de cette chose est cette chose d’une chose qui ne sezrait pas matérielle or quoi ? nous nous essayons à comprendre ce qui est de toutes ces cghoses vibrantes de la vie du verbe, car le verbe esswt cette cghose dure de paroi, gra-vée, quyi marque une sorte de destinée pariétale et donne le la à la roche du temps musical , scandons nos méloppées tardivesq ! chantons notre litanie guerrière ! allons sur lma roche des prés alloués ! sautons la balustrade et courons à grande eznjambée mais commeznt quand le temps-espace est circoncscrit et nous trouble de ses tourmentsq ? notre but (affiché) est celui de se montrer ainsi sur roche le port altier: un chevreuil racé, or commen durer ? comment faire pour durer dansla durée ? nous essayons de comprendre ensemble («à toi à moi») cette chose des tourments liés au temps (au temps des embruns) mais la cghose est compliqué e et ne se prête pas aisément à une inspection assurée, sérieuse, dans le détail, de toutes ses composantes pariétales, or comment savoir sans inspection ? comment pouvoir s’y retrouver ? où poser le pied ? nous devons poser le pied ici ou là et pour cela nous devons inspecter et comprendre le sol, sadureté, sa fiabilité, l’assurance de pouvoir marcher ici, etc, ou là, et pour cela nous devons nous concertezr et parler un langage approprié soit commun, des mots échangés, des paroles de c onfrérie ou de tribu ou de clan ou de famille,; etc, nous sommes deux qui parlons de concert et avançons sur ce chemin de laroche du temps, on voit a u loin des choses bouger, qu’est-ce ? il s’agit de choses dures, de betes-mots sur roche à la lumière des ezmbruns, nous pensons «aurochs» et sont-ce des aurochs ? nous pensons «buffalo», est-ce des «buffalos» ? nous pensons «antilopes» , est ce des antilopes» ? nous cheminons, nous ne sommes pas en reste de faire cette chose d’un cheminemeznt radial à travers lalande , laparoi du monde : ici et là sont des parois de roche brute, il s’agit de murs d’enceinte, vagues dressées d’un entre-deux-mers rocheux, nous abvançons entre ces deux parois, nous nous infiltrons dans la voie = en cette voie d’abord, nous nous infiltrons emnsemble en pareille «venelle», et là nous marchons, le port altier, nous la«ramenons» de concert et comment autrement ? nous devons a ller ! nous sommes qui devons allmer ! de vie lasse ou pas nous devons ! nous ne sommùes pas dispensés ! nous devons poursuivre sur pareilkle voie nos appfrentissages de parois , nouis devons poursuivre,
sur pareille voie de roche, nbottre propre avancée ghravée, notre chemin de croix, cette volonté de’ y aller pour en découdre ou sinon où ? car bnous sommes engagés sur un chemin tracé qui est borné et que dès lors nous ne sommes pas en mesure de quitter tout à trac de sitot ! nous sommes engagés ! embarrure ! et voilà le pot aux roses soulevé ! nous avons cette chose (chance ?) de pouvoir là en avancer fissa (homme-chgevreuil) sur pareille voie (tracée) de roche du temps, le temps est un tracé d(‘ordre musical, nou!s devons nous adapter, à pareiille sonorité des pierres et des parois rupestres, nous sommes deux (le yin et le yang) à devoir aller ainsi, sur roche, entre deux vagues redressées, pour une incursion-embarrure de tous kles instant (musicaux) de pareille roche, nous nouqs avançons ensembvle, nbous cherchons enselmble une voie, nous cherchons ensemble à commùent pouvoir virer de bord et ne pas se laisser absorber par le tracé de roche animalier, comment ? où se poser ? où donc se réfugier ? où aller outre ? où allmer autre=meznt ? où aller ailleurs ? car le tracé est UN qui nous pousse ainsi à faire le chemin qui est
cette lig,ne-tracé unique, univoque,
et dès l;ors comment s’y prendre pour en réchapper et prendre la tangente ? quand, hélas, point de tangente ! n’est-il pas ? nous avons une volonté en nous de tous les instants (cordiaux) qui est celle de vouloir ainsi «couper la tangente», ou comment ? trouver une autrte voiie d’abord ? mais où quand le chemin est tout tracé et point (du tout) d’issues de secours, quand le chemin est tout direct tracé : chaud devant ! c’est à dire «droit devant !» et que dès lors nous sommes ... «couillés» ! nous sommes «couillés» ! nous sommes «à couille»! nous sommes «eus» ! nous nous sommes fait avoir ! nous sommes pris ici dans les rets d’une sorte d’entité rupestre, les bords sopnt dél:imités, nous sommes dans une sorte de canyon, et de part et d’autres sont ces paerois gigantesques ezt lisses, nous sommes embarqués dans une fuite en avant de rage, et impossibvle d’y couper, pas même en rebroussant chemin car le train est lancé quyi nous emporte ! nous devons nous laiisqszer (pour ainsi dire !) emporter , nous devons (pour ainsi dire, car de choix il n’y en a pas en vérité) nous laisser empoerter entre ces deux vagues redressées qui sont nos murailles de chine «pariétales», nous nous avan!çons en cette roche, mi homme mi cerf, le corps du bas est celui de lm’homme et celui du haut est celui du cerf, ou inversement, je suis l’homme-femme enfant des roches du temps, habillé en cerf de latete aux pieds (?), je regarde les parois du temps, mon corps est dressé sur ses pattes arrière, je suis là sur roche pour un temps donné, ce temps est le don, ici, de part et d’autre, don reçu et don posé (offrande), sur roche, à la dérobée, par nous autres qui sommes, il semblerait, des enfants du temps imparti, nous nous avançons sur pareille roche des temps partagés, le temps est un reçu et un donné, il y a cette chose ici, d’une sorte de donnée (de base) à considérer, comme quoi le temps est ce que nous avons reçu (en nous) à notre naissance et, depuis lors, ce que nous donnons, sur roche des temps, comme à la dérobée, comme bure, comme capeline tombée, laissée pour compte sur la pierre dure, cette cape, ce chandail, cette robe de bure, cette camisole, cette capuche etc, laisszée là sur roche déposée comme une offrande pour une prière, ou pour une requêzte, etc, notre envie ici est pour le coup dee persister en cette sorte de roche aux embruns afin de tenir bon notre gouver ne ici d’homme et de cerf réunis sous une même égide pariétale temporelle : le vin est tiré buvons-le ! la chose est comme entérinée , la choses est d&marrée, elle ne peut plus revenir en arrière et nous voici emportés ou tout comme vers des lendemains rupestreesq, nous devopns poursuivre vaille que vbaille et coûte que coûte notrte petite route ou ce petit sentier de desti née, d'une destinée en,raghée, nous nous devons d’aller ainsi en roche, poursuivre pareille excursion et ne pas flancher, nous devons poursuivre sur roche cette chose d’une sorte d’examen des lieux, des lieux en présence (cheminb faisa nt) et comprendre : quoi ? ce qui est qui nous attend ? ce qui est qui nous accompagbnne ? au choix ! pour ma pàart le choix est fait , et en v érité les choses se recoupent, car, l’allure du sentier nous apprend des choses il semblerait sur sa finalité , n’est il pas vrai ? hum ! que sais je ? que savoir ? que pouvons nous savoir ? qui sait ? qui sait plus ? qui sait tout ?? qui en sa it long ? qui pour nbous dire et nous renseigner ? nous cherchons la perwsonne idoine , qyui est-elke ? qu’elle est )elle ? où la trouver ? en roche ? sur paroi ? dans pareille roche aux embruns ? sous un toit «du moinde» ? quand ? les calendes grecques ? la saint-glinglin ? à la revoyure ? quand trouverons-nous la bonne persopnne bien informée,; car, nous commençons à nbous impatienter , nous aimerions comp^rendre, savoir les choses, aller dans le sens des savoirs ancrés, comprendre des ensembles entiers de cxhoses avérées comme estampillées « vraies», nous essayons d’en avancer sur le cxhjemin des vérités ancrées, des vérités vraies, de celles de fait que nous voulons comp^rendre à deux, etc, nous essayon,s ensemble de creuser le temps (musical) de la roche, à brûle-pourpoint = au pied levé, à la va comme je te poussse, ou comme je te pousse (la chose) de force, pensant «libérer» des éécueils, pensant soulever des branches qui, ensembvle meurtrier, se seraient d»éposées en traverts de notre voie d’abord, nbous essayons
de tra cer route ici, ensemble, pour l’éternité allouée (si tant est) et pour ce faire nous gravons qui des bouquetrins qui des aurochs sur rochje, soit des betes-mots «de première» ( primitifs) qui sont des mots de rage et aussi de soif dans la vérité, nos cris sont portés par la roche ! nous hurlons nos destinées qui son t temporelles, pariétales on le voit , et temporelles, o,n le voit aussi !
on sait cela, comme qsuoi kle temps est l’allié, ou plutot : cvomme quoi le temp)s est entier qui sort de bouche nôtre pôur aller (fissa) s’incruster, vite fait bien fait, sur la roche, e,n lévitation, à main levée, par une gouverne ou de la part d’une gouverne, etc, car, le but ici est de creuser la roche pour s’y introduire (fissa) et s’y loger-lover un temps que l’»on souhaite (art) le plus long possible, et de fait voilà pôurquoi nous sommes qui nous affirmons homme-femme de laroche dure, mi humain, mi -fracas pour ainsi dire, nous retomnbbons à la renverse, nous sommes deux (en nous) quyi tombo,ns à la renverse, nbous n,e voulons pas c»éder mais nous tombons à la rencverse, nous sommes deux en rochje qui ne voulons pas cvéder mais pour autant nous sommes qui tombons ensemble (main dans la mùain =entrelacéés) à la renverse dan,s le temps, et ce faisant nous voici meurtries par l’épreuve, le temps est tourment, mùusique et tourment, nouds nous eznfon!çons toujours plus avant en cette roche des tourments notoires, nous ne voulons pas mourir car la mort a quelque chose de surnuméraire ou ... comment dire ? un plus ajhouté qui n’entre pas dans le cvalcul tel que nous, nous pouvons le compfrendre, avec, ici, nos visions en propre, d’homme)-cerf des cavernes, alors comment ? nous nouysq disons que cette chose de la mort a quelque chose xde surnuméraire c’est à dire d’extreavagant, or voilà ce qui nous pend au nez semblerait-il ! de ... l’extrravagance en branche ! cette cxghoses allouée, cette chose consacrée dans les clartés, cette chose d’une sorte de béance crue, sauvage, plutot puante, etc, du pus ? nlous voulons savoir, et comment savoir par la ban,de ? comment savoir avec des mots de rage ? commenbt savoir déjà avec des mopts tout court ? n,ous voulons savoir ... les choses crument ! et pour cela, nous voulons nous serrer les coudes et comprendre conhjointement les choses du monde, cxe qu’elles sont pour nouds = à nos yeux d’homme dédoublé, dx’homme présentant ici ce visage,
de la symetrie en toutes choses pourvu qu’elles fussent données à voir, etc, nouys pensons que cela est cette chose d’une sorte d’apparat, para de animale pour une capture, présentation, représentation pariétale, univers complet de sollicitude, nous gravons pour la parade une sorte de chose allouée à une prétention suurnumaeraire : cette chose, cette chose est une chose rude comme la patience, cette chose est une chose rude-dure, dure-rude, rude-dure, dure-rude, comme un jeu, comme un jeu ou comme un exercice de diction, nous devons poursuyivre notre avan,cée, nous devons poursuivre sur notre avbancée, nous devons poursuivre notre randon,née rupestre et comprezndre (plus !) de ce qui est sur roche pour nous, qui sommes des enfants des jeux,
nous devons comp^rendre au p^lus serré cela
qui est pour nous une raison, un motif de pensée, une solution c’est à dire une réponse à une question (qui sait ?) frelatée (?) ou sinon non ? point du tout frelatée ? car il nous apparait que les questions de fond nous semblent frelatées, ou sont cela ! il nouq apparait à nous cette chose comme qyuoi en vrai les quesrtions de fond sont (seraient) formulées acvec des mots qui ne nous inspiren nt pas confiance pklus que ça, et voilà pourquoi la chose est comp^lexe , nouds voulons savoir profond mais comment savoir oprofond avec des mots de roche nue, mots-betes visuelsq, mots de roche crue, comment faire ? nos mots sont des betes-mots qui ne vont pas plus loin que ça que nou!s sommes amenés, ici, à voir devant soi ! et comment dès lors avancer sur la voie de la (ou des) connaisance(S) ? nous voulons avancer sur la voie de la (ou des) connaissance(s) en toutes chgoses, et pour cela nous nous engageons dans latourmente, mùais voilà : les mots sont mots-betes de des tinée,, ils ne vont pas loin da,ns la roche, leur poumon est animalier et reste caché (enfoui) en ce sein des seins nôttre, qui est ce sein de roche mùeuble en nous, ou sinon en nous hors de nous mais meuble pour une immixtion , nous cherchons un savoir accroché, un savoir de tous les instants, et cela est pour nous ainsi cette cbhose de poids que nous aimons, qUE bnous chérissons comme une bete, douce et caline, chat-chien, biche ou autre, qui est betye de hjoie temporelle, betye-mot de roche du temps, bnous nous infiltrons à m^$eme la roche entre deux parois et avançons (de nos petits pas) pour aller vers ce là-bas des temps dits «embrumés» qyuooique éclairés par une clarté sourde de’une sorte d’outre-mal de la rocxhe dure : visée ? virée ? vide ? vie ? voyage ? V ? et si V lequel ? vir ? nous ne savonsc pas, nous voulobns savoir , nous ne savons pas c’e’st à dire pas grand chose ,; et nous sommes deux (en soi) à vouloir savoir ce qui est de cvela qui donc nous a tttend au tourn nt du siècle ou comment , à quel moment ? nous voulons savoir ! nous sommes ainsi (deux) qui cherchgons à comprtendre ce qui est de source sûre , nous vkoulons essayer de comp^rendre tout cela, qui nouys tend les bras au devant de nbous, sur ce seuil de roche cochère, etc, cela qui (donc) est ici = devant = vie du temps = cette chose où pouvoir déposer nos menus fretins ou petits butins, etc, nbous voulons comprendre, les données pariétales premières du monde, où se logent les destinées, où se trouve la porte du monde , si porte est ou existe, et si porte existe où elle est , nous cherchons mille réponses à mille questions de source, et cela (ces réponses et cxes questionsz)) est enchevêtrezment interne a nimalier , qui cherche à sourdre, ici, de nous, via bnotre trou de bouche, en jet, cohorte, sable sur la roche, poussière, c ra chat, etc = tourneboulotage de roche de gré ! nous voulons faire ainsi cette chose, d’(une sorte de tourneboulis des données de la roche du temps, nous
voulons aller loin dsans les connaissances de base, et comprendxre, au plus profond, les données pariétales et les enjeux de taille du monde des voix, des ombreqs, du chant, des clartés votivzes ! susurerement à même la roche ! nous voulons savoir ce qui se trame en cette rocxhe des tourments de base langa giers : ces betes-mots de roche dure, où sont ils logéspour de vrai ? notre b ut est de comprendre les enjeux divers et variés et pour ce faire d’aller à l’encontre de; la déité morcelée ! quelle est elle ? pourquoi morcelée ? qui en elle ? quoi en elle ? est elle une fée des embruns ? une «putasse de salope dure des embruns» (oups) ? une «saleté à décrier» (re-oups) ? une «saleté de pute borgne à dégueuler» (re-re-oups) ? qui est elle ? nous ne voulons pas l’approcher de trop, car ... «elle pue la merdxe» ! nous ne voulons pas d’elle, la suivre de près, car .. «elle pue lma merde» !
«nous ne voulons pas, elle,
la suivre de près car, elle,
elle pue la merde »
nous ne sommes pas ainsi qui cherchons à nous approcher d’elle (disons) de trop, car nous voulons la tenir à distance plutott , et comment ? en latraitant des mots de rage ! en traitant icelle comme du menu fretin ! en prononçant à son encxontre des mots détestablesq ! gros mots enfantins ! pipi caque ! bnous ne voulons pas donner à elle de mots trop soignés ! nous voulons rester de ce côté des cghoses rudes (mais vives) et pas de ce c^oté, autre ‘(symétrique), des mots trop lé chés ! nous voulons conserver notre vive volonté d’être ! notre vie estt accrochée et nous voulobns la conservzezr a insi ! nous hjouons avec le feu pour ainsi dire
de la mort à l’ oeuvre ! notre jeu est celui ci , nous sommes enfants -joueurs qui, pour le coup, jouons à ensemble suivre des yeux, là-bas, le littoral, la ligne lointaine, ... mais pas plus loin aller, car plus loin = l’échancrure-embarrure fatale = la mort ... la mort du petit cheval, or non ! non et non ! ne voulons aller, nous, sur pareille roche nous jeter, nous placer, et chuter ! non et non ! non ne voulons ! nous sqommes accrochés à ce côte-ci de la vie ezn cours et ne voulons pour rien au monde («saleté !») aller au plus lointain de pareille roche, nous sommes des betes et des hommes en creux,; = mi
homme mi betye en soi, qui allons sur roche ezntre deux vagues redressées, qui sont murs cde charité, dee rage et de cxharité, envers nous autres hommes-betes de céans qui arpentons ici la place vacante, vers ce loin devant offertt qui est chjemin de vie vive allouée, et qui est ce chemin, asséché pour un tracé, de ruade animalme en nous,
tracé au bois brûllé
sur paroi de roche : bouquetin ,; bouquetin, bouquetin racé, chev al, chevakl, cheval tracé à même l’anfractuopsité, nous sommes homme-cerf, homme-chevreuil, homme-bouquetin, homme dxes parpois animalières, homme cerf préhistorique, notre bouche ouverte est le champ d’une pique de rage, nous cherchons à comme n ous libérer de cette chjose (animale) en bnous qui nous envahit et nous pousse à toute extrémité langagière de roche , et de roche dure s’il e, n est, nbous sommes des qui peut-être cxhercxhons la rage, dans une expression de paroi, et ce faisant allons ainsi à la recherc he d’une fibre, d’une vie ici linéaire, fil de soi pour une découverte de poids : cette bete surnuméraire est notre bete de pzaroi , nous voulons comprezndre les données natives, ce qu’ezlles sonht pour nous qui cherchons les choses, oui, natives, basiques, premièresq, etc, nous voulons savoir ce qui nous atteznd,; mais les mots peuvent ils nous dire ? sonbt ils mots du dire roi ? sont ils mots qui peuvent ? qui peuvent ou puissent ? sont ils mots de source sûre, fiable, tenable, etc ? riezn n’est moins sûr ! car les motrs sont betes-mots de roche = des brulots ! qhoi d’autre ? notre but est affiché ici : brulots ! brulots ! brulots ! brulots ! et qsuoi de plus en vérité ? les mots , brulent leur charge animzale , les mots ou mots de roche (effigies), sont là (pour nous) qui brûlent de concert (incantation) leur charge animùale musqicale = don du temps vécu = feu de tout bois de roche = feu des bois de la ramure ! = feu ! feu sur toute la ligne de feu ! feu sur la ligne centrale ! calcinée la ligne ! nous cherchons à mieux cern er ce qui est ici qui nous rezgharde , mais commeznt ? notre but est affiché , il est clair, il est d’une netteté sans bavures ! notre choix est fait : nous voulons la chose sans la mort ! nous ne voulons pas cde la mort des roches, cette saleté avérée , nous n’en voulons pâsd outre mesure, et ce que nous voul;ons porte le nom de son destinataire =
hum ... nologips ? ou bien un autre nom ? chevreuil ? chevzal ? roi-daim ? chevrotin ? riche bete ?
nous cherchons le nom
de la bete des bois,
nous cherchons exactement ce nom d’une bete des bois qui, bete des bois, est cette bete-mot de roche gravée, quel est il ? nous cherchons ce nom précis d’une bete en p)articulier, nous chercghons en paerticulier le nom précis d’une bete donnée, quel est le nom précis de cette bete ? nous voulons savoir , nbousq voulons co:mprtenxdre, aller en roche, nbous voulons aller en roche pour savoir, notre but est de savoir, nous vou;lons sa voir la chose de laroche dure br^ulée ce qu’elle est , quel nom a cette chose ? quel est le nom dxe cette cxhose, dfe pareille chose calcinée ? «temps» ? «temps vécu « ? avons nous cette chose pour nous ? pouvons bnous la comprendre «de près» ?. quel nom poorte t elle ? qui sait ou saura nous dire ? j’(aspire à comprendre une chose et cette chose = un nom, le nom X de la bete mienne, quel est il ? qsuel nom endosser comme toile de bure le charmeur de roche, quel nom endosser comme toile de bure le mar cheur de la roche du temps, quel nom endosser ?
«MON NOM»
en sorte de miroir cde roche ? ce nom là qui brûle sa haine ? cette cghose là calclcinée ? quel nom en,dos-ser ? chevreuil ? cerf ? bovidé ? boviné ? cerf volant ? bouquetin des bois ? biche de raghe ? cerf des endroits cachés de la la,nde ? cerf brûlant ? brûlot des bois de rage ? haine c entrale ? haine-feu central ? soubassement animalier ? serpentin ? choix du roi en la matière ? ours ? ours des cvavernes dorées ? ourse ? ourse des cavernes vives ? décoration ? choix de roi surnuméraire ? le trou est il borgne de la mort à l ‘oeuvre ? le trou de la roche (une issue) est il borgn,e comme le langage ? pâr où donc passer l’arme à gauche ? par où passe l’(arme ? par où passer l’ame ? par où donc pâsser l’(arme ? par où donc passer une arme ? qui pour dire ? quels bons mots employer ? y a t il des mots p^lus beaux ;que d’autres pour ce faire , ici beaux = appropriés, y a t-il ? y a ? y a t il des mots de roche (bouquetins) plus appropriés ou bien l’ensemble est, d’ores et dejà, calciné dxe base ? nous voulons savoir coûte que coûte le nom dont nous sommes affublé comme d’un e cape, chandail, rebuffade, capeline, etc, bure ! bure sur soi ! capeline-bure , et non rebufade ! capel:ine et non rebufade ! cape du chef de rage , et non rebufade en soi que cette capeline sur soi, couvrant les paerties nobles et aussi les autreqs, le cul de ta ra ce
! nous chercghons les mots idoines à probnoncer en roche du temps consacré , nous cxherchons le mot juste = le nom = mon nom = quoi ? nous voulons savcoir le nom que nous portons au devant de la mort , et voilà l’(art ici qui se glisse rude ! nous voulons sqavoir quel nom en vérité est là pour nous, à donner fissa par la bande et où l’accrocher, bnousq ne voulonsq pas désqespérer, bnous voul:ons en avancer, nous sommes soudés comme une main l’autre, bnous sommes soudés et pris dans une sorte d’embrouyillamini animùalier de base (de rage) qui est c elui là que nbous avons en notre sein de foi de rage interne = cette enclave en nousq (pré- bouche) qui est cettte cxhose-outre que nous contenons , wque nousq avons en notre sein comme un réservoir, de pensées natives, mots de l’antre cachotier, etc, nos mots sont mots-betes de corne piquante, nous avons à percert kla roche de nos pics de race (?) ou rage (?) ou commùênt ? nous chercgons les mots ! les mots sont en nous contenus ! sacs de mots de race -rage de ta race )-rage = insultes alarmes ! chaud devant !
nous pêrçons la roche, nous avons percé la roche, nous perçons la roche, nous avo,ns pêrc é la roche, nous perrçons la roche, nous avons per céklaroche, nous perçons la rochez, nous avons per c é la roche, nous perçons la roche, bnous avons percé laroche, nous perçons la rocghe, nous avons perc é la roche, nous perçons la roche avec (pour le coup) notre pique de bouche de rage, nous perçons munis, nous perçons car nous sommes munis, de ce pic de perçage de roche ! nous perçons roche de ce pic de roche ! nous sommes munis (appareillés) d’une sorte en nous de pic salvateur, qui perce larocghe du temps (mots-betes) et la perçant ouvre le champ pour une sorte d'immixtion)--contrition de premièere, oup la oup, entrons dfans la danse et la sérénade, ouvrons bnous à la musique des parois du temp^s, car la chose est musicale (le temps) et nous porte ici co:mme effluves pâriétales, nouys sommes DEDANS,
nous sommes en ce dedans de la roche du temps, et le nomque nous portons est le nom d’une bete xde taille, peiuetre cheval, peut etre boeuf, peut etre ovin, bovin, ou autre nom dxe bete forte, bnous sommes deux pour la bonne cause = en miroir, attelé comme betes de joug sous une laniè§re, sous bannière votive, sous un joug de dieu de race dure comme le bâ ton, soit le bâton sur la crinière, nous allobns en roche pour nous faire battree,
nous allobns en roche pour nous faire battre,
allons-nous en roche pour nous faire battre ?
qui so:mmes nous donc pour aller en roche nouds faire battre et hurler notre misère de bete battue ? qui wo:mmes nous dès lors pour aller en roche nous faire battree et pleuirer de la sorte ici ceztte chose d’une soerte de bezte battue à la vie à) la mort comme (peut-etre) bete-mot animalier de roche dure animùalière (etc) sur parooi préhistorique (magdalénienne ?) ? nous voulonbs savoir et pour ce faire bnous voulons aller latete la première
dans le sas des xsas,
dans le sein des sein outra&gé,,
en cette roche des tourments et des mots grossiers , qui sommes-nous pour nbous compl;aire en pareille roche aux coups donnés ? qui so:mmes nous pour de fait nous immiscer dans ce sein des seins tourmentés, lieu de lma misère, desq coups portés, des mots «gros» proférés etc, qui ? nous dezvons perc er la roche, trouver le mot hjuste pour soi, ce mot qui dit ce que nous so:mmes au juste : cheval ? crhist ? oint de bure ? franciscain ? pelure ? bure de bure ? chandail de maitre-queue ? ouvrier des halles ? la palisse -pelisse ? ouvre-boite ? ... cali-fourche ? squi suis je ? un cheval d’attaque ? une meerde blanche ? un homme-chevreuil ? bouquetin ? boouquetintin ? homme-cerf ? doublure ? homme femme des embruns ? nervure ? nerf ? homme-cri ? homme qui pisse le sa&ng de sa race sur paroi du mon,de souterrain et qui hurle de sa voix de bete sa rage natale ? qui suis je ici pour etre ... cet homme du par(ler vorace ? qui siuys-je donc pour aller ainsi (en roche du temps) pisser ... ma gouverne sale, ce chant xde ta race dure , chant de»s effluves temporalles, musiqu-e des embruns de fin de vie : qui ? je voudrais co,nnaitre enfin cela qui serait ...
MON NOM de tribu, puis je ? je voudrais savoir ce qui est pour moi en cette matière, celle du nom attribué ... pour de vrzai et non pour de faux ! je voudrais connaitre le fin mot de ma destinée , à savcoir MON NOM, ce qu’il est, leqUel, quel est il, qyuoi pour moi en la matière, j’aimerais, je voudrais , car je suis l’hommme des cavernes, affublé xd’un nom animalier, affublé par la bande traçante d’une parité, d’une sorte d’entité royale en pariité, etc, je voudrais co:mprendre les ressorts cachés d’une attribution en toutte pârité : qui dit quoi, qui décide, qui soustrait, qui affirme, qui poussse à tel ou tel retranchement cette bete en moi qui est la bete-mot de la pâroi, qui dit sa gouverne, qui échancre, qui aspire, qui buffe, qui chl:ingue, qui pue la nausée, qui eswt ou serait cette forme, dev ant, qsui semble s’approcher cde nous : homme ? fzmmùe ? enfant ? animzal debout ? vivre ou vipère ? nous cherchons à cxhaque chose des réponses (réponses de poids) qui le font, nous chezrchons des choses de paroi, de paroi dure, nous voulons cdu lourd de chez lourd et non pas du léger (ou menu) fretin frelaté qui ne va pas lloin, nous voulons savoir ce qui est sur roche en tant que nous sommes ou serions en représentation pour une déité ancrée, qui sommes n ous en tant que tel, qui sommes-nous pour cette déité ancrée ? homme ? ou ... chevreuil de contenance ? holmme ou bete ? nous pleurons notre misère au mangannèse ! nous pleurons-gravons les betesq-mots qui sont maigres-mots nôtres = mon nom, de roche vive, forte chose ... à montrer vivace, comme une insulte ou comme un juron ! nous disons les mots les plus grossiers de notrez sphère langagière animùalière, et c es mots vont comme à se loger au creux des anfractuosités cde la roche, ces jurons ont des noms de betesq, et ce sont ces noms que nous affichons ici pour notre gouverne, et ce sont les noms qui suivent : bouquetins, bouquetin, bouquetin, chevreuil, bouquetin, chevreuil, cerf, ours des cavernes, renne, renne, chevreuil, ours des cavernes, ourse des c avernes, cheval, bouquetin, bouqutetin-tintin, bouquetin, ours des cav ernes, chevreuil, cerf, cheval, renne, mammouth, chevreuil, bouquetin, renne, ours, bison, aurochs, aurochs, reznne, cheval, bouquetin, bouquetin-tintin, ours des cavernes, renne, aurochs, buffle, anti:lope, antilope, jumeznt, vulve, jument, bouquetin, aurochs, jumeznt, bison, aurochjs, cheval, ours , ours des prés, biche, vchevreuil, cerf géant, cerf, méga cerf le géant des prés, ours des cavernes, chenapan
17/5/2021
nous sommes entrés dans la roche, nouys sommes à l’intériuer de la roche du temps, nous nous sommes immiscés à l’intériuer de la roche du temps et nouoyts nous approcghons des betes de poids qui nous regardent, nous voulons comprendre ce qui est en pareille roche, nous voulons comprendre ce qui est et ce qui se trame en pareille roche du temps et pour cela nous nous sommes immisçés et nous sommes entrés et nous regardons et que voyons nous ? nous voyons des betes de poids et autres betes de foret et de sous-bois, etc, nous voyons des betes rudes, rudes et costaudes, nous voyons qu’il s’agit de betes de poids soit qui pèsent
leur poids d’être, leur poids de bel être,
il s’agit de comprendre ici cette chose d’une bete de gros calibre, faisant office de gros mot comme pâr la bande ou par la compagnie, il s’agit de ces betes-mots qui , grosses et grasses, sse produisent par la bande, en compagnie, sur roche du temps, betes-(gros)-mots de compagnie, de troupe, de meute , etc, qui sont betes-mots de race animale, etc, nous savons que pareille bete peuivent ou pourraient nous donner le la de ça qui est en cette roche en matière de temps (tempo) de type musique, etc, nous pensons que nous avons ainsi ici à comprendre cette chose, d’un tempo rythmique des choses de roche, animaux de co:mpagnie, gros mots par la bnande, depots de présenbts au pieds de la roche du temps (en intra) comme délivrances, etc, nous devons comprendre tout cela à loa lumière
d’une identité rocheuse, d’une découvette avérée, d’une solution à un problème, etc,
nous devons comprendere les choses du temps paritéal à la lumière des embruns, du pic de la roche, des notes de prairie allègre, nous devons comprendre ce qui est en pareille roche au son des pipeaux de la roche, nous devons comprendre ce qui est en pareille roche du temps au son des flutiaux et autres pipeaux de roche, et pour ce faire nous devons nous introduire au plus profond de cette pierre des embruns, de cet entre-deux-mers pariétal et là, dans les profondeurs, ouvrir nos mirettes en grand et ne rien manquer du spectacle des embruns, des clartés, des vols de paille, etc, nous devons comp^rendre ici (en rocghe du temps) ce qui est pour nous qui semble ou semblerait nouès attendre les bras ouverts, mais d’abord que wsont ces bras ? que sont donc ces deux bras ouvertts ? d’où proviennent-ils ? que sont ils en la matière ? que nous veulent-oils ? nous ignorons ce qui est de ces deux bras tendus et raison pour quoi nous cherchons, raison ici qyui explique ce pourquoi nous sommes en recherche acitive, que devons-nous comprendre nous deux de pareils bras qyui se tendent, devant nous, en rocghe du temps, ici même, et semblent vouloir nous ceuyillir tantot illico presto ? et nous de dire : non ! nous n,e voulons pas tomber dans le panneau, nous ne voulons pas tomber à kla renverse de sitoolt, jous disons (par notre nom) ce non du non -vouloir aller, etc, et ce faisan,t nous nous éloignons de pareilkle entité qui semble comme maugréer dans son coin devant notre refus ou sinnon commùent ? que fait elle ? que fait l’entité dans l’attente ? elle a fort à faire avec ce monde ! elle n’e’st pas sans travail ! nous cherchons à comprendre ensemble ce qui est de cettye chose d’une dame ou d’un sieur de roche, qui seraient, et l’un et l’autre, ou bien ou l’un ou l’autre, celui là ou celle là qui saurait nous dire ce qui est, ou ce qu'il en est, de pareille rocghe des temps impartis, temps de vie pour une gouverne (et une gouvernance) d’un mobile personnel, temmps de vie et de mort, temps imparti sur roche, à deux, pour une gouverne attitrée de soi en pareille temporalité, nous cherchons (à deux : en soi) cette chose ici d’une sorte de gouvernance temporelle pour soi soit pour son propre allant en roche, nous sommes deux en nbous qui cherchons (la bete et moi ?) des choses du temps à même la roche : qui est qui ? qui écrit ? qui dit quoi sur roche ? qui est donc à l’initiative d’un tracé animalier qui dirait la vbérité et cette vérité quezlle est elle ? qui dit ce qui est ? qui veut dire ce qui est et comment ? nous disons sur roche des noms de betes, nous gravons à l’envi des noms divers qui sont noms de betes (betes-mots) de première, et ces mopts sont des mots de joie, de pure joie, ces mots sont mots de bande et de bandaison, il s’agit d’une chose dure, raide comme la justice et qui est cela que noius voulons pour notre propre gouverne temporelle, cette chose d’une sorte de raideur de base, d’une sorte de tendre raideur dite «de base» qui serait cette chose d’un vouloir induit, etc, nous cherchgons en roche des raisons et nous comprenons cette chose comme quoi nous devons de fait aller loin en elle (roche) à la recherche d’une vérité tenue ou contenue en elle-récipient, en cettez roche-récipient qui serait la roche du temps imparti du coup à une vie, et pour cela nous creusons ensemble (un plus un) cette roche dure et ce faisant nousavançons comme dans une mine, et cette mine est bnotre vouloir, notre vouloir-être, ce vouloir de base, cette mine ici est un vouloir de base, celyui là qui nous fait dire «non !» en daonnant notre nom ( propre nom) de roche, nous disons cdette chose ici comme quoi nous avons à comprendre les motisfs secrets qui président à une vie humaine
: pourquoi ? quand ? où ? avec qui ? cvombien ? quan est-ce que ? avec qui aller en roche ? pourquoi aller ebnn roche ? pourquoi comprendre ? pourquoi aller ainsi en cette paroi des choses du monde ? nous essayons de comprendre au plus juste ce qui est mais la chose n’est pqas facile car il nous faut ici beaucoup d’à propos, de vista et de chance aussi, nous devons compren,dre un grand nombre de choses ici en roche et ces choses sont celles là que nous reghardons , qui gambadent dsous nos yeux, ce sont des betes-mots, ce sont ces mots sortis de notrez bouche, de nos yeux, de nos ventres, de nos cuisses, de nos antres, de notre gouverne etc, mots de l’ame et du corps défunt, etc, nous devons aller au loin de pareille roche soit en son swein au plus lointain et comprendre le plus possible, aller en pareille roche au plus loin et comprendre en elle le plus qu il nous soit possible de comprendre de toutes ces choses et autres concernant la roche, nous avons à comprendre gros et grand, ensemble pour l’éternité ou sinon ensemble séparé mais comment ? nous tenant la main ? nous tenant du regard ? alloués ? nous devons rester unis ici en roche du temps, nouys nous devons ici de rester unis en pâreille roche et aussi : nous devons allezr au loin , embruns nacrés, loisir de buffe, soufflerie animalière, clarté bluffante (ou buffante ? ) , noius devons ensemble (?) comprendre ce qui est ici de cette sorte de contrée lacustre, de ces embruns dit «de bord de mer» soit de mer terminalee, lointaine, ancrée, définitive, pouvant nous induire à une vérité ou sinon commùent ? nous cherchons, en roche, des mopts, ces mots sont des betes, ces betyes sont des appeaux, ces appeaux sontv pleure-misères de première etc, nous cxherchons cette chose en roche , et cette chose est une chose «folle» en cela que nous savons, que pareilles betes-mots sont mots de lma bande, sont mots de confréreie, de compagnie salubre, etc, nous savons que ces mots ici de roche sont des animaux-appeaux qui cherchent à pour le coup narguer sieur «de la moprt en brandche» ou dame «de mes deux ... morts de roche du temps», ou comment ? narguant la beauté des choses ? ou comment ? car, la mort ici est
cette échancrure dans le canevasn,
cette trouée en pareille roche du temps,
ce trou de balle de la roche dure des temps, etc,
la moprt a un visage et ce visage est un face-à-face, ou comment dire cette chose d’une face comme déroulée dans un temps donné, et nous de dérouler le nôttre (de temps) à ses pieds, en guise d’offrande, et ce faisant nous la courtcircuitons, nous essayons (du moins) de la court circuiter (la mort) à nottre sauce, et ... comment ? en donnanrt ces choses de base neuves, ce temps (au petit bonheur) sur la lande ! nous offrons de nous ces choses de roche et ces choses sont ainsi qu’elles sont pour ainsi dire dé&posées, sur roche, à même l’allée, sur roche du temps à même les allérrs (et les retours) des betes-mots à nos côtés, nous voulons essayer de comprendre cette mort dont on nous parle, ce qu’elle est, ce qui est, cette chjose ici d’une sorte d’échancrure dans une pa roi, de trou donnéc comme par la bande, de fissure ou faille des temps impartis, cette chjose d’une destinée rupestre qui serait celle-là de la chance allouée, bnousessayons de nous introduire en pareille roche, à deux, ensemble, main dasd kla main ... qui donc ? la bete et moi ? la bete en moi ? la bete en moi et moi ? = moi et moi ? mon droit et mon gzauche ? ma
droite et ma gauche ? mon moi de droite et mon moi de gauche ? belle et bete ? la belle et la bete ? nous deux ensemble ? qui de qsyuoi lorsque nous disons » nous « ? qui est qui en nousq ? pourquyoi deux ? qui est ce deux ? quel est ce deux , Quel est donc ce deux de la roche ? qui est donc ce deux de roche en soi ? pourquyoi disons nous «nous» en notre nom ? qiu est ce «nous» ? que devons-nous penser de la roche du temps pour nous , et accessoirement : de la mort à l’oeuvre ? qui est elle ? quoi est elle ? que est elle ? qu’est elle ? qu’est lma mort de roche en vér’ité ? qsuoi est elle ? quyel est son visage ? pouvobns noussavoir ? commùent figurer la chose, comment donc s’y prendre afin de figurer la chose pour nous ? nous devons comprendre une chgose
ici et cettye chose ici est celle ci : comme quoi la mort de l’homme est inscrite en roche sous la forme d’une faille dans le temps d’une sorte de mainmise du coup temporelle pariétale, nous devons comprendre cxette chose ici comme quyoi en vrai nous avons agffaire devant nous à une sorte de paroi de roche temporelle, en dur, qui estr celle là qui pour ainsi dire nous tend les b ras et que nous rezfusons en déclinant nos noms animaliers ! et voilà la chjose ! or ce n’est pas tout ! nous devons comprendre le pourquoi des choses à la lumière d’une sorte de clarté rupestre, clareté vive des embruns de bord de mer, fin fond de roche (dure) des temps, animakl de compagnie, vivre découvert, etc, nous cherchons à pour le coup nous immmiscer en pareillme roche et ce ensemble = main dans la main : ... notre droite et notre gauche ? nous ? nos deux faces ? nos côtés de roche dure en n ous ?
nous avançons, nous sommes plusieures (en nous ?) , nous nous avançons de la roche du temps à plusieures = main dansla main, nottre mùain a sur elle cette cxhgose d’un toucher de main extérieur ! nous nous avançons en roche du temps, nous ne sommes jamais sezuls, nous sommes plusieurs, bnous sommes au moins deux, sommes-nous sezuls ? nous nous abvançons en ette roche du temps et nous comprenons des choses de la roche ensemble : cette joie de roche ! cette présence en clarté ! cette présence d’exergue en clarté votive, native ! nous nous immisçons tout au fin fond de pareille roche des temps et là nous comprenons que nous avons à trouver ou découvrir des choses dite c»de la vérité» des choses, « , nous comprenon,s que nousq avons ici à creuser la roche pour comprendre icelle et ses attributs ttemporels, nous nous infiltrons, nous devons nbous infiltrer et aller profond, en elle, et comprendre des données, et comprendre le fin mot, car le fin mot ici est gravé, il est notifié, il garde trace de lui-même à mêzme laroche du temps, il n’est pasperdu dans les effluves, il n’est pas perdus dans les embruns, il reste sur roche comme en soi la marque d’une destinée de poids,; pesante et tracée par la bande, nous savons cela comme quoi de fait ce treacé marqué est contenu en roche comme une sorte d'effigie de classe, nous essayons de co:mprendre cette chose ici d’une sorte de gouverne de parooi, qui va (irait) sur roche nous guider dans nos recherches et nous indique (indiquerait) le cghemin le plus simple, clairesemé, aéré possible, pour nous permettre de nous repérer et comprendre où aller , nous essayons de nous infiltrer dans la rochge du temps ensemble = main dans la main, nous vouklons ensemblke nous infiltyrer en cette rochge et comprtendre par où passezr : que faire ensemble en pareille roche du temps ? que devons nous fzire ensemblke en cette roche des temps offerts ? l’amour ? la jhoie ? la parole ? agrégat ? agrégation ? multiplkication des pains ? etc, nous cherchgons ! nous sommes deux (ou plus)à chercher, en cette rocghe du temps, et ce afin de comprendre (ebnfin ! ) ce qui est ici d’une chose qui pour nous est cette cghose (dure) d’un temps offert comme par la bande, nous devons aller loin en roche et comprendre le plus, ce plus de base , ce plus de roche de base quyi est donc ce plus d’une destinée parioétale (temporelle) offerte, offerte par qui ? nous le recherchons !
nous voulobns comprtendre les choses du monde ce qu’elles sont et pour cela nous avons un plan de bataille, celui ci ici est un plan que nous dépl;oyons devant nous comme une cvarte d’état major, nous déployons devant nous un plan de bataille et ce plan est une cvarte d’état major, nous sommes deux à vouloir com:prendre ensemble des données et pour cela nous nbous indiquons mutuellement ce que nous savons cxhacun de son côté, nous mutualisons nos savoirs de base, nos découvertes, nos données recueillies, nos souffles, nousessqayons de faire ensembvle ceztte chose dfr’une découverte en roche concernant les tenants et les aboutissants de la vie et de la mort terrestre, et pour ce faire il nous a paru évident de devoir nous donner la main et de mutualiser nos gouvernes (gouvernails) respectives, nous devons comprendre ensemble cette chose ici d’une gouvernancve partagée, à toi à moi, à la une et à la deuxd, à la gauche et à la droite, au yin et au ya,ng, etc, nous avons à comp^rendre cette cghose ici qui est que, en vrai, nous sommes deux pour dépasser les termes et aller loin, en pareilmle paroi de roche temporelle, c’est à dire par-delà les mots-betes de paroi, ces betes-mots de roche prairiale, ces mots-betes qui sont :
aurochs de roche, aurochs de la roche ou aurochs du roc, etc,
nous avons nommé les mots de c ette sorte avec cette chose d’une volonté de les rendre durs, ou comment ? nou!s voulons des mots vite dits ! nou!s voulons des mopts qui claquent de soupir ! rires ! chants ! roc du roc ! aurochs dépourvus de sentiments ! claquezmentds de rocghe contre une autre roche , etc! nous disons cette chose, comme quoi nous sommes deux (en nous ?) à vouloir cette chose d’une sorte de réponse à une sorte de question que nou!s nou!s posons, et cette sorte de qestion est celle ci : qui comma nde en nous ? une betye ? le mal ? la foi e,n des mopts de roche ? lma volonté ? la beauté des formes lacustres ? qui ? noius voulons savoir cette cgose pour nou!s car nous sommes deux en nbous à chezrcher la cjhose , nouis voulons savoir pour nous ce qyi est ici en cette rocghe du temps pour nous, et cela qui nous tend les bras et sembvle nous appeler vers elle (elle ou lui ) car nous sommes près d’eklle (ou de lui) qui écoutons, et bnous entendons, bnous captons, nous avons capté, nous sommes sur c ette cxhose, ici (de roche), comme quoi nous avons capté une chgose temporelle sortant de la roche et cette cghose est un bruit de roche, une sorte de mélopéé, susurrée ou affirmée à haute voix, c’est selon, il s’agit d’une sorte de chant de kla roche, et nous d’y aller, en retour, de notre appeau de bure animùalier, chant contre chant, etc, nous allons ainsi en roche armés de notrte appeau (animalier) de paroi rupestre, nous crions = dessinons (sous emprise de cet animal) une bete-mot, appeau de première, qui enj jette et assourdisse et fasse accroire à un dieu rocheux que ce que nous offrons en tant que tel est bel et bien dela vie en vrai, appeau, qui est donc donnée et déposée sur roche, et non point de la vie en faux, appeau, qui serait dès lors une sorte de moquerie, développée ou déployée sur roche, nous disons que nous avconsà ainsi faire cette chgose ici, d’une déclinaison (sorte de déclinaison) d’identité : mon nom, mon nom est ... nologips (!) pour votre gouverne, j’habite une maison de roche, je suis né en ta rtarie pour vottre gouverne, je suis né ba,ncal en cette tartarie de roche dure (le temps) et depuis lors je vais et je viens en roche, je me promène , je suis celui-là qui va et qui vient sur la roche du temps à la rtecherche d’une «vérité-perforation», ou d’une «perforation-vérité», ou de cela : d’une sorte de perforation à même la roche qui eût contenu en elle une sorte de vérité «de bon aloi», nous (et je en particuklier) sommes tres enclins à voulkoir cette chose découvrir, nous sommes ensemble tresenclins, à cette chose ici, d’une découverte , à mener ensembvlke xsur roche, et cette chose est un e chgose dure, raide, tendue, dressée, comme batonnet, comme pic de roche, queue de verbe, excédent etc, cette chose est à prendre ou à laisser, elle percute, elle entte en roche, elle s’immisc e, elle pénètre et va à se lover-loger en,, pareille paroi de roche dure (ou tendre : selon) et là, se déployer comme à l’envi et dès lors comprendre un cezrtain nombre de données de base,
cette chose ici d’une sorte de royauté (de primauté) de roche, sur la roche ou en la roche ,
nous voulons essayerde comprendrecx une cxhose et cette chose est coton à comprendre à deux, ici, car nous sommes ensemble deux ici pour comprendre ceztte cghose mais ce n’est pas simple, chjacun tirant de son côté (droite et gauche) ou comment ? nous devons nous a pprocher ensemble de l a vérité qui serait contenue pour ainsi dire dans le sas des sas, ou dans le sein des sein, en pareil antre des confins, en cette loge (royale) pariétale, en ce dit «bidou de première», le «bidou des bidoux»,; et là, ici, à cet endroit, au coeur du coeur du coeur, comprendre = prendre, = prendre à vif = prendre ce qui est qui se mo ntre à nous = prendre cette chose dure d’une sorte de donnée de base rupestre, = aurochs ? ou bien bison ? ou bien renne ? ou bvien antilope ? ou bien ours ? ou bien de quel autre ici animal de provenance ? nous pensons que nous devons co:mprendre ce qui est, à la lumière de la chose de p â roi, nous essayons cette chose et crtte chose est une qui est pres de nous comme une sorte de paroi dite de roche, nous sommes qui essayons de comp^rendre cette chose devant nous , d’une sorte de paroi de roche dure qui serait «la Vérité «, et non point «le mensonge», il s’agit pour nous de comprendre cette cghose, ici, d’une sorte de Vérité Vraie de la roche, contenue en elle par la bande, et qui serait pour nous (un viatique ?) une donnée de base de compréhension, un ressort, un arcane majeur, un semblant de érité ? ou non : une évrité avec grand V de rage ! on l’a vu , il s’agit pour nous de comprendre cettre Vérité dite «de rage» avec les mots de l’homme des cavernes, c’est à dire avec des mopts-betes qui sont betes-mots de roche dure, dutemps de la base, des embruns et des confins : nous cherchons une vérité
de roche rude, nous cherchons vérité de roche rude,
dure, raide, etc, quyi puisse nous giuuider sur le cghemin de destinée et des embruns «de roche lointzaine» : jusqu’où aller, que toucher ou ne pas toucher, où mettre les pieds et où pas, etc, nous voulons être secondé ou comme secondé par en nous la bete de tra,nse et ce faisant, nous chgerchgons à nous immiscer ou infiltreer en pareille roche du temp^s à la recherche de pareille v éritées, vérités de roche etc, nous allons en roche zainsi, nous nous infiltronhs en cette roche ainsi, nous voulons ainsi nous infiltrer en pareille roche du temps, nous voulons ensembvle ainsi nous infgiltrer e,n pareille roche du temps et pour ce faire nous devons (nous nous devons d’etre)
etre accompagnés ! nous devons etre accompa gnés ! nous bnous devons d’etre accompagnés !
njous devons porter bure de bete, peau d’ours, chandail de bete-mots de roche, nous devpo,ns aller en roche ainsi accoutré = accompagnés, accompagnéspar en nous ou sur no!us cette bete des embruns, appeau ! qui est cette bete en nou!s ou sur nous, qyi nous occupe, qsui nous monte, qui nous chevauche, qui occupe notrte gouverne, qui nous occupe au sens où nous sommes occupés par elle et qui nous occupe zau sens où la bete-mot en nous a fait son nid et s’est logé comme, dans une ooutre, un liquide de vie ou de joie, je suis l’homme des embruns dee la roche dure, mon nom est celui que vous connaisserz, je vais et je viens sur paroi, mon corps est donnée de rage, je vais en roche soulager pour ainsi dire mon être de peu,, il s’agit d’un être de vie royale, et de voie royale, etc, je suis l(hommùe à loa queue de rage, il s’agit de voir la chose ainsi que nous le disons, nous deevons comprendre les chgoses ainsi et, du coup, ne pas nous retourner, nous sommes des etres de joie pariétale et notree hjoie (dès lors) est celle de l’homme et de la femme des cavernesz, nous sommes entrés en ce»tte roche et nou!s voulons comprendre les données de base présidant ici les destrinéesq, et pour cela nous nous donnons la main, nous nous offrons l’entraide et le secours, le pain et le vin, nous avons à comp^renf-dre long et loin les choses du monde et les mots de roche semblzent nous aider ou etre là pour nous aider, or est-ce le cdas ? nous l’»ignorons ! nous ne savons pas ! nous voulons sa viioir ! nous sommes de»uxd à vouloir ssavoir ! nous cherchons à comprendre ce qui est de ce qui se trame dans le monde mais comment ? comment décoller le v erbe de lka roche dure du temps impaerti ? commùent faire pour de la sorte faire ? car nottre volonté est affichée ici bel et bien et ne souffre d’aucuns commùentaire supplémentaire à faire ! nous disons et ce faisant nous affichons sur roche l’effigie animzalière : cet aurochs de compagnie ou d'une compagnie séculaire, et, c e faisa,nt, nous donnons nbos noms : MON NOM est donnéc à mon tour, et ce nom est gravé sur de kla pierre dure (ou meuble, selon) afin de faire accroire que, deux points, la chose ici est cette chose, d’une vérité de vie offerte (don total) or que nenni ! nous do,nnons quoi, nos nom$s d’identité bestiale, c’eswt comique ! nous donnons nos noms, je donne MOn nom, comme une sorte d’entité de vie, entité belle, en miroir, droite et gauchye pour une gouverbne, tracé de bure = treacé découpé sur paroi, gauche / droite en vis à vis, gauchge et droite ici en vis à vis, comme si ici deux visages de soi étaient déposés sur la roche (la lande) en tant que tels, or que nenni ! la droite et la gzauche ici sont réunies il est vrai mais le visage offert est celui là d’un nom d’une sorte de bande rocheuse, et non point celui là (ou cet autre) de la vie de base cordiale (cardiaque) telle que celle-ci (de fait) occupe nos corps, etc, nous disons que bnous devons comprendre cette chose ici comme quoi nous ne donnons pas notrte vie globale (l’oeuf) mais seulement ces mots de roche dure, ces embruns nacrés, cette évanescence, cette chose enrubannée sur elleb même, ces loopings de roche ambrée ou nacrée ou bleutée = cette forme, cette sorte, ce chandail de vérité vraie, cette monsrtruosité de roche , à savoir cet ours jovial, ce carambolage de bêtes-furia, etc, nous disons nos noms, mon nom est inscrit en miroir comme une sorete d’effigie (animale ou animalière) de première, et mon nom ainsi est perçu de loin par la gouvernance mortelle , qui croit, qui gobe, qui avale,
qui croit que c’est quand ça n’est pas vraiment,
la mort elle croit, la mort elle gobe ! la mort elle avale et déglutit le pot aux roses ou comment, qUel nom donner à pareille vilenie constitutionnelle ? nous cherchons le nom qui concvient, nous sommes en roche, à devoir (?) chercher le nom qyui convient, car un nom est donné à chaque chose et nottre vilénie porte «son « nom qui serait cvelui-là qui lui irait le mieux, le plus, et qui serait commode, etc, nous cxherchons ce mot,; peut etre est-il «couillonnade’» ? ou non ? ou comment ? cette vilénie est en effet une couillonnade, il est exact que cette vilénie est une couillonnade et que notrte présent de txemps offert (la vie telle que vécue) est une couillonade (ou sorte de couillonnade) à donner, qui sait ? en regard de l’autre vie qui est la vie en soi, nous saévons que cette chose est vraie ! nous pensons que cette cghose est vraie, d’une vie à la ramasse, à la con ou à la noix, comment nou!sc exprimer ? car la vie v raie est la vcie du coeur, or la vie que no!us offrons est un succédané (ou sorte de succédané) à la vie du coeur ou disons à la vie de notrte coeur, car le coeur de l’animal saigné n’est pas la vie (la nôtre) que , pour le coup, nous contenons,
nbous restons en vie, et non point en mort,
nous donnons du présent sur roche = mots qui sont du déroulé cadenassé, emberlificoté comme de jusqte, un entrelacement de joiesq, une misère dé»couvertte (une ruche, une usine à gaz temporelle) etc, mais non point la vie en vrai qui est ce battement de base radical (enraciné),
nous donnons nos noms marqués, ces mots - betes de roche, ces aurochs -mots de paroi dure, ette venaison ou autrte chasse dite «de roche», ou commùent dit on ? notrte but est affiché : M%ON NOM ! sur roche du temps, en lieu et place : art ! art de la ruche ! art de la rue ! art de ruche-rue ! art de grave ! art rupestre ! art dit ! art dit les coeurs ! nous dison,s ce qui est ici qui se trame sous nos yeux, et cette chose» est celle-ci, celle d’une sorte en vrai d’art de roche qui est art de ruse et aussi : art du dire menteur, ou comment ? nous ne voulons pâs cherchgezr des noises à qui que ce soit maéis, de fait, nottre intuition, sur la question de l’art, est celle ci, qui se borne à dire (et redire) comme quoi la cxhose (l’art) est un pis-aller de premiè!re, faute grave en vérité ou tout comme, car ce que bnous ici offrons à Gouverne est pas, n’est pas, ce que Gouverne attend, ou attendait de nou!s ! non ! non non non ! non et non ! ce que Gouverne attendait de nous n’st pas nbottre nom de roche animalier, cette venaison, mais :
cette chose autre qui est une chose de vie racée, cette chose tictaquante, ou sinon tictaquante bruissante, ou sinon bruissante chantante depuis l’intérieur ! nous deevons agir et donner, mais quoi ? nbotre vie cordiale ? ccvomment ? car nous sommes nés et avons croissé ! car nous somlmes nés et nous avons gran,di sur roche du temps, affyuvblé d’un nom, ce nom est ce nom de roche qui, faisant accroitre, bnous sauve (temporellement) la mise, bnous pôrtons nom-bure de base comme peau de bete inséré e ou e,ncha&ssée, nous avons un nom de roche , aurochs, et ce nom est celui là que pour le coup nous déposons (présent) aux pieds de la roche du temp^sz (MortBouche des embrusns), nous avons un n,om qyui est le nom pour ainsi dire que nous déposons, mon Nom de roche est ce depôt de roche (sur paroi) comme animal-mot
du temp^s des cavernes = un pis-allezr ... de première (de première et forte intensité !) censé faire reculer les écxhéances à proprement par’ler : enfant, nous avons grandi (de fait) da&ns le menwsonfge proféré et, à) présent, nous sommes comme condamnés à devoir ici donner le temps (ici = sur paroi) à une sorte d’entité, de base divine, royale, ou hautaine, qYUI gouverne (et chapeaute) les destinées, il s’agit dx’une bouche ouverte, une grande et belle bouche ouverte sur la vie de la roche des te»mpsz, il s’agit de cette chose ici xd’une sortye d’entité royale-rocheuse (de grave) qui est une sorte de déesse de prairie des temps, qui est ouverture-faille-entrée-fissure-plaie-trou-trouée de roche dure, nousv sa vons cela, ce train de vie (dynamique !) en elle, souys forme de
«mots de roche» (aurochs) additionnées comme sur une pique, ou sur c ette pique qui est pique-broche des enfers, ou comment ? de grillade ?
nous avons cette chose encore à com^rendre et pour cvela nous devons encore et toujours creuser cette roche des embruns, ce paradis blanc, cette misère en confrérie, ce parler buccal patoisant, ces mots de peu de force et d’envergure, car les motsq ne vont pas loin qui restent sur roche, en figuration, nous voulobns comp^trendre ce qui est de cette roche des temps dévolus et pour ce faire nous allons à la rencontrte d’une dxéité rocheuse quyi est déité au train de mots a&gglutinés , a dditionnés, accumulés en elle, en cette chose d’elle qui est comme ... une (autre ?) pique de roche en miroir ? hou là ! on y voit goutte ! lumière ! nous chercghons ! nous cherchons des choses ! nou!s cherchoçns à comprendre ce qyui est ici d’une roche des temp^s allouée et qui, en tant que telle, pourrait nous donner peut-etre des raisons de croire en notree bonne étoile, nous voulons savoiir ! nous voulons savoir ce qui est ici d’une roche des prés et des preairies, nous voulons savoir ce qui est ici cd’une sorte de roche dure, rude et raide, qyui serait la roche du temps impaerti et celle-là qu’un xdieu de vie nous a!urait offerte, nous chercghon,s la vérité dans les parages de pareille roche dfes temps alloués , nous cherchons des vérités de bon aloi, et qui
«puissent le faire grave»! et pour cela nous regardons paretout au sein de la roche : inspection générale et rega rds croisés ! nous voulons comprendre c e qui est ici en la matière,
si MON NOM est cette chose dite en miroir, comme une effigie, alors que penser ? que dire ? que souffler ? nous disons et nous pensons et soufflons cette chose, comme quyoi bnous sommes desêtres, ici, de vie de roche, etres-vies qui allons sur roche chercher pitance, cette pitance a un prix et ce prix n’’est paxs menu, il s’agit de choses chères, il ne s’agit pas de choses bon marché, il s’agit de choses couteuses, squi valent bonbon, qui ne sont pas données, et voilà l’histoire ! nous devons payer, de fait, notre vie sur terre (cet « agrémennt » ou d'
«agrément»!) : nous devo,ns dépôsqer nos armesq (?) ou nos munitions (?) à même la bouche du temps, nous le devons car nous sommes tenus à faire cette chose, du fait que nous sommes mourants ! sommes-nous mourants ? qUE dit la nature (= dame nature) ? que dit cette dame ... ce sieur ?) ? , que dit elle au juste (ou il ?) ? nous voulons essayezr de comp^rendre en vrai cvette cghose d’une destin,ée mais il semble que cela pour nous ne soit pas donné , et que pour le coup no!us ayons à payer cette cghose au prix fort, celui là même que nou!s refusqons nous-mêmes de vouloir endosser pour nous etc, nous avon,s ici cette chance de pouvoir agir ainsi, de pouvoir dire «non !», «non et non «, cette chance en nous est un attribut (ou organe) à part entioère pour ainsi dire, nous devons aller ainsi en cette roche ou roche des tempsc avec en bnous cet attribut rupezstre qui ici impose sa gouverne, son étant et son allant et de ce fait arrive à (bbon an mal an) sauver la mise de nottre propre gouverne vive, nous pensons que nous avons à faire ainsi cette chose d’un don qui est (serait) don de soi ... pour sauver la mise ! nbous pensons en nous :mêmes (au coeur de la roche) cette chgose comme quoi nous avons-aurions à sauver notrte (propre) mise temporelle en donnant de soi qwuelque chose, et ce quelque cxghose est «sorte de», mais n’’st pzas la chose, et pourquoi cela ? car : nous n’avons pas le choix ! nous ne pouvobns pas (de base, enfant) choisir ! nous sommes lancés comme bouée à la mer ! nous ne sommes pas ceux et celles qui avons décidé si oui ou non au tout départ nouis voulions donner cette chose d’un xsembvlant de vie, cette chose d u temps qui va son déreoulé de roche, etc, nous donnons de nous cette chose qui est une chose d’échange avec Mprt de Bouche native, etc, nous essayons de comprendre comment se passent les choses, nous sommes deux qyui essayons ‘(en nous mêmes) de comp^rendre cette chose
de ce don de soi en offra,nde = le temps de la vie,
de la vie nôtre, et ce temps ici a démarré à la naissance malgré nous qui sommes pris de court c’est )-à dire dépassé et submergé-souymis sous emprise ou sous l'emprise langag!ière qui nous aide ainsi à faire en sorte que la vie en nous restât incluse un temps, comme en une sorte de loge de vie, etc,
et voilà pourquoi nous restons en vie, car la vie en n ous perdure dans ce sas de nous qui est ce corps de vie ou corps de vie rude, ca r c a s s e,, noyau, chose-en-chute, etc, nous essayons de comp^r endre cette choçse ici d’un don de soi qui est ce don moyen, cette tiédeur incandesqcente ... comment décrire ? ce feu qui brule oui mais non : il ne s’agit pas de vraie vie de base ! il s’agit d’une chose racée ! oui, mais non point de base, au swens où (peut-être) la vie de base (première, primitive) est kla vie cordiale = le tic tac pour ne pas le nommer, et pas du tout cette chose allouée à) la roche, ce bruit de fond be’stial, cette cavalcade,
oui on pourrait le croire et s’y tromper , et d’aillezurs il,swemblerait que Mort de Bouche un temps tombe ou tombât dans le panneau, mais ça ne dure pas, la mort cueille un jour ou l’autrte, revieent et comprend et cueille , et nous voilà bernés comme de coutume ou comme tous , , comme toutes et tous nous devenons; nouds comprenons que nous a&cvons en vrai à comprezndre une chose qyui est une chose liée à kl’enfance et cette chose est celle ci,
comme quoi, à la naissance («c’est parti !»), nous sommes (serions) comme l:ancés sur roche (bouées ?) et que dès lors le choix est (serait) fait pour nous qui aurons (aurions) à comprtendre icelui (le choix) maisq comment ? car il s’agit d’un casse-tete ! non point une sinécure mais maldonne et chose ca sse -burne de première en la matière, ou comment ? nous voulons savoir ,
et pour savoir nous cdevons creuser, quoi ?
la roche du temps, car il n’y a pas cinquante solutions mais une seule et celkle ci est cette chose de’une sorte de percée à pic, d’une sorte de percvée avec un pic de roche, ce pic de la roche du temps, soit ce pic de
«bouche trouée pàa
r la bande», venant à se loger sur roche et transpercer ladite roche d’un coup d’un seul, piqure de paroi et entrée en matière, et ce faéisa&nt, nous voilà rois de la roche des temps, animal majheur, hautain , haut des bois de ramure, cerf méga dx’excellence ruprstre, animal choyé» de la lande, effigie de choix pour (ici) un pis-aller à contenir, et à conserver par soi m^$eme et par devers nous, comme une clé (de fa ou de sol) qui serait The Key, cette clé,
de la base dure du temps pour tous,
dure pour tous et temps poour tous,
et ce dès la naissance on l’a vu, à notre naissance oup la oup et nous sommes «eus» et nous voilà bien ! nous sommes etres de roche dure (= le temps) qui cherchons continuellement à faire pezrdxurer la chose dans le sang,
ce tic-ta c royal le (pour ainsi dire) faire «tenir» encore et toujours, et ce jusqu’à temps que ça «puisse le faire et aller», et nous de nous y coller et cde donner de nous cette cxhose de la vie de roche temporelle :
mon nom est le nom qui m’a été donné à ma naissance et non point le nom de quelqu’un d’autre ... ou si ? nous voulons comprendre cette chose, d’un nom déposé comme un visage (placé ainsi) sur une roche dure, ce visage est en miroir, M%ON nom également quyi réfléchit, nous voulons essayer de comprendre pourquoi ... cette symétrie fa-ce à la moprt , nous voulobns essdayer de co:mprendree pouyrquoiu, à Mort de Bouche des Temps, offrir pareille symétrie faciale , mo n om par la bandfe et autres effigies animalesq, pourquoi ? nou!s voulons comp^rendre les tenants et les aboutissants de la chose, ce nom propre de famille est inscrit sur une sorte de registre qui est un livre, mais no n point sur ma figure ! mon nOm est celui là que je grave ici sous ezmprise, je suis l’hommùe des cavernes sous emprise, mon Nom est cette cxhose que je grave grave sous emprise et à qui mieyux mieux, sur cette roche (cachée) de caverne (une caverne) de Vieille Terre, nous voulons
co:mprezndre u,n certain nombre de données liées de fait à des découvertes et pour cela nous devons aller loin en besopgne et nous coltiner ou comme coltiner les savoirs de base, c’est à dire les soupêser, et essayer de comprendre le plus possible ce qui est qui ici se trame incidemment aux alentours de pareille roche du temps impazrti, MON NOM est une entité à part entière déposée sur roche, en miroir, face à roche de la véerité, face à face, ou en fa ce à face, etc,, on comprtend mieux dès lors cet interfavce situé entre de’ux pa rois,
la premièerre est celle de l’introduction par la bande piquante,
la deuxième est celle des confins, outragée, qui est cette échancrure de paroi saignante etc,
nous nouys situons (ici l’art ?) entre les deux, dans cet espace-temps de roche durez,n , en cet espace-temps de roche la dure, etc, nous voulons comprendre les ressorts secrets qui donc présidebnt et donneznt le la et pour cvela, nous nous enfonçons en pareille roche dans les profondeurs et ne vou:lons pas passer à côté cde ces «vérités de bon aloi» conteznues de fait en pareille roche, mais plutot savoir ! nous voulons savoir ! nous voulons comprezndre ce qui est dfe cette chose ici d’un nom (unj animal) déposé sur roche : complétion, etc, nous disons que nou!s voulons savoir ce qui est peut-etre qui reste à jamais : le nom ? le non à la mort ? cette chgose d’un non-nom qui est ou sezrait déposé sur roche et sauverait la mise-nôtre un temps qyui est le temps (imparti) de la vie avec en nous l’usure programmée et donc la moprt inscrite sur paroi de roche, nous voyulons savpir le fin mot de toute l’histoire et pour ce faire comment faire sinon en scanda nt les noms à même la roche , incantation ! choses gravées ! dessinbs d’aurochs à mpain levées, etc ! nous disons que nousz avons cette cxhose pour nous à comprtendre, cette chose d’un noçm alloué , cette chose d’un nom alloué à la naissance et à redépôser (le moment venu) sur la roche du temps, en tant que présent ou présent de poids «qui puisse le faire», et nous sauvezr un temps soit peu mais tout de même, nous voulons cette chose faire et sacvoir pourquoi,n, nous cherchons à savoir pourquoi «Mon Nom» est ce nom a&nimalier de roche / miroir , pourquyoi ? car nous sommes deux (la bete et moi) en moi à vouloir savoir qzui eswt qui, qui fait quoi, le pourquyoi du comment les choses, etc, nous chjerchons à ainsi savoir cette cxhose et cettev cdhose la comprendre au mieux et se l:oger-lover ainsi en roche pour l’éternité, ou sinon, pour un temps avéré qui serait «allongé»
pour une sorte de gouverne (nôtre) de qualité , etc, nous voulons co:m^prtendre cette cxhose d’une roche dure (attitrée) qui serait roche de la notoriété et de la b eautyé réunies, nous voulons comprtendre cette cxghose d’une réunion ici (sur paroi) de la notorioété et de la beauté, ou sinon de la beauté de la belle mesure, du qui en impacte, etc, nous disons beauté pour dire c ette chose d’un impact (en soi) de première classe, etc, et voil;à ce qui est, ici, d’une chevauchéev fantastique de roche des prés, cette embardée a nimalière, cette prairie où pouvoir paitre mais a ussi foncer, charger, etc, Mon Nom est soumis à rude épreuve mais se tient debout comme un chef et résiste aux intempéries, nouqs allons en roche à la recherchje de la ve-érité, nous allons à dfeux en roche ainsi à la recherche de la vérité, nou!s allons ensemble ainsi à la recherche de la vérité vraie de lma roche du temps allou é, nous cherchons une réponse dans les embruns, nouys voulons comp^rendre ce squi est ici d’une chose dure des prés ou prairies, cette chose du temps , défini par la bande et qui dès lors contient pour ainsi dire sa fin prémâchée, prée,nregistyrée, etc, pourquyoi cvela , et pas l-’éternité de bon aloi ? nou!s cherchons des raisons, des clés ! nous voulons savoir pourquoi les choses sont ainsi qu’elles se présentent à nous et pour ce faire nous allons sur roche et crions (créons) nos choses dures, nos épreuves, nos soula gements, nous disons nos mots qui sont mots-betes xde paroi, nous disons à haute vcoix ces chgoses de roche, incantations, chaleurs et moiteurs sur roche ! bnous voulons comp^rezndre les données de base et, pour ce faire, aller loin en pareille roche du temps,
et de ce fait, nous allons en roche comme dans le ventre ou l’antre de telle ou telle bete de pareoi, nous disons cette cghose comme quoi bnous sommùes deux qui allons (communautairement) en pàareille roche de paroi ornée, nbou!s essayons de comp^rtendre cette cxhosez d’une sorte de présqentation symétrique capitale, la beauté des wcxhoses coriaces, etc, nousv voulons comp^rendre les données telles qu’elles se présentent à nous par la bande , à savoir en n ous, en nottre gouverne, via le flux sanguin, via le flux animal sa nfguin de gouvernance, via ce flux aniumal sanguin en nous qui cxherxche à conserver la donne et ne va pas (ne va jamais) au-delà de c ette cxhose d’une sorte d’antre des confins (animaliers) en soi, roche dure de la roche dure ... en soi = organisme carcéral en soi, chose encaastrée-cadenassée qui est cette chose du corps (pariétal) de soi , ossature, armure, etc, pour une contenance continue, pour réservation, enclave-soudure, etc, de ce sa ,ng (en nous) «de royauté», nbous cherchgons une solution à des provlèmes que nous nous posons et qui son,t ceux là même qui concerne,nt vcette cxhose, d’un temps dféployé par la bande en tant que présent alloué par la bande,
à une dame de compâgnie ou à un monsieur de compagnie rupestre, etc, qyui serait dev n,t (posté)dans l’artttente de notre «arrivée les pieds devant», or, voilà cette cghose que l’on peut dire et qui est celle ci comme quoi nbous ne sommes pas préssés ! nous voulons aller à notrte train , nousq voulons conserver la main, conserver cette main, nous voulons concserver la mùain sur cette chose d’une chose qui est allouée, notre envie ici est de garder la main sur cette cghose de vie allouée, oui oui oui ! nous avons en nous cette chose qui est une en-vie, de garder «la main» sur cette cghose de la vie en nbous, de cette vie en ,
de cette VIE-En,
qui est cette EN-VIE
de conserver la main sur cette vie (en soi) qui gouverne, et, cettye vie, ne pas la donner en tant que telle (tic et tac) mais au contraire : xde la conserver comme par vla bande et par devers soi, et, ainsi faisqant, de poursuivre ce chemin de destinée qui est le nôtrte (nous le co=mprenons) et ce faisant, de garder tete première , tete de roche, tete nue, tete vive, tete ra cée, tete complète pour nous mêmes, nous qui sommes nous = deux , deux en nous pour aller en roche, en pareille roche du temps donné, ce temps de la roche dure,
bnous allonbs en roche comme dans la vie , soit armé de notre pic (bucca l ) de réserve, cette chose contondante facilitatrice, nous voulonsessayer dè!s lors de co:mprendre cette chose en nous qui est cette cxhose dune sorte de vie de réservze, comme effluves, comme onguent aussi, en nous c’est à dire à kl’intériuer de cet a ntre, qui ewst antre de vie et demort, nous cherchons des vérités «de ghrande tenue» , qyui puissent nous guider sur un chemin à faire et ce chemin est chemin de ronde, chemin pour une vie de ronde à faire à deux, ezlle et moi, ma douce et moi même, mon aimée, mon amante, ma chère et tendre,n ma dulcinée, mon double majeur, mon ame soeur, ma chose riche rude de paroi de rocxhe = mon amour, ma cha nce, ma cxhose (rude et dure) de paroi du temps = mon amour, = mon ame, etc, il s’agit ici d’une sorte dxe double (pariétal) de roche, une doublure dès lors affirmée (un mot-bete dit «de roche dure») et qYUI est
ma doublure pâriétale,
mon ima ge,
mon image de bete,
mon image animalière déposée sur roche et qui sembvle me regarder, me suivre du rega rd dans mes déambulations prairailes,
je chezrchje à comprtendre un tout et pour ce faire je me loge en p)areille roche et là je rezgharde ce qui est qui setrame a lentour et me donhe le tournis, je vois ce qui est qui file à mes côtés, je sais le nom de l’animal, de cet animal pres cde moi et ce nom est un nom court, bref, racé et ramassé =
«cerf «, mot de base racé ramassé, qui donc est ce mot ici désignant :
la bete ra cée de la roche dure des temps impartis, cxerf est le nom de cette bete des embruns = MON Nom, ramassé et plkaquée sur roche, ce V de ramure, cette cxhose ,en depôot de bois (ce bois nacré cde la roche des temps alloués) la voicxi dxéposée sur paroi qyui ici dit MON nom comme en contreba,nde, par la bande, et dit la chose ou cette chose com^e quoi je suis, ici, cet homme des cavernes comme «perpétué», qui va de son pâs long sur pareille roche d’un temps alloué,
je vais et je viens en pareille roche des temp^s et me présente à l’avenant : je suis l’homme des vcavernes, je suis aurignacien, MON NOM ne vou dira rien mais me représente et, un temps, sauve ma mine patoisante, je m’appelle d’un nom de ramure, je suis l(‘hommecerf de roche dure, mes bois sont montés sur hauteur de tete comme de bien entendu et de bonne mise, je suis homme cerf de la paroi du temps, je chante-brame mon récit de chose, je suisq bramant-chantant mon doux récit de chose dure, ce savcoir nacré, celui là qui me gouverne, je vais et jke viens, sur roche des prés, et m’amuse à regardxer les choses, les embruns et cet entre-deux-mers «pariétal», je suis hommùe -cerf de roche dure des temp)s entra vés, je suiisq l’hommùe-cerf de l a roche du temps et je ais et je viens en elle comme un chenapan, un coquin cde sort, une sorte de coquin de sort qui irait à se donner (disons) une allure, un allant précis de destinée en moi, mon nOOM est celui là que je porte sur moi comme une sorte de parure, parure de choix : ramure de bois, en forme de V , comme le V de «Vérité de choix», etc, je cherchje à m’immisc er, en pareille roche, graâce à mes r amures, je cherche à comprendre en vrai ce qui est, de ce nom donné sur roche,; le pourquoi et le comment, le pour et le conttre, la chose racée (ramure de bois) est-elle celle là, que je sens poussszr en moi quand je m’avance dans la vie de cette roche dure, est ce cela ? je cxhercdhe compréhension (racée) de première bourre ! je veux comprendxre lewx teznants et les aboutissants de pareille ramure ! pourquoi ces bois sont ils sur ma tete ? quel est mon vrai nom ? où pouvoir lire de moi ce vrai nom ? quel est mon vrai nom ? où est il écrit ? quel est mon vrai nom ? où est il mentionné sur moi ? est il mentionné sur moi ou hors de moi ? quel est MON NOM ? ce V de roche prairiale ? ce V, du cerf de la roche ? ramure-a rmure-pa rure dans l’échancrure ? qui sa it ? que savcoir ? où est mon nom é»crit sur moi ? qyui di-t qu’il sait ? qui le sait ? qiu pour le dire ? quel est MOn NOM ? quoi est en cette xchose de ce nom qui sezra octroyé ? je veuxw savoir la vérité de la ramure ici du cervidé ! je veux connaitre le fin mot et m’en tirer ainsi ! je ne veux pas passer à côté de mon vivant, je veux apprendre le plus pôpssible et comprendre le plyus pôssible et aller le plus loin possible en cette question qyui est lma question des queswtions àç mes yeux, à savoir cette question concernant le nom portépar la bande et non pôint par soi en définitive ! car ici le nom est porté pâ r la bande = par dev ers soi = hors de soi, sur paroi de grotte et voilà le hic de toute l’histoiore : nous allons mourir nu (dénudé- de pareiille chose, ou comment dire, nous mourrons
nu = dénudé ! nous ne serons plus accoutré ! chandail ! nous serons mis à nu par qui de quoi de pareille pa roi du temps , nous allons mourir nu = dénudés, car, notre ramure va tomber dans ce domaine pariétal de l’ezffigie gravé (de toute é»ternité ) animalière et, ce faisa nt, nous serons groggy, nous serons perdus, nous serons cloués, nous serons jetés aux ghémonies, mis à bas, mis plus bas que terre, comme des damnés ou des refoulés, le voilà ce refoulé, cette damna tion, cette capitulation, nous voilà mis à bas de roche et perdus da ns nos pensqées dx’hommes des temps de tete, etc, quand l’hom^me des cavernes était ce cerf (royal) des cavernes, en lévitation, qui alla it et venait ici même dans le szein des sweins et connaissait la vérité de l’»outre-monde = de la mort de l’homme, cette cxghose ancrée dans un deda ns de roche dure,
nous vpoulons avoir cette cxghose d’un fin mot qsui est celui là que nous voulons pour nous, comme d’une clé (en vrai) de porte d’entrée, nous voulons comprendre ce quyi est sur roche qui préside, et cconduit la troupe des betes gra vées : nom d’emprunt ? nom donn,é ? nom inclus ? nom gravé ? nom de n,aissance ,? nom pour dire non ? nom de charme ? nom de pû..., nom de dieu ? nous ne savons pas vraiment ce qu’il en retourne de pareille cghose relative à une sorte d’ondoiement en roche, tournure toute acidulée qui est (pour le coup) cette cxghose d’un noçm anima lmier gravé ou dessiné, et il s’agit du nom de l’animal, ezn nous contenu pendant l’»opération d’immixtion-insertion de nous en pareille paroi de grotte, nous portons un nom qui est cette cxghose organique, cet organe pour ainsi dsire, car le xdire (le nom, le verbe) est un organe de prezmière, comme rein ou foie,, etc, et à ce titre se doit de fait d’etre répertorié parmi les différeznts autres organes d’un corps d’homme des cavernes, je suis l’homme quyi trace son om, à la dé&reobbée, sur la roche : aurochs de roche, ours de roche, antilopê de roche, bison de roche, buffle de roche, cerf de roche, biche de roche, mammouth de roche, cheval de roche, cheval de rocxhe, cheval de roche, chjeval de rocjhe, cheval de roche = chevaux de roche pour une entité, ces chevaux de roche sont des maitres-mots pour une sorte d'entité de type déité et c ette entité-déité est celle là que nous subodorons comme étant «bien mise» à) notre arrivée = idéa&lemzent placée, soit en bout de chaine, tout au fond = à la sortie , à l’endroit des confins nacrés, bleutés, aé»rées, chanteurs, etc, au niveau des ezmbruns «de bord de mer» soit en ce fonds marin qui est le fond de la rochje du temps, cette sqorte d’échancrure à même la roche, cette griffure, cette entaille par des bois de cerf ou bien par des cornes peut-etre de bouquetins ou quoi d’autree ? p)ar quyoi d’auttre qui eut pu percer la reoche lointaine et faire appa raitre un peu de ce jour, lovée en elle, l’(outre-passation, l’»outre-)passage , l’outremon,tage, l(outre-vent;,l’outre quoi ? l’outre tout court ? que il y a derrière ? quoi est derrière échancrure due à ramure = à queue de verbe , qauoi, derrière échancrure, est? car l’échancrure est due à la ramure perçant rocxhe d’un coup (bien) mal p^lacé ! car, la roche a été percée par un,e ramure (un bois) de cerf bien placé !
je suis l’homme des bois muni de bois sur le hqaut de ma gouverne ! je suis hommê aux aboiçs qui chanbte sa misère sur roche des grottes ! mon nom est cerf aux bois jolis postés ! je pue ou puerais de la gueule et du verbe encha ssé sur roche ! ma voie est toute tracée ! je suis pute-dieu de rage au coeur de ma ra ce volante ! je suis homme des cavernes et femme des cavezrnes accouplés ! je pulse ! je suis le cezrf de la rocxhe du temps et mon nom est «cerf de la roche du temps» dessiné sur roche comme à main levée par un hom^me-femme des cavezrnes il y a quelques dizaines de milliers d’années en arrière ! je suis homme des cav ezrnes et cherche à faire advenir, à la vie de roche, les données verbal:es de cir constan,ce, à savoir : ancestrales, natives, rugueueses, je cxherche à comprendre les données qui ici président à l’édification d’un nom de roche, cet aurochs de bellle renomùée, qui est il ? que me veut il ? qui regarde t il ? quelle est sa forme ? a t il des yeux pour voir à travers moi ? que voit on à travers moi ? ce fouillis de base ? cette chosex l:aide comme une sorte de bouillie massiv e ? que voir en soi qui n’est pas de l’âme ? je cherche MONNOM sur la roche : ou peuut il être ? je recxherche encopre et toujours MON NOM
en miroir sur la roche et ne le trouve pâs ou pas de sitot alors quoi ? que faire ? que dire, qui puisse m’aider dans mes tentatives car, il s’agit ici de tentative bel et bien, et non point de chose de dernière heure, close comme une aile toute repliée qui serait l’aile fausse d’une bete morte, je veux savoir et co:mprezndre ! je veux savoir ce qui est sur roche qui serait pour moi mon image en tant que telle = cette chose en double ! je chezr che une solution à un p)roblème ! je regarde la roche depûis l’intérieur de la roche : elle est ornementée ! je veux sacvoir ! mon nom est il une image ? que dire de ce nom de roche ? qsui est cet aurochs de paroi ? a t il une gouvernance, est il nanti d’une en lui gouvernance de pa roi ? va til vers moi ? vient il vers les embruns ? où se passe la scè§ne ? va t on mourir ? allons nous mourir ? que dire de la mort à l’oeuvre ? est elle une bvou!che édentée ? une plaie de bouche ? une parole-pic? ou bien la plaie ouverte suite à pareil pic d’incantation-implantatio,nn-pénétration pariétale ? qui saura nous révélzr le pot aux roses et ce avec les motsq de la tribu , qui ? car je suis friand de choses dites avéré&es, et cherche à savoir par tous les moyens, qui sont ceux que la roche me donne, m’octroie, me donne dee visu; il s’agit de cette cxhose comme quoi je suis une effigie, cette chose comme quoi mon NOm est une ezffigie soit un animal de roxche gravéà même la roche : aurochs de sang, sang cde roche, aurochs-présent, don de roche, a urochs salutaire, roche diurne, roche du temps éclairé, roche d’un e vie sur tertrre,aurochs majeurs, chants de terre-mère qui sourd ou sort de l’écxhancrure-emparure et vient à nous, caresser nos organismes d’écoute et nous donner de quoi peut-être nous complaire un tempsq,
en ce lieu de roche dure,
nou!s sommes etres cde roche dure,
je suis l’homme des cavernes «au sang frais», cerf de la roche vive, homme-cerf des confréries animùalières de la roche vive allouée au temps, et je déambule clopin clopant sur pareille «embarure» à la recherche de la vérité concernant le nom de cette xcghose devant soi qui est cette ouverture de pâroi, cette échancrure meuble, ce trait de canif, cette plaie-doublure, ce retrait,, cette chance induite, ce passage pour des pieds devant et le chant qui l’accolmpagne
7/5/2021
la moert est cette chose dure, ouverte, cette sorte d’échancrure dans la masse (ou bien dans la nasse ?) cette sorte de plaie vive, encore chaude, fumante (embruns ?) qui est devant nous, qui (en miroir) nous fait face, qui est une sorte d’ouverture devant nous comme un passage pour une aventure, un passage grand ouvert sur une lumière diffuse,
il s’agit d’un trou (dans tous les cas il semblerait) et ce trou nous regarde, nous regarde en profondeur (= à travers nous), ou bien dans les moindres détails extérieurs, car nous sommes vus (de pareille sorte) par, une sorte de ... quoi ? de déité peut être, qui en sait des louches et ne manque pas sans faute de nous regarder de fond en comble (intérieur et extérieur ?) et de nous observer ainsi depuis son coin fumant,
et nous (du coup) de nous présenter près d’elle, cette mort de bouche, cettre déité qui est on dirait comme un trou dans le paysage, mais où peut il y avoir un trou quand le monde est plein ? où donc est logé ce trou décrit et évoqué ? où peut on trouver du trou quand le plein est partout qui ne laisse rien au hasard et comble toutess les issues du monde, car le monde est sans issue, le monde est pour ainsi dire plein de chez plein dans tous les coins et même on dira que ses trous sont borgnes (etc) de sorte que nulle part nous ne voyons de trous (réels = du vide) dans le paysage, on a beau chercher on ne voit pas, car il n’y en a pas, alors comment faiore pour ce faire, comment faire pour trouver la chose autour de soi, où dsonc trouver une chose pareillev= un trou où passer la tete (tete du cap) et le reste du corps, où donc pouvoir trouver en vrai cette chose autour de soi ? nous ne savonbs pas , et en vérité nous ne sommes pas pressés de trouver, mais en l’occurrence nous sommes préssés d’en savoir plus si possible sur la question, sur pareille question concernant la mort, car la mort est cette chose qui nous tend les bras, cela bnous le savons, nous l’avons vu, la mort est une chose (une personne ?) qui nous tend les bras, la mort a des bras, la mort a deux bras, on sait cette chose, on avance pas à pas et la route est longue, le chemin ardu, la mort a deux bras, la mort est munie d’une paire de bras censé pouvoir nous recuiellir à la criée, à la sortie de table, ou comment dit -on ? devant nous est cette chose de la mort qui tend deux bras prêts à nous capter, nous attrappêr, nous ceuillir, nous recueillir, nous prendre en son giron etc, la mort est donc munie de bras, au nombre de deux, qui sont devant nous (où ?) pour nous attrapper à la tombée ou à la retombée, nous devons commprendre cette chose
comme quooi la mort, est
devant (sas) nous, qui sommes face face à elle, comme devant un miroir, nous disons que nous devons aller vers elle les yeux ouverts, alors qu’elle , a : les bras ouverts, et ainsi nous faisons, nous entrons en elle (giron) comme dans une sorte de ... bouche ou cavité buccale (édentée ?) ? qui nous goberait comme des mouches ! nous sommes faits aoinsi pour entrer en elle, la comprendre, l’explorer, regarder à l’intérieur de l’antre, de la cavité, ici, ouverte pour nous, cette roche est ainsi qu’elle peut offrir des ouvertures nous dirons surnaturelles= qui dépasse (pour le coup) lm’entendement ou du moins qui dépasse cet entendement de roche dure traversable, cette chose qui en vrai est dure et meuble à la fois, comment est ce possible ? nous nous avançons de cette roche de paroi et guettons la faille, elle arrivera au bon moment, nous sommes là qui lévitons près d’elle, nous guettons la faille, nous sacvons qu’ici ou là sur roche ontrouvera, on a presque trouvé : ici ou là sur roche une faille -interstice ne manquera pas de s’ouvrir à un moment donné et si la faille est là nous nous engouffrons, si faille advient alors c’est à nous de jouer (transe) à s’immiscer, passer la roche, traverser la chose et de se retrouver parmi des biches et autres chevreuils ou chevreuils des prés, nous aimons beaucoup ces biches de roche (dure) du temps, nous voulons comprendre ce rapport de bouche à bouche, nous voulons savoir cette chose ici comme quoi (bouche à bouche) nous sommes acollés à bouche de roche (baiser) qui nous fzait de l’effet, nous attire fort, nous accapare et nous maintient, et nous de traverser la roche ainsi, de passer de l’autre c^oté de pareille roche des prés, nous sommes passés et à présent nous regardons aller et venir des betes de paroi qui sont des mots-betes, mots de rochge dure des temps alloués, nous cherchons sur place où nous déposer, où donc nous poser pour nous y loger , nous sommes qui cherchons l’endroit idoine, nous voulons savoir ce qui est, de cette roche dure des temps, et aussi le pourquoi du comment nous en sommes arrivés là, à cxe stade de l’entendement, de l'entendement pariétal, et aussi pourquoi en vrai nous devons comprendre ce qui est qui se présente devant nous comme deux bras ouverts tendus, un appel de fond, une invitation : devons nous répondre ? devonbs nous nous avancer ? devons nous prendre le risque de dire oui ? que devons nous faire ? pleurer ? faire des simagrés ? jouer au marchand et à la marchande ? filerr en douce : se débiner ? aller dans les embruns nacrés ? chevaucher la bete et foncer vers des cieux nacrés ? qyue faire à ce stade de l’évolution de notre immixtion en paroi de grotte ? la transe ! car la treanse est cette chose quyi emporte et mène au loin vers d’autres rivages, nous avons pour nous cette chose, la transe, qui est chose qui pour nous est d’une très grande importance, en cela que la ttranse est rapportée, est une chose qui, sur nous, nous est plkaquée, n’est en rien constitutive, elle vient du dehors, elle n’est pas née en nous comme un déchet, elle n’est pas digérée, la transe est une chosequi, venue de l’extérieur, vient sur nous se plaquer et nous mener par le bout du nez, il ne s’agit pas d’un ressort secret qui viendrait des profondeurs de notre moi, ou de nos entrailles, non, il s’agit d’une chose induite, qui, venant du dehors, nous parasite, se greffe sur nous comme du gui, il s’agit de comprendre cette chose comme quoi ici nous avons à faire ce pas en roche sous une sorte d’influence qui est cette transe jetée ou p;laquée sur nos organismes, nousessqayons ainsi de comprendre cette chose d’une transe odfferte ou qui vient s’offrir à nous et se greffer à nous et vivre en nous comme une plante parasite ou sinon parasite, qui veut bien saisir l’opportunité de se voir acceuilli sans frais (ni pour l’un ni pour l(autre) sur greffon, en l’occurence nous , nous diso,ns ainsi que nous sommes soumis à une destinée qui est ou serait celle qui ppourrait s»’’acoquiner sans peine à une transe de tous les diables, nous dison,s ici que la transe est une chose d’envergure, nous «tombons» en transe, nous sommes soumis à cette chose qui, sur nous, vient s’abattre et nous donner des ailes, nous fait s’envoler sur roche (lévitation suprasensible) et nous coller à la paroi comme dans un baiser (de bouche à bouche) et nous de nous coller ainsi, levres sur roche, collés à celle-ci qui en vrai ne manque pas, dès lors, de nous engloutir en elle, alors voici, ainsi, toute cette histoire de paroi de grotte à la lumière (grise ?) de la transe et de la danse, cette chose d’une danse en transe, etc, nous nous enfonçons
plus avant en cette roche,
nous voulons nous enfoncer profond, nous cherchons cette chose d’une sorte d’incursion d’un soi foetal en roche du temps, par la bande à fond, mis ainsi sur orbite pariétale ou quelque chose de cet acabit, nous sommes entrés dans la paroi dee roche et gravitons, en elle, parmi des mots-betes, soit betes qui foncent, et autres betes-mots de belle prestance : cerfs majestueux de kla lande, bisons soyeux, buffles racés, chevaux en grand nombzres, antilopes du feu de dieu,
aurochs, aurochs, azurochs, aurochs, aurochs, aurochs, aurochs, aurochs, aurochsn, aurochs, aurochs, aurochs, aurochs, aurochs, aurochs, aurochs, auroches, aurochs, azurochs, aurochs, aurochs, aurochs, les aurochs, car les aurochs,sont nos amis, sont ceux là que nous regardons, sont ici ces mots-betes que (de fait) nous lisons sur roche, ces informations, ces dires d’apmplitude, ces dires nacrés (chevelus) qui nous regardent, qui nous importent, etc, nous disons que les aurochs sont pour nous des etres pour le coup de base animale mais tout autre en plus, il s’agit pour nous de voir cela de près et de comprendre que l(aurochs est donc cet animal de la paroi du temps mais quelque chose d’auttre de surajouté, et ce quelque chose d’autre de surajouté est cette chose qui concerne 1, la dé
$éité, 2, les mots de la roche, 3 le sens de la vie, bnous voulobns dès lors essayer de décghiffrer tout cet ensemble (aurochs + aurochs ad vitazm aeternam) à la lumière de la déité contenue en roche, autrement dit : nous cherchons à comprendre ici ce qui l’en est, en vrai, de la déité, à travers les mots de la roche du ttemps, c’est à dire à travers le mot pris en soi comme une bete quyi va et qui vient dans le temps (ou l’espace-temps), nous voulons comprendre cette chose ici d’une sorte pour le coup de déité qui serait comprise en roche comme, ailleurs, des betes dessinées (ou gravées) et cela par la bande, prise dans la roche par la bande, etc, nous voulons cerner un certain nombre de points en particulier, nous avons ce besoin de cerner des choses sur roche et ce besoin de déchiffrer et de comprendre ce qui est ou ce qui setrame à travers le mopnde, nous avons en nous ce besoin de comprendre ce qui est, ce qui existe, ce qui setrame, ce qui sepasse, ce qui advient, ce qui se goupille, ce qui nous arrive, ce qui vient vers nous, ce qui nous entoure, ce qui nous ceinture, ce qui nous guette, ce qui nous attend et ce qyui nous attend au coin du bois, ce qui est sur roche et nous attend tout pareillement, nous voulons savoir et nous cherchons dans tous les sens de cette roche, des raisons, des explications, des solutions, des dires, etc, qui eussent pu nous mettre en piste ou sur la bonne piste ou voie qui nous eut elle-même permis de comprendre plus avant soit de devenir savant ou + savant, car la question est là (aussi) , se situe à cet endroit (aussi) et cet endroit est précis : il s’agit de la question ici soulevée, de celui ou de celle qui est, ou de celui ou de celle qui n’erst pas savante, il s’agit ici de cette question d’un etre , d’un quidam, de quelqqu’un qui serait savant ou savante ou pazs, il s’agit de cela,
car, nous savons que certains savent, ou disent savoir quand d’autres ne savent pas, il s’agit de se positionner sur la question de celui ou de celle qui sait, ou ne sait pas : savez vous ? que savez vous ? que savez vous que je ne sais pas ? quelle est l’étendue de votre savoir ? quelle est l’étendue de mon savoir ? est ce que je sais «loin» ou pas ? jusqu’où va mon savoir ? que sais je ? que sais je en vérité ? quoi je sais ? quoi sais je ? que sais je en vérité ? quoi sais je au juste ? je me pose en ghomme savant de fait, car mon langage animalier me l’impose, je dis ce qui est qsui vient, je dis des choses betes (mots-betes) qui sont en vrai des signes ou comment, dires de savoir, ou comment ? car, mon phrasé temporel de roche m’impose pareille chose, je me pose ainsi (en mots-betes) en savant sur roche et je suis prête à m’en excuser mais comment ? le mot dit son savoir de base, et moi d’y aller à sa suite, comme une sorte d'employé formé, je suis cet homme des bois et de la roche dure des temps, qui est l’employé (courant) d’un savoir de base contenu comme par défaut dans le sein du sein langagier animalier et impossible d’y couper ou d’en réchapper car ainsi suis-je qsui me vois p^ris ou prise comme dans la nasse et ne peut m’en libérer, alors comment faire ? il y a ce parler squi dit son savoir de toutes les manières, ce parler savant (celui-là qui est savant) et cet autre (mais lequel ?) qui ne dit rien de plus que son dire fou, non savant à dire vrai, non posé, non dépposé, pris dans des limbes de vie diffuse, nacrée-bleutée, etc, dans les «rets de cet etc » pour ainsi dire,
«etc»,
et nous, d’essayyer ensembkle d’y piper mot, de comprendre, de trouver des solutions à des problèmes cruciaux, à des problèmes qui sont ceux, de fait, de la base et du sommet, à cet ensemble de questions liées au savoir : il y a d’un côté ceux et celles qui savent (et le disent hzaut et fort) et d’un autre ceux et celles qui ne savent pas et qu’ont ils ou elles à dire ? or il s’avère que tous et toutes nous disons et, dès lors, nous posons, en savant et savante de rocxhe, nous disons et proclamons, nous ne nous embarrassonds pas de faire de la sorte comme ne rien disant mais tout le contraire : nous affirmons, d’une manière ou d’une autrte, et qu’affirmons-nousq ? notre propre mis§ère en matière de savoir de toute manière, voilà la chose, et cela en vrai est troublant que les choses ainsi sembklent aller pour nous , car, sans doute aimerions-nous ici pouvoir dire (ou ne pas dire) d’une autre manière, mais comment s’y prendxre, en vérité, nous l’ignorons, nous sommes savants et savantes jusqu’à un certyain point qui signe notre infirmité en matière de savoir de poids, nousq so:mmes des savants de peu, savants de roche brute, nous nous infiltrons à même la roche, nbous voulons comme traverser le Rubicon de pareille roche du temps alloué et cela «en sachant» mais que savons nous ? peu en définitive
et en v érité, les mots sont savants qui en disent long par eux memes, et nous de courir derrière, nous disons que nous nous comprenons un certain nombre de choses en cette roche (oui) et cependant non : nous sommes peu de chose et nous sommes «justes», c’est à dire que nous sommes un peu «limites» ou comment dire ? notre approche est saluée et cependant fait sourire ! aïe ! alors comment ? nous essayons si possible de nous en sortir à bon compte mais la chose n’est pas si facile ! comment agir et que dire , car nous sommes ainsi ensembvlke en roche qui chercvhons des solutions à des problèmes liés aux savoirs, aux savoirs au pluriel et au savoir au singulier, nous sommes , deux, qui cherchons, ensemble, des dires depoiids = qui pèsent (dans la balance du xsavoir) et pour cela nous nous penchons sur cette question ou sorte de question du savoir donné, donné par la bande : un qui sait pour deux qyu cherchent, etc, nous ne sommes pas en peine de comprendre ce qui est sur roche, nous ne sommes pas en peine de comprendre, de chercher, de cerner, de fouiller, de piger, de vouloir, etc, cela est dit, l’a été à de nombreuses reprises, etc, on sait cette chose, on voit clair, on est là pour cette chose d’une sorte de recherche (fouillée, traversante) d’exploration , etc, qui puisse nous donner ici la joie de comprendre les tenants de l’ensemble et les aboutisssants du tout, cela est vrai et cependant que savons nous ? peu de choses en vérité, nous glissons d’une phrase l’autre comme surfeurs / surfeueses sur une vague océanique et nous en sommes fiers et fieres , ou sinon fiers et fieres arborons mine réjouie, et pourquoi ? car les mots nous drainent (trainent ?) qui nous font parler, dire haut notre verbe racé, magnifier (?) etc les choses d’un dire forcé, et nous de nous en satisfazire obluigatoirement, car nous sommes toutes et tous qui avons un rang à tenir et ce disant, ou cela étant, comment faire ? nous avons à montrer figure, nbous nous devons de montrer figure et c’erst ce que nous faisons par force ! et voilà ce qui advient dès lors ! la figure est haute, le verbe posé, assuré, les mots viennent en bouche comme pâroles d’évangile, etc : toujours ! il n’y a pasd’alternative à lza parole d’évangile, l’a t on bien compris ? il nous est impossible, dans la profondeur, de pouvoir nous échapper, on peut jouer à dire des bêtises (au sens enfantin du terme) mais ça fait long feu, et le mal (le naturel) revient : la haute tenue de tete, le port droit sur ses deux jambes, les mots caracolant à qui mieux mieux sur des parois de grotte comme des chevaux lachés dans la lande etc, nous nous figurons ces choses sur roche, car, à présent, nous sommes dedans, nous voulons essayer de nous y retrouver (ensemble) parmi les aurochs, je suis pour ainsi dire l’homme des cavernes qui va, sur paroi, graver sa misère hautaine, je suis cet homme desq cavernes, qui monte, gravit, cherche ainsi à sse laisser porter et lévite le long de la rocghe, muni de son baton de feu, pret à «dire» sur roche sa peine, ses tourments, ses angoisses d’homme foulé, etc, nous disons que nous devons comprendre un certain nombrte ici de choses à la lumière pour le coup d’un dit de roche dure, préssés, poussés par la bande (en soi) comme homme sous emprise, pris à mal ou mis à mal et placé ainsi dans la chose d’une volonté qui le dépâsse, nous gravons sur roche des betes de masse, je suis pris à partie, je siius soulevé, je suis enlevé, je suis hissé haut, je suis hissé haut comme le grand pavois, je suis mis à mal, je suis tourneboulé, je suis pris d’assaut par une force en moi qui me pousse instamment vers la rocghe du tempset m’indique le chemin à suivre, je suis mis sous l’éteignoir d’une bete en moi qui est cette bete-force qui est cette bete aux abois en moi, qui cherche à sortir de moi et à traverser (du coup) la roche du temps imparti, je dsuis cetvhomme sous influence,; les mots en moi galopent comme, ailleurs, des chevaux de plaine, je suis nu sur roche et me laisse faire par (sur moi) une force d’assaut qui se colle à moi et guide mes pas et mes gestes, je suis un homme sous emprise animalière, mon nom est alloué, il s’agit de cette chosecque je suis ici et qui est cette chose d’une emprise par la bande d’un etre de peu langagier (moi en l’occurence) , il s’agit ici d’(une entreeprise de dissolution et de déréliction : mon corps est envahi comme par une vague, je suis pris entre deux vagues, mon nom est brulé sur la pklace pubvliqque séance tenante, ce nom que je porete (ici) prend feu;, je suis cet homme au pouvoir discret qui se sent envahi comme par la bande de pied en cap, ma gouverne est animalière à présent, et les mots de ma bouche sortent comme des ... crapauds (etc) ? je suis homme en lévitation, je surplombe, je vois de haut, hautain et modeste cependant car mon savoir en vrai n’est pasgrand, je vois la rocghe de par en dessus et comprend les enjeux ici qui sont de taille et ne manquent pas, de fait, de me questionner : dois je ou ne dois je pas aller en pareille paroi m’immiscer, et toucher le roi ? je ne sais que penser ! je suis cet homme des paroisq de roche, homme aurignacien pour sa gouverne, qui va et qui vient à même la roche car sous influence, car ici sous cette chose d’une sorte d’influence de tous les instants ! je vais en cette roche comme dans le temps : armé de ma gouverne, mais en vrai cette gouverne est une sorte de mainmise animalière de première (de la première heure) qui fait et décide ou décide et fait pour ma pomme à tout instants, et voilà pôurquoi ... je me se,ns meurtri par moments, je suis hommùe des grottes et des ca vernes préhistoriques, je suis cet homme qui ici cherche (de son côté) ce qui pourrait etre de cette question ou sur pareille question concernant la roche princière, etc, je cherche, je suis ce chercheur de la première heure et à ce titre je vzais en rocghe, muni de mon baton de sage, baton de bois, fuselage, etc, qui permet la trouée ds’un savoir antique, préhistorique etc, la trouée c’est à dire l’incision, ezn pareilles données de roche = ce savoir multi séculaire, vieux de la vieille, comment dit-on ? je cherche, je cherche en amont et en aval, je vais et je viens en roche, hj(ai à faire cette chose en tant que je suis cet homme qiui est , ici, cet hommùe de peu, muni de son baton de feu, qui entre en roche cxomme en prison ou alors comme en religion, ou comment ? je suis cet homme, ici, du peu (en vérité) de savoir en soi, je suis homme sous emprise vive, celle, en lui (sur lui), d’une bete fauve du genre lion, ou bien guépard ou léopa rd, ou quoi d’autre ? je vaisq et je viens en roche comme un animal car je suis moi même (devenu) l’animal en question, mon nom est celui dela bete qui de fait me monte ou me chevauche, mon nom est très précisément celui là que je treace (incidemment) sur la paroi de grotte, cette b ete sur moi a un nom pour le coup que je «dessine» sur la roche une fois et une autre sous l’emprise ici de la bete guideuse, celle là qui tient mon bras et me fait de fait tracer à main levée les traits de sa race, incidemment et bruyament, et vite fait bien fait, etc, je suis un homme des cavernes ici pris d’assaut par une force e,n lui qui le pousse à (du coup) gravir , le mont de laroche du temps (monticule) et là : voir ! ce qui est qui est ! ce quyi se trame, en pareille région des hauteurs ! ce qui est ici qui me»regarde, car, ce qui ici me regarde a uun eil que je ne saurai voir hélasz, cela est navrant, et ceopendant je sais, c’est à dire que mon savoir est tout entier contenu dans mon oeil de roche, je sais en cet endroit qu’un oeil (invisible à l»’oeil nu ? ) me regarde, mais où ? je me sens espionné ! je sens sur moi posé un oeil qui se cache ! qui siiys-je pour méritezr ça ? pourquoi moi ? que me veut-on ? qiui me cherc he ? qui est là pour me sermonner ? pourquyoi dois je être ainsi puni et pourquoi des dires à mon encontre , qsui sont dires de méchanceté , pourquyoi ? suuis je si mauvais ? suis je si mauvais et à jeter ? dois je être coupé en xdeux ? dois je subir les affres dela torture ? dois-je etre jeté en pature zaux betes voraces de la mort à l ‘oeuvre ? quis suis je vpour mériter ça ? je ne suis que cet homme de peu de savoirs, qui l»a ramène ou se la ramène bien assez» à ses yeux, et que, s’il pouvzait, il se tairait, mais comment se taiore ? c’est à dire comment se taire à soi-même, cxar c’est là qsue le bat blkesse, et dfonc, c’est avec cette chose qu’il faut composer obligatoirement, puisque les mots caracolent de fait, en dehors de moi c’est à dire de ma gouverne c’est à dire par devers moi ou à l’insu de moi ou même contre mon gré, s’il en est, etc, je syuis cet homme des cavernes qyui cherche pitan,ce (dites «de vérités») )à même la roche du temps : va t il la trouver ? et pourra t il en faire bon usage ? aura t il le temps pour cela ? saura t il s’en dépatouiller et en tirer profit ? si la vérité sur la mort existe alors que sera t elle que nous pourrions dire ? les mots ca racol;ent de concert depuis lanuit des temps et sont comme cryptés de faux ressorts et autres arcanes majeures cachées, les mots sont pour nous perlés, comme relebvant d’arcanes secrètes disséminées, etc, il se peut que le langage (une langue) soit comme cryptée, ou codée de part aen part c’est à dire cde toutes parts, il se peut qu’une langue soit codée de part en part, de latete aux pieds pour ainsi dire, il se peut très bien cette chose et c’etcpour cezla que nous ne sommes pas des qui, facilement, se formalisent, car nous savons cela, comme quoi °une langue cache, recèle, ne dit pas la véerité tout de go ou d’emblée, les mots qui adviennez,nt sont u n pis-aller de prezmière et renvoient à d’autres mots ou souterrains ou sur-terrains (on ne sait) mais qui sont des mos comme absents du débat tel qu’il se voit proposé d’emblée , sur lande ou paroi, au premier regar : tout ici est comme codé et crypté, et ce depuis le début eyt comme à notre insu ou pas loin, et voilà pourqyuoi nous insistons, pourquoi cette chose du martèlemùent, nous tapôns comme des brutes sur la roche et faisons un boucan de tous les tonneres et cela à dessein, car nous sommes pris, de force, par, en ous ou sur nous, une betye de roche, grosse-grasse (injurieuse) qui nous commande, qui nous dit de faire et nous faisons car nous sommes comme obnubilés, nous n’e,n menons pas large, nous sommes sous le jhoug d’une bete de poids qui dit sans gêne sa gouverne à travers notre batoon (merdeux ?) de bois, et nous d’obtempérer comme il se doit car les mots,qui courent en nous (de notre bouyche) ou coulen,t, ne sont poas de nous à proprement paerler, maisd d’une bete (de rocghe ou des prés) à travers nous, nous parlons un langage de bete (direct) qsui s’incruste (sur paroi) au charbon de bois, les mots nôtres sont des effigfies et prennent leur place sur roche dure, nous disons que nous devons graver des choses et autres à l’unisson, c’est à dire sous le joug, sous cette sorte d'emprise (massive) d’une bete des prés (ovin ? bovin ? ) quiiu nousassaille sur paroi comme une bete (lancée ett forte) qui voudsrait nous faire parler et dire notre mal «dentaire», notre invalidité, etc, nous sommes sur roche prêt à faire cette chose d’un tracé rupestree significatif, soit donnant le la pour ainsi dire d’une destinée pariéto-temporelle dec première, mon nom est celui là que je trace sur paroi, reconnaissez-le pour ce quil est, mon nom est ce nom de roche dure, il est nom de roche et du temps, mon nom est nom d’homme des cavernes pris comme de panique par en lui la force bestiale d’une bete de prairie massive, massive et lancée (furie) comme un beau diable et me voilà qui me soumet à pareille furie (folie) sans sourciller, car je suis ravi, au sens du dire «rappté», etc, je suis rapté, ravi c’est à dire emporté, je suis soulevé, soupesé, compté, je suis déposé, posé, assoupi sur roche, je suis sous le choc, mon nom est comme une effigie animalière de paroi, je suis un homme fou, qui va à s’en dire sur roche des dires de fou,, qui va fou se dire ainsi sur roche des dires de fou, d’emprise, etc, mon n om est convoçqué et se dessine à la criée votive et comment y couper ? cvar, les mots sont fous qui nous traversent de part en part comme des fers de lance , et vohnt à se ficher sur roche et percer icelle pour la dépasser et se loger en elle , chair de roche, ombre sur la plaie, je suis homme de roche dure, en lévitation, je grimpe sur elle, mon nom est un nom d’emprunt, je suis l’homme privé de nom en vérité car mon nom n’est pas écrit sur moi mais sur la roche des temps alloués or la roche n’est pas moi, mais ... miroir ? miroir ? ou bien ce salut par la bande, cette chose d’un retour de manivelle, etc ? je cherche, je suis en roche pour chercher des choses, des choses à cvompre,ndre mais peut -onn ? sque donc les mots peuvent-ils ? quoi donc les mots peuvent-ils nous apprendre ? nous ne savons pasc en vérité ce qui est de ce qui vit, ou comment ? nous voulons savoir car nous sommes lancés et pour savoir nous avons besoib n de pouvoir, du pouvoir des mots dits «de vérité» et ces mots «de vérité « sont des betes-moyts, mots-betes et betes en forme cde mot, les premiers seront les derniers, ou bie,n : les derniers seront les premiers , c’est à dire que ces mots, que nous dessinons sur rocxhe, sont ceux là qui disenbt pour le coup les choses à cru, sont ces mots (= betes) qui peuveznt de fait signifier et de fait signent pour nous ... notre identité, car hje suis en vérité cet animal représenté, je suis
ce bouquetin de roche, ce renne des prés, cet aurochs codé, cette jument, cette antilope, cet aurochs au pré, cette belle bete des bois (biche ?) qsui caracvole, je suis homme-bete des embruns qui pour le coup cherchev à savoir le fin mot sur tout, et pour cela, je me jette commùe je le fais dans cette sorte de bataille d’une rocghe (dure) des temps, et je vaisz, fissa, à la rencontre des chevreuils et autres cervidés aux bois dorés, je suis homme des cavernes, nanti d’un pic (dit «de pezrforation») salutaire, et ce que je vois est inscrit de fait sur ma rétine, je le sais, je suis cet enfant-faon, ce chevreuil nanti, cette biche allouée, ce cerf de céans, ce chevreuil aux quatre fers, cette bete-mot nacrée i,nscrite sur roche comme une effigie,
je suis animal qui vit sa vie ,
d’animal sur rocxhe, je suis un animal qui vit cette chose , d’une vie de roche dure, je sui s et je vois en moi, je suis cette bete en moi que je vois tracer,
des traits, des courbes et des lignes
qui se crooisent et s’interpénètrent, se chevaucghent et forment des figures , des treacés animaliers, etc, mon nom est celui de la roche, il s’agit de moi, de mes moi de roche, de plusieurs de mes moi qui sont là, àà se chevaucher de concert dans le brouhaha ici des incantations votives car, il est ainsi que des mots, des paroles (des insultes) fusent et ce à haute voix,n ,; quelquefois criées, quelquefois susurrées, etc, les mots de ma bouche sqortent à foison comme une pique (ou une la,nce) sortirait de son fourreau, de sa gaine , etc, et ces mots sont des mots de peu de valeur intrinsèque, car leur sens est feutreé ou tamisé, passé au tamis de laroche et pèse peu voire très peu, le sens ici est bien présent, se veut d’aurochs, mais, au bout du compte, on riçsque de faire une mine ici peu enjouée en définitive , quand les choses se déca n,teront;, car les mots sont betes qui se logent ici entre deux betes, les mots ezn preznnent pour leur grade, ou bien disons plutôt que les mots ici se colorent de cette sorte de couleur qui est celle de ces betes (betes de paroi) adjacentes etc, je suis homme des cavernes, je dessine à main levée des betes et ces betes sont des mots, ces :mots sont faits pour en vrai en imposer et en jeter et du coup en mettree plein la vue, je suis un homme des cavernes, mon nom est (hum) Nologips (ou Loopings pour les intimes) et je vais et viens sur pareille roche à) la recgherche d’un sembklant (disons) de vérité, je veux comprendre, et ce que je veux comprendre est cette chose d’une vérité qui serait allouée à la roche ! oui! oui je le veux ! oui c’est ainsi que je le veux ! oui et oui ! oui je veux cela ! oui oui oui ! car homme je suis (des cavernes) homme je reste ad vitam aeternam ! je suis celuyi qui reste ainsi, ... ou comment ? je suis cet homme des cavernes de paroi, qui va et vient en roche du temps à la recherche de la véerité cachée de la roche ou de cela en roche qui parait caché et que, pour le coup, je recherche avec assidyité, je m’appelle Nologips pour votrte gouverbne et je me plais à me promener sur la lande à larecherche d’une entrée de grotte, d’une boucxche dee la vérité, d’une incxise, d’une faille, etc, par où s’immiscer, mon nom est celui qui s’inscrit à meme la paroi du monde, au su et au vu de tout un chacun et cela ne va pas sans me chagriner, car, à) mon nom, est associé ... le mal de la roche, cette turpitude sans voix, cette chose grave gravée = aurochs ! cette bete représentée (au charbon de bois) est cette vilenie ... vilenie de première ! et qui est à avouer ou disons à dire, ici , comme un impardon de première ! je suis ! je suis ! je suis ! je suis ! je suis ! je suis ! je suis ! je suis ! je suis ! je suis ! jke suis ! je suis ! je suis ! jes syis ! je suis ! je suids ! je suis ! jes suis ! je suisq cet homme impardonnable ! ce ... fennec ? cet enragé ! je suis l’homme des prés et des bois, qui y va de son pas alerte à la recherche d’une bete qui reste à tuer ! et, ainsi faisant, je deviens cet homme squi serait méchant ! je suis ... je suis cet homme qsui serait méchant et impardonnable, dès lors comment faire ?. patte blman,che ? commùent agir ? en gravant son nom sur la roche = «Moi» ? comment faire et comment dire, comment avouer son crime, comment s’y prendre ? nous sommes deux qsui allobns en roche (paroi) à la recgherche d’une vérité dite «de bon aloi» qui pourrait nous aider à nous y retrouver, nous avopns chassé et tué, nous sommes couverts de ce sang animal de latete aux pieds, nous nous recouvrons de cesang animal de latete aux pieds, nous voulons cette chose dire, comme quyoi nous bnous sqommes couverts, ou recouverts, de la tete aux pieds, d’un sang de bete (sang de veau ?) qui est ce sang de roche dure, ce nectar ou cet oonguent, cette chrème ou ce chandail etc, nous pensons à cette chose comme quyoi nous sommes peu de choses, nous disons-traçons n,otre destinée (nacrée) sur roche du temps et cela seul suffit à nous remmeztrree un tant soit peu en piste, et à, du coup, relancer (ezn nous) la machine du tic ta c cordial, nous ne voulons pas sombrer cvorps et ames, nous voulons aller notre chemin de vie dans la lande et ne pas en terminer si vite,notre nom s’inscrit «en toutes lettres « (mots-bêtes) sur, ici , la roche du temps, qui est la roche de la vérité,
le temps se dép^loie avec nous dedans, et nous dès lors de nous y déployer pour ainsi dire de concert, car, en vrai, la chose est musicale et ici se forme au tout venant des choses en trame, nous pensons qUe nous devons comp^rendre ensemble les données et e,nsemble aurons, du coup, à les reporter, qui sur roche qui sur feuillet, etc, main dans la main avec (dirons-nous) l’homme des cavernes, car, lorsque vnous didsons nous, nous disons lui (homme des cavernes) et moi, qui suis cet autrte homme des cavernes mais d’aujourdhui, ce sentimental, ce chagrin, ce gentil gentillet, cet homme de peu de savoirs, aux accents meurtriers du fait qu’il est chasseur et chasse son butin sinon journalier, pluri-mensuel, etc, je suis l’homme du temps pariétal, je peux parler en ce nom car mon nom est connu par la ba nde, je peux dès lors décliner ici mon identité d’homme des bois et des forets, je suis ce chasseur offert à la lande, je me donne ainsi sur paroi comme un forcené, mo,n nom se grave ou se dessine (au chgarbon de bois) à même larocxhe, et me voilà «fait» comme deux ronds de flan ou comment parler de cette chose comme quoi mon sang ici ne fait qu’un tour, puis un autre, puis encore un autre (complet) puis encore et encore et encore une fois ? loopîngs de grace dans le ciel de roche, une fiesta, une sorte d’enrubanna ge temporel de la roche dure = sas, sas de sécurité où pouvoir (soi ?) se dérouler,; une sorte d’enclave à figures, etc! mon nom est donc ce nom qui vcient , du coup, s’afficher, à m^zme la roche du temps de la rage , de l’inhospitalité, de la colère et du dégout, etc, mon nom est associé à une turpitude constitutionnelle à propos de laquelle je dois parler, en tant que je suis l’homme du tourment de roche, en tant que je suis ou szerait cet homme d’un tourment i,nscrit sur roche = ce nom qui est ce nom (peut-être) de la bete-mot, cette incartade ou cet écart (nominal ?) de prezmière : est-ce cela, cela-même, qui me turlupine ? ce nom cacherait-il quelque autre nom de plus ou de moins ? je vccherche à sa&voir ! je ne sais pas ! que saéis-je ? mon savoir est étroit, il tient ezn peu de place et ne déborde pâs, il est savoir de peu et ne va pas loin ! mon savoir est un savoir d’homme de peu, homme de peu qui est celui-là m^eme qui signe son n om à même la roche du temps et pense pouvoir s’en tirer de la sorte, or il n’est pas dit que la chose fut suffisante , et permette (de la sorte) une salvation (ou un salut) par la même ... par la même chose ... par la même occasion, il n’est pas dit qsue cvette chose, d’une sorte d’inscription votive, suffise ! pas dit ! et dès lors nous nous interogeons ezt cherchonds des solutions, nous pensons que nous pouvons peut etre envisager une sortie de roche (qui sait ?) à plusieurs, c’est à dire ici avec l’aide des animaux, les animaux peuvent ils nous tirer d’affaire ou nous aider à nous tirer d’affaire ? peut etre, le coup est (certainement) à tentezr, on peut toujours s’en approcher et te,nter cette chose (qsui sait ? ) et alors nou!s verrons bien si la chose (à faire) était judicieuse ou pas judisieuse, nous en saurons plus après coup et nous pourrons nous afficher dès lors comme ceux et celles qui, près des animaux, grâce aux a nimaux, avons réussi à sortir la tete
du trou, de la grotte, etc, nous verrons,; en attendant nous sommes pris de part en part = sous l’emprise (animalière) de circonstance, à savoir : sous le joug meurtrier (?) de la bezte ezn soi, carc elle peut tuer ! elle peut vous achever ... ou vous sauver, au choix ! les deux sont possibles ! on peut très bien mourir d’un coup de sabvot mal pla&cé, on peut aussi survivre et s’en sortir, si la bete en moi arrive à se deéfaire de ses liens, à se flanquer sur roche vcomme une effigie, les deux choses sont ici possibkles et à considérer, et ce que nous nous faisons (pour notre gouverne) est en lien avec ceztte choses duelle, avec d’un coté un risque avéré, et de l’auttre un salut possible par la voie des airs, nous nous avançons ainsi sur roche et nous compreznons le souci, la voix qi parle est voix de bete menaçante (ou pas) mais voix qui ne m’appartient pas, je syuis un homme cdes cavernes doux, au sang de roche coulant sur ma face, au sang (= en sang) de la roche dure, ce sang est celui de la bete du roc, celle là même représe,ntée de pied en cap, ici , sur paroi , -et qui sezmbkle saigner en vrai, le sang suinte des parois, on dxirait cela, je vois cette chose d’un tracé de roche qui dirait en vrai le nom d’une personne ou d’un ensembkle de personne, nbous faisons sur roche ce que nous faiçsons et ce que nous faisons ressort de l’ordre de la sainteté, soit de la sainteté votive, nous donnons (tout nu) tout (de nous) sur roche et sur paroi, de nous nous donnons tout,; à cru et à nu, en lévitation, le sexe tendu , homme-bete de la rocghe dure, dure comme un baton, et fouillons en elle afin de l’immiscer, dee la pénéttrer par lka bande et à brule pourpoint, nous entrons en elle (paroi) comme dans un moulin car la fente est faite, la voici mouillure qyui en vrai nous aide à nous introduire , à passerla tete, le corps en entier, traversée des apparences pariétales, etc, pres des betes des prés, nous avons comp)ris cette chose d’une sorte de mouillure significative, le trait est tiré, la roche est percée, le pic est fait, il y a déchirure et passage de virée, nous sommes en cette roche du temps comme en sang , nu et cru, vif et raide, doux ou dur c’est selon, entré en pareille caverne ou comment ? ca r la roche est notre sas pour ainsi dire de décom^pressioon, notre enclacve pariétale de soulagement etc, on y est ici commùe dans une ruche mais apaisé, on chante, nbotre pain est bon et le vin est tiré ! nous chantons ! ohé du bougnat etc ! nous chantons et pissons le trop-plein de boisson ! nous avons à pissezr le surplus de ce vin ici de roche ! nous sommes ensemble dans la roche et cherchons l’ordre, le conseil, la voix, la destinée, le secret, le ressort, la chose enfouie, cette vérité des vérités qui est la vérité de notre turpitude constitutionnellle, nous voulons comprendre et connaitrec les arcanes de la vérité sur (ici) ce mùonde (pariétal) d’un temps alloué à un passage et pour cela nous nous tenons la main, chantons et buvons, nous sommes deux pour nous introduire et pour traverser et pour nous retrouver de l(autre côté, nous nous tenons , nous ne vopulons pas lâcher, nous sommes homme et femme des caverenes,; bnous sommes des hommes et des femmùes des cavernes et nous portons un nom qui est lié à la caeverne que nous explorons, nous sommes des hommes et nous dsommes des femmesdes cavezrnes, c’est à dire hommes et femmes au pluriel ou homme et femme au singulier, nous sommes des hommes et des fezmmes et ces hommes et cesv femmes sont ensemble entrées dans la caverne et ont cherchjé comme une voie d’abord, un accès, une saillie où pouvoir déposezr leurs offrandes sacrées, ces choses à déposer sur roche du temps , à poser gentiement ou méchamment, à poser d’une manière fine, ou d’une autrte manière, bnous sqavons cela : ou gentimeznt à pas mesurés, ou bien méchamment ,en grondant , l’esssentiel est ici de pouvoir déposer, de fait, à même la roche, et c’est ainsi que nous allon,s sur pied en cette roche des temps alloués, nous alloons sur ce chemin de roche brute, dure comme tout et qui nous regarde, nous finte, nous espionne presque : nous sommes deux, qui (de fait) nous immisçons en cette roche suspicieuse, en ce roc étrange et pour le moins coquin qui nousregarde d’un éir de deux airs et ne nous lache plus : qu’avons nous donc fait de si répréhensible ? l’amour ? la Chose ? des betises ? des coquinerioes à notre tour ? du mensonge ? nbous ne savonsd pzas, nous sommes pris à partie ! nous sommes a ssailli pàar la bande et ne savons commeznt nous en sortir ! qui pour nous aider ? l’aurochs ? la jument ? l’antilope ? le bouquetin ? le renne ? l’ours des caver nesq ? ke cheval ? le cerff ? le mégacerf ? le mammouth ? le bison ? le buffle ? le lion des cavernes ? ou bien quel animal de compagnie ou de prairie, de bois ou de sous-bois ? nous ne savons pas, nous voulons savoir car notre appétit de savoir est immense, incommensurable en vérité, puisqu’il tient dans les grandes largeurs de cet ensembkle langagier dont nous sommes de fait prisonniers et prisonnières, le savoir de vérité est comme inclus dans ce -kit langagier de base, nous sommes deux qui (pour de vrai) chgerchons la vérité ... dans la roche du temps ! nous sommes deux qui (pour de vrai) cherchons des vérités saillantes,, cdurables (... comme des vérités !), et qui puissent nous do,nner (si possible) l’élan nécessaire, à une sorte d'extraction de cette chose d’une roche des embruns nocifs, qui puissent noussoffrir de quoi nous échapper pour ainsi dire des embruns nocifs et retourner ou nousq en reztourner fissa au bercail, car nous ne voulons pas passer de sitôt l’a rme à gauvche, nbous tenons à notre vie de base, nous volulons en vrai la conserver et chanter nos musiquettes de concert, à toi à moi, le temps qu’il nous plaira, je suis un homme sous emprise, ma voix est faussée (hélium !) par, en moi, le chant guttural de la bete, ou des betes qui se joignent entre elles (un pa quet), je suis cet homme des cavernes à la voix de faussset (tous les cas de figure) et, de fait, je me dois (cependant) de greaver (sur roche) ce qui est ici, qui est que je suis ... cet homme à la voix aigrelette d’un faussset de roche, oh le fausset ! car oui, je suis cet homme sous emprise, à la voix faussée, cela est entendu , cela est une certitude, oui et plutot dfeux fois qu’une, car ma voix est sous l’emprise en moi d’une sorte de cri animal (le brame ?) , qui me fausse ou me gauchit beaucoup, c’est àdire qui fausse ma voix, la gauchit grandement et qui me fait parler à tort et à travers (qui p^lus est) comme un genre de galopin âgé seulement on dirait de quelqUEZSs années (une grosse poignée) et voilà le hic, je suis cet homme à la voix déforméev (par la bande) et quyi se voit jugé sur pièces alors même qu’il tente, ici et là, d’expliquer que cette voix qui sort de lui n’est pas la sienne et que par conséquent il est bien mal venu de se moquer de lui, voire de le repoussezr, ou plutot de l’identidfier commùe lui étant l’auteur (vilain) de cette cxhose en soi, car non et non ! l’emprise est réelle et la main est mise, ici, sur moi qui ne commande plus à un même degré les choses de ma vie, c’est une certitude, alors merci de ne pas me juger sous ce jour , car ... ce n’est pas mon hjour ! non et non ! combien de fois le dire ? ce n’est pas mon hjour ! ma voix est faussée, mon image, ici, n’est pas celle que jke précaunise ou préconiserait si seulement je poucvais décider de quelle image, en vrai, de moi, serait, pour le coup, efficiente, ou quelle imùage me représentant pourrait me satisfa ire ! car, ma voix ici eswt voix gauchie par, comme qui dirait , la bande traçante, ou passante ! cette chose est connue en vrai de toutes et tou$s et cependant, voilà t-il que (ici) l’on contin ue à me prendre pour je ne sais quoi qui n’est pas moi ou est loin de moi, ou qui est loin de moi etc, je sais cettez chjose, je sais pertinemment cette chjose et voilà pourquoi je signe, ici, de ce nom (d’emprunt) animalier qui est le nom de cette bete en moi, ou sur moi, qui a pour ainsi dire fait le siège de mon etre des caverneqs, je fais cette cxhose =
de signer
du nom de la bete,
sur roche du temps, à même la piezrre, au chgarbon de poids et de quoi s’agit-il sinon d’une figure animalière ressembvklante au plkus possible, d’une donc de ces figures de paroi de grotte, veau vacche taureau ? ou plus volontieers : bouquetin , chevazl ou grand cerf des prés ? car jesuis cet animal de roche ! ... jésus (!) est cet animal (rocheux) dit «de paroi votive», n ous savons cela ! à présent nous le savons , nous devons comp^rendre cette chose ici, comme quoi,
la bete a son nom sur roche
(MON NOM)
qui est celui là précisément que l’homme luyi donne, bnous faisons cette chose ici qui est un transfert : la bzte dessine à ma place et ce qui est sur roche est cette figure, or voici que moi (homme d’aujourdhui) j’arrive , et, muni de mon baton merdxeux, trace un nom qui est le propre nom de la bete, or la bete ne peut pas trcaer son nom, car la bete ne le connait pas, ne l’a pas en ezlke, n’a pas ce nom en elle (dans son oeil) quand elle a (dansq son oeil) une imaghe d’elle, image que la bete est à même dès lors de pouvoir reprodyuire sur roche, et donc voi;à la chose : un nom n’est pas le fait pour ainsi dire d’une bete en soi, ou plutot : le nom alloué (le mot-mot) ne sort pas de la propre boucxhe de la bete en nous, car, la bete en nous n’a pas d’autres mots que ceux que nouys gravons sur roche et qsui pour le coup ne sont pas des motsz à proprement pàarler c’est à dire des mots-mots mais sont des mots-betes, à savoir des figures tracées a nimalières sur rocghe du temps, voilà le hic ici souligné, : ce transfert de compétence avec déperdition considérable, changement complet de paradigme et chute centrale dans lke temps ici réduit de la roche circonscrite, dommages et ramages, on dirait cela,
comme quoi la roche a ou aurait perxdu gros, car , la rocvhe du temps eswt (de fait) le réceptacle
de la vbérité avec un grand V, la roche est la roche du temps renfermant un ensemble (c omplet ?) de vérités vraies, et nbous de tout déformer ! car ma voix est dxéformée et ma pensée et mes dires et mmes allures et mon ima ge etc, quand le tracé animalier de l’homme des cavezrnes était, lui, du direct de roche, du tracé naissant, du vif de roche dure, sans embarras autres que ceux d’une main qui eût pu flancher ! or que nenni ! la chose a en vrai été gravé dans les r(‘ègles de l’art , c’est à dire en suivant des instructions (techniques) de base, etc, nous avons cette chose pour nous d’un sa voir , acquis comme par la bande, hommes et femmes des cavernes ! et ce savoir est rutilant, il brille de mille feux et nous permet de dessiner, à main levée, des betes de joie, betes de roche aux bois, cornes de gazelles, chevaux dansants, nous dessinons ce tout venant animalier de roche, et (ce faisant) nous disons les noms qui s’imposent et en imposent, nous sqmmes hommes et femmes des cavernes «aux sa&voirs discrets», nous sommes tenaillés en nous par une voix qui on dirait nous dicte la condyuite à suivre, fissqa, sur paroi du temps, sans trainer, vite fait bien fait, sous hypnose, nous sommes les hommes de sa majesté, «Nous Sommes Nous Sommes»,
nous sommes les sujets de sa Majesté, nbous gravons à souhait des figures de betes, nous sommes ces hpommes gravant effigies et autrees figures de betes fortesz, massives et puissan,tes, nous gravons des betesq de poids, nos noms s’ins c rivent par la bande et, pour ainsi dire, sauvent kles meeubles d’une destinée (la nôtre) vouée à dispzaraitre corps et biens, or voil;à que de la sorte (dessinant) notre nom (mon nom) se voit gravé sur roche pour l’éternité ou quelque chose d’approchant : comment le masquer ? l:a chose à présent est ce présent (ce don) de l’évidence : nous faisons comme allégfezance ! nouys sommes de»ux qui nommons les rois et reines de céans, ces betes de scènes, ces apôtres, cette chose df’une cène la rge, étendue, votives, dite -à haute voixs comme une incantation, cers betes-mots sont ceux d’une tribu guerrière, cette cjhose d’un tra cé de roche dure, qui est cette cxhose d’une représentationb plenière de roche des tezmps : tous et toutezs à l’appel , tous les animaux de masse, ceux qyui e,n imposent et qui nous montent, tous les animaux de la roche sont les animaux qui sont à nous monter ou à nous chevaucher, sont dès lors ceuxv qui sont sur n ous, qui nous envahisse,nt ;
sont représentées dès lors uniquezment les betes qui sont celles quii sur nous ont cette emprise de nous faire dessiner (de fait) ces choses sur roche ;
sont représentés dès lors uniquezment l’ensem ble (ou les ensembles) animalier(s) comprenant kles betes qui sur nous ont toutes, ici (sur paroi), cette mainmise dont nous témoignons, les autrtes b etes (sans ezmprise) ne sont pas décrites et pour cvause, puisque étant des betes n’ayant pas sur n nous cette sorte d'emprise (ou cette sorte de maimnise) de circonstance, et donc :
des aurochs, xdes rzennes, des cerfs et autres cervidés, des rennes des bois, des mammouths, des rhinocéros, des chevaux, des bisons, des bouquetinsq, des buffles, des lions des bois, des ours etc, ne sont représentés (comme animaux) que ceux-là qui en vrai nous chargent et nous font dessiner leurs propres figuresq, si je suis un tigre je dessine un tigre, si je suis un reznne je dessine un renne , si je suis un ours je dessine un ours, si je suis un aurochs jke dessxine un a urochs, si je suis un phacochère je dessine un phacochère, si s-$je suis un bouquetiuin je dessine un bouquetin, si je suis un mammouthj je dessine un mùammouth, si je suis une antilope jke dessine u ne antti:lope, si je suis un megacerf je dessine un méga-cerf, si je suis un ours des cavernes jedessine un ours des cavernes, si je suis un cerf volant je dessine un cerf volant, si je suis un lion je dessine un lion, etc, je dessine ce que je suis, je dessinais en vrai ce que j’étaies en tant qh’»homme des cavernes, et aujoiuuirdhui je ne peux plus car je ne suis plus cet «animal de compagnie», ou si je le suis je ne le vois plusq , c ar je suis hanté ou occupé ou envahi en moi par une sorte de brouet de roche fait de betes-mots qui ne sont plus les betes-mots comme autrefois ou d’autreefois, mais qui sont des mots dits «mots-mots» qui sont ces mots de roche dure, mopts de base édulcorés, motsq de tete tracassée qui sont des mots de bouche écervélés, et voi;là le hic, les mots sont ceux de ;la parole dite, des cxxhoses de tete, etc, et non plus seulement (?) ceux de la bete qui, autrefois, présidait, je suiuis cette cvhose que je représente, or voilà que ce que je représeznte n’’st pl;usz moi comme autrefoiçs quand j’étais la bete, or voilà que si (en vrai) je suis toujours la bete je ne le sais plus (ou ne le vois plus) car mon espritt ds’est entiché de ces mots-mots qui ont pour ainsi dire tout bouché et ont obstrué le pasdsage qui était (autrefois) celui de la bezte et nous voilà bien ! nous sommpes couillé»s ! nous sommpes bernés ! nous voilà bernés ! quel dommage ! nous avons perdu le lien de la roche à ... la bete en nous ! nbous avons perdu pour paertie ou pour grande paertie ou comment, ce lien qui u nissait la bezte en nous (qui, de fait, nous xchevaucxhait) à la rocxhe dure du temps, c’est à dire à la paroi votive, à cette paroi de «l’art des cvavernes «,, bnous avons perdxu le fil ou sinon perdu où est il ? où se trouve ce fil ? peut on le retrouver et si oui o=ù ça ? pêut-on retrouver ce fil ? où peut-on retrouver ce fil ? où ce fil se l:oge t-il en nouqss ? et d’abord ce fil ... se loge -t-il en nous ? comment faire à présent pour trouver (ezn nous) ce fil : é chappé ? où se trouve til au juste ? nous cherchons à retrouver ce fil, à comme renouer ! nous cherchons ici à retrouver le fil qui va pour ainsi dire de la bete en soi à la paroi du temps, retrouver l’image de soi, la figure juste et précise, l’effigie qui soit ressemblante , et pour cela, nous grattons la roche, nbous poussons la chan,sonnette sur paroi, nous faisons cve que nous pouvons; : en pure perte et que cela ? que perte de temps et de soi ? nous cherchons à renouer avec le temps passé et donc avec (ici) cette chose d’un lien qui autrefois (peut-être) existait(direct) entre la b ete au fin fond de soi (logée) et la paroioi du temps qui était cette roche (dure) de grotte, : comment s’y prendre ? comment arriver à cette chose, et d’abord sous les mots où trouver la bete ? sous ces mots qui sont les nôtres peut-on relmigieusement ou sciemmùent ou inciddemment ou comment, retrouver la bete qui se loge en nous, nous fivcche le grappin dessus etc, nous voulons cette chose, ce que
nous voulons est cette chose, ce que nous cherchons
, ce que nous espérons, ce après quoi nous courons, etc, car nous avons cette ambition, cette ambition ici est nôtre, ce que nous voulons ardemment, cela que nous voulons le plus et cela apres quoi nous nouys échinons, etc, cette chose est celle ci , est cette volonté, pour ainsi dire, de chercher ensemble, au sein de latribu, une manière printanière, contenue, soutenue, vivante, allègre, de trouver ce fil ténu qui reliait la bete en nous (vie) à la roche xdu temps, amen
6/5/2021
l’homme ici est devenu cet animal, ou cet etre parlant qui a, caché en lui, l’animal = vie, qui, jusque là, présidait aux destinées, l’homme que je suis est celui-ci qui a en lui un animzal = vie, mais cet animal est comme (il semblerait) caché «derrière», derrière le langage dit «articulé» qui m’a de fait été inculqué dès mon plus jeune âge et qui à présent a pris place et ne peut plus etre délogé , or en moi la beete est toujours présente, qui cherche à sortir et se jeter sur roche c’est une évidence, en mon sein réside (encore ?) une bete de masse, une grosse bete d’injure vivace, une grosse et grasse bete de sept lieues qui cxherche à sortir sa tete bovine ou ovine ou autree par ma bouche oouverte en lieu et place d’un langage, langage de tete, de pareil langage dit «articulé» inculqué dès ma naissance, l’animal (vie) cherche ainsi à sortir sa tete mais comment ? il cherche de toutes ses forces à sortir sa tete, ovine, bovine, porcine, caprine ou autre (tête de cervidé ?) et cherchant il outre passe son pouvoir qui est de se loger de fait sans plus de brutalité en mon sein, alors que là, il ( l’animal) bouscule mes entrailles (= l’intérieur) car il renacle et trépigne, il rale et rage, et ce n’est pas sans me poser quelques désagréments, car, la bzete se sent à l’etroit, la vie-bete est à l’étroit et trépigne en soi, qui voudrait voir le jour venir, voudrait sortir ses bois ou ses cornes ou sa crinière, elle est prise dans un sas organismique qui l’enferme et la tient coincée, elle veut de l’air, elle veut sortir la tete de l’enclos de l’organisme, elle est ainsi en soi (en moi) qui veut sortir de moi et s’en aller brouter de l’herbe ailleurs, dans l’encklave pariétale d’une roche de paroi de grotte souterraine de la préhistoire par exemple, elle cherche à se réveiller, à glisser ses cornes doucement uo brusquement mais quoiqu’il en soit à les sortir coute que coute, car la vie (l’animal) a besoin d’air, de cet air de la roche dure du temps, elle bveut sortir sa tete, et voir du pays de roche, elle (vie) veut (a envie de) sortir sa tete de ma bouche ouverte, et cela ainsi : pique que tu piqueras, en une sorte de tressage de fibres diverses, ovins, caprins, cervidés, vbovidés etc, qui forment à eux tous cette lance ou pique de verbe à percer, cette lance à percer qui est du verbe-bete racé, qui est censé pouvoir piquer la roche, creuser loin, faire cette chose d’une sorte d'incursion - immixtion en paroi, etc, cette bete en moi qiu autrefois n’étaiyt pas vraiment gênée par du langage articulé (de bouche et de tete), qui autrefois pouvait sans peine se dégager à l’envi de mon organisme et creuser la roche, traverser ce temps pariétal de la roche ornée, autrefois la bete-vie en soi pouvait naviguer et passer dun corps d’homme ou de femme à une sorte de roche adjacente mais, à présent, voilà la chose, les mots de l’homme ou de la femme sont indécrottables, une maladie chronique, une installation permanente, une occupation séculaire, une prise en otage , etc du langage en soi et voici la vie qui est à l’étroit en tant qu’elle est, à présent, comme bornée = limitée par des clotures langagières qui sont comme des bornes, des sortes de portes fermées, et la bete-vie ne peut s’echapper comme autrefois elle le pouvait, on voit sa tete qui renacle, on sait cette chose d’une bete-vie en soi qui est masquée et contuse, qui est coincée par des mots en soi qui occupent en grand la place allouée, la place ici est un espace-temps en soi (un déroulé) qui est celui-là même que la bete-vie autrefois occupait pour se lover en soi, en son corps de soi, en ce corps à soi qui est ce corps «d’occupation» langagière et à présent tintin : la bete-vie est comme coincée dans un coin et l’espace est pris en moi, en soi, par une langue apprise , inculquée, et impossible à désaprtpprendre, et voilà l’animal à cornes ou à bois en soi comme relogé, recalé, ou comment ? il ne peut plus sortir sa tete, il est pris dans la nasse langafgière et coincé dans ses étirements ou mouvements, portion minus, rangement dans un coin comme d'un reliquat embryonnaire ainsi conservé en notrte organisme, et il s’agit d’une bete-vie tic-taquante : coeur ? la bete-coeur ? qui est donc cet organe animal de race, qui , autrefois, pouvait aller-, venir, gambader = sortir et re venir en des allées-retours de type passagers et transitoires, quand à présent la chose est devenue plus compliquée voire impossible du fait que voilà, la langue en soi occupe pour le coup la majeure partie de l’espace mental et coince notre bete, l’empêche de sortir sa tete, ses tetes si elles sont plusieurs, leurs tetes de betes de corps, betes-vie de race humaine;, qui ici en moi (= soi) sont celles-là qui font que nous pouvons (pouviiiions) aller sur roche délo ger le V, le V de Vérité des temps mais à présent comment ? car, nous sommes envahis en nous pazr une masse langagière qui est animale (aussi) et s’impose sur roche comme animalité «de paroi rupestre», mais voilà : ce qui est sur roche n’est pas cette vie-bete incorporée, elle en est l’extraction représentative mais non point la figure ou matrice originelle, car la figgure / matrice originelle est bloquée à quai pour ainsi dire, le passage est obstrué par en nous des verbes,, des phonèmes, du verbe vif , qiu sont cela qui sort de notree bouche et obstrue la place autrefois laissée vacante, mais en vérité autrefois était-elle aussi laissée vacante que ça ? nous ne savons pas, nous cherchons à comprendre ici l’origine et le déroulement des phénomènes et en effet il se peut qu’autefois la place en l’homme des cavernes était laissée vacante ou pas loin de l’etrte, place pour une incursion cordiale animale en soi, ou comment décrire pareille incursion ? car vie-bete en soi est une sorte d’image votive, changeante, qui coupe-tranche (sec) la joue de l’homme, depuis l’intériuer de son orga nisme, et ce faisant en arrive à sorti-r sa (ses ?) tete(s) et graver la roche sous emprise,
l’homme ici (sous emprise) étant pris à partie,
et voiilà ce qui arrive icii qiui est cette chose, comme quoi une bete (vie) en soi, a vu sa place rétrécir du fait de l’invasion en soi d’une langue acquise, langue humaine culturelle, qui est devenue dès lors «la masse de roche» qui a pris place, en nous, de manière expônentielle au fil des années, des sièckles; etc, il est juste de comp^rendre cela comme quoi je suis, en vrai, cet homme au verbe haut et qui obsrtue passage à bete (en moi), qui voudrait sortir, aller, sortir de moi et aller sur roche se fixer et donner de son etre à, ici, la temporalité prairiale , etc, il s’agit de voir cette chose comme quoi en moi réside (résidait ?) la bete des prés , des prés adjacents, des prés de paroi, etc, qui pouvait à loisir sortir de moi et gambader sur roche, roche de grotte, et montrer son élan, élan de vie, qui rassurait et nourrissait la mort, or à prrésent il n’en est plus ainsi, la faute au langage de base, à la langue-verbe, à ce salamalec , à ce salmigondis, à cette saleté» de langue acquise ou comment la nommer, qui a pris tout ou quasi de cette place, qui a pris ses aises en nous, quasdimeznt la «place» ezntière en nous et a poussé la bete-vie dans un recoin pour ainsi dire de notre organisme, voilà ce qui est, et du coup la mort vient nous chercher, nous pousse de côté, nous fait du gringue, etc, il faut comprendre cette chose comme quoi autreefois la bete contenue en soi avait, de fait, de l’espace pour déambuler et pouvait sans peine sortir et se poser sur roche afin de satisfaire les envies (de vie) de la mort à l’oeuvre, aujourd’hui niet, aujourd’hui il en est tout autrement, la mort nous guette, veut sa part de chair vive (de vie tout court) et pas du semblant ou comment ? car, car en vrai il est ainsi que nous voyons parfaitement que la mort est devant comme une sorte d’affamée qui se léche , pourlèche les babines, et nous de prier qu’elle ne vienne pas de sitot nous manger tout cru et tout nu alors même que nous nous nous sentons comme pas prets pour nous ainsi laissr pour ainsi dire dévorer, nous nous sentons verts, nous nous sentons comme des enfants qui ne savent pas aswsez de choses et ne sont pas sûrs de leurs options, nous nous sentons comme encore tendres pour l’opération et pas suffisamment en jambes, alors de grâce (on dit) , s’il vous plait (nous disons) , moonsieur ou madame (nous parlons à brûle-pourpoint)
de grace laissz-nous en vie, n’attentez pas à notre vie, laissez nous aller en vie, marcher et courir comme des cabris, merci d’avance, car nous sommes ainsi qui nous sentons jeunes pour l’opération, nous nous sentons vrraiment méga-jeunes et ne voulobns pas aller de sitot de l’auttre coté de la roche ou de l’après roche (deuxième rideau) : certainement que non ! car nous sommes jeunes comme jouvenceaux de roche dure, tendres comme des boyaux, etc, nous cherchons encore voie d’accès en rocxhe, pour cette chose d’une sorte de compréhension des paramètres animaux, qui est qui et qui fait quoi , qui porte le verbe, qui a le verbe, où est le verbe, où est donc la vie trépidante, où se loge en nous le (les ? animaux (animal ? ) ,
nous voulons en savoir un rayon et voilà notre ambition ici découverte : nous voulons savoir ce qui est entre le verbe de paroi (ces effigies animalières pari»étales) et le verbe de coeur, ce tic tac de base marquant (de fait) l’influx vitazl animal en nbous (profondeur des viscères) , nous cherchons à comprendre les enjeux de ^place (notamment), cette chose des enjeux ici, qui sont ceux d’une vie d’homme, de femme terrestre, nous essayons de voir le pluys possible et le plus loin possible afin de «comprendre le plus» de toute cette affaire de place en soi, qiu autrefois fut ceci et aujourdhui cela et aussi, s’il y a eu des change ments au fil du temps, car la question centrale est là située, il nous semble ici que la question cruciale, centrale, est ici logée, en cette interrogation de roche, à savoir qui ;
qui a fait cette chose d’une sorte de mainmise, sur soi, de la parole ? qui ou quoi, car on voit cette chose ici, que la parole articulée sous forme de langage fait de mots, est une chose qui (peut etre) n’a pas toujours été, et la question pour nous est à ce niveau, se loge en cet endroit qui pour nous est l’endroit qsui est cette chose comme quoi on a, d’un côté des mots et de l’autre, un battement de coeur, et comment les deux peuvent cohabiter ou bien comment autrefois les deux choses cohabitaient , en xd’autres termes : les hommes anciens (des cavernes) avaient)-ils des mots pour se sartisfaire, aklller en roche, sortir d’eux etc, comment faisaientils ? értaient-ils munids d’un appareil en eux pouvant les faire sortir d’eux , et si oui lequel ? nous cherchons dees reponses à des questions vives, brutes, natives, il s’agit pour nous de comprendre la chose d’une vacuité (en l’homme) éventuelle, c’e’st à dire ici d’un contenant qui fut autrefois occupé par la bete en vrai, une étrangère, et p;lus tard dans l’Histoire, par des mots de tete indéboulonnables, etait-ce le cas ? a t on eu cette chose présente dans le tezmps ? a t o,n eu cette chose dans le temps d’une sorte, en soi, d’outre, qui pouvait en vrai etre rempli pour ainsi dire par de l’animal, ou bien par des mopts ? en d’autres termes : l’homme des cavernes parlait-il un langage en lui ibndéboulonnable comme le notre, ou bien était il porté par la voix de son maitre de vie, à savoir la bete en lui, bete navigante, pouvant sortir de lui et s’offrir en offrande de roche et donner matière à «contentement» à qui vous savez ? peut-on avbancer
cette chose de dire
comme quoi nous avons ou nous aurions en nous un espace de vacuité (une outre) qui est celui là qui autrefois contenait la bete forte-fauve en soi (dessins sur roche) et à présent, ce que nous avons = des mots de paroi, des images-figurines de formats divers, d’approche plus ou moins rustiques mais enfin, voilà ce qui est, cette chose eswt là qui nous regarde, qui est oeil de roche etc, mais, où sont les betes en vrai en icelle roche à présent ? où sont elles passées ? où ont elles disparues ? que sont elles devenues ? nous cherchons à comprendre comment donc faisaient les hommes des cavernes pour communiquer entre euxx ? chantsq ? bruitsq ? signes ? langage gestuel ? prises de bec ? misanthropie ? nous cherchons à savoir, bnouys sommes loin de savoir, bnous voulons savoir mais nous sommes loin de savoir, or notre ambition est d’en savoir long, de comprendre loin, de connaitre plein, de trouver des réponses, de trouver les motsqui conviennent pour savoir ce qui se tramme, etc, nous sommes chercheurs en roche de grotte et cherchons des vérités en nombre à numéroter, car nous sommes archivistes et spécialisés dans l’approche pariéto-frontale des choses du monde et voilà ce que nous voulons, nous voulons savoir, nous voulons comprendre cette chose qui est que, de fait, nous abvons foi en cette parole que nous proférons, nous voulons comprendre ette chose comme quoi nous sommes (on le voit) qui avons la foi en cettye chose que nous disons nous-même comme pazr la bande, nous voyons cette chose ici allouée comme quoi nous parlons avec en nous la foi dans les mots que nous employons ou sinon comment ferions nous ? nous ne pourrions pas parler, or nous parlons « par coeur» pour ainsi dire, et les mots que nous employons sont chargés du sens auquel nous croyons au fur et à mesure (etc) et cela est indubitable, nous sommes toutes et tous à employer des mots auxquelks nous donnonbs (il s’agit d’un don), de fait, du crédit, et ce à notre insu pour ainsi dire, la chose s’est placée en nous de la sorte au fil du temps, nous portons des mots auxquels nous croyons, auxquels nous donnons du crédit = notre foi en eux, etc, et cette foi est la foi du coeur, c’est à dire du par coeur, de l’inoubliable, et la foi du coeur commande et préside aux données de roche,
autrefois la foi du coeur était animale, avait les traits d’une bete «de roche»,
c’est à dire ovin, bovin, caprin, bovidé ou cervidé ou autre, le mammouth, l’aurochs des prés était en vrai notrte ami divin, etc, aujourdhui les motsque nous disons sont porteurs de cette foi de coeur qui est (de fait) animale en soi mais ne se montre plus )à proprement parler sous ce jour tranché, vif et direct de l’animal montré , voyant et posté devant soi, nous avons en nous la foi en des termes
qui sont termes de paroi, nous essayons de comprendre des données de roche sous le jour (ici) de la foi dite «cordiale», ce tic tac de roche vive, ce tic tac vif de roche dure, etc, nous voulons essayer de comprendre cela que nous sommes, nous essayons de comprendre ce que au juste nous serions en cette roche de la base pariétale des confins et cela est cela comme quoi la foi préside avec aujourdhui du verbe franchement articulé quand, autreefois, la foi présidait tambien mais avec des figures-matrices, des betes de roche sorties de soi (chamanisme) qui allait sur roche porter la «bonne parole», ainsi étaiit-il ou en était-il, car la betye sur roche était dépot qui était censé soulager la mort dans ses en,vies (avides) et impulsiuions diverses,
nous pensons cette chose ici comme quoi la foi (dans les mots : pour nous = le par coeur) a toujours présidé depuis les origines, chapeauté les choses de roche, nous pensons que cette foi (en des mots , en des betes en soi) a toujours commazndé les choses du monde, et l’homme des cavernes , pôrtait en lui cette foi envers des betes en lui comme nous aujourdhui nous portons créddxit aà des mots (des sens) en nous qui font que le langage articulé est de fait devenu ce quil est pour nous aujourdhui : une donnée de base indécrottable avec laquelle faire avec, de gré ou de force, en l’occurence de force, car impossible d’oublier (et de se débarrasser) paraeoil langzfge (de paraeil lan,gage, de pareille langue ou idiome) : le pli est pris, eh bien pour lm’homme des cavernes il sepourrait que la chose fut la m^$eme mais non point avec des mots appris par coeur, mais avec des matrices (animales) contenues en soi comme des organes (de vie vive) à pouvoir extraire de soi et porter à la vue de qui de droit (ezxactement comme des mots), et comment cette chose ? eh bien , nous ne savons pas , nous ign orons ma is le fait est là que la place (l’outree) en l’homme exciste et a existé de tout temps ... mais sous quelle forme du temps des cavernes ? nous l’ignorons,;, nous ne savons p)as, nbous subodorons, nous pensons à des choses que nous disons, nous tirons des plans sur la comète, nous échafaudons des stratagèmes, des architectures mentales, etc, nouys avons envie de savoir ce qui est et ce qui étaitt, nouds voulons comprendre le plus loin possible en cette chose d’un emploi n,atif de la foi en n ous, car la foi est le point focal on le voit, inutile d’en douter, la foi est le point pile, d’achoppement brusque, nous avons cette chose en n ous, d’une question concernant le foi en quelque chosze, et cette foi en quelque chose est l’outre, voilà ce que c’est, l’outre (l’outrage) est cette foi dont nous parlons, c’est à dire la seule qui ait du pioids
c’est à dire la foi de force, la foi conditionnée
indéboulonnable en wsoi, c’est à dire un apprentissage (foi inculquée et le pli est p^ris) etc, nous pensons que l’outre en nous est la foi et que l’outre est ce réser voir à dires divers, à façons de faire diverses, ou à d’autres choses, enmmagasinnées par la bande , de force et comme à nottre insu, collage par contiguité, rapprochements de particules, décollage de paroi et encollage dans le sein, prises de positions rupestres, allers et venues entre la roche et soi, la foi est un animal de roche ! qu on se le dise ! la foi est un animal de roche ! c’est à dire un occupant, l(occupant de l’outre en soi, de l’outre tombe en soi etc, nous voulons comprendre ce qui est de cette foi-outre, de ce foutre-dieu qui nous tend les bras
et nous parle son langage de prairie via
la figure des betes qui ornent la roche,
nous voulons savoir des choses concernant pareille foi de la rochev du temps, pourquyoi et comment, qui préside, qiu dit quoi, comment savoirr, où aller, que faire, que donner, quoi dire, quand finir, où sombrer, avec qui charhger, que dire à l’envi, qu’en penser, que jaillir ? etc, nous disons queb cette chose d’une foi (douce) d’outre, est une foi qui est logée, qui a une place acquise, indéboulonnable comme une langue, car la foi est cette chose qui est incrustée comme un organe ni ^plus ni moins, et avoir la foi c’est comme avoir un foie ou une jambe, même combat et meme indubitabilité, car la foi en nous a été importée qui se loge en nous à) la manière d’un organe (organe vital ?), car la foi-outre en nous est cet organe animalier qui a eu contenance animale en sus, ou commùent dire ? qui auteefois avait pour elle (contenance) cette chose animalière de principe actif, aujourdhui moins, car, les mots ont essaimés qui ont pris la plus grande partie de la place , se sont étendus (étooffés) et ont bougé la bete dans (vers) une sorte de coin à l’écart qui la voit du coup se rabougrir et sécher sur pied, les mots s’étzalent (en outre) et prennent la place vacante, occupent ce vide, et les betes sont poussées qui se trouvent rangées, mises de biais, comme écartées, troubvlées, etc, il s’agit de cette chose comme quoi la bete en bnous (la vie) est toujours présente mais son effigie a p^ris un coup dans l’aile et ne se montre plus à même échelle, il s’agit de voir cette chose comme quoi une bete préside (toujours) en nous (notre gouverne et notre gouvernail) mais n’est plus cellec là qui sortait de nous, à l’envi (la transe) , et allait sur roche sereprése,n ter et parler pour nous à la mort de bouche (= alentour), la mort est à l’écoute de la foi que nous portons , la mort est toujours à l’écoute ,
de cette foi contenue en ous (outre)- et que nouys portons jusque sur la roche, les mots employés sont portés en nous par on ne sait quoi qui est caché mais qui s’appel:le «foi» sous nos latiitudes, et cette foi = vie = bete des champs et des prés, = ovins ou cervidés etc, cette foi est logée en nous dans l’outre de notre organisme (prairial) de cettee chose en nous qui est du vide, du vide à combler ,
soit par des betes , soit par des mots (mots-betes) soit par quoi ? la foi est le terme employé couramment ou le plus couramment, pour nommer cette chose qyui remplit ici ce vide de l’outre, c’est à dire un c ontenant qui est en nous cette cxhose qui préside = la vie, car la vie en nous est ainsi qu’elle contient cette chose d’une bete fauve qui rugit et cherche une issue à sa rage, etc,
nous vopulons savoir ce qui est ici en matière de langue / bete de roche, ce qui est qui a changé au fil du temps et qui était du verbe animalier, de l’image, de la foi en cette chose d’une image, en soi, ru gissante, ou sinon d’une ima ge, d’une prése,nce, d’une rugissante présence en soi, etc,
nous voulonbs croire en cette chose d’une sorte de présencec rugissante en ous , qui présiderait à nos activités diverses,
nous pensons que nous devobns
aller loin en pareille contrée rupestre, creuser au plus profond et ne pas lambiner car le temp^s pressse qui nous pousse (vite fait bien fait) à bout, au bout,
comme des eznfants ici qui jouent à faire semblant, qui jouent à des jkeux de rue, de branche, de grotte, etc, nous voulons savoir ce qui setrame ici sur pareille quesrtion relative à des données de roche brute, bnous voulonbs savoir ce qui est ici (outre) qui se dessine comme en intra et rejaillti sur rocxhe à la manière d’(un crachat, d’une jetée, d’un jet de bave, etc, nous essayons, nous vopulons comprendre, car la foi en nous est cela que d’aucuns appelent vie, c’est à dire : le par coeur sensible ou sensitif, cette chose d’une sensibilité naissante à la vie de roche, etc, nous essayons d’akler jusqu'en ces profondeurs pour ainsi dire de «la pensée dure de la roche dure», nous voulons de fait comprendre loin car, notrte ambition est de comprendre les ressorts ou les arcanes les plus souterrains ou souterraines (?), nous cherchons à savoir ce qyi est qui préside aux destinées rupestres de cet homùmùe des cavernes, que fait il lorsqu’il dessine ici, sur roche, des aurochs, et vque pense-t-il à part lui ? nous pensons que la pensée de l’homme des cavernes ets une sorte de pensée, proche de celle de la bete, mais en vérité nousq n’ensavons rie,n nous subodorons, nbous pensons que la pensée de l’homme des cavernes est une sorte de pensée comme marquée par la présence en lui (vitale ! il s’agit du coeur) de la bete de somme, de ces betes de somme ou de charge, ou bien même de ces betes à bois qui sautent dans les sous-bois, nous penqsons que l’hompe des cvavernes est cet homme qui en lui contenait une pe nséev particulière, faite de données rupestres, cognitives, cventrées sur un point, pênsées offertes sur paroi comme effigies-offrandesq, la pensée de l’homme des cavernes était «alimentée» vpar des phonèmes gutturaux qui (pour ainsi dire) mimaient des scènes, nous pensons que l’homme des cavernes explorait le monde à sa façon vive qui voyait en lui aller et venir des betes de poids, soit qui pèsent et, du meme coup, en imposent fortement, il s’agit pour nouds de penser «la pensée primitive» si jamais, quelle pouvait-elle bien etre ? nous bvoulons penser cettre chose, d’une donc pensée primitive, naissante, neative, naïve, sortant de l’ oeuf, mais quelle est-elle donc ? notre ambition est de comprendre ces données de base, cette chose ici d’une pensée native, naïve, naissante, née de dieu sait où, qui est (ou qui serait) cette pensée -foi, ou vie-bete allouée, battements du coeur alternatifs, etc, notre but est de com^prendre les choses du monde rocheux à la lumière de la chose brute, naissqante-nzaïve, d’une vérité de l’outre,; or cvomment ? en passant en revue les betes de roche ? antilope , renne, cheval, bouquetrin, ours des cavernes, lion des cavernes, cerf, bouquetrin, mammouth, bisions, buffles etc, ? il s’agit de prononcer les mots de l’outre, il s’agit toujkours de probnoncer cesb mots de l’outre monde animalier qui est ce monde outré (outrageant) qui en jette beaucoup du fait de sa viçtalité native, nous disons dès l:ors que la foi est l’organe des sens, il faut comprendre ici cette chose, comme quoi la foi est un organe, un foie pour ainsi dire, logé (outre, en soi) qui contient dès lors ce qui convient pour une sorte d'extraction de soi vers la roche, c’est à dire que la foi en soi est cet organe de poassage d’un corps à un autre,
la foi est de fait contenu, en otre organisme, comme une sorte de chose logée, organiséez, commeznt dire : logée-lovée, en nbotre sein d’outre etc,
la foi est indécrottable comme la langue est indécrottable car la foi est la foi dans le langage (quon le veuille ou non !) et ne peut etre anéanti comme d’un coup du sort ou autre, la foi est indéboulaonnabkle ! il faut savoir cette chose, comme quoi la bete sur roche était cette chose pour le coup d’équivalence aux mots actuels qui sont mots inculqués indétronables, des içdoles (les voilà !) qyui ne peuvent etre effacées de la carte corporelle car ils sont ou elles sont (idoles) qui sont incrustées cvomme (même) gravées des matrices, il faut ainsi comprendre cela comme quoi la gravure, ici, est interne (en soi) et externe (en roche) et communique ! oui ! car l’hommpe des cavernes a (possède) en lui une sorte de «matrice de joie», qui lui permet de naviguer depuis son organisme (terrestre) vers la roche de paroi de grotte et son au-delà pariétyal (fait d’embruns, etc), nbous avons compris cette chose comme quoi les mots sont logés ici à la même ensieigne que les animaux, seulemen,t voilà, les mots ont peu à peu (dirons-nous) gagné du galon, pris de plus en plus de place, et la portio n réservée à la bete a peu à peu pris un coup dans l’aile (portioon congrue) ezt voilà par conséquent la bete qui (en nous, aujourdhui) renacle et vitupère et hurle et pleure et crie et insulte et jure ! jure que tu jureras ! jure de chez jure, etc! ,la bete en nous est comme masqué vpar du verbe de foi, on peut comp^rendre cette chose d’une sorte de bete qui s’est faite petite (au fil du temps) en nous (outre) et voilà ici la chose expliqUée, commùe quoi, le mot de la foi, est le fin mot du fiin fond de l’homme (outre) et ce mot autrefois navigait (toujours ?) de la terre à la lune pour ainsi dire : de l(organisme humain (cette grotte) au monde pariétal de la roche dure , de pareille roche du temps qui est roche dure, compacte, éternelle,
nous pe nsons que pareille pensée a des racines ici qui sont profondes et restent à regzarder, toutes, de plus près, restent à explorer , à étudier, il sembklerait ici que des racines sont à étudier et cela est très intéressant pour l’avenir de la pensée, il semblerait que ici des racines ont pris qui seront ultériuerement à étudier de plus près afin de mieux cerner les tenants et les aboutissants de toute cette affaire d’homme des cavernes, d’art pariétal, d’art tout court, car ici l’art est donc ce passage d’un monde l’autre, cet élan de joie entre deux mondes = ce saut,
le saut (le passage) est l’art de l’homme des cavernes,
si un art existe en soi le voilà : saut d’une bete-vie vers table ou paroi d’offrande, un dieu regarde et apprécie (ou pas) le don déposé, il s’agit ici d’une chose dite «en déposition» qui est censée rester sur place mais pas tout le temps, des allers-retours sont prévus qui verront la chose allerf et venir entre la bouche ouverte de l’homme (chandail ? ) et la bouche ouverte de la mort en roche (chandail ?) , nous chertchons ! le but ici est de comprenxdre les données du monde (adjacent) qui ezntoure l’hommen, qui est ou fait cercle,
nous voulons connaitre les choses telles que à l’origine elles ont pu advenir et pour cezla nous nous penchons sur des questions rupestres, d’ordre pariétal, questions liées à des allers retours entre la roche ici préhistorique et le coeur de l’homme outré, ou comment dire ? o n sait cette chose, en cxsoi, d’une loge (animalière)) censé devoir pour le coup recueillir , pour sa gouverne, une langue maternelle, on a cette chose en nous, qui est une outre (pour ainsi dire) capable ici de recevoir, pour kl’eternité de la vie, une langue offertte (par la bande) à lza naissance, cette langue est animalière de constitution, c’est àà dire que cette langue est un animal, une cohorte animale ou animalière pour ainsi dire, qui fait son chemin corporel de développement, comme tout orghane en soi fait pareillement son propre chemin de vie pen,dan,t la conception puis laformation de son etre, on sait que la langue d’un homme est un bloc de givre, sensible et plein (non creux) et que ce bloc est une masse impressionnante (= qui en jette !) et par conséquent à même d’ettre proposé, sur roche, à la cantonade (comme une insulte ou un juron) , l(homme des caveernes connaissait en lui cette existyence d’une bete-mot en devenir, bete-mot qui navigaiit pour ainsi dire d(‘un lieu l$’autre, et pouvait de fait se loger sur rochre (impression) puis retourner, fissa, au bercail (outre sensible) , nous pensons que cette chose d’un sens -foi, en l’hommê, était autrefois comme imagé, nous avons en nous ce sentim-ent comme quoi autrefois la bete était en nbous, qui commandait et «faisait» pour nous, pour ainsi dire (nous étions doublés) quand aujourdhui il semblerait que «tout» nous incombe et que nous soyons seuls en nous or nous ne sommes pas seuls en nous, nous sommes plusieurs, nous sommes nombreux, nous sommes juxtaposés, nous sommes accolés comlme brebis dans un troupeau, car nous sommes une somme = un troupeau de betes conjointee, etc, nous savons cette chose comme quyoi la bete en moi est bete de poids, qui cxherche à sortir sa tete, bete supérieure du fait de sa masse (corporelle), de son entrain vif et de sa ressemblance de fait acv-vec l’hommùe , nous sommes ainsii ici occupés par en nous une foi qui a pour nom bete de joie qyui est bete de foi (tout autant) et alibi, et chose à offrir, et capitale, etc, cela est cette chose en nous que nous sommes heureux de dire, cette chose en nous que nous sommes heureux de montrer, cette chose en nous que nouys sommes heureux de poser etc, il s’agit d’une effigie qui représente ici la bete contenue (ou l’une d’entre elles) et cette effigie est forte, rebelle, dure à l’effort, coriace, tient debvout, et résiste aux coups du sort etcx,
nous chercghons à comprendre les liens qui peuvent ou pourraient unir les mots-betes d’autrefois (de l’homme dees cavernes) avec ... cette chose de ce jour, qui est donc le verbe de bouche et de tete,
nous cherchons à comprendre les liens qui autrefois pouvait lier, l’homme des cavernes à ici sa roche, et aussi les liens qui existent ou existeraieznt entre eux et nous , à savoir entre le mot-bete de cet hommae par exemple de l’aurignacien et le verbe de tete sensible (porteur) de l’homme d’aujourdhui : y a t il continuité entre ces deux choses ? que penser de cette chose ? nous voulons comprendre ce qsui est ici de toute cette chose d’un verbe natif, de mots-animaux dits «de foi», de coeur d’outre, d’outre-coeur de la vie de roche, etc, la chose ici est celle-ci, qui nous voit aller et venir en roche comme des betes sur la prairie, armés de nos mots-betes de paroi duure, a rmés de nos mots de roche, de ces mots -vie qui sont ceux là qui, de fait, nous constituent, nous voulons graver nos noms dans la roche, dans la profondeur, nous avons (portons) des noms qui sont comme ancrés en nous et sont des attributs, ici, de vie pariétale et voilà ce qsue nous disons à kla canto nade ,; à l’adresse de la déité) , nous disons : «va te faire ...», etc, nous disons des mots gros comme des aurochs, ces mots sont des choses de poids, qui font de l’dxeffet, qui jetent l’op^probre etc, nous avons en nous (foi) cette chose du mot gros-gras qui s’impose de soi comme une onde de choc, nous penswons que nous devons aller, ainsi, en roche, porteurs de mots de type insanités, c’est à dire de forte densité en matière d’impression faite sur une couvée ou sur une déité etc, nous vboulons faire ainsi, cette chose en roche : insulte à l’ennemi ! sus à lui ! cet «en.. de mes d... » qui nous peine fort, nous ne voulons pas de sa gouverne, nous voulons sortir de ce schéma de vie qui est rempli de verbe, nous voulons retrouver ce schéma xd’autrefois qui était celui de l’homme nous dirons guidé, guidé etb vsecondé, secondé et pris d’assaut, gouvernéc par la bande en lui qui présidait aux destinées de son étant et de son allant en roche sur pa roi ornée, nous vopulons reveznir au sta de initial et mieux cerner les choses du monde et pour cela nous avons cette chose à devoir comprendre, ici, et cette chose est celle ci, comme quoi nous devons aller en roche pour savoir, pour nous initier, pour connaitre le fin mot, pour comp^rendre les enjeux et les donnhées de roche dure : qui est qui et qui fait quoi ? voilà la chose ! nous devons nous initier ensemble à ce jeu de la foi en des mots de roche inculqués, qui sont habitants d’un outre cordial (ou d’une outre cordiale) et ce faisant gravir les échelons de la lévitation, monter haut de plus en plus, creuser son conduit, son passage-territoire, etc, no tre but ici est de faire cette chgose d’un treacé cheminal qui irait de là à là , qui serait celui d’une sorte de passage de lieux divins, qui serait ce pâssage d’un lieu corporel cordial à un lieu rupestre pariétal, etc, nous voulons savoir ce qui est qui nous regarde, nous tend les bras
, nous voulons savoir des choses, nous voulons comprendre des choses de roche, qui est qui ? qui fait quoi ici ? commùent se blottir dans laroche ? qui peut nous aider ? l’aurochs du roc ? l’(aurochs de paroi ? l’aurochs sorti tout droit du sein maternel ? l’aurochs en xsoi logé qui chercxhait issue et l’aura trouvé ? qui peut dé»cemment et simplement nous abnnoncer ici la couleur ? comment ? par une injure ? un mot gros de l’enfan ce ? qui est qui pour dire des gros mots ? nouys parlons un langage fait de mots qui sont des betes qui sortent de l’antre ou de l’outre (ou de l(Autre ? ), nous parlons un langage d’initiés, nous ne parlons pas un la,ngage universel, nous pârlons une langue clanique, ce que nous disons nous appartient à quelmques uns, nous ne connaissons pas de langage articulé qyui serait universel, ce que nous connaissons exst une langue d’hommes entre euyx, qui échangent entre eux des notions co nnues par eux qui sont à l’intérieur du clan et parlent un même langage et celangage est langagfe de foi en soi , c’est à dire de foi en son propre langage (sens des mots ezt émotivités liés à ce ou ces sens), l’homme des cavernes est ainsi muni d’un appareil dit langagier dit animalier car en lui est (existe) une ou plusieurs betes qui sont à même de sortir physiquement de lui et d’aller en vie se poser sur roche et s’offrir ainsi (à la place de l’homme) comme en holocauste ou disons à cette chose du devant qui hèle et en appelle bruyament ,
à être comblé (car cette chjose est trou, trou de bouche tres certainemùent) ,
l’homme des cavernes lache de lui ou depuis lui des betes renouvelées (cohorte) vivante (encore) sur roche, et ces betes peut-etre sont gobées par une bouche séculaire postée sur la roche comme chè vre sur son monticule, son perchoir, nous disons que nous devons comp^rtendrte une chose encore ici liée au verbe contenu dans l’hommùe des cavezrnes, quel est ce verbe, de quoi est il fait,n, de quelle foi est il porteur, d’où vient il et où va t il ? est il de l’ordre des verbes ambulants ? nous cherchons cette chose encore entre nous, nous voulpons cvomprendre les données (existentielles) de base et aussi en avancer sur ce chemin (long) de la connaissance, nbous vouloons aller loin et emmagasinner lec plus de données possibles, car on voit cet homme aller et venir sur roche et en elle, et à nous de comprendre kles dfonnées présidant ici cette incursion-immixtionb de l’homme des cavernes, car, des mots sont prononcés, desmots sortent de sa bouche , nous savons car nous voyons, de sa bouche, des mots qui sortent, mots de la foi dans les mots, ou mieux : mots de la foi intrinséèque des mots dans les mots, car la foi ici préside comme pour nous (tout pareillement), à la différence qu’ici les mots sont des animaux, des betes xde poids qui cxhargent sur roche et en imposent et fopnt figure de vies vives déployées et déposées sur une roche comme sur table et donnent d’eux ou d’elles à qui veut s’en saisir , ou en saisir l’extrème- outrage, etc, nous pensons que cette chose ici , d’un dire outré, outrageant, nocif, risqué, glissé par contrebande etc, est chose de poids : aurochs ou cheval de roche, ours des cavernes ou ourses des cavernes, nous pensons que l’outre- ventre en nous est une poche liée à la foi en quelque chose d’inculqué de force et qui par conséquent ne se discute pzas, il s’agit pour nous d’une donnée brute, d’une sorte en ous, en quelque sorte, de donnée de base , qui, en tant que telle, est censée nous éclairer sur ce qu’il en est de cette chose d’un e grotte ornementé&ecpar des hommes des temps ancien,s, hommes ou vfzmmes au demeurant, et e,nfants, qui tous et toutes offre,nt sur roche un apport de poids , soit une pesanteur (pariéytale) quyi puisse (de fait) nous en donner des tonnes, en jeter des masses, en faire des louches etc, la chose se situe à cet endroit ici d’un faire massif, qui puiisse appuyer sa gouverne de telle manière qu’une déité en restât baba comme deux ronds de flan, le but est de jeter sa gourme universelle, ou comment dire , son allant de roche direct, unilatéral, qui charge droit et ce, quelquesoit la déité qui se présenterait, qsui viendrait nous titiller ou titiller l’homme des cavernes,
nous avons pour nous la chance de pouvoir de fait énoncer ces choses sur roche et donner à voir et à comprendre,
un homme muni dee son verbe de choix fait ici son travail de graveur de roche et ce faisant parle à qui de droit, s’adressant à lui de préférence afin de comprendre en lui ce qsui est qui pourrazit etre un dangerr massif et définitidf;, l’homme ici comprend cette chose d’un désir en lui naissant et c’est ainsi qu’il inscrit (pour ainsi dire) sa chose sur roche, cette foi-voix en lui eanimale, en lui il y a un animal, il y a en lm’homme des cavernes un animal, l’homme des cavbernes porte en lui ou a en lui un animal, l’homme des cavernes ou même moi, je
porte en moi un animal qui est une bete des prés ou des bois, je porte en moi un animal, cet animal est une bete des prairies, des bois ou sous-bois, je porte un animal en moi et cettte bete en moi est en moi en tant que bete occupant une place vide, je suis cette bete en moi, je suiis cette bete contenue en moi dans un espace dédié, je suis une bete dediée, je suis cette betye en moi qui est dédieé à etre sur roche après avoir de fait transité en m=oi (antre ? outre ? ) et aussi apres avoir occuupé en moi l’espasce (le même ? ))- de la foi, je suis bete de roche, je suis une bete de la roche dure, je suis une beyte du temps, je suis une bete logée dans kl’a ntre intestinal d’un homme des c avernes, outre-passé, outre passage, outremont, outre-vent, outre-carrosse, outre-cargaison, outre-voilure en soi, ou comment ? je suis cette bete en moi, qui xcherche à sortir de moi mais qui est elle ? je cxhezrche à comprendre cette cghose d(‘une sorte de bete en moi q<uyi chezrche à sortir de moi mais comment ? c ar les mots s’interposent ! car les mots s’interposent durablmement !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! car ici les moçts sont là qui donc (oui !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!) s’interposent de folie pour ainsi dire ! il s’a git de bien ici co:mprendre cette chose, d’une sorte d’interposition des mots de la langue, de pareille langue de tribu, etc, et cette langue de tribu (de pareille tribu) est cette chose qui empêche l’arrivée plainière d’une bete de foi contenue en nous (anttre, outre) et qui chertcxhe / chercherzait à sortir sa tete, mzis commen,t quand (donc) les mots se placent devant ? nous voulons savoir mais il n’est pas fa cile de savoir, mais enfin ... nous commençon,s à comprtendre un certain nombre de cxhoses ici concernant ces betes-mots que nos mots empechent de pouvoir montrer ou comment dire, exposer à nbotre gouverne, car ils sont bien là mais ne peuvent advenir, du cfait de la présenvce grosse et grasse d»’un la,ngage inculqué en n ous, appris et acquis, qui prend toute la place et gene le mot-bete, pour pouvoir venir montrer swa tete, gene le mot-bete dans son ambition ou son désir ou sa volonté ou sa pente de vouloir advenir sur roche (hors notre gouyverne) et parader là pour une déité à contenter, les mots que nouqs avons en bvouche masquent un paysage, ces mots là (ceux que nous contenons et connaissons) font écran et, derrioère eux, qui grognent, il y a les animaux, porteurs d’eau au moulin d’un foi en eux mêzmes, etxc,; bnous pensons que les mots que nous disons, masquent et cachent des vérités disons animalières, animales de réserve et ces vérités sont logées en nous comme la foi, cette foi qui est «le pendant du coeur», etc, car le coeur est l’organe de la foi dans cette chose (en elle) d’une sorte de langage pariétal outral ou comment dire ? des mots-betes sont sur roche le pendant d’une sorte de foi dans l’homme insérée, foi-bete, foi-vie, qui ssont «les fois» de l’homme des c avernes, dessinant, à main levée, des betes de poids sur la roche du temps, nous pensqons que l’hgomme des cav ernes n’a viazt pas pour lui cette sorte d’écran qui gênait ou pouvait gêner aux entournures, nous pensons que l’homme dees cavernes n’avait pas pour lui de ces choses qui encombrtent la vision et le passage de coeur à roche, comme nous qui avons les mots de la tribu, car, bnous sommes (ainsi) qui avons (pour le coup) des mots en bvouche et en esp^rit, qui sont mots qui genent et op bstruent passage, or pour nous la quesrtion est ainsi là qui peut en vrai se poser, comme quoi les mots font écran et que derrière eux se tient ou se tiendrait un homme des caverbnes en nbous , c’est à dire un homme surmonté, un homme sur lequel viendrait à xse jucher une bête-mot ou un animal-mot pret à jailklir pour de fait se poser (sur roche) illico -preswto, nous ppensons cette chose ici d’unev sorte de mainmise du langage articulé sur une pezrsonne qui serait dès lors cfomme obstruée, ou se verrait dès lors comme obstruée, nous pensons cette chose ici , nous avons cette impression , comme quoi nous sommes obstrué et comme quyoi l’homme des cavernes n e l’aétait pas , et dès lors nous essayons de retrouver un état antériuer mzais comment pûisque les mots se logeznt en interposition et masquent le mot-bete (initial) de roche, dès lors comment faire ? en saturant ! en forçant la dose ! en creusant ! en poussant dans ses retranchements le dire tribal (la langue francçàaise de circonstance ) ! en appuyant ++ sur les données brutes ! en brusquant les sentiments ! en chargeant de force ! en cognant la roche ! martèlements ! martèlements ! martèlement moultezs et moultezx fois réitéréeés, prononcés , frappés sur paroi ! «etcetera réitérés» ! et cela a insi, sur paroi du temps comme il se doit ! nous essayons de (pour ainsi dire) brusquer la phrase nominale françaiose (langue tribale s’il en est) et ce faisant nous essayons de faire ainsi «monter la trace» sur roche (lévitatation) , pour, en vrai, la voir comme se faire , se graver, se dessiner d’elle même et montrer ainsi son contenu en termes de betes de roche = mots-betes de gouverne, et ce sur la paroi du temps, qui est paroi douce ou dure (selon) des temps alloués à une vie terrestre, nous poussons ainsi la chose et posons ainsi les choses d’un dire francçaios, tribal (dire de comité), qui serait une langue qui, comme tant xd'autres lanffgues (toutes ?), masquerait l’arrivée (la survennue) d’une bete sur roche, un aurochs, qui serait ici ce mot de liaison pêrmaettant l’approche de la déité (une approche) et uun parler direct, de bouche à bouche, nous pensons que bnous devons aller profond en cette question ou sur cette question d’une sorte de langue (ici française) tribale masquant ... un arrière paysage = des mots de roche = des betes qui sont mots de roche = répliques = données-dires sur paroi = raisons votives = chants de roche reznouvelés = chants de cour = chants brutaux assénés comme des coups, nous voulobns comprezndre une chose de roche dép;loyée de fait wsur une durée, nous voulons-essayons de comprendre les choses du monde prairial deéployées en roche, via (ici) le dessin de l’homme, sur un temps long comme une vie, etc,; nous avons à peut-être comprebndre cette chose ici d’une donnée brute, langagière animalière , qui serait celle ci qui nous verrait aller et venir d’ici à là =
sortir de soi,
aller dans les confins,
chercher pitance de «vbéritéc animale»,
nous serions qui sortirions de nous fissa et grimperions sur roche (transe) afin de :
toucher latimbale du temps soit du temps déployé, déifié, qui est ce temps
dépourvu de vocables, ou bien ce temps
non encombré qui permet l’ins cription (de base) de la vérité, de la vérité vraie, nous cherchons à ici dépasser la chose en écran et à nous inscrire (sur roche) à la manière des enfants, hommes et femmes des cavernes, qui, hors langue, vont et viennent à travers le temps et l’espace d’une roche ouvertte, nous nous immisçonsen pareille roche, armés de notre pic animalier, nous entrons dans kles confins de pareille roche, nous entrons en cette roche, fissa, comme enfants dans un jeu ... de roche animale, nous nous infiltrons en p)areille roche et gravons à ;l’envi ce qui est en nous comme une litanie de circonstance, nous sommes deeux en nousq qui gravons (sur rocjhe) NOS noms, nous sommes deux qui gravons (en roche ou sur roche) MON NOM et qui disons (de fait) cette chose, d’une destinée langagière pariétale de concert : moi et moi sur roche en miroir, comme un découpé sensoriel, extériorisé pour la bande et montré sur roche comme interpellé, mis sur roche au parfum, donné-cloué sur pareille roche à une déité de circonstance, dépposé commê une offrande duelle, doublé de charme, cxhant de roche opportun, visée native, trouble sur paroi de roche dure, etc, nous entrons dans la dernière phase, le chemin a duré et touche à sa fin,; l’empreinte est notifié sur roche et va durer le temps qu’il faudra, nous posons les mots sur roche comme betes pôsées sur prairie, le tem=ps dee la roche est un temps de feu royal, de cerfs vigoureux, de betes-mots non saturées de sens, de beautés nacrées dans la lande, je m’enfonce ezn elle comlme dans la chair, MON NOM est rupestre à l’envi, MON NOM est un nom d’emprunt, gravé sur paroi comme peut-être l’eeffigie d’une bete des temps antérieurs, genre aurochs de prairie, MON noM est comme ... une lumière dédoublée, torche face à torche, une chaleur communicative, je vais en roche à larecherche de la v érité animalière et tombe sur des mots de source dure, chapeautés par la raison de tete, mots de race tribale limitée, circonscrite à un comité, je vbeux savoir ce qui ewst de cette affaire de vie et de mort alloués à une vie terrezstre , à un séjhour, mais les mots s’interposent fissa qui ne savent pas se taire alors comment faire c’est à dire comment les faire taire ? cvomment faire taire les mots de la ban,de ? cvomment arriver à faire taire les mots de la bande ? en roche déposer son miel ? sa façon ? sa mise ? son nom de tribu française? sa recherche éclectique ? son pouvoir nominal ? sa faconde ? son déluge verbal ? son identité dite «prioritaire» ? son nom de scène ? son besoi n de prendre l’air de la roche prairiale ? son envie de vies accvumulées, amoncelées, sensiblesq ? son v erbe nacré et bvbleuté ? sa mise en exergue «pariétale» ? son chandail déposé sur roche ? nous cxherchons des raisons en roche, pres des mbetes dessinées par un etre des cavernes, nouqs chercxhons des traces gravées qui nous indfdqiqueraient le chemin à suivre,; nous voulons aller loin en roche du temps et trtrraverser les mondes rocxheux du temps, la main sur la main, ombre sur roche, trouver le pot aux roses, les mots de roche sont des betes-mots non gênés par des mots «de vie obscurcie», nous essayopns de comp^rtendxre ce qui est en roche qui se trame ou se tramerait malgré nous et nous entrons en elle via ;la voix de la bete en nous, sa voix (son brame ?) est cette voie d’abord qui nous permet de pouvoir dès lors nous immiscer dans la roche des temp^s alloués et de nous y loger, pres d’une déité intemporelle (elle) qui saurait nous donner, à jamais, ce la (musical) dxes sphères dont notre gouverne ressent le besoin, nous voulons comprendrxse les données du monde prairial, quel est il ? qui est il ? ou plutot qui préside à ce monde de données rudes
? qui est derrière ? nous voulons comprendre, nous voulons savoir, nous voulons nous poser sur roche, nous voulons entrer en elle, nous voulons entrerr dans la rocxhe du temps, nous voulons entrer dans cette roche des temp-s offertts, nbous vopulons percer le voile de la véerité et com^prtenxdre les données prairiales de pareille rocxhe du temps et ensuite nous saurons, nous pourrons enfin parler la langue des chefs de bande, nousserons alors en mesure de l’ouvrir et de prononcezr à notre tour les mopts qui portent et qui tapent juste, alors noussaurons parler, alors noussaurons évoquer les embruns avec des mots qui iront bien, nous saurons parler de belle manière et saurons évoquer justement les données du monde, tout cela car nous serons enfin nantis desq mots de la tribu , mots enfin appris -acquis et conservés, par devers nous, dans notre gouverne, alors oui ! nous pourrons paerler comme des chiffoniers, commev des charetiers, copmme des pôissoniers et des pôissonières, comme des chiffoniers et des chifonnières, com:me des tribvuns, comme ces tribuns de la première heure, comme des policierts
, comme des dsouaniers, commes des chevealiers de céans, commùe des cervidés nantis, commme des bovidés ghraciés, comme des cxhevreuils de roche dure aux bois dorés, nous nous avancerons de Bouche de la Mort, nous nous avancerons du trou ou de ce trou de roche, aux vocables (qui sait ?) sussurés , à moins qu’il ne s’agisse d’une douce (?) mélopée due aux ezmbruns naissants, naissants par la bande, nouds nous approcherons de cette bouche susnommée et grande ouverte comme une béance ou comme une plaie et là nous nous infiltrerons , en pareil:le cavité de roche, il y fera chaud... ou froid, selon les époque s, ou selon less lieux , nous serons charmés, cerfs de roche dure, charmés et comme pris à partie , nous ezntrons en pareille cavité, nous ironscensemble dans le sa s, nous irons de con cert dans pareil antre grand ouvert pour la circonstance, nous allons ensemble en cette roche des temps offerts , à chezrcher pitance, à chercher savoirs, à chercher vérités de roche dure, notre but est a ffiché, il perdure, nousq voulons aller au plus lointain de la roche du temps aupres des betes de paroi, tout pres d’(elles et de leur souffle chaud, qui sommes-nous qui creusons la roche ? des eznfants ? des cerfs ? des hommes des cavernes ? des betes de rochje ? des enfants du temps ? homme-)femme cdep^loyés ? chants de pârois ? animal de la belle rome ? nous voulons comprendre les raisons de tete qui président aux destinées parieéto- pariétales or comment savoir , commùent arriver à savoir acvec des mots qyui masquent les chemins, la roche et les embruns , nous voulmons comp^trendre les données de base et pour cela nous avançons sur roche ensemble, main da,ns la main, MON NOM de surface nous le deployons comme un ruban (?) laché dans le vent, nous voulons savoir ce qui est sur roche du temps qui préside et donne le la musical à la bande, et pour cela ensemble nous nous propulsons comme des ouvriers qui vont fissa se rendre sur chantier
afin de creuser, nous essayons de comprendrre -découvrir des données de base, c e qui est qui ne sombre pas mais perdure au fil du temps, la chose qui dure, le foyer central, cette cxhose du dedans de (peut-être) la roche dure, ce noyau, nous cherchons à ensemble nous rapprocher de pareil noyau des vérités qui sont vérités affichées, et pour cela nous déployons notre ruban (?) de vie avouée, ce nom de la roche du temps est le notre, le mien, le mien aussi bien, MON NOM de paroi de grotte, chant de la roche et du temps, nous nous approchons de la mort, nous voyons la mort, nous savons que nous voyons la mort qui est Celle qui nous tend les bras, Celle ou celle-là, qiu est là en fa ce à face et bouche grande ouverte, mort grande, là, qui pue du bec, qui empeste et nous pourrit notre passage à travers elle, une infection, mort belle mùais une infection (à vomir de plus belle, etc) et n ous de chercher à comprendre c e «ppourquoi cela», ou ce «pôurquoi pas cela», en l’occurence ce «pourquoi cela», c ette chose d’une sorte d’infection primaire, fétide , corrosive, etc, e,n pareille bouche de la mort, pourquoi cette chose, une sorte d’infection primaire, première, commandant les données du mùonde, cette sorte d’infection féttride commandant
les données du monde et donnée de base, le sommet, la base, les degrés, les chevauchements de données, les volcans, la brulure, le feu, le foyer, la haine, lae chant de lahaine, infection généraliseé en cet antre buccal de destinée
5/5/2021
nous nous avançons, nous marchons côte à côte et regardons les alentours bleuté, les embruns, la roche ornementée, la prairie, le pré joli, les animaux de compagnie : buffles et bisons, aurochs et bouquetins, nous sommes dans la roche il semblerait comme dans la vie et allons fissav à la rebncontre de ces betes-mots qui nous entourent, qui se tiennent quiètes à nos côtés, ce sont les betes-mots déposés par nous en guise d’offrande, betes-mos de rage, betes-mots offerts par la bande et donnés ainsi pour faire accroire ou illusion, nous donnons de nous cette chose ici (sur roche) qui est cette chose d’un vécu (soit du temps passé) que nous déposons sur roche et que nous offrons de fait par la bande à qui de droit, nous donnons ici sur roche des mots-betes , effigies de bon aloi, insultes;, mots gras, qui sont censés représenetr la vie dans ce qu’ezlle a de plus vivace (etc) or bien sûrt il y a maldonne = la Maldonne, on sait cette chose, on croit en notree bon aloi mais il y a maldonne sur toute la ligne, nous blousons à tour de bras, en lévitation et l’esprit embué, nous blousons (comme de bien entendu) qui de droit, nous trompons la roche ou l’esprit de la roche, offrant de nous non point cette vie vive d’un etre de Terre, maids cette chose, à pzart soi, qui est de l’insulte dite à haute voix, incantation bruyante, hautes chansonnettes, cris de joie déposé sur roche, nous offrons nos + et, ce faisant, nous pensons, que ,
nous pensons que
«ça va le faire» or il est probazble que ça ne pourra, il est fort problable que cela ne peut, que des cris de joie mêlés à des insultes ne le feropnt pas, ne feront pas vraiment tout à fait l’affaire du dieu de la bouche, il se peut que cette affaire tourne ou tournât au vinaigre et que nos insultes ici proférées ne puissent convenir tout à fait, nous pensons que des mots-betes sur paroi feront sans doute leur petit effet et pourront peut-être tromper l’ennemi (la mort) comme il se doit, or, il semble que cela ne soit ou ne sera pas suffisant et que des mots de tete, des mots déposés, des mots-betes, des mots d’occupation, ne soient pas de taille en regard de ce qu’est par ailleurs la vie en soi( en chacun) c’est à dire un battement éternisé de coeur, il semble en vrai que cette chose, du battement de coeur ici demandé (espé
ré) par une déité de roche, ne soit pas donné d’emblée, comment dire, notre battement de coeur est c e battement en soi (cet animal) qui n’est pas d’emblée donné sur paroi, offrande au divin, ce corps mort de nous, cette chose liquidée, il semble que (donc) cette chose (dun corps de nous mort, coeur fané) soit comme espéré par une déité de roche, et nous, de donner (oups) le corps d’un animal ou d'une sorte d'animal à la place, une effigie, une figure, un tracé fait dans un état second, etc, n,ous donnons cette chose mais cette chose n’erst pas suffiçsante pour la déité, nbous donnons de nous une chose et cette chose ici ne suffçira pas car la déitéc demande plus, elle veut le plus, ce qu’elle désire est ce + de la croix deposé sur roche, ce coprps donné, ce corps en vie donné (mort) comme offrande de poids,; vraie et non pitoyable, nous donnons le plus que nousq pouvobns
, ce + de roche en forme de mots, de mots-betes, d’effigies anima lières mais lma vie en nous (cet animal) reste logée à sa bonne place, n’en sort pas, nous donnons de nous cette chose d’une sorte ici de pis-aller mais cela ne suffit pas, ne va pas, ne convient pas, n’est pas à lahauteur des Attentes, nous sommes ainsi deux (en nous-mêmes) qui donnons cette chose d’un mot-bete qui est, de fait, ce mot bete de paroi, cette figure d’aurochs, et faisan,t cela nous nous persuadons que ce que nous donnons (= le vécu) comme à notre insu , pourra subvenir aux besoins de cette déité de roche dure, or , que dalle (il wsembleraitr) !
on voit cette chose, comme quoi en nous la vie est un animal et que cet animal autrefois avait des libertés qu’aujourdhui il ,’a plus en nous, car remplacé, en partie, ou commùent dire : exprimé ? par des mots-betes, non point tout à fait remplacé car la vie est là mais elle est secondé ou comment dire, chevauché en nous par une sorte de fluxc verbal (de la vie à la mort) qui est ce flux de roche dure, art rupestre, paroi ornée, qui est là pour faire accroire mais que dalle, cette dalle est morte avant de naître , ou comment ? car ces mots de roche (aurochs) ne sont pas de taille à réellement pouvoir ici rivaliser avec l’animal, l'animal en soi (contenu) de vie vive qui est là en gouvernance, fait ou effectue son petit odffice en nbous, gère et liqyuide etc, et fait ce que vie demande, nous avons (portons) en bnous un animal de compagnie
qyui est un animal +, un animal ++, c’est à dire de grosse taille, grosse bete de poids qui pèse, et cet animal est celui là que pour le coup nous arborons (= reprédsentation) sur la paroi du temps: le langage, or ce langage animalier (de forte occupation et, pour ainsi dire, incompressible) est un lan,gage 1, ordurier (le + possible, opctroyé ou offert) et 2, un langage de tromperie, car la vie n’est pas ce langage, la vie est contenue dans l’organisme auteur mais non point de fait dans la représentation déployée, nous disons que quelque chose est blousé, ne va pas, n’est pas juste, ne convient pas, etvc, c’essdt à dire cette chose comme quoi nous avons une chose ici qui est que nous donnons du pis-aller en veux-tu en voilà, et ce pis-aller n’est pas satisfaisant, ne va pas, ne convient pas, n’est pas ce + attendu pzar une déité de porte (ou de roche) et voilà pourquoi nous pensons que notre compte est bon, façon de dire, que la mort sera pour nous sur nous un jour ou l’autre, car on ne peut blouser la mort ad vitam aeternam, un jour vient ou viendra où celle ci nous ceuillera malgré nos vives incantations, nos + ajoutés sur roche, ces nombreux + de roche etc, oui : un de ces trois matins, cvar mla mort n’est pas folle, elle voit tout et sait tout et comprend bien qu’il y a maldonne, qu’il y a tromperie, et que nos différents dessins de roche, nos invectives, nos obscénités, nos cris gutturaux, nos exhortations (= nos +) ne sont pas de taille, malmgré lmeur grande vitallité en eux contenu ou de contenu certainement, mais la vitalmité d’un temps vécu n’est pas la vie d’un coeur qui bat, il y a un monde entre cette chose et celle là : vitalité d’un vécu temporel (pariétal) et vie d’un battement cordial, ne sont pas du tout les memes choses et ne peuvent dès lors eztre confondues quand bien même nous voyons bien que l’animzal en soi ressemb le fort à celui là que nous gravons à mùême la roche, on peut dire même que la ressemblance est frappante ici, bluffante, considérable, car il est ennous cette chose d’une betye qui tient les renes, ici une bete, une bete tient les renes en ous, nous gouverne, est en nous qui fait de nous un etre double, divisé, ou monté-doublé etc, nous sommes deux en ous, et ce deuxième (ce larron) en nous, est (il semblerait) un animal de taille (aurochs) qyui tire les ficelles, tient la barre, coordonne etc, et nous (en lévitationb) de subir ses directives (le temps vé&cu) et nous de suivre les envies, les impulsions, les désirs, les écarts de cette bete en ous (obligatoirement) dans le temps déployé de la roche dure de chez dure, nous avons en ous cette chose d’une bete qui gouverne (nous) et nous pousse ici ou là, retranchements, pour sa plus grande joie peut etre, ou du moins à son bon plaisir, nous ne savons pas, et cependant nous savons cette chose en nous d’une bete qui est imposante (= la vie) qui est en nous comme occupant une sortye de gaine, d’etui, un fourreau, etc, et nous de voir en nous cette chose qui cherche peut-etre à trouver une issue de bouche (de trouée) or comment ? nous disons qu’en nous une betye est logée qui est la vie bvive (ce + octroyé), et que cette vie ici octrpoyé (offertte) sera peut-etre un jour rendu, sur roche du temps ou autrement, mais comment ? et quand ? car, si nous avons été muni (toutes et tous) d’un train de vie nous dirons «animal» en nous un jour (naissancze) mais par on ne sait qui alors nous comprenons que ce dit train de vie (cet allant, cette impulsion, ce start, etc) devra peut-etre eztre remis pour ainsi dire dans des mains tendues un de ces jours, il nous sembvle à nous que la vie animale en nous un jour a été visible, a été prégnante et effgective, il nouis semble cette chose comme quoi a<utrefois l’homme des ca vernes voyait en lui, la femme des cavernes voyzait en elle, cet animal de roche qui était son «ame» ou son «ame» de peu, loin des mots de la tribu, ou du moins non encore masqué par ces mots de roche, ces mots-betes en ous, qui sont mots de cap, nous voyons cette chose,
comme quoi des mots au fil du temps ont embué les choses de la vie (animale) en nous, les choses de cette vie vive (très) en nous, les mots ont masqué ce + en nous qui était cette cghose grave, forte, dure, tenace, coriace et continue, or nous voilà na,nti de mots indécrotttables, cette saleté de roche, ces mots sont betes comme choux ou sinon bztes sont qui sont pour faire croire, sont betises = mensonge = tromperies on l’a comp^ris, et cependant en nouds l’animal est là qui gouverne et chertche sa voie, sa voix et sa voie, il est intériuer (?) et cherche à «parler» son lan,gage (cardiaque) dans le temps, or il semble que cela est une chose qui est difficile en vrai à offrir sans mourir, comment dès lors offrir de soi sa vie dite «animale» (battements du coeur) sans devoir mourir ? il nous semble que cela est très compliqu»éé et ne peut advenir facilement , et voilà pourquoi l’homme des cavernes ou la femme des cavernes que nous sommes, donhe (nous donnons), sur roche, cet art des parois = cette vie d’emprunt, cette vie simili, ce plus possible, ce + qui est celui là que nous sommes en m esure de donner ici par la bande des parois de roche, nous offrons à déité ce + de roche, animaux-motsq de prezmière, grosse cghoses débordantes, ce + d’incantation rupestre, ces insultes et ces cris de haine, cette subjugation, ce feu, cette embardée folle, cette folie de roche, etc, le + que nous sommes en mesure d’offrir par nous memes hors battements du coeur, c’est à dire hormis les, car nous ne sommes pâs vraiment chauds et chaudes (la vie est ainsi) pour céder de sitot et nous donner pour le coup en pâture corps et biens, nous avons en ous cette chose d’un tic-tac cordial qui est celui là qui maintient la barre (l’animùal), et ce qui meurt est cette chose du vécu, temporel et pariétal (frontal), et ce qui est est cette cxhose, comme quoi vivre = mentir = aller = tromper = donner du piteux, cvomme nourriture, du peu flambant (nos plus sont des moins), nous donnons nos + mais ceux-ci pour déité de roche sont quoi sinon des moins pour sa gouverne, du pitzeux, du bien piteux en regard de cette vie en nous (l’animal, le vrai) qui n’est pas offert, lla mport souhaite plus et mieux, la mort en veut +, en veut pour sa gouverne, pour le prix, etc, or le prix n’est pas au rendez vous, ou disons que ce qui est offert est cher, trop cher pôur ce que c’est, il y a maldonne et tromperioe, la mort paie cher ce que nous déposons ici à ses pieds ,alors même que cela n’est pas ce qui est visiblement impatiemment attendu pâr elle, nbous offrons de nous cette chose d’une bete (dessinée ou greavée) mais la mort de bouche attend +, elle a ttend la vie (la v raie : l’anilmal, en vrai, contenu dans l’homme) et voilà ce qui est dès lors : un homme, privé de la parole (drue) des temps modernes, voyait en lui, moins masqué, un animal de poids (aurochs) qui tenait la barre et allait, de son pas lourds, dan s le temps, l’homme des cavernes n’était pas encore embué complètement par les embruns d’un «langage articulé de cap»,
il pouvait voir en lui la vie, ce fil de vie animalier en
lui, il savait qu’en lui résiçdait un animal fort, une trempe, une force animale de beau poids,;, etc, cette bete en lui contenue était son doublke corporel, et lui (lhomme des cavernes) le voyait en lui, le savait comme étant la vie en lui, vcette incarnation, car l’homme des cavernes n’avait pas en lui, pour tromper et affadir l’image de la bete en lui, pour tromper ou troubkler l’eimage de la bete en lui, ces mots de roche, cet ensemble dit langagier continu et indécrottable qui a pris la place (du mort ?) en nous, cette chose d’une sorte de paroles obscurcissantes, comment définir pareille chhgose ? nou!s voulons comprendre cette chosev (en nous) qui estr que la vie est (qui sait ?) un animal de poids (rocheux) et que ce qui ici sort de nous par la bouche n’est pas celma que la motrrt attend sur son seuil, la mort attend +, et + pour nous ici est ce qui est pour ainsi dire offert à) nos yeux qui ne savent pas que cette cxhose offerte ne convient pas, ou si, nous savons, mais comment s’y prendre autrement ? car nos yeux voient, nos oreilles entendent, etc, oui, nos vies perdurent bon an mal an et ne sont pas offertes (sur roche) au premier coup d’oeil, comment dire ? nous ooffrons sur roche des simili-vie censées en mettre plein la vue, or il sembvklerait, ici, que ce simili de vie (malgré son incandescence ++ à nos yeux) ne soit pazs à hauteur des attentes et ne fasse pas l’affaire, il sembklerait quye cette chose, d’une bete dessinée (ce t art de la roche), ne puisse en aucun cas remplacer la bete, en soi contenue, dont le nom est vie, vie au sens d’influx, de start, de battemetnts du coeur, systole/ diastole, etc, il nous semble que cela que nous offrons = ce vécu, ce temps, ou lze Temps pour le dire vite, n’est pas tout à fait égal à cette vie (animale) demandée, car cette vie nous a été donnéé et c’(est à nous de la restituer mais ... pas tout de suite ? comment dire ? laps ? pourqyuoi laps ? pour endurer la roche, pour toucher la roche , pour baiser ou embrasser la roche ? nous chercho,ns nos dires-animaux à même la roche du temps, nous voulons essa yuer de comp^rendre ce qui se trame ainsi en pareille roche du temps (qui est qui, etc) et pour cela nous ouvrons les yeux et cherchons (en roche) des in,dices, nous enquêtons comme des détectives, des chercheurs, nous chervchons à notrte façon des solutiopns à des problèmes, de vie cxhimique, p)hysique, ou extra-physiques, nous cherchons dan,s lo’extraphysique lanhgagier les mots qyui diront ce qui est au juste cvoncernant la vie en ous (cordiale, tictaquante) et la mort en roche ou ailleurs, nous essayons de creuser la chose afoin d’en avancer, nous dison,s que la vie est un animal en nous mais que les mots inculqués masquent son image, ou quelque chose d’approchant, nous voulons comprendxre des ressorts, nous avons cette envie en ous de vouloir comprendrecle + de ce qyi est offert sur roche et ce à lza lumière de latorche des embruns, de pareille clarté de roche, nous essayons de comprendre ce qui est qui donc se trame en pareille roche : des dessins de betes-mots, des mots-betes (en guise de dessins) squr p)arois de grotte, des betes-mots sur roche du temps, ces betes sont offertyesq dans le temps (vécu) par la bande et cette bande ... quelle est elle ? nous solmmes vivants,
nous sommesz des vivants qui vivons le temps «de la roche dure», et ce temps «de la roche dure» est cette chgose en dur (dur de c hez dur) que nous devons subir, que nous avons à) encaissezr, etc, cvette chose est cette loge, nous sommes logé en roche comme (de fait) larrons en foire et nous déambulmons ainsi en elle (état vsecond) , et voilà ce que nou!s voyons : des cerfs aux bois dorés, lustrés, etc, nous voyons ces cghoses, nous sommes ainsi qui voyons ces choses ensembmble, nous voyons ces cerfs de roche qui vont et qui viennent, nous voulons ensemble comprendre ces choses, ces choses de roche, à la lumière d’une vie royale, vraie, hautaine, carrée, qui sache exprimer ce qui est en termes ici de véritév de roche, de vérité vraies de roche du temps, nouys voulons essayer de comprezndre les ressorts (a rcanes) de ce temps de roche et cela n’est pas facile, ne se donne pas d’emblée, car le temps vbécu (le bvécu) est déploiemùent, déroulé majeur, est un temps -tissu, une bande, etc, et cela est ainsi dit ici , cvomme quyoi le temps vécu (l’offrande) est une sorte de bandage, de tissu, de voile, de chandail, de couverture, de plaid déposés sur roche du temps, ou comment ici exprimezr au mieux, lesz choses d’un tracé bestial, inhumain, ancré, chaudasse, etc ? nous essayons ensemble de comp^rendre les données les plus profondes, cela ne se dopnne pas si aisément, nous voulons comprendre le + , le + de cette vie de roche ici, sur ce monticule langagier, nottre but est affiché, nous ne disons pas que n ous ne cherchons pas car tout le contraire, nous disons que nous cherchons des vérités de poids, aurochs et buffles, notre but est dit, il est affirmé en haut lieu de la roche, il n’est pas caché,
il se tient, il est vu, il est ce dire
de roche allouée à une vie entière,
bnotre but est de trouver ainsi icib (en roche) les raisons et les motifs qui, de fait, présideraient à une vie sur terre, cette choçse entre deux choses, cet antre deux mers, nous essayons de comp^rendre des données de base, ces données de bnase sont tre diofficiles à) isoler car les choses ne se dopnnent pas d’eemblée, il erst nécessaire de creuser la chose, nous devons ainsi faire sur roche, avec des mopts-betes, creuser ceklle ci de notree pic de bouche animalier mazis ce n’esyt pas chose si facile en vérité, nous devons creuser dans laprofondeur, nbous a vons à creuser ainsi la roche du temps animal, cette roche ornementée (ou comme ornementée) pa r la bande du temps pasdsant, nous comprenons des choses du temps, et d’auttres choses nous restent opaques, il n’est pasfgacile de s’y retrouver mais neous ne lâchons pas le morceau, la vie en bnous est un animal (voilà l’axiome, l’axe) et, en vrai, cet animal, en nous, cherche ou chercherait à sortir de nous et cela par la bouche, par notrte bouche ... mais comment ? il xwemblezrait que nous ayons en noous un animal (la vie) qui cherche à sortir ... et nous de dessiner
cet animal , contenu en nous, de le dessiner sur roche ici comme présent de vie (le temps) offert en offrande, or bien s^$ur que cela ne peut , ne va pas, cela ne convient pas, cela ne peut pas convenir, cela n’est pas du tout à la hauteur des attentes, nous offrons cette chose d’un dessin de vie, de vie vive, mais dessin n’est pas (n’égale pas) chose de base : il s’agit d’une sorte de présentation fautive, et cela nous ennuie beaucoup car nous savons pertinemment que c’est malgré nous, nous insultons la déesse et cependant cela nous dépâsse , car nous sommes séparés, nous somme comme dép^lacés, nous sommes des etres doublés, comment sacvoir, car nous sommes des etres qui ofrons à notre insu ... ou bien, plutot, qui ... «nous»... offrons à notre insu c’est à dire de gré ou de force, c’esst à dire de force ! nous sommes des etres quyi avons ainsi à comprendre, cette cghose du vécu (de la vie pariéto-temporelle), comme d’une chose que nous sommes ou serions obligés d’offrir = d’offrir sur paroi, comment a utreement ? nous vivons = nous offrons ce leurre du temps déroulé, du temps passé etc, nous offrons cette chose «cochonne», et cela est perçu ainsi et du coup nous craigno,ns pour nous (revers de lamédaille ?) , nous avons les foies, nous sommes mourants i,ntrinséquement, et nous avons les foies, les foies d’en découdre illico presto par l’effet d’un dieu de roche écartelé, qui dirait «toi !» et nous capterait, nous sommesv ainsi , : nous cherchons la vérité vraie, nous voulons connaitre celle ci le plus vite possible avcant de mourir, car nous voulons nous rassurer, nbous voulons savoir les choses du monde et, pour cela, nous devop,ns nous poser vdes questions à foison concernant (ici) cet ensemvble de choses, dites «de paroi des temps», et aussi concernant cette bete -présidence en nous, cette vie de bon aloi en nous, gardée chaudement («c’est la vie !») et jalousée, nous voulons com^prendre ce qyi est ici qui se trame et qui est cette chose d’une sorte de maertèlement rythmique incandescent, cette incantation, ce chant répété, ces litanies d’insultes proférées, ces +, ces ++++++, ces ++++++++++ de vie déployée dans le temps pariétal de la roche, ces ++++++++++++ déposés sur roche, afin d’intimider peutretre ou bien d’en mettre plein la vue ou bien afin d’en imposer fissa, ou bien afin d’en jeter, etc, au dieu de la roche ou bien à) qui de droit passant par là, nouys devons agir
ainsi et faire cette chose d’une sorte de jetée, d’une sorte de jeter sur roche, et celafait nous haussons le ton, nous sommes gutturaux, nous hzaussons la voix et hurlons notre infamie, nous sommes comme tomb és à la renverse dans le temps bvécu de la roche et nous savons que cela n’est pas la bonne chose ici attendue, nous savons que ce que nous donnons (nos +++++ à nous) sont choses de peu pour un,e déité de roche, celle ci attend obligatoirement dabvantage, retour de manivelle non mais retour à lm’envoyeur oui, car, nousq a été donné un hjour la vie (l’animal) et à) nous de vite le rezndre à qui de droit, car ezn nous l’animal transite, ok, mais lequezl ? le lion des cavernes ? l’ours ? l’ourse ? l’aurochs ? le buffle ? le bison ? le cheval . le qbouyquetin ? quel animal de vie (animal = vie) transite en nous ? en chacun de nous ? pourr tous et toutes le même ? peut-être pas, nous savons cela, comme quoi nous avo,ns à comprendre un nombrte conséquent de choses à cerner, il est évident que nous sommùes ici envahis de questionnements de tout crin, nous devons comp^rendre ce qui setrame (nous les hommes et femmes et enfants des cavernes) , nous avo,ns à ainsi comprendre ce qui est de ceztte chose en nous, qui est (peut-être) un animazl-vie, ce battement, cette lueur, ce flux, cette en-vie, cet élan, cette chausse, ou chaudière, cette cxhaloupe, ce chandail, ce qyoi ? cette chance ? nous voulons cerner ici cette «chance» d’aller et venir sur roche et au delà, dans les lieux de perdition native ou encore au cdelà , vers l’infini des plaies, des brulures, des douleurs de rage, l’insulte est au rendez vous qui donne le la et dit le + que l’homme puisse dire, et ce faisant nous espérons nousc en tirer, ici, à bon jeu, à bon escient ou comp^te, nous avons cet espôir en nous de dire cette cxhose, de pouvoir un jhour dire cette chose, cette vérité de la roche, nous sommes remplis d’espoir, nous voulons sa voirr kle fin mot et nous cherchons ensemble cette chose à travers un la,ngage (animalier) de base humaine, ce langage humain cooopté, qyi est celui qui est diffus entre les ettresz (= entre nous) et voilà pourquoi ce nous, ni plus ni moins, ce nous est celui du partage d’un langage (parolier) animalier, une langue portée par toutes et tous (disons par bzaucoup au sein d’un groupe limité = qui a des limites) , nous portons en nous des mots, qyui sont ceux d’une sorte de tribu humaine limité, circonscrite (un cercle) et ces mots nous font dire «nous» du fait q’uil s’agit des mots ici d’un ensembkle de personnes regroupées sous l’etendard commun xd’une langue donnée, nous sommes nés à la même eznseigne de pareille langue chacune et chacun, nous parlons une langue en commun et cette langue nous permet en vrai de creuser la roche et ainsi de preésenter des betes, betes de poids qui toutes puissent dire leur pesant (vivace) de vitalité, certainement, et cependant la vitalité n’est pas la vie, la vitalité est différeznte de la vie, et l’aurochs tremblant sur roche, chargeant ou semvblant charger (dessiné) n’a pas en lui la vie quye l’homme porte en lui comme une pile, ,non, car la vitalité rocheuse existe mais n’est pas semblabkle à celle contenue (lza vie) en (ici) cet eztre huymain qui va et qyi vient dans le monde, le vécu est vécu de cette façon-là, le vécu de vie, ce vécu d’une vie est ce temps déposé, ici, en continu, au pied de la rocghe divine, nbi plus n,i moins, le vécu est ce qui ici se donne en déroulé au fur et à mesure que le temp)s (la vie) avance, il s’agit de voir cette chosze comme quoi ici, en roche du temps, ce qui est do nné est cette chose, d’un temps de roche déployé , d»éployé par la bande, il s’agit d’un don de soi qui va de soi, qui sort de soi et ce par la bande : nous sommes nés et dès lors nbous donnons de nous (par la bande) cettye chose du temps déroulé au fur et à mesure que, de fait,
nous avançons dans la vie,
nous avançons dans la vie,
donnant dès lors de nous le temps vécu (par nous vécu) en guise d’ offra,nde, et ce faisant, nous pensons pouvoir nous en tirer (plutôt) à bon compte, c’’st à dire :
rendre la monnaie de la piè-ce, ou plutot remmetre les clés, ici, au proprieaéytaire, or non ! il ne s’agit pas de cette cxhose ! nous avons été muni, nanti, nous avons adopté, nous avons contenu et devons à présent rendre à l’»identique l’animal offert, nous avons à rendre, à l’identique, l’animal offert à la naissan ce, le rezndre le plus tôt possiblme, donner ce que l’on a reçu en p)artage ou en hérita ge, nous devons rendre, la vie offerte à nous à la naissance, il le faut, nous le devons, nous cdevons remettre les clés au propriétaire et que donnons-nous en fait de clés ? du temps, du rprésent continu, un temps vécu, ce passé présent ou ce présent ici du passé, etc, nous offrons sur roche des betes-mots qui ne sont pas en vrai les clés du départ, mais une sorte de foutaise de première aux yeux de la mort (peutretre , qu’en pense-t-elle ? , nous voulons savoir cette chose car nou!s su bodorons le pot aux roses, nous disons le plus incandescent possible afin de pour le coup pallier ce «non-retour» de choses (choses offertes à) notre naissan ce), ici notreintention est dite haut et de vive voix, nbous voulons que la chose soit su et entendu, entendu et su par beaucoup ou de b eaucoup, nous teno,ns à cette chose, et voilà ce que nous faisons : nous hurlons les +, nous hurlons à la vie à la mort, dans cet ezntre-deux-mers qui nous voit brûler notrte vie ici, en cette roche dure, br^uler ce qui est ici que nou!s déposons = ce passé, ce temps vécu que nous nommons la vie mais qui n’est pas la vie cordiale c’est à dire animale , voilà le p^rovblème, bnous donnopn,s ,
peu en définitive quand bien même à nos yeux nous pensons que nous offrons beaucvoup, c’est à dire : une incandecesnence ultime, des effets de poids, une cxhance considérable, une prise folle, du lourd de chez lourd, de l’insulte vive la plus, etc, nous pensons cette cghose, comme quoi notre impressqion est telle = telle que, et ainsi faisant nous pênsons ou espérons, espériiions, nous en tirer à bon comp^tee, et faire illusion, et passer entrec les mailles du filet, notre but est de passer entre les mailles du filet, cela est ainsi que nous voulons pour nous, nousd espérons pouvoir ainsi passer entre les mailles du filet et nous tirer d’affaire ainsi, ne pas succomber, et du coup nous faisonsq cvette chose, d’une offrande sur roche, offrande de bon a loi, vif poids, etc, mais ce n’est pas gagné car nous sommes ainsi que nous offrons pêu en définitive, oui de l’invective à l’encontre de la mort, de l’insulte salacce, etc, mais estce ok ? est ce suffisant ? la mort attend l’animal, mais non pôint celui là que l’homme des cavernes treace (sur la roche) à main levée et sous l’emprise en lui d’un animal , voilà ! la mort attend cet animal, celui-là ou celui qui, pour le coup, guide ou guiderait les pas de l’homme des cavernes ! la mort est dans l’arttente en vrai d’un don de poids ou qui fasse le poids, c’est à dire l’affaire (bon p^rix bon oeil) et, cette bete, en vrai attendue, n’est pas un mot-bete (non pas !) mais battement, bzattement vrai, animal corporéifié, cette bete contenue ezn nous, dans notre sorte de vive entité ou en (nottre vive ezntité), la mort veut la vie (animale) contenue en nous : la vie nous a été donnée, la mort cherche à (mordicus) la récupérer en bonne et due forme = à l’identique ! les clés ! nous avcons cette chose à de»voir penser, cette chose ici d’un désir ou d’une volonté de la mort, de coûte que coûte récuperer ses billes, etc, comme si la mort avait été à lka naiissa,nce de la vie nôtre ... commùe si la mort avait été à l’origine de la vie en nous naissante, l’autrice peut-être, etc, nous savons que la vie vécue est une faillitte , finira mal, est une catastrophe, etc, et cependant bnous offrons nos plus beaux atours,, une forme belle» , une sorte de souci formel, une forme fine, afin de faire accroire et charmer, ou comment ? notree forme exctérieure est soignée, elle se présenn,te comme un ecxtérieur de beauté, c’est à dire symetrie (en miroir) qui donne le la, qui en jeztte, qui dit ce qu il faut, qui est équilibrée etc, cette chose d’un soi en miroir (gauche/droite) est d’une importance majeure, en cette question d’un aller de vie dans la lande, nous pensons que cette question d’une symetrie corporelle native (en miroir) est considérablement importante, qui dit ce qu’elle dit, à savoir cette chose d’un retour sur soi, d’un serrage, d’une enclave, ds’un tout contenu etc, qui est cette chose que nous sommes deux dès lors à pouvoir déposer sur roche, nous pensons que cela est une chose d’importance, ce cvorps unifié c’est à dire comme réunifié, car le corps comporte des aspects (extérieurs) en miroir, qui font de lui un être uni, remis, quib réflezcghit, etc, nous sommùes eznsemble sur roche et nous dessinons des betes de poids, celles-là qui président à nos destinées, nous dessinons sur roche des betes de poids ressembvlantes lmais en a ucun cas semblables car iol s’agit de représentations rupeswtres et non point d’offrandes saignantesq, au sens où cze qUE mort serait en droit d’attendre n(‘est pas octroyé, n’est pàas réezllement déposé (le temps d’une vie) mais est comme retenu par devers nous en nous, il s’agit de c ette chose comme quoi ce qui est déposé ici (roche) est un temps de vie, une chronologie pour ainsi dire, mais non point la vie en soi, ce tic tac corporel, cet influx de base, et du coup nouys nous sentons coupable un tantinet et faisons allégeance, quan,d bien même nous pôrtons le verbe à son incandescence (le +) etque nous insultons (la fidgure de la déité), quand bien même cette chose, il s’avère que nous, nous faisons pour nous cette chgose qui est de l’ordre du pardon, de l’allégeance, comme quoi la croix offerte (ce christ du + de la roche) est tout ce que «la vie véécue» nous permet de fait d’ooffrir par la ban,de, à savoir sur rocher (terre-mère) et pas davantage, nous donnons dfans l’invective, hurlons de tout notre soûl, proféreons dees insaninités, nous pleurons à chaudes larmes, nous en rajoutons, nous jhouns comme des enfants, à ceux et celles qui en prennent pour leur grade, quib peinent, qui souffrent les pierrres, etc, nouys «jouons» façon de parler car nous sommes soumis et soumises, nous sommes dans le sas de la vie vécue qui est une roche, un entre deux mers pariétal, ce lieu de la grotte, nous cxherchons des vérités en pareil lieu, bnous avons cette soif en noous de pouvoir étancher notre curiosité en termes de recher che de la v érité vraie, celkle qui dit ce qui est de ce quyi est, nous voulons connaitre les ressorts secrets, et pour cela, nous creusons comme des forcenés la roche du temps, nous esxayons de fait de trouver dans la roche des réponses à noçs questions, c’esst à dire à même laroche or commùent ? comment s’y prendre ? que faire ? comment faire ? nous voulons savoir beaucoup et long, notrte but est de découvrir, or ici (cet entre deux mers) il nous sembvle qu il est plus qu’ardu de trouver quoi que ce soit qui soit de l’ordre de la vérité ou réponde de cet ordre, car la bete dessinée est un pis-aller, une vie en simili, il ne s’agit pas de la bete en nous à véritablement parler mais de son effigie ou de sa figure (extrèmement ressemblante il n’y a pas à dire) mais insuffisante, car la mort attend davanta ge, veut la bete en nous, la vraie , celle qui nous double, qui est sur nou!s, en nous, qui nous attrape, qui nous chevauche, qui nous seconde et nous gouverne, cette bete de l’incantation, cvette bete de l’hypnose, de la pprise sous emprise, etc, cette bete qui fait le siège ici de notre vouloir pezrsonnel, cette bete aux manettes, etc, le temps offert n’est pas du même ordre et cela la mort le s&it bien, qui ne s’en laisse pzas comp^ter et qui attend avec impatience un don meilleur, plkus fourni, c’est à dire e,n cxhair et en os et nonn point en rocxhe de paroi de grotte, nous donnons le + pôssible d’une insceandescence, du plus plus de vie vitaliste ou vivace, etc, nous voulons le + pour le donner à cette sorte d'entité qui vgeut de ce + en question, or commen,t nous y prendsre ? la vie en nous on l’a dit ewt un animal, celui là même qui préside ici aux gravures et autres dessins produits sur roche, nous avons en nous une sorte de bete de poids qui gronde, et c‘est celle-là exactezment qaue nous reproduisons de fait sur lza roche ou, du moins, sa figure, son effigie, son allurte, ezt ce à mains levée,, lors de séances votives incantatoires, nouys dessinons (sous ezmprise) ce qu’en ous la bete (la vie, l’influx de vie) nous fait dessiner à savoir son image, et cela est que nous sommes ainsi comme subjugés de cette chose que nbous faisons, guidé et secondé, doublé par la bande en n ous d’une sorte ce confrérie qui préside et occupe l’espace d’un corps symetrique (miroir), voi!là ce qui est , cette chose d’une sorte de donnée de base qui est celle ci comme quoi nous offrons (il semble) une chose pour une auttre et que la mort, à termes, ne sera pl;us dupe, ou bien, en vrai ... ne l’est-elle pas ? ne l’a t elle hjamais été ? nbous faisons cette chose (ici) d’un don sur roche, une bete est dessinée, celle là que nous portons en ous, et cette bete dessinée (l’image de la vie) nn’est pas la vie dite «animale» e,nn nous et qYUI préside aux battements du coeur, la vie en nous continue à vivre et la mort est comme meurrtrie de ce»tte chose, il y a cette cxhose ici comme quyoi la vie, la vie vécue, est un dxéroulé pareiétal (la douleur, les plaisirs) qui contient bien des chodses ezn offrande, des offeandesz ici dépôsées, etcx, mais jamais (en fait d’offra&ndes) la vie en xwsoi, c’est à dire l’animal en nous que nous contenons et qui gouverne, car en nous est pour le coup logé un animal que le verbe masquee gran,dement, la vie en nous est un animal de poids, augtrefois nous savions le repérezr, en nbous, l’apprivoiser , le contenir et kle laisser jaillir de nous (saillllir ?) jusqu’à la défaillean ce, auhjourdhui il en est autremen,t (en pzartie) qui nous voit agir sur roche, avec des mots-betes, des mots-animùaux;, des mots d’accointance qui tous represe,ntent une vie en intra animale mais s’a&rretent là, car il s ne peuv ent aller plus loin, les mots-betes sw’incrustent (de pied en cap) et ne peuvent plus etre délogés, or que ^penser de cette chose ? il est à penser que cette chose est une chose de grande importance pour penser le monde, nous pensons que cela a une importance considérable et n’est pas à ignorer ou sous-estimer, car on voit cela comme quoi, les mots gravés sur la roche du temps (ce présent d’un vécu pariétal) donnent dx’eux, tres
certainement, ne sont pas rien, mâis en aucun cas ne peuvent remplacer la vie de la vie contenue (elle-même) dans le sein des seins = l’animal en soi, car, en soi nous portons un animal, en soi règne un
animùal, chacxun le sien, j’ai en moi (la vie) caché, un animal, il est présent en moi même , dans mon sqein, comme étant cet eztre donnant et maingtenant l’impuls, j’ai en moi cet animal qui est la vie d’impulse en moi, eureka ! je possède en moi cet animal-impulse et cet animal me dirige, est pour moi kle directeeur, est en moi un directeur de vie, car la bete en moi est une sorte de bete -moteur, ou bete -starter, il s’agit cde ceztte sorte de bete-starter ezn moi, qui maintientb en moi ce filet, cette ligne de vie ou de force, je sais cette chose», cette ligne, cette chance, etc, en moi, de pouvoir
poursuyivre sur roche et tracezr comme des pis-aller donnant illusion d’une vie offerte (tambour bqattant )quand il n’en est rien, et que cela qui est offert est une sorte de succédané, de copie à l’identique au mieux, de copie de style, etc, mais kjamais o grand jzmais la chgose en soi( kl’animak en moi), car la vie vécue est telle qu’elle est temporelle et a son dé»rouylé, qui fait d’elle une sorte de chemin de croix (de : + + + + + + +) offertes par la ban,de sur paroi du temp)s rocheux, je suis avec en moi unanimal , qui est l’(animal-vie de compâgnie, cette cxhose à moi offerte, et que je me dois (en fait) de rezndre à l’identique (= son éttatt) et pas plus ta rd que ... le plus vite possible,
je suis cet homme du temps, dit «des douleurs sur terree», qui, en vrai, se doit de rezndre ce qu’il a rezçu et cela sans plus tarder, mais il est un fait que je suis vivant = une wsorte d’etre «entre deux feux», et je me dois de xcomposer avec ce qui est, et qui m’entoure, car je suyis un eztre de peu, un qui fait semblkant, qui joue pour le coup à donner sa vie (vive) animale, fait peut-etre le mort sur roche (terre-mère) mais traine ou tarde à vraiment ou réellezmeznt passer l’arme à gauche, la vie faisa nt, car la vie à vivre est, de fait, un déroulé, qui repousse ou repousserait la morrt au plus loin des calendes grecques ou hjusqu’au plus loin des calendres ghrexcques parfois, et alorsz là,, alors là la colère gronde ! de la mort, et nous passons là, pour ainsi dire, un sale quart d’heure, ou alors comment ? nous sqommes portés ou comme portés par (en nous) une bête de poids, qyui cherche issue dans le langhage de la paroi, une bete est en nous qui préfigure, une bete en nous est la vie en n ous , cette vie en n ous que nous nommons du mot de «vie» alors me^me quil ws’agit, en vrai, xd’un e bete, nous sqommes logés dans la rocxhe du temps et dessinons des betesq (c’est notre langage) àç même la roche, afin de faire ezn sorte que pareilles betes sont ou plutôt soient ce quyi peut le faire, alorsw qu’elles sont (voilà) un pis-aller (pour ainsi dire) de première, comment nous y prendre, comment a gir, que dire qyi puisse le faire ? rien ! ou si : ce massif de verbe, dans l’intervalle = dans l’attente, nous posons ainsi du verbe animalier sur roche, nous faisons cela et faisant cela nous pensons tres sincèremzent nous en tirer, de fait, à bon compte, mùais voilà, en n ous il y a un animal qui ne sort pas, qui reste, qyui est là qui règne dans les « profondezurs de la non -vision », il y a e,n nous un animal de poids qui est ezn nous notrte paratonnezrre, commeznt savoir ? nous avons (j’ai) en nous (en moi) un paratonnerre, une bete de poids , un e bete qui pèsze ... son bon pôids de bete de gouverne, de gouverne ou de gouvernance, j’ai en moi une bete qui règne et qui est cordia le, je l’eznten d à peine, hje n’ai pzas l’oreille sur moi = sur mon coeur pour pouvoir l’entendre, en moi règne un a nim a l votif, veau ! ... veautif ? il règne dans mon wsein , il est présszent depuis la nuit des temps mais peine, à, de fait, sortir de nous, à présent que les mots en nous ont pris cette sorte de pl;ace (considérable) qui est la leur et qu’auteefois (du temps des hommes et femmes des cavernes, du temps des cavernes) elle n’occupait pas ou pas tout à fait de cette fa çon , car en l’homme et la femme toujours il y a eu cette cxhose d’u ne occupation temporelle, en cet homme ou cette femme que nous sommes, a toujours existé une sorte de tampon de verbe (plus ou moins étoffé mais tout de :m^eme) et donc, c ette chose ici d’une donnée animalière langagière, qui a dû jouer certainement sur les tenants et les a boutissa&nts d’une question relative ici à la vie sur terre, nous menons l’enquwête, nous sommes ensembvle qui menons l’enquezte, une enquete relative à la vie sur terre : de quoi il s’agit , qui préside aux destinées, qyui tire les ficelkles, qUEls sont ici les enjeux et les différents acteurs / actrices, qu’en est il d’une possible vérité vraie des choses du monde , que pêut on penser de la vie en soi , et hors de soi du temps passé, à cxhezr her des données, à recueillir et compôsezr un bouquet de données qui serait (le bouquet) un ensemble charnel portant sur lui les chosesq de la vcie terrestre (compôrtant),
nous cherchons des réponses ici ou là, nous voyons c ela commùe quoi nous cherchons assidument, nous ne sommes pas au bout de nos peines, nous devons poursuivre, nous sommes conscients du fait que c ela que nous déposons sur rocxhe n’eswt pas , à proprement paerlezr, la vie vive attendue et espérée par Mort de Bouche, celle-ci attendait davantage et en vérité était en droit d’(attendre davanta ge et ce dans la mesure où la vie àla na issance était don, pour nous, et ce don est peut-être du coup à remmetre à la sortie pour ai nsi dire, don ici xd’une chose à rendre, par conséquent ce don est un faux don,;n ‘est pas tout à fait un don mais plutot un leg, ou comment nommer cette chose, une sorte de ... pr^êté ? nous avons à rendre à la sortie ce que nous
a vons reçu à l’entreée, quelmque chose de cet ordxre, nous vons reçu lavie, et à la sortie nous devons la remettre à qui de droit qui est en droit (donc) de récuperer icelle = ses billes, nous avons reçu la vie en bonne et due forme à la naissan ce et la mort est en droit dès l:ors de retrouvezr ou de récupérer ses billes, nous pensons que cette chose eswt ainsi ici et que dès lors que nous avons reçu nous devons rezndre ;
en tous les cas il wsemblerait que cette chose, est ainsi formée ou façonnée, et qUe cela que nou!s détenons (par la bande) depuis le bail de notre naissa nce, se doit de se voir rendu (de fait) à qyui de droit à toute fin du bail, or, la fin du bail est quelque chose de sp^écial, dans la mersure où, ici, la mort appelle , elle appelle et elle aspire, elle veut, elle hurle sa chose qui est chose de bon vouloir, la mort aspire,elle est en bout qui aspire en ouvrant ghrand la bouche, elle veut récupérer xsa mise et cela sans tarder et pourquoi cela ? car, elle est radine ! car, elle ne veut rien laissser passer, elle ne veut riezn p)erdre, car, elle a besoin p)our elle de récupérezr (1 pour 1) sa mise : pour quoi faire ? peut p^$tre pour se renflouer, ou pour redorer son blason ? ou pôur se reqUInquer ? pour se renflouerr en termes d’e monnaies tombantes et trébuchantes ou bien commùent ? pourquoi la morrt est-elle «sur nous», qui atteznd de nous (urgemment !) la remise des clés m:=usicales du temps ou comment ? nous offrons sur roche le temps, mais le temps ne lui convient pas, cazr elle (lamort), cela <qu’elle désire n’est pzas tant l;e temps d’une vie vécue (l’art des cavernesw) que cet animal, contenu en nous, cette bete-vie en nous, qui est celà même qui tient ou tiendrait la barre d’un etrte, qyui gouverne ou gouvernerait (gouvernail) et tient ou tiendrait bon la route, la mort a cette vue sur nous et ne nous lache pas, elle en a bhesoin pour ezlle de cette énergie motrice contenue en nous, car en vrai ezlle se nourrit pour ainsi dire de cette énerrhgie, pour durer et tenir bon, et nous de lui offrir de cette
sorte d'énergie motrice
un de ces matins quatre, ou trois,
ou un jour proxhain, maiçs (pour le moment) nous ren,âclons (à notre façon) sur roche car, nous tenons mordicus + + à rester en vie, à conserver celle xci en nous (cette bete) et, du coup, en offrant sur roche des «betes -représentation» ,; du + incandesqcent, tout ce qui est en nottre pouvoir d’offrir dans le ghenre et voilà tout, car nous renâclons,;, nous freinons des qauatre fers ou sabots, nous fa isons notre pôssible (à notre insu ou malgré nous pour a insi dire) pour tenir et ne pas flancher, nous tenons à la vie c’est à dire à cette bete ezn nous qui préside ou présiderait à notre destinée, nous croisons les doigts car nous eswpérons durer durer ezncore et rester en c e monde comme ceux et celles qui gravons et dessinons sur roche des betes imposantes, ddes betezs de poids qui pèsent leur masse, etc, nous voulons aller loin dans les connaissqances et comp^renxdre les données qui sont celles, ici, en jeu, en )pareille histoire de paroi rocheuse, d’embruns, d(‘homme desq cavernes, d’entre-deux-mers, de monnaie de la pièce, de donné pour un rendu etc, car, ezn vérité : pourquoi renflouer la mort ? est-elle à la rue ? est-elle exangue ? mùanque t elle de sa ng frais ? de sang tout court ? de quoi manque t-elle ? de qUOI la mort manque t elle ? pôurquoi veut elle de nouws ? pourquoi veut ezlle de cet animal (la vie ) contenu en nous ? pourquoi veut elle de cet aurochs et pourquoi le mot-bete, le mot-a urochs ne lui convient pas tout à fait ? pourqyuoi ne se contente -t-ellre pas des mots-betes de la paroi? que cherche -t-elle à) nous soutirer ? qsue fait elle de la v ie en n ous contenue (l’aurochs) à l’heure où nous trépâssons ? pôurquoi a t el;le besoin de retrouver en elle (?) cela même qui nous avait été offertt de fait à notre naissa,nce ? pôurquloi la mort est elle gloutonne , pôurquoi veut elle de notre vie à tous ? qu’en fait elle ? que fait elle de la bete contenue en nous une fois que cezlle
-ci (c’est à dire « nous » par ricochezt) est morte ? que fait- elle de lapeau de l’ours ? que fait la mort de cette chose ici animale en nous contenue? pourquoi veut elle notre peau de fa çon aussi urgente ? que chercxhe t elle à nous xdire (ou p)as) en ouvbrant la bouche en grand ? qui ewst elle ? existe t ellle ? que veut elle ? a t ellme faim de nous ? que man bge telle en nous ou de nous ? que veut elle faire de notre gouverne ? a t ezlle envie de notre animal ? une envie comment, cest à cdire de que»l type ? veut elle attenter à la vie ezn nous, de la bêzte en nous contenue? la vie ewst u ne bete conte nue en nous com^me une sorte de tic tac dominical, dominical et musicall, la vie est une chose en nous qui est logée en nottre sein, et cette vie logée en notre sein est une sorte d'animal lové, nous savons cette choseà) p^résent, la vie (kl’animal) en nous, eswt de cell:es qUE la mort attend, attend avec impâtience ! la vie en nous est comme attendue mordicus par (ici) la mort à l’ oeuvre, qui (mort) est l’entité buccale par ex cellence, celle-là que nous cxherchons tant bien que mal à esquiver, en offrant cde nous tout ce que nous pouvons, en termes de simili-vie et xd’incandescence (de furie), et cela par des mots-betes dessinés sur roche, des insqultes, ders injures, des grossièretés, des betes de charge deszinées (à main lezvé&e) pa r la ban,de = e,n lévitation, p)ar en moi une sorte de bete fauve qui charge et déch&rge, il s’agira peutetre d’un lion des roches, ou bien d’un ours, je vois cette chose ainsi, qui est que nous devons (en vrai) esquiver , esquiver le plus, qui est que nous avons à ici nous protéger, autant qye faire xse peut, de cette bouche xde la mort à l’oeuvre,
gvrande ouverte, votive, captive, féroce, impatiente, quyi cherche à tous prix à retrouver (récupérer) sa sorte de mise initiale et cela pourquoi ? par paresse ? pa r égoisme ? par envie ? par mécxhanceté ? par radinezrie ? car un sou est un sou, et ce qui (de fait) est prêt»é est prêté et se doit de revenir de droit à l’envoyeur, de reztourner dans le giron de qui l’a vu naitre , est-ce cela ? je pense cette chose comme quoi en vrai nous devons aller en roche cxomprenxdre des cdo,nnées concernant la mort, mais pas seulemeznt, nous devons aller et revenir, aaller et retyourner, faire des allers retours, entrer et sortir, peut etrte , nbous ne savons pas, nous subodorons, nous essayons de com^prendre ... un chouia, nous voulons comprendtre les choses du temps, de la roche, de la mort, de la vie à moelle, etc,
ce qui est ici qui comp^te et est à conserver, etc, je vais ainsi à la recherche d’june vérité «de bonne mesure» car je suis celui (ici) qui cherche à savoir, je pense à la mort comme à une bouche, grande ouverte, nous appezlan,t, hurlant l’appel, hurlant ou susurrant mais nous intimant à bien vouloir venir vers elle et plus vite que ça ! et comment faire pour ne pas en vrai succomber à son appel ou sorte d'appel mortifère ? nbous pensons que nous devons savoir, cette chose comme <quoi, en ous, existe une bete, cette bete il nous est difficile de la toucher ou de la voir , ou de l(appréhender, car nous sommes masqués, ou plutôt : le langa ge a rticulé (qui est le nôtre) aura tendance à peut-être masquer un tantinet ou un tant soit pêu la chose, nous devons comprezndre cette chose comme quoi la vie en nous est une bete de gouverne, animal poilu de belle taille, et que dès lors cela, que la mort souhaite (vite fait) récupérer, est cette betye en nous, cette masse vive et rien d’autre, et squrtout pas ces facs-similés ou de ces sortes de, ou représqentations qui ornent les parois, que non ! la mort veut son pesan,t à l’identique = en miroir, ce qu’elle a do nné a u debut d’une abveznture humaine le récuperer au centime près, ou au mietton près, car la mort est ainsi fichue qu’elle cherche continuement à retrouver ses billes comme ci devant, elle ne veut rien perdre et ne laissera passer personne, elle a faim, une faim de loup, elle veut sa cargaison de chair fraiche vive (morte dès lors) pour sa gouverne et pour satisfaire son encvie continuelle, elle ne lâcxhe rien, mais nous, nous ren âclons à pour le coup donner pitance à pareil etre, pareil etre mauvvais, car nous sommes eznswemble qui freinons ici des qua tre fers et essayons ensemble de tenir longtemps le plus possible hors de ses griffes, nous offrons ainsi (sur roche du temps) le présent de la vie, soit de la vie active, vécue, présente, etc, le vécu (passé et présent) est cette cxhose déposé par nous au pied de la bouche, nous savons que ceztte chose ne fait p)as le poids, mais enfin nous mettons à cela tout ce que nous pouvons en termes de présences vives, d’incandescvence, de coeur et de sang, de volontész, etc, nous chargeons le bûcher à son mzaximum, nous offrons la tempete, bnous donnons la ruche bruyante , nous faison,s ici ce don de retour, da ns l’attente ouu dans l’intervalle de cette sorte d'entre-deux-mers, ou dans l’attente d’etre dévoré un de ces hjours p^rochains, qui nous verra entreer dans cette bouche du demain, des lendemainsb moqueurs, etc,
nous essayons ensemble de comprendre ce qui est ici qui donc se trame, en cette roche de paroi de grotte dite «ornemezntée» et pour cela, nous faisons appel à tout ce qui en nous peut nous apporter dxes éléments (étayés) de réponbnses, car nous avons pour ambition de comprendre les tenants et les aboutissants de toute l’affaire, nous voulons comprendre au plus que nous sqommes ca pablesq en jouant des mots, bnous pensons que les mots recèlent (qui sait ?) des trésors de vérité et dès lorsq nous tentons cette chose, nous eswsa yons à travers eux de trouver des choses, des sortes de petites vérités, qui nous en apprendraient beaucoup peut-être sur ce qu’il en est, en vrai, de toute cette affaire d’une destinée buccale, d’une vie en ous a nimale , c’est à dire de la vie ennous qui est un an imal, l’animal de vie, ou bien l’animal cde la vie cordiale, nous pensons que la vie en nous est un animal, ou une sorte d'animal, qui chercghe à sortir de son enclos cordial, nous pensons que cette chose (en nous) de la vie qyui, pour le coup, bat sa mesqure (métronomique) , est une bete qui, sortie de nous, devient bete-mot, car il semblerait qu’ici le lien, de fait, soit serré voire direct, entre :
cette chose d’une vie en nous qui est, en vrai, comme contenue (moelle),
et, cette chose sur roche, qui ressemble à s’y méprendre à cette bete contenu en soi, et qui est :
mot-bete de paroi, effigie ressemblante, mmimésis, mimésis de vie, brulure, incandescence, etc,
nous pensons que nous devons (de fait) rapprocher ces choses et les comprendre de concert et pour la bonne cause : l’oursq, en moi, l’aurochs ou le veau, a son pendant, dessiné sur roche,
l’ours en moi ou l’ourse en moi (ou les deux ?) a son pendant sur rochje, ou ont leurs pendants sur roche, dessiné(s) ou gravé(s), qui dit (le penda nt) le lien, soit le lien de sang, qui unit la vie au dire de la vie, nous pensons cette chose ici comme quoi : un pendant existe, entre donc une chose et une auttre, ou plutot : que la vie (l(animal) en moi, a son pendant de représentation censé jouer le même rôle, ou pâs loin, sur roche, que la vie ! il semblerait que cette vie en moi (en moi contenue) soit une bete en vraie (corps et biens) alors mùême que celle, peut-etre, qui est dessinée sur roche (et qui lui ressemble) ne pôurra jkamais rezmplacer icelle dans la bouche de la mort à l’oeuvre ou sinon comment ? car, je suis cet homme qui contient en lui un moteur de vie animale, c’est à dire la bete qui en moi préside, commande et chapeaute, et cette bete en moi rugit, trépigne, aimerait sortir, aimezrait voir du pâys, etc, et moi (mordicus) de l’en empêcher car je tiens à vivre ma vie d’un ezntre-deux-mers et ne vbeut pas (pas encore) sombrer ... sombrer dans les abysses, je veux dessiner dessiner dessiner ces aurochjs, et du coup faire croire à la mort qu il s’agit de vrais aurochs quand il n’en est rien,
je veux dessiner la vie vive (incandesceznce) = des dessins de flammes, quan,d je sais que ces dessins, de fait, ne sont pas laflamme et cependant, à la lumière des torches de grotte c’est à s’y méprendre, on croirait à de la vie vive (b rûlante) en vrai, qui bouillonne sur paroi de toute son incandescence, etc, je fais (ainsi) à base d’injures, d’insultes, xde grossiéèretés, de maldonne, et espère toucher ainsi la timbale
et espère ainsi toucher la timbale
4/5/2021
je suis secondé, je suis redoublé, monté et poussé, je suis cet homme de vie qui est cet homme qui en lui ressent cette chose d’un pouvoir animal qui pousse, car en moi est cette chose d’une bete forte, forte et fauve, qui pousse (vie) et va de l’avant, dans un agir de tous les instants, car en moi est la vie = la bete, qui est cette bete qui est cette bete qui est cette bete qui va, qqii pousse, seconde apres seconde, etc, cet etc de la vie terrestre avec bete en soi (uffa !) qui pousse et donne son la ou de son la, musical, de roche, afin d’en avancer, la bete est en moi qui me pousse à (pour le coup) aller devant, en roche du temps, déposer mon temps ou de mon temps en tant qu il serait ou est cette offrande ici de vie donnée à qui me regarde de son oeil buccal, ou comment désigner ou nommer cette chose,
cette chose ouverte, cette échancrure, cette ouverture ou sorte d'ouverture de vie dans la vie, cette sorte ici d’échancrure de vie ... dans la vie du temps ? je donne mon temps sur la roche aux présebnts, je donne de moi , de ce «moi + animal» ou de ce temps de moi = ce présent = temps de vie passée, cette chose ici d’un passé-baluchon ou baluchon de vie à donner «poussé», et «poussé» par qui, sinon (en moi) par :
cet animal de compagnie rupestre = ce cheval,
ce cheval, cet aurochs, cet aurochs, ce bison
ou cet autre bison, etc,
je donne mon présent de vie
soit de vie continue, soit cet élan de vie en moi qui est du temps passé et non point l’animal en moi qui (peut-être) seconde ma vie, seconde après seconde, je ne donne pas en vrai mon animal soit mon animal de doublure, je ne donne pas de moi cet animal de vie en moi, mais mon temps = mon passé et mon présent, ce temps de choses passées, ce temps de
s dits «dépots de vie» qui est temps de vie mais non point lma vie telle que l’on pourrait de fait la penser et la définir, je suis cet homme mi homme mi bete, qui est (peut-être) cet homme en vie vive offrant à la mort, non point sa vie sur un billoot comme attendue (peut -etre) par ellle, mais son temps (passé et présent) sur pierre, sur table d’offrande (etc) et, ainsi faisant, s’en excuse ou s'en excuserait à plates coutures, ou comment ? cazr l’homme ici est mi homme mi bete, mi homme et mi bete de vie, il est (je suis) cet animal caché en soi, qui est la vie qui va en soi et pousse son grain quotidien, ses secondes, son temps qui s’échelonne sur paroi , et voilà (dès lors) le temps qui serait déposé sous forme d’ezffigies (animales) de compagnie, la mort est servie, il s’agit de voir, ainsi, cette cxhose, d’une sorte de présent de vie fait à cette sorte d'entité dite «de la mort à l ‘oeuvre», un présent de vie qui est un don de soi en tant que tel = un temps = une chose gravée sur roche, ce temps du dessin dit «de bie,nvenu» sur roche, ou bien ce temps d’une sorte d’allér, en roche, par la voie du sang, du sang animal, je vais en cette roche par le sang donné qYI i est ce sang de la paroi du temps, je vaiçs en roche à la recherche de la vérité sur , ici, ce temps offert à une sorte d'entité nommé (qui sait ?) deéité mais qui serait en vérité une sorte d’échancrure dans un tissu, dans une maille, etc, kje vais en roche ainsi «motivé» par en moi cette bete, qui commande ou commanderait aux destinées vraies, aux chemins de reconnaiossance et me pousse ou donc me pousserait à franchir le temps compme étape à ne pas sauter, je vais en roche à la recherche d’une vérité (dite)«des temps impartis», d’une véerité «du temps alloué», et ainsi secondé, par (de fait) cet animal cde vie en moi, je cherche ici et là des éléments susceptibkles de m’éclairer dans mes recherches, susceptibles de m’offrir ce que je dois ou me dois de mieux comprendre de moi-même avec ma gouverne, je cherche des motifs, des raisons, des explications, des réponses, des vérités nommées, des mopts de choix, des mopts justes, une justice, etc, qui puiissent m’éclairer sur mon chemin de vie ou chemin de vie vive, et me donner un sens de direction où donc aller soit me diriger en pareille roche aux embnruns nacrés car que faire, où aller, que dire à cette bete (bete de vie) en moi ? je vais en cette roche mi homme mi bete et cherche ici et là, en vrai, une entrée et cette entreé (de vérité) est cachée, est masquée, où est elle ? je cherche en ette roche une échancrure = une fissure = une faille
= une musique de bon aloi, un chant des sphères, une poussée de fièvre, une voix qui saurait m’insdiquer la mesure des choses, etc, je suis comme secondéc en moi par cet animal de roche dure , cette bete-mot allouée qui est (pour le coup) cette bete (en moi) de vie vive (tic et tac en moi)
qui (on le voit) va de l’avant toujours et pousse, pousse son chant (guttural) des roches, soit sa mélopée animale (brame) en moi, comme d’un chant de roche dure en moi, qui serait de fait cet élan en moi de vie vive, etc, je vais en roche et vois dès lors cette chose en moi, d’une bete qui me chevauche, qui me seconde, et moi de elle la déposer or il s’agit d’un faux semblant, d’un pis-aller ! en moi la vie = la bete en moi, et cette bnbete-vie est à offrir ici au dieu de la mort, or ce que nous donnons à ce dieu de la mort (qui n’attend que ça : notre mort ezn ooffrande) , ce que nous donnons, ce n’est pas à prprprement parler notree (véritable) bete-vie contenue en soi mais une sorte d’effigie, de bete-vie, = un semblant tracé ressemblant = comme en vrai, comme de vrai au plus, mais en vérité rien du tout ! un tracé rupestre, un dessin de bete allant (fissa) swur roche des prés, etc, mais non point en nous cet animal de vie, de vie vive, qui est celui-ci qui, précisément, nous porte en vie, nous pousse en vie, est vie (= des secondes) en nous = le temps ? cette bete en nous est ce temps de vie vive, or voilà ce qui est ici que nous offrons : du temps passé, et non point le temps vif de la vie vive en no!us animale, cette comman,de ou sorte de commande animale en nous, ce cap de bete en nous, ce chapeau, ce train-avant etc, nous donnons ce temps de nous passé à m^me la roche, nous donnons de nous ce temps d’un passé de roche,ce temps d’une sorte de passé de roche dure mais non point la vie en ce qu’elle a, ou en ce qu’elle est pour elle même : ce tic tac cordial, cet é grainement, cette suite vive allouée, etc,
ce que nous donnons de nous = un animal tout ressemblant à la vie vive ;mais qui n’est pas de la vie vive mais le temps de la vie vive, or les choses ne sont pas les mêmes, ne sont pas superposables véritab lmemùent, la vie passée (le temps passé) n’est pas la vie vive, il faut distinguer, nous voyons ici cette chose cvomme quoi la vie passé n’est pas vie vive mais plutôt passé de vie vive et ce n’zest certes pas la même chose tout à fait et cela nous le xsavons bien qui nous en excusons (plates coutures)- ici, sur roche, sur paroi, à notre façon , et pleurons cette chose d’une excuse adressée à une déité de roche, nous disons que nous ne pouvons pas, de nous, offrir plus que cette ressemblance accrue, la plus accrue possible, et voilà tout ! qu’offrir d’autre sinon notre vie ? maiss nous ne voulons pas offrir notre vie ! oh non ! nous ne voulons pas offrir de cette vie nôtre, non ! car nous tenons à cette vie la nôtre , oh oui ! nous y tenons grandement, nous sommes qui tenons grandement en ous à cette vie de nous qui est un animal en ous, car la vie, en tant que telle (en nous) est un animal, une bete qui est en nous notre gouverne, je suis en moi cette bete qui me gouverne, me seconde seconde après seconde, je suis en quelque sorte cvette bete en moi qui est «la vie» qui est ce tic tac (cordial) de vie en moi, que je subis pour ainsi dire, car la bete en moi vit sa vie, qui la fait de fait aller sur roche et parcourir les lieux de vérité nacrész,
je suis en moi cette bete des temps a lloués, elle me guide et me donne le la de départ, l’impulsion native, ce chambranle, ce chamboulement, cet instant du top-départ de vie allouée, je suis avec en moi cette bete de joie vive et donnant le départ ou le top-départ d’une vie à vivre, et cet animal-vie en moi est une bete-mot, ou serait cette bete-mot ,
ou non ? pas vraiment ? bete-mot sur ropche, pour faire accroire ? quoi donc ?
nou!s cherchons ensemvble (main dans la main) une solution à un problème de type mathéma tique, nous cherchgons ensemble une solution à un probvlème qui est un problème de définition disons cartésiennee et cpomment trouver celle ci, ette repopnse, cette solution (à pareil problème de vie) sinon par le chant, la chose chantée, un élan de voix votive, etc, nous cherchons à comprendre ensemvble (tous, toutes en nous ?) cette chose d’une sorte de réponse offerte à une déité que serait la mort, cette mort nous attendrait, impatiemment, sur un wseuil qui reste à définir, et nous de lui offrir non point cette vie (vive) animale (un animal) en nous, ce tic tac cordial de la vie vive, maisq une effigie, un manteau de bure, un vetement, une cape, un semblant, un pis-aller, une sorte de «bete -vie en vrai» mais ce n’est pas une «bete vie en vrai» c’est une bete-mot, une sorte de (pour ainsi dire) semblant de vie vive qui est une sorte de bete-mot ou de mot-bete sur la roche (dessiné, gravé) et que nous nous offropns ainsi, comme en nous excusant de ne pouvoir, en véreité, offrir davanta ge car en nous ce n’est pas nous qUI commandons mais la bete en ous (transe) qyui préside aux destinées humainesz
cvar la vérité des choses est celke ci : en nous il y a une bete (la vie) qui préside, et cette vie, nous de vons (cest aoinsi) l’offrir à une déité, qui est ou serait cette forme de « la mort à l ‘oeuvre,
et cdette déité a tteznd, impatiemment, cette chose = cette offrande de nous, ce cadeau, ce présent et c’est bien cette chose dès lors que nous offrons à titre de compensation ou de remplacement : ce présent de la vie temporelle, = ce passé-présent de vie vécu = le vécu et non point la vie, ce vécu et non point ceztte vie (vive) animale en nous, ce vécu est un vécu de roche dure, il s’agit d’un présent alloué offert à qui de droit, nous donnons ce vécu (et non point la vie) sur roche, au fusain , au manganèse, ou par la gravure, nous donnons non point la vie mais le vécu, car l’aurochs est du vécu de temps offert sur roche, l’aurochs, le cheval, le bison, le bouquetrin, etc, les animaux-mots sont du vécu ( temporezl) et la vie vive est consqervée par dev ers nous, et cela au grand dam de la mort à l’oeuvre qui attendaiyt plus, qui voulait davantage, qui pênsait pouvoir compter sur plus, sur de la vie vive encore vibrante animale en soi, car en soi est (de fait) la bete qyui gouverne !
nous portons en ous en continu une bete et cettye bete est cette vie en nous, cette chose tictaquant la vie, qui s’égrène, etc, cette chose en nous est animale / animalière, il s’agit d’une bete de gouverne ezn nous, qui est cette bete qui décide, qui veut, qui va, qui cherche, qui est en nous comme un train-a vant, un train directionnel, une charge de vie qui est charge de sens etc, nous portons en nou!s cette bete de vie racée, qui est cette bete appezlée «la vie» en d’autres lieuixw, nous pensons qu’en nou!s la vie est comme un animal de courtoisie ou de compagnie, qui est notre cap, notre train de direction, nous pensons que cette chose en nous est appezlée par une déité, la déité mortelle ou comment l’appeler ? à aller fissa & se présenter à cet endreoit de bouche de paroi ouverte pour la peine, nous pensons à part nous, que, l’animal-vie en nous, est appelé, et nous dès lors de ne pas céder à son appel ou alors si, en offrant de nous un wsemblanrt de vie-a nimale = un dessin (ressemblant ô combien !) de roche, cette bete-mot-effigie, cette bete gravée à l’envi et multipliée, nous donnons ce semblant = ce faux semblant, ce sang blanc = ce faux san g de nous qui nou!s tenons, à part, encore vivant, sur roche, en lévitation, pris d’assaut en nous poar une bete en nous qui nous chevauchye, nous pousse à faire sur roche son portrait en pied et nous de succomber à cette sorte d'injonction (animale) en n ous, qui est cette chose d’une sorte de poussée massive en nous, cette sorte de poussée massive et rude en nous qui ne pouvons pas ne pas nous laisser en,trainer, qui ne pouvons pâs nous réfrener, nous placer en travers, ne pas succomber, nous ne pouvons pas échapper à l’emprise en nous anima le qui commande a ux destinées, nous ne pouvons pas échappper à cette
sorte d'emprise sur nous, en nous, qui est injonction animale-animalière en nous, qui est cette chose de la vie vive en nous, ce treacé de vie en nbous, cette ligne de direction, ce tic tac moteur, etc, il s’agfit en nous d’une sorte de «volont»é animale», qui commande, qui est comme la commande de direction, qui est cela qui préside, qui est cxhef et cheffe, etc, il s’agitbde voir cette vie en nous comme une sorte d’animal en nous, et cet animal préside, il est la vie qui va et se continue sur roche , et nous de dire-écrire notrte malaise, via des mots-betes, via des effçigies = représentations, afin de se faire en vrai comprendre par la déité susmentionnée, nous voulons nous faire comprendre de pareille déité sus mentionnée, bnous voulons essayer de nous faire comprendre par pareille déité sus mentionnée, c’esst important,
il nous semble à) nous que cette chose est réellement d’une grande importance, nous devons nous faire comprendre et montrer de fa!çon c laire (exposée comme il se doit) que cela nous dépasse, que nous serions ok pour nous donner de fait en pâture illico presto mais qu’en n ous la bete préside = la vie, et que d!ès lors ce que nbous donnbons ici sur roche = cette chose d’un semblant de vie, de vie vive, une fausse vie = le temps = la paroi du temps = la douleur des temps = la paroi dela douleur des temps = des mots-betes ou mots-animùaux qui sont des effigies spatio-temporelles= du déroulé = du temporel musical = ce la = cette chose des sphères, ce chant = ce chant nuptiall, ce chant cotonneux, cette mélopppée, ce faux semvblant (de vie vive) comme coeur de vie, etc, nous sommes (en nous) deux, quyi donnons de nous ce semblant de vie, nous sommes deux en nous quyi donnons comme un sembklant de vie à la roche du temps ou sur roche, nous sommes deux en nous qui donnons cette cxhose d’un temps imparti qui est du temps présent-passé ou passé-présent et ce présent (offrande)- déposée sur roche (sur paroi de grotte) est le présent que nous offron,s à cette déité
de la roche (dure) des temps, qyi est déité
en attente d’un don intégral, d’une vie en vrai pour le coup, d'un etre «de chair et d’os» et de la vie qui va avec, la mort est une déité qyui, il semblerait, attend de nous (impatiemment) un (notre !) don de soi ou comment désigner cette chose de la mort pour nous, la nôtre, ceztte mort de nous qUui serait comme offerte fissa (instamment) mais qUI en pratique ne l’est pas , car la vie va qyui est secondé (posséd»éée) par, en elle (?), un animal dxe compagbnie = de roche ? il s’agit pour nous de cette chose d’une sorte (en nous) de bete aux commandes et nous de nous laisser mener ainsi, du bout du nez pour ainsi dire (pic ? cap ?) et de graver des betes-mots sur roche : nbous donnons ce que nous pouvons; nous ne sommes pas sezuls en nous, nbous donnons ce que nous pouvons, nous ne sommes pas seul en nousq, nbous donons des sortes d’effigies rupestres, des bisons ou des rennes, des chevazux ou des aurochs et ce sont des mots, en vérité= nos noms, mon nom, etc, nous donnons des noms en vérité , qui sont nôtres, mon nom et mon nom et mon nom, etc, nous donnons des noms de betes ressembvlantes, nou!s tra çons des re-présentations; des effigies, des faux, du faux, du faux sang de vie, du sa,ng mort, à (ici) la mort qui veut (voudrait : nous le subodorons) du sang vrai de vie vive, etc, nous essayons en vrai de comprendre cette cghose, nous voulons comprendre cette cghose et ne voulons plus nous laisser déborder de cela, il est temps pour nous de comprendre c ette chose et de ne plus nous é careter du tout de cela, comme quoi kla vie en nous est, de fait, un animal et que cet animal est comme «appelé», «appelé» à mourir = à céder le pas , à stopper sa course en bnous, avec nous, etc, nous savons (quel savioioir !) que nous sommes (nous !?) appelés à céder (concéder) notre course (ici) de vie d’allan,t, et pour cela il faudra ou il faudrait quye l’animal en soi, en bnous, s’arretêat, dans sa course de vie, de vie vive d’allant (d'allant son chemin) ! nous savons (!!) , nous savons !!), nous savons (!!) et ce (ces ) savoirs sont en nous comme des betes fauves qui ru gissent, il y a en nous ce savoir ou ces savoirs, qui rugissent, hurlent, crient, insultent etc, ces savoirs d’insultes sont en nous et rugissent, grondent, vitupèrent, s’exclament, en rajoutent dans l’invective, vilependent, disent des mots gros et gras, des mots à ne pas dire, ce plus du plus possible dans une expression lzangagière = des gros mots de forte (très forte) amplitude,
nous sommes nanti en nous mêmes, ici , de ce savoir de haute vie, de cette chose d’un savoir de haute tenue, dans le registre des gros mots, et de l’invective adressée comme à la cantonade, nous sommes munis ici de ce savoir de haute tenue dans le registre de l’invective et nous voulons à présent comp)rendre, ce quyi est, en vérité, ce qyui se trame, ce qui se hjoue, en pareille roche du temps, nous savons (ce savoir = injure) que la vie est en nous un animal et que cet animal est attendu par une déité qui est (dit-on) celle de la mort, nous savons cette chose commê qyuoi en nous existe un animal (la vie) , et cet aanimal... est attendu ou comme attendu de pied ferme, par, ici, cette chose devant soi (!) qui est cette bouche (!) deva,nt soi, qui est cette ouverture (!) dfevant soi, qui est cvetyte chose de la mort à l ‘ oeuvfre, et cette chjose devant soi (là-bas ...) est nacrée -bleuitée, nous attend, c’e’st à dire qu’elle attend en don la vie offerte, qu’elle attend la vie (la notre) offerte en vrai, ce tic tac de vie cordiale, voilà ce que loa mort attend, elle attend cette choçse de nous, elle n’atten,d riezn x’auttre, elle ne veut rien d’auttre, et nou!s de lui donner ce qui ressemblerait le pluys à de kla vraioe vie animùale : ce dessin-effigie virulent (une invective = un mot vif, dru, cru le plus) et ainsi faisant nous faisons comme nous pouvons, nous essayons, nous baissons l’échine : que faire ? nous sommes et restons en vie ! et de cela, nous avons à nous en excuser, et pour nous en excuser, nous devons offrir ce qui en nous ressemble le plus ... ou hors de nous (?) ressemble le plus, à de la vraie vie animale = le tracé (dans l’invective, l’insulte proférée) d’un animal dit «de fort poids» et qui est la vie même pour ainsi dire (la vie même) etc,
nous essayons ici cette chose , d’offrir,
sorti de nous (soous influence), cette chose d’un treacé qui est animalier, d’un tracé de bete (et ce serra des mots pour nous) qyui sezrait insulte (une insulte !) offerte à déité «d’un xdezvant de rochye du temps», nouys offrons sur roche l’image (sur pied) d’un temps vécu, ce temps animal vécu mais qui bn’est nullement lza vie vécue en vraie, c’est à dire la vie animale « live » offerte, non point ! il s’agit de comprendre cette chose ici d’une vie offerte, mais qui n’est nullement la vraie vie cordiale (de coeur) qui est (en nous) animale, cette bete en nous qui sommes tous et toutes d’une sorte de tribu, et qui parlons au nom de la tribu, car ma langue est celle pour le coup d’une tribu et non point la mienne seulement et en p)articulier, je parle dsonc au nom des miens , quyi sont ceux et celles qui sont (ici) autour de moi, ceux et celles qyui p)ar(lent la même langue que moi, etc, je dis cette chose d’une sorte de don en pis-aller, ce pis-aller est cette chose pour le coup gra vée sur roche, je rezga rde ce qyui est et ce que je voisv en vrai est ce pis-aller sur roche allouée, je saids cette chose d’une sorte ici de pis-aller sur roche, je sais que cette chose est de cette sorte et que les dessins de pàarois sont des pis-aller offertt par la bande (de l’entre-deux-mers) pour une déité qui est ou serait contenue en roche dans le temps, mais comment savoir ? nous sommes dans la roche du temps insérés et voulons nous en délivrer : que dire ? le temps est cette chose, offerte sur roche : défilés de betes fauves, et ces fauves ici de roche font accroire et pour nous parlent pour nous, disent ce qu’ils ont à dire au dieu de la mort, et c el a est cette chose commpe quoi nous sommes qui nous excusons de ne pas offrir de fait la vraie vie de soi, ce tic tac cordial pris en soi, qui est un animal de nature, et nous, de donner ici ce que nous pouvons en termes d’animaux, et voilà ce que nous faisons : nous dessinons-gravons des betes rugisssantes (l’invective ! l’insulte ! le blasphème) sur roche, nous donnons cette chose sur la roche et cette chose est comme un don accompagné, il s’agit de comprendre du coup cela même que nouys faisons et qui est que nous offrons en vrai une chose, une chose en particulier et cette chose est une chose en don qui est (de fait) du présent ou dfu passé de vie = le temps = le vécu, le vécu ici pris comme invective, comme insulte proféré, une insulte ! cela est une insulte, car donner son propre ou de son propre vécu de vie à lma placve de sa vie (le coeur qui bat) est pris par nous (?) commùe une insulte ! est pris par qui de droit comme une insulte ! est pris par cette déité de bord de mer, de parois dressées, comme une insuylte ! nous savons, et ce savoir en nous est cette chose qui nous fragil:ise, qui nous intimide, etc, nous savons que ce que nous donnons frise l’incorrection ... est de l’incorrection, est une insulte en regard de l’attente, de ce que de fait la mort attend ou attendrait de nou!s = l’animal en nous et non point ... ce même animal ... hors de nous ! voilà le pot aux roses ! la mort attend,
cette mort du devant attend,
la mort du levant attend,
nous avons ici affaire à une mort, d’une sorte de levant de soi qyui, il semblerait, atteznd la vie donnée = nôtrte, nous savo,ns que cveztte chose devant soi (mais où ?) est cette cghose de la mort en attente d’un don, et ... notre don est piteux ! pitoyable ! moquerie ! grotesqIUe ! des effigies (seules !) de choses ! c’est piteux et misérable ! nous d onnons de nous cette chose pitoyable, et la moprt, elle, comprend cette chose (peuteetree) ? et nous regarde, nous, depuis là-bas, qui offrons le Temps ... à la pla ce de la Vie ! nous offrons et ce que nous offrons (en vivant, car vivre = donner, soit donner en continu) c’sest, non pas (point) la vie en vraie = l’animal en nous, mais la vie en faux = l’animal hors de nous, car l’animal en nous (qui préside) nous pousse à pour le coup inscrire sa propre représentation pour ainsi dire langagfière sur la roche, et nous xd’obtempérer de force, car, nbous sommes sous emprise, et nous ne pouvoons en découdre, nous sommes sous le hjoug
de la vie animale en n ous,
de cet animal de vie vive
en nous, et ne pouvons contrarier son propre élan de vie en nous, ou sinon comment : en wse tuant ? haraa -kiri ? soi en holocauste ?
nous decvons comprtendre (tous et toutes) ceette chose comme quoi nous devons donner une chose de nous à une deité qui (on dirait) est en attente, nous devons donner à une déité qui (on dirait) est en attente une chose de nous et cette chosex=
la vie en nous = la vie animale, cette bete en ous,
et nous de donner quoi ? le Temps, le Temps vécu, ce temps de la vie vécu et non point la Vie en nous animale (cet impuls) : nous donnons-vivons, nous sommùescqui donnons-vivons, or le don ici attendu n’est pas ce don avec train de vie, mais un autre ! la mort attend au loin (horizon du savoir) notrte vie en don, qui sera ou seraiot un don-mort, un don de vie morte, un donnant-mourant ou comment dé»crrire la cghose ? une sorte de don de soi qui est ou serait cette vie (dès lors calcinée) de soi offerte, noon point la brulure du temps (ce temps qui se consumme en s’égrénant dans la douleur) mais la vie en vraie, cette vie en soi qui est ce ticx tac en xsoi d’une vie vive, qui serait offerte sur table = déposée comme une peau de bete morte encore chaude, soit la peau en nous de la bezte en nous qui préside et qui de fait eswt la Vie en nous, car, en nous la vie est un animal, cela nous le compren ons, la vie en nous est un animal et cette chose de nous est comprise, est acquise, est sue, nbous savons cette chose en ous qui est , et cette chose en noys qui est est qUe voilà : nous portons un animùal en nous,n nous sommes porté (?) ou portons (?) en nous (dedans ?) un animal, et cet animal est la vie en vraie, et nous de dire (cette chose) sur roche mais ce dire ici est un pis-aller (fac similé ?) qyui n’est pas la chgose en vraie mais sa rezproduction de type langagière (langagier ?) qui n’est pas à proprement parler «satisfaisante» pour la déité qui nous fait face , devant , non,
cette mort--déité, cette déité-mort, la morrt ou La Mort, cette chose cd’une bouche ouverte devant soi, cet appel musical, cette «aspiration» etc (nous y reviendrons ...) n’attend pas de nous un pis-aller et prend notre cadeau ou sorte de cadeau ici comme déposé sur roche de paroi de type ornementée (= art) pour (du coup) un pis-aller = une insulte, l’art de roche est une insulte comme proférée à l’adresse d’une déité de roche dure, l’art de la roche du temps est comme une insulte, prononcée en toutes lettres (communément), à l’adressse (ou à l’encontre) d’une déité qui nous attend, nous disons la chose animale sur roche, oui, mais il ne s’a git pas du tout de la vie animale en ous, il ne s’agit nullement d’une vie animale en nous, non pas, il ne s’agit point d’une vie animale en nous, que l’on retrouverait sur roche, non pas, non et non ! il s’agit d’un non ! il s’agit d’un non proféré ! nous disons que, non et non, nous ne voulons pas ! nous ne voulons pas mourir ! nous disons ce non à la mort ! nous «dison,s» la vie et donnons le temps = le vécu et cela est mal vu, est pris pour une ignominie, une insulte, une moquerie, un pied de nez, foutaises ! et la mort n’attend pas cde nous pareilles foutaises ! la mort attend plus de nous ! la mort attend de nous beaucoup p^lus ! la mort de nous attend beaucoup breaucoup plus ! la mort, de nous, attend ghrand, fort, imposant, buffant, alloué à roche, etc, aurochs ! mais aurochs en vie et non pas représentatation-effigie, faux = faux sembvklant, pis-aller, mots-betes = mots ! les mots sont des présents de vie sur roche = du vécu comme par la bande, du vécu de vie égrénée, ce opassage dans le sang, ce passage douloureux, cette traversée du continent, mais en aucun cas la Vie en Vraie ,
la Vérité du V de Vie ou de la Vie Vivante,
il ne s’agit, en aucuun cxas, du V attendu, car, la mort arttend ce V avec impatience,
ce V de la vie vraie animale en nous est fortement et impatiemment attendu mais nous ne pouvons pas en vérité aller plus vite (pour ainsi dire) que la musique, voilà nottre v érité, nous sommes hommes-betes en nous qui ne pouvons point, ici, aller plus vite que (de coutume) la musique des sphères, nous sommes des hommes et des femmes animaux, quyi sommes souymis et soumises à une temporalité de vie vive égrénée qui fait que cela (ou la chose) pour nous, est : tempoorel-musical de base, nous ne pouvons nous échapper fissqa de pareille temporalité, nous avons la corde au cou (pour ainsi dire) de la temporalité et nous ne pouvons pas nous en sortir si vite et si facilement, et nous, du coup, de donner de notree corde au cou, cette chose sur paroi, ce tra cé d’un vécu temporel, ce tracé temporel d’un vécu, ce tracé temporel d’un vécu sur la roche du temps, nous donnons de nous (sorti) non point ce V de la Vraie Vie en nous, mais cette chose qyui ressemble ici à de la vie, cette chose qui en est comme le «déroulé musical», cette musique des embruns, ce clapôtis temporel, ceztte incantation pariétale pour ainsi dire, nous donnons dès à présent ce présent vécu = ce poids (lourd : aurochsz) du passé et ce poids est fait de mots (mots -betes) qui péèsent en vrai de toute lzeur masse dans la bala nce (deux cupules) et nous font faire cette cghose à nous, de (pour le coup) penser que nous donnons le change ou sorte de,; or que nenni ! que non ! nous non ! non nous ! ne donnons pas ce change là ! nous donnons du Vécu, et ce V de Vécu ressemble à s’y méprendre au V de Vie, ce V du Vécu ressemble fort (à se tromper) au V de Vie, or, il n’y a ici qu’une (que) ressemblance et non pôint une semblance, il y a ici du ressemblant et non pas du semblant ou commen,t dire ? ici un V ressemble à un V et fait accroire, mais ezn vérité il y a tromperie, vilenie, marchandage, tromperie d’u tout au tout, on fdait prendre des vessies pour des lanternes, nous ne sommes pas sincères , mais cela, en dépit de notrte bon vouloir, de notrte volonté, de notre V à nous, qui voudrait mais ne peut, car, pris dans la nasse spatio temporelle d’une vie de charges musivacales,
il s’agit de cette chose, comme quoi nous voyons cette chose, comme quoi nous sommes ou nous serions cernés de toutes parts et ne pouvons ou ne pourrions nous dégager si aisément de cette nasse temporo-spatiale, qui est celle de la roche dure, ici, de terre-mère , nous savons (!) cette chose, comme quoi (de fait) nous offrons du temps et non point la vie, et des mots-betes proférés, toute notrte betise, mais comment faire ? comment faire autrement ? puisque nous sommes comme prisonniers et prisonnières d’une nasse du p^résent de vie vivante, nous sommes comme pris et prises par (en nous) une chose qui nous fait aller, aller dan,s le temps d’un déroulé de vie à vivre , comment faire ? nous donnonds de nous cette cghose sur table du temps, cette cxghose est notre V du mot-bete Vécu , et ce mot-bete (une fois donné) nous nous dépêchons d’en donnezr un autre, toujours sur roche ; incantation ! nous martelons, nous y allons (ensemble) d’un martèlement incantatoire ! nous decvons ! nous voulon s rester en vie mais satisfaire (tromper, oui !) son monde ! comment faire ? nous donnons de nous un v de vérité qui est un v de fausseté en vérité, et cela par devers nous, contre notrte gré vpour ainsi dire, car ce v est un faux v, n’szst pas le v de vie, mais celui de vécu , et cela ne compte pas, cela n’est pas du jeu, cela ne devrait pas compter , etre pris en compte, cezla ne devrait pas du tout etre pris en compte, cezla n,e devrait pas compter , entrer dans le calcul etc, cela ne dezvrait pas peser, alors même qu il s’agit de poids, de balance, de masse d’aurochs, de mots-betes pesamment prononcés, de vraie pesanteur dans les mots donnész, de mots p^pesants ici fortement, mots gros et gras, invectives, insultes, grossièretés parmi les plus immondes et les plus salaces, etc, nous donnons da ns l’invective et la turpitude et l’obscènité, et cela, donnés sur roche, est notrte bienfait ou comment dire , notre action de jhoie, notrte offrande bienheureuse, notree soin disons et c’dst dit, notrte écart vers la mort d’un devant de soi, notre pied d’écart, etc, cette très lègère avancée vers, mais qui en vérité est un faux semblant, une mascarade, une faço,n, une manière (des manières !) d’aller vers sans aller vers = art ! art de la mise en sqcène, art d’agrémeznt etc, qui est simulation temporelle, semblant de vie animale mais par devers nous car, nous ne faisons pas exprès, nous sommes ainsi fait que la vie pour ainsi dire nous condyuit à «tromper son monde», nous sommes ainsi fait ou façonné que la vie nous condyuit à tromper, blouser, trompêr , tromper nbnotrte monde qui est, donc, ce monde «adjacent», ce monde poroche, qui est ce «monde de la mort à lm’oeuvrte « = «M.D.L.M.A.L.O», ou quelque chose de ce genre («M.M.O» ?) ,
nous déposons (sur roche) ce V ... par devers nous, c’est à dire pour ainsi dire à notre insu, ou sinon à notre insu, de gré ou de force, c’est à dire de force, il y a ici quelque chose qui est donné et cela ici qui est donné l’eswt donné de force, car la vie en soi l’emporte qui nous pousse ici à offrir de nous un visage de circonstance ... temporo-spâtiale, et ce visage nous échappe gra nndement, quyi est pris dans le filet (les rets) du temps imparti, nous so:mes des enfants qui déposons (pour ainsi dire) le V de Vécu sur la table (la paroi) ausx offrandes , et ce V de Vécu n’a pas été à proprement parler chgoisi par nous mais par d’autresq que nous dont nous devons ici mentionner le nom, et le nbom de ces autres que nous est (pour ainsi dire) nous, c’est à dire xd’autreesq que nous, qui étaient avant nous, mais font ou faisaient partie de ce nous alloué à un ensemble de vivants (vifs ou morts) qyui (de fait) sont les vivants terrestres humains xd’une bande ou d’une confrérie, nous donnons de nous cette chose d’un v de vie brève, temporelle, qspatiale, déroulée, etc, et ce v de vie vécue eswt, en quelque sorte, indépendant (au tout départ) de notre v de volonté, car, enfant naissant, nous étions groggy, nous ne pouvions pas (... si ?) choisir pour soi, ou comment ? car nou!s voilà qui sommes dans un train ou comme dans un train de vie allouée qui est ce train ds’un vécu de type spatio-temporel que nous ne pouvons pas shunter ou si vite que ça, nous poubvons nous donner la mort (à nous mêmes) mais pas si vite en véeriité (... ou si ?), nous devons donner de nous cette chose sur roche attendue (mordicus) par Mort de Bouche Grtande Ouverte, et cette chose ici d’un V de Vie est chose qui se doit pour le coup d’etre offerte (on dira) «de boone volonté» or cette chose de ce V de Vie ou de Vécu, est donnée à nous par la bande ou comme par la bande xd’une confrérie qui, de fait, est celle de nos congénères, nous avons en n ous (insérée) cette chose d’une sorte de «musicalité d’instance», qui est cette chose d’une sorte de métronome qui en nous nous guide et bat de son allant de roche dure (les douleurs) et ce faisant «trompe son monde» à savoir la mort, la musique ici perçue cvomme élément de trompeerie, de mascarade à notre insu (pour ainsi dire), nous sommes de force (à notre naissance, du moins, et les quelques années qyui suivent ou suivront) pousszées (de force ) à tromper le monde, c’’st à dire ... à trompêr la mort, nous sommes forcés par la bande (confrérie) à tromper la mort, car la vie que nous vivons s’agrège en continu pour former cette boule de gras (temporel) qui forme ou formera dès lors l’aurochs-mot de roche, ce dessin d’or nementation pariétale, cet art d’une sorte de ruse forcée, ou comme forcé, en nous qui, en vérité, n’en demandiiiions pas tant et aurions plutôt aimé d’une vie de vérité, sans faux semblants, franc de collier (francxhe ?) ! nous disons sur roche notre trompêrie, nous sommes qui donnons ici cette cchose, cd’une insulte, grossiéreté, insanité, et cependa nt nous sommes dépité, nouys sommes pris d’assaut, lza chose nous déborde, nous dépasse, est pklus grande et grosse que nbous qui sommes bien fluets à ses côtés, bnous solmmes comme dépassés par la bande, emporté dans un élan de vie peut-être salutzaire mais qui nous pousse à pour le coup mentir sur roche, vivre = mentir, ici, vivre, ici = mentir, = trompêr son monde, petit monde de la mort dite «de proximité», nous disons-viivons, ou vivons- disons (collage) et ce faisant, bnous offrons des mots -animaux à la place de la vie (en nous) animale, il y a tromperie sur toute la ligne (riga) , il y a ici tromperie sur toute la ligne et comment agir sur pareille tromperie quand la tromperie est du temps alloué à une vie qui est la nôtre ! comment faire pour sortir du cercle ? il nbous parait ici comme impossibkle de pouvoir nous en tirer de fait à bon compte ! nous sav ons (!) que nbous dépopsons des mots de V sur roche et que ces mots de V, sont trompeurs, ne sont pas du V vrai, ne sont pas ce V, de Vie animale, attendu, mais une sorte de fausseté, de faux sur toute la ligne, faux sang et faux sembvlant : peinture, grimace, fausseté, masque, mascaradde, etc; nous donnons le temps (le temps de vie vécue vécu au fur et à mesure , les mesures) à la pkace de ce V de Vie soit de Vie vive (en nous) qui est cet animal, contenu en nous, qui préside aux comman,des, tient bon les manettes (nos mains ?) et fait (de ce fait) ce que bon lui sembkle à notre place car la place en nous (qu’il occupe) est nôtre, en verité, ou devrait l’être ... ou sinon est celle, qui , ici, nnous para it comme étant ou devant être celle dans laquelle nous pourrions loger ou que nous aimerions pouvoir occuper de nous-memes, or il s’avère qsue pareille loge ou place en nous est occupé par une bete en nous qui est bete de vie vive et qui est bete de vcie tenace, or que faire ? notre vie vécue est de celle que nous traçons car elle est temporelle (musicale) et spa tiale (pariétale) et voilà dès lors ce que nous faisons : nous faisons -traçons, nous traçons-faisons : chemin faisant, tracé de bure, chaud devant, betes sur roche, vilenies, incantations, insultes, maertèlements, trompêris, feux de hjoie d’un peu de cette vie od-fferte, etc, ce V ici offertt est V de vie vécue soit temporellement vécue, et ce V de vie vécue est offrande sur roche (animaux de rocxhe) et sur pâroi ornementée, nbous dessinons, et cela que nous dessinons est une offrande, nous offrons
des ezffigies, des représentationbs, des succédanés
car il ne s’agfit pas en vérité de vraie beztes de somme ou de poids que nous offrons de nous, nous avons en nous une vraie betye qui s’appelle V = Vie, or ici , ce que nous offrons, ce n’est pas cela, loin de là, nous offrons, de fait, un déroulélé de type pa riétal, une roche ornementée, un dessin de bete à) la place d’une bete en vraie, de cette vie battante en nous, = ici ce battement, en n ous, de vie vive,
il s’agit ici de comp^rendre ette chose comme quoi ce que nous offrons ici, est cette chose d’june sorte xde succédané de battement : incantatiobns,
nous cognons la roche, et de une , et de deux, et de trois, et de quatre, et de cinq, et de six, et de sept, et de huit, et de neuf, et de dix, et de onze, et de douze, et de treixze, et de qua rorze, et de quinze, et de seize, et de dix -sept, et de dix huit et de dix neufg, et de vingt, et de vint et un, et de vingt deux, et de vinfgt trois etc, nous cog nons sur roche, martelons icelle de ba ttues, de battements, d’ibncabntations, de réitératrions dans la cognée, nous tapons la roche, et de une, et de deuix, et de trois, et de quatre,; et de cinq, et de six, et xde sept, et de huit, et de neuf, et de dix, et de onze, et de douze, et de treiaeize, et de quatorze, et de qUINze, et de seize, et dede dix -sept, et de dix huit, et de dix neuf, et de vingt, et de vingt et un, et de vingt-deux, et de vingt trois, et de vingte qUa tre, etc, nous cog nons, voulant faire accroire ou croire aux battements vital (un animal en nous) du coeur quand (en vrai) il ne s’agit pour ainsi dire que de temps, égrénés, sur roche, sur paroi dxe terre mere,
il s’agit pour nous de comprenddre, ici, ette chose, de chercher ici cette chjose, d’une direction de penséev (musicale) par la bande,
nous chcherchons à dire-propnoncer la vbérité d’un V de roche dure, notre but est de cerner (au plus près) ceztte vérité, comment dire la chose ici xd’une sorte de vérité dure (rude) qui serait tenace comme la vie vraie en n ous animale (b attements) ? nous voulons essayer de nousq approcher de pazreille vérité de roche, de ce v de la vérité qui est le v de l’inVectiV proférée ou quoi d’autre ? le v du vécu ewst ce trompe-la =mort d’une vie alloué par la ban,de , nous sqommes venus, nous avons vécu et vivant
nous déposons ce vécu, car la chose est ainsi gou pillée que lorsque nous vivons, vivant nous deposons en quelque sorte du v écu sur roche, sur roche du temps, c’est à dire que, en vivant, en étant vivant, par la même occasion, nbous déposons de ce vécu de vie, égrénée, sur paroi de grotte, sur pierre du temps, en vivant nous offrons, nous sommes qui donnons, en vrai, de notre vécu, au fur et à mesure que nous avançons sur ce cxhemin de vie qui est le bnôtre, nous vivobns et, ce faisant, nous donnons, nous ne pouvon,s pas faire autrtement car vivre = donner, on ne peut y couper, vivre c’est donner de soi sur roche du temps, or ce que nous donnons n’est pas ce v de la vie vraie (cet a nimazl ezn soi : on verra où) mais un v en quelque sorte de substitution (art) qui est ce v cxde «vie vécue», qui n’esst pas un animal de chair et d’os mais une sorte d’eefigie, de mo,; t, un mot bete, un e bete-mot, ou un mot-bete, etc, qui est là pour «amuser» la ga lerie et lui faire prendre (un temps: la chose n’a qu’un temps) des vessies pour des lanternes, commùent faire ? car, nous sommes nész de parents terreswtres qui ont fait en xsorte (sans le vouloir il semblerait) de nous mettre au monde trompant l’ennemi, nous sommes nés sur terre avec pour nous comme un vécu de déroulé (= spatio-temporel) à devoir gérer, et ce déroulé (le vivant) est
comme une sorte de présent de vie offert en continu, vivre = offrir sa vie vécue (ce v) en continu, mais ce présent est (pour ainsi dire) un pis-aller, ce présent n’est pas ce v attezndu par (il semblerait) la mort en personn,e, ce présent (ce don, cette offrznde du temps) est une paubvre cghose, fausseté, sans grande valeur à dire vrai, mais qui semble vraie, qui semvble etre du v en vrai de vraie vie contenue animale (battements du coeur) et voilà (dès lors) ce que nous faisons depuis notrte naissance, nous faisons sembvlant d’offrir à la mort le v de la vraie vie contenue en nous, nous jouons à faire ceux et celles qui donnent ou donneraient, leur vrai v de vie vive or que dalle, en vérité, jeu de dupe, nous dupons, nous sommes légers, enfantins, bnous sommes enfants de la roche du temps et ce que nous donnons est petite chose en regard de la vie attendue, pas ou point de comparaison possibkles, ce n’est pas la même chose, nous nous efforçons le plus possibvkle de rendxre cette chose la plusressemblante possible , mais il n’en est rien en vérité, nous trompons la mort, nous sommes des tro:mpeurs de mort, nbous scandons, nous tapons sur roche, imitons le ba ttement (saccadé et métronimique) du coeur, bnous dessinon,sq des betes (mots) en, gra,nd sur roche, imposants par leur stature et par leur ma hjesté, et cesq betes les faiso ns bouger /charger à la l:umière (toute vibrante) de nos torches souterrainesz, oui, bnous faisqons noàtre pôssible, nous vitupérons, lév itons, entrons dans un état second, etc, nous devenon,s autre, nous essayons dxe devenir en vrai autrement, autre personne prise et sous emprise, nous hurlons, nous crio$ns la vie brute, le trop^plein, la charge violente, la cvie racée, débridée, le plus que nous pouvons, nous vociférons, bnous insuyltons, nous disopns des gros mots par paquetsz de dix, bnous dison,s ce qui bnous vient en matière de grossioéreté adressées à cette déité de roche vive, etc, nous faisons un ramdam de tous les tonnerees de dieu, nous faisons du bruit, nous entrons en fureur, nous faisons impression, etc, tout ce qui est en otre pouvoir pour faire penser ( = un e expérience des limites) que ce que nou!s offrons de nous est (réellement) ce v de vraie vie anima le en nous (vrai battezments du coeur) , quand il s’agit d’incabntations, de battements des mains, de bois sur la roche, car nous sqommes pris d’assaut, nous sommes enfants qui lévitons sur roche, nous lévitons à m^$eme la roche et nous dessinnons toutes ces betes de vie violente, ces aurochs massifs chargeant, ces betes-mots de vie vive «comme-si», ces beztes-mots qui sont des mots qui sont des insultes qui sont des infamies et dxes grossiéretés toutes proférées sur le compte de la mort qui nous regarde, nou!s tend les bras, continue à nous tendre les bras malgré nos invectives dingues envers elle, nos insultes salaces, notre parler vif de charetier, de maraicxher, de poissonnier, de gaerçon des halles ! à la criée ! chandail ! car chandail nous portons ! saleté ! «‘ SALOPE DE MORT VIBRANTE ! PUTE DE PUTE ! PUTASSE DE PUTE BASSE ! SALETÉ DE PUTASSE DE PUTE DE LA MORT DE BASSE ! SALE SALETÉ ! PUTERIE DE PUTASSE DE MERDE ! MORT LA SALOPE ! MORT DE MES DEUX !», etc, nous ne maitrisons plus ! nous ne faisons pas dans la dentelle ! nous y akllons gaiement ! nous tenons à faire accroire ! ce que bnous cxherchons est de faire accroire, dan,s un chjant inaugural, e,n grotte, face à la paroi, en lévitation, de manière à passer pour, nous cxherchons cela, cette chose d’une monstration la plkus vive possdible , la plus marquée possibvle dans le sens d’une sorte de sarabande de gra,nde furie, nhous cherchons cette chose, et en vérité cette chose est en nous toute tra&cée, qui allons en vie sur des chemins, qui sont ceux là même de la sarabande sauf que voilà : au final, c’est à dire au fil du temps, la chose a pris une autre tournure et les choses ont été contrôlées, ont été encadrées, etc, de manière à c e que ce temps de la vie vécu, le soit (vécu) dx’une manière contrôlée, qui ne soit pas p êrmanemment mani§ère de charretier ou de poissonnier, mais tenue, contenue, de façon )à (de fait) présenter a utrement, à se présenter, à nous mêmes, autrement ; mais pour la mort ? pour ce qui est ici de la mort et de sa bouche grande ouverte ? tout pâreil ! charretier ! maiis ... caché ? ou comment ? dit autrement ? cvomment ? car nous sommes des eznfants de haute roche, qui dansons et simul:ons, notre vie à vivre est ce jeu de roche dure (= les douleurs, = les plaisirs) qui est pour le coup cette roche du temp^s, nous jouons à faire semblant d’etre mort c’est à dire d'etre, pour ainsi dire, l’animal offert (l’a nimal en nous) offert ici vivant à cette bouche de la mort à l’oeuvre, nous ffaisons semblant d’ooffrir de nous cet animal de vie, animal de vie d'une vie vive en soi, la vie comme animal en soi, nous faisons sembvlant de faire cette chose, nous jouons ensemble, nous sommes à jouer ensemble : compagnons du je, compagnons de ce je , soit du jeu de la première heure, nous essayons de faire ensemble c ette chose en roche : de jouer, jhouer ce jeu du je à multiples ou à multiples je, ce jeu est le jeu des multiples, des multiples je composant le nous de la tribu des
hommes et des femmes du temps, nbous jhouons à ainsi simuler ici un don ou un vrai don de vie, de v de vraie vie, nous hhjouons (comme des enfants) à simuler un don de vie , vivre = jouer ... à wsimuler un don, ici, de vie vrai, soit cet animal en nous contenu (= la vie), nous sommes des ezn,fants qui simulons, nbous jhouons à simuler un don , un don de vie vraie alors même qu’ il n’en est rien, nous faisons semblant, vivre = faire semblant de donner sa vie, quand ce que nous donnons = du temps, c’est à dire des mots, c’est à dire des images cde betes , u ne musique temporelle, nous disons sur roche notre vilénie constitututionnelle et comment autreement ? car la vie temporo-spatioale nous pousse de forcve à mentir , à donner le vécu, au dieu de la porte, etc, comment couper à cette chose, comment ne pas tomber dans le panneau, ici, du temps pariétal ? il nous eswt impossibvle de ne pas tombner dans le pânneau, ici, du temps pariétal ! commùent faire pour en échapper, comment faire pour échapper à ce panneau, ici, du temps pariétal et à ne pas offrir (à la mort) pareiilles tromperies constitutionnelles ? commùent faire ? nous sommes enfants qyui allo ns, sur roche du temps, dessiner des ... appeaux ? que dire ? nous sommes vivants et du coup vivre ici = mentir, car la vie est mensonge constitutionnel, car la vie eswt un
xdéroulé spatio-temporel que l’on subi, et ce déroulé est façon de faire accroire, trompe -la -mort,, etc, à nottre insu ou même de force ; cette chose, cette chose ici, cette représentatation, cette paroi peinte ou gravée, cette représe ntation animùalière, ce n’est pas l’animal que nou!s avons en nous, c’ewt (pour ainsi dire) son jumeau, sa jumelle, mais point le même ou comment ? effigie ? représentation moqueuse ? c’est quoi ? nous cherchons à comprendre ce que c’est ! nous voulons essayer de comp^rendre ce que c’est, que ce v ! quel est il ? qui est il ? que est -il ? quoi est -Il ? v comme v de vérité ? nous déposons nos armes sur paroi à mesure que nous a vançons, de fait, dans la vie ; à mesure que nous ava nçonsq, de fait, dans la vie, nous déposons notre vécu sur roche, notre vie vécue, nous n,e pouvons y couper, de sorte qUe cela, que nous déposons, cezt animal dit «xde paroi» (= ce vécu) est une mue de bete, un mot, le nom de la bete = sa mue, son reflet, son double nominal etc, bnous voulons savoir cette cghose et pour cela nous creusons notre penszéee brute, nous creusons la roche (grave) et cherchons à l’intérieur de la paroi, nous voulons co:mprendre ce qui est ici , ce qui est qui advient pour nous, nous voulons savoir ce qui est et qui advient pour nous en cette roche ici de grotte souterraine, pourquoi l’animal en nous nous pousse à dessiner sur roche pour le coup son image la plus reessemblante ? pourquoi cezt animal de vie en nous est celui là, qui écrit son nom ? nous pensons que la bete (sur roche) dessinée esqt un mot désignant (de fait) la vie, en soi, animale, car cxhacun a «vie» (la même) en soi, mais chacun en vrai porte un a nimal qui peut différer, il s’agit de cette cxhose commùe quoi «la vie est la cvie», et cependant la vie = un animal, que chacun ou chacune, pour soi, contient, ici même, en swon sein, et qui n’est pas (pour le coup) le même pour tous,
par exemple : untel aura pour «vie» en lui un aurochsq, quand tel autre a ura un cxheval, ou un renne, ou un bvouqueztin, par exemple untel aura en lui une antilope, ou une ourse des cavernes, et tel autre aura un ours des cavernes ou un bison, et cette vie en lui, ce battement, animal, du coeur, aura un visage, en lui, que la transe sur roche fera ressortir et dès lors, l’homme des cavernes ou la famme des cavernes, pourra ici tracer la figure de cet animal et faire penser (à Mort de la Bouche du Pré) qu’il s’agit en vrai de ce dit animal, contenu en soi, quand il n’en est rien, tromperie sur toute la ligne, toute une ligne ainsi = mascarade, une vilébnie, une trompêrie de bon aloi car, si nous trompons c’est bhien malgré nous pyuisque vivre = tromper, puisque vivre = tracer de s figures animales faisant accroire, puisque vivre = tromper et donc ruser a vec l’ennemi, qiiu, ici, est cette «Mort de Bouche» adjacente, nous tro:mpôns la mort en vivant, voilà la chose, vivre, c’est tromper la mort et ce en continu sur paroi du temps,; espace du temp^s imparti ; vivre c’est tromper la mort alors même que nous soumettons notre propre phr&asé (de mots-bezttes) sur paroi,
pour faire accroire que donc, en vrai, noptre vol:onté est bien réelle, pleine, belle, etc, alors que voilà ce qui est en vérité, un V faux, un faux V, une couillonnade, etc, qui cxhercxhe à satisfaire du coup de soi-même (ou d'elle-même) quand en vrai il ws’agit de quoi, d-’une insulte, à l’encontre de la mort à ll’oeuvre ! insulte sur toute la ligne centrale ! billevesées ! ou une couillonna de de première, voilà ce qui est ! l’animal/vie en soi est juste logé en soi et y reste à tout jamais jusqu’à preuve du contraire, ce peut être un ours, ce peut etre un,e ourse, chacun / chacune lottie à sa façon, et vivre = deposer la représentation de cette bete en soi (ours, ourse) sur paroi, c’est à dire sur paroi du temps, et donc nous sommes des enfants qui pour le coup hjouons à déposer sur roche cette chose contenue en soi, et qui est (de fait) la représentatation pour soi, sous emprise (hypnose )?), d’une bete de corps, massive et forte, et qui est (de fait) ce battement du coeur, cette incantation votive, etc,
nous chargeons la roche de martèlemeznts ici réitérées, nous sommes ensembvle à marteler ici la paroi du temps = marcher, aller et venir, vivre sa vie présente, ce don, ce don continu, métronimyque sur terre-mère, d’un allant de vie véccue qui est un déroulé de ces -$mots-an imaux générés par la bande (ainsi soit il)
3/5/2021
nous savons cette cghose ou alors nous (ou je) subodorons (subodore) cette chose comme quoi les mots en n ous recèlent cette chose d’un savoir de base intégral et intégré, ce savoir en circulation en nous comme effluve ou flux sanguin en des veines qui sont des canaux, je vois ces betes près de moi et comprends que ces betes sont des betes-mots de grande importance (= capitale) car ils sont les vecteurs ou les agents d’un savoir de base intégral = entier, qui est ce savoir qui concerne les choses du monde «de la vie et de la mort», nous savons cette chose comme quoi nous sommes porteurs d(un savoir inclus, ce savoir animalier en nous, ces betes-mots de paroi de grotte , et ce savoir fait de betes-mots est un savoir de flux, de sang, de chute dans le temps, d’effluve dans les embruns de telle paroi ou telle autre au fin fond d’une caverne ou d’un aven, il s’agit pour moi (pour nous) d’aller ainsi en roche à la recherche d’une vérité liée ici à un fait de vie pariétal, il s’agit pour moi de comprendre ici cette chose comme quoi la vie dite «pariétale» est celle qyi encore peut livrer des vérités, soit des vérités de bonne tenue, qui encore peut offrir des vues (vues de poids) sur des choses justes concernant la vie,
de prairie (pour un cerf) ou de sous-bois ou de bord de mer, etc,
nous avons à comprendre cette chose comme quoi les mots en bouche sont onguent, sont pic de verbe qyui (ici) va piquant roche, et ce faisant soulage cette plaioe du visage nôtre, cette plaie de nous qui de fait nous défigure (mentalement ou physiquement), etc, nous ne savons pas mais nous ressentons cette plaie en nous comme quelque chose d’inhérent à notrte nature = un trou, ici même en joue, un trou de bouche laissant circuler des mots de bouche en veux-tu en voilà, qui sont mots de prairies pariétales, mots de roche dure, mots-betes du temps imparti ou alloué, mots qui masquent ou masqueraient l’approche (en nous) d’une autre sorte d'entité qyi en vrai voudrait connaitre tout autant que nous les joies de la roche du temps, et cette entité en nous porte un nom, et ce nom est connu de beaucoup de betes, de betes-mots de roche mais aussi de betes de nature, de betes gambadant, de betes «des prés nacrés», etc, et cette entité en nous est une entité qyui pousse ainsi, qui veut derechef sa sortie de corps, son jeu, etc, cette entité, ici, est une mesure, une drole d’entité de base , mesure pour mesure, une mesure douce ou dure selon, une mesure des temps impartis, un calcul mental, une sorte de mesure alloué à une vie via du calcul, un découpage, etc, nous pensons que nous avons en nous des mots qui sont dses mots-betes, qui sortent de nous à foison (= continuité) et qui, de ce fait, bloquent l’issue de notre bouche ouverte, il sw’agit de ces mots (de roche) dits «aurochs» pour ainsi dire (ou «chevaux», ou «bisons», ou «rennes», etc) et ces mots de roche dure (ceux du temps donné pour une vie humaine) sont mots qui bouchent ici l’accès à cette autre sorte d'entité en n ous , qui, comme les mots de pique, voudraiot bien sortir sa propre pique, son pic de perçage (s’il en est), etc, et, c ette entité en nous (masquée, cachée, entravée, piégée par l’animal en nous ) est, pour ainsi dire, sieur ou dame «de la Mort de Base», ou bien «sieur ou dame de lma Mort de Bouche «, etc, nous savons cela, comme quoi nous sommes des enfants qui essayons (de fait) de comprendre, les teznants et les aboutissants d’une vie humùaine et cela bien sûr n’est pas si simple, car, il faut : buter, creuser, franchjir, outrer, pousser, et ne rien contenir, déverser, déposer, et aller de lx’avant (fissa) en pareille roche du temps, nous essayons dès lors de faire tout cela que nous pouvons, c’estàdire tout cela qui est (ou serait) en otre pouvoir , pour comprendre le plus possibkle de tout ce qui est en nous qui nous occupe ou nous hante car oui ! nous sommes pris d’assaut par, en nous, toute une cohorte animale qui pousse, pousse, pousse à sortir de nous via notre bouche ouverte en grand sous pareille poussée (brute et brutale) de pareille pique (pic, picous) faite de betes enchassées les unes dans les autres, et formant de fait cohorte animalière prête à pour le coup franchir le rubicon de pareille roche du temps, et cela continueellement (= une vie durant = une vie = la vie) et voilà pourquoi la mort est bloquée à demeure et ne peut en vrai sortir sa «tete» de morte entité ou comment signifier cet objet (?) , cette chose (?) , ce savoir des fonds qui veut dire ici son etre de plain-pied, sortir tete du sac, et doubler, l’animal de pique, de pique-paroi,
la mort veut doubler, passer outre, dépasser en vrai la cohorte en nous animalière mais comment peut-elle faire puisqu’elle est comme bloquée dans son propre déroulé de mort, qui cherche à gagner le terrain, la place où se placer, etc ? ici l’animal, en nous (les mots-betes), bloque un accès, celui de «bouche de la vérité» ... des mots entre eux, la bouche est bouchée, la place est prise et la mort est blousée, prise au piège animalier d’une sorte de cohorte (verbale) de «vérités» , voilà ce qui est, et dès lors la mort reste en carafe, ne peut advenir à la vie, nbe peut prendre (du tout ?) la place du lan,gage qyui ici est langage dit «articulé» par des en nous pouvoirs qui sont pouvoirs de dire, pour le coup, des choses,
il s’agit pour nous de comprendre cette chose comme quoi en nous la mort est à l’oeuvre, mais tant que la bete en nous (=le mot-bete) est présente, alors la mort ne peut advenir, elle est comme coincée dans son sas de vie interne à notre univers corporel, la mort ne peut arriver à la vie jusqu’à temps que l’animal (en ous) tient la barre et navigue sur roche son embarcation de fortune, il s’agit d’une vérité de poids, c’est--àdire qui pèse lourd son pesant d’aurochs (mots, mots, mots! ) et son pesant d’aurochs est une somme, et cette somme est une cohorte formant queue de bouche de sortie, formant queue -pic qui pique la roche du temps, la traverse, cherche à se loger en elle,
ou nous, nous avons traversé, via ce trou de roche effectué par, en nous, cette pique animalière,
et nous voici de l’autre c^$oté quand en ous la mort cherche que tu chercherasz à fzire de même : percer la roche et traverser icelle vite fait bien fait, mais elle ne peut point car elle est «couillée» par en nous un tazmpon (type : étouffe-cxhrétrien) qui bouche en nous l’accès à
possible sortie ,
de nous corporel
(d’un nous corporel)
à pareille entité narquoise
, sournoise, cachée dans les profondeurs d’un dedands qui est notre dedanc (corporel) d’homme des prés et des cavernes, la mort cherche une issue en nous mais les mots en nous (par défaut) empêchent une pareille issue, et (du coup) nous dessinons, sur roche, toutes ces betes de poids en nous qui forment cohorte, entrelacement, qui forment ce baiser de betes-mots entrelacés et formant pique (verbale) acérée propre à trancgher (percer) la roche du temps imparti, notre but est clair et net et ne souffre pas la moindre contestartion ici bas, il s’agit en véerité, d’une volonté en nous (ancrée) de tenir la barre et de ne pas le plus possible lacher prise, ce qui signifie
que nous avons à tenir bon via ce phrasé buccal animalier en continu, cet «apprentissage de tribu» quyi est l’ap^prentissage «inhérent», cette chose ici d’un rempliement (de soi) par des mots de base natif, des mots de langue drue, des mots-betes de paroi (aurochs et autres rennes ou bouquetins) et ces mots en nous (grâce leur soit rendue !) sont mots qui pour le coup imposent leur pesant de roche et plombent l’accès, le passage à autre entité éventuelle comme par exemple l’entité «jargon (de la mort à l’oeuvre)» ou comme pâr exemple l’entité »caillou (de roche merdeuse)», ou tout autre entité voulant à son tour sortir sa «tete du puits», nous pensons qzue nous dzevons comprendre encore un très grand nombre de choses sur ces choses de la vie et de la mort, et pour cezla nous devons creuser les questions une après l’autre et les mesurer, les soupeser, les voir de près, etc, afin de mieux comp^rendre en vrai ce que contiennent ici p)areilles questions existentielles, car qui dit question dit mots avérés, mots cloués, mots cloués sur la croix de la vie en marche, nbous pensons qyue lles mots dits «de vérité» sont mots fixés, cloués comme des christs en majesté, et ces mots sont animaliers ou animaux en tant qu ils sont des betes-mots de roche , ces mots sont : bouquetins, aurochs, biçsons, rennes, chevaux,; antilopês, mzammouts, eetc, ce sont des betes gravées ou dessinées sur roche par des hommes ou par des femmes des cavernes et ce sont de fait ces mots de betes (mots-betes d’excellence) qui nous permettent de «rester en vie» à ceette place que nous occupons, via
kl’espace-temps de notre corps en tant qu’organisme de diction sur roche, nous avons à bien comprzndre cette chose ici d’un art, qui est l’art du (mal ?) faire sur roche un wsemblant d’inscription de nom , de ce nom d’emprunt qui est notrte nom de «passager» ou de «passagère», de passage, nous pensons que nous devons (de fait) inscrire sur roche ce nom de famille qui (en tant que tel) nous a été flanqué comme chandail à la va vite ici sur les épa ules d’un vendeur, d'une vendeuse à la criée, nouys devons veiller à bien voir ce qui est qui sort de nos bouches comme autant de tribus
de betes amoncelées, qyui, en vrai, sortent de nous en continu (le voilà, le flux de conscience !) et ce faisant, nous maintiennent «en» vie et «sur» vie de roche, nous devons comprendre cette cxghose, comme quoi, les mots nous contiennent, nous tiennent au contact («sur») de la vie de roche dure qui est cette vie, temporezlle et pariétale, d’une existence (humaine) terrestre, les mots-betes sont ceux là qui à chaque seconde nbous sauvent la mise : continuité d’un salut de base via des mots appris (mots-véribtés) qyui tiennent debout un ensemble en vie, le maintiennent droit et permettent ainsi à (ici) un homme (je) de pouvoir justement s’affirmer en tant que cet homme est un je parmi des je de roche, un de plus, un parmi d’autres (b eaucoup d’autresq) et non pas un non-je qui lui, en tant que tel, serait de mèche avcec, en soi, cette mort qui cherche issue, sortie, passage de tete, en nous, par notre bouche, par ce trou de notre bouche encore ensanglazntée de cette plaie occasionnée par, en nous, la la la , par en nous la percée comme dentaiore ou comment dire , de cette pique de motrs-betes entrelacés, etc, cetc, etc de base buccal, cette entrelmacement, cet entrelacement de choses et autres de type betes, qui sont (ces betes) des mots, mots de base, mots de la tribu qui est pour nous cette tribu ici d’entourage, mots-betesq de base, qyui tronçonnent, qui percutent, nous les brisent, nous plient en deux, nous ouvrent sec, à sec, à cru , en vitesse, par un pic brutal de type perfgorant qui, dès lors, sort de nous sous forme de vferbe, de ce verbe à roche ou à roche du temps , qui va à s’enkyster en icelui (le temps ... jusqu’àà preuve du contraire,; ) via les mots-betes de tribu, et, ainsi faisant, empêche moprt de bouche, Mort de Bouche majuscule, de passer ou d’aller plus loin,
nous possédons donc, en nous, des mots de tribu (de tribu humaine) qui sont là en conscience afiin de barrer le chemin, à entité mortelle en nous (nous = cette gousse !) qii est cette entité de roche morte , de roche tuée, de roche inopérante, cette chose rude, rude ici comme une pluie qui mouille ou mouillerait les os, il s’agit de MOrt la Grande, ladite «Mort-Salope», hum, «Mort-Putasse», hum, «Mort-Putasserie» etc, cette chose nommée par la bande, via ici l’entremise de mots crus quyi sont des mots du sexe et de l’insulte (
insulte votive) réuunis, bnous avons à nommer la mort ainsi = nous nommons la mort dans l’inhjure = dans le verbe -pic, nous disons pour le coup desq mots de perçage qyi sont mots d’insulte enversq dame sieur, sieur dame de la mort à l’Oeuvre, il s»’agit de comp^rendre de fait ette chose, comme quoi la mort est une chose en nous qui est bloquée ou comme bloquée, par le fait, en nous, d’un langage dit «articulé» qui bouche les issues, kles écoutilles, et empêchent icelle (mort) d’advenir en pré, il faut bvien comprendre , bien se mettre en tête cette chose, comme quoi la mort a sortie borgne, elle ne peut trouver issue car les issues sont (toutes) calfeutrées par un langage de treibu (articulé) qui en empechent l’éclosion, la naissance en roche du temps, et cela quant bien même elle «est» sur toutes les lèvres en tant que nom à elle donné, en tant qu’elle est ici mentionnées sur roche des prés etc, loa mort est choçse en nous inclusqe dans la profondeur, la mort en ous est cette roche incluse = enfouie dans la profondeur, il s’agit de cette chose en nous quil est bon de comp^rendre, comme quoi la mort ezn nous est incluse, est enfouie au plus profond de nous mais ne peut, de fait, se relever de nous (comment dire cette chose ?) du fait que, en vrai, nous parlons, que nous contenons, en nous (où ?), duy verbe viçf, comme (par exemple) insuylte, comme (par exemple) grossièreté, etc, la lmort est comme bouchée d’accès = ezmpecheé = entravée, etc, et cela jusqu’à tempsq que nous serons vivants comme de bien dire ! jusqui’à temps que nous serons comme ainsio animé, en nous, d’un
«souffle de pic de betes de roche» ! car nous sommes en nous comme animés d’un pic de verbe qui, sortant de nous, va direct à se loger en cette roche pariétyale temporelle ou paroi de grotte où pouvoir dès lors dessiner desbetes (mots = noms = insultes = garde fous = prière = viatique) , nous disons cette chose comme quoi nous avons à bien cernezr (de fait) les enjeux ici qui président, qui sont ceux d’une vie à vivre longuement (déroulé vif) afin de voir (bien voir) aller et venir (sur roche) nos frères de sa ng en la personne des aurochs (de base rocheuse), etc (bisons, buffles, cerfs, bouquetins, etc, etc), nous voyons aller et venir pres de nous des betes, qui sont betes de roche dure, betes dxe roche des temps alloués à vie humaine sur terre ferme, et ces betes sqont des mots qui sont des nboms (les nôtres) qui sont des insultes (des grossièretés et autres insanités) quyi sont des prières (que dieu nbous vienne en aide !) q<ui sont des viatiques soient (peut-être) des envies de rsrester e»n vie, nous parlons ainsi à qui veut ezntendre et disons ce que sur le coeur a vons, je vais en roche ici parmi des betes qui sont des mots (hurlés ? vociférés ? ... ou assommants ??) , je vais ici en pareille roche du temps , proférant toute ma misère en moi de mots salace, d’injures à tout va, de mots dits comme à l’emporte piècesq, raccourcis vengeurs, insanités sans qUEZue ni tête, etc, je suis celui ici qui profère x vilenies de toutes espèces et même un bvon milliers de «gros mots», de mots injurieux et de mots salaces, et donc ainsi : à l’emporte-pièce comme (peut-être) de bien entendu = sans précautuions, sans temprérances, etc, «comme ça vient», et ce afin de toujours toujours mzaintenir présent le flux ravageur, ce flux de roche en soi (mots-betes de circonstance) capable de «tenir la route longtemps» et de «repousser les a ssa uts du Temps» ... de la Mort à l’oeuvre, ici, en notre sein, car Mort est là qui cherche, cherche à percer vl’hyme,n de pareille cohorte (cohorte animale) en nous, la mort (Mort) cherche à traverser pareille étoupe animalière, la percer en elle ezt se faufiler, la (hum) «coquine», «cochonne», «peztite trainée « (!) etc, les mots ne manquent pas qui disent la chose de près, etc, nouys pensons ici cette chose comme quoi la mort est c ette chose en soi = en nous , qui pousse à vouloir traverser, de fait, le verbe incantatoire et à aller direct à se ficher sur paroi temporelle, or il ne faut pas (surtout cela !) dire cela, comme quoi il est préférable, de ne pas laisser la mort gagner du terrain, cvar la mort a vite fait de grign,otter, elle «va bien « ! elle n’e’st pas malade, elle est en pleine forme, elle pète la forme de «belle saleté», saleté d’antre (en nous), elle est une chose qui tient dur en ous et cherche issue verbal e, or comment ? car en nous l’animal (le mot) nous sauve = le gros carnassier, ou le gros et gras herbivore, qui obstrue en bnous le passa&ge à cette « Mort de mes » qui est cette sorte (donc) de «sal.. », «qui va bien», pour aller bien va bien, car, en vrai, pour aller bien elle va bien ! elle pete la forme mais ne peut du coup le montrer en nous car nous sommes en vie grace à l’action, conjuguée (entrelacéz), des betes entre elles : leur fonction, leur calcul, leur puissance, leur majesté, leur grandeur royale, leur force de vie, leur prestance sur rochre (où la ressemblance a son importance majeure) etc, nous possédons en nous cette cohorte de tous les instants qui bouche l’issue (étoupe) et empêeche la mort de vebnir passer sa tete ici de «s... » ou de «petite p...» ou comment dire cette chose de la mort en n ous , qui va donc cher cher à trouer bouche (la no^tre) ou a pareille envie ? comment ? Mort, est ce dire de peu qyi pousse, il s’agit d’un dire decpeu, qui pousse et cherche à percer, il s’agit de ce dire de peu soit de peu de poids (lui !) qui cherche à trouer bouche animalière et prendre ses aises en roche du temps, or il ne faut pas : car, nous devons rewster en vie, malgré les douleurs (la douleur), malgré nos erreurs et errancesq, etc, nos prises -emprises, etc, nous ne devons pzas céder de terrain à pareille entité ancrée en bnos corps d’hommes et femmes d es c avernes, nous devons tenir et les anima ux en ous sont pour nous une gran,de aide, sqont pour nous d’une très grande aide car ils sont massifs (doduus!) et tiennent le choc devant toute sorte de pôussée intempestive de la part en nous de cette dame ou de ce sieur dit «de la mort à l’oeuvre», etc, l’animal est un mot de rocghe, il tient la porte (videur ?) et ne s’en laisse pas conter, il est fort comme un ours, il tient bon la barre et masque l’entrée (= la sortie) à qui que ce soit en nous qui chercherait à pour le coup passer par nousq (= traversée) et à nous percer dès lors comme une outre, l’animal en nbous est passé par là, qui nous aide à en vrai nous maintenbir ven cvie le plus possible c’est à dire le plus longtemps possqible : nous tenosns à rester en vie, nouys n’avons nulllement l’intention de sombrer dans les marécages de la mort à l ‘oeuvre, nous ne voulons pas de la mort, la mort pour nous est cette «s...» (!!) qui nous fait du tort, cxazr elle cherche en nous à toujours gagner cette bagarre contre l’animal de pôids des roches ornemezn,tées, les mots sont des entraves au passage de Mort, en nbous, via la roche du tempsq, bnouys avons en nbous (pour nous) des mots-animaux qui sont comme des obstacles , des entraves, qui poussent bMort à rester à sa place bien cachée en nous, qui est donc cet endroit où la mort reste (pour ainsi dire) à l’ombre ainsi (entrailles cachées) etc, nous devons co:mprendre cette cghose comùme quuoi la mort est une chose enfouie, irrégulière, moche , aussi bien, au sens où son «visage» est disgracieux du fait qu il ne ressemble à rien = non symaetrique, non disposé comme l'est un visage dit « en miroir», etc, la mort n’a pas un de ces visages qui est comme celui lçà que nous nous arborons (de visu)- et montrons à qui le vseut sur terre, non ! la mort est disghracieuse, a (dira-t-on) pris son obus de face, est défigurée, ne parle pas bien, prononce mal les idiomes, et à son contact on en perd le nord vite fait car elle vous arrache à la vie tout ce dont elle est capable de vous arracher ou comment exp^rimer cette chose d’une sorte de grignotage contibnu si l’on n’y prend garde ! nous devons aller ainsi en roche (fusain) tenir Mort à distance ! cela est une certitude, comme un plus un fait deux ! oui : la chose est matémathique ! nous avons à tenir (via mots-betes de roche incrustés) la mort à bonne distance... en soi mais au plus loin de soi en soi ! , nous devons tenir la mort loin ! nous ne dezvons pàas tenir la mort en bvouche ! la mort doit etre tenue à bonne distance et rezjetée cvomme un mal de dents, comme un mal de carrie, comme douleur de blessure de guerres ou comment ? peut on «rejeter» un mal aux dents ? oui !!!! et comment !!!!, car nous sommes armées pour penser cette chose comme quoi, la douleur par nous est rejetée , ne nous sied pas (lka plupart du temps ou pour la plupart d’entre nous), la grande douleur est refusée par nous en nous = par je , quand un autre je essa ie de comprendre (cerner) icelle en nous, qui sembvle «plaquée» sur nous, comme motif a nima lier sur roche de grotte, etcx, nous avons en bnous la Mort à l’’euvtre qui cgherche à pezrcer coûte que coûte, or l’animal-mot en n ous inculqué empêche pareille sortie, il est bon et juste de souligner cet état de fait, les mots déposés sur roche sont mots inculqués quyil nous est impossible de désaprrendre, et ces mots «de vérités», c’est à dire contena nt les vérités «intrinsèques» (celles là mêmes repertoriées dans le dictionnaire des mots), ces mots sqont des mots de type salvateurs, ils nous protègent d’une sorte en nous d’invasionb barbare de la mort à l’euvtre, il nous sembkle ici (à ce stade de nottre enquête) que la moprt est donc bernée en ous (où% exactement ? that is the question! ) par des mots de betes ou mots-betes de p)aroi (ces dessins a nimaliers ne sont ou ne seraient au juste rien de plus) et cet ensemble de mots-betes, forme langage de repoussée, langage-repoussoir de przmière, chose ainsi qui est là en termes de ‘entrave à une sorte de sortie buccale (depuis nous) de dame ou sieur de la mort à l’oeuvre;, maiis, des lors, où donc est elle située en nous ? où donc loge-t-elle ? que fait elle ? que désire t elle en n ous sinon cette issue il semblerait ? que veut elle en nous, et comment est elle e,ntrée en ous ? comment faire pour la repousser ? comment faire pour (donc) repousser la mort ? en hurlant nos noms d’emprunt (de naissance) ? sur roche de grotte ? via des représentations animalièresq ? des «gros mots»/ betes de poids ? insanités ? qui pissent comme vache et vont sur pré ou dans loes sous-bois ? qui nous dira ce qu’il en ressort ? nous avons besoin de comprendre cette chose d’une sorte d’entité en soi (de roche ?) qyui ici cherche à trouver issue et pense pouvoir nous berner via ce pic, animalier, de la première heure ourr comment ? car il est impossibvle (ou tres difficile, de soi même) de sortir des rails pour ainsi dire c’e’st à dire de désapprendre les mots d’une langfue, sa syntaxe etc, comment faire ? une langue est un ancrage quyi prend une place ou plutot occupe cette placve, ezn bnous, «dévolue» à la mort, et, dès lors que nous sommes à même de «parler», c’sest à dire de ne pas pouvoir nous échapper d’une sorte de cape (ou de cap) langagière (ou langagier) , dès lors que nous en sommes «recouvertsq» (de cette cape) ou prisonnier ou prisonnière, alors... voilà ce qui est : la mort est repoussée, la mort ne peut accéder à kla roche et aux dessins animzaliersn, etc ; dès lors que nous sommes affublés (pelisse, chandail, étoffe, couverture de bure, etc, c apeli ne) , oui dès lors que nous sommes ainsi comme couverts ou couvertes d’une peau de bete sur nous, alors nous sompmes comme protégées de cette mort en nous (maisq où en bnous ?N) quyi cherche à pour le coup tracer sa route et à sortir de nous comme un ou une malotrue qui veut ou voudrait attenter à notre vie de roche, c’est ainsi que nous voyons les cghoses, nous chercghons à comprendre cela comme quoi les mots ... entravent la mort, l’empêchent de passer ce cap (en n ous) de la bouyche pleine,
nous cxomprenons que cette mort en nous cherche à en vrai gag,ner du terrain et à) trouver une sorte d'issue, buccale autant que pariétale (par contiguité), car, voilà, nous sqommes (ainsi) collés-accolés à la roche (un baiser) et nous sommes ceux là qui, ici, baisons roche pour la pénétrer, et trouver dès lors issue en pareille entité (pariétale) temporelle, entité rocheuse des temps, qui sont temps de salut, de sauvetage, qUand certe la mort n’e’st pas là pour nouys sauver la mise mais tout au contraire, sembvle til : pour nous défigurer ! car, la mort est une entité dé»vastratrice , et non du tout bienvieillante ! où donc la mort en nbous se loge t elle ? dans la mémoire ? peut etre ! dans la plaie de bouche ? dans le coeur ? dans le san g ? dans les veines et auttres a rtères ? da&ns le souffle des poumons aérés ? dans les jambes ( les «guiboles») ? dans le ventre ? dans le cul ? dans le dos ? dans les ailes ? nous ne savons pas en bnous où donc la mort se terre et cela nous enquiquine , car nous a imùerions savcoir (++) car nous sommes friands de savoirs, nous sommes des chercheurs-découvreurs dans l’âme, nous voulons connaîtrte ce qui est ici et ce qui setrame, sur pareille question liées aux mots que (de fait) nous prononçons, ce qu il y a derrière, ce qui se cache en eux , pour nous qui aimons les découverttes, etc, la mort est cette chose en nous que nousq cxherchons vaillamment à comprendre et pour cela, nous posons des mots ici ou là à brule -pourpoint et nous espionnons, ou comment, nous regardons attentivement, nous observons les données rupestres et que voit -on ? nous voyons cette chose, d’une bete dessinée à) main levée, cette bete grosse est un azurochs, il bat sa mesure, il est fort et rude, et rudement bien figuré (c’est à dire que grande est sa ressemblance avec son modèle de la vie en vraie), je dessine un aurochs sur une paroi, les mots sont ceux là qui sortent de ma bouche et trouvent parade sur roche, ainsi de suite sans perte de temps, de sorte que la mort ne peut (en moi, ce faisant = vivant) trouver un accès pour sortir de moi et aller ezn roche à ma place (s’étendre ? s’allonger ? s’ébrouer ?se délasser ? se bronzer ou bronzer ? ) car voilà ce qui est : je suis un homme qui vit pour de vrai une vie sur terre qui est (c ette vie) une sorte d’encklave temporo-spatiale, qui contient bien des tourments et cependant se présente à nos yeux, d’mhomme et de femme des cavernes, comme une sorte de creuset où faire (fabriquer) de l’or, cet or est notre but, notre réconfort, bnous cherchons à fabriquer de l’or, bnous ne voulons pas laisser la p^lace (la place de l’or) à cette mort en nous, à cette chose en nbous qui est cette
«mort à) l’oeuvre»
logée, ficelée à nos entrailles, etc, cela est dit ici : la :mort est ficelée à nos entrailles intezstinales (vilainetés visuelles) et nous de l’ignorer (autant que faire se peut) et passer outre, en roche, armé de ce fusain de type guerilla, de ce fusain de type guerre (guerre contre la mort) qui est arme, arme de salut dit «temporel», nous ne voulons pas que Dame, Sieur La Mort vieznne, alors ouste ! «du balai cocjhonne ! saleté ! p... », comme on dirait, ou comme peut-être on disait autrefois dans les grottes (il y a qyuzelques milliers d’années en arrière) , nous essayons dee comp^rendre ce qyui se treame ici et donc pourquoi la mort n’a pas «son « entrée, qui lui aurait été offerte, qui lui aurait été offerte par on ne sa it qui de divin (?) qui eut été en vrai son mezntor ou alors sqon assisa&nt ? son fguide spirituel ? le gourou de la mort ?
la mort est cette chose dite, qui est ... cette cghose, d’un dire trompeur ! ou comment ? la vie est un tourment, pour tout un chacun, et cependant nous y tenons (pour ainsi dire) mordicus, et plus encore à celle de nos freres et soeurs de tribus, nous n,e voulons pas sombrer, nous vouylons poursuivre notre chemin car on ne sait en vérité ce qui nous attend, nou!s ne savons pas ce qui nous attend alors que nous savons de nous certaines choses, comme l'inconfort de la doulmeur par exemple, ceztte choqse en n ous qui ressort de phgénomènes de douleur, de difficultés pghysiques etc, car le coprs est une plaie vive, le corps pezut souffrir lesz pierres
et, dès lors, contient la douleur des pierres, et la mort, en nous, chercherait de fait à se loger ? ou bien où est elle si ellle est ? le saverz vous ? je cherche où donc peut -etre la mort en nous serait logée, où donc la mort en ous serait logée, où pourrait elle se loger en nous , en notre organisme, où est logée la moprt en nous soit en nos organismes ? dans un viscère ? dans un membre ? dans le sexe ? da,ns le dosq ? dans le cezrveau ? dans les «mollets , mollets , mollets» ? dans les «words , words, xwords» ? dans les «aurochx , aurochxw, aurochs» ? ou alors où ? nous essayons de comp^ren,dre ce qui ici, en cette roche dure du temps, se trame ou se tramerait en termes de vie ou de mort à l ‘oeuvrte, que se passe-t-il en pareillze rochje ? la mort = entité intestinale ! il est bon de comprendre cette chose en nous, d’une sorte d’entité rôdeuse de première, qui cherche à no!us p hagociter, nous a ma douer, nou!s leurrer, nous tromper en essayant de s’immiscer en cette queue (nôtre) de verbe buccale , saleté ! saleté que la mort à l oeuvre en nous ! à l'oeuvre mais où ? nous cherchon,s où donc en nous la mort pourrait-elle bien trouver à se cacher ? le palais ? la langue ? kla gorge ? l’intérieur desq jouesq ? les sinus ? les narineqs ? où donc ? nous porton,s mots de bouche à cracher (pouvoir cracher) sur roche, et ces mots de bouche sont choses dxe peu au reghard de,
Sa Majesté, la Belle Meunière des Prés Musicaux,
cette belle et douce meunière toute enrubannée, qUI est en vrai notre amie de roche,
nous voulons esdsayer de comprendre un certain noçmbre de données concernant pareiklle entité logée-cachée : qui est-e lle ? que est elle ? pourqyuoi est e lle ? que vient ellez faire dans notrte existenxce-galère .? pour qyuoi kla mort? intérêt ? nous essayons de comprendre, de cdénouer les fils de la pelote et ce n’est guère choses facile, loin de là ! cela n’est pas une» chose facile à comprezndre, cela, comme quoi (en vrai) c’est grâce à lui, notre langage humain, articulé inculqué et en vahissant comme une odeur forte, oui, grâce à luii, au parler natif aerticulé et enrégimenté, etc, que nous repouussons (ou tout comme) l’échéance d’une mort ici inscritgte en nous (gènes ?) et qui trépigne en nous comme une (autre) bête, nous a v ons bon espôir de pouvoir tenir ici en vie longtemùps en,core, et, ne pas vcéder, ne pâs sombrer en roche, tenir noptre place en boànne et due forme pa rmi les betes, les mçts sont des betes comme les autrees p^ rmi tous ces mots de roche, qui br(outent;,, paissenbt, ou bien s’ébrouent, ou se secouent pour se dégourdir, nous déposons a&uinsi sur cette roche, ici frontale, nos trésors de temps impartis = ce langage vif de pa rois, ces beztex-mots repoussant sans cesse lesq é&chéa nces funestes, eztc, nouds voulons aller en pareille roche du temps, a rmé d’un savoiur de ba se a cquis, or comment savoir ce»tte chose ? qui saurait nous renseigner à bopn escient sur cette cghose ? notre but est de vouloir savoir ! nous voulons copnnaiotre les données humaines et pour c ela nous avons )à croiser sciemment les chodses entre elles et faire desrecoupements autant que fa ire se peut : trouver le pot aux roses x et x fois ezt a lors ensuite regrouper ces x et en tirer pour nous un genre de conclusion, nous sommes fria,nds dfe cettye chose, nous voulons connaitre les données de cette chose, commùev quoi les mots sont pour le coup des garde-fous peut etre contre la folie (?) ou, plusc surement (il semblerait), contre la mort, qui est aussi (avzant toutes choses ?) un genre de cfolie peut-$êztre, je ne sais pas, hje dis ce qui est qui me vient mais en véritév j’ignçre cette chose, ce savoir commpe qyuoi la vie est ou serait fa ite de mots de roche , mots gravés à m^zme l’anfractuosité,
et la mort dès lors eswt coincée (tenaillée)dans un orhghanisme en tant que chose prise à part coincée dans une bulle, je suis un homme des cavernes, je m’appelle Nologips, mais mon vrai nom est§ Personne, je cherche à comp^rendfdre ce qui est dans ce bas monde qui nous voit aller, aller et venir commùe un troupeau entier de bêtes des champs, je chezrche des vérités dans les profondeurs, ou à la surfavce, la profondeur devient surface dè!s que mise à bas eztc, nous (et je) dfisons (dis) ce qui est en pareille roche, la tra me, le Mal absolu, la Douyleur des organes, etc, c’est une chose ainsi qui est cette chose coàmme quoi nous sommes ainsi des hommes et des femmes des cvavezrnes quii cherchopns la vérité ebn toutes cxhoses, cv’est à dire de ces sortes ici de «vérités entre elles», oui, il s’(agit bien de cela, dxe mots qui (qui sait ?) se pzarlent entre eux pour aindsi dire ... et pour le reste, alorqsds ? quelle langue parlent les pinsons ? kes crocodi!les ? les orang outang ? les b elettes ? quelle langue parlent les oies ? les gorilles ? lesz scara bées ? les mou stiques, etc , quelle est donc lezur voix, leur langage vocal ? nous devons essayer de comp^reznxdre le plus que nous pouvons et aussi, ne jamais lacher (pas une seconde») car la vbérité des roches est à cve prix ! nous devons tenir debout, emmaga siner des forces debout, et marcher continuement jusqU’à temps que nous puidssionbs trouver une lumière da ns lezsw p)rofondeurs, nous voulons a ller le plus loin possible ici (che»mi, de la vérité&) et pour cel a, nous croisons les doigts et nous nous immùiusçons au coeur de la paroi, nous nous y logeons comme dans un temple, nbous ghravo,ns des betes de roche (aurochs, etc) et ces betes sont des noms (lesq nôtres ? hum, pas sûr ! ) qui sont des i nsultes (outrancièresq, graveleuses) pron oncées comme à la cantonade à haute voix, les mots en bouche soit inculqués nous protègent de la mort dirzcte et en repouussent léchéance, je suis homme des cavernesz, j’entre en roche, $mon nom n’est pas attribué ou s’il l’est il y a maldonne, car il sembvlezrait en vrai que cette perspoon e (moi) que je sera i, n’est pas celle ici qui donne
ou décline son identité
à) tout bout de cxhamp et faussement, car mon nom n’estc pas mon nom «terrien» pour ainsi dsire, je m’appelle oloron et no nspigolon, ou alorsq cxomment ? balcon ? savon ,; cannasson, rigodon ? piston ? couillon ? mon nom est nom de roche dure, son etre-nom lui-même est fait de cette chose d’(une vie (vive) qui ghurle son ire ! j’essaie de m’a va ncer en roche comme dans la mer , soit doucemeznt, à petits pas d’abvord , puis l’heure du plongeon arrivera qUI me vezrra plonger, tete la première (et fissa) en cette roche pariétale, roche des dessins gravés, ou dessinés, simplement, par pareil homme que je suisq, ce graveur de roche, cet illustrateur, ce cxharmeur, ce marchand de reve, cet australopithèque ou ce méridional, ce char(meur de sezrpent, cet olibriuqs ezn roche du temps, dessinant à qui miieux mieux qui des bouquetins, qui des reznnes,
il s’agit pour moi de comprendre en vrai les ressorts secrets du langages , quels sont ils ? il y a ici cette dponnée (donnée de naissance) = ce bain,
ce bain dans la langue venant comme obstruer les pores pour le coup de tout etre naissa nt (fille ou garàçon) ven ant sur tzerre armé de ce baga ge, ou bagage cde guerre (guerilla&) pour ains i dire;, kje voudrais sa voir ce qui est sur roche qui nous atten, je vois la roche comme un temps d’offrande, le temps des offrandes, des pr&ésents, il est bon p)our moi de bien comprendre ette cxhose et de la respecter, d’y veiller, je veux savoir, qui saura me dire ? je suis un homme des cavernes , et en tant que tel, je me dois de gra ver, longtemps et profondément,; et avec opiniatreté, et
courage, des betes ezt encore des betes, des betes de gros poids,; qui vont et qui viennent sur paroi en lieu et place de la mort à l ‘oeuvre, c’est§ à dire ezn lieu et plavvce d’une sorte d’ abalndon, car la mort n’est pas cette chose ou personne de confiance, ezlle ruse et trompe son monde,en moi comme ailleurs, je suiis un homme au pouvoir accordé, celui de la parole a rticulée, je vais sur roche a rmé de ce pouvoir animalier, je cherche une réponsze sur la Vérité à même la roche, que penser ? la mort est Une et indivisible, tout comme est ladite «vérité des vérités», je gambade sur roche, je suis un chevreuyil aux bois hjolis, ma ramure ezn impose des louches à qyui veut bien s’en enquérir, ou s’en rendre compte, je suis cerf de roche, mon nom est Le Grand Cerf de Roche Dure, jhe suis passé maitre dans cet art, de percer la roche de mes bois et de déambuler en pareils lieux sans entrave autres que ceux, ou plutôt celles , liés aux bords ma rins, je suis un chevreuil aux boi!s fleuris, mon nom est Personne, ou Bambi, ou autre (spigolon ?) qui me colle au corps comme une sangsue car, en vérité : a i je un nom ? ou bçen suiis je né sans nom ? et qui m’a donné un nom si tant est ? j’ignore qui c’est ! je ne suis pas né sous mes yeux ! je n’ai (ne connais) que des raconrta rs sur la vie de mes débuts) à) pouvoir raconter et du coup c’est maigre ! qui est quyi , qui est quoi ? je brule d’envie de savoir vraiment d’où proviennent ces choses, en moi, de cette véerité des termes klangagiers, c’est à dire de cet aspect (relevé) de vérité en chaque a cception, qui sait ce qui estv en cette matière ? mon n om est donnée (une donnée) de roche (mots-betes) et, en tant que tel, s’inscruste dans les memoires (pariétales) comme un «gros mot» va ou ira s’incrusqtant de même, mon noçm est nbom d’emprunt, nom offertv à la naissance,; mots de betes alloué , qui vient à se loçger en moi (mais où?) comme une sorte xd’emprise sur moi qui sezrait encore et toujours à vouloir coûte que coûte se loger, je veux savoir ce qui m’&ttend, à quoi ressemble lma mort et y a t ildes mots pour dire cvette chçse, ou bien : pas de mot ? ou des mots (seul) de beauté ? des mots d’a rt ?. de l’art ? de c ette choqse dite « art « ? qui sait cette choses ? je cherche des réponses dans ce sas de roche temporel, et c’est ainsi quye je vais de l’avant, en la roche, comme un bouquetin (lui) sur son pic pointu, manquant incidemment me ficher en l’air mille fois ma is non, toujhours là qui demande zncore et ezncore des savoirs ou à apprendre des sa voirs: qui est quyi en cuisine ? qui fait quoi ? qyui décide ? qui prépare les petits plats ? qui connait la vérité du globe ? pourquoi des hommes et des femmes des cavernes (ensemble) en lévitation ? qui veut donc savoir avec moi ? comment dénicher les choses cachées, avec ce dit «Verbe» à nous alloué ? qui peut me guider et me donnerun fil, ici, à ne pas lâcher ? je cherche une vérité à même la roche, mon coeur vibre à l’unissonb, il s’agit d’une volonté farouche, et impossible pour moi de m’arreter ca&r la vie est l oeuvre, le souffle a nimalier compose sa traîne, son pic de tresse et trace sur rochge et permet de fait l(‘immixtion en icelle d’une comme sorte de prière notée sur un bout de papier inséré vite fait à même la roche (intersitice) , je veux comprebndre cette chose en roche, d’un dessin / mot de betes des prés, ce cheval : qui est ce cheval ? est il un nom et si oui de qUI ? qui peut ou pourrait m’expliquer avec des mots simples, avec des motsq simples de preéférence , qui pourrait me dire tout ? qui saurait me dire tout ? je suis un chevreuil, je suis doté d’une pelisse, j’(ai des bois , c’est àç dire une ramure qui en impose, qui en jette, qui ezn fiche plein la vue, ma beauté naturelle est sans conteste, mon nom ,m’a été offert (donné-br ûlé) à ma naissance par une entité de la roche nommée (l’entité ) : «l’Entité», et c’est ainsi que je vais zet que je viezns squr roche, moi chevreuil, gambader, sautillezr, me tr&émoussezr, me dérober aux rzega rds a vant de réapppâraittre, je suis méga-chef de la roche dure des temps impartis, mon nom est un nom d’emprunt, mon sa bot est lourd, ma pelisse est douce, tendre, velouté, je suis une bete belle comme mots de roche sur paroi : ressemblant (le mot) = fulgurant ! mon nom est tempête ? ) ou fulgur (?) ou quoi d’autre ? je me cherche un nom sur la roche : au fusain= au baton, je suis cerf de roche du temps, je vais et je vciens dans le temps : loopings, allées et venues, cahin caha, de droite et cde gauche, je trace (ici) chemin de randonné&e, je suis cerf de roche dure qui nonchalamment va de son allant sur pa reillle roche des temps soit des temps offerts, quel est mon vrai nom ? je l’ignore ! chevreuil ? chien ? chameau ? un nom d’animal mais lequel ? la vérité (ici) est animalière ! il s’(agit de creuser (pour soi) la roche deva nt soi, et de s’y glisser (vite fzait bien fait) dans un interstice rochezux, et, au dedans (d'icelle pa roi) , aller et venir ezt ga mbader, à sa guise, comme l’animal choyé, élu et affirmé, je suis chevreuil-homme, homme-chevreuil de la roche, je suis mi homme mi che vreuil , je cherche en roche une vérité, vérité de base sur laquelle m’appuyer, sur laquelle me dresser et faire impression, mes mots de tete sont mots de roche, sont mots-betes de p^rairie, sont mots d e la base et du sommet , des monticules à travezrser, je suis Cerf Méga le Grand de Roche des Prés et Prairiesq Domaniales de pareille pâroi, mon nom;s’écrit à l’encre sympathiquze, au fusain de bois, au sel de manganèse sur pàaroi des hommes et femmes des cavezrnesq, j’avance bon train dans une direction donnée qui voit le Verbe aller, sur roche, comme une sorte de tracé (d’homme ou femme des cvavernes) sur paroi de ghrotte, mon nom eswt a insi orné d’une b ete de roche, comme enluminé, comme décoré ou illustré ! je chezrc he une vérité de roche dure, mon nom est celuyi qui s’inscrit ici sur la pierre,
comme gravure sur un mausolée,
comme gravure sur une tombe, ou sur pierre tombale du temps, je cherche une ré&ponse à des queswtionnements de type langagiers animaliers de base et c’est ainsi que , me posant moultes et moultes queswtions, j’en arrive à cette conclusion comme quoi les mots (en soi) obstruent le passage au vent cde la mort qui, de fait, emporte tout sur son pasdsage, je vois cvette xchose crûment, se dessiner (au charbon de bois) sur roche, sur paroi des hommes, etc, je suis homme des cavezrnes, femme des cavernes, Méga Cerf le Grand, selon les instants de ma lucidité, je cherche instamment à comprenxdre de fait les enjezux qui sont ceux ici de la roche ornée : pourqyuoi ? qui pârle en paroi ? dans quelle langue ? qui dit quoi ? qui veut parler ? qui veut dire son nom et se sauver ? le nom sauve t-il la mise ? la vie ? qui veut se sauver ? qui ne veut pas xse sauver ? comment se sa uver ? que faire pour cela ? le nom d’emprunt peut il ,sauver et que sauver ? que de soi sauver ? sa voie ? son n om ? son =être ? sa foi ? sa voix ? sa tendresse ? sa dureté ? sa souplesse ? sa rigidité ? son charme, s a beauté des prés ? son sens de léquilibre ? sa mise e,n demeure sur rocxhe ? son installation prairiale dite pa riétale ? son éternité temporelle ? son jeu ? son je de cerf ? son je d’homme ? sa crudité ? sa cruauté sur pareoi lisse ? son feu intérieur ? ses laermesc? ses a termoiuements ? quoi d’autre ? je suis megacerf le géant de céans et je veille sur icelles tribus des roches, sur progéniture, sur mes instinxts, je vais sur roche animalière afin de mù’ébrouer, me détendre et savoir ce qui est d’une vie de roche animale : pourquoi, quand et où aller exactement ! vers les embruns ? vers la vie lointaine des embruns ? où me rendre ? où donc déposer ma vcarcasse rigide le jour venu (si tant est que ce jhour un jour advioenne! ) ? qui sait ? je suis mi homme lmi cerf = un nous ! je suis ce nous qui dit nous le casc échéant : mi homme mi-bête ! je suius je le chevreuil ici «du temps imparti» , je vois les choses ici depuyis pareille roche ornée (gravée), où suis hje en vérité ? qui est kl’instance ? qui parle pour moi ? qui donne le la ? qui connait les données du je ? qui sait se prononcer et dire les mmots justes ? qyui sait ce qui est, de la véerité des choses montrées, et de celles qui elles ne sohnt pas montrées , qui ? je cherc he des réponses en roche , pour ma propre gouverne et pour celles de mes des cenda ,nts ! je suis Mé»ga, cerf cde céans , je suis peut-être un olibrius mais je suiis un occupant, et dès lors je vois des choses, je vois bien des cghoses se tramer et je pezux témoigner de tout cela que je suis amené à voir, en vrai, de mes propres yeux, je suis un homme-cerf de pa roi de grootte , et c’est ainsui que hje visionne b ien des choses dites «de la véreité du monde», car mes yeux y voient et mon coeur bat, il ws’agiht de ces deux choses ! homme cerf de la roche du temps, mots-betes pour ma gouverne, oriezntation, cheminement, volonté ancrée, cxhemin faisant comme tout homme-cerf qui se respecte ou comment autrtement ? je vais en roche )à la recherche d’une bvérité qui serait celle-là liée à un savoir a ncré ici dans la profondeur, je cherche à comprtendre cve quyi est qui (en vrai) se cacherait da ns la roche, et qui en xdirait long sur tout, et surtout sur la vie de
Mort la Gra nde dite la Vilaine
ou comment désigner car nos mots sont des beztes, nos betes des mopts et pas n’importe quoi en matière de mopts maiis il s’agit ici de mots dits «grosq», ici ezn roche, il s’agit de mots dits «gros» ou «gras», qui sont comme prononcvés à haute voix, les mots des grottesq sont «vgros» comme des injures, des insanités toutes prononcées dans le but ici de désigner ... eh bien l’entité sous jacente ou dite «sous -jacente», qui en vrai est celle là qui chezrche à nous ravir,, ette Chose de la roche dure, cette cxhose qui porte atteinte, qui toujoursc cherchge pareille (semblable) finalité définitive, etc, j’(ai nommé Dame-Sieur de la Mort à l ‘oeuvre hélas, cette «saleté» à ne pas approcher car, elle brûle tout ce qu’elle toucxhe ! il s’agit d(‘un feu , foyer inca ndescebnt,, brûlerie, foyer de brûlerie ! aïe ! ne pas s’en a pprocher sous peine en vrai d’y
rester à jamais, et de suffoquer (ou comme suffoquer) pour l’éternité !
(ou l’inverse : 1 , de suffoquer ; 2 , d’y rester à ja&mais !)
je suis l’homme-cerf des cavernes, je cherche à comprendre ce qui est (pour de vrai) à l’intérieur du lmangage, cxommeznt soi-même y eswt -on ? que voit on , ou qu’y voit on ? qui saurait me rensei gner ? iln ‘ewt pas facile cde s’y retrouver, je cherche avec assiduité, avec volonté, avec un grand sérieux, ce qui est qui pourrait nous renseigner sur ce que c’est que cette chose de la vie ... accouplée à la mort, comme les cdeux moitiés d’une même et seule entité qui serait disposée en miroir : mon nom ? MON NOM ? ou quoi ou comme ? car mon nom eswt cette chose (visuelle, vive, visible, en V) qui est cette chose (ou sorte de chose) offerte à la vue, comme Véreité cde bon aloi, de bonne fame, dite-montrée comme une ramure, etc, et c’est ainsi que moi (Homme-Cerf de céans) je peux en avancer sur ce chezmin xde (ladite) «véreité des choses à dire» et ce V, comme un col, comme ramure de cervidé, etc, serait signe distinctif d’une chose de poids en matière de Vérité vraie ! et cela est à souligner ! ce V est cela même que je vois se desswiner sqous la main qui est mienne et porte le fusain qui trace, ce V est signe kab balistiqsue (un V, comme celuyui du mot Vérité ?) et signe des temp^s , ce V est le signe de ralliement, signe du temps offert, sur pierre tomballe ou table aux odffrandesq,
j’offre ce V de Vie comme vraie, j’offre
un V de roche sur pàaroi et fait accroire ! je suisq cet homme-cerf à ramure dorée, qui offre ici le V de sa cvie fausse, mot de joie, emprunt, ramure; donnée débridée, découverrture de sqon soi de rage , insulte, ignominie proférée à meme la roche, etc, j’offre un mot «gros» comme une insanité, sur pareille rochje du temps (des présents = des offrandeqs) et cela est ainsi que je (hhgomme-cerf) donne (injuriueusemexnt) à lma mort MON NOM, ce nom en miroir (ce miroir) qui est cette cxhose d’une xdonnée brute (sans chichi) censée pouvoir AGIR et toucher a u but qui est celuyi, ici, x$de rester en vie,
je suis cerf-homme, cerf volant fait homme , je grimpe, je mélève et vais fissa qgravezr squr roche des dso nnées de fait de toutev première importance : mon nom qui est une insulte, mon nom (en beauté ? ) qui est une insulte -ici proférée à l’adresse de «Sa majesté, La P... de mes Deu...», qui esEst cette «S... de Morrt à l’Oeuvre», qui va là sur roche me chercher (?) ! je suiids chevreuil, je suis homme, parefois je siuis chevreuil, parfois je sius homme, je suis c e chevreuil du temps, et quezlqUefois je suiis homme du temps, je suiis une sorte de chevreuil nommé (ou dénommé) , et quelqjuefois je suiis une sorte d’homme des tezmps alloués alloués en roche, je vais et je viens dans la roche, je suiis, dans la roche des temps, l»’(animal du frai, je suis rocheux l’animal de pâroi, homme de vie dure, mi homme mi bete, cherchant de fait sa vérité vraie à même la piezrre, je cours et volette, je monte et je des cend, car mon nom est neuf comme un nouveau né , comme un oeuf de juste éclosion venant de percer, ou cxommùent signifier , en vrai, ma jeunesse de présentation ? je suis mi homme mi chevreuil, mon nom est Brillant de vie riche, je vais en roche comme un nouveau-né venant au monde : les yeux grand ouverts sur pareille paroi du monde, j(ouvre ghrand les yeux sur le monde, le monde est celui des embruns, de l’entre-deux-mers, des év&abnesczences dites «pariétales» , je regharde tout alentour les betes des pr»és qui toutes broutent et me regardent (placidem=ent) en retour, mi)homme, mi bete pour ma gouverne, mo,n tourment, mes recherches, je colle à la roche, je suis cvomme une offrande déposé, mon corps est doublé de celui dela bete = de la bete en moi, mon corps d’homme naissant est d’emblée doublé de celui e,n moi de c ette bete, dite «bambesque», qui va comme caracolant sur son chemin de croix à meme la paroi du temps, je cxherche le V (l’ouVertute) de la vérité, je cgherche avec opiniatreté, avec une grande volonté et je suis plein d’espoirs, d’un hjour, pouvopir, je le veux, trouver cette cbhose, d’une vérité en vrai (ce V de la chose) qui dira, qui saura me dire = prononcer, les mots doux, les mots justes qui diront le nom, le vrai nom de la folie, ce nom xdes folies douces, cettye folie-nom, qui saura ou qui révèlera les c hoses associiées, ce V sera le nom ... des dires Majeurs, je verrai (mi homme, mi-chevreuil) ce quy’il en eswt en fin de cette cghose devant moi (art de la fugue) déposéee, enfin je saurai de quoi il en retourne,
ce qui est qui est,
ce qui n’est pas qui donc (de fait) n’sswt pas,
la beauté des agréments, la douceur des sentiments, ce velouté temporel charmant, cette etran,geté, cette biche, ce faon, cet enfant naissant, ce petitt être sans pârole, cette chevzuchée dans le temps, cette ma scazrade, cette chaloupe, etc,
mi homme , mi chevreuil, j’avance sur roche,
mon nom s’(affichera dès lorss, sur pareille pareoi aux embruns, je galope, je m’arrete, je rezgarde
, je scrute l’horizon perlé, je sens lma vague approcher, lma vague d’engloutissement, à moins que ce ne soit : un souffle cde rien, une brise, un crachotis, une tout juste offrand respiratoire, un petit rien soufflé comme brise des temps, je vois les lointa ins, je parle une langue tracée, mon cvorps est comme sectionné, il en va ici ainsi de la véerité desq choses, ceelles là que je rezcherche avec assidyuité depuis touj,ours, je suis homme des cvavernes ours des cavernbes cheval des cavernes homme des cvavernes chevreuil des cavernes lion des cavernes homme des cavernes, homme-femme des cavernes pour ma gouverne, homme femme
des cavernes pour un sentiment, un mouvement, une per cée, une trouvaille, une chose à conserver qui est cette chose d’un nom donné qui ezst cette chose d’un nom porté
comme une preuve, une vérité de roche, une sorte de vérité qui serait celle là que je rechercherai depuis toujours et qui serait mon nom p^rononcé par la bande : ce nom de la ba se rocheuse = MON NOm de paroi
23/4/2021
je vais en roche pour la bonnne czause, je suis l’homme des cavernes et des gouffres profonds, quyi cherche vérités en eux, en pareille excavation enfouie profond, je dessine à main levée tout un tas de betes de poids, qui sont lourdes, lourdes en pareille paroi et qui imposent leur massif de choix, je dépose des présents sur roche du temps et pense ainsi peut-être m’acquitter (à bon droit) de cette chose ici d’un don à faire à ... Mort de BOuche la Grande, Mort de Bouche Ouverte, grande Bouche de la Mort à l euvre etc, cette entité, cette chose en aval, ce trou à l’horizon, cette clarté votive, cet espace-temps absolu qui nous tend ses bras, cette bouche cannibale, cet oeil de vie , de perdrix, cette chose en poste devant soi comme une relique, etc, j(avance armé, je suis l’homme dessinan,t des betes qui sont des apprets, je suis cet homme dessinant des betes-appeausx, des betes trompeuses, je suis l’homme des cavernes dessinant des betes-appeau qui trompent leur monde etc, j’avance ainsi en roche entre deux mers, je m’avance à pas feutrés, je suis l’homme qui avance )à pas feutreés sur pareille roche des apprets, je suis l’homme qui, en roche (inclus) avance à pas feutrés, s’avance, poursuit son chemin vers une sorte de clarté et cher che vérité en roche, au fin fond, pour sa gouverne personnele, vérité de bon aloi «qui puisse le faire», vérité qui soit, à ses yeux, une chose qui compte, qui informe, qui donne du sens, qui en dise long sur les choses du monde, je regarde autour de moi (en roche) ces betes qui paissent, je les vois aller et venir en prairie, qui broutent et me regardent, ce sont des betes de paroi, des betes sur pattes, je les aime d’amour, ce sont les betes dessinées ou grav»ées sur roche et ce sont les miennes pour ainsi dire, betes chassées, betes croisées, betes de roche dure des temps alloués, ce sont des betes proches de moi et de ma gouverne, elles se tiennent quiètes à mes côtés, elles en imposent et font impression, ce sont des appeaux, des betes de poids censées en jeter, et ce qu’elles font pour moi est incommensurable qui (ces betes) me mainteiennent toutes en pareille loge et me poermettent de continuer, sur ma route, vers ici cette clarté de fond de roche,
je suis un homme des cavernes
entouré, j’avance à pas mesuré à l’intérieur de la caverne aux buffles et aux chevaux, je suis l’hommùe des cavernes cachées, retirés, contenant gravures (et autres dessins) d’animaux préhistoriques, je suis l’homme qui va en caverne (fin fond) dessiner des betes de poids qui sont betes de peu, qui sont betes pour tromper son monde, etc, et moi d’entrer apres elles en cette roche dure par l’imposition des mains, tete première, en lévitation , nu comme un ver et criant mahaine : j’entre ainsi et me loge en elle, devant moi cette 2^paisseur de poids massif,, ce temps imparti donné, cette chose d’un présent de roche comme une offrande déposée, je suis à l’intérieur d’un temps imparti offert et je me loge en lui comme dans une plaie ou comme ailleurs dans une eau calme, je suis en cette roche le bebe nageur, l’homme des eaux, la caricature, le tremblant, je fonce en roche tout penaud et me montre ainsi, montre de moi aux animaux autour de moi, cette créature des bois et des sous bois, ce chasseur-cueilleur, cet homme dessinateur et graveur, cet allumeur de feu, cet homme qui aime les betes, etc, et, ainsi faisant, j’entre au plus profond de la paroi, à la recherche d’une vérité de bon aloi, un présent, une offrande, un don criard, une obole (?) ou quoi de plus, ou quoi d’autre ? car, je vais en roche mmenaçant, armé de mon pic verbal, prêt à hurler magourme, ma folie , mon rire dur, mon emprise et ma haine de Bouche de la Mort à l’Oeuvre, j’entre en cette roche ainsi comme «torturé»», en moi, par des pensées folles, je veux me libérer de pareilles choses en moi, je voudrais me libérer de pareilles pensées de trop et pour cela, je dois m’immiscer au plus profond de pareille roche du temps, aller loin en elle, m’incruster dans ses entrailles et m’y loger un long moment car je sens que des pensées ezn moi m’assaillent (animales) et me gênent aux entournures et mon souhait ici le plus grand est de me libérer de pareilles entraves, de m’en décharger, de m’en délivrer par la bande et sur paroi , mais, pour cela, je dois m’immiscer au plus profond des entrailles de laterre, je me dois d’aller loin en elle , jusqu’à l’asphixie si nécessaire ou presque, judsqu’au bout du bout des choses possibles soit humainement possible, j’ai à faire cette chose, je me dois de faire cette chose, d’aller en roche au plus profond et de regarder (les yeux grand ouvert) ce qui donc ce trame en pareille loge du temps, ce qui est et qui se trame, ce qui est intégré au temps, ce qui existe au fin fond de cet espace-temps de la roche dure du temps : ouverture ? échancrure ? plaie ? clarté ? saignement ? carambolage de betes entre elles ? cohorte ? quoi ? car, ma volonté est celle d’une chose à dire ici , colmme quoi je suis celui qyi veut connaitre les tenants et les ab outissants d’un «tube « de vie vive, cette galerie, ce chenal, cette chose à deux embouchures, etc, je souhaite en connaitrte long et connaittre ce qhi est, à savoir cette chose du bout, du bout de la roche :
cette ouverture offerte, est-elle un passage avéré vers un audelà pariétal ? où soommes nous ? cvomment détacher les ombres de leur fond nacré ? qui peut me renseigner ? qui a les mots (les vrais) pour parler et signifier ce qui est en vrai qui nous regarde ? suis je d’un côté de la roche ou bien suis je de l’autre ? de quel côté suis je ? où doiss-je me rendre pour comprendre ? je veux savoir ce qyui est en roche qui setrame, je souhaite en savoir long car je suis cet homme dees cavernes aux ambitions démesurées, qui cherche à crever la roche de son pic de verbe nacré et va loin, en pareille paroi du temps, à la recherche de la vérité saillante, dure, tenable, éternelle, solide comme un pieu fiché en terre, je vais en cette roche du temps et je cherche à voir ce qsui existe qui me tend les bras, suis-je un homme ou une femme des cavernes ? suis je un animal musqué ? suis je une bete fauve, lion des cavernes ? suis je un être de peu ? un etre -sembvlant ? commùent suiis je perçu ? qui me dira quyi suis je en termes identitaires ? qyui peut me dire avec certitude mon nom de tribu, ? qui sait mon nom, ? quel est mon nom réel, mon nom de base, d’avaant la naissance, d’avant toutes ligneées familiailes ? qui sait ou saurait ou sxaura me dire cette chose, qui pour moi a une i:mportance considérable, est d’une importance majeure, est d’une très grande importance à mes yeux ? il s’agit pour moi d’une chose capitale, une vraie et durable pensée en moi, cette chose d’un espoir de «reconnaissance» , cette chose d’une envie de savoir qui je sui en termes de nom donné et donné comment , par qui, depuis où , etc, car le nom conditionne la pensée des nombres, le nom est une chose capitale, il est ce qui dit ce qui est aux animaux de la prairie, il est cette chose offerte à trimballer, à conserver, à conduire en des lieux profonds, le nom impose sa marque, sa substance et donne le la musical des sphères (aux sphères ?) et ce faisant, le nom est l’attribut majeur, la chose en exergue, le point central, le pis de la vache etc, nous devons comprendre que ce nom qUE nous portons est le nom donné à un etre de prairie, à une entité campagna rde, etc, ce nom me suit dans les prés, à la chasse à) la sagiae, a la peche, dans toutes mes déambulations terrestres, ce nom est celui offert par la bande à cet homme des cavernes que je représente : je suis cet homme nommé, j’avance ainsi accoutré, je loge en roche, je monte sur paroi comme un homme lévitant sous l’effeyt peut-être de narcotiques, je m’immisce en roche à travers le trou créé par ma pique, je monte ainsi la paroi et plonge, entre profond, me loge en elle et vois alentour les betes des prés, qui broutent, qui sont quiètes et me regardent d’un air de deux airs comme le font toujours, j’essaie de comprendre ce qui est, ce qui se trame ici en roche dans le temps des apparitions des betes de poids, je cherche à percer les mystères, les secrets bien conservés de la roche des embruns, des clartés nacrées, etc, mon nom s’inscrit sur la roche et me tend les bras, qui suis je ? je ne sais poas, qui suis je en cette rocghe des temps impartis ? je l’ignore , je ne me vois pas ! je syuis cet homme des cavernes affublé xd’un nom étreanger, je suis cet homme des cavernes affublé d’un nom d’emprunt, je suis l’homme qui est celui là qui fonce fissa en roche à la recherche d’une vérité de bon aloi et qui puisse le faire, qui puisse en jeter, en imposer, en mettree plein la vue, aveugler tel est le terme, je suis l’homme d’une emprise, celui là qui cherche comme à se libérer de cette emprise en lui animalière en gravant sur roche, qui le bouquetin qui l’anttilope, je vais et je viens en roche et cherche à me loger en elle (confins) afin de comprendre ce qui est, et quil m’est donné de comprendre (ce qui existe pour de vrai en pareille loge temporo-spatiale) et aussi le pourquoi je me dois de fait, d’aller profond en grotte, au fin fond de l’asphyxie, en cette zone dure des données brutes, etc, je cherche à aller loin en cette roche du temps alloué, je me dois de creuser loin, d’aller dans les profondeurs, d’aller en cette roche dans les profondeurs, je me dois d’aller au plus profon,d et ne pzs lambiner mais fissa aller en roche, m’introcduuire et graver, dessiner de chic pareilles figures si possible, en pareille paroi nu, lisse, bombée ici ou creusée là, je suis dessinateur-imagier, je grave à l’envi des figures de prairie, de pré, etc, je vais en roche pour cette chose d’une entrée en vérité ou dans la vérité des choses, je v eux savoir ! je veux être au jus ! je veux en savoir long ! je veux etre mis au jus ! je ne veux pas ne pas savoir ! je veux connaitree les données de base de la vie et de la mort des choses, etc, je veux être un homme qui sait, c’est à dire cet homme savant de la roche, muni en lui de ce savoir ‘
«intelligent» des hommes xsavants, je suis homme qui sait cette chose du temps imparti
offert par la bande à une confrérie humaine, etc, et celaa une importance qui n’est pas nulle bien au contraire, je suis cet homme quyi est celui là quyi s’avance en paroi à) la recgherche d’un savoir de base et de sommet, d’embouchures (a et b) et cela pour la bonne cause animalière en lui, pour se soulager de ce qui en lui le gêne aux entournurees : qui suis je, qui suis je en roche, quel est mon vrai nom, comment je m’appelle, comment je suis, où je vais ? etc, car je suis cet homme qui trembkle xde questions diverses , de questionnements divers, d’interro gations lancinantes, je suis homme rempli d’interrogations, je suis cet homme qui va en roche à la recherche d’une vérité de roche dure, d’une vérité affichée et qui en dise long et pour cela je vais m’immisçant, je vais en cette roche lafleur au fusil, je suis devenu cet homme de paroi léger, qui monte, s’élève dans les embruns, je veux savoir la vérité, je veux etre pris en compte, je veux savoir le vrai du faux et connaitre le nom qui m’a été donné pour de vrai, qui suis je en ce bas monde pariétal ? il va sans dire que je ne syuis rien d’auttre que cet homme de peu des cavernbes, je suis l’homme gravant effigies sur pierre, je szuyis l’homme de la voie lactée, nacrée, de la roche aux embruns d’un entre-deux-mers pariétal, j’entre en roche comme dans une église et m’y repose un temps avant d’aller plus loin en cette pierrre (dure) du temps, je suis cet homme ici qui va profond, en rocghe, et trouve à comprendre les raisons ou les motifs qyui poussent à creuser ou à devoir creuser «sa tombe» de mots de roche de la sorte, et ces raisons toutes appartiennent à un temps dévolu, à compréhensions, à recherches intellectuelles, c’est à dire à un temps dévolu à la pensée de tête, etc, or, ici la chose se distingue en cela que les mots ... sont des betes, et les betes ... des mots, et que dès lors le temps devient cette chose d’aspect ou d’allure prairiale, champs à brouter par l’animal en soi qui paisse, qui paît, qui est cette bete placide mangeant de l’herbe à qui mieux mieux, une journée entière, des journées entières, etc, le temps est la paroi, les mots sont des animaux, la vérité est belle musique, le chant de la roche est le nom donné, l’allure est vive d’emblée quyi nous pousse à aller fisqza xd»’un point de roche à un autre plus distancé, je vais en roche et me plaît en roche, je suis homme de peu, affublé d’un n om de peu (chan dail) qyui est nom de con,frérie, et non point nnom divin, ce nom est celui donnéc pa r
x de mes congénères et non point le nom donnécpa r une entité supérieure, un o eil de roche, une bete larvée etc, je vais en roche comme un homme des abris, qui se cache en elle pour se protéger de la furie animalière, je vais en c ette roche ainsi accoutré, vétu de ma bure de laine, de mon petit chandail de tenue agraire, de mon arme de chasse en bandoulière, etc, je suis homme qui va sur roche et cherche un abri où pouvoir se loger tranquille et abrité, je suis homme qui va en roche à la recherche d’une vérité vraie, d’une sorte d’entrée en matière, je cherche un accès direct et (cet accès) dans une sorte de concrétion percée, d’i:mmiscure ou de fente en roche, etc, je m’infiltre en roche ainsi, je veux savoir, je veux être cet homme des abris, des roches des temps, des roches -abris des temps impaertis et pour cela je vais au plus profond et cherche des données de base et de sommet, qui soient celles-là qyui puiisent me donner la foi en cette chose d’un temps alloué, alloué par la b ande ici animalière en cette zone dure du temps dur de vie de roche, il est cette chose pour moi que je suis de fait cet homme qui va, squi file et s’incruste, et voilà ce quy’il advient ou ce qyui est ici d’une chose neuve (pour le coup) à considérer, cette envie en moi d’en découdre avec la bete en moi imposa nte, lourde, pesante, qui me plombe et m’empêche d’aller à ma guise en société, je veux pouvoir me libérer et quitter les embruns na crés de maroche , c’est à dire aller encore un peu plus loin en cette paroi de roche des temps, vers un avenir prononcé, vers un horizon reculé, vers la roche claire des lointains, mais cela comment ? nous devons filer ainsi en cette rochge , afin de cerner au mieux les données qui sont celles qui ici président aux destinées, je vais en roche et je comprend lkes données natives, les premières pensées, mais au delà, que voir ? qu’y a til à voir au delà de la roche nacrée ? que voir au dezlà des embruns et des cerfs de roche ? qui se pose là ? qui va là ? qui est là ? nous ne savons pâs, nous sommes à cvhercher fissza et avec entrain, nous voulons connaitre ce quyi est en cette roche, ce qui existe, ce qui setrame en termes de vérité allouée à la roche du temps : qui va là ? qui est là ? quel est le nom de cette Chose d’apres les embruns ? nous ne savons pas et cependant nous sommes, dans ce sas pariétal, aux avant-postes, nous ne sommes pas là pour ne pas comprendre, mais au contraire, nous sommes là en ce lieu pariétal pour comprendre et aller plus loin sur le chemin des vbérités de roche, notre but est celui là qui s’affiche ici, nous sommes des etres de peu (c’est dit) mais qui sommes muni d’un attirail de queue (caudal) verbal, notrte train-avant est un pic de roche, il est ce pic pouvant perforer la roche (le rocherrrrr) du temps, il est pic de roche dure et est cet instrument «d’entrée en matière», nous voulons comprendre cette chose pour nous d’une sorte d’entrée en roche de la véerité comme dans un sas qui serait le lieu de toutes les raisons qui président aux destinées du monde, notre but est de «tout» comprendre, mais comment ? car les mots ne suivent pas ! ils restent en jachère, à parrt, comme déchets tombés du nid ! nous sommes etres qui cherchons de fait à savoir cette chose de la vérité des roches, nous sommes desêztres qui cherchonsardemment une vérité à révéler et voilà pourquoi nous nous incrustons en cette paroi de laroche dure, nous voulons cela être ici pour nous, des hommes qui recherchent vaillamment une sorte d’entité de roche logée (l’entité) qyui saurait nous dire ce qui est, et nous donner du coup la conduite à suivre, car que croire ? où aller ? dans quelle direction ? comment faire pour comprendre ce qui est, c’est à dire embrasser ? comment savoir et comment faire pour savoir ? nous avons ces questions pour nous, au chaud, depuis la nuit des temps, nous ne changeons pas de registre, nous voulons savoir cette cvhose d’un savoir de base quyi serait celui-là ,présidant aux choses de la vie terrestre, notre raison est bornée qui ne sait pas long, notre gouverne est animmalière, notre oeil est vif mais quasi éteint aux données l:ointaines, notre oreille entend ce qyu’elle veut entendre , ainsi de syuite : homme de peu de poids tterrestre, homme limité par ses membres courts, homme des cavernes aux sens ourlés qui vont peu loin sur roche, et sondent peu hélas, alors comment faire ? en lévitant ! drogue des sentiments ! air raréfié ! chaleur et moiteur! chants répétés et gutturaux! adresse royale ! percée de roche pzar la voie des eaux ! tribulations pariétales d’appui ! aspect rageur d’une entrée en matière au pic pointu du verbe de bouche , etc!, je vais en cette roche du temps et en elle me complaît à chercher des choses de poidsq, je vais en c ette rocghe du temps, je suis en elle comme homme des cavernes des temps plus anciens
encore, je suis homme des cavernes
de laroche des temps plusq anciens encore
et cela n’eswst pas rien mais compte de tout sonn poids dans la balance (il semble) de la destinée terrestre, je vais en roche comme un chercheur va
pour sa recherche, je cherche à mon tour (en pareille paroi des hommes) une raison quyi puisse m’aiguillezr, or ce n’est pas simple, il n’est pas donnéc à tout le monde de trouver , c’est à dire de trouer laroche, de passer latête, de passer de l’autre côté et de l’autre côté cde trouver matière à comprendre, pour de vrai (raisonnablement) les enjeux d’une vie sur terre, je veux comprendre, cela est un cfait, mais comment ? en tambourinant sur la rocghe comme un dérraté ? en cognant la pierre de taille ? en tapant des betes au graveur ? en faisant quelle cxhose ? car je ne sais pas, je ne suis pas cet homme qui sait, je ne sqais pas réellement ce qui est, je suis en retard d’une destiné, j’ai comme qyi dirait «un train de retard» en moi et ce «train» est celui là qui ici me voit parler avec des mots comme rapportés qui masquent ou masqueraient une vérité cachée, je suis cezt homme à trains-arrière qui retardent follement, et qui empêchent l’envolée (en vrai) vers la vérité (hélas !) , et du coup je reste prisonnier pour ainsi dire d’une sorte d’entrave, à vivre sa vie de pensée divine, supérieure, détachée, en altitude, et cela est fort préjudiciable à une bonne marche dans la vie, la vie de tous les hjours, cela n’est pas une trè!s bonne chose pour la
vie de tous les jours, celaest presque triste, cela l’est (triste) ô combien ! et comment ! car les mots nous gênent qui masquent la sortie (en nous) dees animaux, des betes de charge : sus aux mots ! qu’ils s’éloignent et laissent le passdage, pour que des betes aillent et se fichent sur roche à leur guise ! vite ! or, voilà que les mots (les nôtres) s’incrustent, s’étaleznt, prennent la place et c’est fort dfommage, fort ! car les mots sont ceux là qui bloquent l’accès ! ils bloquent et bouchent
) ils bouchent la bouche ! merdum ! cela est fort préjudiciable hélas et nous enqyuiqyuinent beaucoup, mais comment faire alors pour shunter la chose et laisser en nous passage grand ouvert pour ce troupeau de betes (de bêtes de poids) en n ous ? cohorte animalière, meli-melo, entrelacement, tresse cde mots betes (tres) qui von-t à roche comme à confesse et se logent là (pour l’éternité ou comme pour l'éternité) comme les effigies d’un mal dit «perforant», et cela a une importance considérable à nos yeux, cela est chose capitale, nous savons que cela est une chose des plus impôrtantes, ce masquage de l’accès, cette chose d’un bouchage de trou d’accès, cette obturation maladoite (? ou malmencontreuse (?) ou autrement, il n’empêzche que le trou est bel et bien masqué et ne permet pas le passage, pour cet anilmal de race en soi , ou pour ces animaux en soi qui sont agglutinés et forment troupeau-pique, chandail ! ils sont là ! ils sont à deux doigts ! chandail ! ils sont ces betes de roche dure , prêtes à bon dir de ma bouche-trou pour rejoindre ici la roche et ses embruns , ! pourquoi chandail ? petite laine ? vetement de bure ? revetement ? tunique ? quoi ? nous cherchons des vérités de roche, nbous ne sommes pas au bout de nottre affaire, le chemin de traçage est long et n ous verra longtemps sans doute encore recherchant des choses et autres en ce lieu de roche temporelle,
comment faire ? nous sommes peu de chose, nous entrons tout de guingois dans la roche, nous sommes des etres de peu, et «peu» est maigre, qui entrons en roche par la bande et nous logeons en elle à notree façon, qui est celle de cet homme des temps anciens = quasiment nu, comme nu ou pas loin, presque tout à fait voire tout à fait, nous entrons en cette roche du temps par ce biais de la parole forte, des «gros mots» de base, cette chose est avérée (estampilles) et nous nous prélassons un temps, en pareille loge , car le temps nous le permet qui nous laisse un moment pour ici nous étirer cvomme animaux des prés avant la course, nous sommes e,n roche comme betes en prés, nous nous regardons dans le blanc des yeux, nous devons aller l;oin en cette roche du temps alloué et nous y allons, nous devon,s aller très loin en cette roche des temps, nous nous devons d’aller très loin en pareille roche et cela est que nous le faisons, car nous sommes remontés à dessein, remontés pour allér loin le plus possivble, cela est un fait, notre coeur bat à l’unisson de nos pas qui vont courant la vérité de roche, ou coursant, etc, nous aimons cette roche des embruns, des parois nacrées, nous regharxdons dee près ce qu’il en est , de quoi il en retourne et nous voyons que nous avons affaire à une sorte d’ombre sur la roche, une silhouette se dessinne, un trait, un autre, de quoi s’agit)- il ? il s’agit d’un e ombre portée, celle d’un ours peut etre, derrière nous , ou qui ou quoi ? nous nous enfuyons fissa sans plus demander quoi que ce soit, nous devons fyuir vite fait, nous devons vite fait aller plus loin et nous échapper ! vite ! vite ! vite ! vite ! vite ! car le temps presse , nous presse qui nous fait bouger et remuer « dans la savane, dans les prés et prairies, dans les bois et les sous bois,
nous devons fissqa nous éloigner de tout danger , de tout danger pootentiel qui eut pû nous mettre à mal : sus aux dangers ! et sus aux mots qui obstruent comme on l’a vu ! nous devons aller loin en nous, via ces mots de rocghe alloués, par eux, en eux, et essayer de secouer le cocotier de cette chose d’une vérité de roche incluse mais laquekle et comment s’y prendre ? par la vitesse de facture ? par la vitesse d’un dire laché, lancé, jeté à la face ? nous jetons nos jetons ! par la vitesse de facturation ? comment dire ? nous jeto,ns vite fait nos chose, chandails et autres vêtures, toile de bure, etc, pour en vrai nous retrouver comme nus en amont, ou comment dire cette chose d’une sorte de «dévêture de soi» dans le temps des apparitions ici pariétales, comment dire ? nous alons avec des mots en bouche quand il serait bon (= judicieux) de s’en d&éfaire, nous aloons avec en bouche toute une cohorte animalière langagière quand il serait bon (=
p^référable) de ne pas agir de la sorte, et d’entrer en roche armé de son seul baton de bois brulé et, en soi, de cette bete (bete des p^rés) venant à la rescousse vous aider, à franchir le pas, léviter, vous perdre dans les fumées, et entrer en cette roche dure (du temps) comme dans une église, un lieu de recuiellement, et là : tracer, tracer des fiigures , des figures animalières, afin de chasser les mauvais esprits, ces esprits malins qui poussent à la faute, à capitulation et vont sur vous comme des etres de ravalemeznt preêts à tout pour vous achever, etc, nous avons en nous cette chance pour nous de pouvoir pour le coup nous exctraire de nous via les mots-betes en nous qui sont ces mots de bec de bouche, de pic à percer, etc, nous sommes sauvés de cette sorte et ce faisant, car nos mots à nous ne sont pas des mots de tête, mais des mots de betes, et là est toute la différence entre l’homme des cavernes (brut) et l’homme d’aujourdhui (doux) , il est donc cette chose quil fzaut noter (comme il se doit) qyui est :
que nous ne sommes pass fichus (ou fabriqués) de la m^$eme étoffe, nous somlmes autres, nous ne sommes pas munis d’un verbe de tete mais d’un verbe vif de per çage de roche, de roche de grotte, nous sommes hommes et femmes des cavernes, femmes et -hommes et enfants des cavernes, femmes , enfants et hommes des cavernes, munis (toutes et tous) d’un pic (de verbe) acéré, dur de la pique, dur de dur, etc, capable de percer la roche vite fait et sa ns coup fourré, alors même que l’homme modernen’a que quoi pour lui , pour perçage ? sinon ça : des mots de tete vifs mais ne sortant pas de la sphère ! alors comment ? musicalezment ? c’est une question
! musivcalezment peut-être ou bien sinon en hjouant les mots de telle sorte que ceux ci, s’accolant entre eux, puissent figurer cette chose d’une queue ou sorte de, car sinon comment ?
je suis cet homme des cavernes ambulant, je v ais et je viens en roche et me comp^lait en cette rocghe des ezmbruns, à rechercher des «traxces» (?) de vérité, je vais et je viens, je ne suis pas en reste d’aller et de ven ir, , j’ai mille choses à faire en cette roche, j(ai à faire mille choses en cette rochge (la roche des prés) et pour cela je me dois de rester collé à elle, collé-accolé, ne plus la qyuiitter, aller en elle profond, la pénétrer jusdqu’au bout du bout, faire cette cghose d’une comme profonde pénétration de laroche dure, jusqu’au bout du bout, aller au plus loin qu’il me soit possible d’aller, et pour cela fissa ! vite fait bien fait ! fissa et de longue durée ! je vais dans la rocxhe )à la rezcherche d’une véritéc profonde, un soulèvement de données, une v érité ancrée, cachée par la bande et à débnicher comme on déniche un oeuf, je cherche une raison, un motif, etc , qui soient ceux là qui donc m’expliqueraient ce qui est sur roche, qui advient pôur chacun de nou!s, que se passe
-t-il sur roche que nous n e sachions pas ? n ous devons penser les choses ensemble, nous devons aller ensemble à la recherche des données de base, du don radical, de ce don de base intégral, de ce don intégral et dxe première entrée en ce monde, etc, notre but est affiché, il n’est pas caché (lui) et nous disons cela à qui veut l’entendre, nous voulons savoir ce qui se trame en pareille roche aux abois, ou comment ? aux aboiements ? aux bois de cerf ? nous cherchons cette vérité de roche en c ette pierre dure des parois, où est elle ? qsue nous promet elle ? que dire ici qui puisse aiguiller ? qui a les clés ? les clés muusicales ? les cles de la porte d’entrée ? qui a quoi ? nous cherchons à savoir ensembvkle ce qui nous regarde, nous (elle et moi : la bete en moi et moi) devons comprendre cette chose comme quoi .... les mots font écran
, LES MOTS FONT ECRAN, et ce qui est dit cache quelque chose d’auttre, une vérité de bon aloi peut être ? on l’espère, ou pas de bon aloi, qu’en savons nous ? les mots donnés sur roche (ce présent de vie) cachent quelque chose (toujours) derrière eux, et ce quelque chose a à voir avevvec ... dieu le père ? avec ... l’animal en nous ?. avec la vérité des temps impartis ? avec quyoi ? nous cherchons des solutions dans le v erbec or le verbe est un faux allié, l’animal aussi peu t-etre mais autreement, qui est ce dangezr permanent (souvent) qui ne dit rien cde plus que cet état de faitt : ce danger qu’il est et qu’il demeure, nous cherchons en ous des ra isons quand nous savons qye les raisons (de base) font long feu qui ne tiennent pzas la distan,ce (helas) alorsq comment ? en faisant des figures de betes, en créant (sur roche) x effigies qui sont du verbe aussi, qui sont verbe dur sur roche , dur de chez xdur de la roche du temps, de la roche de ce temps, de la roche dure de ce temps donnhé, ce sont «betes de roche dure» d’un temps donné, efffigies (sur roche) entrezlacées,
qui figurent cette vérité de la roche offerte et du temps donné,
nous voulons comprendre (au mieux) les choses comme elles sont et pour cela, aller loin le plus possible, en cette paroi de laroche des temps et c’est cela que nous faisons car nous devons ! nous devons agir de la sorte, nous devons faire cette chose ! nous devons agir ainsi et faire cette chose (ensemlbke) en roche : dire ce qui est d’une bete grosse, c’est-à-dire dire ce qui est de cet aurochs, qui figure une chose autrte, cette chose d’une direction, d’un sens alloué, nous essayons de «piger» la chose cde co ncert, d’aller (en roche des temps) à la recherche d’une sorte de définition des choses dures, etc, nous devons comp^rendre cette chose ici, d’une direction à prendre (donner ?) à bdes figures animalières, etc, que faire ? que dire de plusq ? que figurer sinon le vcheval, l’antilope ou le buffle des prairies ? que figurer d’autre qui puisse (pour nous) dire des chose de (pour ainsi dire) première importance, etc , que dire ? nous disons que nous sommes deux (la bete et moi, ou la belle et moi, c’est à dire en moi elle et moi) à dire ces choses, de l’aurochs nacré, du buffle donné, du cheval coursant sur prairie, etc, et ces betes sont pour nous les mots qui comptent : 1,2, 3,4 , 5, 6, 7,8 ,9,10, ainsi de suyite, il sw’agit d»’une litanie, xd’un ma rtèlement guttural, xd’une cohorte animale, il s’agit de dénombrement, de scansion verbale, d’enchevêtrement dstructuré, de lmartèlements de folie, de coups redoublés à la va comme je te poussdee en rochge, en paroi du temps, ces mots sont des mots-animaux de base (prémissses) et qui vont (sur roche) figurer le MAl, or le mal ici est le mal dentaire (pour le dire vite) , est cette sorte de lmal en soi, qui plombe et c asse les os, voye z-vous ? il s’agit de cemal inhéreznt à la neature humaine, et ce mal a fort à voir avec celui des animaux de nottre compâgnie, buffkles, bisons, aurocxhs, vchevazux, le mal est la chose directe,, le mal est cette chose d’un martèlement, sur roche des groottes, il s’agit d’un dire vif, ici, aurochs ! aurochs ! aurochs ou bison ! bison ! qui va (le dire) sur roche à foison, qui va sur roche la coloniser, l’envahir, la hanter comme un mal vous ronge ! je suis cet homme descavernes qui, sur roche, trace des traits de lmumière, et ces traits sont ceyux qui calment la douleur dentaire», pour ainsi dire, lers v éllé»ités en soi liées à des impacts, à des turbulaences internes en chacun de nos organismes et voilà pourquoi, je dessine à main levée et de la sorte des betes monstres, car je suis l’etre d’un mal intérieur, qui, en vrai, est à chasser ! ce mal est animal on la compris, ce mal est figuré (en nous) hors les mots = de la sorte : en tant qu il est (pour le coup) figuré, et que sa fifgure en nou (esprit) est animalière, l’animal est donc ce mot du mal en soi dont on veut dse débarraser fissa, et voilà dès lors les incantations et tout le barda quyi s’ensuyit, voilà ce que nous disons de cette choçse ici, comme quyoi nous sommes des êtres envahis par en nbous un mal wq<ui n’a pqas de mots autres que ceuxw que nous traçons, sur roche, au charbon de bois, et ces mots sont des grossièretés obligatoirement, des injures proférées, des mots lachés presque malgré soi tant la blessure est vive en soi, le mal profond, la douleur à hurler au fond des grottes, etc, je veux cette chose dire ici , qui est qye le mot-animal est un mot de peu, pour nous (à nos yeux) au regard des mots qui devraient être,
le mot-animal est un maigre mot à nos yeux soit pour nous qui voulons en vrai déposer des gros mots et non des maigrelets,
n ous ne voulons pas offrir maigre mais ghras,
cela est d’une très grande importance ici, nous avons l’ambition ici de déposer gras (le plus pôssible) car nos mots à nous (figures animales) se doivent d’impacter le plus possible l’etre de laroche vive, cela doit impacter beaucoup, cela doit en jeter un maximun, un max aussi bien, car nous devons agir dans le sens où nous devons nous protéger des coups du sort et voilà pourquoi nos incantations , ce calcul du temps (grain à compter par la bande) et cette chose d’une sorte de virée vers un chemin de vérité, de grande vérité, dans les profondeurs xde la terre
qui nous porte, nous soutient, nous permet xd’aller et venir jusqu’au trou de la roche dure, jusdqu’aux parois à orner, etc, nous voulons savoir ce qui est ici qui nous attend en fait de fin de vie, nous voulobns savoir ici ce qui est qui puisse nous offrir une chance de pouvoir comprendre ces données profondes, que peut on comprendsre des données profondes ? que croire ? nous essa-yons de trouver une clé disons musicale aux chosess du monde, nous essayons cette chose : trouver clé qui serait musica le, essentiellement, mais comment ? notre but est avoué ! notre désir est celuyi ci, à elle (bete ou belle) et moi (enfant-faon) , qui donc est cette chose d’une sorte de recherche, dans le temps qui se déroule , d’une vérité de bon aloi, musicale en diable, de préférence, qui pour nous soit la clé,
la clé = la solution
et l’entrée, la
possibilité d’une sorte d’entrée en rocvche et plus que ça , une possibilité d’entrée dans la zone interdite ou comment dire ? une cléc= une autorisation, la clé ici est cette chose «qui sait» et peut ouvrir la porte, il s»’agit d’une clé musicale d’ouverture de porte de fin de paroi, nous pensons que cette clé d’ou$verture de porte est , esse,ntiellement, d’ordre musical, et voilà pourquoi nous allons vers cette chose d’une incantation, d’un redoublement desrythmiques, des choses dites («aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs ! aurochs !» etc), voilà ce qui est ici en termes de données (de base) rupestres, nous cherchons (de fait) une clé pour un,e porte, cette clé est musicale, et la porte aussi peut être dès lors ! que savons nousq ? si la porte en effet (du temps) est musicale alors peut-être cela signifie, que la musique .... est la porte d’entrée ... de la
vérité ? que penser ? si la porte d’entrée des choses de la vie (= des explicationbs ) est musicale alors il sxemblkerait qyue cela signifie que cela est (qui sait ?) ainsi que nous pensions il n’y a pas si longtpelmps, comme quoi la chose passe ou se doit de passer pâr un tube de vie qui serait acéré aux deux embouchures : flutiau ? eh, voilà le pot aux roses ! voilà la chose ! nous a vons (aurions) pour nous ce flutiau de vie et ce flutiau est (serait) cette chose qui permet l’appel (appeau) de la bete des roches, etc, nous sommes ain si qui de fait cherchons des solutions à des problèmes exixtentiels de type pariétaux, nous ne sommes pas en reste de chercher et nous cherchons assiduyment et chaleureusement et vaillament et avec sérieux toutes ces choses très liéees à la paroi du temps, ,nous sommes (à perpétuitévc ) à larecherche de ces mots de roche bruts qui seraient mots de vérité des choses, or non ! les mots ne vont pas loin, restent juste à la surfavce du pearler «intelligent» humain et n’en sortent pas, or la solution (on le voit bien) est ailleurs, sort du naseau ou comment dire ? cette vérité tant rechercheé est vérité hors les mots, hors cette chose des mots de ta race, oui ! les mots ici sont des morts-animaux qui chargent sur rocjhe tout le mal de l’animal , ces mots dit s mots-bêtes sont ceux dont nous sommes affublés en roche poour nottre gouverne, nous devons veiller à les bien notifier sur roche (ressemblance fine) cvar ils en imposent, car ils ont besoin d’etre reconnus, etc, et le plus possible, le mot-bete est le mot quyi sort de ses gonds etcx, ce n’est pas ici un mot (le mot-bete) qui reste à demeure, pour ainsi dire dans son bocal ou son entre-deux-mers iontérieur, n on, le mot-bete est ce mot qsui est sorti des gond s soit de la tete de raison, il est le mot qui va caracolaht sur roche, il est ce mot du caracol, de cette chose d’une course sur paroi de pierre, il est le mot qui dit sa cxhose pour le coup guerrière, etc : sus au mal de larage ! sus au mal des tourments ! sus au mal animal des tourments ! sus à l’entropie ! le mot-bete est mot de roche, aussi bien, il sort de la bouche comme une pique, une langue fine, et va trouver accueil en cette roche d’un temps tout entier dévolu à peut-être le reconnzaitre, en tant que nom, mot et nom, etc, il est pour nouys ainsi (ce mot-bete) nom des chose, il est le mot de la tribu, dit par elle et montré du doigt, je regarde devant moi
les choses du temps inséré, je suis homme des temps anciens aux yeux ouverts ou fermés
, je veux comprtenxdre les données des roches, je veux savoir, comprendre, dire cette chose comme quoi je suis en quete d’une chose d’importance (vitale) à mes yeux, je suis homme qui sait et qui dit ce quil sait dela rocxhe des temps révolus, le temps est passé sur moi et a laissé de s traces sur ma peau, je suis homme de peu, mon butin est maigre, les mots en moi sont des betes, je ne sais rien dx’autre dire qyue cela qyui pour moi est cette chose d’un dire (animal) de base, mon corps est un corps d’homme racé, je veux savoir ! je veux tout savoir ! mon corps veut savoir ! mon etre est «l’etre du sansg» en moi quyi cir cule , fait des tours de chauffe (... loopings?) pour aller en roche amusé, pour aller en roche ainsi que je l’envisage, en cette roche dure des temps, ainsi faisant comme j’envisage, en m’amusant comme un enfant rieur, ou comment ? je suius cet homme à la recherche d’une (sorte de) vérité de roche et c ette vérité de, ou des roches, serait celle qui me ten les bras et m’appelle ! dois je dire oui et y aller ? ou non et rester en place, en cette zone aux embruns, etc, que faire ? je suis l’homme qui voit cette chose, devant moi, d’une sorte de vérité (nacrée ancrée) qui est mon n om de scène (ici : la roche) et qui me tend lesz bras , pour ainsi dire ses deux bras de mer ou comment dire ? il s’agit (pour moi) de comprendre cette chose, ici, d’une sorte d'importance accordée à un n om, à un nom d’emprunt, à un don, à une chose qui à moi m’a été donn»ée, et cette chose est ce nom dont je suis affublé et cezla continumznt, dans mon sang pour ainsi dire, etc, cette chose du nom (MON NOM) est, en vrai, capitale sur roche, il s’a git d’une chose capitale, les mots-animaux sont des mots, et ces mots sont des noms de bete = des noms d’hommes, etc, les dessins sur roche sont des mots de betes = des noms dont les hommes s’affublaient alors comme d’un chandail, il s’agit très exactement de cette chose ici, en paroi de grotte, et voilà pourquoi ces visages, ces tetes, ces reprises, ces répéttitions, cet exclusif, ce troupeau restreint, etc, je ne suis rien de plus que cet aurocxhs et je le dis, je suisq ce xcheval et je le dis, eainsi de suite, je suis cheval qui va sur roche dire tout le mal que j’ai à etre en vrai cheval comme le cheval, je dis cette chgose d’un corps de cheval en moi, j’essaie en moi de dire cette chose et, hors de moi, cette chose d’un cheval en moi qui aime les chevaux, mon nom est ce cheval de roche qui, caracolant à qui mieux mieux, désigne cette chose d’uneb vérité (de roche) éternelle, mon nom est le nom de la roche des temps et s’inscrit sur elle en lettre capitale (hautes en couleur ) : aurochs, aurochs, aurochs ! voilà ce quyi est ! et moi de scander cette chose dans mon quotidien ! à moi de faire cette chose, ici même, cette chose d’un rzapport de choses sur paroi de grotte , je vais et je viezns en elle (en paroi) et je dis ce que j(ai à dire, et ce que j’ai à dire ici est comme obturé (en grande pa rtie) par un dire massiif de «contre-pression» qui m’empêche (ou m'empêcherait) de pouvoir m’avancer plus avant en roche, je vois cette chose comme quoi en moi s’inscrit une sorte de dire de poids qui pèse de tout son étant et m’empêche grandement de creuser ou de pouvoir creuser plus loin et de lever la tete en roche, comme cheval ou aurochs, ou comme antuil:ope ou ours des cavernes, et par con,séquent, mon souci premier ici est de faire ainsi que ce qUe «j’ai à dire» vienne incidemment à se voir noter sur la roche et nonn obturé-contenu dans mon organisme de lutte, je veux pour moi cette chose d’un phrasé qui irait à se voir déposé sur roche, sur paroi, qui serait ce phrasé de haute lutte oui, mais qui aurait vaincu et serait sorti de sa gangue corporelle pour fissa a ller rejoindre en roche le troupeau de buffle, cette cavalcade de chezvaux, ou cxes bisons des prés placides, je veuxc cvela ainsi, jez souhaite, je désire cette chose ici, je suis cet homme ici qui pôusse (fort) son cri de roche et perce les tympans de cette sorte d'etre de paroi (de paroi enfouie) qui guette ou guettterait, les faits et gestes (incvidemment ?) de tout un chacun et chacune, mmon envie se lo ge là, est celkle là qui voit mon corps,
en carafe restter sous la roche
et mon esprit fin, se loger sur roche, e,n ce train de roche temporelle, parmi les betes mises à prix etc, je suis l’homme des cavernes au sang royal, qui va en roche dire son mal animal, jette sa gourme, tombe le masque, figure la bete et ainsi faisant prononce le nom dont il s’affuble : aurochs ? aurochs ? aurochs ? ou bhien chezval peut etre ? cheval ? je cherche, je suis l’homme à la recherche de son nom, en cette roche du temps alloué , quel est mon nom : « MON NOM » ? quel est le nom qui m’aété donné ? ai je un nom et si oui lequel ? phacochère ? antilope ? bouquetin ,? aurochs ? ours ? lion ? etc, je cherche à me donner le nom qsui en imposera peut-être par la ban,de (bande pa riétale) et qui saura me rehausser aux yzux des hommes etc, je veux dire
cette chose du nom de famille,
et ce nom de famille ici s’infiltre (direct) dans la roche, comme un esprit fin de famille, il s’agit dès lors d’un nom de scène (roche = scène) et ce nom est celui-là que l’on peut voir parfois fleurir ici ou là, sur paroi (voir les grottes de la pré»histoire) et qui rep^résente : qui des bouquetins, qui des aurochs , etc,
ces noms, ces noms sont cveux-làç quidonc représentznt des betes, ce sont des mots-betes,
qui sont betes et noms de betes, etc, soit des gros mots de betes etc, il s’agit ici de cette chose, qui est que, pour le coup, nous portons «sur» nous des noms de betes (de betes royales) qui sont des gros mots ou gros mots de betes, des mots forts et appuyés à forte teneur en termes de vitalité, de vitalité et d’impact, ces mots sont des gros mots de roche, animaux-mots tous de fort poids, grosses betes de roche des temps = des injures , des insanités comme proférées au tout venant des hommes de la roche, et au delà, aux etres des bois, etc, nous dison,s cette chose comme quoi nous sommes des hommes affublés (chandails !)
comme des nouveaux nés (?) qu’on habille vite fait, afin qu il nre prenne pas froid,
et que l’on nomme (illico presto) du premier nom qui nous vient à l’esprit (ou pas loin) or ce nom n’est pas le nom wqui convient, le nom qui convient est autre (bien autre) et ne colle pas ici avec la figure d’homme des cavernes, je suis l’animal que jhe choisis d’ettre, ou bien : je suis cet animal de roche ? je suis ce singe ? ce vautour ? ou plutot ce cheval, ce renne, cet aurochs ou ce bison ? je cherche à me nommer du coup de la sorte par un mot qui impactât son auditoire, etc, mon coeur est sur roche, toute ma vie est ainsi sur roche = ma vie d’allaznt ou de l’élan cordial, ma vie ici est ce passé de moi, déposé sur paroi comme enluminure, je vais et je viens en roche et vois ce qui est qui me regarde follement, et qui est (de fait) cet oeil de roche (dure) des temps, cet oeil est, dans la chose, cet oeil (peut-être) de la vie des morts, cet oeil est cette chose incluse en roche = cette chose ici d’une inclusion, dans une roche dure , de ce temps,
des parois des grottes , des parois ornées, des parois gravées, cette chose est celle là que nous voyon,s sur des parois ornemezntées à) l’intérieur de grottes (pour certaines) du sud de la fran ce ou d’ailkleurs, et qui ne manque pas (pour le coup) de nous intriguer, nous sommes qui jetons un oeil sur pareille roche aux tourmeznts nominés, nous disons que nous avons à (de fait) comprtendre loin pour aller longtemps, nous voulons essayer de en vrai nous immiscer en cette rocxhe de paroi et ce par la bande et armé de notre nom d’emmprunt, comme dx’une pique de perforation, notre nom est cette pique ou ce pic ou ce pig de roche dure, cette
«bete à percer laroche du temps»,
nous voulons tenter cette opération ici de perçage de roche, à l’a ide de ce pic en n ous «de perçage», cette cohorte, cette litanie, ces mots qui s’agglutine,nt, qui forment ronde ou pieu, tresse ou appât, etc, nous eszayons d’entrer (en cette paroi) à l’aide de ce pic de bouche verbal contenanant le nom (le nôtre)- dont nous sommes nanti, comme d’une selle sur cheval de course, ou comment autrement ? nous avons à faire cette chose, d’une sorte d’entrée dans la masse, et cette chose lafaire cde cvoncert, belle et bete ensembkle,; pour cezla = cette raison (que nous decvons comprezndre, etc), et (aussi) pour cette chose, que nous sommes deux à vouloir comprendre, deux en moi ou deux hors de moi mais deux, cette bete des embruns en moi ( lâchée sur roche) et cette belle en moi qui, peut-être, est La Belle, cette chgose musicale des apprets, cette (douce) chose de moi = incluse et qui est chose musicale des apprets, des postures, des avancements, des mises en place ezn roche, etc, cette chose est pour moi celle qui me sied et me permet en vrai d’aller loin dans les compréhensions de genre, il s’agit pour moi xde cette chose (douce) d’une sorte de (ici) mélopeé d’accompagnement, d'accompagnement salvateur (car temporezl) qiuii aide à tenir les caps, belle et bete ici ont cette chose de pouvoir m’aider à tenir le capp, le cap ou les caps, et à ne pas sombrer ou flancher en route, je vois cette chose ainsi ett me permet de rire de la chose ici , car nous sommes ainsi affu blés, que la belle est cette bete et la bete cette belle en moi enchevértreés, qui pretent (ou poussent plutot) à rire à gorge déployée, je suis (dès lors) l’homme qui rit de force (qui a pour ainsi dire «le fou rire de paroi») = la belle (musique des apprêts) et la bete (des mots-animaux), je vais en cette roche à la recherche en moi d’une «belle bete» de paroi, quyi sera la mienne (mon nom) et saura signifier le mal que je porte, dont je suis gros comme d’une insulte, d'une insulte à prof»érer, je suis l’homme du tourment de roche, tourment temporel , qui va à confesse sur roche, touche la paroi et creuse, et là, à l’intérieur, voit cet attroupement (animalier)de fortune, embrouimllazmini langagier fait de choses et d’autrezs (aurochs et buffles des prés, bisons et lions des cavernes) , je vois cettre cxhose et je parle en mon nom qui est le nom de l’animal que «je» me suis choisi, ici, sous emprise, sous le joug en moi de la bete, de cette bete en moi qui guide mes pas, chacun la xsienne, «belle bete» de paroi de groote, douce ou dure selon, qui va sur roche montrer sa superbe et en jette des louches à son monde, je suis l’homme dès lors qui en jette des loucxhes par mon nom de bouche (bouche percée), je vais sur la roche et crie à l’(encan (ou comment ?) mon nom de roche dure, dure comme les temp^s, je regarde autour de moi et vois ces betes (ou «belles betes») aller et venir , me regarder, me lorgnezr, me détailler, et moi de les rezgarder en retour : je vis parmi elles, ce sont mots de roche printanierqs, quyi sont mots de «belles betes» de roche, etc, quii me regardent, s’intéressent à) pma gouverrne, je suis
l’homme qui jhoue
en roche son nom
comme d’un va tout,
il s’agit ici de voir, en ce nom proféré, la chose du temps ramassé, qui compte (le temps) comme donnée de base à une réflexion sur la nomination, sur le fait de nommer etc, une bete, un homme, u ne tribu, un lieu etc, nhous solmmes qyuuii cherchons des choses de paroi, à tra vers (de fait) les noms dont ceklkes-ci sont affublées, nouscvcherchons des choses en roche, notrte but est de chercher des choses dans la roche, des données
de base (noms ?) qui puissent nous aider à mieux comprendre les enjeux qui seraient cveux en vrai d’une roche dure, ou bien les enjeux ici liés à la roche des temps impartis, nous jouons à chercher fortune, à dénicher des betszes dans les interstices de la roche, à cvaracoler sur paroi comme une meute ou un troupeau de betesz, à dessiner à) main levée des betres de poids qui sont des noms qui donc affublent, à dessiner des treaits , des points, des mains, des tetes, des vulves etc, ce qui est pour nous qui compte à nos yeux, nous dessinons des betesw de roche et ce sont nos noms qui s’affichent et ainsi faisant nous affichons, ici, nos velleités, nos condyites, notrte folie vive, nos incantations majeures, nbotre vie de roche dure, nbous avons, en nous, cette volonté de dire la vie et cette vie la déposer sur roche à la façon que nous avons de faire cette chose, nous ne voulons pas mourir, njous tenons à vivre, nous ne voulopns pas être happés, nous voulons poursuyivre sure roche notre petite embardée pariétale et ne pas lacher prise, notre sang fait un tour de chauffe en n os veinres, nous sommes ressemblants, nous sommes etrtes quyi nous resswemblons, etres de peu (de la roche dure) = aurochs, eet nous marchons entre deux mers, nous nous projetons, nous nous infiltrons dans les lointains, nous cherchons des vérités massives, controlées,, ,vérifiées, dures-durables etc, qui puissent etre pour nous des aides précieuses dans nos embardées, nous allons sur roche à la rtecherche d’une vie de rocxhe dure, ceette vie à vivre longtemps, nous avons en nous ce désir de faire ainsi que nous puiissiiions aller au loin main dans la main, la belle et la bete en soi, comme une seule et meme personne lancvée, appelée, qyui va de l’a vant, qui pousse son train vers une sorte dx’horizon (nacré) dans kles profiondeursq, je cherche une sorte d’entrée ou de porte d’entrée car j’ai la clé et ccette clé est musicale, puisque tezmporelle, le temps ici est cette scansion ou ce maertèlement de paroi dure, ,; il s’agit d’un présejnt (octroyé par la b ande) offert nacré, sur roche des embruns, ce p^résent de roche, dur à des endriots, meubles àç d’autres, ce présent ancré et nacxré qui est (de fait) deposeé sur la roche, mot-bete des profondeurs de la paroi du temps, mon nom ici comme un tourment, ou ce mal perforant qui signe de son nom de rage, qui est nom de la bete en soi, du mal à etre soi (en roche) et à tenir, je suis l’homme des cavernes aux mains surnuméraires, je dessine (sur roche) des chevaux et des aurochs, je porte un nom, je hjouee, je suis homme hjoueur affublé d’un nom par la bande, et ce à quoi je hjoue porte un nom, ce nom est le nom d’un jeu tres ancien, qui consiste à trouer la roche du temps et à
s’insérer en elle pour, sinon l’é&tezrnité, du moins la nuit des temps,
et ce jeu dès lors s’appelle «de la nui-t des temps», («jeu de la nuit des temps»), il s’agit d’un jeu de roche brute, le jeu, dit (par ailleurs) «de la roche brute de la nuit des temps», il s’agit d’un jeu de roche dure, je suis le joueur, mon nom est ce nom de jhoueur (du nom de ce jeu), je suiis le joueur de la roche des jeux, je joue en roche mon va-tout brutal, ce nom qui est le nom dont je suis affublé depuis la nuit des tempsq, mon nom est nom d’homme des prés, des ruisseaux de roche, des prairies, il est le nom qui m‘a été donné à la naissance par mon père et par ma mère de paroi, je porte ce nom, ce nom me porte, je porte ce nom qui me porte en retour et ainsi de suyite d’une (sorte de) boucle sur soi mêmme, je porte le nom qui me porte, ce nom est celui que est (sur roche) cette représentation anuimalière chevaline, je suisq l’homme des cavernes affublé d’un nom (chevalin) qui me porte , je suis l’ho:mme des cavern es affublé d’un nom (chevalin) qui est ce nom d’emprunt (= de naissance ) qui me porte et ainsi étant je porte et suis porté pzar (de fait) un nom d’emprunt, mon nom xde naissance, cette b ete de paroi dee roche, ce trait sur paroi, cette cxhjose gra
vée ou dessinée sur roche par cet homme de $laroche dure, je regarde ce mot treacé, ce nom de roche entrelacé, je suis l’homme de laroche dure, je suis celui-là, qui, il semble, trace des mots sur dxes roches du temps et vois ce qui est, qui advient sur roche devant lui, cette chose d’(un nom déroulé par la bnande comme un flux tendu, une queue de bete, un cordage, une pique de voix, du verbe en otage, une sorte de donnée brute quyi, sortant de bouche -trou, cva à trouver en roche son ibncantation massive, je vois cetre xchjose d’un nom devant moi, ce tracé de roche, ce nom est le nom qui m’a été donné de fait à mon arrivée, je trace icelui au charbon de bois, je tra vcve ce nom sur une pazroi et ce nom est celui que je vois aller parmi d’autres noms affublés, ou comment dire ? donnés par la bande par la confrérie
22/4/2021
je suis l’homme des cavernes doublé d’une bete, cette bete est mon image ou à mon image, elle est image dans un sas
de paroi durable,
elle est cette chose
en moi que je vois aller et caracoler ebn pré, prairie, boisc et sous-bois, il s’agi-t d’un etre de peu (bure) qui en moi va vers roche,, se fauifile, file, sort de moi pour aller en roche, en paroi du temps, il s’agit de cette chose d’une bete en moi qui caracole pour aller vers roche, sortir de mon corps ou de mon etre, de mon corps ou de mon nom,, et ainsi aller à se jeter en une sorte d’entité vers une roche du temps imparti qui est l’espace-temps, ici, du Devant, de cette zone devant moi, homme des vcavernes, hommev femme des cavernes, qui est zone du devant (pour ainsi dire) de la vie donnée, ou plus précisément : zone d’un devant de vie , zone d’un devant qui est espace-temps alloué à une vie donnée comme par la bande, et moi de m’y jeter grâce à la bête en moi qui pousse à faire, agir, manoeuvrer, jongler, avec les divers éléments de laroche, de Dame Nature, etc, car je suis homme et femme (= enfant) de cette roche des temps impartis à une vie humaine, car je suis homme-femme-enfant de la roche dure = des douleurs tterrestres, des épreuves (etc) alloués à) quiconque un jour est né sur pareille roche du temps alloué (impqarti) par lanbande ou par la Chose ici qui va de son élan (buccal) de base,
cette bouche des embruns est bouche de la base et du sommet, et il s’agit de voir cela sous l’angle d’une vie qui est à consumer (etc) pour un temps donné, je vzais en roche nonchalamment et m’uy complais prè!s de l’animal, la roche est dure comme tout, je vaisc ici (en cette roche du temps) et voit venir les betes près de moi qui s’approchent de moi dieu sait pourquoi, je suis au milieu des betes, je suis cet homme aub millieyu des betes qui viennent près de moi me renifler, me froler, faire ami-ami, etc, et moi de voir en elles des alliés de roche dure, de ce temps (donné) à vivre pour le coup une vie terrestre, je suis ici cet homme des prés, des sous bois, qui va à leur suite à caracoler, à sautiller près d’elle (folie) pour m'en sentir proche et les prendre pour amies , faire ami-ami,
je regarde ce ciel nacré-bleuté au-dessus de moi, je suis cet homme des parois de bure, l’homme de peu, le condamné, laehomme qui peut peu et qui regarde autour de lui les betes aller, qui vont et qui viennent, qui sont ces betes de la joie que je vois marcher, gambader, caracoler, sautiller à mes côtés et moi du coup de les imiter un tant soit peu afin de me rappprocgher d’elles, de faire ainsi qu’elles me cvonsidèrent et me prennent pour un des leurs, car je suis cvomme elle un enfant-faon de la premi!ère heure, un etre de peu, qui sortirait tout droit de l’oeuf, qui irait naissanrt sur la butte du temps chercher alliés (en cette roche) en ces chevreuils de zoone, en ces cerfs de paroi, en ces bicghes de bon aloi qui sont biches des temps alloués à) une vie sur terre = parmi elles, je suis cet homme homme de peu (bure sur moi !) qui va, à la suite d’un chevreuil des temps, en cette sorte de zone tampon d’un devant de soi «existentiel», je sais cette chose d’un devant de soi «existenciel», à connaitrte, à habiter comme un tourment, zone des douleurs, des choses à prendre et à toucher, à toucher et à tenir, etc, je vais en cette zone du telmps alloué comme une vbete sur un pré, qui est bete des prés et des champs, bovin, ovin, caprin etc, je suis homme-cerf des temps royaux de roche dure, je caracole à qui mieux mieux sur roche, et me complait, à la suite de pareilles betes, à sautiller (de folie !) comme elles, betes fauves-fortes, imposantes de par leur stature et leur maintien, classieuses, belles betes de race belle, douceurs, qui vont xsur roche à caracole, à sautillement, s’en donne à coeur joie, vont et viennent à qui mieux mieux sur paroi du temps et me montre le chemin à suivre,
je suis lm’homme-faon de roche dure du temp^salloué et je vais à la suite de pareille bete, des prés et des champs, v ers elles, près d’elles, je les suis à lattrace, je vais où elles vont, je ne veux pas etre en reste de cette chose, je veux etre proche d’elles et ne pas les quitter, ne pas m’éloigner d'elles = de leurs bois et de leurs ramures, de leurs pattes élancés et de leur pelisse nacréee, je suis l’homme des bois de cerf, l’homme aux bois, le chef de ta race, le chef d’une sorte de race belle, race-confrérie, quyi est cette chose d’une sorte de clan ou tribu des temps, belle race aux bois dormants ? belle race aux bois des tourments ? je vais et je viens, je suis la biche en ces caracoles, je veux suivre pareille biche en ses caracolages ou comment dire ou nommer ces cabrioles et ces xsauts dans le temps de la paroi dure ? je vais sur roche et suis les betes qui sont près de moi, qui me montrent la voiie à suivre : chemin de halage ? chemin de vie ? je suis cet homme des temps impartis qui suit cette biche du temps vers ce temps de roche offerte,= cet espace-temps qui est une Epaisseur, l’Eopaisseur du temps-esopace impareti-dédié aux douleurs de toutes sortes et autres choses du désir, des épreuves et des tourments sentimentaux, je caracole, je vais sur et en roche (épaisseur) pour une approche de la Vérité, des choses de la vie et de la mort, je suis de fait cette personne des temps reculés, qui s’avance (exprès) à la syuite de ces cervidés et autres bêtes de la roche, je suis cete personne des temps reculés, qui va de l’avant, en cette zone pariétale ici du temps-espace, temps espace imparti, temps espace ici des duretés de la vie, des épreuves (etc
) qui forgent et forment, et trainent, et fgont de moi cet homme de traine, ce chevreuil amadoué, cette antilope dressée, cet aurochs des prés qui est signe de ralliement, cette bete fauve qui renacle et gueule son tourment de bouche, cet ours des cavernes grandiloquent, ces chevaux de przairie qui tous s’accolent pour former le Clan dit «de la prairie verte», je suis parmi des betes bete moi même : le faon ! le faon de la roche du temps (ou de l’espace-temps) pariétal, faon-enfant (homme-femme) des tourments de roche, dure est la roche, des tourments de cette roche ici des temps offerts par une bande de ... on ne sait quoi sur terre, ou dans le ciel, ou bien où ? sous terre ? les embruns ? la mer ? l’entre-deux-mers ? la plzzaine ? je suis homme-faon de la roche du temps et je vais en roche comme à confesse dire ma misère (toute ma misère) de bure et de sang versé, pour une sorte d'amitié de daim, de cerf ou d’aurochs en moi, je syuis hommùe-faon qui saigne de sa plaie de bouche animalière, trou en moi ! trou dans moi ! trou dans mon antre ! trou en ce ventre en moi ou où ? car, je voudrais savoir ce qu’il en est de cette cghose en moi d’un trou de bouche offert par il semblerait la bande animalière qyui en moi a percé cet espace du coup de passage de son pic de verbe à immiscer en roche, etc, ou ainsi de suite, car, la pique, une fois sortie de ma bouche, va à piquer la roche et à la transpercer (la roche du temps : l’espace-temps d’une vie à vivre) et dès lors me voici
entrainé à sa suite, aspiré-trainé, comme une chose qui en fait prend le vent et s’engouffre à l’unisson, je suis cet homme traversant la roche via ce passage
créé par ici la bete dsortie de moi
par mon trou de bouche qu’elle vient elle-même de créer, de son pic de verbe animalier (mots-effigies sur roche) et me voilà logé à belle enseigne (l’art) en cette roche des temps caverneux, moi-même
en tant qu’homme-faon des cavernes, etc, je suis logé à beelle enseigne, belle enseigne de roche, je navigue en pareilles eaux, je suis pris dans la nasse du temps imparti, j’essaie de comprendre icelui et de me rapprocher (sciemment) des biches des prés, je suis homme de vie à passer, à vivre de près, à user etc, je suis cet homme-faon de laroche des tempsalloués et des temps donnés, ou des temps donnés et des temps impartis , qui va sur roche ou sur prairie courir (follement) après le troupeau ou le cklan dxes betes voisines, je regarde ce ciel de roche, cet entre-deux-mers qui est celui qui m’a vu naitre en roche du temps, je vois les alentours rupestres, ces dessins de paroi ornée, cette chose a nimalière fine et travaillée, cette gouvernancve, ce ctravail d’un homme envouté, etc, je vois la chose avec, de fait, des yeux d’enfant-faon qui est baba devant pareilles représentations, aussi vvhressemblantes, aussi concluantes, etc, je suis baba
, je suis comme baba, ebahi et subjugué et n’en reviens pas, et n’en crois pas ses yeux, je suis ici cet homme des prés qui est homme de la vie à vivre, sur terre, en cet espace, prairial, des tourments de la guerre, du sang versé, des colères diverses, des passions déclarées, des vicisssitudes, des affranchissements , des turpitudes, du mal perforant, de la gaine éventrée, de la chose morte, etc, je suis pris en étau, pris à partie par des evènemeznts de paroi dure, je suis pris par en moi des betes de peu qui gouvernent et me poussent ici, ou là, à leur gré, je suis pris à partie au nom de quoi ? au nom du nom qui m’a été donné ? hje
vais sur roche et essaie en vrai si possible de m’y retrouver en ici pareille confusion pour ainsi dire des temps alloués , je cherche une solution à des problèmes de roche dure, je suis homme des cavernes envouté, envahi, pris à partie, pris d’assaut, habité ou hanté etc et, de fait, je vais en roche (espace-temps) comme d’aucuns / d'aucunes filent à l’anglaise et plus jamais nous ne les reverrons et moi de même : ce sas eswt l’eswpace de ma mort terrestre, et mon corps à jamais sera comme, en quelque sorte , porté disparu de la vue, je suis homme-faon de la première heure, et je cherche ici une compréhensiobn de tous les instants de vie à vivre, je suis cet hommefaon qui a
vie à vivre ici ‘(paroi) et du coup je suis (du verbe suibvre) les betes qui paisssent, qui en savent vlong j’imagine, qui savent beaucoup, qui peuvent me dire, me donner du grain, un peu de grain à moudre ici pour ma gouverne, car elles en connaissent en vrai un rayon, elles ne sontv bpas nées de la dernière pluie, elles savent à quoi s’en tenir, elles sont fortes de chez fortes, elles en imposent, elles sont royales, ducales, altières, altesses de ces lieux de roche, elles sont belles comme tout (astres) et en imposent par leur prestance, leur port, leur stature royale, leurs bois de tete, leurs élan de vie dans les prés, leurs regards de fée etc, elkles sont betes de joie vive (art) qui vont sur la roche du temps comme qui dirait pour mieux nous amadouer, je suis cette bete de joie aidée , qui va sur roche, qui ressemble à d’autres betes de joie de roche, je suis moi même cette bete, je suis avec elles , pres d’elles, cette même bete comme elles aux bois jolis, aux pas élancés, etc, je sautille et cara cole comme elles, je suis elles, c’est à dire cette forme, ce chevreuil de forme, cette chose, c’est à dire ici cet homme-faon de la roche des prés ambulants, des temps imparetis, des temps-espaces de prairie (de parois) tels qu’ils nous sont de fait alloués, je vais et je viens en roche exactement comme une biche fait, car biche-faon (chevreuil) moi même dès à présent , en cette rocghe des temps donnés pour une vie à consumer de bout en bout, je suis l’homme faon de la roche du temps ! je vais et je viens en roche des temps parmi toutes les betes
et m’y pose un temps disons incertain (m’y repose) et de là je vais plus loin, plus loin cvers les embruns de bord de mer, je m’avance, j’en avance (fissa) vers des lointains rocheux qui me tendent les bras, où suis je ? que faire d’autre que cette chose : aller ! vers pareille clarté l:ointaine, que faire ? je vais de l’avant, mon a va nt est mon devant, ici, de vie vive (ce présent , déposé sur roche) et ainsi faisant , j’en avance fissa dans le sens d’une sorte, pour le coup, de destinée de roche dure (les tourments, les inconvénients) et aussi : je poursuis ma quyête de la v»érité, je regarde à toujours poursuivre cette sorte de rechgerche fine, cette quete soutenue, d’une sorte de vérité, frappée, ancrée sur roche, une sorte de vérité de roche dure, une vérité de belle facture et de bon aloi, une vérité des vérité, etc, je recherche ainsi à m’ancrer ainsi en cette roche des temps durs, de frappe dure , etc, en cette roche des temps durs, durs à frapper ou marteler au son (peut-être) dela voix qui pour le coup serait geignante (ou hurlante ? ) , je suis faon de roche dure à marteler, je suis ce faon de roche à marteler, à cogner de choc, etc, je veux c ette chose pour moi qui est de cogner roche (de fait) à coups redoublés, je veux que cette chose soit, et soit pour moi qui m’incruste en roche, m’y blottit, m’y complait, m’y introduit par la bande etc, je suis homme de l$aroche dure, homme)-faon de rochge dure, qyui (ici) file ainsi en roche sa pelote (tourmentée) des temps impartis, je veux (de fait) gagner du terrain et me porter au loin , au plus lointain (du plus lointain) depareille roche échancrée, je veux gagner les horizons, atteindre la clarté et regarder, voir, voir en ces clartés des choses, des choses de la vie et aussi des choses de la mort, de ces choses ... de vie-mort accouuplés, je le veux ! je veux cette chose, et cela mordicus ! je veux / je suis ! je suis / je veux !
merdum ! car cela pour moi est que voilà, cette chose est, cette chose à moi donneé! je veux/ je suisq ceztte chose des temps alloués et c’sest ainsi que pour le coup je cherche à m’incruster en roche, en cette sorte de paroi des temps don nés pour une vie à cvonsumezr ou consommer, à bruler pzar les deux bouts : 1 et 2, ainsi fait, car, je suis cet homme-faon de roche offerte, ici, en prairie , en bois et sous bois, par la bande, par confrérie, par on ne sait qui, hje veux connaittre toute la vérité , sur cette question posée, comme quoi , ou sur pareille question posée ici pour quoi, ou comment dire ? cette question posée est de celles qui taraude et pousse à recghercher ! je vais en roche à la recherche d’une sorte de réponse à) pareille question concernant, en vrai, la joie du jeu, la peine des plaines, la vie offerte, la mort en regard, les embruns, etc, toutes sortes d’interrogations natives, etc, je cherche, je ne suis pas en manque de questionnements et ces questions en moi caracolent toutes verbeusement comme des betes de cohorte entrela cées, etc, je sais cette chose, je vois ce qui est devant moi et je cherche des réponses à des questionnements ou sortes de questionnements comme enfantins dans leur approche et cela esqt une bonne cghose, une chose de choix, une vraie beauté aussi bien, car le faon a ses attrreaits de roche, il caracole à qui mieux mieux, il est près des biches et des cerfs, il chante, il brame, il est vif comme l’éclair, etc, l’homme-faon est image de roche dure et aussi cette image de roche tendre, les deux car il est double ou doublé de bure, de joie, de beauté racée, de charme acidulée, etc, il est l’homme-faon de roche du temps, qui va caracolant sur roche à la recherc he d’une nourriture à pouvoir se mettre sous la dent, un présent de vie alloué, une volonté ancré, une aide personnelle personnifiée, etc, son nom est écrit sur rocxhe en toutes lettreess car il porte un nom de scxène (roche) qui en fait un personnage «célèbre» c’està dire célé bré par la gouverne , et cela étant, il peut porter fier, porter haut son port, en jeter, en mettre plein la vue, se vanter, s’afficher comme larrons en foire, etc, il s’agit, pour Faon de Roche Dure, d’aller et venir en pareille paroi près de ses congénères, marcher dignement, en majesté, comme un roi de céans habitant les prés (pariétaux) royaux, je suis Cerf de Céans nacré, mon nom est celui que vous m’avez donné, je porte haut le port (ainsi fait) de ma race (classe) , je suis un animal racé, fier, beauté des prés, je vais sur la roche du temps latete hzaute, portant hazut lmes bois, faisant figure, allant d’un pas posé, faisant chose d’une sorte d’avancée ducale en pareille roche du temps, mon nom est celui que vous m’avez donnécv= offrande sur roche du temps, temps présent en guise de vie affichée ou comment ? car mojn temps est cet espâce temps (alloué) qui est un repaire (zone de prairie) qui est le repaire (en vrai) de la vie vive, et non de la vie morte, la vie morte est ailleurs (où ?) et la vie vive est (pour ainsi dire) pâriétale à souhaits, je vais en
roche à la recherche de la vérité, de la vérité vraie de laroche des temps et là, je me mets à regarder au loin les choses du monde éclairé, cette zone aux clartés fuyantes
, cet horizon sans cesse fuyant, ou reculant, c ette clarté lointaine qui est celle que je chercxhe de fait à atteindre, à toucher du doigt, je veux cette chose ! volonté ! volonté ancrée ! volonté majeure ! volonté ma ssive ! volonté dure ! volonté capitale en lettres capitales ! je veux cette chose pour moi, à savoir ce savoir ! je veux, je souhaite, jhe désire, cette chose, cette lumière la connaîtte, je souhaite je désire, je veux connaitrte, oh si seulement je pouvais m’en approcher (en tant que faon) et toucher la chose de clarté, cette idole, ce chant des fous, cette beauté nacrée, vive, charmeuse, douceur, cette beauté douce, ce chant des embruns, cette chance, ce chandail , oh si seulement ! mais comment ? comment faire pour m’en approcher ? comment toucher pareille clarté, cette lumière sortant pour le coup de pareille cavité ? cvomment faire pour toucher au but sans faiblir, les yeux grand ouverts sur l:’arbre de la vérité, sur ce port altier d’une porte ouverte , crachant ses embruns (fumée ? brume ?) à qui mieux mieux sous mon regard éberlué , comment faire ? comment s’approvccherr ? comment s’avancer = passer kle pas, avancer d’un pas sur le pas, avancer doublement son pas, redoublker son pas, ou doubler son pas, ou sortir de son pas par un pas de plus hors des pas de base ? comment faire pour s’y prendre, comment aller, comment franchir le Rubicon de la clarté naissante, renaissante ? il faudrait pour moi que j’arrive à toucher à ce but qui est celui d’aller de l’avant et d’(un bond d’un seul qui me verrait sortir de moi pour mieux me retrouver, en pareillec zone d’éclaircie, d’éclaircissemnt, etc, je veux ! je veux cette chose ! je veux aller loin en cette roche c’est-à-dire tout au bout, au fin fond, au fond de cette roche où serait déposé e une chose (de vie) explicative, et cette chose ce serait pour moi la chose , la Chose, qui compte ou comptezrait, je voudrais cela, oh cvomme je le voucdrais ! car je suis ce faon de la première heure (homme-femme rassembklé en genre) qui veut le savoir, quyi veut ce savoir de base, cette chose, cette chose en vrai, en dur, cette donnée de roche temporelle, il (je) veut (veux) cette chose! et moi de faire en sorte que (du coup) pareille donnée puisse m’aller, puisse me venir, puisse venir vers ma gouverne, s’approcher , oh si seulement la vérité pou vait s’afficher d’elle-même et venir à moi ! oh si seulement la véritéc pouvbait s’approcher de moi et me donner des ailes, et m’éclairer et éclairer ma gouverne, oh si seulement ! oh si je pouvais, si seulement d’un bond d’un seul je pouvais franchir le pas et meretrouver, vivant, en pareille zone aux ezmbruns, zone des vérités
de la roche a llouée à une vie ici à vivre de conn,cert avec d’autres que moi, faons fatals qui sont (s'il en est) mes alliés de la rocxhe et (comme moi) aspirent à connaitte cette vérité (de bon aloi) contenue en roche, en roche du temps;
, nouscherchons, nous sommesq beaucoup, une tripottée, une pléiade, une
confrérie, un attroupe ment, une armée etc, qui chercghons passage et qui voulons savoir, qui cherchons à connaitre ici le fin mot, de pareille clarté de rochev (ces lointains) qui est cette clarté de fin de roche, des lointains charmeurs, des beautés nacrées -bleutées, etc, je cherche cette chose d’une sorte de beauté (de base) naissante, comme à laracine, ras du ras, ras de la rase, etc, je cherche cela, avec volonté, avec assiduité, à la force du poignet, je cherche assidument et énergiquement (tout à l’énergie) et je veux trouver, je v eux connaitre, je veux savoir, je veux en avancer, je veux aller loin, je veux trouver des choses, découvrir le pot aux roses de la vérité du monde, je suis toute volonté, toute énergie, je suis homme-faon qui va en roche à l’énergie, coup de jarret, coup de boule, ou comment ? je vais en roche soigner mes tourments ? je cherche ! je veux ou voudrais connaitre ce fin mot de la roche des temps soit des temps ici ornés, cette paroi, cettte chose dr’une paroi aux buffles tracés etc, je sais que la chose n’est pas aisé et que les mots ont beaucoup de mal à s’en approcher, je sais pertinnement que ces mots de roche (bisons, buffkles) sont peu de choses, représe,ntent peu en vérité, hélas, il me faudrait en savoir plus, avoir pour moi la possibvilité d’en savoirr plus, avoir pour moi cette chose d’une possibilité de compréhension souveraine (souterraine ° ?) mzais comment
? comment faire pour savoir des choses (voir) hors ces mots d’emprunt qui troublaent la vue plus qu’autre chose , colmment faire pour savoir plus, pour y voir loin, pour voir en profondeur, pour comprendre les données, pour recouper des informations qui pourraient nous placer sur une piste, une voie de recherche nouvelle, etc, comment ? je cherche-faon cette cxhose, cette cxhose d’une vérité de roche (le Temps de la mort à l’oeuvre) et cette chose, la voir de visu devant moi qui tronerait et me donnerait son aval pour une mienne compréhension du tout au tout, mais comment ? je cherche-faon c ette chose d’une vérité nacrée et ancrée, voilà ! cette chose est ancrée-nacrée, cela sembvle une évidence, il semblerait que cette schose soit (fut ?) ancrée ET nacrée, les deux choses, et c’sst la bonne direction à prendre, dorénavant, pour comprendre de quyoi, en cette sorte de roche trouée (clarté) il en retourne, et (donc) prenons ce chemin, alons dans cette direction, essayons de comprendre cette chose d’une chose ancrée et nacrée, chose de la vie offerte ici qui va dans ce sens, d’une échancrure terminale, ou comment dire ?
une chose ancrée est une chose sise, et une chose qui serait nacrée est une chose des embruns, une douceur,n une beauté blancxhatre etc, nous essayons de mieux cerner cette chose ensezmble, et ce n’est pasfacile de s’entendre, nous essayons ensemble de comprendre pareille donnée à la lumière de nos connaissances ici juxtaposées or ce n’est pas simple, car la vérité n’est pas simple à approcher, cette vérité concernant la mort, la mort de bouche, ou cette vérité de la bouche du temps, bouchemort accolée, comment dire ?
nous pensons que la vérité est vérité accolée , nous avons ceztte intuition en nbous, cvomme quoi la mort = mortbouche accolé, ou bouchemort accolé, etc, nous pensons cette chose à part nous et nous cherchons dans cette direction comme une chose qui serait doublée, qui contiendraient en hjuxtaposition plusieurs données en vrai accolées, monNOM , ancrée et nacrée etc, il wsemblerait, une sorte ainsi de double fond, de double entreée, une entrée et une sortie qui sont tout à la fois sortie chacune et entrée chacune (comme pour un tube ?) et nous dès lors d’essayer de comprendre, ce qu’il en retourne ou bien de quoi il en retourne, nous cherchons cette chose ensembkle, ici même, en cette roche du temps ou des temps durs, en ce roc des peines, etc, nous sommes tous et toutes faons de la première heure, à cherchezr des choses en pareille roche, chjose concernant cette donnée d’une sorte de redoublement des parties jhointes, etc, mon nom, etc, on voit que la chose a de l’importance, nacrée-ancrée, on cherche, on est faons-chercheurs, on ne veut pas rester le nez en l’air, on veut s’ancrer dans le paysage et trouver des vérités de roche (cueillette) comme ailleurs des baies , du gibier etc, car la vérité est à cueillir comme baie de roche, etc, je suis ce faon de laroche des temps, qui cherche des baies comme des baies de vérité , à bpropos de tout, ce n’est pasdifficile, car tout m’intrigue et dès lors tout m’intéresse, il s’agit pour moi de comprendre cette chose d’un tout, de vie et de mort , qui serait une chose accolé, une sorte d’emprise, de prise, de colle, d’encollage, de collage, de montage, comment dire ? un + un qui ferait un , ou alors comment ? nous voulons connaitre ce qyui est de cette chose d’une vérité de parooi ornée (ou orneme,ntée) par (ici) des betes dessinées il semblerait à main levée par un homme ou une femme ou un enfant-faon des cavernes, et cet enfant faon est cet etre de peu (bure) quyi trace (sur roche) son tourment et s’en remet comme à plus fort que lui, à cette bete ici de masse des prairies, à cet aurochs qui sait et peut guider l’enfant (ce faon) vers desq semblants (?) de vérités de roche dures (les vérités) et de roche dure (laroche) car, l’aurochs est l’Animal-mot par excellence, il est le Mot de vérité, lui seul wsait guider avec bonheur et intelligence, car l’aurochs est Aurochs-Mot de référence, le doux prince des lieux "nacrés--ancrés", il est le Mot dit "de la voix du sang" (voix et voie ?), il est l’Animal de lafa ble, le preneur d’otage, le fieffé instructeur quyi connait les rudiments et sait les poartager, il est cet animal qui pour le coup vous accompagne et ne vous laisse pas tomber, il est en vous : la belle meunière, le salut, la chance, l’ombre portée, l’envahisseur, le chant, le fou, l’accueillant (aussi), le fieffé charmeur, il vous pousse à graver et à tracer des traits sur roche, il est l(accopmpagnateur delaroche des temps , qui sait vous guider (sur paroi) comme pezrsonne, il vous donne le la (du coup musical) de la paroi du temps, car le temps à vivre est musical (scansion) et pariétal (mur du son) et c’est ainsi que l’Animal (l’aurochs) sait faire de vous cet eztre à l’écoute des sphères, des chants sortants, des bruits d’antre, etc, l’aurochs est un allié de la première heure, il a une importaznce vive, son aide est précieuse, il peut vous aider énormément, son chant en vous franchit les paliers et sortt de vous par (ici) ce trou de bouche (perforée) pour aller comme de coutume se ficher sur roche et à son tour de transpercer et detraverser et de se retrouver de l’autre côté, coté roche-temps, rochetemps, etc, comme accolé à pareille paroi qui dè!s lors devient (comme de bien entendu) muusicale en diable, et voilà ce qu’il advient, ce qsui devient en roche, ce quyi est qui vient, cette nouveauté comme quoi la roche est du chant en dur, est chant depuis son dur de dur, ou comment exprimer cette chose ici ? car la rocghe est pour nous cette chose-espace, ce temps-espace, cette zon e de vie brute , et voilà qu’à présent cet aurochs de bure nous dit cette chose
comme quyoi laroche espace-temps est musicale, c’est à dire «est» la musique des sphères, c’estc à dire cette chose comme quoi roche (roc, paroi) eEST misique des sphères, ou bien comme quoi roche = musique, roche ou roc et musique ou chant dsont une seule et même chose ou entité, et cela est nouveau pour nous, nous n’avio,ns pas cette notion ou du moins pas de façon aussi tranchée, car nous sommes envahis de notions en nous mais pour la plupart c e sont des notions «non-trzanchées» or ici il en est autrement, la chose est une évidence, roche= musique, ou roc = musique, on le subodorait mais nous ne savions pas que la chose était à ce poin,tv effective eh bien voilà, la chose est dite bel et bien, et par qui ? pzar maitre-queue, par l’Aurochs de lafable, l’Animal majuscule c(est ) à dire l’Anilmal ezn soi par excellence, le prezneur d’otage ou la belle meunière , ou qui ? car l’aurochs est (de fait) musical en diable, il est le chant des rocherrrrs de base, il se porte loin par la voix, il en impose en vrai de son propre chant guttural portant loin et faisant comme trembler les limbes, il est Aurochs ou cet Aurochs des chants bénis, des bontés redoubvlées sur roche, il est aurochs-mot de prezmière naisszance ou commùent? chant de la pklus haute ère, chant des sentiers cachés, chant de plus haute futaie ? il est le chant des temps reculés, ce chant des hauteurs du temps, il est l’aurochs-mot- chant des hauteurs des temps et c’sst pour cezla que nous le respectons au plus haut point, il est pour ainsi dire l’équivalent anilmal en nous du langage porté qui est le notre cdepuis longtemps, il est pour ainsi dire cet é&quivalent animalier à une sorte de sabir (de sabir patoisant ?) contenu ezn nous comme un sang de plus, l’aurochs -mot est l’allié ancré, il est ancré et nacré comme un coquillage, il est ce «frère de ran,g» de roche dure, il nous permet xde mieux comprendre desz données de base ici qui seraioent des donnés de première bourre (= naissance) et cela est d’une grande ou très grande importance, l’aurochs est notre allié langagier le plussûr et nous le respectons comme nul autre animal des prés car il en impose, il parle un langage articulé fait de phonèmes ancrés qui sont cxdes mots de chasse, de pêche, de cueillette, etc, et c’est ainsi que nous pouvonsnous autres avec lui communiquer, parler de cxhoses et d’autrress;, etc, car, l’aurochs est muni en lui d’une gouverne langagière qui en fait pour nous un allié de poids (massif de verbe) bien utile et bien intéressa nt pour nous qui recherchons la ou les vérités en toutes choses, l’aurochs est pour nous un allié tres sûr, un frère, un cvonfrère, une aide, un appui, un soutien musical de tous kles instants dans cette recherche ici de la vérité vraie des temps de laroche, que peut il (l’aurochs) nous apprendre ? beaucoup en vcérité ! car il en connait long sur beaucoup de choses con cernant la vie de la mort et la mort de la vie, il sqait beaucoup de choses, il en sqait lourd, il sait millecchoses , il en connait un rayon et nous de l’admirer pour cette chose, oh aurochs ami, aide-nous dans nos recherches ! sois pour nous une aide sure , sois pour nous cette aide sur laquelle nous pouvons sans crainte nous tenir ou nousappuyer ! car nous avons besoin de toi, oh aurochs ! nous avons besoin, Aurochs, de ta gouverne épineuse, de ton pic verbal de perçage, nous avons besoin de ton pic de roche acéré ( le pic) pour creuser la roche et passer de l’autre co
^t»é, côté ou versant vérité, peux tu nous aider ? nous demandons cette cxhose à l’aurochs des p^rés, nous lui demandons de cette façon, ezn le regardant, il est cet animal fort et racé, qui sait naviguer (tout bien) en pareilleparoi temporelle, il est l’animal (ou cet animal) de la vie à l’oeuvre au sein de laroche du temps, nous sommes dans le temps comme dans une sqorte de «roche musicale» qui serait (pour nous) un refuge de vie, antre de vie brute, nous entrons dans la vie comme entrent en paroi des betes gravées par un homme des cavernes, ou par une famme des cavernes, nous sommes homme et femme con comittament en roche = enfant de bure, de misère, etc, et cela pour le coup nous pousse à chercher des alliés à même cette roche ornementée, qui l’aurochs (on le voit) qui le bouquetin, quyi le rennhe, qui l’éla,, n qui le zébu, qui le mammouth, qui le cheval, qui la jumentt, qui l’antilope, qui le buffle, qyui le bison, qui
l’ours des cavernes, qui l’hippoopotalme, qui le phacochère, etc, nous sommes toujours en recherche assidue de vérités animalières, d’alliés dee la première heure ( naissance au monde) etc, car nous sommes des eznfants joueurs, nous jouons à qui mieux mieux à faire ainsi que nous puissionsaller en roche bille en tete, pour comprendree ce qui est de cette vérité de bon aloi dont on enteznd parler, parfois, dans les coquyillages etc, nous sommes à l»’écoute du temps pariétal qiu nous souffle aux oreilles ses paroles d’animal racé, nous pensons aurochs, nous parlonsa urochs, nous communiquons aurochs, etc, cela est ainsi que l’aurochs -mot ou que l’aurochs-langue est pour nousc en nous cet allié très-recherché», nous disons cet allié car l’aurochs est pour nous le frère dela reoche dure, il nous accompâgne continument, de près ou de loin, il est toujourslà comme un frère ou comme un père (
etc) et c’est pour cela que nous tenon,s à lui énormément, nous sommes proche de cet etre de paroles incantatoires ou comment ? car le parler aurochs est un parler de roche dure («frappadingue « ?) qui en jette fort, qui sait se faire voir, qui sait se montrer, se faire écouter et se faire entendre, se
faire entendrte = capter l’auditoire, et se faire écouter = convaincre et entrainer dans son sillage, c’est à dire tres exactelment ce qu’il fait continument, l’aurochs est l’animal qui sait parler et vous prendre à part lui où bon lui sembleraa bon de se rendre, comme par exemple en fin fond de roche musicale, en ce fin fond de laroche dure, en ce lieu de roche de paroi, en celieu de roche du temps, en cet espace dur de la roche dure des temps alloués, etc, l’aurochs est la bezte destraits dessinés sur paroi, et aussi des points de scansion : trou ! trou ! trou ! trou ! trou ! trou ! trou ! où es tu ? où donc trou te trouves tu au fond dee la roche ? et l’aurochs de trouver l’issue, le pot aux roses, le passage idoine, l’endroit qsui sied pour une entreée fissqa dans la matière de pareille roche (dure) musicale, et nous de le suivree (comme de bien entendu) car nous sommes sûr s de sa gouverne, nous avons toute confiance en lui, nous sommes qsûrs de lui et de son élan, de son allant, de sa volonté, de son désir de nous aider, nous avons en lui (aurochs-mot) toute confiance et c’est les yeux fermés que nous le suivons l( le sommeil ? les rêves ?) et allons après lui dans cette direction d’un fin fond de rocheclaire (éclaircie) qui est en vrai cette zone de l’apres vie
ou de l’apres quelque chose ou de ce quelque chose qyui serait la vie de roche en ses parties, nous suicvonsq l’aurochs comme notre ombre, nous lo’aimons beaucoup pour cette raison ici quil est pour nous l’aurochs de la roche adoubé, laurochs adoubé de la roche adoubée, les deux, cette bete de poids pour nous, qui envisageons d’aller loin (en pareille roche) pour ce faire : trouver la Vérité des choses de paroi, tout comme le feraient c ertains, certaines, historiens ou historiennes par exemple,
nous avons pour nous ce désir de suivre l’aurochs en ses tribulationsrupestres, nous pensons q u’aurochs-mot est pour nous une chance pour une survie et dès lors nous nous accrochons (mordicus !) à sa gouverne, à son gouvernaikl de vie dure, de vie allouée, de vie de roche musicale, etc, nouys n e le lâchons pas d’une semelle, nous sommes tout près de lui et ne voulons pas le perdre, nous sommes tout proche et notre souhzait le plus cher est de nous accoler à lui un temps, en vérité un long temps ou un temps long, voire le plus long possible, car la mort du bout nbous effraie et nous ne voulons pas de sitot la connaitre de vive rencontre ou comment dire cette chose d’une sorte de rezncontre (épaisseur) avec pareille Chose, dite «La Mort», quyi serait n^$ottre, qui serait cette Chose de vie a rdente, brûlante, ce feu, ce brasier, ces flammes qui tendraient à vouloir nous toucgher et nous bb^r^uler fissza comme fétus de paille ou bout s de bois dans l’antre (etc) et nous de dire non ! nouys ne voulons pas de la mort-saleté ! salope, la mort ! nous ne voulons pas de tes flammes de vie morte ! nous ne voulons pas de ta mascarade de vie ! nous ne voulons pas de cette chose d’une sorte d’embardée votive définitive, puute ! nous disons deès lors (grâ ce à l’aurochs) ce qu’avons à dire derechef , nous disons hzaut et fort nos mots d’injures qui sont mots de peu (nous sommes d’accord := bure) mais qui, mots de peu, impactent quand mememe, du fait de leur teneur en termes de vitazlité de bas-
étage,, vif langage acidulé, acéré (?), qui va droit devant comme une pique, saleté des Saletés, insultes votives à leur façon et à leur tour, nous aimonsl’aurochs pour cela qu’il nous aide bien du coup pour nouys excprimezr et cracher nottre venin à lk’adresse ou à l’encontre, de pareille bete des prés ou de pareille bete de roche ou de pareille bete de joie ou de pareille bete des cieux du devant de vie, ou de pareille bouche ouverte, ou de pareille bouche qui pue la charogne, etc,
qui est qui ? qyui est cquoi ? difficile de se prononcer , car, nous sommes sous le jhoug d’une entité (sorte d'entité) meznaçante et pesante en nous quyi nous absorbe un temps, prend notre gouverne en main et agit dès lors à sa guise en nous, et du coup nous fait chavirer dans le sens que bon luyi semble à
elle : pareille entité de la grotte des temps a:lloués,
nous subissons, nous sommes sous = dessous, pâreille entité, nous ne sommes pas libres de nos mouvements, ni même de nos tourments, ni même de nos paroles, nous sommes soumis à en nous une force de première instance et de première importance qui est celle de l’aurochs des prés en nous, cet aurochs de roche (dessiné à mains levées), qui est cette bete des attreaits qui connait trè!s bien la musique des sphères et nous sort maintes et maintes fois ( ou continument ? ) sa chanson de roche, son aide argumentére, son couplet qui est celui ci qui ici nous voit agir sur roche les yeux fermés, qui nous voit agir ainsi et dessiner sur roche ainsi que nous faisons ensemble = mains dans la main ou comment ? nous cherchons une entreée dans la matière musicale de la vérité des choses du temps, nous cherchons dans la matière du temps , ou de l’espace-temps de la roche du temps, une entrée en matière digne de ce nom (MO?N NOM° ) qui puidsse nous donner de quoi nousretourner et comprendre ce qui est de cette chose d’une destinée rupestre qyui sait ou saurait nous dire ce qui est oou mieux : ce qyu’il en est de lêtre en soi : en nous ? qui peut ou pourrait en vrai nous renseigner avec sérieux, avec pertinence ? qui pourrait nous donner son aide sinon l’aurochs de la fable, dela rocxhe des tzemps? qui d’autrte ? nous pênsons que nous devons agir sur roche en tzant que nous sommes tous et toutes main dans la main des faons dee laroche du temps, et du coup : écouter pareille entité animale en ous (l’aurochs du langage articulé) et le suivre au mieux dans ses pérégrinations acoustiques de fond de roche
, écouter son v erbev tressé, écouter son verbe dur, élancé, dressé comme un pieu enfoncé, etc, nous devons penser aurochs et parler aurochs à même la roche et c’est ainsi que nous traçons aurochs sur roche, au charbon de bois, au manganèse, etc, sur la roche de paroi des grottes, ici ou là, en france incidemment, nous traçons desq figures de bêtes, des aurochs tout aussi bienn, des chevaux de cxsavalcade, des bisons busqués, des aurochs ezn veux tu en voilà à meme laroche et gravons à l’unisson avec en nous pareilles voix ,
voix de guidancce continue,
nous tràçons à l’unisson avec pareilkles voix en nous, quyi ici nous guident en contin u pour nous aider à pour le coup passer le cap (les caps) de la roche du temps imparti à une vie terrestre, humaine, donnée pour comptant, donnée par qui on ne sait, par la bande assurément, nous ne savon,s pas que penser car nous sommes «faons de roche» et nous sommes petits en regard, des petits de roche dure, ou bien les petits de la roche dure, les faons-enfants de cette sorte de poumon (pariétal !) de vie vive, seulemeznt cezla : des êtres ici de petite envergure au final, qui ne savent pas lourd, qui (de fait) cherchent à grandir dans kle domaine du savoir, etc, nous voulons comp^rendre, nous avons soif de connaiszqance, nous voulons comprendre beaiiucoup et loin,; nous n,e voulons pas rester en carafe sur place et ne rien comp^rendre à rien mais tout au contraire nous voulons savoir ce qui est de toute cette a ffa ire d’une rocxhe du temps (un rocxher) musicale, ou vbien d’un
temps des sphères à) écouter (sans faute) de ses deux oreilles, nous sommes des faons qui pour le coup cherchons des vérités sur roche du temps : tracés acérés, tracés de bure, chemin faisant nous chercghons en roche (au pas cvadencé d’une musique ici allouée) des donnhées de vérités ancrées, nacrées, riche de laroche, richezsses, duretés, données accordées de roche ruprezstre, etc, nous cherchons assidument, nous cherchons a vec beaucoup d’entrain (en cxet intérieur de zone libre, libérée, de roche des temps pariétaux)
cet espace où déambuler à sa guise, cet espace-temps limité où cependant pouvoir ddéambuler en toute liberté etc, nous disons que nousq szommes ainsi ensqem ble dans le temps musical de la roche des temps impartis, nous disons que nous sommres ensemble accvol:és comme notions de vie soudées entre elles par la bande musicale des appretsz,
nous disons que nous avons dès lors cette chose en nous à devoir comp^rendre,
cette chose d’une sorte de paroi de vie soudée, de paroi de vie ... soudée à la mort, de paroi de vie soudée à cette autre paroi de vie que serait la mort, nous sommes faons-enfants des cavernes, nous sommes des enfants dans une caverne, nous sommes des enfants qui gravitons à l’intérieur d’une caverne et nous nous enfonçons en elle à la recgherche de la vérité qyui serait contenue de fait dans une langue donnée ezn particulier, et cette langue ici est le français, est musicale, est langue déployée dansle temps de son apparition dite «pariétale» : litanie, enchainement, vie vive nacrée un rien (!) ampoulée et cependant qui va de son allant d’aurochs, en pareille roche de grotte, et se dépose là pour ainsi dire pour la bonne cause d’une sorte de recherche dans la profondeur, de savoirs de vie vive, de savoirs dee v érité, nbous nousz enfonçons en cette roche du temps deevant nous qui est semblant de vie, en cela quil s’agit d’un temps donnéc à bouche de la mort en vie, nous donnons ce temps alloué devant nous sous cette forme ds’un présent de vie, présent pariétal (la roche) , et ce temps est allouéc en nous et pour nous par des beztes de v ie en ous qui commande et guident, qui sont comme «derrière» nous, à nous commander, à nous guider vers nos destinées , chacun son chemin, et nous d’adhérer à pareille entité guideuse, de coller, ds’adhérer colmme collés à pareille bete des prés, à cette bete-mots de rocxhe, nous aloons ainsi comme accolés, nous nous colloons à) pareiklle bete des prés et ne la quittons plus d’une semelle car nous sommes hommes-femmes enfant des cavernes qui colons, nbous colloons au verbe appointé, nous collons les notionbs entre lles, hommefemmeenfant de laroche des temps, nous coloons les lettres entre elles sur roche du temps
, nous sommes hommes de la préhistoire qyui colloons les lettres du temps entre elles = à la queue leu leu, nous sommes ainsi desz hommes des cavernes qui faisons cette chose sur roche, d’accoler des sortes de phonèmes gutturaux, betes de roche, animaux-mots de roche des temps, tous collés ou accolés ezntre eucx, cohorte, agglutination, torsade, torsage, etc, comme pic de betes entremêlées, etc, nbous sommesz ainsi hommes et fezmmes quyi agissons de la sorte pour la bonne cxause, qui est cette chosec d’un trouage de roche du temps pour un passage en icelui à fin de trouvages,de trouvaisons, de trouvailles, etc, je suis homme de la caverne x ou y du temps, je suis homme des cavernes c’est à dire de l(histoire avaant lm’histoire e, c’(est -à dire de l’histoire avant l’écriture de l’histoire or j’écris, quoi ? MON NOM, et aussi ce nom que je porte, et aussi des mots-mots, qui sont mots-animaucx, et aussi des mots de betes, mots-betes et mots de betes (aurochs-mots de base) etc, et donc on peut penser que je suis aussi dans le passé d’un temps narré,
et c’est ainsi que les choses sont, qui me voit comme coupé du monde quand il n’en est rien et que je vis encore parmi vous qui me portez en vous comme un souffle de vie continu, une sorte de filament, une file ou cohorte en vous animalière, etc, je suis t(oujours là, je suis la présence en continue d’un filet de vie en vous qui me portez (malgré vous) comme souffle de vie alloué», je suis l’homme des cxavernes du te:mps dee laroche (dure) trouée, je cherche la vérité des chose da,ns la roche, cette roche est ornementée à cette fin dernière qui est celle de vouloir ainsi crever l’abces et cr(acher ma gourme, ma colère, mes quatre vérités, etc ,; à pareille entité de roche dure, à cette bouche «de mes deux», qui me regarde vilainement et cherche on dirait à m’amadouer (via je ne sais quoi de rupestree ? )pour m’ingurgiter et me faire passer de l’autre côté, elle est fine et forte, elle se glisse en moi et revêt mes dires, elle a vite fait (cette entité) de se loger en moi, en mes dires, en mes paroles, etc , pour me faire basculer et cela est ainsi que je (facilement) me fais berner et me faitb avoir de la sorte, avoir et bezrner, car bouche est forte qui a vite fait de me faire parler dans un sens qui n’est pas tout à fait le sens que JE = MOI souhaiterais à dire vrai, Bouche est forte en bouxche, etc, elle a le biais et aussi le chic, elle sait y faire et je dois veiller à ne pas l’écouter de trop, à m’en tenir à bonne disqtance etc, ce bn’est pas chosefacile, bouche dela Mort à l ‘ OEuvre est fort dégourdie et s’y connaît loin en pareille chose, ezn connait un rayon (des ma sses !) et a vite fait de vous faire chavirer ou retourner ou trembkler, je suis l’homme desq cavernes en roche, je dessine à main levée des b etes de poidfs, ces betes sont des mots de roche dure, ils agissent pour moi et me protègent de bouche de la mort à loeuvre, cette chipie, je me tiens dès lors à bonne distance d’icelle qui cherche à tous les coups à me faire chuter en son sein rupestre mais je ne veux pas l’écouter ni même chuter, et pour cela je grave sur roche
MON NOM de roche, mon NOM d’homme des parois, faon fan de l’aurochs de roche des temps, hje gravesur roche des mmots, de prezmière arrivée, ba s de casse, mots des premieères loges, bas du bas de la roche dure, je grave et trace ainsi (fusain) des mots-aurochs de protection, ces mots m’accompâgnent dès lors au sein de laroche du temps afin de faire cette chose (pour ma pomme) de mze protéger des assauts du temps ou comment ? du souffle infer nal ? du souffle sortanbt d’une ... bouche acide ? commùent dire ? je vais en roche ainsi faisant, pic de bouche ici perçant pareille rochge des temps fous, des temp^s nnacrés = ancrés à pareille (dure) roche musicale, MON NOM est MON NOM, et dès lors j’avance, je syuis faon de roche dure, je vais sur roche me logerc en elle et me coller à pareille paroi comme (peut-être) une sorte de ... rémora ? ou tout autre poisson collé sur poisson de plus grande taille ou comment ? je suis le faon de roche dure musicale des apprets , je vais et je vien s en pareille roche du temps, mon nom s’inscrit sur roche ainsi : aurochs, aurochs, aurochs, aurocvhs, aurochs, aurochs, litanie, ou ainzi :
chevbal, cheval, chevakl, cheval, cheval, cxheval, chevla, cheval, tout autant litanie, ou alors ainsi : renne, renne, renne, renne, renne, renne, renne, renne, renne, renne, renne, ou ainsi : bison, bison, bison, bison, bison, bison, bison , bison, bison, bision , bisopn, ou même : bouquertin, bouquetrin, bouquetin , bouquetin, bouquetrin, biouquetin, bouquetin, bouquetin, bopuquertin, bouquetin, bouquietin, ou alors : antilope, antiloipe, antiulope, antilope, antilope, antilopê, antilope, a ntilopê, antilope, antilope, antilope, etc,
je vais de ce pâs een roche via ce trou de paroi, quii me voit m’immiscer en elle car je suis muni d’un pic de perçage acéré qui est c e pic de verbe injurieux capable de percer la pierre, le rocher, le roc, la roche du temps et cxest’ ainsi que je vais dedans, en cette roche dure, me lover et me logher, je franchis le pas, je saute en ce lieu, je vais fissa trouer, je troue, je suis faon qui joue à ceztte chose d’une entrée dans la matière de la destinée pour ainsi dire pariéto- temporo -spatiale et là, en cet espace -temps de la muqique des données, je vais, je vais et je viens, je joue, je m’amuse des données spatiales et temporo-pariétales, je m’amuse à tout va , je m’amuse aux osselets, au canaevas, à la gourme, au poisson donné,
à cherche-parole, au caillou des prés, à la marelle, au tambour battant, à la catastrophe, au crématorium, au coule-petit, au pissadou, au tambour-majhor, à la gamelle, à pince-sans-)rire, au crevant, à la pissouille, à chine-vérité, à la parole-drue, au carafon , à la perle des prés, au pintadeau, à celui qui penche, à celui ou a celle qui penche que tu pencheras, à la marchande , aux bienfaits des temps zalloués, aux mots de la roche, aux mots de l(aurochs, au mot inséré dans la roche, au présent alloué, au présent donnéc sur table d’offrande, aux betes tuées, au cheval de cord»ée, aux pierrezs précieuses, au chandail, à la joie truffée, au cadavre, au seuil de roche dure, au seuil de roche drue, au parapluie renversé, au pintadeau plumé, à la gousse d’ail, au paratonnerre, à la mise à prix, à l’aurochs, à l‘aurochs de roc, à l’aurochs des rocs, à la cxhance offertte reportée-, à la lyse, à la caille, au violon, au cxhef de tribu, au chef de meute, à ciel perdu, à la pinacothèque, au blé dur, au chapeau, à chinoiserie, au pimpim, au dieu décousu, aux mots collés entre eux, à colle dure, à l’astrakan, à paradis bleu, à la chaloupe, au divan, à cette chose d’une (sorte de) bise sur le front, à ce t attirail devant soi, à la carmagnole, au furet, au petit poucet, au grand dadais, à la soupente, à touche-pipi, à califourche, à dit-dit perdu, etc,
nous hjouons sur roche et traversons le rubicon
(ici) des temps alloués, nnous cherchons un appui en cette roche et cet appui nous le trouvons chez l’animal, ici l’aurochs, qui nous aide grandement à nous repérer, en cette roche des embruns, entre deucx merrs, à ne pas nous perdre, à trouver notre chemin de roche vers un but ou vers ce but qui est le notre, et qui est celui d’aller de l’avant et de trouver le pot aux roses, cette chose d’un devant (pariétal) de roche, cette chose l:ogée en pareille paroi comme un dessin de bete ancré, je vais ainsi sur roche à la recherche d’une vérité (de bon aloi) ancrée, je cherche l’ancrage nacré dans la roche du temps, du côté des clartés natives, je me place ainsi à regarder la roche blanche, éclairée, de belle réception , qui est la roche des gravures animalières, je suis
faon de roche / homme des cavernes ,
qui regarde se tra cer des betes, des betes de poids sous mes yeux d’enfant ba ba, je vois le tracé qui se dessine à main levée, je suiis cet homme des cavernes pris à part et comme envouté par une bete en lui qui trace à sa guise et à sa place, et crée des figures, des betes de poids, des betes de charge belle, des visages ou des tetes de b etes des prés,; ou des bois, je regha rde les traits se dessiner, je suis comme à l’affut d’une vé&rité de roche allouée, je cherche, je suiis proche de trouver, la main treace, la main dessine, la main conduit, la main est l’allié, la main est cette pîque, ce pic, cette chose de trouage ou de perçage ou comment ? je suis un faon de roche dure, enfant des cavernes de c e temps ancien des tracés (rupestres) sous emprise ou comment sinon ? je m’avance en pareille roche du temps, je joue à qui mieux mieux, à la passerelle, au tribun, à l’écrivain des prés, au canasson roulant, à perce-colère, à la chine ouverte, aux calanques, à pisse-menu, à tourterelle, au pince-mitaine, )àl a trouille verte, au dé à coudre, au dé à jouer,n,; au pinson,; à la pigne, au poilu , à ribambelle, au perclus, au malade et au dovcteur, à la docteresse, au pimpom de l’horloge, au secourable, au dirigeable, à la vile infamie, à l’injure, au mot de trop, aux chaises musicales, à l’emporte-pièce, au bonnet, au crachoir, à) la plume de paon, aux fenetres ouvertes, aux portes fermées, au cachet, aux douceurs, au dur de la feuille, au ventre velu, à la gueuse, au tartiné, à la guenille, au sparadrap, au pinceau lâché, à poil de carotte, à la passagère, au ventru , au bois dormant, au dieu xdes fées, à la chtouille, au pisseur, à misandre, au pis de la vacxhe, au berné, à la mire, au passeur des champqs, à misayre, au poil dormant, au vin de choix, à la vinaigrette, au pastaga, au chat dur, à la poule faisane, à cloche-pied, à cacxhe- cache, au pendu, à touche-rapide, à la vive allure, au poinçon, à la rhubarbe et au barbu, à passe-canaille, à passe- voilure, au canapé, au cheval d’(arçon, à passacaille, au vide-bouteille, au prie-dieu, a la messe, au curé et à la curette, au pince-grain, à va-que-j’aille,; au perdu et au pain perdu, au vil de la bouteille, à tombe-canette, à val de vcoix, au pire ennemi, à la mouta rdxe, au vin tiré, à chacal, à bousquetin, à chameau, à cheval, à chevakl dressé, à cheval cambré, à l’aurochs, aux aurochs, aux betes de roche, à la bete du roc, à betes du roc des temps farfelus, à la bete gravée par l’homme des prés, à la bete gravée sur roche, à la bete gra vée sur la roche du temps, à bete de choix et de poids, gravée ou dessinées (sur la paroi du temps) par un homme ou par un eznfant des cavernes, ou par une femmes doué des cavernes, par un homme doué des cavern es, par un homme ou par une femme ou par un enfant doués des cavernes, par un homme -femme-enfant des cavernes, «hommefemmeenfant» xdes cavernes, un tout accolé-serré, un tout engendréh
21/4/2021
je suis cet homme de lma préhistoire qui, en grotte = en trou = en dedans , va, dessinne, grave = dit ce que bon lui semnble ou lui parait qui puisse aller de préférence dans le sens d’une réponse à une objurgation, il (je) va (vais) en roche dans ce but, je suis en roche (en paroi : infiltré) dans le but, avoué, de trouver réponse (directe) à une emprise en moi, à une sorte en moi de méchanceté native, qui est méchanceté racée, qui est méchanceté effilée en moi, qui tend à vouloirr m’envahir et me faire sombrer, cette méchanceté est celle de Mort de bouche, de Bouche mMort, de Bouche la Mort, de Mort-Bouche en moi ou où ça ? où donc ? car mort, Mort de Bouche, est cette personne , en moi, qui cherche à m’envahir pour comme me liquider et moi d’y rétorquer par mes gravures de betes imposantes,
fortes à flanquer latrouille, forte-force, à flanquer la trouille à dame / sieur la mort, au moins cette chose ! car la mort est cette sorte d'entité buccale (ouverte, aspiran,te) qui cgherche à comme (me) liquider illico presto et moi de résister à tout va, à tout crin, à la va comme je peux sur roche, j’aspire à cela, je veux cette chose, je veux résister et ne pas me laisser engloutir, ou commentt dire cette chose d’une aspiration par la bouche, signée de Mort la bouche devant soi, un peu plus loin que là,
cette chose est devant et cependant ne se montre pas alors à moi de lui «parler» comme par la bande , et de lui dire (donner) mon point de vue, lui expliquer de fait ma façon de voir = art, cette chose ici qui est que je veux dire, ce que je ressens de cette chose d’une aspiration (à venir) buccale, je veux dire-exprimer la chose, sur roche = sur paroi, par des mots de poids qui en jettent, qui en foutent ou foutraient plein les yeux, qui aient ou auraient leur petit ou grand impact (au mieux) sur la Chose, cette donc Mort de Bouche Ouverte, ou comment dénommer ? je suis l’homme qui va ainsi sur roche dessinner des betes qui sont des mots, et ces mots sont des «gros mots» , soit des insanités, soit des covcho,nneries ou des méchancetés, des injures, des mots grossiers, du parler de charretier ou de poissonier, etc, je trace des mots (mots-bêtes) sur roche et ces mots sont des grossièretés qui sont là déjà pour impacter, qui ont ce but en eux, qui sont mots d’impaact, pour en jeter ou ficher ou foutre plein la vue à pareilles entités de bouche, je fais ainsi que cette chose soit et que du coup la morrt recule, nous laissât tranquille un temps, ce temps, offert sur roche (ce présent), qu’elle nous le rende de la sorte : en nous laissant déambuler en vie, sur prairie, sur pré, sous bois, dans les sous bois et dans les bois, etc, je cherche ainsi à faire reculer , cette Chose devant moi, là bas, quelque part mais où ? qui est bouche , trou, aven, excavation, entrée etc, je cherchae en moi à trouver les mots assez grossiers et imposants pour en jketer le plus ou au plus que je peux car je suis ainsi constitué que je me dois de faire de la sorte,
pour moi et pour mes alliés
(les chevreuils ? ) , pour mes congénères quyi sont mes semblables, je me dois d’agir de la sorte, de ne pas lambiner, je me dois d’agir : de décider d’une chose, d’y aller franco de port et de dessiner, ainsi, guidé par en moi la bezte «de résistance», des mots-betes de paroi, des mots dessinés, des dessins de mots, etc, cette litanie animalière en moi qui sort et va en rochge se ficher tantot afin de figurer cette chose, d’une sorte de non massif, d’un NON massif, d’un NON géant, qui est le NON à des agissements sournois, à des sortes de volontés (narquooises) de la part de Mort de la Bouche du Temps, cette Chose là ou où ? qui est cette Chose qui nous nargue, nous reluque, nous mate = oeil ! oeil de la mort ! cet oeil est oeil de mort de bouche ! oeil dans bouche ? où oeil ? où est l’oeil , en bouche ? nous (je) ne savons pas (ne sais pas) ! nous ne savons pas et je ne sais pas ! j’ignore ! ignorzance crasse, hélas ! hélas je ne sais pas ! je voudraios o cvombien savoir mais je ne sais pas ! je ne sais pas où est cet oeil de mort qui nous rehgarde ! où se situe l’oeil ? où est l’oeil ? où donc est l’oeil qui nous regarde ? je ne sais pas ! j’aimerais savoir mais voilà bj’ignore cette chosexc hélas ! j’aimaerais en vrai beaucoup savoir mais j’ignore cette chose, où se trouve l’oeil de qui nous regarde dans kle temps de la paroi , où se situe cet oeil qui nous regarde, qui est cet oeil qui (en bouche ?) nous regarde, où est il ? je me demande où donc est cet oeil ! où peut-il bien etre .? je l’ignore ! j’ai merais beaucoup que quelqu’un me dise, me rensezigne, me donne éléments de savoir, me donne tous les éléments et me donne auusi une réponse claire et nette à la qusetion , cette autre question que je me pose depuis toujours, qui est : pourquoi un trou ? pourquoi une bouche ? pourquoi une cavité ? pourquoi une grotte ? etc, car je suis conscient que le trou a son importance et que l’entrée du trou a son importance, etc, je vois que cela est, comme quoi un trou est quelque chose d’important, et le passage est quelque chose d’important car la vie est ce temps (tracé) av ec passages à la clé, je vois cette chose et j’aspire à comprendre mieux ce qui est qui me travaille au quotidien, cette interrogation native en moi, qui vais sur paroi, qui trace, qui marque, qui dit des choses, qui trace des betes au fusain et dis ce que j’ai à dire de profond à qui de droit = «ne me touchez pas ! ne me tuez pas ! ne me prenez pas ! laissez moi en vie ! ne faites pas cette chose de me kidnapper
! laissez moi où je suis ! ne me faites pas du mal ! ne touchez pas à mon corps, ne touchez pas à mon être , aux deux !» nje ne vuex pas de cette chose pour moi, mon corps dit son non-vouloir, et mes dessins de roche (sous emprise animalière) disent cette chose d’une emprise animalière qui, en vrai, se rebiffe ! je suis par conséquent cet homme qui parle sur roche avec ses mots d’homme injurieux, qui parle au nom des animauxx qui sont en lui, qui forment cohorte : où sont ils ? ils sont en lui, en mon sein, en ce sein en moi qui contient tout un arsenal, une tripottée de betes de charge = imposantes = massivesx= dures = fortes = force = trouble = quelque chose = imposantes comme pas cdeux, etc, ces betes en moi sont là pour en imposer et faire «reculer» la mort, cette mort qui est cet oeil ou cette bouche ou même les deux mais comment ? bouche ? oeil ? oeil-bouche ? bouche-eil ? bouch’oeil ? comment signifier ? je regarde ces betes sur roche sorties de mes mains et je comprends cette chose en moi d’une sorte d’adéquation main-bouche, main-oeil, main-animal;, main-intérieuer, main-cohorte etc, il y a ici une adéquation (verbale ? caudale ? ) entre l’animal en moi (ce bovin par exemple) et ma main qui trace des betes sur roche, qui dessine au fusain des betes de poids sur la roche, il y a ici une sorte d’adéquation naturelle (innée) entre en moi cet animal, privé
de verbe, et moi (homme des cavernes) nouvellement flanqué d’un verbe en bouche , qui est ce verbe dur, cette tige de feu qui trace sur roche, qui grave au pic, etc,; des aurochs et encore des aurochs, l’animal est cet etre en moi quyi dit sa chgose par ma voix , cette voix est mienne ici sur roche et cependant est celle de cet animal en moi qui hurle sa peine, sa douleur, je suis celui qui porte la voix de cette bete en moi racée qui hurle et gémit, et cela est ainsi que je me dois d’agir, de fait, de la sorte, je suis cet homme de la préhistoire qui écrit son n om sur roche et dit ce qu’il a à dire de cette chose d’une emprise animalière en soi, emprise qui remonte à la surface via des traits tracés à même la roche, et c’est ainsi que je deviens cet animal de roche, ours ou lions des cavernes, à mon tour dès lors de devenir cet animal
des pierres, de la roche du temps, du présent offert en guise de donnée rupestre à offrir ici à ce dieu de l’ombre, je regarde ce qui est et qui s’agite sous mes yeux à la lumièe (bougeante) des torches des grottes, cette bete sous mes yeux est «comme» vivante et ce «comme» est la reéponse que je donne (offrande) sur roche à ce dieu caché (?) de la mort à l’oeuvre, j’offre un «comme» et m’en excuse pl;atement, je pleure d’ainsi trahir ! je pleure toutes les mla rmes de mon corps, je suis cet hommùe des temps reculés qui vient sur roche donner ce «comme»à une bouche, à un trou, à une fissure, à une entrée, à une excavation, à une cavité, à une sorte de chose en creux qui serait cette chose de la mort à l oeuvre sur terre, terre mere, il me semble ainsi que cette chose est telle que voilà, je suis cet homme qui dit cette chose, ce «comme» haut et fort ! je gueule mon «comme» ! je hurle (j’hurle) mon «comme» de vie bestiales, je hurle (j’hurle) ce «comme» de vies bestiales, animales, puissantes et imposantes, lourds sabots etc, et cela sur roche (paroi : art) en tant que tels, à savoir sabots,
de betes de poids qui en jettent des masses et trouvent ainsi leur place sur roche dans ce but ! je suis traversé par en moi une pensée, qui est celle en vrai de l’animal des prés qui ... paisse
? paît ? comment dit-on ?, et cette pensée
est précisément celle que j’ai en moi à cdonner sur roche, je suis traversé par en moi une pensée de la bete de roche, uune sorte de pensée bestiale de roche, bestiale et même ordurière, je suis cet homme des cavernes traversé par, en lui, une sorte de pensée dure, forte, qui ressemble à un aurochs, et cette pens»ée précisément est celle qui me voit aller armé de mon baton , sur roche dessiner, aller sur roche dessiner armé de mon baton, de mon bâton de bois brulé, des betes de poids ordurières, insanités proférées à la cantonade, hurlements, cris de la bete en rut, etc, qui crachent, qui en jettent, qui fassent impression ou forte impression sur l’auditoire, etc,
je sais cette chose comme quoi il s’agit ici d’une sorte de crachoir ! d’une sorte d’évènement, de spectacle ou de tribune ! je vais en grotte (souterraine) me recueillir et cracher ma gourme (toute ma gourme) sur roche et en imposer (de fait) pazr la bande ! je suis homme-femme-enfant des cavernes diurnes, je vais en roche tete première, m’immisce et trace mon chemin de roche, et vais loin, en pareille paroi du temps, et cela dans le but de cracher ma gourme, toute mahaine, tout mon ressac dit «personnel», mes choses du
dedans de moi, cette bete en
moi, cette animalerie, cette chose dure et forte et acéré comme une pique, dont je me servirais pour pour le coup franchir le pas de cette roche, je serais cet homme- femme-enfant en roche, qui va, traversant la chose, et se loge en pareille zonee à la recherche de la vérité sur les embruns, sur cette sorte de clarté luminescente, etc, je cherche armé et fonce fissa, je suis l’homme (femme-enfant) de la roche, et cherche des données de base à comme me mettre sous la dent, je ne suis pas en reste de chercher ces choses, je les veux trouver pour moi, je veux des choses pour moi les trouver et m’en gargariser comme d’une lotion (médicamenteuse : un onguent, un bienfait , un pansement buccal) car vive est ma douleur de bouche, cette plaie en moi qui me voit ici parler la chose (à présent) et est donc à double tranchant : 1 je peine à etre ainsi comme perforé de l’intériuer par une pique animalière, 2, grace à pa reille percée ou perforation je peux dire du même coup ma peine à être percé, voilà la chose et ce n’est pas rien, car, je suis cet homme déchiré de l’intérieur par en moi toute une cohorte
animalière (pic des pics) qui me perce (me fait mal) et m’ayant percé me permet dès lors de dire (prononcer des mots) ma douleur ! oh triste compensation ! ou comment exprimer cette chose ici de la roche trouée, de la paroi grabvée sinon ? car, je suis ici l’homme qui grave, l’homme gra ve, graveleux, qui grave grave ! je suis un homme des cavernes graveleux qyui va sur roche
graver sa douleur «dentaire», etc, je suis cet homme des cavernes et des gouffres et des excavations = des trous, l’homme des trous ou du trou de roche, jhe suis celui là qui est ici cet homme attaché, qui est cet hommme ici lié à une ideé (?) d’un trou, à l’idée en soi du trou de la roche, à l’idée d’un trou devant soi, une entrée, un passage temporel et pariétal, et cela a une importance considérable car l’art du faire sur roche est la reponse offerte ici à une sorte de bousculement, de bousculement intérieur, cohorte ici et bouche ailleurs pour une liaison des choses via mon organisme d’homme des cavvernes, je m’explique : on a, d’un côté, une cohorte animalière en soi (ce pic dit verbal acéré) et de l’autre, une (sorte de) cavité buccale insérée (dans roche), et relier les deux est le travail ici de l’homme des cavernes que je suis, à moi de faire cette chose, à moi de dessiner des betes-mots et dès lors d’en imposer , etc, car mon travail ici est celui là qui me voit agir, ainsi, pour la bonne cause, à moi de jouer, de dire ce qui est de cette affaire pariétale, à moi de dire ici ce qui est de toute cette affaire de paroi ornementée, car la chose n’est pas banale et le dessin d’un bovidé est plus que le dessin d’un bovidé, il semblerait que je fus (que je sois) cellui-ci qui est cet homme d’un destin animalier, il semblerait que cet ensemble langagier de l’homme était autrefois occupé par quelque chose d’autre (toujours en soi) qui ne ressortait pas des mots à) proprement parler mais en était le précurwseurs, les prémisses, etc, il semblaerait que l’homme des cavernes portait en lui une sorte d’intelligence «rupestre» insérée qui faisait de lui cet homme qui lévite, qui monte soulevé sur roche et va à dessiner des betes qui (à leur manière, ou à la manière en propre de cet homme des cavernes) sont des mots ou sortes de, et ainsi fait)-il, cet homme, sur roche, des mots tracés, des dessins de mots tracés, il fait cette chose, il écrit son nom, il écrit le nom de ses pâ irs, il dit ainsi, il porte ainsi parole en actes imagés, etc, je suis l’homme qui en moi a une cohorte animalière enfouie, et cette cohorte animalière enfouie est une chose d’importance votive, il s’agit pour moi de comprendre cette cghose, cette chose a une méga-importance et pour moi il s’agit de la comprendre, ikl ws’agit pour moi de comprendre )-cerner cette chose en moi , qui existe, qui est cachée (où ?) et qui surnage à des momenrts, et cette chose qui est là est cette chose d’une sorte de mainmise (sur moi) d’un animal des prés, des champs, des forets, etc, l’animal en moi est prégnant et ne demande qu’à sortir, il veut se dégager de la tourbe en moi, sortir son museau et filer sur roche se glisserr et se déposer comlme une image de vbérité (vibrante, vivante, ici, à la lumière bougeante des torches des grottes), l’animal en moi est une betes
sous les mots de bouche, il y a en moi cette bete qui gémit, qui hurle, qui dit fort sa peine, qui est pleurante comme un etre de peu écrasé par la ban,de etc, je vois cette bete en moi qui vient sous mes yeux se ggraver sur roche, je sais que les mots la contiennent, les mots contiennent la bete, les mots que nous disons con,tiennent la bete de poids ! les mots ici gravés contienbnent cette bete de fort poids moleéculaire, et dfonc en imposent, cra<chent, disent haut, forcent sinon l’admiration du moinsl’(attention car ils sont massifs, un massif langagier de choix (premier choix) qui pousse à etre vu, à etre perçu et revconnu ! je suis l’homme du temps des betes dessinées sur roche, je suis toujours cet homme, je suis encore et toujours (aaujourd'hui) l’homme des cavernes avec pic de bouche (animalier) et perçage de paroi de grotte, je suis sur roche, qui lévite et trace, je me meus ainsi à même la paroi et dit ici (sur roche) ce que j’ai à dire, cette chose d’un envoutement d’un homme, je regarde devant moi et vois la roche ornementée, je vois le dessin de l’aurochs, ou du cheval, ou du bison, ou du buffle, etc, je vois ces mots de poids, qui sont des mots sales, je vois cette chose et c’est comme si , en moi, je devais m’excuser de cette cxhose qui m’échappe, et, du coup, je pleure ainsi d’avoir tracé des betes qui sont des mots sales, des insanités, cela s’est fait hors de ma volonté, je n’y suis pour rien pour ainsi dire, les insanités sortent de moi toutes comme des déchets et je m’en exccuse hautement ! je suius désol:é et le dis ici à la cantonade ! je dis hzaut et fort ma désolation ! je n’y suis pour rien dans l’affaire, je ne suis ici pour rien en cette chose d’un tracé d’insanités qui m’a été comme insufflé de l’intérieur par un envahisseur en moi qui est de fait l’animal dit «de la paroi», il m’a poussé à commettre ce crime dit «de lèse-majesté» et je m’en excuse, à) plates coutures, je m’excuse de cette chose, je suis vraiment vraiment désolé, je m’excuse profondément, je ne sais comment dire cette chose d’une sorte de regret en moi, d’(avoir été cxhoisi ou tout comme, par en moi cet animal de bouche, ce bovin, ce cervidé, cette masse, ce poids, cette lourdeur, cette insanité de ma race etc, insanités, veuleries, cocvhonneries, mùécghancetés, le Mal (en moi) qyui est cette chose à devoir et cravcher sur roche et s’en excuser, ou comment dire ? je suis celui ici qui dit cette chose sur roche, ce Mal déssiné, cette chose sur paroi comme effigie sur pièce de monnaie , je vais ainsi en roche à) la recherche de la Vérité,
de la Vérité avec un grand V et je m’en e»xcuse car je suis cet
homme qui , devant lui, voit la chose se dessiner malgré lui, je suis un homme (de peu) des cavezr nes, je suis cet homme (§des cavernes) de peu
, qui va, dessinant des b etes sur roche, et ce faisant dit (à plates coutures) tout son désolé, son mot d’excuse, sa désola tion, son regret, il dit sa désolation, son manquement, sa peine double, son chemin de roche etc, il est cet homme qui ici sur roche dit la chose d’un chemin de roche (croix) qui , en vrai, est le chemin d’un homme qui se sent comme coupable d’être et de ne pas avoir d»’emblée donné sa vie à cette bouche du devant de soi (art ! art ! azrt ! art ? ) qui est bouche de la destinée finale, qui est (cette) cavité buccale grande ouverte devant soi (le temps de laroche) prete à vous gober comme une mouche et moi de lui donner , à cete cavité, en pature, mon nom = MON NOM, qui est ce nom de base familiaial, cette choserapportée sur moi, ce dessin (de roche) à tout jamais etc, ce nom est celui qui dit (semble dire) « désolé ...», il est le nom qui dit ou semble dire cette chose d’une sorte de regret, matiné peut-être de choses et autres de type «animal rupestres», je vois cette chose devant moi qui est un nom, ce nom est un non, ce non est un animal peut-être remonté des limbes , une insanité de bete bestiale = un «‘gros mot», et ce «gros mot» est déposé sur roche comme, qui sait ? une sorte d’injure qui tend ou tendrait à dire sa chose d’une rebuffade ou comment ?
je suis l’homme des cavernes ici qui cherche à comp^rendre les enjeux «pâriétaux» de lza roche dure du temps : quels sont ils, et que veulent ils signifier ?
il wsembvklerait que nous ayons affaire à un homme des cavernes «remonté», et cet homme en a gros» sur la pata te pour ainsi dire, cet homme «remonté» en a gros sur le ciboulot et veut se décharger, veut s’alléger de tant de pesan,teur rupestre en lui, il veut cracher sa& gourme ou sa colère, et pour cela : insanités ! insanités patoisantes ! insanités = le Mal ! le mal ici est en lui qui tend à sortir de lui et à se nicher sur roche (paroi) comme ornements ! le mal en lui va sur roche, qui s’inscrire, qui se graver, qui se ... etc,
le mal ! ici le mal est cette chose (l’animal) qui sort de la bouche de l’homme et va creuser sa voie sur roche de paroi de grotte, mal ici = ani-mal, etc, cela est ainsi, et lm’homme des cavernes assiste, impuissant, à pareil spectacle «navrant» qui le voit proférer comme à la cxantonade des insanités et des grossioèretés à comme pisser de rire tellement c’est gros, massif, imposant, rupestre, rocheux, lourd de chez lourd, la lourdeur même de l’insanitév méga-grossière, etc = aurochs, aurochs en litanie, chevaux, cheveaux en cavalcade ou horde etc,
je suis l’homme des cavernes qui voit cela et n’en démords pas, je suis comme puni de cette chose en moi comme quoi je dis, et disant je pue, ou comment dire, l’animal en moi, cette haleine de chacal (?) etc, ou comment ? je suis un homme-enfant des cavernes et aussi une femme-enfant des cavernes, et je m’en vais en roche dessiner ce qui me vient, qui est du mot-animal de bnase, je suis homme-femme des cavernes = en,fant qui joue à faire comme si = comme, cvomme si en vrai nous étions mort s et donnions nos corps froids à pareille bouche de la mort à l’oeuvre, froids ou pas (encore cxhaud brulant peut etre) notre «vie vive» offertte, etc, cette vie en nous hors corps, plutot
cette chose, cette vibration en nous de vie offertte à cette bouche de la mort à l ‘oeuvre, nous donnons ainsi cette chose et nous sommes quitte, or non ! nousd ne donnons pas ceete chose ! nous ne sommes pas quitte ! nous donnons un pis-aller oui qui est ce cri (guttural) de la bete vive, ce cri à la pl;ace, cette voix, ce chant (guttural), cette poussée, ce chant fait d’insanités, cette puanteur de plaie qui tourne que tu tourneras au mal (ici) perforant et qui pue sa haine, ou comment préciser la chose ? un trou de bouche saignant, et puant le sa ng et l’infect ? une sorte de chose en soi, qui pue et est le Mal en vue ? je cherche à comprendre ! je suis cet homme-femme-enfant, qui recherche ce qui est ici en cette matière , d’une puanteur de roche qui est repoussan,te, car le «blème» est là, qui nous voit semble-t-il rechercher sur roche une sorte de repoussoir, repoussoir à la mort ou comment ? un repoussoir de roche , oui , ci-fait ! une (sorte de) repoussoir de roche : insanités,
proférees sur paroi en termes de bisons de poids etc , des betes toutes bestiales , des injures, des grossièretés et la puanteur qui va avecn,, car le but avoué ici est donc de repousser la chose du devant de soi, la faire reculer de honte, ou de gene, de désagrémeznt, etc, par l’odeur de soi proposée, ou bien par les termes (mots-betes) choisis, dans le registre de l’immonde, du sale, du Mal en soi comme animal en soi, soit de l’insanité, de la salaeté abjecte ou de l’abjection complète, je serais cet homme là qui dit (dirait) l’abjection, pour faire reculer ce dieu de
— >>> «la mort à l’oeuvre»
sur terre (dans le ciel ?) et celaétant je dirais ce que j’ai à dire pour «sauvezr laface», je dirais ce qui me pèse fort (aurochs) en moi, ces mots de betes en moi, ces betes en moi quelles sont-elles et comment se présentent-elles ? je dirais ce qui est que je suis en moi = envahi par une sorte de tribu animùalière, mais comment ? cherchons ; par cette sorte de, ou plutôt : par cela qui est que, ou alorsq : par le fait ici que cette chose, animale, abbnimalière, soit ... etc , je cherche, je suis
l’homme-femme qui cherche, qyui recherche une réponse ou sorte de réponse à cette sorte de question d’une sorte de bete en soi ou de sortes de betes en soi ou de mots-betes en soi, mais de quoi s»’agit il ? du seul langage en soi, fait (entre autres mais, en véritéc, pour l’eesszeentiel) de mots orduriers ? ou bien réellement, en soi, se loge une bete quyi serait La Bbête ? ou bien s’agit il de la betise à cornes ? ou bien de quoi d’autre ? s’agit il en vrai de labetise e,nn soi, qyui serait la gouvernante ? ou bien le mal, le mal que nous contenons, dont nous sommes porteurs (tous et toutes) et quyi est ou serait l-e mal bien malgré nous pour ainsi dire ? est ce cela ? est ce en nous ce mal-anilmal qui règne ? ou bien cette chose qui règne est-elle plutot une sorte de parler-chacal ? de quoi
s’agit il ? nous sommes les porteurs de betes en nous, qui sont en nous l:ogés comme des mots en bouche, nous sommes porteurs d’insanités, de saletés verbales, noussommes porteurs de saleté à dire pour s’en délivrer car cela pèse lourd, et la place manque (en nous) pour toutees les conserver, nous devons nous libérer (par la confession ?) de betes de charge, de toutes cdes betes de poids qui sont en nous le Mal qui ronge et nous fait du tort et nous fait du mal à type de douleur p hysique comme mal de dent ou auttre mal aux articulations ou autre mal, nous sommes soumis à chose douloureuses diverses, nous sommes soumis à moultes choses découlant de la douleur physique matérielle, (os, tete, articulation, ventre, peau, poumons, crane, bouche, jhoue, dents, palais), nous sommes des etres soumis à ders douleurs animalières de toutes sortes (elles n,e manqsuent pas) et cela est, que nous avons du coup à exprimer (cette chose) haut et fort : gueuler notre douleur := le Mal , qyi est l’insanité suprême (royale) qui nbous pousse à etre xdes etres de peu, honteux, qui peinent à se montrer tant leur visage est couvert de sang et preésente mal, des lors comment faire ? l’aurochs ? la bete princière ? certainement ! et nous voilà qui dessinons de chic des betes de roche et qui nous immisçons par lam:ême en cette roche de laroche, en ce sein cdes seins pariétal qui ici est ce palais du dire,, cette chose belle, ce palais du rire
aussi bien, de ce rire (nerveux) du soulagement ? ou de la confession ? ou du dire débordé ? de la soumission ? etc, nous sommes des etres de paroi, qui disons et nous immisçons, nous entrons en roche ainsi comme d’aucuns / d'aucunes entrent en religion et nous tout comme, en définitive : nous entrons, laroche est une église, un lieu de culte païen, une sorte de lieu où trouver à se loger et dire des insanité»s de haute tenue pariétale = qui forcent la chose (l’admiration ?) à titre de représentations qui sont figures (figures de la vérité) à dire, nous cherchons à nous imposer par la bande ici pariétale et voilà pourquoi nous dessinons, ces choses de roche, à brûle-pourpoint, en lévitation, nus ou presque, maigres-décharnés comme tout, nous pissonsde rire aussi bien car la douleur physique est telle que voilà ce que nous devenons sur roche : des êtres de peu, soit : de peu de poids moléculaire apres d»écharge, des qui sont comme soulagés un temps (un temps) et vont aibnsi en roche retrouver leurs amitiés animalières, comme aurochs ou cerfs ou biches bambis, ou antilopes ou bouquetins, je suis cet homme bouquetin, je suis cet homme-aurochs, je suis l’homme-oiseau ou l’homme-bison, ou l’homme-^renne, je suis un homme envahi par (ici) le mal en moi, et ce mal est un animal,
je suyis un homme qui en lui contient le Mal et l
e mal prete à rire : à force,
il s’agit de comptrendre ici cette chose en soi comme quoi je suis en moi envahi par le mal <qui est (en moi) l’animzal de laroche du temps et qui me regarde, me mate en moi-meme comme un oeil divin qui saurait, qui connaitrait toute la vérité sur les choses (au complet) du monde, vie et mort terrestres, etc, je suis envahi en moi par le mal que je tente peu ou prou de maitriser (ou comment dire ?) via le verbe (naissant) sur roche, ou sinon maitriser, canaliser, en roche ici, parole de type ani;male, etc, dessins de buffles pour une sorte de prise, de prise de décision, etc, qui serait la mienne à tout jamais : MON NOM, cette chose en forme, ce tracé formel, cette chose dite en une forme qui en fait comme un e euvre de choix, qui pèse, qui peut en jeter, d’où le jet, le je qui peut : dire sa colère
mais du coup formezlle, améliorée, médiatisée, etc, je regarde ainsi cette chose d(un mal
perforzant, mal qyui trouve forme (art) amélliorée wsur roche et du coup peut peut-être être perçu (par qui §de droit) autrement que comme avant (?), nous cherchons enszemble en roche (biches et chevreuils) des répônses à nos questions, relatives au mal, au mal dentairez, au mal tout court, à ce qui en nous relève du mal, car nouys sommes le mal en nous, nous avon,s ce mal en nous (rongeur) qui est cette chose (une insanité) que nous cherchons à libérer afin de nous en délivrer comme oiseau en cage rendu (qui serait rendu) à sa liberté, noous voulons essayer de comprendre ensembkle ce qui setrame ici depuis le débvut et cela n(est pqasfacile à comprendre, nous devonstrouver des solutionsà des problèmes ardus liés à la presence en soi du mal dentaire, et cela est complkiqué à faire, car nous sommes peu de chose en soi ou comment ? peu tout court ? chose de peu ? nous cherchons, nous sommes (de fait) sur le chemin de larecherche soutenue, nous ne lâchons pas le morceau, nous voulons comprendre loin et l:onggtemps, nous avons le mal en nous qui ronge (la douleur, la maladie douloureuse, puis la mort) et cela a son importance pariétale, il nous semble aionsi que cette chose ici a son importance pa riétale de type dessins, gravures effectuées toutes pour la bonne c ause, qui serait que le mal en nous pousse à sortir de nous et à aller jusqu’à se mettre (se ficher, s’inscrire) sur laroche ou à même laroche, je regarde les dessins,
ces betes de poids, et je lis cela avec les yeux d’un homme des cavernes, et ce que je lis est une chose de belle facture, qui en jette prodigieusement, qui impacte de folie, qui est chose peut-être de peu (rase-motte) et cependant qui pèse
dans cette balance
d’un dire adressé, il semblerait que nous ayons affaire ici à un dire, lâché sur roche, cxomme à une sorte de chose allouée à un semblant de volonté massive (en soi) de se dégager d’une emprise qui est l’emprise (physique) d’une sorte de donnée (malhabile) en soi, donnée liée au Mal, de famille, de race, de tribu, d’espèce etc, cette cxhose comme quoi, en nous, règne la douleur, le mal, la peine, cette chose grossière, à hurler (de rire ?) et qui pèse sur nos épaules et passeulement sur nos épaules, tout le corps est mis à l’épreuve, et nous de voir cela comme l’expression de quelque chose en soi qui serait à libérer de sa gangue et à noter, à graver sur roche = le palais duccal ;, le royaume, le chateau, l’eglise, le lieu de la force et du culte, ce lieu annobli (ennobli ?) qui est ce lieu,
de la paroi dure des temps impartis à une vie terrestre, il s’agit pour nous de comprtendre cela, comme quoi en nous le Ma l règne et, sorti de nous (bouche !), il va pour régner de toute sa superbe, sur la roche (grotte) des parois du monde, et c’esst ainsi que nousn ous délivrons (un temps) de cette emprise en soi, d’une sorte d’animal rongeur, ou bien de cette bete-mot armée de courage, qui va, sur roche, creuser sa voie d’accèes, et qui va s’immisqcer en elle comme sorte de pénéttrant de la première heure, je vois cette chose pénétrer et je co:mprends la chose, cette chose est le Mal perforant,n, il est l’animal (en soi) qui pousse, et hurle en sortant , hurle le mal à dire , dit son mal naissant à la roche, dit le mal à cette roche d’un devant de soi temporel = cette paroi, le temps est la paroi, l’insulte le cheval, la voie est libre pour une immixtion de type incarnation, mains sur mains, nous chantons à haute voix
notre misère, nous avons (portons) en nous tout le mal de laterre et ce mal nous l’inscrivon,s sous forme animalière sur laroche, sur paroi du monde, nous pouffons, nbous souffrons-pouffons sur roche notre litanie cavalière, nous sqommes hommes-femmes des cavernes qui en nous portons une douleur de base qui nous pousse à pour le coup graver sur roche l’animzal qui nbous contient,qui nous donne voix, qui est nôtre, qui pousse, qui contient nos gestes, qui les guyide, qui bnous fait agir, qui nous pousse à faire des tetes et des corps de bêtes, qui est «derrière» nous celui-là qui tient et nos bras et nos mains, qui nous fait graver l’aurochs du mal comme (on dirait) un mot grossier, à kla cantonade, à haute voix, et nous de prononcer desq mots grossqiers, de fait, à la cantonade, des insanités, des saletés, qui sont déchets et autres mots-merdes, etc, nous parlons comme nous gravons, nous disons comme nbous gravons, les choses sont les mêmes, nbous disons des insanités car nous sommes en nous porteurs d’insanités verb ales du fait que voilà, nous sommes sous le hjoug (en nous) d’une force qui nous pousse à devoir réagir, à devoir sortir de nos gonds, car les gonds sont douloureux qui nouys blessent à mort, qui nous rentreent dans la chair et nbous font hurler et pour hurler, il est préférable de pouvoir le fgaire depuis lors = depyuis ce trou, depuis un trou de bouche permezttanht la chose, et voilà le trou crevé, créé, de bouche saiignante, ce trou de bouche enfin percé nous pouvons hurler-déclamer la douleur que a été cette percée, nous pouvons dire cette chose et hurler icelle sur roche, et c’est cela que nous faisons en dessinant à main levée (lévitation) des betes de poids, sur des parois,
nous faisqons cette chose ici sur roche, pour dire, pour témoigner, pour se dél;ivrer;, pour impacter, pour en jeter, pour jet, pour je, pour jetage antérieur, ou comment ? nouys avons à comprendre cette chbose en soi du mal dont nous sommes porteurs = les douleurs, et celaa une importance vitale car il en va de notre survcie, nous devons co:mprendre cette chose d’une sorte de douleur en nous qui est celle-là que nous avons à devoir subir, tenir, controler, canaliser au mieux et pour cela : cap sur roc ! aloons ensemble, butons la paroi, soumettons nous à pareille immixtion de concert, faisons cette chose d’un dessin sur roche animalier,n, le dessin pâsse par la main, la main est la chose qui tient, et ce qu’elle tient est animalier, eklle brandit sa chgose et cette chose est la mal -animal de roche, il s’agit du mal lié aà la douleurr , il s’(agit de ce mal en soi qui est le mal qui est cette chose en trop qui prend de la place et cette place est grosse, grosse comme un gros mot à proférer du fait que nous y sommes comme obligés, et voil;à le dessin de l’aurochs expliqué ici , comme quoi l’aurochs est ce mal (en nous) perforant comme une pique une outre, comme un pique-feu perçant une outre qui serait remplie, nous sommes cette outre et nous passons outre en gravant la roche, ainsi soit-il ou comment, autrement ? car, en nous, le mal est profond , il est prégnabnt, il est cette chose en nous qui prend de la place, l’animal en nous est l:e mal en nous est la douleur en ous est le sang en n ous est cette chose en nous, d’un désir de liberté sur paroi degrotte, vivement la vie ! nous disons cette chose comme quoi nous sommes qui donnbons notre douleur (le Mal) sur roche, comme une sorte de présent, donné en offran,de, le présent du temps donné en offrande comme en s’excusant, en disant des motsq d»’excuse et ces mots sont quoi ? insanités ? la cxhose est coton à comprendre,
nous voulons comp^rtendre, nbous aspirons à une sorte de compréheoension générale, comment faire ? nous voulons comprendre pourquoi en nous cette chose d’un mal qui ronge et, cela comp^ris,
comment faire pour akller en roche et s’y complaire jusqu’à nouvel ordre ? je suis un homme-enfant des cavezrnes hjoueur, jhe joue à qui de quoi, je hjoue à quoi de qui, je joue à des jeux d’enfants, je joue à graver sur roche le tourment (peut-être) d’etre en vie, en,core, et non point mort pour la bonne bouche, jhe joue à celuyi qui et à celle qui, je joue à faire des choses sur roche, insanités, décxhets, saletés, et ce faisant me libère d’un pôids menaçant et qui eut pu porter atteinte à mon intégrité, et me faire capoter et en terminer, je joue à) qui mieux mieux, à partie de roche, à celui ou celle qui va loin en roche, à chevreuil rampant, à biche sautant, etc, je joue à mille jeux du je, je hjoue à faire peut-être abstraction des choses de la mort à l’oeuvre, je prolonge le temps de mes tourments, je suis perclus, une souffrance, une peine complète, je suis celui ici qui contient toutes (toutes ) lesq douleurs, ABSOLUMENT, un ensemvble contenant l’ensembvle des maux de la terre, toutes et toutesq et toutes les douleurs qui sont (seraient) existantes sur terre, ABSOLUMZENT touteqs, je suis cet homme contenant tout, ABSOLUMZENT tout, le mal de laterre, je serais cet homme ou un homme, un être, qui contiendrait, ici, l’ensemble des douleurs et des maux existants sur lasurfa ce de laterre pour un etre humain, et ainsi étant j(‘irai à me jeter (le pourreais-je seul ?) sur pazreille roche de paroi de grotte , seul je ne pourrai en vérité, il me wserait réellemeznt impossible d’y allerf seul et de ce fait je devrais trouver en moi une force qui puisse m’aider, mzais comment ? et voilà la bete en moi qyui me chevauche ou vbien m’infiltre ou comment ? et me permet ce bond, ce bond en av a
nt à même le roc, me permezt l’immixtion demon etre entier (en entier) da ns la roche, merci la bete, et là, une toute autrte affaire, le mal n’est plus, le mal est diffus, le mal est le dessin animalier : la bete d’excuse, la bete d’appoinbt ? la bete aidante, l’aidant animalier ?
je dessine ce qui me permet de ne plus avoir à porter les chaines de l’adversité langagièere ! je dessine cette cxhose en soi animalière : hommages ! et ainsi faisant je suis l’homme qyui comprend la chose, cette cxhose dure, ce mmal absolu, cette sorte de lourdeur de charge animale, je vais en cette rocxhe les pieds dezvant pour ainsi dire et essaie de compreznxdre les eznjeux globaux de pareille chose de paroi, je vais en roche ainsi et me libère de ces mots de roche durs, de ces mots durs de roche allouée à une vie d’(appoiint, je deviens (moi même) l’animal du mal parler, du mal xdire, etc, de l’inqsanité proclamée etc, je deviens cet animal de roche, cet homme des temps reportés, cet homme du temps impaerti à une vie humaine terrezstre et ce faisant je prie, je suis l’homme d’une sorte de prière animalière, j’essaie de comprendre ce qui ewst cde cette prière, je me laisse aller à formuklezr des sortes d'incantations qui sont des marttèlemen,ts de lmaroche , qui sont des prières votives, des oparoles d’évangile etc, j’eessaie de comprtendre l’anilmal des roches, effigi-incantation, brûlure et soulabgement d’une brûlure, je vais en cettez roche, ici (du temp)s espace devant soi) , comme armé ainsi, en moi, d’une (sorte de) pic de roche,
pic de roche animalier, cet oeil, ce sa
ng, ce mal, cette doulezur, cette bévue , ce travail, cette chance ou cette malchance incorporéées, etc, je vais sur roche et je deviens (moi-même) l’animal représenté, cet animal est
donc le mal en moi qui cherche issue, pâr (directement) la bouche ouverte, et file fissa se loger sur paroi, il va vite, il est vif de vie vive, il est cette chose ou sorte de chose en vie, comme un mâl du feu de dieu qui exprès vous pousse à devoir lâxcher prise et vous laisser comme guider en vous par un pi;:lote automatique, du type : guidance , guidance pa riétale, soutien moteur, chance dêtre, etc, ikl s’agit pour moi de penser cette cxhose de’une sorte d’immixtionb de roche via des mots, qyui sont ceux de : 1, la betise crasse, 2, la mort à l’ oeuvre, 3, la chance, 4 la belkle tenue, je rezgarde ainsi ce qui est produitn,, ce qui ressoprt sur roche en tant qu’efgfigie, et je fais le point, je prends du recul, je me pose et essaie de comprtendre ce quyi advient, ce qui vient à se placer sur roche, qui de quoi , quoi de qui ? quy’y est)-il ici qui va, ou ne va pas ? quoi dire ici qui serait une sorte de «véerité desq vérités» ? je cherche issue (une issue) à parole, je cherche trou de boue, trouée de type insanité, je cherche à trouer la roche par l’insanité (pic) proférée, je cxherche ici à trouer larochge du temps via des grossièretész, des insanités («gros mots» comme aurochs sur rocxhe) quyi me permezttraient de comprendre c’est à dire de per cer, la roche du temps à jamais;, les mots de roche sont des beztres-mots qui sont betes, betes cvomme cxhoux, c’est à dire qUI sont gros et gras, des betises, des cochonneries, saletés diverses = insa nités etc, et ces motsq (de l’abjection, de l’abject) sonrt ceux qui nous sauven,t il semblerait, l’avons nous comp^ris ? les mots de l’a bjectio,n,
les mots de l’abjection et des turpitudes
sont ceux-là (pariétaux animaliers) qui nous sauve,nt la mise (un temps) , l’avons nous compris à juste mesure ? pas sûr ! car les mots sont des betes de cghoix, qui pèsent,
qui sont lourdes, les betes,
et lourds (grossiers) les mots, nous avons à comprendre encore un nombre considérable de cghoses des parois ou sur la quesrtion des oparois
, des parois ornementées, et il semble évident que cette chose (la compréhension) n’arrivera pas ou n’adviendra pas pôur nous du jour au lendemain car quyelque chose nous empêche , <qui se fout on dirait en travers de nous , et masque, et détourne, et trouble, etc cette choàse d’une sorte de Vérité des chjoses du monde, cxette chose (écran,, lunette) est chose qui va de son élan dxe cvie qyui masque un tout, il s’agit d’une sorte de pzassage, de passé, il s’agit d’une sorte de poids de passé, etc, le passé masque , et plus le passé grossit (aurochs) et plus la chose est masquée, la chose = la Chose, c’est à dire les accents de Vérité, nous devons comp^rendre cette cghose, comme quoi le passé du temps, est un écran qyui masque le présent du temps, ou pltuôt : nous devon,s comprtendxre cette chosdec, comme quoi ce temps présent, donbné en offrrande, est chose de peu , est choes maigre, est choes presque honteuse et cependantr, voiici, cetrte chose, offerte, notrte offrande à nous sur roche, tout notrte bien : honte à nous ! qui devonsfaire cette chose d’une entrée en roche, à la force d’(une ... sorte de pîque de verbe acérée (la pique) ou peut etre acéré (le verbe) car le verbe est là (l’animal, le mal) qui dit sa chose d’une sorte de doulezur violente à la criée, nous avons à comprezndre une chose ensemble, cette chose est ramùifiée et va loin pour se loger ici et là comme (de fait) rhizomes sous terre, il s’agit pour nous de comp^rzendre ces données de roche et de les bien cerner ensemble en (pour le coup) les projettant sur la paroi du tempsq, le temps est la donnée de base, et l’espace l’allié, nous voyons cette chose ensemble sous nos yeux se dessiner et il s’agit d’une bete de poids, qui est aurochs de laroche dure, l’aurochs aussi est l’(allié, il est le préseént dépôsé sur roche (= au pied) qui est cet ami qui est cens»éé (ici) nous aider, à passer la cghose, à tenir, à ne pas faiblir, l’aurochs et le cheval et le bison et kle bouquetin etc, sont nos alliés dela première heure, ils nous accvompâgn,ent, ils sont ceux qui, sortis de nous, nous font plaisir à etrte ainsi pour nous des alliés de roche, ilsq sont sortis de nous, ils étaient en nous et nous ont quiitté pour aller comme se loger en roche et nous regarder, nous avons compris cette chose comme quoi nous ne sommes pas seuls en nous, nous sqommes habité, nouysq sommes pris, nous sommes envahis, nous avons en nous des betes qui sont et quyi sortentv et vont à se glisser sur roche incidemment, et cela pour nous est une chosecde gran,de i:=pôrtyan,ce et cela nous en sommes conscients car nous avons incidemment encore toute notre tete, nous sommes sortes de «chevaliers de la table ronde du temps imparti» et nousallons en roche nous blottir parmi les betes (mots-betes) qui so,nt ici les betes d’un salut rupestrze, merci les betews, car les betes sont nos alliés, nos aides de camp, nous devons comprendre ensemble cela comme quoi les betes sont des betes -alliées, qui sont là (certaines) pour en vrai nous aider à passer kle cap,
du mal perclusant ou du mal perforant,
nous devons comp^rendre ensemble cette cghose comme quoi les betes sont des betes alliés, betes-mots alliées, mots alliées, liées, à nous, par notre gouverne, et ces mots, liésc à notre gouverne (raison), sont alliés de la première heure (naissance) en cela que les mots nousaident à tenir ezn vie dans la vie, il s’agit de mots-étais, temps donnés par la ban,de à une sorte de raison consolidée ainsi, qui ira dès lors chercher provisions (à comp^réhensions diverses) dans lma prairie, le pré, etc, le monde, le monde est tezl que nous devons comprendre cette chose d’une véerité associée à une sorte de paroi de roche, le monde est tel que nous avons à ensemble c erner la chose sous cet angle, de la majesté en son royaume, bete de scène, chance et malchance main dansq la main poour ainsi dire,une entité toute à considérer, je vais en roche armé (muni) de ma pique verbale, je dessine des betes-mots, ou toute ma betise ixci car il s(agit de choses (dites) extrêmement grossières, grosses-grasses voire des insanités voire l’abjection, et tout cela pèse dansq la balance o combien et cela pesant libère la chose d’un,e mort inscrite : il semblerait que cette chhose contenue en nous (l’animal / le mal) soit chose à déposer sur roche (hurlement, douleur, chacal) afin ici xde dire son tourment (confession, a veu) et de s’en libérer comme par la bande ; il s’agit (ici) d’une délivrance, un a ccouchement, une naissance (une reznaissanxce) qiui sont ou qui est cette chose d’une sortede venue sur roche pour un temps donné, offert, enfin offertt à soi, pariétal et langagier, et qui soit cette chosex pour soi quyi tienne son allant de vie un temps allongé, je regarde le ciel au dessus de moi, je vois ce ciel bleu, de roche (bleuté) , et je comprends la chose ici qui vient à mes côtés dès lors, cette bete des prés est nacrée et ici se porte près de moi pour me rezgarder, je sais son nom, c’est ....... ..... Chose,
je connais sa façon de se bouger sur rocghe, d’(aller et venir, son nom erst Chevreuil, je connais son nom, son nom est Chevreuil ... de la Roche des Temps Impartis sur Roche, je vois la bete pres de moi, je la connais, je l’ai dejà croisé à de nombreuses reprises, je suis sûr de ça, je crois la connaîtte ilm me semble, ou du moins elle ressemble fort d’aoprès moi à une bete par moi déjà croisé en ces mêmes lieux pariétaux, l’animakllk à bois, à ramure, cette bete est celle que en vrai je connais et qui me connait, me connait elkle ? qui est elle ? que fait elle ? où va t ezklle si vite? où va t on si vite ? que fait on en entrant dans la roche ? son propre salut ? sa prière ? une joie d’etre ainsi inséré (est-ce) ? une cxhance pour soi ? la timballe ? que fait on en vrai en s’insérant en pareille roche des temps, que faisons -nous en agissant ainsi que nous faisons ? la cour ? aumone ? l’aumone ? obédience? que faison,s-nous ? amende honorable ?
nous sommes ensemble qui allonss en roche, homme-femme des temps impartis, nouys sommes perclus de toutes les ddouleurs du monde, nous sommes (nous-mêmes) tous les etre humain,s dee laterre et nous sommes pourvus ou perclus de tant et tant de choses douloureuses en nous =
toutes (un absolu) les douleurs du monde,
nous sommes Toutes et Tous perclus de Toutes les douleurs du monde, et ainsi étant nousallons en roche, aidé par en cela la bete vive en nous (est-ce la pensée ? ) et dans la roche (une fois dans la roche) nous nous libérons (ensemble) du joug, de la chose de soumission que nous portons, comme des betes de labour le joug, nous bnous délivrons et nous marcxhons sur roche ezntre deux mers ouvertes qui ici sobnt des mers (pour ainsi dire) de paroi de grotte (soit internes à pareille roche),
le soleil est là qui nous réchauffe en cette roche desx embruns, nous nous prélassons un temps (court) sur la pierre cxhaude, nouqs avo,ns à comprendre une multitude de choses et la chose dès lors est loin xd’etre gagnée car en vrai nous sommes loin du compte, nous en sommes très loin, extrèmemùent loin et du coup, nous aspirons à nous en rapprocher le plus possible, à nous rapprocher le plus possible de la vérité de cette roche, roche des prés, etc, car nous sommes friands de vérité
de bon aloi et de toutesautres vérités qui nous en apprendraioent des tonnes sur ici cette cxhose, d’un se’mblant de vie, offert sur roche, art de la ruse ou commeznt ? et pourqyuoi (dès lors) des insanités, des saletés ? parce que l’insanité en impose et impacte fort ? voilà laraison ? mais alorqs pourqsuoi sur roche ? parce que sur roche les mots-betes eh bien restent, s’impréègnent etc, il s’agit ici de pôrter atteinte à une sorte d’entité xde roche, il s’a git d’une atteinte portée à une sorte d’entité qUI (de fait) serait «touchée» et reculerait, ilsemblerait que nous ayons affaire à une sorte d’entitéc royale de grande prestance, chaude et altière, brûl:ante et majestueuse, qyui serait reine, qui serait roi de roche ou sinon dee roche de groote, ou bien dont le royaume serait cette groote, ou bien cette roche, bref : une sorte d’entité royale, cerf de céans (mégacerf) qui règne sans p)artage, sur nos
«destinées parioétales», je suisq l’homme des cavernes hurlant et vociféerant, sa gouverne animalière, son mal perforant, sa misère de bure, et là, en roche, creuse que tu creuseras matombe, ou comment ? tombeau pour une destinée qui serait étirée, allongée, agrandie, qui serait (deviendrait) l’Eternité des temps ou des temps impartis, une Somme )!, je vais en roche et comprtends , les chodses du temps liéesà pareille roche eté»ternelle, ou sinon, les cerne d(‘un trait (trait de fusain), je vais sur la roche du temps marquer mon tourment, mon tourment de bure, je suis un homme-femme-enfant des cavernes enfouuies et je chercbhe sans cesse à comp^rendre les choses du monde = des parois, des betes, des grottes, des esprits malins, du feu de roche, des dieuix divins ou non, des betes (en soi) qui sortent leur tete et filent fissa sur le devant de soi, je cherche à m’immiscer en roche à travers la chose, via le mal (perforant) qui perce, qui y va de son étant perforer laroche et offrir de fait cette ouverture de paroi tant attezndsue et espérée,
je vais, en cette roche des temps, à la recherche d’une sorte d’»entité majeure, forte figure, roi-reine des prés , qui puiiisse comprendre en vrai mon tourment, qui puisse entendre pour le coup mes plates excuses, etc, je vais sur roche ainsi et trouve là de quoi grandement satisfaire ma recherche, ou comment ? car je suis ainsi sur roche cet ettre de peu qui trace (au fusain) sa misère de pensée cxonfuse, je cherche à comme débroussailler les devants, cette sorte dejungle de roche, cet embrouillamini pariétal, je veux débroussailler la roche, le temps, et ainsi fait cerner, au mieux, les tena,nts et les aboutissants mais cela est loin d’etrte chose commode, loin de là, hje m’échine ! je suis l’homme des
cavernes du temps ,
qsui va en roche à larecherche d’une vérité, cette chose est une chose dure (durable) et s’inscrit xde la sorte sur paroi , cette cxhose est chose dure-durable et est inscrite sur paroi mais où ? nous solmmes iici deux qui cherchgons la chose, l’anilmal et moi, moi et l’animal, MON NOM , et cela est ainsi que la chose advient et se pose, sur roche, sur paroi du tempsn devant soi, sur cette roche des temps impartis, cette cxhose du temps est une chose dure c’est à dire qui dure, le temps dure et opffre dès lors une place à des tourments de type animaliers, le tempsest une pklace forte, je vais en cette p;lace et je m’(‘ionscris de fait dans la roche en gravant mon nom, ce nom dxonné, allouépar la bande et qui est en vrai le nom quyi mereprésente (ressemblance) et me porte en v ue, je vais sur roche armé de mon baton de bois brulé, je poerte un noçm qui est MON NOM, nbous sommes deux (ainsi) qui portons ce n,bopm : MON et NOM,
je vais ainsi, je vais en roche, j’entre, je m’inscris, je saigne de la bouche, je suis celui
celui-là qui va dans la roche pour y trouver cxhose , à dire son tourment ; je suis celyui qui ainsi va, en roche, dire son tourment, de type animal:ier, ce mal (perforant !) en soi, cette plaie qui saigne, pour dire =
pour laisserr pa sser le dire, de la pleia ei qui saigne, ainsi soi til, car cette ouverture, en soi (pa ssage) , va de pair avec, devant soi, l’ouverture de la paroi, la paroi est la porte devant soi, celle là qui s’ouvre à l’ouverture de la bouche (scansion) et elle est cette cxhose devant soi,
que je suis à voir, que je vois ici devant tout net, comme cette chose d’un début de vie à vivre sur roche, naissance à la roche, dureté qui va son train de roche, le mal est complet, la peine est pleine, le cxheval en moi renacle et cherche issue, je dois le laisser s’échapper et trouver sur roche (fusain) son tracé de vie vive, grossière, imposante, qui en jette, qui en fiche plein la vue à cet oeil de roche, à celui là qui mate dans leqs coins et ne nouys lacxhe pâsx d’une semelle, je suis le cxheval, je suis le bouquetin des temps, je suis le cerf, je suis l’homme des cavernes, cerf géant aux bois ramifiés, je suis la biche de céans, le roi majeur, je suis Tempête, cerf de céans, roi majeur de laroche dure, hje suis l’animal qui vit sur roche son tourment, pour moi pour mon salut, je suis cet animal de roche inclusq, qui caracole et parle pour moi
20/4/2021
il s’agit pourr moi de comprendre ici ce qui est qui donc se trame, ici quoi est ? quoi ici est ? etc, il s’agit ici, pour moi, de comprendre les enjeux, ce qui donc se trame et m’attend, je suis entré dans la roche du temps, jev me suis logé-lové en elle et je regazrde passer des betres de poids qui sont des mots-betes de poids , qui sont des injures, des choses criardes, des mots à forte teneur en termes de vitalité, d’impact, etc, soit des mots d’injure, des mots vifs etc, ces aurochs et ces bouquetins, ces rennes, ces bisons, etc, je vois ces betes à mes côtés et je sais ce qu’elles représentent, ce piour quoi elles sont là présentes ressemblantes, je le sais car je suis l’homme des cavbernes, je vais et je viens à
même la roche, je suis dans la roche comme chez moi ou pas loin car je connais les lieux parfaitement à présent, je suis cet homme qui ,
en roche, va déambulant à qui mieux miuex à la recherche d’une vérité qui serait celle dont il a besoin « pour sa gouverne » = un cap, une direction, un tracé, un chenal, un sentier, etc, qui , pour lui, soient cette chose d’un chemin à suivre mordicus, un chemin de vie pour un homme nu comme un nouveau-né, etc, j’avance ainsi en pareille roche à la recherche d’un sentier de vie qui serait le mien, qui serait celui qui me mènerait aux abord de bouche de la mort, qui serait, bouche, celle là qui connaitrait la vérité en toutes choses, car il en est ain si que bouche de la mort connaiot la vérité de toutes les choses existantes et au delà si tant est, il est une évidence ici à mes yeux , comme quoi Bouche de la Mort connait bien des choses en somme, c’est à dire tout, tout de tout, des choses de la vie et de lma mort, et
à moi à présent en roche, en cette paroi dec la grotte, de comprendre et de dénicher ce fameux pot aux roses de la vérité, de la vérité avec un grand v, car je suis entré, j’ai franchi le pas, je suis à l’intérieur de la roche, je suids logé à bonne enseigne et je me débats en son sein, je cours et je vole, j’entre en communion avec la roche, la roche aux embruns, je me plis en queatre en incantations, je vais et je viens parmi les biches et les chevreuils des prés, je suis l’homme de la roche dure, je volette, je monte et descend, je grave à l»’envi, je trace des traits «de vie» sur roche tendre et file à tout va parmi les betes dures, celles ci qui sont comme de bois, aurochs de compagnie, bisons-buffles de gros poids et masse, etc, ces mots-betes, ces injures vives tracées à meme la roche, incantations, injures, un tracé pour une recherche etc, car cela est que je recherche par les traiots cette chose d’une vérité de bon aloi, vérité qui pour moi serait La Vérité,
celle là à laqueklle j’aspire depuis longtemps à présent c’est à dire en vérité depuis le jour de ma naissance au monde, il semblerait (dès lors) que je sois cet homme des grottesqui, hommes des grottes et des avens, cherchât son ombre, son nombre, son homme, quoi donc qui fût pour lui la clé, la chose à trouver, le pot tant évoqué etc, il semblerait en effet que je sois celui ci qui cherchât et cherche encore un la musical d’entrée, une sorte de clé à une porte allant à telle porte en particulier mais où est la clé ? à quoi ressemble cette clé ? qui a la clé ? que faire pour la traouver ? je vais en roche à la recherche d’une clé» de base musiclae, une clé d’ouverture, clé en la, clé en qsuoi ? je vais en roche arm»é de mon baton traceur (pic de perçage) et cherche en cette roche de paroi ce qui pourrait me renseigner, me donner les données de base, etc, je ne suis pas au bout de mes recherches, je suis en train, je suis comme dans un train de furie ou de furia, je vais en cette roche du temps (ornementée) parmi les betes, à la recherche d’une vérité animzalière , vérité des profondeurs de pareille roche , c’est à dire vérité des profondeurs du temps, je vais et je guette, je suis en roche comme dans une nasse, un étui aussi, un entre-deux-mers etc, qui me voit chercher un sens, un sens de halage ou commeznt ? une direction dans la paroi, etc, je cherche le la en elle, je vais et je viens à la recherche d’une vérité qui soit celle dont j’aurai besoin pour cvomprendre au mieux les enjeux, de parteiile paroi, contenus en elle, je vais en roche armé de fait de mon pique-roche, de ma pique-paroi, etc, je perce, je troue cette roche et m’iummisce en elle et me déploie en elle comme oiseau de belle envergure et là (en telle paroi) je vais à la recherche de la vérié des roches, je recherche une chose de poids, je grave une chose de poids et en recherche une autre, je suis ici cet homme qui injurie, qui dit des insanités en guise de présents donnés à même la roche du temps et justement, ce temps imparti est ce présent donné, je vais en roche,
comme un forcené dans sa carrière etc et creuse icelle de mon pic ,- de -verbe, acéré, et vas-y ainsi que je creuse fort, injurie, hurle à la mort, etc, lui parle, incantations en roche du temps, en cette roche dure ici et tendre là, je suis un homme des temps anciens et j’entre en paroi comme dans une sorte de meule de foin et en paroi je guette-cherche
cette vérité de bon aloi, concernzant lma
musique des sphères, où est-elle ? ou plutôt : d’où sort-elle ? il semblerait qsue lma musique soit le temps, le temps la musique = des envolées, enrubannages, choses au vent etc, qui disent ce qui est, qui situent les choses, qui soient pour nous comme des réponses, pour nous auttres hommes et femmes des cavernes, il semblerazit que ce fût cela qyuui est ici en roche, cette chose d’une sorte de paroi votive, de paroi à prendre ainsi en tant qu’elle serait une paroi votive, etc, je suis l’homme des cavernes enjoué, je suiius cet homme à la recherche d’une vérité, une vérité vraie = de bonne renommée (de bonne fame), qui soit celle sur laquelle on puisse compter, un , deux, trois, etxc, et s’appuyer dessus sans crainte de chavirer, je vais en roche ainsi à la recherche d’une réponse à certzaines interrogations qui m’(accompagnent depuis longtemps, depuis le jour de ma naissancxe, et ces interrogations ne laissent pas de m’importuner, de me
gêner aux entournures, de me faire du mal, etc
, car ainsi je suis cet homme meurtri, ainsi je vais, à même la roche, à la recherche d’une vérité de poids qui (en vrai) le «fasse», qui puisse «le faire» à mes yeux, qui pesât de tout son poids de belle et bonne et rudement solide vérité de roche, je veuc cette chose, je gravite dans la roche, je vais et je viens en elle, je suis l’homme au parler vif (incantatoire, scandé) qui va en roche à la recherche d’une vérité, vérité de poidfs , qui fasse l’adffaire, qui soit celle qui puisse aller à nottre entendement, qui puisse m’aller comme une soeur des prés, colmme une allieé de la première heure, une vérité-chocqui puiisse lme donner du baume au coeur et soulager mes meurtrissures du visage etc, je suis cet homme des grottes et autres cxavernes qui va en roche à la recherche d’une sorte de trouée de type musicale, une béance vivace ou commen t dire cette chose d’une sorte d-’échancrure à vif à m^eme la roche, dans le bleu du ciel de la roche,
en cette chose d’une sorte de paroi
donnée par la bande, je vais en pareille roche , muni de mon altimètre buccal, à larecherche xd’une chose (en pazrticulier) qui erst cette chose d’une sorte de vérité, vérité de poids (aurochs ? injure
? ) qui puisse «le faire» à mes yeux, qui puiise aller et me convenir, je suis en roche ainsi cet homme de poids plume, ou comment, qui va, voletant, oiseau des parois, oiseau-homme du vent de laroche, des allers-retours musicaux dans le temps rocheux ici des sphères, hommùe-vent, homme-enfant joueur, homme des avens, des grottes cachées, des grottes à) parois ornementées, je grave mon nom sur la roche, MON NOM, et vais et viens, va et vient en pareil lieu de certitude, va et vient en cette roche dure du temps musical pariétal incertain, cette roche aux embruns, roche de la vérité des sphères etc, je vais et je viens en elle , je me promène en elle, entre ces deux bras, entre ces deux bras de mer, bras qui m’acceuille ainsi en son sein musical et me berce ainsi, me donne de quoi avancer volettant, me donne le tournis, me tourneboule, m’inocule une sorte de drogue de vie quyi me donne le tournis et me fait monter en roche comme voletant comme oiseau de roche ou d’aven, je suis dans le vent de laroche , je suis en elle cette chose d’une sorte d’homme pris à part, pris à mal, prisonnier, envahi et priis et dès lors je me mets à dire -graver, des insanitéds c’est à dire des choses de fort poids, des choses qui pèsent dans la balance = qui marquent, qui en jettent, qui influent, qui marquent son homme, sa roche, etc, il s’agit de mots dits «gros» en cela qyuils sont «gras», quyils sont grossiers, quils sont des mots de peu mais qiu impactent à mort etc, ces mots sont mots-betes de première bourre, mots des prés et des champs, des bois et sous bois, chevreuils, bouquetins, rnnes, chevaux, mammouths, bisons, buffles, et aurochs, aurocbhs, aurochs, etc, mots de la roche ornementée, mots-betes de naissance etc, qui sont ceux là qui furent prononcé à ma naissance et qu’aujourdhui encore je retiens-retrouve en moi (=en roche) dans le vent (qui sait ?) d’un entre-deux-mers parioétal, je vais et viens en cette roche, homme des temps anciens, et me balade impunément ici en cette chose d’un entre-deux-mers musical et pariétal, je suyis cet homme des cavernes qui écoute pour le coup le chant des sphères, je suis ou serais cet homme des cavernes écoutant le chant des sphères, des sphères aux embruns, je vais en pareille roche à la recherche d’une vérité dite «de belle envergure», tracé de roche dure, majesté des lieux, vérités de bon aloi à écouter, je suis sur roche celle et celui, celui et celle, qui «ensemble» vont à la recherche d’une (sorte de) vérité de base, support, souteien, étai, soubassement, sur quoi viendrait s’ériger en vrai «le reste du monde», il est ainsi pour moi cette chose en vue qui serait cette chose (entre deux mers) qui , peut-être, serait l’endroit d’où sortirait le chant des sp^hères, ce chant assourdi, lancinant, langooureux, rtrompeur, qui serait (qui sait ?)
le temps déroulé, qui serait comme, qui serait exactement, qui serait le Temps, etcx, et qui nous donnerait une réponse à une question que
nous nous posons, et ce chant d’où sortirait il ? il sortirait de cet endroit ici de folie ! il sortirait de cet endroit-ci , qui serait cet endroit dit «de folie» ! , cet endroit est celui ci :
ce trou de roche, cette alcove dans le roc, cette voute ici, ce chenal-passage, cette entrée, ce conduit etc et à nous (à qui ?) de trouver icelui à même la roche des temps, à nous de trouver icelle (alcôve) en son sein de roche, je vais en la paroi à la recherche (assidument) d’une sorte de vérité, vérité de poids qui soit celle là qui puisse me donner du coeur à l’ouvrage, un entrain certain, une joie, etc, car je suis cet homme né pour ça : fureter laroche et dénicher le pot aux roses, etcx, car je sezrais cet homme, cet homme des roches à la recherche d’une vérité qui fût celle quyi eût pu me convenir, me convaincre et me convenir, une vérité de type musique, chant choral des embruns de bord de mer, chant unique, chant fleuri, chant sortant de terre
comme une fleur, chant de roche inouie et vif, qiiui soit le chant du temps qui va en vrai son allant dans le déroulement de son envergure, chant qui soit pour moi le reflet parfait de la chose tue en d’autres endroits, chant qui fût celui d’un contingent de buffles de roche, d’un troupeau de chevreuils des prés, de betes de roche dure, etc, je vois cette chose devant moi, je m’avance, je suis celui là qui vais en cette roche à larecherche d’une clé qyui eût pu ouvrir une porte (ou sorte de porte) de Vérité, je marche en roche parmi les betes représentées, ce sont des mots qui disent la chose, la Chose folle, cette véritév brute qui est vérité d’injure ! chose dures, choses folles, injures, aurochs ! et moi d’aller parmi les betes dessinées (ou gravées), de m’y complaire (de m’y plaire) et de naviguer entre elles pour ainsi dire, parmi elles qui sont (placides) à brouter de l’herbe, à déambuler nonchalamment ou bien au contraire, en colère, à charger vers moi, etc, je fais celui qui n’est pas là, or il n’en est rien : je voleettte, je suis là, bel et bien, et me méfie beaucoup de ces betes fauves-fortes, mots d’injure salaces, appuyées, durs, etc, je suis sur mes gardes, je vais à l’écart un peu et me place de telle sorte que pareilles betes ne puyissent pas me toucher le flanc et me blesser d’un coup de sabot mal placé, je suis un homme des cavernes, je vais en roche armé de ma gouverne animalière, il s’agit d’un pic acéré qwui sort de ma bouche comme un flux tendu, il s’agit d’une torche (?),
ou d’une pique, une pique acérée
qui est tranchante comme un couperet, pique de verbe, pique sortie de moi par cette plaie qu’elle a tra&acé depuis ici l’intériuer de mon organisme, et voilà comment j’en suis arrivé à saigner (pisser le sang) à même la paroi du monde ou comment dire ? cette cghose devant moi, ce présent de roche, ces mots-betes enrubannés, ces mots d’inhjures proférés, eh bien tout cela forme ce pis-aller pariétal de roche, pis-aller forcé, pisseux, criard, qui est un mot sale, un mot jeté à la face du monde royal, devant moi qui perce roche de mon pic de roche, mot sale incantatoire comment
dire , comment dire cette chose d’une sorte de scansion projeté comme un jet de bave ! cvomment dire cette cxhoses ici ? je vais en roche et soulève le lièvre (essaie) car je suis un homme-chaman,
je vais en cette roche à la recgherche d’une (sorte de) vérité des lieux, de vérité qui puisse m’allouer cette chose, d’une sorte de vie en moi qui puiiusse me comme motoriser, ou m’autoriser ? car je veux, je veux faire, aller, bondir, jouir, jouer, crier ma gouverne, franchir les allées, recueillir des vérités de chgoix à même la roche, etc, je suis en roche comme chez moi : dans une demeure de choix, une grotte de belle fame, douce grotte comme abri, etc, qui puisse m’offrir un espace mental pour des incantations (de folie) de base, il s’agi-t ici à mes yeux de fairae ainsi que je sois cet homme qui sait, comprends et jouit de cette vérité endfin affichée, je suis
cet homme des prés, qui sait, qui voit, qui veut, qui comprend, qui fouille, déniche , attrappe, sonde, course, volette, monte, saute, crache, pisse, tombe et se relève etc, je suis cet homme des roches et rocherrrrs, cet homme du roc wagram de roche dure, de laroche dure du temps, je suis cet homme qui (en roche) comprend» la musique, à savoir ce chant guttural sorti d’on ne sait où, ce chant de larocxhe perlée, ce chant dur qui vient à mes oreilles et veut me bercer et m’ensuquer comme un nouveau né, je suis cvelui là qui comprtend» la roche dite «
musicale» = le Temps, ce temps que nous avons à vivre = ce présent (de vie) continu, qui est nottre cprésent à Lui alloué par nous, à Lui ou à Elle car qui sait quoi, de quoi il en retourne, quui ? ... ? je vais en roche et écoute pareille musique, il s’agit d’une sorte de miisique de roche percée, il s’ahgit ici d’une sorte de «bele» musique de roche percée comme un tympan qui le serait (percé) ou comment ? nous disons : musique, mais s’agit il de cela en vérité ? nous disons : musique, mais est ce cela dont il s’agit ici ? n’est-ce pas plutôt un reten,tissemen,t sourd, un écho des limbes ? une sorte de mélopée des embruns na crés ? le chant du vent dans les rochers ? le glissement venteux d’un souffle divin ? une respiration ? un souffle animé ? de quoi est-il question ?
et me voilà qui cherche encore parmi les rocheers une entrée où m’immiscer comme un chercheur (ou dénicheur) de nid de paroi, je vais en cette roche
à la recherche d’une sorte de
nid de la roche où trouver les oeufs qui seront ceux qui contiendront la bete aimée, ou laquelle ? je vais en roche armé de mon baton de recherche assidue qui en vrai est ce baton de roche dure, cette pique vive , qui est pique vive du temps imparti, un ruban lancé, un présent donné, un mot fort comme une saleté proférée, je suis homme-femme-enfant des cavernes et je dis ma vérité à moi et q<ui est celle que je porte en moi comme un couperet, hje suis cet homme des roches dures d’un temps imparti à une vie entière, une, qui soit cette vie pour le coup donnée pour une recherche de vérité à travers la roche : je suiis passé, je suis entré en elle, je suis passé à travers elle, j’ai compris, je siuis allé en elle a insi, par l’entremise de mon pic de verbe animalier qui est fait de buffles de bon poids et autres aurochs de prairies, pic de verbe animalier qui perce les tympa ns, la roche,
qui perce la roche, qui perce comme un forcené la roche du temps, qui perce que tu perceras la roche des temps et essaie dès lors de franchir, d’aller, de passer, ainsi, pareille roche du temps alloué, pareille roche d’un temps alloué à une vie en son entier qyui serait la mienne pour l’éternité, qui serait cet temps-vie de roche à orner pour ma (sa ?) propre gouvern e , etc, je vais en roche, je suis en elle, j’orne, j’ornemente, je file en elle parmi les mots-betes de la roche et me promène au loin à la recherche d’une vérité qyi serait celle à dénicher comme peut-être on le ferait d’un oisillon niché, je vais en cette rocghe du temps , me loge en elle, je suis dedans, je vais en pareille roche comme un forcené forçant la mesure et crevant l(abcès, je suis un homme-femme des cavernes, qui est celui-là (celle) qui, qyui va vers, là bas, loin, ce point, cette lueur, cette musique-lumière éternelle (?) des embruns, je vois au loin cette lumière = temps =
musique = lumière = vie à vivre pour soi, en soi, vers elle, etc, je vois cette chose là qui brille et m’illumine pasdsdablement, je vois d’ici cette chose d’une sorte de vive luminzesnce, qui est cette lu:minesvcence des embruns de bord de mer, je suis celui là qui voit cette chose au loin, ce rendu, cette vie, cette lumière, cette chose nacrée aux reflets bleutés, je vois cette chosex au loin et ne la quitte plus des yeux, je ma rche vers el;:e, où est elle en v érité ? est elle atteignabkle ou bien hors d’atteinte ? comment marchezr ? à pas de géant, grandes enjambées ? qui sait cette chose ? où suis je en cette roche ? dans le temps enrubanné ?qui xait cette chose et me dira la vérité qui compte = quyi fait compte ? qui ? je suis homme-femme-enfant desz ca vernes et vais ainsi nonchalamment vezrs une lumière dans la prairie, je m’avance ert vais ainsi les yeux rivés sur pareille luminosité bleutée-nacrée, je suis ainsi le coeur vaillant à la recherche de la v érité, de la vérité vraie des choses du monde, armé demon pic verbal (de folie ? de furie ?) qui est ce pic dit «d’entrée en matière», je vais en pareille roche armé de la sorte et fgonce fissa, vais en elle à fond la cvaisse ou b ien nonchalamment (selon les instants) et ainsi faisant me rapproche d’elle (icelle lumière) à pas sûrs, vers elle qyi me tend les bras, qui tend des bras, qui a deux bras, qui me tend deux bras, qui ouvre ses bras, deux bras, qui ouvre devant moi le temps ses xdeux bras de ... dame la mort ? ou comment ? de dame de la mort des cghoses ? dame ou sieur ? mon sieur ? qui ? qui ?
qui ? qui ? qui est là ? qui s’approche ? qui va là ? qui va là ? qui est là ? qui ? qui ? qui ? qui va là ? qui vient à marencontre les deux bras ouverts ? oh que je voudrais savoir cette chose , en tant que je suis cet homme, ce barbu chevelu de la roche, ma igre comme un clou, etc, qui marche à son pas vers cette sorte de musique
de la paroi, qui va ainsi nu ou tout comme, décharné, vivant comme personne, etc, je vais en roche et veux savoir le pot aux roses : qui est qui ? qui fait quoi ? qui peut dire ? où sont les mots ? quels mots peuvent dire ? cvomment dire ? à qui parler ? à qui s’adresser ? doit-on parler ? comment faire pour ne pas parler c’est à dire comment faire pour ne pas déjà à soi même se parler , c’est à dire comment faire pour ne pas etre comme ... encombré ? qui pourrait m’aider et me rapp^rocher de la bete ? qui a compris cette chose d’un parler de trop, qui prend ou prendrait une place mo nstre et ne dit rien (en vérité) quyi vaille «hors les murs» ? qui ? qui peut ? qui saurait ? qui est là qui puisse ? en paroi ? en roche ? en roche du temps ? en cette roche du temps alloué ? qsui pourrzait ainsi me donner, de fait, de quoi sartisfaire ma «gouverne» = mon gouvernail interne, mon sens de la chose vraie, etc, qui ? je m’avance en cettye sorte de roche du temps et je vais loin en elle, je suis un homme aurign,acien à ma façon , qui va et qui vient (va-et-vient)en pareille roche du temps, je regarde les alentours, je vais en cette roche à la recherche d’une chose «dure» = de poids, qui soit «fiable» et non «friable», qui puiise convenir à «ma gouverne» animùalière, qiu soit pour moi une sorte de baromètre ou comment ? car je suis l’etre de la roche des temps impartis, alloués, donnés par la bande (murs de la paroi ici d’un entre
-deux-mers), je vais en pareille roche ainsi : debout, dressé, chevelu, nu,(quasi) et je marche décidé ou d’un pas décidé entre deux bras de mer, je vbais vers ce lointain nacré, je veux aller vers pareil lointain, je veux aller vers ce nacré lointain de pareille roche, connaitre cette vérité de bon aloi qui serait ce la qui compte, ce la musical des sphères, des parois du monde etc, je suis un homme de lapréhistoire et je vais en (sur) roche comme emporté par un élan de vie qui est celui en vrai qui serait ou me serait comme insufflé pa r en moi des b etes de prairie, buffkles de vie donnée,; qui vont en moi comme soufflant à qui mieux mieux leur souffle épique, cette chose en moi qyui sort de moi et qui porte un nom et ce nom est un verbe de vie allant ainsi vers une destinée rocheuse allouée, vers pâreille paroi de rocghe d’un devant de soi c’est à dire vers ça, ce temps de vie à vivre devant soi, cet espace-temps pariétal (musical) qsui est cvelui dans klequel s’immiuscer ou pouvoir s'immiscer par la bande = armé (en propre) de son couperet temporel, etc, je suis l’homme de la pré-histoire, de cette sorte d'abvancée dans le temps rocheux vers une lumiè!re nacrée bleutée, vers pareille lumière du temps, vers cet endroit de fond de roche dure, etc, je suiis comme un animal mais armé d’un couperet verbal sorti cde moi comme une lame qui, acéré, aurait tranché la chair de l’intérieurt pour aller à se ficher sur roche du tempsq, aller ainsi et (du coup) franchir le pas de la roche dure, fcranchir et s’affranchir ainsi, et filer ainsi me donnant l’élan , je vais a insi comme muni et m’(avance, je suis homme de la préhistoire, je suis cet homme ici des champs rocheux, des grottes cachées, des amitiés animalièerres, etc, je man,ge, boit , h$jouit, je suis armé d’un pic verbal mercdeux, comment dire ? inhjures ! injures ! injures à qui de droit ! injures comme peut-être des présents de soi déposés (à bas) sur roche (offrandes) comme animalières ! injures de forme et de po ids qui pèswent ! injures sur le devant ! injures notifiées sur roche dx’avenant ! injures offertes à l’assemblée et pour l’assermblée ! je dis et disant je prie, et priant je tue ! je dis la chgose qui tue, qui veut cette mort de la mort ! je vais en roche, je me plie en elle, puis je me redresse, je suis debout à présent étiré, redressé comlme un homme des prés, je suis en cettte roche (la roche du temps) et je regartde devant moi cette chose, d’une sorte de luminosité des embruns, je vois «au loin» cettye chose d’une sorte de belle luminosité de la roche dure, au loin = horizon, cette chose au loin est une roche , une roche percée, un trou dans la roche, une chose belle ment nacrée et bleutée comme paroi de coque, de coquille ou de coquillage, une chose lisse, une chose en reflet, doù sort la muisique des sphères, etc, je m’avance ainsi vers ezlle et essaie de voir ainsi en ezlle ce qu il en est de cette musqique dite des sphères ou des profondeursq, je m’avance, j’(essaie d’aller le plkus possible ‘(vite) vers elle mais voilà que la chose n’est pas aisée car à mesure que je m’avancve vers elle, celle-ci recule diraiit on , et du coup je n’y arrive pas, i=mpossible de m’approchezr vraiment et de découvrir le pot aux roses , comment fqaire dès lors ? comment m’y prendre ? j’ignore cela et c’est bien dommage, car la vbérité (on le sait ? ) est la bas, qui nous
rega rde, qui nous tend les bras, qui nous appelle, qui nous attire à elle, qui nous intrigue, etc, je vois cette chose devant moi, je vois cette lumière des embruns, ce trou musicakl, cette bouche ouverte, ce coquillage nacré, ce lisse de paroi, ce reflet bleuté comme un ciel, cette échancrure blanchie, ce trou de verbe etc, cette injure dans un ciel de traine ? quoi d’autre ? je vias en roche ain,si muni d’un pic de verbe animalier (acéré) et là , je trace, je file, cours, va vite, vers pareille trouée dansq le temps mais tintin il m’eswt impossible de comme raccourcir le temps et les distances, de sorte que ce point de mire , même en allant vite, m’échappe pareillement qui va à se loger plus loin toujours à la mesure de mon train de course, de sorte qu ilk ne sert à rien d’aller vite, de courir vers pareil point de mire , puisdque de fait celui ci s’en éloigne à mesure, prend mesure (pour ainsi dire) de mon train et de mon allure , pour aller plus loin encore reculer, se loger, et m’échapper encore et toujhours plus , é»chapper à prise qui sezrait la mienne, etc,
je vois cette xchose a in si qui recule et échappe, qui est chose bleue, blanche, bnacrée, irisée , ou mordorée etc, lointaine, lisse il xsemblerait, je vois cette chose au loin, ce reflet de roche, ce trou ? cette trouée ? ce cqoquyillage nacré ? quoi donc ? qui dira ? qui peut s’approchezr et comment quand l’horizon toujours recule ? qsui peut savoir et saura nous dire ? qsui est là ? qui va là ? qsui sait ? squi connait la vérité des limbes ? je dessinne à main levée desw betes et ces betes vbont à se loger sur roche comme injures proférées qyui «clament «, qui sont betes de poids lourd, qyui sont buffles, bisons, phacochères, chevaux de labours, de roche, des prés, de course, etc, je dessine à main levée des betes-mots, injures de poids, qui vont en vrai vers pareille bouche ouverte, vers bouche de vérité, verts bouche de la mort vive, vers celle ci que ces mots cherchent à éconduire et repousserr comme des forcenés, je dessin,ne sous emprise animalière ces mots-betes de fort poidfs qui en imposent et disent (durablement) cette vérité de bon aloi à laquelle je donne le la , cettye chose d’un la d’(avancée
, je vais vers la roche du temps imparti, je suis un homme de peu, je suis un homme des prairies logées en roche, en roche comme dans un sas de vérité, je vais en cette sorte de paroi du temps armé de mon pic de vezrbe acéré et je hhjoue de ce pic de roche afin x’ezntrter , de pénétrer en pareille roche afin de savoir et comprendre, trouver une chose de poids en termes de connaissance, car je suis l’homme des parois chercheur,
qui cherche (vif) une vérité forte, qui dise ce qui est en vérité, ce qui existe, de la vie et de la mort, et ne nous trompe en rien mais tout au contraire, sache dire, sans faux fuyants, sans rouerie, sans ruse, ce qyui est cde cette affaire de vie à vivre terrestres, etc, je vais en roche à la recherche d’une vérité», celle là même qsui repousse les échéances, celle là qui est peut-être ce ruban xde vie virevoltant et formant figures (art) dans le vent de cet entre-deux-mers dfans lesquel ensemble nous nous fazufilons, je suis hommùe qui se faufile entre deux parois de bord de mer, je marche ainsi parmi des coquillages, je suis homme duu roi, je vais et
je viens sur la roche, je suis préhistoriquement flatté d’etrte ainsi adoubé par la roche, par pareille roche, aux embruns bleutés, ma chance = ma veine = ma chance de vie pleine = ma veine e^mplie de vie, etc, je m’avance en cette roche (ouverte) aux embruns et cela parmi ces betesw de
prairies que sont les cerfs , les chevreuils, kles biches, je m’avnce à) pas comptyész, je suis squr roche des prés commùe un homme de la vie des roches, je vais sur roche comme hommùe de vie de la roche du pré
, comme naissant à pareilkle vie, je vais ainsi sur pareille roche et me tient a insi, droit comme un i, dsressé , redressé, et je marche ainsi vezrs ce point de destinée na crée qui est ce point de mire , ce reflet bleutév sur la roche, au loin, en vue,ou bien en vue, ce point de reflection, etc, qui m’attire fort
et vers la musique natale qui est celle là même que nousq percevons dès lors que nous entronsen pareille roche, ces percussions, cette douce mélopée, ce chant guttural de la roche, ce chant sorti de nulle part , ou bien d’où au juste ? car nous ne savons pas le situer exa ctement et comme nous aimerions savoir ! nous voulons savoir ! nous ! nous voulons savoir doù il nait ! nous, nous voulons ! c’est nous, en tant que nous sommes plusieurs à jouer, notre club ou clan, nn otre confrérie ! nous !bnousq sommes ainsi tout un clan qui veut savoir, qui jouopns ensemble à chercher une vérité de roche dans la rochge ! hommes et femmes des cavernes ici ! qui cherchon,s de fait une véritéc en cette roche cdes prés, des prairies de la paroi du tempsq, nous = je /+ je, cherchgons à comprendre cette chose d’une sorte de vérité qui serait incxluse (contenue) dans le temps d’une vie (ici rocheuse) à vivre , or il n’est pas dit, que, pareille vérité de roche (injures), existât, car la véerité nous échappe fort qui file devant nous comme un ruban lâché dans le veznt, ce ruban entortillé comme une sorte de musique des apprets, il s’agit dès lors pour moi (
nous) de comprtendre qui est qui et qui fait quyoi, et de nous situer ainsi en cette chose, d’un e sorte de
«sa s de vie» (la roche)
où nous cachezr pour nous protéger et rester en vie, nous sommes ainsi tout un groupe qui alloons en pareille rocghe du temps jouer, cherc hezr une vérité de type nichée à dénicher, et ainsi faisant bnous gravissons (ou tout comme) les paliers et nous en avançons dans l’ordre non pas du mérite mais de la vérité des choses à comp^rtendre, nous nous avançons ensemble, nous sommes qui jhouons ensemble à chgerchezr le pot aux roses, nous sommes plusieures qui cherchons ensemble en c ette roche du temps, njous courons comme des enfa nts agités qui cherchent fortement, nous sommes dans une paroi logés, nous regardonqsautour de nous, nbous regardon,s ce qui est autour de nous, nous sommes ceux et celles qui cherchgons (hommes et femmes des ca vzernes) une vérité allouée à la roche, vérité de bonne renommùeé qui fût celle que nous recher chons, qui fût celle là qyui puisse, qui fût ette vérité qui puisse nous donner le la (ce la) musical du monde de la préhisqtoire, nous cherchons asssidument cette chose, nouis ne voulons pas lacher le morceau, nouis tenon,s à cette chose mùordicus car nous jlouons en roche à comme cher cher un e soerte de vérité vraie qui put convenir et nous p;laire et nous donner de quoi ou sur quoi nous tenir, tenir debout, ne pas flancher, tenir droit sur rocxhe et marcher ou aller durablement afin de tenir, afin d’aller vers (ici) cette
«lumioè!re aux embruns»,
vers pâreille lumière d’éternité, je suis l’hommes des ca vernes armé qui va vers pareille lumière bmleutée vers la vérité, je veux connaittre c eztte vérité et c’eswt ainsi que j’ai décidé, de fait, de m’approcher d’elle, de pareille luminosité de roche comme sortant d’une sorte d’échancrure en elle (trou borgne ?) qui est (serait) b éan,ce, trou des trous, trou de roche qui serait un trou d’entrée de roche, ou quyoi dx’autre ? je cherche (assidument) cce qu’il en est et (a insi) je vais m’approchant, je tourne autour, je vais comme virevoltant pres de cette béance da,ns le temps mùais où ? où donc est pareille béance da ns le temps ? qui saura dire et me dire où ddo,nc eswt situé , vgéographiqsuement parlant, pareille béancce dans le temps ? squi pour me rensezign,er ? car, homme
des cavernes étant, je veux connaitre cvette vérité, d»’une roche qui serait percée «dans le temps» , mais où ? où et quand ? qui cde quoi ? pôur quoi faire ? pour qui et quan,d ? je m’azpp^roche de la béance maids ... la beéa,nce recule ! je m’approche de cette b»éance dans le temps mais comment l’atteindre , et ce fa isant je la repousse ! je repousse pareille béance en m’(avançant d’eelle via ces mots de bure (de buffe) que je projette, que je profère comme autant d’insuyltes (genre : «va donc la mort te faire foutree !») sur pâroi : mots-betes s’il en est ,, qui sont en vrai commùe autant de tracés animùaliers censés repôusser l’échéance de la mort à tout jamais,; je dessinne sur paroi des cerfs et autres bisons, je dessdine à) main lezvée et en lévitation des betes de poids qui en jettent un max et font reculer (g^énée ) la mort à l’oeuvre ! je crache ainsi toute ma colère sur roche (figures imposantes animalières) et ce faisa nt essaie d’effrayer Bouche de la mort, ou Bouche de la vérité, car il semblerait peut-être que les deux soit soeurs, soeurs jumelles, ou commen,t ? je
pose ainsi mon ppic sur roche et grave sous emprise, les mots que je connais sont des phonèmes, et des mots-betes, mots-betes a ccoupl:és à des phonèmes gutturaux, je dessine sur laroche , betes-mots de belle lignée, de fort poids pesant, qui poussent en moi et sortent par mon trou de bouche, aujourdhui cicatrisé (depuis longtemps à présent), et ce faisa nt je tente de pousser la mort ailleurs, ou de larepousser assidument, de pousser ou repoussr ses ardeurs car pour moi, homme des cavernes,; il est inconcebvable de penser à cette cxhose (la mort) m’arrivant ou se logea&nt sur moi pour comme m’éteindre, m’etoufdfer et m’enterrer, hors de question ! car je veux encore, homme des cavernes, poursyuivre sur cette sorte d'a va
ncée de roche, je ne vbeux en aucune manière passer à trépas et m’»é&teindre en paroi mais tout le ccontraire :
je souhaite fortement poursuivre sur ma lancée et tracer des figures animalières et a utre dessin,s pariétaux sur la roche du temps, je veux rester ainsi viv ant sur roche et tenir le coup, droit, dressé, avançant à qui mieux mieux entre deux bras de mer, et aller ainsi fissa vers une destinée de type nacrée ou bleutée ou lkes cdeux, car là est l;a vérrité, là se loge cette vérité de la roche, là est cette vérité de roche dure, elle est lo gée là, ezlle est celle là qui est la notre en cela que nous l’espérons, que bnous aspiron,s à la connaitre dans la profondeur, que nousq aspirons à mieux la cerner et la comp^rendre en ses =moindres recoins : nous sommes assidus et férus, nous jhouons le jeu avec bea ucpuop de sérieux, nous aswpirons à savoir plus, le plus possible, en tant quye n ous sommes qui jouons à l’homme et à la femme des cavernes tombés en roche et de fait se relevanht pour (du coup) tracer, sous une emprise animalière, qui des aurochs, qui xdes buffles,
nous cherchons des solutions à nos probvlèmes et nous avons encore bon espoir d’y remédier un de ces jours p^rochains et pazs trop tard car pour nous il y a comme un,e sorte cde forme x’urgence à comprendre les ressorts qui sontb les meneurs, les tenants du monde, qui est qui et qui fait quoi ? ce genre de chosesc! car nous autrezc(hommes et femmes des cavernes) nous voulons ! quoi voulons nous ? que voulons nous ? nous voulons savoir le fin mot, nouys voulons connaitre le fin mot ! nbous voulons sa voir quel est ce fin mot dont on parle ! nous voulons savoir ce qu’il en serait au juste de pareil fin mot de la roche du temps, quel est il ? quel est ce fin mot de la roche ? quoi est il ? qu’est-il ? quel est le fin mot de la roche du temps , ou : quel sera (un jour) ce fin mot dxe la roche du Temps ? nous ne savons pasw, et voilà en vrai ce que nous cherchons (entte auttre) à savoir ce mot, quel est il , et pour qui ; nous cherchon,s ensemble (jeu) à comprtendre et à dénicher ! nous cherchons dansq le jeu ensembvle à comprendre et à débnicher les choses du monde, nous sommes ensemble (un jeu) pour ainsi comprtendre cette chose cx’une sorte de monde, autour de nous (pariétal en diable), qui serait le monde percé, cemonde de la perc e dure et / ou durable = développée = déroulée = le temps, et dè!s lors que nous sommes ensemble à hjouer alors nous comprebnons que le temps -rub an est du verbe alloué, musical, quyi compte sur ciel et nous donne ce recours (encore) à (peut-être) pouvoir aller sur roche, à pouvoir poursuivre,
nous jouons ce jeu de roche, lévitation, emprise, etat second, envahissement, occupation, mainmise sur roche, et creuso,ns la roche, a rmé de notre pic à (donc) percer icelle, nous entrons dans cette roche comme dans un ciel de traine, nous nous insérons en pareil:le roche «prairiale» et allons gambader , parmi les biches et autres cervidés, nous sommes associés ici dans un je (jeu) de roche allouée, nous nous associons et formo,ns ce clan dit «de la roche du temps» que nous formons depuis longtemps, à présent , nbous gravitons, nous sommes toute une tribu et nous pârlons de fait un même langage pa riétal qui est celui qui nous voit dessiner des aurochs ou des chevaux sur la paroi, nous pârlons ce langage (injurieux) là , qui nous fait former des sortes de figures eanimaliè!res le plus souvent mais pas seulement abbnimalières, il y a sur roche pour nous (hommes et femmes de la préhistoire) tout un tas de choses à vouloir représenter pour notre gouver ne, comme par exemple des mùains néfgatives, ou deqs mains positives :scansion,; martèlement, tapage, mainsq sur roches pôur une sorte de virée dan,s la nuit ici d’un savoir ancezswtral etc, je suis cet homme de la roche posant main sur roche, sur roche de n uit, à la lumière de la torche, dessinant ainsi des ezmpreintes, martelant cette donnée rupestre incantatoire, etc, je suis homme qui martèle, qui pousse à dire, qui cherche (vif) à crever l’outtre,(la paroi) à pic réeitérées, je cherche (ainsi) cette chose car la vérité est mon dada ou mon cheval de troie ou comment ? mon cheval de roche ? j’(aime ! j’aime les chevaux de roche ! je suis ai=man,t de ces chevaux bruts de roche des parois ! je suiisq celui qui va aima,nt, ces betes de grotte, ces chevaux (myriades) par pâquets, je suis cet homme qui aime les chevaux de la roche du temps et l’insc rit, a insi qu’il le dit, sur pareille paroi à (de fait) ornementer pour sa gourvezrne (en propre) et à cvonsolider par des
appositionbs de mains, je rezgarde la pâroi du monde et tente cette approche par la bande ici du dessin, de la chose gravée, creusée, je tente de comp^rezndre aik nsi, les raisons qui en vrai présideraient à une vie la,ncée (furie) dans une sorte d'arène prairiale, pariétale, avbec début (naissance
) et fiin du jeu (mort) comme dansd une Histoire, or non, je n(arrive pas à comprendre, à cer ner les choses liées, à dé nouer les fils de vérité, comment s’y pren,dre ? je voudrais savoir, j(‘aimezraiçs, je suiqs homme des cavernes cherchant un savoir qui est (serait) à dénicher ici , en roche du tempsq, un savoir déployé comme un ruban (sorte de ruban) lâché dans le v ent, etc, que faire ? dessiner l’aurochjs ? le cheval ? mon ami le cheval ! le bison ? le buffle ? betes-injures comme pas deux, effrayantes de par leur puissance ! et, a i nsi, faisant reculer (effrayé, intimidé ?) l’envahisseur ? le meneur de roche ? cette sorte d'entité buccale ? ce vecteur ? cet insecte ? cette chose de la mort à l’ oeuvre, soucieuse,; et qui est en guet, qui mire, qui mate, etc , larepousser «comme une merde « ? e-tc, nousz cherchons ensemble, à travers le jeu de la roche, et en tant que nous serions des
hommes et des femmes de la préhidstoire, le pot aux roses, nous cherchons ce pôt aux roses des temps incertains, nbous voul;ons comp^rendre et noter les choses sur roche (§gravures ou dessins) afin de laisser trace d’un pareil savgoir ou de pazreilles découvertes, nous sommes ainsi qui recherchons des chosescsur roche, en roche, en sa profondeur pariétale, xdes chodses comme vérités de bonne renommùée, de bon aloi etc, qui puissent nous rendre savants et surtout, nous donner des raisons d’y croire, c’est à dire de cxroire en cette chose d’une sorte de continuation de vie sur terre-mere , sur pareille terre, sur sol de roche dure (temps) et pour longtempsq, nous(je + je + je + nje , etc) allonbs à la rezcherche d’une vérité, de «roche des temps» ;: nous posons des mots sur la roche, ces mots sont des mots-betes (effigies) qui sont des sortes d’in jures gro ssiè§res, des grossioèretés de toute première bourre, etc, jetées -crachées sur la paroi, dessinées tout autant au charbon de bois, betes de roche massives, buffles -injures, bisons-injhures, aurochs-injuresw etc, capables (étant cen,sées) de repousser, ou pouvoir repousser, etc, car je suis là, homme, je suis là , feemme, je suis là holmme-femme, pour cela qui est
que je suis en quête d’une vérité, d'une vérité vraie con certna nt la mort ! je veux sa voir ! l’homme des embruns cherche à savoir ! qwui est là ? qyui va là ? l’homme de la préhistoire est un homme qui connait :
des choses fortes,
des choses premières, qui connait des choses cde grande importyance, il sait beaucoup de cghoses concernant la vie en rochge , et à l’intérieur de cceele-ci, cette chose d’une bé»ance (bouche ouverte : bailleme,nt ?) qui est cette béance dite « dxe la mort à l oeuvre», et ainsi, cxet homme savant, est l’ohomme que nous espérons (toutes et tous) cxroiser un jour, cet hommeest un savant de la première heure, il est muni en lui d’un bec de pic, sorte de queue verbale sortant, ici, de son visage, trompe ? bec ? il est ainsi muni (outillé) de cette chose qui est a cérée, appointée comme une plume, capable de percer laroche et y graver une effigie (sur elle) animzalière, l’homme des cavernes est celyui là qui sait (en fait de lui même) faire ainsi, que des mots cde betes (ou «mots-betes») puissenrt sortir (par le trou cde la bouche) et aller (direct) se ficher sur roche comme des dessins (de vie) alloués, qui iraient du coup à dire des
choses, qui auraient pouvoir, qui auraient un pouvoir en vrai incantatoire, qui sauraient si gnifier et dès lors agir, agir direct sans échappatoire ! agir je viens ! agir la roche ! agir ainsi dans cette rocjhe ! agir de sorte que ! que pareille bouche restat comme bée, srtupéfaite = baba ! et ne me gobât pas comme
une mouche (mouche à merde ?) etc,
l’injure a un pouvoir (aurait) incantatoire , l’injure aurait (qui sait ?) ce pouvoir et serait de fait ainsi cdéposée sur la rochje comme une sorte de repoussoir, de chose «qui pue» et tient à distance par xsa puanteur,
qui tient à distance, par sa puanteur, cette sorte d’entité de roche, mort de roche ou comment ? ou cette chose en dur, quiparle-appelle via cette musique (en elle) des sphères, je veux cette chose savoir , la connaoitrte bien comme tout, comme un tout de vie offert, la connaitre au mieux en tan,t que :
homme des cavernes mes deux
non : homme des cavezrnes en vrai !
je suis sur rovche à la recherche xd’une vérité qui pour le coup fasse le poidsq et qui comptât pour moi, et cette vbéritécje la subodore, je vois cette chose comme quoi (ou verrait) comme quoi la vie = le temps , et ce tezmps est comme un phrasé (un phrasé musical) de type injurieux , qui tiendrait (serait censé tenir) la mort, de fait, à bonne distyance,
je vois cette chosec ainsi, j’imagine, jhe suis homme des cavernes qui en vrai sait et agit en bonne conn aissance car il est muni, ezn lui, d’un verbe (buccazl) qui sait (bien, parfaitement) perc er la roche et du coup trouver matière à s’inflitrer fissa en icelle, l’hommes des cavernes est celui là qsui pour de vrai connzait la chose d’une sorte en soi de vérité de bon aloi contenue ici en cette roche ornemen,tée, il est kl’homme qui connait de près les soubassements pariétaux et qui saurait nous dire, nous instruire, révéler moul;tes et moultes choses concernant la Vérité sur les choses duu temps impartii, soit ce déroulé, ce ruban, ce phrasé, cette sorte de musique mathématique, ce phraseé scandé, ces martèlement rythmùés, cette rythmique du temps impartyi qui est ce repoussoir (cette injure) déployé face à Bouche (pariétale) de la Mort à l’Oeuvre = BMO, je vois ici cette roche dure, je m’approche, je dessine, je grave, je crache, je souffle, je monte, je suis soulevé car je suis pris d’assaut, je suis e:mporté, je suis tout contre laroche, qui vais dessinant sous emprise, l’emprise ici est an,imale, animalière et animale, l’emprise est telle que je ne suis plus vraiment à même de pouvoir lutter et dès lors je suis en vahi, pris de a à z, pris d’assaut et compris, pris d’(assaut et cerné de a à z, je suis envahi par en moi un animal de poids censé pouvoir pâr son caractère et sa stature repousser l’assaut de Bouche de la Mort , je suis pris d’»assaut par ici un animal censé pouvoir (lui !) repousser les a ssauuts
(les assauts du temps ?)
de cette sorte d'entité dite
«Mort de Bouche», je suis en,vahi enveloppé, jze suis pris de lm»’intériuer et de moi jaillit, en trombe, u ne lumière ou comment est-ce, cette chose rude qui va, qui grave, assaut sur paroi ! je grave ! dessine aurochs ! aurochs ! azurochs ! aurochs ! mots !
mots !
mots ! injures sala cesq, je trace, jke dessine,
une tete de cxheval, puis celle d’un auttre cheval, pûis encore une autre ! je trace des tetes, des chevaux sur roche, des chrevreuils, des rebnnes, des mammouths et ce sont auta,nt (en vrai) d’injures-mots-betes, déposés sur roche comme autant d'offrandes de vie à la manque, car de quoi sq’agit il sinon de pseudo- vies odffertes, mots-injures qui, ici, sont, ce temps dép^loyé en lieu et place de vie vraiee c ordiale ! visages, visages, visages, visages, scansions, visages dans le temps
de la roche dure du temps,
déploiement musical du temps d’un phrasé dinjures ! litanie d’inhjures bestiales,; fortes-fauves allant sur roche, une cavalcade ! chevaux ! je vais en cette roche, armé, ainsi, de ce pic de verbe rude , je dessione à main levée des betes,
ces betes sont des mots, ces mots sont des injures, ces injures sdont des repoussoirs, ces repoussoirs sont des butées, ces butees sont de la roche dure, cette roche dure est du temps de vie, ce temps de vie est présents c’est à dire offrandes, ces offrandes sont art d’un faire pariétazl, cet art d’un faire pariétal est jugement, j ce jugement est jeu, ce jeu est volonbté, cette volonté est morsure, cette morsure est prise de bec, cvette prise de bec est envoutement, cet envoutement est capitulation, cette capitulation est pregnance, cette prégnabnce eswt envahissement, cet envahissement est cavalcade, cette cavalcade est furia, cette furia est redoublemen,t ... de coups martelés, ce rzedoublement de coups martelés est allégea nce, cette allégeance est cheval, cxe cheval est bete-mot de la paroi, cette bete-mot de paroi est chapitre, ce chapitre est canal, ce canal est voie d’accès, cette voie d’accèes est trou, ce trou est vie, cette vie est virée, cette virée est accès , cet accès est vie de roche, cette vie de roche est tremblement, ce tremblemen,t est musique, cette musqiue est temps déployé, ce temps déployé est ruban, ce ruban est charme, ce charme est beauté, cette beauté est longueur, cette longueur est survie, cette survie est tendresse, cette tendresse est roche, cette roche est adoubement, cet adoubement est virage, ce virage est volonté , cette cvpolonté est chance, cette chance esqt co:lère, cette col:ère est douleur, cette doulezur est une prise, en soi, d’une sorte de bete vorace, venant percezr la joue de l’intéerieur par une sorte d'instrument caudal , ou alors à l’a ide d’un pâreil instrument de perçage comme queue, ou comment ? je regarde lap^ aroi et je vois où pouvoir passer pâreille pique (queue ?) de verbe acéré (injures !) et cela est ceette chose que je cherche : où pouvoir passer : la pique , afin d’entrter en icelle (paroi de roche), où donc trouver par où passer la pique, et perc er et du coup entrer ! car homme je suis et femme hje suis et enhfaant je suis qui passent ! car, voilà ce qui est, cette chose ici d’un passage (d’un endroit l’autre) via la chose d’une percée, par la bande (queue buccale ?), qui de fait saura travezrser ici la paroi du temps ! je troue la paroi, buffles ! aurochs ! bisons ! chevau-x à l’unisson ! je perce ainsi pareille roche, je perc e la roche , je perce et traverswe, et là, côté intérieur, je suis cet homme nu, je suis devenu cet homme nu wqui y va de son pas, de son pas d’allant, vers
une lumière, vers une sorte de clarrté bleutée, qui marche entre deux bras de mer vers
une sorte de clarté bleuté, vezrs cette (étonnante) sorte de claerté bleutée de fin fond de roche, je suis un homme (aurignacien) des cavernes et j’entre ezn roche via l’interstice ici créeé par ma pique verbale, buccale, je traverse la paroi, je suis passé, j’ai traversqé, et à l’intérieur de pareille paroi je chrche cette vérité na issante, cette choses en dur de vérité qui saurait m’indiquer le chemin en vrai de la connaissance des sphères, je cherche un treacé sur roche, je dessine à main levée des betes de poids, j’injurie la mort, la couvre d’injures, lui ficcxhe en p^leine figure des tracés (de roche) animzaliers et ce faiqsant espère = vit le temps de roche dure, etc, je suis l’homme des cavernes qui donc va, de son devant de soi vibrant, à larencontre de :
B ouche de la Mort,
de la mort nue, je suis homme aurignacien , femme aurignacienne, enfant aurignacien etc, l’enfant ici perçu comme un (le) troisième larron d’une sorte de partie de jeu, jouant à qui (ici) trouvera (du clan) la clé musivcale des spghères, je rezgharde au loin les embruns, je suis un homme des temps anciens qui en vrai cher che à comptrendre lers enjeux vitaux et les ressorts, cxar je dois comp^rendre, car le jeu en vaut la chandelle, car je suis moi-même muni en moi même d’une sorte de pouvoir de vie qui est cette chose d’une envie de roche, d’une envie sur roche, etc, d’aller de l’avant, de percer, de trouerr le mùur, le mur des désirs, de comprendre, de dessiner à main levéecl’aurochs, l’aurochs de vérité ou le chevreuil de vérité ou le bison de vérité ou le buffle de vérité ou l’antilope de v»érité, ces mots-betes xde vérités, ces injures proférées et appuyées, ces chevaux de vérités c’est à dire ces troupeaux de vérité, ces biches -bambis, ces rennes, ces biches ou rennes de vérités, ces betes ici qui sont des mots qui sont des injures, ces injures qui sont repoussoirs, ces repoussoirs qui sont verbe -dur, qui sont pic ! cap ! toc ! sur roc, qui vont à creuser-perc er, pour pouvoir se frayer
une voie d’acces vers la vérité vraie
de la roche du temps alloué
19/4/2021
je suis comme pris ou prisonnier d’une sorte de vent, de souffle sur moi, de boudffée sur moi (bufferie) qui me pousse à graver ou dessiner (fusain) des choses sur roche,
qui des betes qui des mains, qui des traits, qui des figures, et c’est ainsi que je me laisse akller à dessiner des traits, des figures, des mains, des morts-betes ou mots-animaux de roche, car ainsi je suis qui me laisse envahir
par en moi ce souffle animal qui buffe de tout son allant et me pousse (m’oblige) à tracer sur roche des (sortes de ?) effigies, des sortes de choses étranges , qui sont sdes mots de type images, etc, qui sont pour moi ce parler de la rooche comme révélé, je suis l(homme (la dfemme) qui, en roche, sur roche, parle son allant de vie rare, racée, riche de betes (mots-betes) prononceés comme des injures, je vais en cette roche en tant que je suis, ici, cet homme qui va, injuriant les etres, qui (fou) va comme traçant sur roche des injures graveleueses, il (je) est (suis) cet homme, je suis il qui va, je suis cet homme qui, injuriant graveuleusement, grossièrement, file sa vie ainsi, la file ainsi qu’il va, dessinant sur la roche, sa pe$lote de vie temporelle, etc, je m’accroche à (ainsi) cette roche des temps alloués ou impartis et file ma puelote ici de vie (racée) de roche dure, jr dessine des sortes d’aurochs sur la pierre, je suis un homme des cavernes et je dessine sur la roche des sortes de mots qui sont des mots-betes
qui (à mes yeux) sont des sortes d’injhures outrancières, grossières, grasses etc, des mots forts ( gros mots de la tribu-) qui poueessnt ainsi à dire ce qui est qui en vrai résonne en moi, cette chose en moi qui est cette sorte de soufflerie, de bufferie de race en moi, qui pousse en moi , qui soufflea en moi et me fait tracer des mots-injures sur roche : aurochs ! aurochs ! aurochs ! et c’est ainsi que je me vois comme tenu-contenu en pareille paroi à faire-dire toute cette chose d’une sorte de dessin de vie, tracé de vie vive, tracé au fusain (au cgharbon de bois) sur roche des
temps, sur cette sorte de paroi des temps donnés, etc : cette chose est ce devant de moi, ce devant en face à face et qui me pezrmet d(‘‘entrter en elle via mon pic de roche animalmlier, mon baton «merdeux», mon pic de la roche, mon pic de percée, ce pic de bouche animalier qui va à se ficher en roche et la troue de par sa superbe et entre en elle, racccccccccccccc
, entre , entre en cette roche et s’y dép^loie comme ruban de temps, de temps imparti, je suis dans la roche l’être de vie (dure) de roche, je suis en cette roche cet être de la vie (dure) de la roche des temps impartis et je me déploie en elle, je me (comme) dilate en cette roche des temps où je cours, où je vais ici et là près des betes (les chevreuils, les aurochs), je vais en cette roche en elle vite, je vais en pareille roche vite en elle car je suis cet homme des cavernes sous emprise et qui est guidé par en lui une force qui le pousse à faire et à dire des choses et autres qyui le dépassent grandement, des choses plus fortes et plus grosses que lui, je suis (très largement) dépassé par en moi des forces de vie qui vont loin me pousser dans mes retranchements d’homme des cavernes, des grottes cachées, etc, je suis celui-l;à qui est mené de base par en lui une force souterraine qyui le pousse à injurier sur roche avec des mots-betes, tres betes, ou mots-animaux de la roche des temps alloués, et ces mots-betes ou motsanimaux sont cadeaux royaux, prése nts de vile espèce (injures) qui sonrt ceux lmà même que nous (je ) déposons(dépose) au pied de
lma roche du temps, ou commeznt ? car nous sommes dedans,; je suis en la roche cet homme qui est l’homme de la base langagière primaire, cet homme des confins de roche dure, et à ce titre je vais en la roche comme un oiseau va dans le ciel, ou un poisson va en ruisseau, ou une antilope dans la prairie, etc, moi (homme des cavernes dures) vais ici en roche comme un fol qui va de son allant de roche dure (tres) et je perce la chose de mon pic de roche, mon baton de bouche, ce baton de la bouche saignante etc, car je suis troué comme une outre, je suis comme troué de l’intériuer par en moi cette chose piquante, qui perce, qui pousse et troue la joue de ma figure et ainsi elle sort, elle traverse etv trouve à se ficher swur la roche (dure) de pareille ici paroi de grotte (lascaux ? alta mira ? chauvet ? cosquer ? etc) et là je vais et me déploie (envergure)
comme une effluve, je vais en roche armé de mon baton de joie dur,, quyi pousse à dire-faire sur paroi le desswin cd’une bete, fauve, rude, qui charge, qui en impose, dessin qui est un mot de type injure prononcé comme à la cantonade et qui dit de fait son pesant d’insanités à l’encontre du temps alloué, de la mort de roche, des etres de peu qui gouvernent, etc, je vais en roche ainsi armé et pousse mon cri (guttural) d’hommes des temps, d’homme fou du temps de la roche, d’homme des temps fous de roche dure, de roche endurcie, de roche dure du temps alloué à un e vie, la mienne, celle ds hommes qui , comme itou, font sur roche des insanités et hurlent chacal leur gouverne comme influencée, je fais ainsi que je dis et dis ainsi que je fais, je suis pris dans une roche de prairie de type pariétal-temporel, et là je m’inscris, comme un oiseau s’inscrit dans un ciel bleu, etc , je vais en cette roche comme oiseau de roche et creuse (treace) mon dessin (a nimalier) de roche du temps, je sais cette chose d’une sorte de
folie en moi, de folie dure, de folie racée, d’injure, etc, quyi est ce mot qui va (sur pareoi) s»écrire au charbon de bois, et cette folie en moi est gouvernée par des forces dures animalières, des poussées de rage, des poussées qui font leur carnage, etc, et m’obligent à tracer sur paroi des traits divers au charbon de bois, au manganèse, etc, qui forment ensemble comme une sorte de litanie verbeuse, de type injures proférées à) la cantonade (douleur,
chaleur, tuméfaction, rougeur) etc, formant cohorte, formant lance, formant pique de verbe, formant une sorte de baton de roche du temps , baton qui donne le la musical d’un ensemble de fait temporel, baton dur quyi pousse dans la roche et troue icelle de son pic pointu acéré, je vois cette chose enfin ouverte comme une bouche et moi de
m’introduire dans la bvouche, de m’y loger et de m’y lover pour ma gfouverne, et là : attendre l’arrivée massive des aurochs de la vie éternelle, je regarde (là) passer le troupeau, je suis dans cette roche dure de vie dure, je regarde (assis en tailleur ?) passer le treoupeau des injures, des injures de vie dure, ces aurochs, ces aurochs et ces buffles, ces buffles et ces bouquetins, ces bouquetins et ces chevreuils-bambis qui vont et qui viennent pres de moi, je regarde ces betes pres de mpoi et je m’idezntifie à elles car elles sont mes soeurs de la roche des temps alloués à une vie terrezstre faite d’imprévus animaliers, je file en roche à présent et cherchje à m’immiscer au plus profond d’icelle, dansles embruns, dans ce sas de vie allouée et là, enfin immiscé, je grave vérité de type animalier, je trace à main levée des betes-mots qui sont des injures, injures proférées à l’encontre d’une sorte d’entité de type animalière, ou comment ? dieu de roche ? mort de bouche ? chant de la roche ici, quyi pousse son cri de douleur vive ? la plus des plkus vives ? je vais en roche, et y trouve de quoi comprtendre une chose de la vie de race, et trouve en roche une chose
de la vie de terre, de vie de la tezrre, etc, je vois cettre cghose qui est celle-ci qui me concerne et me regarde, cette chose rude, cette rude chose dure, dure et rude, qui est celle-ci comme quoi la terre est cette chose musicale temporelle, cet allant de vie racée, racée = étirée, allongée, affilée, effilée, à fil, etc, qui est cette chose que je dois mener comme par le «bout du nez» à son extrémité, je vais en c ette roche comme un homme des confins armé de son baton de lutte : injures proférées ! injures p^roférées ! injures lancées à la cantonade vers une entité animalière dite « Mort de Bouche la Gouverne «, et moi, Homme Des Cavernes (HDC), d’aller ainsi vers elle (bouche de la vérité) comme vers (ou dans) un puits sans fond, ou comment ? trou borgne comme une tombe ? peutêtre pas ! peutetre que non ! peutetre que ce n’est pas là que je vais mais ailleurs en ce sein des seins outranciers, je vais dans la profondeur de la roche, à la recherche de l’Animal, mais cet animal se cacherait, serait l’animal qui se cache et fait tout pour ne pas etre croisé, peutetre
, je suis homme des caverbnes à la recherche d’une sorte d’animal de roche dure (celle du temps alloué à une vie) et cet animal est quelque paert ici ca ché dans la roche et moi d’insulter la roche c’est à dire l’entité, de l’insulter graveleusement (lui parler «comme une merde») afin de donc percer paroi de mon pic dit «merdeux» et d’entrer en icelle (paroi) comme dans un livre, je cherchje à) comprendre le pourquoi ce livre et le comment
pouvoir accéder à pareille roche des temps en entrant en elle, comment accéder à son fond de vie rude , le dépasser, le prendre ainsi pour soi et en forcer la mise etc, cvomment faire pour seretrouver en pareille roche comme qui dirait dans une sorte de bouche echancrée, d’ouverture de vie vive (vive !) etc, je cherche à m’immiscer ainsi
secondé par en moi cette chose dite animalière q<yui pousse et me pousse à francxhir ainsi la paroi de roche, entrer et me lover-loger, etc, et me lover-loger comme ici un serpentin, ruban de vie vive qui se glisse en pareille échancrure et force la main , et foncxe, et va loin, et touche au but, et trouve les aurochs et les chevreuils en cette sorte de prairie du temps dit pariétal, cette zone aux embruns, cet espace intersidéral de la roche du temps, je vais en elle et je vois ces betes aller et venir à mes côtés, je siuis pris en moi d’une sortye de visée, je suis comme pris, en moi, par une sorte de visée, d»’envie, de volonté, de désir, d’affect ou de pulsion qui poussent au cul, qui poussent dur au cul de la raison, qui toutes ou tous poussent au cul de la raison dite «de gouverne» et m’oblige presqUe à pour lecoup tracer sur roche des betes de
choix, de poids, racée-élan,cé, fine-élégantes,; etc, betyes de vie sur roche allouée en tant qu il s’agit ici d’un espace-temps pour une virée ou sorte de durée de dureté, je suis cet homme qui se faufile en cette dureté, qui va son allant de vie riche, enrichie par la bande, en cette espace-temps de vie allouée par une sorte d’entité souffleuse, de type animalière-animale, je vais en elle et je vois en elle cette chose d’une sorte de percée dans lkes lointains, une ouverture, un passage comme une entrée, une sorte d’alcove, un arc, un demi cercle, une voute ? squi sont , qui est, cette cghose du lointain luminescent qui sembkle vouloir m’attirer et
me vcapturer, kje vais
sur mon chemin dxe roche rude, je suis homme et femme des cavernes pleines, je suis cet homme et cette femme de la roche pleine, dure compacte, et en elle je grave en veux tu en voilà des choses de type mots-betes, mots racés comme élancés = projetées = proférées = jetés comme des bouts de chose, des impacts, etc, qyui pôussent à trouer la roche, à creuser etc, je suis un homme des cavernes antédiluviennes, je suis armé d’une sorte de sabir de vie qui est ma pointe, mon pic de vie (de vit ?) qi me pezrmet d’entrer en roche (savane) comme dans un temps qui serait alloué à une sorte de vie (vive) à vivre fissa ; ainsi, faisant cela, je me retrouve comme pris dans les filets, les rets de pareille entité cde roche qui me regarde dans le blanc des yeux et me sermonne , et moi de rétorquer à l’identique et pour le coup de proférer des choses rudes, des choses dures, des insanités comme grossièretés, je ne veux pas me laisser faire, je veux rétorquer, je suis un homme des cavernes, je ne veux pas me laisser marcher sur les pieds, je suis cet homme ders cavernes avec répondant, je ne suis pas un enfant, et si oui je suis un enfant ce n’est pas pour autant que je vais me laisser faire, je veux rétorquer, je veux gueuler pour ainsi dire ma gouvertne personnelle, mon pic de vir,
mon pic ou ma pique de vir et de vie, je veux pouvoir gueuler comme à brûle-pourpoint ma douleur, ma vilenie aussi bien, mon mal, ce mal en moi qui taraude, qui me fait souffrir les pierres, etc, car je suis l’homme pris dans les filets de la méchanceté, cde cette sorte de méchanceté ici initiale, grave, pleine, forte, massive, buffante, costzaude, riche-roche qui en moi est cette base de vie vive (sangglante) qui vibre, qui est cette chose de vie vive qui va de son allant
pariéto-temporel, je suis pris ainsi, prisonnier d’un filet de vie en moi qui se nomme mécxhanceté, qui est donc cette méchanceté initiale, de base, constitutionnelle, contrec laquelle je veux luter ou pouvoir lutter par l’injure proférée sous forme de dessins ou de gravures animalières, car je saisn (je vois) que le mal de la méchanceté (des choses de vie) est là qui prime, qui gouverne, qui a (vite) le dessus, et moi de m’ooppose r à ce (cette) mal-douleur en moi, à ce ma l de la douleur en moi qyui en vrai me pouqsse)à à) pleurer -rire mon mal de souffrance, ce passage en moi de cette «entité douloureuse», je hurle, je hurle à tout va,, je gueulme mon mal cde vie vive comme d’une plaie qui baille à l’envi, je suis cet homme quyi va là en roche du temps et pousse (là) sa gueulante de vie rude, son mal étonné, sa chose de race perlée, etc, qui est cette chose en moi que je contiens commùe qui dirait une xdouleur , commùe
cette sorte de grande (massue) chose en moi même, cette chose en moi qui est cette masse, ce poids d’intitiation, cette force de bure, ce train de vie alloué» comme un wagonnet à devoir porter à la force du jarret ou du poignet, je suis un homme dit «des cavernes» car j’appaertiezns de fait à cette période des temps qui me voit proférer des injures au fin fdond des grottes, et cela pour la
bonne cause qui est que je suis pris d’assaut, prisonnier en moi d’une force (douleur) qui m’(assaille et me pousse à hurler sur ‘(et en) roche de vie ma douleur, celle-ci qui en moi me pousse )à tracer des betes, des treaits sur roche ; et, du coup, cette douleur de roche dure, ce tamponnement, cette plaie, cette ouverture sanglante, cette virée, etc, la gueuler sur paroi , en termes d’aurochs, de buffles, de bisons, de betes de poids = arguments-massue qui se doivent d’en jeter des masses, etc, afin de tromper comme il faut son monde et faire accroire à de la vie offerte en vrai = sa vie = sa propre vie, alors m^meme que ici il ne s’agit point de cette chose qui serait offezrte mais d’un pis-aller temporel, un éccoulement, une suite de vie rude, une sorte de tracé de vie tempoorel (un p^résent) qui va à l’injure, qui est cette injure dure, cette injure «de tous les noms», «de tous les noms la terre», cette injure qui est en vrai ce verbe alloué par une sorte de percée buccale ; ce cri de guerre ! ce cri de douleur qui est cri de guerre pâriétale! et moi ainsi d’aller en roche hurlant gouverne animalière en moi, ce rire-douleur qui assaille et parle pour moi commejamais = comme un animal
en moi rugissant sa peine ! il s’agit pour moi de comprendre cette chose d’une sorte en moi de tracé ou de tracé de vie qui pousse à agir dans le sens de la roche à percer! il s’agit pour moi de comprendre cette chose ici d’un treacé de vie à comprendre et à emprunter dans la roche ! la douleur ici est
tres liée à cette sorte de percée de joue de vie vive ! il s’agit pour moi (homme-femlme des cavernes) de comprendre cette chose, d’un tracé de vie alloué par la bnande à une sorte d’entité en moi, qui pousse à percer de toute sa méchanceté ma joue de vie vive, d’homme vif (= en vie) qui va, pas à pas, son chemin de roche dure dans le temps, scande à haute voix son nom sur roche et cela dans un cri comme de ralliement qui est le cri de sa douleur «dentaire», etc, il hurle à la mort ! je, hurle ! je hurle à la mort ! j’hurle ! je pousse ma gueulante, je suis cet homme-femme des cavernes qui est cette personne qui est en lévitation et qui va en roche pour tracer des mots qui sont des mots-betes de vie massives, qui sont betes massives de vie rude (celle des temps impartis) car en moi gouverne La Méchanceté, celle là qui fait du mal à ma chair d’homme-femme des temps rudes,
je suis envahi par des affects et ceux-là m’incommodent tant, qu’ils me poussent à crier (verbaliser) ma «haine honte attitude» de personne comme endolorie pâr la bande, et comment faire-agir autrement qu’en hurlant de tout mon soul, sur roche, ma gouvertne envahie, mon wsens de roche pris à partie , etc, comment agir ? mon nom de roche est nologips , ou bien loopings et c’est (ainsi) que je vais, traçant des betes de poids sur pareille roche des embruns, je suis en cette roche celui qui, en lui, porte La Méchanceté, la Méchanceté primordiale, cette sorte d’entité de roche ou de paroi, qui pousse (en moi) à fzaire le mal et à me faire hurler,
gueuler ma misayre, etc, et cela est fortement incommodant et m’oblige ici à des contorsions langagières de type : dessins sur roc, animaux
de grosse taille comme des gros mots prononcés haut et fort devant une communauté postée aux aguets, je pousse ain,si ma haine
, ma haine ma misayre, ma honte ma hjaine, ma douyleur dure, ma rude douleur, ma chose en roche, à travers le dessin de betes de gros poids qui sont des gros mots de hurlement de ra ge! je tra&ce ainsiu toute cette misère, cette chose dr’(iune sorte de bienfait fait à ma gouverne, un onguent (chrême de vie) comme un apprêt (une pommade) etc, qyui serait du bienfait sur une plzaie vive, ouverte et sanglante, car il s’agit pour moi de soulager cette douleur en moi, de la joue (du je) percée, qui est cette douleur née de l(‘arrivée brusque de la langue en moi, langue pôintue, langue de parole drue, etc, qui a poussé en moi et a du coup entaillé ma joue jusqu’à la percer de son pic acéreé, son pic de vibration, son pic de crevaison, etc, qui a donc transpercé ma chair et m’a fait du mal à en hurler ma peine à même la roche du temps alloué : je suis cet homme des cavernnes, percé de part en part par (il semblerait) un pic de roche rude qui est pic de vie dure de la roche du temps impaerti, je vais et je viens en roche en lévitation, je suis qui va hurlant sa misayre de vie rude, de type craevaison de roche, etc, et cela en tenant en vrai mon propre baton de vie qui va ainsi traçant sur roche des dessins de betes de gros poids, des betes sont là qui font ou forment une ronde, je suis un
homme des cavernes de roche dure, ma vie est d’etre ainsi qui va (ou vais) sur la roche et dessin,ne, je m’appelle ainsi que je suis ici, je m’a ppelle ainsi que je dis ici, sur pareille paroi de roche, je suis cet homme qui y va ici, de son pas tracé en cette roche dure aux betes dessinées, et, ainsi faisant, je m’initie, j’entre en roche comme en un (ou une sorte de) lieu de culte, je suis celui qui va en roche comme dans un lieu de (très) hzaute portée et qui regarde ainsi les allées et venues (en ce lieu) de betes de massse, je m(appelle nologips et je vais chemin faisant en c ette roche de paroi d’une grotte cachée (enfouie) dans les entrailles ici de terre-mère, je suis l’homme du (d'un) tracé (de vie) pariétal, je vais en roche comme dans une église où crier ma peine, ma peine de joue
, ma douleur de chair vive, en vie, etc, où aller ? sinon : en pareille roche des temps (lieu de prédilection) qui est la roche qui me voit de fait tracer des buffles, des aurochs, des chevaux en pagaille, des antilopes ou des bouquetiins, je vais en cette roche car mon nom s’inscrit en elle comme un cri ici qui dit sa douleur de la jhoue percée, cette sorte de douleur dentaire, ceete misayre, etc, je syuis cet homme des cavernes, qui va, inscrivant son nom de douleur dentzaire dans la chaior de la roche du temps, du temps imparti ou alloué à une vie entière sur terre = la vie, de fait, de roche
dure, etc, qui est vie de peine (car La Méchanceté gouverne) à en pleurer de rire ou bien à (peut-être) en rire de pleurer, ou comment, tant la peine est grosse ! la peine est incommensurable et vous porte comme une solive ! elle est cette peine de base, initiatrice, cettte fondatiopn, ce fondement de soi, cette base rude, qui porte, qui pousse, qui va vers roche, quui pousse )à pousser à son tour sa gueulante, de tous les noms d’oiseaux etcx, il s’agit d’une langue (au complet) = un idiome de vie de roche = des mots-betes, comme mots-animaux qui sont dses injures, des cris de douleur, un verbe outrancier qui est celui du cri de la douleur d’avoir, de l’intérieur, eu sa joue percée par La méchanceté en soi qui nous gouverne et cherche à se frayer dès lors un passage adéquat pour aller à se ficher sur la rochge du temps et, de là, envahir les horizons brumeux ou fangeux, je vois la roche devant moi comme ce lieu, de présen,tatation, de naissance, de diction, de déclaration de naissance, etc, ce lieu de la roche est le lieu des dépots de présents ou d’(offrandes = le temps, ce cri, cette chose hurlée par la bande et qui pour le coup accompagne cette sorte (dure) ,
d’envahissement douloureux (ou mégadouloureux )de soi par la bete (en soi) qui est cette (sorte de) bete-pic de roche, qui perce et fait «parler» l’homme des cavernes que je suis, je suis l’hgomme des cavernes de la roche dure du temps impearti à une vie entière sur roche, et à ce titre je desinne à main levée des betes de roche, qui sont betes de fort poids comme, peut-être, des injures grossières, des grossièretés proférées à la cantonade, haut et fort, puissamment et qui soient audibles,; etc, afin que la communauté des etres autour de moi ait tout loisir de pouvoir pour le coup m’entendre profé&rer cet ensembvle d’insabbnités, de grossièretyés, de choses ghrasses, de gros mots, de vilebnies (?) etc, et ce pour (de fait) pouvoir me libérer e,n moi de cette chose d’une sorte de douleurr liéec à une sorte de percée en moi dû en moi à quelque chose qui est une pique de vie vive, brusque, perçant, d’un coup (bien placé) d’un seul, la peau de ma hjoue, de ma bouche-joue, de ma joue (je) devenant bousche pour le coup, etc, car ma joue = ce je qui s’instaure, via le prononcé de ce (dit) «je de vvie», il est ainsi que disant ma douleur brusquement, eh bien je dise le je de la fable par la même, il est évident, il va sans dire qUe disant ma peine je dis je, disant ma peine je dis je, disant pour la première fois ma peine je suis l’homme qui dès lors dit je et s’en va prononçant ses injhures d’une vie blessée, je suis un homme qui
a eu sa joue perc
ée un jour et ce de l’intérieur , par La Méchan,ceté
en moi, Méchanceté b asique, initiale, etc, qui a poussé en moi et m’a de fait transpercé comme une outre, pour ainsi me faire «gueuyler» ma misayre et ma douleur et, ainsi faisant, dire je , dire ce je de la fable du temps imparti, ce je de race au sens où ce jeu devient celui qui est ou se voit comme adoubé ici par soi-même = son nom, son propre
nom comme un nom de race, etc, il va sans dire que je suis cet homme de la voix grêle et qui va gueulant sa peine de roche, de pic intérieur, et, ce fgaisant, dit sur roche ce quil a à dire en fait dacceptation, de mainmise ou d’emprise etc, je suis un homme des cavernes et en moi exioste cette chose de ce souvenir d’avior, un jour, «été transpercé de lm’intériuer, par une sorte de pic de verbe , qui était un pic animùalier , qui a donc percé cette sorte de non-encore boucxhe en moi , qui tenait lieu de visage fin, non percé etc, et un jour la pousséec a été telle que je suis été cette
chosex : transpercé par un pic en moi = des betes en cohorte, comme une sorte de tressse, de chose tressée, qui était cette chose tressée animalière, ces aurochs pour ainsi dire en moi, ces aurochs dits «de Méchanceté» quyi ont percé , troué mahjoue et m’ont tant fait mal que me voilà qui me mit à hurler sa paine (son je de l’insu lte) à tout crin , et disant sa peine danns le cri je suis donc devenu cet etre de la paroi dure, dela grotte souterraine, etc, cet aurignacien dessinant des betes, sur roc,, etc, cela
est tres lié et s’impose ainsi à ma comprenure : je suis un homme des temps anvciens, je suis aurignacien, mon nom s’inscrit sur la roche du temps comme un qui est une sorte de cri suite à un méfait qui de fait me sezrait advenu par la bande et depuis l’intériuer de la bouche ou de cela qui, encore, n’était pas bouche mais cavité sans clarté, etc, je suis unhomme-femme des cavernes du temps alloué, je syuis dans une grotte des tempds anciens, je monte en lévitation, je suis wcelui qui traçsce des figures (de type animales) à main levée sur une roche, et ce faisant hje vais ici de l(autre côté, j’entre en roche comme dans un
moulin, je suis dans la roche du temps inséré et hurle (injures) mes présents de roche temporelle, mes dépoôts sur paroi dure, je dessine des aurochs , des rennes, des mammouthqs, des antilopesq, des chevaux, des chevreuilsq, des bouiquetins, et j’essaie cde comprtendre pour moi les
raisons qui ont pu me pousser à aiinsi aller tracezr, suyr roche, ce méfait initial, premier en moi, cette percée en moi, cette remontée de bouclier, cet envahissement en moi comme un mal perforant plantaire ma is là il ne s’agit pas de la plante des pieds mais de cet endroit du visage qui est cet endroit de percée, de sortie de soi via des mots, qui sont comme des injures que je vzais à) proférer ainsi, à tout va, lancé, motivé comme personne , enfin me voilà qui vais en cette roche, hurler «ma gouverne» = cette chose en moi qui guide et trace, va et vient, est le chef de ran g, est chef de tribu, etc, je suiis cet homme qui va ainsi, en roche, chercher à soulager sa peine verbale (nouvellement) et cela par le biais des effigies (animales) accumulées, scandées comme avec des mains ou des points, je vais de la sorte «disant» ma peine animalière et veut pouvoir me soulager de la
sorte, je tente ainsi de comme m’amadouer ces betesq de roche qui sqortent et vontb à xse graver ou vopnt à etre rep^résentées ainsi sur pareille roche du temps, je desqsine à main levée ces betes de paroi et ce de la manière si possible la plus ressemblante possible car je veux dire la colère finement, que cesq mots-betes soient facilement identifiables comme autant de mots distincts ayant sens précis,; direction de pensée, etc, les mots-betes sont des :mots à) part entière, chacun est doté d’un sens «lisible» qui en fait des signes communs, partageables, commu n icables, etc, et cela avec pour origine la douleur liée à l’ouverturee de la joue par une sorte de scalpel (animalier) intérieur, un couperet, un trancxhant, qyi est venu per c er ma joue et m’al libéré de ce
mutisme qui (auparavant) était le mien,
là : je suis percé, ouvert, échancré, libérée, je dsuis hurlant, vociférant, gueulant ma peine ou ma misèere (misayre) et me voilà, qui ici dessine des aurochs qui sont les mots du mal sorti de bouche (de joue) , ce mal en soi qui règnait en moi sans pa rtage, car ici l’animal fait mal, wqui perce la hjoue (à plusieurs, emberlificotés) et me pousse, à crier ma peine : «je ! je ! je ! je ! je ! je! je ! je !», comme autant de coups jetés du sort, je crie mon je de bure, de buffe, etc, qui est ce je de la douleur ... de la bete blessante, ou non ,
comment dire ? homme-femme des cavernes j’ai été percé de l’intériuer par toute une ribambelle (cohorte) de betes en moi qui mont assaillie, qui mont bousculésq jusqu’à prendre en moi ma propre gouveerne et me mener où bon leur semble, ces betes en moi, sont le Mal de ba se, il s’agit en soi d’un mal récurrent, une peine (un mal) de tous les instants quine demande en vérité qu’à voir le jhour = percer, percer avec pique, à vif, de perçage animalier, je suis cette chose d’une sorte de percée, qui va bon train en roche, qui pousse au cul
et pour le coup va se loger ou à se loger en cette sorte de paroi de la grotte cachée, enfouie cachée comme un secret, je m’appelle homme des cavernes et aussi femme des cavernes, je suis cet homme qui va, en grotte, se soulager, car la douleur est telle qu’elle «
mérite» pansement-onguenjt, chreme sur un corps nu ou dénudé, etc, je suis l’homme qui est ici celui qui se loge à même une roche de grotte, hje
suis cet homme qui va en roche se loger et dessiner à main levée des tracés (animaliers) «de toute beauté « (art) pour faire accroire, pour la ressemblancve, pour l’impact, pour en imposer, figure-signifier, etc, je trace ainsi des figures quyi représentent, je suis l’homme-femme des cavernes quyi dit ici la cxhose animale / injure donnée, je suis cet hommùe-femme, ou cette hommùe-femme des temps reculés , qui donne-)injure sa douleur sur roche animalière, car sa vie du je est ainsi que son nom apparait sur roche et saigne ainsi, pousse à révéler, etc, sous emprise, sous le jhoug ou disons à la merci d(‘un «vent de folie», en xsoi, comme un vent quyi vient de soi (intérieur) pour aller à s’engouffer en roche via un intertstice et là entrer en pareille paroi-mystère comme dans une église, un prieuré, un lieu de culte où se réfugier, je suis envahi en moi par des betes qui me percent, me font dire je au fur et à mesure de ceettte percée, de cette avancvée dans le perçage, je suis celui qui dessine sur roche des noms de betes dits bbetes-mots qui signifient ce qu’ils représentent, betes de poids en moi qui sont gros -mots de forte poussée, etc, en moi, qui sont des g’ros mots initiaux, l»’enfance du verbe, cette chose primaire, première, qui est cettye
chgose d’une sorte de poussée (langagière) dans ou à travers cette xdouleur, d’un perçaghe de joue = de bouche, une plaie, une brûlure, une blessure, une grande douleur, vive, lanciinante,
percforante, à hurler comme à la veillée, à gueuler comme un putois, comme si on vous marcherait sur les pieds, etc, à gueulezr comme quand un ou une irait à vous marcher dessus, sur les orteils nus, etc, il s’agit un peu de cette chose et c’est ainsi que nous nous retrouvons comme à devoir hurler sa misère à soi existentielle (ce mal initial, cette cxhose d’exp»érience) en cette roche, en paroi cachée (obstruée du regard = du premier regard) qui sont, qui est ces dessins, ces tracés, cet animal dessiné, sont ou est cette chose d’une sorte de soulagement-pénitence, de soulagement en rocxhe via ici des mots-betes, de grosse taille (les betes), qui sont comme autant d’injures-)pansements, dons de soi pour se soulager, sorties de soi pour une sorte de soulagemeznt-onguent précieux, comme eau de pluie, comme rayon de soleil sur un fruit,
comme ondée sur un visage, comme bord embrumé de mer cde roche, etc, je suis l’homme
-femme des caverness de la roche du temps ou dx’un temps antédiluvien,; je vais et je viens en cette roche comme un homme qui est dans son rêve ou son rêve dxe hjoie, cherc hant à qui mieux mieux une sortie, une porte de sortie pour une bienveillance à obtenir à son égard : comment entreer ? comment sortir ? comment traverser ? où donc est le sas ? qui donc me co:mprend avec mes sortes de desqsins de beteqw ? compreznd t on à quel point ma main est guidé par la bande ? sait on ce qu’il en retourne ? qui peut comprtendre ce que est ici pour moi cet onguent, ce bienfait ? qui sait cette chose d’un soulagement ^par le don de soi / injhure de vie massive (massue) ? quyi pour me comprtezndre ? je
pose des mots et je vois cette chose d’un soulagement par la bande rocheuse d’une sorte de douleur en soi tres lié-e à cette percée (gouverne) animalière en moi, en c ette zone en moi qui voit sortir de moi (de soi) une pique de verbe dru, cru, qui pousse «au cul» ou comment ? car, je suis cet homme qui y va de sa gueulante sur roche du temps et dit ainsi sa peine-misère, de joie rude (ce je !), qui est cette joie -souffrrance d’acvoir à parler, sur roche, en termes diwstincts qui puissent «le faire» = signifier des mots : aurochs ici, renne là, antilopê à cet endroit,;, mammouth à cet autrte, et fais ant cela j’invente» un langage précis (le reconnnaiszable, la ressemblance avec le modèle), etc) qui est : le langage
de vie de roche, de vie envahie
de roche, je suis cet hopmme des cavernes (homme et femme) qui pousse ainsi (cette chosevpzariétale) en direction xd’une sorte de parole dite, ici, sous forme de tracé pierreux, je suis cet homme ici , qui dit son dire pierreux, de parole drue, crue, qui sont paroles distinguables, comp)rtéhensibles en cela qu»’elles sont tres liées à la ressemblancve fine avec l’animal gros qui leur sert de modèle (support) et ainsi faisant (=dessinant de groosses betews) je vais dans la profondeur de la roche comme pour me prosterner et conserver en moi ce pouvoir de pouvoir demeurer, de rewstezr viva nt une éternité, etc, je suyis cette personne qui va& là, dans les profondeurs de la roche, à la recherche d’une vérité, homme des cavernes qui est donc cette personne à la recherche d’une "vérité de roche", dure et tr&acée (inscrite) de telle manière que la vérité puisse éclater ou éclatât sur le mooment = sur le fil, cette vérité dite «de bon aloi» , qui dit ou dise cette chose comme quoi la vie est cette chose-ci ou cette chose-là et la mort de même, je vois la lumière en fin fond de roche, je suis cet homme décharné et nu, aux cheveux longs, homme)-femme dess embruns de bord de mer en roche du roc, pris dans la masse, pris en tenaille enttre deux parois (b ras de mer) qui sont celles de la mer qui s’ouvtre dev ant moi et me cxrée un passage (tracé) où pouvoir de ce fait aller de l’avant vers un apport de connaisqzances, je m’(avance, je suis dans laroche xdu temps, mon injure est mon présent de vie soit de vie vive = ce temps ou temps -injure
proférée = douleurs de vie racée, de vie tracée-nommé»e (Nologips pour ma fortune ! ) et là, en pareille zone aux embrun,s, je pousse pl;us loin (nu, élancé, vu, etc) vers des lendemains qui sont cette luminezsvcence des bords de roche,
ce lointain éclairé, ce soleil en roche, ce ciel en paroi, cette trouée lointaine qu’est-elle ? je re garde la roche et je vois en elle comme une clarté qui m’intrigue et me retient : qu’elle est elle ? j-’ig nore cette chodses, mais j’aspire à comprezndre cette cxgose, à mieux la comprendre, à mieux cerner les tenan,tss et les aboutissants de ce qui m’arrive en p)areille paroi de grotte, suis je un etre hybride ? syis je mi home mi betye ? mi ange mi démon ? le mal est il en moi ce soubassement ou sorte de soubassement xde l’etre ? cette chose mauvaise, cette malédicction en moi, cette mauvaise diction en moi ou commentn ? ce mal (cette douleur) en moi comme un mal perforant pl;antaire ou ici buccal ,; qui pousse de fait à sortir sa pique, à percer la chair (ulcérer) et me ficher dans un état de complète envahiswsement, de complet envahissement qui fait de moi, cet envahissement, un ettrree rieur de folie, hurleur de sa peine ou commùent dire ? je suis si ..., que j’en pisse au lit ! je suis si ..., que j’en hurlerait ! je suis si ..., q<ue j’en ris de la douleur d’ettre ! je suis ce «si» qui pisse ici sa vie de roche, qui donc va pissant sur roche son envie pressante ! je suis ici si envahi par (en moi) une douleur ou des (douleurs) que j’en ris de bbase, sur roche ... ou coment ? injure à l’encontre
? pêrçage de hjoue pour un je de base ./? cri de ralliement ? je pisse ! je prie ! je pétarade ! je
gueule mon en,vie pressa,nte ! je suis pris d’assaut ! je suis sous emprise ! je suis envahi ! je suis la bete en moi qui est ici ce morceau de choix / massue, qui pousse sur roche toute sa carcasse et dit l
‘injure-mot de la prairie, ce mot-massue injure à l’encontre ! je suisq l’homme desq cavernes, aux élans , aux instincts, aux envies, aux poussées de rire vif, aux poussé&es vives de rire-douleur ! je vais en cette roche ou roche du temps pour dire cette sorte de douleur en moi, de me voir comme per cé par la cohorte en moi animalière, etc, je suiis celui là qui va sur roche et essaie de comprendre ce qui est e,$
n moi qyui pousse et me déchire et me fait mal et me fait du mal et est ce mal perforant en moi qui se retrouve comme pris d(assaut par , en moi, une ribambelle / tige animalière ) de perfvoration, il semblerait que cette chose en moi , soit du verbe a nimalier qui est ce verbe qui (donc) pousse et perce la jhoue et forme bouche-langue (précise) douloureuse ô combien, et dès l;ors le je appa rait qui dit sa douleur à rire ou pleurer, qui est celle-là de la perforation à vif, et moi de donner-déposer du coup cette injure sur le pavé, sur roche, sur paroi de don, à moi cette chose d’un don, soit d’un don de soi par la bande sur paroi de roche, et ce
don (présent) est ce temps de vie entière qyui est mien (le temp)s) , mienne (la vie) odffert et offerte, à cette entité de la roche, cette bete immonde, ce carnassier, cette sorte de salopêrie cde fond de rocxhe, cette sorte de «puta sserie de merde» de rochge de fond, etc, ici une injure, un e groswsièreté (bison, aurochs, cheval , buffle) afin de faire accroire que cela est de fait cette chose d’une vie en vrai (coeur-poumon) offerte sur roche or non : point encore de coeur-poumons
mais cette injure animalière massue, comme une sorte d'argumzent de choix censé il semblerait faire ici reculer le mome,nt d’un trépas que l’on redoute méchamment et à tout bout de champ, j’hurle avec les betes, je suiis moi-même cette bezte en moi du fait que pour le coup je la contiens, que je l’ai en moi, qui pêrce ma hhjoue ou bien qui me c hevauche exactement comme un cheval de cxourse, ou sinon quoi ? je suis un etre de la rocxhe dure, je suis etre de roche, je suis etre de roche dure, dure comme le temps, je suis etre de roche dure, je vais en roche sur paroi, je vais sur roche me donner = donner de mon temps d’etre qui avance et trace effigies (le plus souvent) au charbon de bois, je suis femme des cavernes, je suis fine, elancée, ra
cée, beelle et trace deqs betes ressezmblantes-très, car je les aime ainsi qui puissent refléter une vérité vraie des champs et des prés, commùe on la connait ou comme
on en cxonnait, etc, je suis l(‘homme et la femme des temps reculés , qui s’en vont en grotte (fin fond) graver des animaux qUYI sont des mots grodssiers, des types de groossièretés de cette sorte de pens»ée-massue, qui puissent dire «non !», ce non à la mort et ce nom donné, deposé comme celui ici qui correspond à une sorte de tribu humaine, un nom de «famille» = de tribu, qui est ce non-nom qui désigne ceztte volonté (en vrai) de rester en vie (en ce bas-monde ?) et ne point passer l’arme à gauche ainsi de suite en cette roche des embruns soit des embruns de bord de mer, je suis cet homme de la préhistoire, celyui là de fait qui chezrche à co:mprendre qui je suisq en l’occurence et, pour cela, à présent, il a des mots en bouchje == des betes (cohorte), qui per cent et trouent la roche
devant lui, au fur et à mesure quy’il avance (ou que j’avance) dans la vie, il est (je suis) l’homme de cette avancée matinale, etc, il es t (je suis) l’homme de cette a vancée,
rude (ruade) en roche (accès de colère) qui va ainsi, son chemin matinal de vie à vivre encore, coute que coute, etc, je grave une antilope, mon nom est insccrit sur la roche , ce «non, je ne veux pas» qui est donc ce refus ba sique, ce non direct (gravé) qui dit son vouloir-vivre en même temps que sa douleur, d’etre ici tran,spercé dans sa xchair par l’hôte (?) animalier ezn soi , ou bien qui ou quoi d’autre ? les mots ? ces mots que j’ai en moi, en bvouche, sont des mots -anim aux à type d’injure (betes-massue) censé faire en vrai reculer le moment xdes méfaits, de la mort à l’oeuvre, de sa survenue dans le tempsq méchant etc;, je regarde ce dessin d’aurochs et «lis» le mot «aurochs» qui est le mot qui pour le coup dit «non !», qui dit (grossièrezté) à la mort-bouche, d’(aller bien vouloir se faire voir, etc, il s’agit de cette chose d’une sorte de compréhension-représentatation -
persuasion et reculade à mettre en o euvre, je vois les dessins comme autant de mots betes, betes comme chous, qui sont des injures
(d’où cette betise de faible teneur en termes de morbidité, tout le contraire), etc, je vois ce mot soit ce mot-animal devant moi qui est cette sorte d’injure-massue comme argument de poigds pour dire son envie, de rewster en vie, etc, je suyis donc un homme ou cet homme qui tient à la vie du bout de son baton merdeux ou comment autrement ? je veux co:mprendre le plus que je peux, je veux pôursuivre l’aventure d’une vie de roche aux abords ambrés, etc, je veux tenir à cette vie de roche dure et m’y incruster à la vie à la mort , pour ne pas faillir, pour ne pas défaillir et flancher, je veux poursyuivre ce chemin (aurignacien) de vie pariétale et voir venir les betes assagies tout autour de moi et mieux les comprtendre c’est à dire mieux comp^renxdre lers raisons qUI président ou ont présidés, à nottre folie de roche lumineuse, bure ou brute, cette zone des parois, qui est celle qui nousq offre un chazmp complet de
découvezrtes à faire par la bande, en entrant fissa en elle, à la pointe de ce pic de bouche en nous, qU’ est notre (ou nos) douleur(s), mais notre saluut tout aussi bien, car les deux marchent de pair et sont indissoci ables : cette (ou ces ) douleur(s) de rage, et cette joie (ce je naissant) de pouvoir accéder à la roche du temps imparti, je vois en roche ce qui est ici , qui ressemble fortement à un aurochs ou à un ours des cavezrnes ou à un cheval, et cet animal que je vois se dessiner sous moi, sous mamain levée etc, cet animal sort de moi comme l’effusion en soi ou comment dire d’»une sorte de pensée en moi (dure) qui renvoie à la durée (dureté) d’une vie à vivre sur tezrre, je devine ceztte chose en moi, je dessine un aurochs, un lion des cvavernes et comp^rend cette cbhose comme quoi je suis dans la roche comme dans le temps de vie ou de la vie, et que cela que je dépose ici (charbon de bois) est du présent offert à titre de gage, ou commùent ? car je suis pris dans le filet que forme l’animal (les animùaux) en moi et ne peut m’en défaire aisz»ément, hélas ! je suis pris dans ce filet animalier en moi, je suis pris en moi par une sorte de filet
animalier, en moi l’animal est présent, présence, temps de vie à aller déposer sur
roche en lieu et place de ce b attement du coeur en mmoi, l’animal-massue à la place de mon coeur, de mon coeur ou de mes poumons, cette bete qui en mmoi était (pourquoi cela ? parce que mangée ?) et qui à présent doit sortir de moi , pourquoi ? parce qUE cette bete a grossi ! elle prend en moi trop de place , en moi qui suis cet etre fin quyi ne peut contenir beaucoup en termes d’a nimaux de poids du genre aurochs ou bvuffle, je me doiqs de m’en délivrer, je me dois de faiore cette cxhose de m’en délivrer par des effigies à tracezr sur roche ! je me dois de faire ici cette chose et ne pas agir autrement qu’en faisant cela et le
plus ressemblant possible car la ressemblance eswt capitale ! la reewssemblance avec l’animal xdes champps, cette ressemblance conditionne grandement la chose, il s’agit ici de bien cezrner cela = les enjeux de cette rezssemblance, je syuis un homme des cavernes et la ressembklance pour moi a une importance considérable, car un mot porte un sens, il signifie, il montre, et xdit aussi l’imposante massue que représente cette injure animalière, je cherche, j’essaie d’aller loin dan,s cette sorte de comp^réhensio,n cdes éléments ici en prése nce, comment faire ? je suisq l’homme qiu se doit (en tant que tel) d’aller l:oin dans cette recherche, animùalière, sur roche, des tenants et des aboutissants cd’une vie sur tezrre (en tant que douleurs, souffrances, joie et gaieté, joie-souffrance, gaiteé-douleur) qui font cette chose en fin de course qui est (ccette chose) ce dessin, appliqué dans la
ressemblance, reéitéré comme scansions répétés à dessein, comme mains surnuméraires sur roche, ainsi xde suite : le ver est dans la pomme et cherche à en sortir, en soi est le mal (La Méchanceté je dirais) qui est cette chose quyi nous ronge et finit par percer la hjoue de notre etre, etre-chair, je traverse la paroi et dessine sur roche toute une collection de chevausx à belles crinières dans le vent, je
dessinne des aurochs ou aurochs de tribu, des antilopes de prairie, des bisons musqués, des ours de c avernes, des lions de cavernes, des mammoutrhs, et tout cela = gros mots à qui mieux mieux et à la queue leu leu, mots-betes de la roche dure, mots qui sont xdes mots-injures, des betes-massue qui foutent à mal, qui pôussent, qui en imposent, et font croire ou accrooire des choses à dieeu de bouc he grande ouverte ou à) quelqU’autre divinité de la rochje = La Mort, Madame/Sieur la mort, ou Sieur (Sieur en premier ?) /Madame La mort, car lma mort ici nous rezgarde,, nous voit aller et déambuler en roche comme des chevreuils que nous sommes (aussi) par la bande, je suis en cette roche
celui là que je vois qe je suis en tant qu’etree dessinant à main levé&e des betes qui ici en i:mposent par leur majesté, leur taille, leur ressemblance, leurs nombre, leurs viva cité ou comment
dire : leur aspect de vif à la lumiè!re des torches de grotte, je dessine à main lezvée des betes de poids imposant , ces betes sont des gros mots, des injures salaces, des injures ghraves, gravissimes, qui font du tort, qui blessent etc, qui sont des masses ^-massues, des masses sur un etre qui les recevrait en pleine bouille et ws’en trouverait affecté passablemeznt et duravblement, surtout duravblement, car voilà à qyuoi nous aspirons, à conserv er le plus possible cet élan de vie en nous qyi est le nôtre, nous voulopns tenir debvout en roche et poursuivre ici notre chemin de vie (chemin pa riétal) de cette sorte qUe nous faisons de fait depuis le commencement, etc, nous ne voulonbs pas faiblir, nous voulons tenir et aller profond dans la rochre, à ladécouvcezrte du pot aux roses, ce qui est en nous qui dezmeure à jamais, cela : qu’est-ce ? nous sommes des hommes des cavernes quyi allonbs en roche pour com^pren,dre le plus possible de toute cette affaire de dessins de betes, à titre de «vérités-injures-massue», nous (je) sommes (suis) de cette treempe qyui cherchons (cherche) etc,
je vais dans la roche dutemps, je suis entouré de betes qsui pa issent paisibvlement, je regarde les embruns, le fond de laroche, les fluorescences, je suis un homme des cvavernes armé de son bâ ton traceur censé figurer des sortes de mots-betes comme autant de termes de type animalier
qui forment lan,gaghe complet , je dessine ces betes à main levée, en lévitation, porté par un corps en moi de type cohorte animalière, un nuage vrombissant( ?) en moi qui arrive (!) à me soulever de tezrre et me porter sur cette sorte de roche du temps et me faire «dire» les mots injurieux qui «disent» le plus de «vie vive» possible (teneur) afin d’en imposer le plusq possqible, d’en jeter le plus possible en termes de «je», de je groossier, fortement prononcé, de ce je de roche alloouée = cette inhjure faite à la mort ou comment (sinon faite) : dite ? ou commen,t ? nous = je + je ici, ici je dis cette chose de moi comme quoi je est cette chose qui va de l’avant sur rocxhe et trace à l’avenant son iinjure dite «merdouilleuse», ou comment ? le mot qui porrte enlui le plyus en termes de vitalité = l’injure , le mot grossierr, l’insanité proféreé à vive et nhaute voix, etc
, ce mot vif est le mots le plus vif , est le mot qui en impose le plus illico presto , est le mot-injure quyi ressemble le plus à cet aurocxhs ou à ce cheval dessinés à main levée, il qs»’agit ici de ce «mot-douleur» de roche et qyui dit sa douleur (grosse, grossière) et ce disant rezpousse Boucxhe de la moM%ort qui croit en un préseznt de vie (de vraie vie) offerte, qUA nd il n’en est rien mais au contraire : un temps est donné par la ban,de, une sorte de pis-aller de contrebande, une «merdouille» de durée vive, offerte, donn,ée en écha,nge, qui dit cette chose d’une rezculade mais avec des mots qui en jettent beaucoup, comme le mot «a urochs», ou le mot «mammouth», etc, je suis un homme deqs cvavernes, qui pousse ain si sur roche, ou repousse, cette chose d’une wsorte de conclusion à une sorte de débat qui ne cesserait d’exister mais quye donc l’homme des cavernes que je suis essaie continuellezmen,t de repousser repousser aux cale,ndes grecques, je fais ainsi cdtte chose d’une recvulade, d’un repoussement, comment dire ? je pousse devant moi cette injure du temps alloué, ce morceau de choix, cette pièce anima le impôsante, je pousse le tout et me tient «derrière» comme qui dirait l’etre sans plus de voix que celle -là et qui va vers sa vie ou son chemin de vie tracée entre deux bras de mers, je vais sur roche (en roche) à la recherche d’une
vérité ou vérité de bon aloi, quyi puisse dire (enfin) ce qui est de ce qui nous attend mais cela, avec quels mots pouvoir le dire ? iln’y a pas de mots qui aillent à ce dire ! les mots font défaut qui ne disent rien de ce qui est de cette vérité tant rezcherché , les mots de la base (ces injures) disent ce qui est, et ce qui est est que voilà, nbous allons eztre toutes et tous comme pris )à partie par bouche de la Mort, et nous ne voulonbs pas cette chose, je sais Bouche comme étant cet etre musical qyui nous regharde ici comme par en dessous ou par en dessus ou autrement mais toujours afin de ne pas nous mânquer, je vois cette chose dezvant moi, qui est l’espace-temps d’un e sorte de vérité de bon aloi concernant la vie sur terre, et cette chose je la veux quyi puisse se voir, c’est à dire etre vue, sur roche, comme s’il s(‘agisszait ou qu’il se fut agi d’une vraie bete de
prairie, chargeant sa gouverne et allant fissa à wse loger sur roche comme dans un fief, je vois en cette bete (dessinéecx par moi) cet accent de vérité, cette insulte «intimidante» (= le temps) et
cette bvérité de bon aloi concernan,t de fait le BVerbe déclamé, cette injure, ce mot «fort» comme un alccool fort etc, je wsuis un homme des cavbernes et aussi je suis une femme des cvavezrnes et aussi je suis un enfant des cavernes et aussi je suis ou serais un animal des cavernes, je vais et je viens dans les champsq de la paroi du temps, mon nom est marqué-dessiné par une sorte d’effigie, mon nom est ce nom-injure,
qui pousse à) faire reculer,
qyi pousse Mort-Bouche plus loin , un peu plus loin, à peine peut-être, je vois l’entreée de cvette bouche ouverte, cette chose ouverte = cette béan,ce, je vois cette chosqe cd’un e sorte de béance -échancrure devant moi et j’hésite à m’y introduyire car je veux ne pas, je
n,e veux surtout pas ici m^$eme e,ntrer et mourir en pareille bouche , non ! car : je suis cet homme et cette femme et cet animal qui cher
che à tenir en cette chose de la vie sur tezrre, hje vois ceette roche du temps eevant moi qui est, de fait, ce présent qui m’est offert ..., ou bien ce prése nt que j’offre, moi ? là est la question !
9/4/2021
l’homme des cavernes est cet homme vide de mots, l’homme des cavernes est un homme vide de mots, ou bien non ? l’homme des cavernes est peut -être un homme vide de mots ou comment ? on a du mal à croire à un homme des cavernes qui serait vide de mots, on
a du mal à croire à un qui serait (l’homme des cavernes) vide (complètement) dfe mots comme l’animal, mais l’animal est il vide de mots ? on voit l’animal, on l’imagine vide de mots, on sait l’animal, on sait peut-être l’animal vide de mots, on voit et on sait l’animal peut-etre) vide de mots, on est sur la rive, on aavance, on est sur cette chose d’un enfdroit ouvert, on est sur cette chose d’un endroit ouvert, on est sur cette chose d’un endroit ouvert, on est seuls sur cette chose d’un endrioit ouvert, je vais en
cet endroit d’une sorte d’échancrure dans le paysage, je sui s sur ce monticule, mon nom est malotru , malibou ? manitou ? mon nom est Personne, je suis lae maitre de céans de la zone aux embruns, je suis le méga cerf de la prairie des roches, je suis celui qui règne ici, entre deux mers, entre pareilles mers qui sont (peut-être ?) mes côtés, il s’agit pour moi d’aller et de venir en cet espzace de vie pariétale, j’évolue parmi des bêtes soeurs qui sont soeurs de roche, antilopes, bouquetines, auroches, etc, ce sont des betes-soeurs de roche , qui sont là à me regarder, elles sont placides et se tiennen,t quiètes, je les aime d’amour et les regzarde à mon tour aller et venir, je suis le mégacerf de la roche, j’habite en cette roche de paroi pour une étérnit»é, en vrai, de temps allouée, je suis cerf de roche de paroi de grotte, je réègne en ce lieu comme un manitou, malotru ? malibou ? ou comment ? car je suis géant, de taille et d’importance : je règne sur la place d’un entre-deux-mers-rocheuses, sur pareil sol jonché de coqillages, je suis le mégacerf de la roche et je vais et je vioens (ainsi) sur roche du temps, je regarde les embruns et les coquillages, je m»’avance vers les coqiuillages ,; j’entends leurv musique, leur sonorité, les chant des profondeurs, le chant lascif etc, je suis ce cerf de roche dure, ce cerf ;méga qui zab$avance à pas majestueux et à pas posés sur pareil sol cde roche aux coquillages, je suis celui qui est, ici, dessiné , représen,té , gravé par un homme, je suis le (ce) cerf de la roche ici représenté par un homme et cet homme est l’homme des cavernes, il est cet hommev fou des cavernes de la roche ici, qui est l’homme de cettte chose d’une transe, d’un envoutement : il est l’homme envoutévpar excelle,nce, homme privé de mots ou tout comme, envahi en lui par quelque chose d’autre que des mots , voilà le pot aux roses ! l’homme des cavbernes (on le sait) est envahi en lui par autre chose que des mots, il possède en lui autre chose qui l’occupe, qui le remplit, qui est ce qyu’il est ou comment ? l’homme des cavernes est plein en lui de cquelque chose d’auttre que de mots, et ce quelque chose a ici (pour nous chevreuils de représentzation
) une importance en vrai considérable, une importance majeure, cela est capital, cela a une imlportance de premier plab
n, vcela a pour nous (chevreuils en représentation) une ilmportance
incommensurable car : l’homme des cavernes est cet homme qui est celui qui est envahi par en lui une chose énorme, considérable, de très gros poids dans la balance, une chose magique, énorme comme aurochs et même davantage, l’homme des cavernes possède , est détenteur, a par deverslui, a en son sein, a en lui, en son anttre (cerveau ? coeur ?) une chose considérablement importante à nos yeux (de cerfs de la roche (du temps imparti) ) et cette chose n’est pas faite de mots ou d’un ou d’idiomes au pluriel, cette chose n’est en aucune manière faite de un idiome , ou d’idiomes au pluriel, cette chose est une chose autre, qui reste à cerner avec nottre intelligence, sans mots , de cerfs, d’animal de roche (de praireie) , il s’agit en l’homme d’une chose "de gouvernance"
, une pointe fine en lui, une sorte de cohorte ou de litanie mais qui n’est pasfaite de mots à proprement parler, notre homme des cavernes a en lui
autre chose que des mots de roche, il est pris à partie en lui par une chose paerticulière qui est cette chose comme quoi il est l’homme qui contient en lui une gouvernancecanimalière (animale ?) qui le pousse à aller sur roche graver ses betes de temps, ses betes fortes, ces massues etc, il est l’homme de roche ou de la roche dure des temps alloués et en lui possède autre chose que des mots de roche, ou des mots de rocher, il est zenvahi en lui pzar des mots qui sont des mots-animaux qui ne sont pas des mots à proprement parler au sens où nous (ghommes modernes) entendons la chose, ou nous , chevreuils de la roche, entendons la cghose : l’homme desc acavernes a en lui toute une cohorte de betes accummu kées ou agglutinées qui sont un magma, une
bouillie (?) , une sorte de boule vive, ou une pique, une la,n,ce, un baton de bois, etc, en lui, en son antre d’homme envahi, il est porteur de cette gouverne en lui qui n’a pas de mots à proprement parler mais autre chose prenant place, et
cettte autre chose est à comprendre, à trouver, déceler, car ici est le mystère (entre autres mystères) de cet homme-femme des cavernes, cette chose en lui qui le gouverne, le fait aller, le fait dessiner, le fait prendre ces batons de bois et au fusain dessiner des aurochs, des rennes, des ours, des chevaux, des lions, des bisons, des mammouths et c, il est cet homme pour nous du mystère (entier) de l’idiome natif,
il est pour nous chercheurs et pour nous chevreuils de roche, cet homme, ou elle cette femme, qui reste un mystère, ici, de l’idiome natif ou comment dire cette chose d’un mystère qui serait lié à la naissance de
l’idiome, du langage articulé ? que dit
l’homme à ses dfébuts ? comment s’exprime t il ? qi est il ? comment parle t il ? et s’il parle comment est son langage ? fait de quoi ? de verbe ? de quoi en vérité ? car l’homme des cavernes (on le voit) a gouvernance, a en lui cette gouvernance qui le pousse à aller loin en roche graver, dessiner des buffles, des aurochs
-mots, etc, il a en lui une sorte de sabir vocal ? a til en lui une sorte de sabir vocal ? qui est il en définitive ? nous ignorons ce qui en sa tete passait ? des intentions nommées ? des mots en toutes lettres ? des bruyits ? des semblants de
mots ? des semblances ? des ressemblances ? la solution en effet (peut-être) est à recherchezr dans cette ressemblance "magique" retrouvée en des représentations rupestres, en effet il se peut que la ou l’une des solutions à notre énigme soit comme contenue en cette ressemblance attitrée ou comment dire, retrouvée, vue, cernée en ces représentations animalières, il se peut en effet que ce soit là, dans la ressemblance d’une représentation avec
son modèle dans la vie, que là, en cette ressemblance mimétique ou comment dire, résidât la chose, se logât la chose qui nous importe, il se peut que l’homme des cavernes ait eu en lui une sorte de gouvernance à pa rt lui qui le fît dessiner ressemblant comme jamais ! et cela poour quoi ? pour dire ! pour signifier ! pour dire des choses en particulier , et ces choses = choses de gouverne, etc, il se peut que
l’homme des cavernes ait eu en lui une sorte de gouvernance animale, hors les mots
grammaticaux et autre verbe de base, etc, hors les mots une sorte de grognement animal fait de cette chose d’un désir de semblance et de resseemblance, il est possible qiue cet homme des cavernes en lui ait eu ce besoin cette ecxigence, cette chose dure et formée en lui, ce massif, ce massif ordurier, cette volonté d’en découdre animalière, etc, on ne sait ce que l’homme des cavernes avait en llui en termes de gouverne ou de gouvernance, et cependant en lui transitait ‘(cérébralement) quelque chose de construit, et ce quelque chose à notre
avis avait à voir avec la ressembkance mimétique, la semblance paréiétale animalière, etc, il fait sur roche «ce qu»il dit» à sa façon toute rupestre, toute primitive, etc, il fait pariétalement office, il initie, il transite, il mue, il évolue dans son abpproche d’un llangage de tribu, il est sur le chemin d’un mimétisme considérable et ce faisant il prie, il
dit son dire fou de roche dure, il est l’homme qui transpire son envie d’un dire collé, accroché à la roche du temps et ce faisant il est l’homme des embruns, des fonfs de roche, du dur de la roche dure etc, il grave à l’envi, il n’en démord pas, il fait cette chose d’un dessin de roche à comprendre et à «lire» cvomme une partition verbale ou ce genre de choses pariétales, il est l’homme qui dit sa chose avec desmots-betes de roche, dessins de bisons ou de rennes, de chevaux en veux tu en voilà et autrees aurocs, et tout cela est pour lui une sorte de gouvernance hors les mots articulés, il est l’homme de la roche des temps alloués, il est cet homme qui est là (pour lui) l’homme gouverné peut-être par la
bande à sa façon, on dirait cela, il semble être cet homme de la roche dure des temps, qui est comme gouverné par la bande en lui , bande d’animaux de prairies, de bois et sous-bois, qui en lui forment uune masse massue, une pesanteur, une boule de feu, etc, propre à aller sur roche se représenter seule pour ainsi dire, il s’agit un peu de ça, il fzaut voir cela comme kla conséquence d’une emprise (cérébrale) infinie, en cet home fou, pris à partie, envahi, englouti pour ainsi
dire , l’homme des cavbernes possède donc en son sein gouvernance hors les mots articulés tesls que nous les connaissons, il est envahi par en lui une sorte d’impulsion massive (forte-folle) qui pousse cet homme à agir «de vie», et cette impulsion massue est celle là que nous voyons à l’ euvre chez des animaux cvomme par exemple l’aurochs, il semble donc que nous ayons affaire à un homme de taille, qui sait se tenir droit,
qui a en lui gouvernance particulière qui le pousse à agir à bon escient et à par conséquent tracer des sortes de «vocables sur roche»
, de type art pariétal etc, on voit l’homme des cavernes ainsi, comme celui qui est de fait gouverné en lui par des impuls, par quoi ? par des impulsions de vie, par des diktats de vie en lui, des désirs
de vie , etc, qui le font aller et venir, déambuler dans la prairie, etc, il n’est pas cet homme du ressassement langazgier, de la mainmise langagière en lui , ou du moins pas au point qui est le nôtre, pas à ce niveau de ressasaement qui est zaujourdhui le notre, non, l’homme des cavernes est l’etre envahi comme nous le sommes mais par autre chose que ces mots que nous avons en bouche et dans le crane ou même ailleurs, sait -on ? on pense (nous) que l’homme des cavernes possède, en son sein coutumier, des choses en lui qui ne sont pas des mots comme les nottres, c’est à dire mots de ressassements, mais par des sortes de vocables (peut-etre) animaux (?) , animaliers (?) , qui le pousse à agir par la bande , cela signifie que cet homme sait, comprend, agit, reflechgit aussi, autrtement que nous, il ne se pose pas comme nouys, il ne s’appuie pas comme nous sur des mots de base, il n’a pas comme nous en bvouche des notions verbales avérées, il dit peu car son dire est fou, il dit ce que l’etre en lui de la roche dit pour lui, et ce dire est cri de bete au sens où il s’agit d’une sorte de semblance avec la bete, de grande semblance etc, de tres tres tres grande sembvklance etc, il semblerait que cet homme des cavernes savait loin et voyait loin, il semblerait que cet homme des cavernes avait en lui des choses à faire remonter sur roche, et ces choses sont sabir à safaçon, sont choses de grande et belle importance, il est l’homme des roches du temps, de la paroi dure, des cvailloux des grottes, des bords de mer, des effluves, du vent dans les branchhes, de la vue longue, etc, il manie la sa gaie à la chasse, il sait naviguer, il est aisé, il est vif l’éclair, il est rusé et cela hors les mots de tete tels que, nous, en sommes munis, hors ces mots de la tete brute, il est l’homme hors ce genre de mots et par conséquent autre chose existe hors ces mots que nous connaissons : il y a en nous (encore ?) quelque chose qui existe sous» les mots, ou «hors» les mots,
etc , en nous est encore, exisqte, vraisembklalement une chose qui
était cela qui gouvernzait en lui , l’homme des cavernes, et cette chose est enfoiue sous une couche de verbe crasseuse, non, ou peut-être, ou comment, car cette chose
a peut être encore cours, ou comment dire ? il est juste de chercher en cette chose, il serait peut être juste de chercher en cette chose, d’une sorte de guidance en nous hors les motsarticulés
, mais où , et comment ? car nous ignorons ce que cette chose déjà était chez l’homme des cavernes, qu’était cette chose ? quoi était cette chose ? nous ne savons pas ce qui gouvernait en lui qui cependant était gouverné, alors comment en avancer ? il faut comprendre que cet homme des cavernes a en lui une musicalité inhérente à la nature hulmaine temporelle, car qui dit le temps dit le mouvement (moment) qui se déploie et ce déploiement est musical dans la mresure où il se joue sur des paramètres vocaux (dirait-on) de base, il est mouvement qui emprunte des voies vocales (physiques) en particulier qui le font cheminer comme une effluve, comme nuage, comme un ruban laché dans le vent : contorsions etc, qui font de cette "chose de vie" une sorte de forme de vie musicale, etc, on a cet homme «musical» par excekllence et là -on sait que cette donnée (de la musique des sph»ères du temps) est donnée de vbase, est basique ou native, on a la musique qui guide, qui est la vague pour ainsi dire, et cette musique de l’homme (inhérente au temps de l’homme) est porteuse, elle tient les données pour elle, elle est cette vague de l’homme en lui qui porte et va aider à sa gouverne, il semble que l’homme, cet hommùe, ait eu en lui une sorte de vague temporo-musicale, qui lui faisait prendre des chemins de vie da ns la vie (courants de pensée)) qui le guidaient vers tel ouu tel point de mire, l’homme des cavernes porrte
gouvernance musicale en lui = déploiement du temps en ruban de vie, sur son devant, dans la roche du temps, etc, il avance a
insi comme mû en lui par une sorte de donnée temporo-musicale qui est comme base en lui sur quoi s’appuyer (base de sustentatation pour ainsi dire) , il avance ainsi gouverné en lui par autre chose que des mots de la tribu, car ses mots à lui sont soit rudimentaires, soit inexista,nt à ce stade de l’évolution, l’homme des cavernes n’est pas en train d»de se dire des choses», car il peut encore «se dire des choses» et cependant il «se dit des choses» alors comment comprendre ? «il se dit des choses « oui , au sens où ikl prend des décisions, et peut on prendre des décisions sans mots ? c’est à dire comme un animal quand on est un homme , peut on ? il semblerait que gouvernance en l’homme des cavernes fut cette chose d’une sorte d’empiètement en lui d’un décisif animalier, d’un désicif brusque, direct, sans arrière boutique ou pensée ou train, ce brut de la chose brute, musicale en diable, qui donc faisait sa gouvernance, était-ce ainsi ? on pense à un homme qui en lui n’a pas ce lan,gage continu et contenu tel que nous l’avons en
nous aujourd hui, satête est fraiche de mots, il est vide un peu ? est-il vide un peu ? est-il cet homme vide un peu des mots de latribu ? est il vide de mots ou pas ? l’animal est-il vide de mots? très certainement ! et l(homme des cavernes comme l’animal ? peut etre pas, car l’homme des cavernes dessine sur roche, ce que l’animal ne fait pas, autant qu’on sache , et donc l’homme des cavernes est auttre, il est ailleurs et son discours intérieur existe, tres sûrement, son discours intérieur est un discours fou quyi va son chemin de bure comme sur un e sorte de vague de musique fine, il est l’homme qui se laisse ainsi enrubanné temporellmement par en lui des impulsions (impuls) qui le font saillir, graver, chasser, courir, armer, tuer, manger, coucher, dormir, etc, il est l’hommùe de l’arc tendu en lui comme une sorte de moment-mouvement de grande durée (le temps de la roche) et c’est ainsi que là nous parlerons d’un homme
tendu, d’un homme de l’arc, d’un homme des chants tendus, etc, il est cet homme du
chant en lui tendu comme un arc, et ce chant jamais ne débande , qui le tient debout à agir et faire x choses de son quotidien (comme un homme xd’aujourd hui, mais comme un homme qui serait privé de parole, ou comment dire ? ), l’holme des ca vernes est lm’homme du chant tendu, il est porteur en lui d’un ruba n de vie tracée sur roche, il avance au ca spar cas, il est l’homme du voyage, du sang , des effluves, du vrai de roche, de cette tension
, du virevolt etc sur parooi de grotte, son nom est inscrit de cette sorte que nous voyons, nom de la chose du temps, il dit comme il pense = mots-betes ou mots de betes, l’homme des cavernes est cet homme que nous ignorons, dont nous ignorons tout ou presque, car : nous ne savons pas (vraiment) ce quil contenait en son sein brutal d’homme des chazmps, que contenait il de si bhrutal ? que (quoi) l’homme de le caverne a ?
en son sein , en son sein qui est
cette chose en lui d’une sorte d’antre, de ventrte, etc, il se peut que cet homme fut pour nous l’hoimme du sein, il se peut que cet homme soit pour nous l’hoimme du sein, de l’antre, du ventre, etc, sa chance, son avancement dans la przairie, sa course sur chazmps, son savoir de chasseur émérite, sa vista, son adresse , tou cela sans motsq ? nous peinons à croire cette chose ! alors comment ? avec en lui gouvernance -miiusicale des sphères ? avec ezn lui gouvernance musicale des embruns ? des rives ? des borsds eéchancreés ? quoi ? l’homme ici a en lui (discours) une sorte d’injonction brute, brutale, qui le pousse à faire, et cette injonction n’est pas à proprement parler verbale, alors quelle est-elle ? on cherche, on est chercheurs en préhistoire, on cherche assidument, on ne lache pâs la chose, on cherche f olloement, on est tout à notre affaire de recherche de vérités, nous sommes tout à notre affgaire et nous voulons savoir ce quil en est de toute cette affgaire d’homme des cavernes gouverné
, car chacun pour soi a gouvernance, chacun a en soi son langage discursif de gouvernance , et l’hommùe des cavernes alors ? zaussi ? mais lequel ? ruban ? c’est à dire ? eh bien peut etre est il l’homme qui sait ce qyui est, du
fait qu’en lui transite des ezffluves musicales opportunes, il est l’homme qui est traversé en sa conscience par non pas des mots formés en toutes lettres mais par des sortes de visions actives = moments-mouvements qui sont déploiements particuliers (particuliers = musicaux) qui font que le voilà qui sait chasser, graver,
aller, mesurer, monter sur échasse ou frapper paroi (scansion) comme un demeuré, il est donc homme qui sait, et ce savoir en lui est non pas «lettré» mais imagé comme un idéogramme ou comment alors ? l’homme desz cavernes est l’homme de la voie d’accès, il est en lui dépossédé et en même temps il est en lui envahi, et ce jeu de piste en lui («à toi à moi») est capital : il est (homme) envahi possédé, vidé» dépossédeé, il est cette sorte de epersonnhe (créature) à double visage : celui de l’homme le chasseur, celui de la bete le chassé, etc, il est l’homme qui va à la chasse et se loge en roche pareillemeznt, double comme une outre, il est l’homme qui perce la rocxhe de son pic de verbe animalier, de cette chose agglutinée quyi est une sorte de lance à crever lza roche, à percer cette chose de paroi de grotte, il a en lui une sorte de conscience
aigue (enrubannée) des choses du monde, il est vif l’éclair le spartiate, fait de choses en lui amoncé»elées
comme des images qui sesupezrposent sur un même écran de contrôle, l’homme des cavernes aime la paroi comme roche d’un temps imparti (la vie) et se complait à dessiner sur elle des betes de roche, des bouquetins, des isards, etc, des betes des prés, des cerfs et autres cervidés, il aime dessiner sur paroi ce qui en lui préside aux destinées de sa propre vie au quotidien,, ni plus ni moins, il dessine sur roche ce que sa gouverne contient en fait de «mots-betes» de la bande , il dessine à main levée des betes de roche, des prés, des sous-bois, etc, il dit cette chose sur la roche dure d’une sorte de pensée de gouvernance qui l’occuperait, serait en lui cette chose en pointe, pique de la pique en lui, de pareille pique en lui, il dit cxe qui lui passe par l’esprit et cela n’est pas du vcerbe à proprement dire mais quoi ? une sorte d’injonction brutale,
animale, dure, coriace, vive, envahissante, une sorte de «pensée « des profondeurs, un «idéogramme» ? une pesée ? une chanson ? un chant guttural ? une rengaine ? une scie ? une mélopée ? unec musique des embruns ? en lui une musique en termes de consqcience ? il sembkerait que l’homme des cavernes possédait des choses en lui (en conscience) diiférentes de nos mots à nous d’hommes -faons modernes, et ces choses étai-ent envahissantes suffisamment pour donner impuslsion, ces chosesz relevaient d’un
savoir fou, fou en tant que xchose débridée, chose sans frein, etc, il semblerait que cet homme avait en lui des sortes de données, vives (vivaces), brutes,(brutales) , qui étaient des sortes de «pensées» sans mots, des «pênseés» hors les mots de la base verbale, alors comment ? comment penser hors des mots ? toute la question est là , se loge là ! toute la question se loge à cet endroit ! comment penser hors les mots de la base verbale d’appoint , ou d’emprunt, cvomment faire ? il semblaerait que notre bonhomme savait cette chose, il savait faire, il avait ce savoir i-ncommensurable, il était
d’un niveau élevé, il pouvait aller très loin , porté par la bande enrubannée d’un en lui impact, d’un impact en lui, de cette impulsion en lui, cette chose, qui pouvait agir pour lui, il avait en lui cette chose de gouvernance musicale, cette remontée vive cérébrale, cet
enfoncemeznt des parties, cette chose rude, ce savoir de fou, cette remontade, etc, il est l’homme qui en lui accueille une sorte de remontade des pârties dures, de roche aux embruns, de paroi de grotte, de telle paroi, etc, il accueille en lui cette remontée (cette enguelade pour ainsi dire) qui le pousse à faire telle ou telle chose au quotidien et du quotidien, il est l’homme qui recoit ce «verbe» dur de la roche du temps, ce coup du sort, cette brute épaisse d’une roche des temps impartis, etc, il reçoit des coups (du sort ?) sous forme d’impacts de vie rude et de remontades, etc, il est aoinsi
tourneboulé de cette façon que lui ne sait plus où donner de la tete : sur roche ? impact ? sur paroi de grotte au charbon de bois ? il grave et dessine comme un chef de ra ng, il est le meiulleur de la roche, le plkus qui sait, car sa voix est belle qui chante son sang de reflux , qui chante sa mélopée en propre sur paroi , qui vient à s’inscruster ici comme une mélopée des profondeurs de telle ou telle roche des temps, il dessine et grave des betes, il est gouverné en lui par un quelque chose qui est une sorte dec mélopée venu des
profondeurs de son antrte, et lui de se laisser guider ainsi, de se laisser faire et monter, il est eznvahi comme une terree l’est par une crue, il est submergé comme un champs sous des averses diluviennes, etc, son chant sort de terre, il est l’homme du chant de la terre mouillée, il est celyui qui marque ses emprezintes , chasse et copule, il est l’homme (il semblerait) des saisons du temps rocheux, il p»arle» à sa manière dure , sur la roche, sur paroi, en gravant dse betes, des aureochs de champsq, etc, il donne ain,
si à qui mieux mieux de son quant-à-lui pariétal, comment le comprendre ? l’homme des cavernes a en lui une gouverne, cela est une évidence, comme un animal a une gouverne mais pas seulement
, car l’animal (lui) ne dessine pas sur des parois de grotte (de grotte cachée), il n’a pas cet art du faire la bete sur roche, il n’est pas ce dessin,ateur de roche des temps, il ne grave rien sinon peut-être ses empreintes dans le sable etc, or ici l’homme grave autre chose que pareilles empreintes, il grave des images, il sq’agit donc d’un homme de
l’image, de ce qui est vu et montré sans dires, ou alors : de ce qui est vu et montré sans un dire «obligé», ou comment le dire ? l’homme des cavernes a une gouvernance de conscience différznte que chez l’animal, il a cette gouvernance pour lui, et cette gouvernance est motivée par des sortes d’impulsions natives en lui qui «parlent» pour lui, et ces impulsions sont esse,tiellement musicales étrangement, c’est à dire que sa consqcience n’est pas une litanie de mots accumulées comme par la bande mais une sorte de chant cde roche, une sorte de bruit de fond pariétal, une mélopée du fond des â ges au sens où cette mélopée le suit depuis l’enfance, il est envahi par en lui un chant musical, pariétal, envahissa nt comme une flamme, etc, qui le pousse à être ce qu’
»il;est sur roche = ce graveur de betes ressemblantes, il est envahi en lui par un chant, une musique, un son de base crucial, etc, et cette mùusique est celle qui le guide ici au quotidien, colment ? en tant qu’elle s’inscrit dans le temps des mouvements comme des déploiements, il suit sa pente, l’homme des cavernes suit sa pente musicale en lui, il est armé en lui d’un son de base qui est une sorte de portée de choses et autres, choses et autreezs que cet homme des cavernes doit comprendre , cerner, et suivre «à la lettre» ou tout comme, car ce chant en lui (
«chant de la conscience brute») est le chant porteur, le chant d’un portage moteur, etc, il faut comprendre ici que notre homme-femme des cavernes n’est pas outillé comme nous autres hommes-femmes des tmps modernes par une sorte de langage articulé qui lui donnerait du fil à penser, etc, non,; l’hommùe des cavernes est outillé en lui d’un chant, c’est à dire d’une musique vocale, d’une voix en lui qui ne parle pas mais murmure une sorte de mélopée qui est un fond de roche dure, une sorte de belle mélopée de bure, un ...
chandail ? un quoi ? vetement ? revetemen,t ? une couche ? une plume ? on chercxhe ! on sait que ce chant est une sorte d’envahissement rugueux en cet homme de laroche dure , parfois, et d’autresq fois non, non-rugeux ; de quoi s’agit il ? on cherche ! on ne sait pas ! on veut savoir ! on veut découvrir le pot aux roses ! u-on veut aller loin le plus en ces recherches de parois de grotte ! l’holme des cavernes a ezn lui une conscience, cela ne fait pas de doute, et cette conscience est pleine d’un quelque chose qui n’est pas du verbe
, alors sinon du verbe quoi d’autre ? du tourment ? du tourment de quoi ? du chant ? du chant de quoi et d’où ? l’homme ici (des cavernes et des avens) est cet homme qui, en conscience, possède une base solide, fiable, qui lui permet d’agir en toute quiétude dans la vie, l’homme ici est celui qui a en lui une base solide (hors les mots de base) qui lui donne de fait de quio se comporter intelligemment en son monde de roche, de prés,
etc, intezlligemment , ce qui signifie que, cet homme, cet holmme de la caverne rude, cet homme est muni (outillé) d’un semblant de verbe actif, ce semblan-t de verbe actif n’est pas à proprement parler un verbe, ou du verbe, mais : mé&lopée ! mélopeé active ! chant guttural! chant de la voix interne! chant de roche dure (rude),
chant qui vient en lui en continu comme une sorte de "ruban de vie" déroulé en lui par la bande animalière en lui, et ce ruban est sur sa langue, comme une sorte d’intrus, à cracher fissa sur paroi , on voit cet homme comme outillé» par en dedans d’un chant de roche, on le voit quyi grave en transe, on voit cezt homme qui sait sans mots ce qui est sans verbe, il avance ainsi dans sa vie, il avance dans sa vie comme l’homme
des cavernes de la roche dure et rude, il est vif comme l’éclair, il fonce à grandes enjambées, il est porté par les marées ou des marées d’effluves diverses en lui qui font pour lui (agissent) dans le sens de ce qyui doit, de ce quyi se doit, etc,il est l’homme comme porté par kla musiqye des embruns, il est l’homme musivcal par excellence car en lui conscience = musique des plaines, des bois, des sous-bois, l’homme des cavernes possède en son sein une sorte de mélopée qui décide et joue son jeu à lui, de grand manitou des embruns de roche, il est cet homme ici envahi par le grand manitou musical de la roche du temps alloué à une vie de fait d’homme des cavernes envahi par en lui une sorte de mélopée qui le pousse à vivre ainsi sa viee d’homme des cavernes envahi par en lui une conscience dure (rude) liée à la roche du temps et des temps impartis pour une vie à vivre en grotte, sous influence, sous le charme et l’action votive d’une sorte de belle musique des embruns en lui qui les reçoit comme des convives (les embruns) et la reçoit (la musique) en tant qu’elle est pour lui cette voix en lui qui admoneste, injurie, gueule dans sa barbe etc, il semblerait que l’homme ici (des cavernes et aurtres gouffrrszxe de vie) ait à recevoir en lui dees remontrances, de ces sortes d’enguelade chaude, vive, «maison», pour des méfaits de vie qui en lui lui seraient reproché par une bande animalière en lui (betes-mots) qui ne l’entendrait pas de cette oreille, il est ainsi que l’hommes des cavernes a (il semblerait) conscience (
hors mots) en lui, de choses et autresq liées à sa vie quotidienne et cette consqcience est musicale , et s’inscrit dans une sorte en soi de "remontée de bretelle" ou comment dire cettre sorte de colèrre qui gronde en son sein d’homme des cavernes, qui à son insu gronde, remonte, prend une place monstree et va à sortir de l’homme via ce trou dee bouche effectué à vif par le pic de roche rude, en soi, comme percée de gencive brutale, ultradouloureuse, vive de chez viçf, etc, nous pensons que l’homme des cavernes ici était en sa groote comme dans un venttre, ikl était pris d’assaut en lui pzar desmots-animaux quyi n’étaient pas des mots à proprement parler mais des sortes de bruits, des sons vocaux, grog,nements (?) ou autres ronflements
(?) ou comment ? et cela , ezn
conscience, était «porteur», étzait ce qui faisait qu’il agissqait comme un chezf de rang dans sa vie de roche et de champs, il était vif de roche, vif de voix, sacvait chasser la bete des champ, écoutait en lui ce ruban musical xdes sphères qui donnait le la (l(injonction) et lui permettait d’aller et de venir, sur roche du temps, comme une sorte de, de graveur (peut-être) dezvant l’étezrnel, de graveur de betes, degraveur de signes ou de signaux, il est l’homme du chant intérieur (pour le coup) qui agit en fonction, qui agit selon le rite déroulé par ce chant dee laroche des temps, il se laisse porter (en paertie) pa r ce chant voçcal en luii, qui est le chant (ce chant) des parties de roche allouées à la vie, il est portée en lui par une conscience avérée des choses du monde sur ce plan rocheux dee la voix donnée, portant sa mesure ici d’homme agiszant sur roche, sur paroi de grotte,gravant à qui mieux mieux des betes de poids, etc, l’homme des cavernes est l’homme pour le coup de la roche des temps, il avance ainsi, armé de sa gourme, il est celui qui grave en vrai à tout va des noms de choses via des effigies, ces noms (litanie, pour le coup) sont ceux que nous voyons, des sièxcles et des siècles apres leur in,scriuption, ils sont noms de choses de vie vive, très vive, ils sont mots d’emprunt anima lier pour ainsi dire et donnent le la à cet homme que nous sommes ici à étudier pour comprendre aujourd hui ce qu’il ezn retourne de toute cette affaire pariétale de
conscience musicale des parties, nous essayons dès lors de nous figurer cette chose ensemble, comment comprendre ? un homme «penwse» sans langa ge articulé , cette chose est elle possible ? quel est dès lors le lzangage de cet homme ? son lmzangage est «hors-sol» pour ainsi dire, il n’est pasfait de mots verbeux, sa conscience est liée (très) à une sorte en lui de mélopée pôrteuse, un langage fait d’une sorte
de coulée en lui de (diverses) sonorités qui agissent sur lui comme une sorte d’onguent, d’huile de bienfait, d’enveloppement intériuer, une douceur de laine etc, qui fait que cette chose rude en lui (tres) est amoindrie, adooucie par en lui ceette cghose d’une compétencxe, etc, qui lui fait
avaler la pilule d’une sorte de ruade en lui à tout crin, qui est rude, rugueuse, douloureuse, alors voilà notre homme des cxavernes, qui s’emploie (via la chose musqicale en lui) à amortir le choc en lui d’une poussée comme gingivaire, d’une douleur, d’une grande (tres) douleur i,ntérieure àà devoir subir, à devoir encaiiszeer en lui et dépasser, l’homme des cavzernes en lui a cette chose d’un pouvoir qui est celui de pouvoir dépasserr cette chose d’une grande douleur en lui qui est la douleur d’une percée dentaire ou comment dire ? comment savoir ? il est l’homme percé cde part en part , et qui se doit de fait d’encaisser pareille percée et comment encaisser sinon par en lui ce chant d’inondation, d’envahissement, d’envoutement , etc, commeznt autreezment ? l’homme des cavernes est percé en lui de part en part (douleur massive) et pour encaisser pareille douleur il se doit de faire cette chose (incommensurable) qyui est de se mettre à l’écoute en continu d’en lui cette musiquette de base = conscience , qui joue dee sa propre paertition vocale (intérieure), qui joue son jeu de base vocal, cette voix juste, fine = un pansement -onguent sur une peau de hjoue meurtrie par la bande (animale) de ce temps de survenue massive, déchiquetage, etc; il est l’homme qui sait de base accueillir en lui cette chose d’une percée (d’une percée de joue) par un pic de betes en lui remontées comme des pendules et hurlant leur mécontentement, et lui, notre homme (ou notre femme) d’agir à
sa façon pour soulzager le mal en lui, ce mal de déchirure, dee percé comme une per c ée de ghencive etc, il essaie de subjuguer, dépâsser, ce mal de joue vif, etc, il essaie de passer outre, il essaie par la pensée, mais sa pensée est une mélopée comme, dans le mal, la douleur ,lorsque l’on se met à fredonnerson
cxhant, de mélopée douce, à douce voix, à basse voix ou à voix basse, pour soi, onguent, pansement, douceur sur une plaie vive, un chandail, un enveloppement soyeux, une compresse musivacale sur un trou de bouche saignant, doyulourezux comme pas deux, à hurler de vivre, etc, il s(agit pour l’homme des
cavernes, de comp^rendre cette chose en lui d’une sorte de mélopée de conscience vive, due à l’impact en lui d’un pic de verbe animalier, sorti de son antrte (enceint) et azllant à se ficher, sur roche du temps (paroi de grotte), pour se soulager (?) et montrer au monde sa colère,
sa belle colère, sa vive colère d’animal blessé etcx, on voit l’homme des cavernes ici muni (attirail) d’une conscience animalière des choses du tempqs, il n’a pas en propre de langage ou plutot de langue comme nous autres, hommes de ce temps, pouvons avoir, l’homme des cavernes ne possède pas cette chose en lui cd’une sorte de langue élaborée, avec grammaire, syntaxe etc, il ewst muni en lui d’une «mélopeé de conscience», il pôssède en propre cette chose de’(une sorte de chant guttural, en sourdine (?) qsui est ce cxhant accompagnateur, accompagnateur de douleurs, accompâgnateur en lui de cette douleur en lui qyui le pousse à êtrte cet homme du chant pariétal (betes -mots : aurochs ! aurochs !
aurochs ! aurochs !
aurochs ! là et pas ailleurs, et que chacun entende cette litanie votive, ce chant des effluves, ce cri de roche langoureux ! ) , l’homme dit «aurochs !» et il s’agit d’»une sorte d’injonction votive ! l’homme dit «aurochs» et disant cela il se «dé livre» du mal dentaire, de la hjoue du je, de cette chjose en lui qui est peut-être la douleur première, vive de vie, qui pousse l’homme à graver sur roche, et à «dire» ainsi sa douleur de base, incommensurable, magnifique (?) ou magnifiquement mortelle (?) ; il sembkle ainsi que notre homme ait à dire cette chose, il nous semble que cet homme (des cavernes = des trous) ait à dire cette chose sur roche, d’une grande douleur dentaire
, = de joue, nous pensons que cet homme (des trous) ait cette chose à dire sur roche, cette chose d’une
douleur grande (incommensurabvle) concernant la hjoue, ce trou de hjoue, cette faille, cette déchirure, cette trouée, cettte percée comme dentaire qui fout en panique, le feu aux fesses instantanézment, qui fout en vrac, qyui pousse ainsi sa chamade etc, l’homme des cavernes encaisse, il joue sa petite
mélopée de roche, sa musique est celle des sphères, il joue sa musique de partition votive à même la roche et ce faisa nt il dit ce qu ‘il a «à dire» , cette chose d’une sorte de douleur dentaire, etc, on dirait cela, l’homme des cavernes est donc cet homme qui pzarle ai nsi de son chant de conscience vive (aigue) qui le pousse à dire sa chose, d’une tres forte douleur à la joue, dezntaire, gingivale, etc = de bouche, il est ainsi qu’il se voit troué de l’intérieur, pezrcé de l’intériuer par une sorte de pique de donnée animalière (animale ?) qui l’entraine ainsi à «dire» sa gourme, sa chance ? son chant ? qui est le chant de cette chose en soi, d’une
conscience des profondeurs, de cette profondeur, en soi, de son antre, et de cette autre profondeur, hors de soi, qui est celle là que l’on perçoit, devant soi, comme un chjemin de vie à emprunter dansla durée, on comprtend cela ainsi, comme quoi cet homme des cavernes a en lui cette conscience hors lesmots, qui est mélopée, chant de base, apprêt, etc, qui vient dire sa chgose d’un méfait de vie, cette percée soudaine, vive, brute et brutale comme mal aux dents, etc, cette percée en lui soudainr, ce pic de percée soudaine, etc, il dessine des bisons sur roche, des rzennes, des aurochs, en transe à main levée, il est sous emprise, il est sous l’»emprise d’une sorte de beauté en lui, de force en son sein, de chose curieuse, d’une doucxble voix qui dit sa chamade, etc, cette voix en lui est double, comme le sont : le bien d’un co^té et le mal de l’autre d’une seule chose ainsi comme dédoublée en son sein, l’homme des cavernes est cet hommùe dé chiré de l’intérieur, au sens propre (hjoue) comme au sens figuré (chant) car il est cet homme de la roche dure et de la roche douce, il est cet homme de la roche dure du temps, et cet homme des douceurs de chanvre, il est
l’homme qui subit et aussi l’homme qui réagit et s’apaise ou chercxhe cela, cet apaisement des parties brulé»es, etc, il donne en lui ce quil peut donner, il cherche à apaiser en lui cette déchirure-br^lure, ce pic affreux, cette pezrcée folle, cette misère, ette vive misè!re, ce méchant méfait, etc, il cherche en lui (conscience) à apaiser cette (grande) douleur dentaire, cette chose en lui du palais et de la langue etc, il est cet homme de roche dure qui encaisse la douleur d’une sorte de perrcée (en soi) gingivale quii le met à plat et le pousse à sussurer pareille mélopée , en roche, sur le tas, sur roche des aurochs ! il est l’homme dit "de la petite voix", qui parle «, qui «dit» sa douleur, l’homme des cavernes dit des choses, sur roche, à sa manière animalièrez, il n’est pas l’homme en lui d’un flux verbal, car les
mots en lui ne sont pas légion (pasxencore
) et de ce fait ce qui sort de sa boucxhe n’est pas à proprement parler un parler en propre, mais un son de chance, une sorte de mélopée doucereuse, censée pouvoir calmer la douleur des betes qui, en soi, ont touché à vif la chair de la hjoue, calmer pareille prise à vif, calmer cette chose, ici, d’un pic à vif de joue humaine, l’homme des cavernes possède en propre une
conscience des parties, il joue sa carte musicale, son «parler « ou «sabir» est une mélopeé de bure, il «dit» ce qu’i l «dit» par ce chant de roche induit, cette mélopée de concert, cette cxhose douce censée reposer ladouleur en lui d’une blessure à vif, d’un trait de percée comme une bouche, il est cet homme qui pousse ainsi sa conscience d’être, sur roche, l’homme
des dessins et autres gravures de betes, dessins pâriétaux, gravurres au couteau etc, il dessine à main lezcvvée, en lévitation, porté par des betes de poids qui poussent, «au cul», leur colère etc, l’homme et la femme des cavernes sont portées par des betes de poifds qui poussent au derrière ett font faire sur roche leurs choses animales en tant qu’effigies, l’homme des cavernes est cet holmme qui dessine à main levée des effigies animalièresq, il est l’homme du chant intérieur car sa conscience est musivcvale avant toutes choses, il est envahi ou comme enva hi en lui par un cha nt de conscience quyi est «développement ondulant», qui est «beauuté»é» du gewste oou comme «beauté-ondoiement» dx’un geste de vie lié à-à ce qui ici entoure pareil mouvement en termes d’effluves, de courants dans un paysa ge, il est ainsi comme porté par en lui ce chant de conscience qui est mélopée , qui est mélodie ou donnée mélodique,
etc, et ce chant, porteur en luyi en tant que "chant de conscience" est une sorte d’onguent sur une plaie, il s’agit de c ette chose d’un onguent (chrêmee biencfaisante ou bienfaitrice) déposée sur une plzaie (de vive vie) qui est plzaie de bouche, l’homme est transpercé par une sorte en lui cde pique vive (animale) comme un cri
sorti des entrailles, un christ ? e-t ce cri sorti des entrailles, est animalier ! est animal ! est le cri de l’animal contenu en l’homme, au départ, à ses débuts, ce cri laché sur roche, guttural en diable, etc, l’homme a la bouche perrcée, ou plutot : l’homme a la hjoue perceé et ce perçage est formant bouche ouverte, trou de bouche pour un passage, etc, l’home a conscience en lui hors mot mais comme en lui un cxhant, qui est cette chose de conscience, il (l’homme
des cavernesq) est l’homme dee ce pic de verbeanimalier en lui, il a cette conscience en lui de cette chose dite, dure, à encaisser de l’intérieur, il a lui, l’homme, à encaissser pareille chose rude, cette ruaxde en soi zanimale, ce gueulement, cette engueulade, ce rudoiement, cette poussée rude, ce «carton», cette poussée dentaire vive et mortelle, cette douleur incommensurable (la pire ), cette sorte de douleur de base, ce mùéfait, cette prise de bec, cette pute de...., etc, c’est à dire ce gros mot venant de l’intérieur et pôussant ici sa vive a&insi, sa vivre = sa vouivre, etc, comme queue de verbe ou bec de verbe ou pic de verbe ou trompe ou comment ? une perche ? un baton ? un bout de bois ? un piquet ? une pique ? un coutea u ? un quyoi , w<qui transperce notre hjoue et font (forment) ce trou qui nous rend «malade» de haine et de douloeur mêlées, car la déchirurze est «mortelle», et nous cloue sur place, nous fiche en l’air, nous soulève, nous porte, nous fout dans le sac, etc, cette déchirure est cette chose qyui nous soulève, nous porte, nous monte, nous fait léviter pour le
dire ainsi et graver sur roche etc, nous sommes percés dxe l’intérieur par le Verbe, nous sommes de l’intérieur percé par le Verbe, notre mélopée est lascive, nous geignons comme un nouveau né infecté p)ar en lui la bete, nous geignons et ce geignement est notre conscxience, notre outil de prise, etc, nous geignons cxomme nouveau né ou nourrisswons, ou bete infexcté, touché, etc, par en lui, en elle, une petite bete mortelle (ou qui peut l’êtrte)- etc, nous gémissons et ce gémissement prend on dirait la place de notre conscience ou bien est cette conscience " hors les mots", les mots étant dépassés ici par la douleur votive, incitatrice, etc, et seule ici la mélopée subsisqte, qyui est chatoiement, qui est à double entrée, qui est chant-beauté de roche , qui est cette cxhose comme en porte-à-faux sur le bien et le mal, chant de la roche en soi , chant lascif, chant en soi de conscience fine , hors les
mots de la tribu,
chant dx’une pensée fine hors les mots, la pensée d’une donnée de b ase dure, à hurler d’en rire etc, nous sommes les porteurs en nous de c ette chose d’une sorte de poussée dentaire monstrueuse, ou comment sinon ? phénomènale ? ou comment sinon ? fortement méchante ? ou comment sinon ? «connasse» ? etc, les mots manquent, les mots tapent mal, les mots pazssent mal, les mots sont dépassés, les mots suivent mal, les mots sont les mauvais mots, ne sont pas beaux, etc, il semblerait que nous ayons ainsi à comprenxdre, cette chose de la douleur, comme la chose capitale en soi = fond du fond de la conscience hors mots, ce rire -hurlement, cette prise de bec, ce bâton de joie et de peine, ce bec de roche, ce patois
, cette injure, ce ciel de paroi, ce dessin d’aurochs, de renne, de cheval, en soi cette douleur comme une sorte de massue qui vienxdrait vous ficher sur terre mais qui vous soulève (hors mots) comme une feuille et vous pousse en roche à graverl’a urochs ! et vous (donc) de graver iicelui, icelle antilope, etc;, le bouquetin, encore le bouqueetin, encore et toujours $le bouquetin , etc, nous cherchons à comp^rtendxre ce qui est ici en cette matière de la conscience "sans les mots de la tribu", car la cxonscience n’a pas eu toujours les mots de la tribu pour elle, quoi d’(autre ? ce chant ! cette mélopée en soi, cet encaissemeznt , ni plus ni moins,; comme dans un mal de dent, or de quoi s’agit -il ici ? il s’agit d’un homme ou d’une femme saisi par (en eux) une sorte de douleur affreuse ici liée à une sorte de percée (de soi) de l’intérieur, de sa chair de vie (en soi) par une pique, un pic, un bec, une barre, un baton, une tringle, une sorte de "jeton acéré", un jet vif , perçant à vif la joue (pauvre joue) xde cet homme ou de cette femme ainsi déchirée, touchés dans sa chair, etc, comme un animal blessé, et cela ici , en cette prairie, en ce pré, en cette grotte, etc, où l’homme et la femme des cvavernes évoluent au quotidie,n- ; nous avons affaire ici à des personnes blessées, nous avons affaire ici à des personnes touchées à vif, et dès lors la conscience ici est cette conscience» «vidéé» qui est cette conscience «brute» qui est cette conceience «enfantine» de donn»ée zjuste, qui est cette conscience native des données justes, hors l’apareil lettré, hors l’appareil raisonnant, ccette conscience (comico-tragique) qui est celle qui peut-être reste quand les mots fichent le camp, nous voyons ici cette chose d’un sabir hors sabir, nous sommes témoins ici d’une sorte de sabir en dehors du sabir, nous sommes témoins ici de cette chose qui xserait une sorte de "sabir de conscience" (mélopé) en dehors d’un appareil réelmllemeznt articulé comme une langue, on essaie de voir, on cherche à comprenxdre, on est sur la bonne voie (qui sait ?) pour com^prendre ou du moins on avance (etc) sur cette voie d’(une recherche par
la bande, ou comment dire ? par l’usage pour le coup frontal ds’une langue poussée, etc, nous
cherchons une compréhension des éléments ici en présence, nous essayons de comprendre ce qui est ici d’une conscieznce des temps premiers ou disons des tempsz très reculés, nbous essayons de comprendxre cette chose, nousessayons de comprendre le plus que nous sommes en mesure de comprendxre avec 1 notre intelligence de très bas étage et 2 avec cette langue portée par nous (inculquée) qui dit ce qu’elle peut à travers nous, nous essayons de toucher du doigt les données de basee, nha tive, premières, initiales, etc, et pour cela nous essayons de nous
placer en bonne position, près de l’homme des cavernes entré en lévitatation, etc
, et là regarder, écouter, sentir,etc, ce qui se joue en pareille chose d’un homme porté, nous essayons de trouver des réponses dans les mots, nous essayons de trouver réponsesw face à c ela qui est devant nous comme un baton sec ou pas mais rude (ruade animale) et qui semble receler beaucoup malgré tout ;nous essayons de trouvezr les mots qui diront la chose d’un e vérité de choix, forte et folle (peut-être) digne d’un savoir de première importance, je suis près de cet homme des cavernes, il est de petite taille, son corps est musculeux, il porte
baton avec lui, il lévite, il; est emporté par en lui un pouvoir qui le xchapeaute, etc, son être est surprenant, il sembvle me ressembkler mais il est fin, de petite taillke, presque risible et en même temps on voit qu’il eswt entier, qu’il est plein
de lui, xd’une chgose en lui qui semble le traverser, il est donc traversable, aisément traversable et c’est cela sa beauté et sa grandeur car on voit un saint, un saint homme, un xsaint homme des roches, il s’agit d’un xsaint homme «de la roche des temps», on le voit, il eswt entré en lévitation sous mes yeux, il est petit, il porte bâton , il dessine, il dessine sur la roche, ils dessinent sur la roche car ils sont plusieurs en même temps, à dessiner sur roche effigies animales, ces betes qyui en eux gouvernent, ils sont gouvernés par en eux ces betes, ils sont en eux gouvernés par des betes fauves fortes, qui sont betes de joie, qui percent en eux et vont à se ficher sur roche et à exister ainsi comme betes d’attrait divin, les betes disent disent à la mort d’aller «se faire foutre» , il s’a git de ça : langage ordurier, parade injurieuse, mots gros de l’enfance, outrage, etc, mots du bout du bout, exp»ériences des limites, foleries, etc, il s’agit d’e cette chose d’une langue in-$vccandescente, non décente
, portée à son paroxysme ordurier, etc, et cela est cette chose d’un aurochjs sur roc, cela est cette chose d’une betye dessinée sur roche : aurochs ! et aussi : bisons ! et aussi : rennes ! et aussi ... etc, car les betes de poids sont légion, elles trônent, elles trônent de toute leur superbe, je vois en ces hommes actifs des etres qui sont conduits, qui pouswsent leur faire poussé, qui sont envahis de «pensées» natives comme autant de couperets de roche, etc, ils sont ces hommes, qui sont en eux comme envahis par des sortes de couperets qui font pour eux des sortes de dessins (en creux) sur la roche etc, nous voyons ces etres de choix qui font sur roche des dessins de betes, il s’a git de betesq de
poids, pesantes, belles betes de poids de charge, l’homme des cavernes a une cxonscience qui n’est pas noptre conscience, sa conscien ce à lui n’est pas notre conscience à nous, sa conscience à lui est ramassée sur elle même
et ne s’étale pas sur un espace ou dans un espace langagier précis, sa conscience à lui est
ramassée sur elle même comme une douleur dont on ne sort pas, etc, sa conscience à lui est son langage de douleur à lui et non point une langue syntaxique comme nbous avons, il s’agit de données brutes, comme c elles qui pour nous se forment ou apparaidssent, en cas de grande douleur (à en rire etc) , eh bien l’homme des cavernes est cette personne que l’on voit devant soi comme celui qui est porté en lui par un pouvoir qu’il sait accueillir et laisser agir, il (cet homme) sait ezn lui accueillir ce pouvoir agissant sur roche car l’homme des cavernes eswt une cruche, un pot, un vase, un récipient etc qui se laisse rezmplir à part lui et surtout hors les mots de tribu car il en est (encore ? à jamais ? ) privé, il est cet
hommùe des cavernes privé (pour partie ? pour tout ?) de mots de tribu, il est envahi en lui pâr une mélopée native, contigu à sa conscience ou comment dire ? l’homme des cavernes est l’homme du flux de conscience (vive) hors les mots, comme envahi par, en lui, une musique des sphères ou par musique de paroi ou tout autre musique contibnue, qui eswt porteuse de vie et d’actions qui poussent à etre , qui poussent à agir sur roche du temps, l’homme des cavernes ewst comme un enfant privé de parole mais pas de conscience, et son sentiment est majeur qqui le fait dessiner sur roche sous emprise, il lévite comme un cerf volant, il est le cxhevreuil ailé de la roche des temps, il porte l’animal en lui qui le pôusse à êztre celui qui sait, qui connbait les tena nts et les aboutissants d’une vie dite «mortelle», l’homme des cavernes parle à la mort directtement, il parle à dame ou sieur la mort par son vezrbe de mots-betes, par son verbe qui n’est pasun vezrbe, par ces mots dits «gros» qui sont comme des injures , qyui sont comme des grossièretés proférées à l’encontre de l’entité «mort» à laquelle il s’adresse sur rocxhe , rocx, rocher de paroi, à laquelle l’homme des cavernes s’adresse crûment comme il sait le faire (de fait) en conscience , son sang fait le tour de son être, il virevolte, il pousse loin l’injure de vivre, le plus loin qu’il peut, il est cet homme injurieusx de petite taille
, aux mots ramassés (mots-betes) qui se love-loge en rroche comme
dans un antre, une sorte de capsule spâtio temporelle, il «dit» ici son «dire» ordurier à l’encontre de la mort, il parle ainsi en toute conscience et sa mélopée est celle d’un enfant, d’un enfant petit, d’un bébé pleurant etc, il parle à la mort cvomme il parle à la rocxhe, à coups redoublés, scandés, puissants, comme un homme qui sait de quoi il en retourne et ce qu’il est juste et bon de faire pour tenir en vie, etc
8/4/2021
je suis faon-mot de la roche des temps, je suis le faon de la roche des temps, je suis inséré et je regarde, mes yeux sont ouverts sur le monde qui m’entoure, je suis le faon de la roche des temps, je viois ce qui se trame ici et je vis parmi des betes fauves, hje suis le faon qui vit parmi des betes fauves , des betes massives, des betes de poids et de taille, je suis inséré en cette roche et je vois de fait ces betes près de moi qui sont de beau poids et en impose par la masse de leur corpulence, elles sont betes de fort impacct, elles sont les betes de la roche et en imposent du feu de dieu tant elles sont mqassicves et corpulmentes, je les vois qui vont et viennent près de moi, je vois lmeurs
naseauc$
x, leurs cornes, leurs sabots, leurs pattes, leurs crinières, leurs queues, leurs yeiux globuleux et je sais qu’elles me voient en retoour, je suis ce faon-mot de la roche du temps et j’évolue ici parmi x betes de grosse présence, etc, qui sont celles qui habitent ici, sur roche ou en roche, près de moi qui les regarde qui vont et qui viennent, souffle
,nt, meuglent, trépignent, foncent ou chargent ou bien broutent quiètement et ne se soucient pas de mes alleeées et venues à moui qui va et qui vient sur roche, monticule, bec de roche, embruns, je virevolte, je suis faon
qui va gaiement à travers les prés et les bois, je saute en veux-tu en voilà et je file fissa d’un côté, de l’autre, par les champs et par les bois et les sous bois, je suis maître de ces lieux placides, je vis maz vie de roche dure en ces contreées temporo-pariétales de la roche des embruns, je suis entre deux mers, je siiis logé à bonne eznseigne, je file fissa vers ces embruns de bord de mer puis je vais au loin vers le coquillage, vers le nacre et la vbvlancheur de nacre, vers ce nacre bleuté, cette blancheur lisse et aussi cette musique qui sort du cornet, cette «belle» qui est douce mélopée de chance, douce et suave, j’écoute et entend pareille mélopée, je suis le cerf de céans sensible à cette mélopée de la coque blanche, j’avance ainsi sur pareille paroi du temps et vois des betesprès de mpi qui caracolent à qui mieux mieux et se chevauchent, s’intercalent, s’interpénètrent, sont les unes sur les autres, ertc, et moi d’aller furibond ou bien vif l’éclair, d'aller sur roche, sauter et jouer de son mieux à qui va loin en pareille loge, etc, je suis en ce terrain (zone) comme chez moi, je vais et viens à qui mieux mieux et je me fiche des qu’en dira ton de lma roche, je file fissa sur roche des temps et m’amuse à ici longer les rives, les parois, les embruns des bords de mer etc, je suis comme dans un couloir de vie, ce couloir qui va de l’avant et fait un tour complet il semblerait sur lui même (mappemonde) etc, il s’agit pour moi d’aller, courant de la sorte, en ce lieu des temps impartis , alloués, qui sont lieux de destinée, je suis faon-mot incscrit sur roche comme un trait au bout de bois, je suis une sorte de vocable gravé sur paroi par un homme ou une femme des cavernes, je suis ce faon gravé sur roche, je file ainsi en cette paroi qyuii me prend en son sein rocheux, je suis faon qui va de toute sa superbe en cette roche des temps brumeux, vaporeux , etc, j’accompagne les âmes des morts ici même, en roche dure, je les guide vers l’échancrure, hje suis ce faon-mot gravé qyui guide l’ame du défunt (?) vers une échancrure, une faille de roche (godet) et là je file, une fois l’ame guidée, je m’en vais, je ne reste pas sur ^place, je laisse l’ame à bon port et à ses affaires de porte ouverte, de blancheur native, de blancheur dea ns les vapeurs et je file c’est-à-dire que je
retourne sur mes pas dansants, je reviens à mes amours de virevolts, jke vais et je viens sur roche à qui mieux miuex et ne me soucie plus de rien de l’âme défunte, ellle est au bon endroit, j’ai fait mon boulot, j’ai agi pour la bonne cause, j’ai aaccompagné une vie durant, de lma naissance au feu de joie etc, mon travail est accompli et à présent je peux musarder, m’en donner à pleine dents etc, croquer laz vie à même la roche du temps où je suis inséré en tant que faon-roi de la première heure, czar je suis ce faon des dépaerts c’est à dire des arrivées en ce monde ci de la roche dure, j’ai vu pointer le bout du nez, j’ai aidé en vrai à l’extraction c’est à dire à l’immixtion et depuis j’accompagne, jusdqu’au bout du bout, et, ce faisant, je fais mon travail l, mon travail de sape, je ne rechigne pas à cette besogne, j’agis, je suis tout action, jke motorise, je fais cette chose en accompagnemen,t et ne lâche pas le vmorceau de sitot ou jusqu’à nouvel ordre, car tel est mon travauil i ci, mon boulot, mon taf et ma joie, ma chance, etc, car faon je suis qui est là, en rocghe du temps (dure et dur : dure roche, dur temps) etc, ), tel ici je suis (faon) que je me dois
de faire en sorte, que telle âme d’un défunt de roche soit accompagnée, ou comment ? l’ame du vivant ? je regarde les aurochs (frères) et je vais vers eux leur «parler» : «etes vous mesq frères ? « mais l’aurochs ne sait pas parler, il mange de l’herbe, il va nonchalant son chemin, il est l’animal de roche par excellence, il est cette bete de la roche dure qui est sur ses patttes de tout son poids p)
ariétal, il me regarde d’un air de deux airs et moi de lui redemander quielque chose: «es tu l’animal de roche par exccellence ? «, il ne répond pas, aussi je m’en vais et reviens à mes amours de sautillages à travers champs, je suis le faon qui file en ces lieux, qui joue à qui mieeux mieux, qui écoute le vent, le bruit des embruns, la musique des sphéères, etc, je suis tout ouie, je suis un faon rocheux qui va son chemin vif sur pareil sentier d’un entre-deux-mers tracé sur roche parmi des restes marins, bois de cerfs laiossés sur place, coques et coqsuillages, etc, je suis l’animzal qui virevolte parmi des ccadavres de choses, pzarmi x bouts de mille choses délaissées, etc, je suis animal-mot marqué au charbon de bois ou bien gravé sur roche par cet etree des cavernes, le dessinateur, le graveur d’ecxcellence, etc, je suis faon qui fonce et regarde paertout le spectacle inouï des alentours : «venez vers moin, suivesz moi
, ne lambinez pas, suivez mon chemin ou ce chemi,n ci que je vous montrte, il s’agit
de la voie à suivre, je suis l’animal vif squi montre la voie, venez avec moi et je vous guidezrai, nzee me quittez pas, ne quiitez pas ce cghemin tracé qui est le chemin de votrte vie à) vi vre, il s’agit d’un chemin de vie c’est à dire de toute une vie, je sais cette chose, je vous aide, je vous veux, je vous condyuis, je suis le faon-enfant de la roche dure du temmps et en vous je vais : je vous seconde, je vous pébnètre etc, je suis en vous comme un chancre ou comme une sorte de preneur, ou bien le locataire ou bien le logé de la première heure et je vous articule, je suis ce faon-mot de la première heure et je vous articule de partout, articulations paerlez ! dites ce que bon vous semble à devoir être dit ! ne restze pas en carafe ! dites ce que bon vous semble ! allez y, dite votre bien et votre mal
sur terre comme au ciel ! dites -nous tout , ou
dites moi tout ! car je suis la faon-guide des temps en vous, près de vous, parmi vous etc, ma plavce est fluctuante, je vais et je viens mais ne vous lâche pas cd’une semelle, je suis le mot qui est gravé sur roche pzar cet homme des cavernes sus-nommé, et voilà ce que je fgais : je vais en vous et je vous seconde, je suis celui qui est en vous le 2 qui compte, je file à vitesse grand V en vous qui m’adoptez comme une sorte de faconde en vous, n,aturelle et désordonnée, etc , en vous qui prenez en ce sein de vous cette chose de moi qui est une sorte de faconde naturelle (etc) qui vous ravit, vous comble de joie, vous nourrit, etc, car voilà ce que je suis : un homme , un faon, une femme, un animal, un enfant tout à la fois en vous (faconde) et hors de vous ce faon de la roche, malotru le faon, malibou le faon, ou ma nitou le faon, ou bambi le faon, selon les moments, je virevolte et mon nom est celui ci que je prononce différent à chaque fois
ou presque (je varie) , je vous aide en vous habitant, je suis en vcous la vie qui va vivante à travers les chzampset les prairies du monde pariétal, je vous envahis, je suis en vous cet envahisseur de première = de lapremière heure et jke regarde, en vous, ce qui est, je vous ausculte, je matte, je regarde dans la profondeur, je suis corporellement fiché en vous qu-i m’a doptez comme une sorte de bienfait larvé ou cvomment dire : enchâssé ? comme rubis sur bague ? ou comment ? je suis une sorte de faon de la première heure, soit un enfa nt, et cet enfant est pour vous en vous jusqu’au bout du bout colmme une présence de type animale, qui serait pour vous le second à la barre, et dès lors vous voici accouplé à (en vous) une sorte de vive présence folle, ce genre de bete de choix (aurochs ? certvidé ?) qui est cette chose en vous qui pousse ou pousserait à l’action définitive, etc, je suis le faon de la rocghe des temps, et je vois loinb en vous, et je suis loin en vous, je vois en vous jusqu’au bout du bout, je suis l’animzal magique, un coup en vous , un coup sur roche dessiné, etc, car mon xnom varie selon les saisons, les heures, les temps impaertis, etc, je m’appelle (hum) manitou le grand de ces champs, je suis ghrand cerf devant (hum) l’éternel
et ne m’en laisse pas compter car je suis géant, grand de chez grand, je vais sur roche et vois toute l’affaire, ce qyui est ici qui importe, en pareille loge, à savoir : le sang, ce sang rouge qui va en vos veines d’homme des cavernes,
les yeux, ces yeux qui voient à travers la roche, ce charbonb de bois,
ce charbonb de bois qui (bien manipulé par la bande) sait tracer les motsqui en imposent,
ce bec, ce bec debrebis ? ce bec de gaz ? ce bec de choicxx ? ce bec de buffe ? ce bec de joie ? ce bec de grande vérité ? ce bec de parade ? ce bec doubleé d’envie ? ce bec de squoi ? quoi est le bec de l’homme des roches , qu’en faire ? nous disons (chevreuils) que ce bec est un museau, une sorte de bouche ou de bouche à corne, défense, couteau, pic de tranchée, pic à vir, etc, nous disons que ce bec est pic, est roc, est péninsule (aussi sec) sur roche percée ; le monticule, la jetée et les embruns un peu plus loin ; et vous voilà qui avez travbersé ou comme traversé ce rubicon de roche dure de cette sorte de paroi de fond de grotte, de fiin fond de grotte antédiluvienne, cette grotte du temps des hommes des cavernes, etc, vous voilà parmi les
betes dessinées, vous figurez, vous etes là parmi toutes ces betes ou betes de choix qui font ce qu’azelles ont à faire en pareille roche et vous de même : aller jusqu’au bout du bout d’une vie meuble, etc, cette vie d’allées et venues, en roche, avec nous à vos côtés, en vous, près de vous, qui entrons et sortons de vous ou en vous, etc, nous sommes faon qui entrons en v ous , ou sortons de vous, car nous vous traversons en continu et ce jusqu’au bout du bout, je suis cet homme-faon ou cette femme-faon, ou alors ce faon-faon, ou bien cet enfant-faon qyui gravite, j’enttree et je sors , je fais en vous des alléers et des venues, je suis ce mot-faon en vous qui transite, passe et repasse,
en,tre et sors, je vais et je viens
ezn vous, comme un (faon) qui traverse vous, qui vous traverse fissa, d’avant en arrière, latéralement, dessus dessous, n’importe où n’importe comment, je sui s faon pûis je suyis vous puis je suis faon puis je suyis vous puis je suis faon puis je suis vous puis je suis faon puis je suis vous puis je suis faon puis je suis vous puis je suis faon puyis je suis vous, puis je suis faon-enfant en vous, jusqu’à épouser vos contours d’etre des cavernes, homme ou femme ou bete, ou bien l’enfant de la femme-mot, ou bien le faon-enfant de pareille bete des prés, ce chevreuil de bonne renommée qui va sur roche dire la nouvelle, apporter son graoin, dire ce qui est de ce monde des temps, de laroche, des embruns, du sang qui coule dans les veines, etc, je suis faon -faon, ou bien homme- homme, ou bien faon-hommùe, ou bien homme--faon, ou bien femme-homme, ou bie,nn femme-enfant, ou bien faon-femme, ou bien faon-bete, ou bien bzete-mot, ou bien femme-mot, ou bien homme-mot, ou bien chapeau = cap de vie, de cette vie de roche qui est cette vie que nous vivons ici (pariétalement) parmi ces aurochs de bonne compagnie, je vais et je viezns parmi eux, je suis cette chose d’un espace-temps alloué à pareille roche , espace-temps navigateur, qui (faon) va en, va dans, va dedans, va à l’intérieur des etres de roche, ces chevaux en cavalcade, ces rennes busqués, ces antilopes, des betes à bois, ces ours de la caverne ou cxes lions de la caverne, eetc, je suis le faon -enfant qui rode son tourment rocheux à meme la paroi du temps, je vais et je viens à treav ers les etres, qui déambulant, qui broutant, etc, je suis comme fantomatique ou comment ? cet etre qui v a et qui vient sur roche, en roche, à traversq, qui s’amuse de celaet ne s’arrête pas d’aller fissa à travers la roche du temps imparti à une vie humaine, mon nom est personne, il s’agit pour moi de comprendre
une chose dr’envergure ici, à savoir que cela est , cette musique, une sorte de joie de vivre,un encourabgement, un maintien en soi m^eme
d’une sorte de vibration, de vibrato, etc, ce baton de joie en soi (je) comme une vibration qui pousse à)à aller, marcher, aller de l’avant, aller c’est aller de l’ava,nt, sauter les talus, aller fisqza vers son cdevant de vie royal, je pense donc je suis cette chose de la vie de roche, je pense avec des mots de roche, avec quels autres mots puis-je penser ? je suis ce faon des premiers instants, du début d’une vie humaine, en roche dure du temps, et je vais et viens en vous qyui etes nés, qui etes celui qyui est né, sur roche, en ce terrain du temps imparti, je suis le faon qui vous accompâgne tout du long et vous envahit cvomme un sentiment, je suis cette chose d’un aenvahissement, ou cette sorte de chose qui serait peut-être (est ?) un envahissement, par les pieds, la langue, le crane, les mains, les yeux, les genoux, les fesses, le trou de balle ou bien le minou ou par n’importe où car je passe pârtou, je suis ce faon qui entre en vous par n’importe quel bout et vous chev auche, vous conduit, vous dirige, vous contient, vous glisse en roche tete première et en roche vous promène (fissa) parmi des aurochs et autresq rennes ou chevaux deesinés de fait à main levé&e, je vous accompafggne, je vous conduit vers l»’éternitévde la roche dure, je vous aide à entrer en roche comme dans une église, un prieuré
, un temple , etc, je suis cete etre volatil et évan escent, ce blanc de bure ou de bufe, ce blanc vif évanecsent luminescent nacré qui vient en vous, jusqu’à vous et vous enveloppe , vous envahit, vous pénètre comme une senteur ou comme une musique par la douceur, par la bouche, en vous comme une nourriture, un apport de vie capital, etc, je suis en vous cet etre de vie vive quyi vous sied,
vous aide à aller fissa en roche et à comprendre les tenants et kles aboutissants de cette choseappelée ici «la roche des prés», etc, nous sommes chevreuiils-mots en vous quyi nous acceptez, je suis ce chevreuil-mot (en vous) qui gravite , vous interpénètre, vous contient (vous tient), vous donne l’élan nécessaire à votrte survie minute après minute, etc, je suis en vcous cette «blancheur d’âme» adjacente, cette portion rocheuse (pariétale) en vous, je vais et je viens comme un langaghe articulé qyi est en vous cette cbgose qui est vive, qui va, qui va vite, qui file, qui se loge en vous comme un pic debec-à-percer, etc, je suis le faon-faon fantomatique en vous qui vous laissez prendre et moi de vous traverswer comme une sorte de chose inouie qui entre n’importe où en vous (vous pénètre) et sort pareillement de n’importe où, car je suis léger comme l’air et plus encore, je traverse la matière, je suis une sorte ce faon de traversée ezt je vous aide à tyraverser la roche dutemps = la paroi de cette grotte, et cela : en tra
nse = avec moi en cvous qui vous permet de pour le coup passert des caps de passation, ou de passage, cap vers des lieux de vie rocheux-intra, il s’agit pour vous de vous laisser guider et la chose agit, il s’agit pour vous de vous laisser comme seconder et moi-faon je suis qui vous permet de traverser la roche, la roche du temps alloué (devant vous) qui est ce espace-temps de vie vive (et non de vie morte, ça viendra) qui eswt l’espace temps de la paroi de l’homme des cavernes, le faon-mot entre et sort à sa guise, il est volatil, il est inter-penétrant à tout moment
, il peut traverswer toutes sortes de matières : le corps, la roche, le temps, etyc, rien ne l’e,n empêche , car il est cet etre des temps de la roche , cet esprit vif, fou, dur et mou, etyc, cet etre de joie en soi , pour qui l’acceuillera en lui même au sein de son étant de vie, etc, l’etre-faon ici (moi) est cet etre-étant qui va vif se loger n’importe
où mais, aussi bien, en ressort illico pour aller ailleurs pour se poser, s’installer comme une brume, un brouillard, une nappe, effluv, senteur etcx, il est immatériel, il est ce faon de traversée directe, il vous aide grandement, il pêut facilement (très facilement) vous aider à aller loin en pareille roche de ce temps qui est devant vous le temps de la foi en cette roche, en cette paroi (ornementée) , en cette vie de vive avancée en pareille chose : le vent vous porte, le vent entre deux parois, ce souffle de vie vive, etc, le faon en vous entre et sort à sa guyise, il ne s’en laisse pas compter, il fait comme il lui plaît, il est libre d’aller et venir et vous
aide à faire le pas, à) traverwser, à le suivre, à franchir les obstackles matériels, à entrer tete première dansla roche etc, il est celui qui, vous chevauchant ou vous pénétrant, vous mène par le bout du nez (ce pic, ce cap) et vous permet dès lors, ainsi chevauché (doublé ou redoublé) d’entrer en matière, en cette matière de roche dure qu’est cette paroi de groote de laz préhistoire, il vous introduit pazr sa main mise, car lui en vous fait de vous un peu lui et du même coup vous prenez «comme» son apparrence et entrzrzez en cette roche dure comme dans du beurre (passe- muraille) grace à ce faon de la première heure qyui navigue à vue et fait comme il lui plait, il vous aide à franchir le pas et à aller loin en cette roche dure des temps impartis à une vie , il est bon de comprendre cela ainsi : je suis faon, je suis fantomatique , faon tome, faon d’homme, etc, j’entrte en vous par la bande et en vous me loge fissa pour lmieux du coup vous aider à franchir le pas ici ou là, je vous aide à entrer en roche, à tracer des traits, à naviguer, à tenir en vie, à tenir en vie ! je vous aide à tenir en vie ! je vous aide à tenir à la vie, à vous aggripper, à ne pas lâcher prise, à poursuivre cette cghose d’une vie humaine, je suis fgaon-mot le petit faon d’hhomme, en vous, qui ne vous l^
$ache pas de la première à la derbnière heure, je suis faon de la roche douce, ce fzaon de l’homme envahi qui selaisse porter ainsi, ici, par cette
chose que je suis sa,ns chose, ou plutot : sans corps autre que ce léger voile immatériel que je fais entrer wpâr moi même en vous, comme une lame indolore , colmmme une injection sans point xde piqûre ou de ponction, etc, je suis le petit fantome, j’en,trte en vous et en vous me loge et vous permet dès lors de traverserv laroche : avec moi, main dans la main pour ainsi dire, car à deuix ainsi nous sommes à même de nous introduire plus facilement, car je lègue un temps mes pouvoirs, don,ne mon éttant à qui veut m’acceuillir en son sein, je suis celui qui vient de fait s’iintroduire en cet homme des cavernes, je le prends en charge, je ptrends les commùandesq, je passe à la barre, je deviens le Chef, le Grand Commùandeur, the Captain, etc, c’est moi !, moi qui va ainsi et fait cette chose, qui va pour ainsi accompagner et pezrmettre l’entrée (en roche) d’une perle humaine, etc , j’aide comme j’aiderai, ailleurs, aussi bien, ici la perle humaine, ailleurs une perle animale, etc, je suis un faon-fantome, ou faon d’homme, qui aide l’homme- àpénétrer da ns lma matière de la roche et du coup à s’y lover (amour) avec en lui cette joie de type langagière, de type temporo -
langagière, un je est né, il est le je né, ce je est né, il est enfin né, il est né le je, je est né à la roche, dans la rocxhe je eswt né, je suis né en roche, me voici néenfin, je suis enfin né, je viens de naître en roche dans le vent, ce vent de la rocxhe du temps souffle à mes oreilles et forme ici la musique de flutiauu dont nous parlions préc»édemment, je suisq l’homme de la joie humaib-ne, je vais et jke viens en vous quyi me laisseez faire et vous laissez vous chevaucher comme une bete , etc, je vais en vous, je suis le faon animalier qui poussse en vous comme pour ainsi dire un be»c qyui c herche ou chercherait issue, une issue, dans la chair : trou de bouche !
qui va là ? qui me trou la bouche, qyin vca là ? qui va là qui cherche à me trouer, à faire (fabriquer) en moi (joue) un trou qui plus tard deviendra ce trou de la parole humaine, qui va là, qui est qui ? qui est là en moi ? cet animal de féerie ? ce petit d’holmme ? cette voix mutante ? cvette voix des profondeurs ? cette voix de dure paroi ? ce chargement massif (aurochs) de roche de la préhistoiree ? un bec vraiment ? un pic vraimeznt idem ? quoi qui pousse en moi à cet e,ndroit
? les mots sorteznt de la bouche, une ribambelle ! et forme une sorte de musique vive, il s’agit pour moi de comprendre cette chose en moi, qui est ce sang qui afflue, cette denrée, cette pousseé de base qui va fissa en moi me faire former des pensées de cap, je regartde autour de moi car je suis né,n je suis né en tant que «je suis n,é», etc, je vois ces choses-aurochs, tribu dure, fâchée (?),; qui pèse, etc, je vois les embruns et le coquillaghe cxdes prés (ce bénitier)), je sais qu’un faon m’atteznd ici quelque part (en moi ? hors de moi) qui est faon de trabversée, aide de camp, etc, je vais en cette sorte de roche du temps et ainsi allant je m’incruste, je me loge incidemment, je suis homme des cavernes, j’ai un nom, mon nom me suit à la trace, il s’agit d’un nom surnuméraire, il est ce qu ‘il est, je suis homme de la roche des temps impaertis, je cherche à) comprtendre ce qui se trame, j’essqaaie de comprendre les tenants et les aboutissants de cette roche des temps donnés, je chercxhe à comprendrec le plusz que je peux car je sais (je vois) que ce qui est ici est une chose de grande importyance votive (native ?) et que par conséquent l’endroit, le lieu, cet esopace-temps
de la roche , est un esopace-temps de bgrande importance, une chose de poids, une drole de chose de grande importance à mes yeux d’homme
des cavernes ou bien de femme des ca vernes car je suis les deux, je suis l’homme et je suis la femme, je suis l’homme des cavernes et je suis lza femme des cvavernes, car lje suis la bete-mot des cavernes et à ce titre je me dois d’etre de la sorte, un panel, un ensemble l:exical en ou dans son intégralité de boite à mots, ou de fourre-mots, etc, impossible de détailler et de mettre de côté, je suisq la femme aux bois, le cerf fait femme-faon, l’hybridation pariéto-temporelle = momentanée, je suis le faon-mot de roche , qui est le faon-mot de la vie de l’homme des cavernes en ce lieu précis de la roche dure (belle) qui est Vie de la vie vive = battements de coeur, car la vie n’est pas seule à etre en vie, la mort aussi est en vie, est ailleurs en vie, etc, il s’agit pour moi de savoir, de
comprendre x et x et x et x choses de la vie en
cours et de cette mort dfont on parle ou nous parle à tous bouts de chjamp : de quoi il en retourne, qu’est-ce ? que cela est que cette mort qui est promise ? que est ce mot et chose ? que ce mot mort est en tant que c’est ? qui quoi est mort ? que qui est ? quoi est qui que : que cette ? que cette me mort de ? qui la mort est, que est dit à tous bous de champ ? quoi ce est de mort me ? quoi la mort de me est à ? qui que quoi donc où ? qui a qui de la mort de ? de qui la mort est l’ennemi ? qui de quoi la mort meurt ? à qui de quoi la mort est l’aimée ? de qui pour quoi une mort est là ? et porquoi ? et quand ? quand est la question ! je vais et je viens en roche, je suis entré dans la roche du temps et cela, grâce à l’entremise en moi de’un faonfzaon de roche, bete placide (douceur, langueur) qui m’a bien aidé à faire basculer ce mobile , que je suis icii, que je suis en tant que tel, ce moi-mobile etc, le faon, ce faon -faon (= enfant) a en moi aidé à cette chose, d’une traversée de paroi, et «je « est né de la sorte, par cette e,ntrezmise ou grâ ce à elle, à cette entrée en moi, à cette incxursion en moi d’un faon fantomatique (les mots)) qui m’a bien été utile à faire ainsi que je puisse dessiner sur roche des aurochs ou des rennes ou des chevaux en nombre, merci à ce faon-faon de la roche du temps, je suis né à la paroi, je suis
entyré la tette la première, je suis né de ce pic de roche = la percée, je suis entré en roche comme en religion, sous un ordre divin, ordre de la roche dure
, partie (peut-etre) de laroche meuble, chargement, élan, entrée en matière, percussion, immixtion cvomplète, passdage de l’autre côté et chute dans le temps de la paroi du temps, cette chose habitée par qui des betes ici , qui des mains là, etc, je suis né à la roche du temps, je syuis passé de l’autre côtéc grâce au faon de la roche dure, il m’a aidé, il,est venu à larescousse et m’a pour le coup habité le temps de la travezrsée, mertci faon de la roche du temps ! je te suis reconnaiossant, je sais la chose = le mal, ce mal que tut te donnes, etc, pour aider à passer (faire passer) la roche dure, à percer la hjoue, la roche, etc et de me portezr loin en pareille temporalité etc, je suisz ar(mé de ce fantome en moi qui guide ou guiderait mes pas ou sinon qui , ou commen
,t ? je suis en moi comme habité par un autre moi (deux moi) qui marche pour moi, parle pour moi, mange pour moi, va pour moi, etc, et meurs (?) pour moi mais cette chose (animale) en moi n’est pas moi à dire vrai mais un... envahisseur langagier ! une bete-mot de première, c’est à dire de lapremière heure, etc, je suis en moi un autre moi,
et mon je est ainsi habitévpar ce faon de la roche des temps ou du tempsq, je suisq habité en moi par un autre moi quyi est le moi (sembl-t-il) de lattranse
animalière : un chacal ? un chzval ? un dromadaire ? une poule ? un cheval detrait ? un renne ? un aurochjs ? un bison ? une loutre ? une libbelluyle ? une mouche ? un chie,n ? un e pintade ? un bison des prés ? un zébu ? un gnou ? etc, je suis cezlui qui se voit comme en lui habité par une sorte de bete des bois ou des preés etc, car les mots en lui sont à l’état naissa nt, et ce qui est en lui = des mots-betes, = des mots-animaux exactement ett cela est que l’homme des cavernes porte en lui , en son coeur, c ette chose animalière , ca r des mots lui manquent vpour «penser» la chose ici d’une gouverne ezn soi, d’une sorte de gouverne en soi qui serait autonome, qui irait seule (orpheline) son chemin, l’homme des cavernes manquent de ces mopts qui sont les notres pour penser autonomie, pour penser découpage, pour penser singulalarité etc, l’homme des cavernes est l’homme faon des
cabvvernes, car il est conscient de porter en lui une prése’nce, et cette présence n’est pas celle des mots tels que nous nou!s les avons en vbouche ou en crâne, non , non-non ! homme, cavernes, a pas, a pas mots pareils, a pas pareils des mots que nous, a pas mots pareils que, a pas ces mots de je, qui dit ce je, qui disent, qui est ce je -mot dirt, a pas, il a pas, il est ce je qui a pas, il sait ce je sans je, il sait de présence, il a qui peut, il voit dezvant, ilm est ce je sans le mot je, il est je, il est né à ce je en lui sans ce je de lui en son je, sait gouvernance, comprtend gouvernance ici en lui , mùais sa ns le mot je, et donc : il pense sans mots, sans jke
, mais comment penser sans ce je , tout en sachant cette gouvernance, il essaie de voir devant et voit cette chose, cette chose animale, ce sang qui reflue, cette bete-mot de roche, il comprtends cette bete-mot de roche, son dire est animalier et de belle taille et prestance, il est l’homme des cavernes qui suboxdore, qui est dans la cr(é&atioon dx’une langue en dezvenir , d’une langue à introxduiyre ezn soi en lieu et place dez mots-animaux qui soont des mots de gouvernance en soi, des motsqui prennent place en tant que pic de cap, il s’agit de voir ce
chemina
ementb, cette voie, cette chose du devant xde soi,
un homme des temps reculés a peut-être compris sans mot, comment colmp^rendre sans mot ? comment peut on cvomptrendre lkes choses du monde sans les mots de la tribu de l’homme dit «développé «? disons : de l’hommevd’aujhour dhui , armé de tout un attirail de base de penseée de cxap, comment faire, si l’on en est privé ? ou colmment privé ? l’hommùe des cavernes a il semblerait des mots pour lui, pour sa gouverne, sa gouverne est animalière, il essaire de comprendre ainsi les chose du monde, il essaie ainsi de comprendre cela qui ici est en rochje pour lui comme une drogue, ou comment ? un flux enivrant ? un flux en lui hors lesq motsq ? comment comprendre et savoir à sa place ou de sa place ? il faut essayer, il est hbon d’esssayer de prendre, ainsi, p^lace en roche, et dee comprendre et d’allezr loin le plus, le plus que possible
, comprendre dans les profondeurs de la langue , reveznir aux départs, aux commencements, à) ce qui préside», à ce qui guide gouvernance, car gouvernance il y a, la preuve : la vie, depuis le début ! alors commùent ? voyons : je est ce qui est sur roche, je est ce qui, là, sur roche va à l’encontre, je est cette sorte de rencvontre avec laroche, moi est cette chose à roche qui est et va, je est cette chose de rocxhe dure, moi est homme de roche dure des temps , qui va rocheux vers des endroits de dureté, moi est faon de roche, de roche des temps, mort est là qui attend on dirait comme mordorée, je est ce que est ici alloué à la rocxhe, le temps est à dire en roche des abris des betes, je a ici roche de temps que, qui est ce, de la roche du temps imparti ; je eux-betes va sur, en bete de rage levé! je sais ici ce temps qui est ce temp^s dit «de la roche dure» , je (eux) est ce (d’eux) qui estt de roche dure là ! je veux cette roche pour moi, en taznt que la gouverbne de cette en moi peznsée naissante , je essaie de le dire ici à deux sur paroi, cette chose est à dire ici sur roche, roche de paroi dure, je est cette chose, ici, d’un dire animal, qui creuse et perce, traverse et v a à) se loger ici, en pierre de roche (la paroi de l’homme des caverbnes), je est ce que je, est, ici (en (dans) cette) qui est peut-être ce roi-là, en peine de percer la roche et de creuser en cette voie qui va sur champ, donner son-sa, tige dure, son-sa tige, ici est cette chose d’un tracé de sang, je vais en cette chose dure ici qui est cette percée (de roche en sang) et cette tracversée (d’icelle) pour un temp^s donné donné pa r la bande, je voudrais essayer dès lors de comp^rendre, cette cghose ici d’une sorte de traversée de la paroi deroche au fin fond d’une ca verne où pouvoir dessiner des beztes à main levé&e grace de fait à l’entremise en soi de cette bete de toujours, de cet animal -mot des origines, ce je de gouverne animalier, cette bete de soi, ce sa ng en soi comme une bete en soi qui guide et poussse loin lma chose ici d’une représentaztion grégaire capitale : un sang vif sur la paroi du temps, pour faire accrooire, etc, ; l’holmme des cavernes en soi est logé, il porte en lui son sang du lazbeur, de la charhge lourde anilmale,cha rge du temps à passer en roche, une éternité, je suis ce chant de roche dure, je suis ce chant, cette musique, ce tracé plutôt enjolivé, cette rodommontade,, ce tracé de vie salvateur en moi, qyui parle musicalement la chamade, etc, il s’agit de prendre cette chose en soi, ce chant est en soi cet en-soi du temps à passer en vrai en roche dure, il s’agit d’épouser le sang, il s’agit de comprendre avec des mots nouv eaux cette chose d’une drole de cxhose en accompagnement, je vais en rochze ainsi armé de ce sang en :^moi, qui reflue et m’aide de fait à passer le cap, je suis envahi pazr des flots qui vont en moi m’aider à traverser la rocghe des temps a lloués, je rezntre, je pousse, je suis l’homme des bois qui pousse, je suis cet homme des bois et des sousq bois qui poussee et rentre, poussee ici le mobile pariétal et entre ainsi en force comme un malotru, je pousse ce je de vie vive, fje suis ce je de vie vive et l’animal, e,n moi, bat de l’aile, etc, je suis cet homme des cavernes qui va loin en pareille roche, je rega rde les embruns, je suis cet homme des cavernes qui ici en roche va loin musicalement car porté par cette musique des sphères, cartilagineuse quasiment, belle nacrée, etc, qui pôusssee à agir de faàçon douce, dans le sens du pooil, je suis cet homme (des cavernes)-faon qui va en roche gambader et sa&utiller et dès lors se présente devant des betes qui sont des aurochs et des rennes de compâgnie, je suis cet homme-faon qui pousse la porte du temps, le temps est cet ami de roche, il est cette chosee à bien comprendre avec desmots,
et le bât blesse (vraiment, conc rètement) lorqsque les mots manquent ou ne sont pasc à la hauteur des choses à dire, il s’agit de bien comprendre cette chose d’un mânque de mots soit de mots cde poids, de mots faisant poids dans la balance, il s’agit de cerner cette chose ici d’une sorte de pesée directe dans le temps, avec des mots de poids faisant balance, la balance est là qyui porte nos poids (mots) pour comme contrebalan,cer le poids de la charge = la mort ! car la mort est d’un côté de la balance et lesq mots de l’autre,
ces mots-animaux de belle prestance, cesq mots-betes de pazroi cde roche, je suis cette chose que je dis, et je dis cette chose que je suis, et tout cela = mots-betes (effigies rupestres) sur la balance, en contreballance, en cette sorte de contrebalancement de choses et autrtes déposzées sur le plateau de telle (ici) bnalancve du temps, sur laquelle on voit cette chose, de la mort bientôt à l’oeuvre (ou qui de quoi ? mort qui a, est, et dit ? ce qui est de ce que la mort est mais à qui ?) et des mots qui sont les mots-betes, eux disent ! ils disent à la mort d’aller se coucher ! ils l’envoient chier ! ils envoient la mort chier ! c’est ainsi que les mots-betes sur paroi de roche font, qui envoient chier, caguer lamort ! c’est une évidence ! pâitre (la mort) comme betes de somme en prairie, tout pareil ! l’homme des cavernes est cet homme qui dit (des choses) sur la roche, il dessine ce dire dun dit intégral, menaçant, fort de chez fort colmme un tourment, comme une ivresse ou transe ou envahissement de sa fgouverne par un etre en soi qui en vrai n’est pas nommé car les mots manquent, mais qui n’en est pas moins présent bel et bien, qui cependant, hors les mots
de latribu, hors ce je de base, existe cependant (gouverbne) comme un,e entité basique direzcte, sorte d’entité chamanesque, animalière, étrangère à soi comme l’animal de paroi, etc, il s’agit ici pour l’homme des cavernes de comprendre (art) cette chose (art) d’un e sorte (art) de scansion en soi (de martèlement) disant cette cghose d’une gouvernance à par t soi = conscientisée par la bande, comme un envahissement (une ivresse) menant lza barque à son propre insu innommé, il
s’agfit ici de comprendre cette chose d’une sorte d’envahissement natif, sans mots de trop, quyi est cette conscience étrange comme une sorte d’ivressse en soi ou d’envahiiseement de sa propre sphère de gouvernance pâr un,e chose qui est une cghose de’un dire animal, ou bien quoi ? lm’homme, la femme, le faon, l’enfant, le troubvle etc, il s’agit ici d’un jeu à plusieurs qui eest le jeu de base de la foi, qui est ce jeu entre d’un côté les a cteurs du lieu (femme, en,fant, homme, aanimal) et de l(‘autre l’esprit sans mot de la
gouvernance (en soi ou hors de soi) , il, est bon de comprendre cette chose ici d’un pazrcours de vie vive en soi , d’un contenu rageur, d’une sorte d’a mplitude dans la pensée, d’une sorte xd’injure constitutive qui serait l’injure suprême, une sorte de «va te faire foutre» scandé sur roche, martelé sans trêve, pâr un homme envahi par en lui une sorte de gouvernance hors lesw mots ou comment dire ? une passion primaire, directe, capitale, massive, orientale etc, qyui prend la mesure
du verbe en sa tête, en ses jambes etc (le corps en entier) et va sur roche desssiner ou graver pareilles effigies de betes de poids portant lour-d dan,s labalance, il s’agit ici cde comp^rendre cette chose x’une sorte de contrebalancement direct et efficace un temps , sur roche, au charbon de bois, au manganèse, etc, un hommùe dessine qui bn’a pas les mots de sa gouvernance et sait que gouvernance en lui existe, sait de base, sait car il vit la cghose, cette cxhose d’une sorte de gouvernev ou gouvernance en lui malmgré lui, comme un flux massif et sanglant qui irait de lui ou en lui vers l’ailleurs du devant de lui, ce devant pariétal xd’un temps alloué , et lui de placer des poids sur la ba lance (= des injhures = desq mots-animaux) qui sont poids de belle massse, pesant loursdd dans la balance comme peut-être des i njures de belle force, comme injures les pires,, etc, et cela sur roche dure soit sur roche du temps, car le temps est tel que la roche est dure pour l’homme ou la femme ou pour l’enfant de ces temps anciens, le temps de la roche est celui que l’homme des cavernes dessinaientb pour sa gouverne, l’homme des cavernes dessinaient xdes betes pour sa gouverbne, pour en lui sa gouverne etc, cap de bonne espérance, etc, il essayait ou s’essayait à dessiner fissa, illico presto, à main nues, à main levée, en tyranse, dans l’outyrance de latranse, dans une sorte d e transe animale, dans la transe-danse dun envoutement de vie, il (l’homme) dit sa chose sur roche = injure, il est homme qui injure dur, il est injure dite homme que, que ça, il (homme) est injures que ça, sur cette roche de, il (homme) que est dû, qui a donc cette voix qui est celle que est, son coeur dire, sous emprise de la bête en lui, bête qui est sa gouverne (= je)
en l’absence d’un je de gouverne directe,
il est l’homme qui dit sa gouverne et cela de cette manière , la sienne en prop^re, avec des sortes de mots-animaux qui sont des injures, c’est à dire des «gros mots « qui pèsent lourd dans la balance de latranse, etc, l’homme xdes profondeurs (profondeurs de la grotte) injurie , et ce faisant il pose des mots (des mots de roche) lourds danslabalance et de fait contrebalance l’»injure de la mort à l’oeuvre, son corps en entier dit la chose en transe, il est l’homme de la profondeur de la langue, ses mots sont couplés à ceux de la roche, et représentent ... quoi ? l’éternité ! d’une injure capitale, ce «va te faire foutre» d’origine, ou des premiiers pas , etc, nous pensons que l’homme des cavernes, maniait son verbe de cette manière, au pic de bouche, en transe, à la serpette,, cavalièrezment, brusquement, sur roche, au sang de sa voix, etc, il cracxhe, il émet, il donne, il dépose, il est cet homme qui donne de lui dans lma balance ce dépot de choses dures, critiques, qui sont betes-mots de poids massif , commùe inhjures ou cris de haine etc, son aenvahiisement de gouverne est tel que son etre est dur de la roche dure, tout pareil, son etre est de la roche dure, il est l’homme qui est l’homme d’une sorte de «revve,ndication motrice», comment dire ? il bouge et file direct sur roche des temps impartis, et hurle sa joie )-souffrance, etc,n , il est cet homme qui est comme en prise directe avec les él;émeznts de la roche : homme que
est-ce ou qui ? que est cet homme qui ? qui cet homme est-il ? il est ce home que mort veut, il est ce homme que mort veut ... de suite ! il (ho:mme) est ce que la mort veut de suite ! il est homme que mort veut de suite! ho=mme est en vrai ce que mort veut de suite ! homme il est que mort le veut là, direct, mais, sur soi de table, est offert le présent à la place , le don, la chose, cet art de la ruse , etc ! je est cet homme ici que je veux etre : en ! cet homme de mort qui est ici pour etre, ce que mort veut direct, sans étapes, sans stations, sans temps mort, sans pperdre le tempsq ! il est ici cet homme, qui dit sur roche sonn tourment, et cela haut et fort ! il ne lésine pas ! il veut essayer de comprtendre le plus qu il peut en vrai avec ses mots-betes et cela est difficxile car les mots lui manquent grandement qui ne viennent pas dans sa bouche et cette chose a le don de le mettre en rage, et de le déboulonner, de le déplacezr, de le bousculer et de de le ficher face contre roche, joue sur paroi, ainsi de suite, l’homme des cavernes est cet homme qui sait (connait) de l’intérieur son problème de gouvernance, il sait (connzait) de l’intérieur son problème de gouvernance et il dit haut et fort ce problème sur paroi, il écrit, il dit sa chose, il d-dit sa cxhose avec ses mots qui sont de fait des mùots-animaux de maintzenance et dezmain
il emploiera d’autres mots que ceux là, des mots de bouche durs, des mots durs de bouche, pûis d’autresq encore, moins durs etc, sa voix se forme, le chemin est long , il est l’homme des injures dites «natives», il (l’hommùe des cavernes) est cet homme aux injures jeunes, neuves, aux fraicheurs etc, il dessine avec fraîcheur ses mots de betes dures, il est dur de la chose dure comme la paroi, il est l’homme qui dit sur roche ce que bon lui semble à) devoir etre, etc, car sa voix se forme peu à peu, sa voix eest ici sur le chezmin d’une reconnaisance, je va naitre, bientot je sera né au monde et les mots-betes trouveront à) peu à peu s’enkyster ou comme s'enkyster en lui comme reliquats, comme des sortes embryonnaires de choses e,nkystées etc, il est l’hommùe des cavernes folles, l’homme dur de la caverne follle, son nom est écrit sur la roche : Le Nom, et c’est ainsi que l’homme des cvavernes existe pour nous, en tant que l’homme qui écrit son nom, de fait, sur la roche : le peetit de l’homme, le cerf, la biche, l’aurochjs, le boiteux, etc, son nom est celui qui est dit en toutes lettres animalières sur paroi de grotte, au fin fond de celle ci, caché de la masse, etc, il est l’homme qui sait (ou connait), de sa gouvernance, une sorte de chose
qui est (cette chose) à comprendre (pour lui) avec ses moyens à lui qui sont rudimentaires d’un certain côté et pas du tout de l’autre, de l’autre tout le contraire, il est bon de xsavoir cela, de comprendre cette chose à deux (l’animal et moi) en moi et pour cela, du coup, de se rapprocher de la paroi ornementée, de voir les dessins, les gravures de prè!s, de comprendre ce qui est ici qui est
dessiné et qui représente un poids sur le plateau d’une balance, il est bon de bien mesurer ce qui est ici qui se joue en matière de pesée, de pôids déposé, il est bon de comprendre cette chose ici d’une sorte de pesée de base, basique c’est-^à-dire native = des profondeurs
de la base du temps, et cela les yeux ouverts, tout ouvert pour cezla qui est d’importyance, ouvrons grand les yeux sur pareille chose de grande importance, ouvrons les yeux en grand sur cette chose de grande impôrtance et qui dit la chose, comme quoi des betes (représentées) sont des poids de charge sur une balance (oui !) car le poids ici a son importance : la fidélité au modèle et la pesanteur de la charge, car,
deux bisons pesent plus, deux aurochs plus deux rennes ,
plus deuwx autres rennes, p^lus encore plus, etc, il s’agit de voir ici cxces choses d’une vie riche enn pesanteur de toutes sortes, il s’agit ici de voir ces choses dures dites, comme elles le sont, sur roche, pazr des hommes privés de mots ou commùent faisaient ils ? nous essayons nous dee comp^rendre, d’entrer en pareille roche, nous essayons de nous projeter mais bien évidemmentb lqa chose n’est pas si facile et il est nécessaire pour ce faire cde connaitrte un ghrand nombre de données con cernant ces choses de paroi, de roche, ds’animaux reprzeésentés par des hommùes des cazvernes à une époque où tres certainemùent les mots en bouche manquaient cruellement et ce manque dès lors devait présider et devait comman,der ce qui arrivzait, ce qui advenait sur roche, on peut
penserr que, autrefoisn, les hommùes des cavernes n’avaient pas en eux les mots, les termes adéquats en bouche pour s’exprimer, et cemanque en bouche a ou devait avoir son importance certainement, l’homme alors ne pouvbait pas dire des phrases cvomme nous le vfaisons aujourdhui, et sa cvondition d’homme comme musekllée devait fortement peser da,ns la balan,ce et jouer des tours ou llui jouer des tours, l’home des cavernes parlait peut etre, nous n,’en savons rien , une sorte de «sabir des origines», quelques termes triée sur le volet
pour ainsi dire, c ‘est possible mais ce n’est peut-ettre pas probable car les mots que nous nous connaissons de son époque sont ceux là que, nous, nous pouvons «lire «(‘(entre guillemets) sur la roche, ces betes, ces mains, ces traits divers,n, ces figures géométriques, ces essais ou cvomment peut on dire, scandés, martelés , serinés, etc, pour qui, pourquoi, et dans quelle mesure ? cela est difficile auhjourdhui à savoir car le temps est passé et a rezcouvert tout cela de son voile de bure qui en vérité nous gene beaucoup auijourdhui aux entournures, l’hommùe des cavernes écrivait son nom sur la roche, le nom xd’emprunt, son nom de gouvernance pour ainsi dire, il habitait la paroi du temps et savait en lui qu’une sorte de gouverne présidait mais sorte de gouverne à lazquelle ou pour laquelle il lui était difficile de donner un nom précis ,
par manque de mots en
lui, essentiellement, l’homme des cavernes témoigne à sa façon (« omar m’a tuer ») de ce qui est en lui quyui préside, il dit comme il pêut pour les générations qui peu à peu viendropnt, il dit avec ses moyens, ce qui est pour lui en son coeur ou en son anttre, etc, il témoigne du fait que 1, il sait sa gouverne, il sait qu’en lui existe une gouverbne, et 2, cette gouvernbe, par manque de mots, prend les traits de ce qu’il connait en faits de ghouverneurs, et passeulement cela, il dessine exactement ce qui pèse dans une balance divine, il met sur roche ce qu il peut qsu il sait pesant, ce qu il peut qu’il sait que ça pourrait le faire en termes de poids, sur le pl;ateau d’une sorte de balance de vie divine, etc, divine ici = liée à la mort qui guette, etc, ici dieu = la mort, ni plus ni moins, dieu est l’autre nom quon donne à la mort, c’est à dire à cet inconnu des temps à venir, à cet inconnu du lendemain, de l’après, du lointain, c’est à dire de l’espace-temps à venir, etc, dieu ici est l’équivalent de la mort, en termes de mot, il est l’équivalent parfait de ce mot (ou de cette chose) de mort, ou de la mort,
dieu = mort à venir, etc, et l’homme des cavernes, lui, a comp^ris (sans mots ? ) cette
chose en lui, du fait qu’en lui existe une gouvernance, c’est à dire un cap, un pic, etc, il sait que ce cap en lui est très lié à la mort à l’oeuvre, il sait que si la mort est à l’oeuvre il est nécessaire pour lui de contrebalancer la chose, par une oeuvre sorti de lui, pâr cette chose à l’oeuvre en lui, etc, la mort a en elle une chose qui est cette chose que l’homme des cavernes injurie, et ce faisant il dépose comme un présent, et le présent (du temps) ainsi est une injure faite à cette chose de
la mort à l’oeuvre, ni plus ni moins, l’hommùe des cavernes dit son dire animalier car il sait que sa gouverne est animalière, qui pèse dans la balance de la vie et de la mort à l’oeuvrre, l’homme des cavernes dit sa chose sur parois, il est vif, il est celui qui sait qu’en lui existe une gouverne, il voit cette chose, il sent cette chose, il cerne avec ses moyens cette chose et ceztte chose est pleine d’une sorte de ressentiment ou de rage ou de co;lère, de colère certainement, et cela apparait dè§s lors sur le plateau de labalance de la vie et de la mort, cela est une évidence, cela est, cezla se présente comme une évidence, il semvblerait que cette chosex ici soit cette chose cd’une sorte d’évidence de balance, une sorte d’évidence sur balance, etc : on a ici affaire à un etre (homme ou femme) doubléxe d’(un faon ou d’une autre bete de roche, qsui , se sachant gouverné, agit sur roche, tout à l’écoute de cette gouverne dont il est portyeur, il semblerait que nous ayons affaire à une sorte d’homme surprzenant, qui est l’homme qui (privé de mots) les inventent sur roche au fur et à mesure que le temps avance dans l’histoire de l’humanité, un homme a éécrit sa chose sur rochje, soit le témoignage peut-etre de cette violence en lui (quil subissait) de ne pâs pouvoir refuser la bete, cette bête en lui ou quoi d’autre ? le contraire ? fier, d’arborer la bete ? fort ? il chantait, il se laissait aller ainsi sur roche, dessinait à quimieux mieux sans cesse, en transe tres certaionement, comme un homme lié à la danse, au chant des profondeurs, au bruit que font ensemble les courants en,tre les parois, il écoute et voit, il ressent, il n’est pas en manque de sentiment, etc, l’homme des cavezrnes est un homme riche et profond, il connait foultitude de choses et il sait naviguer dans sa vie comme un etre qyui connait la vie, qui en connait un rayon , il avance en roche comme soulevé par un chan,t de betes menaçantes, il se lèève, il se lève de sa coucxhe, il va ainsi en rocghe , et là il dessine, il grave des aurochs, des antilopes, des buffles, des bisons, des chevaux, des rennes, ees zébus, des cerfs et autrtes cervidéd$s, ttoutes sortes d’a nimaux des chazmps et des bois , mais étrangzement : pas d’insectes, quasiment pas d’oiseaux, pas de poissons, presque pas de petit gibier, pas cde lapîns par exemple, alors que l’on sait que ceux ci pullulaient à son épopque, on a retrouvé des centaines d’ossements de petites betes
qui étaient des lièvres, des lapins, des renards etc, donc ces betes-là existaient à l’époque de cet homme de la préhistoirte or étrangement jamais ces betes ne sont pour le coup représentées et ça ne laisse pas de nous intriguer car un lapin est finalement assez facile à representer de façon distincte ou plutot on peut dire qu»’un lazpin se prete volontiezrs pour ainsi dire à etre représenté d’une manière qui soit fid èle au modèle, et reconnaisqszable, tres reconnaissable, or notre homme des cavernes non, en décide autrement , et donc ne représente pas (presque pas) ce petit gibier, on peut donc pênser quil «hierarchise» les représentations, d’une certaine manière, c’est à dire que pour lui , de représenter un bison (ou un cheval) compte (puisqu’il s’y colle, et combien de fois !) alors que de représenter un lapin ou un lièvre ne doit pas avoir à ses yeux la même importance (puisqu’il ne s’y vcolle pas), etc, il sembkle dopn,c que l’homme des cavernes avait en tete (ouù ?) une sorte de classement des betes à devoir représenter ou à oublier ou à ignorer, à délaisser , il semblerait que :l’homme des cavernes hiérarchisait
ce qui était à représenter sur roche et ce qui tres certaionement ne l’était pas, pour des raisons qui
restent pour nous à comp^rtendre, en tout cxas voilà : nous avons cet homme, il dessine des bisons ou des rennes, ou des cerfs, et néglige les lapins, pourquoi ? pourquoi fait-il cette chose ? eh bien onpeut penser que cet homme avait sa petite idée derrière latete, et cette idéee derrière latete étzait, comme de bien entendue, ... «derriere sa tete», ou «derrière la tete», à savoir (pour le coup) derrière , et que trouve-t on derrière latete sinon ... quelqu’un d’autre que soi , quelqu’un qui serait une créature, une bete, un aan imal, un animal de taille, forcément, puisquie ... «derrière la tête» ! et donc nous voici en preésence d’une sorte de créature animùale, dans le dos de l’homme des cavernes, qui monte sur lui comme à vcalifourchon ou cvomment dit-on, sur ses épaules peut etre,, ou cavalièrement, etc, il le chevauchge , il chevauche l’homme des cavernes et là il le pousse commùe pour ainsi dire dans ses retyranchements les plus enfouis,
il le pousse à agir sur roche, à dessiner, etc, lm’homme des cavvzernes est un homùe sous emprise car en lui manque sinon sa gouverne (,non) mais un langage, une langue articulée, une langue articulée lui manque pour parler les choses de savie, et surtout pour parler ou faire parler sa gouverne», car oui ! il sait cette chose d'une gouverne en lui, il sait cette chose mais ne peut lui prêter des mots par mùanque de mots, et dfonc il agit de cette sorte dont il témoigne, il dit ses dires-animaux avec des mlmots-animaux qui sont lesq mots les mots de son paysage aussi mais pas seulement, il dit les gros mots, les mots massues, les mots qui en imposent lourd dans la balance du temps pariétal, il dit des mots qui sont des betes-mots de poids, qui p^èsent lourd,; et ont de l’impact, l’homme des cavernes connait sa gouverne, et cette gouverne en lui il la sait ou la connait car il est témoin de cette chose,
cvomme en man,que d’ettre comb d’etre emplie, d’etrte comme remplie de mots de de mots qui en somme disent ce quils ont à dire,
l’homme des cavernes sait que sa gouverne est orpheline, l’homme des cavernes sait que sa gouverne est vide de mots, a besoin d’etre remplie, emplie cvomme une outre, un vase, une amphore, un récipient, une gourde, etc (un pot).
7/4/2021
j’entend cette musique de la roche , de la blanche porte, j’entends monter cette musique du fin fond de cette roche du temps pariétal, je l’entend qui vient à mes oreilles (oreilles de faon) et il s’agit d’un chant rupestre, guttural, un peu
sourd, une sorte de mélopée langoureuse, une sorte de mélodie a minima, un
son continu, des sons qui se chevauchent etc, comme chevauchements sur le dessin d’un homme sur paroi de grotte, je suis ce chevreuil qui entend, je suis ce faon de roche qui entend et fait un peu la sourde oreille car ce chant est un chant d’appel, et est là pour inciter les ames des défunts (?) à passer ce cap dit de la blanche porte, et à s’introduire en icelle, à gagner du terrain ainsi, enttrer par pareille béance blanch;âttre etc, quand pour ma part je me garde bien de succomber à ce pouvoir de la musique , à cette sorte de pouvoir contenu en pareille musique montante (?) ou des cendante (?) de pareille cavité, je me garde car je ne veux pas, c’est à dire que je ne veux point, non, je ne veux pas alller plus loin, jje suis touché par son chant de roche, je suis évidemment touché
par ce chant de la roche et j’en subis les effets directs, de par le fait que je suis aux premières loges et que ce son arrive jusqu’à moi jusqu’à m’envelopper de ses effluves pour ainsi dire : oui, et cependant, je fais en sorte de ne pas me laisser charmer, je fais en sorte de toujours bien
me tenir sur mon quant-à-soi ou sur mes gardes etc, afin de ne pas succomber aux charmes de belle la Musique, la belle musique des profondeurs, de pareille blancheur nacrée, non ! ne veux en aucun cas succomber ! alors oui j’en subi directement certains effets, qui me font (un peu) chanter « avec elle » , qui me font (un tantinet et comme à regret ?) chanter (un poil ?) avec elle qui me fait des effets , qui sur moi fait son petit effet, m’influence en partie, etc, cela oui, cela est un fait, et cependant, je fais cette chose, de rester ainsi sur mes gardes, de toujours et encore veiller à ne pazs me laisser emporter par pâreilles sonorités venues des profondeurs, cette langue montante (descendante ?) qui vient direct, en moi, comme un chant qui enrobe, scande, enjolive, tournbeboule etc mon cri de faon "de la première heure" (etc) , je me garde bien de succomber par trop, et je me tiens dès lors à bonne distance de pareille mélopée
ou mélodie ou de pareille langue de ce chant de la roche du temps, qui vient jusqu’à moi et m’enveloppe, me contient, me prend et cherchev par tous les moyens à s’introduire en moi, en moi-même, et moi de renacler comme bete des prés, et moi de renacler en veux tu en voilà car je ne veux en aucun cas passer l’arme à gauche et plonger en cette cavité blanche de roche : cela non ! à
d’autres ! point à moi ddis-je ! etc , car je suis le faon géant qui guide et le guide doit rester le guide, il ne s’agit pas de sortir de ça ou de ce schéma-là, si je suis le guide alors je dois rester le guide (de cet homme des cavernes) , je suis ce faon qui va aux portes des enfers (?), je suis ce faon qui pour le coup vous accompagne jusqu’au bout du bout d’une vie terrestre allouée , et ce faisant je suis dans votre coeur celui qui impulse le start, qui donne le clap, etc,
je suis, je suis ce faon , je suis je suis,
ce faon de la roche, je suis ce faon qui donne son aval, en amont de toute vie de roche, et accompagne le parcours de l’homme et de la dfemme des cavernes jusq’à bon port, je suis homme et ffemme des cavernes, je suis un peu homme et femme des cavernes, etc, car je prends sur moi, j’accompagne collé-serré, je suis attenant, je suis celui qui monte, qui est en, qui enfreind les règles et prend, etc . ou alors je suis celui qui est monté comme un cheval de course , cheval de prairie qui va loin en pareille zone de paroi et amène son cavalier ou sa cavalière à bon port (bout du bout) qsui est cet endroit blanc en échancrure
de paroi, je suis le faon des
roches, je suis l’animal accompagnateur de latranse et à ce titre je suis roi, roi de pareil endroit de roche dure, un peu roi de cette sorte de royaume ou de palais , la roche, qui est ce palais ou ce royaume des temps alloués à) une vie humaine (terrestre = pariétale ?) , je vais et je viens sur roche, je me promène, je suis dégagé de toutes sortes de pressions malencontreuses, je fais mon chemin, je fais ce que je dois faire, je suis celui qui fait
ce quil doit faire, et ce quil doit faire = cette chose d’une sorte de chemin commun (un partage) avec un homme ou avec une femme, un homme rupestre, une feme des cavernes, je fais mon chemin de ronde en cette roche des temps imparetis et j,’attend l’heure de voir se pointer le museau ici d’une sorte de créature mi bete mi homme (ou pas loin ?), une crreéature «secondée», qui est ou serait cette créature prut-être de bord de roche (paroi) venue à ma rencontre, et que je me dois d’accompagner fissa jkusqu’au bout du bout, à savoir jusqu’à cette «blanche porte» aux embruns nacrés (? , ), aux effluves (?), aux musiques des profondeurs, etc, j’accompagne, mon rôle ets celui -là, de devoir accompagner, d’aller à larecontre de ces créatures et d’accompagner celles ci jusqu’au bout du bout, de pareille paroi de grotte et cela : parmi d’autres créatures qui
sont dessinnées , elles, sur roche, ou gravées, par des hommes ou par des femmes, et qui sont ici ces betes de masse ou de taille qui , betes fortes, massives, en imposent follement et jouent leur rôle (en quelque s sorte) peut-être d’épouvantails (?), je regarde l’homme-bete venu jyusqu’à moi et je lui fais signe de bien vouloir vers moi venir et me suivre, me suivre longtemps si possible, je suis le faon -accompagnateur qui incite (propulse aussi) de cette manière que je fais, à savoir en allant à la rencontre et en faisant des signes, ces signes sont presque codés, il s’agit presque de signes codés du genre de la kabbale ou comment dire ? mes signes en tant que tels sont des qui sont codés et qui doivent ou se doivent d’$être déchiffrés, ou alors
qui se doivent d’être retenus cvomme des qui ne sont surtout pas à ignorer mais tout le contraire, j’émets (de moi même) un certain nombre de signes ou de signaux «kabbalistiques» et ces signaux je me dois de les préciser, de les présenter d’une manière précise afin de pouvoir dès lors donner à l’Autrte (la créature mi bete mi homme) un semblant de chose sur quoi s’appuyer pour me comprendre et aussi comprezndre $le messaghe contenu en pareil message, je suis ce faon qui émets des signaux de type kabbalistiques, et ce cfaisant hj’avance en prairie comme dans un livre, car chacun de mes pas est signal, chaque pâs que j’esquisse = un signe ou un signal, un signal et vif, un signe de vie etc, je suis le faon tout entier tourné vers cette chose d’un
message à délivrer, à délivrer ici par la bande = en cette zone pariétale des embruns, roche de la préhistoire, art pariétal, art de roche, arts des temps premiers, signes des temps alloués, etc, mon travail est travail dés lors de signalétique et tout ce que je fais en pareille roche est codé ! tout est codé ! touts (qu’on se le dise) est codé et presque (presque ?) à mon insu ! car je suis le faon «édébordé», je suis le faon «envahi» , je suis le faon «pris à paretie», je suis le faon d’un langage outré qui erst le langage de laroche dure des temps impaertis, cette chose rebelle, ce vif parler de buffe ! cette soufflerie animalière
, ces gros gros mots de roche dure comme du caillou, ces coups du sort, ces entraves, ces cassements ! je suis faon qui «parle» un langage de signaux rupestres, je m’envole, en pareille roche des temps, vers blanche porte, je suis moi-même
cette blanche porte des temps alloués, suis je bblanche porte ? ou suis je kabbale ? je suis tout entier tourné vers cette sorte de recherche de messages en moi à délivrer (sonores, visuels, cinesthésiques,; etc) ici par la bande à ceette créatrure des parois, mi hommùe mi bete, arrivée de par la roche meuble, armé de son propre pic verbal xde bon aloi, et qui, une fois entré»éée, va vite se
porter vers moi et de me demander (ou pas ? )de si possible la seconder dans sa volonté d’aller loin en ceztte roche et de gravir ainsi la pente (monticule) vers ce bout du bout pariétal, vers ce bout de roche dure aux portes ouvertes , aux (portes ouvertes) ? ou à ? à ... la porte ouverte ? à une, pas à deux , ou alors si à deux ? deux portes ouvertes ? côte à côte ? deux portes pour un seul passage, au choix ? nous
ignorons, en tant que nous sommes simples chevreuils de bas étabge, qyoique chef géant, cerf gé»ant , qui va son chemin, altier, et en jette un maximum , de par sa prestance, sa tenue dirigée, son port de tete, son allure de "grand seigneur de la lande", sa démarche fine, imposante, appyuyée, légère, etc, je suis ce faon qui «parle» ici codée en roche et donne des signaux quasi
subliminaux à cette créature d’immixtion dite de fait «pariétale», cette créature mi chair mi poisson ou comment dit on pour dire cette chose d’une sorte d’hybridation pariétale, cet homme à bec, bout de bois tenu, ce sceptre, cette chose dure à bec de bete,, etc, il s’agirait pour moi de savoir pour le coup parler ce langage des hommes et dès lors communiquer avec pareilles créatures hybrides (etc) et les comprendre au mieux et moi -même au mieux me faire comprendre, car je suis le faon qui agit, parle, gewsticule, sautille «en codé» comme à perpétuité et cela car tout ce que je «fais» s’inscrit sur la roche comme un signe, et ce sign e est à déchiffrer pour le coup, car tout signe est à déchgiffrer, et dès lors qu’il s’agit d’un signe qui s’inscrit , dèds lors ce signe est ou sera à déchiffrer en tant que tel, c’est )à dire en tant que signe des embruns, de la roche dure, des passages du vent dans l’entre-deux-mers, etc, il va s’agir de cette chose , d’une sorte de signe
kabbalistique, un air de deux airs (eh voilà !) qui là, sur roche, s’impose à la vue, aux sens de cette créature d’immixtion soudaine (au pic an imalier : cohorte de mots-betes) qui vient de rentrer , d’de se placer, ou lover, qui juste vient d’arriver (naitre) en pareille roche pariétale, une sorte d’arrivée en vrai des profondeurs du temps, et cette survenue est à considérer comme peut-être l’arrivée nouvelle d’une sorte de bébé de la roche dure, un bébé venu à marencontre, une créature nouvelle, une sorte de nouveau-né à une vie neuve ou nouvelle, etc, je vois cette créature, je la vois qui pointe son museau à travers la paeroi (elle dessine un arc) et je vais vers ezlle, je l’(aide à pénéttrer la roche
, et je m’aggrippe, afin de prendre icelle sur mon dos ailé et ainsi fait je vais, m’envolant, au sein de la roche (cette enclave), et là je volète,
je batifole dans les airs, tourneboule que tu tourneboulezras, et là je vais direction les embruns (l»évitation !) , la porte blanche, la blanche porte, je
vais vers pareille porte ouverte, blanche nacrée, vaporeuse :
des vapeurs ? de la fumée ? de la blmancheur nacrée ? une cavité ? qui mène à quoi ? un pis-aller ? une tombe ? un tombeau ? un trou dans laroche ? une porte d’une demeure ? un chemin tracé qui monte (marches )- ? ou bien qui descent (marches) ? qui peut ou pourrzait ou veut ou voudrait nous rebnseigner un tant soit peu ? qui vneut ou voudrait nousz renseigner un peu
et nous dire ce qui est ici en cette matière de vie ? qui voudra nous dirre ? car pour ma part je n’en sais pas long en "dits-mots",
je peux dire par la bande oui, à savoir que peut-être mon existence tout entière est dires (mots) qui désignent etc, car mon exisytence est faite de signaux (de signes divers) que je suis à émettre par la bande c’est à dire à mon insu pour ainsi dire(ou pour ai nsi lmal dire ? ) et ces signaux que j’émeys désignent un certain nombre de choses dites des profondeurs (? ) ou
sinon des profondeurs, désignent un certain nombre de choses de surface (?) etc, mais qui en vrai restent à déchiffrer par qui de droit ou par qui de savoir, car pour décghiffrer un code il est préfé&rable (obligatoirement) de connaitre pareil code, de savoir décghiffer celui ci
dans le moindre de ses recoins, obligatoirement, un code est un code, et tout code a ses secretts quu’il est préférabvle de connaitte si l’on veut savoir ce que pareil code cache, montre par devers lui ou en lui, de caché-masqué etc, un code est codé,
un code est masqué, est masque, etc, je suis le faon -masque, je suis tout codé , de par ma constitution première, mon nom mêùme est codé, tout ce que je fais et tout ce que j’entreprend est codé, tout est codé de a à z en moi même ou disons dans tout ce que je suis à même de présenter sur moi de visu et plus encore aux différents sens de cette créature des parois venue à ma rencontre, l’etre hybride, mi ange mi démon ? ou bien mi bec mi baton ? ou bien mi chair mi poisson ? etc, je m’approche et mon approche «dit» des choses à cet auttre de paroi qyui vient ici d’arriver, et ce que «je» dis se dit à mon insu obligatoirement car je n’ai pas la main sur "tout" de moi, tant de choses de moi m’échappent, se disent par défaut (est-ce un défaut ?) etc, et de ce fait, cxe que «je» dis par mon comportement (etc) se dit (en partie
?) à mon insu et cela est à déchiffrer car cela est des signes, ce sont, il s’agit de ces signes de type (quasi) kabbalistiques dx’une sorte d’existence pariétale (ornements) qsui est l’existence d’un faon géant, ou bien ailluers d’un renne ou d’un aurochs, art de la roche, art d’un homme, art d’une femme;, art des parois de grotte, art = façon d’entrter, etc, comme de bien (toujours) entendu, il s’agit pour moi de faire ainsi que tout de moi appa raisse en tant que signes codé (kabbale) par la b ande , une chose et une autre codées, tout de moi doit (se doit)
d’apparaitre (apparaitre) ainsi de cette façon qui se voit comme COD2E de telle manière que chacun de mes gestes de rocxhe, le moindre , soit de fait considéré en tant qu il masque quelque chose d’autre, qu il dit autre chose soit que ce qui est «dit» ou «montré» est le masque d’une chose autre qui serait «derrière» (derrière ? où ?) et qui xserait dèds lors à déchiffrer de fond en comble,;(combble) etc, je suis ce faon dxe la première heure qui est passeur d’ame et qui agit kabbalistiquement en et sur roche, comme par l’entremise d’un langage en soi : pierres de taille ici ou là déposées , qui sont autant de lettres d’une sorte d’alphabet de roche, faits de signes et signzaux divers, provenant de cette bete que je suis pour vous, ce faon en ses simagrées ou autres gesticulations qui sont autant de «pierres» ou de «lettres» cdéposées sur une rétine ou dans le cerveau d’un etre hybride nouvellement promu au rang de ceux qui
entrent, qui s’inscrivent en roche, qui naissent à la paroi, qui s’incrustent comme dessins ou gravures d’hommes des cavernes, faon je suis qui montre des facettes, facettes diverses qui sont (toutes) à comprendre à l’aune des embruns de cette roche «fluide» ou tout comme , je vais et je viens sur la roche, je cours sur ezlle comme un dératé, je suis qui va sur roche comme un dératé, j’avance ainsi de monticule à monticule, je vais sur roche ainsi : de monticule en monticule, je suis le faon guideur qui donc amène icelle ou icelui, icelui ou icelle à bon port (ou iceux) et les laisse ainsi aller dedans porte blanche, sans suite pour moi, car ne veux pas, car je ne veux pas, car pour moi il est hors de
questions de vouloir cette chose, d’entrter à leur suyite en pareiille cavité de roche, en cette blancheur, en cette chose d’une sorte de blancheur (vaporeuse) des limbes, ce secret bien gardé, cette chose douce aux embruns plastiques, cet art d’un faire vivant, cet art d’un aspect limbé, etc, je vois cette porte au devant mais je me garde de m’en approcher de trop , des fois que «quelqu»’un « me pousserait dans le dos à me fgaire trébucher et tomber en elle, en cette sorte de trou ou de passage, etc
, je ne sais que dire de ce passage car en vrai je ne vois pas loin en lui , et ce que je vois se résume à ce que j’en dis là depuis le cdébut, à savoir une porte de grande taille, aux contours imprécis car recouverts ou masqués par des vapeurs blanches : embruns ? vapeurs ? fumées ? je ne sais, mais il s’agit de couleur blanche comme souvent il est dit, de cette couleur blanche de la fumée blancjhe ou des vapeurs blanches ou des embruns blancs bleutés, ou blanc nacrés, etc. ; que dire d’autree ? on dirait qu’il s’agit d’une bouche, avec, à l’intérieur ... une marche ? une langue ? le bout d’une languee ? un organe ? le bout d’un organe ? organon ? je n e suis pas à
même d’en xdire plus long car je suis court sur patte peut être pas car je suis géant mais court de vue car mes yeux ne s’approchent pas davcantage et restent à bonne disqtance de pareille entrée finalement plutot dangereuse il semblerait, car personne ne revient de là, jamais personne ne ressort pour dire de quoi ikl s’agit, alors fauut il enttrer en cette cavité (à son tour) pour avoir (acquérir) ce savcoir, Le savoire, la vérité, etc, sur ce qui est (existe) à l’intérieur ? que peut il y avoir en cette cavité ? quoi peut il existezr en pareille cavité blanche ? quoi existe derrière ? derière tout court ? qui partout toujours existe derrière ... et ici plus que paertout ailleurs ? je (nous) ne savons (sais) pas, il est bon de dire cette cghose ici, commùe quoio je (nous) ne sais (savons) pas loin, pasprofond, pas large , pas haut, pas bas, etc, sur c e qui existe ou existerait en pareille roche trouée, en cette roxche dure trouée, en cette béance blanche (etc) qui est ce fond de grotte ou fond de roche dans la grotte, faon je suis qui ne sait pas lourd, qui ne sait pas large et ne sait pas long, etc, alors même
que j’aimerais beaucoup en savoir long et large, lourd et profond = en savoir des masses ou des poids de cghoses, des poids de ces choses, du lourd de chez loursd : bisons ? bisons et aurochs ? aurochs-aurochs-aurochs ? peut-être ! car, j’aimerais que ces sacvoirs de poids soient en moi des savoirs indéboulonables, vérités de bon azloi pour une éternité de temps allouée, je voudrtais celza, car faon, car ce faon que je suis ou serais, ce faon parle pour lui , hors moi pour ainsi dire, et ce qu il dit est «signaux» d’une sorte d’arrière-boutique de soi ou commùent dire cette chose de pareils signaux émis ou qui seraient émis comme par la bande = à son presqu’insu ou comment autrement ? car je batifole sur roche, et batifolant je parle et dit ce que «je» a à dire ou quelque chose d’approchant
! jke batifole-parle et émets des signaux peut-être de type kabbalisttique : tout ce que je «dis» par mes batifolages est à déchiffrer et à comprendre comme objets cachés (secrets) et enfoius, je ne suis pas ce que je suis, je ne suis pas bambi des prés, je ne suis pas cette chose ou cette créature, je ne suis pas cette créature faonesque en vérité, je ne suis pas le manitou, ni cerf ni cerve, ni cerf géant ni biche aux attraits, ni biche de gré, etc, ne suis pas, je ne suis pas cet homme , je ne suis pas cette femme, je masqu e et j’apparais tel que vous me verrez mais ce que vous verrez ne me ressemble en aucune façon car mon apparence est kabbalistiquement masqué par des apparences trompeuses et les apparences sont toujours trompeuses qui nous font prendre (et dejà avec soi même) des vessies pour des lanternes
, or : la douleur, les angoisses, les phobies, les choses et autres qui ont pris la place et vous font souffrir ou souffrance, cela est à considérer
à sa juste mesure et de juste prix , etc, nous devons considérer cela comme une chose qui a pris la place en n ous et qui est la croix à devoir porter avec soi jusqu’au bout du bout du chemin de croix et a lors ensuite nous saurons cette chgose, ce poids sur nous, ce que ce poids était , et pour nbous et en définitive : fumée ? blancheur ? effluves ? musiques des attraits ? quoi de pk;us ? nous saurons ce pour qyuoi nous nous sommes mis (faons) martel en tete comme à notre insu et ce deès lors que nous avons franchi le rubicon de la venue en ce monde rocheux d’une paroi dure d’un temps alloué à une vie, nous sommes faons (je suis) et faon demeurons (nous sommes) etc, et tout ce que j’entrepends en cette roche de la grotte est une sorte de signal de guide, une sorte d’injonction, d’appel, etc, or non ! or oui ! que dire ? mlmon
corps est à la science, ma main est surnuméraire sur roche, mon ^ame est partie, mon choix est fait de rester faon de roche dure, lové
en elle, comme soulagé d’en etre , comme inclus, etc, et cela a une importance, à mes yeux de faon de lza première heure, considérable, a une importance considérable à mes yeux, car je suis le faon -guide des temps, l’enfant du sabir codé, cet animal ou ce petit animal, cette bete fine racée qui enjambe, volète, fonce, grignote le temps de son encvol de bete ailée, etc, je suis le passeur de roche, je suis roche moi même (en somme) et passeur d’icelle par la bande : suivez moi, ne trainez pas en chemin, suivez moi jusqu’au bout duu bout, venez vzers moi, suivez ce chemin qsue «je» trace pour vous sur cette roche (dure) aux embruns, suivez, suivez ce chemin, suivez ce tracé au sol, mes traces de pas (empreintes -ma rques, empreintes-mots), et là
vous allez arriver à une sorte de paroi blanchâtre ( nacre) qui va vous surprendre en cela que d’elle sortiront, des nuages de vapeur d’aeau ou de fumée blanche, je ne sais , et ce sera alors à vous de décider si oui ou non vous ambitionnez d’aller ainsi dedans la chose ou non , ce sera un choix que vous aurez à fqaire : entrer en pareille cavité blanche , ou pas ! voilà toute la question ! un choix cornelien s’il en est ! etc, car ce chgoix nb’est pas facile, cela dans la mesure où personne jamais n’a dit ce qui en vrai en était de cette cavité, personne jamais n’est revenu
de cet antrte ou de ce trou, qui est une bouche oui, et après ? mystère ! oh le mystère ! car il y a mystère ! il y a ce mystère ! oh donc ... un mystère existe ? « il sembklerzait alors, que existe Mystère (le), de Mort (la), de Mort de Bouche (la),
cette bouche MOrt de paroi qui,
qui est bouche Mort paroi de», qui est personnification dure d’un objet dit «mort», ou comment ? dur à dire ! dur à penser ! le mystère de la profondeur dans la blanbcheur , ce mystère des profondeurs blanches ! oh peut -etre ! ou alors comment ? car les mots trimballent des notions à même leurs gouvernes et parmi elles celle-ci, qui concerne donc «le mystère de la mort» le bien nommé, comme si la chose coulait de soi, allait de soi, était une évidence, cx’est à dire comme si la mort (la notrte) et son grand mystère(à nos yeux) allait de soi en tant que .. notion ! h»é hé ! et si les mots existtaient seulement pour ça en nous, pour nous faire avaler la piluyle de ce grand «mystèr» de la roche dure ? et si les mots étaient là pour ça , et le faon (que je suis) le
vecteur-passeur-initiateur- trimballeur- acteur, acteur au sens de : qui joue un role de composition, ce rôle que j’ai ou aurais à tenir en tant que tel, en tant que je suis cet acteur de la roche, etc, je suis faon de roche dure (le temps) et je vais et je viens (les mots) en tant que bete de paroi (dessins et gravures) dessinées ou gravées par un homme des tempsreculés (l’aurignacien ou kle solutréen ? ) etc, je suis ce faon kabbalistique, cet enfant aux effdets masqués, ceet enfant recouvetrt de bure, etc, mon nom est Personne ou alors est Bambi, ou Malotru ou
Mégacerf, etc, mon nom ne rime à rien ! il est ce nom d’emprunt offert par qui de droit mais qui en vérité ne désigne perso,nne ou personne en particulier car je suis le faon banal de la roche = le guideur, le guide, le passeur à bon entendeur, l’accompagnateur dx’icelle ou d’iceluyi, le pénétreur, l’entrepreneur, le solidaire, etc, qui pousse une âme qui vive à donc passer son arme d’un autre cxôté etc, je m’avance ainsi batifolant, ce que je fais est du dire masqué, à double titre, du dire mmasqué car ce faire est en fait un
dire (premier masque) et, deuxièmelment, car ce dire-faire di-t une chose, qui n’apparait pas de plein pied, une cjghosze pour une autre (genre : un lapsus freudien) etc, et par conséquent, faon suis-je, que je ne suis pas, car vmon corps est à la science et mon âme à qui de droit qui décxghiffre chacun de mes pas et ne parle, en aucun cas, de mcystère ! car, il a la foi en lui-mêeme , foi qui est cette chose de portée humaine parfois mais pas toujours, foi en un mot du mystère de la foi, etc, je suis et ne suis pas ce faon de roche dure et cependant je suis ce faon de roche dure et cependsant je ne suiis pasd ce faon de roche dure, je suis et je ne suis pas, et voil;à cette chose coton à comprendre, car si je suis je suis, et si je ne suiis pas je ne suis pas ! diantre ! la cghose a l’air parfaite ainsi ! or voilà que ce que je dis semble etre
contredis par en moi une chose , autrte (un contreewsens ? une ppilule ? un effroi ? une plainte ? un chant ? une vie ? un trouble ? un carosse ? un roi de céans ? une aubaine ? un bhijou ? eune âme ? un double ? etc) , ce que je sais est en moi ce que je ne sais pas, ou bien le contraire : ce que je ne sais pas est en moi ce que je sais, ou peut-on dire lers choses autrement ? je suis ce faon de laroche du temps, ce guide amical pariétal, qui aime à vous
accompagner et pour le coup à vous aider de la sorte à arriver, etc, jhe suis ce faon de la roche belle (musicale) et à ce tittre, je vais et je viens ( kabbalistique) sur roche et sur pré, ou sur roche des prés, et je m’époumone de la sorte, en courant à qui mieux mieux après mes congénères, je suis celyui là qui sait c ette chose ici des parois, cette cxhose en creux et en bosse, cet art de roche est manière d’etre en paroi, comme le nouveau né est dans le ventre de sa mère chère, etc, nous avons pour nbous (faons) cette cxhance de pouvoir aller et venir en roche comme enfants dans un ventrte de femme, comme fgaon de roche en pareil antre, etc, car nousq sommes ici logés à la même enseigne que l’enfant porté, nous sommes comme (ou presque) pareille chose de ventre, ce bébé de belle destinée etc, nous disonsque nous ressembmlons beaucoup à cet être
qui est l’etre qui va, d’un dedans de roche à un dedans de roche différent, etc, je suis Manitou le cerf géant, je dsuis le grand Manitou de la roche, je vous seconde (double) et vous condyuit comme à demeure vers blanche porte, oui ! car, je suis ce grand de chez grand de la roche du Temps, Grand Manitou du coup devant l’Eternel, qui va et quyi vient (alphabet) sur paroi de roche allouée, je vais et je viens et ce faisant je parle ma langue
rupestre (ou de paroi) qui est ce sabir enfan,tin dx’un abord marin, cette langue de peu, ce fatras tout à déxchiffrer comme hiéroglyphes égyptiens, etc, mon nom est Manitou le bien heureux en roche, je vais et je viens dx’un monticuule l’autre, et ce fazisant je suis cet homme (?) , cet enfant (?) , cette femme (?) pris en pareille roche comme d'une inclusion, je suis le faon-enfant à charge directe, ce faon -femme de destinée, ce faon-homme des abords veineux, etc, je suis le faon de la roche du temps, pris à partie par (en lui) une puissance musicale provenant d’un antre ou alors d’un trou ou alors d’une bouche de vie-mort aux abords nacrés, blanche porte des apprêts, etcx, nous (chevreuils) disons que nbous sommes en vrai là pour la bonne cause, celle qui nous voit aller sur roche vous accompagnant vers des lendemains rupestres dessinés, nous disons que le temps est affaire de haute importance, l’affaire des affaires, et que nous sommes à devoir, cette chose, la faire de la sorte, cette chose d’un tracéc à parcourir ensemble, faire ainsi cette chose ainsi que bnous faisons = main dans la main pour ainsi dire (homme + bete) et ensemble aller fissa vers
cette blanche porte des agrès, ou comment signifier ce qsui nous attend ? des
lustres ? des années ? des betes à manger ? bétail ? troupeau ? en pareil endroit vaporeux : un troupeau ? un trouypeau de quoi ? effluves ? embruns ? diresq ? chants langoureux ? chants libidineux ? agrès ? quoi d’autre? nous sommes ainsi qui de nous donnons (en tant que nous sommes des accompagnateurs de la première à la dernière heure) ces mo:ments de joioe, ces instants accumulés, et le tout est cette chose difficile pour le coup à bien cerner pour nous, c’est-à-dire de savoir où les choses cde vie commencent et ou finissent -elles , car cezla est la question du jour ! je suis celui qui voit poindre le bec (museau) de ce pic de verbe animaliezr en roche ... et moi dès lors ... d’y tirer dessus ? et à l’auttre bout que dire ? je vois une blanche porte, je vois une porte blanche , et tout est dit (deux fois ?) que nous ne saxchions ! je vois le bec ici (pic) et là la
lumière des sphèresq , et l’en,ttre-deux est un entre-deux-mers, voilèà la chose ! un pic de verbe pointant ici son bec, acéré, u ne entrée dans la bvlancheur (musicale) des sphères, et entre les deux ce passage de vie, jonché de copquuillages, aux embruns marins, etc, je suisq ce faon )-passeur de laroche du temps, je ne sais où ça commence au juste (en l’homme ? pour moi : hors la roche ? transe ?) et du coup où ça finit : porte ? trou ? faille ? cavité ? excavation ? tombeau ? commerce ? idiome ? chaleur ? feu ? chance ? chute ? je ne saurai dire en tant que tel, c’st àç dire que je suis faon = (en quelque sorte) "qui ne parle pas", je ne suyis pas un "beau parleur", je suis le faon qui tente de passer meessage, un e sorte d’initiateur de bas-étage ou alors comment ? mon nom est Manitou, dit le Grand de ces lieux, je vais en roche et viens, pareillement, à l’encontre
ou comme à l a rezncontre d’une âme des prés qui, nbouvellement, sezrait née et serait advenue un peu comme un champignon ou presque, pic de verbe en traversée de roche, un ebnfant est né à la paroi, et moi (faon) d»’en épouser (?) ici les contours, ou bien de le guider vers l’au-)delà des prés dits «pariétaux», en cet entree-deux marin qui est la voie à empruntezr vers le chemin de destinée, vers un chemin qui en vrai va son chemin , ce chemin de menée blanche, etc, nous allons ensembvle ici vcers pareille porte des rois, il ws’agit d’un royaume où le roi de céans est comme l’bhabitant xde marque, une porte ouverte vers de la blancheur de belle
contenance, une porte aux bvlancheurs nacrés comme celles d’un coquilkage, une entrée de coquille ou de coquillage : une oreille ? oh la voilà ! et : s’agit-il d’une oreille de très grande envergure et grande porteée ? ou seulemrent (et c’est déjà beaucoup) d’une sorte d’immense cvoquille ou d’un immense coquillage déposé et qui est ou serait cela que nous voyons qui est, s
ur cet espasce -temps d’un ... entre-deux-mers ? eh oui ! ah ah voilà ! nous savons la chose ! cette musique qui sortait ! cette blancheur nacré ! cette ouverture (borgne ?) dans le paysage ! hé hé nous avons trouvé, la chgose nous regardait ou semblait faire ainsi qu’elle nous tendait les bras pôur ainsi dire : un coquillage (il semblerait) debord
de lmer ! hé hé! ho ho ! hi hi ! ha ha ! uh uh ! et voilà le pot aux roses si longtemps cherché ! hé hé ha ha hi hi hu hu ho ho ! voilà
ce qui est icxi pour nous : une sorte de coquillage nacré géant qui dégageait ou dont dégageait ceztte musique rupestre, dont preovenait cette étrange musique des sphères etc, que penser de cela ? s’agit-il réelllemeznt de cette chose ici, de ce -coquillage géantissime ? une cavité oui ! une porte floue ou aux contours blanchatres non précis ? peut-être ! nous avons peut-etre ici compris cettte chose du coquillage quyi depuis longte:mps nous tendait les bras pour ainsi dsire, était pour nous
comme une pierre ou sorte de pierre dx’achoppement = une sorte d’obstacle (en soi) de paroi ! ou alors une forme (musicale : un cornet) sur le chemin qiu va sur roche (paroi de grotte) v ers des lointains eznrubannés (on l’a vu) : des lointains qui sur eux mêmes font des tours et forment la sphère, oui , cette chose est cette chose, comme quoi nous sommes sur un
cxhezmin peut-être d’un entre-deux-mers, nous sommes ensembvle pour aller plus loin (la vie), moi (chevreuil) en tant qu’etre-accompagnateur (signaux) et vous en tant qu’etre double (hybride) qui cherchent la voie, qui voulez comprendre loin etc, c’est à dire la vérité (vraie) sur les limbes, or en tant que faon-enfant de la roche du temps je peux vous condyuire (oui) où bon vousq semblera ,
mais je ne dois ezn aucun cas qyuitter laZone , la Zone est cet endreoit dit "de l’entre-deux-mers pariétal" ou "roche du temps"
ou encore "paroi des hommes des ca vezr nes", faon je suis icxi (= le méga), faon je dois rester (au charbon de bois ?) car je suis pour le coup une oeuvre d’art pour ainsi dire, comme déposé en roche , placé en bonne protection, soulagé -sauvé par la bande etc, je ne dois en aucun cas quiitter la paroi, je suis comme incxlus en elle, je dois agir de cette sorte que ne dois e,n aucun cas quiitter pareil endroit de destinée rocheuse , pariétale, ruperstre, etc, cela est la vie écrite, mon trajet de vie
pariétal, etc, faon je suis, faon est mon identité, je suis faon-cerf de la roche dure, faon le ma nitou le grand dit "de céa ns", l’enfant qui jhoue près coquillge, faon je suis comme le manitou de cette plage de l’entre-deux-mers, je joue sur cette plage qui est asséchée, hje joue aux osselets, je suis un faon nacré comme les blés ou comme les embruns ; près de moi se trouvent des coquillaghes dont certains xsont gigantesqaues, et, d’eux, sort une musique ou musique des sphères, musique sourde, musique des profondeurs d’un conduit incurvé, une musique qui est lancinante, caverneuse aussi, rugueuse, étronnante et envoutante, nous l’écoutons comme un bruit de mer,
ressac, retour, rage, rapide
"musique aux apprêts", etc, nous ezntendons ici pareiille musique sortant de pareil coquilklage, nous écoutons ensembvkle pareille musique, nous sommes deux qui pensons que pareille musique est le fruit d’une coquille posée sur la roche du temps, nous sommes deux ici (sur paroi) qyi pensons à cette musique comme à celle qsui, sortant d’un coquillage, vous envoute et vous fait chan,celer, quoi est-elle ? chant animal rupestre ? vent dans la flute ? quoi est ce bruit, cette musique, ce son de paroi ? je rezgarde, nous regardons à l’intérieur du coquillage, et que voit-on ? du nacxre, de la blancheur, du lisse, un conduit, une sorte d’entrée incurvée comme une piste chantournée, un tourne-boul, une sorte de conduit à suivre et à comprendre, le mysteère de l’intériorité, etc, nous ne savons quoi penser de cette cavité coquillaire, que penser de pareille cavité coqillaire ? le mal est il à l’intérieur ? ou bienb le bien ? je marche sur une lande, je suis le fa on, je suis ce faon de la lande et près de moi il y a plein de coquillage, je me promène parmi eux, les coquillages sont comme mes frères ou comme des soeurs, je suisq heureusx de déambuler ainsi entre deux mers, je suis à kl’abri des vagues et desz déferlantes, je me tie,ns sur mes gardes cependant, car on ne sait jhamais ce qui pourrait bien adveznir à l’occasion, un tsunami ? une vague
plus importante viendrait ici nous engloutir et c’en serait fini de manitou le faon de laroche, celui là qui préside (on l'a vu) aux deqstinées d’un homme ou d’une femme des cavernes, hje vais et je viens sur roche, je suis le (grand) cerf de roche dure, mon nom est manitrou le grand ceci, je règne sur la lande rocheuse, je suis pris entre deux feux qui sont des bras cde mer, je navigue ainsi sur mon chemin de vie rupestre, je vais et je viens en pareille roche, et là je suis qui vais ainsi comme à destination c’est à dire vers un coquillage ou vers un autre coquyillage ou vers encore un autre, je ne suis pas peu
fier de cette chose, car je suis le pazsseur de l ‘ames, le passeur-prewstidigitateur, l’homme)-femme-enfant-faon xde pareille paroi rupestre d’homme des cavernes, j’avance masqué, j’avance ainsi, je suis celui qui émets, qui lance des signaux à la cantonade ou bien quyi émets des signes précis qui semblent dire une chose, puis une autre, etc
, mon corps est émetteur, dit, montre, mon corps de faon est émetteur de tout un tas de signes , masqué&s, tronqués, malmenés etc et cependant le trou forme une forme lisse comme
biche fine ou comme coqyuillage aussi, jhe syuis cet homme-femme-enfant-faon, de lza roche dure des temps ,, ca r la roche des temps est dure, car les temps sont durs qui nous occvasionnent moults désagréments de par le monde» , ces aurochs de charge manquent nous blesser, nous sommes dans la roche comme des larrons et nous nous avançons tout de guingois vers une deestinée rupewstre dont encvore nous ignorons tout, car nous ne savons rien, nous ne savons rien du tout de laroche, etc, notre but est infini ici , cette chose est dite, il est bhon de suivre cxe chemin de vie vive et advienne que pourra cvar que savons nous de cette roche dure en vériité ? que savons nous de pareille contrée marine asséchée ? qui sait ce qu’il en retourne de cette paroi de roche ornementée ? les betes dessiné&es sont follement (transe) ressemblanrtees et se doivent de l’être obvligatoirezment car il s’agit de mots à pour le coup bien prononcer pour se faire comprezndre, prémices de mots gutturaux, etc, qui ont le sens de la charge = présents de soi comme une offrande destinée à faire ici durer sa propre présence au monde, à faire croire à qyui de droit que la vie (terrestre) est ici rendue (comme une â:me) quand il n’en est rien ; pis-aller rupestre, mais, pour le coup, massif, imposant, comme vif ou vivant à la lueur des torches, menaçeants quasiment, ds!où l’importaznce de la ressemblance , i:mportance double comme on vient de voir car la chose est dite = est sensée = a un sens précis à prononcxer sur roche, etc, nous sommes les chevreuils dits "du temps de la roche", nous sommes chevreuils de ce "temps de roche dure", il s’agit pour nous d’aller à demeure ainsi, en cette roche squii est un chez soi pour une vie entière (pour nous) et qui nous contient on dira comme larrons en foire (ou pas loin), nous sommes chevreuils d’une ewspèce rare , dite «de ‘liomme dede la femme de l’enfant», homme-femme-enfant-faon de la roche des temps alloués ou impzartris pour une vie complète, avec un début (pariétal) de roche et une fin en forme de coquille ou de coquillage
ou comment sinon ? car la fiin nous échappe fort, nous voulons en sa cvoir plus, nous voulons comprendre des données fiables, les comprendre c’est à dire les ingurcxgiter comme une nourriture de roche, nous voulons savoir ce qui est en cette roche des temps, qui semble un présent déposé (coquyillage) or on ne sait pas, l’art est il ce coquillage «cha ntourné» des prezmières heures dela vie ? ou donc est la vérité ? dans le coquyillmage ? dans l’entre-deux-mers et, en celui-ci, dans ce coquillmage ? poupées russses à jamais ? oh que penser ? nous (faons) pensons que le langage est un «étai de vérité», il est porteur, il offre un étayage de pensée qui vous donne une sorte d’assise motrice, il s’agit à nos yeux d’un pis-aller ou sorte de, car il s’en faut de peu que (par exemple) le mot «mystère» a it des raisons d’etre, il s’en faut de peu à nos yeux que le mot «raison» soit, en vrai, fiable etc, et cependant, pour l’animal, les mots manquent (il sembklerait) et malgré cela il semblerait que l’animal tint sur ses pattes (s’il en est muni) et ne sombre pâs pas ou ne sombraât pas au premier coup du sort (ou de vent) entre les parois ! donc : pas ça, alors quoi ? nous cherchons des solutions à des problèmes pour le coup de roche dure et, en vérité, nous ne sommes paxs sortyis de
l’auberge, nous en sommes même loin, nous ne sommes sortis de rien et d’ailleurs sortira-t-on un jhour de quelque chose ? non ? oui ? qsui peut le direcx? on ne sait pas, voilà ce que nous pouvons dire, or ce «on ne sait pas» est (p;leinement) tout aussi codé que quoi que ce soit
d’autre qui serait une réponse pour le coup vraiment étayée et qui offrît matière à penser-mâ cher la cxhose en question, ce «on ne sait pas» dit son savoir codé , hé ! et n’est pas ce rien que l’on penserait, or , faon je suis, qui pense que les mots des betes existent comme (ailleurs) des effigies rupestres, je suis faon, qui contient des mots, en moi même, à savoir que je suis mot moi même = le mot, = l’animal en tant que mot lui même (et pas seulement du coup l’animal représenté ) , l’animazl (‘moi-faon) est un mot pour l’animal, l’animal est luii même le mot xde la chose, tout
son etre est verbe, oui , et du coup il «parle» en agissant : verbe-agir ! or cela est peu su, peu dit, peu compris, peu expl;oré, et cela est dommage car il y a là une voie d’abortd rupeswtre de grande im:portance ! en xdehors du fai-t que l’animal «pense», il est celuyi là qui pense en actes, il agit-dit par la même, son agir est un dire, et son être un mot, un idiome : une langue ? un mot ou des mots, je suis ce faon qui va, pas à pas, sur la roche du temps, grimpe fissa (hop) sur son monticule, et voit au loin les choses du temps d’un
entre-deux mers aux courants plutôt venteux, aux coquillavgesq, au sable clair, etc, ici et là pâisssent on le voit des betes de poids, je regarde les abords et guette pic de bouche = bec de per cée, incursion-naissance, on ne sait jamais, et où donc eswt située la fin de la roche dure ? je regarde autour de moi, et ce que je vois est une sphère, une voute , une ca vité-rotonde etc, où donc est le bec perçant ? de
quel côté peut il ou va til advenir ? ne sais pas ! je ne le sais ! ne le sais pas ! ce que je sais est maigre en soi car ce que je sais est juste moi qui apparait en tan,t que je suis ce savoir offert mais sur lequel je n’ai pas de prise directe au sens où ce que je sais je pourrai le dire avec desq mots de bouche, non : ce que je sais des embruns est en moi contenu, comme l’esqt, par exemple, un organe corporel, je suis moii-même les mots que j’emploie en vivant pareille vie de roche, je suis cet animal qui va disant, car je suis faon-mot de la roche
des temps, faon-mot ou mot-faon, les deux, je siius cet enfant-faon qui est un mot sur la roche des temps, une inscription «lisible», un sens offert mais quel est il ? cela il n’est pas simple de le découvrir, il y faut donner de soi beaucoup, pour moi (faon -enfant) comme pour qui que ce soit qui est à la recherche (sur terre) de la vérité ! je suis le faon animal-mot moi même, je suis ce faon là qui est ce mot là qui dit cette chose, d’une vie cachée dans les mots !
6/4/2021
je suis ce cerf de la paroi, ce double ici animal qui va pres d’une bouche claire en ce fin fond de roche dure (le Temps) et là je regarde, je fais attention à ne pas m’avancer trop, je me tiens en retrait, j’essaie de ne pas aller trop loin en cette direction d’une sorte de bouche (ici ?) grande ouverte, il est n»écessaire en vrai de bien faire attention,
à ne pas aller trop loin , à rester au bord, à ne surtout pas glisser pas même d’une patte, etc, il est important de se tenir bien droit ainsi ,
devant pareille bouche grande ouverte qui «buffe» de toute son haleine, elle est bouche vivace comme une plante, nous (je) sentons (sens) son haleine, son souffle vivant, il s’agit d’une cavité active, il ne s’agit pas d’un trou mort, trou de terre mort comme une sépulture, non, il s’agit d’une entrée blanche
, bellement brumeuse, une entreé qyi reflue un souffle vif, doux, à peine perceptible, un souffle qui sembkle provenir d’un lieu en dedans d’elle qui va loin, vers le bas ou vers le haut, et ce souffle ici semble (il semblerait) accompagné par une sorte de petite mélopée à peine prononcée, comme une voix gamine, un petit chant de sphères blanchjes
, une sorte d’accompagnement vocal enfantin, ce chant ravit mes oreilles de cerf, mes fines oreilles, je suis le cerf, le chevreuil de la roche et je vois, j’entend, je subodore mais toujours me tient en deça de pareil passage de fond de roche, cet endroit est un endroit à éviter le plus possible , c’est à dire (pour ma part) à ne pas franchir, à ne pas dépasser ; il est juste pour moi, il me semble meilleur en ce qui me concerne, de rester à part, en amont, en deça, en avant, près mais pas davantage, de pzareil e endroit blanchattre ou de pareille bouche ouverte, car je suis le petit-etre aux bois sur la tete, qui vite aurait tendance à vouloir comprendre ++ et par conséquent à m’introduire en pareille cavité, blanche et vivace comme une plannte, or il ne faut pas que je succombe au chant de la roche, au chant venu de pareille exvcavation brumeuse, claire, lumiinesvcente, il est important pour moi de ne pas succomber à parreil appel de lza paert de cet antre, grand ouvert , qui est un passage vers un ailleurs blanc, cet ailleurs qui absorbe fissa tout ce qui vient à se placer devant puis dedans, or pour ma part j’évite, je ne le veux pas, je ne veux pâs entrer en pareille cavité, je suis celui qui vient vous chercher hors de la roche pour ainsi dire et vous aide à entrer en elle (en paroi) via la chose ici d’une sorte d’e pic ou pic-de )-verbe guttural, puis, passé l’entrée en matière, je vous conduis cahin caha jusqu’au fin fond de pareille roche de grotte, en elle comme dans un vase, et là on se retrouve ainsi devant la bouche de la vérité des sphères d’où provient ce chant langoureux, cette m»élopée de bout du monde, etc, vous êtes au parfum,
vous voyez cette lumière vive et comprenez que cela est ainsi pour vous comme un appel à franchir le pas mais pas moi, je suis seulement cet accompagnateur de roche, je suis l’être de paroi, le cerf géant, le roi de céans qui vous condyuit comme vers un royaume qui serait le mien mais qu’en vérité je ne connais pas plus que ça car j’evite continuement d’entrer en icelui qui, vite fait, m’aurait gobé depuis belle lurette, je ne veux pas ! je ne veux pas ! je ne veux pas
! je ne veux pas aller en lui !
je ne veux pas m’introduire en lui ! je ne veux pas pâsser le cap ! je ne veux pas aller en son antre ! non et non ! je ne veux pas que l’on (quii ?) me force à aller en lui d’abord, car je suis le chevreuil-passeur -et à ce titre je me dois de rester fidèle à ici ce poste (ici, paroi) qui me voit accompagner les âmes de ces hommes et de ces dames des cavernes, soit ces hommes et ces femmes de l’audelà de la roche ou de l’en deça, hommes et femmes que je chevauche, que je prends sous mon aile , que j’habite etc afin de les aider (à deux) pour passer du coup le cap de l’immixtion tete première (la raison) en paroi de gtrotte, nous voici passé (je suis le passeur, le guide, l’aide de camp, le bienfaiteur, le second à la barre, etc) et là, en pareille roche aux
aurochs (aux mots-animaux) nous nous projetons fissa vers cet endroit de fin de roche, de roc, qui est l’endroit de la douce mélopée de roche, il s’agit d’une sorte ici de douceur musicale pariétale, uyne de ces douceurs pariétales vive, qui est la mélopée de roche dite «mélopée de roche vive», dite «mélopeé de la rochge vive = vivante «, etc, j’enrttend cette muusique (musique de roche) qui sourd ici de pareille cavité de bouche ouverte, la bouche est l’antre du chant gamin, il s’agit d’un cjhant de roche dure, ici dure, ici coriavce peut être ou bien le chant doux d’une petite perle de vie (vive) en son intérieur : qui chante ? le perlou ? qui pousse ainsi ce chant de la roche claire ? nous (je) ne xsavons (ne sais) car jez suis le cerf qui toujours se tient en retrait et se garde bien de trop s’avancer vers pareille cavité, qui est trou (?) ou bien non-trou ? nous ne savons ! je ne sais pas ! je ne sais pas grand chose ! ne me demandez pas car je ne sais pazs ! je ne sais pas grand chose de cette affaire de trou des embruns , ou de trou de fumeterre, ou de fumatière, etc, je suis ce chevreuil de la roche des temps et qui aide au passage vif, j’essaie de comprendre sans plus car mon travzail ici est d’aider à passer outree , d’aider les ames des hommes et femmes des cavernes à travezreser cet autre rubicon qui est celui de lola fin de roche, je me place en eux, je les occupe, je me mets en eux, je les habite, je m’inscris en eux et, ainsi couplé, nous entrons, car à deux c’est mieux, à deux on poeut, il faut etre deux (voilà la chose) et ainsi nous sommes entrés en cette roche, nbous y sommes, nous sommes entrés en cette sorte de paroi de grotte, parmi cet «ensemble de chgoix» (animalier), et là (chevreuil je suis !) je vous accompagne, je vous seconde, suivez moi, venez avec moi, venez vers moi, ne me lachez plus mais collez vous à moi, attrappez moi où bon vous semble ou bien où vous pourrez car je n’aurai pas mal, je suis un dur à cuire, je suis fort comlme un cerf géant (que je suis par ailleurs !) , je suis le cerf géant de la roche du temps et je vous accompagne en cette sorte de paroi de grotte ornementée, je suis là pour vous car je suis votre ami de la roche, accrochez vous à moi n’importe où, tenez vous à ma crinière, à mes cornes ou à mes bois ou à ma queue, etc, tenez bon et ne lachez pas car nous alloons voler ensembvkle, en pareille roche-antre aux embruns de bor de mers, nous volons, nous sommes entrés en lévitation, nous sommes dans les airs de la roche dure, nous volons comme des betes ailées, nous sommes (sur la roche) betes ailées qui allons ainsi, qui volons à qui mieux mieux, nous volons sur roche, nous nous envolons collés l’un à l’auttre, ne lachez pas, tenez vous à moi,
je suis le roi de céans, l’animal ailé, le cheval, le cerf, le cheval royal, le cerf géant, je suis Méga le cerf géant de la roche du temps et je suis là pour vous accompagner en roche jusqu’au boutr du bourt, jusqu’au bout d’icelle paroi de grotte, je vais loin en aile ou à pas de géant ou à tire d’aile, etc, car je sais me propulser, je suis vif comme l’éclair, je sais aller loin et franchir la roche fissa pour me pointer en pareille entrée de roche blancjhe, ouverte, cette échancrure dans la roche belle, etc, ce passage outré, cette blancheur à) méloppée,, nous y sommes, je vous ai conduit, je vous ai co nduit ainsi jusqu’à cette entrée (peut-être) de la roche blanche, cette ouverturee-échancrure, ce trou ou cette bouche, cette cavité buccale , ce pâlais de la reine douce, etc, je reste en deça,
je suis l’animal de laroche du temps
qui aide au poassage, qui propulse (voilà
!) et ce faisant qui amène, qui ramène, qui
rameute, qui pousse ainsi à aller devant, dans la vie (propulseur de vie vive), et qui (ce faisant) vous conduit au devant (sur le seuil ou jusque sur le wseuil) de cette sorte d'ouverture blanche et belle, douce et musicale, cette échancrure, cette faille, ce trou de vie, cette sorte de vive entrée de roche brumeuse nacrée, ikl s’agit d’un porche enluminée (illuminé ?) , il s’agit d’une sorte de porche aux embruns, de porche clzair, fumeux (?), qui est une entrée à votre taille (= adaptée) qui est ce passage dans la roche des temps parioétaux (ceux de l’homme et de la femme des cavernes, etc) ,
il s’agit d’une sorte de passage en front, de porte de vie musicale, une mélopée gamine, une sorte de douce mélopée enfantine sembkle ou semblerait sortir ou provenir ici de pareille cavité de roche , ici même, en ce lieu de la rochge des temps infinis, une sorte de , d’escalier, il y a des marches, on dirait vraiment que ce sont des marches icib qui commencent, qui semblernt démarrer ici, des marches consrtuites par qui et en quelle matière ? il s’agit pour moi (chrevreuil de base) de toutes et tous vous conduire en cet endroit qui est l’endroit idoine pour passer, pour aller xdevant (vivre sa vie à l’infini) et pour cela, c’est avec plaisir (de mon côté) que j’agis, car je suis le chevreuil aidant,
l’aidant de la roche, le parent, le vif aide de camp
, le salvateur, le qui aide à mort, qiu se donne vif (vif colmme un souffle) pour vous seconder (vous «doubler») et vous aider à (de fait) entrer en roche de la sorte (ainsi que je le veux !) afin de toutes et tous vous immiscer en elle = en son wsein, et gravir les marches, grimper les marches, grimper tout court, progresser en pareille paroi aux aurochs et autres rennes ou lions (fauves) des cavernes, nous yt sommes, nous sommes (à deux) entrés en cette roche et c’est à deux toujours que pour le coup nous progreesons en elle, nous sommes entrés en pareille roche du temps, moi-chevreuil vous porte, moi-chevreuil vous porte sur moi ou comment ? nous allons jusqu’au fond de cette roche (ou roche aux embruns) = dans cet antrte , en cet entre-deux, entre-deux-mers, qui est cette chose pour nous de contenance , qui nous mène à cette sorte d'ouverture de paroi, cette blanche lumière des sphères, nous y allons, nous nous approchons de cette lumière blanchatre, luminescente ou phosphorescente, nous sommes à l’intérieur, nous sommes à l’intérieur de la paroi, face à «bouche de la mort», cette bouche dite «de la mort» car
on pense ici que pareille bouche est
comme «mortelle», donc comme une sorte d’entrée vers un au delà dont on ne revient pas, on est
devant elle, face, nous sommes devant elle, face, Mort de bouche, à Mort de Bouche, ou comment ? la bouche de la mort est cette bouche ouverte devant nous, nous pe nsons que pareille bouche contient ou contiendrait en elle quelque chose de vivace dont nous ressentons de l»’extérieur le souffle, on dirait, et aussi on entend ce souffle qui semble une mélopée assez ténue, un brin de voie gamine, un brin gamin de voix acidulé, on dirait cela, il semblerait, on pense, on penserait, on croirzait, on s’imagine, on subodore, on est deux (moi-chevreuil, et lui ou elle , homme ou femme des cavernes)- à penser cette même chose en une sorte de sabir commun qui est en nous comme une musique commune, etc, un son de flutiau, ou bien un cri animal mais qui est commun à nos espèces,
nous pensons et subodorobns, nous voàyons la blancheur des sphères ici, nous entendons ce souffle gamin musical, et cette entreé de bouche comme formée de marches à emprunter, ou bien est-ce monticukle ? nous sommes sur un cdevant de paroi blanche trouée qui nous appelle , nouis aspire presque mais pas moi,
moi je suis cet animal de la paroi ornementée et je me dois de rester en poste, en place, toujours, car mon travail consiste à toujours et encore doubler les ames afin de les faire toutes entrer en cette roche et aussi afin de les conduire bon an mal an jusqu’à ce moment d’une nouvelle entrée (sortie ?) vers pareille «mort» de la roche blanche, ce trou aspirant, cette excavation lumineuse, cette cavité absorbante, cette lumière fluorescente, cette envie qui vous prend, cette chose de’une échancrure, cette mélopée envoutante, ce sens de la visite, cette chose de paroi percée comme des mains, etc, nous voyons cette chose devant nous et nouqs comprenons qu’il s’agit pour nous d’une entrée
en matière, je vois cette chose devant moi et je comprends qu il s’agit d’une sorte d’entrée en mùatière pour des hommes et des femmes dec la préhistoire, en soi, en soi même, en nous memes etc, nous sommpes deux (le chevreuil et moi) à nous pointer devant pareille roche du temps, je suis porteur en moi de ce chevreuiil dit «des temps impartis», il vit en moi, il m’aide à) traverser le rubicon, je l’(ai en mon sein, je le porte en moi comme une arme de
passage et grâce à lui j’entre en pareille rochge du temps, je suis entré et je me prélasse en pareille roche, je suiscomme «doubl é»
d’un cerf» en moi qui est ce cerf de roche tendre, roche de la roche dure, roche tendre de la roche dure, il m’aide follement ici, en son sabir de chevreuil des roches, il est en moi l’aide de camp et me propulse (la vie) comme une fusée en pareille roche, il est pour moi cette sorte d’aidant de vie rocheuse qui aide au passage et permets l’immixtion complète d’un module (le mien) de vie humaine (homme-femme des apprets), je vais et je viens, je suis en roche meuble, je m’immisce commùe une couleuvre, je suis dedans, je m’y complaies, j’entre en elle (roche) et me glisse en son sein et progresse (vais) jusqu’au bout du bout de la roche dure, cette chose, ce sens de la marche, cette direction, ce passage vers ces profondeurs de la roche lointaine (l’horizon) et là me voici, aidé par le cerf de la roche , qui ici m’aconduit et m’a laissé devant la porte (il a fui, uil craint la lumière... et la mélopéez !), il a fui,
je suis devant cette porte blanche, cette porte blanche est la porte de la mort des etres, il s’agit d’une trouée ou percée ou comment, car les bords de cette entrée ne sont poas visibles tout à fait, masqués qu’ils sont opar une brume, de la brume, une fumée, de la fumée , ou quoi ? qui sort (sortirait) de pareille entrée, de ce poassage blanc, doux, = ce coton, cette chose cotonneuse, cette blancheur de bout de bout nacré , etc, il s’agit d’un appel à aller, il semblerait qu’il s’agisse ici d’un appel du pied, à aller loin en pareille roche trouée ou percée par ... quel pic venant de l’intérieur ? nous entrons (jentre ? ) nous sommes qui voulons entrer, je suis, je veux, je voudraios
, je suis devant pareillle porte ou bouche de la vérité sur les choses du monde incertain, nous sommes de fait devant pareille bouche et faut il (dois-je ?) entrer ou bien ne pas entrer comme a fait mon ami (mon double) le chevreuil de roche ? dois-je ? ne dois-je pâ s ? dois-je musarder ? danser ? tournebouler ? parler la tourneboule ? dois je parler fissa avec lui de concert et faire de la tourneboule langagière de paroi ? faut il occuper cet espace par des mots, fzaut il occuper l’espace de cette blancheur, ici, en entrée de roche, par de s mots ou des sortes de mots (les moyts-animaux de l’homme des cavernes) ? doit on occuper cette place (blanche, à mélopée) pa r des mots -betes dits «de roche dure» (ceux des hommes de la préhistoire) ? doit on fuir l’entrée par des mots-betes pronovncés, incidemment, à la cantonade ? nous sommes entrés en c ette roche, nous étions secondés en nous par la bete (lk’animal aidant) et cela fait, enfin entrés, nous nous sommes propoulsés entre deux mers
jusqu’à cette cghose ici (?) d’une bouche (OÙ ?) de paroi, jusqu’à pareille bouche ouverte engloutissante, cette bouche de roche ou bouche ouverte de paroi du monde,, ou non ? nous sommes en vrai dans une roche dure, celle d’une grotte de la préhistoire, le c hevreuil géant nous a aidé à comme nous immiscer, nous l’avons suivi volontierrs car grâce à lui (à son entregent) nous sommes entrés et nous nous sommes lovés en son anttre, en cett antre de roche dure, etc, nous sommes donc en ce sein des seins à la recgherche de cette xchose d’une sorte de bouche de la vérité = qui dit, qui dit les mots de la vérité en toutes choses, et la question que nous nous posons est la suivante : est ce que par hasard ou par extraordinaire la bouche de la
vérité (d’où sort toute la vérité) ne sezrait pas celle (la même !) de la mort à l ‘oeuvre ? est ce que bouche de vérité (verité de vie ?) et bouche de mort, ne sont pas une seule et même bouche sur paroi ? qui sait cette chgose ? est ce que la vérité des choses du monde (cette vérité du devant) ne serait pas la vérité de cette mort -bouche, ou comment exprimer cette chose ? est ce que la vérité est un chemin ? est ce que ce chemin est (de fait) incontournable ? est ce que ce chemin est un pis-aller ? esqt ce que le chemin quotidien de la recherche (vaine ?) de la vérité n’est pas cette envie en nous de trouver pareille bouche (de la
mort) sur notre passage ? est ce que le chevreuil est en moi la bete de ce passage ? l’aide de camp ? lle chevreuil aidant ? le cghevreuil de la roche pleine, qui est ce chevreuil volant des embruns, est il pour moi l’aide en vérité ? dois je poursyuivre sur pareil sentier de paroi ? qui est au bout ? est ce qu’au bout d’un pareil sentier une chose (une personne ? ) nous (me ?) attends ? qui attend qui ? nbous sommes deux qui marchgons de pair, nous sommes en nous deux qui marchons de pair, je est double, deux, divisible, la droite et la gauche, deux jazmbes, deux yeux, deux mains, deux hémisphères cerebraux en nous qui marchons (jumelés) et allonsau plus loin possible vers cette blancheur mélodieuse d’un fond de paroi rocheuse, nous sommes trois (elle et moi en moidouble) ou comment dire ou comment compter ? nous sommes trois qui ensemble marchons (moi double + cette bete en moi qui me guide, sé opoumone à me guider sur roche) et
ainsi allons, nous marchons, nousallons vers cette cavité de fond de roche, ce passage clair, cette clarté peut-être provenant d’une forte et belle lumière «derrière «, nous marchons vers elle, le chevreuil veut parler en moi : « je suis le chevreuil de la paroi préhistorique, mon histoire est l’histoire de laroche dure d’une grotte enfouie, cxa chée, à découvrir incidemment un de ces quatre (etc) , je suis un chevreuil, j(ai des bois, je suis vif car je suisq en vrai un etre plein de vie en moi, mon corps est agile, je vais vite vous accompagner, jhe veux vite aller à vous accompagner en roche vers le lieu de cette bouche ouverte qui est celkle , et de la vérité (de la roche des temps) et de la mort à l’oeuvre (mort vive, mort vivace, excebntricité),
je suis le chevreuil qui veut marcher et vous porter , vous prendre et s’envoler, s'envoler avec vous sur son dos, etc, je veux vous conduire jusqu’(auprès ici de pareille enttrée de roche, cette entrée (sortie ? ) de roche dure (orneme,ntée) et pour cela, montez sur moi, montez moi comme un canasson, n’hésitez pas à monter sur moi, à vousaggripper à moi, mes bois, etcx, n’hésitez pas à vous tenir fort, à vous accrocher, à) vous a gripper à moi
car nous décolloon s en roche, fissa, main levée, nous entrons dans la matière, nous lévitons, nous sommes soulevés par un chevreuil , etc, nous sommes soulevés par ce chevreuil en ous qUI cherche à (du coup) parler en ous, qui en nous cherche à s’exprimer et que fait il , ilk lévite, il dit cette chose : «je lévite», et cela est dit en toutes lettres ici sur roche animalière, il est l’animal de la paroi du temps, il xw’agit de voir en lui (chevreuil qui lévite) celui là même qui se tient debout, nousattend, nous guide pour latraversée de la rocghe du tempsz alloué,, il est le chevreuil de la roche du temps soit du temps précis et il nous conduit vers cette porte ou bien ce passage au loin de fond de roche, il nous amène loin en cettte roche dure et nous présente cette entrée -sortie de roche, cet auttre passa ge-trou où lui ne va plus, ne va pas, ne veut pas aller, il ne veut pas et il s’époumone (ici la vie) à le dire en nbous : « non ! non ! non ! non ! non
! non ! non ! npn! non ! non ! non ! non ! non ! non ! non ! non ! non ! non ! non ! non ! non ! non ! non! non! non! non! non! non! non! non! non! non! non! non! non! non! non!, je ne veux pas entrer ou aller p^lus loin ! je veux rester en deça ! je ne veux pas passer le cap ! je veux rester en roche avec les aurochs, les rennes, les lions, les ours, les bisons et les chevaux ! je suis le cerf cxde laroche ! je suis le méga-mégacerf dec laroche du temps imparti = pas parti = pas allé !, il est (ce tempsq) celui qui reste, qui ne part pas, qui reste dans la vie de la roche éternelle, ou d’éternité), il est (ce temps) le temps imparti d’une roche dure, je veux restezr (à jamais) en ce temps de la roche dure d’une sorte de paroi du monde, je suis ce chevreuil
-passeur qui tient à le rester et ne veut d’aucune façon passer ce cap de ladite blancheur vaporeuse, de l’évanescence, de la mélopée fugace, etc, je veux rester en cette roche de la grotte comme l’(animal dessiné ou gravé par l’homme des cavernes, par lafemme des cavernes etc, je veux cette chose, je sens que cette cxhose est une chose à mes yeux qui a de l’importance car chevreuil-passeur je suis (comme Bambvi ?) , chevreuil -passeur je souhaite demeurer, je le veux ainsi, je suis le chevreuil du temps qui passe, cerf du temps, je suis cette bete de la roche, cette bete de roche, cette bete-roche, cette bete-roc, ce bec , etc, je suis cette cxhose ici qui va pour vous accompagner juqssqu’aufinfond de cette roche de la roche dure des temps incertains, impartis ou comment ? je ne veux pas aller p^lus loin, je suis bien ici, jez me plais ici, je veux rester ici, ici est mon domaine, ici est mon domaine de joie, ici est ce domaine de la joie de vivre en toute quiétude, ici erst mon fief, mon royaume de vie douce, mon lieu de vie, ici en roche est mon lieu de vie quyiète, etc, je suis ce chevreuil de la vie quyiète, je veux le reswter et ne pas succomnber à l(‘appel de laroche blmanche, évanescente, fluorencesente, blanche de chez blanche, je tiens à la roche de base, à pareille paroi ornée, aux aurochs et autres chevaux de compagnie, je ne veux pas aller plus loin dsans la blancheur, je ne tiens pas à aller plus loin dansla vblancheur, je tiens à m’en tenir (raisonnablement) à distance, car la bouche de la mort vous p^rend et jamais ne vous rend, je connazis toute kl(‘histoire !
la bouche de la mort vous absorbe, vous prend en elle, elle vous engloutit, elle vous avale, elle vous gobe comme un oeuf et tintin ! milou ! jamais ne vous rejettera, car elle ne rejette personhe, elle prend tout un chacun, elle accepte tout un chacun , tout le monde, tout le monde lui convient il sembkerait, elle ne fait pas kla fine bouche mais tout au contraire ezlkle est tout terrain et ne regarde pas à qui est qui ou qui fait quoio, ou qui a qui, ou qui a quyoi, etc, elle gobe à la volée l’ensemble, le complet, le tout à sa barbe etc, elle ne chipote en rien, elle est tout terrain , elle prend pour elle tout ce qui passe à sa pôrtée et nne rechgifgne en rien sur rien, elle est absorbante,n elle absorbe tout, elle ne fait pas la mijorée ni même ne fait pas la fine gueule etc,
bouche de la mort = bouche de la vérité
sur toutes choses, il s’agit de voir cette chose et de le comprendre, bouche de la vérité = bouche de loa mort à kl ‘oeuvre, il s’agit de comprtendre (a vec desq mots !) cette cghose, qui est LA cghose à comprtezndre en roche, il s’agit de comprtenxdre cette cxghose, qui en rocxhe (paroi) est La Chose à bien comprendre, à bien cezrner, à ne pas laisser cde côté, etc, la bouche de la vérité et la bouche de la mort sont unes, sont mêmes choses, sont une et même seule chose de paroi en cette roche d’une grotte, il est juste et bon de comprtendre ici cette chose comme qyuoio la bouche de la vérité (ceele par qui passe les mots de vérité) et la bouche de la mort (le passage fluorescent de la roche) sont une et même, sont mêmes, sont les mêmes, sont Une, ou sontUnes, sont ces cghoses qui se chevauchgent, sont Mêmes etc, il s’agit pour vous de comprendre cette cxhose de la roche dure , je suis chevreuil qui aide, je suyis le chevreuil qui aide à comptrendre cette chose facile (?) à co:mprendre (peut-être ), je suis la bete, le chevreuil de pareille roche aux ezmbruns et hj’essaie de dire à ma façon cette chose d’une roche dure ici et meuble là, ici la dureté des temps d’une vie sur terre (?) et là le côté mou (meuble) de la roche du temps des blancheurs, dela fluorescence, de l’évanescence de la roche belle, du trou, ici le temps qui reste, là le temps qui fuit mais vers où ? nous ne savons pas ! le chevreuil que je suis ignore presqaue tout de ce qui est de l’autre côté : quoi est de
lk’autre côté ? quoi est le mort ? quyoi la mort est ? que est Mort de côté autre ? quoi est ce Mort de Bouche -Trou ? quoi Trou est Nom ? quoi le trou dela blancheur nacré évanescente est ? qoiu ce trou de bouche est pour nous qui allons à ses devants fissa (le temps) ? que nous on est ? que on est ? que est on ? qui on est ? qui est on en nousq ? combien sommes - nous en nous ? etc;, je suis le certf xde la parade pariétale, je vais et je viens en rocxhe , je parle malangue maternelle, celle dxu cerf de céans des roches,
je voudrazis parler comme l’homme des cavernes et l’hommùe des cavernes cvoudrait parler comme l’aurochs, et l’aurochsc comme le bison et le bison comme le bouquretrin et le bouquetin cvomme le cheval et le cheval commùe le bec et le bec comme le renne et le renne comme l’oursq des ca vernes et l’ours des cavernes comme le lion des caverb nresz et le lion des cavernes comme le zébu, et le zébu comme le cheval, et le cheval comme le zébu et le zébu comme l’antil:ope et l’antilopê comme le mammouth, et le mammouth comme le cheval etc,
je suis ce chevreuil de roche qui indique le chemin à suiuvre et même vous y conduit, je suis cette bête de roche dure, qui cvous conduit jusqu’au bout du bout de la roche, mon nom esqt malibou , ou bien malotru, ou comment ? manitou ? ou bien comment ? je suis nommé, je suys le chevreuil nommé ! je suis bete à nom et je vous accompagne («suivez moi !» ) jusqu’au bout du bout de la roche, suivez moi et ne me quittez pas ! je vais vous montrer cette chose d’une sorte dxe’entrée dans le vent de la roche, le souffle de la roche, ici même en cette roche blanche un trou, comme une bouche ouverte en grand, qui va vous prendre = vous ava ler fissa («attention à vous !») et ne plus jamais vous relachezr, la b ouche d’un anttre (ogre ?) qui est bouche d’absorption massive ! va
vite vers vous ! vous absorbe ! v ! v! v! v! v! v! v! v! v! v! v! v!v v! v! v! vé la chose ! la vois tu ? cette
ouVerture ici en cette roche de la préhistoire ! vois tu c ette chose ouverte qui est là pour te gober comme une mouche de la méloppée ! vois tu cette cghose ? ce opassage en V de roche dure ! le vois tuu ? il y a devant soi (pour toi, g
homme-femme des cavernes) un passage, ce passage est une entrée, cette entrée est un trou, ce trou est blanc comme un nouveauné de roche blanche, il e’agit d’un trou de bouche, une percée blanche, peau blanche, diapason ! nous (nous les chevreuils-passeurs ) voyons cette ouVerture de paroi et nous y conduisons qui veut ou voudra ! nous sommes les chevreuils de la roche du temps, et , bnous regardons devant nous cette luminescence vive (tres), cette bvlancheur fumeuse ou fumante ! cette chos e d’une douceur ambiante ! cette chose ambiante de douceur ! cette douceur de la douceur ! nous (chevreuils) comprenons que cette chose ouverte devant soi est un temps détendu, autre, différent de celui de la roche des te:mps impartis, nous co:mprenons que ce temps de la blancheur nacré est différent de c eluyi de la roche dure ornementée, nous ne voulons pas succomber à sa mélopée lancinante, à
ce v scandé d(‘ouverture vive, nous ne vopulons pas succomber à ce v lancinant de l(ouVerture, ce sein, cet antre, cde chemin ! nous voulons persister sur le chemin à nous de roche dure, nous voulons poursyuivre en pareille roche persister, nous voulons nous ancrer en cette roche de paroi dure, celle des temps impartis , et laidsser à d’autres le soin de s’immiscer à travers la porte-bouche d’un temps autre, celui là qyui est celui de cettte évanescence sus- nommée, etc, nous sommes les chevreuils du temps impartis, toute une ribamlbelle belle, qui va et qui vient en roche et vous guide sur le chemin, nous ne voulons pas nous perdre en bouche de la mort mzais bien au contraire rester ici même en c ette roche aux embruns perlés, etc, et ne plus quitter pzareil domaine ou domaine de joie car cette roche est nôtrte, qyui nousq voit l’aimezr sans faàçç!ons, à mains nues ou comment dire ? nus de betes ! nus comme des betes que nous sommes , intégralement ! reswtons nus ! nous restons / demeurons nus intégralement car nous sommes bêtes et voulons rester betes à jamais , en ce temps infini de la roche (ornementée) du monde, nous ne voulons pas succomber et passer et devenir homme des cavernes ou femme des cavernes, :
qui passe la porte blanche (blanche-porte) devient homme à mots d’hommes ! qui passe cette porte blanche du bout de laroche devient homme , devient à son tour homme ! et si l’homme passe blanche-porte alors l’homme devient roche, roche dure s’il en est , roche des bois, roche du bois, roche du temps de cette dureté de roche matérielle,; etc, si je (chevreuil) passe le pas, d’entrer en ppareille ouverture en V de la blanche porte, alors je (chevreuil) passe cap et deviens ce je de l’homme des cavern es ou de la femme des cavernes, je deviens autre, c’est à xdire que je perds ma consistance (première ?) d’être, animalier ou animal, pour devenir, illico presto (?
) , cette chose d’une sorte de personne double , mi homme mi bete, qu on nomme homme mais qui en vérité tient davantage de l’animalité que d’autre chose, ou de l’animal que d’autre chose, que de l’homme-homme à prprement parler, l(homme ewst si proche de l’animal quiiu n’a pas (l’homme) terminé sa mue, on dirait, le coquuin ! il est l’homme de cet entre-deux , qui est proche de la bete (moi-chevreuil) et pas vraiment bete car ses mots à lui le pousse ailleurs et lui font entrevoir des choses folles (folie) en son sein cé»rébral ,
il (l’holme) pe nse, et pensant se sort dee quelqmqqUe chose en lui qui est son cerceuil en quelque sorte et cependant il est à cheval, en cet entre-deux qui le voit aller vers des hauteurs de roche, tout en conservant son etre de chair animùale, etc, le chezvreuil que je sui s voit en l’homme («voit» pour ainsi dire) un être incomplet, non terminé, qui a chercghé à faire en quelque sorte sa mue langagière (dite «langafgière») mais a (il semblerait) chuté en chemin ou commùent dire ?
l’homme est pour beazucoup encore un animal, mais en lui existe autree cxhgose qui tient d’une sorte de chose divine ou comment ? qui est autre chose en lui que de la pure animalité corporelle , et cette autre cghose en lui passe par des caps de «dégenesrezcence» qui fgont de lui un être à facettes, à facettes et à colorations diverses, etc,je suis le cxhevreuil de la roche, je vois l’homme des cavernes en pleine mutation, il vient d’acquérir en lui des mots de betes, des mots-animaux, il est l’homme-bete par excellence car en lui existent des mopts-betes, cde première mouture, des nouvelles, de nouvelles nouvelles en lui, descchoses neuves et ces choses ce sont de droles de motrs-betes, il s’agit en lui d’une sorte de naissance, des mots viennent à lui via son trou (nouveau) cde bouche, la bouche s’ouvran,t par la bande et alors des mots-betes sortent de cette bouche et vont direct se ficher sur laroche du temps ainsi déployé (par la même) et ainsi faisant l’homme pour ainsi dire commence sa mue , or voilà ce qu il advient (de
cette mue) : l’homme parlant (la la la ) semble pouvoir grimper et voler et montezr etc, = sortir d’un soi accroché à la terre, s’envoler comme un aigle, etc, or que voit l’(homme des cavernes ? oui en effet il s’envole car il lévite (entre en lévitation) mais paourqoiui ou commeznt cela ?
car (une simple raison) il est se c ondé, aidé, doubvlé, aidé par la betye en lui qyui , sortant de lui, l’entraine dans son sillage et l’aspire dans son vol de bete vive, vivante, qui file vite et emporte sur son passage ; aérodynamisme, etc ; l’homme de la roche , de la grotte, l’homme des cavernes est aspiré pazr son «propre» verbe natif,, qui le fait entrer fissa en lévitation et le fait ou lui fait inscrire sur roche (paroi) tous les mots qui sont à présent à sadisposition, c’est à dire ces mots-animazux de b e;lle grosseur, ces :mots enceints d’autreezs mots qui eux m^mes donneront peu à peu naissance à d’(autres motsqui, eux mêmes, etc, cela tout le long de l’histoire de l’humanité etc, les mots-animaux sont des signes (des figures) qui pêu )à peu vont trouver à se déformer pour bn’apparaitre plus que sous formes dxe lettres significatives et formant des mots sensés, etc, or à ses débuts l’homme sortait de lui un dsouffle animal (buffée) qyui allait sur roche et s’inscrivait incidemment prodigieusement sur pareille pâroi afin dxe figurer le swens des choses (à ses yeuxc) et son devenir, il (l’homme des cavernes) est celui qui cherche à effectuer une sorte de mue en lui même, a fin de sortir de sa «condition d’homme des c a vernes», il chezrche à muer, à sortir de swa peau d’homme limité, etc, il veut quiiter sa pêau, sa cape, son cap, szon chef, son couvre cxhef, sa tete, toute sa tete, son intelligence de tete, son intellect-cerveau etc, et aller ailleurs sur roxche, elle (la roche) étant beaucoup plus connezcxtée et centrée, etc, l’homme desq cavernes cherche à entrter en contact avec la bete que je suis en tant que cerf (méga) cde la prairie des temps, car en vrai je suis le chef (cap, capitaine) de pareille prairie des temps, j’ensuis le digne chef de file, ca r c’est moi qui vais loin, en roche, a ccompâgner qui veut jusqu’au bout du bout, jke vais tres tres tres tres loin en cette roche de paroi dee grotte car ... car je suis la bete de céa ns, commùe on parle d’un roi de céans, je suis bete La bete qui conduit l’homme (son âme) , jusqu’au bout du bout de la roche, de cette roche des temps incezrtains, jusqu’à ce bout de roche dure (ici) en pareille zone aux ezmbruns: je suis le faon, le dousx cerf, je suisq aussi la biche, belle et tencdre créature ailée, je suis le doux gentil affable et prévenant chevreuil de la roche des temps a lloués, et ainsi, je suis l’animal par excellence , de belle compagnie de roche, qui pousse ou pousserait l’humain en ses retranchzements pariétaux de bout dxe paroi, de fond, de forme etc, je suis chevr(euil qui pour le coup vous accompagfne ainsi en roche, v ers des lendemains luminescents, suivez moi, prenez mon train, venez à ma suite, venez vers moi, syivez mon train a rrière, ne me l^$achez pâs, venez
vers moi et suyivez moi où je vous mène, je suis votre chevreuil-passeur de prairie, j’amène un convoi de a à b, ou bien de a à z, etc, ttoout un alphabet, je suis ce faon de la roche dure et je vous accompâgne (vous autresq, hommes en mue) vers blanche pôrte la samaritaine ou commùent exprimer cette chgose d’une sorte de belle parade, cavité ornée, blanche et nacxrée , qui est votrte poorte ici de vie vive, exp^rès (façonnée) pour vous qui allez au devant et voulez poursuyivre sur votre lancée d’une mue de type langagière (langagier ?) etc, nouys (chevreuils) pensons (à part nous) que nous avons affaire avec vous à dxes êtres qui sont comme en train xde muer mzis n’ont pas terminé leur mue, et dès lors ils cherchent par tous les moyens à en dé»coudre et pour cela ils ont besoin d’entrer en roche tezte première et là de trouver le chemin quii mène à cette v érité de bon aloi, que d’aucuns espèrent trouver sur sa route, etc, comme d’aucuns espèrent etc trouver sur route ou sur chemin : porte ! porte blanche ! portee ouverte ! porte des portes ! la première porte eswt blanche, ouverte, et laisse passer (une fo;is) une lumièere vive, forte-folle, vaporeuse, qui attire, je -chevreuil voit pareille lumière (en moi le je -chevreuilk) mais trépigne, renacle, fait le forcingh
, freine de tout son poids pour ne pas succomber au passage , pour ne pas entrer en cette chose qui s’ouvre pile poil sous nos pas, nos yeux, vie blanche de vie, vie nacrée de vie, etc, en moi la bete renackle, cette bete non langagière (? ) ou bien cette bete de poids , ce massif corporeel en moi renacle, freine des quatre fers, ne veut pas et le dit : « je veux pas ! je veux pas ! je veux pas ! je veux pas ! «, etc, la bete en moi dit, tout du long de la vie, son désaccord animalier, la bete en moi ne veut pas franchir ce pas d’une sorte de porte ouverte dans une sorte de blancheur fluorescente qui attire et cher che à (qui sait ?) vous embringuer de force (contre (?) votre gré ) ou non ? ou comment ? suis je consentant ? veux je ? veux je mourir ? la mort est un viol fait à la personne
! la mort est elle un viol fait à la personne ?
nous sommes qui voulons ainsi connaitre le fin mot d’une histoire qui nous voit comme à cheval sur deux cxhoses, qui sont, ces choses, d’un côté la bete (sans mots autres que des mots de betes ) et de l’autre la belle, soit : cette blanchzeur de bout de roche dure, cette évanesvcence de paroi, que l’homme des cavernes connaissait dxéjà,
je suis le chevreuil de laroche du temps, je suyis en l’homme l’animal de compagnie, je suis en lui jusqu’à preuve du contreaire car lui sans moi ne serait pas en vie (obligatoirelment) et voilà pourquoi je résiste en lui à m»’échapper de lui, ou renacle ou hésite, voilà la raison : car, je suis «bien» en lui qui me porte en son sein, c’est à dire bien au chaud de sa gouverne intellectuelle, je suis logé en lui commùe dans un sein qyui serait un anttre qui serait une sorte de caverne pour des etres animaliers, je suis le faon de toute l’histoire de l’humanité et en tant que tel je chezrtche à comprendre ce qui est de toute l’histoire de l’humaznité, carr si l’homme a commencé sa mue sur roche (paroi de grotte) avec ces dessins et autres gravurews de betes de roche, si l’hgomme a réellement commencé sa mue à l’ère de cet art rupestre de l’aurignacien (à qsuelque chose près) alors il s’eznsuit que l’homme depuis n’a cessé de quiiter sa peau, sa cape, son cap, son chapeau, lou capel, il cappello, etc, laissant à chaque fois sa cape (sa pensée de roche) aux mains de qui on ne sait pas qui poursuit cet homme des bois, des cavernes ou comment ? nous sommes chevreuils de la première heure langagière, celle des dessins sur roche par un homme des te:mps anciens, nous sommes les faons ou chevreuils / biches : cervidés de ces temps reculés, qui nous voient vouer à cet homme des cavernes un certain respect du à sa porosité, nous voyons cet homme dessiner et graver, il est en lévitation, il veut entrerr dxans la paroi (en elle, comme un ver dans une pomme) et nous, de l’aider fissa, gentiment, concrètement, etc, cazr nous avons de qyuoi l’aider en nous : notre gouverne = nos ailes, suivez moi homme des cavernes, venez à moi, vezznez près de moi, montez moi comme un dromadaire (?) ou tout autre bete à chev aucher, montez ! venez ! allez sur moi ! et ne me lachez sous aucun prétexte car je vais monter, m’envoler dans le haut du ciel et vous amener tout au bvout de la pa roi du temps, je suis faon de laz première heure, (
le) faon-chevreuil de la roche, mon nom est parfois bambi et d’autres fois le manitou car en effet onn peut dire cette chose en vrai comme quoi je suis (serais) le grand manitou (= je suis aux manettes ) , je commande, je suis aux commandes, c’est lui (le faon) qui est aux commandes, ou bien c’est moi , le faon, qui suis aux commandes, qui guide les pas, qui fait naitre en bouche des mots-animaux
, qui pousse ainsi cette chose en soi (cet en-soi) en l’homme , cette chose animalièrree ou reloevant d’une animalityé, je poussse, je fais naitrte, je suis l’accoucheur, le faon-accoucheur de mots-bêtes en cet homme des cav ernes, il pôusse s
a cohorte, l’homme des cavernes sort de lui une cohorte animalière par la bouche et cette cohorte anima lière est faite de betes de roche (de poids) qsui, agglutiné»es, forment ce pic, ici, d’entrée en matière, il s’agit de cette chose dure, cette chose d’un passage da ns le dur , cette per cée de roche par le pic de bouche et là, laroche enfin paercée, vite, une incursion accompâgnée, et cette incursion se fait (de la sorte) grace à l’ezntrezmise (forte, folle) d’une sorte d’animalityé en l’homme , animalité dont le nom est cette chose dite ici, ce mal dit du dire, ce nom de chose manqué (le n om) etc, l’homme entre dans la roche, il ezntre comme à reculons mais il entre (son nom !) et là, il s’ébat, il voit, il comprend c ette chose d’une sorte de monde pariétal comme une sorte de prairie, l’homme ici (des cavernes) compreznd que
ce monde intra est celui qui le verra comprendxre, un certain nombre de choses de grande (très) importance pour lui : vie, mort, vie de la vie, mort de la mort, etc, l’homm des cavernes est notre ami de roche, nous sommes des faons, faons de la praierie, qui cherchons en l’homme son ami xde roche, nous voulons l’(aider plus que jamais dans sa mue (mue) et dès lors nous nous mettons à ses côtés, nous nous zapprochons sans crainte de lui , nous voulons essayer de faire ami-ami avec lui, nous voulons etre lui, entrer en lui, le seconder ou le doubler , noyus voulons eztre pour lyui ce pâsseur de roche auquel on dirait qu il semble prétendre, nous sommes des chevreuils de roche qui entrons en lui dans latranse et le poussons de toute extrémité dans ses retranchemeznts langagierrs de base (mots-bêtes) et ce faisant, nous l’aidons dans sa mue, nous le secondons, nous vopulons son bien sur roche , en roche, etc, car nous sentons en lui le déteznteur d’une langue de foi que nous aimerions fortement et follement connaître car nous sommers limités nous mêmes en termesq langagierrs, d’où notrte volonté d’aller de l’avant dans cxe domaine et dès lors d’acquérir le plus possible de mots de cet homme-femme-enfant de la roche, car lui-elle-lui/elle sait des choses d’im:portance il xsemblerait, il a un cap en lui qui gouverne en lui et pour lui, ce cap est son capitaine de roche, sa pensée est telle que l’homme (des cavernes ou plus ta rd, l’homme moderne) sait des choses fortes-folles, car les
mots en lui sont «fous» quyi caracolent à qui mieux mieux, sans frei,nn d’auvcune sorte, et vont sanstarder se ficher de fait sur pareoi du temps, vont ainsi sur roche trouver, un endroit où pouvoir se loger et tenir un temps, nous (chevreuils) aimerions connaiyttre tous ces mots d’un homme, aimerionsapprendre lalangue des hommes, ce parler-chevauchement de roche, cxar en tant que tels (betes) nous ne pouvons pas pàarler de la sorte et dès lors notre mue à nous ne peut commencer, nous voulons connaitree, parler, utiliser pareil langage articulé, tout comme fait ou faisait l’homme des roches, nous voudrions, nous serions ravis, or voilà que nous ne pouvons pas car nous ne savons pas comment nous y prendre , nos corps genent semble til , quzn,d celui de l’homme au contraire se prête à, ou se preterait à, une élocution naturelle (naturelle ? ) et voilà ce qui est pour nous, cet échezc, cette impossibilité native, on dirait, et pour nous qui montrons la voie , cela n’eswt pas heureux, nous ne pluerons pas mais nous sommesq tristes de cette chose, nous aimerions tant pouvoir échanger quelques mots de temps en temps avec cet homme des cavernes ou bien avec «sa» femme, nous ne pouvons pas et c’est bien (réellement) dommage pour nous, nous sommes faons de roche qui ne sav ent pas pazrler du tout le langage des mots-betes (ou des motsc -animaux) de l’homme des ca vernes , quand l’homme des caverbnes lui, ou elle, la femme des cavernes, savaient en vrai graver leur nom animalier (en transe) sur roche, commùe des chefs, ils savent car ezn eux président des betes qui poussent à dire
et ces betes qui poussent à dire , c’est ... nous ! nous, qui poussons ! qsui sommes, qsui en cet homme so:mmes, qui sommes ceux là squi font dire -inscrire sur roche cette vérité première d’une mue, de l’homme natif , vers des lendemains illuminés ou bien luminescebnts (ce ghenre de cghoses) ,
nous sommesq en cet homme ceux et celles (faons mùâzle ou femelles) qui poussent l’homme à (pour le coup) cracher sa «gourme» (?) sur roche, via ce trou de boucxhe taillé comme à la serpe par toute une cohorte (tranchante) de betes enlacées agglutinées formant pic de perçage de roche, pic de perce )-roche, etc, ikl s’agit pour nous (faons) de comprezndre cette chose ensemble (en groupe) afin de bien nous rassurer mutuellement sur le bien-fondé du regard que chacun porte sur cet holmme des paroisz, des cavernes, c’est à dire de se rassurer chacun sur cette chose d’une sorte de vision que chacun de nous développerait devant pareille créature humaine, et que du coup chacun sache vraiment que ce quil voit ici (en roche) eest vu pareillement par d’autres que lui , comme lui natifs, qsui voient cette chose (tout comme lui) d’un pic de perc e -roche, aiguisé, bien pointu pour l’immisxtion de ce mobile humain (foetal ?) squi va son chemin pariétal à larecherche d’une vérité avec un grand V, vérité des vérités, qui serait contenue dans la roche nue, au fin fond, c’est à dire dans les profondeurs de la terre ou du ciel, soit devant soi, soit sur son devant c’est à dire en son devenir, son présent dee vie alloué dans la proximité de ses proprezs alleées et venues en roche du temps, nous (faons) sommes porteurs en l’homme de xsa parole, porteurs = propûlseurs, et éttant cela nous ne le qyuittons pas depuis la n,uit des tempsz, nous sommes pour l’homme pôrteurs -achemineurs, porteurs et guides ou guideurs, etc, d’une sorte en l’homme (mue) de recherche de la vérité, il est cet homme des cavernes en recherche perpétuelle de vérité et du coup habité pâr cette recherche , et nous, faons, de l’aider, dans cette volonté d’aller loin devant, de passer des caps, trouver à redire, ne se satisfaire d’aucune assertions car l’assertion qui cvompte à ses yeux se passent de mots, n’est pas langagière à proprement pàarler :
l’homme des cavernes cherche et troucve, il est comme un animal, il ressembkle à un animal car il porte en lui (frais dispo) un animal de grosse
taille (aurochs) qui fonce (pour lui) tete première (wson bélier de charge) et perfore fissa cvette roche du temps imparti , roche qui contient en elle $blanche porte de la véritéavec un grand V, le v de l’ouverture de paroi vers ici cet au-delà recherché pour durer (mort de bouche, morrt de bouche de la vérité) , nous (faons) rezgardons cet homme entrer ezn roche, se lover voire s’accoupler, il est l’homme de la droite et de la gauche
réunies, il avance à pas comptés sur la roche car il sait compter, il va loin en pareille roche, il est pour nous l’homme qui va loin et va franchir la porte blaznche (pas nous !) , nous voulons ensemble comprendre cet homme, que n’a t on pas de mot pour le comprendre ! que n’a t on pas d’idiomes pour le comprrendre bien ! que n a ton pas de langage articulé pour bien le comprendre ! cela est fort dommage et nous gêne aux entournures, car nous nous serions ravis de pouvoir échanger avec l’homme des cavernes et mener une con,versation, hélas nous ne pouvons, l’homme des cavernes parle sur roche (grave ou dessine) quand pour nous, il s’agit d’habiter sa main et son cap, et de le wseconder dans ses actions ou agidssements, car nous sommesw en lui les faons de la transe, nou!s sommes en lui et pour lui faons de bienvenue qui poussons cette
cghosesx en lui d’une grande vélocité et de grande fortune, nous sommes en lui ces betes, qui
poussent à faire, à l’action d’un faire de roche, et la femme et l’homme des cavernes ainsi obtempèrent et se laissent guyider à qui mieux mieux, car elles et ils ont ce besoin ancré en ezlles ou en eux de vouloir passer des caps de roche, dé’évolutions, etc, de passage de niveaux, etc, car en eux s’opère (est en train de s’opérer) une mue de grande importance, cxelle qui les voit ici setransformer en contiçnu, et donc quitter leurs oripeaux d’hommes et de femmes des cavernes pour de fait recvêztir ceux, d’hommes et de femmes aux mots articulés pour laparade, il s’agit pour nous , quyi sommes des faons, de les seconder, d’aider l’homme des cavernes , de nous installer en leurs seins et de les guider à main levée (ce genre de choses) , nous sommes les faons des ères natives, nous sommeqs faons des temps reculés, nous sommes en roche comme chez nous car, en vérité, la roche est notre antre, notre case, nous sommes faons (faons !) de la roche dure du temps, et nous logeons depuis la nuit des temps en cette roche dure, en pareille roche aux embruns, dans cet antre fou qui nous voit du coup aller et venir sur roche comme des enfants hjouant à se courir zaprès, touche que tu toucheras, nous sommes les chevreui;ls du temps immémorial de roche dure, nous nouys amusons à nous courir après,
à nous courser, nous sommes sur des monticules, nous guidons les hommes des cavernes,
nous guidons les femmes des cavernes
, nous guidons les enfants des cavernes,
nous guidons les ours des cavernes et les lions des cavernes ...
non, ni les ours ni les lionbs, ils se guident eucx mêmesq, ils sont à cdemeure, ils sont les ours et les lions de c éans, et nous, faons de la première heure, sommes également les rois de céans en cette roche des temps anoblis, nous sommes faons rois
de roche dure et guidons l’homme-femme des cavernes, ce gentillet, nous sommes rois de roche, rois de la roche du temps, nous sommes des rois, nous sommes les rois de la roche du temps, ou jouons les rois, nous hjouons aux rois de la roche du temps, aux rois de la paroi, aux rois de pareille paroi de roche et cette paroi est la paroi dite «des rois de la roche», à savoir ces faons que nous sommes
5/4/2021
je suis chevreuil, je suis celui qui va dans les sous bois, je regarde autour de moi, je suis chevreuil dxes temps réduits, des temps inscrits en roche, je vais et je viens = je gambade , en cette roche du temps alloué, je regarde autour decmoi les betes qui sont dessinées par x hommes des cavernes, je suis le chevreuil de la roche dure des temps impartis, je saute à qui mieux mieux sur pareille roche et file, au plus lointain que je peux et là je me pose, je suis debout, je suis élancé, je suis sur pareil mo nticule du temps des embruns entre deux mers relevées, je suis majestueux, je suis celui qui doit vous guider en pareille roche des temps, je suis ce chevreuyil qui est pour vous guider tantot, pour vous mener ou bon lui semble, je suis ce chevreuil de la roche dure du temps et je batifole à qui miiuex mieux afin de vous guider et entraîner en cette roche et vous montrer la voie à emprunter, vous devez me suivre, vous devez venir à ma suite et vous laisser guider par
moi qui vous montre la lumière : celle ci qui est devant moi, qyi est la lumière sortie de bouche ou en sortie de bouche, ce passage (large) où pouvoir passer ensembvle, et pour cela vous devez me syuivre, vous vous devez de vous glisser à ma suite, me suivre vaillamment et ne pas lambiner car je suis
le cerf majestueux
de la lande du temps imparti, et je vous «accompagne» en cette roche, en ce roc des embruns, je suis là en tant que tel pour vous accompagner et vous montrer la voie à suivre coute que coute et vaillmament et vous verrez ce que do,nc est là en pareille bouche (ouverte) des embruns, vous allez le voir, vous e^tes à deux doigts de voir , et par conséquent ne lambinez pas et accrochrez vous à cette sorte en moi de fil , de ficelle, de queue de verbe etc, cette chose sortant de moi , cette sorte de chose filaire (comment m’xprimer ? ) est cette chose en moi que vous devez toucher et saisir et ne plus lacher , ma queue peut etre, etc, car ainsi vous ne me quitterez plus et vous pourrez enttrer, à ma suite directement, en cette bouche des temps impartis ou bien en cette «bouche de la mort» du temps, ou «de la mort du temps» : « en cette bouche de la mort du temps» ? il y a cette bouchhe devant nous , et cette bouche est «flanquée» d’un nom qui est celui ci , » «bouche de la mort du temps», il s’agit de cette cghose devant soi, qui est cette chose d’une (grande ?) ouverture ou échancrure dans pareil «tissu» de roche dure, ce trou de roche est cela qui nous attend et que je vous montre : suivez moi, ne me lâchez plus, ayez soin de bien vous accrocher à cette queue que j’ai en bout de moi, et ne lachez pas votre surveillmance, veillez à tenir toujours cette queue de moi quyi vous permets ici de garder ce lien direct (contenu) avec moi, le chevreuil des bois, des roches, des embruns, des temps pierreux, etc, cela est ainsi que vous vous devez de faire apres moi : tenir à ma queue et ne plus la lâcher , et vous jeter ainsi à ma suite vive, nous sautons, nous sautillons sur ce sol d’un entre deux mers asséchées , vers pareille «bouche du temps imparti» ou «bouche de la mort» telle que (bouche) nous pouvobns la voir ensemble : nous seommes accrochés ainsi (accolés) pour mieux nous introduire en cette bouche des embruns, je suis le chevreuil qui vous accompagne et vous montre la voie à suivre, je suis majestueux et en impose, je suis le chevreuil aux bois jolis et majestueux, je vais et je viens sur pareille roche et je montre le chemin à suivre, je suis le chevreuil qui montre le chemin en tournant la tete, à des moments, majestueusement, de gauche et de droite (selon) afin de vérifier que je syuis bien suivi comme il se doit, je fais en sorte que cette personne derrière moi (cet homme des cavernes ou cette femme des cavernes) soit toujours en contract avec moi en se tenant à ma queue, je suis celui qui entraine (traine) apres lui cet homme des cavernes en transe, cet homme en transe ou cette femme en transe, qui font (les deux) le couple qui va gaiement en pareille roche du temps, nous nous avançons ainsi (à trois) sur ce chemin de roche,
nous sommes dans la roche, parmi quelques dizaines de betes gravées, et nous nous faufilons parmi elles, nous entrons toujours plus avant en cette roche des temps de la mort à l’oeuvre ou comment désigner pareille bouche des embruns, ce trou dominical, cette voie d’accès bleutée, ce chancre ou cette échancrure ou bien ce chant (?), cette voix venant des profondeurs, ce roulement de tambour, cette parade enluminée, etc, nous entrons tous troiis en cette bouche qui est grande ouverte, je suis le guide-cerf (chevreuil) qui entraine = conduyit à pareille fin bucczale, il fallait quelqu’un pour ce faire et me voici donc en tant que je suis le chevreuil de la grotte préhistorique, je suis méga-grand et en impose, je demande à être suivi (tenez moi la queue !) et je le syuis par donc pareilles créatures magdaléniennes ou solutréennes (etc) qui sont accrochées à moi, c’est à dire à ma queue de chevreuiol qui va ici dans le vent (fouette) et se présente comme le pompom à attrapper pour chacun chacune sa gouverne : nous entrons à trois en cette bvbouche de la mort, nous sommes trois qui entrons en pareille bouche de mort, ce trou dans la voilure = ce trou-bouche, en pareille roche, dans le bleu du ciel de la roche, nous entrons en ce trou comme des mariés, comme en des épousailles forcées, ou bien comme trois qui «font la paire» (!) ou bien comment ? je suis le chevreuil des bois jolis et aux bois jolis (majesté) qui va royal en son pays de roche ou de roche aux embruns, je suis inséré dans une roche de prairie
, je vais et je viens sur pareil pré et vous invite à bhien vouloir vous accoler de fait à ma suite (ici la colle) et à ne plus vous éloigner (si possible) de mon attribut caudal, tenez bon la manivelle, ne lâchez d’aucvune manière, tenez à moi et ne lâchez pas, vous allez comprendre et ainsi vous saurez de qyuoi il en retourne en pareille incursion buccale, ou en pareille incursion en cette roche (trouée) de la prairie des betes qui (ici) paissent (paisiblement) leur comptant d’herbe à brouter, nous entrons en cette roche dure comme peut-être des enfants tenus, nous nous faufilons en cette roche, je suis votre guide-chevreuil qui vous entraine, à sqa suite , et bientot je disparaitrai et je vous laisserai zainsi (couple) en cette roche des temps durs , en cette cavité de bouche aérée, etc, pour l’instant il en va ainsi que je suis celui qui vous entraine, à sa suite cavalière, vers pareille bouche du temps fou = celui là, qui est devant soi, qui est un temps non encore tracé de viçsu mauis qui cependant est là comme une bouche ouverte, prête à vous gober d’un traiot d’un seul, il s’agit de voir ^pareille bouche ainsi , comme l’ouverture d’une sorte de chose en cavité, une sorte de trou à combler ou bien une sortye de trou à emprunter, nous entrons à trois, nous sommes là, en cette roche du temps, en cette roche de la mort du temps, en ce trou rocheux situé, en pareille cavité de la roche dite «des embruns», et nous nous faufilons en elle car je suis ici le cerf de céant, qui va et qui vient en roche et capte hommes et femmes des cavernes, les entoure de prodigalités afin de les amadouer et de les entrainer à bien vouloir de fait s’accrocher à moi (caudal) pour bien se laisser faire, se laisser porter cvomme des nouveaux-nés (etc) et entrer apres moi en la roche troué,
en ce trou de roche, en pareille bouche, en ce trou de la bouche du temps de la
mort sûre, etc, la mort est cette bouche ouverte des temps alloués, il s’agit d’un trou nacré, voire bleuté, qui est un passage, le trou de la roche du temps par où passer à deux de préférence, (etc) car il en est ainsi que pour ma paert mon nombre ne compte pas , je suis celui qui entraine (le mulet, le guide) et dès lors je ne compte pas, je ne fais que passer et m’en retourne, je suis ce chevreuil qui pour le coup aide au passage mais ne compte pas au bout du compte, il s’agit de comprendre cette chose ici cvomme quoi en tant que tel (cerf des bois, cerf aux bois) je ne compte pas en tant que faisant nombre (je ne fais pas nombre) car je suis celui (l’é vanescent ?) qui entraine, qui tire vers lui et à lui un couple d’homme-femme des cavernbes, accroché à moi (la paire) et me suivant, de fait, de la sorte, jusqu’à l’intérieur de ce bout du monde qu’est cette chose du trou, ici, de la bouche ouverte ; il s’agit de comprendre cette chose comme quooi oui nous entrons à trois en pareille roche, ou en pareille cavité à même la roche, oui nous sommes trois (une trinité) mais cela n’est pas, czela n’est pas tout à fait ce qui est ici, ici nous sommes trois à entrer mais en v érité je ne compte pas, je suis l’évanescent, le volatil, le bel évanescent, le bel envolé etc, qui saute et sautille (cabri pour ainsi dire) mais n’entrte jamais tout à fait ,
à se laisser embringuer ou engloutir, comme d’aucuns, subjugués, se voient engloutis, par
«bouche de la mort des hommes», etc, moi non, moi pas du tout, moi nullement, moi pas çàa pour un sou vaillant, car en tant que chevreuil des embruns je me dois de con server ma place en roche, cette place pour moi qui est celle d’un roi de céant qui préside zaux destinées de ceux et cellkes qui en vrai entrent en roche bille en tete, tete première et viennent se loger en elle parmi nous, les betes de la roche dure, etc, nous sommes chevreuils d’un temps imparti et pour ma part je suis le mégacerf qui du coup préside et commande et donne lkes ordres, intimide, etc, je suis le roi de la roche dure, je guide les ames des hommes et des femmes et des enfants entrés en roche, je les amène à bien vouloir aller en cette cavité de roche, je les incite, je les entraine, je règne en maitre de céant et pousse ainsi les ames de la roche dure ainsi introduites à bien vouloir aller, apres moi («accrochez vous, tenez vous à ma queyue»), en cette cavité dite du «trou de bouche de la mort du temps des dits embruns de la roche dure», etc, car en tant que Grand Cerf Manitou de la roche, en tant que tel, je dois montrer (désigner) le bon chemin aux âmes des rochers, je suis le guide en tant que tel,
je m’appelle le chevreuil, je
porte un nom, je ne compte pas pour le décompte car je ne meurs pas, je ne meurs jamais, je place ma tete dans la cavité de «mort la bouche» et la retire aussito^t, pas folle la guêpe, ainsi de suite : je fais attention à ne jamais m’introduire entièrement en ce trou de la mort de bouche, ou trou de bouche de la mort, je fais attention et me tient toujours un peu en amont oou en deça de pareille cavité mortelle, etc, je fais gaffe, je veille zau grain, je suis le c erf xdes bois qui montre ce chemin quil n’emprunte pas tout à fzait, je suis le passeur d’ames ou d»’ames célestes c’est à dire que je prends, avec moi (à ma suite), des hommes et femmes des cavernes, je les intime à bien vouloir avec moi aller en cette roche trouée, etc, cette chose à faire pour eux : je les poussse, je les entraîne, je fais cette chose, mais cela sans pour autant moi même me glisser complètement en cette ca vité de roche , en ce trou de la fin des ciels, etc, je fais ensorte (bien) de ne pas aller trop loin en pareille cavité temporo-spatio-pariétale, je ne suis pas fou, je ne suis pas un chevreuil fou, j’ai toute ma tête boisée, je suis le cerf ou chevreuil à la tête boisé comme un arbre, je porte l’arbre sur ma tete, je suis roi des lieux p)ariétaux avec arbre de vie sur moi même, ainsi suis je, ainsi cela est en pareille roche du temps, qui me voit entrainer à ma suite (royale) des etres de peu (homme/femmes des cavernes) qui vont ainsi (en transe, non-maitres d’eux mêmes) à ma suite vers un logement -lovement de leurs etre-couple ainsi formé en cette roche (vont) de la bouche ouverte de la mort des temps, nous entrons (ou tout comme) à trois mais eux deux seuls sertont en vrai capturés car pour ma part je suis déjà ailmleurs, je vais et je viens sur la lande, je suis le cerf des bois du temps, près aurochs, près bisons ou près phacochères, je m’appelle Mégacerf, le grand de ces bois, je suis Roi, je suis Père, je suis CVhef, je suis le Patron de cette sphère «aux embruns» et du coup je guide tout un chacun vezrs cette chose en fond de roche (soit vers l’horizon) qui est le trou de la bouche du ciel, cet espace en creux qui est comme un passage flou, dans lequel l’homme et la femme (en couple) des cavernes vont à se loger-lover ensembvle,
ensemble vont à se
loger-lover en pareille cavité floue, embrumée, étourdissante, etc, nuage dans lequel
aller , etc, mais ^pas moi, pas fou, je ne suis pas un chevreuiol fou, je suis le chevreuil non-fou, je suis kle chevreuil qui conserve toute sa tete, qui a toute sa tete pour lui et la conserve ainsi boisée, telle quelle, sans en perdre un bout, etc, je reviens de là (ce nuage cvéleste, zone aux embruns) et vais sur roche gambader, sautiller comme un cabri, avec mes frères er soeurs cervidés etc, je ne me glisse jamais tout à fait en ce trou de rochge embrumé, je ne vais en lui qu’un bref moment et de guingois afin de faire entrer le couple des cavernescmais pas moi, je ne veux pas entrter en ce ctrou embrumé nacré car je suis le passeur de la roche, celui qui mène x ou y (ou x et y) d’un point à un autre, de cette paroi ornementée à ce fon de roche nacré, etc, je fais ce chemin vers des lendemains de roche, pour des ames, pour des homme-femme des cavernes, je fais «tout» ce chemin qui va de là (paroi) à làç (embruns) et ce n’est pas une petite affaire car il y faut beaucoup de courage, il faut être foçrt et bien tenir sur ses patttes, il faut pour cela beaucoup d’abnégation, de courage, de volonté, de foi en des (ces) lendemains nacrés, il faut y aller, il ne faut pas lambiner, il faut y croire, il faut ou il y faut des connaissances ici en ce qui concerne le ou les chemins à emprunter, les voies d’abord, les entrées en matières, les raccourcis, les entrées en sous bois, etc, il est bon en tant que chevreuil, de connaitre, de savoir, d’etre un brin savant , et ainsi de mieux pouvoir , ou etre plus à même de guider, convenablement ou correctement ou à bon escient, la cohorte vers son but nacré d’entrée en bouche, il est bon ainsi de faire cette chose pour le coup du mieux possible et pour moi cela passe pa r des connaissances accrues, nettes, tracées au cordeau, fiables, pleines, etc, afin de pouvoir sans peine amener untel ou unetelle à toute extrémité rocheuse, vers ce trou qui est une bouche quyi est une brume, un passage flouté par des embruns de bord de mers, etc, il s’agit d’une sorte de nuage, censé vous absorber et ne plus vous relacher, etc : on voit cette chose fumeuse ou cvomment ? feu ? fumée ? embruns ? nuage ? vapeur ? et l’homme des cavezrnes d’entrer en elle ou en lui, en cet espace -temps nuageux qui est l’espace-temps de la roche dure des temps alloués, l’hommùe des cxavernes entre et n’en resoort pas ? ou bien enttre et en ressort mais transformé, et si oui en quoi ? en chose dure (pierree ?) ou bien en chose meuble (glaise ?) etc ? nous (les chevreuils) ne savons pâs tout de cette opératrion mécanique,
de cette opération mécanique du divin (devin) etc, nous savons des chgoses en tant que nouys sommes ici de la roche comme de la paertie , et cependant nous ne savons pas tout , quyi nous en remettons à d’autres que nous ici mêmes pour d’autres sujets que peut-etre nous ignorons ou dont peut-etre,
nous ignorons le gros des choses, ou comment ? kles tenants et les aboutissants ; nous savons des choses concernant la roche du temps (cetrte roche ornementée par moults chevaux en bataille ou autrtes ours ou renhes des cavernes), ou oui il est cette chose avérée comme quoi en effet nous savons des chose (ici en roche) mais pas tout, et noteamment en ce qui concerne le fin fond de la question de cette bouche «aux embruns», cette fumée, ces embruns, cette chose -écran, etc, vers quyooi nous tendons, ou qui nous tend ses bras surnuméraires, etc, cet espace -temps de première qui est celui qui attend ici tout un chacun pris aux filets, pour ainsi dire, d’une roche dure des temps (présents, passés, avenirs) ; nous savons tous que nous sommes pris, or chacun à dxes degrés divers, chevreuils nous sommes, chevreuyils nous demeurons (pour nottre part) = nous ne changeons pas = nous restons les mêmes ad vitam aeternam, etc, car nous restons groupés, en cette roche des prés, nous n’en sortons pas, nous ne sortons pas fde nos bois et autre sous bois et autres prairies et autres prés jolis, bnous sommùes ainsi qui en vrai nous cantonnons en cette sorte de zone rocheuse d’un intra, et ne cherchons pas à nouys immiscer en quuelque trou que ce soit, nous nous en gardons bien, nouys cherchons la durée, nous voulonbs de cette xdurée qui est celle d’un art de durer qui est celle d’un art de durer dans la roche du temps impaerti, cette roche dure des embruns (?
) ou bien dezs
bords de mer : nous vouluons restezr en vie, bnous sommesz les chevreuils d’un temps accepté et mesuré, nous sommesz chevreuils de forêt quyi allonbs sur roche promener, ainsi de suite, nous nous promenons, nous vaquons à nos occupations coutumièresq, etc, nous montons sur le monticule, nous sommes sur ce monticuyle comme betes de féerie, et nous guidons qui le veut bien à bien vouloir ici s’enchainer à notrte sillage (à queue nôtre) et à nje pas nous l^acher jamais d’une brindille, nous sommes incitateurs, alarmeurs, nous quémandons, nous sommes chevreuils de roche qui vont vers hommes et femmes des cavernes afin de pour le coup lkes inciter à bien vouloir aller vers nous, vers nouys qui sommes incitateurs et entraineurs pour cette chose, d’une entrée en roche dure des temps dits «brumeux» («fumeux» ?)
etc, nous ne savons pas : qui de la brume , qui de la fumée ? les deux choses, mais laquelle en vérité ? nous essayons de comprendre mais nous ne sommes que (hélas) des chevreuils de roche dure, rien d’autre ou rien xde plus, et dès lors comment faire pour s’y prendre pour savoir ? nous solmmes des chgevreuils de roche temporelle, nouys sommes un jour entrés en cette roche , roche de grotte, via une entremise, et depuis nous sommes incxluys en cette roche comme (en tant que) ornements d’homme des caverbnes, nous sommes saisis, et voyons passer kles betes autour de nouys (d’autres que nous) et c’est en cet endroit que nous avons appris à donc accompagner hommes et femmes des cavernes dans leurs gestes (traçant qui l(aurochs qui le renne etc) ùais pas seulement : suiverz-nous homme des cavernbes ! suivez nous jusqu’aux embruns fumeux, jusqu’aux fumées brumeuses, ou comment désigner ce «nuage « (mordoré) qui est ce tte entrée lointaine céleste de la roche des temps, bouche de la bvérité, bouche dela mort dure (sûre) etc, nous voulons entrainer et passer ainsi, nous nous devons d’entrainer et de passer (faire passer) ainsi des âmes de passage
(hommes des cavernes, femmes des cavernes) , nous essayons de faire au moieux cet a ccompagnement pariétal d’hommes et de femmes en transe, jetés de la sorte en roche, qui sont hommes et femmes ennivrés ou comme transformés (déformés) par des chgoses en eux, en elles, qui les dfroguent, etc, nous sommes les cerfsq de ces lieux nacrés, les chevreuils aux bois durs, aux bois de guerrier, nous traversons les prés ainsi faits, nous sommes beaux et graves, nous marchons drtoit la tete haute, nous sommes rois majestueux de roche, nous montrons kla voie à suivre, mais de quoi s’agit il au juste ? bhrume de mer ? fumée cde terre ? nous ignorons car nous nous gardons bien de ne pas nous tenir en deça de cette cghose capitale (définitive) terminale outrée, nous nous gardons bien de ne pas entrer de trop, au risque d’y rester, et par conséquent un sabot seul suffit (y mettre) , pas deux, o jamais, car nous y resterions comme
scotchés ou pris à partie ou comment ? engloutis ? oh certainement et cela o grand jamais ne le voulons, nous tenons à notre vie, nous ne voulons pas mourir, nous voulons rester vaillants et droits sur nosq jambes de cerfs annoblis, nous voulons etre en cette roche les passeurs du temps impartis et cela pour dfes ames comme par exemple celles qui concernent hommes de cabvernes et femmes des cavernes, femmes des cavernbes et hommes des cavernes, etc, bnous sqommes chevreuils (cerfs) qui savons des choses, oui, concerna,nt la roche prairiale , oui, lka roche du temps prairial-pariétal, c’est exact, nous savons un certain nombre de choses, nous savons que cette roche est dure et meuble
à la fois selon les endroits (les points de scansionb) etc, cela nous le savons, mais on voit hélas que nous sommes loin, loin de tout savoir, que
bien dses choses encore nous sont inconnhues, nous dépassent = sont plus ghrandes, bien plus grandes que nous, et ce malgré notre très grande taille de chevreuil géant, de mégacervidé des antres, etc, cela est un fait indubitable indéboulonable, cezla est sûr de chez sûr : nous savons des choses mais nous sommes loin de tout savoir sur ce quil en ressort, de pareille roche aux embruns (? ou aux fumées (?) qui est cette chose devant nous , que nous, nous montrons à tout va, qui est ce trou de roche, cette cavité -excavation où aller peut-etre pour savoir comprendre, cerner, cela pour l’hommùe et pour la femùme des cavernes ornementateurs et ornementatrice ici de roche, nous sommes les chevreyuils de la roche dure, noys gardons les lieux et engageons ceux et celles nouvellement apparues en roche à bioen vouloir se joindre à nous et nous suivre par la bande en ce lieu nacré et bleutéc jusqu’à cet endroit de fin de paroi, ce lieu retiré , cet abord lointain : brume ? embruns ? fumée ? chaleurs ? nous ignorons, nous poussons la chose, jusque là, de vous accompagner jusqe sur le devant, un peu au delà mais guère, car nous ne voulons pas traverser, nous introduire plus avant, entrer vraiment en pareille trouée etc, non non, nous voulonbs conserver oou nous veilloons à bien conserver notre place, nous veillons à bien conserver cette place que nous avonsnous en roche, nous voulons conserver pareille place d’initiateurs, de guide, d’accompagnateurs etc, en cette roche (oprnemùentée) de caverne, nous ne voulobns pas sortir de cette cxhose , de ce rôle dévolu, nous voulons poursuivre ce travail ici d’accompagnement cd’une amme (ou de deux à la fois) vers des embruns lointains, vers une sorte de fumée de roche, vers un trou de bouche fuman,te, cette chose ici ou là en roche et qui est «bouche de la mort la grande», celle là donjt on nous parle ici ou là, cette chose en nous, ou comment ? que nous nommons ainsi : «bouche de la mort des hommes et femmes des cavernes «, cela est aindsi que cela est à nos yeux de cerfs et de chevreuils de roche, nous pensons que nous sommes ainsi ensemble des chevreuils dits «de la roche dure», des initia teurs-)^passeurs, des etres qui gambadent gaiement sur pareille contrée pariétale et capte de fait les nouveautés, voient (vite fait) qui sont les nbouveausx arerivants etc, les poursuiveznt (plus ou moins) et leur font des signes, comme quoi ils auraient vraiment tout intérêt à bhien vouloir les suivre , à bien vouloir nous suivre jusquy’à pas d’heure et jusqu’au bout du bout, car nous sommes des chevreuils du bout du bout, nous sommes les chevreuils qui savons des choses, nous sommes chevreuiils qui savons beaucoup de choses en cela qui est cette chose d’une roche, et cezla compte, nous sommes des chevreiils savants, nous sommes des chevreuils qui savons un grand nombre de choses concernant la roche du temps impartis, sa décoration intérieure, ses abris, ses occupants, ses couleurs, ses climats, etc, nous connaissons la roche ornementée sur le bout des sabots pour ainsi dire et dès lors, nous pouvons très bien et très volontiers nous proposer pour répondre à pleins de questions que vous pourriez vous poser ensemble, sur pareille roche du temps , ses tenants et ses aboutissants rupestrezs, temporels en tant que tels = en tant qu’ornementation de roche, etc, nous sommes à même de pouvoir vous renseigner et grandement, et vous donner beaucoup de tuyaux
et autres secrets et autres conseils , etc, car nous sommes chevreuils de la première heure, nous sommes nés en roche, nous sommes nés à kl’intérieur de la roche du temps et n’en sommes jamais sortis, nbous aimons pareilkle roc he ornementée et nous nbous promenons en elle pour ainsi dire à longueur de temps,, sd’année, car nous aimons beaucoupgzambader sur pareiklle rochge des temps et découvfrir ici cet ensembvkle en sqa complétude de préférence mais, en vrai, n’en jamzais sortir cependant, nous y cantoner, y rester liés, etc, rester en pa reille roche en tant que rois -reines de lieux impartis comme temps alloués pour une vie, nouysq ne voulonbs pas sortir dee kla roche, nous y sommes bien et nous voulons y rester encore et touhjours car nous voulons rester en vie, nhous ne voulons pas ^)asser l’arme à gzauche, nous voulons conserver l’arme à) droite, nousq ne voulonbs pas défaillir, loin de là, carr notre but , ici bas en cette rochge, est de durer comme laroche (exactement) et de ne pasfaiblir, pas ramollir, tenir, tenir bon etc, nous voulons en tant qye chevreuils-passeurs comprendre des données de base qui sont données intitiatiques ou initiatrices, comment dire ? nous voulons comprendre pour le coup
c e que nous sommes en vérité» : des chevreuyils ? des cerfcvs ? des biches ? cervidés en générakl ? cezrvidés en p)articulier ? qui sommes nous comme betes d’abord, comme betes intitiatrices ? qUel ge,nre de betes sommes nous ? lers mots co:mp^tent pour nous qui en sommes fort démuunis, nous aimezrions etre pourvus de mots, nou!s voulons conn,aitree les mots de base d’une langue articulée comme par exep^mple le françaix, etc, car, en tant que nousq sommes chevreuils simplement, en tant que cela, nous sommes comme punis (pourqyuoi ?) qui ne sommes pas (point) munis de pareille langue, hélas ! car nous aimons les mots de roche de c et homme et de cette femme, ces mots gutturaux tracés ici au chgarbon de bois ... , nous aimons cesq mots prononcés sur roche, nous kles aimons à la folie, nous aimons ces mots-animaux dont nous faisons partie etc,, nous sommes chevreuils «de la partie» et à ce titre nous donnons le la musical, le point de base, l’injonction, l’él:an vital, le «start» etc à une vie de roche pariétale (ceelle d’un quidam, etc) et ce faisant nous initions, nous poussons dans des retranchements, nouys poussons au passage et à la traversée («nous poussons au cul») etc, car nous sommes programmés en quelque sorte
pour ce faire vif, pour pareil faire vif, vivant, vivace, nous sommes les starters d’un bout du monde, celui d’un départ, d’une sorte d’injonction à donc aller etc, nous sommês chevreuils qui pensons cette chose d’un faire vif à allouer à une vie cde roche incluse, à vie de roche incluse, à vie incluse dans la roche ou bien bnouvellement incluse, nous devons entrer en cette roche dure en tant que nous sommes (nous) des cxhevreuiolsq , qui vont et viennent en elle sans souci, haut la main pour ainsi dire, vifs comme des éclairs, vifs a rgent pour ainsi dire, chevreuiols du temps, chevreyuils de la przairie, chevreuils d’un temps imparti, qui vont sur la lande raccoler (en quelque sorte) et faire du charme à la toque afin d’etre suivi ainsi, sur roche déblayée, lavée asséchée, etc, passage royal pour un franchissement de l’obstacle marin et une sorte d'immersion en cette chose (céleste) d’une cavité (en vrai) de roche, d’une sorte de nuage clair, ou comment ? nous guidons les ames mortes d’hommes des cavernes (hommes/fzmmes) et cela fait, nous nous repôsons en notre pré, nous guidons les ames bestialesz de ces hommes en trzanse, hgommes-femmes des cavernesz, montées et ayant franchi, nous sommes les guideurs-passeurs d’hommes-femmes animaux ou animales = animaliers ? animalièrezsw ? nous ne sommes pas genrés, nous sommes unixeswwxes, nous sqommes hermaphrodites, homme et femme accolés, comment dire ou désigner ou signifier la chose ? nous sommes des qui sommes en roche guidés par des choses en elle ou bien comment ?
nous sommes chevreuils ! nous sommes chevreuils de roche !
nous sommes kles chevreuils d’une roche vdu temps ! nous sommes chevreuils)-cerfs de roche dure, quyi allons ainsi nous promenant sur pareille praierie ici inscrite, nous nous promenons et passons ensemble des caps montagneux, ou autresq, et ainsi nou!s occupons les lieux quyi pour le coup sont lieux de roche temporzelle, nous guidons des âmes mortes ou bien mortes-vives ou commeznt, vies inscrites dans l a roche dure de la mort à lk’oeuvre, de la mort vivante etc, nous sommes chevreuils qui avons ce souci de guider tout du long des hommes et des femmes (en rochge du temps) jusqu’à ces dits embruns de bord de mer ou bien jusqu’à ces fumées ou dites fumées de chose volcanique , qui sait ? nous ne sommes jamais allés assez loin
pour en connaitre le fin mot
hélas;,, nous cxonnaissons les pourtours et autres alentours (ici, en intra ) mais ce qui donc se trame en cette cavité lointaine, trouée musicale, chant de la terre meuble, contrée enluminée (illuminée ? ) etc, tout cela nous éch ape grandement et dès lors nous ne sommes pas vraiment en mesure de comprendre et de donner, de comprendre les données de base et, du coup, de les offrir en partage,
nous sommes cerfs de prairies de roche, nous vivons en continu dans une féerie et nous voyons ce qyi autour de nous se trame, les alentours, etc, mais point au -delà hélas, qui ne nous aventurons guère au delà de ces sortes d'alentours rocheux qui sont ceux de fait d’une paroi de grotte ‘ ( Chauvet ? lascaux ? alma -terra ? ) , nous restons logés, lovés, collés-accolés, inscrit , etc en cette roche )ou à cette roche , nous ne cherchons pas à nous aventurer plus loin, nous laissons brume et embruns , fumée de fumatière, etc, les laissons sur les bas côtés, et nous nous cantonons à ne pas de préférence franchir ce genre de limites comme tracées par qui on ne sait, en cette roche temporelkle ornementée, qui est celle dx’hommes et de fezmmes de temps anciens, nous ne sortons pas de la paroi et n’essayons pas de sortir d’elle, ca r ,
nous y sommes accrochés (coeur) par des sortes de xsentiments mais pas seulement, pâr des fils qui nous cousent à pâreille roche ou comment nommer nos sentimen,ts, notre passion, notre envahissement émotif, nbotre coeur de roche inclus, etc ? nous voulons comprenddre ici en tant que nous sommes chevreuils de la roche inscrite, circonscrite, plieine à ras bord de choses et autres, nous voulons savoir ce qyui est, en cette roche, pour nous, chevreuils de passage , pour passage ; nous gam badons sur roche comme sur un pré, nous sautilmlons et nous faisons du cha rme , de l oeil, etc, pour faire suivre, suivre apres nous, nous essayons sans cesse de charmer de fait notre petit monde nacré, etc, nous voulons essayer d’entrainer le plus possible jusqu’à ces abords (abords de roche) qui sont peut-être des abordss de mer, ou bvien de terre ? nous ignorons ! nous
essayons de comp^rendre où mener et comment mener, où mener l’homme des cacvernes en pareille roche , et comment le mener à bien , car nous ne sommes «que» chevreyuils de
roche, rien de plus , et, en tant que chevreuils, nous ne connaissons pas lkes mots de la tribu des hommes entre eux, nouys ne connaissons pas de mots à nous qui eussent pu nous aider à communiquer avec ces hommes et ces femmes des cavernezs, nous ne sommespas éqyipés de cette sorte, nous en sommes chagrins car nous aurions aimé être équipépa reillement mais voilà, non, nous ne sommesz pas munis d’un éqyipage pariétal, d’un éqyipage demots-animaux comme il eut fallu que nous le fussions, de cet équipage pariétal animalier dont l’homme des cavernes est muni (lui) , équipage bien utile pour communiquer et échanger des dires, entre nbous, entre eztres de même espèce, nous avons desq cris, des grognements, nous faisons des bruits, nous faisons avec notre museau des bruitsq, nous
a vons le brame pour nous et nous bramons , nous crions dee tout nottre soûl cette chose du brame de forêt, nous gueulonbs, nous ouvrons grand notre museau de bete de la roche dure, nous sommes rois et reines de la roche
dure, de paroi, nous sommes rois-reines de roche-paroi, nous allons en elle comme chez nous, car nous sommes comme chez nous dans le temps, nous sommes les cerfsq (cer vidés) de la grande parade "initiatrice", grands manitous de ces lieux (de roche) saints, il ws’agit dxe comprendre cette cghose, nous sommes les cerfs royzux maitre de ces lieux, de ces lieux de roche, nous ne parlons pas de langage articulé mais nous br^$amons, nous poussons le cri de la bete qui n’est pas toujours un cri, qui est parfois une mélopée, nous somms a nimaux de roche dure, qui allons par les prés à la recherche d’un qyidam qui peut-être serait perdu et attendrait l’heure d’être accxompagné et guidé vers un endsroit de bord de roche (fin fond, etc) quyi serait l’endroit dela découverte de soi pour soi : qui on est ? qui nouq sommes ? qui voyons nous devant nous ? etc, nous sommes les chevreuils de roche du temps qyui voyons ces hommes-femmes agglutinés, pelotonnés, accouplés, sertis,
e,nchassés, etc, aller et venir sur cette paroi , entter en elle et s’y lover permannemeznt comme larrons en foire etc, nous aimons regarder ces etres de paroi et leur faire coucou et leur demander expressement de bien vouloir allezr vers nous qui de fait les guiderons (saurons les guider) à bbon port, nous sommes placés sur roche (monticule) pour ce fraire et il serait beta en vrai de ne pas nous suivre qua nd on sait le temps gagné à etre conduit, amené, accompagné, jusqu’au point terminus qui est ce point de fin, de roche de grotte, car la grotte a une fin , en roche, qui est «fin de roche dure» = bouche de la mort des voeux, nous pensons que nbous devons guider expréssément les mobiles (couples) vers pareille bouche à voeux, nous devons car nous sqommes, pour le coup, les chevreuils «d’aide au pâssage», et à ce titre nous nous devons de bien faire en wsorte cette cxhose d’un passage en bonne et due forme d’un mobile (couple) allé sur roche (inscrit) pour une acquisition de connaissa nces (diverzses) concernant la mort mais pas seulement, concernant, aussi, la musique des sphères, les embruns, la roche dure,
la mer scindée, les betesz (aurochs ?) de belle contenance, etc, nous sommes les chevreuils qui ici aidons tel ou tel dans l’a cquisition en propre de ses comp)étences, ou connaiossancesq, il est bon pour nous de comprendre cette chose, d’un homme des cavernes introduits par la bande , il est entré en lévvitation, il a creusé son trou dans la roche avec son propre pic de bec, ou pic de verbe, il est entré cdedans, baton xde bois, tete de rapa ce, a creusé profond et il a travezrsé le rubicon de roche dure; et là, dedans, l’homme des cavernes et la fzemme des cavernesz, main dans la main, ont cherché a près nouset nous ont trouvé, et nous de lesc accompagner (docilement, paisiblement) versq le fond de pareille roche, en ce fin fond de roche, versq ici des embruns ou bien, ws’agit il de fumée ? nbous les accompagnons (de fait) gentiment, doucement, tendrement, amicalement, tout amour , aAmour, etc vers pareille «
sortie», ici, de roche (autre bout, comme d'un intestin ou d'un corps troué intestinal) car c’(est ainsi que nous faisons , nous les entrainonsq, nous entrainons à notre suite (entraînons qui veut)- et ce fai!sant nous initions aux vertus pariétales d’un temps impartis : c ette chose, d’une roche bellement ornemezntée, etc, nous accompagnons-initions
-poussons ce mobile de vie («à toi à moi») en cette roche dure du temps dur, etc, et pour cela nousq gambadons (en pareille roche), nous montrons par où passer e,n nous faisant suivre, nous sommes Amour, Szexe tout autant, qui poussons autrui dans ses retranchement (cette chose) et le guidons dès lors vezrs des lieux termina ux, versq lieuy de bzase musical, vers un lieyu de fin de vie, njous éduquons (?), nous iniçtions, nous montrons, nbous faisons cette chose d’une sorte d’accompa gnement vraisemblablement salkvateur (ou salvateur a priori) car nous faisons partyis des chevreuils de vie, ceux là même qui en vrai initient l’homme aurignacien à savoir dessiner ou graver sur roche, etc, je suis le chevreuyil qui est (de fait) l’animal initiateur-guideur par excellencve, et là où je vais, l’homme ira (lhomme de la grotte cachée) , il ira en me suivant, il saura comprendfdre quand il aura vu, maisq qu’y a t il donc à
bien y avoir à regarder ici ? je suis , le chevreuil de ces dames de la rocxhe dure et de ces messieurs, je m’avance vers un homme et lui fait signe de bien vouloir s’adjoindre à moi, à me «coller au cul» comme queue caudale , et à ne plus me perdre désorm ais, et, ainsi tenus (au temps qui passe), à se laissezr porter (a til un autre choix ?) où (donc) bon me wsemblera de le mener, car il incombe à celui qui va, d’aller où bon luyi semble (il sembvlerait), lhomme ainsi est entrainépar moi, je le porte, je porte sur moi , ou pres de moi, ou , accrocvhé à) ma quezue, cet hommme , qui se garde bien de me lâcher, je porte pa reille personne derrière moi , pour mieux l’amener à bon port, à ce port de bord de roche (de vie ?)) quyi est en vrai cette fin en soi , ou fin de non -recevoir , ou comment ? terminus ? terminal ? e,nclave ? nouv elle enclave dans l’enclave ? bouche de la Mort Lagrande, la déesse, le roi, la reine ? quoi de plus, ou qui de plus ? je mène ici ce couple d’homme-femme des cavernes en roche, et là, ainsi insérés, il et elle, vont à chercher (via moi, via l’art ? ) l’endroit idoine où donc trouver à se lover pour coïter, je vois en tant que je suis, et je suis en tant que je vois, car j’ai des yeux pour voir ce genre ici d’ébats en roche, j’ai des yeux pour voir, aventureux, etcx, je suis le chevreuil de ces dames
et de ces messieurs, je vais en roche ainsi gambadant, pour faire en sorte que
des hommes et des femmes puissent s’accrocher à quelque chose qui serait de l»’ordre de la véritév a vec un grand V, je suis le chevreuil de la roche, mon travail consiste à pour le coup accompagner les etres nouvellemùent introdyuits en elle, comme hommes ou femmes des cavernes, à kles accompagner pendant leur séjour ici en pàareille roche du temps et à le s guider à bon port :
cette lumière de fond de roche,
cet horizon nacré fuyant,
ce nuaghe de b rume ou dxe fumée, etc,
je suis le guideur, le passeur, l’entraineur, c’est moi qui donne le "top-dépa rt" de ceztte chose pour a insi dire, je fa is de mon miezux pour apporter ma pierre à l’édifice, de ce monument de roche dure (le Temps avec un gra nd T) etc, je suis la bete de la roche, celle qui (entre autres betes) mène l’homme à sa finalité rocheuse, à fin de roche ici aux embruns (?), à fin de roche tout court,
l’homme va entrer ezn cette cavité de roche dure et trouver sa chose (esp^érons) en cette ca vité brumeuse ,
nous savons, nous sommes les cezrfs qui savons, sur cette cavité brumeuse, des petites choses, nous ne chezrchons pas à nous étaler ou à divulguer, nous disons que nou!s ne sa vons rien de plus (à haute voix) mais en vérité nous savons ... de petites choses, concernant Bouche de la Mort ; que savons nous ? njous savons son nom : «Bouche de la Mort Brute», nous savons que ce nom est particulier (BMB), nous savons que ce nom a une importyance majeure, nous savons que cette bouche est située sa ns l’etre : elle navigue comme qui dirait un navire ailée, nous savons que «Bouche de la Mort Brute» est une bouche ouverte (jamais fermée) etc, nous savons quelque petitesz chosesq, nous ne sommes pas (en vérité) sa ns rien connaitrte ou savoir de ceztte bouche de la vérité, de cette bouche dez la mort, nous voulons dire ce que nnous savons ou plutot : nous voulons (bien) dire, ce que nous savons, nous autres, cerfs des prairies, mais cette chose en vrai commeznt (et à qui ?) la dire ? car nous ne sommes pas munis d’une sorte en nous d’appareil langagier qyui nous eut permis d’en avancer fissa sur ce chemin de la connaissance ici partagée, nous essayons de partager nos conn issances (concernant Dame et Sir la mort ) or non, impossible (Dame ou Lady / Sieur ou Sir) , impossible de dire à qui que ce soit , en intrapariétal comme ailleurs (mais
nous ne sortons pas), quoi que ce soit concerna,nt la mort, car (raison priincipale) nous ne savons pas prononcer un traitre mot d’une quelconque langue humaine (ppas même l’anglais !), nous sommes drôlement limités dan,s nos pouvoirs, et si nous voyons et comprenons lesdits mots-animaux, il n’en est pzas de même avec les mots de latribu de l’homme, de cet homme des cavern es le rusé, le racé, l’ezntrepreneur-dessinateur, nous sommes chevreuils qui ne connzaissons pas de mots à proprement parler, et dès lors notre intelligence est située de fait en dehors de la sphère langa gière et cela a un e importance considérablme ici (en roche du tempsz) car, il est évident qu’une sorte d'intelligence existe hors kles mots et c’est cette sorte d'intelligence là que nous avons pour nous chevreuils, cette intelligence en nous est capitale et guide chacun de nos pas, et voil;à l’intelligencxe ici (en vrai) qui nous importe et que nous affichons en roche, en allant et venant
, en trépignzant ou en wsautillajnt, etc, nous sqommes chevreuils de la roche, notre nom de genre est chevreuil, ou cerf pezu-etre, ou cervidé , etc, notre nom est celui que nous connaissons pour nous via le brame, etc, nous avcons des pâttes pôur courir et nous courons à qui mieux mieux sur roche du temps, et montrons de fait le cxhemin à suivre vers des trous de roche, ou vers des ezmbruns (à moins que ce ne soit fumées) de roche du temps ? les enfers ? paradis ? quoi d’autre ? une sorte de passa ge purgat(orial ? où sont les femmes ? où sont donc pâssés les hommes ? où vont ils à se ficher en pareil nuage defumée, ou alors dans le brouillard humide d’une fin de rocxhe ? qui est qui ? quoi est quoi ? que fait cet homme qui entre en roche comme à reculons et manque se casser la pipe sur la roche où nous gambadons, que fait il en agissant ainsi ? il fait mine de vouuloir mourir d’ezmblée ? dès sa venue au monde ? il s’agit d’une naissance pa r les pieds (on dirait) et nous, chevreuils, de suyivre l’immixtion ici de pareil mobile, lm’arrivée en rocxhe, etc, la suivre du regard, et d'aller ainsi en cette roche d’un temps imparti, d’un temps dur de vie humzaine , pour, en vrai, ce mobile, ce mobile, ce mobile qui se doit (ainsi) d’entrer en roche (temps imparti
) où nous serons (voilà) à l’accueuiullir comme il wse doit et à l’accompagner en roche jusqu’au bout du bout , nous le devons, car nous szommes
«les cerfsq (cervidés) de la roche du temps», qui avons à) initier le petit d’homme à tout un ta s de choses concernant le temps, la roche, la paroi, loa bete en lui, cette cohorte (cohorte animale) sortant de lui par son trou de bouche, cette queue de
verbe allant piquer ici ou là devant, ce temps donné de roche dure, etc, et nous de le guider (ce petit d(‘homme) vers demain, demain et deux mains, celles (mains) d’une sorte de divinité cambrée, nacrée, bleutée, colorée comme il se doit afin de l’accueillir (ce petit d'homme) sans trop kl’éblouir, mais tout au contraire, en veillant à ce que pareil invité» puisse à son tour progresser (en pareille contrée) sa ns trop de gêne, en allant de son pas gai ou vif, etc, et ce faisant atteindre ce
(pour le coup) bout du bout pariétal
et là : sauter dans cette sorte en soi de flou ciéleux, etcx, entrer en pareille porte (?) ou bien y plonger deda ns, ou comment ? la chose est (de fait) coton à définir, nous sopmmles les chevreuyils du temps imparti et nous devcons en vrai p^rogresser kle plus loin possible accompagnés par deux, qui sont un couple d’homme /femme des cavernes, venez vezrs nous ! suivez nous ! suivez moi ! venez vzers moi ! ne reculez pas ! accompagnez moi tout le long ! je suis un cerfg géa nt , de la race des grands c erfs de roche et des p)rairies de roche, je m’appelle «Manitou, le grand cerf géant», je suis là pour vous conduire jusqu’au bout du bout, je tiens à vous conduire en toute douceur et avec gentillesse, je ne veux en aucun xcas vous effrayer, je ne veux pas (en aucuun cas) vous effrayer ou vous froissezr ou vous faire mal ou vous intimider ! je veux etre clément ! je veux vous condyuire à bon port et vous amener sain et sauf à cet endroit ! je vous veux près de moi en continu afin de ne pas vous perdre de vue, ou que ce soit vous qui me perdiez de vue, mon nom est «Ma nitou, le cerf de la rocghe», j’habite la roche depuis toujours, je suis né ici, je suis le gran,d (géant) cerf de la roche dure et je suis là aéfin de guider les ^$âmes (toutes les âmes) vers leur destinée pariétale, je suis été nommé à cet effet, je suis celui qui accompagne les hommes ou les femmes, qui accompagne et les hommes et les femmes, qui accompagne les hommes-femmes, les couples en dezntelle etc, vers ces embvruns (nacrés) de fin fond de roche, venez vers moi ! suiverz ! prenez la tangente et suiverz ! suivez moi ! ne restez pas enn plan en roche (dans votre petit coin) mzais suivez moi loin (horizon) et vous comprendrez dès lors ce qu il en est , nous sommes des chevreuils de roche, nouys devonsq nous donner de la sorte = nous donner ainsi = faire ezn sortye que homme et femme des cva vernes soient accompagnés pour kle passage o combien crucial, de bouche de la mort de roche = devant soi, là-ba s : ce ... nuage de fumée ? de vapeurs ? de quoi s’agit il ? aallons-nous bruler vif se demandent-ils ! je vois cet homme s’avancer vers moi , je suis le cervidé de trait, je vcois cette femme, je vois ce couple attitré, etc, je les somme à bien vouloir me suivre instamment et sans plus tarder , et là, ainsi faisant, à s’adjoindre de fait à) la cohorte animalière proc he, à cette queue de verbe animalmier, qsueue pour une introduction en roche = en trou
de roche, fumeux-pas fumeux nous ne savons pas, car, si en vrai le chevreuil sait des choses il ne sait pas tout, il sait un certain nombre de petites choses mùais non tout hélas , concernant la vie et la mort, etc, le chevreuil (moi) sait, mais ne sait pas tout : j’approche de la mort, de bouche de la mort, et dès lors je sa is des choses, des petitesz choses, rien de massif, juste une ou deux bricoles, comme par exepmle cette chose comme quoi, de cette fumée ou vapeur (?) sort un e musique , et cette musique est antédiluvienne, il y a, de ce trou flouté, une musique (belle, charmeuse, doucerezuse) qui en sort, il s’agit de belle musique ou même de «Belle» (car son nom est «Belle») , il s’agit d’entendre cette chose, qui sort de ce trou (et pour cela, inutile d’entrer ou de seintrioduire plus loin , o,n entend,) je suis cerf le grand, dit «Manitou de la Roche», et j’entends cette sonorité ici toute veloutée, ce velours de sons, cette soie musicale, cette douceur, cette clameur soft, ou comment ? cette clameur toute velouté = de velours = doucereuse, etc, qui sort de «bouche de la mort du temps», j’-entend la clameur musicale des sphères : ce chant guttural souffreteux ? ce chant de la terre profon,de ? cvette musique dite «des quatre coins» ? ce chant de roche dure, ce chant de la roche dure du temps ? cette sorte de mélopéee velouté comme un potage ? cette chose «sortie» ? cette chose «qui en sort «, mais en sort-elle, ou bien est ce unehallucination ? le cerf que je suiis ne sait pas répondre, il lui semble à lui qu il entend vraiment et qu il ne s’agit en auvcune manière d’une sorte dx’hallucination qui lui ferait pren,dre des vessies pour des lanternes, il (moi) écoute-e,ntend, et ce quil écoute-entend ressemble à s’y méprendre à de la vraie sonorité de roche, clinquement sur paroi musicale dure : vapeur et moiteur sont-elles au rendez vous ? qui peut dire ce qui est en pareille cavité ? mais la musique ! cette chose en soi qui grimpe et s’extraie comme d’une p^laie ! nous sommes des chevreuils (les chevreuils) de ce bout du monde prairial-pariétal, nous sommes des passeurs qui en vrai accompâgnons des etres (divers) vers cet au delà pariétal du temps, nous savons des choses mais ne pouvons réellement communiquer ces choses aux hommes, par manque d’une sorte de langue commune à) pouvoir
partager, nous savonsq beaucoup de choses concernant ce monde (ici) de la paroi dure, ses habitants, son climat, sa roche, etc, et nous savons des petites choses concernant ce t au delà de la paroi du temps, pas grand-chose en vérité (car nous évitons soigneusement d’entrer en pareilles cavités) mais enfin, oui, des choses de pêtites taille, de pêtites choses menues comme par exemple : la musique, cette musique qui en sort, qui sort de là, de pareille cavité (ou «bouche de la mort des temps rupewstres»), nous savons ici et là de petites petites choses, notre gouverne de chevreuil est ainsi qu’elle mène, ici, sachant ... quoi ? de petites choses, la musique sortant des embruns (?), ou bien, la musique sortant de plus loin mais d’où ? la musique est cette chose qui nous retient, qui nous contient, qui nous maintient extérieur à ce trou, trou de roche «aux embruns nacrés», à moins quil ne s’agisse de fumeée de roche dure, feu de lave, ici la mmort de bvouche chaude, chaude ou froide ? nous ne savons pas ou ne ne savons pas plus loin, nous disons que nous ne savons pas plus loin mais, en vérité, nous savons des choses, comme par exemple la musique : elle est suave, elle vient d’un dedans, est est gutturale et enveloppe, etc, et donc voilà ce que nous sommes : nous sommes des betes de roche, des intervenants, intercesseurs, passeurs, accompagnateurs, guide de haute roche, etc, qui aidons quiveut (?) à passer la roche, traverser la mer, la mer asséchée, et se jeter dans cette sorte de lumière mordorée qui est la lumière des sphères dites «pariétales», un éclairage de la paroi dure, une sorte de brume larvée ou comment ? le chevreuil (que je suis) manque de mots pour dire la chose, nous entrons en cette mer ouverte vers pareil nuage ici de bord de roche et là ... un derrière ? quoi ? une ouverturee ou échancrure dans les données ? nous sommes chevreuils de paroi de temps, notre but est celuyi de vous accompagner un temps vers (de fait) un lendemain, nous ne sortons pas de la paroi où nous sommes nés, nous avons chacun notre petrit nom, pour untel ou unetelle ce szera «bambi», pour moi ce sera «manitou» ou ce qui vous plaira, je suis le chevreuil dxe la paroi du temps, nous avançons de concert, suivez moi dans les embruns, suivez moi de près et ne me l^achez pas (la vie) et vous comprendrez dès lorsvotre «douleur» car le chemin ok est ardu mais il est le seul,
suivez moi et collez vous à moi, ne me perdez pas de vue, suyivez moi de près, sachez me garder à la vue, touchez ma pelisse (toujours) par le queue si vous le souhaitez, tirez-moi par la queue et accrochez vous, tenez-moi par la queue et accrochez vous donc à moi ainsi, nous allons décoller ! accrochez vous donc à ma queue et ne lachez plus car nous décollons, nous montons, nous nbous élevons dans les airs, nous sommes deuix qui bnous élevons de la sorte dans les airs, lécvitation ! je suis votre chevreuil dit «de lévitation», je suis ce chevreuil pour vous d’une lévitation en bonne et due forme et donc ne me lachez pas, tenez vous à moi, ne lachez pas ma queue ou mes bois, tenez bon, je suis chevreuil des bois jolis qui vous emporte dans le vent et vous fait gagner du temps, etc, je suis le chevreuil du temps de la roche, nous nous approchons du nuage, nous nous approchons de pareil nuage dezvant soi, il s’agit ici d’un épais br(ouillard : fumée ? nous nous approchons en plein vol et élan, nous sommes deux pour cette chose, nous sommes deux pour aller devant, pour en avancer, perforer, gravir, avancer de cette sorte : en lévitation, à main levée, dan,s les hzauteurs, dans les airs na crés, souffle pur sur une sorte de bete (en soi) de roche, je suis chevreuil qui offre ici son souffle (pur) de bete de roche : à qui ? à lhomme-femme des cavernes !
je suis le porteur, l’animzal porteur, le guideur, l’aide, le second, l’assistant déa mbulateur, je suis le chevreuil quyi donc permet cette incursion dans (ici) le ciel de roche, pour (un) passage guidé, tenu, contenu, tout du long accompagné, je suis le chevreuil des bois et sous-bois de la roche du temps, des prés et des prairies, mon nom est «Manitou le grand» car je suis géant, cervidé méga de par ma naissance, je suis le cerf des lieux de base rocheux, je suis ce cerf qui va de son élan rocheux et en lévitatation progresse, je vous porte sur mes ailes, je suis le cerf volant
10/2/2020
l’art ; l’art est une chose qui m’attire et m’intéresse, l’artt est une chose qui m’attire et m’intéresse beaucoup, l’art est une chose à pzart moi, qui m’attire et m’intéresse, l’art est cette chose à part de moi qui m’intéresse ; il s’agit ici d’une chose qui est hores de moi, qui est extérieure à moi et quil me plait de voir évoluer pres de moi ; il s’agit ici d’une chose qui, hors de moi, va vivre sa vie de chose ; une chose qui pres de moi va peu à peu vivre sa vie, va vivvre sa vie = sa vie à part moi, sa vie de chgose posée ; sa vie de chose déposée ; il s’agit d’une chose qui est pres de moi ; il y a une chose qui est pres de moi ; une chose est déposée et il s’agit d’un objet ; une chose est posée sur tapis ; une chose est posée sur tapis, il s’agit ici d’une chose ; il y a , devant moi, déposée, une chose, une chose qui est travaillée, dans le sens où cette chose a été usinée ; une chose usinée est donc déposée à mes pieds, ou en face de moi, disons donc en face de moi, et cette chose est travaillée disons : d’une manière telle que voilà : la chose est là = existe devant moi, dans une forme ; cette forme est une forme travaillée = usinée = passée par des mains ;: il y a devant moi une forme usinée, passée entre des mains et cette forme est travaillée au corps, et ce au sens étroit comme au sens large = travaillée de prés ; nous avons ici des lors une forme usinée déposée ; cette forme usinée déposée est un objet, peut etre un objet, peut e^tre mille chose, cet objet peut etre mille chose, il s’agit d’un objet posé au sol, il s’agit d’un objet, d’une chose, posée devant soi ; devant soi est le terme exact, ou l’expression ; devant soi est l’expression exacte ; il y a devant soi posée une chose, cette chose est un objet qui est travaillé = usiné par des mains etc ; il y a ici cet objet qui est travaillé et déposé et qui trone ainsi : il s’agit d’un trone, il s’agit d’un objet-trone qui est devant soi, qui est au devant de soi déposé et le voilà qui trone ; il est cet objet usiné qui trone, il est cet objet manufacturé, ou quoi quil en soit travaillé , qui trone, qui est tout devant, qui nous fait face ; il y a ainsi un objet qui nous fait face et qui est un objet travaillé = le fruit d’un travail en usine ; un objet est travaillé ou le fruit d’un travail , est un fruit, est un fruit déposé sur un tapis, soit une offrande ; un objet est déposé, fruit d’un travail, offrande, est posé devant, nous fait face, il s’agit d’un fruti, il s’agit du fruit d’un travail humain : il y a ainsi devant , soit déposé, le fruit d’un travail des mains, ou d’un travail sorti des mains, ; le travail est sorti ; le travail ainsi usiné sort des mains d’un humain qui est le travailleur dudit objet ;il y a un travailleur, il y a toujours un travailleur, un ou plusieurs mais toujours derrière, à côté, devant = à part, un travailleur qui initie, qui débute, qui usine , qui a pris la chose en main, qui est à l’origine ; l’origine est le travailleur, l’origine ici de l’objet déposé est ce travailleur qui donc a usiné la pièce, devant lui, et l’a déposé sur un tapis rouge, ou bien sur un plateau doré, etc ; un travailleur préside, est à la base, a conclu la chose et l’a déposé sur un tapids ici dev ant lui, pas loin ou loin mais toujours en face de lui , du moins le temps de la dépose: ainsi nous avons un objet déposé sur tapis, devant des bras, devant un regard, devant une personne, celle qui dépose, et nous pouvons des lors , regarder ledit objet sous toutes ses coutures, car l’objet est usiné, il a été façonné, il ressemble à quelque chose = il a des caractéeristiques ; nous sommes donc en présence d’un objet manufacturé, ou usiné, façonné par un homme , d’une manière ou d’une autre, et cet objet, manufacturé par l’homme, ou bien usiné en atelier, ou en chambre, ou auttre part, est objet déposé : il y a dépose, il y a là une sorte de dépose-offrande ; nous pouvons donc nous rendre compte de cette chose, que là nous avons affaire à un objet usiné en atelier par un ou plusieurs hommes, un
obkjet est usiné en atelier par un homme ou par plusieurs hommes, ou femmes, ou par un groupe de femmes, par des hommes, par des femmes qui donc usinent, fabriquent, concoivent, font de leurs mains, chacun , chacune, objet de dépose, objet pour une dépose devant, ou au devant de soi ; on voit la chose ainsi façonnée, elle trone, elle est là, axactement, exactement là, qui trone ; l’exactitude ici est importante en cela que la dépose se fait là, ou ici, mais que l’endroit, quel qu il soit , est d’une importance majeure en cela quil s’agit d’un endroit exact : celui ci, ou bien celui là, mais d’importance en cela quil s’agit d’un endroit défini ou choisi, ou que le hasard ou l’occasion choisit, peu importe: nous avons ici un endroit précis de dépose, ou ezxact, et cet endroit est important à cause de cette chose quil devient des lors l’endroit élu pôur une offrande : un tapis, une corbeille, un socle, un plateau, etc: un endroit élu qui a son importance obligatoirement ; il s’agit du lieu, il s’agit d’un lieu élu qui a par ce fait une importance considérable, et ... pas touche ! ; on a ainsi une chose posée devant soi , qui est objet d’offrande, déposé et comme présenté, une dépose, une présentatation au propre, une chose lustrée, travaillée, usinée, façonnée, construite, montée, batie, développé, faite, etc devant soi qui sommes donc, nous sommes, comme séparés de cette chose offerte dans la mesure ou cette chose a qyitté nos mains, nous est comme tombée des mains, nous a quitté, nous est devenu étrangère : posée, déposeé, séparée de nous ; nous sommes séparés de cette chose posée en offrande, nous avons comme tiré un trait et cette chose est de ce fait loin de nous, loin ou pas tres loin mais quoi quil en soit : séparée ; cette chose n’est plus parmi nous au sens de : entre nos mains, elle ne l’est plus ; cette chose est sortie du creux de nos mains, de nos griffes, de npos pattes ; nous avons décidé en toute cvonscience , a priori, de poser ou déposer pareil objet devant soi mais il s’agit ici d’un objet qui n’est pas à toucher, un objet qui sorti de nous, de nos mains pour ainsi dire, tombe dans une sorte de domaine comme sacré, ou comme sacralisé ; nous avons une chose enttre les mains, qui est la chose que nous façonnons, et cette chose à un moment donné nous allons nous en séparer pour lka déposer devant nous sur une estrade, un socle, un tapis, un coussin, un plateau, quoi que ce soit de cet type, à savoir sur un objet qui vient recueillir l’objet, l’entourer, ou le porter, et des lors, cet objet laché, qui n’est donc plus au contact de notre peau, de nos mains, etc, qui n’est donc plus en contact tactile, eh bien cet objet devient des lors un objet intouchable, au sens ou là ou nous déposons l’objet valeur est donnée ; nous disons valeur pour dire que l’endroit , ici, de dépose, est comme sacralizé, est précieux, a une importance, est élu = un endroit «élu pour une dépose ; nous avons devant nous un objet qui est un objet de dépose, à nos pieds, sur tapis, et là ou l’objet est mis, cet endroit devient un endroit d’élection, et par conséquent : prend de l’importance ; un endroit est élu lors de la dépose, lors de la pose de l’objet fabriqué, lors de cette dépose d’un objet devant soi, objet fabriqué par des mains d’homme : nous avons cela devant nous qui est posé, qui est sorti, qui a franchi un cap , à savoir
celui de s’éloigner de nous, de nos mains
uusineuses, de nos mains usineuses, à savoir celui de s»éloigner de nous, de nos mains usinuueuse, des mains qui juqdsque là tenaient à cette chose, ou bien des mains qui jusque là tenaient la chose, contre soi ou avec soi ; nous avions jusqu’alors cetgte chose contre nous, ou avec nous, nous faisions comme corps, nous avions la main ; nous avions jusque là la main sur cette chose et voilà quà présent nous déposons la chose et perdons la main, nous sommes donc comme séparés à jamais, nous déposons la chgose cdans un temps qui est celui du courant des choses, ou du courant des choses déposées, ; nous sommes ainsi déposant devant nous des choses séparées, qui sortent de nous , de nos mains, et ces choses ainsi séparées de nous se voient ainsi monter dans une sorte de train ou courant ou flux, etc, de vie comme sacrée, sacralisée ou disons valorisée, train d’une vie autre en ce sens qu elle se situe devant, qu elle est dev ant nous qui regardons devant ; si je me place ainsi debout et regarde ainsi, devant moi, ce que je vois ; si je regarde devant moi, debout, fixement et donne, si je dopnne ; si ainsi je donne ainsi, si de cette manière je donne, si ainsi je donne, si je donne dfe cette manière devant moi, debout, les bras devants, comme sur un coussin une clé, ou bien ainsi faisant en déposant l’objet wsur un tapis = devant moi = devant mes yeux, ou devant mon corps tourné ainsi, face, ainsi tourné, pile et face, devant et derrière, et donc pour le coup ici devant ; je regarde devant moiu, je regarde fixement et là il y a le champ dans lequel je viens à faire ma dépose, je fais de la sorte ; je dépose cette chose devant moi et ainsi faisant je m’en libère et met cette chose hors d’atteinte, ou disons : je dépose cette chose en lieu sur, un lieu pour l’éternité, un lieu qui devient un lieu surveillé, protégé, qui ne doit pas etre saboté, etc ; dépose d’un objet devant soi sur le tapis roulant de l’éternité, dépose devant soi d’un objet faàçonné par mes mains d’homme, qui que soit l’homme, et ce sur un tapis roulant protégé et hors d’atteinte, ou du moins : considéré comme ne pouvant pas etre saccagé, ou bien saboté, ou fissuré etc : surveillance optimale de la chose déposée en lie u sur, en lieu précieux, en un lieu qui est un lieu qui ne doit pas etre saccagé, frappé, déboussolé etc, il se doit ce lieu de rester le plus en eétat d’origine possible pour l’éternité, il est ce lieu de dépose comme escalator vers une étaernité, il est ce lieu qui doit etre surveillé et chouchouté en tant quil est ... pour l’éternité des éternités ! nous avons dépopsé cet objet devant nous pour une éternité de surveillance, assidue, attentive, policière : un veillezuir, un surveillant = un maton ; nous avons décidé ainsi de façonner un objet et ledit objet , de le déposer devant nous, c’est à dire de le lacher des mains et zou : éternité, ou du moins tel le est notre volonté ou bien notre geste, ce geste de se séparer de cet objet sans autre fonction que de servir à cette chose : de passer les siècles, de se retrouver sur un tapis qui doit vous mener à l’éternité des choses ainsi déposées ; nous faisons ce geste de déposer et ce faisant il y a ce moment ou l’objet quitte nos mains = le contact, un moment ou , donc, le contacrt est rompu et voilà l’objet déposé sur un petit tapis au sol, ou bien sur un trone ou socle, l’objet ainsi devient l’élu parmi les objets, ou bien le coussin, ou le socle ou le tapis, et cet objet sur socle ou tapis ne devra plus, des lors, etre touché, c’est à dire servir à autree chose qu’a cela qui est sa fonction, à savoir cette déposition ou ce dépot ; cette chose d’un dépos sur tapis ou coussin, ou socle ou mur etc ; nous avons cette chose devant nous qui est déposé par terre , lmais non point jeté comme un chien, ou comme un objet de rien, mais déposzé, l’objet est déposé dans la nuit des temps ; il peut cependant etre jeté comme un chien quil ne sezra pour autant pasq vraiment jeté ainsi = comme un chien, car il est déposé , l’objet, dans le temps : nous déposons dans le temps ; nous posons des objets dans le temps, nous les déposons et où est le temps pour que nous déposionbs ainsi pareils objets usinés ? où donc est le temps ? c’est à dire autour de nous, pour que nous puissions déposer des objets en lui, ou sur lui, où donc est le temps autour de nous ? nous ne savons comment nous y prendre sinon de ceette maniere donc qui nous voit déposer ; nouys ne savons pas bien comment agir et des lors nous faisons cette chose d’une dépose, hors de soi, loin de nos bras, de cette chose façonnée, de cet objet, de cette chose passée par nous, sorti de nous ou pas, peu importe, l’important est qu elle soit passée par nous, npous sommes inclus, nous sommes de mèche ; nous sommes partie prenante et cela est imoprtant, nous sommes parti prenante, nous sommes au miloieu ou du moins : de la partie et du coup nous déposons une chose en nom propre, nous la déposons en notre nom, et ce quelque soit la provenance de ledit objet, nous déposons un objet qui a donc atteri entre nos mains et cet objet nous le déposons devant nous, sur un lieu élu, dans un écrin, un tapis, un socle, un coussin, quoi que ce soit qui prenne soin, qui porte et protège, qui maintient la chose en état et lui permet ainsi d’etre exposée aux quatres vents du temps infini, du temps d’éternité, de ce temps qui est train de vie qui entraine avec lui pour des siècles des siècles tout objets élus, valorisés, maintenus ainsi dans une sacralisation ; nous pouvons regarder pareille sacralisation mais il est interdit de toucher , dégrader ; kl’objet déposé, précieux, ne doit pas etrte abimé, sali, souillé ou dégueula ssé ou détéruuiioré ; nous prenons soin de l’objet ain si déposé et nous y veillons, nous veillons à ce que personne ne vienne abimer celui ci et l’empecher des lors de franchir les ages, cette possibilité ; nous veillons à ce que cet objet puuisse rester le plus longtemps possible en état et ne soit touché de personne qui pourrait ainsi souiller, ou bien franchir le rubicon de l’espace et du temps ou comment nous pourrions exprimer cette chose d’un
espace qui serait à ne pas dépasser car le dépassant nous touchons, entre guillemets, au temps: offrande au temps, ou comment, car il y a ainsi ici comme une notion qui est que nouys créeons ficti- vement, ou comment, une sorte de zone tampon, de zone à ne pas franchir et cette zone serait celle du temps majuscule, du temps qui va sa route de l’éternité, nous sommes ainsi comme dépositaires d’un objet pour les siècles des siècles, derrière le paravant qui serait une sorte de tenture à ne pas dépasser, dans l’espace alentour, cette sorte de tenture, de chose entre : d’interface ; comme si le temps ainsi pouvait etre palpable ; comme si ainsi le temps pouvait etre comme touchable, comme si le temps pouvait devenir matériel,, physiquement touchable, ici ne pas toucher car c’’st toucher au temps mais il ne faut pas ; ici le temps est comme pris en compte dans une existence palpable ; nous voyons cela ; nous voyons un temps qui est comme palpable, qui est tempsq qui sezrait espace, et du coup nous faisons cette chose d’une offrande, sur un ta pis, ou bien sur un plateau d’argent, nous déposons dans ce que nous imaginons etre le temps, le lieu du temps, cette chose d’un lieu du temps ; nous faisons comme si nous pouviuons déposer une chose dans le lieu du temps, et du coup : pas touche ! car, il s’agit d’un lieu sacré, sacralisé, o combien valorisé, majoré, qui est le liue du temps, ou bien considéré comme tel : de l’auttre côté, du côté qu e nous ne cdevons pas toucher, du côté de l’intouchable ou de l’interdit ; nous dépoosons lobhjet sorti de nos mains ou passés par npous dans un interdit qui est surveillé par des hommes en faction: police ; nous déposons ainsi des objets en des lieux surveillés qui sont censées etre les lieuix du temps, les lieux des temps éternels, nous faisons cette chose, de déposer devant nous , sur un tapis au sol, des objets censés grimper ainsi sur le tapis du temps, dans le train du temps ou nous, pôur notre part, n’avons pas de place pour nous, n’avons place car, car sommes ainsi que nous sommùes mourants, nous ne pouvons, nous mêmes pour nous mêmes, ne pouvons hélas,
car, nous sommes des etres mourants, nous ne pouvons aller sur le tapis, le tapis de la mort, nous ne pouvons aller sur le petit coussin dorée, car nous sommes des etres qui allons mourir alors ainsi nous faisons cettree offrande au tapis, à l’éternité, nous faisons cette chose d’une dépose d’un objet pour l’éternité, nous vpoulons de cette dépose pour nous, nous sommes forcés par les choses en nous qui nous poussent à faire ainsi don ; à donner chose au temps, de l’auttre côté, dans un lieu dédié au temlps, au dieu temps, comme pour dire ; nous faisons don ainsi dx’une chose que nous déposons sur tapis du temps en espérant que celui ci jouera le jeu et perdurera, nous l’espérons ; nous voulons voir le tapis intact, pour des siècles des siècles, nous aimerions, alors nous veillons à cela et pour ce faire nous employons une police de surveillance qui voit tout ce qui se tra me tout autour de ledit objet déposé ; nous avons voulu dune police , dite : police du temps, ou police de l’éternité, nous avons voulu d’une police pour veiller au grain, aux détéeriorations éventuelles, spécialistes, veilleurs, policiciers de cette chose par nous déposée ; passée par nous, nommée ainsi, puis déposée aux pieds, sur sol, sur parterre, sur terre ferme, sur socle, sur chape, sur support et ce quel quil soit, un support quelconque et cest joué, le tour est joué, il nous suffit d’un support et l’offrande est faite ; une offrande = un objet passé de l’auttre co^té = lieu du temps ; il s’afgit des lors de la création par l’ homme et la femme de lieux du temps, ce sont ces lieux que nous cgherchont à connaittre, nous aimerions connaitre ces lieux, les situer dxans lespace : ou donc se loge le lieu du temps dans l’espace, et ainsi aviser ; voir, aimerions cela évidemment beaucoup, de voir pareil lieu ; ce lieu du temps ; nous aimerioons beaucoup bien évidemment connaittre ainsi kl’emplacement aexact dans l’espace de ce lieu du temps éternel ; nous serions ravi de connaittre exactement ou donc se situe pareil lieu, car il nous interesse, il nous serait plaisant, etc, de savoir, pareil lieu, où donc est il , et donc que faisons nous, nous faisons comme si, et développons toute une stratégie de socle, écrin, tapis, support, etc comme autant d’escalator vers les cimmes inatteignables du temps dit d’éternité, ou d’un temps que serait cvette éternité ; nous voulons voir devant nous pareil objet déposé dans la nuit des temps = dans l’éternité ; nous veillons et faisons veiller, nous aimons penser cette chose d’un objet passé par nous et, à présent, déposé = laché sur un support de tempsq pour un voyage dans le temps : soucoupe, supoort ; nous déposons cet objet sur un support qui doit propulser ledit objet vers les temps de l’éternité ; nous ambitionnons de pouvoir ainsi agir pour que cet objet puisse continuer ainsi pareil mouve ment ascendant dans le temps, ou quoi d’autre, ; nous déposons un objet, cet acte de déposition, de dépot, nous posons au sol, le p^lus simple est de poser au sol, sur le sol, pareil objet de peu, pareil objet passé par nous, et nous de continuer le chemin de l’objet, le déposant comme si nous avions ainsi ceette chose, comme si nous avions à faire en sorte que l’objet ainsi puiisse continuezr son cbhemin de vie, nous ne pouvons garder cet objet en nous, il n’est pas possible de le conserver, de l’intégrer à un nous immortel, etc, cet objet nous ne pouvons faire autremeznt que de le deétacher de nous, de l’envisager comme d’un objet deé^-taché, nous ne pouvons faire autrement sque d’envisager cet ogbjet comme étant de trop, en nous, comme ne pouvant intégrer un nous éternel en nous, une place, alors nous devons faire suivre, nous devons faire circuler l’objet, nous avons cette chose à faire : déposer pour faire circuler ... dans le temps ; le temps ici devient le lieu ; il s’agit du temps qui vient donc rafler la mise, qui vient prendre, qui prend avec lui : c’est cela que nous voulons, c’est cela que nous envisageons, nous voulons cette chose, que lobjet ici soit (ainsi déposzé) valorisé, soit béni des dieux, soit apprécié et du coup sauvé , du coup mis à l’abri : oui, abrité, mis à part et surveillé , et protégé, ainsi de suite, par une police des objets sacrés ou sacralisés ; montés au pinacle ; nous voulons ainsi et déoposons objets divers, une forme : nous déposons une forme sur le sol, cette forme eswt telle que nous aspirons à ce qu elle reste intacte, protégée, mise à l’abri : un abri, un socle, un pylone, quelque chose qui protège : un casque, un quelque chose qui puisse faire de la sorte qUe nul
ne puisse le détériorer, pareil objet ; nous veillons, nous avons pour nous un policier qui veille et empeche certaines choses, comme de toucher lobjet et qui plus est, comme de voler pareil objet sacralisqé ; nous avons installé une police pour veiller la chose ; nous ne sommes pas en reste de voir la police, les surveillants, prendre cette chose vraiment à coeur de surveiller la chose, cette chose déposée, cette forme déposée sur ta pis, sur petiyt coussin, sur socle, sur squpport, nous espérons que la chose franchira lmes siècles et pourra rester ainsi en vie ; à notre place ?. peut ettree à notre place, ou peeut etre pas ; ce besoin en n ous d’agir ainsi, tient au fait que n os corps nus, bruts de décoffrage, n’ont pas de poche, et où déposer les objets que nous tenons entre les mains ? nous devons déposer, nous ne pouvons pas conserver ibndéfiniment tous les objets que nous possédons, nous sommes nus et n’avons pas de poche, nous sommes nus ezt n’avons pas de quoi conserver ainsi sur nous, en nous, tant de choses, et du même coup nous devonbs nous en séparer et comment, sinon ainsi faisa nt : hop pour l’éternité, hop hop, et l’objet ainsi se voit embarqué dans une aventure temporo spatiale, temporalle et spatiale, l’objet, l’objet se voit ainsi emporté, raflé, zou, coup de vent du temps qui emporte, et pas touche ! ; pas touche à l’objet qui doit ainsi monter, monter au pinacle, doit pouvoir monter, grimper et continuer xson chemin d’objet ; et donc nous avons ainsi en nbous , pour ceratins et certaines, ce vice de vouloir ainsi fa ire avec tap is, avec coussin, avec support , évcrin , etc ; nous déposons quelque chose de nous, soit : passé pa r noous, dans la nyuiit du temps et pourquoi cela ? ; nous déoposons un objet, un objet qui a transité entre nos mains, nous déposons un objet et ainsi faisant nous nous en libérons par la même occasion, ; nbous le libérons et nous en sommes klibérés, nous pouvons voir venir , ainsi dé&gagé, nous déposons ; lorsque nous déposons nous savons tres bien cette chose, qU e nous déposons ainsi pour l’éternité, que nous déposons pour que la chose soit conservée, soit protégée, ne soit pas abîmé&e, soit surveillée d’éventuel voleurs ... etc : conservé le plus possible et par conséquent maintenu (lo ngftemps) dans le temps ; nous espérons que notre objet fera l’objet de toutes les attezntions nécessaire à sa bonne coinsezrvation pour des siècles et des siècles ; nous voulons que cet objet puisse consezrver sa forme, son état le plus longtemps possibke, et pa r conséquent , nous ne souhaitons pas nvoir cet objet abimé ou détériorié au fil du tempsq ; nous voulons le cxonserver le plus en état possible, nous voulons cela, consezrver, protéger, surveiller, etc ; nous avons ce s ouci , de vouloir coute que c oute pro- téger ledit objet et faire en sorte quil puisse traverser les temps sans accroc ; ce seraitb tres bien , et c’est cette chose q ue nous voulons ; déposer une chjose façonnée, une chose valorisée par des avis approbatifs, entre hommes et femmes ; aime, aimerions que lk’objet, en question, puisse consezrver longtemps ( à jamais ?) toutes ses qualités, nous veillons de la sorte à ce que cet objet, déposé, puisse traverser
les épreuves du temps sans trop de dommages ; nous sommes ainsi veillant à ce qUe pareil objet déposé, restât en etat le plus posible ; il s’agit d’un objet façonné, il s’agit d’une chose, objet ou autre, qui est déposée sur le tapis et qui n’en bouge plus, il s’agit du lieu, il s’agit du leiu dfe l’objezt x ; nous voulons que cet objet soiyt p)rotégé et qui le décide, qui décide de ce qui ‘est a doubé ou retenu, et du reste : de ce qui n’est pas reten,u ? ; nous sommes ainsi qui déposons objet, représentation, image, etc, sur pierre de socle, sur soie de coussuin, sur velours, sur tissu soyeux, sur beauté de tissu ; nous nous avançons et déposons la gerbe ; nous nous avançons ezt déposons la chose sur tapis et, ainsi faisant, nous nous déchargeons, nousq sommes lgers et légères, nous a vons allégé notre masse ; nous avons réduit le poids de notre mobile ; nous avons réduit le poids de notre mobile corporel, de notre corps dfe vie : nu et alla n t gaiement ; nous avons posé objet faç!onné», objet de fa çonnage, objet d’usinage devant soi et nous voyons cet objet devant nous (ou pas si nous sommes aveugle) et plus du tout la possibilité d’aller le toucher, car il est comme passé de l’auttre côté, il est ailleurs : lieu du temps ; il s’agit d’un lieu fictif, jusquh’à) preuve du contraire, il s’agit d’uin lieu fictif car le temps n’’set pas palpable ; lieu fictif par excellence ; il s’agit d’un objet xdéposé qui ainsi déposé , continuye sa vie d’objet, continue son chemin ; il s’agit d’un obkjet qui est déposé sur tapis, et doit pouresuivre son chemin, il s’agit d’un objet au sezns la rge, et donc il avance sur son chemin, il continue sa vie d’objet mis en circulation ; il est cet objet usiné, façonné, fabriqué, etc que l’un ou l'une dépose pour le temps des chose, pour autrui, pour mille raisons, il s’a git d’un objet qui se voit posé et nous de l’admirer ? nous sommes proches de lui, nous le lachons, il nous tombe des mains, il y a ce moment précis ou l’objet cesse sa vie d’obvjets profane-, il y a un moment où l’objet va cesser sa vie profane et passer de l’autre côté, vers une sacralisation ; il faut voir kl’objet ainsi, comme objet pro- fane, qui devient sacré par une institution quelconque , de type socle ou tapis, et ainsi cet objet pourra bénéficier de tous les égards liés à sa constitution, etc ; un objet posé ce peut être un temple ; un objzet posé ce peut être un bonbon, ce peut ettre une bouteille, un porte bouteille, une cloison en placoplatre, un bijou, une serviette de bain, un dessin d’e nfant, une fleur, un lapin mort, une verrue, une bicyclette, un chapeau de gendarme, une mukltiprise, un bouddha en bronze, un chameau en osier, une carafe d’eau, un mot, une vibration, un pintadeau, une belette, une poire, une boite en bois, un fermoir, un sarcloir, une chanson, un chalumeau, un chacal, une brouette, un songe, un désir, un plombage, un caramel, une voix ; ce peut ettre mille cxhose, ce peut etre n’importe quoi posé sur tapis et ça peut le faire, ça kle fait si qUOI , ça le fait si la forme dudit objet rencontre un agrément, ou un assentiment ; si la chose est valorisée alors ce sera oui, et si la chose n’est pas valorisé ça ne le fera pas ; nous espérons que pareille chose ainsi déposée par nous , sur ce socle, ou sur ce tapis, pourra le faire, pourra passer ainsi, hop, à postérité : ce genre de cbgoses, et comme cela nous serons libérés, allégés, et nous pourrons poursuivre notre route ainsi alléhgés ; nous aimons cette légèreté et la recherchons : débarrassons-nous de tous ces encombrants qui se tiennent ainsi, pour nous, comme des poids loursd qui nous encombrent, nous freinent dans notre marche, notre élan ; n,ous déposons, nous posons, nous faisons ce geste de poser, nous faisons ce geste manuel ; nous posons une chose, cette chose a une forme ; nous posons une forme sur un support ; cette forme est un dezpot pour une utiliqsation de type sauvetage ; nous posons, nous mettons, nous déposons, nous faisons attention en déposant, ou ne faisons pa s attention, peu importe ici puisque, ce qui ccompte réellement, est cet acte de dépot ; nous posons à plat, nous posons comme nous pouvons, nous avons ce geste à faire, ce geste à mener jusqu’au bout ; nous posons une chose squr un support , par terre, par exemple ; cette chose par exemple serait un engin, serait une machine, ou un outil ; cette chose sezrait un outil, un outil d’ébéniste : un ciseau à bois, une gouge ; posons une gouge sur un support : socle ou tapis de feutre, par exemple ;posons cette gouge, nouys la voyons, nous aimerions que cette gouge, telle qsu’elle se présente, franchisse les sièckles, que pouvons nous faiore ? ; nous aimerioons beaucoup que ceette gouge, ainsi déposée à plat sur un tapis à même le sol, nous aimerions que cette gouge disais je , franchidsse les ages ; nous aimerions ; comment nous y prendre >? ; comment faire en sorte qu une simple gouge d’ébéniste, de sculpteur sur bois, etc, puisse traverser les âges et de la sorte perdurer ; nous voulons savoir, nous voulons trouver une recette: comment faire? ; car nous aimerions beaucoup la lancer( cette gouge) dans le ciel et qu elle soit prise ainsi par l’atmosphère ou bien lka stratosphère et hop : en orbite, voilà une solution ; si nous mettons les choses en orbite alors nous pouvons peutetre donner à pareilles choses une sorte d’éternité ; si nouds faisons cette chose, de mettre la gouge en orbite ; il s’agit de mettre en orbite, nous cherchons cela ; notre but est de mettre des choses en orbite, donc, soit par une sorte de sacralisation des choses (le bien et le mal) soit par le fait de cette possibilité (relativement réceznte) de pouvoir ainsi placer en orbite tout et n’importe qUoi si nous le souhaitons, et si le pouvons ; parallèle ici entre mise en orbite et sacralisation, et cette chose alors est ainsi comme un changement de taille, dans l’histoire ; cette chose est un changement xdans l’histoire, cette cghose est un grand changement, cette chose est neuve, est nouvelle, relativement récente ; cette chose de pouvoir placer un certain nombre de choses en orbite, car, j’imagine que nous pouvons envoyer n’importe quoi en orbite, et éternelmlmlement ce n’importe quio tournera et tournera encore etc, et ce : intact ? ; ou bien non ? ; il se peu que la mise en orbite d’un objet entrainat sa détérioration par le fait des flux de courants d’air , il se peut que ç a ne soit pas vraiment vraiment le meilleur calcul pour une chose déposzée, pour pareille chose déposée sur un tapis volant et hop, en orbite : nous voyons cela, qUue nous avons ceztte possibilité éventuelle, de pouvoir déposer des choses en orbite ou bien même sur la terre ferme, le plancher des vaches ; dépositions / dépots, et nous passons notre chemin, et la chose ainsi déposée tourne son chemin, tourne que tu tourneras ; la chose déposée, ezlle, tourne que tu tourneras son chemin ... de vie éternelle, o,n peut le penser ; donc nous avons ces deux possibilités, qui s’offrent à nous : soit par l’entremise d’un dépot de proximité, la clé sur le coussin dorée, soit par l’intermédiaire d’une éventuelle mise en orbite stellaire, gravitationnelle ; nouys voulons déposer ; et du coup, soit la voie de l’orbite, soit la voie de la déposition sur tapis devant soi ; nous voulons, envisageons, devons, avons ce penchant, sommes sur le point, voulons déposer ; donc, soit l’orbite, soit le socle ; avec le risque à chaque fois d’avoir au bou du compte un objet mal conservé, c’est possible ; il se peut tres bien qu un objet subisse les affres du temps, les guerres, etc, et se voit blessé, abimés, ou détruits, ou dsdisparus, il se peut: ; et dès lors : l’orbite ou le socle avec à chaque fois le risque , bien évidemment, que pareil objet déposé subisse (ait à subir) les épreuves du temps et n’aille pas au bout du bout ; son souvenir, un fragment, un nom attaché à lui persisteront encore peutertre et de ce fait maiintiendront un semblant de vie éternelle à pareil objet ; nous ; nous sommes ai nsi qui voulons faire en sorte que nos choses perdurassent dans le temps, nous aimerions nbeaucoup cette chose: se libérer, mettre bas, mettre sur du plat des chose nous appartenant, nous libérer de certaines choses passées par nouys ; nous en tant que pâssages ; nous en tant que vecteurs, passages, couloirs ; nous qyui vouloins eztre ce passage (pour une éternité) d’un quelque chose, ce passage... que nous sommes ? ; nous avons entre les mains, nous aspirons à deposer cet avoir ... où ça ? eh bien en orbitte, ou bien sur un socle ; posez donc cela sur ce tapis ; et ainsi fa isa nt nous nous allégeons, nous spmmes mieux, nous sommes plus mieux ; nous allons ainsi pAr les chemins et déposons donc cette chose que nous tenons et squi se prete parfaitement à une misze en «orbite» temporelle ; nous aimons bien ainsi agir de la soerte et faire cela : mise (hop) en orbite des choses passées par nous ; nous aimons alors nous faisons : ici l’amour ; nous aimons ainsi déposer, nous avons en nous ce désir, cet élan, cet amour ; nous déposonsq une chose passée par nous, et ce faisant y donnons valeur ; bien evi- demment que cette valeur ne tient quà nous, à nous tous et toutes, bien évidemlment ; bien évidemmeznt que cette valeur donnée est un leurre, est une chose subjective qui ne tient qu à nous qui sommes sujets et sujettes ; sommes des sujets et des sujettes, bien évidemment, que donc, ainsi fait (ceete dépose), nous pouvons nous sentir autree : moins encombrée disons ou videé- soulagé, comment dire , il y a cette chose en nous qui a opéré, et qui se nomme mise à part de nous = dédoudblement,oumieux,passa ge ; nous avons pour nous cette possibilité de pouvoir deposer, devant nous, une chose, délicatement (ou pas) et nous le faisons ; nous déposwons gerbe ou bien petit objet de culte, ou bien du pain, ou bien une clé ; nous avons beaucoup d’objets et beaucoup de choses, nous avons un tres grand nombre de choses à pouvoir déposer, et le faisons-nous ? nous faisons, nous avons grand nombre, foultitude ; nous deposons donc un objet de notre ressort, sur un tapis ou sur un socle, nous le posons à plat, qu il tienne, ou plutot : nous le deposons ou le posons de mùanière qu il tienne commme on le souhaite, et cela fait nous espérons fort qu il (cet objet) entrera en orbite, ira en orbite, ira ainsi dans un e éternité et pourquoi cela : réflexe ? façon de faire naturelle ? penchant ? besoin ? pente ? amour ? ; eh bien optons pour la pente ; nous laissons derrière nous un objet déposé et cet objet szra ou ne szra pas pris en compte, participera ou pas du grand compte (pla nétaire et immémorial) ; nous déposons un petit objet, quoi que ce soit, en espérant le voir perdurer et ne pas dispa raitre à la première tempête, nous espérons car nous sommes plein et pleines d’espérance ; un objet déposé est une chose qui se tient (ou qui tient) debout, au sens propre ou / et au sens figuré ; et /ou ; il se peut que nous fassions ceette chose, cxe dépot, de ceete manière, ce geste, cette façon, la fassions ainsi dans un but de mise en orbite ; avec ce but avoué ou pas de mise en orbite : pour des siècles des siecles = que la vie perdure pour lui, cet objet, passé par nous (d’une manière ou d’une autre) = pour nous ; nous = passages, nous = passages pour une mise en orbite de nous : indirexctement ; comme si , via l’objet déposzé, nous pouvions pa r là même faire en sorte qau’un peu de qsuelque chose de nous, trace de nous au passage, passât vers une éternité, vers une éternité de type orbital : à jamais ; quelque chose chose de n,ouys aspire (mouvement de vie) à frapper ou marquer un support vers une liberté d’orbite, vers une éternité orbito-tenue ; pour des siecles des siecles, les sieckles des siècles, amen, nous pouvons peut-etre ; nous voyons ainsi des chose, nous voyons ainsi des choses usinées, manufa cturées, faàçonnées, dessinées etc, servir aionsi comme d’un trem- plin, comme soucoupes, commes étoiles ; nous avons un désir qui est en nous de faire une chose qui s’appelle déposer, qui s’appelle mettre, poser sur une surface une chose qui a transité (peu ou prou) par noous ; nous déposons une chose et ce faisant nous nousq signons ; n,ous faisons le signe de la croix ; nous déposons un objet sur un tapis, il s(agit par exemple d’un objet trouvé, une chaussette ; cette chaussette, ou chaussure ; cette chaussure nous la déposons sur un socle, ou sur un tapis ; cette chaussure nous la posons sur un piédestal (pinacle) ; nous posons cette chose sur un socle, nous disons que ceztte chose ainsi posée est de grande valeur et qu’elle ne doit plus jamais ettre touché pa r le commun des m:ortels, seuls les ghardiens du temple, médecins, prêtres, hpeuvent ainsi, ouvriers de la chose, peuvent ainsi : toucher la chose, la toucher, la soigner , la déplacer si besoin pour la bonne cause, personne d’autres ; à savoir des gens habilités, assermentés, et prets à se salir, ou comme se salir ; seuls ; nous autres homme et femmes du commun : non ; nous ne pouvons pas : toucher cette chose ; chaussure donc ; prise ainsi comme objet de valeur, et donc... à ne pas toucher ! au risque d’abimer la chose ; cette cxhaussure, ainsi déposée par nous, va voir les années passer sans etre portée ; elle va vieillir mais sera toujours vue comme objet de valeur, qui ne doit pas etre portée car sa fonction en tant que cxhaussure jn’existe plus ; sa fonction n’’stplus la même, elle l’a perdu en route ; le socle ; le socle, l’entoura ge aux petits soins, la pièce fermée à clé, le gardie,n, le policier da ns la rue et voilà notre chaussure bien surveillée et protégeé (du vol, des intemperires, des détériorations ou dégradations éventuelles, du vandalisme éventuel, etc) ; cette chazussure devient un objet qui est coucouné pour les siècles des siècles, et par conséquent maintenue pour durer, pour traverser le mieux possible et le plus possible les temps en l’état ; la chaussure est isolée et sur -protégée : couvée ; nous avons ainsi (de nous) sauvé cette chose, d’une chaussure datée, pour d’autres époques avec d’autres modes ; de sorte qu à terme pareille chaussure risque fort de devenir unique, ra re, car ses soeurs de forme auront périclités, il y a des chances, d’avoir été mises ; nous avons sauvé des temps un e chaussure, nous avons donné valeur, avons sauvé ; nous sommes des sauveurs et sauveuses ... à défaut de nous sauver nouys ou bien ? ; ... ca r , depuis nous passent, ou se passent, par nous transitent, comment dire ainsi ... qu en nous il y a la vie qui est appel, qui passe en nous et veut, ainsi transitant, laisser trace dudit transit , ou pas ? ; qu en est il de cette envie en nous de socler chaussure de marche ? de socler chaussure lambda ? ; nous soclons pour la bonne cause ? nous soclons pour valoriser et permettre u ne conservation à visée d’éternité, nous avons en nos mains une forme et cette forme dans nos mains, une mousse, une sculpture en mousse, une épaisseur quelqcobnque, cette forme , que nous avons entre nos mains : «... tiens, prends ! » ; car, nous donnons à prendre, telle est la pente ; avec peutetre ce souci de rester (ou de demeurer) pour les siècles des wsiècles sous forme chaussure, ou alors avec peut-etre ce «tiens, prends ! tiens : je te donne !», ce «tiens , attrappe !», ce «tiens, prends cette chose que je porte ; je te donne, je te donne, je te donne !» ; il y a ainsi une question qyui est ce don , cette chose que nous avons en nous de vouloir donner ou : faire don ; faire = façonner ; don = chose ; nous donnons une chose à voir , à ausculter, à visionner ; nous déposonsq une chose sur un tapis ou sur un socle et cette chose ainsi déposée devient cvomme une sorte de don, implique : séparation d’avec le donneur, car le donneur ici se sépare du don, il y a cette séparation qui est capitale : nous lachons, nous expulsons, nous faisons transiter à travezrs nous, ... ce peut n’etre que par notre nom apposé ou accolé ! une chose qui donc se voit séparée ou comme séparée de nous qui nous tenons en retrait, en deça, et qui voyons la chose déposée comme une sorte de chose en don, prête à étre recueilli mais par qui, afin que celle ci puiisse perdurer, du coup, dans le temps des temps ; nous déposons = nous donnons, il y a élan, il y a flèche ; «donnons» est différent d’un simple «déposons» à l’aveuglette, non, «donnons» dit la flèche, c’est à dire : la direction visée, le but, l’objectif, qui est une adreesse ; l’adresse ici est le but final, eswt un but, un objectif, donner est objectif ou à objectif intégré, donner a objectif, donner entend un objectif, entend cette notion ; nous voyons ainsi que nouys posons, en vrai, pour donner, mais posons sur tapis sans savoir à qui, pour qui, cet élan du don : inhérent à certaines natures ? que faisons nous quand nous donnons ? ; il y a des natures qui donnent, il y a peut-etre des natures qui plus volontiers donnera ient et deposezraient leur «camelote» sur un tapis, sur un socle, sur u n support, afin de voir le don protégé, car alors, c’est le don qui est valorisé, protégé et mené à terme = une éternité désirée ; alors c’est le don ?? ; nous voyons la chaus- sure en tant qUEe telle, nous voyons la chaussure en tant que chaussure isolée, socl»ée, et point du tout comme un don donné, comme don offert, cvomme don en soi, comme don tout court ; nous voyons une chaussure piédestalisée et nouys tournons autour d’icelle comme on le ferait autour d’une déesse statufiée ; nous allons a insi tournant et en effet, ceette chaussure est don, d’une certaine manière, disons cette chose ; soit donnée à voir ; donnée à approcher, donnée à contourner, à devoir éviter d’y toucher etc ; il y a tout de même là une sorte de don, de donné, de chose donnée, il y a cvomme une chose (que nous contournons) qui s’offre à nous, cela est ; nous voyons la chaussure soclée et la contournons et nous pensaons chaussure-sclupkture et non point seulement chaussure, ou chaussure-chaussure ; nouds la voyons comme un objet qui en vrai a transité par des mains de personne valorisant ou le valorisant, de personnes qui donnent valeurs, lesdistes valeurs, des lors, maintenues vivaces par tout un attrouppement de petites mains , non plus ghrandes mais petites, qui toutes participent à la c-onservation de ladite chaussure-sculpture = Valeur ; la valeur ici = prix en soi, valorisation , valeur donnée, surplus, plus ; nous la voyons ainsi valorisée, piédestalisée, nous voyons qu il sq’agit d’une chaussure posée là par une pezrsonne , et ... interdit d’y toucher ! donc : chaussure avec interdit ; objet + interdit, cela maerche ainsi, en couple, lobjet a$vec un interdit ... ou comment ? avec un interdit posé qui est de détérioration interdxite ; ou alors comment ? nous posons une chaussure, nous posons une chose et cette chose n’est plus nous, ne transite plus par nous autrement que par notre nom qui y est accol ;é, ou même pas ; sommes alors comme si nous avions perdu une chaussure et cette chaussure ... est posée, m:ais même nous nous n’avons pas le droit de la récuprter ca r il ne s’agit plus tout à fait d’une simple chaussure égarée mais d’un objet monté au pinacle, et qui de ce fait est devenu ... autre chose, plus qu une chaussure ; nouvelle foncxtion ; nous tournons autour de la chaussure et veillons à ne pas la toucher ou sinon (oups) sans qUon nous voit ! mais nous sommes filmés (attention !) comme des enfants, et ce ... par la police, par la surveillance ! ; attention à ne pas nous faire prendre ; nous tournons autour de la chaussure et nous évitons soigneusement d’entrer en contact avec elle : sacralisée, sacrée, valorisée etc , de sorte que n,ous n’avons pas le droit (disons comme ça) de, nous mêmes, la toucher, au risque de nous faire sermonner, c’est sûr ; nous sommes interdits et interdites de touche-touche , avec cette chaussure isolée exposée ; nous n’avons pas le droit du tout de toucher cette chauussure, il s’agit d’une sculpture, il s’agit d’un objet que nous sauvons des perditions, des déchets,
des déchetteries ; nous sauvons, nous sauvons une chaussure mais pas seu- lement ; nous sauvons un salut ; nous saucvons une chaussure mais pas seulemnryt une chaussure, nous sauvons une chose de la déchéance ou de la perte, mais pas seulement,
nous sauvons une valeur ajoutée à la chaussure, car ici, la chaussure exposée est :
chaussure + valeur ajoutée à cette chaussure,
et nous sauvons le tout, ou pluoto nous sauvons une valeur attenante à un objet monté au pinacle qui est celui d’un socle d’exposition ; nous sommes ainsi qui sauvons, en quelque sorte, une valeur surajoutée, c’est cezla que nous sauvons ; nous sauvons de la mort ;: nouys sauvons de la mort une chose qui est comme une valeur ajoutée ou surajoutée ; nous sa uvons de la mort, nous sauvons une chose posée et la valorisation qui va (marche) avec, cela est sûr ; cela est presque sûr, cela sembvle une évidence ; nous sauvons et employons du monde pour , nous sauvons et employons du monde pour, poumpoum prolétariat, lumpen prolétaires ; avons tout un tas de gens qui sont des opetites mains, qui sont là autour de la chaussure élue, afin de la bichonner, la surveiller afin que ladite chaussure-sculpture npous comme survive, aille ainsi dans le temps pour une éternité de vie ; lumpen prolétaires, qui surveillent, nettoient, astiquent, veillent ; sont des gens de peu, de lombre, des gens de rien, des parias puisque elles et eux, eux et elles sont habilitées à pouyvoir toucher, avec mil:le précautions, la dite oeuvre non touchable d’ordinaire par le commun des mortels ; mais ici le proleéta- riat en question peut topucher car il en a le droit car il est agréée, il a le droit de toucher, comme un infirmier a le droit de toucher les parties intimes, le corps nu ;-, le corps à soigner , etc d’une personne qui, en dehores du soin, ne se ^pretera pas aussi facilement à tants de contacts, etc ; nous voyons les petites mains astiquer la relique, la sculpture, la chaussure, et nous , pour nous : interdit, sous peine de se voir ficher à la porte ; car la sculpture erst une chose de valeur et donc ... attention aux choses de valeur, pas touche ! ; nous n’avons rien d’autre à faire aqu’à tourner autour et apprécier la vision offerte, nous avons à regarder etc, mais il est interdit (ici, dans ce cas précis) d’entrer en contact avecladite chaussure-sculpture autrement que par les yeux, par exemple les yeux, mais surtout pas vec les mains ; ... les mains ... les mains sont centrales on le voit à tous les mailloons ; nouys pouvons nousrendre compte ici que les mains, les mains sont centrales, à tous les maillons ; nous voyons et nous nous rezndons compte que, ici, sur ces questions, la question de la main qui touche ou ne touche pas, la question de la main qui touche ou qui ne ne touche pas, etc, est centrale = capitale ; on voit que la main est diversement reconnue, que la main est de différent statuts ; la main de la personne «créatrice» ...
non, d’abord, de la personne qui a fabriqué la chaussure, de la ou des personnes, qui ont fabriqués la chaussure mais pour un usage pédestre et non scuptural en soi, la ou les personnes, celles ci, ont donc fabriqués cette chaussure, pui : une personne est arriveé, qui a dit , cette chaussure, je décide par moi même, en tant que je sui s et m’appelle untel, ou une telle, tartempion, je décide donc, du haut de ma superbe, de socler la chose, de la mettre sur un piédestal : valorisation de cette chose en tant qu objet que joffre à tout un chacun au sein d’un dispositif de valorisation à visée d’éternité et ... pas touche ! ; ainsi, nous avons une autre personne maillon ; et ensuite tout cet attirail-attroupements de petites mains qui vont veiller à la conservation , à la bonne consezrv atrion de la dite chaussure soclée, puis : les personnes qui regardent et ne peuvent toucher, c’est à dire beaucoup de monde ; habilités / non habilités ; il y a ainsi des gens, des personnes, du personnel, certains et certaines donc habilitées, et d’autrees personnes qui elles, non, ne le sont pas : non -habilités ; ainsi des qui peuvent toucher, et des qui n’ont pas le droit de toucher ; il y a le lumpen-prolétariat ; nous avons ainsi des personnes, qui sont des petiteezs mains, à differents stades de la chose : la peztite main qui crée la chaussure, qui la fabrique, la petite main qui l’achète au maga sin et qui l’apporte dans son atelier, la petite main qui prend la chaussure et décide de la faire socler, la petite main qui socle, la petite main du mu- sée quyi pr»ésente, surveille, nettoie, interdit l’approche de contact ; etc, la petite main du musée ; on voit toutes ces petites mains de prolétaires, ce sont mains de prolétaires, ce sont mains de prolétaires et la personne qui décide de faire socler est main prolétaire à des moments et pas à d’autres, dirait-)on ; la main prolétaire / la main non prolétaire ; nous voyons la chaussure d’un oeil et cet oeil est possible, -n’est pas interdit, il peut ; loeil peut voir mais la main ne peut pas toucher ; loeil a le droit de voir mais la main est interdite, sinon de quelques personnes du musée ou del’arrtiste lui même ; la main interdite ; loeil peut regarder, loeil peut tourner autour, loeil a le droit, il s’agit d’un droit, loeil est assermenté ou alors habilité, il peut ; la main pas toujours : d'entrer en contact : elle ne peut pas toujours faire cela, d’entrer , de toucher, de se poser sur ; elle n’a pas toujours kle droit et la xchose est spécifiée et réglementée ; il y a des interdits, il y a des regles de conduite, et cet objet posé n’est pas n’importe quoi, il est surveillé et valorisé, et vous aussi etes surveilleés, alors attention, méfiez vous, ne faites pas n’importe quoi, tenez vous comme il faut, la police est là qui veille sur la sculpture, sur la chaussure sculpture, sur lobjet posé, sur le tapis, sur le coussin, sur la clé sur le coussin ;